Pages

03/03/2015

Foulayronnes (47) - L'AFPA visite l'entreprise Monier, expert de la toiture

L'ensemble des participants des formations maintenance industrielle, accompagnés du formateur de l'AFPA (Association pour la formation professionnelle des adultes) de Foulayronnes, ont visité l'entreprise Monier, située à Aiguillon (47). Expert de la toiture, Monier France propose une offre large de solutions de toitures pour répondre à tous les besoins des clients sur les marchés du neuf et de la rénovation.
L'entreprise Monier d'Aiguillon, tuilerie «Minéral», d'un effectif de quarante-quatre personnes et produisant plus de treize millions de tuiles par an, a organisé la visite de leur ligne principale de production. Le groupe a été accueilli par Daniel Coutinho, directeur du site, pour une présentation générale de l'entreprise ainsi que les consignes de sécurité à respecter.
Le responsable maintenance, Joseph Falchetto, a ensuite conduit la visite, pour présenter la fabrication des tuiles «Minéral» en partant de la préparation des matières premières, l'extrusion des tuiles, le revêtement de surface, le séchage jusqu'à la palettisation robotisée.
Les visiteurs ont également visualisé lors du parcours les nombreuses armoires électriques et leurs automates ainsi que l'atelier de maintenance.
«Cette visite très instructive et représentative des environnements industriels est un geste très important. Il participe à l'accompagnement technique des nouveaux venus dans le métier de la maintenance industrielle», conclut le formateur de l'AFPA Jean-Paul Matamoros.

Source La Dépêche

Il a été construit plus de logements que l'on croyait

Tous les mois, le SOeS, service statistique du ministère en charge du logement, publie les chiffres de la construction de logements neufs : le nombre de logements autorisés et le nombre de logements mis en chantier. Ces données constituent de véritables indicateurs de l'activité du bâtiment.
Jusqu'à présent, les chiffres communiqués étaient recensés auprès des services chargés d'instruire les demandes de permis de construire. Ils étaient donc publiés avec un certain délai et soumis à divers aléas de collecte. Désormais, les chiffres communiqués sont calculés à l'aide d'un modèle statistique pour donner une information en temps réel et des résultats plus fidèles à la réalité du terrain. Appliqués aux données disponibles depuis janvier 2000, les nouveaux indicateurs sont rétroactifs. Ils permettent donc d'ajuster les chiffres antérieurs à 2015 et de suivre leurs tendances.
Autorisations de construire : des tendances identiques décelées plus tôt
La nouvelle courbe des autorisations reste proche de sa version antérieure. Les tendances observées sont similaires mais décrites plus tôt. La crise de 2009 apparaît plus marquée ; en revanche, le rebond de 2012 est de moindre ampleur. En 2014, le nombre d'autorisations reste identique.
Mises en chantier : des chiffres revus à la hausse à partir de 2007
Les niveaux sont revus à la hausse à partir de 2007. En 2014, 356 000 logements ont été mis en chantier, soit une majoration de 58 000 logements par rapport aux résultats de la précédente méthode. La reprise des mises en chantier après la crise de 2008-2009 est plus rapide. Le point haut est atteint mi-2011 au lieu de début 2012 et la baisse entre 2011 et fin 2013 est moins prononcée. En revanche, la baisse du nombre de mises en chantier entre 2013 et 2014 est à peine plus marquée (de -10,3 % à -11,3 %).
Même si ces chiffres sont meilleurs qu'espéré, la baisse des mises en chantier suit la même pente avec les deux méthodes de calcul. Elle montre bien la régression de la construction depuis 2012.

Source Batijournal

02/03/2015

Imerys a rénové la toiture de la Cense Abbatiale de Mons-en-Pevèle

Dans le cadre d'un projet de mécénat, Imerys toiture a participé à la rénovation de la toiture de la Cense Abbatiale de Mons-en-Pevèle, près de Lille, datant du XIVe siècle.

Imerys Toiture s'engage, via sa fondation "Terre, Nature et Solidarité" à préserver des lieux de mémoire et des monuments liés au patrimoine.
Dans ce cadre, le spécialiste des tuiles en terre cuite a participé à la restauration de la Cense Abbatiale de Mons-en-Pevèle, près de Lille datant du XIVe siècle. Pour cette opération, 125 m2 de tuiles Monopole N°1 ont été utilisées et deux semaines de chantier ont été nécessaires. "À travers ce chantier, Imerys Toiture souhaite sauvegarder le patrimoine culturel régional de cette commune de 2.000 habitants tout en mobilisant et en fédérant les acteurs régionaux autour d’un même projet. Les tuiles Monopole N°1 utilisées pour la rénovation de la toiture sont issues de l’usine locale de Wardrecques qui emploie plus de 40 personnes... ", précise Imerys.
Depuis cet automne, le bâtiment abbatial revit abritant également un musée communal appelé "La salle des batailles" retraçant la bataille du 18 août 1944 où soldats français et flamands se sont affrontés en ce lieu.

Source Batiactu

Imerys: se tasse après ses comptes annuels.

Imerys a terminé son exercice 2014 sur un résultat net part du groupe en hausse de 12,2% à 271,6 millions d'euros (4,15 euros par action). A données courantes, la hausse est ramenée à 4%. Soulignant le retour de la croissance organique des ventes après une contraction de 1,3% en 2013, la direction se montre relativement optimiste quant à l'exercice 2015.
Le dividende proposé à la prochaine AG sera relevé de 3,1% à 1,65 euro.
Sur la période, les ventes courantes se sont tassées de 0,3% à 3,7 milliards d'euros. A périmètre et changes constants, une hausse de 3,2% est cependant constatée. Elle était de 4,4% au premier semestre.
Le résultat opérationnel courant a augmenté de 3,7% à 494,6 millions d'euros, soit une marge de 13,4% en hausse de 0,5 point de pourcentage.
PDG du groupe, Gilles Michel a estimé qu''Imerys a retrouvé une croissance organique positive en 2014, amélioré sa rentabilité dans toutes ses branches d'activité, et atteint son objectif de progression du résultat courant net.
En guise de perspectives, Gilles Michel a déclaré : 'nous poursuivrons avec confiance notre développement en 2015, en adaptant, avec réactivité, notre dispositif industriel à la demande et en saisissant les opportunités offertes par l'évolution de l'environnement mondial. En intégrant prochainement S&B, dont les résultats 2014 ont été solides, Imerys affirme sa volonté de continuer à renforcer son potentiel de croissance'.
'En 2015, le groupe s'attachera à rester très réactif et saura adapter son dispositif industriel, sa structure de coûts et son offre de produits sur les marchés qui évolueraient défavorablement, mais aussi pour saisir les opportunités que pourraient présenter les variations des devises et la baisse des prix de certains facteurs de production. La dynamique des projets d'innovation et des nouveaux développements d'Imerys va se poursuivre, alors que la contribution des proppants sera moindre', indique la direction.
Chez Aurel BGC, on estime ces résultats en ligne avec les attentes et 'solides', en ajoutant : 'certes, le groupe aura à faire face à la baisse du marché des proppants en 2015, mais le CA généré par cette activité est inférieur à 3% du consolidé'. En dépit des incertitudes macroéconomiques, les analystes soulignent aussi la 'confiance du management dans l'avenir'.
'Le marché pourrait donc de nouveau s'intéresser à la valeur, alors que le titre Imerys a vécu une traversée du désert en 2014 (-3,5%) après un épisode de re-rating en 2013 (+31%)', pronostiquent encore les spécialistes, tout en se montrant prudents à court terme, notamment pour des raisons de valorisation. Leur conseil de 'conserver' la valeur et la cible de 60 euros sont donc confirmés à ce stade.

Source L'Express votre argent

01/03/2015

CERIC, 50 ans d’expérience et de savoir-faire au service des industriels de la terre cuite et des céramiques techniques.

Créé en 1960 par Michel Rasse et Jean Mérienne, ingénieurs spécialisés issus du Centre Technique des Tuiles et Briques, CERIC (Centre d’Etudes et de Réalisations Industrielles et Commerciales) a été fondé pour la réalisation d’équipements et le développement de technologies dans le domaine des matériaux de construction en terre cuite, et pour la conception de nouvelles unités de production. CERIC a été, et est toujours un acteur essentiel dans l’évolution de cette profession en développant et en maîtrisant chacune des technologies nécessaires à ce métier :

  • Le traitement des matières premières et la mise en forme des produits,
  • La thermique industrielle: séchoirs, fours, brûleurs,
  • Les manutentions automatiques et la robotique,
  • Les mesures, les automatismes et l’informatique industrielle pour la supervision des usines.

CERIC a d’abord entamé ses activités en France, en démontrant sa capacité à maîtriser et adapter les technologies modernes, afin d’apporter des solutions nouvelles. Dans le cadre des partenariats avérés, les innovations apportées par CERIC ont permis à ses clients d’acquérir des positions prépondérantes sur leurs marchés.
CERIC a ensuite exporté sa technologie et ses innovations en Europe, en Australie puis aux USA, et au fur et à mesure de son évolution, des bureaux techniques et commerciaux ont été créés en Espagne, en Italie, en Afrique du Nord, en Russie et en Ukraine.
En Mars 2010, CERIC prend le nom de CERIC Technologies et se reconcentre sur son coeur de métier : la transformation de l’argile.

Source CERIC TECHNOLOGIES

Les mises en chantier en baisse de novembre à janvier

Les mises en chantier de logements neufs ont reculé de 9,4% de novembre à janvier sur un an, annonce le ministère du Logement, qui a entièrement révisé sa méthode de calcul.

Dans le même temps, le nombre de permis de construire accordés pour des logements neufs a chuté de 7,5% à 85.600 par rapport à la même période de l'année précédente.
Par type de constructions, sur la période, les mises en chantier de logements ordinaires sont ressorties en baisse de 8% à 78.800 unités, selon l'estimation du ministère. Celles des logements en résidence (pour seniors, étudiants, de tourisme) ont mieux résisté, avec un léger recul de 1,7% à 6.800 unités.
Sur 12 mois, à fin janvier, le recul est de 8,2% pour les permis de construire, qui s'élèvent à 374.500, indique le ministère. Et sur la même période, les mises en chantier ont cédé 11,6% pour s'élever à 352.900, selon une nouvelle méthode statistique.
Nouveaux indicateurs mensuels
Le ministère du Logement a dévoilé de nouveaux indicateurs mensuels, qu'il estime plus fiables, pour évaluer les logements mis en chantier. Sa nouvelle méthodologie, appliquée désormais, conduit à comptabiliser plusieurs dizaines de milliers de logements supplémentaires par an, ces dernières années.
Jusque-là, les données publiées par le service de l'observation et des statistiques (SOeS) du ministère se basaient sur les déclarations d'ouverture de chantier, saisies administrativement.
Or ces chiffres pâtissaient de "trous de collecte", car un certain nombre de demandeurs de permis de construire omettaient de les transmettre, a affirmé le ministère.
Modèle statistique fiable
Désormais, le nombre de logements mis en chantier est calculé à l'aide d'un modèle statistique "fiable", censé délivrer "une information en temps réel de la conjoncture" et fournir des "résultats plus fidèles à la réalité du terrain".
Les données collectées sont ainsi complétées par des enquêtes annuelles et croisées avec d'autres paramètres (stock de logements invendus des promoteurs, taux d'intérêt, moral des ménages...), a précisé le ministère.
Source : batirama.com / AFP

28/02/2015

«Atouterre» : la terre crue mise à l'honneur

Briquetiers, architectes, maçons, décorateurs… Une cinquantaine de professionnels de la terre crue se sont réunis, le 26 janvier dernier, à Montels, pour la rencontre bimestrielle du collectif «Atouterre». Fondée en mai 2013, cette association a pour objectif de promouvoir la terre crue, élément naturel et local, en tant que matériau de construction et de rénovation. Sympathisants et adhérents ont profité de cette invitation à la ferme d'Icart, rendue possible grâce à l'hospitalité du Parc naturel régional, pour échanger autour de la terre crue et de ses utilisations.

Parmi les acteurs présents, on relève notamment Laurelyne Meunier, responsable du conseil d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement d'Ariège. Elle a souligné l'utilité des fiches «systèmes constructifs traditionnels en Midi Pyrénées», prônant l'utilisation de la terre cuite dans les nouvelles constructions. La réunion a aussi été marquée par l'intervention de Paul Garrigues, de l'association Maison paysanne de France, et celle de Jean-Paul Gleizes (ECORCE, association ariégeoise d'écoconstruction). Ils ont présenté l'habitat vernaculaire ariégeois et détaillé la réglementation autour des carrières d'argile.
Et la science fut
Enfin, Jean-Pol Fortune, minéralogiste, et Jean-Emmanuel Aubert, ingénieur au laboratoire matériaux et durabilité des constructions à l'INSA de Toulouse, ont présenté les différents types d'argile et leurs applications dans le secteur du bâtiment. «Grâce à leurs explications, nous avons compris les mécanismes de dégradation de l'argile et les différentes sortes qui en résultent» explique Michèle Bailly, décoratrice en Ariège et Haute-Garonne.
«Atouterre» a également été mandaté par la direction de l'habitat au ministère de l'Écologie pour travailler sur «le guide des bonnes pratiques de la construction en briques de terre crue». Un travail dont l'aboutissement est prévu dans trois ans.
Source La Dépêche du Midi

27/02/2015

Deauville- Les 500 000 tuiles du toit de l'hôtel Normandy seront bientôt toutes changées

Le groupe Barrière poursuit son important programme de rénovation de ses hôtels. Le Normandy entre dans une nouvelle phase de travaux.

Cela n’a échappé à personne, le décor du centre de Deauville a changé d’aspect ces temps derniers. Bien emballée sous des bâches en trompe l’oiel l’aile côté Printemps de l’hôtel de Normandy se refait une beauté.
C’est parti pour cinq mois mois de travaux. Après un premier mois consacré au montage des échafaudages et à la pose des bâches de protection, pendant trois mois, l’aile sera sans dessus-dessous pour être refaite au-dessus et en-dessous. Le dernier mois sera consacré au démontage de la structure.
Le chantier vient donc d’entamer une nouvelle phase qui vise à rénover 6 000 m² de toiture de l’hôtel. La surface sera entièrement rénovée pendant encore deux ans et demi. Le coût du total des travaux s’élève à 9 millions d’euros. Pendant qu’en altitude les couvreurs procèdent au changement des 500 000 tuiles faites sur mesure par les tuileries de Bavent, au-dessous les chambres sont elles aussi en pleine transformation.
Lorsque nous effectuons des travaux sur la toiture, nous en profitons pour installer la climatisation dans les chambres et procéder à plusieurs améliorations » note Julien Michelot, directeur adjoint de l’hôtel.
Autrefois en bois les fenêtres sont désormais en PVC avec double vitrage.
Les tentures murales et les moquettes sont déposées et remplacées par des neuves, des corniches sont ajoutées aux plafonds pour y intégrer des spots et faire passer les câblages complète Julien Michelot.
Une dizaine d’entreprises s’affaire ainsi, pour que l’hôtel de légende conserve son authenticité tout en offrant le confort moderne. Au total, 40 des 290 chambres que compte l’hôtel seront transformées.
Source le Pays d'Auge par Sophie Quesnel

26/02/2015

La briqueterie Capelle à l'honneur

«Il y a déjà 3 ou 4 ans que Christine mon épouse avait envoyé un courrier à l'émission de Laurent Boyer pour lui présenter la Briqueterie. Nous n'avons pas eu de nouvelles jusqu'en décembre dernier.» Bernard Capelle, chef d'entreprise de la briqueterie du même nom à Grépiac vient de participer à la célèbre émission diffusée sur France 3 à 11 heures et retransmise dans la nuit «Midi en France». «La production nous a alors dem
andé si on voulait participer à la prochaine émission qui serait tournée à Toulouse.
Nous avons dû nous organiser et contacter pour les besoins du reportage des amis, des visiteurs et également le club d'entreprises Aléva. ça a été fait au pied levé mais tous sont venus avec plaisir à la briqueterie. Là, Alain Busca de Miremont, le technicien de fabrication, a expliqué au public, comme lui et ses employeurs le font régulièrement, la fabrication des briques et briquettes», raconte Bernard. «Nous avons été ensuite conviés avec mon frère Jean-Pierre, mes enfants Jérôme et Céline et Céline 2, ma belle-fille, sur le tournage. C'était très convivial, Nathalie, la chroniqueuse a été efficace, tout se déroulait de manière fort sympathique. J'ai aidé à installer le stand car j'avais apporté plusieurs exemplaires de notre production pour le décorer.»
Elle a été fort bien mise en scène, filmée et mise en valeur lors de la diffusion du reportage qui retraçait le savoir-faire centenaire de la briqueterie. «C'était le jour où les Chevaliers du Fiel étaient sur le plateau et nous avons passé un moment formidable» rapporte encore Bernard.
Bien que l'entreprise soit bien implantée dans la région toulousaine et un peu plus loin, elle a reçu, suite au reportage plusieurs appels pour des devis. Un plus qui fait plaisir aux Capelle avec surtout la joie de raconter leur passion et leur métier au plus grand nombre. Cette nouvelle expérience a mis la famille à l'honneur, une fois encore parce que ce savoir-faire qui se transmet de générations en générations, c'est une histoire familiale mais c'est aussi un peu de la vie et du patrimoine local.
Une nouvelle visite
Le 23 mars, la famille Capelle recevra dans ses murs le collectif «Terre crue». Il regroupe maçons, architectes, utilisateurs, négociants, fabricants. Tous ces professionnels qui utilisent la terre visiteront la briqueterie.
Source La Dépêche du Midi

25/02/2015

TERREAL nomme Yvan Fernon au poste de Directeur de l’Exploitation

Après la nomination d’Adeline Léger en tant que Directrice de la Communication et de la Stratégie Digitale, le Groupe TERREAL renforce son équipe managériale pour soutenir son ambition de croissance avec l’arrivée d’Yvan Fernon en qualité de Directeur de l’Exploitation.

Ingénieur de l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées (Paris), Yvan Fernon, 57 ans, débute sa carrière professionnelle en 1981, dans la société ESSO SAF, Raffinerie de Fos-sur-Mer, comme Ingénieur Etudes Techniques avant de prendre la fonction de Responsable Service Energie et Responsable Service Expéditions.
Il intègre International Paper, société spécialisée en pâte à papier, papier et packaging, en 1987 et y occupe successivement les postes de Directeur de Production, Directeur Technique et Directeur des Papeteries du Souche.
Il rejoint le groupe MONIER (ex Lafarge Roofing) en 2002 en tant que Directeur Opérations Usines Béton chez Lafarge Couverture, puis Directeur Industriel Terre cuite Lafarge Couverture, Directeur Industriel Monier Benelux et Directeur Industriel Monier SAS.
En juillet 2014, il est nommé Directeur de l’Exploitation du Groupe TERREAL en charge de toutes les usines de TERREAL France.
Il manage une équipe de six Directeurs de pôle.

Ses missions principales consistent à :

  • accroître la compétitivité des 14 usines terre cuite en France en s’appuyant sur une démarche d’excellence opérationnelle et en développant les compétences des collaborateurs, 
  • améliorer la culture sécurité afin de réduire le taux de fréquence des accidents, 
  • industrialiser les nouveaux produits pour l’enveloppe du bâtiment et assurer un niveau de qualité irréprochable, 
  • améliorer l’efficacité énergétique et la réduction de l’impact de TERREAL sur l’environnement.

24/02/2015

Adeline Léger rejoint le Groupe TERREAL en qualité de Directrice de la Communication et de la Stratégie Digitale

Pour accompagner le développement de son projet stratégique « TERREAL 2020 », le Groupe TERREAL réorganise son équipe de communication avec l’arrivée d’Adeline Léger au poste de Directrice de la Communication.
Cette création de poste a pour vocation de garantir une cohérence dans la communication de l’entreprise et de relancer une dynamique forte autour des trois axes prioritaires dans la vision future du Groupe à savoir : une approche globale de l’enveloppe du bâtiment responsable et durable, le développement de la marque employeur ainsi que l’excellence opérationnelle de TERREAL.
Diplômée d’un DEUG en Science de la Matière à l’Université de Paris XI, d’une Maîtrise en Sciences Chimiques ainsi que d’un AESS de Chimie à l’Université Libre de Bruxelles et d’un Achieving Outstanding Performance à l’INSEAD de Fontainebleau, Adeline Léger, 35 ans, travaille dans le secteur de la communication et du marketing depuis plus de 8 ans. Elle débute sa carrière professionnelle en 2005 au sein de l’Agence MarquetisOne comme Chef de Projets puis Directrice de Clientèle en charge des budgets industrie et bâtiment et en 2008, elle devient associée du Groupe. En 2011, elle devient Directrice de l’entité Networks Technology, Business Unit « web & nouvelles technologies », du Groupe Marquetis.
En juin 2014, elle rejoint le Groupe TERREAL en qualité de Directrice de la Communication et de la Stratégie Digitale sous la direction d’Hervé Gastinel, Président.
Ses missions consistent d’une part à définir la stratégie de marque de TERREAL, reflet du projet d’entreprise TERREAL 2020 et à augmenter la notoriété, la visibilité et l’attractivité de l’entreprise.
D’autre part, elle devra digitaliser la relation client et diffuser la culture digitale chez TERREAL, tout en développant l’identité web du Groupe et renforcer la présence de l’entreprise sur les réseaux sociaux.

 « L’expertise d’Adeline Léger en communication dans le secteur de l’industrie et du bâtiment représente une véritable valeur ajoutée pour TERREAL. Sa venue nous apporte un souffle nouveau qui renforce notre engagement en faveur de la construction positive, à l’appui du projet Terreal 2020. » affirme Hervé Gastinel, Président du Groupe TERREAL.
Source Wellcompresse

23/02/2015

La maison de paille, grande écologique

Le laboratoire d’énergie solaire et de physique du bâtiment de l’EPFL, à Lausanne, s’est intéressé au bilan énergétique d’une maison en paille, prenant en compte les matériaux employés, mais également sa déconstruction. Il en ressort, selon les premiers résultats, un impact quasi nul sur l’environnement. De quoi faire de cette solution de construction la plus écologique de toutes.
Le décryptage de la construction en paille
Passée ces dernières années de l’auto-construction à des réalisations davantage industrialisées, la paille a en effet pris la place des briques et blocs béton pour construire des murs porteurs tout aussi résistants. Les techniques se sont également développées avec l’emploi de solutions spécifiques pour créer ce matériau de construction dans une forme adaptée. C’est l’ensemble de ces éléments qu’a étudié l’École Polytechnique de Lausanne. Celle-ci s’est intéressée aux performances de la maison en bottes de paille pour en connaître l’impact réel, en prenant pour référence le bâtiment public ECO-46, construit récemment à Lausanne.
Tous les éléments ont été pris en compte, de la plantation aux données envisagées de déconstruction, comprenant aussi les techniques et équipements employés pour la réalisation des bottes de paille destinées à la construction. Il en ressort que si celles-ci étaient, lors de la destruction, recyclées pour être utilisées en tant que combustible pour un équipement de chauffage, le bâtiment présenterait sur tout son cycle de vie un impact quasi nul sur l’environnement. Une performance unique.
Un bâtiment toujours plus écologique
Le bâtiment étudié bénéficie ainsi d’un bilan énergétique très positif, aidé aussi par les autres matériaux utilisés. Les 260 bottes de paille ont été recouvertes d’un enduit terreux. Les ouvertures bénéficient d’un triple vitrage et une ventilation double flux a été mise en place, relayée par une ventilation naturelle lors des nuits estivales. Elle est aussi équipée de panneaux photovoltaïques et d’un toit végétalisé. Sa consommation électrique est, dans son fonctionnement courant, inférieure à 10 kWh/m²/an.
Cette étude met plus généralement en avant la performance écologique de ces réalisations, également très résistantes. Avec un compressage de l’ordre de 250 kg/m3, c’est-à-dire bénéficiant d’une résistance équivalente au bois, la paille est aussi durable. La plus vieille maison construite de la sorte a d’ailleurs 112 ans et la plus haute d’Europe, située en France, compte 8 étages.

Source ETI construction

22/02/2015

Partenariat CERIC Technologies et TECAUMA : la qualité de service avant tout !

Fortes d’une longue expérience commune au service des industriels de la terre cuite, les sociétés CERIC Technologies et TECAUMA agissent en partenariat pour garantir la meilleure qualité de service à leurs clients.
Cette collaboration s’illustre particulièrement bien sur les projets de briqueteries clefs en main telles quelles sont régulièrement installées par CERIC Technologies notamment au Maghreb.
Située a 100 km au sud-est d’Annaba (Algérie),la briqueterie de Taghaste à ZoukHaras dispose d’une ligne capable de produire 160 000 tonnes/an de briques creuses 8 trous (10x20x30 cm) et des briques 12 trous (15x20x30 cm), soit 490 t/j. Une ligne clé-en-main montée dans un délai de 14 mois.
Cette briqueterie a été équipée, en 2013, d’un séchoir rapide bien adapté aux procédés de séchage et d’un four CASING garantissant une qualité de cuisson parfaite.
Cette unité dispose également d’une nouvelle génération de paquettiseur TECAUMA permettant de réaliser des paquets carrés cerclés horizontalement et verticalement avec des trous au centre pour le passage des fourches de chariot élévateur. La dimension de ces paquets permet d’optimiser les chargements sur les camions.

Source CERIC

21/02/2015

INDE- Prendre en compte l'énergie "intrinsèque" des matériaux de construction

Une étude a récemment été menée par l'Institut Indien de Science de Bangalore (IISc) pour évaluer l'énergie consommée lors de la production de différents matériaux de construction (ce que les chercheurs de l'institut appellent "l'énergie intrinsèque"), afin de réduire les coûts énergétiques dans le domaine du bâtiment [1].
Lors des bilans énergétiques de bâtiments indiens, expliquent les chercheurs, l'énergie opérationnelle (éclairage, climatisation) est très souvent la seule à être prise en compte. Pourtant, l'énergie intrinsèque des matériaux utilisés a un impact majeur sur ces bilans : en effet, en Inde, plus de deux milliards de tonnes de matériaux de construction sont utilisés chaque année, et les dépenses d'énergie pour leur fabrication correspondent à environ 20-25% de la demande totale d'énergie du pays. Cette lacune, supposent-ils, s'explique par un manque de connaissances concernant la production des matériaux de construction dans le pays [2].
Pour mener leurs travaux, des données industrielles concernant divers matériaux de construction de base ont été utilisées, parmi lesquels le ciment, l'acier, le verre, les granulats grossiers, l'aluminium, les briques et tuiles en terre cuite, les blocs de béton et de latérite, les carreaux de céramique, le granit poli ou encore les dalles de marbre.
Les résultats montrent que, parmi tous les matériaux de construction utilisés en Inde, l'aluminium et les briques en terre cuite sont les plus énergivores. L'aluminium, en particulier, se révèle plus énergivore (avec 141,55 MJ/kg) que l'acier (32,24 MJ/kg), le verre (7,88 MJ/kg) et le ciment (2,38-3,72 MJ/kg). "Les normes en termes de construction énergétique devraient prendre en compte l'énergie globale des bâtiments, en étudiant à la fois l'énergie opérationnelle, l'énergie intrinsèque et l'importance relative de l'une par rapport à l'autre" explique K. I. Praseesa, co-auteur de l'étude.
Source Bulletins Electroniques

20/02/2015

VM Matériaux en repli sur 2014

L'activité du groupe VM Matériaux a été fortement impactée par le contexte du marché de la construction tout au long de 2014. Le chiffre d'affaires enregistre un repli de près de -7 % sur l'ensemble de l'année.

Le quatrième et dernier trimestre de 2014 a confirmé la tendance qui s'était esquissée tout au long de l'année pour VM Matériaux : le marché de la construction neuve, fortement dégradé, a impacté l'activité. Au cours des trois derniers mois de l'an passé, l'activité "Négoce" a reculé de -5,6 %, en relation avec le faible niveau d'activité du gros-œuvre et du second-œuvre, tandis que l'activité "Béton" a enregistré une baisse de -9,7 % à cause d'une réduction des volumes de béton prêt à l'emploi. "Le béton industriel présente une meilleure résistance notamment grâce à ses produits d'aménagement extérieur", précise le groupe vendéen dans un communiqué. L'activité de "Menuiserie industrielle", pour sa part, affiche un retrait de -5,3 % : "Malgré un premier semestre favorable, notamment sur ses activités de fermeture et son réseau Solabaie, (elle) présente une dégradation depuis le troisième trimestre, en raison des incertitudes relatives aux mesures d'incitations gouvernementales annoncées pour les travaux de rénovation".
Confiant malgré la baisse continue des résultats
Pour l'exercice 2014 dans son intégralité, le chiffre d'affaires de VM Matériaux s'établit donc à 590,9 M€ (-5,5 %). "L'ensemble des activités liées à la construction de logements a, de nouveau, subi l'absence de reprise des mises en chantier", annonce le groupe. "L'effet de la saisonnalité, habituelle au second semestre, assorti à une baisse d'activité plus forte durant cette période auront des effets sur la rentabilité". Malgré ces résultats en net repli, VM Matériaux annonce rester confiant dans sa capacité d'adaptation. Il souhaite poursuivre ses efforts "afin de renforcer sa présence commerciale auprès de ses clients et leur proposer des actions adaptées aux évolutions de marché".
Le groupe familial, plus que centenaire, est présent principalement dans l'ouest de la France mais également dans cinq départements d'Outre-Mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, Réunion et Saint-Martin), en Chine et au Canada. En tout, il emploie 2.700 personnes dans 103 points de vente de négoce de matériaux ainsi que dans treize usines de fabrication de menuiseries extérieures (dont trois au Canada spécialisées dans le PVC), quatre de structures bois (charpentes et ossatures), 25 centrales de béton prêt à l'emploi et cinq usines de produits béton. En 2013, son chiffre d'affaires avait atteint les 634,5 M€ pour un résultat net de 12,2 M€.

Source Batiactu

Un chiffre d'affaires progression pour Samse en 2014

Le Groupe Samse, négociant indépendant de matériaux de construction pour le bâtiment et l'aménagement de l'habitat, enregistre un chiffre d'affaires de 2,7% en 2014 à environ 1,2 milliard d'euros.

En 2014, le chiffre d'affaires du groupe Samse s'établit à environ 1,2 milliard d'euros, soit une hausse de 2,7% par rapport à 2013.
Dans le détail, le chiffre d'affaires de l'activité Négoce atteint 963,4 millions d'euros enregistrant une augmentation de 0,8%. De son côté, le chiffre d'affaires de l'activité Bricolage s'élève à 232,3 millions d'euros, en augmentation de 11,5% (-3,8% à périmètre comparable). "Cette hausse s'explique par l'ouverture d'un nouveau magasin Entrepôt Du Bricolage à Aubenas (07) en février 2014, et la prise de contrôle du sous-groupe DEDB (5 magasins créés en partenariat avec Mr Bricolage) en mars 2014, antérieurement comptabilisé selon la méthode de la mise en équivalence", explique un communiqué du groupe.
Quid des perspectives ? La conjoncture actuelle incite le groupe à se montrer prudent concernant son niveau de chiffre d'affaires attendu sur l'exercice à venir.

Source Batiactu

19/02/2015

EN DIRECT DU LABO SOLUMIX : DES ESSAIS MULTI-MATÉRIAUX !

Depuis son installation sur le site de Limoges la ligne pilote est exploitée de manière intensive. De nombreux tests sont menés dans le cadre d’études conduites pour évaluer les effets de l’introduction de divers matériaux mixés à SOLUMIX (matériau bi-phase) et pour accélérer le process de production, en accélérant notamment le temps d’autoclavage.
Plusieurs types de matériaux ont été testés pour étudier leur impact sur la résistance thermique de SOLUMIX.
D’origine végétale (foin, chanvre, rafle de maïs, copeaux de bois…) ou encore chimique (agents porogènes ou billes de PSE par exemple) ces matériaux renforcent la résistance thermique de SOLUMIX sans dégrader, pour la plupart, ses propriétés physiques grâce à ses qualités cohésives. Des essais ont d’ailleurs été menés pour vérifier la bonne adhésion du SOLUMIX avec différents métaux, des produits en béton, en terre cuite, du verre.
Les essais continuent, n’hésitez pas à contacter SOLUMIX  pour avoir des informations.

Source SOLUMIX

Les constructeurs de maisons individuelles prévoient une reprise timide en 2015

Le marché des maisons individuelles pourrait connaître le début d’une légère reprise en 2015, selon les prévisions de l'Union des Maisons Françaises. Cette reprise ne serait toutefois envisageable que par le maintien des aides publiques à l'accession comme le PTZ ou l'APL. En revanche, les ouvertures de chantier continueront d'afficher une baisse et devrait peser encore cette année sur la trésorerie des entreprises.
2014 restera une année noire pour les constructeurs en termes de production de maisons individuelles. Au cours des douze derniers mois par rapport aux douze mois précédents, les ventes de maisons individuelles ont enregistré une baisse de 4 %. Ainsi, seulement 99 000 maisons en secteur diffus en données brutes soit 91 000 ventes nettes après annulations (rétractations, refus de prêts ou de permis de construire …) ont été commercialisées contre 102 600 maisons en données brutes en 2013.
Cependant, selon l'UMF, la chute de la commercialisation devrait prendre fin eu égard à la stabilisation du marché observée sur les derniers mois de l'année 2014. « Depuis le dernier trimestre 2014 et le début 2015, les contacts commerciaux sont meilleurs, explique l'Union des Maisons Françaises, et laissent anticiper à minima une stabilisation des chiffres de vente, voire une reprise qui doit se confirmer ».

Priorité à l'accession
Cette reprise « timide » se ferait « sous condition d’une volonté clairement affichée des pouvoirs publics en faveur de l’accession à la propriété et de ses instruments de prédilection que sont le PTZ et l’APL ».
L'UMF demande en effet le maintien du PTZ à enveloppe constante, avec le maintien du différé d'amortissement et des quotités selon le zonage actuel. Mais elle souhaite aussi maintenir l’APL accession qui permet la solvabilité des accédants modestes. « La suppression de l’APL accession est une économie budgétaire minimale pour un effet dévastateur maximal, affirme l'UMF. Elle entraînerait une remise en cause de 15 à 20 000 opérations ».
L'Union des Maisons Françaises demandent également au gouvernement de réaffirmer « son engagement en faveur de l'accession à la propriété », clé du succès et priorité n°1 pour une relance de la construction selon Matignon, afin de « débloquer le parcours résidentiel ».

Allègement des normes
Afin de favoriser la reprise du marché, elle demande l'accélération du processus d’allègement des normes et des obligations réglementaires qui pèsent négativement sur les opérations. « La machine administrative est trop lourde, le temps de délivrance des permis de construire doit baisser », précise-t-elle dans son bilan.

Sur 10 ans le total des mises en chantier en secteurs diffus et groupé est passé de 199 500 à 126 800, en accusant une baisse de 36,4 %. Il a retrouvé quasiment le niveau de 1993. « Les pouvoirs publics doivent vis-à-vis des professionnels faire le choix d’une société de confiance en rupture avec une défiance paralysante, conclut l'UMF. La profession de constructeur qui a prouvé de longue date sa capacité et sa vitesse d’adaptation peut-être le vecteur de cette reprise si l’Etat consent à libérer les énergies »

Source Batiweb

Déchets de chantier : le négoce ne veut pas récupérer la collecte dès 2017

La Fédération du négoce de bois et des matériaux de construction (FNBM) a décidé de marquer son opposition a un article du projet de loi relatif à la « Transition énergétique pour la croissance verte » qui prévoit la collecte des déchets par le négoce dés 2017. Elle mettra tout en œuvre pour ne pas se voir imposer de nouvelles contraintes et a envoyé une lettre à Ségolène Royal.
L’article 21 Quater du projet de loi relatif à la « Transition énergétique pour la croissance verte » introduit une obligation, à la charge exclusive des distributeurs de matériaux, produits et équipements de construction, de s’organiser pour reprendre sur leurs sites de distribution ou à proximité de ceux-ci, les déchets issus des mêmes types de matériaux.
La FNBM tient à marquer son opposition absolue à cet article du projet de loi sur la transition énergétique. Dans un communiqué, la fédaration estime que cette mesure « élaborée à la hâte et sans aucune concertation préalable, engendrerait des obligations considérables pour les négoces de matériaux de construction et de bois ».
Le coût de cette nouvelle charge, le foncier disponible qu’elle induit et la formation de personnel exclusivement dédié à cette activité, ont conduit le Comité directeur de la FNBM à rappeler que la collecte et le traitement des déchets ne relèvent pas du cœur de métier du négoce.
Le Président de la FNBM, Géraud Spire, a sollicité l’intervention de Madame la Ministre, Ségolène Royal, en mettant l’accent sur l’inapplicabilité d’une telle mesure, de surcroît dans des délais aussi courts.
« Au moment où le négoce est très fortement impacté par la crise dans le secteur du BTP, il n’est pas concevable de transférer une charge supplémentaire sur une profession qui se bat au quotidien pour préserver l’emploi et l’investissement » précise la FNMB.

Source Batiweb

18/02/2015

Les appuis de fenêtre se rénovent en toute simplicité

TERREAL commercialise depuis janvier 2015 une nouvelle solution de rénovation des seuils de portes et appuis de fenêtres. De grande dimension, ce matériau de recouvrement en terre cuite est également léger pour une pose simplifiée. L’occasion de modifier l’apparence de la façade, en lien avec la sa rénovation choisie.
La finition des seuils et appuis de fenêtre lors de travaux de rénovation
Si la réfection des façades, de plus en plus en lien avec un changement de style architectural, est une opération fréquemment mise en avant, il est moins souvent évoqué la question des rénovations des appuis de fenêtres et des portes. Ces éléments sont pourtant directement liés aux travaux engagés. Pour en simplifier les opérations, TERREAL vient de lancer un produit spécifique : l’appui Réno.
Dédié aux travaux de rénovation de seuils et bords de fenêtres, celui-ci est réalisé en terre cuite. Cette matière 100 % naturelle offre à la fois la durabilité et la simplicité d’entretien.
Disponible en trois teintes comprenant le gris anthracite, le ton pierre et le rouge-orangé, l’appui Réno propose des styles uniques venant donner une touche de modernité ou, à l’inverse, renforçant le style traditionnel de la construction.
Une surface en grande largeur pour simplifier la pose
S’apparentant à un grand carrelage à rebord, l’appui Réno de TERREAL vient épouser parfaitement l’appui de fenêtre ou de porte existant grâce à son angle de nez de 98°. Il est disponible en deux dimensions – 98 cm et 148 cm – permettant de répondre aux largeurs d’ouvertures les plus courantes. Son poids de 13 kg/ml est également étudié pour faciliter les opérations de pose. Sa mise en œuvre se réalise d’ailleurs par encollage. Chaque élément se découpe simplement dans le sens de la largeur pour s’accoler aux murs. Le nez peut aussi se recouper, en suivant les rainures intégrées. Ainsi, avec l’appui Réno, TERREAL offre une solution simple pour rénover les bords de portes et fenêtres maçonnés.

Source ETI Construction

Catalogne : les exportations de ciment en hausse de 82,1% !

Selon les chiffres de Ciment Català, la fédération représentative de l'industrie du ciment en Catalogne en Espagne, la consommation de ciment dans cette région a atteint 1,31 million de tonnes en 2014.

Bien que cela représente une baisse de -10,7% par rapport à 2013, cette contraction est la plus faible jamais enregistrée au cours des 7 dernières années. La quantité de ciment produite par les entreprises spécialisées se chiffre à 2,24 millions de tonnes en 2013 soit une hausse de +14,3%.
En parallèle, le volume des exportations de ciment explose en 2014 avec une progression fulgurante de +82,1% soit près de 2,85 millions de tonnes.

Source Construction Cayola

17/02/2015

Imerys: les résultats progressent en 2014, confiance pour 2015 malgré la conjoncture

Le spécialiste des minéraux industriels et des matériaux de construction Imerys s'est dit confiant pour 2015 malgré les perspectives incertaines de l'économie européenne, après avoir fait état d'une hausse de 4% de son résultat courant net en 2014.
Le bénéfice courant net, qui correspond au résultat net part du groupe avant autres produits et charges opérationnels nets, s'est établi l'an dernier à 316,3 millions d'euros contre 304,2 millions d'euros un an plus tôt. Imerys a ainsi atteint son objectif de dégager un résultat net courant en croissance par rapport à 2013.
Le groupe, qui élabore des pigments pour le papier et produit des carbones pour batteries à lithium-ion ainsi que des briques, a également fait état d'un chiffre d'affaire de 3,7 milliards d'euros, en baisse de 0,3% en données publiées mais en hausse de 3,2% à périmètre et changes constants.
De son côté, le résultat opérationnel courant a progressé de 3,7% à 494,6 millions d'euros, donnant une marge opérationnelle de 13,4% contre 12,9% en 2013.
Selon Factset, les analystes tablaient en moyenne sur un résultat net de 299,4 millions d'euros, sur un résultat opérationnel de 484,8 millions d'euros et sur un chiffre d'affaires de 3,7 milliard d'euros pour 2014.
Imerys, dont l'activité dépend de la bonne santé de ses clients industriels et est donc très sensible au ralentissement du cycle économique, a continué de bénéfier du dynamisme de l'économie américaine. "L'activité en Europe du Nord et en Allemagne, qui avait bénéficié d"une certaine amélioration depuis la fin de l'année 2013, a ralenti au second semestre, notamment dans le secteur industriel", a néanmoins indiqué le groupe.
"En ce début d'année, les incertitudes demeurent sur les perspectives de reprise de l'économie européenne", a ajouté Imerys.
Le groupe prévoit cette année des "bonnes dynamiques" en Asie hors Chine, tandis que les perspectives restent difficiles au Brésil et en Afrique du Sud. Aux Etats-Unis, la croissance reste soutenue mais le marché des proppants, utilisés dans l'exploitation des gisements de gaz et pétrole, subit les effets de la forte baisse des cours du pétrole.
"En 2015, le groupe s'attachera à rester très réactif et saura adapter son dispositif industriel, sa structure de coûts et son offre de produits sur les marchés qui évolueraient défavorablement, mais aussi pour saisir les opportunités que pourraient présenter les variations des devises et la baisse des prix de certains facteurs de production", a indiqué Imerys.
LE COMMENTAIRE DE L'ENTREPRISE:
"En s'appuyant sur les forces du groupe et en mettant en oeuvre sa stratégie, Imerys a retrouvé une croissance organique positive en 2014, amélioré sa rentabilité dans toutes ses branches d'activité, et atteint son objectif de progression du résultat courant net. Nous poursuivrons avec confiance notre développement en 2015, en adaptant, avec réactivité, notre dispositif industriel à la demande et en saisissant les opportunités offertes par l'évolution de l'environnement mondial. En intégrant prochainement S&B, dont les résultats 2014 ont été solides, Imerys affirme sa volonté de continuer à renforcer son potentiel de croissance", a déclaré le PDG du groupe, Gilles Michel, dans un communiqué.
LE CONTEXTE:
Début 2014, Imerys s'est lancé dans une bataille boursière face à l'américain Minerals Technologies (MTX) pour la reprise de la société AMCOL. Le groupe a finalement échoué dans sa tentative de rachat, mais s'était dit alors "ouvert" à d'autres opportunités d'acquisitions.
En novembre, il a ainsi annoncé le rachat du producteur de minéraux industriels d'origine grecque S&B, sur la base d'une valeur de 525 millions d'euros pour la totalité des actions. A l'issue de la transaction, la famille Kyriacopoulos, actionnaire de S&B, détiendra environ 4,4% du capital d'Imerys et entrera au conseil d'administration du groupe.
L'opération, appelée à être créatrice de valeur dès la troisième année d'intégration de S&B, devrait intervenir dans le courant du premier trimestre 2015.

Source Les Echos

IMERYS Tuilerie de Blajan: «Ici c'est notre terre» reçue à la sous-préfecture

Née d'une mobilisation déterminée lors des différentes actions menées à la tuilerie de Blajan, l'association «Ici c'est notre Terre» qui regroupe plus de 250 adhérents a été reçue pendant trois heures par le sous –préfet de Saint-Gaudens, Jean Luc Brouillou. Le bilan de la décision unilatérale d'Imerys de fermer l'usine a été mis en avant ainsi que l'exaspération devant la situation de la tuilerie et des ses employés. Imérys n'a toujours pas signé la convention de revitalisation. L'association déplore le manque de crédibilité des projets proposés qui sont censés ramener 25 emplois sur le site. Tout le monde a le sentiment désespérant que rien n'avance et que la seule chose qui intéresse Imérys, c'est la terre blajanaise.
D'ailleurs l'industriel a été entendu par les pouvoirs publics. Sa demande de modification des conditions d'exploitation des deux carrières de Séguié et Sarrailes fait l'objet d'un nouvel arrêté préfectoral en date du 16 janvier 2015, modifiant très considérablement l'arrêté initial du 16 juin 2011. L'argile destinée à l'exploitation blajanaise pourra désormais être évacuée vers Léguevin
«Nous considérons que ce nouvel arrêté est catastrophique pour le devenir de la tuilerie et qu'il a été pris beaucoup trop rapidement, en prenant uniquement en compte la légalité de la demande. Nous considérons qu'une nouvelle enquête publique aurait dû être mise en place avant de prendre ce nouvel arrêté, car cette modification change complètement l'objet initial de la carrière, à savoir la pérennisation de la tuilerie de Blajan.» a déclaré la délégation au sous-préfet.
«Ici c'est notre terre» ne compte pas en rester là et envisage un recours contre cet arrêté. Plus d'un millier de signatures ont été recueillies. Des demandes de soutien sont envoyées à toutes les mairies du Comminges. Des actions fortes sont envisagées au moment de la campagne d'extraction de la terre au printemps prochain.
Source : La Dépêche du Midi

Mondial du Bâtiment : l’heure n’est plus à la fête !

Professionnalisme, sobriété et visibilité, sont les nouvelles tendances du Mondial du Bâtiment qui regroupera Batimat, Interclima+Elec et IdeoBain à Villepinte dès le 2 novembre prochain.
Une évidence s’impose : l’heure n’est plus à la fête dans le BTP. Trois années de recul de l’activité dans la BTP ont durement frappé l’ensemble des acteurs de la filière dont nombre ont révisé leurs stratégies d’investissement et de présence sur les salons nationaux et régionaux.
Alors pour convaincre ses clients exposants mais aussi les visiteurs potentiels, les organisateurs veulent jouer à fond la carte du professionnalisme mais aussi celle de la sobriété sur la forme.
Un professionnalisme qui s’impose d’autant plus que les nouvelles réglementations en tout genre, liées au vaste chantier de la Transition énergétique, se sont multipliées en l’espace de très peu de temps.
Un événement plus lisible
Citons la RT2012, l’Ecoconditionnalité (et son label RGE à destination des entreprises) mais aussi la nouvelle directive Ecoconception qui va obliger les industriels à revoir leurs feuilles de route en matière de création de produits et notamment de recyclage.
De nouveaux produits et nouvelles solutions doivent donc se mettre en place pour accompagner ce chantier de la Transition énergétique, les objectifs du gouvernement ayant fixé à 500 000 le nombre de logements à rénover par an d’ici 2017.
« Le salon est là pour faire basculer le marché vers de nouveaux standards », résume Guillaume Loizeaud, directeur de la division construction de Reed Expositions France. Pour faciliter la lisibilité de l’événement, les organisateurs ont donc retravaillé certains points comme, tout d’abord, la logistique.
De nouvelles capacités de stationnement
Les capacités de stationnement seront en effet augmentées de 50 % sur le salon affirment les organisateurs. De nouvelles solutions seront trouvées pour gérer les 500 poids lourds qui viennent livrer leurs marchandises à Villepinte. De même, les organisateurs indiquent avoir travaillé sur l’amélioration des transports publics (train, RER et autobus) et de la signalétique.
Le grand concours de l’innovation sera également plus lisible puisque les résultats seront proclamés en amont du salon, dans le cadre d’une cérémonie qui se déroulera le 24 septembre prochain. Autre changement : une approche plus transversale du concours (par thème dédié) permettra d’éviter le cloisonnement des catégories de prix.
Ces innovations seront rendues plus visibles grâce à leur présentation, pendant la durée du salon, sur des tours avec écrans géants implantées dans chacun des 7 halls du parc des expositions.
Du business et de l’information
Enfin, Batimat veut apporter de nouvelles solutions afin « de devenir une grande place de marché ». « En moyenne, un visiteur reste un jour et demi et voit 37 stands » indique Guillaume Loizeaud, qui annonce le lancement d’un réseau social de rendez-vous d’affaires sur le site.
Pour faciliter la visite, quatre parcours thématiques seront proposés, auxquels s’ajoutent 200 conférences sur toute la semaine, dans les Forums disséminés sur les halls. La convivialité sera présente puisque des « cafés » avec lieux de détente seront installés face aux forums afin de poursuivre les échanges entre les intervenants et les auditeurs.
Bien sûr, les organisateurs ont encore du pain sur la planche et devront notamment convaincre les derniers exposants potentiels de participer à la Grand’messe du Bâtiment.
Une année « exceptionnelle » pour IdeoBain
Si IdeoBain -ouvert désormais uniquement aux visiteurs professionnels- affiche déjà presque complet pour son édition (son président Serge Lecat parle d’une « année exceptionnelle »), Interclima+Elec affiche aussi son optimisme par la voix son président Joseph le Jollec.
Batimat de son côté indique un taux de remplissage de 70 % début février, avec quelques « trous noirs » parmi les secteurs. C’est en effet le cas du secteur du béton et globalement des éléments de maçonnerie, à ce jour encore en souffrance. « Mais le secteur de la couverture et celui du bardage/couverture acier seront bien présents » conclut Guillaume Loizeaud
Source : batirama.com par Fabienne Leroy

16/02/2015

La multiplicité des matériaux en revêtement de façade

Les façades s’offrent aujourd’hui une grande diversité, obtenue au travers de différents matériaux, de la peinture à la briquette, en passant par le crépi et autres bardages. Chacun a alors ses propres atouts tout en affichant un point commun, celui de protéger la surface extérieure du bâti.
Les enduits, parmi les premiers matériaux de façade
Le recouvrement de la façade participe à la performance de celle-ci. Le choix des matériaux de façade doit donc être l’objet de toutes les attentions, d’autant plus qu’ils donnent également l’apparence finale au bâti. Deux principaux revêtements sont proposés, chacun se déclinant en différentes solutions : le bardage et l’enduit extérieur.
Ce dernier a pendant longtemps été privilégié, offrant une surface lisse ou, à l’inverse, présentant un revêtement en relief. Plusieurs produits sont disponibles, aux finitions et préconisations de mise en œuvre propres. L’un des plus utilisés est le crépi, connu pour ses aspérités et les différentes apparences qu’il peut prendre suivant la technique de pose employée.
Autre solution, l’enduit hydraulique. Proposé en de multiples teintes, il vient protéger efficacement le mur en étant totalement imperméable, tout en le laissant respirer. Cette spécificité assure ainsi la durabilité de la construction.
Une technique, plus écologique est également en plein essor, celle de l’enduit à base de chanvre et de chaux. Utilisé aussi en enduit intérieur, il présente des qualités thermiques importantes.
Le bardage, solution de revêtement de façade très tendance
Le bardage, lui, ne cesse de se développer ces dernières années en proposant des surfaces très variées pour une technique semblable, celle d’une pose sur le support existant avec la possibilité d’intégrer, entre les deux, une couche isolante. Le plus utilisé reste le bardage bois, posé sur un mur en rénovation ou une ossature bois. Le PVC vient souvent en imitation. Cette technique présente l’avantage du coût, tout en affichant des teintes multiples.
D’autres matériaux sont également employés. C’est le cas, par exemple, du bardage métallique, cuivre, alu ou zinc. Ces solutions offrent à la fois un esthétisme unique et un entretien réduit de la façade, tout en étant très résistantes.
Enfin, les façades peuvent aussi accueillir d’autres revêtements anciens, à l’image de la brique de parement ou de la pierre. Deux techniques qui reviennent d’ailleurs doucement à la mode.

Source ETI Construction

Le marché de la maison individuelle repartira-t-il en 2015 ?

En 2015 le marché de la maison individuelle pourrait afficher une "timide" reprise, selon les constructeurs, si l'Etat soutient la primo-accession notamment via l'APL accession.

"Le marché demeure globalement en forte dépression", a estimé Christian Louis-Victor, le président de l'Union des maisons françaises (UMF) qui regroupe la majorité des constructeurs. Les ventes annuelles ont encore baissé de 4% l'an dernier, après des reculs bien plus prononcés, de 19% en 2013 et 16% en 2012.
Par régions, l'Ile-de-France (+9%) et le Nord (+8%) ont connu une croissance tandis que les régions Provence-Alpes-Côte d'Azur (-13%), Languedoc-Roussillon (-17%) et l'ouest (Pays-de-la-Loire et Poitou-Charentes, -13%) reculaient.
"Pour qu'il y ait une reprise, autour de 2% maximum, cette année, il faut une stabilité du Prêt à taux zéro (PTZ) et de l'APL (Aide personnalisées au logement) accession", a jugé M. Louis-Victor, en présentant le bilan annuel de l'UMF.
Soutenir l'accesion à la propriété
L'UMF espère que le gouvernement soutiendra l'accession à la propriété, en maintenant une enveloppe constante pour le Prêt à taux zéro (PTZ) et en préservant l'APL accession, qu'il voulait fortement restreindre dès 2015.
Ce dispositif, qui bénéficie actuellement à 500.000 ménages (30.000 nouveaux par an), a été maintenu pour un an, au grand soulagement des professionnels du secteur. D'ici là, un groupe de travail sur les APL, mis en place à l'Assemblée, proposera des pistes de réforme, dans la perspective du Projet de budget 2016.
Sur un total de 17,4 milliards d'euros distribués en 2013 au titre des aides publiques au logement (APL, ALF et ALS), l'accession ne pèse que pour 900 millions d'euros contre 16,5 milliards de soutien au locatif, fait valoir l'UMF.
Moins d'opérations en cas de suppresion de l'APL
Or une étude d'impact conduite auprès de ses adhérents par l'UMF, montre que "la suppression de l'APL accession entraînerait une remise en cause de 15 à 20.000 opérations", dit la fédération, qui regroupe 600 constructeurs de maisons.
Selon ses calculs, 20.000 opérations de moins, appréciées à un "niveau bas" de 160.000 euros (bâti + foncier), représenterait une perte de 540 millions d'euros de TVA, bien supérieure à l'économie attendue pour le budget de l'Etat, évaluée à 156 millions d'euros en année pleine, par Bercy.
Le gouvernement doit aussi "accélérer le processus d'allègement des contraintes constructives" et "clarifier ses choix budgétaires", selon l'UMF.
Source : batirama.com 

15/02/2015

Présentation de CERIC Technologies

CERIC, expert mondial des solutions et services destinés à la production des matériaux de construction en terre cuite, développe aujourd’hui un nouveau projet soutenu par une équipe d’experts et des partenaires financiers reconnus. La société met en place une nouvelle organisation en devenant CERIC Technologies.
Dans le cadre de son développement, CERIC Technologies s’appuie sur son réseau international, pour favoriser la proximité et la réactivité avec ses clients à chaque étape d’un projet, et en termes d’assistance technique, de service après vente et de pièces de rechange : « Nous parlons tous le même langage et la même langue. »

CERIC Technologies s’appuie sur une longue tradition d’innovation et de maîtrise technologique qui lui permet de tester, au travers des projets de recherche, des process et des produits innovants.
Ces projets dont le but est de promouvoir de nouvelles solutions constructives, contribuant au développement durable et à la préservation de l’environnement, sont menés en partenariat avec des clients, des universités et des grandes écoles.
Avec la volonté de s’engager pour l’innovation et l’amélioration continue du rendement des équipements et des procédés, CERIC Technologies travaille sur :

  • La diminution des consommations d’énergie,
  • L’optimisation des capacités de production des équipements proposées,
  • La réduction et la simplification des opérations de maintenance,
  • L’amélioration des interfaces homme-machine.

Par ses solutions personnalisées toujours élaborées en partenariat avec ses clients, par la qualité et la modernité de ses équipements, par ses innovations sécurisées, par son expertise, par sa disposition à assurer des services et un suivi constant et performant, CERIC Technologies s’adapte aux évolutions industrielles, aux évolutions normatives et réglementaires, aux évolutions de son époque pour assurer à ses clients le succès et la pérennité de leurs activités « car l’engagement total de CERIC Technologies pour ses clients, est leur garantie d’être performants dans le temps ».

Source CERIC TECHNOLOGIES

14/02/2015

Briquetterie d’Atuech : opération sauvetage

Briquetterie d’Atuech : opération sauvetage Le dernier vestige d’un patrimoine industriel disparu est aujourd’hui à la vente.
A ccolée à une maison, cette ancienne fabrique de tuiles et de briques typique du XIXe siècle est en vente.
La briquetterie de Massillargues-Atuech n'est pas classée monument historique. Elle est pourtant le dernier vestige d'une époque où l'on fabriquait briques et tuiles à tout va dans la commune. "On est dans un secteur où l'artisanat de la terre cuite est très vivace. Il existe depuis le Moyen Age. La tradition du vase d'Anduze en est issue. Il faut imaginer qu'autour de Massillargues, il y avait cinq tuileries au XIXe.. Et sur les cinq, il ne reste que celle-ci."
Frédéric Thuillier est archéologue de métier, mais c'est à titre personnel et avec le Gara (le groupement alésien de recherches archéologiques) qu'il s'intéresse à la vieille fabrique de Massillargues. Accolée à une maison d'habitation, celle-ci est en effet en vente, mise à prix à 120 000 €. Le risque de voir la briquetterie détruite est donc réél. "Elle est encore en très bon état, avec sa façade intacte, sa chambre de chauffe en contrebas de la route, car le niveau du sol a pas mal été surélevé. Le laboratoire de cuisson est un peu plus abîmé, mais globalement, le tout est très bien conservé", poursuit l'archéologue. Une maison de la céramique
La briqueterie a probablement fonctionné jusqu'à 1926. René Cabane est né trois ans plus tard, mais ce descendant des derniers propriétaires a des souvenirs d'enfance : "Je me souviens avoir joué avec des moules en bois ou en fer. J'ai toujours entendu dire que l'extraction de l'argile se faisait à deux pas d'ici, la matière première ne venait pas de loin", poursuit l'octogénaire qui aimerait voir ce pan de patrimoine rester debout. Mais c'est l'héritière d'une autre branche de la famille qui vend et malgré les sollicitations des amoureux de l'histoire, pas sûr que les pouvoirs publics pourront se porter acquéreur.
La commune de Massillargues-Atuech a déjà signifié son intérêt pour ce bâtiment. Elle l'a même retenu dans l'inventaire de son patrimoine rural, qu'elle a répertorié en 2010. "Nous avons écrit au président de l'agglo Max Roustan, au député William Dumas. On voudrait que tous ces décideurs aient conscience de l'intérêt d'un tel patrimoine. Il y a 50 ans, on le cassait sans se poser de question", poursuit Frédéric Thuillier. Elisabeth Hébérard, présidente du Gara, a également pris sa plume pour suggérer la création d'une Maison départementale de la céramique.
"Ici en Cévennes, le travail de l'argile est une tradition vieille de 7 000 ans, première transformation d'un matériau naturel par le feu. La présence de nombreux filons d'argile réfractaire en est à l'origine. Cette fabrique a fonctionné jusqu'au début du XXe, elle appartient à l'histoire du territoire et représente un rare vestige en place, que la galopante urbanisation actuelle des villages risque de faire disparaître à jamais." Les défenseurs du patrimoine se battront pour l'empêcher.

Source Le Midi Libre par ÉDITH LEFRANC

13/02/2015

ALGERIE- Construction : les entreprises tenues d'utiliser les produits locaux

Améliorés les procédés de fabrication des matériaux de construction, ciment, briques plâtre, mortier, c’est tout d’abord respecter les normes d’utilisation de leurs composants. Les équilibres, les rajouts, les produits chimiques, leur solidité et leur sécurité, ce savoir faire existe en Algérie grâce au partenariat avec des détenteurs du savoir dans ce domaine.
Pour promouvoir les produits d’origine algérienne, les entreprises de construction sont, désormais, tenues d’utiliser des produits et matériaux de construction de fabrication nationale dans la réalisation des différents projets financés totalement ou partiellement par l’Etat. Actuellement, les matériaux de constructions produits en Algérie sont bannis d'importation.

Source Radio Algérie

12/02/2015

Le patron de Saint-Gobain invite les « frondeurs » de Sika à une rencontre

Pierre-André de Chalendar, le PDG de Saint-Gobain, a répondu au courrier que lui ont adressé des cadres du groupe suisse hostiles à la vente orchestrée par la famille fondatrice. Le dialogue de sourds entre Saint-Gobain, qui s’apprête à prendre le contrôle de Sika, et les cadres dirigeants du groupe helvétique spécialisé dans la chimie de construction est-il susceptible de se tranformer en « entente cordiale » autour d’une table ronde en terrain neutre... en Suisse ? C’est le souhait exprimé par Pierre-André de Chalendar, le PDG du groupe français, dans un courier qu’il leur a adressé ce lundi et dont « Les Echos » ont obtenu une copie.
Dans cette missive en réponse à la lettre sévère qui lui ont envoyé le 3 février une centaine de cadres supérieurs de Sika hostiles à la vente du groupe conclue par la famille fondatrice, le patron du leader mondial de la fabrication et de la distribution de matériaux pour l’habitat leur proposent de les rencontrer afin de répondre à leurs préoccupations. Tout en réaffirmant que la décision de Saint-Gobain de respecter le contrat signé avec la famille fondatrice pour acquérir la holding Shenker-Winckler (SWH) est « irrévocable », le patron de Saint-Gobain reconnaît qu’un changement de contrôle peut être déstabilisant. Il se propose donc de donner davantage de détails sur l’opération et d’échanger avec eux sur Saint-Gobain et ses plans pour Sika.
Respecter le contrat
Dans le même temps, SWH a saisi la Commission des OPA helvétique au sujet de la vente de ses actions au groupe français Saint-Gobain. Il lui a demandé « de décider que la vente des actions de la famille Burkard à Saint-Gobain n’oblige pas (le groupe français) à lancer une offre publique d’achat » sur son concurrent, a précisé la direction de Sika dans un communiqué. Selon une porte-parole du groupe français, la famille veut faire valoir ses droits.
En décembre, le spécialiste français des matériaux de construction avait proposé 2,75 milliards de francs suisses (2,3 milliards d’euros au cours de l’époque) à cinq héritiers du fondateur de Sika qui détiennent 16,1% du capital mais 52,4% des droits de vote. La direction, une partie du conseil d’administration et un groupe d’actionnaires minoritaires s’opposent fermement à cette tentative de prise de contrôle.

Source Les Echos

Quels sont les impacts des fusions sur la culture d’une entreprise ? Comment agglomérer les cultures ? Comment les valeurs se mélangent-elles ou, au contraire, se superposent-elles ?

En rencontrant les salariés de différentes sociétés qui se sont fondues dans Locamion, avant que Locamion, elle même, ne soit reprise par Fraikin, je me pose ces questions :
prenons par exemple, France Locations absorbée par Locamion.

Cette acquisition a suscité une véritable détresse chez les salariés de France Locations.
l y avait préalablement de la défiance.
France Loc - comme on l’appelait - avait concocté dans les années 1960 plan pour se développer à Marne-la-Vallée.
En ayant eu vent au conseil d’administration de la Sceta, Locamion avait ouvert six mois avant, juste de l’autre côté du cimetière.
A l’inauguration des nouveaux locaux de France Loc, les mines étaient moroses. Ceci préfigurait l’ambiance lors de la reprise.

Seuls deux ou trois cadres de France Locations furent conservés. Ils apportaient avec eux une connaissance du matériel hors du commun, parfaitement compatible avec la culture de Fraikin.

C’est pourquoi ces cadres eurent le sentiment de prendre une revanche lors de l’absorption de Locamion par Fraikin.
Mais là, le contexte fut très différent. Fraikin décida de marier les cultures, en prenant ce qu’il y avait de mieux chez les deux.
De telle sorte, l’empreinte de Locamion put être moulée dans la trace laissée par Fraikin.
Il fallut environ cinq ans pour résorber les antagonismes nés d’une longue rivalité.

A la sortie, Fraikin avait élargi sa culture commerciale, modernisé son réseau et réconcilié les rares anciens de France Locations, les cadres supérieurs de Locamion et les historiques de Fraikin. L’empreinte de Locamion était moulée dans la trace laissée par Fraikin. C’était la preuve d’un mariage réussi.
Source histoires d'entreprises

11/02/2015

Les façades s’habillent de plaquettes en terre cuite

Les solutions d’isolation par l’extérieur offrent aujourd’hui de multiples solutions. Parmi les dernières réalisations figurent les plaquettes de terre cuite qui offrent une finition différente, à la fois performante et efficace pour isoler la construction.
La terre cuite en nouvelle solution d’isolation extérieure
L’isolation par l’extérieur des immeubles continue sa progression, se traduisant notamment par l’arrivée sur le marché de nouveaux matériaux pour l’habillage des façades. Entre performance et originalité, les produits disponibles offrent alors des façades décoratives aux styles variés.
Venant compléter sa gamme Pariso PSE-M déjà existante, ParexGroup propose une nouvelle finition en plaquettes terre cuite, à l’esthétisme revu. Il est plus particulièrement destiné à une utilisation sur les parties basses des constructions, mais également pour réaliser l’encadrement des ouvertures, les bandeaux décoratifs ou les loggias, par exemple. Il s’intègre aussi parfaitement à des façades mixtes, composées de différents matériaux pour donner un nouveau style architectural.
Une pose en plusieurs étapes
Ce nouveau revêtement de façade intégré à la gamme Pariso PSE-M de ParexGroup est adapté à toutes les parois verticales et planes, réalisées en maçonnerie ou béton, ou recouvertes d’un enduit notamment. Il comprend différents composants avec, en premier lieu, la pose d’un isolant polystyrène collé ou chevillé, puis deux couches de sous-enduit et enfin les plaquettes terre cuite collées et jointées. Il s’adapte tant aux surfaces neuves qu’anciennes.
Cette solution ITE bénéficie également d’une importante résistance au feu et aux chocs, tout en offrant une façade revue, à la fois moderne et performante pour venir protéger et isoler efficacement le bâtiment du froid et des intempéries.

Source ETI Construction