Pages

12/02/2014

VM MATERIAUX : Un dernier trimestre plus compliqué

Le repli de l’activité s’est accentué au dernier trimestre de 2013 pour le spécialiste des matériaux de construction. Les conditions de marché restent difficiles. Cela devrait se poursuivre en 2014.
Une fin d’année plus difficile pour VM Matériaux, dont le chiffre d’affaires a glissé de plus de 9% au quatrième trimestre, à 159,9 millions d’euros. En données retraitées des effets de périmètre, le recul des facturations se limite cependant à 4,5%. Le spécialiste des matériaux de construction explique que le repli de l’activité constaté depuis le mois de septembre s’est poursuivi sur les trois derniers mois de l’année, « dans un marché de la construction neuve qui s’est fortement dégradé (-8,8% de mises en chantier sur les trois derniers mois de 2013). »
D’où, par exemple, la baisse de 12% à périmètre courant et de 4,5% en constant des activités de négoce au quatrième trimestre, et de 7,1% (-1,6% en retraité) sur l’ensemble de l’exercice. Ce métier contribue pour près de 70% aux ventes consolidées du groupe.
A l’échelle du groupe pris dans son ensemble, le chiffre d’affaires recule de 5,5% en données publiées, à 651,8 millions d’euros, mais de 1,7% hors effets de périmètre. VM Matériaux a ainsi un peu mieux résisté que le marché dans son ensemble, en repli de 3,2% en 2013.

Poursuite des mesures d’adaptation
Dans ce contexte, le groupe indique poursuivre son travail d’adaptation ainsi que son programme de cessions d’actifs non stratégiques, avec la vente d’actifs immobiliers intervenue pour partie au 31 décembre 2013. Suite à la finalisation de ces opérations, l’ensemble des cessions devrait atteindre un montant total de près de 18 millions d’euros, explique VM Matériaux, proche du programme annoncé.
Aucune prévision n’est fournie sur le plan de la rentabilité mais au premier semestre, le plan d’adaptation avait déjà porté ses fruits, le résultat opérationnel courant ayant bondi de 70% à 7,7 millions d’euros. Nous attendons sur l’ensemble de l’année un total de 17 millions d’euros environ, soit une progression annuelle de l’ordre de 50% par rapport aux 11,3 millions d’euros de profits dégagés en 2012. La publication des résultats annuels est programmée pour le 19 mars.

Source Bourse Les Echos

11/02/2014

hane Tranier ( Ex Monier) , une volonté en béton chez Alkern

Avec un père et un grand-père Gadzarts, Stéphane Tranier, le nouveau président d' Alkern Nord, pouvait-il échapper à la tradition ? Né dans l'Oise d'une mère enseignante et d'un père ingénieur, le jeune élève se révèle, de fait, rapidement brillant. Curieux de tout, l'esprit scientifique, il décroche aisément son bac à seize ans, avant de prendre la direction des classes prépa à Nogent-sur-Oise. Qui le conduisent aux... Arts et Métiers. Diplômé sans fioritures, il met le cap sur Saint-Cyr, le temps de partager son service militaire avec les élèves de 1re année de l'école jusque dans les parcours du combattant de Coëtquidan. Il en gardera de solides amitiés. Et finira major à la fin de l'année.
Son commandant essaie, sans succès, de le débaucher pour une carrière militaire. Il ne sera pas le dernier. Michelin l'approche aussi.
Mais Stéphane Tranier cède aux sirènes de Lafarge. Adepte du contre-pied, il ne suit pas la voie royale des Gadzarts vers l'aéronautique ou l'automobile. Il lui préfère l'univers moins glamour du ciment. Et s'y régalera quinze ans : d'abord chez Béton de Paris à la maintenance et aux travaux neufs, puis à l'audit, au siège parisien du groupe, réalisant de multiples missions d'un mois à l'étranger, au Brésil, en Suède, en Turquie... avant de rejoindre Lafarge Couverture, où il devient, en 2004, directeur d'usine près de Lyon. « Ce fut ma première expérience de management de terrain à grande échelle », se souvient-il. En parallèle, il suit le programme de formation d'élite de Lafarge : le Management Development Program. C'est par hasard que cet adepte du demi-fond quitte le groupe du CAC 40, quand celui-ci revend sa division toiture, rebaptisée « Monier SAS», au terme d'un des plus gros LBO de l'année 2007. Stéphane Tranier y oeuvre comme directeur des achats puis du contrôle de gestion industriel. Il est alors sollicité par un nouvel acteur du béton, encore modeste, Alkern.
Un vieux rêve : le piano
Séduit par ses produits innovants (notamment les écomatériaux) et par sa stratégie de croissance externe intense, il en est, dès 2012, le directeur industriel Nord. Un poste où il pilote 20 usines et 300 salariés, dans ce groupe détenu par Fondations Capital, qui emploie 750 personnes et réalise 151 millions d'euros de ventes.
Malgré le climat morose, Alkern, dont le siège est à Harnes, près de Lens, revendique une politique constante de petites acquisitions. D'abord pour mailler le territoire et réduire ainsi les coûts logistiques, mais aussi pour être prêt à profiter du rebond : « Nos produits nouveaux permettent de compenser largement la baisse du marché. On construit l'avenir », déclare Stéphane Tranier, qui vient de prendre la présidence d'Alkern Nord. Un rang qui lui ouvre les portes du directoire d'un groupe dont il apprécie la vitesse de décision et les circuits courts. Une efficacité qui ne l'empêche pas d'être aussi un peu artiste. Car, depuis trois ans, ce père de cinq enfants d'une famille recomposée réalise un vieux rêve en apprenant le piano. Il en garde un autre en tête, pour plus tard : créer son entreprise. « Mais, sourit-il, ce n'est ni du court ni du moyen terme. Il y a de beaux challenges de développement chez Alkern. »
Source Les Echos par Olivier Ducuing

Leader mondial et numéro 3 en France, Monier a investi 2,6 millions d’euros en Charente limousine

A Roumazières, Monier investit 2,6 millions d'euros et lance la tuile Fériane
L’entreprise, dirigée par Jean-François Longère, parie sur la tuile Fériane, à l’aspect canal Médoc (une forme en ogive esthétique de la région), très facile à poser et économique.
Clin d'œil aux ferias du Sud-Ouest, la Fériane est une tuile. Et pas n'importe quelle tuile. C'est la dernière-née du groupe Monier, leader mondial et numéro 3 du marché français de la tuile, derrière Imerys et Terreal. Commercialisée depuis novembre 2013, elle a vu le jour en Charente limousine, dans l'usine de Roumazières-Loubert, la plus grosse des sept unités françaises de ce groupe qui dégage 3 milliards d'euros de chiffre d'affaires dans le monde (1) et 150 millions d'euros en France.
« Nous avons investi 2,6 millions d'euros ici à Roumazières et rénové toute une ligne de production en 2012 pour lancer la Fériane. Nous avons fabriqué en deux mois 600 000 tuiles, et ça va monter en puissance », explique Jean-François Longère, directeur du site charentais.
Alors que le marché de la tuile a tendance à décliner en France (crise du bâtiment, attraits pour les toits plats), Monier espère ainsi préserver l'emploi sur le site (185 salariés, cinq équipes). Après avoir connu une période faste de 2000 à 2006 (l'effet tempête du siècle), l'entreprise a dû en effet, l'an passé, digérer un plan social, soldé à Roumazières par quelques départs naturels.
Neuf et rénovation
« La Fériane, une tuile de 12 au mètre carré, est une réelle prouesse technique et esthétique, une réponse de conquête sur le marché grand moule », assurent ses concepteurs. « Elle a tout d'une tuile canal traditionnelle, notamment cette forme en ogive typique de la région du Grand Sud-Ouest de la France. L'illusion est parfaite. » Avec deux avantages qui font la différence, la facilité de pose et son confort. « Les coupes sont considérablement limitées et la pose instinctive. Sur une dizaine de chantiers tests en France, on est aussi bien accueillis dans le neuf que dans la rénovation », explique le responsable qualité de l'entreprise.
L'usine charentaise fonctionne quasiment à feux continus (sauf une interruption de quatre semaines en été) en 5/8, sur quatre lignes de production. La richesse de la tuilerie lui vient du sol de Roumazières, capitale européenne de la tuile en terre cuite depuis plus d'un siècle. Ici, la tuile a même son festival. Elle est l'âme de la région.
« L'extraction se fait à 10-15 kilomètres de l'usine, à Cherves-Châtelars, pendant la saison sèche. Un gisement de plusieurs qualités d'argile qui confèrent aux tuiles de Roumazières une résistance optimale dans le temps. Et aussi un gisement qui est loin d'être épuisé », assure le directeur. Lequel insiste néanmoins sur l'attention permanente portée à la politique de tri, au recyclage et à la réhabilitation des déchets et des carrières.
Hier, sur la ligne de production réservée à la Fériane et à deux autres tuiles, on pouvait suivre la fabrication de la tuile, de la préparation de l'argile (broyage, extrusion) au pressage entre deux moules en plâtre, particularité revendiquée par Monier car « le plâtre garantit de belles finitions ». Mais aussi du séchage (la tuile passe d'un taux d'humidité de 20 à 30 % à 1 voire 2 %) à l'engobage (coloration de la tuile), de l'empilage (une qualité revendiquée par Monnier) à la cuisson des tuiles.
74 millions de tuiles par an
« La cuisson s'effectue en suivant une courbe jusqu'à une température maximale de 950 °C selon le type d'argile », explique Jean-François Longère, devant une allée de 140 mètres de fours. « En une journée, on consomme en énergie ce qu'Angoulême et son agglomération consomment en une année [10 millions de mégawatts/h] », ajoute-t-il.
Une comparaison plus parlante que des chiffres, même si ces derniers le sont aussi. L'entreprise Monnier produit en effet 74 millions de tuiles et 5 millions d'accessoires par an sur le site de Roumazières. Et fabrique une dizaine de types de tuiles et leurs accessoires expédiés dans toute la France (Grand Sud-Ouest et Sud-Est en particulier) et un peu à l'export, environ 5 % de sa production.
(1) 122 sites dans 30 pays, 8 600 employés en Europe et en Asie.
Source Sud Ouest

Samse : légère croissance annuelle, grâce aux acquisitions

Le grenoblois Samse a terminé son année 2013 sur un chiffre d'affaires de 1,168 milliard d'euros, en progression de 2,7% par rapport à 2012, mais en retrait de -1,4% sur un périmètre comparable. Le dernier trimestre de l'exercice s'est affiché en hausse de 2,5% en données publiées, même si le groupe n'a pu réitérer sa performance du précédent trimestre, qui avait renoué avec la [croissance] organique. Gilbert Dupont visait un chiffre d'affaires annuel de 1,17 milliard d'euros, proche de ce qui a été annoncé.
Dans le négoce, les revenus annuels atteignent 960,1 millions d'euros, en hausse de 2,2%, soutenus par l'acquisition de neuf agences de VM Matériaux dans le sud-ouest de la France au début du mois de février 2013. Le bricolage est en hausse de 5% à 208,3 millions d'euros, aidé par la contribution des magasins d'Alès et Montélimar.
Samse va poursuivre son développement commercial et muscler son réseau de distribution.

Source Bourse Trader Finance

10/02/2014

TERREAL : une nouvelle gouvernance pour une meilleure performance opérationnelle

Après l’annonce en juillet 2013 de son changement d’actionnaires, qui lui a permis de se redonner des marges de manœuvre et de valider sa stratégie, TERREAL, le spécialiste de l’enveloppe du bâtiment en terre cuite, annonce aujourd’hui la mise en place d’une nouvelle gouvernance autour de son Président, Hervé Gastinel.
Hervé Gastinel, Président de TERREAL Diplômé de l’Essec, du DESS 203 marchés financiers, marchés de matières premières et gestion de l’entreprise (Paris IX, Dauphine), lauréat de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris, Hervé GASTINEL est également ancien élève de l’Ecole Nationale d’Administration.Il a été successivement Inspecteur des Finances (1993), Conseiller technique au Cabinet du Président du Sénat en charge des affaires économiques et financières et des nouvelles technologies (1997), Directeur du Plan et secrétaire du Comité exécutif du Groupe Saint-Gobain (1998).
En septembre 2000, Hervé Gastinel a été nommé Directeur Général de Saint-Gobain Terreal, puis Président – Directeur Général en 2002. Il en est aujourd’hui le Président depuis la cession par Saint-Gobain de TERREAL à des fonds d’investissement en 2003.
Une gouvernance composée de véritables experts du monde industriel et de la construction Effectif depuis le 29 janvier 2014, le nouveau Conseil d’Administration de TERREAL a notamment pour mission de valider toutes les décisions stratégiques du Groupe et les comptes de la société.
Il est composé de 3 administrateurs indépendants prenant chacun part aux votes et possédant un parcours exemplaire dans le milieu industriel :

Gilles Auffret, Président non exécutif du Conseil d’Administration de TERREAL
Diplômé de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris, de l’école Polytechnique et de l’Ecole Nationale d’Administration, Gilles Auffret a occupé successivement les postes d’Administrateur de l’INSEE, de Magistrat à la Cour des Comptes et de Directeur général d’Aluminium Pechiney.Il a rejoint Rhodia (Chimie) en 1999 en tant que Directeur Général délégué en charge de la division Polyamide avant de devenir Directeur Général des opérations en 2001. Il a occupé le poste de Directeur Général de Rhodia en 2011 et, membre du comité exécutif de Solvay, a œuvré à la fusion des deux groupes. « Ma nomination à la Présidence du Conseil d’Administration de TERREAL est le fruit de discussions entre les actionnaires, les prêteurs et le management pour aboutir à proposer une structure légère de trois personnes indépendantes et qui n’ont pas de rôle exécutif. Le patron de TERREAL est et reste Hervé Gastinel », indique Gilles Auffret. « Mon rôle est d’aider le management à améliorer la performance du Groupe, mais également d’aider les actionnaires et les prêteurs à comprendre les logiques de la stratégie suivie par TERREAL ».
Bertrand Dumazy, Directeur Général de Materis Paints Diplômé de ESCP-Europe et de la Harvard Business School, Bertrand Dumazy a débuté sa carrière chez Bain, cabinet de conseil, notamment au sein des bureaux de Paris de Los Angeles.

De retour en France en 1999, il rejoint le fonds d’investissement BC Partners. Il crée ensuite Constructeo, une start-up spécialisée dans les logiciels de gestion des chantiers de BTP qu’il revendra à Bricsnet.
Il rejoint le Groupe Neopost (leader des solutions courrier) en 2002 en tant que directeur du marketing et de la stratégie, PDG de la filiale française puis directeur financier du Groupe.
Il a ensuite exercé des fonctions de PDG du groupe Deutsch (spécialiste mondial des connecteurs électriques en environnement sévère dont le siège est à New-York) de 2011 à 2012. Il intègre ensuite le Groupe Materis en 2012 comme Directeur général adjoint du Groupe Materis et Directeur général de MaterisPaints.
Patrick Mathieu, Président Directeur Général d’Armacell Président Directeur Général d’Armacell International (équipements d’isolation) depuis mai 2012, Patrick Mathieu possède une solide expérience professionnelle dans le secteur de la construction : il a occupé divers postes de Direction au sein du Groupe Saint-Gobain depuis plus de 20 ans, y compris celui de Directeur Général de Weber & Broutin France (enduits de façade).
Il a ensuite exercé des responsabilités de Directeur Général de la division Isolation du Groupe Saint-Gobain en Europe de l’Ouest, puis au sein de la région Europe méditerranéenne, pour les matériaux de construction Plâtres, Isolation et Produits de Mortier.
Avant de prendre la direction d’Armacell, il fut également Président Europe de l’Ouest et de la Division Internationale Flooring dans le Groupe Tarkett, un des principaux fabricants mondiaux de revêtements de sol.

Le Conseil d’Administration est également composé de 3 censeurs dont le rôle consiste à représenter les investisseurs et à assister les administrateurs dans l’élaboration de la stratégie de développement de TERREAL : Elvira KRUGER, ING Bank Joanna HISLOP, Park Square Capital Moritz JOBKE, Goldman Sachs Group

La gouvernance de TERREAL compte aussi un Comité de Direction (CODIR) présidé par Hervé GASTINEL dont la mission est d’assurer le pilotage opérationnel du Groupe et de préparer toutes les décisions stratégiques de nature à influer sur l’avenir de la société.
Il est composé de :
François AMZULESCO, Directeur des Opérations Internationales, de l’Innovation et des projets industriels,
Patrick DESTANG, Directeur des Opérations France,
Stéphane FAYOL, Directeur des Relations et des Ressources Humaines,
Georges LE DONGE, Directeur Financier.

Cette nouvelle organisation résulte d’une volonté d’instaurer une gouvernance pérenne et collégiale avec des administrateurs ayant une solide connaissance du marché et de l’industrie et qui sauront s’inscrire dans la continuité de la stratégie conduite par Hervé GASTINEL, Président de TERREAL depuis plus de 10 ans.

Une situation financière renforcée permettant de poursuivre le développement du groupe TERREAL

L’arrivée de nouveaux actionnaires, associée à la réorganisation financière de juillet 2013, donnent aujourd’hui les moyens à TERREAL de poursuivre son développement malgré un contexte économique difficile pour le secteur du bâtiment.

En effet, le Groupe a bâti un Business plan de croissance pour les années à venir dont le projet « TERREAL 2020 » constitue l’un des piliers.
Cette initiative vise à conforter la position de précurseur du Groupe en matière de bâtiments durables tel que l’illustre la concrétisation, en 2013, du projet Habitat Social Positif à Castelnaudary (Aude), à savoir la réalisation des premières maisons individuelles labellisées Bepos Effinergie du parc de logement social français (maisons actives générant plus d’énergie qu’elles n’en consomment).

TERREAL prévoit également de poursuivre sa politique d’innovation en élargissant ses gammes de produits tout en s’appuyant sur son cœur de métier – les matériaux de construction et de décoration en terre cuite – afin d’accroître ses domaines d’expertise et d’offrir une enveloppe étanche, isolante et durable pour des bâtiments moins énergivores et plus respectueux de l’environnement. « Avec l’arrivée de ces trois nouveaux administrateurs et la solidité financière que nous avons acquise grâce à l’accord signé en juillet dernier avec les investisseurs du Groupe, TERREAL est en mesure de démontrer pleinement sa capacité d’innovation et de développement, même en ces temps de crise », indique Hervé Gastinel. « Nous avons défini une feuille de route solide dès 2014 qui nous permettra, à terme, de proposer l’offre la plus complète et de profiter de la reprise du marché ». Article original : TERREAL : une nouvelle gouvernance pour une meilleure performance opérationnelle.

Source Wellcom Presse

Imerys a bouclé la cession à Omya de 4 sites de carbonate de calcium

Le producteur de minéraux industriels et de matériaux de construction Imerys a annoncé avoir finalisé la cession de quatre sites de carbonate de calcium.
Le groupe a cédé ces sites industriels à Omya, un groupe d'origine suisse spécialisé dans les minéraux industriels.
Ce projet de vente avait été annoncé en septembre 2013, et Imerys avait précisé qu'il comptait finaliser la transaction dans le courant du premier trimestre 2014.
"Dédiées au marché du papier, ces usines sont situées en France (Sainte-Croix de Mareuil), en Suède (Köping), en Italie (Massa) et aux Etats-Unis (Kimberly) et ont réalisé, en 2012, un chiffre d'affaires global d'environ 75 millions d'euros", a précisé Imerys dans son communiqué.

Source Bourse les Echos

09/02/2014

PLEIADE investissement, le fond long terme

Ce cercle d'entrepreneurs formé par Marie-Laure de Bordais, ancienne directrice générale de la société d'import des Centres Leclerc, Patrick Solvay, l'actionnaire du groupe du même nom, ou Christian Toulouse, ex-directeur général des Docks de France, est certainement le plus long terme des sociétés d'investissement de dirigeants.

Pléiade s'est créé en 2000 au travers d'un holding, sans horizon de cession de ses participations ni de contrainte de levée de fonds. Dédié à l'investissement dans des PME en développement, la structure s'est déclinée également auprès des entreprises en création. Au total, ses dirigeants ont investi une centaine de millions d'euros dans des entreprises comme le concept de restauration rapide Cojean ou le groupe leader dans l'ingénierie d'usines de briques et tuiles en terre cuite Ceric.

Source Les Echos

CERIC Technologies sponsorise 4 L pour l'humanité

CERIC sponsorise 2 étudiants originaires de Soissons, P. Vosniac et V. Walchewski, qui participent au 4L Trophy, qui aura lieu du 13 au 23 février 2014. L'objectif de l'association Quatre 'L pour l'humanité est d'acheminer au Maroc des fournitures scolaires et sportives à des enfants démunis.

Source Facebook/ CERIC Technologies

08/02/2014

Algérie: Sept paquettiseurs réalisés par Tecauma en 2013

En 2007, Tecauma réalisait ses premiers paquettiseurs en Algérie. Il y a un an, l’entreprise vendéenne a sorti la nouvelle version du paquettiseur de briques : une ligne de manutention des briques, qui réalise des paquets carrés cerclés horizontalement et verticalement, avec des trous au centre pour le passage des fourches de chariot élévateur. Chargés sur camion côte à côte, ces paquets de briques occupent la place de façon optimale pour un transport efficace.

En 2013, le paquettiseur a fait ses preuves. Présenté à Oran Expo comme “la Formule 1 des paquettiseurs”, il atteint la cadence record de 50 wagons/jour en deux postes de 7 heures. Autre nouveauté : sa zone de tri ergonomique, qui constitue pour les opérateurs un espace de travail confortable. Enfin, son nouveau système de compactage des briques pendant le cerclage garantit la bonne tenue des paquets finis.

Pas moins de sept paquettiseurs ont été réalisés au cours de l’année 2013. Deux paquettiseurs nouvelle génération ont d’abord été réalisés avec la société Mansouri, puis deux autres chez Protimgad. Un troisième paquettiseur est en commande chez ce dernier pour 2014 pour sa troisième unité de production. Deux autres clients se sont laissé tenter par le paquettiseur Tecauma : il s’agit des sociétés Belhoul et Taghaste, qui ont fait confiance à Ceric Technologies et Tecauma pour réaliser leurs usines en intégrant le paquettiseur Tecauma. Et pour 2014, trois projets sont déjà en cours de discussion….

« Nous sommes très satisfaits de ces performances, explique Philippe Breillac, président de Tecauma, notre paquetiseur, étant, il faut le rappeler, le seul à atteindre cette cadence de plus de 50 wagons/jour sur une simple ligne. Notre challenge, poursuit-il était de proposer une simplicité de ligne associée à une cadence performante. ».

Une présence renforcée au Maghreb 

En 2013, Tecauma a assuré une forte présence en Algérie, au plus près de ses clients. Philippe Breillac, Eddy Daunas (directeur général) et Emmanuel Nauleau (chef de projet), étaient en effet présents aux deux grands rendez-vous annuels de la construction : les salons Batimatec et Oran Expo. Avec la mise en place d’un stock de pièces de rechange à Alger pour assurer un SAV express, Tecauma renforce sa proximité avec l’Algérie.
Le prochain rendez-vous de Tecauma au Maghreb : Batimatec 2014 à Alger. Tecauma y exposera sa gamme de coupeurs, chargeurs, empileurs, dépileurs, paquettiseurs….

07/02/2014

Accident mortel à Exideuil: grosse émotion à Terreal

«Les salariés ont été très touchés, Dominique Chanlaud était apprécié de ses collègues de l’UD62 où il travaillait depuis plusieurs années et de la direction de l’usine. C’était un très bon collaborateur» soulignait Estelle Jourdain-Richelots, la responsable relation et ressources humaines au sein de l’entreprise tuilière.
Dominique Chanlaud était conducteur de presse. Il travaillait depuis 35 ans dans l’entreprise Terreal.
Un dispositif de soutien avec l’ouverture d’une ligne téléphonique de soutien psychologique a été mis en place pour tous les salariés qui en éprouveraient le besoin.
Une délégation de Terreal se rendra aux obsèques de Dominique Chanlaud qui se dérouleront dimancheà 15h30 en l’église de Saint Maurice des Lions.
Tous les salariés qui le souhaitent pourront s’y rendre.
C'était tôt ce jeudi matin 06 Février 2014, vers 3h du matin, sur la RN141, entre Roumazières et Chabanais, sur la commune d'Exideuil, à hauteur du carrefour réputé dangereux de Maisonneuve.
Un homme âgé de 53 ans, originaire de Saint-Maurice des Lions, a violemment heurté une voiture au guidon de sa moto, alors qu'il se rendait à son travail à Terreal à Roumazières. Il est mort sur le coup. Visiblement, le motard a été surpris par le véhicule qui manoeuvrait en plein virage. A son bord, un couple de la Vienne qui aurait raté la direction Confolens à Etagnac et qui tentait de faire demi-tour.

Source La Charente Libre

Le Plan Bâtiment Durable veut être encore plus dynamique en 2014

Philippe Pelletier vient de dévoiler le rapport d'activité du Plan Bâtiment Durable, qui dresse un bilan plutôt positif pour l'année 2013, tant dans la construction neuve qu'existante. De la RT 2012 au programme Habiter Mieux, en passant par l'obligation de rénovation dans le résidentiel, il détaille également les perspectives de ces chantiers pour l'année à venir.

"L'élan est donné !", s'est exclamé le président du Plan Bâtiment Durable, Philippe Pelletier, à l'occasion du rendu du rapport d'activité 203 de son organisation. Malgré un contexte difficile, les objectifs du PBD sont restés ambitieux, mais il s'agit maintenant de les pérenniser sur 2014.
Rappelant que le bâtiment représente 43% de l'énergie consommée en France et que la facture énergétique continue de s'envoler, il a néanmoins insisté sur l'importance de la transition énergétique et de la Directive énergétique adoptée en octobre 2012, dont la prochaine grande étape est la "réalisation et la transmission de la stratégie à long terme pour l'après-2020, destinée à mobiliser l'investissement dans la rénovation". L'objectif est d'établir, avant avril 2014, une stratégie de long terme pour organiser la rénovation énergétique du parc tertiaire et résidentiel, précise le rapport.
Nouveaux groupes de travail
Ce dernier s'attarde ensuite sur les différentes mesures prises et mises en place en 2013, comme le Plan d'investissement pour le logement (PIL), le Débat national de la transition énergétique (DTNE), le lancement de la Nouvelle France Industrielle, le Programme de rénovation énergétique de l'habitat – et sa campagne J'éco-rénove, J'économise -, la 2e conférence environnementale, Objectif 500.000 lancé par Cécile Duflot. Autant d'outils, dont les performances seront synthétisées dans un tableau de bord actualisé et publié à l'été 2014. Le Plan Bâtiment Durable, ce sont aussi une trentaine de groupes de travail thématiques, dont trois ont été créés l'an dernier : "Obligation future de rénovation énergétique dans le parc résidentiel", "maquette numérique" et "rénovation énergétique et filière bâtiment : accompagnement des petites entreprises du secteur". Au 1er semestre 2014, d'autres groupes viendront grossir la liste, tandis que les travaux sur la rénovation énergétique des copropriétés reprendront.
RT 2012 et rénovation énergétique
Parmi les thématiques fortes abordées et suivies minutieusement par le Plan Bâtiment Durable, celle de la RT 2012, désormais applicable à l'ensemble des constructions. Si la nouvelle réglementation semble trouver ses marques, quid des labels HPE et THPE qui devaient entrer en vigueur dès 2013 ? Pendant que les discussions se poursuivent encore en ce début d'année, les labels volontaires Effinergie+ et Bepos Effinergie ont vu le jour via le collectif Effinergie. Le Plan Bâtiment Durable a mis en place un groupe de travail intitulé "RBR – Réflexions Bâtiment responsable – 2020-2050" en charge de proposer une vision prospective des futurs bâtiments. Un colloque aura lieu à la fin du 1er semestre 2014 avant que ne soient présentées aux pouvoirs publics les propositions de ce groupe de travail.
La rénovation des bâtiments est l'autre axe fort des travaux du Plan Bâtiment Durable. Notamment avec le Programme de rénovation énergétique de l'habitat (PREH), qui est aujourd'hui au cœur de l'action Gouvernement. Via le programme Habiter Mieux porté par l'Anah, qui vise à sortir 30.000 ménages en situation de précarité énergétique, peine encore à trouver ses marques et fait encore l'objet d'ajustements. En revanche, la campagne de communication grand public "J'éco-rénove, J'économise", soutenue par la simplification de la distribution de l'éco-PTZ, devrait trouver une traduction opérationnelle en 2014. Sans oublier la mention RGE et l'éco-conditionnalité qui entrera en vigueur dès le 1er juillet 2014, instaurées pour relancer la filière…
Du côté du logement en copropriété, on notera l'obligation d'un audit énergétique (arrêté du 28 février 2013), tandis qu'une disposition de la Loi Alur prévoit la baisse de la majorité requise pour le vote de travaux de rénovation, l'élargissement de l'obligation de diagnostic à la création d'un diagnostic technique global. Ce dernier devra être mis à jour tous les 10 ans et sa réalisation obligatoire avant le 1er janvier 2017.
L'obligation de rénover : une question épineuse
Enfin, un chantier important, amorcé en 2013, devrait mobiliser les acteurs du bâtiment en 2014 : celui de l'obligation de rénovation des logements, qui fait l'objet d'un nouveau groupe de travail au sein du Plan Bâtiment Durable. Confié à Jacques Chanut (vice-président de la FFB) et Raphaël Claustre (CLER), ce chantier se heurte à plusieurs obstacles, dont tout d'abord à la définition même d'obligation. D'où les nombreuses tergiversations sur ce dossier, qui a abouti à définir un champ d'application sur les maisons individuelles et les logements en copropriété. Le logement social en a été tout simplement exclu.
Le Plan Bâtiment Durable a ainsi exploré les leviers et pistes de réflexion, en demandant une politique plus incitative et plus lisible, une réforme du DPE indispensable, un moyen d'identifier et résoudre les obstacles juridiques, mais surtout une mise à jour de la RT dans l'existant.

Source Batiactu

06/02/2014

IMERYS : Les ardoisiers entament un long blocus, la CGT prépare le débat de vendredi 07

Depuis lundi 03/02 , les ardoisiers bloquent leur entreprise, rue Albert-Camus, à Trélazé. Plus aucun camion n'est entré ou sorti des Ardoisières. « Nous occupons le site jusqu'à ce que nous obtenions une ouverture, explique ce salarié entouré de ses collègues, à proximité de la benne transformée en brasero qui bloque l'accès. Nous voulons que l'activité se poursuive. Nous montrons notre détermination. Notre force est là. »
Les actions n'ont pas manqué depuis l'annonce du projet de fermeture des Ardoisières, fin novembre, avec 153 salariés mis en « dispense d'activité ».
Ce blocus porte évidemment préjudice à l'entreprise. « Nous avons des commandes à honorer et tout cela est perturbé », ne peut que constater Philippe Dufour, directeur général des Ardoisières. Il regrette de ne pouvoir travailler sur les reclassements : « Les représentants du personnel ne souhaitant pas entrer dans cet échange. » Or, les échéances se rapprochent.
En attendant, la CGT travaille au débat public qu'elle organise, vendredi, à partir de 19 h, salle Aragon, rue Joseph-Bara, à Trélazé. « Toute la population est invitée, précise Hervé Sabba.Chacun pourra apporter sa contribution quant à l'avenir des Ardoisières, échanger avec les mineurs actifs et retraités. »

Algérie : 17 titres miniers attribués pour 814,307 millions de dinars

L’Agence nationale du patrimoine minier (ANPM) a attribué 17 titres miniers, soit huit pour l’exploration de l’argile, huit pour le calcaire et un pour le grès au montant global de 814,307 millions de dinars (env. 7,7 millions d’euros), rapporte APS.
D’après la même source, l’attribution de ces titres est consécutive à une séance publique d’adjudication des offres financières relatives à la 41ème session d’adjudication de titres miniers d’exploration portant sur 26 sites.
De nouveaux sites de substances minérales métalliques à usage industriel « devraient être mis en évidence et proposés à l’adjudication selon les dispositions de la nouvelle loi minière », a annoncé le président du conseil d’administration de l’ANPM, Hocine Annane.
L’attribution des 17 titres miniers intervient à quelques jours du vote, par le Conseil de la Nation, de l’adoption du texte de la nouvelle loi minière qui prévoit, entre autres, de redimensionner le rôle de l’ANPM avec l’attribution de nouvelles prérogatives.

Source Agenceecofin

MAISONS FRANCE CONFORT reprend BERMAX CONSTRUCTION

Maisons France Confort annonce l'acquisition de la totalité du capital de la société Bermax Construction dont le siège social est basé à Angoulême, avec effet au 1er janvier 2014.
Constructeur de maisons individuelles traditionnelles depuis plus de vingt ans, la société Bermax Construction compte deux agences sur la Charente et la Charente-Maritime et commercialise environ 80 maisons par an.
Cette société emploie 14 personnes et affiche, en 2013, un chiffre d'affaires de 10 millions d'euros, un résultat d'exploitation d'environ 0,7 million d'euros, soit une rentabilité opérationnelle de près de 7%, et un résultat net de 0,4 million d'euros, soit une marge nette de 4%.
La structure du bilan de la société est jugée très solide avec une trésorerie qui s'élève à 1,5 million d'euros et des capitaux propres consolidés de l'ordre de 1,5 million d'euros également.

Source Fusacq

05/02/2014

SOLUMIX SUR FRANCE 3

Les premiers pas de SOLUMIX suscitent l’intérêt !

Les journalistes de France 3 sont venus interroger les dirigeants de la société.
Un aperçu des nouveaux bureaux de l’entreprise et du lieu ou sera implanté sa première ligne pilote de production et d’insertion du tout nouveau produit isolant créé par la société.

Source SOLUMIX

Formation: contrôle non destructif des céramiques


04/02/2014

Outiz, une nouvelle enseigne pour le Groupe Point. P

Point. P a officiellement annoncé le lancement prochain de sa onzième enseigne, Outiz, qui combinera e-commerce et points de vente physiques. Misant sur le multicanal, Point. P entend étendre son leadership dans la distribution de matériel et d'outillage de construction.

24.000 collaborateurs, 2.200 points de vente, 7 milliards de CA et bientôt onze enseignes. "Nous sommes dans la proximité, c'est notre métier, notre force", réaffirme Patrice Richard, président du directoire du Groupe Point. P. Et d'annoncer ainsi, ce mardi 28 janvier, la création du "distributeur nouvelle génération de matériel et d'outillage de construction", baptisé Outiz dont le lancement officiel est prévu en avril prochain.
Un distributeur nouvelle génération
Son principe ? Proposer en multicanal des références produits destinées aux professionnels et aux particuliers facilement transportables (électricité, plomberie/chauffage, fixation/chimie, outillage électrique ; marchandises de moins de 25 kg et de moins de 3 mètres). Un 'full service' comprenant : une plateforme de e-commerce, un centre de relations clients spécifique, des commerciaux sur le terrain (Ile–de-France dans un premier temps), des catalogues et enfin, des comptoirs de vente physiques. Monté en seize mois et mobilisant 35 personnes, le projet bénéficie d'une certaine liberté : "C'est une démarche que je veux qualifier d'expérimentale, disons plutôt, de pragmatique, à laquelle nous laissons toutes les chances", explique Patrice Richard, qui se refuse ainsi à énoncer des objectifs chiffrés associés. Sont annoncés en revanche : près de 20.000 références, des prix nets affichés, une visualisation des stocks en temps réel, un suivi des clients et une livraison gratuite en 24 ou 48h, le tout grâce à une plateforme logistique nationale.
"Outiz tapera dans les ailes de l'avion, mais pas dans la carlingue."
Contrairement à ce à quoi on aurait pu s'attendre, le modèle pureplayer (exclusivement en e-commerce) n'a pas été celui retenu : "le benchmark international nous permet de nous rendre compte qu'une stratégie unique n'est pas forcément la meilleure à suivre. Nous nous laissons le temps de tester d'abord tous les canaux, quitte à en supprimer si certains ne fonctionnent pas", explique le dirigeant.
Forcément, certains "frottements" pourront être ressentis avec les autres enseignes du Groupe, mais Patrice Richard rassure d'emblée : "Outiz ne ciblera pas les cœurs de gamme des autres enseignes du Groupe : il tapera dans les ailes de l'avion, mais pas dans la carlingue."
Si objectif il y a, c'est donc au niveau du Groupe Point. P qu'il est affirmé. Outiz vient en effet compléter un arsenal de nouveaux services (outil 3D, applis mobiles, refontes des sites internet, expérience de Drive à la Plateforme du Bâtiment, e-commerce de pièces détachées avec Dispart, etc.), à destination de l'ensemble de la clientèle du groupe, afin de s'assurer une position de leadership du secteur sur le digital, tout en accélérant une stratégie définitivement "multicanal".

Source Batiactu

ALGERIE Programme LPP : Lancement de l’opération du paiement de la première tranche le 15 février prochain

L’Entreprise nationale de promotion immobilière (ENPI) envisage d’entamer la réception des souscripteurs au programme du logement promotionnel public (LPP) à partir du 15 février prochain en vue de leur livrer l’ordre de virement de la première tranche, a révélé un responsable de cette entreprise.
La même source a indiqué à l’APS que l’entreprise a entamé mercredi dernier la convocation, par courrier, des souscripteurs retenus au programme et ils seront reçus à partir du 15 février pour retirer l’ordre du virement de la première tranche estimée à un million DA (1.000.000 DA).
L’ENPI recevra les souscripteurs convoqués dans les mêmes locaux où a été effectuée leur inscription avec une capacité de réception entre 600 et 800 souscripteurs par jour à travers le territoire national. L’ENPI a enregistré jusqu’à janvier 2014 près de 32.000 demandes de LPP, dont 15.000 demandes à Alger, a souligné la même source, ajoutant que les inscriptions étaient toujours ouvertes.
La plupart des dossiers déposés ont été acceptés à l’exception de quelque 3000 dossiers, a souligné la même source, indiquant que les souscripteurs dont les dossiers n’ont pas été acceptés, ont le droit de faire un recours dans un délai d’un mois.
L’affluence des citoyens sur ce programme a connu un niveau "très acceptable" au regard de la nature de la catégorie à laquelle il est destiné et dont les revenus sont supérieurs à 108.000 et inférieurs à 216.000, a estimé le responsable qui prévoit l’augmentation de la demande au fur et à mesure de l’avancement de la réalisation des projets.
Concernant les souscripteurs au programme de logement de location-vente de l’AADL (Agence nationale de l’amélioration et du développement du logement) transférés vers la formule LPP, le même responsable a indiqué que tous les dossiers ont été examinés et l’ENPI avait convoqué au cours de la première quinzaine de décembre tous les souscripteurs concernés, plus de 5000 postulants.
Les souscripteurs au programme LPP devront verser la première tranche du prix du logement, estimée à un million de dinars dans un délai de deux mois à compter de la date de la réception de l’ordre de virement.
Les décisions de pré-affectation remises à partir de février 2015 Une année après cette première étape (la réception de l’ordre de virement), le souscripteur recevra la décision de pré-affectation qui définira le site du logement, le nombre des chambres et l’étage, selon la même source qui affirme que l’octroi des logements se fait selon des critères précis après un examen approfondi par une commission spécialisée afin de garantir une distribution "méthodique et équitable".
Grâce à cette décision de pré-affectation le souscripteur peut bénéficier d’un crédit bancaire pour couvrir le reste du prix du logement. Le souscripteur peut se contenter de verser la première tranche (1.000.000 da) et le reste sera payé avant la remise des clefs, par mensualités après l’obtention d’un crédit bancaire dans ce cas également.
Les prix d’achat des logements dans le cadre du LPP sont de 6,4 millions DA pour les F3 (80 m2), de 8 millions DA pour les F4 (100 m2) et de 9 millions DA pour les F5 (125 m2). En 2013, L’ENPI a mis en chantier des projets pour réaliser 150000 logements et compte réaliser le reste des projets en 2014 en fonction des demandes.
A Alger, la réalisation de 8000 unités a été lancée notamment à Sidi Abdellah, à Semrouni (Ouled Fayet), à Birkhadem, à Ain Beniane, à Bordj El Kifane, Reghaia, Rouïba, Ain Taya et Zeralda. La réalisation de ces projets est prise en charge par des entreprises choisies à partir d’une liste limitée. Près de 10.000 logements sont réalisés par ces entreprises ainsi que par des entreprises nationales publiques, des entreprises mixtes et des entreprises algériennes privées qui se chargeront de réaliser les projets ne dépassant pas 250 unités.
Outre leur grande superficie, les logements réalisés dans le cadre de ce programme seront construits avec des matériaux de construction de haute qualité et seront dotés de toutes les commodités nécessaires, d’équipements de proximité, et d’espaces verts ainsi que des aires de jeux et de loisirs.

Source Le Temps d'Algérie

03/02/2014

Wienerberger étudie le rachat du briquetier Allemand VINNUM

Le fabricant Autrichien de briques Wienerberger étudie une acquisition en Allemagne.
L'acquisition d'actifs de l'usine de brique Vinnum GmbH a été notifiée à L'autorité allemande de la concurrence, rapporte le "Börse-Expresss" , vendredi 31 Janvier. L'achat concerne l'activité  terre cuite.
Dans l'usine de brique à Olfen-Vinnum seraient produites les briques UNIPOR pour tous les domaines du gros oeuvre, y compris les briques spéciales.
L'usine est conçue pour une capacité d'environ 180 000 mètres cubes par an.
Source der Standard

Lettonie - Elaboration de trois nouveaux types de matériaux de construction

Trois nouveaux types de matériaux de construction ont été développés par des chercheurs de l’Université Technique de Riga, de l’Université de Lettonie et de l’Université lettone d’agriculture. Ces matériaux sont produits à partir de matières premières locales et sont respectueux de l’environnement. Ils sont en outre bon marché en comparaison avec les matériaux actuellement utilisés dans l’industrie.
Le premier matériau est une céramique composée d’argile, de poudre de dolomites et de poudre de verre. La température de fusion requise pour sa production est plus basse (700-750° C) que la céramique classique (900°C), et les résidus de verre présents dans le matériau augmentent les propriétés physiques et mécaniques de la céramique.
Le deuxième matériau est produit à partir d’argile. L’idée consiste à traiter l’argile avec une solution alcaline, permettant alors de produire des briques à des températures très basses (60-100°C) par opposition aux technologies traditionnelles (980-1000°C).
Le troisième matériau conçu à partir de poudre d’argile et de dolomite est un ciment, résultat de la fusion d’un mélange de matières premières (à 800°C). Il est utilisé pour remplacer le ciment de Portland et est utile pour restaurer des immeubles.
Source:www.radinrue.com par Florian Stern

02/02/2014

TECAUMA fournisseur de lignes de manutention pour les producteurs de matériaux de construction

TECAUMA bénéficie d'un véritable savoir-faire reconnu en manutention de produits céramiques (terres cuites) ce qui lui permet de réaliser des équipements pour la production des briques, briques de parement, tuiles et accessoires.
Les lignes complètes de manutentions courantes intègrent coupeur, chargeur de séchoir, empileur, dépileur, paquettiseur et robot.
Elles sont réalisées et adaptées aux marchés français et internationaux (Europe de l'Est, Maghreb...).
TECAUMA est aussi présente dans la fourniture d'équipements pour l'industrie du béton et notamment pour les process de fabrication des produits à démoulage différé, des produits préfabriqués et des blocs béton traditionnels ou rectifiés.
Plus récemment, l'entreprise a mis en route avec succès des lignes complètes en préfabrication de produits béton tels que poutrelles et caveaux. Ces lignes intègrent des équipements automatiques et semi-automatiques pour le moulage, l'étuvage, le démoulage et plus globalement la manutention des moules.
Pour la production des blocs béton, TECAUMA possède une large gamme d'équipements de manutention tels que des retourneurs de couches, des équipements de rectification/calibrage sur 1 face ou 2 faces, des cellules de palettisation robotisée ainsi que toutes autres solutions de manutentions annexes adaptées à votre besoin.

Source TECAUMA

01/02/2014

ALGERIE- Matériaux de construction : légère baisse de la facture d’importation, malgré une hausse des quantités les 11 mois 2013

La facture des importations algériennes des matériaux de construction durant les onze premiers mois 2013 a atteint 2,72 milliards de dollars, en légère baisse par rapport à la même période de 2012, malgré une hausse des quantités importées, selon les Douanes algériennes. Les importations des principaux matériaux de construction (ciment, bois et acier) ont atteint 2,72 milliards de dollar les onze premier mois de 2013 contre 2,75 milliards de dollars, en baisse de 0,95%, précisent les chiffres du Centre national de l’informatique et des statistiques (CNIS) des Douanes.
Les quantités importées par contre sont passées de 6,53 millions de tonnes les onze premiers mois de 2012 à 8,06 millions de tonnes à la même période en 2013 en hausse de plus de 23%, tirée notamment par une hausse de près de 60% des importations de ciment et de 3,8% du bois.
Les importations de ciment poursuivent leur tendance haussière durant les onze premiers mois de 2013 pour atteindre 369,59 millions de dollars, contre 231,74 millions de dollars à la même période de 2012, en hausse de 59,5%, précisent les Douanes algériennes.
La hausse des importations de ciment, entamée depuis 2012 durant laquelle les importations ont presque doublé, s’est accentuée durant l’année 2013 et devrait se poursuivre cette année, en raison des importants projets lancés.
En effet, les quantités importées ont connu également une "forte hausse" de plus de 60%, passant de 2,563 millions de tonnes à 4,109 millions de tonnes durant la période de comparaison.
Le déficit de l’Algérie en ciment dépasse actuellement les 5 millions de tonnes/an, alors que la production nationale actuelle est de plus de 18 millions de tonnes/an dont 11,5 millions de tonnes sont assurés par les 12 cimenteries publiques. Afin de répondre à cette forte demande et atténuer la flambée des prix accentuée notamment par la spéculation et limiter la hausse des importations, les pouvoirs publics ont tracé un "ambitieux" programme pour atteindre une production de 20 millions de tonnes à l’horizon 2016 et 29 millions de tonnes d’ici à 2018.
A cet effet, un contrat de performance a été signé en mai dernier par le ministère de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’Investissement et le Groupe GICA, chargé de mettre en œuvre ce programme de réalisation de cimenteries. Le programme prévoit non seulement la réalisation de nouvelles cimenteries mais également l’extension des capacités de production de six usines existantes.
Par ailleurs, l’office relève également que les importations de bois ont atteint 649,99 millions de dollars (1,646 million de tonnes), contre 625,74 millions de dollars (1,203 million de tonnes) à la même période en 2012, en hausse en terme de valeur de 3,88%.
Par ailleurs, les importations de fer et d’acier destinés à la construction se sont chiffrées à 1,70 milliard de dollars pour 2,704 million de tonnes durant les onze premiers mois de 2013, contre 1,89 milliard de dollars, soit 2,766 million de tonnes à la même période l’année précédente, en baisse en termes de valeur de 9,95%, selon le CNIS.
En 2012, les importations des matériaux de construction ont augmenté de près de 12% totalisant 2,89 milliards de dollars. Cette hausse a été tirée par les importations de ciment qui ont augmenté de 94,67% pour totaliser 244,4 millions de dollars.

Source Le Temps d'Algérie

31/01/2014

Céraquitaine joue la carte de l'international

Méconnue du grand public, l'entreprise Céraquitaine à Saint-Aulaye, est l'un des derniers fabricants français de céramiques réfractaires sur mesure. A Saint Aulaye, l'entreprise Céraquitaine est l'un des derniers fabricants français de produits réfractaires

Depuis plus de cent ans, puisqu'elle a été créée en 1903 ou 1904, l'entreprise Céraquitaine, implantée à Saint-Aulaye en Dordogne, conçoit et produit des produits réfractaires, principalement de la petite et de la moyenne série. Elle emploie trente salariés. Depuis plusieurs années, le marché national ne suffisant plus pour assurer son développement, l'entreprise périgourdine se tourne vers l'export tout en poursuivant ses efforts en matière d'innovation et de conception de nouveaux produits.
"Tous les secteurs d’activité qui ont un besoin de chauffer leurs produits à plus de 1000 ° C dans leur processus industriel sont à même de faire appel à nos services, résume Gilles Pouteau, le dirigeant de l'entreprise Céraquitaine, à Saint-Aulaye. Créée au tout début du XX e siècle, cette PME périgourdine de 30 salariés possède un savoir-faire unique. Il s’agit du dernier fabricant français de céramiques réfractaires « sur mesure ». "Nous avons un savoir faire artisanal au service de grands groupes industriels," indique Gilles Pouteau.
L’entreprise périgourdine est en concurrence avec des groupes mondiaux, installés en Europe de l’Est, en Chine, ou en Asie du Sud Est.
La céramique traditionnelle, la production de tuiles, briques, carreaux et porcelaine représentent désormais 49 % du chiffre d’affaires de l’entreprise, contre 16 % destinés aux constructeurs de fours et 10 % aux fabricants de produits électroniques.
Le reste est constitué par les céramiques techniques, l’industrie pétrochimique ou automobile. «La part de la céramique traditionnelle tend à diminuer, l’électronique, le secteur de la chimie sont en progression.
Ce qui nous oblige en permanence à innover, à développer de nouvelles références, à poursuivre les investissements, « indique Gilles Pouteau ».
L’entreprise propose quelques 9 000 références en produits réfractaires et 350 formulations différentes. Un des atouts de cette PME de 30 salariés est d’être capable de produire de la petite et moyenne série, voire de la pièce unique.
L'export, une question de survie
Depuis quelques années, Céraquitaine joue la carte international : " «Avec une industrie française en perte de vitesse, l’international est tout simplement une question de survie. L’export représente entre 40 et 48 % de notre chiffre d’affaires. Dans les années à venir, nous tablons sur 75 % à l’export pour un chiffre d’affaires autour de 4 millions contre 2,3 millions cette année, » analyse Gilles Pouteau. "La désindustrialisation de la France a eu un impact direct sur notre activité. Certains de nos clients ont quitté la France et sont partis vers des pays où la main d’œuvre est moins onéreuse. Nous avons du développer de nouvelles stratégies pour les conserver. C'est le cas du groupe Siemens qui a quitté la région bordelaise." La qualité et le savoir-faire de l’entreprise périgourdine sont mondialement reconnus. Leurs principaux marchés sont l’Allemagne, l’Espagne, l’Europe du Nord et l’Europe de l’Est (République Tchèque). Autre atout, l’entreprise s’engage à livrer une commande dans un délai de six semaines, alors que la même commande fabriquée en Chine ou en Asie du Sud Est, demandera plus de deux mois avec une livraison par bateau.
Une diversification pour sauver un emploi
Souhaitant davantage ouvrir son entreprise sur l’extérieur, Gilles Pouteau a créé au sein de son usine un magasin destiné aux potiers artisanaux et aux artistes. « C’est une activité de négoce. Nous commercialisons la matière première (argile, émaux), le matériel (four, tour à potier, pinceau) pour ces artistes et aussi les produits réfractaires que nous fabriquons. Notre cœur de métier, c’est la maîtrise des hautes températures et le travail du feu. Nous apportons conseils et formation à cette nouvelle clientèle, qui vient parfois de loin. » Le magasin est ouvert depuis mars 2013. Cette diversification a permis la sauvegarde d’un emploi, à une période où l’entreprise a traversé une période plus délicate.

Source AQUI

30/01/2014

Tunisie – Hausse des prix de matériaux de construction

Les entrepreneurs à Jendouba appellent à une indemnisation
Des entrepreneurs du gouvernorat de Jendouba ont menacé d’annuler les contrats conclus pour la réalisation des projets d’amélioration d’infrastructure de base dans la région ainsi que dans des gouvernorats avoisinants, indique un communiqué rendu public lundi par la chambre syndicale régionale des entrepreneurs de bâtiment et des travaux publics relevant de l’union régionale de l’industrie, du commerce et de l’artisanat de Jendouba.
La chambre appelle les structures concernées à indemniser les entrepreneurs fortement endommagés par la pénurie des matériaux de construction, la hausse exorbitante des prix du ciments et celui du fer.
Elle appelle à exempter les entrepreneurs des pénalités de retard étant donnée que le non respect des délais convenus pour la réalisation des projets s’explique essentiellement par la hausse des prix des matériaux de construction et la lenteur des procédures administratives. Selon le communiqué, la chambre appelle également à contrôler les circuits de distribution des ciments pour lutter contre la spéculation et la contrebande.
Le président de la chambre syndicale régionale des entrepreneurs de bâtiment et des travaux publics, Islam Shili a indiqué au correspondant de l’Agence TAP dans la région que, les correspondances adressées aux structures concernées pour examiner cette question, ont été négligées.
Un groupe d’entrepreneurs ainsi que des représentants de bureaux d’études avaient observé des mouvements de protestation pour contester l’inaction des structures concernées face aux problèmes qui entravent la bonne marche du secteur des travaux publics.

Source Directinfo

29/01/2014

La nouvelle gamme SOLTERRE de TERREAL: Le Solaire au service de la construction neuve

A l’heure où la RT 2012 exige une consommation énergétique du bâtiment inférieure à 50 kWhEP/m²/an, TERREAL a renforcé sa gamme solaire avec deux innovations majeures qui permettent d’atteindre cet objectif, tout en offrant une facilité de mise en œuvre inégalée :
Solterre TH2, une solution solaire thermique qui vient d’obtenir un avis technique du CSTB, et Solterre Micro PV, une solution photovoltaïque développée pour l’autoconsommation.
Solterre TH2 : l’unique solution de solaire thermique du marché intégrée au bâti optimisant performance thermique et étanchéité totale.
Conçue par des couvreurs pour des couvreurs, la solution Solterre TH2 de TERREAL est la seule solution solaire thermique conjuguant les meilleurs rendements thermiques et une étanchéité totale, qui possède un avis technique du CSTB (n° TERREAL-14/13-1868).

Les différentes innovations développées sur ce capteur solaire le classent comme le plus puissant du marché : ses capteurs offrent en effet un rendement optique incomparable de 83,3 %. La solution solaire thermique Solterre TH2 est également la solution d’eau chaude sanitaire la plus rentable en €/kWh : adossée à une chaudière à condensation, elle constitue la solution de traitement de l’eau chaude sanitaire en énergie renouvelable la plus économique.

Tests à l’appui, elle garantit aussi de très grandes performances en matière d’étanchéité, qu’elle soit mise en œuvre sur des toitures à très faible pente (jusqu’à 11°), dans des zones sismiques ou dans des zones fortement exposées au vent.

L’une de ses principales innovations réside dans sa conception qui prévoit une connexion hydraulique en sous-face, évitant ainsi aux plombiers d’avoir à monter sur le toit pour effectuer les branchements et laissant donc l’installation sur le toit aux professionnels de la couverture.

De plus, elle peut s’installer en hauteur élevée et en nombre illimité, contre 5 panneaux maximum habituellement : un point fort pour la pose en logements collectifs.

Son système d’intégration a été conçu pour une mise en œuvre simple avec une pose en 1h30 par deux personnes, ce qui en fait la solution la plus rapide du marché.

Pour une meilleure intégration esthétique, Solterre TH2 est disponible en 4 coloris (rouge, rouge brun, sable et ardoisé).

Solterre Micro PV : un panneau photovoltaïque sécurisant pour favoriser l’autoconsommation.

Aussi fiable et facile à poser que son homologue thermique, Solterre Micro PV est économique et performant.

La pose de deux ou trois panneaux solaires photovoltaïques suffit à produire jusqu’à 12 kWhep/m²/an pour un investissement inférieur à 3 000 € fourni posé.

Pour les constructeurs, ce système présente les avantages suivants : la possibilité de maintenir un chauffage électrique traditionnel dans certaines configurations, une solution économique en association avec une chaudière à condensation, une solution sûre et rapide à mettre en œuvre pour maîtriser leurs coûts.

Parce que fiabilité rime souvent avec simplicité, TERREAL a développé un système avec une double étanchéité en utilisant notamment une structure en forme de gouttière, produit éprouvée depuis des centaines d’années !
Les tests en soufflerie Moby Dick II effectués sur Solterre Micro PV permettent de garantir son étanchéité jusqu’à des pentes de toitures de 12° et ce, pour toutes les zones de vent.

Parce que garantir la sécurité des personnes constitue une préoccupation majeure pour TERREAL, la solution Solterre MicroPV intègre des micro-onduleurs placés sous tous les panneaux.
Ces derniers permettent de réduire le risque d’apparition d’arcs électriques, cause possible d’incendies domestiques, en transformant directement sous le panneau le courant continu en courant alternatif.

Avec ces deux nouvelles solutions, TERREAL, expert de la toiture positive, confirme son expertise sur le marché du Solaire photovoltaïque et thermique. Son expérience de la couverture et de l’étanchéité depuis 150 ans lui permet aujourd’hui de développer des solutions certifiées offrant les meilleures garanties d’étanchéité du marché.
Source Wellcompresse 

28/01/2014

Plébiscite de la brique terre cuite avec la nouvelle réglementation thermique

Si, en France, 70% des maisons ont une couverture en tuiles terre cuite, en matière de mur la « terre cuite » n’a pas le même succès, notamment face à l’omniprésent parpaing en béton. Pourtant, avec l’arrivée de la RT2012 (Réglementation Thermique 2012) et de ses bâtiments basse-consommation, les choses évoluent.
A l’instar de la construction bois, les bâtiments en briques terre cuite séduisent de plus en plus les Français. Entre l’ancienne RT2005 et la nouvelle RT2012, la construction en terre cuite a progressé de 23%. Aujourd’hui, plus de 40% des maisons individuelles sont réalisées en briques. Pour les bâtiments collectifs (jusqu’à R+5), les qualités de la brique terre cuite séduisent les architectes, aussi près de 25% des logements collectifs sont désormais construits en briques.
Pour mémoire, rappelons que la brique terre cuite est à l’origine de constructions qui cumulent nombre d’avantages. Parmi les principaux, on peut citer le caractère sain des constructions obtenues, grâce à un matériau naturel, une bonne gestion de l’humidité (la terre cuite fixe très peu l’humidité contenue dans l’air), une isolation thermique de qualité (notamment dans le cas des briques Monomur), la quasi absence de pont thermique, etc.
Autant de caractéristiques reconnues dans un sondage Ifop (1), puisque près de la moitié des personnes interrogées estiment que la brique terre cuite est un très bon isolant et près de 60% considèrent qu’elle est durable et résistante. Du côté des professionnels, dans le cadre d’une construction répondant à la RT2012, 36% des maçons, qui ont choisi la brique de terre cuite, l’ont fait pour ses caractéristiques thermiques.
1) Etude menée en novembre 2013, dans le cadre de l’OMCAWI, enquête multi-clients de l’Ifop, réalisée chaque semaine en ligne et auto-administrée, auprès d’un échantillon national représentatif de 1000 individus âgés de 18 ans et plus (634 propriétaires et 308 locataires).

Source Univers Nature

Algérie: Intégrer l’architecture de terre dans la construction moderne

Lors d’une journée d’étude sur les techniques de construction en terre, organisée jeudi à Tamanrasset, l’accent a été mise sur la nécessaire intégration de l’architecture de terre dans les modes de construction modernes réalisés au titre des différents programmes de développement.
Les intervenants, architectes, partenaires sociaux et élus locaux, ont, lors de cette rencontre tenue à la bibliothèque publique de Tamanrasset, souligné l’importance de la valorisation du matériau de l’argile, un procédé ancestral, et son intégration en tant que mode architectural dans les constructions modernes.
Ils ont également plaidé pour la mise en place de mécanismes opérationnels à même de permettre l’usage de ce mode d’urbanisation, l’initiation de ses techniques, la création d’opportunités de commercialisation de matériaux de construction destinés à l’architecture de terre.
La présidente du centre algérien du patrimoine culturel bâti en argile, Yasmin Torki, a mis en exergue les avantages de l’architecture de terre dans la réalisation de bâtisses, qui, largement disponible et utilisé dans différents styles architecturaux aux quatre coins du monde, reflète l’identité et la culture des peuples.
Elle a, toutefois, réfuté les stéréotypes associant l’utilisation de la terre à une arriération, appelant, à ce titre, à changer les mentalités et à adopter l’argile et le toub (pisé) dans la réalisation des bâtisses, au regard de leur impact positif sur l’environnement.
Cette journée d’étude vient couronner deux ateliers de formation sur les techniques de construction en argile, initiés du 11 au 22 janvier courant par le centre national du patrimoine culturel au niveau du centre de la formation professionnelle de Tamanrasset, ont indiqué les organisateurs.
Cette rencontre, qui a regroupé plus de 40 participants, entre architectes et formateurs en maçonnerie issus de Tamanrasset et d’In-Salah, a donné lieu à l’organisation d’une exposition de modèles de structures en pisé de différentes régions du monde, en plus d’un stand mettant en relief la beauté des vieux ksour et la nécessité de les sauvegarder, en tant qu’élément de l’identité nationale.

Source Portail CDER

27/01/2014

Matériaux de construction : l’année 2013 moins mauvaise que prévu -2,9% pour les tuiles et -7,8% pour les briques

Le dynamisme des deux derniers trimestres permet au marché des matériaux de construction de légèrement redresser la barre en 2013. Les premières données communiquées par l’Unicem laissent entrevoir une hausse de production de 1,8% pour les granulats, tandis que le béton prêt à l’emploi limite les dégâts avec une baisse de 1,8%.
Difficile de parler de bons chiffres tant le marché des matériaux de construction reste fragile. Mais les données communiquées par l'Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (Unicem) dans sa dernière lettre de conjoncture font ressortir un net rebond de la production. C'est surtout vrai des granulats : la hausse atteint 4,2% en décembre par rapport au mois précédent, et 1,6% par rapport au même mois de l'année précédente. Sur l'ensemble de l'année 2013, la progression s'établit aux alentours de 1,7%. "Une conjoncture moins mauvaise que prévu dans le bâtiment mais aussi et surtout dans les travaux publics, couplée avec un possible restockage, ainsi que l'absence d'intempéries en ce début d'hiver pourraient expliquer cette bonne surprise", note l'Unicem dans sa lettre de conjoncture.
Les bonnes conditions météorologiques et un possible effet de restockage ont contribué au rebond de la production de granulats et BPE en décembre.
Le marché du béton prêt à l'emploi a lui aussi fortement progressé en décembre, avec une production en croissance de 5,9% par rapport à novembre, et de 3,1% comparé au même mois de l'année précédente. Malgré ce rebond la tendance annuelle reste négative pour le BPE (-1,9%), après un exercice 2012 déjà très compliqué (-5,1%).
Des perspectives de marché encore fragiles
De façon générale, 2013 restera comme une nouvelle année difficile pour le marché des matériaux de construction. Les chiffres consolidés par l'Unicem laissent envisager une baisse des livraisons de 9,2% pour les produits béton, encore plus conséquente qu'en 2012 (-6,4%). A l'inverse la terre cuite redresse la barre d'un exercice à l'autre. Les briques sont en recul de 7,8%, soit une baisse de cinq points inférieure à l'année 2012. Et les tuiles parviennent encore mieux à limiter les dégâts avec un recul de 2,9%, soit six points de mieux que l'exercice précédent.
Difficile d'anticiper ce que sera le marché en 2014. "Les perspectives des professionnels du gros oeuvre se seraient raffermies en décembre, de même que les carnets de commande du second oeuvre, note l'Unicem. Ce redressement est d’ailleurs également perceptible dans les prévisions d’activité des professionnels de l’entretien-amélioration en net rebond en décembre." Dans le même temps, les mises en chantier de logements neufs restent sur une tendance négative (-6,2% sur douze mois à fin novembre), et la baisse est encore plus prononcée pour les permis de construire. Les travaux publics sont un peu mieux orientés : en cumul sur onze mois, la baisse des travaux atteignait 1,4% fin novembre. Mais la période suivant les élections municipales est, dans ce secteur, rarement propice à la prise d'affaires.

Source Le Moniteur

Revel. Les parlementaires visitent Terreal

Vendredi 24 Janvier après-midi, le président de Terreal, Hervé Gastinel, recevait sur le site de Revel deux parlementaires: le sénateur de Haute-Garonne Jean-Jacques Mirassou et la députée Emilienne Poumirol. Ils étaient accompagnés de la conseillère municipale PS d’opposition, Sylvie Balestan. C’est d’ailleurs elle qui est à l’origine de cette visite née d’une rencontre avec le président lors d’une inauguration à Castelnaudary où elle est chargée d’urbanisme au sein de la mairie.
«Ils ont voulu visiter le site de Revel et comme nous traversons une période difficile il est toujours important de montrer aux décideurs notre bel outil de production», expliquait Hervé Gastinel. En effet, le directeur confirmait que depuis 2007 Terreal avait connu une baisse d’activité de 30%. «Malgré ça, nous avons maintenu l’emploi grâce à la flexibilité et à la mobilité interne», confiait-il au groupe d’élus. Pour se maintenir et prendre une part importante des marchés d’avenir, Terreal mise sur les «énergies positive» à travers l’innovation. Toutefois l’entreprise doit faire face au dumping de sociétés étrangères qui viennent la concurrencer sur le marché français. Il lançait donc un appel du pied aux élus pour soutenir cette entreprise française sélectionnée parmi les 34 «initiatives Montebourg» pour une nouvelle France industrielle.
«Ce genre d’entreprise mérite d’être encouragée», confiait la députée Emilienne Poumirol. «Elle innove et se tourne vers les bâtiments nouvelle génération. De plus il faut soutenir la qualité et la proximité. Pour cela nous avons mis des outils en place comme la Banque publique d’investissement, les aides à l’export et la mise en relation».
En effet, en plus de ses produits phares dans ses trois métiers: la couverture, les façades et les structures, Terreal mise aujourd’hui sur le développement durable dans le neuf comme dans la réhabilitation de logements sociaux ou de particuliers. «Nous avons un double objectif: fournir des systèmes de constructions et rénovations aux techniques performantes mais aussi réduire impact industriel sur l’environnement». Terreal n’utilise que de l’argile 100% naturel et recyclable.
Terreal en chiffres:
- Terreal c’est 25 sites dans le monde dont 16 en France
- Elle emploie 2500 salariés à l’échelle internationale dont 51 à Revel
- Elle affiche un chiffre d’affaire de 400 millions d’€ par an, pour une production annuelle de18 000 tonnes annuels.
- Un tiers de sa production reste en France et le reste part à l’export: USA, Chine, Grande-Bretagne, Moyen-Orient, Algérie,...
- Terreal est n°1 mondial pour la tuile plate; n°1 (coleader) sur la tuile canal en France; n°1 en France sur les façades et n°3 mondial.
Source La Dépêche du Midi par Emile Gaubert

26/01/2014

Pour tout savoir sur les carreaux de pavage

Mardi 28 Janvier sera donnée, au château de Germolles, une conférence sur les carreaux de pavage.

Dans le domaine de la construction, le Moyen Âge a utilisé à foison les terres cuites architecturales.
Les tuileries installées jadis sur le sol bourguignon fabriquaient quantité de tuiles, de briques et de carrelages de sols.
À côté de la réalisation de carreaux simples, l’artisanat du carreau décoré s’est énormément développé dès le XIIe siècle. Mais cette production ne pouvait concerner que les seigneurs fortunés, tels les ducs de Bourgogne, ou les fondations religieuses les plus riches.
Ainsi le château de Germolles possède-t-il non seulement la plus vaste collection de carreaux de pavage issus de ce mécénat ducal, mais aussi l’une des plus abondantes de la région.
D’autres demeures ont aussi livré de tels vestiges, comme le château d’Argilly, détruit aujourd’hui, ou celui de Rouvres-en-Plaine, aussi disparu, où les carreaux montrent des conceptions techniques, esthétiques et emblématiques totalement différentes.
De même, la prestigieuse Chartreuse de Champmol a révélé des pièces montrant un tout autre pan de cette industrie. Le bilan donné par Matthieu Pinette, conservateur en chef du patrimoine, permet alors de reconsidérer certains axes de la politique artistique ducale.
PRATIQUE Château de Germolles, mardi 28 janvier à 20 heures. Tarif : 8 €. Rés. au 03.85.98.01.24 ou à chateaudegermolles@gmail.com
Source Le Journal de Saône et Loire par EMMANUEL MÈRE

25/01/2014

Imerys Ardoisières de Trélazé. La pluie n'arrête pas les ardoisiers, l'accès à l'entreprise bloqué

Sous la pluie, les ardoisiers ont rallumé le brasero géant bloquant l'accès au siège des Ardoisière d'Angers, rue Albert-Camus.
Deux jours après la mise en place de la commission d'évaluation des gisements dans laquelle ils sont partie prenante, les ardoisiers ont retouvé le siège de l'entreprise, vendredi matin à Trélazé.
Sous la pluie, ils ont rallumé le brasero géant dans une benne bloquant l'accès au site. Cette matinée est consacrée à la tenue d'un comité d'entreprise qui sera suivi, cet après-midi, d'une assemblée générale d'information.
Toujours engagés contre la fermeture des Ardoisières d'Angers projetée par le groupe Imerys, les ardoisiers préparent également la grande manifestation prévue samedi 1er février à Trélazé.

Source Le Courrier de L'Ouest