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30/01/2016

Une ancienne tuilerie sauvée de l'abandon par des passionnés à Saint-Amand-en-Puisaye

Jacques Lacheny dans le four tuilier en cours de restauration. - Photo Nicole Czajkowska
Depuis dix ans, des passionnés travaillent à la restauration de l’ancienne tuilerie du hameau de la Chapelle. Les derniers travaux permettent d’admirer la splendeur du lieu. Il y a dix ans, l'ancien potier, Jacques Lacheny et ses amis Daniel Delautre, Jean-Marie Foubert, tous passionnés, profondément attachés au patrimoine, et aux lieux d'activité artisanale, ont décidé d'acquérir l'ancienne tuilerie située au hameau de la Chapelle.
Les partenaires amis ont fondé l'association Écomusée de la Tuilerie de la Chapelle, pour sauvegarder le site et entreprendre la restauration des principaux éléments du bâtiment, en l'occurrence le four et la loge tuilière.
L'occasion aussi « d'identifier ce lieu situé sur le chemin Carriès, à mi-parcours entre Saint-Amand-en-Puisaye et Arquian », rappelle le président Jacques Lacheny.
Laissé aux affres du temps plusieurs décennies durant, le bâtiment abandonné était fortement dégradé, envahi par une végétation dense, de ronces et broussailles. « L'activité a cessé en 1914. Après la guerre, c'est devenu une exploitation agricole », précise Jacques Lacheny.
L'ampleur du chantier titanesque n'a pas découragé les amis associés. Ils ont retroussé les manches, portés par la volonté de faire revivre ce lieu emblématique, lié à l'histoire locale. Une décennie plus tard, le site méconnaissable révèle un tout autre cachet. Les travaux de défrichage ont permis de mettre au jour l'authenticité caractéristique, notamment l'emplacement du four destiné à cuire la production.
La touche finale : une cuisson dans le four tuilier
Les tuiles, briques, et carreaux fabriqués sous la loge avec la terre extraite d'une carrière toute proche. Autant d'éléments utilisés dans la construction locale, comme les petites tuiles de Bourgogne, qui recouvraient, à l'époque, la plupart des habitations de Puisaye.
« Ce four tuilier enterré comporte trois couloirs pour le tirage d'air. Il est bien différent des fours traditionnellement utilisés par les potiers. Deux autres fours semblables sont répertoriés dans la région, l'un à Saint-Verain, l'autre à Treigny », indique Jacques Lacheny. « Le four tuilier, ainsi que la loge, sont des éléments caractéristiques de la richesse patrimoniale locale, qu'il faut sauvegarder ».
Au cours de l'été, les associés ont entrepris la restauration des charpentes de la loge. « Conserver le cachet originel d'une charpente traditionnelle en chêne a nécessité le savoir-faire et les compétences d'intervenants professionnels. Pour ces travaux, nous avons bénéficié du soutien de la Camosine, par le biais d'une subvention de 1.000 € », note le président.
Il reste encore beaucoup à faire pour finaliser un souhait qui lui tient à c'ur : « une cuisson dans le four tuilier ».
Source le JDC par Nicole Czajkowska

29/01/2016

ALGERIE-Tizi Ouzou : Le wali s'engage à développer l'investissement

Le wali de Tizi Ouzou, Brahim Merad, s'est dit prêt à tout faire pour que cette région qui recèle d'importantes potentialités humaines connaisse son essor.
Ainsi, il a assuré que la quasi-totalité des zones industrielles de la wilaya seront dotées de tous les moyens nécessaires pour permettre aux investisseurs de travailler dans un climat favorable. Dans le même contexte, il s'est engagé à multiplier les efforts pour augmenter le nombre de petites et moyennes entreprises (PME-PMI) qui n'est actuellement que de 6,5 entreprises pour 1000 habitants.
Ce qui est au-dessous de la norme internationale de la création des PME qui est estimée de 16 entreprises pour 1000 habitants. Accompagné du nouveau président de l'Assemblée populaire de wilaya nouvellement élu, Mohamed Klalèche, du directeur local de l'Industrie, M. Belbaki, le wali a effectué, mercredi et jeudi, une visite d'inspection dans la commune de Tizi Ouzou.
Le développement économique et industriel de la capitale du Djurdjura était à l'ordre du jour. En se rendant au niveau de la zone industrielle de Tala Athmane, située à une quinzaine de kilomètres à l'est du chef-lieu de wilaya, le chef de l'exécutif s'est montré déçu devant les conditions dans lesquelles exercent les promoteurs qui ont investi dans cette zone. Le manque de la fibre optique et les voies d'accès pour se rendre dans cette zone sont les lacunes qui ont été exposées avec insistance par les investisseurs rencontrés sur place. «Nous devrions encourager ces investisseurs pionniers de la création des richesses et ce, en créant une zone industrielle avec des conditions adéquates afin de leur permettre de travailler sereinement», dira le wali qui s'est engagé à assainir cette zone pour qu'elle ne soit plus transformée en lieu de débauche à ciel ouvert, comme c'est le cas actuellement.
D'après lui, cette situation chaotique est imposée par des acquéreurs de lots de terrain durant les années 1980 pour des motifs d'investissement dans cette zone. Malheureusement, ces personnes sont en train de squatter ces lots de terrain à d'autres fins. Ceci dit, le contrat moral signé avec ces acquéreurs a été «défaillant».
Le wali visiblement déçu, a affiché sa détermination afin de procéder à la récupération de ces lots de terrain. «Il est temps de faire un diagnostic et agir pour identifier les véritables créateurs de richesses. Nous voulons qu'il y ait de la richesse dans notre wilaya et nous n'allons jamais accepter cette pratique de chantage exercée par ces acquéreurs qui ont abandonné leur foncier ou ceux qui les ont transformé en lieux de débauche», a-t-il insisté.
Notons que le wali s'est rendu par cette même occasion au niveau du complexe industriel de détergeant, OSMOS, mis en service en novembre 2014 au niveau de cette zone industrielle de Tala Athmane. Il a aussi visité l'unité de briqueterie Iratni dont la production est estimée à 400 tonnes de briques par jour et l'unité Tizi Plast.
Lors de son intervention, le président de la Chambre locale du commerce et de l'investissement, Ameziane Medjkouh, a affirmé que le taux d'investissement dans la wilaya de Tizi Ouzou est inférieur à la norme universelle. Une estimation due à l'absence d'un climat favorable. Il a sollicité le wali pour accompagner les investisseurs de la région. «Il faut encourager les jeunes entrepreneurs à investir en leur facilitant les procédures, a-t-il préconisé.
Source Le Temps.DZ par Z. C. Hamri

28/01/2016

Brik'Expert : Paille-tech : modules pré fabriqués en paille

Le grand méchant loup aura beau souffler sur ces maisons construites en paille, celles-ci ne s'envoleront pas !

Et pour cause, elles ont été construites avec des panneaux préfabriqués en ballots de paille enduits d'argile.

Un produit innovant qui n'utilise que des matériaux recyclables, sains et naturels.

Source RTBF.be

27/01/2016

Fédération Française des Tuiles et Briques (FFTB): Un don pour le logement très social

La Fédération Française des Tuiles et Briques (FFTB) participe à plusieurs opérations de construction/réhabilitation de logements aux loyers très modestes :
5 logements ( du T1 au T3) à Lardy, dans l’Essonne, ont été inaugurés le 28 septembre en présence des personnalités de la région, de la Fondation Abbé Pierre qui a financé une partie des travaux à travers son programme « Toits d’abord », de l’association « Solidarités Nouvelles pour le Logement Essonne », porteuse du projet et de la FFTB.
Egalement dans l’Essonne, en cours sur l’année 2016, la réhabilitation d’un bâtiment à Auvers-Saint-Georges, afin de créer 7 logements pour des personnes en difficulté.
Enfin, une troisième opération de construction à Lodèves, dans l’Hérault, permettra l’ouverture d’une nouvelle Pension de famille avec l’association ADAGES (Association de Développement d’Animation et de Gestion d’Etablissements Spécialisés). L’inauguration est prévue au deuxième semestre 2016.
Source : Fondation Abbé Pierre

26/01/2016

Chez Aléonard, la famille Saint-Vincent s’agrandit

Digne héritière du savoir-faire séculaire et de l’expertise reconnue d’Aléonard, tuilerie emblématique du groupe Wienerberger, la gamme Saint-Vincent se pare de nouveautés : une forme écaille en plus du format rectangulaire, un format 16 x 24 complétant le classique 16 x 27 et deux nouveaux coloris “Ambre clair” et “Ambre foncé” renforcent la palette chromatique.

La gamme des tuiles Saint-Vincent intègre toute l’expertise Aléonard pour s’adapter parfaitement aux diverses identités régionales. Plébiscitée depuis son lancement par les professionnels de la couverture (prescripteurs comme artisans couvreurs), la tuile Saint-Vincent s’impose comme la référence en tuile plate authentique avec un excellent rapport qualité prix.
La gamme Saint-Vincent se décline donc désormais en coupe rectangulaire, en format 16 x 27 dans les coloris Rouge obscur, Rouge poivré, Rouge ardent, Ambre clair et Ambre foncé ; en format 16 x 24 dans le coloris Rouge obscur ; en coupe écaille, en format 16 x 27 dans les coloris Rouge poivré et Rouge ardent.

Son grain de peau rustique et suranné, son nez de tuile irrégulier et déstructuré subliment les toitures. Le caractère naturel des tuiles Aléonard induisant des teintes nuancées, le panachage des tuiles a été pensé dès la fabrication, pour une pose simplifiée. Conditionnée en mini-paquets facilitant sa mise en place sur la charpente, la tuile Saint-Vincent est dotée de deux tenons pour une pose encore plus facile et deux trous assurant une fixation rapide ; des atouts pour les professionnels couvreurs toujours à la recherche de compétitivité sur leurs chantiers.
Enfin, comme toujours chez Aléonard, l’industriel accompagne les tuiles Saint-Vincent d’une gamme complète d’accessoires pour des finitions irréprochables jusque dans les moindres détails : Faîtière demi-ronde, Faîtière angulaire, Faitière-arêtier demi-ronde à emboîtement (+ fronton et about d’arêtier), Arêtier “tige de botte” (+ about), Cornier (+ about), Rive gauche et droite, Chatière type “passe-barre”, Tuile à douille + Lanterne, Doublis, Tuile et demie, Demi-tuile.
Fondé à Vienne en 1819, Wienerberger est aujourd’hui le 1er briquetier mondial et le 1er tuilier européen. La terre cuite, matériau sain, économique et écologique, répond idéalement aux projets de constructions à haute performance énergétique. Matériaux écoresponsables, les briques et tuiles terre cuite ont une durée de vie minimum de 100 ans. Présent dans 30 pays, Wienerberger emploie plus de 14.800 personnes à travers 204 usines dans le monde. En France, 830 salariés travaillent dans les 10 usines de tuiles et briques détenues par le groupe. Le chiffre d’affaires en 2014 atteint 178 millions d’euros avec 4 marques reconnues : Argeton - Solutions façade, KORAMIC - Solutions toiture et façade, POROTHERM - Solutions mur et TERCA - Solutions façade.

Source Schilling communication

WIENERBERGER Pipelife : dialogue renoué, premiers accords

Après douze heures de réunion, les représentants des salariés ont obtenu « de premières promesses. »

Les négociations entre les salariés de l'usine Pipelife de Déols et leur direction, interrompues le 13 janvier, ont repris jeudi, après la levée de la grève mercredi (NR de jeudi).
Au sortir de douze heures de réunion (de 11 h à 23 h), avec Jean-Louis Varescon, directeur des ressources humaines du groupe Wienerberger, et Gilles Mikolajczak, directeur du site de Déols, Didier Franchault, délégué du personnel s'est félicité d'avoir « obtenu de premières promesses ».
Il faut dire que les représentants syndicaux avaient gardé dans leur manche une carte de poids qu'ils ont jouée jeudi : un courrier de la Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi (Direccte) de l'Eure (où est basé le siège français de l'entreprise) qui reconnaissait « des dysfonctionnements internes, des mesures d'accompagnement trop légères ou encore des catégories professionnelles mal définies, car pas homogènes sur les trois sites », précise Didier Franchault.
Les premiers accords portent sur les formations : « Plutôt que d'allouer un budget pour chaque formation, on les a mutualisées pour qu'il n'y ait pas de plafond. » Autres objets de consensus : « La mise en place d'un point info conseil à Déols », « la présence de représentants dans les commissions de suivi des reclassements » ou encore « les congés de reclassement, définis à douze mois pour les moins de 50 ans et à quinze mois pour les plus de 50 ans ».
Les représentants syndicaux ont désormais rendez-vous les 4, 5 et 6 février, sur le site d'Aubevoye (Eure), siège de l'entreprise, pour une nouvelle réunion de négociation du plan social. Ce sera l'occasion d'aborder les points cruciaux que constituent les primes supra légales et la question de la mobilité pour les salariés reclassés.

Source La Nouvelle République

25/01/2016

TERREAL ROUMAZIERES: LA CGT DÉNONCE "SANCTIONS ET RÉPRESSION"

Un rassemblement était organisé, vendredi midi, devant l’usine de Roumazières à l’initiative d’un délégué syndical qui conteste sa mise à pied.
Alors que Laurent Musy, le P-DG de Terreal, était en visite sur le site de Roumazières-Loubert,vendredi, pour la cérémonie des voeux au personnel, le syndicat CGT a organisé un rassemblement devant l’usine, à 11 heures. Objectif: dénoncer "la répression" subie par les délégués CGT au sein de la tuilerie.
Dernière sanction en date, celle de Laurent Délias, le délégué central. Le 22 novembre dernier, il répond au mail d’un de ses collègues. Une réponse qu’il conclut par une phrase: "Les fesses ouvertes resteront toujours les fesses ouvertes." Une phrase, déclarée dans un cadre privé, qui vise le syndicat FO, dit-il. Problème: la responsable des ressources humaines reçoit le mail en copie. "Au lieu de faire “répondre”, j’ai fait “répondre à tous”", regrette Laurent Délias.
Le mail est transféré à la direction, qui estime que la phrase en question s’adresse à elle. "Des propos jugés inadmissibles, irrespectueux. On ne peut pas accepter ça", affirme le directeur du site, Bruno Hocdé. Résultat: une mise à pied de trois jours pour Laurent Délias, qui a décidé de contester la sanction. Il a saisi les prud’hommes pour harcèlement moral et pour discrimination salariale et syndicale.
"Je suis le quatrième de la CGT à être sanctionné depuis que ce directeur est là", indique-t-il, avec l’amère impression qu’il s’agit "de vengeance anti-CGT". "Un collègue CFDT d’un autre site a traité une cadre de “trou du cul” et il n’a eu qu’une mise à pied d’un jour."
"Pas de discrimination"
Selon Laurent Délias, "le directeur n’apprécie pas nos actions syndicales". Il cite "la bataille pour faire reconnaître le suicide d’un collègue comme accident du travail", en 2014. "On a aussi bataillé, l’an dernier, pour une collègue qui avait été agressée sexuellement au sein de l’usine. L’accident du travail a été reconnu." Sans oublier la saisine des prud’hommes, en novembre, pour obtenir une prime d’habillage. "La CGT n’est pas majoritaire dans l’entreprise. Mais on est les seuls à monter au créneau", poursuit le délégué central.
Vendredi, autour de lui, des responsables du syndicat, mais aussi des membres du Parti communiste. Une quarantaine de personnes qui sont venues dénoncer "des abus". "Quand on voit ce qui se passe ailleurs, à Air France, Goodyear…"
Une répression dont se défend Bruno Hocdé. "Nous sommes ouverts au dialogue, assure-t-il. Mais il y a des syndicats qui ne cherchent pas à venir discuter." La CGT en est, selon lui. "Il n’y a pas chez nous, de discrimination entre les syndicats", poursuit-t-il, précisant que "des élus FO ont peut-être été sanctionnés. Ce sont des gens qui font des écarts qui sont sanctionnés."
Source la Charene Libre par Julie PASQUIER, photo Renaud Joubert

24/01/2016

Madagascar: L’utilisation des briques cuites encouragées par l’État

Les Malgaches connaissent bien, et depuis fort longtemps, l’utilisation de la terre comme matériau de construction. C’est à l’Anglais Cameron qu’on doit, dès 1829, l’utilisation de briques d’argile séchées au soleil. Elle est assemblée par un mortier traité superficiellement par fouettage d’herbes ou badigeonnage de lait de chaux.
L’élaboration de la pâte d’argile servant à la fabrication des briques, reste la même que celle de la terre à bâtir. Les premières constructions de briques crues comportent des pièces de bois pour les éléments horizontaux (linteaux, planchers) et pour les piliers de véranda. La brique crue se combinera très vite à la brique cuite dès son apparition, mais elle reste cependant un matériau de base très économique.
Bien que ce procédé donne de bons résultats sur la qualité de la cuisson, il est abandonné au profit de la technique hollandaise qui, si elle donne des qualités de cuisson très irrégulière, permet un rendement très supérieur. « Il reste aujourd’hui quelques rares exemplaires du four à la française, implantés près de riches résidents dans les environs de Tananarive. Il est aussi à noter que la technique de cuisson des briques entraînera la fabrication de tuiles du type écaille, tuiles qui remplaceront jusqu’à l’arrivée de la tôle ondulée, ces couvertures de chaume et les rares couvertures de bois réservées aux palais et riches demeures » (Jean-Pierre Testa, École nationale supérieure des Beaux-arts de Paris, 1971). La technique hollandaise qui doit se généraliser vers la fin du XIXe siècle, remplaçant définitivement la technique introduite par Jean Laborde, reste très largement utilisée de nos jours. « On peut toujours voir en saison sèche dans les rizières, d’importants troncs de pyramides laissant échapper des filets de fumée qui en indiquent le fonctionnement.» Ces fours sont constitués par les mêmes briques crues destinées à la cuisson. La base de la pyramide comporte un certain nombre de foyers qui sont remplis de bois. Les briquetiers continuent ensuite la construction avec les briques crues préalablement séchées au soleil. Elles sont disposées de manière à ce que la flamme soit divisée et répartie au maximum, dans le corps de la pyramide. La partie supérieure est recouverte de terre et les parois enduites de terre.
Cette fabrication reste l’apanage d’un artisanat encore très actif. La qualité des produits est en régression à cause de l’important marché actuel, certains constructeurs soucieux d’une certaine régularité géométrique des briques, fournissent les moules métalliques. La dimension est généralement de 10x10x21cm. À l’époque, l’Administration encourage, pour les marchés publics dans les opérations d’habitation, l’emploi de ce matériau typiquement local.
L’utilisation de la brique cuite, dès son apparition au XIXe siècle, va se généraliser, combinée à la brique crue. Employée seule ou avec la pierre, elle va être l’élément essentiel qui donnera à l’habitation son caractère original. « Employée de façon audacieuse, elle rentrera dans la composition de tous les éléments de l’habitation, voûtes, piliers, cheminées, porches. »
La pierre, par tradition réservée à l’érection des tombeaux, des fortifications, murs ou portes à disque, sera utilisée pour la première fois, de façon artistique par Jean Laborde, pour la construction du mausolée du Premier ministre Rainiharo en 1835. L’interdiction de bâtir une habitation en pierre dans le Rova pour les castes nobles, retardera son emploi. Les premiers missionnaires en feront des temples et églises.
Ce n’est qu’en 1869 que Ranavalona II se convertissant au christianisme, abolit la vieille loi instaurée par Andrianampoinimerina et fait revêtir de pierre, par Cameron, le Palais de bois de Manjakamiadana, construit en 1840 par Jean Laborde. La pierre acquiert alors son titre de noblesse et devient le matériau de choix utilisé pour les nombreux piliers à chapiteau lotuforme soutenant les vérandas des riches demeures bourgeoises. Tout un art va naître, composé de divers apports, indiens, grecs, selon le modèle et l’utilisateur. Avec l’avènement de Ranavalona II, une très importante décision royale libèrera la ville de son obligation qui date d’Andrianampoini­merina de construire des maisons uniquement en bois. La reine, en même temps qu’elle devient chrétienne, décide de faire construire un temple dans l’enceinte du Rova, mais pour cela, il lui faut lever l’interdit sur l’habitat. « La pierre et la brique transforment de façon radicale, l’aspect de la ville en quelques décennies. » L’habitat traditionnel disparaît rapidement à leur profit. Cameron qui, déjà depuis longtemps, construit à Antana­narivo, va à son retour d’Afrique du Sud, édifier des maisons d’un style qui demeure employé jusqu’à la moitié du XXe siècle. Selon qu’elle est construite par un riche ou moins riche, elle va comprendre plus ou moins de pièces, mais la distribution restera la même.
Pool, lui, créera un style plus spécialement réservé pour les maisons des dignitaires et des gens riches. La pierre et la brique sont employées de façon plus judicieuse, la sculpture plus abondante forme de véritables guirlandes de pierre, la cheminée en croupe de toiture permet d’identifier les maisons initiées par cet architecte. En tout cas, Antananarivo devient une ville moderne.
Source L'Express Madagascar par Pela Ravalitera

Un chantier exemplaire pour le nouveau four CLEIA à Achenheim

Le groupe Wienerberger a choisi CLEIA pour la transformation complète de son ancien four à joint d’eau en un four à joint de sable sur le site d’Achenheim.

L’opération de démontage du four s’est déroulée dans des conditions complexes et particulières.
En effet, le personnel habilité pour ce chantier 'Fibres' a nécessité la mise en place d'équipements spécifiques au contact de matériaux nocifs et dangereux. Grâce à l'expertise et au professionnalisme des équipes intervenues sur site, ce chantier s'est parfaitement déroulé et le service d'inspection a qualifié la sécurité mise en place par CLEIA « d’exemplaire ».
Au travers de ce chantier et des derniers développements spécialement conçus par CLEIA, ce projet revêt également un caractère exceptionnel pour le respect de l’environnement en apportant une réduction significative de la consommation d’énergie.

Source CLEIA

23/01/2016

UNE HISTOIRE À 100 BRIQUES

Une petite partie des briques octogénaires découvertes par Fortunes de Mer en baie de Sainte-Marie a été remontéeà la surface début janvier. La famille Creugnet, dont l’aïeul dirigeait à l’époque la briquèterie du Vallon-Dore, a pu les récupérer.
Source Les Nouvelles Calédoniennes

Anciennes briqueteries de Nouvelle Calédonie
C’est au Vallon-Dore que l’on peut encore voir les vestiges d’anciennes installations consacrées à la fabrication de briques en argile. Cette activité, longtemps favorable à la commune du Mont-Dore, a débuté dans les années 1870 pour s’arrêter dans les années 1930 et reprendre 20 ans plus tard.
Draghiceviz Gerolimo est celui qui lance véritablement ce secteur industriel en lançant la première briqueterie du Vallon-Dore, fournissant ainsi la matière première nécessaire à l’édification des anciennes maisons. D’autres rejoignent ensuite le marché à l’image d’Albert Varin, d’Ernest Creugnet ou plus récemment d'Henri Lafleur qui créa sa propre usine en 1953.

Source Province du Sud

22/01/2016

ALGERIE-Matériaux de construction : les raisons de la flambée des prix

Les matériaux de construction, particulièrement le ciment et le rond à béton, n’ont pas été épargné par la flambée des prix. Quelques jours seulement après l’entrée en vigueur des nouvelles tarifications contenues dans la loi de finance 2016, les prix de ces produits a augmenté de 20 à 30%.
Le ministre du commerce, Bekhti Belaïb, avance d’autres facteurs qui ont accentué cette envolée des prix. Il s’agit de «la mise en application des licences d'importation ainsi que l'arrêt technique de trois cimenteries».
Voulant rassurer le premier responsable du secteur du commerce annonce que les prix vont se stabiliser dans les prochains jours avec la reprise des importations et de la production.
Ce qui ne rassure pas totalement les professionnels des BTP, qui redoutent une augmentation structurelle des prix, accentuée par la dévaluation du dinar et l’augmentation des coûts de production. D’après le quotidien d’information «Liberté», plusieurs entrepreneurs du bâtiment «envisagent de changer d’activité».

Source Radio Algérie

21/01/2016

Matériaux de construction : légère amélioration en vue ?

En ce début d’année 2016, le marché des matériaux semble sortir doucement de sa longue léthargie.

Après un premier semestre et un été catastrophiques, la tendance de l’activité semble s’être stabilisée, voire légèrement redressée ces derniers mois.

Certes, le niveau des volumes de production demeure très bas au regard du passé, mais le mouvement de chute constaté sur une bonne partie de l’année 2015 est désormais maîtrisé pour laisser place à une inflexion graduelle des livraisons.

Si ce mouvement est appelé à se confirmer dans les prochains mois, son rythme devrait toutefois rester modeste au vu des perspectives retenues pour le marché de la construction en 2016.
Le bâtiment, soutenu par une certaine reprise dans le segment du logement, resterait encore pénalisé par une mauvaise orientation conjoncturelle des locaux non résidentiels.

Quant aux travaux publics, ils pâtiront encore d’une faiblesse de la commande publique et d’un repli des investissements des collectivités locales lié aux pesanteurs politiques et budgétaires.
Après un repli de la production de – 4,4 % en 2014, le marché des granulats devrait enregistrer une nouvelle chute de – 8 % en 2015 et de – 1 % cette année. Quant au marché du BPE, après une contraction de – 4,6 % en 2014, la baisse atteindrait – 6 % en 2015 avant un timide redressement en 2016 (+1 %).

Source TP News

20/01/2016

Les briques en papier signées BetR-blok

BetR-blok est une start-up américaine qui a basé son activité sur la conception de briques à partir de ciment et de cellulose provenant de papier et de carton recyclés. Les briques ne présenteraient aucun souci de solidité, et seraient même de très bons isolants thermique et acoustique, tout en présentant une résistance aux moisissures et au feu.
Mais l’argument de poids, c’est leur vertu écologique. Comme l’assurent les concepteurs du projet, « avec le papier gaspillé chaque année aux États-Unis, on pourrait construire un mur de 15 mètres de haut tout autour du pays ».

Source Techniques de l'ingénieur

19/01/2016

Offre d'emploi: Technicien Pièces de Rechange Industriel H/F

Pour continuer son développement en France et à l'international, notre groupe recherche, pour sa filiale française Fimec Technologies, son Technicien Pièces de Rechange Industriel H/F.
FIMEC Technologies est une filiale du groupe Materials Technologies. Expert en conception, fabrication, installation et mise en route d'équipements et d'usines clés en main pour la production de matériaux de construction.
Le groupe emploie 190 collaborateurs pour 30 M€ de chiffre d'affaire.
Ses principaux axes stratégiques sont l'internationalisation (filiale au Brésil...) et l'innovation (diversification des équipements, cœur de métier à étoffer).

Description du poste :
Rattaché(e) au responsable des achats, vous aurez comme principales missions :

  • Recueillir les références nécessaires en amont de la livraison des systèmes en collaboration avec le service achats, le bureau d'études et les autres services connexes.
  • Identifier les références et les volumes requis pour les pièces d'usure mentionnées dans les contrats commerciaux.
  • S'appuyer sur les standards de consommation dans le cadre des utilisations connues des clients, au-delà du périmètre contractuel.
  • Formaliser le catalogue de pièces de rechange, par système mécanique.
  • Saisir les nomenclatures dans le système d'information.
  • Assurer le suivi qualitatif des pièces pour la validation de leur adéquation et de leur cotation du fournisseur.
  • Etre en relation avec les clients pour résoudre les problématiques spécifiques de pièces de rechange et proposer, en lien avec le BE, des solutions alternatives en cas d'impossibilité de fournitures de pièces ou d'optimum économique.
  • Assurer un reporting de votre activité.

Profil :
Issu(e) d'une formation Bac +2/3 spécialisée en mécanique ou maintenance (de type DUT GMP, BTS IPM, BTS MI, DUT GIM ou équivalent), vous justifiez d'au moins 5 ans d'expérience dans des fonctions de maintenance, SAV, ou de méthodes dans le domaine de la mécanique industrielle ou de la métallurgie.
Un sens du service au client, la capacité de travailler en équipe, le sens de l'organisation et de la communication, la rigueur ainsi que la capacité d'adaptation sont les qualités que devra posséder notre Technicien Pièces de Rechange Industriel H/F afin d'accompagner le développement et garantir la réussite de notre entreprise.
Localisation: Le Pin-en-Mauges - 49
Contrat: CDI - Temps partiel
Société: Fimec Technologies

Source: Ouest Job

18/01/2016

Un dégradé de terre cuite TERREAL pour habiller les façades de la Maison du Bâtiment d’Olivet (45)

Véritable projet « vitrine » pour les architectes qui l’ont imaginée, la Maison du Bâtiment située dans la ZAC du Moulin à Olivet se devait de répondre aux objectifs BEPOS (Bâtiment à énergie positive).


Grâce à des volumes simples, légèrement décollés du sol et un bardage en terre cuite à joints horizontaux à recouvrement, la Maison du bâtiment allie modernité et haute performance thermique.

Cinq teintes et trois épidermes pour une façade aux couleurs progressives 
Sur trois niveaux, la Maison du Bâtiment est constituée de deux parallélépipèdes rectangles glissant l’un sur l’autre selon l’axe est-ouest.
Le niveau d’accueil est légèrement surélevé pour permettre un éclairage naturel du parc de stationnement en sous-sol.

Pour mettre en scène les faces du bâtiment, les architectes ont choisi très tôt le bardage terre cuite Piterak® de TERREAL dans une longueur de 1,52 m.
Pour obtenir un effet d’éclaircissement progressif, six teintes (Ton Pierre, Champagne, Rouge, Rouge-Orangé, Violine et Brun Chocolat) ainsi que trois épidermes (sablé en partie basse, lisse et quelques touches émaillées en partie haut) ont été sélectionnés.

Des brise-soleil assurent le contrôle solaire à l’est et au sud.
Ils sont de deux types afin d’apporter un effet contrasté au bâtiment : soit des baguettes de terre cuite de section carrée, modèle Autan® de TERREAL, économique et modulable ; soit des larges baguettes rectangulaires de modèle Zonda® XL inclinés à 45°.

Martin Lavaux, architecte associé de l’Atelier Poinville, souligne : 
« Le bâtiment s’inscrit dans un parc d’activités tertiaires, dont le cahier des charges est très exigeant en termes de qualité environnementale et architecturale.
Nous avons voulu que ses faces les plus vues, la façade sud et les pignons, soient spectaculaires.
Le choix d’un bardeau de terre cuite s’est imposé comme étant une mise en œuvre ultra contemporaine et sophistiquée d’un matériau simple et intemporel.
Enfin, il nous paraissait important de mettre en avant le savoir-faire des entreprises adhérentes de la Fédération Française du Bâtiment du Loiret. »

La construction d’un bâtiment à énergie positive
Prétendre au label BEPOS exigeait une réduction drastique des consommations d’énergie, d’où l’attention portée à la conception bioclimatique. L’isolation thermique par l’extérieur est assurée par 160 mm de laine minérale TH32.
Elle permet de supprimer les ponts thermiques au niveau des murs de refend et des abouts de dalles. De plus, le contrôle des apports solaires et le système de forte ventilation nocturne garantissent un confort d’été sans dépense d’énergie.
Enfin, pour produire 110 % de l’énergie qu’elle consomme, la Maison du Bâtiment est équipée d’une pompe à chaleur géothermique sur nappe et d’une surface importante de capteurs photovoltaïques polycristallins intégrés sur la toiture terrasse et sur certains brise-soleil.

Caractéristiques techniques

  • Programme : Immeuble de bureaux à Énergie Positive 
  • Lieu : ZAC du Moulin à Olivet (45) 
  • Architectes : Vaconsin-Mazaud (architectes mandataires), Atelier Poinville (architectes associés), Aetic (BET HQE) 
  • Maître d’ouvrage : Fédération Française du Bâtiment du Loiret 
  • Livraison : septembre 2014 
  • Surface utile : 1 650 m2 
  • Entreprise de pose – Façadier : Ets Metz à Orléans (45) 
  • Produits TERREAL : Bardage Piterak®, Brise-soleil Autan® et Zonda® XL Couleurs : Ton Pierre, Champagne, Rouge, Rouge-Orangé, Violine, Brun Chocolat Crédits photos : © Olivier Brunet – TERREAL 


Source Wellcom Presse

17/01/2016

ALGERIE-Logement : les promoteurs réclament une hausse des prix

ALORS QUE 110 000 SUR LES 150 000 UNITÉS LSP SONT “EN COURS DE LIVRAISON”
Face à l’envolée des prix des matériaux de construction, les promoteurs enregistrent, selon eux, des pertes sèches et réclament une revalorisation à plus de 4,2 millions de dinars. À défaut, ils menacent d’arrêter carrément d’accompagner les programmes de réalisation.
Beaucoup de choses ont été dites hier à l’occasion du 1er congrès de la toute jeune Organisation nationale des promoteurs immobiliers (Onpi) qui a obtenu son agrément le 5 novembre dernier. Hier, à l’hôtel El-Aurassi, en prenant à témoin les représentants de Sellal et ceux du ministère de l’Habitat, les représentants des promoteurs immobiliers ont saisi l’occasion pour remettre les pendules à l’heure en servant pas mal de vérités.
Houria Bouhired, SG de l’Onpi, pour sa part, n’a pas mâché ses mots pour décrire une situation peu reluisante en indiquant, en marge de la rencontre, que “110 000 unités sur les 150 000 inscrites aux programmes de logements socioparticipatifs (LSP) sont en cours de livraison” et réclame “la hausse du prix du logement à 4,2 millions de dinars au lieu des 2,8 fixés initialement pour les logements LSP (selon un cahier des charges)”. Face à l’envolée des prix des matériaux, les promoteurs enregistrent, selon elle, des pertes sèches qui les ont amenés à vendre les commerces pour rentrer dans leurs frais. “Nous ne pouvons pas continuer sur cette lancée. Si les prix ne sont pas révisés à la hausse, nous arrêterons les travaux”, a-t-elle menacé au grand dam des souscripteurs dont l’attente a été très longue pour se retrouver aujourd’hui confrontés à cette réalité amère. Bouhired argumente que “la responsabilité des retards n’incombe pas au seul promoteur et relève aussi de la gestion des dossiers” en expliquant que “la prise en charge ne devrait pas être du ressort du promoteur pour ce qui est de compléter les dossiers des candidats désignés par l’administration, d’arbitrer les divorces, de certifier les décès, de déjouer les fraudes, etc”.
Elle réclame, à ce titre, “la création d’une structure intermédiaire entre le promoteur et l’administration” et n’omet pas, au passage, de titiller quelque peu la corporation en plaidant pour “une meilleure organisation, notamment sur le chapitre planification inhérente aux inscriptions des opérations de VRD”.
Sur un autre registre, Bouhired est revenue sur l’État de nos villes, parle de l’absence d’entretien et du rôle inefficient du “syndic” pour poser un problème de fond : celui de la copropriété.
“Il n’y a pas de statistiques sur la demande réelle en logement”
“Au jour d’aujourd’hui, il existe un million de logements inoccupés, des logements sociaux attribués à des non-nécessiteux en plus de la corruption et des passe-droits dans la distribution des logements sociaux, l’envolée des prix des loyers, faiblesse des politiques de suivi, souffrance des Algériens pour accéder à un logement convenable, développement du marché noir, absence de statistiques sur la demande réelle en logement, etc.” C’est en ces termes que M’hamed Sahraoui, président de l’Onpi, décline les questions liées à la crise d’accès au logement en Algérie en assurant que “prendre le programme de la promotion immobilière à bras-le-corps nécessite une exigence de vérité sur une multitude de points qui, jusqu’ici, n’ont pas été tranchés”. Il rappellera au passage que “le prix de réalisation du logement aidé n’a pas évolué depuis huit ans” et plaide pour l’amorce d’une réflexion pour pallier les dysfonctionnements, à plus forte raison que les programmes de logement, à l’exception du promotionnel libre, sont à 90% détenus par l’État.
Il serait, à son avis, “judicieux d’orienter des réflexions sur les relations avec les banques et la caisse nationale du logement” et revendique le statut “d’opérateur économique” à part entière. L’activité semble, contre toute attente, appelée à mieux se développer et à connaître son heure de gloire, puisque l’État revient — crise oblige — à de meilleurs sentiments à l’égard des promoteurs immobiliers.
Il est annoncé, en ce sens, la préparation d’un arrêté qui fixera les modalités de concessions convertibles en cession pour les terrains relevant du domaine privé de l’État au profit des opérations de promotions commerciales libres.
Source: Liberté Algérie par Nabila Saïdoun

16/01/2016

GUYANA: The clay brick factory was also a failed Chinese project

Dear Editor,
With the Skeldon factory mentioned again in the newspaper, I was musing over similar experiences shared by Mr Burnham and Mr Jagdeo with regard to failed projects built by Chinese contractors.
Three or four years ago a friend and I visited the now defunct clay brick factory in West Demerara. The complex consisted of offices made of clay brick and several impressively long and wide open-sided greenheart framed sheds with corrugated metal roofs. The buildings all seemed in good condition in spite of the little or no maintenance they received since the factory closed its gates more than thirty years ago.
One shed contained the collapsed main kiln and littered around was what seemed to be nineteenth century vintage machinery layered with rust. Standing next to the shed was a trestle mounted rusted-out steel tank, which convinced me that the tank was made of the same inferior quality steel that was used to manufacture the machinery.
In hindsight I now realize it must have been a challenge for management, cursed with such an inferior and archaic plant to keep the factory running economically, and not surprisingly it closed long before it was supposed to. To this day you can hear the ‘gaff’ along Canal Polder 2 road: “Burnham put square peg in round hole to run clay brick factory.” No doubt Burnham knew who took on the square pegs, but being the gentleman he was, he kept silent about this.
Fast forward to Mr Jagdeo and the Skeldon sugar factory. Well Mr Jagdeo, being no gentleman squarely put the blame for the failure of the factory on the designers, the contractors as well as those who came after to try and clean up the mess. Like Burnham, Jagdeo knows he was taken for a ride, but unlike Burnham, he made and keeps making a lot of noise about it.
This should be a warning to all subsequent presidents when dealing with Chinese contractors. One contractor built us a hotel which like the Skeldon factory has faults, so that Chinese are still knocking around the site in Kingston trying to rectify this, that and the other. Presently there is a second company stripping our land of its timber resources. Then there is a third working at Timehri airport.
Yours faithfully,
Edward Gonsalves

Source: The Stabroek News

15/01/2016

Braas Monier closes acquisition of J.A. Plastindustri A/S

Braas Monier  closed the acquisition of Danish J.A. Plastindustri A/S (J.A. Plast). J.A. Plast’s product range covers components for roofing materials such as tiles, metal, fibre cement and asphalt shingles. It focuses on sanitary and roof space ventilation, skylights and complementary accessories such as flashings, end pieces and special vents. As a pure OEM producer, J.A. Plast has more than 40 years of experience in the production of customised roofing accessories, providing premium product quality and offers a high degree of flexibility. The acquisition was financed from free cash flow.
About Braas Monier
Braas Monier Building Group is a leading manufacturer and supplier of pitched roof products in Europe, parts of Asia and South Africa. The Group covers all steps of the manufacturing process, offering a comprehensive range of concrete and clay tiles for pitched roofs and is one of the few suppliers to also manufacture and sell complementary roofing components designed to cover various functional aspects of pitched roof construction. The portfolio also includes ceramic and steel chimneys and energy system solutions. Braas Monier had operations in 37 countries and 115 production facilities and employed around 7,600 people as at 30 June 2015. The Company is headquartered in Luxembourg.
Source: Braas Monier Building Group

14/01/2016

Imerys : une année 2016 plus difficile que prévu ?

Les anticipations de progression de près de 9% du bénéfice en 2016 et de 11% pour 2017 pourrait s'avérer un peu trop optimistes pour Imerys.Les anticipations de progression de près de 9% du bénéfice en 2016 et de 11% pour 2017 pourrait s'avérer un peu trop optimistes pour Imerys. Getty Images/iStockphoto/ziquiu Le leader mondial des spécialités minérales pour l'industrie Imerys vient d'essuyer une année de sous-performance. Le groupe devrait compenser la décroissance organique de ses activités par des opérations de croissance externe.
L'action Imerys apparait en tête du palmarès des plus fortes baisses de l'indice SBF 120 depuis le début de cette année, avec un repli de près de 6% faisant suite à une année de sous-performance en 2015. Le leader mondial des spécialités minérales pour l'industrie paie sans doute son exposition aux marchés de l'énergie qui représentent près du tiers de son chiffre d'affaires. L'activité de solutions pour l'exploitation pétrolière subit notamment le fort repli du marché des proppants céramiques aux Etats-Unis. Au cours des neuf premiers mois de l'année 2015, le pôle solutions pour l'énergie et spécialités accusait déjà une baisse de 6% à périmètre et taux de changes constants et cette tendance pourrait malheureusement se prolonger au vu de l'évolution récente des cours du pétrole qui freine l'exploitation du pétrole de schiste outre-Atlantique.
Mais le groupe souffre aussi dans ses autres métiers, notamment les matériaux céramiques (-4,1% sur les 9 premiers mois de 2015 à données comparables) qui pâtissent de la faiblesse des marchés de la construction en France et du papier en Amérique du Nord. Difficultés également pour le pôle minéraux haute résistance (-7,2%), plombé par le recul du marché des réfractaires. Si une embellie peut être espérée cette année sur le marché de la construction en France, les autres activités d'Imerys pourraient continuer de souffrir d'une conjoncture générale plus faible que prévu, notamment au regard des dernières statistiques en provenance de Chine où le dernier indice des directeurs d'achat du secteur manufacturier pour le mois de décembre s'est révélé très préoccupant.
Au regard de ces éléments, les anticipations de progression de près de 9% du bénéfice en 2016 et de 11% pour 2017 pourraient s'avérer un peu trop optimistes même si le groupe va profiter d'une amélioration de ses prix et récolter les fruits de ses mesures de gestion qui ont permis de réduire les coûts variables de 16,5 millions d'euros et les coûts de production ainsi que les frais généraux de 6,1 millions d'euros sur les 9 premiers mois de 2015. L'intégration de S&B, le leader européen de la bentonite (liants pour la fonderie) devrait aussi donner lieu à des synergies.
Mais pour rester sur le chemin de la croissance, Imerys devra sans doute compenser la décroissance organique de ses activités par des opérations de croissance externe. Le groupe a récemment finalisé l'acquisition de la division carbonate de calcium précipité de Solvay et de l'activité de kaolin hydraté de BASF aux Etats-Unis. Il vient aussi de reprendre la société Profimo (profilés métalliques) qui lui permet d'élargir son offre sur le marché de la toiture en France. Mais attention, suite au rachat de S&B, l'endettement net est remonté à 1,6 milliard d'euros et représente un peu plus de 50% des fonds propres. La bonne génération de cash devrait toutefois favoriser une diminution du ratio d'endettement.
Même si les estimations de bénéfice sont à risque, Imerys affiche des multiples de capitalisation raisonnables de 13,2 fois et 12 fois les profits attendus pour 2016 et 2017. Une bonne partie des mauvaises nouvelles paraît intégrée dans les cours. Nous restons plutôt positifs sur le dossier.
Les plus et les moins du dossier :
+ Un groupe bien géré
+ Des marges élevées et une bonne génération de cash
- Une dépendance au secteur de l'énergie

Source: L'Express Votre Argent

13/01/2016

HISTOIRE DE L'ENTREPRISE PELERIN À SOISSONS

Lien vers un blog dédié à l'histoire du fabricant de machines de préparation des terres PELERIN à SOISSONS:

La brique en terre crue, un matériau d'avenir ?

Une entreprise toulousaine remet au goût du jour un matériau millénaire : la terre crue. Elle propose des briques compressées, qui associent terre et adjuvants, pour apporter de l'inertie thermique dans les constructions durables.
La terre est utilisée depuis l'aube de l'humanité pour construire des habitations. La brique de terre compressée est apparue, quant à elle, à la fin du 18e siècle, grâce à un Français, Jean-François Cointeraux, promoteur du "nouveau pisé", en utilisant un… pressoir à vin modifié. C'est lui qui reconstruit la ville de La Roche-sur-Yon (Vendée), entre 1804 et 1808, qui avait été détruite pendant la Révolution. A nouveau, des entrepreneurs français se penchent sur cette solution constructive : la société Meco Concept remet au goût du jour la technique de production en la mécanisant et en ajoutant du liant à la terre, afin d'obtenir des blocs mécaniquement solides et homogènes en termes de dimensions. Thierry Perrocheau, le fondateur, nous explique : "Le projet a démarré en 2006, avec la demande d'un architecte qui recherchait une solution pour de l'habitat alternatif au parpaing. La brique de terre crue était produite par des entreprises belge et sud-africaine, mais leurs produits présentaient des défauts".
En 2008, il créé Meco Concept, afin de produire les machines de fabrication des briques. "Ce qui nous différencie, c'est d'abord la forme de ces briques, qui sont comme des Lego® et qui peuvent donc, sous certaines conditions, s'emboîter à sec", nous précise-t-il. Deuxième différence, la possibilité d'alimenter les machines avec un "générateur solaire" (des panneaux solaires ambulants) afin de réduire au maximum l'empreinte carbone de la solution constructive. "La consommation est divisée par 10", assure-t-il, diminuant également la facture. "De plus, nos machines travaillent à l'optimum de la terre sélectionnée, de façon à ce que la quantité d'eau contenue soit toujours de 15 %", poursuit Thierry Perrocheau. Afin de parvenir à la meilleure qualité de brique, une analyse préalable de la terre s'avère nécessaire, et nécessite environ 5 jours, compte tenu des temps de séchage. Mais la prise en main des outils est rapide : "Les gens sont opérationnels en une journée seulement et parviennent à produire des briques de qualité professionnelle. En fait, notre procédé est moins dépendant des compétences de l'opérateur".
Murs porteurs, façades extérieures ou cloisons
Une fois prêtes, les briques peuvent servir à monter des murs porteurs - comme cela se fait en Afrique avec des R+2 car la réglementation est moins draconienne - à remplir des structures poteaux-poutres, ou à réaliser des cloisons à l'intérieur de bâtiments bois notamment. "Elles apportent de l'inertie thermique et de la régulation hydrique, ce qui améliore la performance d'une maison et un air plus sain", détaille le fondateur de Meco Concept. Plus d'une cinquantaine de maisons disposent de murs, de cloisons ou de colonnes d'inertie en brique de terre crue, en France. "Pour les particuliers ou artisans qui veulent en acheter directement plutôt que d'investir plus lourdement dans le matériel de production, nous avons mis en place le réseau Briquethic avec des entreprises partenaires qui disposent de nos machines", évoque Thierry Perrocheau. En Afrique, terre d'élection pour le pisé, l'entreprise est en pourparlers avec de nombreux pays, dont le Gabon, la Côte d'Ivoire, le Soudan du Sud ou le Cameroun. "Le plus gros de ces projets concerne la construction de 12.000 logements", nous avoue le fondateur, "il s'agit de l'aménagement de quartiers pour des fonctionnaires et classes moyennes émergentes".
Dernière utilisation possible : la rénovation patrimoniale. La société Lefèvre a opté pour la brique de terre crue afin de restaurer les murs extérieurs de la contre-garde de la citadelle Vauban de Lille, classée au Patrimoine Mondial. Ubiquitaire, naturelle et économique, la brique de terre crue convaincra-t-elle toujours plus de constructeurs à l'avenir ?
Composition de la brique de terre crue :
Elle est composée de terre non végétale, comprenant du gravier, du sable et des éléments fins (limons, argiles à 20 ou 30 %), à laquelle est ajoutée un agrégat liant (ciment ou chaux). L'ensemble est placé dans une presse mécanique, hydraulique ou pneumatique, sous une pression de 26 à 46 kg/cm² pour être stabilisée et mise en forme. Environ 180 briques peuvent être produites par heure avec une machine.
L'argile assure la cohésion de la matière en formant des strates. Les liants, quant à eux, permettent d'éviter le phénomène de rétractation ou de gonflement à l'humidité, évitant le craquellement de la brique. La densité obtenue varie entre 1,8 et 2 tonnes/m3, tandis que la résistance mécanique varie de 4 à 10 MPa (soit des valeurs équivalentes à celles des parpaings et des briques cuites).
La brique obtenue présente une bonne qualité d'isolation phonique mais ne constitue pas un isolant thermique en soi. La société Meco Concept recommande, dans le cas des façades, de recourir à l'ITE, de préférence à base de matériaux naturels (chaux-chanvre, panneaux en fibre de bois, liège).

Source: Batiactu

12/01/2016

TERREAL: Une brique de parement aux dimensions revues

Terreal poursuit son exploitation de la terre cuite en proposant sa nouvelle gamme de briques de parement. Le fabricant a choisi d’innover en faisant le choix de matériaux plus larges que les formats standards. Le résultat est d’abord esthétique, tout en en simplifiant la pose.
Une apparence renouvelée
La brique de parement se renouvelle avec la dernière gamme de revêtements de façades proposée par Terreal. Le fabricant vient de commercialiser deux produits originaux venant offrir une nouvelle esthétique aux bâtis pour en revoir l’architecture. Ainsi, la brique MAAX (pour Matière artistique architecturale extralarge) et la brique perforée se déclinent dans des versions uniques.
La première présente une largeur de 49 cm, tandis que la seconde opte pour une dimension de 40 cm, loin des tailles standards généralement comprises entre 22 et 33 cm. Il en ressort un style revu, accentué par les finitions proposées. Pour la brique perforée, Terreal opte notamment le choix entre un rendu lisse, sablé ou émaillé. Les teintes sont tout aussi variées, comprenant 10 coloris au choix.
Un style moderne pour la nouvelle brique de parement
Cette version large de la brique de parement vient de suite modifier l’esthétique des constructions. Sa pose s’effectue en décalé, en 1/2 brique ou 1/3 brique. La forme allongée a aussi pour avantage de permettre un gain de temps important lors de la pose. Sa mise en œuvre se réalise, elle, à joint vertical fin. Le premier atout est alors de garantir une meilleure étanchéité et donc une protection accrue de la façade du bâtiment.
Ainsi, outre son côté esthétique, ce nouveau parement signé Terreal se révèle particulièrement performant. Il permet de modifier l’architecture des constructions tout en proposant une finition originale, autorisant les variations de teinte pour un rendu d’autant plus unique.

Source: ETI Construction

11/01/2016

LE GROUPE BOUYER LEROUX VA ACQUÉRIR LA SOCIÉTÉ FERMETURES LOIRE OCÉAN

Le Groupe Bouyer Leroux, N°1 français des matériaux de construction en terre cuite (briques de murs et de cloisons, conduits de cheminée, tuiles et faîtières) confirme son dynamisme et poursuit le développement de son pôle Fermetures pour l'habitat.
Le Groupe Bouyer Leroux est organisé autour de 4 pôles*. Il emploie 850 collaborateurs et réalise un chiffre d'affaires d'environ 175 millions d'euros.
Société familiale créée en 1993, la Société Fermetures Loire Océan connue sous le nom commercial FLO, est spécialisée dans la fabrication de volets roulants et de portes de garage commercialisés via un réseau d'installateurs (réseau propre Wali's) et de négociants spécialisés. Elle emploie 47 salariés et dispose d'un site industriel moderne situé à VEZINS (49), et réalise un chiffre d'affaires d'environ 10 millions d'euros.
Le rapprochement entre les sociétés SPPF et FLO s'inscrit dans un projet industriel ambitieux pour le pôle Fermetures pour l'habitat du Groupe Bouyer Leroux. Il donnera naissance à un leader de la fabrication de coffre de volets roulants doté d'une culture de qualité et d'innovation, et disposant de gammes complètes destinées à la construction de logements neufs et à la rénovation, de dispositifs industriels et commerciaux complémentaires permettant d'offrir aux clients de SPPF et de FLO une offre large de fermetures, innovante et différenciée sur l'ensemble du territoire national.
Il permettra au Groupe Bouyer Leroux de capitaliser sur l'expertise et le dynamisme de sa filiale SPPF, de rééquilibrer ses activités entre la construction neuve et la rénovation, et de développer des synergies en matière de développement produits, d'industrialisation, de développement commercial, et d'optimisation des achats au sein de son pôle Fermetures pour l'habitat.
Le Groupe Bouyer Leroux et la société Fermetures Loire Océan dont les cultures et valeurs d'entreprises industrielles et familiales sont proches, travaillent à la réalisation de cette opération qui devrait être finalisée dans le courant du premier trimestre de l'année 2016.
* la fabrication de matériaux de construction en terre cuite (Société Bouyer Leroux et Bouyer Leroux Structure ; 9 usines), la fabrication de fermetures et coffres de volets roulants (Société SPPF), la fabrication de produits béton (Société Robert THEBAULT ; 3 usines), la valorisation des déchets et la production de biogaz (Bouyer Leroux Environnement).

Source:  L'Echo de la baie

10/01/2016

Yann Jaubert « La région, l'aube de l'industrie 4.0 »

Nous sommes au seuil d'une nouvelle révolution, basée sur le modèle d'Internet. De cette révolution sortira l'industrie 4.0, caractérisée par des usines intelligentes, connectées, en interaction permanente avec leur environnement. Surtout, elles fonctionneront en réseau en entretenant un dialogue constant avec les autres unités présentes sur le territoire, ainsi qu'avec les centres de recherche ou de transfert.
Cette révolution a déjà commencé, dans le secteur aéronautique notamment. A Méaulte, dans la Somme, l'usine Aerolia laisse présager de ce que sera l'industrie 4.0 : une entreprise de très haute technologie, capable de fertiliser l'ensemble du tissu local de PME. Ce n'est pas un hasard si la région Picardie a choisi Méaulte pour y implanter le centre de transfert IndustriLab qui, grâce aux technologies de réalité augmentée, participera à l'invention de l'usine du futur.
Avec Adler Technologies, nous avons choisi d'adopter cette dynamique nouvelle. Nous avons collaboré avec le Centre technique des industries mécaniques (Cetim) et le Codem (construction durable et éco-matériaux) pour mettre au point une presse pour des parpaings de nouvelle génération, biosourcés et plus efficaces sur le plan énergétique. Très bientôt, nous participerons également aux projets d'IndustriLab qui pourront prendre une dimension inédite en devenant collaboratifs et participatifs via Internet. Cette révolution, ou plutôt ces révolutions sont enthousiasmantes. Elles sont synonymes de compétitivité et de progrès pour nos PME. Chez Adler, nous en tirons les premiers bénéfices : nous avons mené une première opération de croissance externe et nous nous sommes alliés à d'autres PME pour nous implanter au Brésil.
La Bio
  • 1993 Intègre l'Ecole polytechnique.
  • 2010 Reprend les entreprises Adler Technologies (ingénierie et équipements pour l'industrie du béton) et Fimec Technologies.
  • 2013 Ouvre une filiale au Brésil et rachète la Chaudronnerie Savoyarde.

Source LES ECHOS

09/01/2016

ALGERIE-Briqueterie CEBRIK : Mise en route et mise au point en un temps record

La briqueterie CEBRIK d’une capacité de 200 000 t/an, a vu sa première brique cuite sortir du four un an, jour pour jour, après le début du chantier.

Cette usine, équipée de deux fours CASING et d’un séchoir rapide, bénéficie des dernières innovations de l’excavateur en fosse type PELERIN® 23 FG11 P16 d’une portée de 16 m et d’un débit horaire de 130 m3/h.

Depuis plus de cinq décennies, CERIC a su se démarquer par ses innovations continues mais aussi par sa capacité à réaliser des installations de très gros tonnages.

Ce sont ces caractéristiques qui permettent à CERIC de réaliser des chantiers de toutes tailles et ce en des temps record.
Source CERIC Facebook

07/01/2016

Yann Jaubert- Président de Materials Technologies

Yann Jaubert, ingénieur polytechnicien de 43 ans (né en 1972), a démarré un parcours professionnel classique dans des multinationales en se consacrant au développement d’affaires à l’international.

En 2010, il reprend Adler et Fimec, deux PME leaders de l’ingénierie des matériaux de construction en difficulté.
Il sauve ainsi une expertise industrielle unique et permet de préserver cent emplois.

Persuadé que l’écologie industrielle est un levier de développement et convaincu que l’industrie française avait encore une carte à jouer sur un marché mondialisé, il appuie la stratégie du groupe sur l’innovation pour le renforcer, le développer et le transformer en un acteur engagé de la quatrième révolution industrielle.

Depuis sa création,Materials Technologies a doublé de taille en innovant, en se diversifiant et en s’internationalisant. Yann Jaubert est Conseiller du Commerce Extérieur de la France depuis 2014.

Source L'entreprise du futur

06/01/2016

Voyages aux pays de la Terre Cuite


Sans pouvoir retracer l’immense richesse du foisonnement et de la transformation de l’industrie de la Terre Cuite des 50 dernières années, l’ouvrage « Voyages aux pays de la Terre Cuite » édité par CERIC en est une évocation.

Sous forme de clin d’œil au travers d’aventures humaines lors de voyages dans le monde entier, il saisit ce moment particulier où la Terre Cuite, de matériau ancestral, est devenue l’un des matériaux prépondérants de la construction moderne grâce aux innovations développées et portées par quelques entreprises.
CERIC a été un acteur majeur de la pérennité de la Terre Cuite en créant les conditions technologiques de cet élan.

04/01/2016

ACC rejoint le groupe MATERIALS Technologies

Rebaptisée ACC Technologies, la société ACC rejoint le groupe MATERIALS Technologies. Le groupe français spécialisé dans la conception et la fabrication de lignes de manutention automatisées et de ligne de production de matériaux de construction complète son offre dédiée aux matériaux isolants.
MATERIALS Technologies propose une offre large de solutions dédiées à la fabrication de matériaux de construction, sur les marchés du béton, de la terre cuite et des isolants. Il mène une politique d’innovation ambitieuse qui répond concrètement aux besoins exprimés dans le cadre du développement de l’industrie du futur et de la ville durable.
Le groupe propose déjà un ensemble d’équipements pour le bout froid (cold end) de la production de laine minérale, plus précisément pour toutes les opérations post étuvage : le contrôle qualité de la laine, la coupe, l’empilage, l’emballage, la palettisation et le sur-emballage sont autant de domaines où l’entreprise démontre son expertise.
La gamme d’équipements ACC, positionnée en amont, complète cette offre par des équipements de réception et de formage, des étuves de polymérisation et des lignes de production de coquilles pour l’isolation des tuyaux.
ACC Technologies pourra s’appuyer sur les compétences multiples et complémentaires de MATERIALS Technologies et bénéficier d’un savoir-faire reconnu en automatisation, robotisation et industrialisation.

Source Le Journal de L'Eco

03/01/2016

Carrières d'argile : Quel rôle joue la Safer dans l'acquisition de terres pour Bouyer-Leroux ?

La société d'aménagement foncier et d'établissement rural (Safer) joue un rôle central dans le projet de création de carrières d'argile porté par Bouyer-Leroux. Mais lequel ? Manuel Hanryon, directeur technique de la Safer Haute-Normandie, répond.
Est-ce que vous préemptez pour le compte de la société Bouyer-Leroux ?
Manuel Hanryon : Il n’y a eu aucun forcing. Tous les terrains ont été acquis de manière amiable. Il n’y a pas eu de terrain préempté. Notre convention avec Bouyer-Leroux date de 2009. L’entreprise a identifié un certain nombre de sites pour un projet d’implantation d’une briqueterie dans un rayon de 20 km autour de Forges-les-Eaux. Notre travail est de proposer à des propriétaires d’acheter leur terrain et d’ensuite régulariser des compromis de vente, pour devenir propriétaire pour le compte de Bouyer-Leroux.
Combien avez-vous acquis de terres aujourd’hui ?
Notre société est propriétaire d’environ 85 hectares. Ces terrains se situent pour les 2/3 dans le secteur des communes d’Hodeng-Hodenger et de la Ferté-Saint-Samson et pour le solde, sur la commune de Sainte-Geneviève-en-Bray.
La Safer a un rôle de protection de l’environnement et d’aménagement du territoire rural. Avec ce projet, pensez-vous agir dans le cadre de vos missions ?
On accomplit parfaitement notre mission. On peut faire de l’aménagement du territoire en respectant l’environnement. Ce n’est pas parce qu’on extrait de l’argile que les terrains ne seront pas remis en état. Les services de la Dreal [direction de l'environnement, NDLR] sont très draconiens sur l’aspect environnemental. De plus, le fait d’implanter une usine apporte une dynamique dans une zone qui en a besoin. Ce n’est pas une délocalisation d’usine, c’est une création. Cela va créer de l’emploi direct et indirect.
La Safer se doit de favoriser l’installation de porteurs de projets. Or là, est-ce vous n’enlevez pas des terres aux futurs exploitants agricoles qui ont déjà beaucoup de mal à s’installer en pays de Bray ?
On enlève de terrains à personne. Ils ont été vendus parce qu’il y a le projet de Bouyer-Leroux. Aujourd’hui personne n’a perdu de surface.

Source Le Réveil de Neuchatel

02/01/2016

CERIC : L’innovation en action

Pour la troisième année consécutive, CERIC fait partie de la communauté d’entreprises choisies par Bpifrance Excellence pour représenter les secteurs de croissance.
Bpifrance Excellence est un cercle select réservé à 2 000 PME Françaises connues et reconnues pour leur capacité en termes d'innovation.
C'est clairement un signe fort, un encouragement des pouvoirs publics et une reconnaissance de nos savoir-faire, des compétences et des capacités en termes d'innovation dans différents domaines tels que la Thermique, la Mécanique, l'Informatique Industrielle, sans oublier la Céramique, pilier et cœur de l'entreprise.

Dans le prolongement d’actions engagées les années précédentes :
• Un logiciel de Manufacturing Execution System DIAPASON PREMIUM,
• Une cellule mobile d’essais de séchage nouvelle génération,
• Un excavateur sur fosse de grande capacité,
• L’isolation de blocs en Terre Cuite SOLUMIX.

Dans le cadre de nouveaux programmes :
• Une centrale de distribution de combustibles solides,
• La déclinaison de la nouvelle gamme de mouleuses DEMETER sur des capacités inférieures, un franc succès sur le marché avec déjà 4 machines vendues.
• Une nouvelle conception du brise-mottes CERES. Ces programmes  permettent d’apporter des solutions différentes aux offres CERIC sur ses marchés.

Source CERIC

31/12/2015

Innovative heat-dispersing clay bricks help keep homes naturally cool

A new innovative brick is paving the way towards more comfortable, affordable, and sustainable architectural solutions in hot climates.

Colombian architects Miguel Niño and Johanna Navarro of Sumart Diseño y Arquitectura SAS designed BT - Bloque Termodisipador (HB - Heatsink Brick), a type of clay brick that helps keep buildings naturally cool through smart design.

Made with an irregular shape, the brick’s angled and perforated form not only improves the building’s thermal comfort, but also helps reduce material waste and construction time.
Source Inhabitat par Lucy Wang Share

30/12/2015

Algérie:1.450 hectares de foncier public seront distribués pour l'auto-construction dans la wilaya de Ghardaïa

Pas moins de 1.450 hectares de foncier public répartis sur les treize communes de la wilaya ont été retenus pour l’attribution de parcelles destinées à l’auto-construction, accompagnée d’une aide financière de l’Etat, a annoncé dimanche à l’APS le secrétaire général de la wilaya de Ghardaïa.
Ces parcelles individuelles, dont la superficie varie entre 200 et 250 m2, réparties sur 66 sites, ont été circonscrites après l’élaboration des études d’aménagement dans les différentes zones urbaines des treize communes de la wilaya et viabilisées, avant d’être cédées en lots aménagés destinés à l’auto construction aux citoyens demandeurs, a précisé M. Kamel Nouissar.
Un programme complémentaire de plus de 270 hectares de foncier public a été mobilisé, dans deux site de la nouvelle circonscription administrative d’El-Menea, pour la réalisation d’un parcellaire de 4.500 lots pour l’auto-construction aidée au profit des citoyens demandeurs, a-t-il fait savoir.
Ce programme permettra de surmonter les dysfonctionnements d’ordre urbanistique existant dans la wilaya, notamment les constructions illicites et la pénurie du foncier, et de pourvoir les nouveaux tissus urbains en infrastructures publiques adéquates, a-t-il expliqué, en soulignant que ce programme aidera à valoriser les potentialités de la région à vocation agricole et touristique ainsi que son attractivité.
De son côté, le directeur de l’urbanisme, de l’architecture et de construction (DUAC) de la wilaya de Ghardaïa, Mokhtar Merad, a révélé que les études parcellaires de 27.274 lots ont été achevées et que 2.725 sont en voie d’achèvement.
La wilaya de Ghardaïa a bénéficié de 30.000 parcelles de terrain à bâtir répartis sur les daïras de Ghardaïa (9.000), Bounoura (3.800), Métlili (3.508), Guerrara (3.000), Berriane (1.900), Zelfana (1.865), Mansourah (1.725), Daya Ben Dahoua (1.100), en plus de 3.800 parcelles pour celle d’El-Menea avant d’être érigée en wilaya déléguée et qui vient de bénéficier d’un programme complémentaire, a-t-il détaillé.
Les pouvoirs publics se sont engagés à accélérer le rythme de réalisation de ce programme d’habitat pour répondre au mieux aux attentes des populations de la wilaya, en application de l’instruction interministérielle N°6 du 1er décembre 2012 relative au développement de l’offre foncière publique dans les wilayas du sud, a souligné M.Merad.
L’Objectif, a-t-il dit, vise, outre à résorber l’important déficit en logements accumulé durant des années, à donner aux citoyens le moyen d’accéder à un lot de terrain à bâtir viabilisé.
Selon le DUAC de Ghardaïa, 4.529 permis de construire et 3.705 permis de lotir ont été délivrés à ce jour par les services qu’il représente, alors que les services des domaines de la wilaya ont enregistré l’acquittement par les bénéficiaires de 14.059 ordres de versement du coût du terrain.

Source:  Maghrebemergent