La coopérative, initialement spécialisée dans la brique en terre cuite, envisage une nouvelle acquisition de taille pour se diversifier dans la rénovation. Elle investit en parallèle 60 millions d'euros dans les énergies renouvelables.
En dix ans, le chiffre d'affaires du groupe a quintuplé pour atterrir à 350 millions d'euros cette année.
La crise n'a pas émoussé l'appétit de Bouyer Leroux pour la croissance externe.
Le groupe coopératif de Cholet (Maine-et-Loire), numéro un français de la brique en terre cuite, prépare une nouvelle acquisition d'envergure, « un grand projet structurant », comme ce fut le cas avec les rachats d'Imerys Structure, dans la terre cuite, de Soprofen dans la menuiserie, de Robert-Thébault, fabricant de pièces de béton, puis, l'an dernier, de Panaget , référence du plancher en bois.