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18/04/2013

La construction en croissance de 5% en Bulgarie

Selon la société d'études de marché PMR, le secteur de la construction en Bulgarie devrait progresser de 5% en 2013.
Malgré les risques induits par les liens relativement étroits entre les économies grecques et bulgares dans le domaine financier, l'économie en Bulgarie a bien résisté en 2012. Le risque de récession étant faible selon la société d'études de marché PMR, la croissance du PIB devrait s'accélérer en 2013 porté par une progression du secteur de la construction aidé en cela par les financements apportés par l'Union Européenne dans le domaine des grands projets d'utilité publique. Le génie civil devrait particulièrement doper l'activité de la construction, stimulé par les grands projets d'infrastructures routières et ferroviaires et les projets environnementaux. De son côté, le marché de la construction de logements devrait se stabiliser après plus de cinq ans de baisse consécutive.

Source France BTP

Baisse inattendue de 0,4% des ventes au détail en mars aux USA

Les ventes au détail aux Etats-Unis ont baissé en mars pour la deuxième fois en trois mois, montrent les statistiques officielles publiées vendredi, signe que l'économie pourrait avoir décéléré à la fin du premier trimestre.
Le département du Commerce a fait état d'un recul de 0,4% des ventes après une hausse de 1,0% en février, alors les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une stabilité après la progression de 1,1% annoncée initialement pour février.
Les estimations s'échelonnaient entre une baisse de 0,6% et une hausse de 0,8%.
Les chiffres des ventes au détail ont été inhabituellement volatils ces derniers mois, ce qui rend difficile toute tentative d'explication du recul observé en mars: celui-ci pourrait être lié à des hausses de taxes entrées en vigueur en début d'année mais aussi aux conditions climatiques.
Hors automobiles, carburants et matériaux de construction, les ventes ont baissé de 0,2% le mois dernier. Cette composante est celle qui correspond le mieux à la composante de la consommation des ménages entrant dans le calcul du produit intérieur brut (PIB).
Le mois dernier, les ventes d'automobiles ont diminué de 0,6% et celles d'électronique et d'électroménager de 1,6%, tandis que les ventes d'habillement n'augmentaient que de 0,1%.
Source Challenges par  Jason Lange, Marc Angrand pour le service français, édité par Nicolas Delame

17/04/2013

Ils ont dit au-revoir à «Doudou»

La ville d'Auterive et notamment le monde rugbystique vient de perdre un être très cher à leur cœur.
Daniel Dourel, que tout le monde appelait Doudou s'est éteint. Prescripteur de produits de terre cuite pour Terreal, il était très reconnu dans le monde du bâtiment. Sa manière de commercer à l'ancienne a fait de lui un homme en qui ses clients qui l'estimaient avaient entière confiance. Même au salon Batimat à Paris où il se rendait, il était connu et surtout reconnu. Après une brillante carrière, il avait pris sa retraite, il y a 18 mois. Doudou travaillait pour ce qu'il aimait et chacun reconnaissait en lui un gars de parole, entier, discret. Toutes ses qualités, il les a mises au service du sport et notamment du rugby que ce soit au club d'Auterive, comme au Stade Toulousain. Ce Tarn-et Garonnais d'origine s'était installé à Auterive, il y a une trentaine d'année.
Rugbyman émérite avec un palmarès enviable, il avait notamment participé à la coupe d'Europe, il a été entraîneur du club en 92-95, entraîneur au stade toulousain de 82 à 92, puis entraîneur des seniors en 2001-2002 à Auterive. Il s'était battu récemment au sein du SAA XV pour la labélisation de l'école de rugby dont il était président depuis 6 ans et qu'il a obtenue. De 40 enfants au départ, il a su développer l'école pour arriver à maintenant à près de 130 enfants. Il laisse là, un bel héritage. Sportif passionné, il aimait les gens et malgré sa remarquable carrière et professionnelle et sportive il savait rester simple. Un type bien…
Ses amis du club ont convié, en fin de semaine dernière, au stade du Ramier qu'il affectionnait tant, son épouse Christiane, ses enfants Eric et Tamara, sa famille et ses amis. Tous s'y sont retrouvés pour dire un dernier au-revoir à Doudou. Emouvant.

La Dépêche du Midi

Quelle est la suite de la procédure de protection administrative pour l’équipementier bavarois pour l’industrie de la terre cuite Lingl?


Il est prévu une réduction significative des effectifs annonce le Directeur Général Hugo Schneider.  Lingl a jusqu’au 18 Avril pour mettre au point son plan de redressement. Pour se faire une nouvelle procédure de protection administrative permet de simplifier les restructurations.

Comment se déroule cette procédure ?
Nous-nous sommes entretenus avec l’avocat spécialisé dans le droit des faillites, Christian Plail, qui est l’expert le plus avisé dans ce domaine :
La société familiale Lingl se trouve dans une situation extrêmement difficile On peut avoir recours à  la loi pour un redressement simplifié des entreprises ( ESUG) qui est rentrée en vigueur depuis Mars 2012.

Peut on décrire cela comme une variante de la procédure de redressement judiciaire ?
Christian Plail : Il s’agit bien d’une variante du redressement judiciaire. En premier plan il s’agit de redresser l’entrerprise. Il s’agit de permettre la continuité et non de liquider l’activité.

Dans quel cas les sociétés peuvent avoir recours à cette procédure ?
Christian Plail : La procédure de protection peut être déclenchée en cas de menace de cessation de paiement sans pour autant que cette cessation de paiement soit déjà avérée et quand il y a des perspectives de redressement fondées.

Quelle instance prononce l’ouverture de cette procédure ?
Christian Plail : La demande d’ouverture doit être déposée au tribunal administratif de référence.
La demande doit être accompagnée de l'attestation d'un expert, qui doit indiquer les conditions pour l'ouverture de la méthode dite du  bouclier de protection administrative. L'expert peut être un commissaire aux comptes, un conseiller fiscal ou  un avocat ou une personne ayant des qualifications comparables.
Pendant les trois premier mois, la société ( dans le cas qui nous préoccupe LINGL) est placée sous ce fameux bouclier de protection administrative.

Qu’est ce que cela signifie pour les créanciers de l’entreprise ?
Christian Plail : Dans les trois premiers mois un plan de redressement est mis sur pied. Dans ce plan est présenté la structure nouvelle de la société et comment les créances seront traitées ( de manière proportionnelle). Ce plan doit être approuvé par les créanciers lors d’une cession du tribunal.

Dans le cadre de la gestion autonome de la procédure, la direction historique reste aux commandes. Est-ce logique ?
Christian Plail : En fait le directeur général reste toujours au poste de commande. Il reçoit cependant l’aide d’un copilote de taille. Dans le cadre de la gestion autonome de la procédure, il n’y a pas d’administrateur judiciaire de nommé à la tête de l’entreprise mais on a recours  à un tuteur. Celui-ci dispose de pouvoirs étendus et contrôle la direction. Cette gestion autonome doit être un incitatif pour déclencher au plus tôt une procédure de redressement judiciaire et pas seulement lorsqu’il est trop tard pour bâtir les conditions de la restructuration.

Que se passe-t-il quand le plan de redressement n’est pas approuvé ?
Christian Plail : Alors la procédure se transforme en procédure de faillite.  Ce qui ne signifie pas pour autant la fin.  Par exemple l’activité peut reprendre de manière durable après une reprise réussie par un investisseur.

Dans le cadre de la procédure de redressement , il existe la possibilité que l’état prenne en charge les salaires. Comment cela fonctionne-t-il concrêtement ?
Christian Plail : Pour les salariés 3 mois de salaire sont pris en charge par le fond d’insolvabilité. Sur cette période les salaires, charges et passifs salariaux sont sécurisés. Il existe également la possibilité de préfinancer ces fonds par l’intermédiaire d’une banque qui sera remboursée par  l’agence fédérale du travail.

Quel impact aura la procédure sur les retraites et sur les indemnités de licenciement ?
Christian Plail : Les personnes concernées ne connaitrons pas d’impact sur leur retraite. En effet si l’entreprise ne peut plus payer les cotisations de retraites, alors l’association  de garantie des pensions de Cologne se substitue à elle. Par contre la procédure de redressement impact la durée du préavis de licenciement des salariés du fait de la procédure simplifiée de licenciement.

Pour Lingl il est à craindre un plan de licenciement conséquent. Ceci se concrétisera après le 18 Avril dans une seconde phase de la procédure…
Christian Plail : Le redressement peut passer par une réduction massive du personnel . Pour Lingl il a été évoqué la possibilité de créer une société de formation et d’occupation des personnes licenciées. Cette société serait financée en partie par l’état et en partie par l’entreprise.
Un sujet important sera le plan social. Il peut conduire à des modifications substantielles des contrats de travail des employés comme par exemple le temps de travail. Ceci passe également par un accord avec le comité d’entreprise et le syndicat.


Maroc : L'année 2013 démarre péniblement pour le secteur des matériaux de construction

La consommation de ciment a baissé de 18% sur les deux premiers mois de l'année du fait de l'atonie du BTP, de la promotion immobilière et de l'autoconstruction. La demande sur le sable et la brique recule également. Les prix du ciment et du sable se stabilisent, ceux de la brique et du rond à béton continuent d'augmenter.
Le premier trimestre 2013 confirme les craintes des professionnels des matériaux de construction quant à une chute de la demande. Le ciment, seul matériau dont la consommation fait l’objet d’un suivi statistique, affiche une baisse de plus de 18% à fin février 2013, à près de 2,4 millions de tonnes écoulées. Une méforme à mettre en lien avec un ralentissement persistant du BTP. Pour dire, ce segment n’a consommé que 10% des quantités de ciment écoulées en février. C’est que plusieurs contraintes entravent l’activité de ce secteur. Les chantiers publics accusent le coup des retards au niveau des marchés publics, selon les professionnels.
Côté promotion immobilière, les précipitations fréquentes de ce début d’année perturbent les chantiers. Mais plus que cela, le nouveau régime de taxation des revenus de vente des terrains nus donne bien du fil à retordre aux nouveaux projets. En effet, la Loi de finances 2013 introduit un impôt plus lourd sur les plus-values de cession de terrains avec notamment le relèvement de 20 à 30% du taux de la TPI sur les terrains détenus depuis plus de 5 ans. Dans ce contexte, les propriétaires de terrains font supporter tout ou partie du surcoût fiscal aux acheteurs. Les propriétaires étant généralement inflexibles sur les prix annoncés, rares sont les négociations qui aboutissent pour l’heure. A cela s’ajoute la petite forme de l’autoconstruction, également gros consommateur habituel de ciments.
S’agissant des prix, le ciment s’affiche actuellement à 1 100 DH la tonne, soit le même niveau constaté fin 2012 qui, rappelons-le, était en hausse de 5% par rapport à 2011.
Le recul de la consommation de ciment implique systématiquement une baisse de la demande sur d’autres matériaux, notamment sur le sable, sachant qu’en règle générale, 2,2 tonnes de sable sont consommées par tonne de ciment. Ainsi, ce sont un peu plus de 5 millions de tonnes de sable, qui ont été écoulées en théorie sur les 2 premiers mois de l’année contre près de 6 millions de tonnes durant la même période de 2012. Mais ce début 2013 a été encore plus mouvementé pour la filière du sable avec l’introduction d’un nouveau prélèvement sur ce matériau : 50 DH le m3 sur le sable des dunes et des oueds, et 20 DH le m3 sur le sable de concassage. En effet, pour s’assurer du prélèvement de cette taxe, les pouvoirs publics ont multiplié les contrôles, sans compter quelques mouvements de grève, ce qui a causé des perturbations passagères de la production. Mais les choses semblent s’être à présent tassées, notamment pour ce qui est des prix. La tonne de sable de dune (40% de la consommation nationale) s’affiche actuellement à 325 DH le m3 contre un pic de 350 DH le m3 en début d’année. Cela dit, les producteurs ont répercuté intégralement la nouvelle taxe sur les acheteurs finaux, ce qui a fait croître le prix du sable de 30% par rapport aux tarifs constatés durant la seconde moitié de 2012.
Béton préfabriqué : hausse de 5% des prix depuis le début de l’année
Les choses semblent s’être en revanche passées plus en douceur pour le rond à béton qui, lui aussi, subit un prélèvement de 0,10 DH le kilogramme depuis l’entrée en vigueur de la Loi de finances 2013. En dépit de la nouvelle taxe, les fabricants de ronds à béton n’ont pas revu sensiblement leurs prix. Ce matériau est actuellement vendu à 8 DH le kilo brut, selon les diamètres. Il n’aura connu qu’une légère augmentation sur les derniers mois. Cela se justifie principalement par la concurrence exacerbée sur ce marché du fait d’un afflux massif de produits d’importation qui pourraient être limités dans les prochaines semaines par la mise en place d’une clause de sauvegarde actuellement à l’étude au niveau du département du commerce extérieur. Immanquablement, les prix des produits en bétons préfabriqués utilisant le rond à béton et le sable ont augmenté d’au moins 5% depuis le début de l’année.
Pour leur part, les briquetiers, en dépit d’une demande en baisse, connaissent quelques difficultés pour satisfaire les besoins, et ce, en raison de problèmes d’approvisionnement en fuel qui perturbent la production. Dans ces conditions, les prix pourraient connaître quelques fluctuations. «Les fournisseurs de briques dans la région du Centre ont cessé de prendre les commandes ces deniers jours, ce qui signifie en général que les prix vont augmenter», témoigne un entrepreneur. La brique de 7 cm d’épaisseur s’affiche actuellement à 1,90 DH l’unité, tandis que celle de 10 cm atteint 2,30 DH, ce qui marque déjà une augmentation de plus de 10% par rapport à fin 2012.
Source La Vie éco par Réda Harmak

16/04/2013

L'association rurale brayonne et le le projet de briqueterie de Bouyer Leroux à Roncherolles-en-Bray

INTERVIEW.L'association rurale brayonne pour le respect de l'environnement réunit ses adhérents samedi. Dittmar Hedreul, le président, répond aux questions de Paris-Normandie.

...
« Quel est votre sentiment sur le projet de briqueterie à Roncherolles-en-Bray ? »
« Nous étions inquiets, puis nous sommes allés voir comment travaille l'entreprise Bouyer-Leroux dans le Maine et Loire, nous avons été rassurés par leurs méthodes, notamment la remise en état des sites exploités. C'est pour ça que nous n'avons pas manifesté contre ce projet, nous sommes aussi capables de comprendre la nécessité de créer des emplois, surtout dans cette période difficile. »
  ...

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Bouyer Leroux pourrait finalement s’implanter à Roncherolles-en-Bray (76) La future briqueterie de Bouyer Leroux pourrait finalement s’implanter à Roncherolles-en-Bray (76), et non à Argueil près de Dieppe. Des études seront menées par la Société foncière de Normandie afin de vérifier la faisabilité du projet.

Source industrie céramique et verrière

CERIC Technologies ouvre sa filiale en Algérie

Depuis sa création en 1960, Ceric a installé près de 450 usines dans le monde, dont 66 briqueteries en Algérie. A présent, presque 42 ans après la mise en service sa première briqueteterie en Algérie, CERIC Technologies renforce sa présence en Algérie en ouvrant une filiale à Alger. Afin de mieux servir les fabricants de briques algériens, Ceric a maintenu sa présence en Algérie depuis 1971 au travers de son bureau , même pendant la période difficile des années 1990. Le bureau commercial , créé en 1979, n'a jamais été fermée et cinq ingénieurs commerciaux sillonnent le pays en permanence. Ceric a également été la seule entreprise étrangère à participer à la première exposition Batimatec.
Cette expertise et cette connaissance du marché algérien a conduit le gouvernement français à sélectionner CERIC Technologies comme l'un des trente entreprises invitées à se joindre à une délégation de chefs d'entreprises accompagnant le Président de la République française, pendant sa visite en Algérie du 19 au 20 Décembre 2012. CERIC Technologies a également pris part au Forum économique algéro-française avec les ministres français et algériens, en présence de M. Abdelmajid Tebboune, ministre du Développement du logement et de l’urbanisme.

Tous les jours 4,5 millions de briques sont produites avec des machines Ceric pour construire  l'Algérie de demain.
Cette présence continue sur le territoire algérien conduit Ceric à offrir son expertise à un projet national ambitieux d'une importance vitale pour le bien-être commun: la construction de logements économes en énergie équipées de commodités et de confort pour la vie moderne dans toute l'Algérie. A cet effet, plus d'une douzaine de nouvelles lignes de production (usines de briques essentiellement) ont récemment été mis en service ou en cours de livraison par CERIC Technologies.

La filiale Ceric Technologies en Algérie: une étape importante pour un service optimal.
Ceric veut poursuivre son engagement fondé sur 40 ans de partenariat avec les fabricants algériens de produits rouges en terre cuite et ouvre une filiale aux deux missions principales:

  1. Fourniture de pièces de rechange et d'usure. Ceux-ci seront facturés en dinars pour faciliter le commerce et le stock sera conservée à proximité

  1. Gestion de la fabrication locale d’éléments mécanosoudés pour lesquelles les clients sont seuls responsables jusqu'à présent. Par la suite, il sera possible d'exporter cette production locale, qui mettra l'accent sur des pièces de machines et équipements et composants pour les briqueteries et tuileris (par exemple, chariots de séchage , gaines d’air, châssis de wagons, accrochages réfractaires, etc) pour les clients européens de Ceric technologies et de compléter ainsi les canaux de sous-traitance existants.

Cette production locale apportera un confort optimal aux clients algériens dans leurs opérations industrielles  quotidiennes et contribuera aussi directement et indirectement à la création d'emplois.


Source Ziegelindustrie International

15/04/2013

CERIC Technologies forte présence sur les salons internationaux 2013

  • Sibbuild : du 5 au 8 février – Novossibirsk -Russie, International Exhibition Center, Hall B, stand B 255
  • Kievbuild : du 20 au 22 février – Kiev – Ukraine, International Exhibition Center, Pavillon 3, stand N°3-E.4.1
  • Uzbuild : du 26 février au 01er mars – Tachkent- Ouzbékistan, Uzexpocentre, stand A 48
  • Yugbuild : du 27 février au 2 mars – Krasnodar – Russie, Huban Expo Centre, Pavillon France, stand 1145
  • Mosbuild  : du 2 au 5 avril – Moscou – Russie, Pavillon 7, Hall 1, stand M 327 
  • Batimatec : du 4 au 8 mai – Alger – Algérie, Pavillon France

  • Libyabuild : du 19 au 23 mai – Tripoli – Libye, Pavillon France

Source Ceric Technologies

Algérie: Batimatec, un rendez-vous incontournable pour le secteur du bâtiment

La 16e édition du Salon international du bâtiment, des matériaux de construction et
des travaux publics, Batimatec 2013 ouvrira ses portes du 4 au 8 mai prochain au Palais des expositions aux Pins maritimes.
S’étendant sur toute la surface de la Safex et occupant tous ses pavillons, cette manifestation économique devenue un rendez- vous professionnel incontournable occupera une superficie brut de 45 000 m2. Le secteur de l’équipement et matériel occupera 30%, celui de la construction 20%, celui de l’aménagement et décoration 15% et celui des entreprises de réalisation 15%. Les deux autres secteurs des voiries et réseaux divers de même que les services occuperont chacun 10%. Pas moins de 1 000 entreprises seront présentes à ce rendez-vous devenu incontournable au fil des ans. 550 exposants sont algériens et 450 sont étrangers provenant de 23 pays dont la France, la Tunisie, la Turquie, l’Italie et l’Espagne. Un afflux de visiteurs estimé à 100 000 est attendu comme chaque édition de cet évènement. Un chiffre rendu public à la suite d’une première opération de comptage, réalisée pour la première fois en 2011, au niveau des accès du Palais des expositions.
De nouveaux produits seront exposés de même que de nouvelles idées à l’occasion de ce salon où les professionnels et visiteurs trouveront chacun ce qu’ils recherchent, a indiqué lors de sa conférence de presse M. Sadok Stiti, président directeur général de Batimatec expo, organisateur de l’évènement.
Il ajoutera que plusieurs rencontres sont programmées en marge de ce salon dont des conférences sur l’architecture, le développement durable dans l’aménagement et l’immobilier, le système d’information dans la gestion du patrimoine qui seront animés par d’éminents architectes étrangers et nationaux de renommée mondiale. M. Sadok Stiti a évoqué des sommités de l’architecture à l’exemple de M. Roland Castro, et M. Navarro. Trois architectes algériens de renommée internationale seront aussi présents à savoir M. Réda Amalou, Lounès Mustapha, et M. Hammouche qui développeront des conférences sur des thématiques relatives aux préoccupations de l’amélioration du tissu urbain et de la gestion du patrimoine. Il s’agira à travers cela de revaloriser le rôle de l’architecte et de l’architecture en Algérie a expliqué M. Stiti. Un séminaire international sur l’industrie de la terre cuite sera également organisé, et dont le thème principal est la présentation des innovations et nouvelles technologies dans le domaine de la céramique et des produits rouges à savoir les briques et tuiles. Une conférence-débat sur le thème «Qualité de fabrication pour des bétons, une affaire de tous les intervenants» sera également organisée, de même que des rencontres d’affaires organisées sous l’égide de la Chambre algérienne de commerce et d’Industrie. Des ateliers spécifiques et des séances de démonstrations seront animées par des sociétés participantes sont également prévus. L’objectif de ce salon comme l’a si bien précisé M. Sadok Stiti est de mettre en relation d’affaires les opérateurs économiques nationaux et étrangers. Un nombre important de ces derniers s’intéresse au marché de la construction, notamment avec les grands chantiers et vastes programmes lancés à travers tout le territoire national. «Nous espérons que des joint-ventures se réaliseront à l’avenir».
Pour sa part, le représentant de la Safex a expliqué que le Batimatec est le deuxième grand évènement après la Foire internationale d’Alger (FIA) et qui n’a cessé de prendre de l’ampleur. Des dispositions exceptionnelles seront prises, à savoir l’augmentation des capacités de parking, climatisation et Wifi au niveau de tous les pavillons…
Source La Tribune par Badiâa Amarni

14/04/2013

La tuilerie Nicolas David à Morizès s’ouvre au grand public

Issu d’une famille d’artisan tuilier depuis 1860, Nicolas David perpétue la tradition de fabrication, entièrement à la main, des tuiles plates à crochets, de briquettes et de carreaux de Gironde.
À l’occasion des Journées européennes des métiers d’art, la tuilerie sera ouverte samedi et dimanche de 9 heures à 17 heures. Sur place, visite commentée de l’outil de travail : de la carrière d’argile au véritable carreau de Gironde fait main. Démonstration de la fabrication des différents produits. Ici, le savoir-faire se transmet de père en fils. C’est la 6e génération à travailler sous le même nom. On comptait plus de 400 tuileries dans le département de la Gironde vers 1870, avec une concentration autour de la petite rivière Le Dropt. La terre nécessaire à la fabrication est extraite d’une terrière (carrière d’argile). Autrefois, l’hiver était réservé à l’extraction de cette terre. L’argile extraite était remontée dans une brouette ou un tombereau tiré par des chevaux. Ainsi commence l’histoire des tuileries.
Tuilerie David Nicolas, Teyssines à Morizès. 05 56 71 40 71 ou 06 62 80 49 29. Courriel : contact@carreaux-de-gironde.fr.
Source Sud Ouest par Emmanuelle Patachon

13/04/2013

Un séminaire sur les nouvelles technologies de l’industrie de la terre cuite à Batimatec 2013

Lundi 06 mai 2013. Palais des Expositions de Pins Maritimes. Alger
Lors de la seizième édition du salon International du Bâtiment, des Matériaux de Construction et des Travaux Publics, Batimatec 2013 qui aura lieu du 04 au 08 mai 2013 au Palais des Expositions de Pins, des journées techniques sont prévues en marge de l’exposition qui réunira un millier d’exposants dont la moitié des sociétés étrangères de 24 pays. Parmi les thèmes centraux qui ont été choisis pour cette édition, figure la maîtrise technologique et la gestion par la qualité dans le secteur de la terre cuite.
L’industrie algérienne de la terre cuite constitue une filière dynamique en développement perpétuel. Elle a connu un essor considérable avec la mise en service d’un grand nombre de briqueteries et d’usines de céramique et constitue aujourd’hui un important potentiel industriel réparti sur l’ensemble du territoire national. C’est également un secteur qui a connu la plus grande mutation suite à la privatisation des usines publiques qui dominait largement par le passé. La majorité du potentiel existant appartient aujourd’hui au secteur privé. Des efforts considérables ont été accomplis aussi dans le domaine de la gestion des usines et dans la maîtrise de la qualité des produits. Certaines usines de céramique ont réussi à placer leur produit à l’international bien que la part des exportations reste assez limitée.
La spécificité de ce secteur se caractérise par la volonté soutenue des industriels nationaux à vouloir développer continuellement leur outil de production et souvent à accroître leur capacité de production. De ce fait la plupart des usines sont engagées ou en voie de l’être dans des programmes de mise à niveau ou d’extension des capacités installées. Des investissements complémentaires dont les coûts restent élevés et pour lesquels les choix opérés doivent être mûrement réfléchis. L’évolution des procédés de fabrication et les nouvelles technologies en matière d’équipements de production et de contrôle requièrent une bonne connaissance du marché et une veille technologie permanente.
Le salon Batimatec qui connaît d’année en année une très forte participation des industriels de la terre cuite et la présence des plus grands fabricants d’équipements du continent européen voudrait offrir une opportunité pour présenter aux professionnels et industriels de la terre cuite, les nouveautés et innovations technologiques que connaît l’industrie de la céramique. C’est à ce titre que le prochain salon Batimatec a inscrit dans son programme d’activité la tenue d’un séminaire international qui sera consacré à l’industrie de la terre cuite. Lors de cette rencontre, les fabricants d’équipements seront invités à animer des conférences sur des thèmes d’actualité et à la présentation des nouveautés aussi bien dans le domaine des produits rouges que dans celui de la céramique.
Un Comité d’organisation du séminaire composé de membres de l’Association des Briquetiers Algériens (ABA), du Centre Technique des Industries des Matériaux de Construction (CETIM) et de Batimatec EXPO est chargé de la préparation du séminaire et de la validation des thèmes qui seront présentés à cette rencontre.
Modalités de participation
Le programme du séminaire sera élaboré à partir de communications orales suivies de débats et dont les thèmes traiteront des nouvelles technologies et innovation dans l’industrie de la terre cuite. Les communications retenues par le Comité d’organisation du séminaire seront insérées dans le programme général du salon et affichées à partir du 20 mars 2013. Chaque communication devra avoir une durée de 30 minutes au maximum. À la fin de chaque communication, un débat sera ouvert pour une durée de 20 minutes. La communication devra présenter un intérêt « technique » en termes d’innovation et de nouvelles technologies, et ne pas constituer une présentation purement commerciale d’équipements déjà connus.
Date de déroulement du séminaire
Le séminaire sur l’industrie de la terre cuite est prévu de se tenir en marge du 16e salon Batimatec, le lundi 06 mai 2013 à la salle de conférence du Palais des Expositions de Pins Maritimes, Alger. La participation au séminaire ne sera pas payante. Les participants qui seront invités au séminaire seront pour l’essentiel, les professionnels et industriels de l’industrie de la terre cuite (promoteurs industriels, directeurs d’usine, responsable de production et de maintenance, responsable de qualité, universités, centre de recherches…) Mode de présentation de la communication
La communication sera présentée en salle de conférence (environ 100 participants), de préférence en langue française. Chaque conférencier disposera gratuitement de tous les supports audiovisuels dont il en aura besoin (data show, écran pour projection de diapos ou de slights, sonorisation etc.).

Thèmes de préférence
- Optimisation de lignes existantes
- Extension de capacités
- Efficacité énergétique
- Réduction de la consommation d’énergie et d’émissions de CO2
- Récupération d’énergie lors de la production de céramique
- Exploitation rationnelle des gisements de matières premières
BATIMATEC EXPO
107 Rue des Aveugles Draria, Alger
Tel: +213 20 34 77 03/04
Fax : +213 21 35 31 86 et 21 35 46 44
Mail: batimatec.expo@gmail.com www.batimatecexpo.com

Source L'industrie céramique et verrière. 

12/04/2013

Julie Brossier-Duclos: Des tuiles, des briques... et toute une histoire

Julie Brossier-Duclos, du service Patrimoine, travaille depuis 6 ans sur cette collection. Elle en a fait l'inventaire. Et travaille à la future exposition permanente à la Fabrique Normant.
Le musée de Sologne travaille aux derniers petits détails de sa nouvelle exposition temporaire. Elle nous plonge dans l’incroyable collection Pasquier.
Tout commence dans les années 90. Michel Pasquier, installé à Cour-Cheverny rencontre un collectionneur de briques estampillées, dans le Cher. De là va naître chez ce dernier une passion pour les briques, les tuiles et toutes sortes d'objets d'ornementation et d'éléments d'architecture en céramique. Au fil des ans, sa collection n'a cessé de s'enrichir. Elle comporte quelque 6.800 pièces, venues du monde entier. En 2010, la Ville de Romorantin décide de faire l'acquisition d'une grande partie de la collection. A terme, le public pourra la découvrir dans son ensemble à la Fabrique Normant (bâtiment Hennebique).
En attendant que le projet prenne physiquement vie, c'est au musée de Sologne que quelque 200 pièces ont été mises en valeur dans le cadre de la nouvelle exposition temporaire intitulée « Céramiques et architecture, l'exceptionnelle collection Pasquier ».
Julie Brossier-Duclos a travaillé à l'inventaire de la collection. De quoi lui permettre d'imaginer la muséographie de l'exposition qui évoque l'histoire de cette histoire artisanale puis industrielle à travers des exemples locaux et régionaux. L'occasion aussi de plonger dans l'univers artistique d'Alexandre Bigot par exemple, qui travaille d'ailleurs avec Hennebique. Saviez-vous que c'est parce qu'on ne croyait pas trop à l'étanchéité du béton armé qu'on s'est mis à le « protéger » de céramiques ?
Cette exposition permet aussi de plonger dans l'ambiance de la IIIe République qui a connu comme une frénésie de constructions. L'occasion de lever un peu les yeux sur des maisons de Romorantin, de Villefranche et d'ailleurs. Briques, tuiles, carreaux et céramiques nous racontent leur histoire, véhiculée par le chemin de fer et le canal de Berry. Ouvrez l'œil !
Céramiques et architecture, du 8 avril au 10 novembre au musée de Sologne. Renseignements au 02.54.95.33.66 et sur www.museedesologne.com

Source La Nouvelle République par Vanina Le Gall

11/04/2013

Imerys rachète l'américain PyraMax Ceramics pour $235 millions

Imerys a annoncé jeudi le rachat de l'américain PyraMax Ceramics LLC pour 235 millions de dollars (180 millions d'euros), une opération qui lui permet d'accélérer son développement dans les minéraux pour l'exploitation pétrolière.
D'éventuels compléments de prix fondés sur des critères de performance industriels et commerciaux pourront s'ajouter d'ici à fin 2014 pour un montant n'excédant pas 100 millions de dollars, a précisé le spécialiste des minéraux industriels et de construction dans un communiqué.
Imerys financera les différentes échéances avec ses ressources disponibles.
Le groupe acquiert avec cette opération la propriété d'une unité industrielle de fabrication de proppants céramiques, agents de soutènement destinés à l'exploitation des puits de pétrole et gaz non conventionnels, dont la construction est actuellement en cours d'achèvement.
D'une capacité totale d'environ 225.000 tonnes, la montée en charge progressive de ce complexe industriel devrait intervenir dans le courant de l'année 2014.

Source Les Echos

Imerys : coup de frein sur l'activité

Le leader mondial des spécialités minérales pour l'industrie a réalisé un exercice 2012 conforme aux attentes dans un environnement dégradé. Il bénéficie de la diversification sectorielle et géographique de ses activités. Le groupe a mis le cap sur les pays émergents et déjà atteint sa taille critique au Brésil, en Chine et en Inde. D'autres pays à fort potentiel, comme la Thaïlande ou la Malaisie, sont visés. L'innovation pour améliorer les processus de production constitue aussi l'une des priorités du Plan Ambition 2012-2016. Mais la progression de 5,7% du chiffre d'affaires en valeur cache un recul de 5,4% en volume.
Soutenue au premier semestre de l'exercice, l'activité a connu un vrai coup de frein au second. Et pour 2013 les ambitions affichées par le groupe se limitent à une adaptation aux aléas conjoncturels.
Une année pendant laquelle se concrétisera la vente de l'activité terre cuite, Imerys Structure.

Source Votre Argent L'Express

Gilles Michel est PDG d'Imerys: «Pas d'innovation sans financement»

INTERVIEW - Gilles Michel est PDG d'Imerys, le leader mondial des minéraux de spécialité pour l'industrie. Il a également été responsable de la commission innovation au sein de l'Afep.
LE FIGARO. - Le nombre de dépôts de brevets s'est maintenu (-1,7 %) en France en 2012, alors que l'on ne parle que désindustrialisation et de panne de l'investissement. Comment expliquer cette situation?
Gilles MICHEL. - Le maintien des dépôts de brevets, alors que la désindustrialisation est une réalité, tient à deux éléments. Il s'agit tout d'abord de l'efficacité du crédit impôt recherche. Non seulement cet outil permet de retenir des centres de R & D en France, mais il en attire également. C'est un succès. Ensuite, même si la compétitivité de notre outil de fabrication en France se détériore, les grandes entreprises françaises très puissantes à l'échelle mondiale restent attachées à la préservation de leurs centres de recherche, à proximité de leur centre névralgique, donc en France.
Avez-vous le sentiment que les entreprises innovent moins?
La situation est paradoxale. Les grands groupes innovent beaucoup. À eux seuls, ils représentent les deux tiers de la R & D de notre pays. En revanche, nous avons une double faiblesse. Notre tissu industriel composé d'entreprises plus petites n'innove pas suffisamment. Ensuite, nous sommes trop absents des nouveaux secteurs prometteurs comme les sciences du vivant, les technologies de l'information, etc.
Que préconisez-vous pour remédier à ces faiblesses?
Je suis assez confiant dans notre propension à améliorer la capacité d'innovation des entreprises. Nous disposons de réels atouts en matière de formation, de culture scientifique et notre recherche publique est très bonne. Tous les ingrédients sont donc là. Au niveau de l'Afep, nous avons émis quatre idées principales pour retrouver une position de leader en matière d'innovation. Nous devons drainer des capitaux et veiller à ce que la fiscalité ne soit pas dissuasive. Il n'y a en effet pas d'innovation sans financement, or nous en manquons cruellement. Deuxième point, les grandes entreprises doivent aider plus fortement les PME à innover en jouant un rôle d'entraînement notamment au niveau des filières comme c'est largement le cas dans l'aéronautique. Ensuite, il est impératif de mettre en place des passerelles plus efficaces entre la recherche publique et les entreprises. Il y a une réserve considérable de compétences et d'innovation dans la recherche publique. Enfin, les pouvoirs publics devraient concentrer les financements publics vers 5 à 10 domaines stratégiques. L'argent public est trop dispersé.
Concernant Imerys, maintenez-vous vos efforts d'innovation malgré la crise?
Nous avons augmenté de 30 % nos efforts de R & D en 2012 et la part de la France dans nos efforts de R & D est proportionnellement plus importante. Les dépôts de brevets sont en hausse et nous allons maintenir nos efforts. Notre chiffre d'affaires réalisé avec les nouveaux produits est en hausse de 25 %. Grâce à l'innovation, Imerys conserve son leadership mondial, ses marges et de façon plus générale son avance. Il faut se convaincre que l'innovation c'est essentiel pour tous, quel que soit le secteur.

Source Le Figaro

KELLER à MosBuild 2013: la saison des salons a connu un succès sur mesure

L'équipe KELLER est rentrée du premier grand salon spécialisé de l'année, le MosBuild 2013 à Moscou, en ramenant dans ses bagages bon nombre de nouveaux contacts et de demandes. «Non seulement notre emplacement était bien meilleur que celui de l'année passée», explique Wolfgang Brunk (responsable du marketing et des relations publiques), «mais en plus, le nombre de visiteurs qualifiés par rapport à 2012 était largement supérieur. Je suis donc très satisfait du déroulement de ce salon.»
Dr. Jochen Nippel, qui était pour la première fois au MosBuild avec KELLER, se montre également très satisfait: «J'ai mené au cours du salon de nombreux entretiens intéressants, entre autres avec le directeur général de notre client OOO «Dubenski Kirpitschny Zawod», Stroitelev Sergej Alekseyewitsch, ainsi qu'avec son directeur technique Zyganov Sergej Aleksandrowitsch. Ils m'ont informé, pour ainsi dire de première main, sur l'avancement de construction actuel de leur nouvelle briqueterie dans la commune de Mordovie Dubenki. Le planning est respecté.»
La troisième personne a se réjouir de ce salon se nomme Andrej Tscheprassow et est le premier employé KELLER MCR (équipements pour mesure, commande et réglage) à présenter les appareils de mesure pyrométrique sans contact du secteur MCR de KELLER HCW au MosBuild. «Certains clients russes utilisent déjà des pyromètres sur leurs sites et ils en connaissent les avantages par rapport à la mesure thermométrique classique. Pour la plupart des visiteurs du salon, la démonstration en direct sur notre stand demeure cependant une expérience à part; ils étaient vraiment enthousiastes.»

Source Keller 

10/04/2013

Comfort de Koramic, la solution pour l’isolation des toitures par l’extérieur

COMFORT est un panneau à base de mousse polyuréthane, avec écran HPV intégré, qui permet, de par sa composition, une isolation performante en 160mm R=6, et une réduction importante des ponts thermiques.
Très résistant à la compression (10T/m²) et auto-portant, COMFORT est également respirant et hydrophobe grâce à l’écran de sous-toiture intégré. Il protège la structure de l’humidité, des moisissures et des nuisibles, et permet pendant sa mise en œuvre, de conserver le chantier hors eau. COMFORT contribue à la qualité de l’air ambiant car il ne contient ni COV, ni produit toxique.
Cette nouvelle solution peut être posée en neuf, ou en rénovation sur logement habité puisqu’elle est posée par l’extérieur. Les surfaces sous toit sont ainsi préservées, mais aussi optimisées puisque la pose de COMFORT n’impacte pas sur la surface habitable disponible. Le panneau est composé de rainures et bouvetages en trapèze, ce qui permet une découpe simple et rapide.
COMFORT est disponible dans des épaisseurs de 50 à 180mm, et est complété par une large gamme d’accessoires de finition (pare vapeur, fixations, bandes d’étanchéité, adhésif double face et gamme Compriband pour murs et pignons).

Source Cyberarchi

SECMA Eurocéramic, spécialiste des équipements et outillages pour tuileries

Depuis 35 ans, SECMA Eurocéramic a acquis une forte expérience dans le domaine de la céramique. Spécialiste des équipements et outillages pour tuileries, SECMA Eurocéramic a su devenir un des acteurs principaux sur ce marché.

SECMA Eurocéramic souhaite continuer à se développer, notamment à l'export.
SECMA Eurocéramic se démarque de la concurrence par le niveau de qualité de ses produits, des prestations sur mesures, ainsi que par un suivi clientèle rigoureux.
SECMA Eurocéramic/ les forces:
- La maîtrise complète du projet en interne, depuis la conception de la tuile et/ou des accessoires, jusqu'à la réception sur site avec le client, en passant par la fabrication, le montage et le contrôle en nos ateliers, des outillages.
- SECMA Eurocéramic garanti une totale discrétion des projets traités par la signature de contrat de confidentialité.
SECMA Eurocéramic / les atouts:
- Une équipe de chargés d’affaires et techniciens performants, du personnel formé et maîtrisant les dernières techniques de conception, d’usinage et de montage,
- Des investissements réguliers permettant d’améliorer les outils et moyens de production. Les évolutions régulières des logiciels CAO et FAO permettant d'améliorer les performances et la réactivité, mais également permettant d'aider les clients dans leurs décisions et validations, grâce aux outils de simulations.
- L'acquisition de centres d'usinage à multi palettes en vue d'augmenter les capacités de production et intégrer des techniques d'usinage performantes.
- La conception et la réalisation d'outils et de lignes de montage des outillages, pour assurer une qualité régulière de nos prestations.
- Des ressources et des moyens en recherche et développement pour être sources de proposition auprès des clients fidèles, et ainsi aboutir parfois à des dépôts de brevets industriels français et européens.
- Une collaboration, et une présence active auprès de ses clients
- Une rigueur dans la gestion des moyens de contrôle la mise en place d'un système qualité ISO 9001 version 2008, permettant de garantir la stricte application de vos exigences et la conformité des produits et services fournis.
Chiffre d'affaires 2011 5.261.700 Euros
Exédent brut d'exploitation 2011 445.300Euros
Résultat net 2011 267.800 Euros

Effectif moyen 48 personnes

Président Madame Adelina VALLE ( née LANTHALER en janvier 1959 ) autre mandat ARV Développement Sainte Menehould

Source SECMA

09/04/2013

Depreux Construction distingué pour sa maison Effet Joule

Le nantais Depreux Construction a réalisé plus de 2 500 maisons depuis sa création en 1989. Le constructeur s’est lancé sur le BBC dès 2007 et a vendu 200 maisons labellisées ces quatre dernières années.
 « En 2011, on a commencé à travailler la RT 2012 », relate Jean-Philippe Cazalets, le directeur adjoint. « On a livré à Nantes la première maison RT 2012 gaz de France en juin 2012 », poursuit-il.
Entre-temps la société s’était posée la question du tout électrique pour répondre aux besoins de clients en zones non desservies en gaz. Le tour de force de Depreux est d’avoir mobilisé sur la question dix-sept partenaires industriels, parmi lesquels EDF, Bouyer Leroux, Knauf, Chaffoteaux, Atlantic…

Une année de cogitation collective et près de 1 000 études thermiques conduites par le cabinet Loriot ont permis de donner naissance à Effet Joule, une maison RT 2012 à prix accessible.
« Nous sommes à moins de 1 250 € le m², un bon score en RT 2012 », souligne Jean-Philippe Cazalets. Isolation renforcée, orientation bioclimatique, architecture massive et ballon thermodynamique pour la production d’ECS participent aux bonnes performances d’Effet Joule.
Le concept a séduit les professionnels puisque la maison a remporté la médaille d’argent Technologies et Performances lors du Challenge des Maisons innovantes de l’UMF. Les particuliers suivent, le directeur adjoint de Depreux annonçant « 17 maisons signées » à ce jour.

Source Zepros

08/04/2013

Legris Industries sort la tête de l'eau

L'industriel rennais estime que 2013 sera l'année du retour à la rentabilité. Il a complété son dispositif par une nouvelle activité de portée mondiale.
Tout un symbole, l'équipe du holding de Legris Industries a quitté la magnifique ancienne imprimerie Oberthur qu'il avait entièrement restaurée il y a plus d'une décennie. Erwan Taton, le président du directoire et ses collaborateurs sont désormais installés dans un immeuble du centre rennais beaucoup plus modeste. « Nous avons réorganisé le groupe pour qu'il retrouve une rentabilité », indique le dirigeant. Legris Industries a réalisé un chiffre d'affaires de 227 millions d'euros, en hausse de 9% en 2012. Si cet exercice reste déficitaire à hauteur de 2 millions d'euros contre une perte de 16,4 millions d'euros en 2011, « 2013 sera celui du retour des bénéfices », poursuit le dirigeant.
Legris Industries tourne donc définitivement la page de Kéria, l'ex-nom de sa division spécialisée dans les usines de briques et tuiles qui a été liquidée il y a quelques années. Désormais nommée Keller, elle n'intervient plus du tout en France, son siège social est d'ailleurs situé en Allemagne. « Keller qui a dégagé 76 millions d'euros de ventes l'an passé, en hausse de 24%, se porte bien car les usines complètes sont désormais destinées aux pays en croissance ». L'an dernier, elle a signé 4 contrats de briqueteries en Pologne, Russie, Arabie Saoudite et Azerbaijan.

Renouer avec une stratégie de croissance externe
Savoye, la seconde division du groupe toujours contrôlé par la famille Legris, est en recul de 9% et descend à un total de 89 millions d'euros. « C'est son modèle économique, insiste Erwan Taton, cet acteur international de la conception et de l'intégration de systèmes pour les centres de logistique, a des activités fluctuantes en fonction des dates de confirmation des commandes, 2013 sera une bonne année ».
Enfin, il existe Clextral (62 millions d'euros de chiffre d'affaires en hausse de 28%) dans laquelle le président du directoire met tous ses espoirs. Spécialisée dans les lignes de production clé en mains notamment pour les céréales des petits déjeuners mais aussi de pâte à papier, elle est jugée « très innovante » et s'apprête à créer à Rennes une plate-forme de R&D pour le développement d'une nouvelle technologie de production de lait en poudre.
Doté de 60 millions d'euros de fonds propres et d'une trésorerie excédentaire de 35 millions d'euros, Legris Industries qui réalise les 2/3 de ses contrats hors de l'Hexagone, se sent suffisamment armé pour renouer avec une stratégie volontariste de croissance externe. « On est à la recherche d'un quatrième métier industriel, pas nécessairement lié aux trois autres. Il sera de portée mondiale sur un marché de niche ». Erwan Taton n'en dira pas plus sur ses intentions si ce n'est que cette future division devrait générer entre 70 et 100 millions d'euros de recettes annuelles.
Source Les Echos par STANISLAS DU GUERNY

Bordeaux: Des pavés barpais sur le pont Chaban-Delmas

Les 1 000 m2 de pavés des parvis du nouveau pont bordelais proviennent de Grès de Gascogne. Une belle réussite pour cette entreprise bien ancrée dans la région.
Sur le nouveau pont Chaban-Delmas, « tout ce qui est rosé, c’est nous », s’exclame Marie-France Dubourg qui était présente à l’inauguration : les 1 000 mètres carrés de pavés des parvis de chaque côté du pont proviennent des Grès de Gascogne, l’entreprise du Barp (1) dirigée par Jacques Dubourg. Les pavés ont été livrés par une autre entreprise du secteur, les transports GMS du Barp.
Cela fait plus de vingt ans que l’entreprise de Jacques et Marie-France Dubourg fabrique les pavés de la Communauté urbaine de Bordeaux (CUB), les « cales » comme on les nomme souvent dans la région.
L’aventure bordelaise a commencé en 1985 : un urbaniste bordelais recherche pour la ville de Marmande (47) des pavés en céramique antidérapant et s’adresse aux Grès de Gascogne pour un premier chantier de 1 000 mètres carrés. La voie est ouverte, l’entreprise répond aux appels d’offres et emporte nombre de marchés publics, dont la CUB.
Récemment, ce sont les trottoirs de Bergerac, ainsi que le Moulleau à Arcachon où le platelage en bois est remplacé par des pavés en terre cuite. Depuis quelques mois, les 10 000 mètres carrés des berges du lac de Bordeaux se pavent de grès de Gascogne et le parvis de la mairie de Belin-Béliet, en réfection actuellement, a fait appel à sa voisine barpaise.
Le succès du pavé céramique
L’entreprise exploite sur place un gisement d’argile d’une finesse exceptionnelle et constante à Pourtiche, près d’Haureuils, au Barp. Une grosse lentille souterraine, de 4 à 6 mètres d’épaisseur sous 2 mètres de terre. Un potentiel de 250 000 tonnes, une exploitation annuelle de 2 000 tonnes. Il y a plus de cent cinquante ans, c’est une vieille famille locale, les Baillet, qui faisait tourner la briqueterie.
L’exploitation s’arrête pendant la guerre puis est rachetée. Henri Dubourg, qui travaillait sur Cabanac, prend la société en gérance en 1947 avant de la racheter en 1953. L’entreprise produit alors tuiles, briques, carrelage vernissé et pots à résine. En 1966, l’entreprise prend son nom actuel : Grès de Gascogne.
Son fils Jacques, qui s’est formé dans le secteur - BTS céramique - reprend l’exploitation en 1987. La concurrence étrangère devient redoutable pour les carreaux vernissés, il faut passer à autre chose, le carreau mat et surtout le pavé en céramique, à la belle couleur de terre cuite, très résistant à l’usure, ne craignant pas le gel, est parfait pour les trottoirs, tours de piscine ou allées de garage, à un prix très compétitif. Actuellement, 10 à 12 000 mètres carrés de pavés sont produits chaque année.
Jacques à la technique et Marie-France au bureau ont toujours privilégié le côté artisanal, les traditions, le beau travail et la qualité de vie. Deux employés travaillent avec eux, l’un à la fabrication, Nicolas, l’autre au four, Kevin, un troisième peut être engagé ponctuellement en cas de grosse commande. Leur activité est répertoriée dans les métiers d’art - ils participeront aux journées européennes les 5, 6 et 7 avril. Et surtout, ils ont obtenu le label Entreprise du patrimoine vivant (EPV), une marque de reconnaissance de l’État pour des entreprises aux savoir-faire artisanaux et industriels d’excellence - une machine à pot à résine datant de 1943 est la dernière à fonctionner dans la région.
Circuit écologique
La protection de l’environnement n’est pas oubliée : l’extraction n’est qu’à 500 mètres des installations. Au fur et à mesure, les zones vidées de leur argile se remplissent naturellement d’une eau qui servira à humidifier l’argile en cours de production. Un circuit écologique. Les poissons qui vivent dans les étangs ne diront pas le contraire. Jacques Dubourg vient également de déposer un brevet pour un pavé écologique aux propriétés antipollution et autonettoyant.
Enfin, Jacques et Marie-France ont à cœur de transmettre leur savoir-faire. Ils accueillent les visiteurs à tout moment en semaine et n’hésitent pas à passer du temps avec eux. Dommage que les nouvelles législations ne permettent plus aux écoles de visiter le site, « les gamins ne peuvent plus découvrir la vraie vie », déplore Jacques. Dans un an, ce dernier aura 65 ans, son fils, dans les travaux publics, ne tient pas à reprendre l’exploitation, même s’il a toujours plaisir à assurer lui-même l’extraction des argiles en été. Dès lors, que deviendront les Grès de Gascogne ?

Source Sud Ouest

07/04/2013

Cette année 2013 marque le retour de CERIC Technologies sur la zone Russie/CEI, Europe de l’Est.

En 2012, le succès de CERIC Technologies auprès de clients Biélorusses et Russes a démontré que le nom de Ceric Technologies était attaché à des notions de qualité, fiabilité et économies d’énergies. Fort de ces succès, CERIC Technologies a renforcé sa présence sur cette zone géographique en s’associant avec la société Russe, SALVENA, créée en 2010, par des anciens du Groupe CERIC. C’est maintenant une équipe consolidée de 7 personnes basées à Moscou et s’appuyant sur les bureaux techniques et ateliers situés en France au service de ce marché.
CERIC Technologies a participé depuis ce début d’année 2013 aux salons suivants :
o Sibbuild à Novossibirsk en Russie,
o Kievbuild à Kiev en Ukraine,
o Uzbuild à Tachkent en Ouzbékistan,
o Yugbuild à Kranosdar en Russie.
Cette présence sur ces salons a permis de renforcer des liens historiques avec de nombreux clients du Groupe CERIC dont la marque, le savoir-faire et l’héritage technique appartiennent à CERIC Technologies.
Ces salons ont aussi été l’occasion de nombreux nouveaux contacts avec des investisseurs désireux, eux aussi, d’acquérir de la haute technologie CERIC, synonyme de performance industrielle. CERIC Technologies a ainsi pu présenter ses derniers développements techniques tant sur les machines de traitement des argiles, comme, par exemple, le nouveau groupe d’étirage DEMETER, que sur les process thermiques et les économies d’énergie (ex : thermoboosters) ou son tout nouveau système de supervision informatique (Diapason).
C’est dans ce cadre, et fort de cette dynamique que CERIC Technologies participera prochainement au salon Mosbuild à Moscou du 2 au 5 avril 2012 où notre équipe Franco-Russe sera ravie de vous accueillir. Source Ceric Technologies on Facebook

06/04/2013

SAMSE REALISE UN DOUBLE GESTE POUR L’ENVIRONNEMENT

SAMSE Valence investit dans son point de vente en réalisant un «
désamiantage photovoltaïque » avec Sweetair, l’expert ENR du Groupe SAMSE.
Pour ce projet, 670 m² de panneaux solaires photovoltaïques ont été installés sur la nouvelle couverture du bâtiment principal SAMSE Valence qui, dans le même temps, a été désamiantée.
Un défi supplémentaire à été relevé : l’agence est restée ouverte pendant toute la durée des travaux !
Une rénovation de toiture réussie ! L’économie de Co² générée grâce à l’installation solaire est estimée à 108,48 T/an.
Nicolas Bedouin DG de Sweetair et les dirigeants de SAMSE sont unanimes :
« Pour ce type de projet, la démarche photovoltaïque devient une vraie démarche de performance énergétique du bâtiment. SAMSE investit à la fois dans un bâtiment écologique et économique à l’usage. »

Source Espacedatapresse

05/04/2013

De mal en pis pour le bâtiment

Les entrepreneurs du secteur du bâtiment estiment que leur activité a continué de se dégrader en mars et demeurent pessimistes pour les prochains mois, a indiqué vendredi 22 mars l’Institut national de la statistique et des études économiques.
En mars, l'indicateur synthétique du climat des affaires dans le secteur du bâtiment, constitué à partir des soldes d'opinion des chefs d'entreprise, a perdu un point par rapport au mois de février, pour s'établir à 92 points, selon l'enquête mensuelle de conjoncture de l'Insee dans l'industrie du bâtiment.
Le maintien de cet indicateur en dessous de sa moyenne de long terme, fixée à 100 points, confirme que "la conjoncture continue de se détériorer dans le bâtiment", souligne l'institut statistique.
Et les choses ne vont pas s'arranger à court terme car l'indicateur de retournement de la situation est en "zone défavorable", ajoute l'Insee.
En particulier, l'emploi dans le bâtiment reste "mal orienté".
"Les soldes correspondant à l'emploi passé et à l'emploi prévu restent nettement en dessous de leur moyenne de long terme", fait remarquer l'Insee.
Quant aux carnets de commandes, comme le mois précédent ils sont jugés " largement inférieurs à la normale", écrit l'institut. Toutefois, leur niveau permettrait d'assurer 7,1 mois d'emploi à temps plein des effectifs, "ce qui est supérieur à son niveau moyen", indique l'Insee.
Les capacités de production, elles, restent toujours sous-utilisées, avec un taux toujours placé sous sa moyenne de longue durée, alors que toujours près d'un chef d'entreprise sur cinq déclare rencontrer des obstacles à l'accroissement de son activité.
Enfin, les prix sont peu dynamiques. Les chefs d'entreprise sont en effet plus nombreux qu'en février à signaler des baisses de prix.

Source Le Moniteur

04/04/2013

Imerys Toiture innove avec la tuile HP 13 Evolutive

La Tuile HP13 Evolutive est une tuile grand moule à pureau plat, élégante et d'aspect très lisse.

Particulièrement adaptée aux pentes conséquentes, elle se pose impérativement à joints croisés. Cette nouveauté convient fort bien aux travaux de rénovation sur une grande partie de la région Nord Est. Plus fin que sur le modèle HP13 Huguenot, le nez de la tuile permet de mieux absorber les accidents de toiture. Sa confection dans des moules de plâtre lui donne une finition parfaitement lisse et la présence d'une double barrette renforce son étanchéité.
Les accessoires de la tuile HP 13 Evolutive sont compatibles avec ceux de la tuile HP 13 Huguenot, hormis la demi tuile de ventilation et la tuile à douille, redessinées pour mieux s'adapter aux spécificités du nouveau modèle. Cette tuile est disponible en deux coloris : Ardoisé et Flammé Rustique. Notons qu'elle est aussi compatible avec Evolu'Kit, le premier kit photovoltaïque en autoconsommation d'Imerys Toiture qui permet de répondre aux normes exigées par la RT 2012.

Source Batijournal

Concours Brick Awards : l’appel à candidature est lancé

Les inscriptions au concours biennal des Brick Awards ont débuté. Organisé depuis 2004 par le groupe Wienerberger, cet événement international récompense les réalisations architecturales en terre cuite. Pour cette nouvelle édition, les projets réalisés en briques de structure en milieu urbain et les ouvrages remarquables avec toiture en pente seront mis en avant.
Intégrer la performance énergétique
Les candidats doivent proposer un projet ayant fait appel de façon significative aux matériaux en terre cuite tels que les briques de structure ou apparentes, les bardages, les tuiles ou encore les pavés. Autres conditions : Il devra avoir été achevé avant le 31 décembre 2011 et intégrer les problématiques liées à la performance énergétique, au respect de l’environnement et à l’amélioration de la qualité de vie. Aucune obligation ne concerne cependant le type de bâtiment et la nature de la réalisation (neuve, extension ou rénovation). Suite à la sélection des projets lauréats, par un jury international, la cérémonie officielle de remise des prix se tiendra à Vienne, en Autriche. Ces projets figureront dans l’ouvrage « Brick’14 », édité par la maison d’édition Callwey.

Source ZEpros

03/04/2013

LBO France s'apprête à perdre le contrôle de Terreal

Deux tiers des créanciers du fabricant de tuiles, déjà restructuré en 2009, veulent convertir une partie de la dette en capital et sortir le fonds
LBO France paie les pots cassés chez Terreal. Le fonds d'investissement risque d'abandonner le contrôle du fabricant de tuiles et de briques à ses créanciers, a appris L'Agefi de sources financières, après avoir déjà restructuré une première fois la dette de l'entreprise en 2009. LBO France avait racheté l'ex-filiale terre cuite de Saint-Gobain en septembre 2005 pour 860 millions d'euros, avec moins de 200 millions d'euros de fonds propres et en valorisant la cible à 5,9 fois l'Ebitda. Un levier qui est apparu excessif avec le retournement de la conjoncture en 2008 et a atteint jusqu'à 15 fois l'Ebitda.
Terreal revendique un chiffre d'affaires d'environ 400 millions. La société affiche encore une dette d'environ 500 millions d'euros. Les créanciers – parmi lesquels on trouve ING, la Société Générale ou Oaktree – veulent en convertir 200 millions en actions. Ils prendraient ainsi le contrôle total du fabricant de matériaux de construction, qui garderait 300 millions de dette. Deux tiers des prêteurs sont déjà favorables à cette solution, après avoir écarté le scénario d'une vente à un industriel.
Houlihan Lokey et Messier Maris, dont l'associé François Guichot-Pérère avait épaulé Terreal en 2009 lorsqu'il officiait chez Lazard, conseillent les parties prenantes.
Cette solution réduirait par ailleurs à zéro les obligations remboursables en actions (ORA) qui avaient été émises lors de la première restructuration financière de fin 2009. A l'époque, LBO France avait ramené de 902 à 500 millions d'euros la dette de Terreal, le différentiel étant converti en ORA. La transaction avait été calibrée afin de laisser au fonds 51% du capital en cas de remboursement en actions de ces titres, contre 49% aux créanciers.
«Que les créanciers décident de prendre le contrôle de la société en dit long sur l'impasse stratégique dans laquelle se trouve Terreal », estime une source financière. La plupart des LBO montés en France dans le secteur du bâtiment juste avant la crise financière de 2007, à l'image de Materis et Consolis, ont certes dû être restructurés.
Mais par rapport à son concurrent Materis, Terreal est beaucoup moins diversifié, avec un tropisme très français et une exposition internationale sur des pays comme l'Espagne et les Etats-Unis où l'immobilier a beaucoup souffert. 
LBO France ne fait pas de commentaires.

Source L'AGEGI par Alexandre Garabedian

Terreal contrôlé par ses créanciers?

Les banques créancières de Terreal, l'ancienne filiale de Saint-Gobain spécialisée dans la production de briques et de tuiles, veulent transformer leurs créances en capital et prendre le contrôle de la société lourdement endettée, affirme mercredi le site financier Agefi.
Selon le quotidien, Terreal affiche une dette d'environ 500 millions d'euros, au regard d'un chiffre d'affaires de l'ordre de 400 millions.
Les créanciers, parmi lesquels figurent la Société Générale et ING, souhaitent convertir en actions pour 200 millions d'euros de dette. Deux tiers des prêteurs sont favorables à une telle solution après avoir écarté le scénario d'une vente à un industriel, ajoute l'Agefi.
Terreal avait été racheté en 2005 par le fonds LBO France pour 860 millions d'euros et avait fait l'objet d'une première restructuration financière quatre ans plus tard en raison d'un endettement déjà trop lourd.

Source Le Figaro

Roumazières – plan social en vue chez Monier


Terreal souffre, Monier aussi. Le marché de la construction est le même pour tous.

Depuis son siège social, au Kremlin-Bicêtre, en région parisienne, la direction du groupe Monier ( ex-Lafarge Couverture) a lancé en Janvier un PSE ( plan de sauvegarde de l’emploi) qui pèse sur trois des huit usines du groupe dans l’Hexagone : Saint-Jean-le Blanc ( Loiret), Marseille (Bouches-du-Rhône) et Roumazières Loubert.

Pour l’heure, aucun chiffre officiel de postes supprimés ne circule : « C’est confidentiel, glisse Didier Audouin, le délégué CGT de Monier Roumazières, mais le personnel est inquiet. On a déjà fait dix jours de chômage partiel en décembre. » L’usine charentaise emploie 190 salariés.

Le PSE porterait sur l’ensemble des services, « hors le commercial, déjà restructuré l’an passé », note pour sa part Nadège Michel, la chargée de communication au siège du Kremlin-Bicêtre. « Le PSE s’appliquera ces tout prochains mois dès qu’il aura été négocié entre direction et syndicats. »

Grépiac. La briqueterie Capelle travaille «à l'ancienne»

Poursuivant ses visites dans les entreprises du territoire de la Communauté de Communes de la Vallée de l'Ariège,Christophe Lefèvre,président de la CCVA,s'est rendu à la briqueterie Capelle.Ces rencontres ont pour but «d'écouter les dirigeants,dans la mesure des possibilités répondre à leurs besoins,et les soutenir».
La briqueterie Capelle (qui,à l'origine,appartenait aux seigneurs de Grépiac) est animée par la famille Capelle depuis 1879.Aujourd'hui dirigée par Bernard et Jean-Pierre Capelle,elle perpétue des méthodes artisanales et peut répondre à pratiquement n'importe quelle demande d'objets en terre cuite ou crue.Elle a ses propres carrières d'argile et de terre (qui «reposent» 2 ans après extraction avant d'être utilisées!).Puis les pièces sont formées dans de petite filières,et finies manuellement avant d'être séchées 4 à 6 jours et cuites.Selon la quantité et le résultat souhaité,le four utilisé est l'impressionnant four à charbon ou de plus petits fours à gaz.
Ces petites unités à chaque stade de la fabrication et la maîtrise des 9 employés permettent de répondre à tous les désirs des clients.Actuellement,l'entreprise a breveté une «brique-lego» qui permet la fabrication de briques crues permettant,sans ciment de jointage,de construire des fours et poêles en terre.Il est probable que ce système sera un jour utilisé pour des murs de maison écologique.
L'entreprise ressent un peu la crise.Les co-gérants espèrent que les commandes des institutions locales les aideront à perdurer sans casse sociale.
La visite (sur rendez-vous) est passionnante:05 61 08 52 75.
Source La Dépêche du Midi par Jacques Monferran