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04/02/2014

Outiz, une nouvelle enseigne pour le Groupe Point. P

Point. P a officiellement annoncé le lancement prochain de sa onzième enseigne, Outiz, qui combinera e-commerce et points de vente physiques. Misant sur le multicanal, Point. P entend étendre son leadership dans la distribution de matériel et d'outillage de construction.

24.000 collaborateurs, 2.200 points de vente, 7 milliards de CA et bientôt onze enseignes. "Nous sommes dans la proximité, c'est notre métier, notre force", réaffirme Patrice Richard, président du directoire du Groupe Point. P. Et d'annoncer ainsi, ce mardi 28 janvier, la création du "distributeur nouvelle génération de matériel et d'outillage de construction", baptisé Outiz dont le lancement officiel est prévu en avril prochain.
Un distributeur nouvelle génération
Son principe ? Proposer en multicanal des références produits destinées aux professionnels et aux particuliers facilement transportables (électricité, plomberie/chauffage, fixation/chimie, outillage électrique ; marchandises de moins de 25 kg et de moins de 3 mètres). Un 'full service' comprenant : une plateforme de e-commerce, un centre de relations clients spécifique, des commerciaux sur le terrain (Ile–de-France dans un premier temps), des catalogues et enfin, des comptoirs de vente physiques. Monté en seize mois et mobilisant 35 personnes, le projet bénéficie d'une certaine liberté : "C'est une démarche que je veux qualifier d'expérimentale, disons plutôt, de pragmatique, à laquelle nous laissons toutes les chances", explique Patrice Richard, qui se refuse ainsi à énoncer des objectifs chiffrés associés. Sont annoncés en revanche : près de 20.000 références, des prix nets affichés, une visualisation des stocks en temps réel, un suivi des clients et une livraison gratuite en 24 ou 48h, le tout grâce à une plateforme logistique nationale.
"Outiz tapera dans les ailes de l'avion, mais pas dans la carlingue."
Contrairement à ce à quoi on aurait pu s'attendre, le modèle pureplayer (exclusivement en e-commerce) n'a pas été celui retenu : "le benchmark international nous permet de nous rendre compte qu'une stratégie unique n'est pas forcément la meilleure à suivre. Nous nous laissons le temps de tester d'abord tous les canaux, quitte à en supprimer si certains ne fonctionnent pas", explique le dirigeant.
Forcément, certains "frottements" pourront être ressentis avec les autres enseignes du Groupe, mais Patrice Richard rassure d'emblée : "Outiz ne ciblera pas les cœurs de gamme des autres enseignes du Groupe : il tapera dans les ailes de l'avion, mais pas dans la carlingue."
Si objectif il y a, c'est donc au niveau du Groupe Point. P qu'il est affirmé. Outiz vient en effet compléter un arsenal de nouveaux services (outil 3D, applis mobiles, refontes des sites internet, expérience de Drive à la Plateforme du Bâtiment, e-commerce de pièces détachées avec Dispart, etc.), à destination de l'ensemble de la clientèle du groupe, afin de s'assurer une position de leadership du secteur sur le digital, tout en accélérant une stratégie définitivement "multicanal".

Source Batiactu

ALGERIE Programme LPP : Lancement de l’opération du paiement de la première tranche le 15 février prochain

L’Entreprise nationale de promotion immobilière (ENPI) envisage d’entamer la réception des souscripteurs au programme du logement promotionnel public (LPP) à partir du 15 février prochain en vue de leur livrer l’ordre de virement de la première tranche, a révélé un responsable de cette entreprise.
La même source a indiqué à l’APS que l’entreprise a entamé mercredi dernier la convocation, par courrier, des souscripteurs retenus au programme et ils seront reçus à partir du 15 février pour retirer l’ordre du virement de la première tranche estimée à un million DA (1.000.000 DA).
L’ENPI recevra les souscripteurs convoqués dans les mêmes locaux où a été effectuée leur inscription avec une capacité de réception entre 600 et 800 souscripteurs par jour à travers le territoire national. L’ENPI a enregistré jusqu’à janvier 2014 près de 32.000 demandes de LPP, dont 15.000 demandes à Alger, a souligné la même source, ajoutant que les inscriptions étaient toujours ouvertes.
La plupart des dossiers déposés ont été acceptés à l’exception de quelque 3000 dossiers, a souligné la même source, indiquant que les souscripteurs dont les dossiers n’ont pas été acceptés, ont le droit de faire un recours dans un délai d’un mois.
L’affluence des citoyens sur ce programme a connu un niveau "très acceptable" au regard de la nature de la catégorie à laquelle il est destiné et dont les revenus sont supérieurs à 108.000 et inférieurs à 216.000, a estimé le responsable qui prévoit l’augmentation de la demande au fur et à mesure de l’avancement de la réalisation des projets.
Concernant les souscripteurs au programme de logement de location-vente de l’AADL (Agence nationale de l’amélioration et du développement du logement) transférés vers la formule LPP, le même responsable a indiqué que tous les dossiers ont été examinés et l’ENPI avait convoqué au cours de la première quinzaine de décembre tous les souscripteurs concernés, plus de 5000 postulants.
Les souscripteurs au programme LPP devront verser la première tranche du prix du logement, estimée à un million de dinars dans un délai de deux mois à compter de la date de la réception de l’ordre de virement.
Les décisions de pré-affectation remises à partir de février 2015 Une année après cette première étape (la réception de l’ordre de virement), le souscripteur recevra la décision de pré-affectation qui définira le site du logement, le nombre des chambres et l’étage, selon la même source qui affirme que l’octroi des logements se fait selon des critères précis après un examen approfondi par une commission spécialisée afin de garantir une distribution "méthodique et équitable".
Grâce à cette décision de pré-affectation le souscripteur peut bénéficier d’un crédit bancaire pour couvrir le reste du prix du logement. Le souscripteur peut se contenter de verser la première tranche (1.000.000 da) et le reste sera payé avant la remise des clefs, par mensualités après l’obtention d’un crédit bancaire dans ce cas également.
Les prix d’achat des logements dans le cadre du LPP sont de 6,4 millions DA pour les F3 (80 m2), de 8 millions DA pour les F4 (100 m2) et de 9 millions DA pour les F5 (125 m2). En 2013, L’ENPI a mis en chantier des projets pour réaliser 150000 logements et compte réaliser le reste des projets en 2014 en fonction des demandes.
A Alger, la réalisation de 8000 unités a été lancée notamment à Sidi Abdellah, à Semrouni (Ouled Fayet), à Birkhadem, à Ain Beniane, à Bordj El Kifane, Reghaia, Rouïba, Ain Taya et Zeralda. La réalisation de ces projets est prise en charge par des entreprises choisies à partir d’une liste limitée. Près de 10.000 logements sont réalisés par ces entreprises ainsi que par des entreprises nationales publiques, des entreprises mixtes et des entreprises algériennes privées qui se chargeront de réaliser les projets ne dépassant pas 250 unités.
Outre leur grande superficie, les logements réalisés dans le cadre de ce programme seront construits avec des matériaux de construction de haute qualité et seront dotés de toutes les commodités nécessaires, d’équipements de proximité, et d’espaces verts ainsi que des aires de jeux et de loisirs.

Source Le Temps d'Algérie

03/02/2014

Wienerberger étudie le rachat du briquetier Allemand VINNUM

Le fabricant Autrichien de briques Wienerberger étudie une acquisition en Allemagne.
L'acquisition d'actifs de l'usine de brique Vinnum GmbH a été notifiée à L'autorité allemande de la concurrence, rapporte le "Börse-Expresss" , vendredi 31 Janvier. L'achat concerne l'activité  terre cuite.
Dans l'usine de brique à Olfen-Vinnum seraient produites les briques UNIPOR pour tous les domaines du gros oeuvre, y compris les briques spéciales.
L'usine est conçue pour une capacité d'environ 180 000 mètres cubes par an.
Source der Standard

Lettonie - Elaboration de trois nouveaux types de matériaux de construction

Trois nouveaux types de matériaux de construction ont été développés par des chercheurs de l’Université Technique de Riga, de l’Université de Lettonie et de l’Université lettone d’agriculture. Ces matériaux sont produits à partir de matières premières locales et sont respectueux de l’environnement. Ils sont en outre bon marché en comparaison avec les matériaux actuellement utilisés dans l’industrie.
Le premier matériau est une céramique composée d’argile, de poudre de dolomites et de poudre de verre. La température de fusion requise pour sa production est plus basse (700-750° C) que la céramique classique (900°C), et les résidus de verre présents dans le matériau augmentent les propriétés physiques et mécaniques de la céramique.
Le deuxième matériau est produit à partir d’argile. L’idée consiste à traiter l’argile avec une solution alcaline, permettant alors de produire des briques à des températures très basses (60-100°C) par opposition aux technologies traditionnelles (980-1000°C).
Le troisième matériau conçu à partir de poudre d’argile et de dolomite est un ciment, résultat de la fusion d’un mélange de matières premières (à 800°C). Il est utilisé pour remplacer le ciment de Portland et est utile pour restaurer des immeubles.
Source:www.radinrue.com par Florian Stern

02/02/2014

TECAUMA fournisseur de lignes de manutention pour les producteurs de matériaux de construction

TECAUMA bénéficie d'un véritable savoir-faire reconnu en manutention de produits céramiques (terres cuites) ce qui lui permet de réaliser des équipements pour la production des briques, briques de parement, tuiles et accessoires.
Les lignes complètes de manutentions courantes intègrent coupeur, chargeur de séchoir, empileur, dépileur, paquettiseur et robot.
Elles sont réalisées et adaptées aux marchés français et internationaux (Europe de l'Est, Maghreb...).
TECAUMA est aussi présente dans la fourniture d'équipements pour l'industrie du béton et notamment pour les process de fabrication des produits à démoulage différé, des produits préfabriqués et des blocs béton traditionnels ou rectifiés.
Plus récemment, l'entreprise a mis en route avec succès des lignes complètes en préfabrication de produits béton tels que poutrelles et caveaux. Ces lignes intègrent des équipements automatiques et semi-automatiques pour le moulage, l'étuvage, le démoulage et plus globalement la manutention des moules.
Pour la production des blocs béton, TECAUMA possède une large gamme d'équipements de manutention tels que des retourneurs de couches, des équipements de rectification/calibrage sur 1 face ou 2 faces, des cellules de palettisation robotisée ainsi que toutes autres solutions de manutentions annexes adaptées à votre besoin.

Source TECAUMA

01/02/2014

ALGERIE- Matériaux de construction : légère baisse de la facture d’importation, malgré une hausse des quantités les 11 mois 2013

La facture des importations algériennes des matériaux de construction durant les onze premiers mois 2013 a atteint 2,72 milliards de dollars, en légère baisse par rapport à la même période de 2012, malgré une hausse des quantités importées, selon les Douanes algériennes. Les importations des principaux matériaux de construction (ciment, bois et acier) ont atteint 2,72 milliards de dollar les onze premier mois de 2013 contre 2,75 milliards de dollars, en baisse de 0,95%, précisent les chiffres du Centre national de l’informatique et des statistiques (CNIS) des Douanes.
Les quantités importées par contre sont passées de 6,53 millions de tonnes les onze premiers mois de 2012 à 8,06 millions de tonnes à la même période en 2013 en hausse de plus de 23%, tirée notamment par une hausse de près de 60% des importations de ciment et de 3,8% du bois.
Les importations de ciment poursuivent leur tendance haussière durant les onze premiers mois de 2013 pour atteindre 369,59 millions de dollars, contre 231,74 millions de dollars à la même période de 2012, en hausse de 59,5%, précisent les Douanes algériennes.
La hausse des importations de ciment, entamée depuis 2012 durant laquelle les importations ont presque doublé, s’est accentuée durant l’année 2013 et devrait se poursuivre cette année, en raison des importants projets lancés.
En effet, les quantités importées ont connu également une "forte hausse" de plus de 60%, passant de 2,563 millions de tonnes à 4,109 millions de tonnes durant la période de comparaison.
Le déficit de l’Algérie en ciment dépasse actuellement les 5 millions de tonnes/an, alors que la production nationale actuelle est de plus de 18 millions de tonnes/an dont 11,5 millions de tonnes sont assurés par les 12 cimenteries publiques. Afin de répondre à cette forte demande et atténuer la flambée des prix accentuée notamment par la spéculation et limiter la hausse des importations, les pouvoirs publics ont tracé un "ambitieux" programme pour atteindre une production de 20 millions de tonnes à l’horizon 2016 et 29 millions de tonnes d’ici à 2018.
A cet effet, un contrat de performance a été signé en mai dernier par le ministère de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’Investissement et le Groupe GICA, chargé de mettre en œuvre ce programme de réalisation de cimenteries. Le programme prévoit non seulement la réalisation de nouvelles cimenteries mais également l’extension des capacités de production de six usines existantes.
Par ailleurs, l’office relève également que les importations de bois ont atteint 649,99 millions de dollars (1,646 million de tonnes), contre 625,74 millions de dollars (1,203 million de tonnes) à la même période en 2012, en hausse en terme de valeur de 3,88%.
Par ailleurs, les importations de fer et d’acier destinés à la construction se sont chiffrées à 1,70 milliard de dollars pour 2,704 million de tonnes durant les onze premiers mois de 2013, contre 1,89 milliard de dollars, soit 2,766 million de tonnes à la même période l’année précédente, en baisse en termes de valeur de 9,95%, selon le CNIS.
En 2012, les importations des matériaux de construction ont augmenté de près de 12% totalisant 2,89 milliards de dollars. Cette hausse a été tirée par les importations de ciment qui ont augmenté de 94,67% pour totaliser 244,4 millions de dollars.

Source Le Temps d'Algérie

31/01/2014

Céraquitaine joue la carte de l'international

Méconnue du grand public, l'entreprise Céraquitaine à Saint-Aulaye, est l'un des derniers fabricants français de céramiques réfractaires sur mesure. A Saint Aulaye, l'entreprise Céraquitaine est l'un des derniers fabricants français de produits réfractaires

Depuis plus de cent ans, puisqu'elle a été créée en 1903 ou 1904, l'entreprise Céraquitaine, implantée à Saint-Aulaye en Dordogne, conçoit et produit des produits réfractaires, principalement de la petite et de la moyenne série. Elle emploie trente salariés. Depuis plusieurs années, le marché national ne suffisant plus pour assurer son développement, l'entreprise périgourdine se tourne vers l'export tout en poursuivant ses efforts en matière d'innovation et de conception de nouveaux produits.
"Tous les secteurs d’activité qui ont un besoin de chauffer leurs produits à plus de 1000 ° C dans leur processus industriel sont à même de faire appel à nos services, résume Gilles Pouteau, le dirigeant de l'entreprise Céraquitaine, à Saint-Aulaye. Créée au tout début du XX e siècle, cette PME périgourdine de 30 salariés possède un savoir-faire unique. Il s’agit du dernier fabricant français de céramiques réfractaires « sur mesure ». "Nous avons un savoir faire artisanal au service de grands groupes industriels," indique Gilles Pouteau.
L’entreprise périgourdine est en concurrence avec des groupes mondiaux, installés en Europe de l’Est, en Chine, ou en Asie du Sud Est.
La céramique traditionnelle, la production de tuiles, briques, carreaux et porcelaine représentent désormais 49 % du chiffre d’affaires de l’entreprise, contre 16 % destinés aux constructeurs de fours et 10 % aux fabricants de produits électroniques.
Le reste est constitué par les céramiques techniques, l’industrie pétrochimique ou automobile. «La part de la céramique traditionnelle tend à diminuer, l’électronique, le secteur de la chimie sont en progression.
Ce qui nous oblige en permanence à innover, à développer de nouvelles références, à poursuivre les investissements, « indique Gilles Pouteau ».
L’entreprise propose quelques 9 000 références en produits réfractaires et 350 formulations différentes. Un des atouts de cette PME de 30 salariés est d’être capable de produire de la petite et moyenne série, voire de la pièce unique.
L'export, une question de survie
Depuis quelques années, Céraquitaine joue la carte international : " «Avec une industrie française en perte de vitesse, l’international est tout simplement une question de survie. L’export représente entre 40 et 48 % de notre chiffre d’affaires. Dans les années à venir, nous tablons sur 75 % à l’export pour un chiffre d’affaires autour de 4 millions contre 2,3 millions cette année, » analyse Gilles Pouteau. "La désindustrialisation de la France a eu un impact direct sur notre activité. Certains de nos clients ont quitté la France et sont partis vers des pays où la main d’œuvre est moins onéreuse. Nous avons du développer de nouvelles stratégies pour les conserver. C'est le cas du groupe Siemens qui a quitté la région bordelaise." La qualité et le savoir-faire de l’entreprise périgourdine sont mondialement reconnus. Leurs principaux marchés sont l’Allemagne, l’Espagne, l’Europe du Nord et l’Europe de l’Est (République Tchèque). Autre atout, l’entreprise s’engage à livrer une commande dans un délai de six semaines, alors que la même commande fabriquée en Chine ou en Asie du Sud Est, demandera plus de deux mois avec une livraison par bateau.
Une diversification pour sauver un emploi
Souhaitant davantage ouvrir son entreprise sur l’extérieur, Gilles Pouteau a créé au sein de son usine un magasin destiné aux potiers artisanaux et aux artistes. « C’est une activité de négoce. Nous commercialisons la matière première (argile, émaux), le matériel (four, tour à potier, pinceau) pour ces artistes et aussi les produits réfractaires que nous fabriquons. Notre cœur de métier, c’est la maîtrise des hautes températures et le travail du feu. Nous apportons conseils et formation à cette nouvelle clientèle, qui vient parfois de loin. » Le magasin est ouvert depuis mars 2013. Cette diversification a permis la sauvegarde d’un emploi, à une période où l’entreprise a traversé une période plus délicate.

Source AQUI

30/01/2014

Tunisie – Hausse des prix de matériaux de construction

Les entrepreneurs à Jendouba appellent à une indemnisation
Des entrepreneurs du gouvernorat de Jendouba ont menacé d’annuler les contrats conclus pour la réalisation des projets d’amélioration d’infrastructure de base dans la région ainsi que dans des gouvernorats avoisinants, indique un communiqué rendu public lundi par la chambre syndicale régionale des entrepreneurs de bâtiment et des travaux publics relevant de l’union régionale de l’industrie, du commerce et de l’artisanat de Jendouba.
La chambre appelle les structures concernées à indemniser les entrepreneurs fortement endommagés par la pénurie des matériaux de construction, la hausse exorbitante des prix du ciments et celui du fer.
Elle appelle à exempter les entrepreneurs des pénalités de retard étant donnée que le non respect des délais convenus pour la réalisation des projets s’explique essentiellement par la hausse des prix des matériaux de construction et la lenteur des procédures administratives. Selon le communiqué, la chambre appelle également à contrôler les circuits de distribution des ciments pour lutter contre la spéculation et la contrebande.
Le président de la chambre syndicale régionale des entrepreneurs de bâtiment et des travaux publics, Islam Shili a indiqué au correspondant de l’Agence TAP dans la région que, les correspondances adressées aux structures concernées pour examiner cette question, ont été négligées.
Un groupe d’entrepreneurs ainsi que des représentants de bureaux d’études avaient observé des mouvements de protestation pour contester l’inaction des structures concernées face aux problèmes qui entravent la bonne marche du secteur des travaux publics.

Source Directinfo

29/01/2014

La nouvelle gamme SOLTERRE de TERREAL: Le Solaire au service de la construction neuve

A l’heure où la RT 2012 exige une consommation énergétique du bâtiment inférieure à 50 kWhEP/m²/an, TERREAL a renforcé sa gamme solaire avec deux innovations majeures qui permettent d’atteindre cet objectif, tout en offrant une facilité de mise en œuvre inégalée :
Solterre TH2, une solution solaire thermique qui vient d’obtenir un avis technique du CSTB, et Solterre Micro PV, une solution photovoltaïque développée pour l’autoconsommation.
Solterre TH2 : l’unique solution de solaire thermique du marché intégrée au bâti optimisant performance thermique et étanchéité totale.
Conçue par des couvreurs pour des couvreurs, la solution Solterre TH2 de TERREAL est la seule solution solaire thermique conjuguant les meilleurs rendements thermiques et une étanchéité totale, qui possède un avis technique du CSTB (n° TERREAL-14/13-1868).

Les différentes innovations développées sur ce capteur solaire le classent comme le plus puissant du marché : ses capteurs offrent en effet un rendement optique incomparable de 83,3 %. La solution solaire thermique Solterre TH2 est également la solution d’eau chaude sanitaire la plus rentable en €/kWh : adossée à une chaudière à condensation, elle constitue la solution de traitement de l’eau chaude sanitaire en énergie renouvelable la plus économique.

Tests à l’appui, elle garantit aussi de très grandes performances en matière d’étanchéité, qu’elle soit mise en œuvre sur des toitures à très faible pente (jusqu’à 11°), dans des zones sismiques ou dans des zones fortement exposées au vent.

L’une de ses principales innovations réside dans sa conception qui prévoit une connexion hydraulique en sous-face, évitant ainsi aux plombiers d’avoir à monter sur le toit pour effectuer les branchements et laissant donc l’installation sur le toit aux professionnels de la couverture.

De plus, elle peut s’installer en hauteur élevée et en nombre illimité, contre 5 panneaux maximum habituellement : un point fort pour la pose en logements collectifs.

Son système d’intégration a été conçu pour une mise en œuvre simple avec une pose en 1h30 par deux personnes, ce qui en fait la solution la plus rapide du marché.

Pour une meilleure intégration esthétique, Solterre TH2 est disponible en 4 coloris (rouge, rouge brun, sable et ardoisé).

Solterre Micro PV : un panneau photovoltaïque sécurisant pour favoriser l’autoconsommation.

Aussi fiable et facile à poser que son homologue thermique, Solterre Micro PV est économique et performant.

La pose de deux ou trois panneaux solaires photovoltaïques suffit à produire jusqu’à 12 kWhep/m²/an pour un investissement inférieur à 3 000 € fourni posé.

Pour les constructeurs, ce système présente les avantages suivants : la possibilité de maintenir un chauffage électrique traditionnel dans certaines configurations, une solution économique en association avec une chaudière à condensation, une solution sûre et rapide à mettre en œuvre pour maîtriser leurs coûts.

Parce que fiabilité rime souvent avec simplicité, TERREAL a développé un système avec une double étanchéité en utilisant notamment une structure en forme de gouttière, produit éprouvée depuis des centaines d’années !
Les tests en soufflerie Moby Dick II effectués sur Solterre Micro PV permettent de garantir son étanchéité jusqu’à des pentes de toitures de 12° et ce, pour toutes les zones de vent.

Parce que garantir la sécurité des personnes constitue une préoccupation majeure pour TERREAL, la solution Solterre MicroPV intègre des micro-onduleurs placés sous tous les panneaux.
Ces derniers permettent de réduire le risque d’apparition d’arcs électriques, cause possible d’incendies domestiques, en transformant directement sous le panneau le courant continu en courant alternatif.

Avec ces deux nouvelles solutions, TERREAL, expert de la toiture positive, confirme son expertise sur le marché du Solaire photovoltaïque et thermique. Son expérience de la couverture et de l’étanchéité depuis 150 ans lui permet aujourd’hui de développer des solutions certifiées offrant les meilleures garanties d’étanchéité du marché.
Source Wellcompresse 

28/01/2014

Plébiscite de la brique terre cuite avec la nouvelle réglementation thermique

Si, en France, 70% des maisons ont une couverture en tuiles terre cuite, en matière de mur la « terre cuite » n’a pas le même succès, notamment face à l’omniprésent parpaing en béton. Pourtant, avec l’arrivée de la RT2012 (Réglementation Thermique 2012) et de ses bâtiments basse-consommation, les choses évoluent.
A l’instar de la construction bois, les bâtiments en briques terre cuite séduisent de plus en plus les Français. Entre l’ancienne RT2005 et la nouvelle RT2012, la construction en terre cuite a progressé de 23%. Aujourd’hui, plus de 40% des maisons individuelles sont réalisées en briques. Pour les bâtiments collectifs (jusqu’à R+5), les qualités de la brique terre cuite séduisent les architectes, aussi près de 25% des logements collectifs sont désormais construits en briques.
Pour mémoire, rappelons que la brique terre cuite est à l’origine de constructions qui cumulent nombre d’avantages. Parmi les principaux, on peut citer le caractère sain des constructions obtenues, grâce à un matériau naturel, une bonne gestion de l’humidité (la terre cuite fixe très peu l’humidité contenue dans l’air), une isolation thermique de qualité (notamment dans le cas des briques Monomur), la quasi absence de pont thermique, etc.
Autant de caractéristiques reconnues dans un sondage Ifop (1), puisque près de la moitié des personnes interrogées estiment que la brique terre cuite est un très bon isolant et près de 60% considèrent qu’elle est durable et résistante. Du côté des professionnels, dans le cadre d’une construction répondant à la RT2012, 36% des maçons, qui ont choisi la brique de terre cuite, l’ont fait pour ses caractéristiques thermiques.
1) Etude menée en novembre 2013, dans le cadre de l’OMCAWI, enquête multi-clients de l’Ifop, réalisée chaque semaine en ligne et auto-administrée, auprès d’un échantillon national représentatif de 1000 individus âgés de 18 ans et plus (634 propriétaires et 308 locataires).

Source Univers Nature

Algérie: Intégrer l’architecture de terre dans la construction moderne

Lors d’une journée d’étude sur les techniques de construction en terre, organisée jeudi à Tamanrasset, l’accent a été mise sur la nécessaire intégration de l’architecture de terre dans les modes de construction modernes réalisés au titre des différents programmes de développement.
Les intervenants, architectes, partenaires sociaux et élus locaux, ont, lors de cette rencontre tenue à la bibliothèque publique de Tamanrasset, souligné l’importance de la valorisation du matériau de l’argile, un procédé ancestral, et son intégration en tant que mode architectural dans les constructions modernes.
Ils ont également plaidé pour la mise en place de mécanismes opérationnels à même de permettre l’usage de ce mode d’urbanisation, l’initiation de ses techniques, la création d’opportunités de commercialisation de matériaux de construction destinés à l’architecture de terre.
La présidente du centre algérien du patrimoine culturel bâti en argile, Yasmin Torki, a mis en exergue les avantages de l’architecture de terre dans la réalisation de bâtisses, qui, largement disponible et utilisé dans différents styles architecturaux aux quatre coins du monde, reflète l’identité et la culture des peuples.
Elle a, toutefois, réfuté les stéréotypes associant l’utilisation de la terre à une arriération, appelant, à ce titre, à changer les mentalités et à adopter l’argile et le toub (pisé) dans la réalisation des bâtisses, au regard de leur impact positif sur l’environnement.
Cette journée d’étude vient couronner deux ateliers de formation sur les techniques de construction en argile, initiés du 11 au 22 janvier courant par le centre national du patrimoine culturel au niveau du centre de la formation professionnelle de Tamanrasset, ont indiqué les organisateurs.
Cette rencontre, qui a regroupé plus de 40 participants, entre architectes et formateurs en maçonnerie issus de Tamanrasset et d’In-Salah, a donné lieu à l’organisation d’une exposition de modèles de structures en pisé de différentes régions du monde, en plus d’un stand mettant en relief la beauté des vieux ksour et la nécessité de les sauvegarder, en tant qu’élément de l’identité nationale.

Source Portail CDER

27/01/2014

Matériaux de construction : l’année 2013 moins mauvaise que prévu -2,9% pour les tuiles et -7,8% pour les briques

Le dynamisme des deux derniers trimestres permet au marché des matériaux de construction de légèrement redresser la barre en 2013. Les premières données communiquées par l’Unicem laissent entrevoir une hausse de production de 1,8% pour les granulats, tandis que le béton prêt à l’emploi limite les dégâts avec une baisse de 1,8%.
Difficile de parler de bons chiffres tant le marché des matériaux de construction reste fragile. Mais les données communiquées par l'Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (Unicem) dans sa dernière lettre de conjoncture font ressortir un net rebond de la production. C'est surtout vrai des granulats : la hausse atteint 4,2% en décembre par rapport au mois précédent, et 1,6% par rapport au même mois de l'année précédente. Sur l'ensemble de l'année 2013, la progression s'établit aux alentours de 1,7%. "Une conjoncture moins mauvaise que prévu dans le bâtiment mais aussi et surtout dans les travaux publics, couplée avec un possible restockage, ainsi que l'absence d'intempéries en ce début d'hiver pourraient expliquer cette bonne surprise", note l'Unicem dans sa lettre de conjoncture.
Les bonnes conditions météorologiques et un possible effet de restockage ont contribué au rebond de la production de granulats et BPE en décembre.
Le marché du béton prêt à l'emploi a lui aussi fortement progressé en décembre, avec une production en croissance de 5,9% par rapport à novembre, et de 3,1% comparé au même mois de l'année précédente. Malgré ce rebond la tendance annuelle reste négative pour le BPE (-1,9%), après un exercice 2012 déjà très compliqué (-5,1%).
Des perspectives de marché encore fragiles
De façon générale, 2013 restera comme une nouvelle année difficile pour le marché des matériaux de construction. Les chiffres consolidés par l'Unicem laissent envisager une baisse des livraisons de 9,2% pour les produits béton, encore plus conséquente qu'en 2012 (-6,4%). A l'inverse la terre cuite redresse la barre d'un exercice à l'autre. Les briques sont en recul de 7,8%, soit une baisse de cinq points inférieure à l'année 2012. Et les tuiles parviennent encore mieux à limiter les dégâts avec un recul de 2,9%, soit six points de mieux que l'exercice précédent.
Difficile d'anticiper ce que sera le marché en 2014. "Les perspectives des professionnels du gros oeuvre se seraient raffermies en décembre, de même que les carnets de commande du second oeuvre, note l'Unicem. Ce redressement est d’ailleurs également perceptible dans les prévisions d’activité des professionnels de l’entretien-amélioration en net rebond en décembre." Dans le même temps, les mises en chantier de logements neufs restent sur une tendance négative (-6,2% sur douze mois à fin novembre), et la baisse est encore plus prononcée pour les permis de construire. Les travaux publics sont un peu mieux orientés : en cumul sur onze mois, la baisse des travaux atteignait 1,4% fin novembre. Mais la période suivant les élections municipales est, dans ce secteur, rarement propice à la prise d'affaires.

Source Le Moniteur

Revel. Les parlementaires visitent Terreal

Vendredi 24 Janvier après-midi, le président de Terreal, Hervé Gastinel, recevait sur le site de Revel deux parlementaires: le sénateur de Haute-Garonne Jean-Jacques Mirassou et la députée Emilienne Poumirol. Ils étaient accompagnés de la conseillère municipale PS d’opposition, Sylvie Balestan. C’est d’ailleurs elle qui est à l’origine de cette visite née d’une rencontre avec le président lors d’une inauguration à Castelnaudary où elle est chargée d’urbanisme au sein de la mairie.
«Ils ont voulu visiter le site de Revel et comme nous traversons une période difficile il est toujours important de montrer aux décideurs notre bel outil de production», expliquait Hervé Gastinel. En effet, le directeur confirmait que depuis 2007 Terreal avait connu une baisse d’activité de 30%. «Malgré ça, nous avons maintenu l’emploi grâce à la flexibilité et à la mobilité interne», confiait-il au groupe d’élus. Pour se maintenir et prendre une part importante des marchés d’avenir, Terreal mise sur les «énergies positive» à travers l’innovation. Toutefois l’entreprise doit faire face au dumping de sociétés étrangères qui viennent la concurrencer sur le marché français. Il lançait donc un appel du pied aux élus pour soutenir cette entreprise française sélectionnée parmi les 34 «initiatives Montebourg» pour une nouvelle France industrielle.
«Ce genre d’entreprise mérite d’être encouragée», confiait la députée Emilienne Poumirol. «Elle innove et se tourne vers les bâtiments nouvelle génération. De plus il faut soutenir la qualité et la proximité. Pour cela nous avons mis des outils en place comme la Banque publique d’investissement, les aides à l’export et la mise en relation».
En effet, en plus de ses produits phares dans ses trois métiers: la couverture, les façades et les structures, Terreal mise aujourd’hui sur le développement durable dans le neuf comme dans la réhabilitation de logements sociaux ou de particuliers. «Nous avons un double objectif: fournir des systèmes de constructions et rénovations aux techniques performantes mais aussi réduire impact industriel sur l’environnement». Terreal n’utilise que de l’argile 100% naturel et recyclable.
Terreal en chiffres:
- Terreal c’est 25 sites dans le monde dont 16 en France
- Elle emploie 2500 salariés à l’échelle internationale dont 51 à Revel
- Elle affiche un chiffre d’affaire de 400 millions d’€ par an, pour une production annuelle de18 000 tonnes annuels.
- Un tiers de sa production reste en France et le reste part à l’export: USA, Chine, Grande-Bretagne, Moyen-Orient, Algérie,...
- Terreal est n°1 mondial pour la tuile plate; n°1 (coleader) sur la tuile canal en France; n°1 en France sur les façades et n°3 mondial.
Source La Dépêche du Midi par Emile Gaubert

26/01/2014

Pour tout savoir sur les carreaux de pavage

Mardi 28 Janvier sera donnée, au château de Germolles, une conférence sur les carreaux de pavage.

Dans le domaine de la construction, le Moyen Âge a utilisé à foison les terres cuites architecturales.
Les tuileries installées jadis sur le sol bourguignon fabriquaient quantité de tuiles, de briques et de carrelages de sols.
À côté de la réalisation de carreaux simples, l’artisanat du carreau décoré s’est énormément développé dès le XIIe siècle. Mais cette production ne pouvait concerner que les seigneurs fortunés, tels les ducs de Bourgogne, ou les fondations religieuses les plus riches.
Ainsi le château de Germolles possède-t-il non seulement la plus vaste collection de carreaux de pavage issus de ce mécénat ducal, mais aussi l’une des plus abondantes de la région.
D’autres demeures ont aussi livré de tels vestiges, comme le château d’Argilly, détruit aujourd’hui, ou celui de Rouvres-en-Plaine, aussi disparu, où les carreaux montrent des conceptions techniques, esthétiques et emblématiques totalement différentes.
De même, la prestigieuse Chartreuse de Champmol a révélé des pièces montrant un tout autre pan de cette industrie. Le bilan donné par Matthieu Pinette, conservateur en chef du patrimoine, permet alors de reconsidérer certains axes de la politique artistique ducale.
PRATIQUE Château de Germolles, mardi 28 janvier à 20 heures. Tarif : 8 €. Rés. au 03.85.98.01.24 ou à chateaudegermolles@gmail.com
Source Le Journal de Saône et Loire par EMMANUEL MÈRE

25/01/2014

Imerys Ardoisières de Trélazé. La pluie n'arrête pas les ardoisiers, l'accès à l'entreprise bloqué

Sous la pluie, les ardoisiers ont rallumé le brasero géant bloquant l'accès au siège des Ardoisière d'Angers, rue Albert-Camus.
Deux jours après la mise en place de la commission d'évaluation des gisements dans laquelle ils sont partie prenante, les ardoisiers ont retouvé le siège de l'entreprise, vendredi matin à Trélazé.
Sous la pluie, ils ont rallumé le brasero géant dans une benne bloquant l'accès au site. Cette matinée est consacrée à la tenue d'un comité d'entreprise qui sera suivi, cet après-midi, d'une assemblée générale d'information.
Toujours engagés contre la fermeture des Ardoisières d'Angers projetée par le groupe Imerys, les ardoisiers préparent également la grande manifestation prévue samedi 1er février à Trélazé.

Source Le Courrier de L'Ouest

Cleia casse 27 millions de briques

Cleia casse 27 millions de briques à l’international
- Le concepteur et fabricant mondial de tuileries, briqueteries et lignes de production dédiées vient d’engranger 27 millions d’€ de commandes sur les derniers mois.
L’entreprise de Nolay (Côte-d’Or) entrevoit avec optimisme l’année 2014, notamment dans certains marchés émergents comme l’Inde et le Maghreb, depuis sa filiale tunisienne créée il y a un an et qui emploie 50 personnes.
En attendant, l’ingénieriste et industriel bourguignon décroche avec la société Ashur Brick au Kurdistan Irakien la réalisation d’une unité pour produire 1200 tonnes de briques par jour. Il signe aussi l’installation de plusieurs lignes robotisées en Russie et Biélorussie et met en service une nouvelle tuilerie pour Erlus AG en Bavière (Allemagne).
La différence qui fait de Cleia, présidée par Philippe Pénillard (20 millions d’€ de chiffre d’affaires, 100 personnes, dont une trentaine affectées à la R&D) une référence dans le monde de la terre cuite, tient à son souci constant d’innover.
A preuve, Zéphyr®, le seul séchoir tunnel rapide disponible sur le marché, fonctionnant sans portes et disposant d'un pas variable - c’est-à-dire adapté à chaque cycle de séchage -, fait aujourd’hui l’objet d’un brevet planétaire.

Source traces écrites

République démocratique du Congo : La terre crue pas que pour les pauvres

Vendre des briques crues réalisées à partir de ressources locales? Si Alice Baltus, Camille Eickhoff et
Dorian Somers, étudiants à l’UCL, vont étudier en République démocratique du Congo la faisabilité technique et la viabilité économique d’une telle initiative, ils devront aussi s’attaquer aux préjugés.
Restructurer la briqueterie du village de Shathiskumba, tel est l’objectif des trois étudiants.
Car «la terre crue est souvent vue comme le matériau du pauvre, reconnaît Géry Despret, le patron d’Argio, société tubizienne spécialisée dans la fabrication de briques crues qui apporte son soutien technique et ses connaissances au projet des étudiants. J’ai travaillé dans la coopération en Haïti. Et comme partout, on constate que les gens sans moyens utilisent la terre crue. Dès qu’ils ont un peu d’argent, ils passent à la terre cuite voire même au béton, qui est le matériau du Blanc, du riche.»
Ce matériau est inabordable pour la plupart des Congolais. Non seulement vu le coût du ciment mais aussi vu le manque de cimenteries. «Or la demande en matériau de construction est énorme car la RDC est en pleine croissance», indique Dorian Somers.
Utiliser la terre est donc, selon les étudiants, une bonne alternative. Et la terre crue en particulier car elle peut se passer de ciment et consomme 95% d’énergie en moins pour sa fabrication.
Reste à changer les mentalités. «Ce n’est pas facile, commente Géry Despret. Depuis les années 60, des universitaires ont travaillé à découpler les économies du ciment. Sans succès. La solution est peut-être de faire ressembler la terre crue au béton.»Q. C.

Source L'avenir.net

Charles-Antoine de Barbuat: plan social de 27 personnes chez Texelis

Chez Texelis, entreprise qui compte environ trois cents salariés, la CGT a annoncé, le 23 Janvier 2014, l’homologation d’un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE), qui prévoit 27 départs volontaires. L’information a été confirmée par la direction de l’usine limougeaude. Fin décembre, la direction régionale du travail et de l’emploi (Direccte) a validé le plan, que le syndicat a réussi à assortir de garanties sociales et salariales. (...)
Car 2013 ne serait, d’après tous les interlocuteurs, qu’une mauvaise passe. « Pour nous, ce n’était qu’un trou conjoncturel », estime le directeur général du site, Charles-Antoine de Barbuat. C’est lié à notre positionnement. Nous sommes soumis à la vitesse de développement de nos clients. Or, un certain nombre de produits ont été décalés. » (...)
2014 s’annonce en revanche « sous de meilleurs auspices », envisage Charles-Antoine de Barbuat. « On veut sortir une année 2014 qui montre que 2013 n’était qu’un accident », explique le responsable. (...)

Source Le Populaire

24/01/2014

Castelnaudary : un poids-lourd déverse une partie de son chargement de tuiles sur la chaussée

Ce jeudi 23 Janvier après-midi, vers 14 h 30, sur la route départementale 103 à Castelnaudary, un poids-
lourd appartenant à la société Jardel (Haute-Garonne) a déversé une partie de son chargement de tuiles ( une quinzaine de tonnes) sur la chaussée, après avoir fait une embardée. Aucun blessé ni aucun dégât ne sont à déplorer, selon le groupement de gendarmerie de l'Aude. L'entreprise Terreal, où la marchandise avait été prise en charge, a dégagé la voie avec l'un de ses engins, indiquait la même source. Une déviation a été mise en place, le temps de faire place nette.

Source L'Indépendant

Chantier : transformation d’une maison des années 1940

Comment métamorphoser une maison traditionnelle française sans valeur ajoutée particulière du point de vue architectural en une résidence actuelle contemporaine et basse consommation ?
C’est le défi qu’a souhaité relever le cabinet d’architecture, Thierry Barreau, pour cette construction située au cœur de la ville de Dôle (39). Autres contraintes de départ : assurer une étanchéité à l’air proche des normes de l’habitat passif, utiliser des matériaux biosourcés et locaux.
Après examen de cette maison -qui n’a pas bénéficié de rénovations récentes- les murs, les planchers en bois, ainsi que la charpente, sont globalement en bon état. Le volume et l’aspect compact du bâtiment permettent la réalisation d’une isolation par l’extérieur sans ponts thermiques, accomplie en 3 étapes : - une ossature secondaire en bois est réalisée, puis fixée avec des équerres métalliques sur le bâti existant. Cette ossature, composée de poutres en l, permet de réaliser des compartiments d’une épaisseur de 20 cm remplis d’isolant. Elle sert également de support pour la finition extérieure ; - l’isolant sélectionné spécifiquement pour son caractère biosourcé, l’ouate de cellulose, est posée dans les compartiments ; - enfin, la finition extérieure, sous forme de bardage, est assurée par les tuiles terre cuite Imerys Toiture Huguenot HP10 pour l’esthétique de son rendu. Résultat : le bâtiment revendique une étanchéité à l’air de 0,2 et, grâce à une ITE de 20 cm d’épaisseur, à une VMC Hygro B et un chauffage assuré par une pompe à chaleur géothermique sur puits vertical, la consommation d’énergie primaire affiche un excellent 72 kWh/m2/an.
La tuile terre cuite en bardage
D’une longue durée de vie, ces éléments garantissent un vieillissement uniforme, aussi bien en toiture qu’en bardage. Un système de fixations invisibles a été développé pour la pose en façade et est parfaitement résistant aux diverses agressions climatiques. Pleinement sécurisés grâce à ce type de fixation, les bardages peuvent être mis en œuvre jusqu’à 40 mètres de hauteur.

Source Zepros

Saverdun Terre Cuite, Sélection Midinvest 2013, espère lever 2,5 millions d'euros

Engagée dans un nouveau programme d'investissement, Saverdun Terre Cuite pense tripler son chiffre
d'affaires d'ici à 2025, une croissance qui devrait être favorisée par les contacts noués le 26 novembre dernier, lors de Midinvest. D’après Jean-Chistophe Valdebouze, Directeur Général de l'entreprise, des investissements pourraient se concrétiser prochainement. Saverdun Terre Cuite devrait alors voir son effectif atteindre les 40 salariés.

Source Midinvest

23/01/2014

De Gaulle Fleurance & Associés a conseillé Imerys lors de la cession de Imerys structure à Bouyer Leroux

De Gaulle Fleurance & Associés a conseillé Imerys dans le cadre de la cession de son activité de production de briques et de conduits de fumée à Bouyer-Leroux

IMERYS, entreprise cotée à la Bourse de Paris, est le leader mondial de la transformation des minéraux pour l’industrie.
IMERYS a cédé sa branche d’activités « Structure », qui regroupe l’ensemble des actifs de fabrication et de commercialisation des briques (murs extérieurs et cloisons intérieures) et conduits de fumée en terre cuite, à la société Bouyer-Leroux, pour une valeur d’entreprise de 75 millions d’euros.
La transaction a fait l’objet d’une notification auprès de l’Autorité de la concurrence française au titre du régime de contrôle des concentrations. L’Autorité l’a autorisée au terme d’une Phase II, moyennant l’acceptation, par l’acquéreur, d’un remède novateur, n’emportant aucune cession d’usines mais impliquant seulement une obligation de vente d’un volume de briques de mur à un tiers et concurrent potentiel, aux fins d’atténuer les effets de l’opération en Aquitaine. Aucun engagement n’a été requis pour l’acquisition des actifs dans le secteur des briques de cloison et conduits de fumée.
La décision de l’Autorité a été contestée par un concurrent des parties mais le Conseil d’Etat a rejeté, par ordonnance du 27 novembre, la demande de suspension de l’exécution de la décision.
De Gaulle Fleurance & Associés (Frédéric Manin, associé, et Lucie Giret) est intervenu aux côtés de la direction juridique d’IMERYS (Denis Musson, Directeur Juridique du Groupe et Secrétaire du Conseil et Frédérique Berthier, Directeur Juridique Adjoint EMEA, Asie-Pacifique et M&A Groupe) tout au long de la procédure écrite et orale devant les services d’instruction et décisionnels de l’Autorité, puis devant le Conseil d’Etat, en appui de Me Odent.
La société Bouyer-Leroux était pour sa part conseillée et représentée par le cabinet Gide (Emmanuel Reille, associé, et Franck Audran) ainsi que par Me Piwnica devant le Conseil d’Etat.

Source Fiscalonline

22/01/2014

Brique creuse profilée et ensemnble plafond-plancher associant la brique et le béton armé

Une brique creuse profilée (11) dont la section comporte deux parois rectilignes faisant entre elles un angle de presque 90 DEG , reliées l'une à l'autre par une paroi en arc-de-cercle constitue un demi-voussoir comportant : une face supérieure horizontale, une face latérale légèrement inclinée et une face courbe joignant ces deux faces ; ladite face latérale comportant, à sa base, un évidement. Un élément modulaire est constitué de deux demi-voussoirs (11) définissant entre eux un espace, une poutre en béton armé (9) coulée dans ledit espace et une plaque rectangulaire en béton armé surmontant ladite poutre (9), la plaque rectangulaire ayant la largeur des deux demi-voussoirs et une longueur légèrement supérieure aux deux demi-voussoirs.
Signet FR2992338 (A1) - Profiled hollow brick and ceiling-floor assembly combining the brick and reinforced concrete
Inventeur(s) MALE PHILIPPE [FR]; VINCENT PAUL [FR]; CANAT OLIVIER [FR] +
Demandeur(s) TERREAL [FR] +
Source Espacenet

21/01/2014

François Hollande annonce un allègement des délais de permis de construire

Dans le cadre de la démarche "Objectifs 500 000" engagée par la ministre du logement Cécile Duflot, François Hollande a annoncé deux mesures majeures pour relancer la construction de logements en France.
La Fédération Française du Bâtiment pointait du doigt depuis le début des années 2000 deux obstacles majeurs à la construction de logements en France : l'allongement des délais administratifs concernant les permis de construire et la foule de règlementations conduisant à l'explosion des coûts de construction.
François Hollande a annoncé le 09 Janvier deux mesures importantes inscrites dans la démarche "Objectifs 500 000" et destinées à relancer la construction de logements en France : l'encadrement à 5 mois des délais d'instruction des permis de construire, et la suppression des contraintes superflues afin de parvenir à une réduction de 10% des coûts de construction.
Qualifiant ces mesures de "démarche constructive", les professionnels de la FFB se félicitent "qu’aient été entendues deux des alertes qu’ils formulent depuis des années".

Source Construction Cayola

20/01/2014

La construction de maisons individuelles s'effondre

Si la construction de logements pique du nez, l'effondrement du marché de la maison individuelle en est grandement responsable. Pour résister, les leaders du secteur misent sur l'agrandissement d'habitations existantes.

Le sujet est rarement abordé par la ministre du Logement, Cécile Duflot. Probablement parce qu'elle ne porte pas dans son cœur la maison individuelle, responsable à ses yeux de l'étalement urbain. Traduction, de ces banlieues à perte de vue comme aux États-Unis.
N'empêche, si la construction de logements pique du nez (près de 330.000 unités en 2013 contre un objectif de 500.000 fixé par François Hollande), l'effondrement du marché de la maison individuelle en est grandement responsable. «En 2013, on en aura construit 105.000 contre 170.000 en 2010, se désole Christian Louis-Victor, président de l'Union des maisons françaises. Depuis trois ans, c'est une chute ininterrompue.»
Trois facteurs expliquent ce retrait: l'application de la RT 2012, une norme qui a fait bondir le prix des maisons individuelles de 7 à 8% par mètre carré en 2013 augmentant les exigences en matière d'isolation et de consommation énergétique. Par ailleurs, le reformatage à la baisse du PTZ + (prêt à taux zéro) a désolvabilisé beaucoup de ménages modestes, la princi­pale clientèle des constructeurs de maisons individuelles. Enfin, les banques ont réduit l'accès au crédit demandant au minimum 20% d'apport contre 5% auparavant.
Cap sur la rénovation
Le résultat?
Les professionnels de ce secteur sont à la peine. Selon Caron Marketing qui ausculte ce marché, 200 petits opérateurs auront disparu en 2013. Aujourd'hui, il n'en reste plus que 1 900, alors qu'ils étaient 3 000 il y a une dizaine d'années. Ainsi, le constructeur de maisons en bois Oregon, qui bâtissait une centaine d'unités par an notamment dans le Nord, a disparu en 2013.
Même les leaders tirent la langue.
Le numéro un du secteur, Maisons France Confort, aura vu son chiffre d'affaires reculer de presque 50 millions d'euros (vraisemblablement 515 millions en 2013) et ses profits reculer de 7 millions (probablement 20 à 21 millions l'année dernière). «Pour résister et offrir des produits moins chers aux clients, nous avons réduit la taille de nos maisons, explique Jean-Christophe Godet. Aujourd'hui, une maison avec trois chambres fait plutôt 80 m2 contre 85 m2 avant.»
Autre créneau investi récemment par ce groupe, la rénovation et l'extension des maisons existantes. «Avec Rénovert, nous comptons réaliser dans cinq ans 50 millions d'euros dans cette activité, contre 8 millions en 2013, affirme-t-il. Il y a un gisement de clientèle prêt à débourser 40.000 à 50.000 euros pour avoir une pièce supplémentaire de 20 à 30 m2.» Enfin, le groupe qui avait une politique de croissance externe très développée l'a mise entre parenthèses en 2013 où il n'a fait aucune acquisition. Il ne voulait pas acheter une société alors que la crise bat son plein. La vie est dure aussi pour Geoxia, connue pour sa marque Maisons Phénix. En 2013, cette entreprise aura vendu seulement 4000 maisons contre 5000 il y a deux ans. Du coup, le groupe serre ses coûts. «Nous ne remplaçons pas les départs», reconnaît Patrick Leleu, président de Geoxia. Parallèlement, en 2013, il a relancé sa marque phare, Maisons Phénix, avec une architecture un peu plus soignée et moderne.
Source Le Figaro par Jean-Yves Guerin

19/01/2014

CERIC Technologies- Manutentions automatiques

Les manutentions automatiques interviennent à différents stades de la fabrication des produits : lorsque les produits sont humides pour les charger sur un support de séchage, lors du transfert des produits secs vers les wagons de four et pour le dépilage et le conditionnement des produits cuits.Ceric Technologies propose tous les types de manutentions en s’appuyant sur les différentes sociétés partenaires historiques de la spécialité.
Tuileries
En tuilerie, les manutentions automatisées réalisées par CERIC Technologies constituent souvent la meilleure réponse technologique.
Chaque circuit de manutention est adapté aux produits et à l’environnement des opérateurs.
Parmi les circuits de manutention de tuiles de dernière génération, CERIC Technologies a conçu les circuits navettes qui limitent les manipulations des supports réfractaires, ce qui augmente leur durée de vie et facilitent le chargement et le déchargement des produits.
Briqueteries

En briqueterie, CERIC apporte des solutions innovantes et économiques. La recherche de la solution simple et fiable est la préoccupation essentielle de nos spécialistes en manutention. CERIC réalise aujourd’hui des installations pour tous types de briqueteries : unité de fabrication de blocs, de briques creuses, de briques de parement, …
Manutentions traditionnelles ou robotisées
L’apport de la robotique a fait considérablement évoluer les manutentions ces dernières années. Les robots apportent une solution fiable et très flexible aux unités de production, que ce soit pour la manutention des briques ou des tuiles.
Il est désormais difficilement concevable de proposer un circuit de palettisation de tuiles sans utiliser de robots.
Cependant l’emploi des robots ne se justifie pas systématiquement. CERIC Technologies apporte des réponses argumentées sur ses solutions de manutentions adaptées à chaque projet.
Cadences élevées, produits multiples ou simplicité de fonctionnement, CERIC Technologies apporte la solution pertinente à tous les circuits de manutention de votre unité.

Source Ceric Technologies

18/01/2014

Vous avez aimé les subprimes ? Vous allez adorer les LBO

À Montataire dans l’Oise, les salariés de Still-Saxby croyaient leur usine sauvée et leurs emplois préservés. En 2005, ils avaient approuvé à 70% le retour aux 39 heures, censé éviter la délocalisation en Pologne et pérenniser le site. En 2006, le rachat de l’usine par le groupe Kion, propriété de la banque Goldman Sachs et du fonds de pension KKR, devait aussi permettre à l’usine de perdurer.
Pourtant en 2011 la direction annonce la fermeture de l’usine. Car derrière ce rachat se cachait un LBO, une opération de leverage buy-out qui offre à des groupes financiers de juteuses plus-values par un système de "rachat par endettement", mais en réalité pèse sur le devenir des entreprises et des emplois. Un montage financier qui concerne 5 000 entreprises et 2,5 millions de salariés en France.
Comment fonctionnent ces opérations spéculatives ? Et comment lutter contre ces LBO ? Une loi est-elle possible ? Des réponses avec Fiodor Rilov, avocat spécialisé en droit du travail et Dominique Plihon, « économiste atterré » et porte-parole d’Attac.

Source France Inter La-bas si j'y suis
Commentaire  (anonyme), vendredi 10 janvier 2014 à 10:
Un exemple particulièrement expressif de la logique des LBO, la société TERREAL n°1 français des tuiles et autres objets en terre cuite destinés à la construction.Vendue par St Gobain pour 467M€ au groupe EURAZEO et au fond d'investissement Carlyle en octobre 2003, dégraissée et revendue en juillet 2005 à LBO France pour 860M€. Accablée de charges financières et touchée par le ralentissement du marché de la construction au point d'être endettée au niveau de 903M€ en 2013, LBO France cède ses billes à un troisième groupe financier, Park Square et Goldman Sachs, qui reprennent le flambeau en métamorphosant 402M€ en actions et en conservant le reliquat de dette sous sa forme actuelle, c'est à dire 500M€ ce qui lui permet de profiter de l'abattement fiscal lié aux frais financiers des sociétés. Une pirouette qui fait de ce groupe le créancier ET l'actionnaire décideur de TERREAL. Une manière de repousser la note finale tout en gardant espoir d'une reprise du marché de la construction. Cette formule de transformation totale ou partielle de la dette en actions est un procédé qui est probable que nous verrons fleurir en 2014, nombre de sociétés vampirisées par LBO étant logée à la même enseigne que TERREAL.

17/01/2014

Pôle Européen de la céramique : résolument tourné vers l'avenir

La céramique fût le premier « art du feu » bien avant la métallurgie et le travail du verre. Prothèses dentaires, applications médicales (prothèse de hanche et de genou, chirurgie maxilofaciale), moteurs, outils de coupe, hauts-fourneaux, composants électroniques, tuiles, briques, filtres, buses d'arrosage, assiettes ou plats : les céramiques sont omniprésentes dans notre vie quotidienne comme dans la plupart des secteurs d'activité.
Le pôle européen de la céramique est situé à Ester technopole, au sein du Centre européen de la céramique. Il réunit les principaux acteurs du domaine.
Reconnu au delà des frontières nationales, ce pôle de compétitivité facilite le travail entre professionnels, chercheurs et doctorants afin d'assurer le développement de nouvelles applications des céramiques pour l'habitat, la production et les économies d'énergie, la santé, l'optique, l'électronique et l'optoélectronique.

Source Newspress

16/01/2014

Retour sur le passage en lender lend de Terreal en 2013

Pour avoir une chance de sortir indemne d'une violente tempête et ne pas finir comme l'équipage de ”La Méduse” sur un radeau de fortune, mieux vaut qu'un capitaine chevronné soit aux commandes pour diriger les périlleuses manœuvres ! Dans un LBO évoluant dans un secteur très cyclique avec un levier rehaussé par unefull recapjuste avant la crise, cela revient à affronter un mur de dette dont le danger n'a rien à envier à celui d'une vague scélérate. En sortir indemne relève de l'exploit.

C'est pourtant ce qu'Hervé Gastinel a réussi à accomplir là où bien d'autres ont
échoué. Comme tout breton qui se respecte, cet inspecteur des finances formé à l'école de l'industrie, a le pied marin et sait naviguer par gros temps. Depuis 11 ans à la tête de Terreal qu'il a porté sur les fonds baptismaux comme directeur du plan chez Saint-Gobain en réorganisant l'activité terre cuite, il a connu 2 LBO, 2 recap et 2 restructuring dont 1 carve out, 1 full recap, 1 dual tracket 1 lenderled. Cet inventaire à la Prévert le place dans la catégorie des managers de LBO les plus expérimentés.
Sorti du giron de Saint Gobain à l’été 2003 pour 480 M€, Terreal détenu par Carlyle (60 %) et Eurazeo (40 %) affichait de bons résultats permettant de transformer 72 M€ de dette junior en tranche D et de rembourser 70 M€ de prêt d’actionnaires. 20 mois plus tard, le numéro 2 français du secteur, derrière Imerys rejoignait LBO France pour 860 M€. En plus d'une de capexline (90 M€), ING apportait une dette senior (495 M€) complétée par une mezzanine (170 M€) et un revolver (40 M€). Cette dette était totalement refinancée, en juin 2007, par ING (75 %) et RBS (25 %), via unefull recap de 912 M€ sous forme d’une tranche B in fine à 7 ans à 225 bp au-dessus de l’Euribor. Au passage, la mezzanine (170 M€) et la moitié (125 M€) de l'equity étaient remboursés.
Une fois la crise arrivée, son impact sur Terreal s'est traduit par un recul de son activité. Entre juin 2007 et juin 2009 son CA perdait 20% pour se situer autour de 400 M€. Dans l’intervalle, la cible modernisait son outil de travail en investissant 150 M€ sur les sites de Chagny (Bourgogne), Colomiers (Haute Garonne), Bavent (Normandie), Jatiwangi (Indonésie) et Kluang (Malaisie), compensant la fermeture d’anciens sites par l’ouverture de nouveaux.
Engagées fin 2008, une fois les covenants touchés, les négociations avec le pool bancaire pour restructurer la dette de 900 M€ ont abouti en novembre 2009 à un accord. En parallèle d'un apport de new money (29 M€) des banques ING, RBS et SG CIB, 400 M€ de dette senior étaient transformés en PIK tandis que la dette résiduelle de 500 M€ (bullet à Euribor + 225 pb) bénéficiait d'unamend&extendavec un remboursement reporté à juillet 2015.
Au final, Terreal n'était plus détenu par LBO France qu'à hauteur de 51%. Le solde étant réparti entre les banques.
Avec la reprise de l'activité, l'Ebitda s'est regonflé avant de rechuter en 2012 sous l'effet W. Avec un nouveau business plan prévoyant une progression de l'Ebitda, de facto, cette situation entraînait un breach des covenants. Très vite prévenues de la situation par le management, les banques entraient à nouveau en négociations début 2012 pour trouver une solution. L'idée d'un dual track - lenderled versus cession de la cible - était abandonnée à l'automne dernier. Face au potentiel d'upsidede Terreal, les 2 offres finales présentées ont été jugées insuffisantes. A l'issue d'une nouvelle conciliation, LBO France a remis les clés de Terreal à ses créanciers. Au nombre de 15, ils détiennent 100% du capital de la société qui dispose d'une trésorerie de 70 M€, emploie 2.700 salariés dont 1.600 en France et possède 25 sites industriels (France, Italie, Espagne, USA, Malaisie et Indonésie). Ensemble, ING, Park Square Capital associé à un hedgefund géré par Goldman Sachs possèdent environ 52 % de son capital.
Sous l'effet d'un debtequity swap, la dette de 486 M€ a été réduite à 300 M€ (230 M€ en tenant compte de la trésorerie) avec un spread porté à 350 pb et une maturité repoussée à juillet 2017. En parallèle, les ORANE (obligations remboursables en actions nouvelles à émettre) aux mains du sponsor et des prêteurs ont été ramenées de 550 M€ à 157,5 M€; réglant au passage le sort des BSA détenus par les mezzaneurs refinancés en juin 2007 (LehmanBrothers, Goldman Sachs, HVB, ING, SG).
Intervenants : Terreal (HervéGastinel), LBO France (Robert Daussun), FHB (HèlèneBourbouloux), ING (MarteenRiordman), Messier Maris Partners (François GuichotPérère), HoulihanLokey (Laurent Benshimon), Weil Gotshal (David Aknin, Jean Beauchataud), De ParbieuBrocas (Jacques Henrot, Maxime Dequesne).

Source opérations financières

15/01/2014

Algérie - Agence nationale du patrimoine minier : 95 offres techniques en lice pour 26 sites

L'Agence nationale du patrimoine minier (ANPM), a procédé le 08/01 à Alger à l’ouverture des 95 plis portant sur l’offre technique pour 26 sites miniers répartis comme suit : 13 sites de calcaire, 11 sites d’argile destinés à la production de produits rouges et 1 site de gypse pour la production de plâtre ainsi qu’un site de grès pour verrerie.


Source ElMoudjahid

14/01/2014

France: Seulement 330 000 logements neufs construits en 2013 ?

Alors que les chiffres de la construction de logements neufs en France doivent être rendus publics par le ministère d'ici à la fin du mois, la ministre du Logement Cécile Duflot a annoncé que le nombre de logements neufs construit en 2013 devrait être de l'ordre de 330 000 unités, un niveau au plus bas depuis dix ans et bien en deçà de l'objectif gouvernemental de 500 000 unités.
L'objectif du gouvernement d'atteindre les 500 000 logements construits ou rénovés par an d'ici à 2017 sera difficile à tenir si l'on en croit l'annonce précoce de la ministre du Logement Cécile Duflot.
« On construit moins, c'est vrai. On est dans une période de crise, mais on a bien résisté. On sera au-delà des 330 000 logements » pour l'année écoulée, a assuré la ministre sur i-Télé. « La moyenne des 20 dernières années, c'est 346 000 logements par an », a-t-elle ajouté.
Depuis 1975, aucun gouvernement n'est parvenu à réaliser l'objectif, réitéré par François Hollande, le 21 mars 2013, de 500 000 logements neufs par an.
Le repli de la construction de logements neufs qui s'est encore accentué à l'automne sans espoir de redressement, avec notamment une chute des permis de construire de 15,7% entre décembre 2012 et novembre 2013, comparé à la même période un an plus tôt, ne rassure pas cette tendance.
« Ces dernières années, on a artificiellement, avec de l'argent public, fait augmenter les prix de l'immobilier », a poursuivi la ministre du Logement, dénonçant « des loyers très chers, sans commune mesure avec l'augmentation des revenus des Français ».
En rejetant les critiques qui accusent sa politique de peser sur la construction, la ministre estime que « l'on stérilise une partie de l'épargne, c'est-à-dire qu'on consacre trop d'argent à l'immobilier ». Les chiffres de la construction de logements neufs en France doivent être rendus publics par le ministère d'ici à la fin du mois.

Source Batiweb

13/01/2014

USA : les mises en chantier de logements au plus haut

En novembre, le nombre de mises en chantiers de logements aux Etats-Unis a bondi de +22,7% soit son niveau le plus élevé depuis près de six ans.
Le nombre de mises en chantier de logements aux Etats-Unis s'élève à 1 091 000 unités au mois de novembre (+22,7% par rapport à octobre), a annoncé aujourd'hui le département américain du commerce, dépassant les prévisions des économistes qui tablaient sur 952 000 unités. Cette hausse s'explique en partie par la forte progression des mises en chantier de maisons individuelles (+21%). En parallèle, le nombre de permis de construire délivrés a diminué de -3,1% au mois de novembre à 1 007 000 unités.

Source France BTP

IMERYS Ardoisières d’Angers : 10 000 signatures contre la fermeture

Jeudi 09 Janvier , les ardoisiers étaient sur le boulevard Bahonneau, dans la zone industrielle, pour continuer leur campagne de signatures contre la fermeture de l'entreprise et la suppression de 153 emplois.
« Nous avons véritablement un soutien de la population, apprécie Hervé Sabba, délégué CGT des ardoisiers. A ce jour, nous avons recueilli plus de 10 000 signatures. »
Les ardoisiers avaient dressé un barnum sur le bord du boulevard où ils accueillaient les gens avec sandwichs et boissons. Une occasion de plus d'échanger avec les Trélazéens et autres habitants des communes limitrophes.
Hervé Sabba a confirmé une rencontre avec le maire, Marc Goua, jeudi matin. « Il semble que le principe de l'expertise géologique soit accepté. Le maire nous a confirmés que nous en saurions plus la semaine prochaine. »
Pour l'heure, la mobilisation ne faiblit pas, loin de là. Mercredi 15 janvier, les ardoisiers et leurs soutiens se rendront à Paris au siège d'Imerys. « Nous avons affrété deux cars pour les actifs, un car pour les retraités, dévoile Hervé Sabba. Il y aura également un car pour l'union locale CGT et trois minibus pour la CGC. » Autrement dit, en plus des quelque 120 personnels de l'entreprise, il y aura un fort soutien d'autres personnels trélazéens.
Les ardoisiers ont prévu une manifestation à Trélazé le samedi 1er février « parce que les gens nous ont dit qu'ils ne pouvaient pas être avec nous si la manifestation avait lieu sur la semaine », explique le leader de la CGT. La manifestation partira de la Pyramide à 14 h et rejoindra le bourg par la rue Ferdinand-Vest.

Source Ouest France

12/01/2014

ADLER Technologies: L'innovation, c'est du béton !

Chaque mois, la chambre de commerce et d'industrie organise des visites d'entreprise dans le département. Lundi 16 Décembre 2013, Adler Technologies ouvrait ses portes.

L'entreprise compte plus de 1 000 références. Parmi elles le groupe Michelin, La Poste ou encore Point P. Leurs clients peuvent aussi bien être en France qu'à l'étranger. Implantée à Crèvecœur-le-Grand, l'entreprise Adler Technologies, est spécialisée en ingénierie d'équipements pour l'industrie du béton. Concrètement, elle conçoit et propose des outils de production à d'autres entreprises.
Reprise en février 2010 par Yann Jaubert, ce dernier tient à souligner le développement de son activité lors de ces dernières années. « C'est une renaissance », confesse-t-il bien volontiers.
Des produits innovants
Dans le groupe, près de 60 ingénieurs et techniciens travaillent sur les produits de demain. Adler Technologies a d'ailleurs développé la première presse vibrante grand format dédiée aux blocs légers, matériau de plus en plus prescrit. Elle est la première presse à disposer d'une insertion latérale d'isolants.
L'entreprise investit également dans la recherche et s'associe à d'autres groupes. Par exemple, une étude est actuellement lancée pour trouver un procédé qui permettrait d'éviter d'utiliser du ciment et se servir davantage de déchets.
L'innovation semble être essentielle aux yeux du directeur. Elle permet en effet de se différencier, prendre des parts de marché et créer des emplois. Les créer et maintenir, voilà aussi l'un de ses objectifs.
Mais si certaines compétences sont spécifiques (robotique, mécanique, etc.), il n'en reste pas moins que les plus traditionnelles continuent d'être utilisées. « Les métiers de base restent, notamment en matière de fabrication de moules » souligne-t-il encore.
Fabrication en France
À l'intérieur de l'usine, certaines pièces attendent patiemment qu'elles soient remises à leurs clients. Mais sur celles-ci n'est pas inscrit « Made in France », la phrase très chère au ministre du redressement productif. Non, il y est noté « Fabriqué en France ». Et Yann Jaubert n'est pas peu fier de le montrer. Français jusqu'au bout. Car si les pièces sont fabriquées dans l'hexagone, ces dernières sont destinées à des clients du monde entier. Et au-delà, c'est tout un savoir-faire et des compétences qui rayonnent à l'international. Adler Technologies travaille ainsi avec la Russie, l'Algérie ou encore le Brésil. La semaine dernière, Yann Jaubert a d'ailleurs signé un accord à Sao Paulo pour la rénovation d'une dizaine d'usines. Un contrat signé en présence d'un représentant du gouvernement brésilien.

Source Le courrier Picard