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01/08/2015

Gironde-sur-Dropt- Carreau de Gironde : vers un label Identification Géographique

Porcelaine de Limoges, couteau Laguiole et chez nous, le Carreau de Gironde et la Terre de Gironde, pourront potentiellement bénéficier du label « Identification Géographique ».

C’est le 3 juin que Carole Delga, secrétaire d’Etat chargée du Commerce, de l’Artisanat, de la Consommation et de l’Économie sociale et solidaire a lancé le nouveau label Identification Géographique (IG), protégeant les produits manufacturés et les ressources naturelles.
238 produits artisanaux y sont candidats.
« Ce sont des produits liés à un territoire par des caractéristiques, un savoir-faire ou un procédé de fabrication » explique Carole Delga. « Les Indications Géographiques permettent ainsi aux entreprises, de valoriser leurs produits pour les marchés à l’export, et de se protéger contre l’utilisation abusive des dénominations géographiques ». Les entreprises d’un territoire, regroupées au sein d’un organisme de défense et de gestion, peuvent déposer un dossier d’homologation pour une IG auprès de l’institut national de la propriété industrielle (INPI) pour garantir l’authenticité et la qualité de leurs produits.
Ça va nous récompenser de notre savoir-faire
« C’est une très bonne nouvelle » se réjouit à Gironde-sur-Dropt, Jean Pruvost, 58 ans, qui dirige avec son beau-frère Dominique Storme la société Carreaux de Gironde. « Ça va nous récompenser de notre labeur, de notre savoir-faire, notre esprit d’équipe : nous sommes cinq à travailler ici et on ne ferme pas de l’année! » La labellisation du carreau de Gironde « sera un plus ». « Nous travaillons le carreau et la tuile comme il y a trois siècles et cette méthode de fabrication se meurt. Beaucoup de tuileries sont tombées à l’eau. » Carreaux de Gironde est la plus importante tuilerie d’Aquitaine.
« Les gens reviennent à la restauration, ils investissent dans la brique et le carreau alors que le bâtiment neuf baisse en activité. Le carreau de Gironde, c’est un terroir, c’est à Gironde-sur-Dropt. C’est une fibre spéciale au niveau de sa densité, sa dureté, la finesse du produit. »
Source Le Républicain par Bernard PEYRÉ

29/07/2015

BRAAS MONIER SIGNS AGREEMENT TO ACQUIRE GOLDEN CLAY INDUSTRIES (GCI), LEADER IN CLAY TILES IN MALAYSIA

Luxembourg, 10 April 2015. Braas Monier today signed an agreement to acquire Golden Clay Industries Sdn Bhd (GCI), leader in Malaysia for manufacturing and supplying clay roof tiles and fittings and being one of only a few manufacturers in the Asia-Pacific-region using modern H-cassette technology. For 2014, GCI reported revenues of MYR 35.0 million and an EBITDA of MYR 8.5 million, on a pro-forma basis. Including substantial synergies, Management believes GCI will in the medium-term increase revenues to more than MYR 55 million and EBITDA to at least MYR 21 million, leading to a strong cash flow profile.
The total Enterprise Value of GCI amounts to MYR 90 million, equivalent to approximately EUR 23 million . This includes cash consideration of MYR 67 million, existing bank debt of MYR 18 million and, depending on future earnings growth, potential Earn Out payments of up to MYR 16 million (discounted). Expected cash generation from the sell down of excess stock levels are taken into account with approximately MYR -12 million (discounted).
The acquisition will be financed from free cash flow and is expected to close latest in October 2015.
“With the agreed acquisition of Golden Clay Industries we further extend our leadership position in Malaysia and acquire one of the premium H-cassette manufacturers in the Asia-Pacific-region, which we believe will deliver sizeable synergies. Amongst other things, this will provide us with a strong strategic position to better supply clay tiles to other markets in the Asia-Pacific-region, such as China, India and Indonesia, and to leverage our existing components business in the region. Following the completion of the acquisition of Cobert in January, this is another important step in growing our business through our Top Line Growth programme (TLG) and creating value for our shareholders,“ says Pepyn Dinandt, CEO of Braas Monier Building Group S.A..
With revenues of EUR 52.6 million in 2014, Malaysia is the fifth largest single market for the Braas Monier Building Group and the largest outside Europe. Our Group has over 50 years of experience in the Malaysian roof tile market, which today is the Asia Pacific hub for Braas Monier.
Source Braas-monier.com

28/07/2015

Visite virtuelle, construction... ce que la 3D change en immobilier

Les innovations touchent aussi le secteur immobilier, pour la visite de biens comme pour la construction. Une technologie qui vient d’être lancée permet de modéliser et de visiter en 3D des biens anciens.

La technologie et le monde des start-up s’immiscent peu à peu dans l’immobilier. Et même les plus gros acteurs du secteur s’y mettent. Il y a quelques semaines, Bouygues Immobilier a ancé sa filiale BIRD, chargé d’investir et d’épauler des jeunes pousses du web prometteurs. Parmi ses premiers investissements, Lymo, une plateforme de crowdfunding immobilier, et surtout MyCloud3D, start-up spécialisée dans la modélisation de maquettes en 3D qui permet de réaliser des visites virtuelles d’immeubles ou de quartiers directement sur son ordinateur portable, sa tablette ou son smartphone...
Cette possibilité de visiter en 3D des biens immobiliers est désormais assez largement répandue! Des promoteurs immobiliers comme Vinci ou Kaufman & Broad ont d’ores et déjà leur application qui permet à leurs clients de faire une immersion 3D dans un appartement... directement sur leur smartphone! Avec ce mécanisme, plus besoin de perdre plusieurs après-midi de visites peu convaincantes. Vous pouvez visiter (et revisiter!) un bien depuis votre canapé. Un avantage lorsque vous hésitez entre plusieurs logements pour un potentiel achat.
Le bémol de ces visites 3D: elles ne concernaient que les logements neufs, dont les plans sont plus simples à modéliser. Cette époque est désormais révolue. Les ingénieurs d’Explorimmo* ont mis au point une technologie qui permet de visiter de la même manière les biens disponibles sur le marché de l’ancien! Le site de petites annonces a conclut un partenariat avec Foncia depuis le début du mois de juillet. Tous ses annonces exclusives de locations peuvent donc se visiter en quelques clics... comme si vous y étiez.
La 3D, également dans la construction
Si la technologie 3D est utile pour visiter des biens, elle est également utile pour... les construire! si des dizaines et des dizaines d’objets ont déjà été imprimés, il paraissait toutefois difficile d’imaginer la même chose pour une maison ou n’importe quel édifice. Que nenni! La construction en 3D a le vent en poupe. Et elle voit de plus en plus grand.
Il y a quelques mois, Le Figaro Immobilier vous racontait comment une société chinoise construisait des villas, immeubles et gratte-ciel grâce à une monstrueuse imprimante 3D. Elle est monstrueuse par sa taille: 6,6 mètres de haut pour 10 mètres de large et 40 mètres de long. Le gouvernement égyptien a également commandé une maison à imprimer - donc à construire - en un seul jour, qui est composée de 20.000 éléments.
Mais ce modèle de construction via l’imprimante 3D est également utilisé sur le continent européen, comme le prouve ce dernier projet étudié à Amsterdam. La société néerlandaise d’impression 3D MX3D a prévu d’utiliser dans les mois à venir une imprimante 3D robotique afin de construire un pont à Amsterdam. Cette infrastructure n’est pas un hasard, tant la ville est célèbre pour ses canaux et ses ponts. Le temps qu’il faudra pour construire ce pont: seulement deux mois, et une construction prévue pour 2017. “Les robots qui peuvent, à la manière d’une araignée, construire des objets tri-dimensionnels pourraient potentiellement inspirer la prochaine révolution industrielle”, explique l’ingénieur Jordan Brandt. Vraiment?
Source Le Figaro par Quentin Périnel

27/07/2015

Le BIM, un véritable challenge organisationnel pour les acteurs de la construction

Le BIM, un véritable challenge organisationnel pour les acteurs de la construction (2/3)
Avec l'arrivée du BIM dans les modes constructifs, industriels, architectes et éditeurs de logiciel ont dû revoir leur méthodes de travail et anticiper les tendances du marché. Tour d'horizon des difficultés d'adoption de la maquette numérique, à tous les niveaux de la chaîne de conception d'un bâtiment.
La principale difficulté du BIM réside surtout dans la gestion de la relation avec les différents clients car la maquette numérique nécessite un mode de travail collaboratif à tous les niveaux. « Il faut être très attentif à ce que ne se crée par un BIM à deux vitesses, avec les gros constructeurs d'un côté et les artisans qui risquent de se trouver déconnecter de cette évolution », soulève Eric Weiland, directeur technique de Terreal.
Le lien entre les marques et les clients finaux se fera sans doute principalement par les architectes.« L'architecte va vraiment redevenir le chef d'orchestre du projet et reprendre une place centrale dans la conception des projets, prédit Emmanuel Di Giacomo, responsable technique avant-vente AEC Architecture pour Autodesk France. Tout est paramétrable, c'est ça qui est intéressant. D'autant qu'on peut faire des choix plus objectifs, en anticipant par exemple le retour sur investissement ».
D'autre part, le développement du BIM a créé une nouvelle organisation au sein des agences. Le travail est désormais collaboratif. « L'un travaille sur tous les « intégrés » (cloisonnement, gaines, agencement des appartements), l'autre sur les façades et les ouvertures (sols, façades, structure). Chacun travaille ainsi sur une partie du bâtiment, mais en volume. Le découpage du travail dans l'espace se fait désormais en 3D et non plus en 2D. Cela ne change pas tant que ça nos habitudes mais nous pouvons davantage visualiser l'évolution des surfaces, faire un contrôle plus précis du projet et avoir une vision plus globale », affirme Olivier Lecquerc, architecte au sein de l'agence Air Architectures.. Un nouveau métier est même né : le BIM Manager, une personne chargée de contrôler, vérifier et valider la maquette numérique. Entre investissement pour les uns, gratuité pour les autres
Reste que le passage au BIM demande un premier investissement de la part des architectes, que tous ne pourront peut-être pas se permettre, entre le matériel informatique, le logiciel, la formation etc. « Un logiciel BIM coûte en moyenne 3 000 euros même il existe des versions « light » moins chères. Ces versions ne permettent souvent pas de travailler en collaboratif, ce qui gomme finalement tout l'intérêt du BIM », explique Olivier Leclercq qui regrette notamment que le marché des logiciels BIM soit monopolisé par un seul groupe. « Nous sommes du coup à la merci du marketing et des mises à jour de logiciel obligatoires et payantes », dénonce-t-il.
Pourtant, les créateurs de logiciels font des efforts de leur côté pour rendre accessible leur logiciel au plus grand nombre. « Il reste beaucoup à faire, notamment au niveau de l'éducation des futurs professionnels, en collaboration avec les écoles d'architecte et les ingénieurs », note Emmanuel Di Giacomo. « C'est pourquoi, pour faire avancer les jeunes générations, nous donnons nos logiciels gratuitement aux étudiants depuis octobre dans les écoles. L'objectif à long terme, c'est aussi de parvenir à séduire cette génération qui ne trouve peut-être pas encore le bâtiment suffisamment attractif »
Source Batiweb par Claire Thibault

26/07/2015

Ibstock Brick Leicester - Pensioners fight brickworks expansion plans

Ibstock Brick, whose plans to build a new factory and stock yard have angered residents
Residents on a village estate are up in arms over a brick manufacturing company's plans to build a new factory and yard near their homes.
Ibstock Brick, the UKs leading manufacturer of clay facing bricks, wants to more than double the size of its current production.
The planning application, submitted to Leicestershire County Council as the county minerals authority, has angered people living on the village's Redlands Estate, off Leicester Road.
Pensioner Tina Browne said the factory was too close to homes.
She said: " The new factory is planned to be within 50m of houses and will include noisy drying machinery that is in constant operation.
"The height of the building will be 17m and the chimney 30m tall.
"While the stockyard will generate constant light and noise from vehicles as bricks are moved out of the factory after production."
Mrs Browne said residents support Ibstock Brick's plans to expand.
She said: "We understand that the new development will bring more work to the area and that is to be welcomed.
"However, this is going to be a massive structure that will be in operation 24 hours a day.
"Building it so close to homes will have a devastating effect on the lives of people who live immediately next to the site, because they will have to put up with increased levels of noise, dust and light pollution night and day."
Campaigners want the firm to relocate the proposed factory to another part of the operation's 320-acre site.
They also claim the company led them to believe a former 'clay hole' near their homes would become a recreational area after it was filled in.
Colin Brownlow, who has lived on the Redlands Estate for over 40 years, said: "They said the it would be given to the community for recreational purposes, presumably as compensation for all the years that we had to put up with living next to an open cast mine and all the muck it generated.
"This latest proposal is really devastating for local residents, most of whom are pensioners like me."
Andrew Bridgen, MP for North West Leicestershire, has taken up residents' concerns with the firm.
He said: "This expansion of the factory would secure the future of the site and be of significant economic benefit.
"Residents do have concerns regarding the location of the proposed new building and I have conveyed those to the company.
"Meetings have been scheduled between the company and residents and hopefully this will progress the matter."
Ibstock Brick currently employs about 260 full time workers at the site.
It said the new factory will create a further 50 jobs.
The firm said the expansion was necessary to meet growing orders from the construction industry, which is having to import bricks from Europe to meet demand.
It said the new factory would produce 100 million bricks a year – enough to build an extra 15,000 homes a year – taking total production to 190 million bricks a year.
In a statement, the company said: "The Ibstock site is uniquely positioned strategically in the UK on good arterial road links.
"Reserves of clay at the site are within the existing consented areas and this, together with adjoining land, mean clay will continue to be extracted locally and will not require importation by road.
"Brick making has taken place on the site since as far back as 1830 and at that time was intrinsically linked to the coal mining activities in the area.
"Some of the buildings on site today can be traced to the early 19th century but have been added to and modified to meet the changing demand for brick production."
Ibstock Brick has 19 factories, and employs almost 1,400 people in the UK. The Ibstock site serves as the head office.
Source : leicestermercury.co.uk pa David Owen

25/07/2015

Les Terres cuites d'Aizenay ouvrent leurs portes

Les Terres cuites d'Aizenay, entreprise artisanale et familiale, ont été créées par Pierre Gauvrit, en 1868. Aujourd'hui, ce sont ses descendants de la 6e génération, les frères Jean-Paul et Pascal Gauvrit, qui sont à la manoeuvre.
Leur ancêtre a construit un four pour cuire des briques fabriquées avec l'argile d'Aizenay. Une technique toujours d'actualité, mais l'entreprise a beaucoup progressé. Il y a maintenant trois fours et trois séchoirs, et la gamme de produits a évolué avec des tuiles, carreaux de terre, casiers à bouteilles... L'entreprise travaille pour les monuments historiques, et assurera la réfection en tuiles des 2 000 m² de la toiture de la cathédrale de Luçon.
Il est prévu qu'elle fournisse des briques pour les cheminées du musée de la Libération, à Paris, et des tuiles pour le Puy du Fou. Cet été, Les Terres cuites font assurer la construction d'une cour paysagère, avec murettes en brique, fontaine et marches dans une école de Montrouge (Hauts-de-Seine). Elles fournissent aussi les particuliers.
Un savoir-faire reconnu
En 2009, puis en 2014, les Terres cuites ont reçu le label EPV, Entreprise de patrimoine vivant, décerné par le ministère de l'Industrie, pour une durée de cinq ans. Ce label récompense les frères Gauvrit pour leur savoir-faire, rare dans le domaine du moulage, et pour leur cuisson traditionnelle au feu de bois.
Jeudi 16 juillet, Jean-Paul et Pascal Gauvrit ont fait visiter leur entreprise, dans le cadre des sorties Art ou Gourmandise, organisées par l'office de tourisme Vie et Boulogne.
Les visiteurs ont pu assister à la cuisson de la production.
Visite des Terres cuites d'Aizenay. Inscriptions au 02 51 31 89 15 ou 02 51 94 62 72. Gratuit. Accès par la quatre voies, Aizenay-La Roche sur Yon, sortie la Gombretière

Source Ouest France

24/07/2015

Les nouveaux matériaux de construction biocomposites

Le projet BIOBUILD a créé des structures en biocomposites, dont la production utilise moins d'énergie que les matériaux de construction classiques. Ils ont une durée de vie de 40 ans et ne représentent pas de surcoût pour les fabricants.
Pour améliorer le rendement énergétique des immeubles, on cherche en général à réduire leur consommation d'énergie pendant leur utilisation, ce qui est l'un des objectifs clés du paquet énergie-climat de l'UE. Cependant, pour évaluer leur impact sur l'environnement, il faut aussi tenir compte de l'énergie requise pour les construire, soit l'énergie intrinsèque. De fait, elle représente environ 35 % de l'impact carbone d'un immeuble.
Le projet BIOBUILD voulait réduire cette quantité d'énergie, depuis l'extraction et le traitement des ressources jusqu'à leur fabrication et leur transport. Le projet s'est achevé en mai 2015. Il a conçu de nouveaux matériaux biocomposites, capables de réduire d'au moins 50 % l'énergie intrinsèque par rapport aux meilleurs matériaux classiques pour les façades, les structures de soutien et les systèmes de cloisonnement, et sans augmenter les coûts.
Ces travaux ont été récompensés lors des JEC Europe Innovation Awards, où la nouvelle façade BIOBUILD a remporté le prix du produit le plus innovant du secteur de la construction.

Source Technoscience

23/07/2015

Matériaux de construction : un premier semestre « encore plus mauvais que prévu » - tuiles et briques en chute de plus de 11% sur le premier semestre 2015

L’activité des matériaux de construction a chuté de 9,4% au premier semestre 2015, indique la lettre mensuelle de conjoncture de l’Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (Unicem) le 20 juillet. Mais les professionnels du bâtiment se montrent un peu moins pessimistes depuis quelques mois.
Les mois se suivent et se ressemblent au sein de l’activité matériaux de construction. Selon la lettre mensuelle de conjoncture de l’Unicem pour juillet-août, la « première partie de l’année 2015 aura été plus mauvaise encore qu’il n’était prévu ». Fin juin, la fédération des industriels de l’extraction et des matériaux de construction a répertorié une chute de 12,2% de l’activité des granulats en cumul sur six mois, et de 8,5% sur un an pour celle du béton prêt à l’emploi (BPE).
De manière globale, l’activité des matériaux de construction a chuté de 9,4% au premier semestre. Les livraisons de granulats sont en repli de 3,2% en juin par rapport à mai (-9,2% par rapport à juin 2014), tandis que les volumes mensuels de production sont désormais près de 20% plus faibles que ceux constatés début 2014. Concernant le BPE, la production a chuté de 3,7% entre mai et juin (-9,1% par rapport à juin 2014), et l’activité s’est repliée de 7,3% au deuxième trimestre 2015 par rapport à la même période l’an dernier. En l’espace d’un an et demi, décrit l’Unicem, les volumes de BPE mensuels produits se sont contractés de près de 15%.
Malgré cette situation, « les professionnels du bâtiment se montrent un peu moins pessimistes depuis quelques mois », avance l’Unicem, citant la dernière enquête de l’Insee sur les chefs d’entreprise. Un redressement « surtout sensible dans le segment du logement neuf, tandis que dans celui des ouvrages non résidentiels, le pessimisme reste de mise ». Dans les travaux publics, l’activité reste très déprimée, avec un recul de près de 7% sur un an des travaux réalisés en cumul depuis janvier et de 12,7% des marchés conclus.
Source LE MONITEUR.FR

22/07/2015

Wienerberger CEO expects 2015 to be a "good year"

Austrian brickmaker Wienerberger expects 2015 to be a "good year" after it finished a restructuring and thanks to increasing demand in the United States, Britain and northern Europe, its chief executive told Austria's Wirtschaftsblatt.
"We will have a good year and generate a good result under our own steam," CEO Heimo Scheuch was quoted as saying in Tuesday's edition. "We are growing organically."
Business in Eastern Europe was recovering from a very low level, while business in its home market Austria, in Germany and in Switzerland did not perform so well, Scheuch said.
But he said Wienerberger, the world's biggest brickmaker, planned to gain market share everywhere.
The company - which increasingly focuses on making specialised pipes that can be used in households, the oil and gas industry and for desalination plants - finished a five-year restructuring programme last year.
Wienerberger said in May it expected 2015 earnings before interest, tax, depreciation and amortisation (EBITDA) of 350 million euros ($385 million), up from 317 million in 2014.
The company made a 2014 loss of 40 million euros after tax. ($1 = 0.9097 euros) (Reporting by Kirsti Knolle; Editing by Georgina Prodhan)

Source Reuters

21/07/2015

TERREAL améliore les caractéristiques techniques de sa Brique Monolithe Isolée (BMI) et devance les réglementations thermiques à venir

TERREAL, le spécialiste de l’enveloppe globale du bâtiment, commercialise depuis près de 30 ans un système unique au monde : la Brique Monolithe Isolée (BMI) d’une hauteur de 2,80 mètres.

A l’aube d’une nouvelle réglementation axée sur le confort et la qualité de l’air intérieur, TERREAL a repensé en profondeur les caractéristiques techniques de ce produit afin de lui redonner un véritable caractère avant-gardiste : inertie, étanchéité à l’air, conformité sismique et résistance thermique.

La BMI : la réponse de TERREAL pour la mécanisation des chantiers Les Briques Monolithes Isolées (BMI) sont des Briques à Hauteur d’Etage à isolation intégrée destinées à la réalisation de murs porteurs de 30 cm d’épaisseur pour des bâtiments d’habitation, industriels, tertiaires ou encore des chantiers d’élévation.

Constituées de 2 panneaux de briques reliés par un panneau isolant au milieu, les BMI forment un élément monolithe de hauteur d’étage permettant de monter en une opération : 1,6 m² de mur, le mur porteur, l’isolation et son bardage esthétique à la façade du bâtiment.
Les dimensions de la BMI (2,80 m de haut et 0,60 m de large) permettent de réaliser la structure des bâtiments en un temps record tout en diminuant la pénibilité sur les chantiers grâce à une mise en place mécanisée.

Conjuguées aux accessoires monolithes associés, les BMI permettent de réaliser en toute sécurité une construction en allant jusqu’à deux fois plus vite qu’avec un système classique.

Par exemple, le montage des murs d’une maison de 100 m² au sol peut être réalisé en à peine 3 jours avec seulement 3 ouvriers.

Une brique aux performances techniques améliorées 
L’isolation intégrée aux BMI offre une solution d’isolation par l’extérieur permettant de supprimer les ponts thermiques aux extrémités des planchers.
Naturellement isolante grâce à sa structure alvéolaire, la BMI se présente comme une solution idéale pour répondre aux exigences en termes d’isolation thermiques et de traitement des ponts thermiques de la RT 2012.
Sa forte inertie thermique est favorable au confort thermique d’été et de mi-saison, et permet de répondre à la demande grandissante d’ouvrages offrant à la fois un confort d’hiver et un confort d’été.
Les produits BMI sont exclusivement proposés par TERREAL et constituent un système innovant pour les constructeurs et les architectes : angles, tableaux, linteaux et coffres de volet roulant. Ils représentent ainsi le système polyvalent par excellence puisqu’un seul produit assure : la structure porteuse, l’isolation thermique, l’inertie thermique intérieure, l’étanchéité à l’air, l’aspect de façade, un environnement sain grâce à un parement terre cuite intérieur.

La BMI permet également de répondre aux dernières tendances architecturales. Particulièrement bien adaptée à la réalisation d’écoles, de crèches, de bureaux, d’hôtels, de collectifs d’habitations, mais aussi d’ouvrages agricoles et tertiaires, elle est utilisée par les architectes qui souhaitent rythmer les façades de leurs ouvrages à l’aide d’éléments de grande dimension.


Une documentation réalisée par TERREAL pour aider les architectes à concevoir leurs futurs projets sera d’ailleurs disponible courant juillet 2015.

Les plus produit de la BMI : 

  • Performance thermique élevée : R = 3,5 W/m².K 
  • Poids de la brique standard (2,6 x 0,6 m) : 312 kg 
  • Charge admissible : 15t/ml REI 60 pour 15t/ml de chargement 
  • Pose toutes zones sismiques

20/07/2015

Wienerberger Numéro un mondial de la brique terre cuite et premier tuilier européen

Depuis la création de l’entreprise en 1819, le Groupe Wienerberger s’est mondialement développé au point de constituer aujourd’hui le tout premier producteur mondial de briques en terre cuite ; coté en bourse à Vienne, le Groupe Wienerberger affiche une présence dans 30 pays, 204 sites industriels et plus de 14.800 collaborateurs.
Si le Groupe a réalisé en 2014 un chiffre d’affaires de 2,834 milliards d’euros, il s’inscrit en France depuis 20 ans dans une stratégie d’implantations historiques et pérennes, pour toujours plus de proximité avec ses partenaires...
Ainsi, depuis 1995, le groupe Wienerberger a déjà investi en France plus de 200 millions d’euros : rachats briqueteries et tuileries séculaires et reconnues pour leur savoir-faire, implantations de sites industriels ultra-modernes. Dirigé par Francis Lagier, le groupe Wienerberger occupe le marché français, avec 10 sites industriels et 830 collaborateurs, pour un chiffre d’affaires de 178 millions d’euros en 2014.
A la source d’innovations marquantes telles que la brique Monomur (1976), la tuile Panne Koramic (1980) qui demeure l’unique tuile très faible pente, la Maçonnerie Roulée® (1996), la Maçonnerie à Joint Vif® pour la façade (2006) ou plus récemment le procédé de mise en œuvre DRYFIX® et CLIMAmur® la brique climatique à isolation intégrée, Wienerberger agit résolument en précurseur de la filière, il est le premier détenteur en France de la labellisation Natureplus® (qui récompense les industriels utilisant un procédé respectueux de l’environnement).
Notons que Wienerberger s’est engagé depuis des années dans une stratégie de performance énergétique globale, préservant l’environnement. Cette politique (e4 pour énergie x économie x écologie x émotion) vise à offrir des solutions durables, à l’efficacité réelle et prouvée, dans chaque domaine et pour chaque utilisateur ; cela implique toutes les phases, de la fabrication de ses produits - pour l’ensemble de ses filiales -, à leur utilisation.
Wienerberger : les solutions terre cuite
Wienerberger SAS anticipe les attentes de l’ensemble des professionnels français du bâtiment en proposant quatre solutions reconnues : Solutions Mur avec les briques de structure et accessoires Porotherm, Solutions Toitures avec les tuiles et accessoires de toiture Koramic, Solutions Façade avec les briques apparentes Terca, le bardage ArGeTon, et les tuiles de bardage Koramic.
Solutions Mur
Porotherm : Des solutions innovantes et performantes facilitent l’accès aux réalisations RT 2012 et BEPOS grâce aux briques de structures isolantes et aux accessoires techniques.
Solutions Toiture
Koramic : Des solutions toitures esthétiques, durables et performantes. Koramic propose la plus large gamme de tuiles en terre cuite et d’accessoires. Les tuiles sont déclinées sous toutes les formes et couleurs en réponse à tous les styles régionaux.
Aléonard : Des solutions traditionnelles et élégantes qui permettent de sublimer les toitures d’édifices historiques tels que les églises ou cathédrales, rénover d’ancienne bâtisses ou de réaliser des constructions neuves au caractère unique. Forte de cette expertise, la tuilerie a reçu en 2010 du Ministère de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi, le label EPV (Entreprise du Patrimoine vivant).
Solutions Façade et Pavage
Terca : Des solutions naturelles, inaltérables et esthétiques qui donnent du relief aux façades et laissent libre court à la créativité. Egalement des pavés pour mise en œuvre au sol.
Solutions Façade
Argeton et Argelite : Des solutions architecturales qui apportent créativité et performances thermiques durables grâce au bardage double peau et simple peau en terre cuite.
Koramic : Des solutions pour l’isolation avec une gamme de tuiles et accessoires dédiés facilitant la mise en œuvre.
Fondé à Vienne en 1819, Wienerberger est aujourd’hui le 1er briquetier mondial et le 1er tuilier européen. La terre cuite, matériau sain, économique et écologique, répond idéalement aux projets de constructions à haute performance énergétique. Matériaux écoresponsables, les briques et tuiles terres cuites ont une durée de vie minimum de 100 ans. Présent dans 30 pays, ses 204 usines emploient plus de 14 800 personnes à travers le monde. En France, 830 salariés travaillent dans les 10 usines de tuiles et briques détenues par le groupe. Le chiffre d’affaires en 2014 atteint 178 millions d’euros avec 4 marques reconnues : Argeton - Solutions façade, Koramic - Solutions toiture et façade, Porotherm - Solutions mur et Terca - Solutions façade.

Source Schilling communication

17/07/2015

L’obligation du jour : la perpétuelle Wienerberger 6,50% par 1.000 euros

Chaque jour l’équipe d’Oblis épingle une obligation et revient sur son évolution depuis son placement sur le marché primaire. Aujourd'hui, nous analysons l’emprunt perpétuel Wienerberger placé en octobre dernier.
Le fabricant autrichien de matériaux de construction (blocs treillis, briques de parement, pavés et tuiles en terre cuite…) proposait alors aux détenteurs de l’obligation perpétuelle subordonnée (6,50% - 500 millions) d’échanger leur(s) titre(s) contre une nouvelle perpétuelle à taux fixe puis flottant.
Le producteur des briques Terca a finalement émis 272 millions d’euros (coupures de 1.000 euros) sur cette ligne obligataire. Un score honorable puisqu’il s’était fixé pour objectif de racheter un maximum de 300 millions d’euros de l’obligation perpétuelle déjà existante à l’époque.
Fixe puis flottant
La nouvelle obligation offre un coupon fixe de 6,50% jusqu’au 9 février 2017. Ensuite, la rémunération passe à 5% jusqu’au 9 février 2021, date du premier « call ». Si l’émetteur n’exerce pas son droit de rachat (fixé à 100% du nominal), le coupon deviendra flottant et correspondra au taux midswap à cinq ans en euros augmenté de 5,95%.
L’emprunt est actuellement disponible à 104,25% du nominal, après un plus haut touché à 107% en avril dernier, avant la remontée des taux d’emprunt à long terme. L’obligation n’est jusqu’à présent jamais tombée sous le pair, le plus bas jamais atteint étant de 100,55% en octobre.
Perspective relevée chez Moody's
L’absence théorique d’échéance et son rang de subordination induit un risque plus élevé pour l'investisseur, qui se reflète dans le rating « B1 » attribué par Moody’s. C’est deux crans de moins que la note « Ba2 » de l’émetteur. L’agence de notation financière a tout récemment confirmé ces notes et relevé la perspective associée de « négative » à « stable ».
« La modification de la perspective à stable reflète l'amélioration des ratios de crédit de Wienerberger en 2014 ainsi que nos estimations d’une poursuite de cette tendance cette année et au-delà, ce qui devrait positionner Wienerberger fermement dans la catégorie ‘Ba3’ » explique Moody’s dans une note datée du 17 juin.
Au premier trimestre de cette année, Wienerberger a réalisé un chiffre d’affaires de 613 millions d’euros (+5% sur an) et un résultat opérationnel de 34 millions d’euros (+21%). L’entreprise autrichienne a confirmé son objectif de réaliser un résultat opérationnel de 350 millions d’euros pour l’ensemble de l’année. Les flux de trésorerie seront utilisés principalement pour la croissance organique, une politique d'investissement modérée, les dividendes ainsi que la réduction de la dette, a précisé le groupe autrichien dans un communiqué.

Source Oblis

16/07/2015

Un nouveau coloris pour la tuile Plein Sud d’Imerys

La nouvelle couleur Ancien conçue par Imerys Toiture va venir ensoleiller les toitures des régions du Sud.

Elle rejoint dès à présent la large palette des 11 coloris de la gamme Plein Sud.

Son camaïeu de rose et de gris rappelle les bâtisses du Sud de la France, tout en conservant le charme et le traditionalisme d’autrefois.

Cette couleur, déjà existante pour les tuiles Canal et Génoise (simple et double) s’adapte désormais aux incontournables tuiles Plein Sud.
De quoi retrouver tout le caractère et l’authenticité de la région PACA. Cette tuile bénéficie d’une grande facilité de pose grâce à son emboîtement grand moule fortement galbé.
Elle s’adapte à toutes les toitures, neuves ou rénovées, par son jeu transversal et longitudinal. C’est donc une alliance parfaite entre simplicité, flexibilité et fiabilité. Elle a aussi l’avantage d’être conçue sous un format économique puisque son nombre varie de 9,6 à 11,4 au m2.
Source Bati-journal

15/07/2015

CERIC TECHNOLOGIES EL DJAZAÏR

CERIC, leader mondial de l’industrie des matériaux de construction en Terre Cuite (briques, tuiles, hourdis, etc.) consolide sa présence historique en Algérie en lançant officiellement sa nouvelle filiale en Algérie, CERIC TECHNOLOGIES EL DJAZAÏR.
CERIC compte près de 500 installations dans le monde dont 70 en Algérie, soit environ 60% de la production nationale de produits rouges. Ainsi, chaque jour presque 5 millions de briques et tuiles participent à la construction de l’Algérie de demain (programme étatique, promotions immobilières, villes nouvelles, infrastructures, habitat individuel, etc.). Sur la période 2014-2016, au moins 8 nouvelles lignes de production viendront renforcer cette capacité.
CERIC est fière de rappeler sa présence en continu sur le sol algérien, au côté de ses clients, depuis 43 ans. Elle n’a jamais tourné le dos au pays, même pendant les années les plus difficiles qu’il a enduré pendant la décennie 1990. La solidarité et la fidélité que lui reconnaissent ses clients historiques sont placées au rang des valeurs et principes que défend et promeut l’entreprise depuis sa création par les ingénieurs Michel RASSE et Jean MERIENNE à la fin des années 1950.
Dépositaire des marques les plus prestigieuses de cette filière industrielle, notamment la marque PELERIN – réputée pour la robustesse et la maintenabilité de ses machines– CERIC associe très étroitement l’Algérie à sa nouvelle stratégie tant au plan industriel que des services.
« Proximité, qualité et juste prix » sont les maîtres-mots de sa volonté de placer ses clients au cœur de ses activités de production et programmes de développement, depuis la R&D en amont jusqu’aux services à valeur ajoutée en aval. Ainsi, par le biais de cette filiale, CERIC compte associer étroitement les acteurs algériens du secteur de la construction à l’écriture d’une nouvelle page de l’histoire de l’industrie des produits rouges. En même temps, elle entend rendre hommage à tous les clients qui lui ont permis de conforter sa position de N°1 et son leadership. Grâce à eux, elle a pu anticiper les besoins du marché et améliorer ses processus d’innovation en les ancrant dans les réalités du terrain, notamment la diversité de la matière première, l’argile.
CERIC inscrit son positionnement et sa démarche en Algérie dans la nouvelle dynamique de refondation des liens économiques et stratégiques entre la France et l’Algérie. Elle figure sur la liste des PME qui bénéficient de la considération et du soutien des autorités des deux pays.
A l’avenir, CERIC met à la disposition de ses clients présents et à venir une palette très complète de services en Algérie, tous facturables en DA :

  • Vente de pièces détachées et de pièces d’usures,
  • Maintenance préventive et maintenance curative,
  • Réparation et remplacement de matériels,
  • Audit technique et diagnostic d’installations,
  • Conseils : extension de capacité, augmentation de la performance, amélioration de la qualité, économie d’énergie, sécurité des biens et des personnes, protection de l’environnement, etc,
  • Aide à l’exploitation et assistance à la continuité de service,
  • Formation et développement des compétences, …

Très prochainement, CERIC lancera la fabrication locale des parties métalliques qui jusqu’alors demeuraient à la charge des clients, notamment les composants nécessaires à la réalisation des châssis de wagons, des balancelles, etc.
Cette production leur apportera une garantie de conformité par rapport aux spécifications techniques de CERIC et en découlera un confort supplémentaire dans l’exercice de leur métier d’exploitants. Progressivement, cette offre sera déployée à partir de l’Algérie dans toute la grande région Euro-méditerranéenne, Africaine et Moyen-orientale. De cette façon, CERIC apportera une contribution significative à la création de nombreux emplois directs et indirects en Algérie et renforcera la capacité d’exportation nationale vers les marchés de proximité.
CERIC Technologies El Djazaïr
Lotissement Cidek – Pavillon 43
DZ Dely Ibrahim
Tél +213 21 33 59 69
Fax +213 21 33 50 48

Source CERIC Technologies

CERIC augmente ses capitaux propres de 7,6 M€

CERIC, spécialiste français de l’ingénierie des matériaux de construction en Terre Cuite, a augmenté ses capitaux propres de 7,6 M€ en juin 2015, par émission d’actions et conversion d’obligations convertibles souscrites par Pléiade Investissement et Sopromec.
Cette opération permet à CERIC de poursuivre son développement commercial au grand export, ses investissements en R&D et innovation produits, et de prendre l’initiative en termes de partenariats et de croissance externe dans ses métiers.
Patrick Hébrard, jusqu’ici Président, prendra la présidence du Comité de Surveillance mi-juillet, et à ce titre demeurera très présent, notamment dans les relations avec les grands clients.
Jean-Jacques Wagner, via sa société Indalo International jusqu’ici Directeur Général, devient Président de CERIC.
Source CERIC TECHNOLOGIES

14/07/2015

WIENERBERGER - Le Metz’In : une architecture de terre et de lumière

Implanté dans une zone verte, le Metz’in, restaurant universitaire du Technopôle de Metz, semble surgir de cet environnement naturel. Il peut accueillir près de 500 convives et affiche une capacité de 1.200 repas par jour. Situé à l’épicentre de trois écoles d’ingénieurs (ENIM, ENSAM et IPEFAM), le Metz’In a fait l’objet d’une conception architecturale particulièrement soignée. Son concepteur, le cabinet KL Architectes basé à Metz depuis 20 ans, s’attache toujours dans ses projets à rendre constructions et paysages indissociables. Nouvelle brillante démonstration.
Afin de conjuguer approche futuriste et intégration paysagère, KL Architectes a misé pour le Metz’In, sur des matériaux simples et s’est joué de la lumière à l’aide des brises soleil en terre cuite Argeton. La philosophie d’association parfaite entre construction et paysage s’avère encore parfaitement cristallisée pour cette réalisation, dont Benoît Corneux, l’un des 10 architectes du cabinet, nous confirme les piliers de cette réalisation : « Conscients d’avoir affaire à un public d’ingénieurs, très sensibles à l’identité architecturale et, comme toujours, soucieux d’intégration paysagère, nous avons conçu cet édifice - qui intègre les normes HQE et BBC - comme un soulèvement de la plaine environnante. Avec une façade naissant du sol et une association de matériaux simples et naturels : ossature bois, toit végétalisé et terre cuite. La toiture apporte de l’inertie et favorise la rétention des eaux de pluie. Le calepinage des brises soleil Barro® en terre cuite Argeton joue un rôle essentiel. Cette “double peau” dont la partie inférieure est mobile permet en effet de jouer avec la lumière, selon les moments de la journée et les saisons. Elle fait office de brise soleil et optimise la luminosité de la salle de restauration, tout en sauvegardant la vue sur l’espace environnant. Le choix de la terre cuite est également pour nous gage de durabilité. Quant au “rouge naturel” des brises soleil Barro®, il s’harmonise avec la verdure environnante. »
La mise en œuvre a été en grande partie suivie et assurée par le groupe Salmon, spécialiste du bardage. Pour le directeur du service bardage, Thierry Groos, cette réalisation fait référence : « Nous avons beaucoup travaillé sur ce projet qui a nécessité plus de 6 mois d'études internes. Le calepinage des Barro® en terre cuite Argeton est l’un des apports majeurs de cette réalisation, tant sur le plan esthétique que technique. Produit de haute qualité, pérenne, il constitue une bonne protection contre les aléas climatiques, mais aussi les chocs ou les dégradations puisque chaque élément peut être remplacé individuellement. »
• Type de projet : Restaurant Universitaire à Metz (57) en construction neuve
• Architecte : KL Architectes
• Maître d’ouvrage : Crous
• Mise en œuvre de la façade : Groupe Salmon
• Produits : Brises soleil Barro®

Source Schilling communication

13/07/2015

TERREAL: Une nouvelle brique à haute performance

Terreal vient de mettre au point une nouvelle brique de structure. Son atout est d’accroître un peu plus les performances thermiques venant pleinement répondre aux exigences de la RT 2012. Pour cela, elle dispose d’une maçonnerie à l’isolation renforcée.
La brique isolante pour plus d’efficacité énergétique
La brique poursuit ses innovations, venant accroître ses performances. Ainsi, Terreal propose depuis mars 2015 un nouveau matériau, Neobric. Celui-ci est une brique de structure disposant de perforations horizontales. Sa particularité est d’offrir une isolation renforcée, avec une résistance thermique R=1 m².K/W. Elle vient répondre aux exigences de la réglementation thermique.
Sa pose, elle, se réalise au mortier traditionnel d’une épaisseur de 5 mm entre chaque brique, comme tout autre élément de maçonnerie. D’ailleurs, Neobric de Terreal peut également être associé à d’autres matériaux de construction traditionnels. Une possibilité offerte par ses dimensions, identiques aux autres produits. Ainsi, cette brique présente une hauteur de 28 cm pour une épaisseur de 20 cm. Elle peut aussi être mise en oeuvre dans les zones sismiques.
Un temps de pose réduit
Cette nouvelle brique peut aussi s’associer à un autre produit de la gamme Terreal, les angles monolithes. Ce choix permet alors un gain de temps important lors de la pose, tout en garantissant la performance de l’ensemble, sans manipulations complémentaires.
Cette solution est parfaitement adaptée pour la construction des logements individuels ou des maisons en bande, en multipliant les avantages que ce soit au niveau des performances comme de la rapidité de mise en oeuvre. Un gain de temps important à prendre aussi en compte dans la réalisation du chantier et dans son coût final.

Source ETI

12/07/2015

UNE RÉSIDENCE D'ARTISTE À LA TUILERIE MONIER DE MARSEILLE

Une "résidence d'artiste" au sein de la Tuilerie Monier de Marseille : un partenariat abouti.
Depuis le début de l’année 2014, l’artiste Arnaud Vasseux est en résidence au coeur des Tuileries Monier de Marseille - implantées dans le quartier de l’Estaque depuis plus d’un siècle - pour travailler sur un projet culturel inédit.
Un projet unique
Au sein même de l’unité de production de la tuilerie, Arnaud Vasseux, qui utilise des matériaux empruntés au secteur du bâtiment ou de l’industrie depuis plusieurs années, monte un projet artistique original. Ce projet s’articule autour de 3 axes : une résidence d’artiste, la réalisation de l’oeuvre Les Témoins, la publication d’un livret et de plusieurs évènements : présentation et vernissage de l’oeuvre, ateliers découvertes, visites publiques. Les motivations de l’artiste sont multiples : observer, comprendre et développer un échange vivant avec les salariés, mais aussi trouver l’inspiration grâce au contact avec les ouvriers et à la compréhension de leur savoir-faire et de l’histoire de leur métier.

Source Monier

10/07/2015

WIENERBERGER - Engagement en faveur de la biodiversité - Constitution d’un réseau de 360 arbres biologiques

Le Groupe WIENERBERGER, spécialisé dans la fabrication de briques et de tuiles en terre cuite, est un groupe reconnu en Alsace avec 3 implantations industrielles, deux briqueteries à Achenheim et Betschdorf ainsi qu’une tuilerie à Seltz.

La tuilerie de Seltz, dont la création remonte en 1895, est alimentée en argiles, en grande partie par la carrière de Kesseldorf, dont la première exploitation date de 1927. Les caractéristiques uniques de cette argile, présente dans le gisement sous 3 qualités différentes mais complémentaires, sont indispensables pour pouvoir garantir la qualité des produits fabriqués au sein de la tuilerie.
Cette carrière se situe dans le massif forestier de Haguenau, en zone Natura 2000 sur des terrains appartenant aux Hôpitaux Universitaires de Strasbourg et gérés par l’Office National des Forêts (ONF), gestionnaire des forêts publiques de l’Etat et des Collectivités Territoriales. L’ONF assure à ce titre la gestion durable des forêts et des milieux naturels associés dont il a la charge et s’implique dans la protection et la conservation d’espèces et de biotopes d’intérêt particulier.
Wienerberger soucieux de l’environnement, porte une attention constante aux ressources naturelles et aux valeurs du développement durable. L’objectif permanent est de créer des valeurs durables avec des produits naturels respectueux de l’environnement. Ainsi, l’exploitation de toute carrière, dont celle de Kesseldorf, s’accompagne-t-elle toujours d’un programme de réaménagement des terrains une fois l’argile extraite, conciliant d’une part respect et mise en valeur de la biodiversité, et d’autre part cohérence avec les attentes et objectifs des différentes parties intéressées. L’expérience acquise au sein de la carrière de Kesseldorf sera sans nul doute très bénéfique pour les autres sites du groupe et même pour l’image de la profession.
Pour preuve, les travEngagement en faveur de la biodiversité - Constitution d’un réseau de 360 arbres biologiques aux de remise en état opérés depuis plus de 25 ans sur le site de Kesseldorf, en concertation étroite avec l’ONF, connaissent un succès remarquable au travers du développement d’un cadre paysager exceptionnel abritant de nombreuses espèces animales et végétales, rares voire menacées. Les très bons résultats obtenus sont par ailleurs confirmés par l’ensemble des suivis écologiques mené au sein de la carrière. Il faut en effet savoir que la carrière est, depuis 2012, ouverte aux associations naturalistes (LPO, GEPMA et BUFO) qui peuvent ainsi suivre l’évolution des populations de différentes espèces (oiseaux, batraciens, chauve-souris...).
Par ailleurs, la réhabilitation de la carrière de Kesseldorf repose également sur des engagements forts pris en 2012 par la société WIENERBERGER, afin de valoriser et renforcer la biodiversité au sein de ce site. Ces engagements se sont traduits par la proposition de mesures environnementales exceptionnelles, acceptées par les instances administratives et reprises dans les arrêtés autorisant l’exploitation de la carrière.
La société WIENERBERGER a tenu tous ses engagements, puisque toutes ces mesures environnementales ont été mises en place. Parmi ces mesures, peuvent notamment être cités :

  • la pose de 100 nichoirs pour les chauves-souris,
  • l’aménagement de mares, notamment pour les batraciens,
  • l’instauration de 45 ha d’îlots de vieillissement au sein de la forêt, inscrits dans le dernier plan d’aménagement forestier,

la création d’un réseau de 360 arbres biologiques au sein de cet îlot .
La création de ce réseau d’arbres biologiques a pu être menée à son terme grâce à l’ONF, dans le cadre de sa convention de partenariat avec WIENERBERGER. Cette mesure forte est destinée à compenser les incidences environnementales résultant de l’extension de la carrière. Elle permettra en particulier de soutenir les habitats biologiques de nombreuses espèces inféodées aux vieilles futaies.
Un arbre biologique est un arbre conservé jusqu’à son stade ultime de décomposition pour ses caractéristiques particulières en faveur de la biodiversité.
Afin d’inscrire cette démarche environnementale dans le temps, le marquage du premier arbre de ce nouveau réseau sera inauguré par la pose d’une plaque d’identification, en présence des représentants de l’ONF et de la société WIENERBERGER.

Source Schilling communication

09/07/2015

TECAUMA installera 5 nouveaux paquettiseurs en Algérie en 2015

Depuis 2006, le dépileur paquettiseur de briques de TECAUMA rencontre un très fort succès en Algérie.
De 2006 à 2010, TECAUMA a réalisé ses premiers dépileurs paquettiseurs : en tout sept paquettiseurs ont été mis en service au sein de briqueteries algériennes.
Fort de ces expériences, TECAUMA a mis au point un paquettiseur standard réellement abouti, qui peut être adapté selon les contraintes de ses clients.
Depuis 2011, sept paquettiseurs standard TECAUMA ont déjà été mis en route en Algérie : dans la région de Batna, au sein des briqueteries Protimgad (3 paquettiseurs) et Mansouri (2 paquettiseurs) ; dans la région d'Annaba, chez Taghaste ; et dans la région de Tizi Ouzou, chez Belhoul.
Deux autres paquettiseurs sont en cours d'installation à Oran, chez Cebrik et Fapro.
Et trois paquettiseurs sont en cours de réalisation pour une livraison au deuxième semestre 2015 : à Alger, chez Brituiles et chez Baraki, et à Batna, chez Mansouri, qui équipe son usine d'un troisième paquettiseur TECAUMA.
Le succès du paquettiseur de TECAUMA et de ses équipements de manutention en général s'explique par la forte crédibilité de TECAUMA dans le métier de la manutention, avec des solutions simples et robustes, et la confiance acquise avec ses partenaires algériens depuis de nombreuses années.

Source Tecauma

08/07/2015

ALGERIE - CERIC - Briqueterie CEBRIK : Mise en route et mise au point en un temps record

La briqueterie CEBRIK d’une capacité de 200 000 t/an, a vu sa première brique cuite sortir du four un an jour pour jour après le début du chantier.

Cette usine, équipée de deux fours CASING et d’un séchoir rapide, bénéficie des dernières innovations de l’excavateur en fosse type PELERIN® 23 FG11 P16 d’une portée de 16 m et d’un débit horaire de 130 m3/h.
Depuis plus de cinq décennies, CERIC a su se démarquer par ses innovations continues mais aussi par sa capacité à réaliser des installations de très gros tonnages. Ce sont ces caractéristiques qui permettent à CERIC de réaliser des chantiers de toutes tailles et ce en des temps record.

Source Ceric Technologies

FFTB : Pierre Jonnard succède à Hervé Gastinel

Pierre Jonnard a été élu Président de la Fédération Française des Tuiles & Briques (FFTB), qui réunit l’ensemble des acteurs de la filière Terre Cuite.

Président d’Imerys Terre Cuite depuis 2013, Pierre Jonnard a déjà présidé la FFTB de 2008 à 2011. Il vient d’être réélu suite au poste laissé vacant par Hervé Gastinel, évincé de la présidence de Terreal.
Agé de 59 ans, il est diplômé des Arts et Métiers et d’un MBA ISA-HEC. Il commence sa carrière dans le groupe de Charles Frères en 1982 puis rejoint en 1988 la société Eurocasing. En 1990, il est nommé Directeur Général de la société CMR, groupe Matériaux service.
Depuis 1993, date à laquelle il intègre le groupe Imerys, il a été successivement Directeur Général de la filiale Kiln Furniture, puis Directeur Général de la filiale Tiles Minerals en 2000. En janvier 2005, il devient Directeur Général d’Imerys Terre Cuite dont le siège est situé à Limonest (69) et c’est en janvier 2013 qu’il prend la présidence de cette entité, avec notamment la marque Imerys Toiture.
« Je veux être porteur d’un projet ambitieux pour la filière Terre Cuite, confie Pierre Jonnard. Bien que modeste par sa taille, elle est et doit rester une filière agile et innovante, travaillant chaque jour pour être un grand nom de la construction durable.
Une filière exemplaire d'économie circulaire
L’action de la Fédération Française des Tuiles et Briques doit valoriser la filière Terre Cuite comme exemplaire des vertus d’un fonctionnement en circuit court, avec des approvisionnements locaux en matières premières naturelles, des sites de production inscrits dans les territoires et proches des consommateurs, et enfin créatrice d’emplois directs et induits non délocalisables.
La FFTB soutient les efforts de ses acteurs, poursuit son nouveau président, pour s’inscrire dans un modèle d’économie circulaire par l’intégration, entre autres, des principes d’éco conception de ses produits, l’optimisation des conditions et moyens de leur mise en œuvre, la recherche de solutions de réemploie et recyclage pour les produits en fin de vie, en s’appuyant sur la durabilité naturelle des produits terre cuite.
Elle doit enfin promouvoir les qualités techniques déjà reconnues des produits terre cuite et leur potentiel esthétique, y compris dans les tendances créatives et technologiques les plus contemporaines, car ils répondent aux nouveaux usages et besoins induits par les enjeux énergétiques, climatiques et d’aménagement durable du territoire, tant pour les marchés de construction neuve que de rénovation. »
A propos de la filière terre cuite
La filière terre cuite regroupe, au sein de la Fédération Française des Tuiles et Briques (FFTB), les fabricants de tuiles, briques et autres produits de terre cuite : 90 sociétés (grands groupes industriels, entreprises nationales et régionales), 140 usines et plus de 5000 salariés. Créée, il y a près de 70 ans, elle est particulièrement dynamique et innovante, tant dans la qualité et quantité de nouveaux produits lancés chaque année qu’en matière de recherche, de social, d’environnement et d’information

Source : batirama.com

07/07/2015

Terreal lance sa nouvelle tuile Flamande PV

Terreal, le spécialiste de l’enveloppe globale du bâtiment, enrichit sa gamme de tuiles Grand Moule du Nord avec le lancement de sa nouvelle Flamande PV. Facile à poser sur tous les types de charpentes, elle allie parfaitement la performance d’une tuile moderne à l’élégance d’une vieille panne de tradition pour des toitures fidèles à l’architecture des pays de Flandres.Unique sur le marché grâce à son profil en S typique des vieilles pannes flamandes et son nez en finesse, cette tuile habille tous les types de toitures en leur apportant élégance, esthétisme et authenticité.
Son effet d’onde joue avec les lumières et ses 4 coloris redonnent une âme aux bâtis. Seule tuile panne à pureau variable, avec 25.5 cm, la nouvelle Flamande PV est également la première tuile du marché de type Flamande à disposer de deux trous de clouage pour faciliter le traitement des points singuliers. Fiable avec son double emboîtement, son double recouvrement et ses canaux d’écoulement spécialement étudiés, elle est ainsi étanche même à faible pente (jusqu’à 30 %). Spécialement adaptée à la variété des climats du Nord et de la Belgique, la Flamande PV s’accompagne également d’une large gamme d’accessoires de faîtage et d’arêtiers communs.
Source Bati-journal

06/07/2015

Ce robot poseur de briques peut construire une maison en 2 jours

Les maçons devront-ils également se battre comme les chauffeurs de taxi ? Un ingénieur australien a développé un robot poseur de brique qui peut poser 1000 briques par jour, travailler 24/7 et construire l’armature d’une maison en 2 jours. Faites mieux humains !
FastBrick Robotics a déclaré que son robot appelé Hadrian possède une précision de 0,5 millimètre sur une grande zone et il peut construire 150 maisons par an. Ce robot est placé sur une sorte de structure en forme de mat pour construire selon un plan qui a été programmé dans son système. Selon PerthNow, on crée la structure de la maison avec un programme CAD (Conception assistée par ordinateur), ensuite on calcule la localisation de chaque brique et on crée un programme qui va couper et poser les briques à partir d’un point de départ fixe. On donne du mortier ou de l’adhésif au robot pour fixer les briques. En fait, on pourrait comparer ce robot à une impression en 3D grandeur nature avec l’imprimante qui ferait la taille d’une grue de chantier.
L’inventeur de ce robot, Mark Pivac, a déclaré que les gens posent des briques depuis 6 000 ans et depuis la révolution industrielle, ils ont tenté d’automatiser la pose de briques. Cet ingénieur en aéronautique et mécanique a déclaré que l’idée de ce robot lui est venue pendant une crise sur la pose de brique qui s’est produite dans la région de Perth en Australie en 2005. Ce robot géant utilise un système de guidage au laser et on peut l’alimenter par un générateur électrique ou une source d’énergie provenant du chantier.
Son nom vient d’Hadrian qui était les anciens murs de défense de l’Empire romain. FastBrick Robotics estime que la rapidité de la construction offre une grande flexibilité dans la gestion du temps tout en proposant une bonne économie dans les couts de construction. Mais ce robot n’est pas totalement autonome puisqu’il nécessite toujours des opérateurs.
Ce robot peut aussi construire des murs antibruits des autoroutes, des logements en hauteur et d’autres possibilités commerciales. Hadrian a déjà reçu un investissement de Cygnet Capital Group et son développeur estime que ce robot sera opérationnel dans l’ouest de l’Australie dans un premier temps avant d’être déployé dans le reste du pays.
Source Housseniawriting par Houssen Moshinaly

05/07/2015

La souffrance des enfants des briqueteries cambodgiennes

Ils ont cinq ans, 11 ans, ou 14 ans et s’échinent dans des briqueteries des heures durant. Cette industrie est l’une de celles qui emploient le plus d’enfants. La Licadho, une association cambodgienne de défense des droits de l’homme, a interviewé cinq de ces enfants à l’occasion de la journée mondiale contre le travail des enfants, ce 12 juin.
Employés dans des briqueties des provinces de Tbong Khmum et de Kandal, ces enfants sont issus de familles pauvres, souvent endettées depuis des années. Déscolarisés, ou en passe de l’être, ils n’ont d’autres choix que de trimer ici pour des salaires de misère.
Agé de 37 ans une mère explique :« J’ai commencé à travailler dans une briqueterie il y a plus de 20 ans. J’ai dû emprunté de l’argent au propriétaire de l’usine pour payer les soins médicaux de mes enfants et les dépenses de chaque jour. J’y suis resté 18 ans. » Quand elle a quitté cette briqueterie pour une autre, elle devait 1200 dollars. Elle n’a eu d’autre choix que d’emprunter la somme au nouveau propriétaire pour rembourser le précédent, qui dit-elle, démultipliait les interêts à sa guise.
Ici, on lui a promis que le prêt ne serait pas revu à la hausse mais elle devra rester dans l’usine durant trois ans. Elle n’a aucun contrat, gagne 12,5 dollars par jour dont 7,5 dollars servent à couvrir les dépenses de la famille. Le propriétaire règle les facture d’électricité, du logement et de l’eau. Mais elle ne s’en plaint pas. Elle apprécie au contraire sa gentillesse : « Quand l’un de nous est malade, ils nous emmène à l’hôpital, même si c’est la nuit. » Ses enfants l’aident après l’école à transporter les briques et à charger les camions. « Je sais que la loi interdit aux enfants de moins de 18 ans de travailler. Mais j’ai besoin qu’ils m’aident pour aller plus vite et faire assez de briques pour satisfaire les quotas journaliers. »
« Je travaille ici depuis que j’ai 5 ans, explique Oudom aujourd’hui âgé de 11 ans. Le plus dur c’est de se lever à 3h du matin pour extraire l’argile, avant qu’il ne fasse trop chaud ». Ces enfants font tout ce qu’y il a faire dans l’usine. Ils creusent la terre pour en extraire l’argile, transportent les briques dans des charrettes à bras, les séchent au soleil et chargent les camions. Et quand la briqueterie est équipée de machines, ils les alimentent aussi en argile, une opération particulièrement dangereuse.
Comme la plupart des enfants interviewés, Oudom a quitté l’école très jeune. Mais il dit qu’il aimerait tout de même apprendre à lire et à écrire. Tous se plaignent des conditions de travail très dures, se sentent piéger, et disent vouloir quitter les usines pour exercer d’autres métiers.
Srey Mom, elle, est toujours scolarisée. Agée de 14 ans, elle travaille déjà depuis trois ans à la fabrique quelques heures par jour. Pour aider sa mère à transporter les briques ou à alimenter la machine. Elle a de bons résultats scolaires et voudrait devenir professeur de littérature. « Mais si m’a mère me demande d’arrêter l’école, je devrais le faire». Non, personne dans son école ne lui jamais parlé de l’interdiction du travail des enfants.

Source Cambodge Post

04/07/2015

ALGERIE: histoire du lac de la briqueterie de Béjaïa

Situé au Centre-ville sur une superficie de 2, 5 hectares, le lac Mézaia est une zone humide abandonnée mais qui gagnerait à être entretenue. 35 espèces animales y sont à découvrir lors de votre promenade sur les lieux.
Pour l’anecdote, le lac doit son existence à une gisement d’argile qui alimentait une briqueterie. Un jour, en creusant trop profond, les nappes phréatiques sont remontées et depuis ce jour, le lac a pris sa forme finale.

Source Vinyculture

03/07/2015

Matériaux de construction : stabilisation de la demande à un niveau bas

L'Unicem annonce que les livraisons de béton prêt à l'emploi et de granulats ont cessé de reculer et se sont stabilisées à un niveau "historiquement faible". Faute de redémarrage dans la construction et dans la commande publique d'infrastructures, l'activité ne connaîtra pas de reprise, analysent les industriels. Détails.

Comme au mois d'avril 2015 les résultats des industries de carrières et matériaux de construction ont stoppé leur recul. L'activité des granulats s'est même légèrement redressée (+1 %) mais elle reste très basse (-7,4 % sur un an). "Sur les trois derniers mois, de mars à mai, le repli par rapport aux trois mois précédents demeure sensible (-4,5 %)", précise l'Unicem. Pour le béton prêt à l'emploi (BPE) les livraisons ont également faiblement progressé (+1 %) entre avril et mai 2015, "mais elles sont encore près de 6 % en-deçà des niveaux de mai 2014", font valoir les industriels. Là encore, sur les trois derniers mois, le repli atteint les -4,2 % en glissement trimestriel. La tendance reste donc très négative par rapport à 2014.
Situation problématique dans le logement collectif et les TP
"Selon les premières estimations (…) l'indicateur du marché des matériaux se stabilise pour sa part sur un rythme baissier proche de -11 %. L'analyse par type de matériaux confirme par ailleurs que la conjoncture apparaît encore plus dégradée dans le segment des travaux publics que dans celui du bâtiment", détaille la lettre mensuelle de l'Unicem. Les chiffres relatifs à la commercialisation de logements neufs ont enregistré un certain rebond à la fin de 2014 et au début de 2015, mais les demandes de permis de construire et les mises en chantier ne suivraient pas cette tendance. "En effet, à fin avril, les autorisations demeuraient en recul de -1,9 % au cours des trois derniers mois par rapport aux trois mois précédents", cite le document, qui souligne toutefois que les permis de construire pour les logements individuels affichent une hausse de +2,8 %, contrairement au collectif (-5,2 %). A la fin du mois d'avril, le nombre de chantiers commencés était en recul (-2,6 %) par rapport au trimestre précédent. En cumul, sur douze mois, ce sont 347.900 mises en chantier qui ont été recensées (-7,5 %). "Et il ne faut pas compter sur le segment du non résidentiel pour infléchir le marasme dans le secteur du bâtiment ! ", estiment les industriels. Les surfaces de locaux mises en chantier chutent (-18 % sur un an).
Dans les TP, la situation reste également problématique. "Sur les quatre premiers mois de l'année, les travaux réalisés baissent de -8,4 % sur un an, tandis que les marchés conclus plongent de -13,5 %", explique l'Unicem. "En avril, le volume cumulé des travaux routiers se situait 18 % en dessous des niveaux des quatre premiers mois de 2014", ajoute l'Union qui s'impatiente de voir des signaux concrets de relance. "En effet, sans un soutien massif et rapide des projets, la reprise de l'activité dans les travaux publics apparaît compromise", concluent les industriels des matériaux de construction qui pointent du doigt l'érosion des moyens d'autofinancement des collectivités locales et le manque de lisibilité de la réforme territoriale. De ce fait, ils anticipent une nouvelle contraction des dépenses d'investissement en 2015, de l'ordre de -4 Mrds € en 2015.

Source Batiactu

02/07/2015

CERIC TECHNOLOGIES: Cellule de séchage mobile dernière génération

CERIC TECHNOLOGIES met au service des industriels de la Terre Cuite une cellule d’essai de séchage mobile dernière génération
CERIC développe son leadership en termes de maîtrise des procédés en se dotant d’une capacité de reproduire toutes les conditions de séchage des séchoirs industriels et faire des essais sur l’ensemble des produits Terre Cuite.
Ces essais directement sur site de production permettent à CERIC de sécuriser pour chaque projet les solutions de séchage les plus performantes.
CERIC propose également des prestations pour accompagner les industriels dans le cadre de développement de nouveaux produits, formulation de matières premières ou amélioration continue des performances.

Source CERIC Technologies Facebook

01/07/2015

Le bâtiment se porte mieux !

D’après l’Insee et les chefs d’entreprise interrogés à l’occasion de l’enquête mensuelle de conjoncture dans l’industrie du bâtiment, le climat des affaires s’est amélioré en juin 2015.

En effet, l’indicateur qui le synthétise a progressé de deux points. A 91, il reste en dessous de sa moyenne de long terme (100), mais l’indicateur de retournement passe en zone favorable. Par ailleurs, toujours pour le mois de juin, les entrepreneurs sont moins nombreux qu’en mai à anticiper une baisse de leur activité pour les trois prochains mois.
Enfin, pour cette période, ils sont également moins nombreux qu’en mai à signaler une diminution de leurs effectifs passés ou à venir. Les soldes d’opinion correspondants restent cependant très inférieurs à leur moyenne long terme.

Source Construction Cayola