Activités de Sabo au Royaume-Uni et aux États-Unis

Au cours des deux dernières années, les marchés américain et britannique ont été particulièrement intéressants pour Sabo pour le développement et la livraison de nouveaux projets.

Les signes de reprise de l'industrie de la brique, en particulier dans les États américains comme le Texas, et la demande croissante du marché britannique du logement ont créé un environnement favorable et difficile pour la modernisation des briqueteries. Suivant les tendances du marché et avec la coopération de Craven Fawcett au Royaume-Uni et de Reymond Products Inc aux États-Unis, Sabo a réalisé des projets et créé des solutions adaptées aux marchés et à leurs produits de brique.

Projets réussis au Royaume-Uni

Au Royaume-Uni, Sabo a été très actif dans de nouveaux projets et a soutenu les décisions techniques des clients, en proposant des solutions basées sur l'expérience acquise par la société d'ingénierie d'usine dans le monde entier.

Pour Wienerberger UK, Michelmersch, Ibstock et Northcot, une gamme de solutions efficaces, innovantes et modernes a été mise en œuvre. Les nouvelles pinces de déchargement robotisées pour le site d'Ibstock à South Holmwood et les pinces d'empilage pour Northcot Brick et le site de Denton de Wienerberger sont des exemples de l'innovation de Sabo dans le développement de solutions spécifiques aux clients. Pour Ibstock, les pinces de robot peuvent décharger, décoller et positionner les briques avec la bonne surface sur le banc de palettisation de la ligne de conditionnement, quelle que soit la façon dont elles ont été empilées sur le wagon du four.

Northcot et Wienerberger ont intégré les nouvelles pinces de robot dans leurs lignes de réglage pour créer des espaces entre les briques à l'aide de servomoteurs, offrant la meilleure précision possible tout en simplifiant la fonction du banc de programmation. Les packs peuvent avoir un nombre différent de briques par couche, ce qui facilite la création de couches spéciales et améliore la stabilité des packs.

Le site de Wienerberger à Kingsbury a reçu un nouvel ajout à la ligne de dépilage existante, doublant la capacité de production.

Le site de Todhill dispose d'un nouveau système de manutention de palettes avec un gerbeur pour son unité de stockage de palettes, et un nouveau banc de programmation et des pinces robotisées pour sa ligne de dépilage.

Le site de Broomfleet dispose de nouveaux robots pour l'encastage des tuiles sur les supports réfractaires. À l'aide de servomoteurs, les robots peuvent faire tourner les produits, selon des cycles de travail allant jusqu'à six secondes.

Sur le site de Michelmersch à Carlton, Sabo a installé une nouvelle ligne de décastage et de conditionnement qui garantit des capacités élevées et une manipulation optimale du produit final. Les robots peuvent décharger un wagon de four pour obtenir un mélange maximal de différentes couches, afin d'assurer le meilleur mélange possible de briques dans les emballages finaux prêts pour le marché.

Démarrage positif sur le marché américain

Le démarrage de l’activité commerciale de Sabo aux États-Unis par l’intermédiaire de Reymond Products International Inc. a été impressionnant. Après seulement quelques mois, l'entreprise a reçu les premières commandes.

Meridian a confié à Sabo un projet très petit mais extrêmement important projet pour son site de Gleason, au Texas. Juste un transporteur de wagons de four qui a prouvé la qualité des équipements de Sabo mais aussi le professionnalisme avec lequel Sabo a géré le projet.

Le deuxième projet pour Meridian est venu juste après l'arrivée du premier. Sabo S.A. a conçu, fourni et mis en service une nouvelle machine de pose de robot haute capacité pour 45 000 briques pour Meridian Brick à Henderson, Texas. Le nouveau empileur comprend tout l'équipement nécessaire en aval du coupeur existant jusqu'au chargement des wagons de four et du wagon de transfert existant dans la salle d'attente. Cet empileur est aujourd'hui l'un des plus grands actifs aux Etats-Unis.

Fort du succès des projets précédents, Sabo s'est également vu confier trois nouveaux projets pour Meridian sur son site d'Elgin. Celles-ci comprenaient la rénovation du four avec une nouvelle voûte de type traditionnel - un projet très difficile! Les deux autres projets sont un nouvel empileur avec une capacité plus élevée et la modernisation de la ligne de décastage avec des robots.

Conclusion

L'acceptation de Sabo en tant que fournisseur pour les clients sur les marchés britannique et américain au cours des deux dernières années a été impressionnante. Les nouveaux partenariats de Sabo, les modules prêts à l'emploi, la technologie innovante, la compréhension des besoins spécifiques des clients, la qualité des produits et le support après-vente sont des atouts clés pour la société d'ingénierie.

SABO Hellas S.A. 34002 Vassiliko

Source Ziegelindustrie International

TECAUMA et TERREAL: de la réalité virtuelle à la réalisation concrète

Défi relevé par TECAUMA et TERREAL, de la réalité virtuelle à la réalisation concrète : 

la ligne automatique intégrant 23 robots au service de la manutention des tuiles chez TERREAL est entrée en service dans les temps avec les performances attendues. 

Rigueur et Etat d’esprit partagés entre nos équipes ont permis cette réussite ! 

#TERREAL #industrie40 #madeinfrance #robotique #fanuc #sew #nauleau #sardin #francerelance

Source Linkedin

Pillivuyt choisi Ceritherm

Dans le cadre de son développement Pillivuyt a choisi Ceritherm pour la réalisation du plus gros four intermittent de production de Porcelaine en France.

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Cleia: les ateliers sont très chargés

Voici un petit aperçu de ce qui se passe actuellement dans les ateliers de Cleia très chargés:

Source Linkedin

Le groupe Leier se développe en Roumanie

Leier International, l'un des principaux acteurs de l'industrie européenne de la brique et des tuiles, continue d'avoir une grande confiance dans l'industrie de la brique et du carrelage, à tel point qu'au cours de la période de deux ans 2018-2019, il a réalisé deux acquisitions dans le secteur.

La première était Brikston et la seconde Siceram, deux sociétés roumaines fortement présentes sur le marché qui recevront un grand coup de pouce en termes de développement commercial grâce à leur adhésion au groupe.

Suite aux récentes acquisitions, le groupe est désormais le premier producteur de matériaux de construction avec un portefeuille de produits unique tant par l'étendue que la profondeur de sa gamme. En 2019, le chiffre d'affaires total du groupe Leier en Roumanie s'élevait à environ 60 millions d'euros.

«Avec sa forte tradition de construction en briques d'argile, la Roumanie fait depuis longtemps partie de nos plans de développement - a déclaré Michael Leier, PDG du groupe di Leier - Nous pensions que le meilleur moyen de renforcer notre présence serait d'acquérir des entreprises déjà bien implantées dans le pays. et avec une expérience avérée dans le secteur. Ainsi, lorsque l'opportunité s'est présentée, nous n'avons pas hésité à entamer des négociations pour acquérir d'abord Brikston puis Siceram. Les négociations commerciales se sont achevées en 30 jours. Nous avons l'intention de continuer à investir en Roumanie, et si d'autres opportunités similaires se présentent, nous les saisirons certainement sans réfléchir à deux fois.

Dans le secteur de la terre cuite, Leier exploite déjà 9 sites d'usines en Hongrie, Pologne, Slovaquie, Roumanie et Croatie, mais il opère également dans la gestion immobilière, le béton, la métallurgie, la construction mécanique ainsi que la vente et le service de marques automobiles avec d'autres productions usines en Autriche et en Hongrie. En 2019, elle a réalisé un chiffre d'affaires consolidé de 380 millions d'euros, dont 70% était généré par les matériaux de construction (briques et béton).

Au cours de la période de deux ans 2018-2019, environ 120 millions d'euros ont été investis dans la modernisation des usines: des technologies de pointe durables et économes en énergie de fournisseurs européens de premier plan avec une expérience et un savoir-faire consolidés.

Leier International continue d'avoir une grande confiance dans l'industrie de la brique et des tuiles, à tel point qu'au cours de la période de deux ans 2018-2019, il a réalisé deux acquisitions dans le secteur. La première était Brikston et la seconde Siceram, deux sociétés roumaines fortement présentes sur le marché qui bénéficieront d'un grand coup de pouce en termes de développement commercial grâce à leur adhésion au groupe.

Source CeramicWorldWeb

 

UK: Ibstock annonce une baisse de son chiffre d'affaires

Le chiffre d'affaires du Groupe pour la période est de 88% de celui de la même période l'an dernier.

Ibstock a connu une reprise continue de la demande, les conditions de négociation s'améliorant régulièrement au cours du troisième trimestre.

«Alors que les volumes ont continué à s'améliorer, les avantages des mesures de coût et de capacité prises depuis le début du deuxième trimestre ont abouti à une reprise encourageante des marges dans les deux entreprises, qui tendent vers les niveaux pré-COVID-19 à un rythme accéléré. base », a déclaré le fabricant de briques d'argile et de produits en béton.

«Nous avons continué à exploiter nos sites de fabrication en ligne avec la reprise de la demande des clients et pour nous assurer que nous avons la capacité en place pour répondre à nos attentes en matière de volume pour le dernier trimestre. Comme cela a été la priorité depuis le début de la pandémie, cela a été fait tout en assurant la santé et la sécurité de nos collègues, avec des protocoles de travail révisés, y compris des mesures de distanciation sociale et des contrôles de température sur site, en place sur tous les sites du Groupe.

EBITDA ajusté d'Ibstock pour l'exercice 2020 à environ 50 millions de livres sterling.

Joe Hudson, directeur général d'Ibstock, a commenté: «Nous sommes encouragés par la poursuite de la reprise de la demande observée au troisième trimestre dans nos activités Argile et Béton, même si nous restons conscients qu'il existe une incertitude significative dans la période à venir.

«Nous restons confiants dans la reprise de nos marchés au fil du temps et dans le fait que les mesures que nous avons prises dans l'entreprise nous laissent à la fois la flexibilité nécessaire pour relever les défis actuels et une organisation bien positionnée pour tirer pleinement parti des opportunités futures», a ajouté Hudson.

Les actions Ibstock (LON: IBST) sont de -9,86% à 161,20 (1442GMT). Au cours de la dernière année, le cours de l'action Ibstock s'est échangé dans une fourchette de 191,7, atteignant un maximum de 323,6 et un minimum de 131,9.

Source UK Investor par Safiya Bashir

UK: Ibstock modernise sa briqueterie du Sussex

Le briquetier Ibstock a redémarré la production de son usine de Laybrook dans le West Sussex après un arrêt de six mois.

Ibstock a investi massivement dans les travaux du sud-est pour augmenter la production et introduire des conditions de travail sécuritaires covid-19

Le briquetier a réalisé un programme d'investissement majeur pour augmenter la production et introduire le travail sûr Covid-19 pour le personnel de l'usine de Pulborough près de Horsham.

Laybrook fait partie intégrante du réseau d’usines à l’échelle nationale d’Ibstock, situé au centre de la plus grande région pour l’utilisation de briques du pays.

Joe Hudson, PDG d'Ibstock Plc, a déclaré: «Laybrook est une usine importante avec une longue histoire de fourniture de briques dans le sud de l'Angleterre, en particulier dans les logements neufs, et l'investissement que nous avons fait renforce encore sa position sur le marché du futur".

Il a ajouté: «La réouverture de l'installation de Laybrook a été achevée conformément aux dernières directives gouvernementales en matière d'hygiène et de distanciation sociale.

«Parmi les mesures que nous avons mises en œuvre, citons des stations d'assainissement désignées à chaque entrée et sortie de l'installation, la technologie de dépistage de la fièvre pour tout le personnel avant qu'il n'entre dans l'usine, le remappage des étages de l'usine pour garantir que les équipes puissent effectivement se distancer socialement et l'ensemble complet des EPI. pour tous les employés sur site.

«Nous pensons que ces mesures donnent au personnel la certitude que toutes les précautions ont été prises pour s'assurer qu'il peut retourner au travail en toute sécurité.»

Source Construction Enquirer par Aaron Morbyil 

La tuile solaire, une chance d’intégration pour le photovoltaïque

C’est la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, qui a inauguré la fabrique Sunstyle de tuiles solaires, à Châtellerault (Vienne) ce jeudi 15 octobre 2020. La société ambitionne d’être capable de fournir 1 GW de nouvelles capacités dans 5 ans grâce à un produit de verre texturé (et potentiellement coloré) capable d’assurer à la fois l’étanchéité et la production d’électricité.

Elégante, discrète, fonctionnelle… Ces qualificatifs pourraient être ceux d’une nouvelle tenue confectionnée par une marque de prêt-à-porter. Ils s’appliquent pourtant à une nouvelle solution de couverture : la tuile solaire française Sunstyle. Un produit d’une apparente simplicité qui se révèle capable d’assurer à la fois l’étanchéité d’une toiture classique et la production d’électricité d’une centrale photovoltaïque. Et c’est à Châtellerault que seront produites ces tuiles dans un bâtiment de 70 000 m² (lui-même paré d’une toiture solaire, cela va de soi) inauguré ce 15 octobre 2020 par Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique et solidaire. Si la capacité actuelle de production est encore modeste, avec 50 MWc, il sera possible de la multiplier par 6 en fonction de la demande. Car l’ambition de Sunstyle est de parvenir à livrer 1 GWc par an à l’horizon de 2025 !

Techniquement, la tuile solaire se présente comme un carré de 870 mm de côté en verre texturé, anti-reflet. Trois coloris sont disponibles, noir, gris ou terre cuite, de façon à faciliter l’intégration esthétique de ces éléments modernes. La capacité de production électrique sera légèrement affectée par la coloration : en effet, la version noire atteint une puissance de 115 Wc/tuile tandis que les grises ou rouges seront légèrement moins performantes (puisque tout le spectre lumineux n’est pas exploité) à 85 Wc. La pose, par vissage sur sous-structure portante en bois, s’effectue en losange, comme explique la marque : « Elle a été développée en s’inspirant des toitures traditionnelles en ardoise et en pierre des régions alpines, créant ainsi un remarquable effet ‘écailles de poisson’ ». L’opération serait assez rapide, avec moins de 30 minutes par mètre carré en moyenne. La marque dispensera des formations gratuites aux artisans couvreurs, au sein de sa fabrique, par petits groupes de 8 à 12 professionnels, avant qu’ils n’installent leur première toiture photovoltaïque. Sunstyle proposera également une formation initiale aux nouveaux métiers du solaire intégré en partenariat avec le lycée Simone Weil de Conflans (Yvelines). À noter que le CSTB a émis un avis technique pour la solution qui est le seul pour une toiture complète en verre.

Un bonus au photovoltaïque intégré en 2021

Les tuiles « made in France » peuvent s’adapter à toutes les toitures, en neuf comme en rénovation, et la gamme comporte 15 références pour couvrir tous les pans de toiture de façon homogène, sans nécessité de recourir à un autre matériau de couverture, y compris des tuiles d’angle et latérales. Une fois mises en place, elles se passent d’entretien et présentent une grande longévité, avec 10 ans de garantie sur le produit et 25 ans sur la production électrique. Le coût de l’équipement photovoltaïque sera amorti au bout de 10 à 14 ans, laissant le reste de la durée de vie pour faire des bénéfices, soit en couvrant la consommation du bâti, soit en revendant la production. Quant à la question de la fin de vie, Sunstyle précise que les éléments sont recyclables à 95 %.

La société et la Banque des Territoires lancent une solution clé en main aux acteurs publics et privés, comprenant le financement des toitures solaires avec pose et entretien, comme l’explique Emmanuel Legrand , directeur du département Transition énergétique et écologique à la Banque des Territoires : « L’innovation apportée par Sunstyle doit permettre une meilleure intégration de ces outils technologiques aux bâtiments, dans le respect de la qualité architecturale du patrimoine de nos territoires. Une solution de tiers financement permettra d’accélérer le déploiement de ces outils ». De son côté, Barbara Pompili a d’ailleurs annoncé un coup de pouce supplémentaire au solaire intégré avec « l’octroi d’un bonus pour ceux qui choisiront ces technologies en 2020 et 2021 ».

Si tous les toits de l'UE étaient tous photovoltaïques, ils pourraient produire 680 TWh/an, soit 25 % de la consommation européenne.

Source Zepros News par G.N.

Bouyer Leroux en quête d'une nouvelle acquisition majeure

La coopérative, initialement spécialisée dans la brique en terre cuite, envisage une nouvelle acquisition de taille pour se diversifier dans la rénovation. Elle investit en parallèle 60 millions d'euros dans les énergies renouvelables.

En dix ans, le chiffre d'affaires du groupe a quintuplé pour atterrir à 350 millions d'euros cette année.

La crise n'a pas émoussé l'appétit de Bouyer Leroux pour la croissance externe. 

Le groupe coopératif de Cholet (Maine-et-Loire), numéro un français de la brique en terre cuite, prépare une nouvelle acquisition d'envergure, « un grand projet structurant », comme ce fut le cas avec les rachats d'Imerys Structure, dans la terre cuite, de Soprofen dans la menuiserie, de Robert-Thébault, fabricant de pièces de béton, puis, l'an dernier, de Panaget , référence du plancher en bois.

Source Les Echos par Emmanuel Guimard

Frédéric Didier, sur les terres de Wienerberger

Il succède à Francis Lagier, disparu en août dernier, à la tête de Wienerberger France, filiale du leader mondial de la terre cuite dans le bâtiment, fondé à Vienne en 1819.

Rares sont les patrons qui peuvent dire que leur vocation remonte à l'enfance. 

Frédéric Didier est de ceux-là. Petit, il était fasciné par les ouvrages d'art, la construction et les infrastructures routières. 

Quatre décennies plus tard, il vient d'être nommé directeur général de Wienerberger France, filiale du leader mondial de la terre cuite dans le bâtiment, fondé à Vienne en 1819.

Source les Echos par Bénédicte Weiss

La collection bardage de BMI Monier

Résistance

Les tuiles BMI Monier sont reconnues pour leur durabilité et leur revêtement inaltérable. Elles résistent aux chocs et aux conditions climatiques les plus extrêmes.

Design

Une collection riche en coloris modernes, des teintes uniformes et profondes telles que le noir, le brun et l’anthracite …., une multiplicité des formes qui permet d’imaginer les rendus les plus inattendus.

Eco-responsable

Souhaitant répondre aux enjeux environnementaux, BMI Monier possède pour ses tuiles Terre cuite et Béton, la fiche de données environnementales et sanitaires (FDES).

Fabrication française

Toutes les tuiles BMI Monier sont fabriquées tout près de chez vous, au cœur de vos régions. BMI Monier compte 7 usines sur toute la France : Saint-Nabord, Verberie, Aiguillon, Limoux, Signy-l’Abbaye, Roumazières-Loubert et Marseille.

Economique

La tuile est une solution très économique comparée aux autres matériaux employés dans le domaine des bardages lourds. A résistance et longévité égales, la tuile est le meilleur compromis technico-économique.

L’entretien est très simple ; il est facile de remplacer un élément cassé ou détérioré car une seule petite pièce devra être changée.

Services

Une équipe à votre écoute pour vous accompagner dans tous vos projets.

Vous pouvez contacter notre Hotline Allô Monier au : 0800 338 338 (0,15 euro TTC/mn).

Pour toutes demandes techniques, vous pouvez contacter BMI Monierpar mail

Les premiers objets BIM Monier France en Terre cuite ou Béton sont désormais à votre disposition. Créés en collaboration avec le Centre Technique, nos objets BIM contiennent un ensemble d’informations et de caractéristiques géométriques et techniques vérifiés. Pour répondre au mieux à vos besoins, nos solutions sont disponibles gratuitement au format IFC et sous plusieurs logiciels CAO et BIM : Revit, ArchiCAD, 3DS max, AutoCAD, Sketchup, entre autres. Pour les intégrer dans vos projets, il vous suffit de créer un compte sur la plateforme spécialisée Bimobject.

Découvrez les objets BIM Monier France en Terre cuite ou Béton

Source BMI Monier

Allemagne: Frank Händle fête ses 80 ans

Une personnalité appréciée dans l'industrie de la céramique à travers le monde a célébré son 80e anniversaire le 8 septembre: Frank Händle.

Pendant 30 ans, il a dirigé l'entreprise de renommée mondiale Händle, a assumé un rôle de pionnier technique, a donné des impulsions et des éléments de réflexion et a ainsi eu une influence décisive sur le développement de la technologie de la construction. La coopération avec les institutions scientifiques était importante pour lui et, en tant qu'entreprise de taille moyenne, il s'offrait le «luxe» de faire lui-même des recherches fondamentales. À un âge où les autres prennent leur retraite, Frank Händle repart. En quittant l'entreprise Händle en 2001, il a repris la division «Céramiques techniques» et a fondé en 2002 la société ECT GmbH (Extrusion for Ceramic Technology). En se spécialisant dans l'extrusion, soutenue par 35 ans d'expérience dans l'industrie céramique et la R&D et soutenue par les membres du réseau qui s'est constitué, la société ECT est rapidement devenue une success story.

Avec son manuel «Extrusion in Ceramics» publié en 2007, Frank Händle a créé un ouvrage standard qui couvre tout le domaine de la technologie d'extrusion céramique, ainsi qu'un grand nombre de publications.

Même à l'âge de 80 ans, Frank Händle a des liens étroits avec l'industrie de la céramique. Nous attendons avec impatience de nombreuses années ensemble: Joyeux anniversaire - cher Frank Händle - en particulier la santé!

Source Ziegelindustrie International

Pourquoi autant de briques rouges dans le Nord et le Pas-de-Calais ?

Les briques rouges forgent l’identité culturelle du Nord et du Pas-de-Calais. Elles s’inscrivent dans notre paysage, et soulèvent peut-être chez vous des questionnements : pourquoi ce rouge ? Pourquoi sont-elles majoritairement utilisées dans la région ? Nous allons tenter d’y répondre.

Les maisons 1930 en brique rouge, un classique de l’architecture régionale. 

On les croise tous les jours. Elles reflètent l’âme des maisons du bassin minier, des corons, de l’habitat ouvrier. Les briques rouges font aussi partie intégrante du patrimoine industriel de Roubaix, de Tourcoing, en passant par la mairie de Boulogne-sur-Mer, l’hôtel de ville de Calais et son beffroi, la Chambre de commerce de Lille, les îlots rouges de Dunkerque…

Aurélien Masurel, architecte du patrimoine retrace leur histoire : « On trouve de la terre cuite dans notre région dès l’époque gallo-romaine. Au départ, on a utilisé de l’argile séchée, construit des habitats...

Source la Voix du Nord par Marine Jaboureck 

1995-2020 Les vingt-cinq ans de Tecnofiliere

Au cours de ces 25 années, Tecnofiliere a toujours mis fortement l'accent sur la recherche et l'innovation et la qualité des matériaux qu'elle utilise, ainsi que sur la conception méticuleuse de solutions technologiques et un dialogue constant avec les clients.

Reconnu comme l'un des producteurs italiens les plus dynamiques de machines d'extrusion de briques, Tecnofiliere célèbre ses 25 premières années d'exploitation. Au cours de ce quart de siècle intense de développement technologique et de défis commerciaux, l'entreprise a fait un certain nombre de choix audacieux et de changements qui ont porté leurs fruits en termes de crédibilité et de croissance équilibrée. Développement, innovation et succès sont allés de pair avec l’évolution du portefeuille et de l’équipe de la société.

«L’histoire de Tecnofiliere a été créée avant tout par les contributions inestimables de nos employés, clients et associés, qui, ensemble, ont bâti l’entreprise d’aujourd’hui et à qui nous tenons à remercier tout particulièrement,» déclarent les partenaires fondateurs Paolo Pedrielli et Oberdan Panzani. «Cet anniversaire n'est qu'une étape dans le voyage que nous avons commencé en 1995 et nous sommes convaincus que nous atteindrons de nombreux autres jalons grâce à notre enthousiasme et notre persévérance. Dans le monde des affaires d’aujourd’hui, le professionnalisme, l’engagement et la passion sont les qualités les plus importantes pour atteindre l’excellence et être compétitif. »

Au cours de ces 25 années, Tecnofiliere a toujours mis l'accent sur la recherche et l'innovation et la qualité des matériaux qu'elle utilise, ainsi que sur la conception méticuleuse de solutions technologiques et un dialogue constant avec les clients. Cela permet à l'entreprise de proposer des projets personnalisés et un support après-vente en temps opportun, comme elle a continué à le faire tout au long de la période de blocage. Grâce à une organisation à distance efficace, le personnel de l’entreprise est resté à tout moment à la disposition des clients.

Tout au long de son histoire, Tecnofiliere a toujours été un promoteur passionné des produits de fabrication italienne et est constamment à l’écoute du monde de la fabrication, répondant à ses besoins et développant une large gamme de solutions qui constituent désormais le patrimoine de l’entreprise. L'une des innovations les plus importantes est celle des têtes de pression spéciales revêtues de polymère qui garantissent non seulement une grande amélioration en termes d'efficacité énergétique, mais aussi une durée de vie quasi illimitée de l'équipement. Parmi les autres solutions très appréciées, citons les systèmes de lavage des matrices, du TF1000EVO FC le plus avancé avec panneau de commande intégré au TF700 adapté aux petites matrices et le laveur à eau TF ECOWASH plus maniable, ainsi que le système de maintenance TF qui est idéal pour effectuer l'entretien du four .

L’un des principaux moteurs de croissance de l’entreprise est sa concentration sur les exportations, qui représentent plus de 90% du chiffre d’affaires, tandis que la recherche et la production sont entièrement réalisées en Italie. À son siège social de Novi di Modena, la société développe des machines pour des clients du monde entier et gère directement les différentes étapes de production afin de maintenir un contrôle strict de l'ensemble du processus.

Source CeramicWorldWeb

Un propriétaire de Tesla note la brique «V1» d'Elon Musk pour effectuer une comparaison de test de chute

Un propriétaire de Tesla a récemment acquis un rare échantillon  de la brique «V1»fabriquée par la Boring Company d'Elon Musk  pour un test de durabilité. Dan Markham de la chaîne YouTube What’s Inside a pu mettre la main sur deux briques de la Boring Company et s’est amusé à effectuer un test de chute pour comparer sa durabilité avec des concurrents potentiels sur le marché.

Markham a réussi à mettre la main sur deux Boring Bricks du premier lot de 500 pièces «V1», grâce à un employé de Boring Co. Le PDG de Tesla et SpaceX a parlé de briques bon marché faites de roche tunnel depuis 2018, et à la manière d'Elon Musk, il les a appelées Boring Bricks. Musk avait déclaré que les briques coûteraient 10 ¢ la pièce, nettement moins que les briques sur le marché.

Outre le matériau et le prix abordable de Boring Brick, une autre caractéristique intéressante à son sujet serait sa durabilité. Lorsque Musk a présenté la Boring Brick, il a souligné sa force. "[Les briques sont] évaluées pour les charges sismiques californiennes, si super fortes, mais perçées au milieu, comme un longeron d'aile d'avion, donc pas lourdes", a déclaré Musk plus tard dans un tweet.

Markham voulait mettre les paroles de Musk à l'épreuve et a comparé ses Boring Bricks avec quatre alternatives traditionnelles. Il a acheté une brique d'argile rouge moyenne pour 53 ¢, une brique d'argile usagée pour 58 ¢, une brique de parpaing renforcée avec de l'acier pour 71 ¢ et une brique de parpaing normale pour 43 ¢.

Pour son test de durabilité, Markham a laissé tomber chaque brique de différentes hauteurs jusqu'à ce qu'elle se brise en morceaux. Pour le premier test, il les a laissés tomber du niveau de la poitrine et la Boring Brick a réussi sans problème. La brique de parpaing de 71 ¢ renforcée d'acier a réussi sans aucune égratignure, et la brique d'argile rouge de 53 ¢ a également survécu au premier test avec un léger éclat dans le coin.

Malheureusement, la brique d'argile de 58 ¢ et le parpaing de 43 ¢ ont été éliminés au premier tour après que les deux se soient brisés en deux.

Pour le deuxième test, Markem est monté un escalier et a laissé tomber les briques d'environ 10 pieds au-dessus du sol. Les briques restantes ont toutes passé le deuxième tour relativement indemnes, à l'exception d'un petit éclat au coin de la brique d'argile rouge et d'un minuscule sur la brique ennuyeuse.

Dans le troisième test, la Boring Brick a prouvé une fois de plus sa durabilité, survivant à une chute d'environ 12 à 14 pieds au-dessus du sol avec juste un autre léger éclat. À cette époque, la seule autre brique qui ait survécu au test de durabilité de Markham était la brique de parpaing renforcée avec de l’acier, qui coûtait plus de 7 fois le prix de la brique ennuyeuse.

Le test de l'hôte était sans aucun doute amusant et a démontré la durabilité de Boring Brick à un certain niveau. Cependant, la durabilité des briques est généralement testée par compression et d’autres facteurs doivent être pris en compte pour juger de la qualité d’une brique.

Néanmoins, la vidéo de Markham a réussi à montrer que la Boring Brick est un produit viable et pourrait être une autre idée potentiellement révolutionnaire de Musk. À son prix, Boring Bricks pourrait changer le marché de la construction et du logement. Markham a payé un peu plus pour ses Boring Bricks, mais cela ne semblait pas déranger car il s'agissait de pièces commémoratives. Il a payé 200 $ pour chaque brique  et en a donné une à un ami.

Elon a décrit Boring Bricks comme «des briques imbriquées de type LEGO grandeur nature» dans le passé. Sur la base des briques acquises par Markham, il semble que Musk s'en tient à son plan. The Boring Brick avait deux trous au centre rappelant les briques Lego, avec «The Boring Company» écrit au milieu. Ceux-ci devraient permettre des constructions faciles pour les projets de construction, car les briques sont optimisées pour être posées avec relativement peu d'effort.

Regardez le test de durabilité Boring Brick de Dan Markham dans la vidéo ci-dessous.

Source Teslarati par Maria Merano

BMI simplifie les structures de direction en Allemagne

Le regroupement grandissant des entreprises BMI en Allemagne progresse continuellement. Dans un processus de consolidation débutant en 2021, les entreprises BMI opérant sur le marché deviendront légalement une unité en deux étapes, comme la société l'a annoncé. La politique de marque et de vente reste inchangée.

L'objectif est de simplifier considérablement les procédures et processus opérationnels en coopération avec les clients et partenaires commerciaux. À la fin du processus de consolidation, BMI affirme être en mesure de proposer tous les produits du groupe allemand d'une seule entreprise, quelle que soit leur affiliation à la marque. Sur le chemin, une étape intermédiaire sera franchie à partir de janvier 2021: les sociétés Braas, Icopal, Vedag et Wolfin Bautechnik seront fusionnées en deux nouvelles sociétés. L'activité toit en pente est regroupée dans BMI Steildach GmbH, l'activité toit plat de BMI Flachdach GmbH. Dans une seconde et dernière étape, les zones commerciales de ces deux sociétés doivent être fusionnées en une société de vente commune. Il est prévu d'achever ce processus en 2022.

«Au final, nos clients du commerce spécialisé en particulier bénéficieront de la rationalisation juridique de nos entreprises. À la fin du processus, nous vous proposerons tous les produits d'une seule entreprise, ce qui facilite grandement le travail en commun », explique Christian Birck, directeur général du groupe BMI en Europe centrale, expliquant les changements. «Il est essentiel pour nous et nos clients de continuer à nous appuyer sur nos marques nationales fortes Braas, Icopal, Vedag et Wolfin. Ils sont la pierre angulaire de notre succès et le resteront à l'avenir. "

L'entreprise ajoute qu'à partir d'octobre, les clients de détail seront informés en détail par courrier des étapes individuelles impliquées dans la modification de la structure de l'entreprise et des mesures opérationnelles qui en découlent.

Source Baustofftmarkt

Edilians - Après les plaintes de riverains, la tuilerie de Racquinghem « investigue »

La tuilerie Edilians de Racquinghem indique mener des investigations pour comprendre « des désagréments constatés » par des habitants. Depuis plusieurs années, les habitants ont remarqué des taches jaunâtres sur les voiries, leur mobilier extérieur, les voitures, etc.

Plus on s’approche de la tuilerie de Racquinghem, plus les trottoirs sont orangés.

La tuilerie de Racquinghem est présente depuis plus d’un siècle à Racquinghem, son site historique. En 2017, la tuilerie dit s’être équipée d’un nouvel épurateur, qui permet de filtrer les rejets du four dans l’air, pour un coût d’un million d’euros : «  Les améliorations progressives de cet équipement permettent aujourd’hui d’être bien en deçà des seuils autorisés  ».

La Direction régionale de l’industrie, de la recherche et de l’environnement (DRIRE), – ex-DREAL –, effectue, via des sociétés indépendantes, des contrôles inopinés sur les sites industriels.

Source La Voix du Nord par Aïcha Noui

Une étrange pollution inquiète les riverains, voisins de la tuilerie EDILIANS de Racquinghem

Les habitants s’inquiètent d’une pollution rue du Choquel à Racquinghem. Leurs maisons sont situées juste en face de la tuilerie Edilians, qui fabrique des tuiles en terre cuite. Depuis des années, des taches jaunâtres ou orangées couvrent les trottoirs ou le mobilier urbain. Sans certitude sur l’origine de cette pollution, les habitants craignent un impact sur leur santé.

Plus on s’approche de la tuilerie, plus le sol prend une couleur terre battue, plus marquée.

«  C’est comme des petites taches de rouille  » qui marquent de leur empreinte la rue du Choquel à Racquinghem. Depuis quelques années, des riverains, vivant juste en face de la tuilerie Edilians – anciennement Imerys –, ont remarqué des dépôts jaune-orangé qui apparaissent sur le mobilier extérieur, les voitures et sur les voiries...

Source La Voix du Nord par Aïcha Noui

Terreal rachète Creaton pour devenir le leader européen de la tuile terre cuite

Ce jeudi 22 octobre 2020, Terreal a annoncé lors d'un point presse le rachat de Creaton, leader de la tuile terre cuite en Allemagne et en Pologne. Grâce à cette acquisition, le groupe Terreal comptera environ 3 200 salariés et réalisera un chiffre d'affaires de 610 millions d'euros, devenant ainsi le leader européen, voire mondial, de la tuile en terre cuite.

Laurent Musy, PDG de Terreal, annonce d'emblée la couleur : « C'est une journée historique pour Terreal ». Il a de quoi se réjouir, puisque l'acquisition de Creaton, leader des tuiles en terre cuite en Allemagne et en Pologne, vient tout juste d'être actée.

C'est la quatrième acquisition du groupe en à peine quatre ans, mais sans hésitation la plus importante. 

« Nous allons devenir le leader européen, et même mondial, de la tuile en terre cuite ! », se félicite Laurent Musy.

Terreal rachète le leader allemand de la tuile terre cuite

Appartenant jusqu'ici au groupe belge Etex, Creaton a son siège basé à Wertingen, en Bavière. L'entreprise dispose de 8 usines de terre cuite, dont 6 en Allemagne, une en Pologne et une en Hongrie. Les tuiles en terre cuite représentent d'ailleurs 85 % de son activité, devant les tuiles en béton (9 %), et les composants de toiture (6 %).

Grâce à ce rachat, le groupe Terreal comptera désormais 3 200 salariés, et la croissance devrait augmenter de +63 %. En tout, il comptabilisera 610 millions d'euros de chiffre d'affaires, réalisé à 60 % par Terreal et 40 % par Creaton.

Le groupe Terreal bientôt leader européen

Avec l'acquisition de Creaton, le groupe deviendra sans conteste le leader européen des tuiles en terre cuite : 1er fournisseur en Allemagne et en Pologne, mais aussi 2ème en France, et 3ème en Italie et dans le Benelux.

« C'est une opportunité unique, le marché des pays de l'Est est en forte croissance, avec une richesse accrue des ménages », poursuit Laurent Musy.

Ce rachat va surtout permettre au groupe de développer une « assise franco-allemande forte », selon les mots du PDG. Il faut dire que Terreal réalise 83 % de son chiffre d'affaires en France, et Creaton 62 % du sien en Allemagne. Au terme de cette fusion, le groupe réalisera 53 % de son CA en France, et 22 % en Allemagne.

Alors que Terreal est en plein développement de son offre solaire, l'entreprise entend bien aider Creaton à developper à son tour ce marché.

Une expansion géographique qui permet d'équilibrer les risques

Cette expansion géographique permet également au groupe d'équilibrer les risques, surtout dans le contexte actuel de pandémie et de crise économique mondiale. Terreal est en effet déjà présent en Corée du Sud et aux Etats-Unis, où l'impact de la crise est particulièrement important. « Nous souffrons plus aux Etats-Unis qu'en France actuellement. L'Allemagne et la Pologne sont encore moins impactés, même s'il existe encore des risques », précise le PDG.

Laurent Musy précise que ce rachat a été rendu possible grâce à de nombreuses liquidités, et ce malgré la crise liée au Covid-19, mais aussi des apports de ses trois principaux actionnaires : Park Square Capital, Goldman Sachs Merchant Banking Division, et Barings.

« C’est grâce au travail accompli au cours des dernières années pour renforcer l’activité et la situation financière de Terreal, ainsi qu’au fort soutien de nos actionnaires que nous pouvons aujourd’hui réaliser cette acquisition. (...) Nous sommes convaincus que les équipes de Creaton et celles de Terreal partageront une culture commune fondée sur l'excellence opérationnelle, la proximité client, l'ouverture et le travail d'équipe. Nous sommes enthousiasmés par la perspective de poursuivre ensemble la transformation de Terreal », conclut son PDG.

L'opération devrait être finalisée d'ici le premier trimestre 2021, le temps d'obtenir toutes les approbations réglementaires.

Source Batiweb  par Claire Lemonnier

Belgique - Etex vend sa filiale productrice de tuiles Creaton

Etex a conclu un accord avec la société française Terreal sur la vente de Creaton, la division qui produit des tuiles d'argile et de béton, a indiqué jeudi par communiqué le groupe belge de matériaux de construction basé à Zaventem. Les détails financiers de la transaction n'ont pas été divulgués.

La vente devrait être conclue en début d'année prochaine.

Creaton a été fondée en 1992 en Allemagne et acquise en 2005 par Etex. Le groupe emploie 1.250 personnes et dispose de 12 sites de production de tuiles et d'accessoires pour l'Allemagne, la Pologne, l'Europe du sud-est et le Benelux. La société est actuellement numéro un en Allemagne et en Pologne pour les tuiles en argile et numéro deux en Hongrie et en Europe du sud-est.

Terreal, le nouveau propriétaire de Creaton, a plus de 150 ans d'expérience dans la production de matériaux de construction en terre cuite et est spécialisé dans quatre domaines: toiture, panneaux solaires, structure, revêtement et décoration. Terreal emploie plus de 2.000 personnes sur 23 sites en France et dans le monde.

La vente représente "une étape stratégique", selon Etex; la conclusion du changement de stratégie amorcé il y a deux ans. L'ambition du groupe est désormais de "devenir un acteur mondial dans les technologies de construction légères, durables, rentables et qualitatives". Les tuiles de toit d'argile et de béton ne rentrent plus dans cette image.

Etex a déjà vendu d'autres filiales: Umbelino Montiero (Portugal), Marley Ltd (Royaume-Uni), Marley South Africa et sa participation de 50% dans RBB nv (Belgique).

Source Le Soir

Allemagne - La société Creaton rejoint la société française Terreal

L'entreprise Creaton avec 1260 employés répartis sur plusieurs sites est vendue. Désormais, une fusion avec un groupe français est en cours.

Le fabricant de tuiles Creaton de Wertingen, avec 1260 employés, entre entre de nouvelles mains. Jusqu'à présent, Creaton appartient au spécialiste international des matériaux de construction Etex. Etex cède désormais la filiale au groupe français Terreal, qui se veut le leader du secteur dans le pays voisin pour les produits de toiture et les solutions pour l'enveloppe du bâtiment. Terreal a annoncé que l'accord avait déjà été signé.

«Avec la fusion de Terreal et Creaton en un nouveau groupe industriel, les deux sociétés bénéficient d'effets de synergie étendus ainsi que d'une plus grande couverture de zone et d'une gamme plus large», dit-il. La fusion avec Terreal s'inscrit dans la continuité de la stratégie de Creaton, qui se concentre depuis 2019 sur les tuiles en terre cuite, les tuiles en béton et les accessoires pour toitures en pente.

"Le fait que la transition ait pu être conçue et traitée si rapidement est en grande partie grâce à notre performance commerciale conjointe en cette année spéciale 2020", a déclaré le patron de Creaton, Sebastian Dresse. «Jusqu'à présent, nous avons maîtrisé la crise corona avec facilité. Dans le même temps, et dans des circonstances particulièrement difficiles, nous avons réussi à étendre notre réussite économique », a-t-il ajouté dans un communiqué de presse.

La vente est encore soumise à l'approbation des autorités réglementaires. L'accord est ensuite attendu au premier trimestre 2021, ont annoncé les entreprises.

"Le rachat de Creaton signifie une transformation significative pour Terreal", a déclaré le patron de la société Laurent Musy. "En élargissant considérablement la taille et la portée de notre entreprise afin de devenir le leader du marché européen des tuiles en terre cuite, nous faisons un grand pas en avant sur notre chemin de croissance rentable et durable et dans l'expansion de notre présence internationale."

L'opération devrait déboucher sur une fusion des entreprises: «La fusion avec Creaton vise à devenir le leader du marché européen dans le domaine des tuiles en terre cuite», estime la moyenne. Le groupe industriel qui en résultera prendra la tête du marché européen dans le domaine des tuiles en terre cuite.

Terreal est un spécialiste dans les domaines de la toiture, du solaire, de la structure et de la façade & décoration. Sur 23 sites en France et à l'international, plus de 2000 collaborateurs réalisent un chiffre d'affaires annuel de près de 400 millions d'euros. 

Source Augsburger Allgemeine

La France : un eldorado pour les plus riches

Emmanuel Macron voulait plus de milliardaires en France... et les réformes payent ! Dans l’Hexagone, les plus riches s'enrichissent toujours plus et toujours plus vite. Sans contribuer à l’économie. « Un pognon de dingue » que révèlent deux rapports sur la fiscalité du capital en France et les milliardaires dans le monde. 

En dix ans, la fortune des milliardaires français a tout simplement quintuplé. 

D’après le rapport annuel UBS-PwC, ceux-ci ont vu leur fortune augmenter de 439 % en dix ans, soit la deuxième meilleure performance mondiale (voir infographie) ! 

Les avoirs de Bernard Arnault, le champion de nos milliardaires nationaux, sont ainsi passés de 14,5 à 88 milliards d’euros entre 2010 et 2020, ceux des Bettencourt, mère puis fille, de 10 à 66 milliards. 

Enfin la palme revient à François Pinault, qui n’émargeait qu’à 943 millions d’euros en 2009 et qui est aujourd’hui à la tête de pas moins de 44 milliards d’euros ! 

Des montants qui devraient inciter les gouvernements à soumettre les riches, qui dépassent de beaucoup le petit cercle des milliardaires, à davantage de solidarité nationale.

Source L'Humanité par Clotilde Mathieu

Tennis (Roland-Garros) : la brique rouge templeuvoise, ADN chromatique du Grand Chelem parisien

La matière première de la poudre rouge qui représente l’ADN chromatique des courts de Roland-Garros est produite dans les Hauts-de-France, à Templeuve-en-Pévèle, à 18 kilomètres au sud-ouest de Lille.

C’est à Templeuve que l’on trouve l’origine de la terre battue qui recouvre les courts de Roland-Garros. 

On la trouve agglomérée sous les semelles, saupoudrée sur les chaussettes, tachetée sur la tenue des sportifs, ou encore couvrante sur les lignes blanches qui ont régulièrement besoin d’un bon coup de balai. Elle, c’est cette poudre rouge qui depuis 1928 représente l’ADN chromatique des courts de Roland-Garros. Une poudre dont la matière première est produite dans les Hauts-de-France, à Templeuve.

C’est l’histoire d’une surface née en 1880 de l’imagination des frères Renshaw, installés dans le sud de la France où la chaleur brûle les gazons. Cette année-là, les deux Anglais ont l’idée de saupoudrer leur terrain de tennis de poudre issue de pots en terre cuite fabriqués à Vallauris. Aujourd’hui, les pots ont été remplacés par des briques rouges dont les défauts de fabrication offrent une incroyable matière première.

Une poudre issue des briques défectueuses

« Elles sont fabriquées à partir d’une terre naturelle, explique Gilles Bernard, PDG des Briqueteries du Nord. Alors parfois, après passage au séchoir, des fissures peuvent apparaître. A la sortie de la chaîne de production, les briques défectueuses sont mises de côté. Tout comme celles qui n’ont pas la bonne couleur pour nos clients ou celles dont on ne conserve que la plus belle face pour du parement. Et c’est à partir de ces déchets qu’est confectionnée la terre battue de la Porte d’Auteuil.  »

Des déchets amassés à Templeuve (quelques milliers de tonnes par an) puis transportés par camions vers Pontpoint, dans l’Oise, dans l’usine de broyage de Supersol. Ce fournisseur du French Open réceptionne chaque année 80 tonnes de cette merveilleuse poudre rouge. « Notre gisement est très prisé, sourit Gilles Bernard. On vend ces déchets entre 1 et 2 centimes le kilo à cette PME. C’est elle qui détient la formule magique pour les transformer en cette terre battue connue dans le monde entier.  »

Valoriser le déchet à travers un habile recyclage : l’occasion était trop belle pour les Briqueteries du Nord de prendre la balle au rebond.

Source La Voix du Nord par Sébastien Darnaux 

Cosmec effectue des voyages virtuels en Pologne, aux États-Unis et en Algérie

Utilisant une technologie capable d'atteindre les zones les plus éloignées, elle a réussi à démarrer à distance une usine en Pologne et a réalisé des progrès significatifs sur deux autres sites, l'un en Algérie et l'autre aux États-Unis.

Tout au long de la récente pandémie de Covid-19, la société Cosmec, basée à Vérone, a continué à fournir support et assistance à ses clients. Utilisant une technologie capable d'atteindre les zones les plus éloignées, elle a réussi à démarrer à distance une usine en Pologne et a réalisé des progrès significatifs sur deux autres sites, l'un en Algérie et l'autre aux États-Unis.

Les restrictions de déplacement strictes n'ont pas empêché l'entreprise italienne d'achever l'installation et la mise en service de la nouvelle ligne automatique de découpe, chargement, réglage et déchargement des produits cuits dans l'usine du producteur polonais de briques ZCB. Après avoir été brusquement interrompus en avril, les tests d'acceptation sur site des équipements fournis et du nouveau système de gestion de la supervision du four et du séchoir ont été réalisés ces dernières semaines par les techniciens de Cosmec qui ont finalement pu se rendre sur les lieux. L'usine est désormais pleinement opérationnelle et répond à la capacité de production contractuelle sans aucun retard par rapport au calendrier convenu avant l'épidémie de Covid. Les travaux ont été réalisés à l'entière satisfaction du client grâce à l'étroite collaboration entre les équipes techniques des deux sociétés.

Cosmec a obtenu les mêmes résultats remarquables en juillet en réussissant à installer un système de chargement de wagons à double four et une nouvelle ligne de découpe dans l'usine d'un grand groupe américain sans interrompre la production normale, un facteur important dans un pays où le secteur immobilier s'est poursuivi. opérer.

Toujours en juillet, Cosmec a poursuivi l'installation de l'usine à l'usine de Khadidja Briqueterie en Algérie, en collaborant lors du confinement avec une équipe locale spécialisée dans l'installation d'équipements pour fours et séchoirs. L'opération, menée sous la surveillance constante de la société italienne, s'est conclue avec succès. L'équipement automatisé constitué d'un robot Fanuc 6 axes a été mis en place par le fournisseur.

Source CeramicWorldWeb

Sunstyle ouvre une usine de production française de tuiles solaires

Sunstyle International, un fabricant français de tuiles solaires, a ouvert une nouvelle usine dans la région Nouvelle-Aquitaine, visant à produire 1 GW de tuiles solaires d'ici 2025.

Cela aété annoncé par le producteur français d'énergie renouvelable Akuo Energy, qui utilise les produits Sunstyle dans ses installations.

Le nouveau site de production est situé à Châtellerault, dans le département de la Vienne. Dans ce document, Sunstyle fabriquera deux versions des tuiles solaires - une tuile noire de 115 Wp et une tuile de couleur de 85 Wp. Les deux sont disponibles dans une taille de 870 x 870 mm.

La technologie Sunstyle utilise des cellules solaires photovoltaïques (PV) cristallines qui sont intégrées dans la tuile du toit. L'entreprise a reçu la certification de l'organisation allemande de test, d'inspection et de certification (TIC) TUV Rheinland.

Source RenewablesNow

La ministre Barbara Pompili fait la promotion d'une tuile solaire fabriquée à Châtellerault

La ministre de la transition écologique a visité ce jeudi 15 octobre l'usine de production de tuiles photovoltaïques Sunstyle International à Châtellerault. Le produit est innovant.

Plus petites et plus discrètes que les panneaux solaires, les tuiles photovoltaïques baptisées "Sunstyle" étaient sous les feux des projecteurs ce jeudi 15 octobre avec la visite de Barbara Pompili à Châtellerault.

La ministre de la Transition écologique a fait le déplacement dans la Vienne à l'occcasion du lancement de cette tuile solaire fabriquée par Sunstyle International sur le site VMH Énergies. C'est l'unique entreprise française à fabriquer cette nouvelle technologie.

Pour l'heure, la production est gardée secrète, l'entreprise vise la production d'un gigawatt en 2025, contre 50 mégawatts actuellement.

Le concept permet de fabriquer de l'énergie avec un système intégré dans la tuile.

Plutôt que d'avoir une tuile standard sur laquelle vous mettez un système de fixation puis des panneaux solaires, on propose un seul et unique produit qui remplit l'ensemble des fonctions : étanchéité et production d'électricité renouvelable.

Il s'agit d'une entreprise française qui fabrique en France, l'énergie solaire sera de l'énergie made in France, ce sont des gens qui, déjà depuis 2007, ont décidé de miser sur l'énergie solaire et de miser sur une énergie solaire innovante que l'on peut mettre sur les toits, qui ne se voit pas, qui s'intègre dans le paysage et qui est plus facile à utiliser.

VMH Énergies, le fabricant de supports photovoltaïques est en pleine croissance, l'entreprise a doublé le nombre de ses salariés ces deux dernières années. Elle emploie aujourd’hui 47 personnes. L'usine est installée depuis 2014 dans l’ancienne usine New Fabris à Châtellerault. 

Source France 3

Maine-et-Loire : âgée de 110 ans, comment se porte la briqueterie Montrieux ?

L'entreprise Rairies Montrieux, qui compte 75 salariés, vient de fêter ses 110 ans. Retour sur l'histoire de cette briqueterie familiale installée dans le nord du Maine-et-Loire.

L'entreprise a fait bondir son chiffre d'affaires en quelques années.

À la base, ce n’est que de l’argile crue, extraite de la terre locale… Mais c’est aujourd’hui un matériau, sous forme de briques, céramiques ou carreaux, que l’on retrouve sur les murs et les sols, partout en France, sur les immeubles ou les maisons individuelles.

Depuis 110 ans, l’entreprise Rairies Montrieux perpétue un savoir-faire. Installée dans le village des Rairies, dans le nord du Maine-et-Loire, elle a su aussi évoluer au fil des tendances, et propose aussi bien des éléments traditionnels que modernes.

L’objectif : mêler « l’authentique avec une volonté très contemporaine », résume la société.

Fondée par deux frères

L’histoire commence en 1910, avec la création de la société par deux frères, Ernest et Victor Montrieux. Extraite des carrières, l’argile est placée dans des moules puis cuites dans un four à bois.

La méthode est toujours employée actuellement… L’argile, étirée au préalable, est disposée dans un four : la cuisson pourra durer 36 heures. Mais le processus peut s’étaler sur toute une semaine, entre l’entrée et la sortie du four.

Cette méthode ancestrale a été complétée par d’autres techniques, fonctionnant avec le gaz ou l’électricité, permettant de produire à grande échelle.

Après la reprise de la société par Rémy Montrieux en 1972 (la 7e génération de la famille de briquetiers), la production s’est en effet modernisée, s’orientant vers l’architecture, et particulièrement les façades, depuis 2008.

La cité du cinéma de Luc Besson

Parmi les clients, 90 % de professionnels. L’entreprise a travaillé notamment sur la fameuse Cité du cinéma de Luc Besson, installée à Saint-Denis au nord de Paris.

Chiffre d’affaires : vers les 10 millions d’euros

La société a survécu à la crise de 2008. « Les chiffres du bâtiment sont restés stables et positifs », note l’actuel dirigeant, Rémy Montrieux.

Le chiffre d’affaires est en rapide augmentation ces dernières années : de 5,9 millions d’euros en 2017, la société vise les 10 millions d’euros en 2021.

La majorité reste sur le territoire national : seulement 300 000 € de CA en 2019 à l’export contre 8,8 millions en France.

75 salariés dont 25 de plus en 5 ans

« On vient de sortir un nouveau catalogue », précise la société qui vient de réaménager son showroom aux Rairies ; un second se trouve à Paris, au Viaduc des arts.

75 salariés y travaillent, dont 25 de plus depuis 5 ans, avec des qualifications là aussi en hausse. L’entreprise est doublement labellisée « entreprise du patrimoine vivant » et « produit en Anjou"

Source Actu par Maxime Davoust

Belgique- Rénover votre façade ? 4 solutions pour un résultat beau et durable

La façade n’est pas uniquement la carte de visite de votre foyer : elle joue aussi un rôle essentiel dans son isolation. Au moment d’envisager la rénovation énergétique de votre habitation, la façade se retrouve parmi les premiers points à régler. Vous optez pour la post-isolation d’un mur extérieur existant ? Les solutions présentées ici vous permettent de créer une enveloppe d’isolation durable tout en renouvelant le cachet de votre foyer.

ECO-BRICK

Tout qui souhaite faire un petit effort complémentaire pour l’environnement et sa facture énergétique optera pour Eco-brick : cette brique de parement est jusqu’à 3,5 cm plus étroite qu’une brique traditionnelle, ce qui laisse plus de place pour l’isolation. Cela permet d’économiser des frais énergétiques à vie, sans devoir ajouter une grosse paroi. L’Eco-brick est tout aussi résistante et stable qu’une brique céramique traditionnelle, et elle convient pour la maçonnerie comme pour le collage. Elle permet en outre aux ouvriers de travailler de manière ergonomique : l’Eco-brick est une brique de parement fine, et donc légère.

PLAQUETTES

Vous voulez la qualité d’une bonne brique de parement mais vous n’avez pas la place pour des briques de plus de 65 mm ? Les plaquettes sont votre solution idéale. Avec leur épaisseur d’environ 22 mm, elles sont bien plus fines et offrent davantage d’espace pour plus d’isolation. Une fois la façade totalement revêtue de plaquettes, l’ensemble ressemble à s’y méprendre à un mur érigé en briques en terre cuite pleines. L’élégance esthétique s’ajoute donc aux économies en termes d’énergie de la façade.

FAÇABRICK

Les plaquettes sont aussi utilisées dans la solution pour façade Façabrick, développée par Wienerberger comme solution globale pour à la fois rénover et isoler les façades. Le système combine des panneaux d’isolation EPS en dur et des plaquettes pour que la façade allie apparence d’une maçonnerie traditionnelle et prestations thermiques optimales. Solution la plus fine pour isoler des murs extérieurs existants, Façabrick n’a besoin que de 15 cm pour des travaux pour lesquels un permis d’urbanisme est nécessaire. La nouvelle façade est raccrochée au mur existant, ce qui signifie que des travaux de fondation supplémentaires ne sont pas nécessaires. Le système est en partie préparé en usine, ce qui donne la certitude d’un placement rapide pour obtenir une façade imperméable, résistante et qui ne demande que peu d’entretien.

BARDAGE DE FAÇADE AVEC TUILES EN TERRE CUITE

Vous voulez surprendre avec votre façade ? Dans ce cas, après l’isolation du mur, vous pouvez recouvrir la façade de tuiles en terre cuite. Cela permet de combiner un bardage léger avec une technique de placement de tuiles abordable, d’un point de vue budgétaire. Un bardage de façade avec tuiles en terre cuite nécessite un espace disponible d’au moins 25 cm environ, pour les travaux avec permis d’urbanisme. Dans la plupart des cas, un lattage en bois est placé, avec une isolation continue installée entre ou derrière les chevrons. Les tuiles sont ensuite fixées sur l’ensemble. Toutes les tuiles en terre cuite Koramic peuvent être utilisées comme revêtement de façade, les possibilités de finitions ne manquent donc pas. Une fois la façade terminée, cela donne une enveloppe extérieure des plus résistantes qui vous garantit un résultat durable.

CONSEIL

Combiner les tuiles en terre cuite sur le toit et la façade En choisissant les mêmes tuiles en terre cuite pour le toit et la façade, vous n’obtenez pas uniquement une belle solution : vous créez aussi une enveloppe de construction uniforme facile à isoler. Vous avez en outre la certitude d’avoir une mise en place technique irréprochable, étant donné qu’un même entrepreneur pourra se charger des travaux du toit comme de la façade.

Source Le Soir.be

Allemagne - dépôt de bilan de Lingl: "Cela ne se fera pas sans suppressions d'emplois"

Devant la mairie de Krumbach, de nombreux employés de Lingl ont manifesté pour la préservation des emplois dans l'entreprise: notre photo montre l'administrateur de district Hans Reichhart au premier plan de gauche en conversation avec Brigitte Altstetter et Gerhard Huber (tous deux du comité d'entreprise) et le 1er représentant d'IG Metall Günter Frey.

Une centaine d'employés de Lingl se sont réunis mercredi devant la mairie de Krumbach pour manifester pour la préservation des emplois chez Lingl. Pendant ce temps, des représentants de la politique, des syndicats et de l'entreprise se sont réunis à la mairie pour discuter de l'avenir de l'entreprise traditionnelle basée à Krumbach. Selon l'administrateur judiciaire provisoire Arndt Geiwitz, une chose est déjà claire: «Ce ne sera pas possible sans des suppressions d'emplois».

Tout cela montre à quel point la situation est grave au sein de la société Lingl, qui a déposé son bilan. Mais après la table ronde, il y avait aussi un «optimisme prudent», comme l'a dit le membre de la CSU Bundestag, Georg Nüßlein.

Le cabinet d'avocats Schneider, Geiwitz & Partner avec des bureaux à Neu-Ulm et Augsbourg, entre autres, s'occupe de la procédure de redressement judiciaire.

La société Krumbach Hans Lingl Anlagenbau und Verfahrenstechnik GmbH & Co. KG, qui a manifestement connu de graves difficultés financières, a récemment dû déposer une demande de cessation de paiement. Tout d'abord, une procédure d'observation a été ouverte. Le cabinet d'avocats bien connu Schneider, Geiwitz & Partner avec sa société mère à Neu-Ulm et un autre bureau à Augsbourg, entre autres, a été mandaté pour cela. L'administrateur provisoire de l'insolvabilité est Arndt Geiwitz (associé gérant), à Krumbach Christian Plail (le responsable de 57 ans de la filiale d'Augsbourg du cabinet d'avocats vient de Krumbach) s'occupe de la procédure.

Lingl: La façon dont les choses se passeront avec l'entreprise doit être clarifiée d'ici décembre

L'objectif est de faire le point sur la situation actuelle à Lingl. Et puis, comme l'a expliqué Geiwitz à la mairie, un concept de fonctionnement de l'entreprise doit être élaboré avant le 1er décembre. L'équilibre souvent difficile entre les intérêts des créanciers et les préoccupations des employés joue un rôle important dans de tels cas. Les employés reçoivent de l'argent de l'insolvabilité de l'Agence fédérale pour l'emploi pour une période de trois mois.

Lingl a besoin d'un investisseur

Et maintenant le nouveau revers. Quiconque parle aux employés de Lingl ces jours-ci ressent une peur profonde. La main-d’œuvre craint vivement qu’un grand nombre d’emplois ne soit perdu au cours d’une procédure de redressement judiciaire.

Il comprend les inquiétudes des employés, a déclaré l'administrateur judiciaire Arndt Geiwitz. L'objectif est de conserver le plus d'emplois possible. Mais il a également admis que "cela ne fonctionnera pas sans suppression d'emplois". «Il faut être si ouvert et honnête» et il faut «en discuter ouvertement avec le comité d'entreprise». Christian Plail a également souligné que les clients et les fournisseurs étaient encouragés. Les produits Lingl ont «une bonne réputation», a ajouté Arndt Geiwitz.

Comme l'indique Geiwitz, l'évolution du secteur des matériaux de construction vers le béton a apparemment posé des problèmes à Lingl. Un enjeu central est évidemment la demande de pension d'entreprise garantie par une association d'assurance pension de l'ordre de 20 millions d'euros environ. Le changement globalement défavorable de la situation du marché mondial est un autre facteur. L'entreprise ne s'est pas développée aussi bien que prévu récemment. 

Sera-t-il possible de trouver un nouvel investisseur pour Lingl? Last but not least, cette question sera au premier plan dans les semaines à venir.

Lors du rassemblement devant la mairie, auquel ont participé, selon le comité d'entreprise, une centaine de salariés, le comité d'entreprise a renouvelé ses critiques à l'encontre de la direction de Lingl. Dans une déclaration écrite, il est dit que «en raison du changement constant de direction des actionnaires, la relation et la confiance sont à un point bas». Alexander Kögel est le nouveau directeur général depuis septembre. «Le nouveau directeur général n’est pas en fonction depuis longtemps et son approche du dépôt de bilan nous a laissés en tant que comités d’entreprise à l’extérieur du processus», écrit le comité d’entreprise - qui a également salué l’initiative de l’administrateur de district Hans Reichhart.

L'administrateur de district Reichhart fait l'éloge de l'administrateur judiciaire de Lingl

Reichhart a souligné que les procédures de faillite étaient entre de bonnes mains avec Schneider, Geiwitz & Partner. Nous savons que le cabinet d'avocats procède avec un sens des proportions. Le membre du Bundestag Georg Nüßlein a souligné à quel point la "cohésion" était désormais importante, et cela a également été perceptible lors de la table ronde. «La procédure est la procédure», a déclaré Alfred Sauter. Un résultat est toujours incertain. Mais il est également convaincu qu'il est important de maintenir l'emplacement. Dans la perspective de la table ronde, le 1er représentant d'IG Metall, Günter Frey, avait déclaré que les employés comptaient sur des politiciens expérimentés comme Alfred Sauter comme une source importante de soutien pour Lingl pendant cette période difficile. Le syndicat «fera tout ce qui est en son pouvoir» pour conserver les emplois.

L'entreprise Lingl, fondée en 1938, est l'un des employeurs les plus importants du district sud de Günzburg. Environ 400 personnes sont employées sur le site de Krumbach. Il existe une trentaine d'autres succursales en Allemagne, dans divers sites européens, aux États-Unis, en Australie, en Asie et en Afrique du Nord. Outre les 400 employés de Krumbach, il y a environ 150 employés. Entre autres choses, Lingl est un fournisseur de briqueteries, et plus récemment, l'ingénierie mécanique pour l'industrie de la transformation du bois a été ajoutée. L'administrateur du district, Hans Reichhart, a également souligné mercredi l'importance de l'entreprise pour le district de Günzburg. Il s'était invité à la table ronde de la mairie de Krumbach afin de trouver la meilleure solution possible pour les salariés avec d'autres responsables politiques de la région, des représentants du syndicat, du comité d'entreprise, de la direction et de l'administration de l'insolvabilité.

Lingl est aux prises avec des difficultés financières depuis des années. Cela a abouti à une procédure dite de bouclier de protection en 2013, lorsque 172 employés ont perdu leur emploi.

Source Augsburger Allgemeine par  Peter Bauer