Terreal souffre, Monier aussi. Le marché de la construction
est le même pour tous.
Depuis son siège social, au Kremlin-Bicêtre, en région
parisienne, la direction du groupe Monier ( ex-Lafarge Couverture) a lancé en
Janvier un PSE ( plan de sauvegarde de l’emploi) qui pèse sur trois des huit
usines du groupe dans l’Hexagone : Saint-Jean-le Blanc ( Loiret),
Marseille (Bouches-du-Rhône) et Roumazières Loubert.
Pour l’heure, aucun chiffre officiel de postes supprimés ne
circule : « C’est confidentiel, glisse Didier Audouin, le
délégué CGT de Monier Roumazières, mais le personnel est inquiet. On a déjà
fait dix jours de chômage partiel en décembre. » L’usine charentaise
emploie 190 salariés.
Le PSE porterait sur l’ensemble des services, « hors le commercial, déjà restructuré l’an passé », note pour sa part Nadège Michel, la chargée de communication au siège du Kremlin-Bicêtre. « Le PSE s’appliquera ces tout prochains mois dès qu’il aura été négocié entre direction et syndicats. »
Le PSE porterait sur l’ensemble des services, « hors le commercial, déjà restructuré l’an passé », note pour sa part Nadège Michel, la chargée de communication au siège du Kremlin-Bicêtre. « Le PSE s’appliquera ces tout prochains mois dès qu’il aura été négocié entre direction et syndicats. »
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