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08/04/2014

TERREAL enveloppe de terre cuite contemporaine les bureaux certifiés BBC-HQE du Prélude de Bordeaux (33)

Situé à proximité de la gare Saint-Jean de Bordeaux (33), l’immeuble de bureaux Le Prélude s’intègre parfaitement dans un quartier en cours d’urbanisation dans l’îlot d’Armagnac. 
Son architecture ultra-moderne s’appuie sur la vêture en terre cuite Thermoreal®-Gebrik® de TERREAL en coloris blanc crème dont la pose verticale offre du relief aux différents niveaux du bâtiment et à ses multiples ouvertures métalliques. 
Outre ses qualités esthétiques, cette solution d’isolation thermique par l’extérieur a également été choisie pour ses hautes performances techniques, permettant à cette réalisation d’obtenir la certification BBC-HQE. Une enveloppe en terre cuite blanche crème très performante Afin de garantir une excellente isolation thermique par l’extérieur (ITE), les architectes du cabinet AACMA ont choisi de mettre en œuvre les panneaux Thermoreal®-Gebrik® de TERREAL sur les façades du Prélude. 

Une façade élancée grâce à la pose verticale du Thermoreal®-Gebrik® 
Les choix architecturaux du Prélude visaient à donner une perception élancée de ce bâtiment dont la densité est importante. La pose verticale a été retenue pour mettre en valeur la volumétrie générale du bâtiment, sa menuiserie et ses nombreuses fenêtres aux contours métalliques très découpés. 
Cette pose exigeante représentait une contrainte, à laquelle la maitrise d’œuvre a pu répondre avec la solution Thermoreal®-Gebrik® de TERREAL. 
Son plus grand avantage réside dans la forme de ses panneaux qui a permis non seulement une rapidité de pose mais surtout une homogénéité du produit et une régularité de sa mise en œuvre. 
Le joint filant a été préféré au joint croisé pour son image contemporaine assumée qui lui donne un effet de mur lisse, habituellement irréalisable avec la brique. 
Cette solution de vêture constituée de plaquettes de terre cuite serties sur une mousse polyuréthane de 40 mm a été chevillée sur le mur support. Pour apporter une plus grande performance, les voiles de béton ont reçu une couche supplémentaire de panneaux de mousse polyuréthane de 80 mm. 
Ainsi, l’épaisseur totale d’isolant a été dictée par un calcul thermique pour respecter les enjeux environnementaux auxquels était soumis le projet et permettre au Prélude de réaliser une performance supérieure de 10% aux exigences du label BBC RT 2005. 

Une façade élancée grâce à la pose verticale du Thermoreal®-Gebrik® 
Les choix architecturaux du Prélude visaient à donner une perception élancée de ce bâtiment dont la densité est importante. 
La pose verticale a été retenue pour mettre en valeur la volumétrie générale du bâtiment, sa menuiserie et ses nombreuses fenêtres aux contours métalliques très découpés. 
Cette pose exigeante représentait une contrainte, à laquelle la maitrise d’œuvre a pu répondre avec la solution Thermoreal®-Gebrik® de TERREAL. 
Son plus grand avantage réside dans la forme de ses panneaux qui a permis non seulement une rapidité de pose mais surtout une homogénéité du produit et une régularité de sa mise en œuvre.
Le joint filant a été préféré au joint croisé pour son image contemporaine assumée qui lui donne un effet de mur lisse, habituellement irréalisable avec la brique. 
Pierre Cornil, Chef de Projet explique: « Très tôt dans la conception, le choix de la terre cuite s’est imposé pour l’image que reflète ce matériau – solidité et pérennité – mais également pour son aspect minéral qui est très présent dans la ville de Bordeaux et dans le quartier du Prélude, où préexistent de beaux immeubles anciens en pierre beige. 
Le blanc crème de la plaquette de terre cuite et le gris des éléments métalliques ont été choisis en harmonie avec le tissu urbain bordelais ». 

Fiche d’identité réalisation Programme : 
Immeuble de bureaux R + 7 et parc de stationnement de 56 places 
Surface : 9 347 m² SHON 
 Livraison : mai 2013 
Maîtrise d’ouvrage : ICADE Promotion 
Maîtrise d’œuvre : AACMA à Paris. Philippe Chaix, Jean-Paul Morel, Rémy van Nieuwenhove 
avec Pierre Cornil, Kai Jensen, Itamar Krauss, Aurélie de Seze et Olivier Jacques
Produit TERREAL mis en œuvre : Thermoreal®-Gebrik® blanc crème 
Pose de la façade : Entreprise Guarrigues // ©Olivier Brunet – TERREAL

Source Wellcom presse

Sita recycle les palettes de chantier de Bouyer Leroux

Sita (Suez Environnement), via sa filiale Epalia, a signé un contrat de partenariat avec l'entreprise Bouyer Leroux Structure visant à mettre en place un système de recyclage de ses palettes de chantier.

Dans le cadre de ce partenariat, Epalia prend en charge la gestion administrative et opérationnelle des palettes. Concrètement, une équipe est entièrement dédiée au suivi global et à la collecte auprès des distributeurs, au tri et à la réparation, à la déconsignation puis au réacheminement vers les sites de production de Bouyer Leroux Structure. Elles sont ensuite redistribuées en régions Sud, Est et Rhône-Alpes.

Source  Construction Cayola

Une nouvelle acquisition pour le Groupe Samse

La société Célestin Matériaux, filiale spécialiste en Travaux Publics du Groupe SAMSE, développe son réseau d'agences par l'acquisition de la société Codiplast Professionnelle des Travaux Publics et de l'adduction d'eau, cette société dont le siège social est implanté en Avignon compte 5 points de vente en Vallée du Rhône. Elle emploie 18 salariés et a réalisé un chiffre d'affaires de 9 M€ en 2013.
Depuis 1984, Célestin Matériaux distribue dans le Grand Lyon, l'Isère, la Drôme-Ardèche et la Loire, des produits d'assainissement des eaux usées et pluviales, de voiries et de terrassements, de réseaux secs et d'aménagements urbains.
Son réseau comprend désormais 12 points de vente www.celestin-materiaux.fr.
A propos du Groupe SAMSE
Créé en 1920 et basé à Grenoble, SAMSE est le premier groupe français indépendant de distribution de matériaux de construction pour le bâtiment et l'habitat. Il emploie près de 5000 collaborateurs et dispose de 320 points de ventes répartis sur 44 départements.

Source L'espace Data Presse

07/04/2014

ERLUS: La tuile en terre cuite Karat innove


Noir diamant, c'est la nouvelle couleur de la tuile en terre cuite Karat du fabricant Erlus. Avec un design très contemporain, cette tuile offre de nouvelles possibilités aux concepteurs et architectes qui recherchent des solutions à la fois esthétiques et fonctionnelles.
Tuile pour faible pente
Récompensée par le iF Design Award pour sa qualité et son design, cette tuile haut de gamme rend possible le libre choix de la forme de sa toiture. Elle permet en particulier de couvrir les toitures de forme cintrée.
Triple emboîtement en tête, quadruple recouvrement à l'angle des tuiles et système spécifique empêchant l'accumulation des eaux de ruissellement, ces trois caractéristiques font que la tuile Karat peut être posée sur des très faibles pentes allant jusqu'à 7°. Avec son nouvel engobe noir diamant et quatre autres coloris, elle offre aux architectes et maîtres d'œuvre un large choix.
Le nouveau coloris engobé noir diamant a été dévoilé lors du salon Dach + Holz du 18 au 21 février 2014 à Cologne (Allemagne).
Informations techniques :
Dimensions : 42 x 27 cm
Pureau : 32,6 à 33,1 cm
Poids : 50 kg/m2 (avec lattis)
Nombre au m2 : environ 15 unités
Couleurs : rouge, brun cuivré, anthracite, titane argenté, noir diamant

Les tuiles Erlus sont disponibles auprès des négoces en matériaux. De plus amples informations sur le site www.erlus.com ou au 06 75 87 55 67.
À propos d'Erlus :
Erlus est l'une des entreprises allemandes leaders dans la fabrication de matériaux de couverture et de fumisterie. Elle possède 3 sites de production à Neufahrn, Ergoldsbach et Teistungen . Cette PME s'impose dans le domaine du conduit de fumée grâce à des systèmes innovants fonctionnant avec tous les types de combustibles et adaptés aux contraintes des maisons BBC. Dans la couverture, de nombreux prix et distinctions sont venus étayer une évolution constante dans le domaine du design : le iF Design Award pour les tuiles Linea®, Karat®, Forma® et GF XXL® et le reddot Design Award pour le modèle Karat® XXL. Première tuile autonettoyante, la tuile ERLUS Lotus® a reçu le MATERIALICA Design Award et la gamme d'architecture STUDIOLINIE ARCHI-TECTUM, le iF material Gold Awards en mars 2011. Le système Ergoldsbacher E58 SL a été salué au salon BAU 2009 avec le prix de l'innovation dans la catégorie"Prix pour produit innovant -  Rénovation".

Source L'Espace Datapresse

ALGERIE- Somacob, une entreprise florissante

La Somacob ambitionne d’élargir sa gamme de production, en projetant de fabriquer certains matériaux de construction, tels que le béton précontraint et les poutrelles.
Créée en 1979, la Société des matériaux de construction de Béjaïa (Somacob) est une entreprise publique économique et société par actions (EPE/SPA) au capital de 350 millions de DA, spécialisée dans la production et la commercialisation des matériaux de construction. Avec un effectif actuel de 650 travailleurs, répartis sur sept unités de production implantées à travers la wilaya de Béjaïa, la Somacob réalise un chiffre d’affaires annuel de 700 millions de DA. Ce qui explique la solvabilité et la viabilité de l’une des rares entreprises publiques ayant échappé à la banqueroute et à la vague de fermetures qui a touché ces dernières années bon nombre de sociétés relevant du secteur étatique.

L’embellie financière dont jouit cette entreprise qui réalise, chaque année, des bénéfices non négligeables, est le fruit d’une politique managériale innovante menée par le staff dirigeant qui veille à la mise en œuvre de sa stratégie, basée sur la motivation, la formation, l’innovation et la communication. “La politique générale de notre entreprise repose sur une stratégie englobant l’analyse du diagnostic, la valorisation des ressources humaines, la performance, l’innovation, la planification et la communication interne et externe. Elle vise, notamment, à faire valoir notre savoir-faire et notre expérience dans le domaine, source d’avantage compétitif, et à garantir la compétitivité et la rentabilité sur le long terme. Ainsi, nous nous fixons des buts à atteindre tout en prenant en compte les contraintes administratives et économiques”, nous explique le P-DG de Somacob, Redouane Mohamadi. Notre interlocuteur nous a fait savoir que son entreprise vient de bénéficier d’un crédit d’investissement à long terme (15 ans), avec un différé de sept années, dont le montant est de l’ordre 2 milliards de DA. “Cette dotation financière s’inscrit dans le cadre du plan de développement de l’entreprise. L’Etat a consenti un effort extraordinaire à travers un tel geste qui constitue une véritable aubaine. Maintenant, c’est à nous de retrousser les manches afin d’honorer nos engagements”, a souligné M. Mohamadi. Selon lui, ce plan de développement durable vise, entre autres, à la mise à niveau des unités de l’entreprise, la création d’autres filiales, telle que la nouvelle plâtrerie de Boudjellil, dans la daïra de Tazmalt.
En outre, la Somacob ambitionne d’élargir sa gamme de production, en projetant de fabriquer certains matériaux de construction, tels que le béton précontraint et les poutrelles. Une activité à indexer à la briqueterie de Seddouk. Le P-DG de Somacob qui prévoit aussi la création de quelque 150 nouveaux emplois directs et plus de 600 indirects, affirmera que son entreprise va consacrer une partie de son crédit à la formation de ses employés dans les différents domaines, notamment le management, le commercial, la production, l’exploitation des carrières de gypse, la maintenance…
M. Mohamadi a tenu à préciser que la gestion collégiale, participative et transparente, est le credo de la Somacob. Dès lors, outre le conseil d’administration (CA), les partenaires sociaux, à savoir la section syndicale et le comité de participation, sont toujours associés à la prise de décision, y compris dans la commission des marchés. Notre interlocuteur évoquera, enfin, la principale contrainte à laquelle fait face son entreprise, à savoir la concurrence déloyale émanant du secteur informel. La solution ? M. Mohamadi préconise comme antidote à cette concurrence déloyale, la baisse de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) de 17% à 7% pour les matériaux de construction, tout en précisant que le prix du logement est taxé à 7% seulement (TVA). Pour lui, c’est une aberration !
Source Liberté Algérie par : Ouhnia Kamel

06/04/2014

CERIC Technologies: De nouvelles pales monoblocs pour malaxeur et mouilleur-mélangeur


CERIC a développé de nouvelles pales monobloc pour malaxeur et mouilleur mélangeur PELERIN®.
Ces nouvelles pales intègrent en une seule pièce porte-pales et pales. Elles offrent de nombreux avantages, à savoir :
  • Démontage / remontage plus rapide,
  • Absence de boulonnerie au contact de l’argile,
  • Meilleur brassage/balayage du volume de la cuve de mélange,
  • Volume disponible pour l’argile augmenté,
  • Meilleure homogénéisation des argiles,
  • Débit amélioré de 15 à 20 %.
Si vous possédez un malaxeur ou mouilleur/mélangeur PELERIN®, vous pouvez améliorer ses performances car ce nouveau système peut être intégré à votre équipement existant.
Vous souhaitez plus d’information ? Contactez votre commercial Services/Pièces de Rechange habituel ou notre SAV au : + 33 (0) 3 23 73 83 53.

05/04/2014

IMERYS : Après l'aventure Amcol, Imerys veut garder le cap

Imerys n'entend pas laisser l'échec de son OPA sur Amcol le distraire de sa stratégie conjuguant croissance organique et acquisitions ciblées, a déclaré mardi son PDG Gilles Michel dans une interview à Reuters.
Le groupe français, leader mondial des spécialités minérales pour l'industrie, a jeté l'éponge mi-mars dans la bataille pour le contrôle de l'américain Amcol, un mois après l'annonce de son projet de reprise du spécialiste de la bentonite.
Imerys, dont la dernière offre valorisait Amcol environ 1,7 milliard de dollars dette comprise, a finalement renoncé à surenchérir sur le prix offert par le concurrent Minerals Technologies pour ne pas compromettre ses objectifs de création de valeur, notamment celui d'un retour sur investissement (ROCE) de 15%.
"C'était un projet d'acquisition qui avait un grand intérêt. Mais un projet, si attractif soit-il, doit à nos yeux (..) être attractif dans des conditions qui permettent de créer de la valeur, non seulement une fois mais dans la durée", a déclaré Gilles Michel.
"Ce n'était pas une décision facile à prendre", a-t-il ajouté. "Il est toujours plus facile de laisser un projet continuer que de l'arrêter, parce qu'il y a de l'énergie, de l'enthousiasme, une dynamique."
Après avoir tiré les leçons de cette aventure, Imerys entend poursuivre sa stratégie axée sur l'accélération de sa croissance interne complétée par de possibles acquisitions, bien que les occasions en la matière soient aujourd'hui moins nombreuses.
"Si et quand il y a opportunité d'acquisition, nous la regarderons, et nous la saisirons si elle a un sens industriel et stratégique, bien sûr", a dit Gilles Michel. "Mais ce n'est pas (..) parce qu'on s'est engagé sur l'opération Amcol que je ressens une urgence quelconque à accrocher deux, trois acquisitions dans les six mois qui viennent."
Il a souligné qu'il ne fallait pas non plus déduire de l'abandon de l'offre sur Amcol que la somme mobilisée pour l'opération, essentiellement auprès des banques, était disponible pour d'autres acquisitions.
"Je ne suis pas du tout dans une logique d'enveloppe", a-t-il déclaré.
PAS DE 'SHOPPING LIST'
Imerys cherche toujours à renforcer ou compléter son portefeuille d'une trentaine de minéraux - du kaolin pour le papier au mica pour les peintures - mais a refusé de détailler les pistes qu'il entrevoit.
"Je ne voudrais pas donner l'impression de faire une 'shopping list' et d'annoncer ce qui est susceptible de nous intéresser demain. Ça ne vient pas toujours en prévenant (..) Qui aurait dit il y a six mois qu'Amcol aurait été en jeu ?"
Imerys mise sur les nouveaux matériaux comme les proppants en céramique pour l'exploitation de gaz de schiste aux Etats-Unis, où sa deuxième usine monte en régime cette année, et sur des marchés à forte croissance comme le Brésil, le Moyen-Orient et l'Asie du Sud-Est.
En 2013, le groupe a vu son chiffre d'affaires baisser de 4,8% mais a amélioré légèrement sa marge opérationnelle grâce à des réductions de coûts. Dans le cadre de la réorganisation de son outil industriel, Imerys a notamment engagé la fermeture des Ardoisières d'Angers, qui emploient environ 150 personnes.
Pour 2014, Gilles Michel a indiqué que le premier trimestre confirmait les tendances observées en fin d'année dernière, soit une conjoncture toujours porteuse outre-Atlantique et une stabilisation en Europe.
"Le panorama n'a pas changé, (il) est moins défavorable que les douze mois précédents", a-t-il déclaré.
Ancien de Saint-Gobain et de PSA Peugeot Citroën , âgé de 48 ans, Gilles Michel a dirigé le Fonds stratégique d'investissement (FSI) avant de rejoindre Imerys en 2010.
L'action Imerys a clôturé mardi 25/03  à 63,91 euros, donnant une capitalisation boursière de 4,87 milliards d'euros. Le titre prend 1,1% depuis début janvier après un gain de plus de 31% en 2013. (Edité par Dominique Rodriguez)

Source Bourse Les Echos

04/04/2014

AIR LIQUIDE : ALIAD, filiale de capital-risque d’Air Liquide, prend une participation dans trois start-ups technologiques

ALIAD, filiale du groupe Air Liquide qui prend des participations minoritaires dans de jeunes sociétés technologiques innovantes, annonce son entrée au capital de trois start-ups : Mc Phy Energy, Solumix et Xylowatt.
Solumix est une jeune entreprise innovante française créée en 2012. Solumix a développé un nouveau matériau de construction isolant, à base de matières premières naturelles, répondant aux défis écologiques et économiques que le marché des matériaux de construction doit relever. Cette participation permettra notamment à Air Liquide de valoriser les brevets développés par la Recherche et Développement du Groupe dans le domaine des matériaux poreux.
Afin de soutenir les initiatives innovantes dans le domaine de l'Hydrogène Energie, Air Liquide a participé à l'introduction en bourse de l'entreprise française McPhy Energy sur Euronext Paris.
Fondée en 2008, l'entreprise française McPhy Energy a développé des générateurs d'hydrogène par électrolyse de l'eau associés à du stockage d'hydrogène solide sous forme d'hydrures de magnésium. Pour accompagner le développement de l'hydrogène sur le marché de l'énergie, McPhy Energy propose aux utilisateurs industriels et aux acteurs du secteur des énergies renouvelables des solutions concrètes aux questions de production et de stockage de l'énergie.
Basée en Belgique, Xylowatt est une « spin-off »* de l'Université Catholique de Louvain. La société a développé une technologie fiable et performante de production de gaz de synthèse propre à partir de biomasse solide. A court terme, Air Liquide contribuera à l'évolution de cette technologie vers des procédés utilisant l'oxygène. En outre, cette technologie innovante devrait permettre à Air Liquide d'offrir à ses clients industriels une source d'énergie renouvelable de qualité.
ALIAD a pour mission de prendre des participations minoritaires dans des start-ups technologiques innovantes et de favoriser la mise en place d'accords R&D et/ou commerciaux entre les start-ups de son portefeuille et les entités du groupe Air Liquide. Les secteurs ciblés pour ces investissements sont la transition énergétique, la gestion des ressources naturelles, les technologies de la santé, le digital, l'électronique et l'informatique.
En dix huit mois d'activité, ALIAD compte désormais huit investissements en portefeuille : Demeter, Quadrille Capital, Terrajoule, Plug Power, Hydrexia, Solumix, Xylowatt et McPhy Energy.
*Spin-off : essaimage

Source Zonebourse

PLEIADE INVESTISSEMENTS : Le cercle des entrepreneurs

Materials Technologies est spécialiste de l’ingénierie béton et des 

systèmes de manutention automatisée. Pléiade Investissement accompagne, depuis décembre 2010, la reprise de ce groupe. ADLER Technologies, FIMEC Technologies sont 2 sociétés de MATERIALS Technologies


Ceric Technologies a repris les actifs de Ceric SA, groupe leader dans l’ingénierie d’usines de briques et tuiles en terre cuite. Pléiade Investissement a aidé le management à préparer son plan de reprise en mars 2010, et l’accompagne dans le redéploiement industriel et commercial de l’entreprise.

Source Pleiade Investissements

03/04/2014

La demande mondiale de ciment ne faiblit pas

Selon le cabinet d'études Freedonia, l'industrie mondiale du ciment devrait progresser de +9,3% d'ici 2017 à 21,2 milliards de dollars.

Selon cette étude, la région Asie-Pacifique devrait rester le plus grand consommateur de ciment et adjuvants pour béton avec une demande en hausse de +9,2% à 10,6 milliards de dollars d'ici 2017.

Mais la plus forte croissance entre 2012 et 2017 sera observée en Afrique et au Moyen-Orient où sont attendues des hausses de +10,6% par an pour atteindre les 1,37 milliard de dollars à l'horizon 2017.

En Amérique centrale et du Sud, la demande devrait augmenter de +10,3% à 633 M$ tandis que la demande en Amérique du Nord devrait progresser de +10% par an pour atteindre 4,12 milliards de dollars en 2017.

De même, la consommation en Europe de l'Est va connaître une croissance de +9,2% entre 2012 et 2017 à 1,38 milliards de dollars.

La consommation en Europe de l'Ouest va également croître de +7,8% à 3,15 milliards de dollars.

Source Construction Cayola

Les industriels de la pierre reconstituée veulent redynamiser leur communication

Axe principal pour les industriels de la pierre reconstituée: mieux toucher le grand public en l'aidant à se projeter et à trouver plus facilement les produits correspondant à ses chantiers.
Sur un marché de l’aménagement extérieur sinistré, le GIE Pierre Reconstituée de France multipliera en 2014 les actions de conquête de la clientèle grand public. 2013, une année à oublier pour les industriels de la pierre reconstituée de France, dont quatre des plus gros producteurs sont regroupés depuis deux ans dans un GIE dédié à la communication (1). Les mauvaises conditions météorologiques conjuguées aux difficultés économiques ont fragilisé les marchés associés aux produits d'aménagement extérieur: -9,5% pour les professionnels de la piscine, +0,5% pour les paysagistes. Si l'on y ajoute les mauvaises ventes de maison individuelle en 2013 (-19%) et une concurrence toujours plus forte sur les produits d'aménagement extérieur (carrelage, bois composite, bois...), tous les voyants sont au rouge: les membres du GIE "Pierre reconstituée de France" ont accusé l'an dernier des reculs entre -3% et -10%, selon les informations récoltées par Négoce. Seule consolation, le segment des parements muraux a vu ses volumes progresser de 3% notamment grâce à l'utilisation plus fréquente de ces produits en intérieur.
Pour les industriels de la pierre reconstituée, le moment est donc venu de trouver un second souffle. Les actions annoncées pour 2014 pour le GIE visent à toucher davantage la clientèle des particuliers en répondant mieux à leurs interrogations. Première brique dans cette entreprise de conquête, le site internet du GIE vient d'être refondu avec notamment une approche par thème pour que le grand public identifie les produits correspondant à son chantier (terrasse, piscine, allées et criculations etc.).
De meilleures perspectives de marché en 2014 ?
Le site internet sera aussi l'interface principale des deux autres actions phares annoncées pour cette année. La première est une opération d'animation et de promotion autour du label "Pierre reconstituée de France": les particuliers ayant acheté au moins 1500 € TTC de produits (la plupart du temps en négoce, la GSB restant un canal de distribution minoritaire) pourront bénéficier d'une séance de "coaching" par un professionnel de l'aménagement extérieur. "L'idée est d'aider le client à se projeter en mettant en scène une ambiance globale pour le jardin", résume LucasVallon, DG de Pierra. La deuxième action phare est la création d'un service d'échantillons, permettant au particulier de recevoir quatre propositions de couleurs et de textures afin de le guider dans ses choix. Facturée 15 €, ce service sera remboursé à la première commance passée en point de vente.
Egalement actifs dans les salons dédiés à l'habitat et au jardin via leur GIE, les industriels de la pierre reconstituée espèrent cette stratégie marketing active leur permettra de regagner des positions. Déjà, l'année 2014 a démarré "convenablement" selon le qualificatif employé par Jérôme de Mauroy, directeur marketing du Groupe Fabemi (Carré d'Arc). "Avec les bonnes conditions météo du début mars, les clients ont déjà en tête leurs futurs projets d'aménagement", veut croire le dirigeant. Reste donc aux industriels de la pierre reconstituée à les convaindre d'adopter leurs solutions.
(1) Les quatre membres du GIE sont Pierra, Marlux, Carré D'Arc et Alkern, ce dernier ayant remplacé Weser.
Source Le Moniteur

02/04/2014

Matériaux de construction, l’embellie était encore de mise en février

Rebond sensible pour les livraisons de granulats et de BPE en ce début d'année 2014: un phénomène passager?
La production de granulats et de béton prêt à l’emploi est supérieure respectivement de 2,8% et 2% par rapport au mois de février 2013.
Deux lectures peuvent être faites de la dernière livraison de la Lettre de conjoncture de l'Unicem. La première confirme le redressement du marché des matériaux de construction en ce début d'année 2014. La production de granulats et de béton prêt à l'emploi est supérieure respectivement de 2,8% et 2% par rapport au mois de février 2013, et la hausse est encore plus nette si l'on considère les trois derniers mois (décembre à février) par rapport à l'année dernière: +5,2% pour les granulats, +5% pour le BPE.
Une seconde lecture soulignerait le recul des les livraisons de granulats et de béton prêt à l'emploi en février par rapport au mois précédent (-4% dans les deux cas). Rappelons toutefois que janvier 2014 s'est achevé sur un net rebond des volumes de production (+13% pour les granulats, +10,6% pour le BPE) grâce notamment à des conditions météorologiques très favorables.
Des prévisions d'activité toujours à la baisse
La reprise semble donc se confirmer sur le marché des matériaux de construction en ce début d'année. Elle est également sensible sur le ciment (+12%), les briques (+5,6%) et sur les tuiles (+7,4%) d'après les indications collectées par l'Unicem pour le mois de janvier. Reste à voir si ces tendances peuvent être durables. L'Unicem fait remarquer dans sa Lettre de conjoncture que "la dégradation de l’activité récente constatée par les professionnels du gros oeuvre peut s’expliquer par les derniers chiffres des mises en chantier de logements: fin février, on notait une accélération du repli de celles-ci avec une baisse de 9,9 % en glissement annuel sur les trois derniers mois connus (décembre à février) contre - 2 % sur les douze derniers mois". La contraction est surtout marquée pour les constructions sur bâtiment existant (- 21,1 % sur trois mois) et dans le logement individuel groupé (- 14 % sur trois mois contre - 7,8 % pour l’individuel pur et - 9,7 % pour le segment du collectif), souligne l'organisation.
Ces chiffres contrastés incitent l'Unicem à maintenir ses prévisions de baisse de production pour l'année 2014, chiffrées à -4% pour les granulats et à -3% pour le BPE par la commission économique réunie le 25 mars dernier.

Source le Moniteur

Des entreprises françaises intéressées par le marché algérien

Organisée par la Chambre de commerce et d'industrie algéro-française en collaboration étroite avec le ministère de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la Ville, la première rencontre algéro-française et du second œuvre a drainé pas moins de 295 entreprises dont 45 venues de France. Ce nombre élevé de participants témoigne André Parant, ambassadeur de France en Algérie, qui prononçait son discours inaugural, «de l'intérêt que les entreprises des deux pays portent au renforcement de leurs relations dans ce domaine clef pour le développement économique et social de l'Algérie».

En cette occasion, l'ambassadeur a insisté sur l'importance que recèle le secteur du bâtiment en général et le logement en particulier dans notre pays. S'adressant à M.Tebboune, ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la Ville, il affirme que la France est prête à participer à l'effort de construction en Algérie.
«Je sais, monsieur le ministre, que nous avons eu l'occasion d'en parler à plusieurs reprises et que vous avez parfois regretté que les entreprises françaises ne prennent pas une part plus active aux nombreux et importants projets développés par l'Algérie dans le secteur du bâtiment, et notamment du logement», a-t-il lancé à l'intention du ministre algérien, ajoutant : «Eh bien, considérez que l'événement qui nous réunit aujourd'hui, tout comme la présence d'un important pavillon français à l'occasion du Salon Batimac sont autant de réponses à vos appels».
Des entreprises de différentes nationalités ont décroché des projets d'envergure dans le cadre du plan quinquennal qui prévoit entre autres la réalisation de 2 millions de logements.
Vu la déclaration de l'ambassadeur, la France souhaiterait avoir sa part de marché dans ce secteur. Et c'est pour cela que le diplomate n'a pas manqué de faire l'éloge des entreprises de son pays spécialisées dans ce secteur et qui sont, comme il l'a précisé, au nombre de «de 350 000 entreprises qui emploient 1,5 million de personnes, et représentent un chiffre d'affaires annuel de l'ordre de 130 milliards d'euros». Il rappelle également l'apport qu'a offert le groupe Lafarge à Rouiba, en réalisant à la fin de l'année dernière son laboratoire de développement de nouveaux produits et de solutions dans le domaine de la construction.
Saluant les représentants de la Fédération Française du Bâtiment regroupant les professions et les chefs d'entreprises français pour leur présence en ce rendez-vous, il a estimé que ces entreprises offrent «la qualité et la diversité de leurs expertises et sont à même de proposer savoir-faire, formation, équipement, matériaux et technologie les mieux adaptés aux besoins du marché et des acteurs algériens». Etaient présents à cette rencontre tenue au Palais des nations, le président de la Chambre de commerce et d'industrie algéro-française et les chefs d'entreprises algériennes et françaises.
Source Le Temps  par Samira Azzegag

01/04/2014

Hervé Gastinel bioexpress

GASTINEL Hervé Né le 11 mars 1966 à Guérande (Loire-Atlantique), fils de Jean-Louis Gastinel ingénieur, directeur de production (s. d.) et de Marie-Pierre Bourvon enseignante ... 2003. Chargé d’enseignement à l’Éna et à Paris II-Panthéon-Assas (s. d.).

Diplômé de l’ESSEC, lauréat de l'Institut d'Etudes Politiques de Paris, Hervé Gastinel a également obtenu un MASTER 203 marchés financiers, marchés des matières premières et gestion du risque (Paris IX, Dauphine). Il est par ailleurs ancien élève de l’Ecole Nationale d’Administration (ENA).
Hervé Gastinel a été successivement Inspecteur des Finances (1993), Conseiller technique au Cabinet du Président du Sénat en charge des affaires économiques et financières et des nouvelles technologies (1997), Directeur du Plan et secrétaire du Comité exécutif du Groupe Saint-Gobain (1998).
En septembre 2000, il est nommé Directeur Général de la société Industrielle de Tuiles (devenue Saint-Gobain Terreal), puis Président-Directeur Général en septembre 2001. La société a pris la dénomination de Terreal après avoir quitté le giron de Saint-Gobain en 2003 à l’occasion d’un premier LBO avec les fonds d’investissement Carlyle & Eurazeo. Elle a ensuite été détenue par le fonds LBO France et, depuis l’été 2013, par un groupe d’investisseurs mené par Goldman Sachs, Park Square & ING.
Hervé Gastinel a été réélu Président de la FFTB (Fédération Française des Tuiles et Briques) en juin 2014 après un premier mandat de juin 2005 à juin 2008. Il a également assuré la présidence de la Commission tuiles de la fédération et a présidé le GIE Briques de France. Il est membre du Comité Exécutif de TBE (Fédération Européenne des Tuiles et Briques) et Vice-Président de l’AIMCC (Association des Industries de Matériaux, Produits, Composants et Equipements pour la Construction). De 2011 à 2014, il a occupé le poste de Président de l’association Promotoit qui regroupe les principaux industriels de la toiture et en est aujourd’hui membre du Conseil d’Administration. Il est aussi membre du Conseil d’Administration de l’association Promodul qui devient l’interlocuteur privilégié du gouvernement dans le cadre de la Nouvelle France Industrielle sur le volet de la rénovation thermique des bâtiments.
Hervé Gastinel est l'auteur, en collaboration avec Eric Bernard, de l'ouvrage "Les marchés boursiers dans le monde" (Editions Montchrestien). Il a aussi enseigné à l'Université de Paris II, à l'ENA ainsi qu’à l'ESSEC et a été Maître de Conférence à Sciences Po.
Qui assurera la relève des grands patrons du LBO ?
« Confrérie », « contre-pouvoir » des fonds, « lobby patronal »... : à l'âge d'or des LBO (acquisitions d'entreprise par effet de levier de la dette) en 2006-2007, le Trèfle, cercle discret et informel de puissants dirigeants de grandes entreprises en LBO, était associé à tous les pouvoirs. Nul, chez les fonds actionnaires, n'aurait vraiment osé contester officiellement la ligne de l'un de ses membres, même présumé (l'identité de ses participants n'a jamais été totalement publique). Mais, après dix ans d'existence, le Trèfle a perdu de l'influence qu'on lui prêtait et certaines de ses figures emblématiques. Levier pourtant incontournable des dirigeants pour rééquilibrer leur pouvoir face aux fonds d'investissement, il doit maintenant trouver sa relève.
Exception française
Au départ, ils sont une quinzaine de grands patrons à créer cette exception française dans le paysage européen du capital-investissement, où les fonds dictent alors les termes des transactions, et notamment le partage des plus-values. Les dirigeants de Vivarte (Georges Plassat), Frans Bonhomme (Michel Pic), Picard (Xavier Decelle), Fraikin (Olivier de La Morinière), Terreal (Hervé Gastinel), se rassemblent de façon informelle sous l'impulsion d'Olivier Legrain (Materis) pour échanger sur les bonnes pratiques des montages d'acquisition en pleine expansion, où ils se retrouvent aussi investisseurs, ainsi que sur les sujets sensibles (package de rémunération des dirigeants, actionnariat salarié, fiscalité des dirigeants, relations avec les fonds). Ils créent aussi leur propre fonds commun par lequel ils investissent de manière croisée dans les groupes des uns et des autres.
La concurrence entre fonds aidant aussi pour s'arracher les meilleures opérations, le rapport de force penche en leur faveur. Dans certaines enchères, la cause est perdue sans le soutien des dirigeants. Mais la bascule se révèle véritablement avec la cession de Converteam. La revente du groupe en 2008, deux ans après l'avoir sorti vivotant du giron d'Alstom, cristallise les tensions avec les fonds, pour qui l'inversion du rapport de force est allée trop loin. Pierre Bastide et l'équipe de management élargie reçoivent autour de 900 millions d'euros, plus que la plus-value du fonds vendeur Barclays Private Equity. Un « LBO jackpot » qui fait craindre aux fonds un précédent.
La crise rebat les cartes
Mais la crise éclate et rebat les cartes. Elle remet en question une série de montages plombés par la dette et la chute des résultats. Et, avec ces derniers, l'influence de dirigeants que les fonds n'ont pas hésité à remplacer. D'autres patrons se sont lassés, ou ont rejoint des grands groupes de l'industrie. Georges Plassat a rejoint Carrefour en 2012, alors que Vivarte commençait à souffrir de la mauvaise conjoncture. Michel Pic, dirigeant historique de Frans Bonhomme, a cédé les rênes en 2009 et son groupe, depuis, est tombé entre les mains de créanciers.
Deux dirigeants cependant seront restés jusqu'au bout incontournables. Hervé Gastinel, le patron de Terreal, depuis sa sortie du giron de Saint-Gobain en 2003, encore aux commandes jusu'en Mai 2015 malgré deux profondes restructurations. Et enfin l'initiateur du Trèfle lui-même, Olivier Legrain, à la tête de Materis depuis sa sortie de Lafarge en 2001. Il assure depuis la restructuration financière du groupe la revente de divisions. Mais il prendra lui-même le large en fin d'année 2014.
Selon un dirigeant du secteur, la défense d'intérêts communs au sein du Trèfle se justifierait moins aujourd'hui : « Avec l'enchaînement de LBO d'une série d'entreprises, la courbe d'expérience des dirigeants a augmenté. Les rapports entre fonds et patrons de LBO sont plus équilibrés. » Jusqu'à quand ? Pour l'heure, quelques très grands patrons dictent leurs conditions dans leurs opérations (lire ci-dessous). Mais ils n'en sont pas à leur coup d'essai.
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/23/06/2014/LesEchos/21713-125-ECH_qui-assurera-la-releve-des-grands-patrons-du-lbo--.htm#M2MTEuoQWsoKJF1A.99

Dénomination TREFLE 
Adresse TREFLE, 19 PLACE DE LA RESISTANCE 92130 ISSY LES MOULINEAUX SIREN 479 766 578 SIRET (siege) 47976657800013 
N° de TVA Intracommunautaire Activité (Code NAF ou APE) Activités des sociétés holding (6420Z) 
Forme juridique société par actions simplifiée Date immatriculation RCS 09-12-2004  
Capital social 6 755 520,00 €
TREFLE II, Société par action simplifiées au capital de 3 438 080€, a débuté son activité en février 2006.
Hervé GASTINEL est président de la société TREFLE II. Le siège social de cette entreprise est actuellement situé 19 Place de la Resistance - 92130 Issy les moulineaux
TREFLE II évolue sur le secteur d'activité : Activités des services financiers, hors assurance et caisses de retraite

Epoux de Valérie Gastinel: En 2006, Valérie Gastinel créé le cabinet Gastinel Avocats dédié au droit de la propriété intellectuelle. Le positionnement du cabinet lui permet d’offrir ses services auprès d’une clientèle composée de sociétés, créateurs indépendants, professionnels du droit (avocats, conseils en propriété industrielle, etc.).« Counsel », responsable du groupe Propriété Intellectuelle du cabinet d’avocats international Clifford Chance durant 12 ans, Valérie Gastinel a conseillé et assisté de nombreuses sociétés françaises et étrangères dans tous les domaines du droit de la propriété intellectuelle.
Valérie Gastinel a exercé au sein de la Délégation Générale pour l’Armement (DGA) où elle a acquis une solide expérience notamment dans la négociation et la rédaction de contrats de coopération internationale en recherche et développement, licences de brevets et de savoir-faire, dans un environnement industriel très international et à forte innovation technologique impliquant des Etats et des industriels étrangers.
Valérie Gastinel est membre de l’APRAM (Association des Praticiens du Droit des Marques et des Modèles)

Couverture : Monier mise sur le terrain

Couverture : Monier mise sur le terrainLe secteur de la couverture n’est pas au mieux de sa forme. La faute au marché du neuf, qui a précipité les principaux fabricants dans sa chute depuis maintenant deux ans. Et le premier semestre 2014 ne promet aucune embellie. Dans ce contexte tendu, avec en toile de fond une réorganisation majeure de l’équipe dirigeante, prendre la parole est toujours risqué. Saluons donc l’initiative de Jacques Llados, directeur général de Monier France, qui a bien voulu nous dévoiler une partie de la stratégie commerciale et marketing de l’entreprise.
Pour affronter un marché atone, la filiale française a dû adapter son outil industriel (fermeture de l’usine de Saint-Jean-le-Blanc) et resserrer le staff dirigeant pour permettre une communication interne plus efficace et plus rapide entre les différents services. Mais aucun bouleversement majeur n’est annoncé. « Nous sommes réunis et totalement opérationnels, afin de poursuivre ce qui a été initié par nos prédécesseurs », annonce Jacques Llados. « Notre signature “Les toitures intelligentes” reste le fil conducteur de nos actions. Il s’agit juste d’affiner la traduction de cette stratégie au regard de la crise que nous traversons, surtout en notre qualité de leader sur le marché résidentiel neuf. Pour cela, il a fallu peaufiner notre compréhension de la structure des différents marchés, du fait de notre faible présence dans le diffus ».
Cap sur la rénovation
L’un des premiers résultats tangibles est la poursuite des investissements. Loin de se recroqueviller sur elle-même, la société continue d’innover en lançant, après une nouvelle gamme de tuiles minérales, une tuile canal inédite, la Fériane, à laquelle 2,6 M€ ont été consacrés en R&D et production industrielle. « Au total, ce sont plus de 6 M€ d’investissements qui seront consentis jusqu’en 2015 », précise Jacques Llados. En plus de ces commercialisations, nous allons continuer de monter en puissance dans le secteur de la rénovation en intensifiant notre présence sur le marché de l’isolation avec notre concept Climat Comfort Réno. Il répond à une réelle demande, puisque nous avons réalisé plus de 600 chantiers l’année dernière et nous poursuivons la promotion de ce produit en proposant des services annexes comme la préconisation, l’aide au chiffrage et le démarrage de chantier ».
Côté négoce, les points de vente ne seront pas oubliés avec, depuis le 1er février, une action pour augmenter le nombre de stockistes, qui s’ajoute aux formations spécifiques et au renouvellement des PLV. « Nous associons également les artisans pour une opération promotionnelle “solo/duo/trio” jusqu’au 31 juillet, visant à les fidéliser de façon progressive selon les produits qu’ils commandent pour chacun de leurs chantiers ». Des actions concrètes et ciblées, une présence au plus près du terrain, qui devraient s’avérer gagnantes.

Source Zepros

TUNISIE: La compensation sera supprimée pour le textile, la céramique, les briqueteries et l’agroalimentaire

Après la suppression de la compensation des cimenteries et du gaz et de l’électricité , il va être au tour des usines du textile , des briqueteries , de la céramique et des industries agroalimentaires d’être touchées par cette mesure , et ce de façon progressive s’étendant sur une période entre 3 et 6 ans, selon une source haut placée au ministère de l’Industrie, de l’Energie et des Mines, citée par Attounssia.
Ces secteurs sont hautement énergivores, ce qui a commandé la révision de la compensation dont ils bénéficient, et ce dans le cadre de la réforme du système de subventions lancée par le gouvernement, depuis l’année dernière.
La même source a précisé que la suppression de la compensation dans ces secteurs, excepté celui du ciment, procurera à l’Etat des ressources financières de l’ordre de 200 millions de dinars par, an.
Elle a, en outre, indiqué, qu’au cas où serait supprimée la compensation de l’électricité et du gaz dans les secteurs industriel et domestique, l’Etat fera des économies estimées à 500 millions de dinars par an, affirmant qua la décision de suppression de la compensation a été prise en concertation avec les professionnels qui ont manifesté leur compréhension à l’égard de la situation énergétique du pays.
Source AfricanManager

IMERYS/Ardoisières d'Angers. C'est la fin, le plan social est signé

Direction et syndicats ont signé, le 28 mars midi , le plan social. La fin de l'exploitation et de tout un pan du patrimoine angevin.
« C'est fini. C'est notre vie à tous qui s'en va. Ça fait mal, très mal. » Les salariés se sont retrouvés, en début d'après-midi, à l'entrée des Ardoisières, à Trélazé. L'immense brasero, qui bloque l'entreprise depuis des semaines, ne parvient pas à réchauffer les cœurs. « Nous sommes très tristes et amers. C'est mille ans d'histoire qui s'arrêtent avec nous... »
La fermeture a été annoncée le 25 novembre. Un choc pour les 153 salariés. Et pour les Angevins très attachés à ce patrimoine. Pour le groupe Imerys, le gisement est épuisé. Les Ardoisiers ne l'entendent pas ainsi. Hélas, une expertise le confirme. Un projet de coopérative ouvrière, qui reprendrait 57 salariés, capote au bout de quelques jours.
À partir de là, les négociations s'accélèrent. L'accord est signé, ce midi, entre la direction et les deux syndicats CGT et CGC. Il doit encore être validé par la direction du travail. « Nous aurions tant aimé que ça dure encore... »

Source Ouest France

Legris Industries : un acteur reconnu du développement d'entreprises

La vocation de Legris Industries est d'investir dans des activités industrielles de taille intermédiaire dotées de savoir-faire technique de haut niveau. Le Groupe les aide à construire des positions de leadership sur leur marché en accélérant leur développement.

Au cours des 25 dernières années, le Groupe Legris Industries a bâti une approche, des méthodes et des outils pour accompagner des entreprises sur le long terme :
Le Groupe Legris Industries accompagne ses Divisions dans leurs choix stratégiques, leurs projets de croissance interne comme externe. Sa démarche vise à valoriser ses métiers, en les aidant à cultiver leurs atouts, souvent différenciants, et à poursuivre une expansion internationale, gage de croissance et de pérennité.
Au sein du Groupe, chaque Division bénéficie de la mise en commun de moyens et de savoir-faire dans des domaines clés, identifiés comme des vecteurs d'efficacité. Les directions fonctionnelles du Groupe (Ressources Humaines, Communication, Juridique, Fiscal, Finance et Systèmes d'Information) exercent leur rôle de support et de contrôle de façon transversale sur l'ensemble des activités. La transversalité, le partage des expertises et le développement d'une organisation en réseau relèvent d'une volonté stratégique. Le Groupe Legris Industries organise la transversalité entre ses métiers afin de renforcer la performance de chacune des Divisions et de l'ensemble du Groupe.
L'ambition de Legris Industries est d'être un acteur reconnu du développement d'entreprises industrielles de taille intermédiaire au sein duquel la qualité des relations humaines et l'exigence de rigueur dans la conduite des affaires constituent des éléments essentiels de performance.

Source Legris Industries

31/03/2014

Logement : nouvelle chute des permis de construire

Le nombre d’octrois de permis de construire a brutalement décroché en février, augurant mal des futures mises en chantier. Ces dernières, elles, continuent de baisser malgré une base de comparaison de plus en plus basse.
Ceux qui pensaient que le marché des logements neufs avait touché le fond en sont pour leurs frais. Le nombre de permis de construire octroyés, qui baisse régulièrement depuis plus d’un an, a décroché au mois de février. Cela augure mal, très mal, des futures mises en chantier et donc de l’activité du BTP. Selon les statistiques ministérielles dévoilées ce matin, lors des trois mois arrêtés à fin février, moins de 85.500 permis ont été accordés pour des « logements ordinaires », c’est-à-dire sans compter les résidences (seniors, tourisme, etc.). C’est 24% de moins que sur la même période en 2012. Pour mémoire, la baisse n’était, à fin janvier, « que » de 20%. Ceci porte le cumul sur douze mois à 380.300 permis (–17,8 %) contre 393.500 fin janvier (–14,6 %) pour les logements ordinaires.
Les permis concernant construction neuve (hors travaux sur bâtiments existants), qui représentent 87 % du total, baissent de 21,5 %. Tous les types de logements sont touchés, à des degrés divers. Les maisons, de loin les plus affectées depuis un an, accusent une chute impressionnante quand on compare les trois mois écoulés à la même période en 2012 (–38,6 %). Les maisons de constructeurs souffrent davantage que les maisons groupées des promoteurs. Signe inquiétant, les logements collectifs, même s’ils baissent beaucoup moins, décrochent aussi. Leur chute s’accélère et seuls 44.400 permis ont été accordés en trois mois pour des appartements (–3,1 % par rapport à la période équivalente de 2012) contre 47.000 appartements à fin janvier (–2,5%).
Maisons sinistrées
Le décrochage des permis de construire est d’un telle ampleur que les plus touchés, les constructeurs de maisons en individuels purs, accusent sur douze mois cumulés –25,5%, contre –18,4% fin janvier. Les ménages modestes accédant à la propriété privilégient les maisons de constructeurs, moins chères que les logements de promoteurs car construites plus loin des villes. Cette clientèle a été la plus affectée par la crise, mais la demande des ménages modestes pourrait bien aussi s’être reportée en partie sur les appartements, tant les promoteurs s’en sortent comparativement mieux sur ce segment.
Les mises en chantier, elles, n’ont pas subi la même chute brutale sur le mois de février. Elles continuent à s’enfoncer doucement en nombre absolu : en douze mois, 309.500 logements ordinaires (hors résidences seniors, étudiants etc) ont été mis en chantier soit 3.000 logements de moins qu’à fin janvier sur douze mois glissants. La base de comparaison étant de plus en plus basse, le recul en pourcentage s’atténue un peu, il est de –1,9% contre –2,1% à fin janvier. En termes de construction neuve, hors travaux sur logements existants, on s’éloigne de plus en plus de la barre des 300.000, qui avait été enfoncée il y a quelques mois. Ce devait être une ligne Maginot, mais finalement, en cumul sur douze mois, on est désormais à 292.600 logements neufs et rien n’indique que le mouvement va s’inverser, surtout pas les permis accordés. D’autant que leur décrochage se conjuguent à un niveau élevé d’annulation, c’est-à-dire de permis qui ne se transforment pas en mises en chantier.

 Source Les Echos par Myriam Chauvot

Belgique: Nouveau départ pour la briqueterie de Wanlin

La cession du bail emphytéotique de l’argilière a néanmoins fait grincer les dents de la minorité qui dénonce une clause dissuasive inquiétante.
La nouvelle est connue depuis le mois d’octobre dernier. Abandonnée par le groupe Wienerberger, la briqueterie de Wanlin a trouvé acquéreur dans l’union entre Thomas & Piron et Nonet. Objectif: créer une nouvelle société (Argibat) spécialisée dans la fabrication de briques en terre crue et de produits de plafonnage. Mercredi soir, le conseil communal devait se prononcer sur la cession du bail emphytéotique des lieux avant le 31 mars afin que la société puisse démarrer ses activités. Une bonne nouvelle assortie de quelques bémols, de la part de la minorité.
Avant de rentrer dans le vif du sujet, le bourgmestre Yvan Petit a tenu à rappeler les étapes qui ont émaillé le devenir du site, depuis la décision de la multinationale autrichienne jusqu’à la reconversion. Des étapes ponctuées par de nombreuses réunions où se sont – entre autres – retrouvés autour de la table des acteurs comme le Bureau économique, la commune (représentée par son bourgmestre), la Région, les partenaires sociaux et les candidats repreneurs.
«Dès le départ, Wienerberger était en position de blocage, rappelle Yvan Petit. Il fermait en spécifiant que l’on ne pourrait plus y faire de briques. À cela s’ajoutent le volet social et la perte de 25 emplois.» Cette année consacrée à l’élaboration d’un projet et au sauvetage de 9 emplois peut-être considérée, à ses yeux, comme une belle réussite. Un enthousiasme que ne partage pas la minorité. Premier grief: le manque d’informations vis-à-vis de l’ensemble du conseil. À cela s’ajoute le côté «précipité du vote. «Après un an, on ne vient pas avec un ultimatum à 4 jours de l’échéance,» souligne le conseiller Matagne.
Néanmoins ce qui inquiète davantage, ce sont les conditions émises pour céder le bail. L’acte notarié supprime la clause relative à l’utilisation de la terre sur place. En outre, la société autrichienne demande à ce qu’elle puisse ponctionner de 4 à 5.000 tonnes par an durant une période de 3 ans. Ce qui, pour le conseiller Matagne, consiste «à céder la seule ressource naturelle qui se trouve dans le patrimoine communal». D’autres pistes auraient dû être exploitées comme le décret de 2002 sur les carrières ou encore le non-paiement, par la multinationale, de ses «annuités» pour 2012 et 2013. Ce qui aurait pu permettre une expropriation et laisser main libre aux repreneurs.
Négociations difficiles
Des repreneurs d’ailleurs présents au conseil. Ceux-ci ont d’ailleurs tenu à rappeler les difficultés rencontrées lors des négociations. «Au départ, le BEP et le cabinet Marcourt ont étudié comment casser le bail emphytéotique, a précisé M. Nonet. Ils n’ont pas trouvé la moindre faille pour l’exclure.»
Le vote s’est fait sans surprise. Le conseiller Matagne a voté contre la cession. Ses 4 colistiers se sont abstenus. Le conseiller Marot s’est déclaré «particulièrement fâché de la manière dont le dossier a été mené. Cela méritait beaucoup mieux.» Malgré les réserves émises, Agribat peut désormais démarrer ses activités.
Source: L'Avenir par Catherine DETHINE

30/03/2014

CERIC Technologies présente ses nouvelles technologies sur le salon CERAMATECH à Moscou

Du 28 au 31 janvier dernier s’est tenu à Moscou le salon CERAMATECH en parallèle du salon des matériaux de construction OCM. Le salon CERAMATECH présente les technologies, équipements, machines et matières premières pour l’industrie céramique. Cette association permet des échanges particuliers entre producteurs et équipementiers.

La société CERIC, présente depuis plus de 40 ans en Russie était donc très attendue sur cette manifestation.
De nombreux professionnels de Russie, de Biélorussie ou d’Ukraine se sont pressés sur le stand afin d’évoquer de nouveaux investissements, leurs projets en cours et se tenir informés sur les nouvelles technologies proposées par CERIC Technologies, comme :
• les centrales de cuisson pour biomasse,
• le groupe d’étirage PELERIN® DEMETER d’une capacité de 100 t/h.

Ce salon fut l’occasion d’échanger sur les possibilités d’augmentation de production, de diminution de la consommation ou l’introduction de nouveaux produits, facilités par la modularité et la longévité des équipements installés dans les usines CERIC.

Les visiteurs furent également intéressés par les audits d’installations qui permettent de repérer et définir les modifications afin d’atteindre des objectifs déterminés tant en termes de nouveaux produits qu’en termes d’économies énergétiques. 


La société CERIC sera présente sur le prochain salon MOSBUILD, et vous y donne d’ores et déjà rendez-vous du 1er au 4 avril 2014 – stand G249, Pavillon 2, Hall 4, Expocentre, Moscou.


Source CERIC/ Facebook

29/03/2014

Saint-Marcel-Paulel. Briqueterie de Nagen : l'archevêque découvre un siècle de savoir-faire

La briqueterie de Nagen a reçu la visite de Robert Le Gall, archevêque de Toulouse. En compagnie de Claude Roudière, maire, de Pierre Desrozier, curé doyen du doyenné, du père Georges Boyer et de Jacqueline Ambrosini, présidente de l’office de tourisme de Verfeil, l’archevêque a parcouru les ateliers guidé par les responsables des lieux : Chantal, Jacques et Aline Blanc, descendants du fondateur de la briqueterie. «Dans le cadre de la visite pastorale, je découvre les réalités humaines des différents lieux touristiques et industriels qui font la vie d’un pays», explique Robert Le Gall.
Même si la briqueterie est aujourd’hui confrontée à la concurrence impitoyable de la brique industrielle, la fabrique marcelloise ne manque pas d’atouts pour séduire une clientèle extrêmement variée. «Nous proposons aux clients des produits sur mesure», souligne Chantal Blanc, petite-fille du fondateur. De fait, le site respire la terre, cuite ou crue, travaillée avec passion par une dizaine de salariés selon des techniques ancestrales. Ainsi, l’argile extraite de la carrière de la plaine de Nagen est toujours utilisée pour la construction de bâtiments «en traditionnel», mais aussi pour la restauration d’édifices historiques. «Nous avons par exemple fabriqué des briques pour la cathédrale d’Albi», a rappelé Jacques Blanc à l’archevêque. À l’issue de la visite, Aline Blanc a remis à Robert Le Gall trois Rois mages confectionnés en terre crue, ainsi qu’une croix de Toulouse perlée.
La briqueterie de Nagen fabrique des pièces en terre depuis 1920. À ce jour, elle produit en moyenne 1700 tonnes de briques chaque année. Les petits-enfants du fondateur ont repris les rênes de l’entreprise familiale au décès de leur père en 1985.

Source La Dépêche du Midi

28/03/2014

Georges-Marie Leroux : l'énergie favorise la compétitivité

Créée à Cholet il y a un an, la plateforme d'innovation Orace aide les entreprises à « prendre un temps d'avance » sur la maîtrise des dépenses énergétiques.
Lancée début 2013, la plateforme régionale d'innovation Orace (Organisation régionale pour l'abaissement de la consommation énergétique) a tenu lundi sa première assemblée générale à Cholet. Cholet où l'association est née, de la volonté conjointe de la chambre de commerce (CCI) et de la Région Pays de la Loire, dans le sillage des équipements et formations dans le secteur de l'énergie existant depuis 2011 à Eurespace.
Pour Georges-Marie Leroux, le président d'Orace, l'objectif n'est pas seulement de rentabiliser au mieux l'investissement réalisé dans le nouveau centre de formation de la CCI : « Les entreprises ont des problèmes de compétitivité qu'elles ont l'habitude d'aborder d'abord sous l'angle des matières premières ou du coût de la main-d'oeuvre. Plus rarement en prenant en compte l'énergie. » Mais l'ancien PDG de la briquetterie Bouyer-Leroux en est convaincu : l'énergie va quitter les frais généraux pour « devenir un sujet majeur pour la compétitivité. L'idée d'Orace, c'est de prendre un temps d'avance sur ce terrain-là. »
La plateforme régionale d'innovation de l'énergie maîtrisée a démarré avec une quinzaine d'adhérents. Elle en compte aujourd'hui 42. À la fois des spécialistes de l'énergie et des entreprises industrielles, commerciales ou tertiaires amenées à utiliser leurs services.
Cible : les entreprises de 50 à 250 salariés
« Notre « cible », ce sont les entreprises de 50 à 250 salariés. Plus petites, c'est le chef d'entreprise qui à l'oeil sur les dépenses d'énergie, en père de famille. Plus grosses, elles disposent déjà de l'expertise nécessaire en interne. Notre objectif, c'est d'inciter les chefs d'entreprise à passer à l'action. Ce n'est pas facile d'aborder la question de l'énergie, du chaud, du froid, avec des postes de consommation un peu partout... »
L'une des actions concrètes proposées par Orace, c'est la formation - à Eurespace - de « référents énergie » pour les entreprises adhérentes. La plateforme propose aussi des visites techniques d'entreprises ou des conférences (prochain rendez-vous : le 26 mai à 18 h à Eurespace, avec Pierre Radanne, ancien président de l'Ademe).
Elle peut aussi accompagner les entreprises adhérentes dans leur diagnostic énergétique et la mise en oeuvre de solutions économes. Avec toujours la compétitivité en ligne de mire : « On peut facilement « gratter » 10 à 15 % de consommation d'énergie. Et le retour sur investissements est de l'ordre de trois ans. »

Source Ouest France

Assurance-crédit: un pas vers l'équilibre entre les parties

Mise en lumière en 2008 par la crise, l'assurance-crédit a pris de l'importance dans un paysage français où les retards de paiement concernent les deux tiers des entreprises.
Des mesures ont été prises, notamment en faveur de l'export. Quelle est la nouvelle réalité de cette relation tripartite ? Assurance-crédit: un pas vers l'équilibre entre les parties " L'assureur-crédit est devenu en cinq ans un partenaire à part entière, au même titre que la banque ", reconnaît Armand du Chayla, trésorier du groupe Terreal, spécialiste de la fabrication de produits de construction en terre cuite. En couvrant la créance du fournisseur sur son acheteur, l'assurance-crédit permet en effet d'éviter les défaillances en chaîne. Si, dans cette relation tripartite, le lien n'est contractuel qu'entre l'assureur-crédit et l'assuré fournisseur, les effets indirects sur l'acheteur sont également importants. L'assureur doit apprécier le risque que la créance garantie ne soit pas honorée par l'acheteur avec lequel son client est en relation commerciale, et attribue une note à l'acheteur. Pourtant, seulement 10 % des entreprises françaises de plus de dix salariés sont couvertes par des contrats d'assurance-crédit. L'encours total maximal de crédit assuré en France est compris entre 320 et 365 milliards d'euros, contre un montant total du crédit interentreprises évalué à 600 milliards d'euros. En cause, la diminution des engagements des assureurs-crédit. Selon le baromètre 2012 réalisé par le cabinet de recouvrement ARC, la tendance est relevée par 83% des sociétés interrogées. En juin 2013, Bercy et la Médiation du crédit rendaient publics, via une convention, les engagements pris par les principaux acteurs du marché pour garantir une meilleure relation entre assureurs et entreprises. " Cette réforme est l'aboutissement du travail réalisé conjointement par le gouvernement, la Médiation du crédit et les assureurs-crédit ", indique Alexis Prevesianos, directeur grands groupes et institutions d'Euler Hermes France.
La fin de la rupture d'encours sans préavis
En 2009, la crise frappe et l'assurance-crédit se désengage des entreprises les plus fragiles, dans un contexte où le chiffre d'affaires ne fait que chuter. Avec plus de sinistres et moins de primes, le secteur est aussi affecté. Une concertation est alors engagée entre les pouvoirs publics et les assureurs-crédit. " Dès la fin 2008, avec l'accord de la Médiation du crédit et, en mai 2009, avec la réunion à Matignon, les relations de l'État avec le secteur se structurent, poursuit Alexis Prevesianos. De bonnes pratiques ont été identifiées et la convention de juin les étend à l'ensemble du marché, de façon à ce qu'il n'y ait pas de trous dans le filet. " L'accord n'est juridiquement pas contraignant et ne prévoit aucune sanction. En tête des engagements, les assureurs-crédit signataires, à savoir Atradius, Axa Assurcrédit, Coface, Euler Hermes, Grou­pama Assurance Crédit, FFSA (soit 90% du marché) mettent fin à la rupture d'encours sans préavis. Pour le trésorier de Terreal, " c'est une avancée très importante car la disparition rapide des lignes sans consultation préalable était brutale et pénalisante. "
Information réciproque et assurance privée complémentaire
Des améliorations sont également apportées du côté de l'information réciproque entre ache­­­­­­teur et assureur-crédit. " Jusqu'alors, une entreprise acheteuse n'était pas systématiquement informée de la révision des décisions la concernant comme l'encours moyen ou la notation, explique Cyrille Char­bonnel, directeur de Coface Europe de l'Ouest et France. Or, tout le monde gagne à avoir plus de transparence. L'assureur-crédit a besoin des éléments relatifs à la situation financière de l'acheteur et, de ce point de vue, le projet du Gouvernement d'assouplir l'obligation de la publication des comptes pour les petites entreprises nous paraît mal venu. " Plus précisément ce projet de loi (n° 1341, déposé le 4 septembre 2013), qui modifie le régime de la publicité des comptes en offrant aux TPE une option de confidentialité, tient compte d'une directive européenne relative aux comptes annuels et consolidés, publiée en juin dernier. Cette directive prévoit, en effet, que les plus petites entités peuvent établir un bilan et un compte de résultat abrégés. Elles ne sont plus dans l'obligation d'utiliser les comptes de régularisation pour certaines dépenses, et peuvent être dispensées d'une annexe et d'un rapport de gestion sous certaines conditions. Les États membres ont jusqu'en juillet 2015 pour transposer cette directive dans le droit national.
La convention de juin 2013 prévoit, via un système d'inscription par les sociétés à la plateforme dédiée (www.acheteurs-assurance-credit.fr), une information de l'acheteur en cas de dégradation de l'appréciation du risque le concernant. Il dispose a minima de trois semaines pour échanger avec l'assureur, au cours desquels il peut fournir tous les éléments objectifs démontrant son redressement. " Un vrai dialogue s'instaure qui conduit l'entreprise à être plus proactive et à savoir mieux se présenter, estime Armand du Chayla (Terreal). Malgré tout, le rapport de force n'est pas inversé. "
Enfin, l'État a demandé au marché de renouveler son offre complémentaire du type "CAP" afin de mieux répondre aux besoins des entreprises. Ces produits privés de couverture com­­­­­plémentaire donnent la possibilité de souscrire une garantie additionnelle pour mieux couvrir un encours. " En principe, notre couverture porte sur la globalité du portefeuille, indique Cyrille Charbonnel (Coface). Or, cette offre complémentaire permet d'acheter une garantie sur un client donné, que l'assuré estime stratégique ou parce qu'il est source d'une forte marge. La couverture à l'unité est à nouveau possible. "
Et demain ?
L'article 31 de la loi de finances rectificative pour 2013 complète le dispositif public d'assurance-crédit sur les exportations de court terme, c'est-à-dire dont la durée de risque maximale est inférieure à deux ans.
Cette mesure s'adresse aux PME et aux ETI françaises souvent confrontées à l'impossibilité de trouver une couverture auprès des assureurs-crédit privés, en particulier sur certaines zones géographiques ou pour des secteurs économiques spécifiques, ce qui pénalise les exportateurs français dans leur développement sur les marchés internationaux. Pour répondre à cette situation, l'État redevient assureur-crédit en étendant sa garantie à la Coface (article L. 432-2 du Code des assurances) pour que celle-ci réassure des sociétés privées habilitées à pratiquer de l'assurance-crédit à l'export en France, lorsque les conditions de leur intervention sans couverture publique ne sont plus réunies (voir encadré).
Actuellement, le dispositif public d'assurance-crédit, géré par la Coface pour le compte de l'État, est essentiellement utilisé pour proposer aux créances moyen et long termes (risque supérieur ou égal à deux ans).
Modalités pratiques du futur recours à l'assurance-crédit publique
Pour activer le dispositif public d'assurance-crédit géré par la Coface pour le compte de l'État prévu par la loi de finances rectificative pour 2013, la PME ou l'ETI devra prouver le retrait des assureurs-crédit privés. Soit elle produit au moins quatre lettres de refus de couverture d'assureurs-crédit privés, soit elle constate la baisse significative de l'encours et du taux d'acceptation d'au moins deux assureurs-crédit privés.
La réassurance portera sur tout ou partie de l'opération mise en place par l'assureur-crédit privé. Autrement dit, elle permet d'obtenir une garantie égale, même si l'assureur-crédit la réduit ou ne la donne pas entière­ment, la différence de garantie étant apportée par la Coface. Au maximum, elle est égale à la garantie de l'assureur-crédit. Le cadre d'interven­tion du nouveau dispositif sera limité à la couverture des exportations de court terme à destination des pays dits "à risques non cessibles", à savoir les pays autres que ceux à haut revenu de l'OCDE et de l'Union européenne. En contrepartie de la couverture publique, le bénéficiaire de la garantie versera une prime représentative du risque porté par l'État.
À propos du projet de loi consommation et de son impact sur les délais de paiement
Si l'assurance-crédit se développe proportionnellement à l'aggravation de la pratique très française de retarder les paiements, le secteur a de beaux jours devant lui ! Ainsi, selon la consultation nationale publiée le 21 novembre par CroissancePlus et la Médiation ­­­interentreprises auprès des fournisseurs des grandes entreprises françaises, "57% des PME estiment que les délais de paiement ont augmenté par rapport à 2012".
Dans ce contexte tendu, les sénateurs ont adopté un amendement controversé.
Dans le projet de loi Consommation défendu par Benoît Hamon, ministre délégué à l'Économie solidaire et à la Consommation, cet amendement inclut dans le délai global légal de paiement un délai d'approbation, c'est-à-dire le délai de vérification et de réception des biens et services (en l'état actuel, ces délais cachés peuvent porter le délai de paiement jusqu'à 120 jours). Toutefois, les sénateurs ont ouvert une porte en offrant aux entreprises la possibilité de prévoir par convention un délai spécifique lorsque des vérifications et des procédures de réception un peu plus longues sont nécessaires. La limite étant de ne pas constituer une clause ou pratique abusive.
Source DAF MAG