Combles perdues ou aménagées, en rénovation ou en neuf, plusieurs familles de solutions isolantes permettent de répondre à la variété des situations sur le terrain.

En 2020, malgré les mesures sanitaires et l’arrêt brutal de l'économie lors du premier confinement, le marché du bâtiment et de l’isolation s’est bien maintenu. Le marché de l'isolation thermique de l'enveloppe ne fait pas exception.

« Pour cette nouvelle année, le premier semestre montre la même dynamique, avec une demande accrue. En revanche, il existe davantage d’incertitudes sur la seconde moitié de l’année… Un gros coup d’accélérateur est à noter sur la rénovation avec notamment la mise en place du dispositif MaPrimeRenov’ ouvert à tous dans le cadre du plan de relance », présente Sylvie Mercier, Directrice Marketing et Communication chez Unilin.

En rénovation, le marché est fortement subventionné par les aides fiscales. « De plus avec la pandémie, les consommateurs sont à la recherche de confort et isoler les combles fait gagner en espace habitable. Côté produit, nos solutions de sarking sont demandées essentiellement pour la rénovation et dans les régions de France où les toitures sont à forte pente », précise Olivier Lafore, Directeur Marketing et Communication d'Edilians. Pour la construction neuve, le marché a davantage souffert en 2020 mais devrait être stimulé par l'arrivée de la RE 2020.

Sarking, panneau sandwich ou caisson chevronné ?

En rénovation et en fonction de la nature de la charpente, les combles vont être aménageables ou perdues ce qui détermine les familles d'isolants utilisables. Le soufflage d'isolant est la solution préférée pour les combles perdues tandis que pour celles aménageables, le recours à l'ITE (Isolation thermique par l’extérieur), permet de conserver tout l'espace disponible.

Le choix parmi les solutions en ITE, c’est à dire système auto-portant (caissons chevronnés) ou non (sarking ou panneaux sandwich), va dépendre de l'état de la charpente.

Avec l'ITE, la couverture est surélévée d'une dizaine de cm, ce qui nécessite de déposer un permis de construire ou une déclaration préalable de travaux. Outre leur résistance thermique, les isolants se distinguent par leur performance acoustique et leur caractère ignifugé ou biosourcé.

Créé il y a dix ans en Normandie, le groupe « Les ECO-Isolateurs » est spécialisé en rénovation énergétique globale des bâtiments. Son référent technique, Olivier Martel, confie : « Les industriels ont optimisé ces dernières années la composition de leurs produits. La laine de verre est devenue moins abrasive et moins irritante. Le goudron qui était présent dans les papiers kraft a été supprimé. Ces améliorations ont rendu la pose des isolants moins pénible. Par ailleurs, nous constatons une progression de la demande en matériaux plus naturels. Sur les chantiers, ces matériaux sont globalement plus agréables à poser que la laine de verre ou de roche ».

Quels objectifs de performance énergétique ?

Que ce soit pour les bâtiments tertiaires ou résidentiels, l’isolation de l'enveloppe des bâtiments neufs et résidentiels relève encore de la RT 2012 qui fixe des objectifs de performance énergétique niveau BBC en fonction de la zone d’habitation. Dans les combles, les résistances thermiques R mises en œuvre en parois opaques doivent être supérieures ou égales à 8 m².K/W et l'étanchéité doit être performante.

Le marché principal, celui de la rénovation, est piloté par les aides financières. À compter du 1er janvier 2021, le bénéfice de MaPrimeRénov' est étendu à tous les ménages et le CITE disparaît définitivement. Les conditions pour bénéficier de cette prime demeurent dans la même veine. Les travaux doivent être effectués par un professionnel labellisé RGE et le matériau isolant utilisé doit avoir une valeur de résistance thermique R supérieure ou égale à 7 m² K/W pour les combles perdus et de 6 m² K/W pour les combles aménagés en pose sur rampant de toiture.         

Deux nouveaux DTU pour l'isolation des combles

La principale nouveauté réglementaire vient des prescriptions apportées par la parution l'année dernière de deux nouveaux DTU pour les travaux d'isolation des combles, aussi bien dans le neuf qu'en rénovation. Paru en mars 2020, le DTU 45.11 est relatif à l’isolation thermique de combles perdus par soufflage d’isolant en vrac, de type laines minérales ou ouate de cellulose papier. En particulier un déflecteur est obligatoire et sa hauteur doit dépasser de 10 cm celle de l’isolant afin de ventiler correctement la toiture.

Ce premier DTU a été suivi de la parution en juillet du DTU 45.10 pour l’isolation des combles perdus ou aménagés en panneaux et rouleaux de laines minérales manufacturées, qui vient remplacer le CPT n°3560-v2 de juin 2009. Ces travaux étant désormais reconnus comme une technique traditionnelle, le DTU remplace les DTA Isolation des combles publiés par les divers fabricants d'isolants en laine minérale. En revanche sur un plafond existant en plaques de plâtre, l'isolant est mis en œuvre dans le respect du DTU 25.41 notamment l'entraxe des montants des plaques doit être resserré pour toute pose d'isolant avec une densité supérieure à 6 kg/m2.

Solution 1 : Le Sarking

« Appréciée en haute montagne et de plus en plus en plaine, pour la rénovation de toiture traditionnelle à forte pente, la technique du sarking demande un savoir-faire dans la pose »

Quelles sont les caractéristiques du système ?

Le sarking est un procédé d'ITE de la toiture, qui consiste à rehausser le toit afin d'insérer une couche d'isolant. Sur la charpente mise à nue, est posé un platelage hydrofuge en bois ou en plaques de plâtre sur lequel sont assemblés et fixés les panneaux d'isolants préalablement découpés, qui peuvent être rigides, semi-rigides ou souples, dans des dimensions habituelles de un à deux mètres. L'Avis technique de certains panneaux rigides autorise leur pose directe sur les chevrons ou fermettes.

Dans quelle configuration peut-on mettre en œuvre la solution ?

Solution d'isolation continue de toiture, en pose sur une charpente en bon état, le marché du sarking est essentiellement celui de la rénovation. Plus cher qu'une isolation classique sous rampants par l'intérieur, le procédé est apprécié en climat montagneux car il conjugue performance thermique, étanchéité et couverture ventilée.

Quelles particularités de la mise en œuvre ?

Sa mise en oeuvre demande de poser avec soin couche après couche. Sur le voligeage et le pare-vapeur, l'isolant est posé généralement en deux couches en décalé au niveau des jointures. Le tout est recouvert d'un écran de sous-toiture, faisant pare-pluie. Des tasseaux (contre-lattage) sont vissés ou cloués au travers de l'isolant à la charpente puis les chevrons support de la nouvelle couverture sont fixés. « Le sarking demande un savoir-faire. Avec la rehausse de 8 à 12 cm de la toiture, il faut réhabiller les rives et refaire le débord de toiture vers les chéneaux. Les règles de pose sont à respecter comme la hauteur de ventilation de la sous-face qui doit être de 24 mm », précise Olivier Lafore chez Edilians. 

Avantages : Assure une isolation thermique extérieure continue sans pont thermique ; toiture ventilée ;

Limites : Mise en œuvre plus longue que les solutions traditionnelles ou que les caissons (ou panneaux sandwich) ;

Solution 2 : Le panneau sandwich

Cette solution de bardage en panneaux tri-couches, emboîtables les uns aux autres, facilite la pose et assure l’absence de ponts thermiques.

Quelles sont les caractéristiques du système ?

Le panneau sandwich est un matériau tri-couches avec une sous-face décorative (généralement en bois ou plaques de plâtre), une âme isolante et une face de protection. Le parement extérieur, qui est en bois, PVC, béton ou en métal, comporte des contre-liteaux sur lesquels viennent se fixer les liteaux, support de la couverture. Rainurés latéralement, les panneaux sont emboîtables les uns aux autres, assurant l’absence de ponts thermiques. Ces panneaux sont commercialisés en éléments rigides de 2 m à plus de 5 m de longueur et une épaisseur d'isolant pouvant aller jusqu'à 200 mm. Certains modèles de panneaux munis de raidisseurs sont auto-portants.

Dans quelle configuration peut-on mettre en œuvre la solution ?

Ce système d'isolation extérieure continue convient aussi bien en neuf qu'en rénovation où comme pour le sarking, ce procédé demande de mettre à nu la toiture, d'isoler puis de poser la couverture. Le volume habitable des combles est conservé au prix d'une rehausse de toiture, il faut donc traiter les rives et les débords de couverture vers les chéneaux. Enfin, si la charpente existante n'est pas en assez bon état, il faut préférer des panneaux auto-portants avec une rigidité accrue apportée par des raidisseurs latéraux ou un contre-lattage intégré.

Quelles sont les particularités de la mise en œuvre ?

Les dimensions et la masse des panneaux demandent l'usage d'un système de levage adapté pour leur installation. Assemblés latéralement par leur rainurage, les panneaux sandwich donnent une isolation continue sans pont thermique. Pour assurer la continuité thermique, les point singuliers doivent être traités, notamment avec des compléments d’isolation et d’étanchéité à l’air aux jonctions de la couverture avec d’autres parois de l’enveloppe. Pour les couvertures acier voir en particulier les Recommandation professionnelle RAGE sur les couvertures en panneaux sandwich à deux parements en acier et à âme polyuréthane.

Avantages : isolation continue sans pont thermique ; sous-face décorative servant de finition par exemple en lame de bois type lambris ;

Limites : utilisation d'un système de levage pour la pose ; évaluation de la capacité de la structure existante à pouvoir accueillir les panneaux.

Solution 3 : Le caisson chevronné

« Solution auto-portante d'ITE, le caisson chevronné est pré-usiné, ce qui en simplifie la pose, mais les raccords doivent être soigneusement traités afin d'éviter les ponts thermiques »

Quelles sont les caractéristiques du système ?

Le caisson est un panneau structurel bordé par un cadre et intégrant des chevrons raidisseurs porteurs qui assurent une grande portée entre pannes. Sa sous-face décorative comporte une finition qui sert de plafond aux combles. L’isolant ne remplit pas toute la hauteur entre les chevrons afin de ménager une lame d’air pour ventiler la toiture. Sur ces chevrons sont fixés les liteaux et la couverture. Ces caissons sont typiquement commercialisés en éléments rigides d'une longueur allant jusqu'à 8 m et avec une épaisseur d'isolant allant jusqu'à 200 mm.

Dans quelle configuration peut-on mettre en œuvre la solution ?

Du fait d'être auto-portant, le caisson vient reposer directement sur les pannes de la charpente. Il est principalement utilisé en neuf ou pour des rénovations où les chevrons existants ne sont pas conservés. Une différence par rapport au panneau sandwich est que la toiture est ventilée.

Quelles sont les particularités de la mise en œuvre ?

À la commande il faut préciser au fabricant un angle de coupe en tête et en pied des panneaux, en fonction de la pente de la toiture. Un système de levage est nécessaire pour manipuler sur chantier les caissons, dont la masse avoisine 200 kg, et les poser directement avec un minimum de manipulation. La jonction des caissons doit être particulièrement soignée afin de ne pas créer de ponts thermiques. L'usinage des panneaux doit être très précis afin de garantir leur raccord bord à bord lors de leur assemblage. Une mousse est appliquée entre les panneaux pour l'isolation. Sur le dessus des panneaux vient se raccorder le pare-pluie à recouvrement intégré. Autre point de vigilance, la hauteur de la lame d'air ventilée doit être suffisante.

Avantages : Simplifie la pose ; caisson structurel reposant directement sur les pannes ; sous-face décorative servant de finition ;

Limites : demande un système de levage pour les manipuler et installer ; veiller aux raccords antre caissons afin d'éviter les ponts thermiques ;

Source : batirama.com par  François Ploye

L’Institut des sciences appliquées à la rencontre de Terreal

Le directeur de l’INSA (Institut national des sciences appliquées) de Toulouse s’est rendu à Terreal Castelnaudary, une visite qui va permettre de renforcer le lien entre le secteur productif et de services installé sur la ville et son bassin de vie, et les grands centres de formation, à tous les niveaux de formation.

L’usine Terreal de Castelnaudary a accueilli Bertrand Raquet, directeur de l’INSA Toulouse, institut national des sciences appliquées accompagné de Jean-Yves Fourniols, directeur des relations entreprises et ALumni ; Jean-Charles Passieux, directeur de la spécialité génie mécanique ; Xavier Hebras, représentant la spécialité génie physique (volet instrumentation). Jvier de la Casa, directeur du site en a fait la présentation avec David Hanauer, ingénieur, Aurélien Bernier, ingénieur et le DRH Christophe Cabrero. Étaient également présents pour cette visite d’importance : Patrick Maugard, maire de Castelnaudary, François Demangeot, adjoint au Maire en charge notamment de l’aménagement du territoire et enseignement supérieur et Nicole Cathala, adjoint au Maire en charge de l’insertion et de la formation.

Un message fort aux jeunes du territoire…

"L’objectif de cette rencontre était multiple et au cœur de l’action des élus puisqu’il s’agit de renforcer le lien entre le secteur productif et de services installés sur la ville et son bassin de vie, et les grands centres de formation,", explique François Demangeot. "Le focus était sur les formations d’ingénieurs, avec la venue de cette prestigieuse école d’ingénieurs qu’est l’INSA de Toulouse, créée dans les années 1950-1960 pour renforcer le potentiel du territoire du grand Sud-Ouest à former les futurs cadres des entreprises". Une visite porteuse d’espérance donc puisqu’elle a permis d’établir un premier contact entre l’école toulousaine et Terreal. Les élus chauriens se sont félicités, pour leur part, de constater que "cela permet d’envoyer un signal à tous nos jeunes puisque les grands centres de formation s’intéressent à notre territoire et à son outil industriel. Ils pourront ainsi, selon leur appétence, envisager des formations de haut niveau, conférant le grade d’ingénieur".

... et à la communauté éducative

C’est aussi un message à destination de la communauté éducative, qui œuvre au quotidien à la formation des jeunes Lauragais mais également une passerelle pour renforcer les connaissances mutuelles, entre l’Education nationale, l’enseignement supérieur, et le milieu des entreprises.

Il faut citer à ce titre, la mise en place d’une cordée de la réussite – initiative nationale,- mise en place sur le Lauragais audois entre les jeunes en formation du lycée GT (filière technique) et l’INSA de Toulouse, pour favoriser la promotion des jeunes du territoire qui s’engagent dans des études techniques et scientifiques, qui peuvent les conduire à des qualifications de haut niveau.

Soutien au recrutement

Le deuxième axe concerne le soutien en recrutement de qualité aux entreprises de l’Ouest audois qui démarre, du coup, avec ce fleuron industriel, qu’est Terreal,. Des dossiers de recrutement ont d’ailleurs été échangés pour permettre au leader européen de la tuile de recruter très prochainement des stagiaires, actuellement élèves ingénieurs à l’INSA qui pourront effectuer leurs stages dans cette usine pour se familiariser à la culture de cette entreprise, à la vie sur notre territoire et devenir ainsi, de futurs potentiels recrutements définitifs. Notamment, les modalités d’études offertes par l’apprentissage (stages et alternance Contrat de professionnalisation) développées par lINSA de Toulouse sont très intéressantes, car elles permettent de créer un lien plus fort dans la durée entre les jeunes en formation et l’entreprise, une meilleure connaissance du territoire et de l’écosystème local, tout en garantissant aux jeunes un revenu au cours de leur formation. Cette modalité d’apprentissage, fortement soutenue par les élus, intéresse l’entreprise Terreal et devrait rapidement déboucher sur des premiers contrats.

Une volonté partagée s’est manifestée d’organiser des visites des jeunes élèves ingénieurs de cette école toulousaine, dès le début de leur formation de telle sorte à mieux leur faire connaître à ses jeunes, le potentiel industriel et de services du Lauragais audois ainsi que la qualité de vie et les commodités offertes, ce qui se fait déjà pour attirer, ici, de futurs médecins. Un premier contact qui devrait être étendu à d’autres sites, fleurons du Lauragais, comme Plastisud et Socamil.

Rapprocher le Lauragais de la métropole toulousaine

"Il s’agit enfin, de rapprocher notre bassin de la grande métropole toulousaine sur le secteur de la formation, de fluidifier les échanges, d’acculturer les jeunes élèves ingénieurs en formation à Toulouse à tout le potentiel des territoires tels que le nôtre, potentiel qui leur est offert de découvrir, sur le plan de la qualité de vie (coût de la vie moindre qu’en métropole, commodités liées aux infrastructures ferroviaires et routières," soulignent les élus d’une seule voix. "Ce volontarisme municipal, est porté également par le territoire intercommunal, avec le soutien aux outils de formations à distance qui vont se développer. Il concourt à la promotion de l’égalité des chances, notamment à destination des jeunes en formation, volonté municipale forte, portée en lien étroit avec les collectivités partenaires, notamment, la Région Occitanie, le Conseil Départemental de l’Aude et la communauté de Communes de Castelnaudary Lauragais audois. 

Source La Dépêche du Midi

Tuiles solaires fabriquées en Allemagne

Le fabricant allemand Autarq vend ses tuiles solaires à un prix compris entre 25 et 30 euros par pièce. Il déclare qu'un système photovoltaïque construit avec ces produits peut couvrir environ 70% des besoins de la maison.

Le fabricant solaire allemand Autarq a annoncé qu'il augmenterait la capacité de son usine de fabrication de tuiles solaires dans la ville de Prenzlau, dans l'est de l'Allemagne, où la production a commencé en 2018.

L'entreprise affirme que ses produits ont déjà été utilisés sur 205 toits en Allemagne. «Les projets vont de 5 à 8 kW», a déclaré un porte-parole d'Autarq au magazine pv.

Le prix pour les clients finaux varie entre 25 et 30 euros par tuile. Selon Autarq, un toit qui intègre ses tuiles solaires monocristallines peut couvrir jusqu'à 70% des besoins en électricité d'une maison unifamiliale.

Chaque tuile a une puissance de 10 à 12,5 W, selon la taille, et une densité de puissance de 127 à 135 W par mètre carré. Selon l'entreprise, une installation de 5 kW nécessiterait environ 500 tuiles pour une superficie totale d'environ 40 m².

Visuellement, les tuiles photovoltaïques se distinguent à peine des tuiles d'origine. Il n'y a pas non plus de différences de poids, donc la résistance mécanique du toit n'est pas affectée, selon le fabricant.

L'entreprise affirme également que la tuile et l'unité photovoltaïque sont connectées pour former un composant robuste, maintenant ainsi le débit d'eau et l'étanchéité des toits. Les câbles et les contacts enfichables sont situés sous la gaine du toit et sont donc protégés contre les effets des intempéries.

Autarq précise également qu'un système photovoltaïque construit avec la tuile est insensible à l'ombrage en raison de la connexion en parallèle. Les lanterneaux, cheminées, évents ou antennes n'affectent pas non plus l'installation et le fonctionnement efficace des systèmes.

Les tuiles ont une garantie de performance de 25 ans.

De plus en plus de maisons optent pour les tuiles au lieu des installations conventionnelles. Le magazine pv a récemment publié que la plus grande tuile solaire au monde est fabriquée en Espagne par Tejas Borja. 

Source PV-Magazine.es

Mont-Saint-Vincent – Le projet d’enfouissement de l’amiante, un sujet toxique pour le maire Jean Girardon

 Au cours de l’année 2019, l’entreprise Rougeot, nouvel exploitant de la carrière, a informé le Conseil municipal de son projet d’évolution pour les 30 prochaines années, dont la faisabilité est en cours d’étude.

Ce projet consiste, d’une part à poursuivre l’extraction des matériaux dont une part importante est transformée en sable, d’autre part à combler les excavations résultant de cette activité par des déchets inertes issus du BTP (batiment et travaux publics), pour répondre ainsi aux besoins exprimés par nombre d’entreprises locales.

Concrètement, cela implique d’accroitre la surface d’exploitation vers le sud ouest en déplaçant de nouveau (comme cela été fait par le passé), le tracé du chemin de grande randonnée (GR7) en limite de Collonge en Charollais et d’envisager un traitement particulier pour les déchets amiantés fibrés (non floqués). En effet, depuis 2011, une réglementation spécifique, particulièrement drastique, organise le traitement par enfouissement des plaques d’amiante désactivé.

Ainsi informé, le Conseil municipal a souhaité voir sur place des installations de ce type en activité. Une visite fut organisée à l’automne 2019 en présence du maire, Jean Girardon, assisté des trois adjoints Pierre Chardeau, Nadine Therville et Michel Auboeuf, sur un site géré par Véolia, partenaire de la Sté Rougeot, dans la région de Reims.

Le 15 décembre 2020, la Sté Rougeot a présenté son projet au nouveau Conseil municipal qui a pris acte de son contenu, sans se prononcer sur son bien-fondé.

Au cours de cette réunion, il a été convenu que le Conseil municipal se rendrait sur place à la carrière pour recueillir des explications plus précises. Cette visite s’est déroulée le 24 janvier dernier. En outre, il est prévu dans les prochaines semaines la visite d’un site d’enfouissement de l’amiante déjà en exploitation, dans un autre département.

La sté Rougeot va déposer une demande d’autorisation en 2021 auprès des services compétents, à la Préfecture à Macon et à la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL), à Dijon.

L’instruction de ce dossier demandera plusieurs mois, à l’issue de laquelle sera prononcée ou non l’autorisation. Dans cette dernière hypothèse, le dossier est clos. En cas d’avis positif, la procédure d’enquête publique permettra aux élus et à la population de Mont Saint Vincent de donner son avis sur ce projet, de l’accepter ou de le refuser en toute connaissance de cause.

Source InformateurDeBourgogne

Des tuiles en terre cuite à partir des fines de la carrière du Mont Saint Vincent

1,8 M€ dans une unité de lavage de ses sables et de recyclage des boueux et des eaux.

Créée en 1973, la Carrière du Mont Saint Vincent, exploite un gisement de granit beige sur les monts charollais, à près de 600 mètres d’altitude. La carrière propose différents types de granulats, destinés à la construction des infrastructures et à la décoration des espaces.

En complément des granulats, la carrière extrait également des sables de très bonne qualité utilisés pour la maçonnerie, le remblai, les terrains sportifs dont notamment les centres équestres.

En réponse aux enjeux environnementaux, le Groupe Rougeot (propriétaire de la carrière) a investi 1.8 millions d’Euros dans une unité de lavage de ses sables et de recyclage des boueux et des eaux. Grâce à ce nouvel équipement, les fines (boues), une fois lavées, sont déshydratées, pressées pour ainsi être revalorisées en galettes d’argile destinées à la fabrication de tuiles en terre cuite. Quant à l’eau, celle-ci est recyclée et renvoyée à l’unité de traitement de lavage.

Avec cet investissement, le Groupe Rougeot concrétise son objectif de passer à un modèle vertueux de rationalisation et de revalorisation des ressources. Cette démarche d’économie circulaire permet ainsi de réutiliser et de transformer les déchets en nouvelles ressources.

Source ConstructionCayola

Wienerberger Betschdorf: nouveau système de traitement de fumée

Allier écologie et économie d’énergie, c’est possible ! 

Afin de poursuivre sa stratégie environnementale Wienerberger a installé un nouveau système de traitement de fumée (RTO : Regenerative Thermal Oxidizer) sur le site de Betschdorf. 

Associé à un échangeur thermique, il permet ainsi de réduire la consommation d’énergie fossile et l’empreinte carbone de près de 20%.

Source Linkedin

Terreal lance une solution pour des façades en brique sans joint

Terreal vient de proposer une nouvelle solution de vêture isolante, le Thermoreal-Gebrik Joint Mince. Avec ses joints entre plaquettes de 3 mm, ce panneau de vêture isolante est une innovation pour le marché de la façade en briques puisqu’il permet d’avoir une solution certifiée (sous ATEx) pour la pose d’un mur en briquettes sans opération de rejointoiement au mortier.

Etanche malgré l’absence de rejointoiement, le panneau isolant Thermoreal-Gebri JM (Joint Mince) est préfabriqué en usine, compatible avec toutes les zones sismiques, résistant au feu (APL Feu Effectis) et au vent. Posé mécaniquement par chevillage au mur support béton, maçonnerie ou COB, il est parfaitement adapté au neuf comme à la rénovation et bénéficie du meilleur classement aux chocs Q4 permettant la pose en rez-de-chaussée. Sa surface visible est constituée de plaquettes en terre cuite comportant un joint nominal entre plaquette d’environ 3 mm. Ces plaquettes sont serties dans un panneau rigide en mousse polyuréthane. Ce produit constitue une réponse à la demande croissante du marché de pouvoir bénéficier d’une solution de façade en brique à joint très mince pour une esthétique renouvelée des bâtiments et un aspect plus monolithique que les plaquettes de parement avec joint au mortier.

Source ConstructionCayola

Canada: Brampton Brick annonce ses résultats pour le quatrième trimestre terminé le 31 décembre 2020

Brampton Brick Limited (TSX: BBL.A) a déclaré le 17 Mars 2021  une perte nette de 1251 $, ou 0,11 $ par action pour l'exercice terminé le 31 décembre 2020, comparativement à une perte nette de 6 939 $, ou 0,63 $ par action pour l'année précédente correspondante. Le nombre moyen pondéré global d'actions à droit de vote subalterne de catégorie A et d'actions à droit de vote multiple de catégorie B en circulation était de 11 008 275 et 10 988 179, en 2020 et 2019, respectivement.

(Tous les montants sont exprimés en milliers de dollars canadiens, sauf les montants par action.)

Les revenus pour l'exercice clos le 31 décembre 2020 ont augmenté à 149 917 $, comparativement à 141 629 $ pour l'exercice précédent correspondant, en raison des expéditions plus élevées du secteur commercial Produits de maçonnerie et du secteur commercial Produits de paysage. Au cours de la période post-lockdown en 2020, les revenus ont augmenté de manière significative, compensant le manque à gagner résultant des fermetures initiales liées à l'épidémie de COVID-19 de la mi-mars 2020 à la mi-mai 2020. La construction résidentielle et commerciale a augmenté pendant les mois d'été soutenu par une forte demande des clients alors que l'économie a rouvert par étapes au cours du second semestre. Les revenus au cours des mois pré-COVID-19 de janvier et février 2020 ont été favorablement touchés par une augmentation notable des marchés canadiens de la maçonnerie de la société, indiquant un rebond possible en raison de conditions de marché plus souples qui existaient à partir de la mi-2018 et le report du marché résidentiel construction à partir de 2019 pour les produits de maçonnerie et des expéditions plus élevées dans le cadre du programme de réservation d'hiver pour les produits paysagers.

Le coût des ventes pour l'exercice terminé le 31 décembre 2020 a augmenté à 120 494 $, contre 115 447 $ pour l'année précédente correspondante en raison de la hausse des expéditions. Cela a été en partie contrebalancé par des coûts unitaires plus faibles sur des volumes de production plus élevés pendant la période suivant le blocage. Alors que les coûts unitaires de production ont varié considérablement au cours de l'année en raison du COVID-19, les coûts unitaires globaux ont été favorables pour toute l'année en raison de la hausse des volumes de production au second semestre. Comme indiqué ci-dessus, les coûts ont également bénéficié des recouvrements des coûts de personnel obtenus grâce aux programmes SCAR et PPP. De plus, des frais de remise à neuf des installations de 4 220 $ ont été engagés dans la propriété Welland, en Ontario, détenue à des fins de location commerciale dans le cadre de nouveaux contrats de location. Les revenus locatifs de ces nouveaux baux devraient commencer entièrement en 2021, une fois la rénovation de l'immeuble terminée.

Les frais de vente pour l'exercice clos le 31 décembre 2020 se sont élevés à 11 446 $ comparativement à 13090 $ en 2019. La diminution des frais de vente était attribuable à la baisse des frais de personnel et de marketing et aux frais de déplacement et frais connexes limités en raison du COVID-19.

Les frais généraux et administratifs pour l'exercice clos le 31 décembre 2020 sont passés à 9 734 $, comparativement à 8 032 $ pour l'exercice précédent, en raison d'une augmentation importante de la variation de la juste valeur des droits à la plus-value d'actions en circulation totalisant 1 623 $. En outre, la hausse des frais de conseil liés aux systèmes ERP de la société et aux projets d’optimisation des opérations a été compensée par la baisse des frais de personnel engagés au cours de l’année.

Les résultats opérationnels des années 2020 et 2019 ont été impactés par les éléments non récurrents suivants:

- une perte de valeur de 5038 $ (9 094 $ en 2019) sur l'usine de briques terre cuite de Farmersburg, Indiana a été comptabilisée au 31 décembre 2020;

- les prêts à terme totalisant 1 143 $ reçus en avril 2020 dans le cadre du programme américain de protection des chèques de paie («PPP») ont été annulés aux termes du programme au début de janvier 2021 et comptabilisés en résultat au 31 décembre 2020;

- une subvention de 2 255 $ reçue dans le cadre du programme canadien de subventions salariales d'urgence («SCAR») a été comptabilisée en résultat au cours de l'exercice terminé le 31 décembre 2020;

- une augmentation de 1 623 $ de la variation de la juste valeur des droits à la plus-value des actions en circulation a été constatée dans les frais généraux et administratifs au 31 décembre 2020. L'augmentation de la juste valeur était basée sur le prix au comptant offert de 12 $ par vote subalterne de catégorie A part de BBL Acquisition Inc., une société privée;

- une perte sur cession d'équipement de production de 803 $ a été encourue à l'usine de produits de béton de Boisbriand, au Québec au cours du deuxième trimestre de 2019; et

- un gain de 573 $ a été constaté en février 2019 sur l'acquisition d'une entreprise de blocs de béton. En excluant ces facteurs, le bénéfice net pour 2020 était de 2012 $, comparativement à un bénéfice net de 2385 $ pour 2019.

Source GlobeNewsWire

Des tuiles pour protéger les toits à faibles pentes

L’entreprise de charpente-couverture Poeschl a réalisé la toiture d’une maison individuelle à Mallersdorf en Bavière. Le chantier a été couvert avec le nouveau modèle Level RS d’Erlus et a nécessité 2 500 tuiles, posées sur une surface de 230 m².

La toiture de la partie habitation est constituée de 4 pans tandis que le garage est coiffé d’une toiture à 2 pans. La pente des deux toitures est de 16°. Grâce à son triple emboîtement latéral et de tête, la tuile plate Level RS peut être posée pour les pentes particulièrement faibles. Sur ce chantier, l’entreprise Poeschl a misé sur la nouvelle tuile pour faibles pentes d’Erlus et un écran de sous-couverture HPV. En dépit de la faible pente cette tuile dispense les prescripteurs et les couvreurs de la mise en œuvre d’une sous-couverture fastidieuse et coûteuse. En matière d’étanchéité à l’eau, elle combine deux grands avantages. D’une part, elle présente un degré d’absorption d’eau minime grâce à sa cuisson en qualité clinker à 1 200 degrés. D’autre part, son triple emboîtement latéral et de tête favorise l’évacuation de l’eau de pluie. Ainsi, même avec des configurations en très faibles pentes (pente nominale de 16 degrés ou pente minimale de 10 degrés en pose croisée), la sous-construction reste au sec. Avec son poids de seulement 4,8 kg et son emboîtement périphérique, cette tuile est également facile à mettre en œuvre.

Source ConstructionCayola

Madagascar: Réduire les impacts écologiques des constructions avec les briques en terre compressée (BTC)

Si la brique en terre compressée est déjà plus ou moins largement utilisée en occident, elle en est essentiellement à sa phase d’exploitation sur la Grande île. 

Pour ceux qui promeuvent son utilisation, elle a pourtant de nombreux avantages, notamment s’il faut la comparer à la brique en terre cuite : un avantage écologique et un avantage économique.

Source 24.24.MG

Bouyer Leroux : 55% d’ENR d’ici 2022

Dans l’objectif d’effacer son empreinte carbone, le groupe Bouyer Leroux a planifié plusieurs pistes d’amélioration sur ses sites de production. 

Il vise notamment les 55% d'ENR d'ici 2022. 

Source Cahiers techniques du bâtiment par Stéphanie Obadia

Aude - Limoux : la tuilerie Monier à plein rendement, embauche

Ouverte en 2007 route de Saint-Polycarpe, la tuilerie Monier bénéficie de toutes les innovations techniques du secteur. 

Cette usine de 26 000 m² construite sur un terrain de 17 ha se classe bien. 

La tuilerie d’aujourd’hui est performante au sein du groupe européen BMI Monier, 

"Le procédé de fabrication est automatisé, mais l’humain reste essentiel".

Source L'Indépendant

UK: Une nouvelle briqueterie clé en main pour Forterra

Forterra PLC, l'un des plus grands fabricants de briques du Royaume-Uni, a confirmé en 2019 son intention de faire un pas en avant très important avec le secteur de la construction britannique à l'esprit, en investissant 95 millions de livres sterling dans une nouvelle super usine sur son site de Desford dans le Leicestershire. Afin de maintenir les niveaux de production actuels pendant la construction, l'usine existante restera opérationnelle pendant que la nouvelle sera construite à côté. La production actuelle de l'usine est de 85 millions de briques par an et la nouvelle sera capable de produire 180 millions de briques par an.

Bedeschi, basé à Padoue, en Italie, et opérant dans le monde entier depuis 1908, se sent honoré et fier d'avoir été choisi par Forterra pour un projet clé en main aussi important, confirmant une fois de plus sa position de leader sur le marché, étant en mesure d'offrir un solution allant de la préparation de l'argile, de la mise en forme, du séchage, de la cuisson, du transport et de l'automatisation jusqu'à la ligne d'emballage, le tout à partir d'une seule source, a expliqué l'entreprise italienne. Au cours des deux prochaines années, les équipes de Forterra et de Bedeschi travailleront de concert, amenant ce projet à une conclusion réussie, ont annoncé les deux sociétés. Pour permettre une présence plus étroite sur le marché britannique, Bedeschi UK a été créé à la fin de l'année dernière, ajoutant une filiale supplémentaire au Groupe.

Selon Bedeschi, la nouvelle usine sera la plus grande et la plus efficace d'Europe, produisant 180 millions de briques par an et réduisant considérablement l'impact carbone de chaque brique fabriquée sur le site par rapport à l'usine actuelle. Les briques produites seront suffisantes pour construire environ 24 000 maisons familiales en moyenne au Royaume-Uni chaque année. L'usine sera construite en utilisant les technologies les plus avancées, une automatisation de pointe, avec un accent particulier sur les techniques de fabrication de classe mondiale et les technologies environnementales de pointe. L’usine devrait être pleinement opérationnelle d’ici la fin de 2022 et augmentera de 16% la capacité de production globale de la division brique de Forterra. 

Source ZiegelIndustrie International

Jean-Baptiste Fayet nommé DG de Terreal France

Jean-Baptiste Fayet pilotait jusqu'à présent le commerce et le marketing du fabricant français de solutions en terre cuite.

Jusqu'à présent directeur commercial et marketing de Terreal France, après avoir dirigé Terreal en Asie, Jean-Baptiste Fayet vient d'être nommé DG de Terreal France. Rapportant directement à Laurent Musy, président du groupe Terreal et de Terreal France, il pilote depuis le 11 mars dernier l'activité de Terreal France, Lahera et Achard. Il est diplômé de Polytechnique, des Ponts et du MIT de Boston.

Source Le Moniteur par Pierre Pichère 

Les tuiles Bieberschwàntz de Pierre Lanter en 1977

La tuilerie Lanter de Hochfelden, en 1977 et aujourd'hui : les tuiles y seront toujours faites sur mesure et à la main. Les artisans du Pays de Bitche se réunissent pour sauvegarder leur savoir-faire. Pierre Nuss a plongé dans les archives pour retrouver des pans entiers du passé de la radio.

Des tuiles Biberschwanz à Strasbourg

Des tuiles sur-mesure et à la main, Pierre Lanter vous raconte son métier en 1977.

Le rapport entre le fait-main et l'industrie, le futur, il vous présente son quotidien.

Retour sur le présent après ces archives : Alain Creutz, qui travaille depuis 40 ans à la briquerie Lanter, vous dit que rien n'a changé, tout est fait comme autrefois. En plus des tuiles et des briques, l'entreprise s'est diversifiée, notamment en travaillant pour les courts de tennis en terre battue.

TUILERIE BRIQUETERIE PIERRE LANTER

• Rue de la Tuilerie
• 67 270 HOCHFELDEN
• tél. : 00 (33) 3 88 91 93 68
• e-mail : cl@brique-lanter.com

Source France Bleu

Allemagne: Florian Scherr devient le nouveau directeur des ventes chez Creaton

Florian Scherr est le nouveau directeur commercial de Creaton GmbH. Il rend compte directement au directeur général Dr Sebastian Dresse, qui avait géré temporairement l'organisation des ventes. En tant que directeur des ventes, Florian Scherr est responsable des régions de vente en Allemagne, de la gestion des grands comptes ainsi que des affaires internationales.

Florian Scherr a une grande expérience de l'industrie. Après une formation d'électricien industriel, il a étudié le management international au Deggendorf Institute of Technology. Chez Würth, le spécialiste des matériaux d'assemblage et de fixation, il est passé par tous les postes clés, des ventes de terrain au directeur des ventes pour la gestion de projets de chantiers. Avant de rejoindre Creaton, Florian Scherr était directeur des ventes pour le segment de la construction de bâtiments en Allemagne pour le fabricant d'isolation Knauf Insulation.

Il aborde son nouveau métier avec beaucoup d'optimisme: «Les toits en pente sont confrontés à des défis. Avec des produits de haute qualité et innovants, des solutions numériques complémentaires et surtout une équipe commerciale solide, nous saurons relever ces défis. Je suis très motivé, avec mon équipe et mes clients, à utiliser les opportunités et à garder Creaton sur la bonne voie pour réussir. » 

Source ZiegelIndustrie International

Villeurbanne : Terreal habille la façade de l’immeuble Park View

Terreal a été sélectionné par AFAA Architecture pour habiller la façade de l’immeuble de bureaux Park View à proximité immédiate du parc de la Tête d’Or à Villeurbanne (69).

L’enjeu était de donner un aspect aérien et graphique à ce bâtiment de 24 000 m² de bureaux agencés sur 8 niveaux et 30 mètres de haut. 

Terreal a ainsi proposé sa solution de bardage Piterak Slim avec des finitions et des formats personnalisés afin d’apporter une réponse sur-mesure aux problématiques esthétiques de ce chantier et répondre aux attentes de AFAA Architecture qui a habilement découpé le bâtiment pour l’aérer. 

Tel un peigne, il se compose de 6 tranches verticales décalées les unes par rapport aux autres, avec entre chaque dent, des patios qui donnent l’impression que le parc pénètre à l’intérieur de l’édifice. 

En façade, de grandes fenêtres verticales sur un ou deux niveaux dessinent une dentelle délicate. 

Selon une écriture précise et graphique, ces ouvertures pensées comme des meurtrières descendent en oblique de l’édifice de manière à créer un mouvement et casser le systématisme d’un immeuble traditionnel de bureaux. Les pleins habillés de terre cuite renforcent encore le dynamisme de la façade à travers un métissage de trois formats de bardeaux Piterak Slim, la gamme de bardage de Terreal, dont les finitions ont été personnalisées : 7 modèles différents cohabitent ainsi, certains lisses, d’autres striés avec des espaces plus ou moins serrés pour un effet de moirage amplifié. 

Afin d’accentuer l’effet longiligne du bâtiment et gagner encore en légèreté, les architectes ont choisi de faire disparaître les joints horizontaux au profit des joints verticaux, de sorte qu’ils se confondent avec les stries. L’émaillage gris clair, subtilement satiné, offre en prime un spectacle changeant selon que la façade est baignée de soleil ou au contraire absorbée par le gris du ciel.  

Source ConstructionCayola

Bongioanni Macchine renouvelle son identité de marque

Un nouveau logo moderne et stylisé raconte l’histoire du développement de la société et plus de 100 ans d’histoire en tant que l’un des principaux fournisseurs de machines pour l’argile lourde

Redéfinir son identité en créant un lien entre le passé et le présent est l'objectif qui a conduit Bongioanni Macchine à redéfinir son logo d'entreprise, qui résume parfaitement les 100 ans de croissance de l'entreprise et l'expérience qu'elle a acquise dans la conception et la production de machines et d'installations complètes. pour les briques et les tuiles depuis sa fondation en 1907. Le nouveau logo conserve ses caractéristiques d'origine mais prend un aspect plus dynamique et moderne, reflétant l'image d'une entreprise solide et tournée vers l'avenir qui se projette vers le marché international de l'argile lourde avec un esprit d'innovation.

Le logo, un «B» imposant et stylisé, adopte deux nuances différentes de rouge rappelant la brique combinées avec des lignes courbes et sinueuses, un design qui embrasse des idées innovantes et durables sans négliger la tradition.

Parallèlement au nouveau logo, la décision a été prise de maintenir la récompense «Heavy Clay Technology» introduite en 2018, qui communique le cœur de métier de l'entreprise avec franchise et immédiateté.

«Le moment était venu de nous présenter sous un nouveau jour, de communiquer notre évolution à travers une image plus contemporaine», commente Simone Dutto, directrice générale adjointe de Bongioanni Macchine. «La nouvelle conception graphique représente l'histoire et l'innovation, les deux facteurs qui ont permis à notre entreprise de conserver sa solidité et ses valeurs fortes au cours de ses plus de cent ans d'activité commerciale.

Ces valeurs de solidité, de fiabilité et de qualité permettent à l’entreprise de proposer une technologie performante et de développer de nouvelles idées en réponse aux besoins des clients et aux dernières tendances du marché. Le nouveau slogan «Solid Ideas» a été créé pour être utilisé dans les futures activités de marketing avec le nouveau logo et s'intègre parfaitement dans la nouvelle identité de marque en termes de style et de couleurs. 

Source CeramicWorldWeb

Comme un songe d’antan, la tuile Anteis Doyet allie à merveille tradition et caractère !

La tuile plate 18×28 ANTEIS DOYET est idéale pour les rénovations patrimoniales.

Fabriquée en France sur le site de Doyet, cette tuile offre une grande résistance au temps et aux intempéries du fait de la qualité des argiles utilisés pour sa confection.

Volontairement irrégulière, elle respecte parfaitement l’aspect des tuiles anciennes par imitation du pureau brouillé des toitures d’antan, mais se pose aisément grâce à son tenon de renfort sur toute la longueur.

Elle s’inscrit avec fierté dans la sélection « patrimoine » d’EDILIANS et a été conçue pour répondre aux projets de couverture du patrimoine architectural français.

Grâce à ses coloris spécifiques « Vézère » et « Abbaye », la tuile plate ANTEIS s’accorde merveilleusement bien aux styles régionaux du Sud-ouest jusqu’au Centre de la France.

Source BatiJournal

Le robot au service de la construction/rénovation

Et si la préfabrication était une des solutions pour résorber les retards qui s’accumulent dans la construction ou la rénovation ? C’est en tout cas ce que pense le briquetier Vandersanden en proposant le RoboBrick.

Le RoboBrick est un robot de pose automatique de plaquettes de parement complété par un logiciel de création de motifs de briques.

La société familiale flamande Vandersanden est, depuis 96 ans, connue pour ses briques, ses plaquettes de parement, ses systèmes de façades et ses pavés en terre cuite pour espaces publics et jardin. Elle a décidé d’innover en proposant des façades « prêtes à l’emploi » réalisées grâce à son système RoboBrick, un robot de pose automatique de plaquettes de parement complété par un logiciel de création de motifs de briques.

Source Le Soir par Brigitte De Wolf

Matériaux de construction : légère éclaircie en ce début d'année

L'Unicem a dressé le bilan des matériaux de construction à fin janvier, laissant entrevoir une éclaircie en ce début d'année 2021. Mais si la production a repris sur les trois derniers mois, les chiffres restent très largement négatifs sur un an.

A la suite d'une année 2020 difficile à cause de la crise sanitaire et économique, l'activité des matériaux de construction aura connu une belle embellie en janvier. Après un « gap » durant les mois de confinement et une reprise en dents de scie, janvier 2021 enregistre des niveaux de production supérieurs à la moyenne des mois de janvier des dix dernières années (soit +2,2 % pour les granulats et +3,7 % pour le béton prêt à l'emploi).

Un bon début d'année 2021

Dans le détail, la production de granulats est en hausse de +6 % comparé à décembre 2020, et de +0,5 % comparé à un an plus tôt, mais l'Unicem rappelle que la période d'avant-crise avait été particulièrement faste.

Sur trois mois, de novembre 2020 à janvier 2021, le syndicat enregistre +4,4 % comparé aux trois mois précédents, et même +2,4 % comparé à un an plus tôt, alors que la production n'avait pas encore été confrontée à la crise.

L'éclaircie est légèrement plus faible du côté du béton prêt à l'emploi (BPE), avec +2,8 % comparé à décembre 2020, mais -2,3 % par rapport à un an plus tôt. 

Sur les trois derniers mois, la production de BPE a connu une légère remontée avec +0,9 % comparé au trimestre précédent, et même une hausse de +3,2 % comparé à un an plus tôt. 

… mais des chiffres négatifs sur 12 mois

Que ce soit pour le BPE ou les granulats, l'Unicem rappelle toutefois que la pause forcée du premier confinement n'a pas pu être rattrapée. De fait, sur les douze derniers mois, la production de BPE a connu une chute de -9,7 %, et celle des granulats une baisse de -7,5 %. L'indicateur matériaux enregistre quant à lui un repli annuel de -6,4 %.

Revenant sur la conjoncture, l'Unicem note que les entrepreneurs du bâtiment restent globalement plutôt confiants, avec une meilleure opinion concernant les carnets de commande et l'évolution positive des effectifs.

Le syndicat rappelle pourtant que les chiffres restent dans le rouge, notamment en termes de mises en chantier. Sur les trois derniers mois, les mises en chantier ont plongé de -11,2 % comparé au trimestre précédent, avec une baisse plus marquée pour le collectif.

Les permis de construire sortent quant à eux la tête de l'eau avec +9,6 % comparé aux trois mois précédents. Mais sur les douze derniers mois, les permis de construire enregistrent tout de même un repli de -16,3 %.

La situation reste également incertaine du côté des travaux publics, avec des carnets de commandes qui tardent à se remplir malgré les dispositions du plan de relance. La visibilité reste donc mauvaise.

Source Batiweb par Claire Lemonnier

Bouyer Leroux - Nouvelle tuile canal'di

L’esthétique d’une tuile canal traditionnelle et la fiabilité de la tuile à blocage..

Pour préserver les terroirs, architectes et ABF (Architectes des bâtiments de France) souhaitent des tuiles avec un aspect parfaitement traditionnel. Les couvreurs, quant à eux, se tournent vers un produit qui puisse respecter le style esthétique des toits anciens tout en étant confortable à poser et utilisable sur une grande variété de pentes.

« Grâce à son système innovant de blocage invisible, la tuile canal’di assure une très bonne accroche des produits, inapparente depuis l’extérieur » explique Antoine Cellier, directeur marketing. « Ainsi l’esthétique de la toiture est identique à celle d’une tuile canal traditionnelle et son maintien fiable tel celui d’une tuile à blocage ».

Il a fallu deux ans de recherche au service R&D Bouyer Leroux pour créer ce système de blocage invisible : les tuiles de chapeau sont bloquées sur les tuiles de courant. L‘accroche est masquée sous le recouvrement de la tuile. Fonctionnelle et esthétique, la tuile canal’di garantit une facilité de mise en oeuvre pour les couvreurs.

Les atouts de la tuile canal’di

• tuile canal traditionnelle avec un système de blocage invisible
• confort de pose et esthétique
• pose sur liteaux ou voliges
• extraction de l’argile et fabrication françaises (85)
• tuile sous ATEx n° 2810_V1.
  

6 combinaisons de coloris possibles : 3 coloris de chapeaux x 2 coloris de courants

La tuile canal’di, qui confère une identité visuelle remarquable, complète la gamme de tuiles canals. Elle va permettre aux villages et aux demeures de style de préserver leur patrimoine et de garder cet aspect de terroir tout en alliant une fiabilité de maintien.

La tuile canal’di est commercialisée par Bouyer Leroux sur la France entière.

Source : batirama.com

Près de Muret, cette entreprise familiale fabrique des briques toulousaines depuis 1879

La brique rose, utilisée depuis le XIe siècle, est devenue l'emblème de la région toulousaine, mais comment est-elle fabriquée ? Dans le cadre de notre série vidéo "Secrets d'ici", partons à la découverte de ce savoir-faire, maintenu depuis six générations dans une briqueterie familiale près de Muret, en Haute-Garonne.

Leur secret de fabrication se transmet dans la famille depuis 1879. Chez les Capelle, on produit des briques toulousaines, aussi appelées briques foraines, depuis six générations. La production est installée dans la briqueterie familiale de Grépiac, près de Muret (Haute-Garonne). "Nos briques sont vendues pour la rénovation des bâtiments publics et des particuliers, mais aussi un peu dans le neuf."

Source La Dépêche du Midi

Contrôle numérique des flux de production avec HERE, le progiciel de fabrication développé par Sacmi

Voici un progiciel de fabrication numérique développé par Sacmi qui permet un contrôle entièrement numérique des flux d'usine. Avec ce logiciel, Sacmi souhaite offrir à ses clients tous les avantages d'une approche 4.0 de la production. Des fonctions de «vue d'ensemble» au contrôle intégré des flux de production, comme indiqué par Sacmi, le logiciel rend la fabrication meilleure et plus rapide en optimisant chaque étape de la production et en créant un nouvel écosystème qui relie la technologie, les personnes et les processus.

La société italienne a configuré Here comme le lien entre l'environnement de production et le système ERP (Enterprise-Resource-Planning), permettant aux fabricants de contrôler tous les flux de données côté production et d'optimiser le contrôle complet de l'usine.

Lien entre ERP et MES

Le principal avantage du système est sa modularité, qui permet aux clients d'adopter une approche progressive de la numérisation et de profiter d'avantages immédiats et évidents. La première étape consiste à mettre en place des fonctions de synthèse: celles-ci permettent aux utilisateurs de suivre, via une interface simple consultable sur des appareils fixes ou mobiles (smartphone, tablette), toutes les données essentielles de l'installation via le calcul d'indicateurs-clés de performance et identification temporelle des causes de tout problème.

La deuxième étape consiste à mettre à niveau le système pour englober les fonctions réelles du système de fabrication-exécution du MES - traçabilité du contrôle des processus, qualité, analyse énergétique et gestion de la maintenance. Dans sa configuration la plus avancée, Sacmi Here s’interface avec l’ERP du client et calcule les exigences du produit, optimisant les différentes étapes de la production via la gestion des recettes et des fonctions avancées de planification opérationnelle.

Les objectifs du système sont, selon Sacmi, de produire mieux, de produire plus rapidement, de réduire les inefficacités et d'automatiser l'ensemble du flux de production: objectifs atteints grâce à un système qui implémente des fonctions MES avancées et agit comme le lien infrastructurel entre les niveaux de technologie de l'information et de technologie opérationnelle de l'usine. Installable sur un serveur physique ou virtuel, le système offre aux clients un excellent contrôle d'accès et a été conçu selon des critères de cybersécurité stricts.

Configurations sur mesure

Sacmi vise à opérer sur le marché non seulement en tant que fournisseur de solutions logicielles et d'ingénierie d'usine, mais également en tant que partenaire de numérisation d'usine complet, a expliqué la société italienne. La fourniture de la solution Here commence toujours par une analyse détaillée des besoins du client, de la configuration spécifique au cas des flux de production aux avantages que le client attend du système. C'est pourquoi Sacmi, en plus d'offrir une approche modulaire de la fabrication numérique de la céramique, peut également développer des configurations sur mesure indispensables pour passer d'une approche globale à la mise en œuvre de véritables fonctions MES.

Lancé pour la première fois il y a quelques années, le logiciel a depuis été installé par les principaux fabricants du monde entier et optimisé sur la base d'un retour d'expérience sur le terrain. Les principaux avantages confirmés par les clients comprennent, d'une part, une productivité et une polyvalence accrues, et une maîtrise optimisée des coûts économiques et environnementaux, d'autre part. 

Source Ziegelindustrie International

Tuile en terre cuite résistant à la grêle

Déclinée en quatre teintes, cette gamme de tuiles panne en terre cuite très grand format pour la rénovation de grandes surfaces de toitures atteint la classe 5 de résistance à la grêle (RG5), ce qui équivaut à une averse avec des grêlons de 5 cm de diamètre. Elle résiste également à la pénétration des eaux pluviales grâce à la technicité de ses emboîtements. Pose à pureau variable de 3 cm. Pente nominale 20° (à partir de 10°).

• Produit : E 58 PLus
• Fabricant : Erlus

Source Le Moniteur

Terreal modernise sa gamme de collecteurs d’eaux pluviales

Terreal lance une nouvelle version perfectionnée de sa gamme de collecteurs d’eau de pluie Obox commercialisée sur le site d’Achard à Lyon (69).

Baptisée "Obox Color", la boîte à eau est proposée en acier thermolaqué et est déclinée en plusieurs coloris pour une touche moderne. Cette amélioration a notamment été rendue possible grâce aux derniers investissements réalisés par le Groupe sur l’usine de Lahera à Mazamet où le produit bénéficie de l’innovation industrielle de la cabine de découpage laser et du thermolaquage inaugurés en 2019. Terreal avait également remis à niveau plusieurs de ses usines en France, et particulièrement en Occitanie où plus de 20 millions d’euros ont été investis, dont 2,2 millions d’euros sur le site de Lahera. Pour répondre à la demande croissante du marché en composants de toiture, la cabine de peinture permet, grâce au thermolaquage, de réduire le temps de séchage des pièces à seulement 1h contre 12h auparavant. La capacité de production est ainsi multipliée par quatre.

Cette technologie apporte également plus de sécurité pour les opérateurs et l’environnement, grâce à l’absence totale de composés organiques volatiles (COV) largement présents dans les peintures industrielles. De son côté, le procédé de découpe laser permet d’obtenir très bon rendu  en termes de finition, sans découpe apparente ni soudures visibles.

La nouvelle boîte à eau Obox Color en acier thermolaqué et aluminium vient compléter la gamme existante Obox en zinc pour répondre aux exigences architecturales et au besoin de personnalisation de ces toitures multifonctions, tant en résidentiel qu’en tertiaire, avec des améliorations comme des soudures invisibles et le laquage intérieur du produit, la  possibilité d’ajouter une ouverture « trop plein » sur demande, le pré-perçage pour la facilité de mise en œuvre, la sortie assemblée par soudure et mastic, ou encore une gamme plus large de coloris.

Source ConstructionCayola

 

Logements collectifs en brique : plus performant, plus économique et plus haut !

Très isolant et économiquement performant, le pack collectif bio’bric est techniquement apte à répondre aux besoins du logement collectif vertical.

Le pack bio’bric : la référence thermique en collectif !

Le traitement efficace des ponts thermiques en logements collectifs, à la jonction des planchers avec la façade et au droit des ouvertures, réduit fortement les déperditions énergétiques. Il empêche les problèmes d’inconfort ainsi que les risques de dégradations éventuelles de la construction, comme l’apparition de condensation et de point froid. Le pack collectif bio’bric, briques et accessoires isolants en terre cuite, assure des bâtiments aux performances homogènes et pérennes. 

La bgv costo th+ est la brique la plus thermique du marché (R = 1.50 m².K/W). Avec l’ajout d’un isolant performant (100 mm de PSEE Th30), elle permet d’atteindre une résistance thermique de la paroi finie qui avoisine R = 5 m².K/W tout en préservant les surfaces habitables : épaisseur du mur totale = 34 cm !

Associée à la planelle d’about de plancher supeRmax (R = 1.70 m².K/W), la correction du pont thermique en about de plancher est excellente : Ψ L9 = 0,26 W/m².K en plancher béton Ep. 20 cm.

Jusqu’à 40 % d’économie sur la partie élévation des murs avec la brique

Ce système constructif est jusqu’à 40 % moins cher sur la partie élévation des murs par rapport à une solution en béton banché.

Naturellement isolante, la brique en terre cuite permet de réduire l’épaisseur de l’isolant jusqu’à 4 cm. Le gain de surface habitable signifie plus de m² vendus pour le promoteur.

La correction du pont thermique en about de plancher, réalisée avec la gamme de planelles isolées, évite de recourir à des rupteurs thermiques d’about de plancher onéreux.

Pour des bâtiments plus haut en brique - Jusqu’à 6 à 7 niveaux !

 NOUVEAU DTU 20.1 et nouvelle méthode de calcul : gagnez 1 étage supplémentaire

En 2020, le DTU 20.1 a fait évoluer sa méthode de dimensionnement pour plus de précision par rapport à la méthode simplifiée des Eurocodes. La nouvelle méthode recalcule à chaque niveau le coefficient d’excentrement des charges. Pour les bâtiments de 3e famille (REI60) et avec des doublages à base de laine de roche, le nouveau DTU 20.1 permet d’obtenir des valeurs de charge admissible supérieures en façade, et donc de gagner en moyenne un étage.

Source : batirama.com

Quatre industriels de l'acier, ciment, brique et isolants dénoncent le "dogme" du bois

Les dirigeants de quatre entreprises d'acier, ciment, brique, isolants s'élèvent contre la nouvelle RE 2020 qui favoriserait "l'intérêt particulier de quelques industriels du bois",

Ces chefs d'entreprise contestent la nouvelle méthode retenue pour l'analyse du cycle de vie (ACV) des produits pour la construction, appelée ACV "dynamique et simplifiée" qui, affirment-ils, a été "établie selon des paramètres empiriques" et "sans étude d'impact".

Selon les signataires de la tribune, "le gouvernement choisit ainsi arbitrairement des paramètres qui avantagent à court terme les produits ayant des émissions notables en fin de vie (tous les produits contenant du carbone comme les plastiques ou le bois)". Cette nouvelle disposition reflète "un dogme selon lequel seul le bois permettrait de réduire l'empreinte carbone", affirment-il.

"Ce dogme est faux. C'est par la complémentarité des matériaux qu'on progressera... pas en les dressant les uns contre les autres", ajoutent-ils. "Si le gouvernement persiste contre toute logique, à imposer l'ACV dynamique simplifiée, nos industries, privées pour certaines de 40% de leur marché, devront fermer des sites", affirment encore les auteurs de la tribune.

Le texte est signé du président d'ArcelorMittal France, Philippe Darmayan, du président du groupe cimentier Vicat, Guy Sidos, du directeur général du fabricant de briques en terre cuite Wienerberger, Frédéric Didier, et du directeur général du fabricant d'isolants Ursa France, Jean-Pierre Laherre.

Source : batirama.com

Italie: La briqueterie ferme pour réduire ses émissions

Tour de l'histoire lié à la briqueterie de Piano Gatta. L'entreprise a annoncé la fermeture de tous les cycles de production (broyage, mélange, séchage et cuisson) d'où proviennent les émissions véhiculées et diffusées dans l'atmosphère, pour une durée d'environ 18 mois à compter du 1er mars 2021. 

En effet, la phase d'arrêt des usines de production, nécessite en moyenne une période présumée d'environ sept jours. 

Ceci a été communiqué par "Laterizi Akragas production Srl": "suite au décret d'inspection du 15 février - disent-ils - prenant acte des exigences, la société procédera à la restructuration des usines pour réduire les émissions de fumée et les mauvaises odeurs". 

À cet égard, une conférence de service est prévue le 9 mars prochain pour remplir toutes les autorisations. Après la protestation des habitants, c'est le député national Michele Sodano qui avait demandé des éclaircissements sur la question pour ramener l'attention sur la question. Le maire Francesco Miccichè s'est également immédiatement intéressé à la question, qui a demandé ces derniers jours à la police forestière, à l'ARPA et au commandement des pompiers de la province de rendre compte de l'inspection conjointe réalisée le 15 février dernier à l'usine. De l'ARPA, ils ont répondu en communiquant que "le 19 février, la société de production Laterizi Akragas srl - Industrie Laterizi - a annoncé la fermeture". «Je suis très satisfait du résultat obtenu - a déclaré le maire Miccichè. Immédiatement après mon inauguration, j'ai pris conscience des émissions de cette usine et en ma double qualité de médecin en charge de la santé publique et de maire, je ne pouvais pas laisser la situation telle qu'elle était. Je suis ensuite allé à l'ARPA à Agrigente pour demander la documentation relative à l'élimination des fumées de l'usine de Laterizi dans le quartier de Piano Gatta et en même temps j'ai lancé un processus de vérification de la situation. J'apprends maintenant que cet engagement a apporté les résultats escomptés. La population et l'environnement ont été sauvegardés. J'espère maintenant que l'entreprise pourra adapter ses installations à la réglementation en vigueur sur la pollution par les fumées et pourra continuer son cycle de production sans nuire à personne ".

«Nous avons montré - commente Michele Sodano - à quel point il est important de surveiller en permanence les problèmes environnementaux qui affectent notre territoire. Je tiens à remercier la communauté qui a donné un grand écho aux initiatives entreprises, la police et l'ARPA d'Agrigente pour le travail nécessaire effectué pour protéger notre écosystème et la santé publique. Reste une question d'importance capitale que je n'ai pas l'intention de laisser en suspens: le Conseil Musumeci doit réactiver immédiatement le laboratoire ARPA d'Agrigente, qui a été démantelé par le ministère de l'Environnement à partir du 15 janvier de cette année. Pour des choix que je ne comprends pas, une unité fondamentale de contrôle environnemental a été supprimée, dont l'absence empêche les garanties fondamentales de sécurité dans toute notre province ». 

Source AgrigentoOggi par Domenico Vecchio 

Tuile solaire de grande taille d'Espagne

Le produit est disponible à la fois avec des cellules solaires monocristallines et CIGS et est considéré comme le plus grand panneau solaire au monde avec des dimensions de 457 x 510 mm.

Tejas Borja fabrique des tuiles à Llíria, Valence, dans le sud-est de l'Espagne, depuis 1899. Son catalogue comprend la tuile Flat-5XL qui, avec des dimensions de 457 x 510 mm et un poids de 6,55 kg, est considéré comme la plus grande tuile terre cuitedans le monde.

Cette tuile est également disponible en version photovoltaïque, le Solar Flat-5XL, qui est un carreau de céramique ultra-plat qui comprend un panneau photovoltaïque verre-verre. Le produit est également équipé d'un couvercle anti-reflet entièrement noir qui permet de dissimuler l'ensemble du système, sans modifier la conception du toit. Les connexions des cellules photovoltaïques sont invisibles afin que leur impact visuel sur le toit soit le minimum possible.

«La tuile normale est déjà une référence mondiale et il n'y a pas de tuile aussi grande sur le marché avec l'intégration solaire», a déclaré le spécialiste R&D de l'entreprise, Miguel Usach, au magazine pv.

Trois versions

Tejas Borja fabrique trois produits BIPV différents. La tuile terre cuite Solar Flat-5XL avec des dimensions de 457 x 510 mm et un poids de 7,5 kg, qui est disponible en deux versions: une tuile monocristalline d'une puissance comprise entre 24,2 Wc et 143,26 Wc / m2; une tuile composée de cellules solaires en cuivre, indium, gallium et sélénium (CIGS) avec une puissance de sortie allant de 17 W à 102 W / m2.

Tejas Borja a expliqué que les cellules solaires sont fournies par deux fabricants non divulgués, l'un basé en Espagne et l'autre opérant à Taiwan. «Pour la première année, nous offrons une garantie de performance de 99% sur la version monocristalline et de 97% sur le CiGS, et au-dessus de 80% pour les 20 prochaines années sur les deux versions», a déclaré Usach. «Le support en céramique a une garantie de 50 ans, comme tous ceux de Tejas Borja.»

Le troisième produit est la tuile Solar Flat-10, également construite avec la technologie CiGS. Elle mesure 457 x 1268 mm, pèse 9,30 kg et dispose de 56 Wc et 123 Wc / m2 de puissance. Elle est faite avec un cadre en aluminium et est fini en couleur noire.

Facile à installer

L'installation électrique des tuiles solaires est réalisée par des connexions aux normes internationales. «Nous conseillons toujours sur la conception et les spécifications de l'installation avec nos produits et nous fournissons aux installateurs le schéma d'installation», a expliqué Usach.

Les tuiles peuvent être facilement déployées en les fixant directement avec des vis sur les bandes de toit, comme toute tuile plate en céramique, à l'intérieur des jupes, sans qu'il soit nécessaire de percer ou de placer des structures supplémentaires, selon l'entreprise. «Cela évite le risque de fuites causées par des erreurs d'exécution ou de maintenance, et assure l'étanchéité et la sécurité, tout en évitant« l'effet de voile »», a déclaré Usach, ajoutant que le toit est recouvert de la céramique de support, qui fournit également thermique et acoustique isolation.

Usach n'a pas révélé de détails sur le prix du produit, qui, selon lui, dépend des caractéristiques d'un projet. Il a ajouté, cependant, qu'il voyait une très bonne acceptation parmi les clients. «Un projet commercial vient d'être réalisé en Belgique et un autre résidentiel à Valence», a déclaré Costina Rusen, responsable marketing de Tejas Borja.

La société affirme également avoir plusieurs grands projets en cours, à la fois dans les secteurs résidentiel et hôtelier, en Amérique latine. 

Source PV Magazine

Tesla : les tuiles solaires arriveraient cette année en Europe et au Canada

Un toit élégant, capable de fournir de l’énergie durablement, robuste et avec une garantie de 25 ans, le tout disponible avant la fin de l’année, voilà ce qu’annonce Elon Musk.

Tesla ne fait pas que des voitures électriques. L’entreprise s’intéresse également à produire l’électricité nécessaire via des cellules photovoltaïques. Néanmoins au lieu de poser simplement des panneaux solaires sur votre toiture, la firme américaine propose de tout simplement transformer le toit en panneau solaire géant.

Déjà disponible aux États-Unis depuis plus d’un an, le toit solaire 3e génération de Tesla devrait être disponible au Canada et en Europe avant la fin de l’année selon un tweet d’Elon Musk en personne. Si l’installation pleine de promesses semble efficace en Californie, le climat du Canada et de l’Europe, notamment du Nord, pourrait être un défi tout autre.

Les promesses d’un toit Tesla

Tesla met beaucoup de points en avant pour son toit solaire. Le fabricant promet un toit élégant, ce qui est facile à vérifier, et dépourvu de la protubérance habituelle d’un panneau solaire. De ce côté-là, le pari est réussi, car de loin, rien ne laisse présager qu’il s’agit d’un panneau solaire géant.

Pour ce qui est de la durabilité, Tesla propose une garantie de 25 ans pour les matériaux et pour l’efficacité. Les tests de résistances effectués montrent une plus grande résistance de la toiture par rapport à des tuiles en terre cuite ou en ardoise. Elles résistent à des vents de plus de 200 km/h et des impacts de grêlons jusqu’à 4,4 cm de diamètre.

Couplée à une batterie de 13,5 kWh, l’installation promet la quasi-indépendance vis-à-vis du réseau électrique. Plus de risque donc de se retrouver sans électricité même si tout le quartier venait à subir une coupure. Du moins sur le papier, car en pratique, il faudra faire le point sur votre consommation et sur la capacité de production de la toiture en fonction de la localisation et l’orientation.

Dernier point, le coût. Si le prix au mètre carré semble similaire à celui d’une installation de panneaux classiques, il faut néanmoins prendre en compte qu’il s’agit de couvrir le toit entier et non une petite surface. L’investissement pouvant être rentable sur une maison neuve, il devient beaucoup moins intéressant dans le cadre d’une rénovation du propre aveu d’Elon Musk.

Est-ce vraiment efficace ?

Dans une interview, une famille californienne fait le bilan 3 mois après l’installation. En changeant quelques habitudes de consommation, la famille explique pouvoir vivre en quasi autarcie électrique. La journée, les panneaux fournissent suffisamment d’électricité pour leur consommation et la nuit, les deux batteries sont capables de restituer suffisamment d’énergie pour maintenir les appareils essentiels comme le réfrigérateur.

Mieux encore, la famille ne s’est rendu compte d’une panne générale d’électricité que parce que l’application leur a notifié que le réseau était défaillant. Cependant, lors de chaleurs plus intenses, la toiture ne se suffit pas à elle-même et les climatisations requièrent le support du réseau classique pour fonctionner. Il est quand même important de rappeler qu’il s’agit de la Californie où le climat est plus favorable à ce genre d’installation qu’en Suède ou au Québec.

Reste à voir dans le temps si le surcoût de la réfection du toit pourra être amorti par les économies réalisées. Mais quand bien même l’équilibre financier serait juste atteint, l’indépendance quasi totale en terme d’énergie ne justifierait-elle pas à elle seule ce genre d’installation ?

Source TomsGuide par ROMAIN "NEMROD" VANDEVELDE

BC materials, briquettes de Bruxelles: des matériaux crus avec les terres de chantier bruxelloises

La brique crue conçue par BC materials avec les terres excavées sur les chantiers bruxellois peut porter les murs de constructions de 2 étages.

Des millions de tonnes de gravats sont extraites chaque année sur les chantiers bruxellois. Une mine d’or: BC materials les réutilise pour fabriquer briques crues, enduit et pisé. Terre en vue pour le circulaire dans un secteur de la construction hyperpolluant? On fait le point à l’occasion du salon Batibouw.

Source L'Avenir par Julien RENSONNET 

Wienerberger: bénéfices et chiffre d'affaires dépassent attentes au Q4

Wienerberger a annoncé quatrième des résultats trimestriels qui ont a dépassé les attentes des analystes ce Jeudi et un chiffre d'affaires qui a surpassé aux prévisions.

La société a affiché un bénéfice par action de €0,41 pour un chiffre d'affaires de €807,8M. Les analystes sondés par Investing.com prévoyaient un BPA de €0,3811 pour un CA de €763,22M.

Les actions Wienerberger lost 100,00% pour s'établir à €28,570 in en pré-ouverture après la publication.

Depuis le début de l'année, les actions Wienerberger sont en hausse de 9%, au-dessus de la performance du STOXX 600 qui est en hausse de 3% depuis le début de l'année.

Source Investing.com