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13/03/2020

10 ans sur le marché roumain du producteur allemand de tuiles CREATON

CREATON, fabricant allemand de tuiles terre cuite avec une histoire de plus de 130 ans et membre du groupe international ETEX, est entré sur le marché roumain il y a 10 ans et est rapidement devenu un leader dans la région, réalisant un chiffre d'affaires de 65 millions d'euros et une part de marché de 22%.

Ces chiffres placent la Roumanie en deuxième position en termes de ventes dans la région, en queue de peloton derrière la Hongrie. Les activités de CREATON en Bulgarie et en Moldavie sont également gérées depuis la Roumanie, et sur un chiffre d'affaires de 9,7 millions d'euros dans les trois pays, 90% des ventes ont été réalisées en Roumanie en 2019.

«Ce chiffre indique que la Roumanie occupe la deuxième place des ventes en Europe du Sud-Est, près de la Hongrie. Pour l'Europe du Sud-Est, nous parlons d'un chiffre d'affaires de 37,5 millions d'euros en 2019. » Dit Manuel Buturugă, directeur des ventes, CREATON South East Europe.

Au cours des dix dernières années sur le marché roumain, CREATON a mené des projets phares, tels que le toit de l'église dans l'ensemble du musée «Happy Cemetery» à Săpânța, le toit du palais Vulturul Negru à Oradea - la sécession la plus importante monument de style dans la ville, ou l'hôpital militaire de Timișoara.

«Les ventes que nous avons eues en Transylvanie représentent 60% des ventes totales en Roumanie, mais il y a une augmentation de la demande en dehors de l'arc des Carpates qui, il y a seulement 6 ans, représentait 15% des ventes totales en Roumanie. L'investissement moyen pour un projet est de 3000 à 4000 euros, pour un revêtement de toiture d'une surface de 200 m². Ces coûts incluent les accessoires qui assurent des performances supplémentaires pour le système de revêtement - la membrane anticondensation, les éléments de ventilation en céramique ou les systèmes de sécurité pour le toit. » Ajoute Manuel Buturugă.

Pour les prochaines années, CREATON prévoit une croissance modérée de 5 à 6% du marché des revêtements céramiques et de béton en Roumanie.

«Pour les années à venir, nous visons à accroître la part de marché et à augmenter les capacités de production des usines en Hongrie, en Allemagne et en Pologne. Nous estimons également une forte augmentation de la demande de tuiles à emboîtement plat, qui seront les principaux facteurs de dynamisation de nos ventes. » Conclut le directeur des ventes de CREATON.

Source Business Review

12/03/2020

Senftenbacher produira des briques respectueuses du climat grâce au stockage d’énergie innovant d’EnergyNest

Le spécialiste des batteries thermiques, EnergyNest, a annoncé qu’il installerait une grande batterie de stockage d’énergie thermique dans l’usine autrichienne de Senftenbacher, un important fabricant de briques, réduisant considérablement leur consommation de carburant et économisant au moins 1500 à 2000 tonnes de CO2 par an.


Senftenbacher est le deuxième client d’EnergyNest pour son système de stockage d’énergie unique. L’installation de stockage thermique prévue, d’une capacité de 6 à 8 mégawattheures, emmagasinera temporairement l’énergie excédentaire sous forme d’air chaud provenant d’un four tunnel. La chaleur stockée est convertie en vapeur et réutilisée plus tard dans la production. En réutilisant cette énergie, la batterie thermique peut remplacer complètement le gaz naturel comme source d’énergie dans une étape de production ultérieure. La chaleur résiduelle inutilisée devient ainsi une source d’énergie primaire. En conséquence, les coûts du gaz naturel ainsi qu’au moins 1 500 à 2 000 tonnes de CO2 par an sont économisés.


«Le projet avec Senftenbacher démontre que la décarbonisation des grands utilisateurs industriels d’énergie est déjà techniquement possible et économiquement intéressante aujourd’hui. Nous sommes ravis que nos batteries thermiques soient maintenant utilisées pour la deuxième fois de manière industrielle. Cela souligne notre leadership mondial dans le stockage thermique. Nous sommes la première entreprise à proposer et à installer des systèmes de stockage thermique prêts à être commercialisés pour l’industrie. La phase de planification du projet est déjà en cours. Au cours du second semestre, nous pourrons commencer le processus de production et l’installation », a déclaré le directeur général d’EnergyNest, le Dr Christian Thiel.


Peter Flotzinger, directeur général de Senftenbacher, a ajouté que l’entreprise prend très au sérieux sa responsabilité climatique et envoie donc un signal clair avec ce projet de décarbonisation. L’entreprise fournira bientôt des briques qui non seulement isolent particulièrement bien, mais qui ont également l’empreinte CO2 la plus faible du marché. Cela créera des bâtiments et des maisons plus durables.

Source Les Smart Grids

11/03/2020

Les constructeurs et aménageurs face à de sérieuses menaces en 2020

Malgré de bons résultats en 2019, les constructeurs et aménageurs de LCA-FFB devront faire face à de sérieuses menaces pesant sur leurs marchés cette année, dont la RE 2020.

Mobilisés, ils disent l’être plus que jamais à travers leurs commissions et groupes de travail sur le territoire. L’ambition des adhérents LCA est claire : ils veulent devenir les acteurs de l’acte II de la politique du Logement. Un appel sans équivoque vis à vis des instances gouvernementales et ce, malgré des résultats encourageants en 2019.

Avec 125 600 ventes de maisons individuelles dans le secteur diffus, le marché s’est en effet redressé de 5 % en 2019. C’est certes moins bien que les performances de 2016 et 2017 (134 000 ventes) mais, bonne nouvelle, la part de marché des constructeurs de maisons individuelles dans le diffus continue de progresser pour atteindre 65 %. La production de maisons individuelles devrait se stabiliser en 2020 à 125 000 unités, selon LCA-FFB

Les conditions bancaires exceptionnelles ont d’ailleurs permis de soutenir ce marché en 2019, souligne le président de LCA, Grégory Monod. Des taux d’intérêt en baisse régulière (1,13 % en moyenne sur le 4e trimestre 2019) et la diminution des exigences des banques en matière de taux d’apport personnel (14 % contre 25 % en 2008) ont aidé le secteur. Rappelons qu'il a été confronté au rabotage régulier du PTZ et à la suppression de l’APL accession (au 1er janvier 2018)

De son côté, le segment de l’individuel groupé (seulement 5 % des ventes de la promotion immobilière), poursuit son repli : -8,9 % en 2019 après – 9,7 en 2018. Une situation qui ne devrait pas s’améliorer en raison de la chute des mises en vente en 2019 (moins 27,8 %).

Enfin, les réservations des logements collectifs progressent de 0,7 % en, 2019 après un recul de -0,3% en 2018 alors que les mises en ventes se sont repliées de 12,1 %. La demande demeure soutenue, souligne LCA et le stock continue de se contracter (94 413 appartements à vendre fin décembre 2019 contre 106 033 en moyenne en 2018).

Le prix moyen d’une maison en secteur diffus, hors foncier ressort à 177 000 euros pour une surface moyenne de 123 m2 en 2019 (contre 141 000 euros et 124 m2 en 2010). ©F. Leroy

La menace du ZAN ou Zéro artificialisation nette

Derrière ces chiffres, alors que les besoins en logements demeurent importants en France, LCA-FFB pointe du doigt plusieurs menaces sérieuses. La première que tout constructeur, aménageur ou professionnel de l’immobilier redoute, concerne l’enjeu de sobriété foncière.

Il ne faut pas céder au totem du « zéro artificialisation nette » (ZAN), selon le syndicat LCA qui dénonce une vision très idéologique du sujet. Rappelons que l’objectif ZAN défendu par le gouvernement doit permettre de protéger les sols, ce qui suppose de lutter contre l’étalement urbain et les constructions diffuses.

Pour LCA, il faut engager un débat apaisé, faute de quoi, « on risque d’aboutir à un objectif contraignant au niveau national ». Or, le débat doit demeurer local et impliquer les acteurs de terrain pour tenir compte des spécificités et des besoins des territoires, selon LCA.

« Il faut par ailleurs définir clairement la notion d’artificialisation des sols car l’ensemble d’un terrain n’est pas artificialisé quand on construit un bâtiment, explique Grégory Monod. En effet, selon le président de LCA, l’ensemble du terrain n’est pas imperméable et la biodiversité n’est pas systématiquement détruite. L’existence d’espaces verts autour des immeubles ou de jardins pour les maisons, en témoignent, reprend-il.

La présence de jardins autour de la plupart des maisons individuelles amènera à revoir et à définir précisémment la notion d’artificialisation des sols ©F. Leroy

Lever les peurs de la densification

La lutte contre l’artificialisation nette va de pair avec une densification accrue qui suscite de nombreux blocages juridiques et psychologiques chez les habitants et les élus locaux, souligne LCA (avec des PLU - plans local d’urbanisme- nettement plus restrictifs).

Consciente de ces blocages, le syndicat défend une approche pragmatique. « Nous pensons que l’avenir, c’est l’habitat collectif. Il faut apporter d’autres réponses avec toutes formes d’habitat, en concertation avec les élus locaux et les habitants. Et notamment favoriser dans les documents d’urbanisme des formes urbaines et architecturales compactes » souligne LCA.

Concrètement, le syndicat préconise de rendre automatiques les possibilités de majorité des droits à bâtir, dans les communes couvertes par un PLU. Mais aussi d’instaurer des densités minimales dans les PLU des zones tendues ou encore de supprimer les possibilités de surfaces d’emprise au sol maximales.

Attention à la réglementation RE 2020 

Le 3e enjeu qui pourrait constituer une menace pour la profession de constructeur concerne la prochaine Réglementation environnementale 2020 (dont on attend la dernière mouture avant l’été). Pour LCA, cette future réglementation qui sera applicable en janvier 2021, doit être ambitieuse mais soutenable, notamment dans sa dimension « carbone » aujourd’hui difficile à maîtriser. En clair, la RE 2020 doit viser un optimum technico économique afin que les logements demeurent abordables.

La précédente Réglementation thermique (RT 2012) a ainsi déjà contribué à surenchérir de 9 à 11 % les coûts de construction des logements, insistent les responsables LCA. Ils rappellent que la RT 2012 avait été soutenu par des dispositifs fiscaux incitatifs, dans le logement collectif, permettant d’absorber certains surcoûts.

Il n’est en effet pas question pour LCA que la prochaine RE 2020 impacte aussi lourdement les coûts, excluant de fait les populations les plus modestes du marché. « Faute de quoi, nous ne construirons que des produits d’élite » reprend Grégory Monod

« La dimension carbone est un enjeu majeur, admet Grégory Monod, mais il vaut mieux instaurer des phases de transition plutôt que de vouloir tout faire en même temps, avec le bâtiment à énergie positive et la réduction carbone (E+ C-).

Les constructeurs-aménageurs veulent en effet avoir le temps de mettre au point les processus, choisir les produits de construction conformes (De nombreux industriels n’ont pas encore publié leurs FDES*), et former leurs équipes en interne. Et ils réclament une étude d’impact précise sur les filières, les équipements, les matériaux et les vecteurs énergétiques.

Pour Grégory Monod, président de LCA-FFB (à gauche, et à côté de Christophe Boucaud, délégué général de LCA FFB), il faut limiter les objectifs d’amélioration des performances énergétiques qui sont parmi les plus exigeantes en Europe, afin de limiter le risque de renchérir le coût marginal du kW économisé.

Crédit immobilier : un accès limité pour les plus modestes

La quatrième menace susceptible d’impacter les constructeurs est liée à l’accès au crédit immobilier des ménages. Les banques devraient revoir leur politique d’octroi des prêts à la baisse, suite aux recommandations du Haut conseil de sécurité financière (HCSF).

Selon ces recommandations, la durée d’emprunt ne pourra pas excéder 25 ans maximum et 33 % d’endettement. Cela pourrait aboutir à exclure 100 000 foyers du crédit immobilier, selon plusieurs études citées par LCA.

« Notre secteur connaît une défaillance en crédit immobilier inférieure à 0,1 % et il n’y a pas de signe de fragilité aujourd’hui, donc le risque n’existe pas » fait valoir Grégory Monod qui espère bien convaincre les établissements bancaires, notamment les réseaux, à assouplir leurs conditions.

Construire un zonage pragmatique

Enfin, dans le dossier des aides au logement avec le PTZ (prêt à taux zéro), le syndicat défend aujourd’hui un zonage pragmatique défini en concertation avec les élus locaux dans le cadre d’une nouvelle phase de décentralisation. Il faut savoir que les zones B2 et C, qui ont bénéficié du maintien du PTZ dans le cadre de la loi de finances 2020, représentent 93 % du territoire.

Alors que le ministre du Logement veut rouvrir le dossier du zonage après les élections municipales, LCA-FFB souhaite que les collectivités déterminent leur zonage et les niveaux d’aide associées, en fonction de leurs besoins tant en construction qu’en rénovation.

Ce qui supposera également un contrôle a posteriori par les services de l’Etat de la bonne application des PLU…

*Fiches de déclaration environnementale et sanitaire

Source : batirama.com par Fabienne Leroy

10/03/2020

Le nouvel écran de sous-toiture Edilians, modèle de légèreté

Edilians commercialise son nouvel écran de sous-toiture. Celui-ci se veut plus performant et léger afin d’apporter une réponse efficace à la question de l’isolation en toiture. Aero Top 30 bénéficie d’une garantie minimale de 15 ans.


La technique au rendez-vous pour augmenter les performances
La protection des habitats trouve aussi sa réponse en toiture. Les écrans de sous-toiture sont devenus des pièces maîtresses, que ce soit en pose à neuf ou en rénovation. Pour apporter une réponse toujours plus performante, Edilians commercialise sa nouvelle solution Aero Top 30. Cet écran souple se veut à la fois durable et parfaitement étanche.

Le produit se compose d’une membrane support en polypropylène non tissé et d’une membrane fonctionnelle en polyéthylène. Il affiche également d’excellentes propriétés perspirantes, le rendant totalement perméable à la vapeur d’eau.

Un écran de sous-toiture insensible à l’humidité
Dans le même temps, Aero Top 30 s’avère imperméable à la pluie et insensible à l’humidité. Affichant une grande légèreté, il est très résistant. Cela lui permet de présenter des propriétés de longévité élevées.

Le produit signé Edilians bénéficie d’une garantie de 15 ans. Elle est portée à 30 ans en association avec les tuiles de terre cuite Edilians. Cet ensemble permet alors de profiter d’une toiture durable et sûre sur plusieurs décennies. La pose, quant à elle, dispose des mêmes caractéristiques que les solutions traditionnelles.

Source ETI Construction

09/03/2020

Les premiers objets BIM Monier sont en ligne !



Les gammes Double Romane, Plein Ciel, Nobilée®, Perspective et Innotech® sont disponibles sous plusieurs logiciels.

☛ Téléchargez les gratuitement sur la plateforme BimObject http://bit.ly/32GTt3e


Source BMI Monier

08/03/2020

Royaume-Uni: Sabo a modernisé l'usine Ibstock de South Holmwood

Ibstock, le plus grand fabricant de briques du Royaume-Uni, a confié l’année dernière à Sabo la modernisation de la ligne d’emballage de South Holmwood Factory.

La portée du projet était le remplacement de l'ancien équipement existant par une nouvelle ligne d'emballage robotisée. Avant la modernisation, l'usine utilisait un système robotique obsolète qui influençait négativement la qualité du produit final. De plus, les arrêts fréquents des anciens équipements entravaient la capacité de la ligne et de l'ensemble de l'usine.

Le nouveau système a été conçu pour être simple et fiable, garantissant une contrainte minimale sur le produit final et la création d'un solide pack final de briques.

Dans cette nouvelle ligne d'emballage, un nouveau robot prend les couches de briques des deux bancs de programmation existants et construit le pack final sur un nouveau convoyeur à rouleaux. Un mécanisme d'espacement supplémentaire a été ajouté en tant qu'extension du banc de programmation et de tri existant pour remplacer l'ancien mécanisme autonome lent. Le mécanisme d'espacement crée la troisième couche avec les ouvertures de levage appropriées du pack.

Une fois le paquet formé, il est transporté sur le convoyeur à rouleaux pour être attaché dans un premier temps et par conséquent pour être cagoulé par une machine à étirer. Pendant qu'il est attaché, le paquet formé est supporté sur les côtés afin d'assurer l'efficacité du cerclage. La machine de cerclage vertical fonctionne en combinaison avec un poussoir robuste qui assure le mouvement précis et pas à pas du paquet aux 4 positions de sangle. Pendant le cerclage, il est placé une protection d'angle en plastique sur quatre des bords du paquet final. Le sac est ensuite passé sur le poste de cagoule, soulevé et cagoulé. Le levage assure le capotage tout autour des 8 sommets de haut en bas.

À la fin, les paquets finaux sont passés à un convoyeur à chaîne pour être ramassés par le chariot élévateur.

Une attention particulière a été accordée à la conception de la sécurité de la ligne. Toutes les clôtures et plates-formes d'accès ont été conçues et étudiées en détail pour assurer un environnement de travail sûr pour les opérateurs ainsi qu'un accès efficace aux machines. Une étude analytique d'évaluation des risques a été réalisée pour guider la sélection des équipements et la conception.

En termes de temps de mise en œuvre, le projet a été assez difficile car tous les travaux, y compris le démontage des équipements existants, l'installation et la mise en service finale de nouvelles machines ont été entièrement achevés en moins de 3 semaines.

Le projet a été livré selon le calendrier prévu et a répondu à toutes les exigences de qualité, de sécurité et de normes de production.

Source Sabo

07/03/2020

Projet de carrière. La forêt de Malpaire à Précigné désormais en zone protégée

La forêt de Malpaire à Précigné est désormais entièrement protégée par une zone naturelle. Une victoire pour les opposants à la carrière.

A Précigné, à quelques kilomètres de Sablé-sur-Sarthe, la forêt de Malpaire est désormais protégée par un classement en ZNIEF (Zone Naturelle d’Intérêt Ecologique et Faunistique). L’issue d’un long combat lancée par l’association pour la sauvegarde de la forêt de Malpaire.

En 2016, nous avions découvert l’enquête publique concernant le projet de carrière dans la forêt avec retard. Cette fois-ci on prend un coup d’avance », estime le président de l’association Hubert Guillais.

« Je pense que nous avons gagné la partie ».

Retoqué par la Préfecture
Lancé en mars 2016, le projet de carrière de sable et d’argile, accompagné de la création d’un centre d’enfouissement avait été refusé par un arrêté de la Préfète en septembre 2017. Une décision confirmée par le tribunal administratif de Nantes. Malgré tout, l’association restait mobilisée et craignait qu’un nouveau projet soit déposé. La classification en ZNIEFF devrait donner un coup d’arrêt définitif à tout nouveau projet.


« C’est aberrant »
Une classification sur laquelle Hubert Guillais travaille depuis les tous premiers jours du projet.

Le massif forestier est pour les deux tiers en Maine-et-Loire et pour le dernier tiers en Sarthe. En Maine-et-Loire, la forêt est classée en ZNIEF depuis 20 ans ce n’était pas le cas en Sarthe », s’insurge-t-il.

« Les 42 espèces protégées que l’on trouve dans la forêt étaient bien présentes que l’on se trouve en Sarthe ou en Maine et Loire, c’était aberrant ! »

Un argument qu’il avait présenté à la Préfète. Le conseil des espèces naturelles missionné par la DREAL a validé, la semaine passée, la classification de la forêt de Malpaire. « La forêt est essentielle pour lutter contre le réchauffement climatique », rappelle Hubert Guillais.

Après cette victoire, l’association reste bien active. « Nous restons en ordre de bataille et vigilants ».

Source Actu.fr par Julie Hurisse

06/03/2020

Edilians - Quand le solaire redonne des couleurs aux friches industrielles

Pargny-sur-Saulx accueillera prochainement une centrale photovoltaïque sur l'ancien site industriel du « Bois au roi ».
Objectif du groupe Urbasolar : produire de quoi alimenter près de 6 000 foyers en électricité. Lancement des travaux cet automne, pour une mise en service au printemps 2021.

La centrale d'Urbasolar entrera en service à l'horizon 2021 sur la friche industrielle du Bois au roi, à Pargny-sur-Saulx.


En 1997, l'entreprise Orflam-Plast, implantée à Pargny-sur-Saulx et spécialisée dans la fabrication de briquets, étaient placée en liquidation judiciaire. Mais la présence radioactive révélée sur place par les analyses avait nécessité une vaste opération de dépollution et de sécurisation déployée jusqu'en 2014. Aujourd'hui, c'est un projet bien plus vertueux que s'apprête à accueillir la commune et dont la première édile, Denise Guérin, se réjouit. « Les énergies renouvelables ont une image très positive, d'autant qu'elles permettent, dans ce cas, de valoriser une friche industrielle occupée par les herbes folles et les bâtiments désaffectés. C'est une excellente opportunité. Les élus locaux n'ont d'ailleurs émis aucune opposition à ce dossier. » A l'horizon 2021, un parc photovoltaïque d'une puissance de 26 MWc s'installera donc sur 28 hectares du site dit du « Bois du roi », en lieu et place de l'ancienne usine de tuiles en terre cuite d'Edilians (ex-Imerys Toiture) et des carrières d'argile qui l'alimentaient. « Edilians loue la friche ex-Gilardoni à la société Urbasolar. Les démolitions se terminent. » La construction débutera à l'automne, pour une durée de huit à dix mois. Et si elles ont facilité ce projet privé, notamment en modifiant le plan local d'urbanisme, la mairie et la communauté de communes n'apportent pas leur pierre financière à l'édifice. Elles percevront toutefois une partie des bénéfices liés à la vente de l'énergie produite.


De son côté, Urbasolar préfère taire le montant de l'investissement nécessaire à l'opération, rappelant qu'elle a obtenu le feu vert de la Commission de régulation de l'énergie (CRE) l'été dernier. Plusieurs étapes marqueront ce chantier avant l'implantation des panneaux photovoltaïques et le raccordement électrique de l'installation : la fauche de la végétation existante, la création de pistes d'exploitation et la fixation des structures métalliques au sol. Parallèlement, avec l'aide d'experts écologues, un réseau de sept mares sera aménagé de part et d'autre de la centrale pour recréer des habitats naturels à destination de la flore, des insectes et autres mollusques, et pour favoriser la reproduction des amphibiens. En espérant que leur cohabitation avec une telle structure se passe pour le mieux.

Source par L'Hebdo du Vendredi par Sonia Legendre

05/03/2020

Nouvelles tuiles chez Erlus

ERLUS va présenter des nouveautés au 10ème Forum International Bois Construction : un nouveau modèle de tuile, un extracteur d’air en aluminium et une porte de ramonage design pour les conduits de fumée.

Avec la nouvelle tuile Level RS®, la gamme ERLUS comprend désormais trois modèles adaptés aux toits à faible pente. Leur triple emboitement spécifique protège efficacement des intempéries. Afin d’offrir une sécurité supplémentaire face au vent, ce nouveau modèle possède un crantage au niveau de l’emboîtement bas pour une résistance accrue en cas de tempête. La tuile Level RS® est un nouveau modèle ERLUS de la famille des grands moules XXL. Elle est caractérisé par un pureau moyen de 38,5 centimètres. Dans cette configuration, le poseur économise 20 % de lattes par mètre carré en comparaison avec des petits formats classiques. Les charpentes préfabriquées avec les deux zones de pureau, 34 ou 38,5 cm, offrent une grande souplesse au niveau du choix du modèle. ERLUS présentera également une autre tuile en terre cuite, la E 58 SL-D teintée dans la masse. Les bords de coupe ou les inévitables dégradations sur le chantier n’ont plus besoin d’être retravaillés, car la teinte dans la masse les rendent invisibles à l’oeil nu. Sa forme galbée la rend particulièrement résistante. Dimensions : 29 x 46,5 cm.

La gamme des systèmes d’accessoires ALU ERLUS propose désormais un extracteur d’air ALU d’un diamètre de 150 mm pour la VMC. Il s’ajoute à l’extracteur d’air de ventilation sanitaire en aluminium d’un diamètre de 125 mm déjà présent dans la gamme et s’intègre harmonieusement dans la toiture grâce à son coloris assorti. Le nouvel extracteur d’air possède un passage d’air et un couvercle aux flux nettement plus élevés. Il est livré monté en usine et s’adapte aux pièces à vivre, à la cuisine et aux extracteurs de vapeur.

Par ailleurs, les conduits de fumée premium ERLUS LAF disposent à présent d’une nouvelle porte de ramonage design avec un aspect frontal haut de gamme. Elle peut s’adapter aux couleurs et aux formes des pièces à vivre, avant d’être insérée dans le cadre monté auparavant sur le pied de cheminée. La trappe de visite pour le ramoneur est ainsi pratiquement invisible. Les nouvelles portes de ramonage sont disponibles pour les conduits de fumée premium LAF d’un diamètre de 16, 18 et 20 centimètres.

Source Batijournal

04/03/2020

Belgique - salon Batibouw 2020: Wienerberger, une désertion passagère?

Neuf cents mètres carrés qui disparaissent d’un coup dans le palais 5 : telle est la conséquence de la désertion du constructeur autrichien de tuiles et de briques Wienerberger pour l’édition de cette
année.

Wienerberger possède deux showrooms: à Londerzeel et Courtrai. Les conditions y seront pareilles à celles pratiquées lors de la participation à Batibouw.

La décision de ne pas venir fut prise dans la foulée du salon 2019.
Elle s’explique par plusieurs raisons. « La première est liée au coût général, le stand et tout ce qui y est lié, comme le montage et le démontage par exemple, mais aussi le personnel à mobiliser pendant la manifestation. Batibouw, c’est une trentaine de personnes qui doivent se rendre à Bruxelles pendant onze jours, sans compter les hôtesses.
En clair : ça coûtait très cher », argumente Sabine Merlevede, du département communication.

Source Le Soir par Paolo Leonardi

03/03/2020

Tuile carrée en toiture et en façade d’une maison alsacienne

Le cabinet d’architecture IDEAA s’est lancé dans le projet de construction de cette maison individuelle, aux pieds des collines vosgiennes, face à la Forêt-Noire allemande, avec l’idée de mêler identité régionale et design contemporain.

Pour se faire, les recherches ont abouti à la sélection de la tuile Koramic Vauban droite pour la toiture et la façade. La réglementation régionale impose une toiture, à deux pans, inclinée entre 45° et 55° et de couleur terre cuite.
Le cabinet d’architecture IDEAA a très souvent prescrit la tuile Vauban en demi rond ou à bord droit pour faire respecter les exigences traditionnelles sur les différentes maisons individuelles alsaciennes.

Pour affirmer les lignes contemporaines de ce nouvel ouvrage d’exception, les architectes ont sélectionné le format carré de la tuile. Utilisée en toiture et en façade, elle donne tout son sens au mariage de la tradition et de la modernité, en offrant une continuité esthétique à l’ensemble de la réalisation.


  • Architecte : Architecture IDEAA
  • Entreprise de pose : RCK Constructions

02/03/2020

TERREAL MARQUE UN TOURNANT DANS SON DÉVELOPPEMENT AVEC LE LANCEMENT DU PROGRAMME « DEMAIN TOUS SOLAIRE »

TERREAL, qui fête ses 20 ans cette année, est le leader français en énergie solaire intégrée à la toiture sur le marché résidentiel avec plus de 50% de parts de marché.

Véritable marché en devenir, Terreal souhaite accompagner ses clients historiques constructeurs et couvreurs vers cette grande mutation en lançant un vaste programme « Demain tous solaire ».

Le marché du solaire, une ambition majeure pour TERREAL

Le toit solaire n’est aujourd’hui plus une option. Il répond en effet aux attentes des occupants et aux enjeux de préservation de la planète, et prend légitimement sa place dans les modes de construction de l’habitat 2020 aussi bien en neuf qu’en rénovation. Alors que près de de 54 % des résidences principales, en France, sont classées en catégories E à G, la consommation d’énergie finale du secteur résidentiel doit décroître afin d’accéder à la neutralité carbone à l’horizon 2050.

TERREAL, partenaire de proximité privilégié des professionnels de la couverture depuis maintenant 150 ans, propose de les accompagner sur ce marché prometteur avec la mise en place d’un programme spécifique leur proposant :

  • des solutions optimisées, simples à poser et fiables
  • un programme de formation et de monitorat,
  • des outils et des guides spécifiques.
  • « Il existe une réelle opportunité d’allier le développement du solaire et la rénovation des toits. Le couvreur ne doit pas perdre sa place de leader du toit et nous devons l’aider à se saisir de ce marché en neuf mais aussi sur le toit existant. TERREAL est crédible et compétitif pour développer ce segment » explique Laurent Musy, Président de TERREAL.

« Demain tous solaire », un programme sur-mesure pour développer le marché du solaire en résidentiel

Avec « Demain tous solaire », TERREAL apporte une réponse esthétique et durable parfaitement segmentée selon les besoins de chaque utilisateur. Cette nouvelle offre est en effet :

  • adaptée à toutes les configurations de toitures,
  • réalisée avec des systèmes certifiés,
  • composées de solutions fiables et simples à poser,
  • accompagnée d’outils dédiés d’aide à la vente, dont une application digitale dédiée
  • équipée d’un SAV de qualité.
Elle répond ainsi aux besoins spécifiques des :

  • constructeurs de maisons individuelles, qui souhaitent développer leur champ d’expertise en proposant des solutions innovantes porteuses d’activité tout en privilégiant une production utile et locale.
  • entreprises de couverture, en les aidant à développer leur savoir-faire et leur activité grâce à des solutions simples à poser et économiques avec un acteur de proximité.
  • particuliers, en leur permettant de gagner en pouvoir d’achat tout en faisant un geste vertueux pour la planète, et en étant accompagné de professionnels experts pour favoriser les circuits d’achat courts.
  • Avec une organisation commerciale de 70 commerciaux pour le segment couverture, 8 spécialistes solaires et 10 techniciens SAV pour lancer ce programme, TERREAL ambitionne de renforcer sa position de leader sur le marché du solaire résidentiel.

Une offre à 3 niveaux pour le résidentiel individuel

Avec une croissance attendue estimée à 15% par an, le marché du solaire résidentiel est un marché clé sur lequel TERREAL souhaite se développer en mettant à contribution ses 150 années d’expérience. Le marché du solaire résidentiel se développe en autoconsommation sous l’effet combiné d’une baisse continue du prix de revient de l’électricité solaire (-10% par an sur les 5 dernières années) et d’une hausse des tarifs de l’électricité (+20% sur les 5 dernières années). Et d’après la commission de régulation de l’Energie, la facture d’électricité des ménages pourrait continuer à grimper à un rythme de +5% par an jusqu’en 2023.

Dans son programme « Demain tous solaire », TERREAL propose aux particuliers un choix de 3 offres fiables et simples qui leur permettent :

  • de réaliser des économies d’énergie et d’alléger leur facture d’électricité de 50%,
  • d’augmenter la valeur de revente de leur maison,
  • de disposer de solutions esthétiques et bien intégrées à leur toiture,
  • l’autoproduction, c’est-à-dire consommer plus localement et de manière respectueuse de l’environnement.

Le marché du solaire représente aujourd’hui une véritable alternative économique permettant aux particuliers de réaliser de vraies économies et d’alléger leur empreinte carbone.

Source Pressonline

01/03/2020

Espagne: Amélioration technologique pour le Groupe H.D.R.

EQUIPCERAMIC,S.A. a fourni au Groupe Hermanos Díaz Redondo des équipements de haute précision et grande capacité pour l’élargissement de la ligne de dépilage actuelle de sa tuilerie à Cobeja, Toledo (Espagne).

Le Groupe Hermanos Díaz Redondo est un des principaux fabricants en Espagne de produits céramiques, tels que brique de parement, tuiles et blocs céramiques à isolation thermique. Le partenariat entre cet important Groupe industriel et Equipceramic remonte à quelques années en arrière, quand Equipceramic a conçu et exécuté le projet de construction d’une unité pour la fabrication de pièces spéciales pour tuiles annexe à la tuilerie appartenant à ce groupe à Cobeja, Toledo.

Depuis lors, le Groupe Hermanos Díaz Redondo a lancé la commercialisation de ses produits dans des marchés internationaux où  le niveau d’exigence  est élevé conjugué à une dure concurrence. Ce qui l'a conduit à chercher le conseil et le savoir faire d’Equipceramic.

Pour ce projet, la solution proposée par Equipceramic comprend l’installation d’un système automatisé, basé sur la robotique, pour enlever le fil de fer des paquets de tuiles en sortie du four afin de faire le tri et remplacer ces pièces qui ne sont pas conformes. Ensuite, de nouveaux petits paquets cerclés de taille variable sont formés, prêts pour leur expédition.

La conception de nouveaux équipements fournis les rend totalement compatibles avec les équipements actuels de palettisation et emballage, en apportant une notable amélioration à la qualité des paquets d’expédition.

Conformément à sa philosophie de travail, l’équipe d’EQUIPCERAMIC, S.A., a soigneusement étudié la solution la plus convenable pour que le Groupe Hermanos Diaz Redondo atteigne son objectif de réussir à placer ses produits sur le marché national et international et qu’ils soient reconnus pour leur qualité.

Source Equipceramic

29/02/2020

Une brique crue dans le ventre

Chaque année en Belgique, d'énormes quantités de terres sont extraites des chantiers de construction pour être mises en décharge.
Plutôt que de les gaspiller, la start-up BC Materials a choisi d'utiliser ces ressources pour produire des matériaux locaux.

Les seaux de sable ont succédé aux seaux d’argile sur le tapis roulant. Celui-ci déverse son contenu dans une espèce de gros mixer où s’opère un mélange savamment dosé, qui est ensuite conditionné dans un big bag installé au bout d’un second tapis roulant. « Là, nous préparons un mortier qui est utilisé pour lier nos briques de terre crue », décrit Anton Maertens, advocacy manager de BC Materials.

Discrètement installée avenue du port, un peu à l’écart du site de Tour et Taxis, l’unité de production de la jeune start-up bruxelloise est encore lilliputienne face à l’énorme centrale d’Inter-Béton située à quelques centaines de mètres de là. 
« Nous travaillons à une échelle entre l’artisanat et l’industrie », sourit notre guide.

On fabrique ici du mortier et des briques de terre crues donc, mais aussi des enduits d’argile destinés aux finitions murales et du pisé qui peut-être utilisé pour réaliser des murs et dalles de sol. Des matériaux de construction 100 % locaux réalisés à partir de terres d’excavation provenant de différents chantiers en cours en Région bruxelloise et ses environs.

Construite en large part à partir de matériaux de seconde main, cette micro-usine reflète elle-même la philosophie de l’entreprise. Les gros blocs de béton en forme de “Lego” qui composent les murs, les poutres, les panneaux en bois, les tôles qui couvrent la toiture… Tout est facilement démontable et réutilisable ailleurs, explique Anton. “Nous récupérons également l’eau de pluie pour notre processus de fabrication qui demande une quantité d’énergie minimale”, complète-t-il.

Une découverte au Burundi

BC Materials trouve ses origines dans un stage effectué au Burundi par ses quatre cofondateurs, alors qu’ils étaient encore étudiants en architecture.
Lors de ce séjour, Nicolas Coeckelberghs, Ken De Cooman, Wesley Degreef et Laurens Bekemans ont été initiés à ce mode de construction traditionnel qui revient de plus en plus au goût du jour. “Ils ont bâti, avec les citoyens locaux, une bibliothèque avec des briques de terre crue. Ça leur a fait prendre conscience du potentiel et de l’intérêt qu’il y a à utiliser des ressources qui se trouvent autour de nous et qui ne demandent pas beaucoup d’énergie pour leur transformation comme les matériaux classiques”, raconte Anton Maertens.

De retour en Belgique, ils fondent leur propre bureau d’architecture – BC Architects – à travers lequel ils vont développer ce savoir-faire ramené d’Afrique, alliant les techniques architecturales modernes à ces matériaux ancestraux.

37 millions de tonnes. En Belgique, 37 millions de tonnes de terres sont excavées chaque année, explique Anton Maertens, soulignant que 70 %  de celles-ci ne sont pas polluées et que 16 millions de tonnes sont utilisables pour la fabrication de matériaux naturels.
“Au départ, ils utilisaient l’argile importée, poursuit notre interlocuteur. Mais au fil des chantiers, ils ont constaté que l’on procédait à de nombreuses excavations et que les terres évacuées n’étaient pas du tout utilisées. La plupart du temps, elles finissent comme des déchets dans des carrières et d’anciennes mines ou, dans le meilleur des cas, comme remblais pour le soubassement des routes. Ils se sont dit que l’on pouvait leur donner une valeur ajoutée en les récupérant pour produire des matériaux de construction sur place dans une logique d’économie circulaire.”
Un constat qui aboutit à la naissance de BC Materials en octobre 2018.

Des matériaux pleins de ressources

Si elles ne sont pas aussi résistantes que les briques traditionnelles, les briques de terre crue n’en constituent pas moins un matériau de construction tout à fait fiable. “On peut facilement construire un bâtiment de plusieurs étages”, commente Anton Maertens.
Dans la pratique, celles-ci sont généralement utilisées pour édifier les murs intérieurs, mais elles peuvent aussi servir pour les murs de façade, à condition de les recouvrir d’un revêtement hydrofuge comme un enduit ou un bardage, précise-t-il.

Bon pour l'environnement et la santé
Ces briques ont également d’excellentes qualités acoustiques et une bonne inertie thermique – elles contribuent à emmagasiner de la chaleur dans l’habitation en hiver et à maintenir de la fraîcheur en été. Le pisé, pour sa part, convient parfaitement à la réalisation d’une dalle de sol du genre “béton lissé” avec l’avantage d’être facilement réparable si une fissure vient à apparaître.
Produits sans aucun adjuvant chimique, les briques et les enduits en terre contribuent en outre à améliorer la qualité de l’air intérieur “qui peut être cinq fois pire qu’à l’extérieur” et à combattre les mauvaises odeurs, rappelle-t-il.
Neutre en CO2, leur production et leur utilisation demandent également peu d’eau. Cerise sur le gâteau, ces produits peuvent être recyclés et réutilisés quasiment “à volonté”.

Un prix plus élevé
Leur principale faiblesse est leur prix, “presque le double d’une brique traditionnelle”. Mais l'augmentation de la production et celle attendue du coût donné aux émissions de CO2 devraient cependant contribuer à réduire cet écart.
“Pour les enduits à l’argile, on est un peu plus cher, de l’ordre de 10 %, que le plâtre. Mais il faut prendre en compte le prix de la peinture qui s’ajoute pour ce dernier alors que l’enduit peut rester tel quel.”
Lauréate du prix Be.Circular et du Fonds SE’nSE, la start-up propose par ailleurs des services de consultance (tests de résistance mécanique spécifiques à un projet, construction circulaire…) et des formations aux techniques de construction en terre crue. Elle peut également produire les matériaux sur chantier en utilisant les terres d’excavation générées sur place.

Un circuit ultra-court

Avenue du port, l’unité de production dispose ainsi d’un petit stock de sable et de terre argileuse issus de chantiers bruxellois qu’elle transforme sur place en fonction des commandes reçues.
“Nous utilisons essentiellement les sables bruxelliens et l'argile ypresien qui sont bien adaptés aux mélanges que nous produisons et qui sont abondants dans le sous-sol bruxellois. Nous sommes en relation avec des gestionnaires de chantier qui nous livrent gratuitement, selon nos besoins. Pour eux, c’est beaucoup moins cher de nous le déposer ici que de devoir le transporter beaucoup plus loin pour l’évacuer”, explique M. Maertens.

“Il y a clairement une demande grandissante pour cette approche durable et circulaire. Ce n’est pas encore très courant et il reste du travail pour montrer que l’on peut construire autrement aujourd’hui, mais  on voit que les choses bougent et que les mentalités changent dans le secteur. Tout le monde se rend compte que l’on émet beaucoup trop de CO2 et de déchets avec les méthodes actuelles.”
Anton Maertens, advocacy manager de BC Materials.
L’an dernier, ajoute-t-il, 200 tonnes de matériaux ont ainsi été fabriquées à partir de ces “déchets”. Un chiffre que la start-up ambitionne de multiplier par… dix cette année.
“Nous voulons fournir les enduits de terre pour le projet Usquare qui va accueillir des salles de cours de la VUB et de l’ULB dans les anciennes casernes d’Etterbeek”, précise le représentant de BC Materials. Cela pourrait être une jolie vitrine à laquelle pourraient s’ajouter “d’autres gros projets bruxellois”, glisse-t-il sans vouloir en révéler davantage.

Source La Libre Belgique

28/02/2020

Les tuiles solaires de Tesla bientôt déployées en Europe ?

Selon Elon Musk, l’installation des tuiles solaires signées Tesla pourrait bientôt démarrer en Europe. Le milliardaire a également annoncé un événement dédié au Solarglass ouvert au public et à la presse au mois d’avril.

Bientôt un déploiement international ?
Comme à son habitude, Musk a s’est tourné vers son réseau social préféré pour faire ses annonces, c’est-à-dire Twitter. Il a ainsi donné des nouvelles de Solarglass, le toit composé de tuiles solaires de son entreprise Tesla, en affirmant que de plus en plus de dispositifs étaient installés aux alentours de San Francisco.

Il semblerait par ailleurs que l’entreprise soit enfin prête à déployer son dispositif en dehors des États-Unis. Musk a en effet déclaré que des annonces concernant l’Europe et la Chine seraient effectuées “très prochainement”.

De nouvelles couleurs prochainement
Dévoilées pour la première fois en 2016, les tuiles solaires étaient au départ baptisées Solar Roof. Elles ont été mises en prévente une année plus tard, et sont entrées en production en 2018. Contrairement aux panneaux photovoltaïques, elles composent l’intégralité du toit et sont “assez légères pour n’importe quelle maison”, a précisé Musk. Elles intègrent une batterie Powerwall, qui permet de stocker l’excédent d’énergie solaire emmagasiné par les tuiles afin de le réutiliser selon les besoins du foyer.

Alors que les deux premières versions des tuiles ont déjà été testés, le chef d’entreprise affirmait au mois d’octobre que la troisième génération était enfin prête et que les installations étaient sur le point de débuter, avec un objectif de production de 1 000 toits par semaine. Pour le moment disponibles en une seule couleur, d’autres modèles devraient voir le jour au courant de l’année.

Source Siècle Digital par Mathilde Rochefort

Les tuiles solaires de Tesla arrivent en Italie, coût et fonctions

Le toit solaire d'Elon Musk est sur le point d'arriver également en Europe, et donc en Italie. Le toit solaire de Solar City est capable de produire de l'énergie tout comme les panneaux photovoltaïques. Extérieurement, ils ressemblent à des tuiles normales pour faire un toit. En réalité, même s'ils sont simples à appliquer, ces panneaux sont de véritables joyaux technologiques.

Quelles sont les particularités des tuiles solaires Tesla?
La technologie a été initialement conçue et développée par Solar City, puis acquise par Tesla, quatre modèles différents sont actuellement disponibles, mais dans les 12 mois, ils prévoient d'élargir l'offre.

Comment fonctionnent ces tuiles?
Elles sont en verre trempé et recouvertes d'un matériau capable de capter les rayons du soleil et de les transformer en énergie.

En acquérant Solar City, Elon Musk avec la société Tesla a également amélioré les services déjà offerts. Le toit solaire transforme la lumière du soleil en électricité, grâce à une batterie Powerwall intégrée, l'énergie stockée pendant la journée est stockée et mise à disposition à tout moment, pour rendre la maison totalement autonome. La batterie est fixée au mur et peut être gérée via l'application.

Combien coûtent-elles?
Le prix des tuiles, au moins aux États-Unis, est d'environ 200 euros le mètre carré, mais le prix devrait diminuer dans un proche avenir. Elon Musk a l'intention de réduire les coûts pour rendre le toit solaire moins cher que le toit normal.

Les tuiles solaires arriveront bientôt en Europe puis en Italie, selon ce qu'Elon Musk a annoncé. De plus, d'ici 12 mois, d'autres solutions pour les énergies renouvelables pourraient également arriver. En effet, l'objectif d'Elon Musk est d'améliorer la vie des gens.

Le toit solaire qui ne pollue pas
Les innovations de Tesla sont vraiment révolutionnaires, un tel toit pourrait être un véritable "must have". Outre l'aspect économique, fortement lié à celui de l'épargne, un autre point définitivement incisif doit être pris en compte: la pollution. L'énergie stockée par les tuiles Tesla est totalement pure et ne génère aucun type de pollution. Dans un contexte où tout l'écosystème semble détruit par l'homme, c'est certainement une excellente nouvelle à ne pas sous-estimer.

Source QuotidianPostIt par Gerardo Attanasio

27/02/2020

Allemagne - La société Wienerberger voit son usine de briques de Reetz en plein essor

La briqueterie de Reetz devrait bénéficier d'une brique spéciale. Selon l'opérateur Wienerberger, cette brique est de plus en plus demandée, notamment dans la construction résidentielle.

Le directeur de l'usine Markus Klie et le directeur de production Steffen Bullerdieck avec les briques Poroton.

Grâce à d'importants investissements, Wienerberger rend sa briqueterie Reetz adaptée aux travaux de construction de demain. En tout cas, cela ressort clairement du communiqué de presse de la société, qui a été distribué mardi. Surtout, les briques «Poroton» remplies de laine minérale sont un pilier de croissance important. La société n'a pas fourni de chiffres précis sur les investissements.

Selon leur propre évaluation, ces briques spéciales pour la construction de maisons unifamiliales et multifamiliales feraient l'objet d'une demande croissante car elles ne nécessiteraient pas d'isolation supplémentaire. La gamme de produits de Reetz est désormais élargie pour inclure une brique «Poroton» remplie de laine minérale avec une capacité de charge élevée pour les bâtiments résidentiels à plusieurs étages.

L'entreprise basée à Hanovre Wienerberger avait repris les opérations de Reetz en 2017. Elle emploie actuellement 60 personnes.

La société signale que les exigences pour une construction économe en énergie et donc les matériaux de construction nécessaires ont augmenté régulièrement. Dans le même temps, les produits de construction devraient répondre à des exigences élevées en termes d'isolation incendie et acoustique ainsi que de capacité portante. «Tout cela est réalisé grâce aux matériaux de construction en argile, tels que les briques Poroton hautement isolantes que nous produisons à Reetz», explique Markus Klie, directeur de l'usine de l'usine Wienerberger à Reetz.

Et: «La demande de briques pour la construction dite monolithique sans isolation extérieure est élevée en Allemagne et dans d'autres pays européens. Afin de faire face à cela à l'avenir, des investissements étaient nécessaires dans notre usine. »Par exemple, des commandes de machines obsolètes ont dû être remplacées et les systèmes de séchage des ébauches d'argile et le four pour brûler les briques ont dû être rénovés.

En raison de la pénurie d'appartements dans les villes, il y a une demande croissante de briques dans les immeubles à plusieurs étages en particulier. "Nous sommes particulièrement fiers que les investissements dans notre usine permettent désormais la production d'une brique remplie qui convient parfaitement à la construction résidentielle à plusieurs étages", a déclaré Steffen Bullerdieck, directeur de production à l'usine de Reetz. "Avec une planification appropriée, ces briques Poroton peuvent être utilisées pour construire des bâtiments résidentiels jusqu'à neuf étages - sans isolation extérieure supplémentaire."

Briques avec isolation spéciales
Les briques spéciales de Wienerberger sont conçues de manière à combiner une capacité de charge particulièrement élevée avec l'isolation thermique intégrée en laine minérale. "Avec nos briques Poroton remplies de matériaux isolants et nos processus de production optimisés, nous sommes idéalement positionnés pour l'avenir de la construction à Reetz et pouvons également ouvrir de nouvelles opportunités de croissance", a assuré Klie.

L'argile pour les briques provient principalement de la région immédiate: 80% des matières premières nécessaires à la production seraient obtenues sur place, poursuit le communiqué. En 2018, il a été possible d'ouvrir un nouveau champ de montagne de la fosse d'argile appartenant à l'usine. Cela garantit que les quantités requises d'argile sont sécurisées à long terme. Le directeur de l'usine Klie: "De cette façon, nous évitons les longs trajets de transport et préservons les ressources - une contribution à la protection du climat."

Source MAZ

26/02/2020

BMI Braas (Allmagne) place à nouveau sa tuile Smaragd (Emeraude) sur le devant de la scène

En plus des images de couverture classiques, Braas a une alternative accrocheuse en magasin depuis de nombreuses années avec la tuile Smaragd.
Le rendu en toiture en forme de diamant de ce modèle de tuile détermine l'effet visuel du toit et rappelle une couverture d'ardoise ou de Biber inhabituelle. La tuile avec une longueur de couverture variable de 20 mm facilite la division de la surface du toit sans travaux de découpe.


La tuile est fabriquée selon un mode manuel en utilisant des méthodes de fabrication modernes. De plus, une aide à la couverture pour un motif de couverture symétrique est placée au centre de la tuile et est recouverte par la tuile au-dessus.

Avec une pente régulière de 16 °, la tuile émeraude est particulièrement résistante à la pluie. Dans le système de toiture en céramique complet, il existe également une large sélection de tuiles façonnées et de composants de système - chacun étant coordonné en fonction, forme, couleur et matériau. Nous proposons l'émeraude en trois qualités de surface :

  • Matt 
  • Satin mat et
  • Haute brillance 

25/02/2020

Vers une hausse de 8 à 10% du prix des matériaux de construction ?

Le prix des matériaux de construction va-t-il subir une hausse du fait de la mise en place d'une filière de récupération des déchets dans le secteur ? C'est la crainte de la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb), qui regrette n'avoir pas été entendue par les pouvoirs publics.
Les demandes des artisans du bâtiment, représentés par la Capeb, n'ont visiblement pas été entendues dans le cadre de la mise en place d'une filière de récupération des déchets dans le secteur. Et ils craignent que cela entraîne une hausse des prix des matériaux de 8 à 11%. Pour rappel, ce principe de reprise des déchets (Rep) est compris dans le projet de loi économie circulaire, pour une entrée en vigueur prévue au 1er janvier 2022. Le texte devrait être définitivement validé jeudi 30 janvier, comme le précise un communiqué de presse de la confédération daté du 28 janvier 2020.

Des coûts de construction en hausse ?

Pourquoi craindre une hausse des coûts ? "Les industriels devront financer non seulement la fin de vie des matériaux qu'ils mettent sur le marché, mais également l'extension des horaires d'ouverture des structures recevant les déchets, le déblaiement des dépôts sauvages et la reprise gratuite des déchets triés du bâtiment, des particuliers comme des professionnels", précise l'organisation professionnelle. Des dépenses qui seraient répercutées sur les prix des matériaux, et in fine sur les coûts de construction à payer par les maîtres d'ouvrage.

La Capeb est d'autant plus remontée que sa proposition de créer un système autre qu'une Rep n'a pas été retenue. "Nous avions entamé les travaux nécessaires à la définition des contours d'une alternative à la Rep", commente Patrick Liébus, président de la Capeb. "Nous comptions proposer une organisation adaptée aux spécificités des différents types de déchets et leurs filières et soutenir la mise en place d'un système de traçabilité pour tous les acteurs." Les artisans du bâtiment regrettent le fait qu'aucune étude impact n'ait visiblement été effectuée avant de lancer ce projet.

L'organisation de petits patrons appelle une nouvelle fois, enfin, à un meilleur maillage du territoire en matière de déchetteries.

Source Batiactu

Brésil- Eternit (ETER3) devrait lancer une marque de tuiles avec des panneaux photovoltaïques

Dans une interview à Valor, le président d'Eternit (ETER3), Luís Augusto Barbosa, a informé que l'entreprise commence en mai la fabrication de tuiles en  béton et des fibrociments avec panneaux photovoltaïques. Au second semestre, les produits arrivent sur le marché en solutions complètes d'installation.

La marque opérationnelle dans le secteur de l'énergie solaire sera Tégula Solar. Aucun chiffre d'investissement n'a été divulgué.

Selon le site Web de l'entreprise, il s'agira de la première ligne de tuiles photovoltaïques en béton produites au Brésil. Chaque tuile devrait générer 9,16 Wc. L'ensemble sera comme un toit traditionnel, avec des dalles légèrement plus grandes que les tuiles déjà présentes sur le marché.

Source Euquroinvestir

24/02/2020

UN BARDAGE DE 1 514 M² EN ZÉPHIR EVOLUTION DE TERREAL HABILLE LA FAÇADE DE L’ÎLOT GAROT À LAVAL (53)

TERREAL, acteur majeur su secteur en France, s’associe avec l’agence d’architecture Vasconi pour le projet majeur de rénovation de l’îlot Garot situé en plein cœur du centre-ville de Laval. Ce bâtiment entièrement réhabilité aux normes HQE réunit bureaux et commerces pour le plus grand plaisir des riverains. La mise en œuvre de 1 514 m² du bardage Zéphir Evolution de TERREAL, dont 350 m² de bardage émaillé, donne à la nouvelle façade une architecture moderne et authentique qui s’intègre parfaitement au quartier résidentiel.

Une structure unique et multiforme

C’est au cœur du centre-ville de Laval, entre la Place de la Gare et une rue résidentielle, que se dévoile la zone économique Le Trèfle – Îlot Garot que l’agence d’architecture Vasconi a fait le pari de rénover afin d’y établir un nouveau dynamisme. L’enjeu était de conserver l’âme du lieu tout en apportant une touche de modernité. En collaboration avec TERREAL, les architectes ont ainsi choisi le bardage Zéphir Evolution dans un souci d’accord entre le style architectural du quartier et la volonté d’apporter une touche plus urbaine au bâtiment. Les tons gris clair/argile combinés aux émaillés blanc /gris jouent le rôle de fil conducteur entre les différents bâtiments. La terre cuite est ici utilisée comme un lien entre les matériaux anciens présent dans la zone géographique et les éléments contemporains ajoutés.

Un bardage offrant de multiples atouts architecturaux


Le Zéphir Evolution est un bardage écologique installé sur des rails horizontaux. Léger et flexible  sa mise en œuvre  est rapide durant les chantiers de réhabilitation. Sa longueur, pouvant atteindre jusqu’à 150 cm et 14 mm d’épaisseur, lui confère une durabilité sans entretien.

Ce bardage s’adapte à tout type  d’environnement grâce à  sa résistance au vent, son classement aux chocs Q4 mais également  son caractère incombustible qui lui permet une application sur les bâtiments d’habitations soumis à la réglementation feu (IT249). De même, sa technologie lui permet une utilisation en zone sismique jusqu’en zone 4.

Les propriétés intrinsèques de la terre cuite lui confèrent pérennité et durabilité avec de belles finitions qui se dévoilent à travers le temps. Inaltérable, ce matériau se décline dans une grande diversité de teintes, et de textures avec des effets lisses ou striés. Des qualités esthétiques permettant un constant renouvellement et qui ont inspiré l’agence d’architecture Vasconi pour la rénovation d’un ancien bâtiment réhabilité en centre d’affaires nommé l’Îlot Garot, accueillant bureaux et commerces du centre-ville de Laval.

« Nous avons été loin dans la sélection et l’agencement des matériaux, des formes et des couleurs », indique Nicolas Ghanbar, Architecte chez Vasconi. « Mais ce travail est pour moi essentiel car c’est l’ensemble de tous ces petits détails qui font la différence. La terre cuite s’est imposée par ses possibilités de formats et de coloris, mais aussi et surtout par son adaptation aisée à l’architecture résidentielle. Elle offre la concrétisation de la modernité et de l’authenticité. De plus, la terre est un matériau pur, vivant, écologique et qui reste toujours propre. Des bâtiments en terre cuite qui ont plus de cent ans sont toujours aussi beaux, ils vieillissent bien. J’ai confiance dans la durabilité de ce que nous avons créé ».

Caractéristiques techniques :


  • Le Trèfle – Îlot Garot, Laval USA
  • Type de construction : Rénovation Architecte : Vasconi Architectes
  • Maitre d’ouvrage: Groupe Nox Produit : Zéphir Evolution (Ton gris, gris argile, émaillé blanc et émaillé gris)
  • https://we.tl/t-118IMR0Iga

23/02/2020

Résidence artistique « THÈREVAL, NOUVEAU TERRITOIRE CHERCHE IDENTITÉ »

TERREAL était présent samedi 8 février au coup d’envoi de la résidence artistique « THÈREVAL, NOUVEAU TERRITOIRE CHERCHE IDENTITÉ ».

Cette résidence artistique se déroule de février à mai 2020 sur une commune où une carrière de Terreal est implantée. Le projet des deux artistes Mathilde Gintz et Adeline Vieira vise à créer des liens entre les habitants d’Hébécrevon et de La Chapelle Enjuger, qui forment aujourd’hui la commune de Thèreval. Cette résidence amènera les artistes à se questionner sur la fusion de ces communes, avec leurs impacts sur les habitants, les pratiques spatiales, le paysage, mais aussi sur la notion d'identité.

Cette démarche culturelle est directement en lien avec notre politique RSE et notre engagement à générer des impacts positifs sur nos territoires. C’est donc avec beaucoup d’intérêt que Terreal a souhaité financer et participer à ce projet, aux côtés de la DRAC Normandie, le Conseil Départemental de la Manche, la MSA Côtes Normandes, Saint-Lô Agglo, le CAUE de la Mance, la commune de Thèreval et l’association Bouillonnant Valthère.

Cette même carrière a fait l’objet d’une démarche de sauvegarde de l’héritage historique l’été dernier. Ce sont sur les parcelles d’Amigny que l’archéologue Alexis Gorgues de l’université de Bordeaux Montaigne et son équipe ont mené des fouilles sur les traces des militaires américains arrivés les 24 et 25 juillet 1944 lors de l’opération Cobra.

Source Terreal

22/02/2020

Lingl (allemagne): Évaluation des données de production, efficacité globale de l'équipement (TRS) et Digital Twin

Lingl propose à ses clients une solution globale pour réduire les temps d'arrêt ainsi que pour collecter et afficher les données de production.

Ceci est conçu pour permettre à l'opérateur de l'usine d'augmenter l'efficacité de la machine.

La base du système développé est le système d'exploitation et de visualisation MBVL qui existe depuis 1997 et a fait ses preuves plus de 800 fois.

Des termes tels que «Industrie 4.0» et «Internet industriel des objets» sont des mots clés lorsqu'il s'agit de parler de numérisation.

Ces termes sont également liés aux actions mondiales des gouvernements et des associations industrielles qui ont déjà commencé il y a plus de dix ans.

Les idées générales sous-jacentes sont assez similaires ou identiques les unes aux autres. En fin de compte, il s'agit entre autres de l'usine «intelligente» («Smart Factory»):

  • Production de taille de lot «1»
  • Efficacité des ressources
  • Ergonomie


L'objectif général sous-jacent peut également être décrit de cette manière: Rendre la complexité contrôlable.

Source Ziegelindustrie International

21/02/2020

Bouyer Leroux: Pourquoi envisager la brique en terre cuite comme solution constructive de demain ?

Depuis des millénaires, l’Homme utilise la brique en terre cuite pour construire son habitat. Preuve de sa pérennité, ce matériau a permis à de nombreux édifices de traverser les siècles.
Aujourd'hui, la réglementation thermique 2012 porte sur la performance énergétique des bâtiments. Demain, la future réglementation environnementale (RE 2020) ira plus loin en exigeant des bâtiments à énergie positive et à faible empreinte carbone.

Pour atteindre ces objectifs, les matériaux utilisés pour construire les maisons de demain devront donc être plus respectueux de la planète et ce, à chaque étape de leur vie : fabrication, chantier de construction, habitat et recyclage.

1 La brique émettant du CO2 principalement lors de sa cuisson, bio'bric s'est engagé à passer de 40 % à 90 % d'énergie thermique produite à partir de biomasse d'ici 2025.

2 Les produits bio'bric sont fabriqués sur 9 sites répartis sur tout le territoire national pour plus de proximité avec les clients. Chaque palette de briques représente près de 10 m² de mur (contre 6 m² pour la maçonnerie traditionnelle non isolante), soit 30 % de palettes en moins à transporter, limitant ainsi l'impact transport de la solution brique.

3 Les solutions bio'bric nécessitent toujours moins d'eau sur chantier grâce à l'évolution des techniques de pose (passage de la pose traditionnelle à la pose au mortier joint mince, puis aujourd'hui à la pose à la colle fix'bric).

4 Naturellement isolantes, les solutions bio'bric génèrent des économies de chauffage et donc d'Eges (Émissions de gaz à effet de serre).

5 95 % des palettes de briques sont recyclées. À la déconstruction, bio'bric c'est 100 % de déchets inertes.

Pour répondre efficacement et à moindre coût aux exigences d'isolation du bâti, bio'bric propose son PACK MAISON INDIVIDUELLE : l'association d'une brique de mur, parmi une large gamme de briques bgv20, et d'accessoires en terre cuite pour traiter efficacement les ponts thermiques au droit des ouvertures ainsi qu'en about de plancher.

+ THERMIQUE
Une façade 100 % terre cuite et une excellente correction des ponts thermiques qui boostent les performances des projets jusqu'à +9 % de Bbio et +5 % de Cep.

+ ÉCONOMIQUE
Pas de rupteurs onéreux et difficiles à mettre en œuvre en about de plancher, des tapées d'isolation standards, etc.

+ SAIN
Classée A+ pour les émissions de COV (Composés Organiques Volatils), la brique (matériau minéral) empêche également le développement des moisissures responsables d'allergies respiratoires.

La marque bio'bric vous accompagne dans votre recherche de solutions éco-performantes ; pour des maisons saines, durables et surtout très économes en énergie construites avec un matériau respectueux de l'environnement.

Source Batiweb

Creaton (Allemagne) Toits à pente plate avec tuiles en terre cuite - quels sont les avantages?

Les toits à pente plate sont souvent conçus comme des toits en tôle ou en tôle trapézoïdale. Cependant, les tuiles en terre cuite offrent des avantages importants qui améliorent considérablement le bien-être et l'atmosphère dans l'espace de vie.

- Ventilation du toit: Grâce à leur construction, les toits en terre cuite sont ventilés et ventilés. L'air entre à l'avant-toit et s'écoule derrière le renfoncement du toit vers la crête et y sort. Avec cet effet de cheminée, l'humidité générée sous le toit est éliminée et le toit est ainsi protégé contre la pourriture et la moisissure.

- Ouverture à la diffusion: Dans une maison, une vie normale crée une vapeur inévitable. Cette vapeur monte physiquement. La vapeur peut s'échapper à travers la construction du sous-toit et les tuiles en terre cuite grâce à la perméabilité. Le climat intérieur s'améliore.

- Isolation acoustique: les tuiles en terre cuite amortissent tout bruit ambiant, par ex. la pluie, le vent ou  la grêle. De plus, l'expansion liée à la température et les bruits associés aux toitures en tôle ne se produisent pas avec les tuiles en terre cuite.

Source Youtube

20/02/2020

Net coup d'arrêt du marché des matériaux de construction en fin d'année 2019 (briques -2,6 tuiles -2,0)

En légère baisse depuis le printemps 2019, le marché des matériaux de construction a connu une forte chute au dernier trimestre de l'année dernière, la faute à un mois de décembre particulièrement difficile. Ce fléchissement tire vers le bas les résultats annuels du secteur.
Coup de froid pour conclure 2019. Après un début d'année en grande pompe, le secteur des matériaux de construction voyait son activité s'amenuiser pour revenir dans ses standards. Cependant, au mois de décembre, les productions de granulats et de béton prêt à l'emploi (BPE) ont respectivement chuté de -5 % et -6,6 % par rapport au même mois en 2018, selon les chiffres de l'Union nationale des industries de carrières et des matériaux de construction (Unicem). Ce net coup d'arrêt a tiré vers le bas le volume de production annuel, qui ne progresse que de +0,7 % pour les granulats et qui stagne pour le BPE (-0,1%). Pour l'Unicem, le contexte social et les intempéries ont contribué à l'accentuation de cette baisse. Par ailleurs, cette diminution du volume produit est commune à de nombreux matériaux et est généralisée à l'ensemble de l'activité nationale. En effet, en fin d'année, le Produit intérieur brut (PIB) a enregistré un retrait de -0,1 %.


Pour 2020, les producteurs sont assez mitigés. Dans le bâtiment, le climat des affaires se stabilise à un haut niveau. Les entrepreneurs sont confiants quant à leur activité des prochains mois. Pour autant, les chiffres de la construction de logements montrent un nouveau repli de -2,5 % au quatrième trimestre, par rapport aux trois mois précédents, et le nombre de permis de construire délivrés est en baisse de -2,3 % en 2019. Dans le non-résidentiel, le constat est différent. Le secteur confirme son dynamisme avec des mises en chantier et des permis en hausse de +7,2 % l'année dernière. Concernant les travaux publics, l'avenir est nuageux selon l'Unicem. Si l'activité est restée vigoureuse à l'approche des élections municipales, avec une hausse de +12,7 % de travaux réalisés sur un an, le repli des embauches en intérim et des prises de commandes suggèrent une modération de l'activité.

Source Batiactu

19/02/2020

EDILIANS participe à la 12ème édition du salon NORDBAT à Lille

Le rendez-vous incontournable des professionnels de la construction au Nord de Paris !

NORDBAT a déjà accueilli plus de 13 600 professionnels en 2018.

EDILIANS vous attend du 1er au 3 avril 2020 pour la 12ème édition du salon à Lille.

EDILIANS GROUP - Stand N° K62

Lille - Grand Palais, 1 boulevard des Cités Unies, 59777 Lille Euralille

Source Edilians