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01/05/2016

New technology to slash brick costs

Sydney company Brickworks is planning to introduce a revolutionary new technology to Western Australia it believes will cut the cost of manufacturing bricks by 30 per cent.

The building products group announced today it had entered into an exclusive agreement with Colorado-based Direxa Engineering for the use of its skate-kiln technology.

The skate-kiln technology removes the need for kiln cars when manufacturing bricks, and has the potential to lower both the capital cost of building a new plant and brick manufacturing costs by 30 per cent.

“Brickworks has an exclusive agreement to utilise this skate kiln technology in certain markets in Australia, with Western Australia having been identified as a priority for deployment,” Brickworks said in a statement.

“Initial planning is under way for the construction of a new plant utilising this technology in WA, with a target commissioning date in the first quarter of the 2018 financial year.”
Brickworks also announced today that its Auswest Timbers business had recently completed the purchase of the previously closed Whittakers timber mill in Greenbushes.
Auswest will use the low-cost mill to process smaller-sized jarrah logs, and will transfer operations from the company’s Deanmill site.

Brickworks also said its Austal Bricks subsidiary planned to re-open its Cardup plant, south of Byford.

“A refit to automate the currently mothballed Cardup plant is now underway and will deliver a significant improvement in product quality and a lower manufacturing cost, due in part to this site benefitting from on-site clay services,” it said.

The news came on the same day Brickworks posted its best-ever first-half revenue of $358 million, with profit up 82 per cent to $76.9 million for the six months to December.
However, while the company’s order book for operations on the east coast remains strong, it says conditions in WA are deteriorating as building activity drops off.
“After reaching record levels in 2015, detached housing approvals in WA have now passed the peak and are declining sharply,” Brickworks said.

“Improved volumes delivered a positive EBIT impact of $2.4 million. Significant volume increases in most east coast operations was partially offset by declines in WA.”

That being said, the company’s Bristile Roofing subsidiary experienced a pickup inactivity in the state during the first-half, despite the sluggish property market.

Brickworks reported a 9.8 per cent increase in EBIT to $98.8 million, and declared an interim dividend of 16 cents per share.
“Improved earnings were achieved on the back of an increase in sales volume and prices, and improved production efficiencies that enabled manufacturing costs to be well contained,” the company said.

Overall earnings were lower in WA, as a result of a reduction in market activity and increased competition.
“As a result, sales volume decreased compared to the prior corresponding period, despite a small decrease in average selling prices,” it said.
“Prices in this market are now lower than they were seven years ago.”
Managing director Lindsay Partridge said the strong result was also supported by the group’s success in combating the ongoing competition from alternative products.
“Our products are becoming increasingly popular in key market segments,” he said.
“For example, we have seen a significant increase in the use of face brick in high rise residential and commercial developments, on the back of our investment in high fashion and our strong links to the architectural community.”

However, Mr Partridge said further growth in sales volume would be limited by external constraints.
“Residential building activity is now at the highest level on record, driven by the major markets of Sydney and Melbourne,” he said.
“As a result, the industry has now effectively reached capacity in these markets due to bottlenecks caused by trade and product shortages.”
The group’s Austral Bricks business experienced strong price increases in all states except WA, while Austral Masonry and Austral Timbers suffered from strong competition in WA.
Brickworks closed 0.4 per cent lower to $15.68 each.

Source Businessnews

30/04/2016

Limoux: après dix ans de sommeil la Tuilerie revit à nouveau

L’après-midi artistique et musical, dans l’antre de l’ancienne entreprise, a constitué un avant-goût de la mutation que va connaître ce lieu emblématique du Limouxin.
La manifestation à laquelle, il a été donné d’assister ce vendredi a constitué certainement une première du genre, tant dans l’originalité que par les animations proposées.
La vieille Carcasse emplie de musique
En effet, faire revivre la vieille carcasse faite de briques rouges, gorgées par la poussière de prés d’un siècle de fabrication de tuiles, tient vraiment du singulier. Car cette imposante bâtisse qui a représenté durant le siècle dernier un des deux (avec Myrys) fleurons de l’industrie limouxine, possède un caractère atypique.
La manifestation du jour avait pour but de réveiller ce lieu endormi depuis 2005, date du transfert de la structure de production, route de Saint-Polycarpe. Pour l’occasion, une exposition de photos retraçant les différentes étapes de la vie de l’entreprise a été dressée intra-muros. Mais aussi, un grand nombre de tableaux, de sculptures et compressions qui ont été mis en valeur dans un symbolique dé- dale de murs et de colonnes. Une estrade où ont siégé une quinzaine de musiciens ainsi qu’une cantatrice ont démontré si besoin était la qualité d’une acoustique irréprochable.
La nostalgie des anciens
Pour rien au monde ils n’auraient raté ce rendez-vous fait de mille souvenirs, ils, ce sont les anciens employés de l’usine Messieurs Prades, Bergnes, Sarda, Arzens et bien d’autres qui durant des décennies ont œuvré dans des conditions difficiles (poussières, bruit, chaleur des fours) et dont le regard était ce vendredi souvent empreint d’émotions en retrouvant ce pan de leur passé professionnel. «Ce qui nous fait plaisir» dira l’un d’eux, «c’est que la tuilerie ne sera pas rasée et utilisée à d’autres fins».
Une avant-première
Les élus à l’origine du projet de la médiathèque ont souhaité la tenue de cette journée d’animation qui doit être perçue comme une revue d’effectif avant le début des travaux. Jacques Ferrier, l’architecte de la médiathèque était aussi au rendez-vous pour la plantation d’un arbre symbolique. Reste désormais à procéder au nettoyage en profondeur de l’immense structure avant le lancement des travaux qui devraient commencer en 2017.

Source L'Indépendant

29/04/2016

Le savoir-faire de TERREAL valorisé au Journal Télévisé de France 2

La terre cuite, l'usine Terreal de Bavent, les produits "made in France" traditionnels et innovants... C'est ce que vous pouvez découvrir en visionnant la vidéo du Journal Télévisé de 13h de France 2 du vendredi 29 avril.

Les savoir-faire du groupe Terreal sont présentés dans cette vidéo de 4 minutes avec un focus sur notre production et un zoom sur nos produits de bardage. On y voit l’exemple de la maison Monopoly où des tuiles Rully émaillées avec 4 coloris enveloppent la façade et la toiture de ce pavillon.
Grâce à l'engagement quotidien de nos collaboratrices et collaborateurs et à la confiance que nous témoigne nos clients et partenaires, notre groupe œuvre chaque jour à l'amélioration de l'habitat.
Visionnez la vidéo ci-dessous. Retrouvez-la également sur YouTube

Source Terreal

Fabienne Lelandais dit au revoir à Terreal / Saint-Martin-Lalande

Tout le monde avait le cœur gros vendredi soir à la maison du peuple ! 

Le petit peuple de Terréal était venu pour dire au revoir à Fabienne Lelandais, et malgré les airs de petite fête de ce pot de départ, l'émotion était palpable !
C'est en 2007 que Fabienne a intégré le site de Saint-Martin-Lalande au poste de coordinatrice de la sécurité pour plusieurs usines du Sud de la France.
Dès ce premier poste, elle a su séduire ses interlocuteurs par son efficacité et son pragmatisme ! Le maire, Guy Bondouy se souvient de la façon dont elle avait géré de main de maître il y a quelque temps les petits soucis rencontrés avec le lac de la Bretonne.

En octobre 2013, elle devient la première femme de l'histoire de Terréal à occuper le poste de responsable de production !
Une fierté pour l'usine de Saint-Martin-Lalande, et une chance pour les 70 personnes qui se retrouvent alors sous sa bienveillante autorité : «avec elle on peut bosser !» s'exclame un des membres de l'équipe de production.
Et un autre de rajouter : «Elle est à l'écoute, attentive, gentille, et a un grand sens de l'humour !». Il y a quelques semaines, elle donnait sa démission, et dans quelques jours, c'est dans une nouvelle entreprise de la région toulousaine que toutes ses qualités seront appréciées !
Source La Dépêche du Midi

28/04/2016

WIENERBERGER: Terre cuite apparente

Les grandes longueurs, la diversité des teintes et des aspects de ces briques terre cuite permettent de nombreuses possibilités créatives contemporaines en façade neuve ou en rénovation.

Les briques grandes longueurs se déclinent en cinq gammes :

  • Longilignes (6 teintes ; formats : 495 x 100 x 38 mm et 510 x 100 x 40 mm) ; 
  • Expressives (8 teintes ; 288 x 90 x 48 mm) ; 
  • Équilibrées (6 teintes ; 288 x 90 x 48 mm) ; 
  • Originelles (4 teintes ; 238 x 90 x 48 mm) ; 
  • Audacieuses (4 teintes ; 495 x 95 x 48 mm). 


Cette gamme est complétée d’une série de briques émaillées, en finitions lisse, moulée main ou structurée, nacrée, métallique ou brillante, dans 43 coloris et toute couleur Ral. Elles sont disponibles en longueur jusqu’à 240 mm et plaquettes jusqu’à 290 mm.

Source Batijournal

27/04/2016

TECAUMA: Rendez-vous au salon Batimatec Alger

TECAUMA vous donne rendez-vous au salon BATIMATEC Alger, le salon international du bâtiment, des matériaux de construction et des travaux publics, qui aura lieu du 3 au 7 mai 2016 au Palais des Expositions des Pins Maritimes d'Alger.
Rendez-vous sur le stand TECAUMA:
HALL AHAGGAR - PAVILLON FRANCE - STAND AS3
TECAUMA vous présentera ses équipements de manutention de produits céramiques : paquettiseurs de briques, coupeurs de tuiles, installations robotiques... Mais aussi sa force de proposition en remplacement de machines, et en renouvellement d'ancien matériel pour rendre vos usines plus performantes et réaliser des économies d'énergie.

  • Paquettiseur de briques
  • Robot de manutention de tuiles


Pour la partie menuiserie, TECAUMA mettra en avant ses systèmes de stockage dynamique de profilés (PVC, aluminium, acier...), comme le TEC'UP PR, qui permet d'optimiser l'espace en stockant en hauteur, et de gagner en productivité et en gestion du stock.

Source Tecauma

Les plus beaux bâtiments en brique

ARCHITECTURE. Après un premier ouvrage consacré au béton, William Hall revient sur un matériau vernaculaire et universel, la brique.
Dégradé de briques dans l’entrée de la teinturerie Hoechst AG,à Francfort, par Peter Behrens.
La brique est à la mode. Appréciée pour ses qualités isolantes et esthétiques, elle est recommandée par la municipalité de Londres dans ses préconisations urbanistiques. « Il y a même une pénurie de briques au Royaume-Uni », s’étonne William Hall. Ce retour de flamme n’est pas la seule raison qui l’a poussé à consacrer un fort beau livre à ce matériau ancestral. C’est aussi la rareté des ouvrages généralistes sur la question. Il n’en existait qu’un seul jusque-là, selon l’auteur britannique, par ailleurs designer dans l’édition.
Car la brique a longtemps souffert d’une image négative et polémique. En Angleterre, on la trouvait déprimante car associée au logement social. Elle était davantage employée par des bâtisseurs que par des architectes.
D’où l’idée de cet « essai visuel » pour un public non averti, mais amateur de belles demeures. Point d’interview de chercheurs ou de propos jargonnants (un glossaire permet toutefois de préciser certains termes techniques), mais des notules courtes et prodigues en anecdotes savoureuses sur les 180 édifices ici rassemblés. William Hall raconte ainsi que Napoléon souhaitait rapporter « dans le creux de sa main » l’église gothique Sainte-Anne, à Vilnius, en Lituanie (XVIe siècle). Ce qui ne l’a pas empêché de la transformer en écurie pour la cavalerie française…
Classée selon des catégories avant tout esthétiques, la sélection, magnifiquement illustrée, donne la part belle aux édifices colorés, comme en témoigne le dégradé kaléidoscopique de briques indigo et vermillon qui pare l’incroyable hall d’entrée de la teinturerie Hoechst AG, à Francfort, conçue par Peter Behrens (1924).
À l’image de la spectaculaire rampe hélicoïdale du minaret de Samarra, en Irak (851), les contraintes imposées par les six faces de ce pavé de terre crue ou cuite obligent également les architectes à être créatifs pour arrondir les angles de ce matériau aux multiples facettes.
Source La Croix par Stéphane Dreyfus

26/04/2016

Avec bio'bric, vivez dans une maison saine et économe en énergie

Avec bio'bric, vivez dans une maison saine et économe en énergie Une maison construite en briques bio'bric est naturellement respectueuse de la santé de ses occupants. La naturalité de la brique associée à la qualité de fabrication Bouyer Leroux en font le matériau idéal pour construire des bâtiments sains, performants et économiques.
Bio’bric dispose d’un fort pouvoir isolant. Grâce à son inertie, la brique agit aussi comme une climatisation naturelle réversible. Votre maison est aussi agréable en été qu’en hiver, et votre facture d’énergie s’en trouve réduite. La constitution de bio’bric est uniquement minérale : c’est donc zéro moisissure et un classement A+ pour la qualité de l’air intérieur. La recherche de la bonne isolation est avant tout un choix de bon sens qui allie performance thermique, coûts maîtrisés et pérennité. Des raisons qui font de la brique le matériau le plus utilisé dans les constructions de maisons basse consommation.
Bio’bric est un matériau à forte inertie thermique qui régule naturellement la température à l’intérieur de la maison : économies d’énergie en hiver par la récupération des apports solaires et confort en été par la fraîcheur préservée des bâtiments. Il existe deux types de briques : les briques à isolation rapportée (gamme bgv), et les briques à isolation répartie (gamme mono’mur ). Ces dernières ne nécessitent ni l’ajout d’un isolant ni celui d’une cloison de doublage.
Gamme bgv 20 bio’bric : l’offre la plus large de briques de mur de 20 cm
Dotées de résistances thermiques situées entre 0,75 et 1,50 m².K/W, elles permettent d’être conforme aux exigences économiques et réglementaires pour tous les projets, en maisons individuelles et en logements collectif.

bgv 20 bio’bric : Le plus thermique de la terre cuite
Les exigences de la RT 2012 demandent un bâti plus isolant afin de diminuer les besoins en terme de chauffage des logements. Les exigences ont évolué vers des murs de plus en plus performants thermiquement. La brique terre cuite présente cette qualité intrinsèque. Le gain thermique de la gamme bgv 20 équivaut à un ajout d’isolant de 2 à 3,5 cm d’isolant en plus par rapport au bloc creux de béton courant tradi suivant le type de bgv.
Des accessoires destinés à limiter les déperditions d’énergie au niveau des ouvertures et du plancher complètent la gamme des briques de mur. Quand on sait que les ponts thermiques (ouvertures, planchers, refends) représentent autour de 20 % des déperditions d’une maison, on voit tout l’intérêt de traiter le mur dans sa globalité. Bouyer Leroux répond ainsi à la réglementation thermique 2012 (visant à réduire la consommation énergétique des bâtiments).
Mur’max

Le système mur’max constitue l’offre Premium de la gamme bio'bric. Sa performance thermique (R = 7,15 m2.K/W) permet de réaliser un bâti qui répond aux exigences d’isolation des maisons actuelles, et aussi de demain : maisons passive ou à énergie positive. D’une épaisseur de 42,5 cm hors enduit, mur’max est constitué de deux parois en terre cuite de 15 cm d’épaisseur entre lesquelles est disposé un isolant très performant de 120 mm d’épaisseur, l’isolant ainsi “encapsulé” est protégé de tous types d’agressions.
Brique plâtrière
Grâce à ses performances thermiques, acoustiques, mécaniques, de résistance au feu et à l’humidité, la cloison brique est à la solution qui répondra à tous vos projets Elle ne craint ni l’eau ni l’humidité et est donc particulièrement adaptée aux pièces humides telles que les salles de bain et les cuisines.
Elle est totalement incombustible et constitue, avec son enduit, le meilleur rempart au feu.
Elle répond parfaitement aux exigences de la réglementation acoustique.
Enfin, La cloison en briques supporte très bien les objets lourds tels que les meubles de cuisine dont l’accrochage ne nécessite pas l’utilisation de systèmes complexes et coûteux de fixation.
Conduit de fumée terre
Derrière le plaisir et le bien-être ressentis devant le crépitement d’un feu, se conjugue la satisfaction de profiter d’un mode de chauffage écologique et sûr dont la sécurité est garantie tant par le produit en lui-même que par la qualité de sa mise en œuvre.
Pourquoi choisir un conduit de fumée terre cuite ?
- Une solution économique 30 % moins chère fourni / posé qu'une solution préfabriquée.
- Un conduit Durable garanti 30 ans, très résistant à la corrosion et aux acides (classe 3) + FDES sur 100 ans.
- Une résistance au feu de cheminée à 1000° (G) et pour des températures de fumée très élevées (T600).
- Une construction saine avec tous les avantages naturels de la terre cuite.
BARDAGE
Bio’bric créée bio’bric façade : une nouvelle offre au service de votre créativité et de vos envies.
Association de la puissance industrielle de Bouyer Leroux et du talent artisanal de coloristes de premier plan, bio’bric façade est un nouvel atout qualitatif, performant et décoratif pour la façade d’aujourd’hui.
Des solutions pour laisser libre cours à la créativité

  • différentes longueurs et hauteurs disponibles - sur-mesure
  • grande variété de teintes (teintées masse, émaillées)
La promesse d’économies d’énergie
  • Isolation thermique par l’extérieur

Protection efficace contre l’humidité et les risques de condensation

  • système de façade ventilée
  • Esthétique durable
  • résistance aux UV,
  • résistance aux chocs (q3)
  • résistance au gel
  • Des économies d’énergie grâce à l’isolation thermique par l’extérieur

Mise en œuvre aisée :

  • possibilité de fixation sur ossatures primaires bois ou métal
  • possibilité de pose sur profil les métalliques ou liteaux bois
  • système d’accroche intègre au parement
  • emboitement entre parements offrant une souplesse de calepinage
  • Entretien sans contraintes
  • Facilite de remplacement en cas de casse

Tuile tégula

Les tuiles tégula se déclinent en une gamme complète de tuiles canal qui s’adaptera parfaitement à tous vos projets de construction neuve ou de rénovation. Grâce à leurs butées, les tégula46 et tégula50 restent en place quelles que soient les conditions climatiques. Toutes nos gammes disposent d’un large choix de coloris.
Notre Label Qualité Durable,
destiné aux constructeurs de maisons individuelles et maîtres d’œuvres partenaires de la marque bio'bric, permet d’assurer une qualité et des performances durables des bâtis. Ce label est délivré par Bureau veritas Certification, une fois le processus en place.


Source DKo

25/04/2016

ALGERIE: CLEIA ET CERIC SUR BATIMATEC 2016

Venez rencontrer vos interlocuteurs pour les technologies CLEIA et CERIC désormais réunis sur le salon BATIMATEC à Alger.
Retrouvez également les nouvelles forces opérationnelles pour l'ensemble de la gamme des machines Pelerin.
Avec notre société Claytec Service Algérie, l'ensemble des équipes de CLEIA se feront un plaisir de vous recevoir sur notre stand.
CLEIA - Stand AS10 - Pavillon France - Hall A3

Source CLEIA

Découverte du centre technique de matériaux naturels de construction

A quoi sert un centre technique dédié à la terre cuite et la pierre naturelle ? Visite du Centre technique des matériaux naturels de construction (CTMNC) situé à Clamart (92).
Construit en 1961, ce grand bâtiment en briques de 4500 m2, situé le long des lignes du tramway T6, abrite les équipes du Centre technique des matériaux naturels de construction (CTMNC).
Dédié exclusivement à la terre cuite pendant 50 ans, le Centre consacre, depuis 2007, 20 % de ses activités à la pierre naturelle (et donc 80 % à la terre cuite).
Le CCTB (Centre technique des tuiles et briques) a donc changé de nom en 2007 pour devenir le CTMNC. C’est aussi en 2007 qu’il s’est renforcé avec la création d’un laboratoire de 1000 m2 au sein du pôle de compétitivité céramique à Limoges.
Le Centre gère les deux départements (terre cuite et pierre naturelle), avec l’appui de 60 salariés répartis sur 3 sites : Clamart, Limoges et Paris dans le XVe arrondissement.
Ressources et financements
Comment vit un centre technique ? Un peu d’histoire tout d’abord… Les centres techniques industriels ont été créés après la seconde guerre mondiale par le ministère de l’Industrie. L’Etat souhaitait à ce moment mutualiser les activités de Recherche et Développement des fabricants pour les aider à relancer leur activité avec une offre de produits satisfaisante et suffisante pour faire face aux besoins de la reconstruction.
Une taxe affectée a donc été créée, les industriels concernés devant consacrer 4 pour mille de leur chiffre d’affaires au financement du centre technique (2 pour mille pour la pierre naturelle).
Sur un budget annuel de 7 millions d’euros pour le CTMNC, la taxe affectée fournit les 2/3 des ressources du centre technique. Le tiers restant provient de la vente de prestations (essais et services) du centre technique aux fabricants ou à d’autres partenaires ainsi que par le biais de projets de R&D collaboratifs.
Les activités du centre
Depuis 2007, le centre est placé sous la tutelle du Ministère de l’Ecologie, qui a récupéré dans son giron, le secteur des matières premières. La gestion du centre est contrôlée à la fois par les ministères de l’Ecologie et des Finances.
Le conseil d’administration du centre est présidé par les fabricants. Pierre Jonnard, Président de la Fédération française des Tuiles et Briques en est actuellement son Président,
Le CTMNC gère deux activités principales : les produits en terre cuite (principalement les tuiles et briques) ainsi que les roches ornementales et de construction.
Pour les tuiles et briques, l’activité concerne la matière première et le matériau (caractérisation, essais, études et recherches), les usines et le process de fabrication (qualité, certification, environnement) et la mise en œuvre des produits dans les ouvrages (murs, toitures, bâtiments).
Veille technologique et documentaire.. et de formation
Pour la pierre naturelle, le Centre s’occupe aussi du matériau pierre et de ses applications (construction, voierie, funéraire). Le Centre technique représente les professions dans toutes les activités de normalisation.
Le Centre assure également une mission de veille technologique et documentaire, et de formation pour les équipes des fabricants. La morosité des ventes des matériaux de construction depuis 5 ans a naturellement impacté le chiffre d’affaires de l’industrie de la terre cuite, et donc les ressources du centre technique.
« Nous devons travailler dans des budgets plus contraints et apprendre à articuler au mieux les activités commerciales et les activités de R&D » explique Bruno Martinet, directeur général du centre technique.
Source : batirama.com par Fabienne Leroy

24/04/2016

Materials Technologies revisite les matériaux

Yann Jaubert, le fondateur de Materials Technologies, pose une nouvelle brique dans la construction de son groupe d'ingénierie des matériaux de construction, notamment d'isolation. Il y a quelques semaines, il a fait entrer dans son giron la société ACC, basée à Compiègne, spécialiste de la conception d'équipements pour la production de laine minérale (verre ou roche).
Historiquement, ACC Technologies conçoit les équipements de réception du « matelas » de fils de verre, en sortie du four, ainsi que les étuves permettant leur polymérisation. Une étape essentielle pour conférer à la laine l'élasticité suffisante pour une découpe précise, puis un conditionnement sous forme de panneaux ou de rouleaux.
Travaillant pour les grands noms du secteur tels que Rockwool, Knauf ou Isover, ACC Technologies fabrique aussi des scies, des massicots et des lignes de production de coquilles, par exemple, pour l'isolation des tuyaux.
« L'acquisition d'ACC nous permet de disposer d'une expertise sur l'ensemble de la chaîne de fabrication des laines de verre ou de roche », souligne Yann Jaubert. Jusqu'à présent, Materials Technologies proposait en effet un ensemble d'équipements pour le « bout froid », notamment pour toutes les opérations post-étuvage, le contrôle qualité, la coupe ou l'emballage.
Nouveaux outils

Très impliqué sur la question de la transition énergétique, Yann Jaubert estime que la révolution qui touche actuellement le bâtiment n'en est qu'à ses prémices. C'est pourquoi il veut faire évoluer à la fois les matériaux et leurs process de fabrication. Via sa filiale Adler Technologies, elle aussi basée dans l'Oise, le groupe a déjà mis au point de nouvelles générations de presses dédiées à la fabrication de parpaings à la fois plus légers et plus isolants. « Nous continuons de consacrer 7 % de notre chiffre d'affaires à la R&D. Cela nous permet de proposer des machines plus efficaces, y compris sur le plan énergétique. La consommation de nos étuves est par exemple inférieure de 20 % à celle d'une machine standard », poursuit le dirigeant.
Avec ACC, Materials Technologies a franchi la barre des 200 salariés. Il devrait réaliser 45 millions d'euros de chiffre d'affaires cette année, contre 35 millions en 2015.
Source Les Echos par Guillaume Roussange

23/04/2016

Tournai: Une construction en terre crue érigée par des architectes en herbe

Des étudiants architectes de Saint-Luc (re)découvrent la terre crue en réalisant, sur le site de l’école, à Ramegnies-Chin, un abri pour vélos et pour fumeurs avec ce matériau «oublié».
Un curieux bâtiment est en cours de finition à l’entrée de Saint-Luc, à Ramegnies-chin.
Il est en réalité constitué d’un seul mur en forme de «S» au-dessus duquel viendra prendre place prochainement une toiture en bois. Un ensemble constitué de deux préaux; l’un servira d’abri pour les vélos et l’autre sera réservé aux fumeurs qui pourront goûter à l’herbe à Nicot, les pieds et la tête bien au sec.
L’originalité du pavillon réside dans le fait qu’il est réalisé exclusivement au moyen de terre crue, si l’on excepte la base construite en briques.
La main-d’œuvre nécessaire à cette érection est exclusivement fournie par des étudiants en architecture.
L’abri a d’ailleurs été conçu par trois d’entre eux- Paul-Édouard Bacqueville, Jean Delepaul et Antoine Payen - qui répondaient à un concours lancé par la faculté (LOCI) dans le cadre de la semaine de la terre crue organisée à Saint-Luc. Le pari étant d’utiliser ce matériau quelque peu oublié dans nos régions - la terre battue - qui s’avère pourtant particulièrement intéressant sur le plan écologique.
Très concrètement, le double abri (d’environ 70 mètres carrés), réalisé sur le site de Saint-Luc, a été construit grâce à la technique du «pisé ».
Laquelle consiste à tasser (damer) de la terre crue par couches successives d’une dizaine de centimètres dans des coffrages similaires à ceux utilisés pour la construction de murs en béton.
Pour qu’elle tienne, cette terre doit impérativement contenir une certaine quantité d’argile, laquelle sert en réalité de liant au matériau. Dans le cas d’espèce, de l’argile a été ajoutée à la terre préalablement tamisée afin de renforcer la cohésion de l’ensemble.
Une fois couvert, l’ouvrage peut, sans problème, résister aux intempéries.
Pour s’en convaincre, il suffit d’observer le bon état de conservation des maisons réalisées depuis plusieurs années déjà sur l’Archéosite d’Aubechies.
Elles aussi réalisées avec de la terre crue mais selon la technique du torchis, cette fois. Le pavillon en cours de finition à Saint-Luc devrait se dresser longtemps encore sur le site car il restera en place après le déménagement de la faculté vers le centre de Tournai lors de la prochaine rentrée et profitera aux élèves des sections secondaires.
Source L'Avenir par Vincent DUBOIS

22/04/2016

Nolay : Cleia devient le leader français de son secteur

Avec la reprise de son concurrent national le mois dernier, Cleia, l’entreprise nolaytoise de construction d’usines de tuilerie, est devenue le leader français de son secteur.
L’entreprise Cleia à Nolay emploie une centaine de salariés.
Depuis la fin de l’année dernière, ça bouge à Nolay ! Après l’entrée dans son capital (à hauteur de 60 %) du groupe belge Ceratec en novembre, Cleia et ses 105 employés ont repris « l’ensemble des actifs de Ceric technologie », confirme Thierry Allanic, responsable de la communication de l’entreprise, qui fabrique notamment des usines de tuiles et de briques.
Un concurrent mis en liquidation puis racheté
« Notre concurrent était placé en liquidation judiciaire, et nous avons fait une offre de reprise globale d’un million d’euros pour récupérer Ceric et l’une de ses filiales, Pèlerin », confirme l’entreprise nolaytoise. Cet achat fait de Cleia le leader national des constructions d’usines de tuiles. Des anciens employés de Ceric sont également attendus dans les mois qui viennent : « Nous sommes en discussion avec une dizaine d’entre eux », explique Thierry Allanic. La PME, qui a ffichait un chiffre d’affaires de trente millions d’euros en 2015, franchit un nouveau palier dans son développement, après avoir accueilli le Belge Ceratec, trois fois plus gros (autour des 100 millions de chiffre d’affaires) dans son capital. Une présence qui ne « remet pas en cause l’indépendance de Cleia, et qui va nous permettre d’aller sur d’autres marchés que la tuilerie et la briqueterie, comme la robotique, les machines spéciales ou encore les systèmes de supervision d’usines. Les possibilités sont nombreuses », affirme l’entreprise, très présente en Afrique.
Source Le Bien Public par M.D. photo Thibault SIMONNET

Solutions toiture: tuiles plates Saint-Vincent, d’Aléonard

Rustique, irrégulière, adaptée aux spécificités régionales, la gamme de tuiles plates Saint-Vincent, d’Aléonard, se décline désormais en coupe rectangulaire, en format 16 x 27 dans les coloris Rouge obscur, Rouge poivré, Rouge ardent, Ambre clair et Ambre foncé ; en format 16 x 24 dans le coloris Rouge obscur ; en coupe écaille, en format 16 x 27 dans les coloris Rouge poivré et Rouge ardent.
Tous les accessoires de finition sont proposés : faîtière demi-ronde, faîtière angulaire, faîtière-arêtier demi-ronde à emboîtement (+ fronton et about d’arêtier), arêtier « tige de botte » (+ about), cornier (+ about), rive gauche et droite, chatière type « passe-barre », tuile à douille + lanterne, doublis, tuile et demie, demi-tuile.
Source Batijournal

21/04/2016

Cleia entre dans la cour des grands ingénieristes mondiaux pour tuileries et briqueteries

En s’adossant au Belge Ceratec, tout en restant autonome dans ses décisions, le concepteur d’équipements pour tuileries et briqueteries franchit un grand pas.
La reprise toute récente de Ceric Technologies, son concurrent national, et de la société Pèlerin, spécialiste du matériel de préparation de terre cuite, achève de réunir autour de l’ingénieriste de Nolay (Côte-d’Or) tous les savoir-faire du secteur.
Modernisation d'une briqueterie en Biélorussie.
Il est maintenant loin le temps où Philippe Pénillard, président de Cleia, bataillait ferme avec 31 collègues, devenus ses associés, pour relancer en France une activité de conception et réalisation d’équipements pour tuiles et briques sur les ruines de Ceric Automation et Ceric Système, d’anciennes filiales de Keyria.
Depuis avril 2010, l’entreprise de Nolay (Côte-d’Or) s’affirme sur un marché mondial très chahuté. Dans les zones développées, la surcapacité en production de tuiles gèle les investissements et la crise du bâtiment, plus ou moins marquée selon les pays, accentue le phénomène.
« Notre activité se fait avec les briqueteries, essentiellement au Maghreb, Moyen et Proche-Orient et un tout petit peu avec les pays de l’Est, comme la Biélorussie », explique le dirigeant qui revendique une cinquantaine de contrats par an. Le fin du fin et la valeur ajoutée de l’ingénieriste étant la livraison clé en main d’usines complètes.
« A l’exception des fours, pour lesquels nous achetons les composants et montons sur place, tout est conçu par notre R&D et sort de nos ateliers », complète Philippe Pénillard. La plus belle preuve est le séchoir Zéphyr®, une innovation mondiale qui sèche des produits de terre cuite très complexes.
L'entreprise a aussi travaillé pour cette tuilerie allemande.
Mais Cleia demeure une PME de 105 personnes - jusqu’à 140 avec l’assistance technique - et 30 millions d’€ de chiffre d’affaires. Elle souffrait d’un manque de taille critique.
Une filiale de 75 personnes en Tunisie
Voilà pourquoi son management a voulu s’adosser au Belge Ceratec, trois fois plus gros que lui (autour des 100 millions de chiffre d’affaires) en cédant 60% de son capital, mais en restant totalement maître de son opérationnel.
Réalisation complète d'une briqueterie en Algérie, l'un des points forts de l'ingénieriste.
« Nous doublons ainsi le budget R&D et montrons une bien plus grande puissance de feu, plébiscité par le marché », assure le chef d’entreprise.

Pour encore muscler ses forces, l’industriel a repris à la barre du tribunal son concurrent national Ceric Technologie, ainsi que Pèlerin, spécialiste des matériels de préparation de terre cuite, toutes deux implantées à Soissons (Aisne), pour plus d’un million d'€.
Le tour d’horizon ne serait pas complet sans citer une filiale de 75 personnes en Tunisie, possédée à 60%, qui livre des composants soudés : charpentes et châssis. A cela s’ajoute 49% des parts de Jetflam, près de Belfort, dédiée à la production d’équipements de chauffe : fours et brûleurs. Sans oublier enfin 8% du capital d’une briqueterie en Inde.
« Nous bouclons ainsi la boucle avec autour de nous tous les savoir-faire du secteur », se félicite Philippe Pénillard.
Qui est Philippe Pénillard ?
A 56 ans, ce papa de famille nombreuse (4 enfants) est un ingénieur doublement diplômé : École Centrale de Paris et Essec.
Son expérience de 35 ans en ingénierie clé en main lui a fait connaître le monde et de nombreux secteurs industriels : pétrolier, traitement des eaux et des déchets chez Total, Veolia, Bouygues, puis directeur Général chez Ceric, l'ancien leader mondial en matériau de construction, devenu Cleia.
Il préside cette entreprise depuis sa création en 2010.
Source Traces Ecrites Publié par Didier Hugue

Vague de nominations à la tête du groupe Ursa

Le groupe européen Ursa, fabricant d’isolants en laine minérale et en polystyrène extrudé, a annoncé une vaste réorganisation à sa tête. L’ex-PDG du groupe Braas Monier, Pepyn Dinandt, rejoint le groupe en tant que PDG. Nicolas Brousse devient directeur général d’Ursa France.

Pepyn Dinandt, PDG du groupe Ursa
C’est une vaste réorganisation qu’a mené le groupe européen Ursa début avril. L’industriel spécialisé dans la fabrication d’isolants à base de laine minérale et de polystyrène extrudé a choisi le hollandais Pepyn Dinandt pour nouveau PDG, annonce un communiqué le 5 avril. Un nom bien connu dans le milieu puisqu’il a dirigé pendant sept ans le groupe industriel Braas Monier, spécialiste de la toiture. Pepyn Dinandt, qui a pris ses fonctions le 1er avril, était depuis octobre dernier président non-exécutif du conseil d’administration du groupe Ursa.
Christian Michel, qui assurait jusqu’alors la fonction de directeur général du groupe Ursa, conserve ses responsabilités opérationnelles pour le marché européen en tant que directeur d’exploitation et directeur général Europe en remplacement de Federico Gil de la Puente. Dans le cadre d’une réorganisation du groupe par pays, Nicolas Brousse s’empare de la direction générale d’Ursa France. Il était jusqu’alors directeur marketing Europe de l’Ouest.
En France, Ursa produit à la fois de la laine minérale et du polystyrène extrudé sur son site de Saint-Avold (Moselle).

Source Le Moniteur

20/04/2016

Couverture toiture : la tuile a la côte !

Avec la crise économique qui sévit depuis plusieurs années maintenant, le secteur du bâtiment et de la construction est sévèrement touché. Baisse des permis de construire et des mises en chantier, annulation des travaux de rénovation (notamment de couverture toiture) ou de ravalement de façade, le secteur souffre. Mais les industriels du bâtiment réagissent en innovant sans cesse même sur des produits centenaires et basiques comme la tuile.
La tuile est un élément essentiel de la couverture toiture puisque c’est elle, qui une fois posée sur la charpente, protège l’habitation des intempéries, …
Sur le salon professionnel consacré au secteur du bâtiment « BATIMAT », il a été possible de confirmer certaines tendances comme la généralisation de la tuile en bardage. Tendance forte depuis 3-4 ans. Cette tendance devrait encore s’amplifier dans les années à venir.
L’autre tendance très forte est l’utilisation de tuiles de couleur noire (hors des zones où l’ardoise est habituellement utilisée en couverture toiture). Les tuiles noires sont très recherchées pour les habitations modernes, qui associent plusieurs matériaux (bois, briques,…). Un concours a même été lancé par un célèbre fabriquant de tuiles et le résultat est tout simplement bluffant.
Les tuiles noires apportent une réelle touche de modernité et s’associent avec tous les matériaux. Attention tout de même à bien vérifier qu’il est possible d’utiliser cette teinte pour la couverture du toit car dans certaines régions, certaines nuances ou couleurs sont tout simplement prohibées.
Afin d’éviter tout problème, il est nécessaire de contacter un couvreur zingueur professionnel qui connait parfaitement les contraintes administratives de la région dans laquelle il exerce comme Violet Couverture 06 qui officie sur les villes de Nice, Cannes, Mougins, et l’ensemble des départements du Var et des Alpes maritimes.
Source CategoryNet Contact Presse: Violet Couverture 
 http://www.violet-couverture06.com/

19/04/2016

Depuis 1740, la tuilerie Blache privilégie une fabrication artisanale

On comptait 18 poteries tuileries à Loire-sur-Rhône avant la Révolution française. Une industrie prépondérante fabriquant tuiles et poteries expédiées dans toute la région.

Mathieu Maillet représente la neuvième génération de la Tuilerie Blache. 

La tuilerie Blache, construite vers 1740, constitue aujourd’hui la plus ancienne des firmes locales encore en activité avec un seul credo, “savoir-faire et qualité” pour fabriquer plusieurs sortes de tuiles de manière artisanale. Rencontre avec Mathieu Maillet, 9e génération de la Tuilerie Blache. Depuis le 1er janvier 2015, il succède à son père Robert, aujourd’hui retraité. Ce dernier avait racheté la tuilerie à sa sœur après le décès de Xavier Blache.
Pourquoi des tuileries à Loire ?
« Au départ, on prenait la terre sur l’ancien site de la zone artisanale Lartaux, située au 19 rue du centre, emplacement de notre ancienne tuilerie. Une défense de mammouth, retrouvée sur place en 1965, nous obligea à le fermer et à ouvrir une carrière à Givors, au lieu-dit “La Maison blanche”, une veine argileuse de 30 à 40 km de large. L’ancienne usine arrête en 2009. On s’installe rue de la Planche dans de nouveaux locaux. De grands groupes ont racheté toutes les tuileries des alentours, nous décidons alors de nous spécialiser sur des produits traditionnels. »
Quelles sont vos spécialités ?
« La tuile canal ou romane, en argile cuite à 1080°, symbole de l’Empire romain, la tuile par excellence d’un toit “esprit sud”, mais aussi plusieurs gammes de tuiles plates. Dernière création, la tuile “Empreinte” est sortie en 2013. Elle est fabriquée à partir de neuf moules pour des textures différentes. Elle a été créée à partir de moules que j’ai réalisés. Cette production, très demandée, se classe dans le haut de gamme de la tuile. Cela permet de répondre à un nouveau besoin sur le marché, de faire reparler de la Tuilerie Blache qui offre une tuile vieillie, nature ou vernissée. Pour l’anecdote, lorsqu’on a sorti cette tuile, un concours fut lancé pour lui trouver un nom. Chez Bernard Loiseau, à Saulieu, le jury composé d’architectes du domaine historique a proposé le terme “Empreinte” que nous avons retenu car il illustre l’empreinte du temps sur la tuile et la tuilerie Blache, vieille de 276 ans. On se distingue par la fabrication des tuiles vernissées et émaillées pratiquées par très peu d’opérateurs. Les couleurs et l’éclat particulier de ces tuiles apportent une élégance retrouvée dans la grande tradition des toitures polychromes de Bourgogne et de Franche-Comté. »
Source Le Progrès photo Martine ARPINO

18/04/2016

Imerys toiture poursuit sa stratégie de croissance externe avec le solaire

ImerysImerys Toiture, leader français de la tuile terre cuite et spécialiste de solutions pour toits et façades, a procédé à l'acquisition de l'activité héliothermique (marque commerciale Ecoscience du Groupe SAG (42) et à une prise de capital majoritaire dans la société LUXOL (73), spécialiste de la fabrication de tuiles photovoltaïques. Avec ces deux nouvelles acquisitions, Imerys toiture conforte sa stratégie de développement et affirme son positionnement d'acteur majeur sur le marché du solaire en toiture intégrée.
Après l'acquisition de PROFIMO, fabricant français de composants techniques pour le bâtiment, en novembre 2015, IMERYS Toiture franchit une nouvelle étape et poursuit la mise en œuvre de son plan stratégique avec le développement de son offre solaire.
1 / L'héliothermie comme gage de performance énergétique
A travers l'activité héliothermique du Groupe SAG (ancienne marque commerciale ECOSCIENCE), spécialiste des solutions photovoltaïques et thermodynamiques, IMERYS Toiture élargit ainsi son offre solaire. Celle-ci est actuellement composée de 2 gammes photovoltaïques et thermique : tuiles photovoltaïques (EVOLU'KIT), kit de stockage pour l'autoconsommation (STOCK'IT) et d'une gamme thermique. IMERYS Toiture permet ainsi à ses clients d'obtenir une meilleure performance énergétique des pompes à chaleur grâce à un système couplé avec des capteurs solaires, permettant la récupération de la chaleur par convection. A l'instar des panneaux solaires traditionnels qui sont limités dans leur fonctionnement et l'exposition au soleil, les pompes à chaleur héliothermiques fonctionnent en toute saison et quel que soit l'ensoleillement. La chaleur produite est directement transférée vers le ballon d'eau chaude qu'il soit dédié au chauffage individuel ou collectif.
2 / L'acquisition de Luxol pour étoffer sa gamme solaire
Une prise de participation majoritaire dans la société Luxol, fabricant de tuiles avec cellules photovoltaïques intégrées, rendue possible grâce à un partenariat avec les sociétés SILLIA et SUN'ALP (filiale du groupe SOREO). Avec ces deux nouvelles intégrations IMERYS TC augmente ses offres de produits spécifiques et novateurs, destinés aux couvreurs. Pionnier dans la mise en place de solutions photovoltaïques pour les couvreurs avec sa 1ère gamme de tuiles PV dévoilée dés 2003 sur Batimat (Trophée de l'Innovation), IMERYS Toiture conforte cette proximité avec ses clients en les accompagnant dans des évolutions constructives, en accord avec les exigences réglementaires de la RT 2012 et la RT2020 (Bâtiment à Énergie Positive).
« Grâce à ces nouvelles acquisitions, nous confortons notre ancrage national et confirmons nos engagements auprès des professionnels du bâtiment grâce à une offre complète de produits, répondant aux exigences du marché actuel. Renforcer notre gamme solaire est aujourd'hui la preuve qu'IMERYS Toiture s'ouvre à des perspectives de croissance prometteuses, en proposant des solutions innovantes, propres aux évolutions énergétiques et aux enjeux du secteur, explique Pierre Jonnard, Président d'IMERYS TC.

Source Tecsol

17/04/2016

CERATEC: Mise en service d'une toute nouvelle briqueterie pour ArgiZas

En juin dernier, Ceratec a livré avec succès une toute nouvelle briqueterie pour ArgiZas à Bordj-Bou-Arreridj (Algérie), une région bien connue pour ses carrières d’argiles et ses nombreuses briqueteries.
L’installation complète a été livrée par Ceratec sous forme de projet clé en main, et comprend le lay-out, l’engineering, la préparation d’argile, la construction du bâtiment lui-même, l’intégration de tierces machines, les convoyeurs à bande ainsi que le système d’approvisionnement du silo de pourrissage, tous les systèmes de contrôle, l’assemblage, le système de contrôle électrique et le software de supervision Ceraview.
ArgiZas est une briqueterie complètement automatisée, ayant une capacité nominale de 150.000 tonnes de briques creuses par an (B8 – B12 – B16) et capable de passer à la production de blocs couvrants. Ceratec a également intégré les machines de préparation et façonnage Händle, opté pour un séchoir rapide et construit un four tunnel traditionnel. Les blocs creux sont automatiquement empilés dans des paquets houssés, avec 2 ouvertures pour manutention par chariot élévateur sans palettes.
La complexité du projet se situait au niveau de son implantation géographique. L’usine est installée sur une étroite parcelle de terrain en pente. Ceratec a suggéré de modifier le lay-out classique pour transformer cet inconvénient en un plus. Cette solution créative et rentable a été l’une des raisons principales pour que le client choisisse Ceratec plutôt qu’un autre fournisseur. Le climat de respect et de confiance a joué un rôle d’égale importance.
La production a commencé début mai, et la pleine capacité a été atteinte début juin. Durant cette période de mise en service, aucun problème n’a vu le jour. On dit des briques produites qu’elles sont les meilleures disponibles dans la région !
L’usine ArgiZas est la preuve de la bonne réputation de Ceratec en Algérie qui ne cesse de croître. Ces deux dernières années, nous avons livré plusieurs projets dans la région, avec succès:

  • Besbes: 150 000 tonnes/an
  • Barika: 175 000 tonnes/an
  • Briqueterie de Béchar: 80 000 tonnes/an
  • Tuildart: 120 000 tonnes/an

Nous avons actuellement 3 projets supplémentaires en préparation, dont Ain Defla (mise en service attendue en septembre 2015).

Source CERATEC

16/04/2016

Les matériaux minéraux de construction sortent de leur léthargie

Dans son tableau de bord mensuel, l'Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction note que les deux premiers mois de 2016 semblent marquer un timide redressement de la situation économique du secteur. Les indicateurs semblent, peu à peu, tous passer au vert.

"Les résultats de l'enquête rapide de février sont venus confirmer le mouvement de redressement des niveaux de production au regard de ceux de l'an passé", annonce joyeusement l'Unicem, en introduction de sa lettre mensuelle de conjoncture. Une annonce qu'elle tempère rapidement : "Toutefois, en variation mensuelle, ils décrivent un léger repli". Ainsi, l'activité des granulats au mois de février 2016 est en-deçà de celle de janvier (-1,2 %) mais elle reste largement supérieure à ce qu'elle était un an plus tôt (+3,2 %). Et sur les trois derniers mois connus (décembre à février), "la tendance haussière ne se dément pas". Du côté du béton prêt à l'emploi (BPE), la tendance est identique : la production a reculé au mois de février par rapport à janvier (-2,4 %), mais elle demeure au-dessus des niveaux enregistrés en février 2015 (+1,6 %). Le même cas de figure est observé pour les autres matériaux de construction (ciment, tuiles, briques) : leur indicateur "renoue enfin avec des évolutions positives et affiche une variation annuelle en hausse de +1,2 % sur le bimestre janvier-février".
Le bâtiment repart…
Comme à l'accoutumée, l'Unicem analyse la conjoncture du bâtiment, et, en particulier, celle de la construction de logements neufs, qui conditionne une bonne part de son activité. Elle note : "Les dernières données (…) confirment le raffermissement de la dynamique enclenchée il y a quelques mois. (…) le mouvement apparaît plus marqué sur le segment du logement collectif que dans celui de l'individuel". L'Union rappelle que les autorisations ont bondi (+5,9 % entre août-octobre et novembre-janvier). "En cumul sur un an, on dénombrait 386.200 permis à fin janvier, soit une hausse de +3,7 % par rapport aux 12 mois précédents", détaille la lettre. En revanche, les mises en chantier s'avèrent être moins vives, avec un léger repli sur les trois derniers mois (-2,2 %). Le cumul sur un an reste toutefois positif (+2 %), là encore grâce à la vigueur du logement collectif.
"En dépit de ces perspectives encourageantes données par le réveil des permis de construire 'logements' et par les quelques signaux d'amélioration du côté de la construction non-résidentielle (surfaces de plancher autorisées en hausse de +19,4 % sur un an, au cours des trois derniers mois), le moral des professionnels du bâtiment peine encore à se redresser", souligne l'Union. Les carnets de commandes resteraient toujours inférieurs à la tendance de longue période. Les promoteurs également, qui semblent confiants dans l'avenir, estiment que la demande est encore faible. "Les réservations de logements se sont sensiblement raffermies en 2015 (+17,9 %), notamment sous l'effet du dispositif Pinel qui a dynamisé les ventes de logements destinés à la location". La mise en place du nouveau PTZ depuis janvier 2016 permettra, selon les professionnels, de pallier à la morosité du marché de l'accession dite "intermédiaire".
… les travaux publics sans doute aussi
Du côté des travaux publics, le fond semble avoir été atteint, avec une stabilisation des travaux entrepris (+0,6 % sur un an en valeur et +3,5 % en volume). Les prises de commandes donnent également un signal positif de redécollage de l'activité. L'Unicem maintient donc ses perspectives pour l'année en cours, à savoir +1 % dans le BPE et -1 % pour les granulats, et elle avertit : "Une concrétisation plus solide des premiers signaux positifs perçus du côté du bâtiment, mais aussi des TP, est en effet attendue dans le courant de l'année 2016". L'avenir le dira…

Source Batiactu

15/04/2016

Financement. Total, Airbus et Michelin soutiennent Argilus en Vendée

Les trois industriels financent régulièrement des entreprises via leur branche développement. Ils sont rarement tous ensemble pour une seule société. Sauf que le procédé novateur d’Argilus, pour proposer une alternative au béton, les a mobilisés. Explication.

Julien Blanchard et le soutien du triumvirat

« Nous épaulons bien évidemment des entreprises en commun mais il est quand même très rare que les trois entités se retrouvent ensemble. » Et le disent. Thierry Maugis œuvre depuis des décennies dans l’accompagnement d’entreprises avec la structure Airbus développement dans l’Ouest. Souvent issus de plan de revitalisation, ces financements viennent irriguer des sociétés prometteuses, et créatrices d’emploi. Un juste retour des choses quand ces grands groupes ont imposé des restructurations aux territoires. Mais pas seulement. Dans le cas de Michelin développement, le fondateur François Michelin voulait aussi soutenir le tissu économique, près de Clermont-Ferrand, comme autour de ses sites en France. Total développement, pour sa part, à travers ces soutiens, voit aussi une belle opportunité de trouver des sociétés innovantes qui pourront contribuer à des avancées au sein de Total.

Une innovation à protéger…
Alors pourquoi retrouver ces trois grands noms autour d’Argilus ? « Cette jeune société vendéenne a mis au point un procédé très innovant. Avec seulement de l’argile et du sable, non marin, et surtout sans cuisson, elle arrive à créer un produit qui peut servir d’alternatif au béton, » explique Thierry Maugis. Le PDG Julien Blanchard, est déjà à la tête d’une ancienne briqueterie en Vendée, Gillaizeau, à Chaillé-sous-les-Ormeaux. Mais il a rencontré un ingénieur David Hoffmann qui lui a fait part de sa découverte pour rendre l’argile comme de la pierre. Selon un procédé d’activation alcaline, d’où le nom du brevet HP2A, haute performance activation alcaline.
« Quand Julien Blanchard est venu nous voir, nous avons tout suite déceler le potentiel de cette invention. Et les risques pour cette dernière à être emparée par des professionnels du secteur, » explique Dominique Gueudet, à la tête de Total développement sur la façade Atlantique.
…Et à faire grandir
L’objectif a été de créer une sorte de consortium pour permettre à Argilus, en phase d’amorçage avec sa nouvelle société, d’avoir du temps, et des sous, pour caractériser les futurs produits, créer un nouveau laboratoire, en vue d’une usine en 2017.
Un investisseur privé est monté au capital. Bpifrance est venue soutenir le dépôt du brevet. En second niveau, comme toujours, Airbus, Total et Michelin ont décliné des prêts à taux zéro ou très faible, sans garanties pour une enveloppe globale de 60 000 €. Pas de si grosses sommes mais un déploiement qui va bien au-delà de l’aspect financier. Michelin développement (1), va proposer des conseillers pour l’innovation. « Nous souhaitons suivre cette rupture technologique qui peut vraiment apporter beaucoup à ce secteur. C’est vraiment dans l’esprit de l’éco-innovation de Michelin, » commente Marc Beaussant pour le constructeur de pneus.
Total développement coche aussi de nombreuses cases avec cet accompagnement. « Nous proposons un accompagnement à l’international avec nos implantations dans différents pays. Or cette innovation va certainement trouver très vite des débouchés à l’export. De plus, le procédé va avoir besoin de sable et nous sommes souvent dans des zones riches de ce premier matériau. »
Bref, le triumvirat se mobilise pour laisser Argilus grandir dans leur ombre. Et passer d’une TPE de dix salariés, à une vingtaine d’ici un an. Et certainement une PME, voire ETI dans quelques années. Elle cogite déjà avec l’école de design de Nantes pour imaginer du mobilier urbain avec son argile HP2A.
Source Ouest France par Élisabeth BUREAU.

13/04/2016

Enquête publique. Une carrière d'argile et de sable en projet en forêt de Malpaire

Une enquête publique sur l'implantation d'une carrière en forêt de Malpaire à Précigné, a débuté lundi 21 mars.
La société SAS Malpaire a rencontré le maire de Précigné, Jean-François Zalesny pour lui présenter le projet.
Précigné. Une carrière de sable et d’argile pourrait voir le jour en forêt de Malpaire à Précigné. Un projet mené par la société SAS Malpaire, installée à La Pommeraye en Maine-et-Loire et soumis à enquête publique. « La SAS Malpaire est propriétaire du site de 63 hectares depuis une dizaine d’années », détaille le maire de Précigné, Jean-François Zalesny qui a rencontré les futurs exploitants venus lui présenter le projet. « L’ancienne municipalité avait adapté son PLU pour qu’il puisse y avoir une carrière en forêt de Malpaire ».
51 hectares seront défrichés La société demande une autorisation d’exploitation de 60 000 tonnes par an maximum de sable et 115 000 tonnes par an maximum pour l’argile, ce pendant 25 ans. L’exploitation ne se fera pas par explosion. « Le creusement ne sera pas profond mais sur une superficie importante ». Elle devrait défricher le site sur 51 hectares. « Nous sommes attentifs à la question de la reconquête après l’exploitation », détaille le maire. « Chaque arbre arraché devrait être replanté et un plan d’eau serait aménagé ». L’argile et le sable extraits devraient être utilisés localement. « Le sable pourrait servir à des sociétés pour couvrir les gaines des réseaux enterrés et l’argile vendu pour les briqueteries du secteur ».
Des emplois ?
A la clé, le maire espère quelques emplois « directs et indirects ». « C’est toujours important pour le territoire et ça fera aussi des ressources pour la communauté de communes ». Le maire voit aussi qu’il ne devrait pas y avoir d’impact trop important sur la circulation. « Le site se trouve route de Durtal, les camions seront vite arrivés à l’autoroute du Bailleul et de Durtal, et sans traverser de village ».
Le commissaire enquêteur, Daniel Gautelier tiendra des permanences à la mairie de Précigné du lundi 21 mars au samedi 23 avril pour recueillir les avis de chacun.
Les permanences du commissaire enquêteur
Le commissaire enquêteur en charge de l’enquête tient des permanences en mairie de Précigné le lundi 21 mars de 9 h à 12 h, mardi 29 mars de 14 h 30 à 17 h 30, mercredi 6 avril de 14 h 30 à 17 h 30, jeudi 14 avril de 9 h à 12 h et samedi 23 avril de 9 h à 12 h. Le dossier est aussi consultable aux heures d’ouverture de la mairie.
Les Nouvelles de Sablé par Julie Hurisse

12/04/2016

L’isolation répartie, un mixe de construction et d’isolation

L’isolation thermique par l’intérieur et par l’extérieur sont les plus connues. Mais il existe une autre façon d’isoler pour les extensions et la construction neuve, c’est l’isolation répartie. Avec cette technique c’est le gros œuvre qui porte l’isolation afin d’éviter un ajout de matériau qui, mal mis, pourrait engendrer une mauvaise étanchéité à l’air. Mais ce ne sont pas ses seuls atouts!
Un choix en amont
L’isolation répartie n’est faisable que pour une construction neuve ou en extension puisqu’elle est étroitement liée au gros œuvre. Il faut donc penser dès la conception du projet à ce que l’on souhaite. En effet le choix du matériau des parois doit être fait de telle sorte que les parois seront par nature porteuses ET isolantes. Pour qu’un matériau puisse être utilisable en isolation thermique répartie (ITR) il faut qu’il ait une forte résistance en compression mais qu’il ait également une bonne capacité à emprisonner de l’air pour assurer une bonne résistance thermique. L’avantage est que généralement l’ITR apporte un très bon compromis entre isolation pour le confort d’hiver et inertie pour le confort d’été.
Des mises en œuvre différentes en fonction de votre choix
Il existe 3 types de matériaux pour l’isolation répartie.
Les monomatériaux : Il s’agit le plus souvent de blocs Monomurs. Voici les 3 principaux : La brique Monomur en terre cuite est composée de terre et d’argile. On y ajoute des adjuvants pour augmenter sa porosité, la forte présence d’air dans le matériau étant indispensable pour l’isolation thermique. C’est un bon régulateur thermique mais attention cependant pour les régions très froides il ne sera pas forcément suffisant en tant qu’isolant. Il s’agit d’un matériau sain pour l’homme mais son énergie grise est encore très élevée du fait de son temps de cuisson.

Le bloc de béton cellulaire est quant à lui composé de sable, de ciment, de chaux et enfin de poudre d’aluminium. Cette dernière permet, par libération d’hydrogène, le gonflement de la matière et donc la formation de pores. Il est très hydrophile donc il faut le recouvrir d’un enduit synthétique hydrofuge.


Enfin le bloc de béton léger qui est constitué de granulat de pierre ponce combiné à du ciment. Très léger il est facile à mettre en œuvre et offre un bon compromis isolation et inertie.


 Les plurimatériaux : Ils vont regrouper principalement les structures à ossature bois.
En effet une fois les murs fait en bois, on remplit les vides avec de la paille, du chanvre ou tout autre matériau susceptible d’apporter une isolation mais aussi de résister assez à la compression un minimum.
Cette technique se répand de plus en plus actuellement.
Pour en savoir plus sur la construction paille, vous trouverez un dossier complet juste ici Une dernière catégorie est plus difficilement classable puisqu’il s’agit d’un assemblage où la couche de matériau isolant est placée entre les matériaux porteurs.
Ils sont un peu plus complexes car l’isolant est directement intégré à l’élément rapporteur, permettant de ne pas le rajouter après. Plus généralement ce sont des blocs en béton qui servent de coffrage pour accueillir un isolant, on parle de mur sandwich. bloc-mur-sandwich Les matériaux sont de manière générale plutôt légers.
Mais leur pose nécessite parfois des techniques complexes nécessitant l’appelle d’un
professionnel.
Dans tous les cas, les matériaux sont 100% recyclable 

Cette méthode est relativement récente et assez peu connues au final, l’ITI et l’ITE restant principalement dans les esprits. Mais les produits existants sur le marché actuellement sont amenés à évoluer. Dans tous les cas la mise en œuvre de ce type d’isolation doit être parfaite pour respecter les exigences de la RT2012 en termes d’étanchéité.

Souce Blog Pages Energie par Alison Haré

11/04/2016

Le président de Wienerberger France élu à la tête de Promotoit

Francis Lagier, à la tête de l’entreprise Wienerberger France, a été élu fin mars président de Promotoit, l’association de promotion du toit en pente qui regroupe les industriels Eternit, Imerys Toiture, Isover, Terreal, Unilin, VMZinc, Velux et Wienerberger.

Après deux ans de mandat, Pierre Jonnard, président d’Imerys Toiture, a passé la main à la tête de l’association Promotoit. A l’issue de l’assemblée générale du 16 mars, Francis Lagier a pris sa suite en tant que président de cette association de promotion du toit en pente. Depuis 2009 à la tête de Wienerberger France, il a auparavant présidé la Fédération française des tuiles et briques (FFTB) et le Centre technique des matériaux naturels de construction.
« L’engagement du nouveau président est de continuer à démontrer la pérennité et l’efficacité du toit en pente qui a notamment fait ses preuves en termes d’étanchéité à l’eau et de performance d’isolation », décrit un communiqué. L’association de lobbying Promotoit regroupe huit industriels spécialisés dans les matériaux de construction pour la toiture : Eternit, Imerys Toiture, Isover, Terreal, Unilin, VMZinc, Velux et Wienerberger.
Source Le Moniteur

10/04/2016

Vendée : À Rives-de-l'Yon, la terre crue d'Argilus fait plus fort que la terre cuite

Créée en 2010, la filiale de la société Gillaizeau Terre Cuite a surpassé la maison-mère en faisant le pari de la terre crue à Rives-de-l'Yon. Le concept 100 % naturel d'Argilus séduit et s'émancipe. Son président parle d'une "technologie de rupture", qui a déjà gagné l'intérêt de l’État et de plusieurs majors de l'industrie.
À Rives-de-l'Yon, Gillaizeau Terre Cuite s'étend sur 3 000 m² d'usines et une carrière de 13 ha.Depuis six générations, le savoir-faire de la société Gillaizeau Terre cuite vient au secours du patrimoine. En 2015, ses carreaux, briques et briquettes en terre cuite ont été employés tant au Château d'Ancenis qu'à l'Hôtel de Crillon, place de la Concorde, à Paris. Cette société vendéenne historique (créée en 1850), installée à Rives-de-l'Yon, a souhaité se démarquer en 2009 avec un nouveau concept.
Un futur géant "en béton d'argile"
"La terre cuite étant durement touchée par la crise du bâtiment, nous avons cherché à valoriser différemment la matière première", indique Julien Blanchard, président de la SAS Gillaizeau. "En Allemagne, la terre crue est mise à profit depuis près de 15 ans pour ses qualités esthétiques et isolantes. C'est ce qui a motivé la création d'une marque dédiée en 2009."
Depuis, les produits estampillés "Argilus" se sont multipliés avec une gamme de 90 enduits en terre et matériaux écologiques, et un chiffre d'affaires éloquent : 1,3 M€ en 2015 (500 000 € pour Gillaizeau Terre Cuite).
Une technologie responsable
Pour exploiter ce potentiel, Argilus voit grand. Elle a déposé en 2015 un brevet pour "rendre l’argile crue plus dure que la terre cuite, grâce à un procédé d'activation alcaline à froid de la matière". Avec ce brevet HP2A, l'entreprise n'hésite pas à parler d'une technologie de rupture : "Cette alternative est 15 à 25 % moins chère que le ciment classique Portland, avec un bilan carbone dix fois inférieur et des possibilités d’applications plus complexes : infrastructures, mobilier urbain…"
Pour mettre au point cette technologie, elle s'est adjointe le savoir-faire d'un ingénieur chimiste, David Hoffmann, qui livrera ses premiers produits finis au second semestre 2016. D'un coût total de 250 000 €, ce projet a reçu le soutien de BPI France grâce au Fond d'appui à l'innovation (50 000 €) de la Région des Pays de la Loire.
Des soutiens prometteurs
"Pour accueillir cette nouvelle technologie, une usine verra le jour en 2017 sur notre site d'exploitation actuel ou à proximité de La Roche-sur-Yon". Autour de cette innovation, le buzz a déjà commencé.
Lauréate du concours "Trophées Territoires Innovation 2015 Vendée", l'entreprise Argilus était en février 2016 l'invitée du conseiller Innovation d'Emmanuel Macron, intéressé par le brevet dans le cadre des investissements d'avenir de l’État. Et, signe de son leadership en matière d'écoconstruction, Argilus vient de signer des partenariats industriels avec Michelin, Airbus Group et Total développement.
Pour en savoir plus : www.argilus.fr

Source Fil Des Territoirs