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07/07/2014

Promodul portera le Cercle des industriels et des négoces de la rénovation du plan Nouvelle France industrielle

Les copilotes du plan Rénovation énergétique des bâtiments de la Nouvelle France industrielle, Jacques Pestre (Point.P) et Marcel Torrents (Delta Dore), ont été élus respectivement président et vice-président de cette association qui regroupe quelque 90 membres (industriels, négoces, bureaux d’études, banques, et assurances).
Afin d’accélérer le développement de la filière rénovation qui peine particulièrement actuellement, les copilotes du plan Rénovation énergétique des bâtiments de la Nouvelle France industrielle, Jacques Pestre (Point.P) et Marcel Torrents (Delta Dore), s’étaient engagés auprès du Gouvernement à former un Cercle des industriels et des négoces de la rénovation qui puisse les aider, de façon concrète et en associant de nombreux acteurs, à porter les différentes actions de leur plan.
L’assemblée générale de l’association Promodul, qui s’est tenue mardi 25 juin, a validé l’élection d’un nouveau conseil d’administration. Au total, 9 sociétés sont représentées maintenant au sein de la nouvelle gouvernance : Point.P, Delta Dore, Soprema, Atlantic, Velux, Aldes, Saint-Gobain PPC, Schneider Electricet Terreal.
A cette occasion, Jacques Pestre et Marcel Torrents ont été élus respectivement président et vice-président de Promodul pour représenter les quelque 90 membres de l’association(industriels, négoces, bureaux d’études, banques, et assurances). Ils vont s’attacher, d’une part à continuer d’animer et de promouvoir les travaux des différents collèges (formations, BAO, catalogue numérique, INEF4, etc.) et, d’autre part à lancer des groupes transversaux en lien avec la feuille de route Nouvelle France industrielle (passeport du bâtiment, maquette numérique, animation des territoires).
Par ailleurs, l’association continue de s’élargir et accueille de nouveaux membres, Schneider Electric et Terreal notamment, mais aussi la création de deux nouveaux collèges, l’un sur le bois, l’autre sur les énergéticiens.
Plan Rénovation thermique des bâtiments de la Nouvelle France Industrielle
Le plan « Rénovation thermique des bâtiments » validé le 18 juin lors du 4ème comité de pilotage de la Nouvelle France industrielle doit contribuer à l’augmentation du nombre de rénovations de 200 000 par an actuellement à près de 500 000. En supposant le coût unitaire de la rénovation à 18 000 €, ce plan induirait 5,4 milliards de chiffre d’affaires annuel supplémentaire dans le secteur de la construction.
Source: LE MONITEUR.FR

06/07/2014

ALGERIE- Trois nouvelles installations et extensions pour Ceric en 2014 pour production de 780 000 tonnes par an

Ceric semble satisfait du premier trimestre 2014 en Algérie. Selon le dernier communiqué de l’entreprise à la veille du Batimatec, l’année 2014 est celle de tous les challenges pour ce fournisseur des solutions industrielles des produits rouges. En effet, ce début d’année a été marqué par la signature de nouveaux contrats et la mise en chantier de plusieurs unités et lignes de production aussi bien à l’est qu’à l’ouest de l’Algérie.

On notera le montage de l’usine de Sfapromaco d’une capacité de 2 x 80 000 t/an toujours en cours. Cette double ligne de production comporte 2 fours, 2 séchoirs, le doublement de toutes les machines de manutention de produits et des machines de fabrication. La préparation des terres Pelerin® alimentera les deux lignes de production.
Les clients restent fidèles à Ceric pour leur extension ou leur développement, comme l’atteste ledit communiqué.
Plusieurs commandes ont été enregistrées dans la région d’Oran par d’anciens acquéreurs Ceric. L’installation d’une nouvelle briqueterie dans la banlieue de Batna, loin de ses bases, nécessitait une forte relation de confiance entre lui et ce dernier. De ce fait, Ceric était, donc, le partenaire désigné dans la continuité de ces longues années de partenariat industriel pour des raisons liées à la rapidité d’exécution et à l’excellent rapport performance-longévité des machines.

Toujours dans la région de Batna, ProTimgad a de nouveau fait confiance à Ceric pour la construction d’une troisième ligne sur son site de Timgad. D’une capacité de 120 000 t/an, comportant un four, un séchoir et toutes les manutentions associées, cette nouvelle ligne est construite sous un nouveau bâtiment et comportera une ligne de préparation fabrication Pelerin®. Actuellement en fin de montage, elle entrera très prochainement en production. Les premières briques sont attendues avant la fin de l’été.
La briqueterie Taghaste, elle aussi en cours de montage, est en passe de battre des records de rapidité de chantier. Arrivés sur site au mois de septembre 2013, le câblage devrait commencer courant juin. Après avoir vécu une belle histoire sur Taghaste 1, mise en service en 2011, un lien s’est créé. Le choix pour Taghaste 2 est apparu aux yeux de notre client comme une évidence. Cette nouvelle briqueterie de 160 000 t/an sera équipée d’un four, d’un séchoir, de manutentions automatiques éprouvées telles que chargeur, empileur, dépileur, paquettiseur et de machines Pelerin® pour la préparation et la fabrication. Un excavateur latéral encore amélioré, lui aussi de marque Pelerin®, et deux dépoussiéreurs complèteront cette installation totalement automatisée.
La première ligne comportait quelques machines de préparation et fabrication de manufacture italienne, mais sur ce deuxième investissement, avec le recul et l’expérience, notre client a fait le choix de la robustesse et de la fiabilité en intégrant 100% de machines Pelerin®.
Troisième installation à mettre en service en 2014. Et ce n’est pas fini…
En effet, la briqueterie Belhoul, 140 000 t/an, comportant toute la panoplie Ceric — de l’arrivée des terres au paquettiseur — est en phase de mise en route. Ce client a fait confiance à Ceric pour cette première ligne représentant un investissement majeur.
L’autre usine qualifiée par le fournisseur de pharaonique est l’usine de Branis, à Biskra. Un client historique de Ceric a réalisé un investissement majeur en pariant sur l’innovation. En se dotant d’un séchoir APR innovant, une mouleuse Demeter 750 Pelerin® inédite, un excavateur en fosse de grande capacité, le four Casing le plus large jamais construit en Algérie et un site aujourd’hui impressionnant. Mis en service début janvier 2014, c’est aussi le lancement du chantier Cebrik, dans la wilaya d’Oran. Une ligne d’une capacité de 200 000 t/an comportant 100% de matériel Ceric ainsi qu’un excavateur en fosse.
Un client qui a de nouveau fait confiance à Ceric après avoir réalisé deux lignes de production à Arzew, dans la wilaya d’Oran. Dès que la carrière lui permettait de produire la qualité qu’il espérait, en moins de 3 semaines, le contrat était signé et le chantier de génie-civil lancé.
Source BTP.DZ par Kahina B.

05/07/2014

Lafarge rénove la plus grande favela du Brésil

Depuis quatre ans, le cimentier a lancé une quinzaine de programmes de logements abordables à travers le monde. Il cible deux millions de mal-logés. Déjà quatrième cimentier au Brésil derrière trois acteurs locaux, Lafarge s'attaque depuis quelques mois à un marché encore inexistant mais qu'il compte bien créer : la rénovation des logements des favelas. Dans ces zones d'urbanisation sauvage vivent 12 millions de Brésiliens. La Coupe du monde de football, qui débute dans un climat social tendu, met un coup de projecteur sur son premier chantier : Rocinha, la plus grande favela du Brésil, au coeur de Rio de Janeiro. Accompagné de l'université d'architecture de Rio, du consultant Inova Urbis et d'un organisme de microcrédit, Lafarge a choisi 178 logements et proposé à leurs habitants une offre adaptée à leurs besoins (redistribution des pièces - parfois aveugles -, ventilation, étanchéité, etc). « Notre offre est un package incluant travaux de rénovation, formation des gens au BTP pour leur donner une qualification professionnelle et offre de crédit », explique Alexis Langlois, responsable de Lafarge Brésil.
Envolée des prix
Il ne s'agit pas d'humanitaire. Les habitants de Rocinha sont solvables, même s'ils n'ont souvent pas accès au crédit puisqu'ils ne détiennent aucun titre de propriété pour leur logement. Un foyer de Rocinha gagne en moyenne 2.000 reals par mois (650 euros). Une rénovation s'avère pour eux rentable. Les logements des favelas sont en effet souvent « en dur », donc pérennes, et leur prix s'est envolé ces dernières années du fait de leur emplacement, proche des plages huppées de Rio. Les logements de Rocinha valent aujourd'hui de 16.000 à 100.000 euros.
« Je voulais faire des travaux depuis longtemps, mais je ne savais pas comment m'y prendre », témoigne Josefa Rocha Francisco, couturière. Les trois salaires de sa famille représentent 2.500 reals (800 euros) par mois et elle a financé les travaux, d'un coût de 15.000 reals (5.000 euros) à 100 % par microcrédit, remboursé 700 reals par mois sur trois ans, soit 25.000 reals. Ce microcrédit (sous l'égide de PlaNet Finance) ne fait pas non plus dans l'humanitaire. Pour l'opération pilote de Rocinha, son taux d'intérêt annuel est de l'ordre de 36 %, soit 30 % une fois défalquée l'inflation ! Même ainsi, « beaucoup de voisins viennent voir, ils sont intéressés par la formule », assure la couturière. Dans son appartement, en évidence, des sacs de mortier Lafarge. Le cimentier sortira aussi bientôt du béton prêt à l'emploi dans un conditionnement adapté aux particuliers.
Quatre modèles
L'expérience de Rocinha fait partie d'un programme mondial de « logements abordables » lancé depuis 2010. Un responsable a été nommé en mars 2010 au niveau groupe et « nous en sommes à une quinzaine de projets dans le monde, précise le PDG du groupe, Bruno Lafont. « Au Malawi, par exemple, nous vendons un ciment à mélanger à la terre crue, avec une presse manuelle, pour faire une brique crue plus résistante et écologique que la traditionnelle brique de terre cuite dont la cuisson implique du bois de chauffage, donc une déforestation ».
Vente de mortier et de béton prêt à l'emploi pour rénover des favelas, mais aussi vente de béton en seaux pour construire des logements neufs dans les bidonvilles indiens, vente de ciment pour brique de terre crue en Afrique (lancé en 2013), test de nouvelles techniques de construction comme à Bègles (France) par empilement de maisons individuelles sur plusieurs étages... : le programme « logements abordables » de Lafarge a quatre « business models » différents et vise deux millions de clients d'ici à 2020. Chaque patron de filiale pays choisit le plus adapté, tous étant priés de s'y mettre. Le groupe estime qu'ils rapportent déjà une quinzaine de millions d'euros de résultat brut d'exploitation par an. C'est modeste au regard des efforts déployés, mais Lafarge croit à leur montée en puissance.
Deux millions de clients d'ici à 2020
Depuis 2010, Lafarge vise les populations à faible pouvoir d'achat voulant construire ou rénover.
Le groupe invente ainsi un nouveau marché : la vente aux particuliers ou aux artisans de mortier, de ciment et de béton prêt à l'emploi en conditionnement adapté (sacs et seaux). Il teste ainsi à Bombay la vente de béton à prise retardée en sac de 15 litres.
Lancés en 2010, ses programmes concernent notamment un bidonville de Bombay, des marchés d'Afrique, d'Asie, des HLM en France et, plus récemment, la favela de Rocinha à Rio de Janeiro.
Lafarge vise deux millions de clients d'ici à 2020. L'an dernier, ses programmes ont concerné 120.000 personnes dans 15 pays.
Source Les Echos par MYRIAM CHAUVOT

04/07/2014

Algérie: Baisse de plus de 8% des importations des matériaux de construction (Douanes)

La facture des importations des matériaux de construction de l'Algérie a atteint 1,03 milliard de dollars (usd) durant les quatre premiers mois de 2014 contre 1,12 milliard usd à la même période de l'année précédente, en baisse de 8,3%, malgré une hausse des quantités importés, a-t-on appris auprès des Douanes algériennes.
Les quantités importées des principaux matériaux de construction (ciments, bois et aciers) sont passées de 3,07 millions de tonnes les quatre premiers mois de 2013 à 3,17 millions de tonnes durant la même période de cette année, enregistrant ainsi une augmentation de 3,25%, précise le Centre national de l'informatique et des statistiques (Cnis).
La valeur des importations de ciment a atteint 163,43 millions usd durant les quatre premiers mois 2014 contre 123,09 millions usd à la même période de l'année dernière, en hausse de 32,77%, précisent les chiffres des Douanes obtenus par l'APS.
Les quantités de ciment importées ont également connu une augmentation de 25,45%, passant de 1,41 million de tonnes à 1,77 million de tonnes durant la même période de référence.
Selon le ministère du Développement industriel et de la promotion de l'investissement, l'Algérie devrait cesser d'importer du ciment d'ici 3 à 4 ans, et ce, grâce au renforcement de ses capacités de production nationale avec le lancement d'une dizaine de projets de réalisation de cimenteries en 2014.
Le déficit de l'Algérie en ciment dépasse actuellement les 5 millions de tonnes/an, alors que la production nationale actuelle est de plus de 18 millions de tonnes/an.
Le développement de la filière ciment figure parmi les priorités du gouvernement pour atteindre une production de 20 millions de tonnes/an à l'horizon 2016 et 29 millions de tonnes en 2018.
Par ailleurs, le Cnis a relevé que les importations de bois ont également connu une augmentation de 5,47%, puisque la valeur des importations est passée de 270,89 millions usd à 285,71 millions usd pour une quantité de 512.645 tonnes.
Par ailleurs, les importations de fer et d'acier destinés à la construction se sont chiffrées à 583.605 millions usd contre 732.015 millions en baisse de 20,27%. Les quantités ont également connu la même tendance baissière passant de 1,11 million de tonnes à 883.436 tonnes.
En 2013, les importations algériennes des matériaux de construction ont reculé de près de 2%, totalisant 2,98 milliards usd, malgré une hausse de plus de 20% des quantités qui ont atteint 8,66 millions de tonnes.
Cette augmentation des quantités a été tirée essentiellement par la hausse des importations de ciment (55%) et de bois (5%), alors que celles de fer et de l'acier ont reculé de 11,4% durant 2013.

Source Maghrebemergent

Tunis : L’investissement industriel déclaré plonge de 25% en mars

Selon les derniers chiffres communiqués par l’agence de promotion de l’Industrie « API », l’investissement déclaré dans le secteur industriel a atteint, durant le mois de mars 2014, le montant de 274.6 MD, contre 368.0 MD, une année auparavant, enregistrant ainsi une baisse de 25.4%. Le nombre de projets déclarés s’est élevé à 398, en mars 2014, contre 399 en mars 2013, soit une légère diminution de 0.3%. Ces projets permettront la création de 5560 postes d’emplois, contre 5750 postes d’emplois, lors du mois de mars 2013, soit un recul de 3.3%.
Toujours selon la même source, durant les trois premiers mois 2014, l’investissement déclaré dans le secteur industriel a atteint le montant de 786.3 MD, contre 878.3 MD, lors des trois premiers mois 2013, enregistrant ainsi une baisse de 10.5%.
Pour les trois premiers mois 2014, le nombre de projets déclarés a atteint 1040, contre 1009 au cours de la période correspondante de 2013, soit une augmentation de 3.1%. Ces projets permettront la création de 15202 postes d’emplois, contre 17282 postes d’emplois durant les trois premiers mois 2013, soit un recul de 12.0%.
Sur un autre volet, l’API relève que le secteur des industries des matériaux de construction, de la céramique et du verre a enregistré une augmentation de 180.0%, durant le premier trimestre 2014, avec des investissements déclarés de 252.6 MD contre 90.2 MD, lors du premier trimestre 2013, suite à la déclaration de l’extension d’une cimenterie pour un montant de 83.2 MD avec un capital 100% étranger. Ce secteur a enregistré également la déclaration de la création d’une unité de fabrication de blocs et d’ouvrages en béton pour un montant de 23.4 MD.
Le secteur des industries chimiques a affiché un taux d’accroissement de 31.9%, durant le premier trimestre 2014 avec des investissements déclarés de 99.2 MD contre 75.2 MD, lors du premier trimestre 2013 suite à la déclaration de la création d’une unité de fabrication de produits d’entretien pour un montant de 12.0 MD avec un capital mixte, la déclaration de la création d’une unité de fabrication de médicaments pour un montant de 10.0 MD et la déclaration de renouvellement de matériel d’une unité totalement exportatrice de fabrication d’engrais et d’acide pour un montant de 7.9 MD.
Le secteur des industries du cuir et de la chaussure a progressé de 16.7% avec des investissements déclarés de 4.2 MD, durant le premier trimestre 2014, contre 3.6 MD, durant la même période de l’année 2013, essentiellement suite à la déclaration de l’extension d’une maroquinerie totalement exportatrice pour un montant de 1.3 MD avec un capital mixte.
En revanche, les autres secteurs ont enregistré des résultats négatifs, durant le premier trimestre 2014. Il s’agit essentiellement du secteur des industries du textile et de l’habillement dont les investissements ont reculé de 3.8% avec un montant de 37.7 MD contre 39.2 MD, suite à la déclaration lors du premier trimestre 2013 de la création d’une unité intégrée totalement exportatrice pour un montant de 9.4 MD avec un capital 100% étranger et à la déclaration d’une extension d’une unité totalement exportatrice de confection pour un montant de 7.2 MD avec un capital mixte.
De même, les investissements dans le secteur des industries diverses ont diminué de 21.4% avec 96.1 MD contre 122.3 MD, avec cependant la déclaration, lors du premier trimestre 2013 d’une extension d’une unité de fabrication de papier pour un montant de 18.0 MD avec un capital mixte, et la déclaration d’une extension d’une unité totalement exportatrice de fabrication de poches de nutrition pour un montant de 12.0 MD avec un capital 100% étranger.

03/07/2014

Une cloison sèche en terre cuite

La terre cuite s’installe aussi en cloison sèche. Elle permet de bénéficier de la solidité du matériau, tout en présentant les avantages de pose des cloisons de même catégorie. Cette solution constructive a vu d’ailleurs ses qualités reconnues avec une pose autorisée dans les ERP.
Un cloisonnement en terre cuite de dernière génération
Parler de carreau de terre cuite revient à penser, le plus souvent, à la brique. Si leur apparence est assez semblable, la mise en œuvre est en revanche différente. En effet, le carrobric, s’il présente un aspect semblable, appartient bel et bien à la famille des cloisons sèches. Sa pose se fait d’ailleurs au liant colle.
Cette surface est disponible en grandes dimensions avec, pour chaque carreau, l’intégration d’une structure alvéolaire. Cela lui permet d’afficher un poids moindre pour en faciliter la mise en œuvre. Elle est proposée en quatre épaisseurs différentes suivant le niveau de performance souhaité. Cependant, les similitudes avec cette catégorie de matériau s’arrêtent là. Pour le reste, le carrobric dispose de qualités qui se rapprochent davantage de la brique.
Une solidité à toute épreuve pour le carreau de terre cuite
Tandis que les plaques de plâtre, les plus souvent utilisées pour la conception de cloisons dans l’habitat, restent fragiles et sensibles, le carreau de terre cuite est, lui, en revanche, insensible à l’humidité, sans risque de moisissures. De la même façon, sa résistance aux flammes est également importante. Ce nouvel équipement pour l’intérieur propose une surface dure qui ne marque pas au moindre choc. Il peut aussi supporter du poids, par exemple pour suspendre une télévision, des meubles de cuisine. De fait, sa mise en œuvre convient parfaitement à tous les bâtiments, y compris les plus exigeants comme les ERP. Son autre atout est son isolation phonique. Le carrobric Isophon permet ainsi une atténuation des bruits jusqu’à 58 dB.

Source ETI construction

Katanga : 1 000 élèves de Bukama obligés de fabriquer des briques pour leurs écoles


Près d’un milliers d’élèves de la cité de Bukama, province du Katanga, sont obligés de fabriquer des briques en terre cuite pour leurs écoles. Les plus jeunes doivent produire cent vingt briques par jour, et ceux de la sixième année produisent entre trois cent et quatre cents. Le chef de service des affaires sociales de Bukama a estimé, jeudi 12 juin, qu’il s’agit là des travaux forcés imposés aux mineurs tandis que les responsables d’écoles parlent plutot des travaux manuels faisant partie des programmes des cours.
Le chef de service des affaires sociales de Bukama, Nsenga Kadi Lufu a expliqué que la fabrication de ces briques s’effectue entre 8 heures et 18 heures. Et les retardataires quittent parfois le lieu du travail plus tard.
Nsenga Kadi Lufu affirme que la réunion qu’il a tenue avec les responsables des écoles il y a près d’un mois pour leur interdire ces pratiques, a accouché d’une souris. D’après lui, l’arrêté de 2008 du ministre des Affaires sociales interdit l’utilisation des mineurs à des travaux lourds et forcés.
Certains chefs d’écoles de la place déclarent de leur côté qu’il ne s’agit que de réfectionner des murs des écoles. D’autres évoquent l’insuffisance des frais de fonctionnement et reprochent aux parents de la cité de Bukama de ne pas soutenir assez à la réfection des bâtiments. Ce qui explique, selon eux, l’utilisation de ces enfants dans la fabrication de ces briques.
L’administrateur de territoire de Bukama, Henri Mboli Pasiko a annoncé pour sa part une rencontre avec tous les chefs d’établissement de la cité et l’administrateur de territoire avant la fin de la semaine en cours afin de mettre fin à cette exploitation.
Entre temps, le chef de service des affaires sociales appelle les organismes en charge de la surveillance de la vie de l’enfant à remettre de l’ordre dans les écoles de Bukama.

Source Radiookapi

02/07/2014

INDRE/ BTP : " Une chute de 44,50 % des permis de construire "

La famille de la Fédération du bâtiment avait invité plusieurs professionnels pour évoquer les travaux de rénovation thermique.
Les métiers sont en pleine mutation avec la transition énergétique. La Fédération du bâtiment, réunie vendredi, appelle “ à reprendre confiance ”.
Une grande famille ! Gilbert Guignard le revendique. Pour l'assemblée générale de la Fédération du bâtiment (FFB), son président avait réuni la plupart des professionnels de la construction, vendredi soir, à l'espace des Halles, à Châteauroux. Avec ce message : « Pourquoi ce besoin profond de reprendre confiance ? ».
Il délivre la même réponse depuis quelques années : « Parce que le bâtiment va mal et que nos entreprises vont mal. En 2008, nous embauchions, nous formions. Aujourd'hui, c'est 792 emplois perdus depuis cette époque et c'est aussi 44,50 % de permis de construire en moins en 2013. » (Lire « chiffres clés »).
" 57.000 logements à rénover "
La transition énergétique sera-t-elle une alternative à la crise du bâtiment ? Les professionnels l'espèrent. Gilbert Guignard, le premier, se méfie des effets d'annonces. Fait inhabituel, la FFB se félicite du plan présenté par Ségolène Royal, ministre du Développement durable et de l'Énergie, qui prévoit la rénovation de 500.000 logements en France, à l'horizon 2017. « Des grandes intentions, mais il y a des difficultés, constate Jacques Deliancourt, de la direction des Territoires dans l'Indre. D'où un moratoire sur les normes avec des mesures de simplification. » Selon lui, « environ 57.000 logements du département mériteraient des travaux thermiques ».
Le plan de la ministre, avec un crédit d'impôt au taux unique de 30 %, impose une véritable mutation des métiers du bâtiment, notamment avec le label Reconnu garant de l'environnement (RGE). « Soixante professionnels ont déjà sauté le pas pour cette reconnaissance », annonce Gilbert Guignard. Pour le patron de Techni-Murs, « la RGE va dans le sens du client mais c'est compliqué car nous sommes à la fois confrères et concurrents. L'offre globale est la seule solution et nous devons travailler en réseau ».
Le projet chinois avec EuroSity à Ozans ? Gilbert Guignard annonce la couleur : « Nos entreprises sont aussi aptes que d'autres pour ces travaux ». Donc, pas question d'être « à la ramasse » derrière un grand groupe.
chiffres-clés

  • 3.486. C'est le nombre de salariés dans le BTP, fin 2013. L'Indre en comptait 3.940 en 2011.
  • 319. C'est le nombre d'emplois perdus, dont 151 durant le dernier trimestre 2013.
  • 48. C'est le nombre de défaillances d'entreprises de construction, en 2013, selon les données provisoires de la Banque de France.
  • 447. C'est le nombre de permis de construire sur un an, fin mars 2014. Soit une chute de 44,50 % (moyenne régionale : – 20,30 %).
  • 535. C'est le nombre de logements mis en chantier, fin mars 2014. Soit une baisse de 8,70 % (moyenne régionale : – 7,10 %).

Source La Nouvelle République par Jacky Courtin

Une tuile résistante aux intempéries

Pour la première fois en Europe, une tuile en terre cuite vient d’être classée au plus haut niveau concernant la résistance à la grêle. La E 58 Plus de Erlus devient donc une valeur sûre pour des installations dans des zones particulièrement sensibles aux perturbations climatiques.
Quand la couverture se protège de la grêle
Plus que les simples pluies, les couvertures des bâtiments craignent avant tout un autre phénomène climatique, celui de la grêle. Suivant la taille des grêlons, projetés sur la toiture à forte vitesse, les tuiles en terre cuite peuvent en effet céder et casser. Les conséquences sont alors l’infiltration d’eau et des dégâts sur la construction qui peuvent apparaître avec plus ou moins d’importance.
Afin de pallier ces risques, Erlus vient de mettre au point une tuile désormais reconnue pour sa solidité. La E 58 Plus est ainsi la première tuile européenne à obtenir le classement RG 5, c’est-à-dire le plus haut niveau de protection pour chaque construction. Le test a été réalisé par projection de grêlons d’un diamètre allant jusqu’à 5 cm, à une vitesse de 30 m/seconde.
Une tuile destinée aux régions exposées aux tempêtes
Cette tuile Erlus permet donc de protéger les toitures d’éventuels dégâts en affichant une forte résistance aux intempéries. Elle s’adapte ainsi parfaitement aux régions soumises aux phénomènes de tempêtes, assurant une parfaite étanchéité de la surface. Elle est disponible en plusieurs teintes : rouge vieilli, brun cuivré, anthracite, et noir mat. Présentant un grand format, elle est notamment recommandée pour une mise en œuvre sur de grandes surfaces, affichant une pente entre 10 et 20°.

Source ETI construction

Wienerberger increases stake in tilemaker Tondach

Wienerberger, the world's biggest brickmaker, has agreed to increase its stake in Austrian roof tilemaker Tondach Gleinstaetten to 82 percent for 41 million euros ($56 million).
The Austrian brickmaker, which already owned 50 percent of Tondach, said on Wednesday the acquisition would expand its presence in eastern Europe, where it saw substantial pent-up demand for renovation, especially after the crisis years.
Wienerberger is buying the additional shares from two private family trusts, which held the other 50 percent of Tondach. The remaining 18 percent will be owned by banks.
The deal values the company at 7.3 times Tondach's expected 2014 earnings before interest, tax, depreciation and amortisation (EBITDA), Wienerberger said, including debt which is expected to be about 60 million euros at the end of 2014.
It said the banks agreed to swap 26 million euros of Tondach's debt for equity.
Wienerberger will pay 23 million euros of the purchase price in treasury shares and the rest in cash.
It said Tondach's revenues were expected to rise to roughly 160 million euros this year from 154 million in 2013.
The deal is subject to competition authority approval.
Source Reuters

01/07/2014

Braas Monier a perdu 7% lors de sa première séance boursière

L'action Braas Monier a perdu 7% mercredi 25/06 au terme de sa première séance de cotation à Francfort, des débuts difficiles pour la plus importante introduction en Bourse en Allemagne depuis le début de l'année.
L'action du spécialiste des revêtements de toitures a terminé la journée à 22,30 euros, à comparer à un prix d'IPO de 24 euros, qui se situait déjà dans le bas d'une fourchette indicative de 23 à 28 euros.
"Il y a tellement d'IPO ces derniers temps en Europe que les investisseurs deviennent très difficiles", a déclaré un intervenant.
Braas Monier a mis sur le marché pour 470 millions d'euros d'actions, un placement enrichi de 71 millions d'euros supplémentaires provenant d'une option de surallocation.
"Notre entreprise se développant, nous verrons notre action monter", a réagi le président du directoire, Pepyn Dinandt. "Nous anticipons un gearing (ratio de la dette sur le résultat) de moins de deux d'ici la fin de l'année, ce qui nous permettrait de verser un dividende sur les comptes de 2014".
A la suite d'un accord de refinancement passé en avril et après usage de 100 millions d'euros prélevés sur le produit de l'IPO pour honorer des engagements, la dette nette de Braas Monier sera de 462 millions d'euros.
Les analystes pensent que Braas Monier dégagera un excédent brut d'exploitation (EBE, Ebitda) de 200 millions d'euros cette année. Il a enregistré en 2013 une perte nette de 69 millions d'euros, un Ebitda de 84,5 millions d'euros et un chiffre d'affaires de 1,2 milliard. Le résultat net prenait en compte une charge de restructuration de 72 millions d'euros.
Braas-Monier avait été cédé par le français Lafarge au groupe de capital-investissement PAI pour 2,4 milliards d'euros, une cession qui avait plombé sa dette au point qu'il avait été contraint à une restructuration financière après la crise de 2009. Plusieurs créanciers avaient alors converti leurs créances en actions, prenant ainsi le contrôle de la société.
Source Zone Bourse par Arno Schütze et Alexander Hübner, Wilfrid Exbrayat pour le service français, édité par Marc Angrand

Tuilerie Imerys de Blajan: Un camion de terre est sorti de l'usine de tuiles

Mardi 24 Juin matin, alors qu'une sorte de statu quo semblait s'être installé après les réunions de la semaine dernière, gelant toute éventuelle action de la part d'Imérys et du comité de défense de la tuilerie, un membre de l'association «Ici c'est notre terre», nouvellement créée, a été fort surpris d'assister à la sortie d'un camion, apparemment rempli de terre provenant de la carrière d'argile avec lequel sont fabriquées les tuiles. Une carrière qui est un enjeu fort dans les négociations entre les deux parties.
Notre homme, accompagné d'un habitant du voisinage de l'usine, était fortuitement porteur de son appareil photo. Il a eu le temps de déclencher plusieurs fois et de fixer le camion au moment où celui-ci sortait de l'enceinte de l'usine pour rejoindre sa destination.
Ces deux personnes, impliquées dans la défense de l'usine de tuiles de Blajan, sont restées clouées sur place, sachant que rien ne devait se produire tant que le ministre de l'Économie, du Redressement productif et du Numérique Arnaud Montebourg n'avait pas rencontré M. Jaunard, interlocuteur de la société Imérys. Une rencontre qui doit avoir lieu cette semaine.
Source La Dépêche du Midi

30/06/2014

Un nouveau président pour la FFTB

Hervé Gastinel, PDG de Terreal, vient d'être élu président de la Fédération française des tuiles et des briques (FFTB). Il s'est donné trois missions. Découvrez lesquelles.

Hervé Gastinel, PDG de Terreal depuis 2001, prend la tête de la Fédération française des tuiles et des briques (FFTB). Ce n'est pas une première pour lui puisqu'il a déjà occupé cette fonction de juin 2005 à juin 2008. Il est par ailleurs membre du Comité Exécutif de TBE (Fédération Européenne des Tuiles et Briques) et vice-président de l’AIMCC (Association des Industries de Produits de Construction). Il s'est fixé trois objectifs : "Toucher les Français au cœur" ; "Multiplier les projets visibles intégrant de la terre cuite", et "Alerter les pouvoirs publics pour contribuer à la relance de la construction en France". "La filière terre cuite a un rôle essentiel à jouer dans le débat public sur la construction en France. Je souhaite qu’elle fasse davantage entendre sa voix à la fois sur la modernité du matériau et sur sa contribution à la relance de la construction", a indiqué Hervé Gastinel.
Diplômé de l’ENA, lauréat de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris et de l’Essec, Hervé Gastinel a débuté sa carrière à l’inspection des finances où il a exercé des missions d’audit et de contrôle, puis il a travaillé au cabinet du président du Sénat, en 1997, en qualité de conseiller technique en charge des affaires économiques et financières et des nouvelles technologies.
En 1998, il intègre la Compagnie de Saint-Gobain comme directeur du plan et de la stratégie, tout en assurant le secrétariat du comité exécutif du groupe. En 2000, il devient directeur général de la société Industrielle de Tuiles, devenue Saint-Gobain Terreal, puis Terreal après avoir quitté le giron de Saint-Gobain en 2003.

Source Batiactu

Qui assurera la relève des grands patrons du LBO ?

Le Trèfle, lobby informel des grands dirigeants de l’âge d’or du LBO, a perdu ses forces vives.
Incontournable face aux fonds, il doit trouver sa relève.
« Confrérie », « contre-pouvoir » des fonds, « lobby patronal »… : à l’âge d’or des LBO (acquisitions d’entreprise par effet de levier de la dette) en 2006-2007, le Trèfle, cercle discret et informel de puissants dirigeants de grandes entreprises en LBO, était associé à tous les ­pouvoirs. Nul, chez les fonds actionnaires, n’aurait vraiment osé ­contester officiellement la ligne de l’un de ses membres, même ­présumé (l’identité de ses parti­cipants n’a jamais été totalement publique). Mais, après dix ans d’existence, le Trèfle a perdu de l’influence qu’on lui prêtait et ­certaines de ses figures emblé­matiques. Levier pourtant ­incontournable des dirigeants pour rééquilibrer leur pouvoir face aux fonds d’investissement, il doit maintenant trouver sa relève. Exception française
Au départ, ils sont une quinzaine de grands patrons à créer cette exception française dans le paysage européen du capital-investissement, où les fonds dictent alors les termes des transactions, et notamment le partage des plus­-values. Les dirigeants de Vivarte (Georges Plassat), Frans Bonhomme (Michel Pic), Picard (Xavier Decelle), Fraikin (Olivier de La Morinière), Terreal (Hervé ­Gastinel), se rassemblent de façon informelle sous l’impulsion ­d’Olivier Legrain (Materis) pour échanger sur les bonnes pratiques des montages d’acquisition en pleine expansion, où ils se retrouvent aussi investisseurs, ainsi que sur les sujets sensibles (package de rémunération des dirigeants, actionnariat salarié, ­fiscalité des dirigeants, relations avec les fonds). Ils créent aussi leur propre fonds commun par lequel ils investissent de manière croisée dans les groupes des uns et des autres.
La concurrence entre fonds aidant aussi pour s’arracher les meilleures opérations, le rapport de force penche en leur faveur. Dans certaines enchères, la cause est perdue sans le ­soutien des dirigeants. Mais la bascule se révèle véritablement avec la cession de Converteam. La revente du groupe en 2008, deux ans après l’avoir sorti ­vivotant du giron d’Alstom, cristallise les tensions avec les fonds, pour qui l’inversion du rapport de force est allée trop loin. Pierre Bastide et l’équipe de management élargie reçoivent autour de 900 millions d’euros, plus que la plus-value du fonds vendeur ­Barclays Private Equity. Un «  LBO jackpot » qui fait craindre aux fonds un précédent.
La crise rebat les cartes
Mais la crise éclate et rebat les cartes. Elle remet en question une série de montages plombés par la dette et la chute des résultats. Et, avec ces derniers, l’influence de dirigeants que les fonds n’ont pas hésité à remplacer. D’autres patrons se sont lassés, ou ont rejoint des grands groupes de l’industrie. Georges Plassat a rejoint Carrefour en 2012, alors que Vivarte commençait à souffrir de la mauvaise conjoncture. Michel Pic, dirigeant historique de Frans Bonhomme, a cédé les rênes en 2009 et son groupe, depuis, est tombé entre les mains de créanciers.
Deux dirigeants cependant seront restés jusqu’au bout incontournables. Hervé Gastinel, le patron de Terreal, depuis sa sortie du giron de Saint-Gobain en 2003, encore aux commandes malgré deux profondes restructurations. Et enfin l’initiateur du Trèfle lui-même, Olivier Legrain, à la tête de Materis depuis sa sortie de Lafarge en 2001. Il assure depuis la restructuration financière du groupe la revente de divisions. Mais il ­prendra lui-même le large en fin d’année. Selon un dirigeant du secteur, la défense d’intérêts communs au sein du Trèfle se justifierait moins aujourd’hui : « Avec l’enchaînement de LBO d’une série d’entreprises, la courbe d’expérience des dirigeants a augmenté. Les rapports entre fonds et patrons de LBO sont plus équi­librés. » Jusqu’à quand ? Pour l’heure, quelques très grands patrons dictent leurs conditions dans leurs opérations . Mais ils n’en sont pas à leur coup d’essai.
Source Les Echos par ANNE DRIF

29/06/2014

Les 20 ans de Mosbuild

La société CERIC, qui y exposait, est présente sur le marché russe depuis plus de 30 ans.
CERIC a tissé des liens particuliers avec tous les acteurs importants de la Terre Cuite de ce pays.
C’est donc avec intérêt que nombre d’entres eux sont venus nous rencontrer afin que leur soient présentées les dernières innovations en matière de cuisson :
les centrales à sciure,
le thermobooster,
ainsi que les équipements de préparation de la marque PELERIN®, tel que le groupe d’étirage DEMETER, d’un capacité de production jusque 100 t/h.
Fort de son savoir-faire et de la compétence de ses ingénieurs procédés, CERIC a également pu répondre à de nombreuses demandes d’analyses quant au fonctionnement des outils de production, et proposer ainsi des améliorations.
Dans cette démarche, CERIC dispose, d’une part d’un bureau à Moscou qui assure la liaison et d’autre part d’un agent, la société SALVENA, permettant aux clients d’acheter les pièces de rechange en roubles et qui se charge des importations.

La filière Terre Cuite livre les preuves de son engagement Développement Durable

A l'occasion du 1er Forum du Développement Durable de la Fédération française des Tuiles et Briques (FFTB), la filière Terre Cuite a présenté les résultats de ses actions en faveur du développement durable. La filière qui regroupe 96 sociétés, 149 usines et plus de 5 200 salariés, souhaite ainsi améliorer et amplifier sa politique au service de l'environnement.
La brique terre-cuite plus isolante que le béton ?
En 2012, la filière des produits de terre cuite avait défini un ensemble d'engagements en faveur du développement durable, et mis en place des indicateurs afin de mesurer leur efficacité. La filière s'était notamment engagée sur la fourniture de produits performants et durables, utilisant de manière optimale les ressources et induisant un faible impact environnemental.
Pour chaque produit, la filière s'était également donnée pour mission de donner une information environnementale et sanitaires transparentes (FDES, Etiquetage), promouvoir l'engagement et l'emploi local mais aussi reconnaître la contribution de chaque salarié et assurer à tous des niveaux de formation et de sécurité élevés. L'heure est aujourd'hui à l'analyse des résultats.
Moins de CO2 et d'eau consommée
En termes d'efficacité énergétique, la consommation totale annuelle d'énergie finale par tonne de produit fabriqué reste stable avec 2 941 MJ/tonne, malgré les contraintes liées à la baisse de la production. Dans ce contexte, l'efficacité Carbone s'est maintenue à 172 Kg CO2/tonne en 2013 grâce à la part croissante des énergies renouvelables.
La consommation d'eau de réseau nécessaire à la fabrication des produits a sensiblement diminué passant de 143 litres d'eau à 124 litres par tonne. « Ceci peut s'expliquer par un besoin plus faible d'humidification des argiles par rapport à 2012 et l'utilisation plus importantes des eaux souterraines », souligne le rapport.
95,5 % des besoins français
Toujours sur la fabrication des produits, la filière rapporte qu'elle produit dans l'hexagone 95,5 % des besoins français, restant toujours à un très haut niveau, stable, ces trois dernières années. La part des produits de terre cuite utilisée dans la construction neuve est également restée stable en 2013.
Concernant l'impact sanitaire des produits terre cuite, le rapport indique que 68,9 % d'entre eux sont couverts par une FDES (Fiches de données environnementales et sanitaires).
Dans ce rapport, la filière reste transparente sur ses investissements dans les actions locales, en progression de plus de 7 % par rapport à 2012 et de plus de 67 % par rapport à 2011. Ces investissements représentent désormais 140 295 euros.

Source Batiweb

28/06/2014

CRH: Bryan Garnier dégrade sa recommandation.

Bryan Garnier dégrade sa recommandation sur CRH de 'neutre' à 'vente' avec une valeur intrinsèque ('fair value') de 18 euros, à la suite d'un rally du titre sur un an de 31% en termes absolus et de 8% par rapport à son échantillon de couverture.
'Nous pensons que les attentes élevées du nouveau directeur général ont conduit à une valorisation exigeante du fabricant de matériaux de construction, valorisation qui devrait chuter pour retrouver une moyenne historique', pronostique l'intermédiaire.Le courtier met en avant une faible marge pour des relèvements de consensus avec une croissance de l'EBITDA de 18% par an prévue sur la période 2014-2016, à comparer à sa propre hypothèse d'un taux de 13%.
Bryan Garnier estime en outre qu'il y a peu à attendre du programme de cession du groupe irlandais, 'compte tenu de la faible qualité des actifs à vendre, en particulier en comparaison avec Lafarge-Holcim'.

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Source easybourse

Grignon : un patrimoine industriel et remarquable

Si la tuilerie des Granges-sous-Grignon a arrêté sa production en 1972, il demeure un atelier et un bâtiment de production dans lequel se trouvent encore un four et quelques machines anciennes soigneusement remises en état.
À la tuilerie, on ne fait pas visiter, on raconte une histoire, celle de la famille Laurent et de la fabrique réputée depuis le milieu du XIXe siècle pour ses tuiles. C’est tout un patrimoine remarquable qui se découvre du pied de l’imposante cheminée à couronne à l’entrée des fours en passants par une machine servant à fabriquer des boisseaux de cheminée qui fonctionne presque comme avant. Une collection importante de tuiles et briques estampillées a été constituée par François Laurent, propriétaire des lieux, qui a gardé une unité de fabrication à Nan-sous-Thil (voir ci-dessus).
Aux Granges-sous-Grignon, les portes et les pans de bois de l’atelier ont retrouvé l’ocre d’antan et les rails des anciens wagonnets qui transportaient la terre ont repris circuit et fonctions.
INFO Association Les Tuileries de l’Auxois. Tél. 03.80.96.88.26 ou 06.82.43.81.48.

Source Le Bien Public

27/06/2014

ALGERIE: Légère hausse des prix de la production industrielle des secteurs public et privé en 2013

La hausse a été de 0,2% pour le secteur public et de 0,6% pour le secteur privé.La hausse a été de 0,2% pour le secteur public et de 0,6% pour le secteur privé.
La hausse des prix à la production (sortie usine hors transports) du secteur public durant l'année écoulée s'explique par l'augmentation des coûts de production des matériaux de construction, céramique et verre (5,7%), des industries sidérurgiques, métalliques, mécaniques, électriques et électroniques (ISMMEE) avec 2,8%.
Les prix à la production industrielle des secteurs public et privé ont enregistré en 2013 de légères hausses, respectivement, de 0,2 et de 0,6% par rapport à 2012, apprend-on auprès de l'Office national des statistiques (ONS).
La hausse des prix à la production (sortie usine hors transports) du secteur public durant l'année écoulée s'explique par l'augmentation des coûts de production des matériaux de construction, céramique et verre (5,7%), des industries sidérurgiques, métalliques, mécaniques, électriques et électroniques (ISMMEE) avec 2,8%.
Les chiffres de l'office relèvent également une légère augmentation des prix à la production d'autres produits industriels qui ont participé à cette hausse des prix à la production, il s'agit notamment des industries des bois, liège et papier (0,6%) et des industries agroalimentaires, des textiles ainsi que les cuirs avec 0,1% pour chaque groupe des produits.
Par ailleurs, l'Office indique que d'autres groupes de produits ont enregistré un recul des coûts de production. La plus importante baisse (-16,8%) a concerné le secteur des mines et carrières, alors que celui de l'énergie a reculé de 1,2%.
Les prix à la production industrielle des secteurs de la chimie, caoutchouc et plastique, ainsi que les industries diverses ont connu, en 2013, une stagnation, indique l'ONS dans sa dernière publication sur l'évolution des prix à la production industrielle.
Quant au secteur privé, l'Office note que la légère augmentation globale des prix à la production industrielle (+0,6%) en 2013, est due principalement à une augmentation des prix à la production dans les industries agro-alimentaires, tabacs et allumettes avec 2,1%.
La hausse des prix à la production a concerné également d'autres secteurs, mais reste de moindre ampleur, il s'agit de celui des textiles et des ISMMEE avec 0,3% pour chaque groupe et les matériaux de construction, céramique et verre (0,1%).
Les prix à la production des industries des cuirs, bois, liège et industries diverses, ont stagné en 2013 par rapport à l'année d'avant, selon l'Office, qui relève que les indices relatifs à ce secteur (privé) sont donnés à titre indicatif car le taux de réponse reste toujours faible.

Source Maghrebemergent

26/06/2014

ALGERIE : L'Etat prend en charge le transport des matériaux de construction vers les régions du sud (Selall)

Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a affirmé jeudi 19 Juin à Alger que les prix des matériaux de construction destinés aux entreprises de bâtiment activant dans le sud du pays sont subventionnés par l'Etat qui prend en charge les frais de transport.
Parmi les mesures prises par l'Etat visant à encourager les entreprises de bâtiment activant dans le sud du pays, la prise en charge des frais de transport des matériaux de construction vers ces régions afin de permettre à ces entreprises de les acquérir au même prix appliqué dans les régions du nord, a indiqué le ministre des relations avec le Parlement, Khelil Mahi, qui répondait au nom du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, aux questions orales lors d'une séance plénière de l'Assemblée populaire nationale.
En réponse à la question du député du Rassemblement national démocratique (RND), Larabi Safi, le ministre a indiqué que "les entreprises de bâtiment activant dans les régions du sud ne sont pas exclues des aides accordées par l'Etat aux entreprises économiques" ajoutant que ces entreprises (BPTH) bénéficient d'avantages fiscaux au même titre que celles activant dans d'autres secteurs.
Il a rappelé dans ce sens que l'Etat avait pris des mesures pour faciliter l'opération de lotissement immobilier dans les wilayas du sud permettant de booster l'activité des entreprises de construction et d'augmenter l'aide destinée au logement rural.
Ces mesures ont permis, selon le ministre, de baisser l'impôt sur le bénéfice et d'autres exonérations d'impôts au profit de jeunes investisseurs. Concernant les prix de réalisation dans les régions du sud, le ministre a indiqué qu'ils oscillent entre 31.000 et 45.000 DA/m2, estimant que ces prix sont élevés par rapport à d'autres régions du pays.
A une proposition du même député d'intégrer les bénéficiaires des domaines privés de l'Etat dans le fichier national du logement, le ministre a rappelé que ce fichier concerne l'ensemble des bénéficiaires du logement social public et les bénéficiaires des aides accordées par l'Etat au logement rural et à la restauration des habitations ajoutant que les demandeurs de logement sont appelés à présenter un certificat négatif".
A une question sur une éventuelle restructuration des offices de promotion et de gestion immobilière (OPGI) pour les transformer en unités de réalisation et autres chargées de la gestion et d'entretien, le ministre a indiqué que le ministère examine actuellement ce dossier".

Source Le Temps d'Algérie

25/06/2014

Les anciens de la tuilerie Lartigue et Dumas d'Auch se retrouvent 38 ans après

L'un travaillait au laboratoire, l'autre au service électrique, le troisième était le comptable de l'entreprise : Pierre Dutil, Marc Tauziède et Michel Deffes n'ont rien oublié de l'époque de la tuilerie d'Auch. Ils la feront revivre, en quelque sorte, le 26 juin prochain en organisant un repas de retrouvailles des anciens salariés de Lartigue et Dumas.
«On a déjà une cinquantaine d'inscrits (1) pour ce repas qui aura lieu à Marsan. Tous les participants se verront offrir un petit souvenir en argile du Gers qui reproduit un objet créé par mon père», explique Marc Tauziède. L'idée de ces retrouvailles a jailli en février dernier, au Mouzon. Ce jour-là, Pierre Dutil, président des Amis du Vieil Auch, avait passionné l'auditoire avec sa conférence consacrée à un artiste méconnu, André Tauziède, le papa de Marc, «ouvrier de jour dans une tuilerie et sculpteur de talent le soir».
Les trois amis ont connu la période faste de la tuilerie, située route de Pessan sur l'emplacement actuel de la caserne de gendarmerie : «Entre 1947 et 1967, c'était la plus grande entreprise du Gers avec plus de 400 salariés. Elle doit son essor en particulier à l'invention et la mise sous brevet en 1947 de la tuile romane». Le premier choc pétrolier, en 1973, lui sera fatal. «Le prix du gaz naturel a flambé. Or, les fours de la tuilerie fonctionnaient au gaz. Le choc pétrolier a entraîné une crise économique marquée notamment par une forte baisse de la construction. Les stocks de tuiles se sont accumulés et l'usine a payé la vétusté de l'outil de travail. Il y avait beaucoup trop de manutention», raconte Pierre Dutil.
Le président des Amis du Vieil Auch rappelle aussi le contexte politique de l'époque. «La municipalité Dours ne voulait plus de l'usine à cet endroit car on fonctionnait jour et nuit, avec les nuisances que cela créait pour les habitations qui, au fil des ans, avaient encerclé la tuilerie.»
Le comptable est resté seul dans l'usine
L'argile servant à fabriquer les tuiles, les briques ou les planchers pré-contraints ne venait pas de bien loin : Lartigue et Dumas disposait de carrières à Pessan, Lasséran, Mirepoix et Pavie. «Un salarié était employé en permanence pour nettoyer la boue d'argile des camions.» Michel Deffes n'a rien oublié des derniers jours de la tuilerie. «Au moment de la liquidation judiciaire, je suis resté le dernier salarié à l'usine, je me suis retrouvé tout seul, sans lumière et sans chauffage.»
Seul, l'ancien comptable ne le sera pas, le 26 juin au restaurant de la Hournère. «On avait même invité le dernier directeur de l'usine mais il ne sera pas dans le Gers à cette date».
(1) Repas : 25 €. Inscriptions jusqu'au 21 juin auprès de Marc Tauziède ou de Michel Deffes, Tél. 05 62 63 36 73 ou 05 62 05 33 38.
En 1976, la fin de l'usine dans «La Dépêche»
En septembre 1976, le couperet tombe au tribunal de commerce pour la tuilerie Lartigue et Dumas. Notre regretté confrère Henri Dufor analyse sans détours les causes de ce désastre : «Des pouvoirs publics défaillants et liés à eux un patronat dont l'incompétence, l'insuffisance dans ce cas précis furent manifestes et peut-être avant tout la transformation rapide ces dernières années des techniques dans cette branche de l'industrie qui ne fut point réalisée à Auch sont à l'origine de ce drame social. Il faut souhaiter que tous à Auch et à divers niveaux s'emploient à en atténuer au maximum les effets. Un mot encore : cette tuilerie d'Auch avait été fondée en 1866. Elle avait survécu à deux guerres… et à des crises économiques sérieuses. Cent dix ans et hier un arrêt de mort… Hélas sans recours».
Source La Dépêche du Midi par Pierre-Jean Pyrda

24/06/2014

Tuilerie Imerys de Blajan : «Les ministres font renaître l'espoir»

Jean-Bernard Castex, maire de Blajan était encore surpris Mardi 17 Juin  : «On n'en attendait pas tant» lâchait-il en évoquant la réunion de la veille à Toulouse. En effet, profitant de la visite du ministre du redressement productif, Arnaud Montebourg et de la secrétaire d'État au commerce et à l'artisanat, Carole Delga, le maire de Blajan, les représentants du personnel des tuileries et ceux de la communauté de communes ont pu exposer leurs craintes sur l'avenir du site à la préfecture de Région.
«Après le blocage que nous avions opéré pour que la terre ne quitte pas Blajan, après les réunions avec le nouveau sous-préfet et face aux difficultés de parler avec les responsables d'Imerys, nous avions bien besoin d'un nouveau coup de fouet» explique Jean-Bernard Castex. La discussion avec Arnaud Montebourg, qui a regretté l'absence des dirigeants d'Imérys (à l'exception du directeur du site de Léguevin), a débouché, toujours selon le maire, sur «un gros coup de semonce du ministre à l'égard de la société» pour la réindustrialisation du site.
«Ce soutien fait aujourd'hui du bien à tout le monde» ajoute encore Jean-Bernard Castex qui souligne l'importance du rôle joué par Carole Delga dans l'organisation de cette réunion et la pression qu'elle impose sur ce dossier.
Maintenant une rencontre doit avoir lieu, à Paris, entre Arnaud Montebourg et les responsables d'Imerys. À l'issue de celle-ci, l'optimisme qui est de rigueur depuis deux jours à Blajan sera-t-il aussi intact pour sauver l'unité et, surtout, les 35 emplois du site ?
Source La Dépêche du Midi Jean-Christophe Thomas

23/06/2014

Terreal: la carrière de Saint Papoul ouvre à nouveau ses portes

Plus de 230 personnes ont eu la chance de découvrr les différentes étapes d'extraction des mélanges argileux préparés pour les usines de Terreal.
Le site des Carrières Sud, situé à Saint-Papoul, a ouvert ses portes le samedi 14 juin. Les visites étaient réservées pour l'essentiel aux familles du personnel.
Terreal avait déjà organisé le même type d'événement en juin 2013 sur l'un de ses sites industriels de l'Aude, situé au Ségala. Cette année, c'est le site des Carrières Sud, à Saint-Papoul, qui a organisé sa journée «portes ouvertes». Plus de 230 personnes ont eu la chance de découvrir les différentes étapes d'extraction des mélanges argileux préparés pour les usines de Terreal. Tous ont été très satisfaits de l'événement : un vrai succès !
La visite, d'environ une heure trente, démarrait par la présentation du groupe Terreal et de ses activités, ainsi que de nombreuses vues aériennes et un film du site. Un atelier de découverte de la géologie et de la formation de ce grand gisement d'argile était ensuite proposé dans le laboratoire du site. Les visiteurs ont pu aussi faire un parcours en 4x4 à travers la carrière pour découvrir les engins de chantier en plein travail ainsi qu'un atelier d'initiation à la paléontologie. Les familles ont pu enfin se mettre aux commandes de différents engins à l'arrêt (pelle, dumper, scrapper…), exposés pour l'occasion, et ainsi mieux comprendre le travail des conducteurs d'engins. Les petits étaient vraiment impressionnés et ravis ; certaines vocations professionnelles ont peut-être vu le jour !
Les paléontologues étaient présents bénévolement toute la journée pour faire partager leur passion et faire une démonstration des différentes «trouvailles» faites sur le site, qui aujourd'hui a entièrement été fouillé.
Cette initiative reflète également les ambitions fortes de Terreal en matière de diversité professionnelle. Ce type d'événement permet en effet de promouvoir l'ensemble des dispositifs développés dans l'entreprise : de la complémentarité des genres en passant par l'accueil de jeunes en alternance ou encore l'intégration de personnel en situation de handicap, et de donner ainsi l'envie à toutes et tous d'apprendre ces métiers.

Le site de Saint-Papoul en bref : superficie de 180 ha autorisés 500 000 tonnes/an d'extraction de différents mélanges d'argile pour huit usines de Terreal, trente salariés./ Photo DDM vanessa H.M

Source La Dépêche du Midi

Braas Monier - Prix d'introduction attendu à 24 euros

Le spécialiste allemand des revêtements de toitures Braas Monier devrait fixer son prix d'introduction en Bourse à 24 euros par action, a-t-on appris mardi 24 juin de deux sources proches de l'opération.
"Le dernière indication de prix est de 24 euros par action", a dit l'une des sources.
Braas Monier avait annoncé au début du mois une fourchette initiale de 23 à 28 euros pour son introduction, dont le montant devrait atteindre 621 millions d'euros.
L'opération s'annonce comme la plus importante introduction lancée en Allemagne depuis le début de l'année, après les entrées en Bourse réussies de l'équipementier automobile Stabilus et du fabricants d'imprimantes 3D SLM Solutions.
La première cotation de Braas Monier est prévue mercredi.
Braas Monier, qui emploie 7.400 personnes, a publié en 2013 une perte nette de 69 millions d'euros et un excédent brut d'exploitation de 84,5 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 1,2 milliard d'euros. (Alexander Huebner; Marc Angrand pour le service français)

Source Les Echos Zone Bourse

22/06/2014

Deux nouveaux contrats en Libye pour CERIC

CERIC a participé à la 10ème édition du salon Libyabuild qui a eu lieu à Tripoli du 19 au 22 mai 2014, l’occasion pour CERIC d’afficher les relations de longue date qu’elle entretient avec les industriels libyens et de confirmer son développement sur cette zone.
Dans cette continuité, CERIC a remporté 2 nouveaux contrats mis en vigueur en début d’année, portant sur la construction de nouvelles usines. Les chantiers de terrassement des bâtiments ont débuté en ce début de printemps et le montage des équipements commencera dès l’automne prochain.

Source CERIC

21/06/2014

AUVERGNE- A Frugères, les vestiges d’un four à briques et tuiles ont été découverts en 1997

Avant son incendie, en 1795, le château des Lur-Saluces était couvert en tuiles rouges. Une matière première peut-être bien fabriquée sur place. Briques ou tuiles en pierre ne sont pas des matériaux fréquemment utilisés dans le Nord-ouest Cantal, la pierre, le bois et la lauze marquant plus généralement l'architecture locale.
La brique, pourtant, apparaît dès le 2 e millénaire avant Jésus-Christ, en Crète. Ses attraits s'expliquent. D'une part, elle est fabriquée à partir d'argile et de sable, éléments dont la nature n'est pas avare. D'autre part, l'homme est à la recherche de protection contre les intempéries et les prédateurs. Moulée et séchée au soleil, l'argile durcit et devient résistante. Le principe de la cuisson des briques sera expérimenté en Mésopotamie et peut être considéré comme la première pierre artificielle inventée par l'homme, bien avant le béton et le ciment.
Si l'usage en est peu fréquent dans la région, on en trouve pourtant des traces dans les chroniques, dès le Moyen-Âge. Ainsi, à Madic, le hameau de La Tuilerie tient son nom d'un four à briques et tuiles, construit à la demande du seigneur pour pourvoir à la couverture de son château. De même, la toiture rouge est-elle évoquée à Saignes, lorsque François de Chabannes lance l'édification d'une halle (lire notre édition du 27 octobre 2013). On la retrouve à Ydes, en 1793, dans un document relatif aux biens de l'Ordre de Malte : « la maison du fermier couverte en tuiles rouges ».
Des employés communaux le découvrent par hasard
Dès lors, l'évocation de la toiture couronnant le château de Drugeac devient plus compréhensible, même si aucune illustration ne vient étayer l'information. Reste la question de la provenance du matériau et là, le hasard a livré des éléments de réponse, en 1997.
Nous sommes en décembre. Des employés communaux interviennent à Frugères, petit hameau situé de l'autre côté du vallon, face à Drugeac. Leur mission est de récupérer du remblai pour l'élargissement de la route. Avec une pelleteuse, les trois ouvriers attaquent un tertre, dans un champ. Ils découvrent les bouches béantes d'un très vieux four, dont personne ne se souvient.
Georges Andrieux, maire de l'époque, fait stopper les travaux et prévient Germaine Passement, architecte des Bâtiments de France, qui alerte Lionel Izac, à la DRAC. Il inscrit le sauvetage du four au Programme 25 (Techniques de la protohistoire au XVIII e et archéologie industrielle) et mandate Odette Lapeyre, correspondante locale des Antiquités historiques, pour procéder à une étude.
Ce four peut expliquer la toiture rouge du château des Lur-Saluces
L'archéologue, secondée par Jean-Claude Malarange, creuse les abords et trouve des morceaux de brique rouge dont certains sont décorés et dont l'un arbore un profil masculin. Odette Lapeyre estime que l'ouvrage est postérieur au XV e siècle et serait susceptible d'expliquer la toiture rouge du château des Lur-Saluces. On sait, en effet, que les seigneurs étaient parfois propriétaires de fours destinés à usage non alimentaire. Celui de Frugères pourrait bien en être un exemple.
L'histoire va pourtant s'arrêter là, à la grande déception de Georges Andrieux. « Nous avons eu l'espoir que cette découverte soit un atout pour le patrimoine de Drugeac » confie-t-il. Las, les fouilles coûtent cher et le projet n'aboutira pas. Pour préserver l'ancien four de la dégradation naturelle, le site est purement et simplement recouvert et comblé. À ce jour, il dort encore sous la terre, au milieu d'un champ où paissent en toute quiétude des vaches salers.
(*) Sources : Dictionnaire statistique du Cantal et La prévôté de Mauriac, gentilhommières et châteaux du docteur de Ribier, Un peu d'histoire de Jean Moulier. Témoignage de Jean-Claude Malarange.
Source La Montagne par Yveline David

20/06/2014

Algérie/Biskra : Un port sec pour neuf wilayas du sud

Participant à la seconde édition du séminaire international consacré à l’incubation et à l’amélioration de la compétitivité des PME, tenu les 19 et 20 du mois en cours, le président de la Chambre du commerce et de l’industrie (CCI) des Ziban, a annoncé la création prochaine d’un port sec à Biskra, destiné à desservir neuf wilayas du sud algérien.
Cette infrastructure viendra en appoint aux nombreux projets à caractère industriel planifiés pour la wilaya de Biskra. Organisé par la pépinière d’entreprises «incubateur de Biskra», cette rencontre a été ouverte par le directeur de l’énergie et des mines qui a rappelé lors de son intervention que Biskra allait devenir, en sus de sa vocation agricole et touristique, un pôle industriel d’envergure nationale, voire internationale. On y dénombre 7 briqueteries, 9 unités de production d’eaux minérales et 7 de plâtre et gypse, des usines de fabrication de câbles, d’étoffes et spécialisées en plasturgie, ainsi que des dizaines de petites entreprises productives. Pour un montant global de 910 milliards de dinars, 6 nouvelles zones industrielles sont en voie d’être livrées, tandis que la zone d’activité de la Reine de Biskra a bénéficié d’un plan de réhabilitation pour une enveloppe de 50 milliards de dinars.
La commission d’agréments et de suivi du développement des investissements de la wilaya a validé 520 projets industriels dans les secteurs de l’agriculture, du tourisme, de l’industrie et des matériaux de construction. Les travaux de réalisation de deux cimenteries dégageant 920 postes d’emploi, d’une raffinerie de pétrole employant 15 800 travailleurs et 2 centrales électriques ayant besoin de 4 500 ouvriers ont dernièrement été lancés. Cela conforte les perspectives de développement industriel mis en exergue lors de ce séminaire. En marge de celui-ci, une session de formation en faveur des jeunes entrepreneurs et porteurs de projets innovants, s’est déroulée, hier, sous la houlette d’experts de différents organismes et instituts spécialisés. Les thèmes de la gestion des projets de développement, le mode de rédaction de la proposition d’un projet, les stratégies de réussite et les méthodes de résolution des problèmes y ont été débattus.
Source El Watan par Hafedh Moussaoui

19/06/2014

Une cloison à forte inertie thermique réalisée en argile

Outre l’isolation, la recherche de la performance dans chaque construction s’établit aussi en fonction du niveau d’inertie thermique des matériaux. Une nouvelle brique d’argile vient renforcer cet état en présentant des qualités élevées. Argibrique s’adapte ainsi à toutes les réalisations de cloison.
Un cloisonnement à forte inertie thermique
Tous les matériaux de construction sont aujourd’hui mis à contribution pour améliorer le confort intérieur. Cela passe notamment par une gestion des températures intérieures afin de profiter d’un espace agréable. Outre la mise en place de solutions mécaniques telles que les climatisations, les études portent de plus en plus sur les qualités de la construction et de chaque matière première. L’argile en fait partie, montrant ses performances dans la gestion de la chaleur. Présentée sous forme de brique destinée au cloisonnement intérieur, elle offre une inertie thermique élevée.
Ainsi, Argibrique est utilisée pour la réalisation de cloisons séparatives, notamment positionnées dans les pièces orientées sud ou ouest, d’autant plus lorsqu’elles sont dotées d’une baie vitrée ou d’ouvertures extérieures importantes. Cette brique absorbe la chaleur au cours de la journée, pour la restituer la nuit par un changement de phase. L’argile contient en effet de l’eau qui, sous l’effet de la chaleur, s’évapore. Lorsque la température baisse, la brique absorbe alors l’humidité et restitue la chaleur emmagasinée. Cela permet d’obtenir une pièce avec de faibles variations de température.
Ce procédé est également utilisé pour une mise en œuvre à l’arrière d’un poêle. Selon le même principe, la surface emmagasine la chaleur avant de la restituer lorsque la température descend, permettant de réaliser des économies d’énergie.
Un principe de pose à respecter
Argibrique comprend sur sa face supérieure des rainures venant simplifier sa pose. Elle dispose également en son intérieur, entre deux rangées de briques, d’une cavité de 25 mm de diamètre permettant le passage de câbles ou de petites canalisations.
Sa mise en œuvre prévoit, quant à elle, son enchâssement entre deux poteaux et sa pose sur un soubassement résistant à l’eau, de type brique de terre cuite ou béton. Sa finition impose aussi d’attendre le séchage en raison d’un phénomène de retrait, de l’ordre de 0,3 % de sa hauteur. Celle-ci se fait, par la suite, au mortier ou par la pose d’une baguette bois.
Ces données ne lui font toutefois rien perdre de ses qualités, qu’elles soient thermiques ou même acoustiques.

Source ETI construction

18/06/2014

Une tuile composite à haute résistance

Novi-Case vient de mettre au point une tuile composite de très haute performance. Celle-ci résiste en effet à des vents violents, tout en conservant une esthétique semblable aux tuiles plates traditionnelles.
Des matériaux recyclés pour fabriquer des tuiles
Le recyclage est employé dans le bâtiment et pour des produits de plus en plus performants. C’est le cas aussi pour les toitures avec un nouveau matériau désormais disponible : la tuile composite. Proposée par la société Novi-Case, celle-ci présente une composition réalisée à 100 % à partir de matériaux recyclés et entièrement réutilisables.
Cette solution de couverture se présente sous la forme d’une tuile plate, avec un aspect identique aux équipements traditionnels en terre cuite ou aux éléments en ardoise. Les couleurs proposées sont variées, allant du rouge brique au brun ou ardoise. Le revêtement de cette tuile Akro-Toit est également parfaitement lisse et non poreux, assurant sa facilité d’entretien en ne retenant pas les mousses et lichens.
Une importante résistance au vent
Destiné à une pose sur des surfaces à partir de 15 % de pente, ce nouveau matériau de couverture affiche un poids léger (4,7 kg/m²) permettant sa mise en œuvre y compris en rénovation en faisant supporter à la charpente un poids moindre.
Mais le premier atout de la tuile composite est sa résistance au vent. Elle affiche en effet une tenue à des vents de plus de 240 km/h, suivant les tests effectués en soufflerie. Cette mesure lui assure de disposer de la certification anticyclonique pour une mise en œuvre en tout lieu.
Sa pose se réalise, elle, par clipsage sur liteaux en acier galvanisé. Elle peut aussi venir en sur-toit ou être associée à des éléments photovoltaïques.

Source ETI construction

17/06/2014

Blajan. Blocage de la Tuilerie : l'attente d'une médiation

Élus et habitants du Boulonnais étaient regroupés, le Mardi 10 Juin 2014, à l'entrée de la tuilerie de Blajan, bien décidés à empêcher le charroi de la terre des carrières vers l'usine de Léguevin. Un bras de fer oppose les élus du territoire et la société Imérys à propos de la matière première, depuis que la production de tuile est arrêtée.
Le sénateur Bertrand Auban et Patrick Boube, conseiller général du canton d'Aurignac soutenaient l'action aux côtés d'Alain Boubée, président de la Communauté de communes, Jean Bernard Castex, maire de Blajan et Jacques Leclerc, conseiller général du canton.
Selon les informations des élus, il n'y aurait pas de transport, si ce n'est des rotations à vide pour former les conducteurs. On pourrait en rire, mais le sujet est trop grave.
Une bonne nouvelle cependant. Alain Boubée en relation avec les services de l'état et de la députée du Comminges, nouvelle secrétaire d'état au commerce, Carole Delga, indiquait qu'une réunion de médiation aurait lieu d'ici la fin de la semaine entre les élus et la direction de la société Imérys TC.
Cette terre était destinée à alimenter l'usine de Blajan comme en témoigne le panneau d'exploitation à l'entrée du site de Séguie ouvert en 2011.
C'est là tout l'enjeu. La commune de Blajan a déposé un recours contre son exploitation à d'autres fins que son utilisation locale.
Le barrage a été levé un peu avant dix heures.
Chacun reste mobilisé dans l'attente de cette «médiation qui serait une victoire» selon Bertrand Auban.

Source La Dépêche du Midi