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20/02/2013

Apax et LBO France mandatent des banquiers pour la cession de Maisons du Monde

Les fonds d'investissement Apax et LBO France ont mandaté la banque Lazard et la société de conseil Messiers Maris & Associés pour céder leur participation dans l'enseigne d'ameublement et de décoration Maisons du Monde, ont indiqué à Reuters des sources proches du dossier.
Le processus de vente de la société Maisons du Monde, détenue à hauteur de 70% environ par Apax et LBO France, pourrait être enclenché dès la fin du mois de février, ont ajouté ces mêmes sources.
"(Les vendeurs, ndlr) veulent un accord avant juin", a déclaré l'une d'entre elles.
L'enseigne est, selon les sources, valorisée à au moins 700 millions d'euros.
Lazard, Apax et LBO France ont refusé de faire un commentaire lundi.
Les deux fonds avaient pris le contrôle de Maisons du Monde en 2008. (avec la contribution de Matthieu Protard et Matthias Blamont, édité par Jean-Michel Bélot)
Source Reuters par Christian Plumb

19/02/2013

Une maison performante, source de revenus

PROJET "VERT". Contemporaine, en ossature bois et à énergie positive... La maison de l’architecte Jérôme Bernard située dans les Alpes-Maritimes interpelle au premier regard. Mieux, elle joue avec les contraintes de son implantation pour en tirer profit.
Saint–Vallier de Thiey, un village du moyen pays des Alpes-Maritimes accueille depuis deux ans une maison à l'architecture moderne alliant de nombreux matériaux et procédés respectueux de l'environnement. L'idée de départ ? "Regrouper une habitation personnelle, un espace de travail et faire de cette maison, une vitrine pour d'éventuels clients", admet Jérôme Bernard, l'architecte des lieux.
Prônant une conception "écologique", ce maître d'œuvre s'est logiquement orienté vers un projet bioclimatique à énergie positive pour son cocon familial de 106 m2 habitables de plain-pied comprenant trois chambres et deux salles de bains ainsi qu'un bureau (et 106 m2 en sous-sol). Mais voulant sortir des sentiers battus, il a opté pour une façade mêlant bois et enduit. Ce denier étant induit par le site puisque le territoire oblige d'avoir une couverture en tuile et des enduits en façade. Une contrainte qui ne semble pas avoir gêné l'architecte, au contraire : "Si la maison est en ossature bois, je souhaitais un "mix" en façade pour créer un petit effet", confie-t-il. Autre obstacle au projet : la pente du terrain qui descendait vers le nord. "Cette difficulté a été résolue en surélevant l'ensemble que l'on voulait de plain-pied et créer un sous-sol afin de capter un maximum de soleil et contrebalancer l'inclinaison", note l'architecte.
Des choix et du bon sens
Performante, l’habitation se caractérise par ses choix de matériaux : les murs sont en ossature bois sur-isolé en laine de bois, la toiture est en terre cuite avec une isolation fibre de bois et un abri terrasse est couvert de panneaux solaires photovoltaïques. Réalisation bioclimatique oblige, une attention particulière a été portée sur les menuiseries avec du triple vitrages au nord et à l'est et du double au sud-ouest. A cela s'ajoutent la maîtrise du vent et l'ensoleillement : "Les régions méditerranéennes ont des problèmes de surchauffe l'été, c'est pourquoi il faut contrôler les apports du soleil. Les capteurs en toiture de la terrasse produisent l’énergie bien sûr, mais apportent également une protection solaire. En effet, le soleil reste bas en hiver et passe sous les capteurs pour chauffer l’habitat par le biais de ses vitrages orientés en majorité au sud", précise Jérôme Bernard. En outre, l'été, les débords ne suffisent plus à l'ouest et à l'est, des stores orientables ont donc été posés pour protéger la maison. Enfin, pour obtenir les résultats les plus probants, la ventilation s'appuie sur un puits provençal et une ventilation double flux avec échangeur thermique.
Une maison qui rapporte
Pour que la maison tienne toutes ses promesses en matière d'énergie, il faut souligner une gestion optimale de l'ensemble avec des appareils électroménagers peu gourmands et un comportement adéquat par les occupants. Et le contrat semble rempli par la petite famille puisque la facture de chauffage s'élève à seulement 50 euros par an. De plus, la maison rapporterait 1.700 euros par an (via EDF) aux heureux et vertueux propriétaires. Quant au coût du bien, il avoisine les 190.000 euros hors capteurs solaires et sans l'aménagement du sous-sol, prochaine étape du projet.
Source Batiactu

Le ciment face à la menace des importations

Des cimenteries ferment, des terminaux d'importation ouvrent. Ceci alors que la France est en surcapacité.
Les cimentiers français souffrent. La consommation de ciment a baissé de 7 % l'an dernier mais, surtout, elle a plongé de 21 % en décembre par rapport au même mois en 2012 et la baisse a été de même ampleur en janvier. Cela donne la mesure du trou d'air que connaîtra dans les prochains mois l'ensemble du secteur du bâtiment. Les cimentiers étant en amont de la filière, avec les maçons et le gros oeuvre, ils subissent les premiers l'effondrement actuel des mises en chantier, avant que ses conséquences n'atteignent les métiers plus en aval de la chaîne de construction.
Tout comme la Fédération française du bâtiment, le syndicat français de l'industrie cimentière (SFIC) ne prévoit aucune amélioration de la conjoncture cette année, au contraire : il s'attend à une baisse encore plus prononcée (- 9 %) de la consommation de ciment.
Ce plongeon signifie que les capacités de production excèdent désormais de loin les besoins. Et pourtant, « depuis la crise fin 2007, les importations n'ont cessé de progresser, souligne le président du SFIC, Rachid Benyakhlef, Il y a 27 millions de tonnes de capacités installées en France pour une production de 18 millions de tonnes en 2012 et, malgré cela, 1,9 million de tonnes ont été importées, soit 10 % de la consommation. » Le « clinker » (des granulats qui, une fois passés au four et broyés, constituent la matière de base du ciment) est produit moins cher hors d'Europe. « Des pays comme la Turquie n'ont pas le même coût du travail, ni la même réglementation environnementale, explique Rachid Benyakhlef. Cette distorsion de concurrence permet d'obtenir un clinker 10 % à 20 % moins cher transport inclus. Or le clinker représente 80 % de la valeur ajoutée du ciment.»
Soit le clinker est importé et broyé en France dans un site portuaire, comme celui que Kercim va démarrer au printemps à Saint-Nazaire, soit des acteurs indépendants, essentiellement dans le sud de la France, importent directement le ciment. Ils n'ont besoin pour cela que d'un terminal portuaire et « c'est un investissement très modeste, un silo de terminal coûte 1 à 2 millions d'euros et une station de broyage 30 à 40 millions contre 250 millions pour une cimenterie », précise Rachid Benyakhlef.
Un déclin annoncé
Si rien n'est fait, souligne le SFIC, le secteur cimentier sera le prochain à subir la désindustrialisation. Le syndicat, qui regroupe les cinq grands cimentiers présents en France, avait déjà alerté en 2011. Depuis, au nom du déclin de la demande dans la région, Lafarge a annoncé la fermeture de son usine de Frangey (Yonne), Holcim, lui, vient d'annoncer il y a une semaine la fermeture de l'usine de Dannes (Pas-de-Calais). La plus vieille cimenterie de France ne constituera plus qu'un centre de broyage. Holcim construit en revanche une station de broyage à l'anse Saint-Marc (La Rochelle), à quelques centaines de mètres de l'île de Ré, pour importer le clinker de ses usines situées dans d'autres régions ou pays. « Il communique sur 600.000 tonnes de capacités, mais le permis a été délivré pour 1,3 million de tonnes, c'est énorme ! » dénonce Frédéric Jacq, président de l'association Mat-Ré, qui a déposé deux recours contentieux, pour risque de pollution d'une zone Natura 2000 et insuffisance d'enquête publique.
Source les Echos par Myriam Chauvot

18/02/2013

VM Matériaux et Samse : accord finalisé

VM Matériaux et le groupe Samse viennent de finaliser la cession de neuf agences de négoce de matériaux situées dans le sud-ouest de la France.
Le groupe Samse renforce ainsi son maillage territorial. Les agences concernées seront exploitées sous l'enseigne M+ Matériaux, filiale du groupe Samse. Ces agences représentent 29 millions d'euros de chiffre d'affaires en année pleine et emploient 108 salariés.
Source France BTP par Anthony Laurent

IFB Refractories poursuit son développement à l’international

La société IFB Refractories fondée en 1929 à Buzançais (36), sous le nom Les Produits siliceux jusqu’en 1991, puis rachetée par la multinationale Hepworth, est depuis 2004 dirigée par Didier Pessiot. À cette date, elle est redevenue une PMI et est actuellement l’une des quatre entreprises en Europe à fabriquer des briques réfractaires isolantes avec garantie de qualité. Elle poursuit parallèlement ses recherches et accroît son développement à l’international: partenariat avec le Japon, nouveau contrat avec le Canada…
Une production de deux grands types de briques
Cette entreprise, qui emploie une quarantaine de salariés dans son usine de Buzançais située dans l’Indre, est l’une des plus importantes unités de production dans cette spécialité pour le monde entier. « IFB Refractories utilise l’argile qui provient de nos carrières de Selles-sur-Nahon et Heugnes, situées dans le même département que l’entreprise, explique Didier Pessiot. Et nous fabriquons deux grands types de briques réfractaires isolantes. Les unes, produites avec une argile diatomite, sont rouge(s) ou beige(s), les autres font partie des briques dites blanches : ce qui correspond en tout à une vingtaine de références, qui se différencient principalement par leur densité et leur température d’utilisation : de 1 050 à 1 550 °C. Chaque qualité se décline en cinq formats principaux et un grand nombre de spéciaux : plaquettes, coins et couteaux pour les voûtes, pièces de formes, supports de résistance, etc. Les briques blanches représentent près de 95 % des volumes de notre production qui peut atteindre 6 millions de briques par an. Ces briques réfractaires isolantes sont destinées à l’industrie, notamment les hauts fourneaux des aciéries, les incinérateurs, les carrelages, les sanitaires, les fours tunnel des industries céramiques tels qu’Area Franceram et les verriers du monde entier, comme Arc International, Corning, ou spécialisés comme Rockwool (voir ICV n° 1040, pages 26 et 27). IFB Refractories est aussi une des rares entreprises homologuées pour fournir les réfractaires isolants destinés aux fours d’anode pour la production d’aluminium primaire sous technologie Pechiney ».
Une forte exportation
Le déclin des hauts fourneaux en France a incité le dirigeant non seulement à encore mieux maîtriser la production des briques, mais aussi à l’orienter vers de nouveaux marchés. De ce fait, IFB Refractories exporte aujourd’hui plus de 85 % de sa production. « Toute l’organisation de l’entreprise est orientée vers l’exportation qui a atteint 3,614 millions d’euros en 2011, soit 86,13 % du chiffre d’affaires de 4,196 millions, indique Didier Pessiot. Le chiffre d’affaires 2012 est évalué à 4,8 millions d’euros. Notre principal client reste l’Allemagne vers lequel nos exportations représentent 60 % de notre chiffre d’affaires. Nous exportons aussi régulièrement vers la Suède, l’Argentine, le Brésil, le Barhein. Nous avons connu un essai réussi en 2011 en Australie avec un partenaire japonais qui devrait nous apporter de nouveaux développements dans les prochaines années. Nous avons également trouvé un nouveau marché au Canada, » poursuit-il.
Difficultés d’investissement, mais… classée parmi les bonnes entreprises de son secteur
«À ce jour, poursuit Didier Pessiot, notre carnet de commandes représente près de trois mois d’activité, ce qui est très correct. Mais nous devons rester prudents en maîtrisant ou même en freinant notre croissance actuelle car notre activité est quelquefois cyclique : ce qui n’est pas compatible avec les rigidités des administrations et de la législation françaises. En effet, parce que notre société avait fait partie d’une multinationale, son retour à l’indépendance en 2004 a été beaucoup plus difficile que prévu, du fait de l’absence totale de soutien et de la méfiance des clients et des fournisseurs. En 2005, nous avons alors dû placer l’entreprise sous la protection du Tribunal de Commerce de Châteauroux qui nous a finalement accordé en juin 2007 le bénéfice d’un plan de continuation, prévoyant un remboursement des créanciers sur dix ans. Mais ce plan, qui devait nous sauver, nous empêche en fait d’investir : je ne peux que maintenir en état et améliorer l’outil industriel pour ne pas mettre l’entreprise en danger. En effet, aucun investissement significatif n’est possible parce que les sociétés d’assurance-crédit comme la Coface ou la SFAC ou les renseignements commerciaux comme Dun & Bradstreet classent IFB Refractories parmi les bonnes entreprises en terme d’analyse financière, lui reconnaissant des niveaux de ventes et des bénéfices retrouvés ainsi que des clients solvables. Pourtant, ils refuseront d’apporter leur garantie jusqu’en 2017 : un long purgatoire pour IFB au motif que l’“on n’aide pas une entreprise en difficulté”. Heureusement que les hôpitaux ne tiennent pas ce raisonnement, sinon ils refuseraient les médicaments aux malades en leur disant de revenir quand ils seront en bonne santé », indique avec amertume Didier Pessiot.
Le secteur “recherche et développement” est aussi une priorité
IFB Refractories poursuit aussi ses recherches pour lesquelles une ingénieure de l’école Ensci de Limoges est employée à plein-temps. « La première reconnaissance de l’entreprise par le métier est venue de notre démarche innovante de recherche, sur la corrélation entre la densité et la conductivité des briques isolantes. Au moins dans ce domaine, nous avons bénéficié d’un soutien financier efficace d’Oseo et du Conseil général de l’Indre qui a financé les travaux effectués par notre ingénieure sur les équipements sophistiqués de l’Ensci et avec l’aide des professeurs hautement spécialisés de cette école supérieure. Nous avons obtenu des résultats significatifs dans la connaissance de la structure interne de nos produits et nous avons commencé l’application pratique de cette recherche qui devrait nous permettre d’améliorer la maîtrise de notre procédé et l’augmentation du pouvoir isolant de nos produits, » conclut Didier Pessiot.

Source l’Industrie Céramique et Verrière

17/02/2013

CERIC Technologies sera présent sur 7 salons internationaux en 2013

CERIC Technologies sera présent en 2013 sur les salons internationaux

  • Sibbuild : du 5 au 8 février – Novossibirsk -Russie, International Exhibition Center, Hall B, stand B 255
  • Kievbuild : du 20 au 22 février – Kiev – Ukraine, International Exhibition Center, Pavillon 3, stand N°3-E.4.1
  • Uzbuild : du 26 février au 01er mars – Tachkent- Ouzbékistan, Uzexpocentre, stand A 48
  • Yugbuild : du 27 février au 2 mars – Krasnodar – Russie, Huban Expo Centre, Pavillon France, stand 1145
  • Mosbuild  : du 2 au 5 avril – Moscou – Russie, Pavillon 7, Hall 1, stand M 327
  • Batimatec : du 4 au 8 mai – Alger – Algérie, Pavillon France  
  • Libyabuild : du 19 au 23 mai – Tripoli – Libye, Pavillon France

CERIC Technologies était présent en 2012 sur les salons internationaux :

CERIC Technologies était présent en 2011 sur les salons suivants :

  • Interbudexpo : du 22 au 26 mars-  Kiev – Ukraine
  • Mosbuild : du 6 au 8 avril – Moscou – Russie
  • Batimatec : du 9 au 13 mai – Alger – Algérie
  • Keramtex : du 1er au 2 juin – Krasnodar – Russie
  • Kazbuild : du 6 au 9 septembre – Almaty – Kazakhstan
Source Ceric Technologies

16/02/2013

Jochen Nippel prend la Direction Générale de KELLER, acteur majeur de l'industrie de la terre cuite dans le monde

KELLER (KELLER HCW GmbH et morando S.R.L.), Division du Groupe Legris Industries, est spécialisée dans les équipements industriels automatisés pour l'industrie de la terre cuite et l'ingénierie d'usines complètes de fabrication de matériaux de construction (briques et tuiles).
Avant de rejoindre KELLER, Jochen Nippel (Ph.D) a travaillé chez Thyssen Stahlunion GmbH, puis a occupé pendant 15 ans des responsabilités opérationnelles au sein de la Division Ingénierie du Groupe Linde, un des leaders mondiaux de l'ingénierie dans le secteur des gaz industriels. D'abord en charge de la négociation des contrats majeurs pour les marchés sud-américain et asiatique, Jochen Nippel a pris la responsabilité des opérations en Chine pour Linde pendant 5 ans; d’abord comme Directeur Financier et ensuite comme Directeur Général pour le site d’ingénierie à Hangzhou et les activités de production à Dalian. En 2010, il est nommé Directeur Général de Linde Engineering Middle East. Basé à Abu Dhabi, aux Emirats Arabes Unis, il était aussi responsable des opérations de Linde Engineering sur l'ensemble des pays du Moyen-Orient.
Jochen Nippel pilotera le développement de KELLER sur ses marchés mondiaux et poursuivra l'accompagnement des clients dans leurs projets d'investissement, leurs programmes d'efficacité industrielle et d'innovation produits.
La Division KELLER a réalisé en 2012 un chiffre d'affaires de 76 m Euro et dégagé une profitabilité d'environ 3 % en très nette amélioration. Avec des commandes majeures prises l'année dernière en Europe de l'Est, au Maghreb et en Arabie Saoudite, KELLER enregistrera à nouveau une croissance significative en 2013. Le Groupe Legris Industries continuera d'accompagner cette croissance, avec des investissements industriels spécifiques et de nouveaux développements commerciaux en 2013.
«KELLER, spécialiste de la terre cuite et acteur de longue date sur le marché, dispose d'une base installée unique et d'une expertise reconnue par ses clients dans le monde entier. Je compte poursuivre notre développement en fournissant les meilleures solutions techniques répondant aux attentes et besoins spécifiques de nos clients sur les différents marchés géographiques.» souligne Jochen Nippel.
Source Keller HCW

Place à la danse contemporaine dans une ancienne briqueterie

RECONVERSION - Après deux ans de travaux, l’ancienne fabrique de briques de Gournay, à Vitry-sur-Seine, s'apprête à rouvrir le 20 mars prochain sous forme du Centre de développement chorégraphique du Val-de- Marne. Trois studios de danse prendront donc place dans l'ancien bâtiment du 19 ème siècle et un studio scène a été bâti. Son architecte Philippe Prost dit s'être inspiré de "la danse pour présenter un projet alliant mouvement, rythme et lumière."Découverte.
Dans cette période de conjoncture difficile, voici enfin une bonne nouvelle dans le domaine de la culture. Il faut dire que l’événement était très attendu depuis onze ans : la Briqueterie, le centre de développement chorégraphique du Val-de-Marne, ouvrira ses portes le 20 mars.
"Cet équipement culturel, le plus ambitieux construit dans le département depuis l’ouverture du MAC/Val en 2005, va être un lieu entièrement dédié à la danse et prend place dans une ancienne fabrique de briques de Vitry-sur-Seine, nous indique Michèle Chaize, en charge du projet, à la direction de la culture au Conseil général du Val-de-Marne. Ce nouvel équipement public créé à l'initiative du Département, financeur à 68 % du projet, et soutenu par la Région Ile-de-France et le ministère de la Culture et de la Communication, n'aurait pas vu le jour sans un partenariat entre le Conseil général et l'Etat."
Un ensemble réhabilité de 3.500 m²
Le programme de réhabilitation de cette imposante structure, située à Vitry-sur-Seine, dans un quartier limitrophe d'Ivry-sur-Seine et de Villejuif, fait, en effet partie, depuis plus de 100 ans, du paysage val-de-marnais. Racheté par le département du 94 en 2004, le bâtiment de deux étages accolé à une haute cheminée extérieure a été entièrement restructuré par l’architecte Philippe Prost. Les deux premiers niveaux seront réservés aux bureaux du Centre de développement chorégraphique et à un studio-vidéo. Les artistes pourront s’entraîner à l’étage supérieur divisé en trois vastes espaces ainsi que dans le studio-scène construit à la perpendiculaire de la nef principale. La réhabilitation confiée à l'Agence d'architecture Philippe Prost (AAPP), a donc été l'opportunité de requalifier tout l'environnement urbain.
Conserver l'âme de son passé
Alors que les derniers travaux de finition sont encore en cours, l’architecte Philippe Prost à l'issue d'une réunion de chantier rappelle son défi majeur : " Nous avons surtout voulu libérer de l'espace intérieur, et nous y avons ajouté une extension." Ainsi, d'après lui, la modernité est entrée dans les murs, tout en conservant l'âme de son passé.
Le lieu parle, en effet, de son histoire à travers les murs épais en briques rouges. Il affirme, à travers les nervures des poutres en acier, son cachet et son élégance du XIXème, que le porteur du projet a conjugué aux volumes contemporains. "Danse et architecture partagent un même souci du mouvement, du rythme et de la lumière", souligne aussi Philippe Prost. De plus, le projet choisi a séduit le Conseil général du Val-de-Marne par l’emplacement des trois studios de danse sous une belle hauteur de plafond, en pleine lumière du jour, et par son ouverture vers la ville de Vitry-sur-Seine.
Source Batiactu par Sébastien Chabas

15/02/2013

Un nouveau fabricant de tuiles métalliques s’implante en France

Le sud-coréen Roser Co Ltd, fabricant de tuiles métalliques revêtues de granules de pierre et un des leaders mondiaux dans ce domaine, actif depuis 1978 s’implante en France.
Spécialisée dans la fabrication de tuiles métalliques revêtues de granules de pierre depuis près de 30 ans, la société sud–coréenne commercialise ses produits dans à l'international et affiche une forte croissance de ses parts de marché mondial.
Depuis un peu plus d’un an, Roser souhaite, en effet, investir davantage dans son développement commercial et se développer en France mais également en Espagne, Italie et Afrique.
Aujourd’hui, cette société met en place différents outils et actions de communication auprès des négoces et centrales d’achat afin de trouver de nouveaux partenaires, distributeurs, stockistes…
8 aspects de tuiles classiques
Forte d’une gamme de produits assez large, l’entreprise Roser propose pas moins de 8 profils qui reprennent les différents aspects des tuiles classiques tels que les tuiles plates, Romane, bois…
De plus, ces produits fabriqués en acier Galvalume® (alliage de zinc et aluminium) et en granules de pierre céramisés offrent un poids, qui selon l’industriel, est 7 fois plus léger que d’autres matériaux.
Ainsi, Roser affiche ses produits avec 6,5 kg/m2 tandis qu’une tuile béton ou terre cuire pèse entre 20 et 40 kg/m2.
Pas d'engin de levage
Cette caractéristique de poids et la présentation par petites plaques de 1.33 m de long et 41 cm de large n’entraine donc pas l’utilisation d’engins de levage sur les chantiers et permet une utilisation en toiture neuve comme en rénovation en respectant le caractère des architectures locales.
Conformes à la norme EN 147 82, Iso 9001: 2008 et 2009, marquage CE, et titulaires de nombreux essais et avis techniques, les tuiles sont garanties 50 ans.
Source : batirama.com par  Aude Moutarlier

14/02/2013

Imerys France en recul de 1,6% en 2012

Imerys vient de publier des résultats 2012 contrastés au plan géographique. Au niveau mondial, le groupe reste très bien orienté avec une progression du CA de 5,7% à 3,88 Md€. Analysées par grandes régions, les tendances sont les suivantes :"Si les Etats-Unis ont retrouvé un certain dynamisme, qui s’est confirmé au second semestre 2012, plusieurs pays européens ont nettement ralenti. Les zones émergentes ont, quant à elles, poursuivi leur progression, à un rythme toutefois plus modéré", résume le groupe dans un communiqué.
En France, Imerys affiche un chiffre d'affaires à -1,6% pour le dernier exercice, à 614,5 M€. La part de l'Hexagone dans les résultats du groupe est descendue à 16%, et elle est amenée à diminuer de façon significative si le projet de cession de l'activité briques à Bouyer-Leroux parvient à terme (le dossier est actuellement examiné par l'Autorité de la Concurrence). Imerys Structure représente un CA de 95 M€ (chiffres 2011). Imerys est aussi présent sur le marché des matériaux via sa branche Toiture.

Source Le Moniteur

Wienerberger Belgique: La fermeture de la briqueterie de Wanlin gelée ?

WANLIN - La direction de la maison-mère Wienerberger et les syndicats de la Briqueterie de Wanlin ont décidé d’analyser la possibilité de suspendre temporairement l’intention de fermeture du site, annoncée le 25 janvier dernier, jusqu’au 31 décembre 2013.
L’analyse de suspension sera accompagnée d’une demande de chômage temporaire de longue durée pour les 23 ouvriers concernés.
«Nous attendons encore des confirmations du SPF Economie à ce sujet, nous voulons vérifier que cette volonté n’entre pas en contradiction avec la loi régissant la fermeture d’entreprises et respecte les droits des travailleurs», explique Bernard Willain, directeur de la briqueterie. «Nous n’avions pas pensé à ce cas de figure et il a été proposé par les partenaires sociaux lors des discussions. Cette solution serait bonne pour le futur du site et celui du personnel et éviterait une fermeture sans qu’une réflexion ait été menée au sujet d’une reconversion», ajoute le directeur.
«Trop souvent la première phase de la procédure Renault ne débouche que sur des concessions mineures. Dans cas, les partenaires sociaux ont fait des contre-propositions (comme le recours au chômage temporaire de longue durée) que la direction a réellement acceptées d’écouter», explique Eugénie Ledoux, secrétaire permanent CGSLB Namur-Luxembourg.
La suspension temporaire de fermeture constitue une étape qui a pour but de donner le temps nécessaire au «groupe de travail» -constitué de membres du Cabinet du ministre wallon de l’Economie, du Bureau économique de la province de Namur, de la commune de Houyet, de la direction de Wienerberger et des syndicats- pour analyser les différentes possibilités de reconversion industrielle du site et optimiser la recherche de repreneurs ou partenaires.
Source EdA par Philippe BERGER

Renoversontoit.com : ne laissez plus votre énergie partir dans la nature !


Dans une maison, il est crucial de surveiller régulièrement l'intégralité de son bâtiment pour garantir sa pérennité, un confort optimum et la sécurité de ses habitants. C'est particulièrement vrai pour la toiture qui, soumise à des aléas climatiques de plus en plus forts et fréquents (tempête, neige, pluie), doit être entretenue et surveillée régulièrement. Le site www.renoversontoit.com vous conseille et explique comment bien réaliser votre projet de rénovation de toiture tout en vous garantissant la meilleure isolation possible.
Bien rénover ou réparer son toit
70% des sinistres résultent d'une négligence et d'une méconnaissance des rudiments d'entretien d'une toiture et de ses différentes parties. Dans l’objectif d’accroitre la durée de vie de votre toiture, il est conseillé de surveiller, ou réparer en priorité, certains points sensibles de votre toiture comme : enlèvement des mousses et des végétaux, nettoyage des gouttières pour le bon fonctionnement des évacuations d’eaux pluviales, vérification de l’état de la charpente, vérification de l’étanchéité des raccords de la cheminée, vérification du bon fonctionnement de la ventilation. Donner un coup de jeune à sa toiture est un plus non négligeable. Chantier plus ou moins important, la rénovation de sa toiture permet d’accroître la valeur de sa maison tout en améliorant sa qualité de vie. Lorsque que vous faîtes rénover votre toiture, pensez à l’isoler. Sans une bonne isolation de la toiture, la chaleur s’échappe hors de l’habitat, car naturellement l’air chaud monte. Si vous n'y prêtez pas attention, votre maison peut vite se transformer en passoire énergétique. Pour en savoir plus sur la rénovation de votre toiture cliquez ici
Isoler c'est important
Un projet de rénovation de toiture est un moment majeur dans la vie de votre foyer qui ne se présente que très rarement car la durée de vie moyenne d’une couverture en tuiles est d’environ 50 ans. Lors d’une rénovation, ne pas en profiter pour isoler sa toiture, c’est rater une occasion unique ! Intégrer une solution d’isolation par l’extérieur, lors de votre rénovation, est une solution reconnue, fiable, économique et performante. Bien isoler permet ainsi de réduire ses dépenses énergétiques et donc sa facture de chauffage. A titre d'exemple, vous pouvez économiser jusqu'à 733€ par an sur votre facture énergétique. Pour en savoir plus sur les avantages d'une bonne isolation de toiture cliquez ici
Optimiser votre budget rénovation
Avant de vous lancer dans la rénovation de votre toiture, il est important d’anticiper et planifier au mieux votre projet afin d’optimiser au maximum votre budget. Pour cela il est nécessaire de respecter certaines étapes dans la gestion de votre projet afin que celui-ci soit réussi et le moins coûteux possible. De nombreuses aides existent pour vous aider dans le financement de votre projet.

Source dko

13/02/2013

Quand la banque tue l’industrie

Des banques qui laissent une PMI sombrer sans lui donner une chance de repartir? Ce n’est pas nouveau, mais ça énerve toujours. Et cela conduit à s’interroger sur ce qui ne va pas dans l’économie française, voire européenne.
Il était une fois un bon connaisseur du monde de la finance qui a décidé de devenir industriel. Ce n’était pas très malin de sa part: il aurait très bien pu vivre sans prendre ce risque. Mais il y a encore des gens bizarres qui croient qu’il est possible de produire dans ce pays.
Il s’intéresse à une petite entreprise dans le domaine des énergies renouvelables: le créneau est porteur et il lui semble dommage de l’abandonner complètement aux entrepreneurs allemands et autrichiens qui dominent le marché. C’est exactement le type de biens d’équipement —petites séries et haute valeur ajoutée— où un Européen peut espérer se faire une place. publicité
Il réussit à monter un LBO, technique permettant de financer en partie le rachat d’une entreprise par de la dette: on rembourse en se payant sur la bête, ce qui suppose une bonne rentabilité de l’entreprise achetée. L’affaire se complique
Quelques années après, il rachète une autre entreprise du même secteur, qui a choisi de délocaliser sa production en Pologne. Mais l’absorption d’une entreprise peut se révéler plus difficile que prévu; c’est ce qui arrive dans ce cas précis et l’affaire se complique encore avec le ralentissement de l’activité économique.
Cela n’empêche pas notre homme de préparer le rapatriement progressif des activités parties en Pologne; ce programme arrive à son terme actuellement. Le problème, c’est que l’entreprise risque d’arriver elle aussi à son terme…
Effectivement, le remboursement de la dette liée au LBO devient difficile aux échéances prévues. Le chef d’entreprise demande l’ouverture d’une procédure de conciliation pour obtenir une renégociation de la dette à long terme et un maintien des concours à court terme. Face aux exigences posées par les banques, la procédure de conciliation échoue: c’est la cessation de paiement et l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire. Les banques jouent la sécurité
La suite logique devrait être un plan de continuation de l’activité avec abandon partiel de la dette. Mais les banques risquent fort de refuser cette solution et de préférer la liquidation pure et simple. En effet, dans ce dernier cas, elles sont sûres de récupérer 60% du montant des prêts en faisant jouer la garantie d’Oséo, organisme de financement qui fait partie aujourd’hui de la Banque publique d’investissement (BPI).
L’entrepreneur ne renonce pas, il cherche à mettre au point un nouveau montage financier avec Oséo et demande l’intervention d’Arnaud Montebourg. Bref, il se bat, mais l’issue du combat est incertaine et quelques dizaines d’emplois risquent de disparaître.
Qui est responsable?
Malheureusement, ce cas n’est pas unique. Des exemples comme celui-là, on peut en trouver dans chaque région. C’est pourquoi aucun nom n’est cité ici. Le but n’est pas d’appeler au secours de telle entreprise en particulier ou de stigmatiser tel établissement bancaire.
On peut certes penser que ceux qui prennent la décision de se désengager d’une entreprise dans les meilleures conditions possibles pour eux, quitte à provoquer sciemment la mort de l’entreprise en question, portent individuellement une lourde responsabilité. Mais dans une banque, la responsabilité est souvent collective. Personne ne tient à être considéré comme le responsable d’une décision qui a entrainé des pertes pour la banque.
La carrière d’abord. Dans cet univers lourdement hiérarchisé, votre interlocuteur, celui qui vous fait savoir que votre crédit est refusé, n’a probablement fait que suivre la consigne donnée par son chef de service, lui-même soucieux de ne pas s’attirer les foudres du directeur d’agence, lui-même dans l’attente d’une nomination à un poste plus important…
Et, pour être sûr que les conseillers ne se laisseront pas attendrir par leurs clients, on ne les laisse jamais trop longtemps au même poste; ainsi, ils n’ont pas le temps de nouer des relations humaines avec leurs clients. D’ailleurs, on ne peut plus considérer, dans la majorité des cas, qu’ils ont des clients. Ils gèrent des dossiers, et un dossier, ça peut se refermer sans états d’âme.
Bâle III: une réelle contrainte…
Le problème est encore aggravé aujourd’hui par le contexte dans lequel évoluent les banques. Après la crise financière de 2008, il a été jugé utile au niveau international de durcir la réglementation qui leur est applicable concernant le niveau de leurs fonds propres (ratio de solvabilité) et l’équilibre dépôts-prêts (ratio de liquidité).
Certes, la réglementation Bâle III, adoptée en décembre 2010, a été considérablement adoucie en janvier dernier concernant le ratio de liquidité et n’a pas encore été transposée en droit européen. Mais, dans les faits, les banques commencent se mettre en conformité avec les nouvelles normes, ce qui les conduit à adopter une politique de crédit plus restrictive.
Certains banquiers vous le diront: ils ont de l’argent, ils aimeraient bien pouvoir prêter plus, mais ils ne le peuvent pas. Ce n’est pas le moindre des paradoxes de voir que, pour punir les excès commis sur les marchés par certaines grandes banques, américaines en tête, on impose de nouvelles règles qui brident l’activité de base de toutes les banques —le crédit aux entreprises et aux particuliers—, sachant que de surcroît les Etats-Unis, peu soucieux de freiner leur économie, ne sont pas pressés d’appliquer Bâle III. … et un bon alibi
Cela dit, on a de bonnes raisons de penser que Bâle III sert aussi de prétexte aux banques pour ne pas prendre de risques et travailler d’abord à renforcer leur propre situation financière. Le crédit se développe peu actuellement parce que la demande est faible: que l’on soit un particulier ou une entreprise, on évite de s’endetter quand on n’a aucune visibilité.
Mais il y a aussi un problème du côté de l’offre: les banques ne répondent que très parcimonieusement à cette faible demande. Le 21 janvier dernier, Christian Noyer, le gouverneur de la Banque de France, a lancé un avertissement courtois mais ferme aux banquiers de la place: il les a invités à «éviter, de façon générale, une poursuite du fléchissement de l’offre qui aggraverait la situation des entreprises et rendrait plus difficile le nécessaire redressement de la conjoncture». De même, le 7 mars, à Francfort, Mario Draghi, le président de la BCE, faisait état de «conditions de crédit restrictives pour les petites et moyennes entreprises».
Le ministre du Redressement productif et la Banque publique d’investissement ont du travail devant eux… En attendant, avec le moteur du crédit qui tourne au ralenti et une politique budgétaire qui freine, on ne peut guère s’étonner de voir l’économie faire du surplace.
Source Slate par Gérard Horny

Tour Robelet à Dunkerque : la consommation d’énergie réduite

Pour la rénovation des 260 logements répartis sur les quatre immeubles du quartier de la Verrerie à Dunkerque, l’amélioration des performances énergétiques a fait l’objet de toute l’attention de l’agence d’architecture Wallyn-Sézille, maître d’oeuvre du projet. En particulier, la Tour Robelet a été restaurée avec pour objectif l’obtention du label BBC rénovation.
La Tour Robelet, très mal isolée, présentait avant les travaux une consommation annuelle d’énergie de 265 kWh énergie primaire par m². L’isolation thermique mise en oeuvre prévoit une amélioration considérable de la performance du bâtiment, avec une réduction de plus de 66% de la consommation d’énergie, à 88 kWhep/m²/an. L’opération étant située en zone classée, l’agence Wallyn - Sezille a travaillé en concertation avec l’Architecte des Bâtiments de France, qui n’a pas jugé nécessaire d’en modifier le caractère architectural. Seul élément vertical du quartier, il était souhaitable de distinguer la Tour des autres bâtiments et de choisir un module d’isolation à son échelle.
La mise en oeuvre d’un bardage en terre cuite Piterak® de TERREAL a permis de répondre aux difficultés techniques du chantier tout en assurant une isolation énergétique optimale. Le parement de l’immeuble en briques apparentes, mis en oeuvre de façon traditionnelle, ainsi que le dessin assez caractéristique des balcons ont ainsi été conservés. Une logistique imposante à l’échelle de la tour
Réaliser un doublage en brique apparente maçonnée sur une telle hauteur était assez délicat en raison du retrait du rez-de-chaussée. L’isolation rapportée et le bardeau Piterak® agrafé sur le profilé support courant constituent un complexe d’une épaisseur totale de 211 mm qui vient s’ajouter au retrait des châssis accentuant l’enfoncement des baies. De plus, les tableaux et voussures prennent une place importante. Les capotages en tôle laquée étant disponibles dans un nuancier RAL uniquement, le choix s’est porté sur la nuance de rouge qui se rapprochait le mieux de la terre cuite.
Pour Patrick Galzin, architecte, « le bardeau de terre cuite Piterak® a été posé dans les conditions habituelles et avec les accessoires fournis par TERREAL. En revanche, nous avons dû mettre au point une technique de mise en oeuvre pour les brise-soleil. Dans le traitement initial des baies, les châssis étaient placés au nu extérieur des façades, une conception innovante assez exceptionnelle pour l’époque, mais qui complique les opérations de rénovation. Nous avons donc opté pour une solution d’implantation préalable des nouveaux châssis au nu intérieur. Les anciens châssis ont ensuite été déposés au fur et à mesure du déplacement de la nacelle ».
Un impact sur la requalification globale du quartier
Le quartier de la Verrerie a été un des premiers reconstruits après la deuxième guerre mondiale. La Tour Robelet, livrée en 1951, a été réhabilitée une première fois en 1997, sans prise en compte de la qualité thermique du bâti. Les grandes entrées et recoins inutiles de certains immeubles étaient devenus des zones de non droit, abritant de nombreux trafics. L’Agence Wallun - Sezille a saisi l’occasion de cette rénovation pour sécuriser les parties communes en réduisant leur surface et améliorant leur visibilité depuis l’extérieur. Occupée à 90% de retraités, résidents parfois depuis la livraison, la Tour Robelet faisait exception et cette réhabilitation du quartier a permis d’en conserver la typologie.

Source Batiweb 

Keller signe un contrat important pour la construction d’une briqueterie clefs en main de 1000T/J avec Saudi Ceramics Company


La société Saoudienne Saudi Ceramics Company a commandé une usine de production de briques perforées, de hourdis et de blocs à perforations verticales au constructeur Allemand KELLER HCW (groupe Legris Industries). Cette commande comprend la préparation des terres, la ligne de fabrication , le séchoir , le four et l’ensemble des manutentions.

Les critères de choix retenus par Saudi Ceramics Company étaient les faibles consommations énergétiques, un rationalisation du personnel et une très grande flexibilité pour la production de différents produits avec un haut standard de qualité.

La nouvelle briqueterie sera construite dans les environs immédiats de la ville de Riyad. Elle aura une capacité de production de 1000 tonnes par jour et est dotée d’un concept particulièrement adapté pour le marché de la péninsule Arabique.

Source Keller HCW

12/02/2013

Metz/FFTB: une web série sur la terre cuite

Une famille de Metz en Moselle participe à un court métrage diffusé sur Internet pour la promotion de la construction à l'aide de la terre cuite.
Damien et Sabrina, un jeune couple, parents d'un petit Gauthier, jouent les acteurs pour un spot publicitaire. Leur maison basse consommation est située près de Metz en Moselle et a été construite en terre cuite.
Ce spot est mis en ligne par la "Fédération Française des Tuiles et Briques". Deux petites vidéos ont été tournées avec deux familles, l'une à Metz et l'autre à Perpignan (66).
Retrouvez les vidéos sur le site : www.jeconstruisterrecuite.com

Source Lorraine Numérique

VM Matériaux: boucle la cession de neuf agences.

Quelques semaines après la signature d'un protocole d'accord de cession, VM Matériaux et le groupe Samse annoncent avoir finalisé la cession de neuf agences de négoce de matériaux situées dans le sud-ouest de la France, à compter du 1er février 2013.
L'acquisition de ces points de vente permet au groupe Samse d'étendre son maillage géographique et de poursuivre ainsi son développement commercial.
Les agences concernées seront exploitées sous l'enseigne M+ Matériaux, filiale du groupe Samse.
Ces points de vente représentent environ 29 millions d'euros de chiffre d'affaires en année pleine et 108 salariés.
Cette opération contribue au programme de cession d'actifs annoncé par VM Matériaux et à l'adaptation de son positionnement aux évolutions durables du secteur de la construction.
Source Le Figaro

11/02/2013

Nouvelle ligne FIBLOC pour la découpe et l’insertion d’isolant dans les briques et blocs béton


FIMEC Technologies et ADLER Technologies ont associé leurs compétences pour développer et breveter un process et des équipements innovants pour la découpe et l’insertion robotisée de différents types d’isolants monolithiques : la ligne FIBLOC®, conçue pour assurer des cadences de production industrielle tout en étant particulièrement flexible et évolutive.
L’optimisation de la résistance thermique des murs est l’un des principaux leviers de réduction de la consommation d’énergie des bâtiments. En travaillant en partenariat, FIMEC Technologies et ADLER Technologies ont développé une solution pour renforcer la résistance thermique des blocs en béton ou des briques.
Adaptée à tous les isolants, quel que soit leur type (laine de verre, laine de roche, polystyrène, polyuréthane…), la ligne FIBLOC est composée d’une unité de découpe automatique et d’une unité d’insertion robotisée pilotée par vision 3D.
Evolutivité et flexibilité
L’évolutivité et la flexibilité ont été les maitres-mots du développement de FIBLOC. Une grande souplesse d’utilisation est obtenue grâce à un concept de ligne qui a intégré dès le début ces impératifs.L’utilisation des derniers développements en mécatronique et en vision lui confèrent "intelligence" et autonomie.
Elle permet :
  • de traiter des panneaux et inserts de format différents sans modification de l’installation,
  • de changer automatiquement de gamme de production.
Les ingénieurs qui ont développé la ligne ont eu à cœur de la rendre évolutive en créant un système de modules complémentaires.
Il est par exemple possible d’ajouter:
  • une seconde ligne d’alimentation et de découpe lorsque la production requiert une alimentation mixte (laine de roche et polystyrène par exemple),
  • un module de gestion des déchets de coupes,
  • ou encore un module de contrôle de la qualité des inserts de laine par pesage individuel pour valider leur performance thermique. 

Source Fimec Technologies

Quelles tuiles pour le toit ?

La tuile en terre cuite: Artisanale ou industrielle, elle se taille la part du lion.
Avantages : une variété de coloris et de formes, une bonne résistance aux intempéries et une longue durée de vie. Elle est fabriquée à partir d'éléments présents dans la nature (argile et sable) et contribue à l'identité régionale. Inconvénient : le prix relativement élevé de la tuile artisanale. Erlus, Imerys, Koramic, Monier, Terreal...


 Double tuile. Conciliant esthétique, simplicité et rapidité de pose (à joints droits ou croisés), elle est disponible en 3 coloris : aubergine, anthracite et nuagé. Elle dispose d'une fiche FDES (fiche de déclaration environnementale et sanitaire) et peut donc s'inscrire dans une démarche HQE. 33,25 kg pour 9,5 tuiles au m2. "Opalys", Koramic.



 Spécial Ouest. Une palette de 5 coloris pour faire revivre les tons traditionnels de la façade Atlantique. Cette tuile se caractérise par un excellent rapport légèreté/résistance et une étanchéité parfaite, même à faible pente. 46,8 kg pour 12 tuiles au m2. "Latitude 12", Terreal.




Triple tuile. Esthétique, économique et facile à poser, cette tuile plate 3 en 1 permet de gagner 35 % en temps de pose. Elle s'adapte à la plupart des configurations. "Néoplate", entre 45 euros et 50 euros le m2 fourni posé, Imerys.


Autonettoyante. Cette tuile en terre cuite est disponible avec la fonction Erlus Lotus qui détruit les particules organiques (dépôts graisseux, suies, mousses et algues). La pluie devient l'agent nettoyant et le toit reste propre plus longtemps. "E 58 S", Erlus.

Source Coté Maison par Georges-François Rey

Monier/Braas lance la tuile Rubin 9V sur le marché Polonais


En Février Monier/Braas a lancé la tuile de très grand format Rubin 9V sur le marché Polonais.

Avec 9,4  tuiles au M² et 47cm de long, la Rubin 9V fabriquée en Allemagne devient la plus grande tuile du marché Polonais.
En outre cette tuile dispose d’un pureau variable de 30 mm qui facilité la pose et permet de diminuer le temps de couverture. Cette tuile est idéale pour une toiture neuve comme pour un chantier de rénovation.

La Rubin 9V sera proposée en tons engobés (cuivre, bronze, anthracite) comme en couleurs émaillées (marron, noir brillant) qui sont déjà réputées sur le marché grâce à la gamme Rubin 13PV. Cette palette de coloris classiques permet à la toiture de s’adapter à chaque type d’architecture.

La Rubin 9V permet à Monier/Braas de compléter sa gamme pour offrir un système complet de solutions pour la couverture.

Comme l’ensemble des modèles de la gamme la Rubin 9V bénéficie d’une garantie de 20 ans dont 5 ans contre le gel.

Caractéristiques techniques:
  • Longueur de couverture: 370 - 400 mm
  • Pureau variable: 30 mm
  • Largeur de couverture moyenne: 267 mm
  • Nombre de tuiles pour 1 m2: de 9,4 à 10,1 pc
  • Poids par tuile: 4,0 kg
  • Pente minimale recommandée 16 °

Source Budujemydom

10/02/2013

Pôle Européen de la Céramique: agenda administratif 2013

Le prochain conseil d’Administration du pôle Européen de la Céramique aura lieu le  Mardi 12 mars 2013 à 10 heures.
La prochaine  Assemblée Générale se déroulera le Mercredi 10 Avril 2013 à 10 heure.

Pôle Européen de la Céramique
ESTER Technopole
1, avenue d’Ester
87069 Limoges Cedex - FRANCE
Tél. (33) 05 55 38 16 21
Fax (33) 05 55 38 18 62

Source Cerameurop

Réduction de la consommation d’énergie : nouveaux développements de Ceric Technologies

L’importance du facteur énergétique est au cœur des préoccupations et des développements actuels réalisés par Ceric Technologies. La société explore plusieurs voies: les combustibles alternatifs n’entrant pas dans les quotas de CO2, l’amélioration de l’efficacité énergétique de ses équipements et l’isolation thermique. Cette priorité donnée à la réduction de la consommation énergétique se retrouve dans l’ensemble de la gamme (une modification de la buse et des hélices de sortie d’un groupe d’étirage Pelerin a par exemple permis de réduire sa consommation d’énergie électrique de 10 %). Mais c’est sur les fours et les séchoirs que les efforts se concentrent.
Cuisson: isolation des fours
Les caractéristiques des fours, en termes d’isolation et de rendement thermique, sont sans cesse améliorées. L’isolation des panneaux est optimisée en fonction des zones de températures pour des performances énergétiques exceptionnelles et l’étanchéité des fours (enveloppe en acier avec des panneaux soudés…) reste le meilleur moyen de conserver leur performance à l’optimum.
Énergies alternatives: biogaz et sciure de bois
Des développements récents sur des combustibles alternatifs autorisent l’utilisation de nouvelles énergies (gaz pauvre, biogaz, sciure de bois…). Le biogaz est une énergie renouvelable non fossile issue de la fermentation de matières organiques (animales ou végétales) et qui peut être produite dans les centres d’enfouissements techniques (CET). Essentiellement composé de méthane, de dioxyde de carbone, d’eau et d’autres gaz dans des proportions moindres, son pouvoir calorifique dépend de la concentration en méthane et varie donc de 4 à 7 kWh par Nm3. Ceric Technologies exploite un savoir-faire éprouvé dans l’installation de lignes de cuisson biénergie biogaz/gaz naturel. Composée de panoplies biogaz pour l’alimentation des zones de cuisson, de brûleurs Jet et de tuyères biénergies, cette solution flexible permet une gestion automatisée de la biénergie. Aucune intervention humaine n’est nécessaire pour le changement de combustible et la cuisson est garantie même en cas de défaut d’alimentation d’un des combustibles.Plus économique (le coût énergétique du biogaz est bien inférieur à celui du gaz naturel), plus écologique (utilisation d’énergie non fossile), l’utilisation du biogaz représente une alternative fiable à l’utilisation de combustibles fossiles. Cette solution est adaptable aux nouvelles installations et aux installations existantes.
La sciure de bois, ou encore les écorces et copeaux, les pellets ou autres déchets végétaux, constituent un combustible dont le bilan CO2 est neutre pour l’environnement, la quantité de CO2 dégagée lors de la combustion étant égale à la quantité absorbée lors de la croissance de l’arbre. Le pouvoir calorifique de la sciure dépend de son taux d’humidité, taux qui peut varier énormément.
Ceric Technologies a mis au point une centrale de cuisson qui fonctionne avec tous les types de sciures humides, sans séchage préalable. Un criblage de la sciure est nécessaire pour écarter les grains supérieurs à 5 mm avant de la déposer sur un convoyeur à chaîne installé à proximité du four. Il alimente des vis sans fin reliées aux centrales de cuisson. Chaque centrale, régulée automatiquement, envoie un mélange d’air et de sciure pulsé jusqu’aux tuyères installées sur le four. Ce dernier est équipé d’un dispositif d’obturation automatique des puits de chauffe afin d’éviter les remontées de gaz chaud vers les équipements de cuisson et une possible inflammation de la sciure.
En s’appuyant sur cette expérience de la combustion de matières non fossiles, Ceric Technologies explore de nouvelles voies et évalue d’autres sources exploitables.
Équipements de cuisson: le ThermoBooster
Les efforts de Ceric Technologies se sont aussi portés sur les équipements de fours, soit pour améliorer encore le rendement des équipements de chauffe (tuyères à impulsions gaz, brûleurs Jet…) ou les rendre compatibles avec l’utilisation d’énergies alternatives, soit pour optimiser les échanges thermiques lors de la cuisson des produits. Le recyclage des fumées, dans un premier temps, puis le brassage haute température se sont alors imposés comme des solutions efficaces pour réduire les consommations d’énergie.
En créant le ThermoBooster, Ceric Technologies a développé une solution pour optimiser les flux au sein du four et homogénéiser la température entre ses différentes sections. L’amélioration des échanges thermiques permet de réduire la différence de température entre le haut et le bas du wagon et améliore l’homogénéité de température du début à la fin du four. Cet équipement breveté de brassage d’air haute température présente la particularité de fonctionner à l’intérieur même du four, de 200° à 850°C. Il ne requiert pas l’installation de conduits d’air externes, souvent endommagés par des phénomènes de corrosion difficilement contrôlables. Son efficacité permet de réduire le nombre de brûleurs au niveau de la zone de pré chauffage et, par conséquent, les opérations de maintenance. Une nouvelle conception de la turbine a permis d’augmenter de 15 % l’efficacité aéraulique de l’ensemble.
Séchoirs
Les efforts de Ceric Technologies se sont portés sur l’isolation des séchoirs (utilisation possible de panneaux isolants), la récupération des calories du four et leur exploitation pour le séchage et l’introduction d’équipements de brassage d’air innovants qui optimisent le séchage et réduisent la consommation d’énergie.

Source Ceric Technologies

Réparer ou refaire sa toiture : comment choisir ?

Réparer ou refaire sa toiture : comment choisir ?
Monter sur un toit présente un certain danger et il faut tout de même respecter quelques règles techniques pour garantir la pérennité de la toiture. Au-delà des deux ou trois tuiles accessibles, ou lorsqu'il s'agit de zinc, l'intervention d'un spécialiste s'impose. Pour un bâti récent, vous n'aurez aucun mal à trouver les mêmes éléments de couverture. Mais avec un toit ancien, le problème se corse.

Solution 1 : la réparation du toit sans erreur
Comment ne pas modifier l'esthétique du toit ? Pour les tuiles en terre cuite, deux solutions :
1) Chercher des tuiles de récupération similaires, mais sans défaut. Ce n'est pas forcément le meilleur choix. Vous n'aurez pas toujours d'information fiable sur leur origine, leur qualité, et surtout vous ne disposerez d'aucune garantie de durabilité. Placées côté nord, par exemple, elles risquent de ne pas résister longtemps au gel.
2) Acheter du neuf au look vieilli. Certaines tuiles plates, losangées ou canal, imitent les dégradations dues au temps qui passe, dans toutes les dimensions et couleurs imaginables. L'idéal : le panachage, un mélange de tuiles neuves "vieillies" et anciennes.
Pour les tuiles mécaniques (à emboîtement), en revanche, les imitations sont moins probantes. Mieux vaut changer un pan entier de toiture.
Pour l'ardoise naturelle, l'occasion est possible, mais, s'il s'agit d'un matériau hyperrésistant (certains avancent 100 ans de durée de vie), c'est aussi l'un des plus fragiles. L'ardoise résiste mal au "démontage" et les belles ardoises de couverture récupérées sont difficiles à trouver, sinon localement.
Pour le zinc, ne prenez que du neuf. Aujourd'hui, sa surface se décline en de multiples teintes et finitions, plus ou moins brillantes, permettant d'obtenir l'aspect vieilli ou coloré souhaité.

Solution 2 : Changer de couverture
Se lancer dans une telle entreprise, onéreuse, est une décision délicate qui mérite une approche réfléchie. Quels sont les points à vérifier avant toute chose ?
- Faites inspecter la charpente par un professionnel pour garantir sa solidité et la pérennité de la nouvelle couverture. Et pour savoir quel poids elle peut supporter. Pour des tuiles plates, comptez 60 à 65 kg le m2. Les tuiles canal : 40 à 45 kg le m2. L'ardoise : environ 25 kg le m2. Le zinc : environ 7 kg le m2.
- Renseignez-vous sur les exigences locales en mairie pour vous assurer qu'il n'existe pas d'obligation en matière d'esthétique (couleur, forme, format). Le choix de la couverture devra aussi tenir compte du climat local (vitesse des vents, fréquence des pluies ou de la neige, etc.).
- Tenez compte de la pente de la toiture pour décider de la couverture adaptée.
- Contrôlez l'efficacité de la ventilation pour entreprendre les modifications nécessaires. Faites des économies d'échelle en entreprenant ce genre de travaux parallèlement à la réfection du toit. En profiter pour faire les travaux annexes
Changer de couverture, c'est l'occasion idéale pour :
1. Ajouter un écran de sous-toiture. L'écran de sous-toiture HPV (hautement perméable à la vapeur d'eau) contribue à imperméabiliser votre toit à l'air et à l'eau, tout en laissant la vapeur d'eau s'évacuer. Il réduit les phénomènes de pression-dépression de la toiture, responsables de l'envolée des tuiles lors de tempêtes, ce qui permet l'installation de tuiles sur des pentes plus faibles. Il évite enfin la pénétration de neige poudreuse, de poussière, de pollen. Comment choisir l'écran ? Tout dépend de la charpente, de l'écartement des chevrons, du type de couverture, mais aussi de la présence ou non de combles aménagés.
Seul un professionnel peut juger de la faisabilité de l'opération. Optez pour un produit de qualité et suffisamment épais, car il est fait pour durer. Une fois installé, l'écran est exposé au risque de vieillissement, d'abord à cause des rayons UV (avant la pose de la couverture), puis des fortes chaleurs sous la couverture en été (elles peuvent dépasser 80 °C). Certaines membranes sont dotées d'une surface métallisée et rejettent donc une partie de la chaleur l'été, tout en réduisant les pertes énergétiques l'hiver et en laissant s'évacuer la vapeur d'eau.
2. Installer des fenêtres de toit. Les fenêtres de toit de qualité (de bonne performance thermique et phonique) procurent un apport solaire appréciable dans des combles aménagés. Les liaisons périphériques doivent être parfaitement exécutées pour garantir une étanchéité et une isolation thermique fiables. Il existe aujourd'hui des modèles adaptés aux bâtiments classés, en métal ou en bois.
Source Coté Maison par Agnès Denoix-Molina

09/02/2013

FIMEC Technologies : l’innovation et l’expertise


Les filiales de Materials Technologies, Adler Technologies et Fimec Technologies affichent leur bonne santé en ce début d’année 2013. Le groupe développe toutes les synergies possibles entre ses deux entreprises afin de développer l’innovation et le service, clefs de son succès. Avec un chiffre d’affaires de 30 millions d’euros en 2012, 150 personnes réparties sur trois sites en France, un au Maghreb, un au Brésil et un en Europe de l’Est, le Groupe escompte + 30% de croissance de son activité à l’export cette année.
L'année 2013 sera riche en challenges commerciaux et R&D pour Adler Technologies : 4 usines sont en cours de réalisation, une nouvelle presse de grande surface sera commercialisée au 1er semestre, la gamme de moules intégrera dès le 1er semestre des moules monoblocs démontables, et un moule de nouvelle génération sera commercialisé au second semestre. Pour le groupe Materials Technologies, 2013 s'annonce une année forte en développements et en croissance sur les marchés internationaux. Yann Jaubert, son Président nous en dit davantage…

Source France BTP Ch. Raynaud, le 05/02/2013

Le second cénotaphe d'Archimède est en briques de terre cuite

L'artiste Raphaël Zarka expose au musée des Beaux-Arts d'Angers une oeuvre intitulée : le second cénotaphe d'Archimède. Pour cette réalisation il s'est adressé à l'entreprise Les Terres Cuites d'Aizenay dirigée par Jean Paul Gauvrit. Briquetier de père en fils depuis 1868, Jean Paul Gauvrit représente la sixième génération d'une entreprise familiale située au coeur de la région pays de Loire. Il continue de perpétuer un savoir-faire traditionnel alliant tradition et modernité. Hautes de plus de trois mètres, deux colonnes jointes par leur base et leur sommet s'élèvent dans l'espace. L'une est ornée d'un motif de chevrons, l'autre hélicoïdale, semble tournée sur elle-même. L'artiste a travaillé tel un architecte : il a conçu les plans, fait façonner près de 1400 briques puis a construit la sculpture comme un jeu d'assemblage. Cette oeuvre est ce qu'il appelle une reconstruction : une réplique d'une cheminée anglaise du 16e siècle. Raphaël Zarka part du postulat que toutes les formes existent déjà, elles ne font que migrer d'un domaine. Avec cette oeuvre, l'artiste érige un monument à la mémoire du savant grec. Cette cheminée, devenue sculpture, reprend deux recherches menées par Archimède : la vis sans fin, dont la colonne en spirale reprend la forme, et le rhomicuboctaèdre. Ce volume, qui fascine l'artiste, est basé sur une section octogonale. Pour cette sculpture, l'octogone est simple à la base des colonnes puis se complexifie sur le fût et le sommet.

Source Batjournal

Maroc: Repli de la consommation de ciment de 25%!

Après le repli enregistré en décembre dernier, le mois de janvier a été marqué par une forte régression des volumes écoulés de près de 25 %. Ceci conforte le trend baissier entamé depuis le second semestre de l’année passée.
Les différents producteurs de matériaux de construction, surtout ceux utilisant le ciment, le fer à béton et le sable, ont du mal à maintenir l’équilibre.
Le marché du ciment continue sa dégringolade. Après la baisse enregistrée durant le mois de décembre dernier, avec des écoulements en régression de mois à mois de 12,40 % pour un volume de 1 346 430 tonnes, les réalisations de janvier 2013 causent du souci aux producteurs. Au cours du premier mois de l’année en cours, les ventes ont, à peine, atteint près de 1 150 000 tonnes, en repli de près de 25 %. À titre de comparaison, elles sont moins bonnes que celles réalisées durant le même mois de 2012 (1 578 070 tonnes) et celles de janvier 2011 (1 262 584 tonnes). Cette baisse est imputable, selon les professionnels, au recul de la production de logements sociaux, que ce soit ceux issus de l’auto-construction, après le durcissement du processus de lutte contre l’habitat clandestin, ou encore de la promotion immobilière. Et pour cause, malgré l’engouement enregistré pour les appartements à 250 000 DH HT, dans les grandes villes surtout. Il y a une mévente de ces dits logements dans les petites villes et même au niveau de Fès, Meknès et autres. Un autre facteur pouvant freiner la production de logements, et par ricochet, la consommation de ciment, c’est la lenteur dans l’octroi des autorisations de construire qui sont livrées au compte-goutte. Résultats : beaucoup de projets sont en stand-by en attendant un dénouement qui tarde à venir. La plupart du temps, il faut attendre plus d’un an pour obtenir le fameux sésame pour que les travaux puissent démarrer. Autre problème majeur, c’est le désaccord entre le gouvernement et les promoteurs immobiliers sur le produit introduit par la loi de Finances 2013 concernant la classe moyenne. Du coup, les mises en chantier attendues pour cette année, devraient être minimes, vu que seuls les opérateurs publics, à leur tête Al Omrane, qui devront lancer les premières réalisations d’appartements dédiés à cette tranche de la population dont le prix du m² est fixé à 6 000 DH. L’année 2013 s’annonce, à priori, difficile pour les différents intervenants dans le secteur du Bâtiment et des travaux publics. Outre les cimentiers, les différents producteurs de matériaux de construction, surtout ceux utilisant le ciment, le fer à béton et le sable, soulignent qu’avec les taxes imposées pour renflouer le Fonds solidarité habitat et intégration urbaine (ex FSH), il serait difficile pour eux de maintenir l’équilibre, tout en achetant les intrants plus chers et en gardant les mêmes prix. Une vraie descente aux enfers, selon certains professionnels. Et dire que quand le bâtiment va mal, tout va mal.

Source Le Soir

08/02/2013

Arabie Saoudite : le ciment devrait connaître une croissance de 9% d'ici 2017

La demande de ciment en Arabie Saoudite devrait enregistrer une croissance de 9,4% à 80 millions de tonnes d'ici 2017.
Selon une nouvelle étude de marché publiée par CW Groupe, le développement des projets d'infrastructures à grande échelle en Arabie Saoudite engendrerait une croissance de la demande en ciment autour des 9,4% d'ici 2017. La production devrait atteindre les 23 millions de tonnes d'ici 2017 avec des entreprises telles que Yamama Cement et Eastern Province Cement qui planifient pour leur part une production respective de 3,2 millions de tonnes de ciment par an en Arabie Saoudite.

Source France BTP

07/02/2013

Briqueterie Wienerberger de Wanlin (B) : une réunion pour évoquer les pistes futures

Une réunion de travail s’est tenue mardi 06/02 matin au bureau du ministre Belge  Marcourt à Jambes concernant la fermeture de la briqueterie de Wanlin. Seul l’aspect économique a été évoqué, a indiqué le bourgmestre d’Houyet, Yvan Petit.
La direction de Wienerberger Belgique, le bourgmestre de Houyet Yvan Petit, le député wallon Jean-Claude Maene et le directeur du Bureau économique de la Province, Renaud Degueldre ont discuté d’éventuelles solutions favorables aux travailleurs et au site de la briqueterie.
«Le but était de voir s’il était possible de travailler ensemble ou si la rupture était nette et précise comme l’avait précédemment annoncé la direction de la briqueterie. Les conditions sont finalement moins radicales que prévues, un climat de confiance a été mis en place», a ajouté Yvan Petit.
Lors de cette réunion, c’est principalement la reprise de la briqueterie qui a été évoquée. «La direction est toujours favorable à une reprise mais ne veut pas céder l’entreprise à un autre fabriquant de briques. Nous faisons appel à tous les candidats. Mais il faudra attendre de voir les entreprises qui vont s’annoncer avant de prévoir la fabrication d’autres produits ou d’autres alternatives pour les travailleurs», a conclu le bourgmestre d’Houyet. Par ailleurs, une rencontre entre les travailleurs et la direction est prévue le vendredi 8 février 2013.
Source L'Avenir par Philippe BERGER