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10/10/2013

TOP CLEAN de Poujoulat, système de filtration des fumées par électrofiltre

Première énergie renouvelable en France, le bois est la source de chauffage d’appoint ou principal d’une maison individuelle sur deux. Plus de 6 millions de foyers possèdent un chauffage au bois. Ce chiffre augmente d’année en année car les français ont pris conscience de la nécessité de préserver l’environnement, de réduire leur dépendance énergétique vis-à-vis des énergies fossiles et enfin, de réduire leur poste de dépense « énergie ».
Pour une bonne combustion La filière bois énergie, portée par la volonté de tous les acteurs, s’engage aujourd’hui sur une utilisation propre du bois énergie en respectant l’association suivante :
• un combustible de qualité (NF) testé en laboratoire,
• un appareil de chauffage à haut rendement, étanche et testé avec le conduit,
• un conduit de fumée certifié et étanche.
Pour les appareils de chauffage, une parfaite combustion est garantie par une installation conforme réalisée par un professionnel et un entretien régulier. Pour les appareils dont les caractéristiques techniques ne répondent pas aux critères définis dans certaines zones réglementées, deux possibilités s’offrent à l’utilisateur : changer son appareil pour un appareil de nouvelle génération en adaptant le conduit avec l’installation, ou bien mettre en place le système TOP CLEAN.
TOP CLEAN nettoie les fumées par ionisation des poussières et assure le fonctionnement des appareils à bois dans des zones réglementées ou pour d’anciennes installations de chauffage.
En intégrant le système Oeko Tube, Poujoulat propose une solution innovante de filtration pour la rénovation et le neuf. Le nouveau système de filtration TOP CLEAN de Poujoulat anticipe les attentes des consommateurs qui se préoccupent de rendre l’utilisation du bois énergie totalement neutre pour l’environnement.
Grâce à une sonde de température, TOP CLEAN s’enclenche dès que la température augmente à l’intérieur du conduit de fumée. Le générateur haute tension muni d’une électrode, suspendue et centrée dans le conduit, charge électriquement les particules fines qui s’agglomèrent sur les parois. Les flocons de poussières, ainsi formés, sont collectés lors des opérations d’entretien et de ramonage effectué par aspiration. Deux systèmes d’intégration sont disponibles : dans les sorties de toit Poujoulat ou dans le conduit traditionnel.
Les avantages du système TOP CLEAN : • efficacité de traitement des poussières jusqu’à 92 %, sur les particules fines PM10 et PM2,5 issues d’une combustion incomplète,
• adaptable sur tous les types de conduits (inox, traditionnel) et dans les sorties de toit Poujoulat, • ramonage possible par le haut ou le bas,
• pour la rénovation et le neuf, en foyer ouvert ou fermé,
système breveté, testé par le laboratoire CERIC,
• Avis Technique en cours de validation.
Améliorer la qualité de l’air dans les grandes agglomérations
Pour un chauffage d’appoint ou une flambée occasionnelle, les consommateurs déjà équipés d’appareils, remettent en fonctionnement ou utilisent plus intensément leurs installations. Cela peut représenter pour les appareils de chauffage au bois d’ancienne génération (plus de 15 ans), des interrogations sur la propreté des rejets dans l’atmosphère. En effet, les vieux appareils de chauffage au bois et les foyers ouverts sont plus émetteurs de particules que les foyers actuels labellisés qui proposent des rendements supérieurs à 85%.
Afin de limiter les émissions de particules dues aux anciens équipements de combustion individuels au bois, des mesures ont été proposées par les services de l’Etat après concertations, en charge de l’élaboration du plan de protection de l’atmosphère en Ile-de-France. Ce plan, approuvé par arrêté interpréfectoral le 25 mars 2013, prévoit l’interdiction totale de l’utilisation des foyers ouverts à compter du 1er janvier 2015 en zone sensible. Le remplacement des équipements de plus de 15 ans par des installations performantes sera recommandé et encouragé.
En zone réglementée, les résidents souhaitant encore utiliser leur cheminée devront donc équiper le foyer afin de le rendre faiblement émetteur de particules. Dans ce cas de figure, la mise en place d’une filtration est parfaitement adaptée.

Source Batipresse

09/10/2013

Une étude sur le devenir de la tuilerie Imerys de Blajan

Le groupe Imerys a décidé la fin de la fabrication de la tuile à Blajan. Il en a informé les salariés au cours de l’été. Aujourd’hui, la tuilerie ne produit plus. La direction a proposé un plan social au personnel, plan contesté jeudi dernier, devant le tribunal de Grande Instance de Toulouse, pour insuffisance et non respect de la procédure.
Le jugement sera rendu le 31 octobre (notre édition du 27 septembre). De leur côté les élus, par leurs actions, essaient de trouver des solutions pour que perdure l’activité sur l’usine blajanaise. Lors du conseil communautaire de juillet dernier, les délégués à la Communauté de communes du Boulonnais, à la demande du président Alain Boubée, avaient voté à l’unanimité sur le principe de faire appel à un bureau d’études pour essayer de trouver une solution viable. En effet deux axes avaient été abordés avec Midi Pyrénées Expansion : une nouvelle activité sur le «vêture» (bardages, parements,…) permettant la mise aux normes d’habitats anciens et un projet de production d’énergie par pyrolyse. Samedi dernier, l’assemblée communautaire a entériné cette étude de positionnement du devenir de la tuilerie de Blajan, en choisissant un bureau d’études suite à un appel d’offres. Il en coûtera globalement 14 000 € hors taxes. Une aide a été demandée à la Région.
La Dépêche du Midi

Cleia décroche un contrat de 4,5 millions d’€ en Biélorussie.

Le concepteur et installateur d’unités complètes clé en main pour les professionnels des matériaux de construction en terre cuite – briqueteries et tuileries – et les industries céramiques, basé à Nolay (Côte-d’Or), réalisera une nouvelle ligne de production de briques pour la société MZSM, 2ème plus important producteur de briques de Biélorussie.
Cet équipement très innovant comprend un nouveau groupe d’extrusion, une ligne de coupe de briques de parement avec chanfreinage, les circuits de lattes automatiques, les transbordeurs automatiques ainsi qu’un nouvel empileur robotisé multi-produits : briques de parement et blocs isolants.
Après une année 2013 relativement difficile, en raison de commandes différées, l’ingénieriste bourguignon retrouve le sourire. De 20 millions d’€ de chiffre d’affaires, l’entreprise compte atteindre les 30 millions cette année.

Source Traces Ecrites

08/10/2013

Wienerberger en Belgique , ce sont Desimpel, Terca, Koramic

Wienerberger Belgium fait partie du groupe international Wienerberger. La société a été fondée à Vienne en l’an 1819. Pendant ce temps, le groupe est devenu l’un des plus grands producteurs de briques dans le monde avec une position forte dans la production de tuiles en terre cuite.
Wienerberger s’efforce continuellement d’innover avec des concepts et des solutions de construction intelligents. Le groupe Wienerberger est activement présent dans 30 pays et emploie 230 dans les usines pour travailler. 13 000 employés
Wienerberger a pris une position forte sur le marché belge des briques, des murs intérieurs, des tuiles en terre cuite et des pavés. Tant par croissance organique que par des acquisitions, Wienerberger Belgique dispose de 15 sites de production dans notre pays, avec un effectif total de plus de 1 120 employés. Les 18 carrières d’argile sont généralement situées dans le voisinage des usines. Le siège social se trouve à Courtrai. Certaines marques bien connues du groupe : Terca, Desimpel, Porotherm et Koramic.

Source L'Avenir

TERREAL mise en place d’une gouvernance adaptée à la nouvelle détention actionnariale du Groupe en privilégiant les administrateurs indépendants au sein du nouveau conseil d’administration aux côtés d’Hervé Gastinel

Ancien élève de l’Ecole Polytechnique et de l’ENA, Gilles Auffret devient auditeur à la cour des comptes en 1975. Chargé de mission auprès du directeur général de l’Industrie, il est détaché au groupe Pechiney en 1982. Après quelques années où il exerce différents postes dans les unités de production du groupe, il passera 5 années dans ses activités emballage puis dans la division Aluminium primaire à partir de 1991, dont il deviendra Directeur général en 1994. Il est nommé chez Rhodia Directeur général délégué chargé de la division Polyamide en 1999, puis devient Directeur général des opérations en 2001. Enfin, en 2011, à la suite du rachat par Solvay, Gilles Auffret est nommé Directeur général du secteur Rhodia et Membre du comité exécutif de Solvay.

07/10/2013

L’innovation sauve Imerys tuiles

SAINT-GEOURS-D’AURIBAT:  La crise de la construction neuve pèse sur la tuilerie landaise
Le directeur de l’usine de tuiles Imerys de Saint-Geours-d’Auribat (Landes), Didier Monot, n’est pas peu fier de montrer une usine à la pointe de la technologie. Créée en 1880, la tuilerie est aujourd’hui presque totalement automatisée. « La première personne à toucher une tuile, c’est le couvreur sur le toit », explique le directeur.
Ainsi, si, dans son âge d’or, l’usine a parfois connu jusqu’à 250 employés, aujourd’hui ils ne sont plus que 100, tous du secteur. « Mais on était tombé autour de 80, on a rembauché ces dernières années », ajoute Olivier Lafore, directeur du marketing. Pourtant, la conjoncture actuelle n’incite pas à l’optimisme pour Imerys, leader de la vente de tuiles en France (autour de 40 % de part de marché). En effet, la crise de la construction de logements neufs fait logiquement baisser les ventes de tuiles : moins 20 % en moyenne depuis six ans.
Des tuiles photovoltaïques
Olivier Lafore ne jure que par un mot pour garder la tête hors de l’eau : innovation. Là où le béotien s’imagine qu’il n’existe que quelques modèles ancestraux, Imerys déploie une très large gamme. Ils ont notamment développé des tuiles photovoltaïques. « On se doit de coller aux demandes du marché », estime le directeur du marketing.
Didier Monot se veut rassurant sur les sources d’argile qui alimentent la tuilerie, en lisière de l’usine : il y en a encore pour plus d’un siècle. Mais il ne cache pas que ce ralentissement du marché pèse sur l’usine, évidemment. « Il y a encore quelques années, on produisait tous les jours. Ce n’est plus le cas. Pour l’an prochain, 14 semaines d’arrêt des fours sont déjà prévues. »
Source Sud Ouest par Par Pierre Garrat

06/10/2013

CERIC, 50 ans d’expérience et de savoir-faire au service des industriels de la terre cuite et des céramiques techniques.

Créé en 1960 par Michel Rasse et Jean Mérienne, ingénieurs spécialisés issus du Centre Technique des Tuiles et Briques, CERIC (Centre d’Etudes et de Réalisations Industrielles et Commerciales) a été fondé pour la réalisation d’équipements et le développement de technologies dans le domaine des matériaux de construction en terre cuite, et pour la conception de nouvelles unités de production. CERIC a été, et est toujours un acteur essentiel dans l’évolution de cette profession en développant et en maîtrisant chacune des technologies nécessaires à ce métier :

  • Le traitement des matières premières et la mise en forme des produits,
  • La thermique industrielle: séchoirs, fours, brûleurs,
  • Les manutentions automatiques et la robotique,
  • Les mesures, les automatismes et l’informatique industrielle pour la supervision des usines.

CERIC a d’abord entamé ses activités en France, en démontrant sa capacité à maîtriser et adapter les technologies modernes, afin d’apporter des solutions nouvelles. Dans le cadre des partenariats avérés, les innovations apportées par CERIC ont permis à ses clients d’acquérir des positions prépondérantes sur leurs marchés.
CERIC a ensuite exporté sa technologie et ses innovations en Europe, en Australie puis aux USA, et au fur et à mesure de son évolution, des bureaux techniques et commerciaux ont été créés en Espagne, en Italie, en Afrique du Nord, en Russie et en Ukraine.
En Mars 2010, CERIC prend le nom de CERIC Technologies et se reconcentre sur son coeur de métier : la transformation de l’argile.

Source CERIC Technologies

La tuile Koramic/Wienerberger de Lantenne-Vertière fête ses 350 ans !

L'usine Koramic qui produit 55 millions de tuiles par an a fêté ses 350 ans d'histoire ce jeudi 3 octobre 2013 en présence des 180 salariés qui ont accueilli le sénateur et président du conseil général du Doubs, Claude Jeannerot, et le maire de Lantenne-Vertière, Thierry Malesieux.

55 millions de tuiles par an, c'est l'équivalent de la couverture de 90 maisons individuelles par jour ! Basée à Lantenne-Vertièr, Koramic est adossée à la plus ancienne carrière exploitée et exploitable de France qui s'étend sur 60 hectares.
Neuf modèles de tuiles différents de 43 teintes possibles, sortent trois lignes de fabrication automatisées. La quatrième ligne fabrique des accessoires céramiques de finition de toiture. Aujourd'hui, le groupe Wienerberger*, qui contrôle Koramic depuis 2004, assure vouloir pérenniser la production industrielle au cœur des régions.
350 ans d’histoire

1663 : fabrication de la première tuile
Le Comte d'Etrabonne décide de créer une tuilerie à Lantenne-Vertière, site géologiquement réputé pour son argile.Le bâtiment de production ressemblait à une grande tente formée d’un toit à quatre faces qui descendait presque jusqu’au sol. L’absence de murs assurait alors la circulation de l’air pour sécher les tuiles venant d’être moulées.
Jusqu’en 1881
Plusieurs propriétaire se succèdent et agrandissent les ateliers de production. La famille Paul-François Migeon Migeon insuffla une nouvelle impulsion industrielle majeure. La production atteignait 300 tuiles/jour, principalement vendues dans un rayon de 8 kilomètres alentour.
1934
Albert Migeon, diplômé des Arts et Métiers prend la succession de son père et transforme les moyens de production. Il invente de nouveaux systèmes de production comme la fosse à terre ou encore le four à feu continu et mobile…
1966
Albert Migeon laisse les commandes à Alain Migeon et Philippe Lafaurie. L'entreprise Migeon Tuiles est rachetée en 1998 par le groupe Koramic, société elle-même intégrée au groupe international Wienerberger depuis janvier 2004.
*Dirigé par Francis Lagier, le groupe Wienerberger occupe le marché français, avec 12 sites industriels et 900 collaborateurs, pour un chiffre d’affaires de 186 millions d’euros en 2012. Wienerberger c'est aujourd'hui la brique Monomur (1976), la tuile Panne Koramic (1980) qui demeure l’unique tuile très faible pente, la Maçonnerie Roulée® (1996), la Maçonnerie à joint vif pour la façade (2006) ou plus récemment le procédé de mise en œuvre Dryfix®

05/10/2013

Loir et Cher : L'histoire des tuileries et briqueteries exposée

L'office du tourisme et syndicat d'initiative (OTSI) de La Ferté-Saint-Aubin accueille, jusqu'au 10 octobre, une exposition présentant les travaux du Groupe de recherches archéologiques et historiques de Sologne (GRAHS). Le GRAHS, dont le siège social est à Lamotte-Beuvron, fort de 270 adhérents, historiens de profession pour certains, mais tous passionnés d'histoire et notamment de la Sologne, présidé par Bernard Heude, peut être fier de ses 35 ans d'existence riche en publications périodiques, en livres et expositions couvrant tous les domaines de l'histoire de la Sologne de ses origines à nos jours. L'objectif essentiel du GRAHS est de faire profiter un public aussi large que possible des richesses historiques de la Sologne. Mais ses travaux et efforts sont particulièrement récompensés quand ils débouchent sur la mise en valeur d'un patrimoine inconnu ou oublié tel que ce fut le cas pour un bassin d'alevinage à Cheverny ou d'un sarcophage mérovingien à Souesmes, ou même sur un chantier de restauration comme ce sera le cas pour le monument aux morts d'Isdes en briques et terre cuite, unique en son genre.
L'exposition est notamment consacrée, outre la présentation générale du GRAHS, à l'histoire des briqueteries et tuileries de Sologne tant du point de vue construction des briqueteries que de la technique de fabrications sans oublier l'aspect humain concernant les hommes y travaillant. Les graffitis souvent inscrits dans les briques sont une source d'informations que l'exposition aide à comprendre. Une collection privée d'objets beaucoup plus rares que les briques, appartenant à Jean-Claude Couvret, complète l'exposition.

Source La Nouvelle République

Belgique: Thomas & Piron achète la briqueterie Wienerberger de Wanlin

Le site de la briqueterie de Wanlin, un ancien fleuron wallon, est acheté par T & P qui veut en faire un parc d’activités économiques.

On en est au stade de la signature d’un protocole : la société Thomas & Piron, d’Our (Paliseul) reprend la briqueterie de Wanlin (Houyet).
La société de construction paliseuloise Thomas & Piron confirme la signature d’un protocole d’accord avec Wienerberger pour la reprise du site de la briqueterie de Wanlin (Houyet). T & P s’associe à la firme Nonet pour créer deux entreprises sur le site de la briqueterie.
La société Nonet existe depuis 55 ans, emploie 70 personnes et a son siège social à Bois-de-Villers (Profondeville). Elle est spécialisée dans la technique de stabilisation des sols et elle a développé une technique durable pour reboucher les fouilles en voiries, en évitant les tassements.
T & P et Nonet ont donc créé deux sociétés :
1. Argibat, qui va s’investir dans la valorisation et la commercialisation de l’argile de Wanlin dont la qualité est reconnue depuis plus de cent ans. Argibat devrait fabriquer des briques crues (non cuites) et des préparations à base d’argile pour la réalisation de plafonnages et d’enduits, perpétuant ainsi les qualités particulières de cette ressource locale (brique ultra-solide).
2. La société Recybat créerait sur le site de Wanlin un centre de recyclage de matériaux de construction et réaménagerait la plateforme de manière à accueillir in fine un parc d’activités économiques orienté vers l’éco-construction.
Le but à terme sera de créer sur ce site situé à deux pas de l’E411, un parc d’activités économiques dédicacé à de l’éco-construction.
La briqueterie de Wanlin avait été achetée en 2002 par le groupe Wienerberger. Depuis mars dernier, en raison de coûts énergétiques jugés trop élevés par le groupe autrichien, la briqueterie avait été mise à l’arrêt, mettant ainsi 22 personnes au chômage économique.
Entre-temps, un groupement wallon emmené par Thomas & Piron, associé à l’entreprise Nonet, s’est porté candidat à la reprise du site et des activités dans les limites autorisées par Wienerberger.
Neuf personnes engagées en mars prochain ?
Sur les 22 personnes qui ont perdu leur travail, neuf peuvent espérer retrouver une occupation sur le site avant le 31 mars prochain. Tout ça, sous réserve d’obtenir les permis d’exploiter et autorisations administratives nécessaires aux deux premières activités projetées et la levée des clauses suspensives émises par Wienerberger.
Source L'Avenir  par Philippe Carrozza

ALGERIE: La fabrication localement de matériaux de construction, en débat à Illizi

La possibilité d’ouverture d’unités de fabrication de matériaux de construction, dont le ciment, au niveau de la wilaya de Illizi, a été au centre d’une rencontre de concertation tenue dimanche à IIlizi. La rencontre s’est déroulée en présence des cadres du groupe industriel des ciments d’Algérie (GICA), de la société de gestion des participations (SGP) Est et Sud-est, et des autorités et cadres locaux.
Le GICA a arrêté un programme ’’ambitieux’’ pour la création d’unités de ce type dans différentes régions du pays, dont la wilaya d’Illizi qui dispose de larges potentialités en ce qui concerne les matières premières entrant dans la fabrication du ciment, a indiqué son président directeur général, M. Yahia Bachir.
Une équipe de géologues effectue actuellement des études de marché et de faisabilité, dans la perspective de création d’une cimenterie dans la commune de Bordj Omar Driss (700 km au nord d’Illizi), a-t-il fait savoir.
Le même responsable a fait part de la possibilité aussi d’ouverture au niveau local d’unités de production d’autres matériaux de construction, tels que le carrelage, le plâtre, le marbre et le parpaing de ciment.
Le Pdg de la SGP Est et Sud-est, M.Djamel Haffane, a, pour sa part, affirmé la disposition de la SGP à lancer, dans des délais proches, des unités de production dans la wilaya de Illizi, à l’instar de celles réalisées au niveau de certaines autres wilayas du Sud (Ouargla, Tamanrasset, El-Oued et Biskra).
Le wali de Illizi, M. Ali Madoui, a souligné, quant à lui, le retard accusé par certains projets de développement du fait justement du manque de ciment et de l’éloignement des points d’approvisionnement en la matière, avant d’afficher la disposition de la wilaya à contribuer à la concrétisation de cet ambitieux projet "tant attendu par la population locale".
Le chef de l’exécutif de la wilaya d’Illizi a convié les responsables de ces deux institutions à examiner aussi l’éventualité de formation des jeunes de la région en vue de leur recrutement au niveau des unités projetées, et de la possibilité d’exporter les matériaux de construction à être produits dans la wilaya vers les pays limitrophes.
Ont pris part à cette rencontre les responsables locaux des secteurs du commerce, de l’énergie et des mines, du développement industriel et de la promotion de l’investissement.

Source Le temps d'Algérie

03/10/2013

Changement de têtes chez Monier, en France et en Europe

Monier vient d’annoncer la nomination de Chris Morgan comme nouveau président de Monier Ouest Europe et de Jacques Llados comme Directeur Général de Monier France.
Jacques Llados est entré comme Directeur commercial et Marketing de Monier France en début d’année 2013 et Chris Morgan est dans le groupe Monier depuis 13 ans. Ces deux responsables vont avoir la rude tâche de maintenir le rang d’une société qui est, comme ses principaux concurrents, prise dans la tempête que traverse le bâtiment en Europe et en France et plus particulièrement le marché de la maison individuelle neuve.
Dans ce contexte de crise durable, ce changement de direction à la tête de deux zones géographiques importantes de Monier, marque sans doute le niveau de difficulté auxquels les industriels de la tuile et leurs dirigeants sont confrontés. Signe qui ne trompe pas, Monier comme les autres grands tuiliers ne sera pas présent à Batimat, en novembre prochain.
Pourtant Monier ne reste pas sans réagir. Jacques Llados a présenté à Batiweb, sa stratégie de développement sur le marché français. Elle s’appuie sur les points forts traditionnels de Monier, les tuiles bétons, maintenant renommées Minéral, les composants de toiture et de nouveaux coloris de la gamme de tuiles terre cuite et Minéral. Mais ce sont ses produits récents d’isolation par l’extérieur, qui vont permettre à Monier, selon Jacques Llados, de se positionner sur le marché porteur de la rénovation thermique du bâtiment.
Grâce à cela, Monier espère prendre des parts de marché importantes dans les années à venir et mieux imposer sur le marché la notion de toiture complète. Ce concept, associant tuiles, composant et isolation par l’extérieur, permet aux couvreurs de traiter la rénovation des toits en une seule opération et en respectant un haut niveau de performance énergétique. Pour l’avoir rencontré à plusieurs reprises, nous ne doutons pas de la détermination de Jacques Llados à entraîner ses équipes sur cette pente, qui reste quand même assez rude vu le contexte économique.
Nouveautés produits 2013
Pour les tuiles, c’est une nouvelle tuile, la Mediévale, issue de la gamme Minéral, qui est destinée à répondre aux rénovations haut de gamme sur les toitures à petite tuiles plates, en Normandie et ailleurs. Ce sont aussi de nouvelles couleurs qui s’ajoutent à la gamme Minéral et la gamme Terre cuite. Un nouveau closoir, le RapidRoll, complète la gamme des composants de toiture, aujourd’hui complètement adoptée par beaucoup de couvreurs, pour le gain de temps, la simplicité de pose et la fiabilité qu’elle apporte. Enfin, Clima Comfort Réno et Clima Comfort Sun (avec écran réfléchissant pour un meilleur confort d’été), les solutions d’ITE toiture de Monier restent au centre du dispositif produit de cet industriel, qu’on hésite encore à qualifier de tuilier.

Source Batiweb

Le SNBVI promeut la "façade intelligente"

Le Syndicat national des bardages et vêtures isolés (SNBVI), une fédération de dix industriels créée en juin dernier, unissent leurs savoir-faire pour défendre le nouveau concept déposé de la "façade intelligente".
Le syndicat national des bardages et vêtures isolés a pour objectif principal de développer des actions dans les domaines techniques, de recherche et développement, de formation et de communication autour de la vêture, du bardage et plus généralement de l'isolation thermique par l'extérieur (ITE). Comptant dans ses rangs des experts tels que Carea, Eternit, Fundermax, James Hardie, Rockwool, Terreal, Trespa, Vetisol, VMZinc ou Wienerberger, le SNBVI entend promouvoir le concept déposé de la "façade intelligente". Ainsi, les sociétés membres auront pour mission de proposer aux institutionnels, prescripteurs, entreprises et maîtres d'ouvrage un ensemble de solutions techniques et esthétiques innovantes.

Source France BTP

02/10/2013

IMERYS : finalise la cession d'Imerys Structure pour 75 millions d'euros

Le spécialiste des minéraux industriels et des matériaux de construction Imerys (NK.FR) a annoncé mardi 01 Octobre la finalisation de la vente lundi 30 Septembre de son activité Imerys Structure, au fabricant de matériaux de construction en terre cuite, Bouyer-Leroux, pour une valeur de 75 millions d'euros.
Ce montant est basé sur le chiffre d'affaires prévisionnel de cette division en 2013. Imerys Structure est présent sur le marché français des matériaux de construction en terre cuite tels que les briques de murs et de cloisons et les conduits de cheminée.
Imerys avait annoncé le 12 décembre avoir reçu une offre d'achat de Bouyer-Leroux pour Imerys Structure.
Le groupe a également annoncé au début du mois dernier qu'il étudiait la possibilité d'une cession de quatre sites de carbonate de calcium.
En Bourse, Imerys gagne 0,6% à 51,92 euros et 7,6% depuis le début de l'année.

Source Zonebourse

01/10/2013

Les salariés d'Imerys Blajan veulent l'annulation du plan social

Une quarantaine de salariés de la tuilerie de Blajan ainsi qu’une douzaine de maires de la communauté de communes du Boulonnais sont venus soutenir, hier après-midi devant le tribunal de grande instance de Toulouse, la demande d’annulation du plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) déposée par le comité central d’établissement du groupe Imerys.
Ce PSE prévoit le licenciement pour raisons économiques de 25 des 27 salariés non-cadres employés sur le site de Blajan. Mais pour Me Jean-Bernard Castex, conseil des salariés, ce plan n’est pas valide.
D’abord parce que le motif économique invoqué ne résiste pas à l’analyse des comptes du groupe qui a réalisé 13 millions d’euros de résultats nets en 2012.
Ensuite parce qu’il ne respecterait pas les règles en matière de formation et de reclassements des salariés licenciés en leur proposant notamment des postes dans des sociétés en passe d’être vendues.

Enfin, parce que la mise en place de ce plan «s’est déroulée dans un climat délétère de violence et de menaces qui ont contraint des membres du CCE à déposer une main courante auprès de la gendarmerie de Boulogne-sur-Gesse.» Face aux salariés, l’avocat du groupe Français s’est efforcé de dresser le portrait «d’un beau plan social», doté d’une enveloppe globale de 4,2 millions d’euros.

Le tribunal rendra son jugement le 31 octobre. Mais cette décision n’éteindra pas l’ensemble des contentieux qui oppose Imerys aux salariés mais également à la mairie de Blajan qui a déposé un recours auprès du tribunal administratif pour empêcher le groupe de poursuivre l’exploitation de la carrière d’argile qu’il possède à Blajan après la fermeture de l’usine.

Source La Dépêche du Midi

IMERYS terre cuite ne connait pas la crise

Avec 84 M€ de résultat 2012 la branche terre cuite d'Imerys traverse la crise en préservant sa compétitvité

Clôture   CA   Résultat
31/12/2012   401 702 K€   84 466 K€
31/12/2011   433 737 K€   86 203 K€
31/12/2010   395 204 K€   83 752 K€
31/12/2009   418 266 K€   83 422 K€


Source Infogreffe

30/09/2013

La construction neuve toujours très fragile

Après une timide reprise le mois dernier, la construction neuve de logements continue d'afficher une faible hausse sur les trois derniers mois, mais les perspectives semblent s'assombrir, indiquent les chiffres du ministère de l'Ecologie publiés ce mardi.

Ça va un peu mieux dans le secteur de la construction de logements, au moins pour les mises en chantier qui progressent de 2.1% sur un an entre juin et août 2013, contre +4.7% entre mai et juillet derniers. Si les indicateurs sont toujours au vert, l'euphorie n'est plus de mise. Les derniers chiffres publiés par le ministère de l'Ecologie montrent ainsi que le nombre de mises en chantier – soit le nombre de logements commencés – est en décélération légère par rapport à fin juillet, à 78.075 unités. En outre, sur les douze derniers mois (sept.-12/août-13), la baisse s'élève à -11.1%, à 342.815 unités.
"Ces chiffres sont sans surprise, a commenté Bruno Heitz, économiste à la Société Générale, au micro de l'AFP. Les mises en chantier se sont stabilisées à un très bas niveau ces derniers mois, comme le montrent les enquêtes de conjoncture dans le bâtiment, qui ne donnent aucun signe de reprise, contrairement à celles de l'industrie". Plus en détail, on notera que les mises en chantier des logements neufs, sur les trois derniers mois, croissent de 3.6% (69.409 unités), tandis que les constructions sur bâtiment existants chutent de 8.7% (8.666 unités). Sur un an, les deux secteurs enregistrent des baisses respectives de -11.5% (302.523 unités) et de -7.9% (40.292).
Effondrement des permis de construire
En revanche, du côté des permis de construire, soient les futures mises en chantier, c'est la descente aux enfers qui se poursuit. On assiste ainsi à une chute globale très prononcée de25.2% sur un an, entre juin et août derniers, à 98.795 unités. Sur douze mois, la baisse atteint -13.5%, à 457.669 autorisations à construire.
De fait, les observateurs ne s'attendent pas à une amélioration de la situation, à l'instar de Bruno Heitz qui estime que la morosité perdurera : "L'environnement économique n'aide vraiment pas, la crise ne pousse pas à s'engager à long terme, et l'environnement fiscal n'est pas très stable, ce qui n'est pas bon pour le secteur". Et d'insister : "Je ne m'attends ni à une reprise ni à un effondrement… à l'image de l'économie française qui stagne. Pour que la construction redémarre, il faudrait une amélioration de l'environnement économique". Il ajoute même : "On sait d'ores et déjà que l'année 2013 sera une mauvaise année pour le bâtiment, et on ne s'attend pas à une véritable amélioration l'an prochain".
Vivement 2015…
Il y a quelques jours, la Fédération française du bâtiment tenait des propos peu ou prou similaires. Même si elle se gardait bien de parler de "reprise" ou de "sortie de crise", elle révisait à la hausse ses prévisions pour l'activité de 2013, à -2.5%, au vu justement des remontées des mises en chantier. "On attend un deuxième semestre [2014, ndlr] qui montre, au pire, un palier, au mieux une reprise", indiquait Didier Ridoret.

Source Batiactu

Grossouvre en fête ce week-end, fière de son histoire et de son industrie

Le week-end des 28 et 29 Septembre, la commune de Grossouvre a fêté comme il se doit ses cent-cinquante ans. Une histoire fondée sur le développement industriel.
Dans le canton de Sancoins, niché au milieu d’une terre argileuse riche en minerai de fer, le village de Grossouvre concilie avec une belle maturité modernité et tradition. Il faut dire que son histoire est riche d’un patrimoine minier et industriel qui fut, à une époque, source de richesses et de prospérité. Depuis, bien sûr, la tradition du faire face à l’évolution de la société qui abandonne peu à peu ses usines. Mais pas question pour autant pour Grossouvre de sombrer dans l’oubli de l’Histoire. C’était sans compter sans la volonté de sa population de continuer à porter le flambeau d’une histoire qui ne semble pas prête de s’arrêter.
Grossouvre, village né de l’industrie
Ce week-end, le village tout entier s’est réuni pour fêter comme il se doit les cent-cinquante de Grossouvre, entre festivités et histoire justement. « 1868-2013, Grossouvre, un village né de l’industrie ». Le thème est lancé et se retrouve dans le méticuleux travail de l’association Aubois de terres et de feux qui a rassemblé dans un petit fascicule cette histoire de Grossouvre. On y apprend ainsi que c’est sous l’impulsion de la famille Aguado que le village a pris de l’ampleur et est devenu commune en 1863. Le déclin de la métallurgie à partir de 1879 ne signe pas la désertification de la commune. L’usine, les logements ouvriers construits par la famille Aguado sont rachetés et transformés en tuilerie-briqueterie mécanique en 1901 assurant quelques années prospères à Grossouvre. Notamment grâce à sa proximité avec le canal de Berry. Aujourd’hui, bien sûr, Grossouvre, comme d’autres, se bat pour continuer d’exister et le maire, Michel Monceau, n’a de cesse de la rappeler. Dans son discours précédant l’ouverture des festivités, il parle du « dynamisme » de sa commune tout en regrettant le peu d’attrait pour la Halle de Grossouvre.
À ses côtés, le député Yann Galut (PS) se félicite devant ce dynamisme et insiste sur l’importance pour les parlementaires de conserver un pied dans les communes de leur circonscription. Puis les festivités se déroulent au rythme du week-end. Un puzzle fait de chêne et réalisé par le trésorier de l’association, Bernard Declerck, est dévoilé en présence des enfants du village qui viennent y apposer les trois derniers morceaux manquants : des pièces représentants les communes environnantes.
Récits
Le même Bernard Declerck donnera quelque temps plus tard une conférence sur la création de la commune de Grossouvre. Mais une conférence volontairement en dehors des sentiers battus où l’on entend le récit de la découverte, en 2004, des traces d’une villa gallo-romaine près de Grossouvre ou encore la tragique histoire de François-Jean Lefebvre de La Barre dernier condamné à mort sur des accusations d’irrespect de religieux en France.
Pour compléter ces récits, une exposition réalisée là encore par l’association Aubois de terres et de feux est proposée au public dans l’enceinte de l’église. Très documentée, elle permet de retracer l’histoire de la commune dans ses moindres détails. Dans le même temps, le maire invite la population a le suivre pour une visite de la Halle de Grossouvre qui reste étrangère pour de nombreux habitants?! C’est dire.
Bien entendu, une telle fête d’anniversaire méritait bien un feu d’artifice, une brocante et autres festivités. Un peu contrariées certes par le temps orageux mais le cœur y était. Après tout l’on n’a pas tous les jours cent-cinquante ans?!….

Source Le Berry par Frank Simon

29/09/2013

CERIC Technologies sera présent sur les prochains salons internationaux suivants:

  • SAUDI BUILD : du 04 au 07 novembre – Riyadh – Arabie Saoudite – Pavillon France
  • 42. Encontro Nacional da Indústria de Cerâmica Vermelha : du 25 au 28 octobre – Recife – Pernambuco – Centro de Convenções de Pernambuco – stand 46
  • ORAN EXPO : du 20 au 23 octobre – Oran – Algérie – Nouveau Centre des conventions d’Oran – Pavillon France
  • ASEAN Ceramics : du 11 au 13 septembre – Bangkok – Thaïlande – Bitec – Hall 101 – stand G13
  • Kazbuild : du 03 au 06 septembre – Almaty – Kazakhstan – Atakent International exhibition Centre – Pavillon 9 – rez de chaussée -stand 9-405
  • Batimatec : du 4 au 8 mai – Alger – Algérie – Pavillon France
  • Mosbuild  : du 2 au 5 avril – Moscou – Russie – Expocentre Pavillon 7 – Hall 1 – stand M 327
  • Yugbuild : du 27 février au 2 mars – Krasnodar – Russie – Huban Expo Centre – Pavillon France – stand 1145
  • Uzbuild : du 26 février au 01er mars – Tachkent- Ouzbékistan – Uzexpocentre – stand A48
  • Kievbuild : du 20 au 22 février – Kiev – Ukraine- International Exhibition Center – Pavillon 3 – stand N°3-E.4.1
  • Sibbuild : du 5 au 8 février – Novossibirsk -Russie – International Exhibition Center – Hall B – stand B 255

28/09/2013

Montricoux. Construction en terre crue : un inventaire de plus en plus complet

Un collectif pour retrouver les techniques anciennes les plus secrètes de la construction en terre crue.
Le pays Midi-Quercy a mis une nouvelle fois la terre crue à l’honneur lundi 16 septembre, à l’occasion de la cinquième rencontre du Collectif des professionnels de la construction en terre crue de Midi-Pyrénées.
Au programme, visite d’une maison en paille et en terre crue à Vaïssac, suivie d’une réunion dans la salle des mariages de la mairie de Montricoux avec une présentation spéciale du service de l’inventaire du patrimoine. Carole Stadnicki et Sandrine Ruefly, chargées d’inventaire, ont offert de manière synthétique et ciblée le résultat de huit années d’étude sur le pays Midi-Quercy menées avec un intérêt particulier pour la terre crue et la volonté constante de comprendre le bâti ancien, du plus prestigieux au plus modeste.
Ce patrimoine bâti en terre crue est pauvre en témoignages directs oraux ou écrits, mais très riche et tout à fait «lisible» pour ceux qui veulent reproduire ces savoir-faire, les transmettre et trouver de nouvelles solutions techniques et économiques. C’est l’esprit dans lequel s’est réunie une quarantaine de professionnels de la région, tous spécialisés dans ce domaine: artisans, architectes, fabricants de matériaux (briquetiers), distributeurs d’écomatériaux, équipementiers (presse à brique), économistes, formateurs, institutionnels (CAUE), métiers de la connaissance (histoire de l’art, ethnologie).
L’actualité du Collectif est aussi faite de projets et de préoccupations terre à terre: la réponse à un appel d’offres de marché public par un groupement d’artisans issus du Collectif, les règles professionnelles et l’élaboration de textes techniques référentiels, les difficultés des petites structures pour trouver une décennale, la création d’un site internet, etc. Tous ces sujets ont suscité des discussions ardues autour d’une table durant l’après-midi.
Échange de savoirs
L’un des objectifs du Collectif est d’encourager une dynamique des métiers de la terre crue autour de l’échange de savoirs entre professionnels. Le but est de pouvoir proposer aux clients, usagers ou demandeurs, des solutions en adéquation avec leurs besoins et leurs aspirations, tout en tenant compte des contraintes normatives de la construction neuve, telle que la réglementation thermique 2012, ou du respect du patrimoine bâti dans le cas de restaurations.
Les réunions du Collectif sont aussi l’occasion de mettre en lumière l’activité locale des professionnels du bâtiment dont voici quelques représentants:
- Raphaël Pausé de Scopéco, écoconstruction, à Montauban, tél. 06 24 46 92 27;
- Pascal Delprat, architecte, à Lafrançaise, www.delprat-architecte.fr;
- Stephan Gutierrez, artisan écoconstructeur, écohameau de Verfeil, tél. 06 78 76 44 20;
- Jérôme Tugayé et Bertrand Fourtanet, maçonnerie et enduits de terre crue, tél. 06 83 54 22 25.
Les différentes techniques du patrimoine local
L’adobe (teules crus) est encore très présent et fut massivement et systématiquement employé au cours du XIXe siècle. Dans un système constructif où l’appareillage intelligent donnait la part belle à la terre cuite, l’adobe n’était cependant pas utilisé que pour ses qualités économiques.
La bauge (paillabart) se retrouve, au cours des siècles, dans des variantes de techniques: levées de 40 à 60 centimètres fibrées ou non de bruyère (très rarement de paille) composées souvent de couches filantes (hauteur: 7 centimètres environ), parfois coffrées.
Le torchis dans les pans de bois, technique ancestrale toujours renouvelée avec constance dans la technique (sur éclisse).
Le pisé (rare et difficile à identifier dans nos contrées) que l’on regroupe parfois avec la bauge dans la famille des murs massifs en couches filantes.
Le mortier de terre utilisé pour bâtir les briques cuites et crues, ainsi que pour les enduire, est particulièrement présent dans le patrimoine du XIXe avec une qualité uniforme. Utilisé aussi en maçonnerie de pierre, il y est plus hétérogène.

Source La Dépêche du Midi

27/09/2013

ETERNIT: Plaque support de tuiles

Pour une toiture belle, sûre et qui dure !

La solution Soutuile, c’est réaliser un beau toit, dans le respect de la tradition régionale en tuiles canal, mais c’est en plus un toit qui dure : la résistance et l’étanchéité de la toiture sont renforcées !

Points forts

L’esthétique des toitures traditionnelles en tuiles canal
Une fiabilité renforcée de la toiture
  • Etanchéité parfaite et durable
  • Résistance aux vents violents
  • Mise hors d’eau immédiate
  • Emploi dès 9% de pente
  • Classement au feu M0 (A2-s1,d0)

Une solution rentable
  • Utilisation de tuiles anciennes, même poreuses
  • Entretien minimum
Une solution simple et souple
  • Une gamme complète
  • Pour tous types de charpentes, traditionnelles et fermettes
  • Facilité de pose
  • Simplification technique de la toiture.

Une garantie Eternit
  • Garantie 10 ans sur le produit
  • Avis Technique du CSTB (longueurs 1,10 m à 1,65 m)
  • Impacts environnementaux : consulter la fiche de déclaration (rubrique FDES)

Types de bâtiments
Agricole / Commerce & hôtellerie / Equipement Public / Industriel / Logement collectif / Maison Individuelle / Tertiaire
Pose
Sur tous types de charpentes (traditionnelles comme industrielles)

26/09/2013

Castelnaudary. Terreal, anniversaire en famille !

Ce week-end, l’usine Terreal fêtait les 30 ans de la chaîne Lasbordes-Bas. Suivez les guides, les ouvriers eux-même qui faisaient visiter le site, ce samedi.
Même si l’usine de Lasbordes est une vieille dame qui affiche 150 printemps, Terreal fêtait les 30 ans de la construction de la chaine Lasbordes-Bas. En effet, c’est en 19 83 que Pierre Guiraud faisait construire cette extension basse de l’usine.
Pour l’occasion, ce sont des ouvriers qui faisaient visiter aux familles des collègues, anciens et nouveaux, l’usine de Lasbordes. Après s’être équipés de casques et de gilets fluos, et avoir entendu les consignes de sécurité, la visite pouvait alors commencer dans la convivialité et la bonne humeur. Le visiteur entrait alors dans une usine de pointe, une des rares en Europe à produire des pièces de grandes dimensions. La recette ? Un savant mélange d’argile de Saint-Papoul, de l’eau et du sable d’Issel , qui donnent de grandes briques de 2,80 m. Ces briques vont passer sept heures dans de grands séchoirs puis vingt-quatre heures de four pour donner des pièces d’une grande qualité thermique, conformes aux normes sismiques en vigueur. Malgré le bruit ambiant, l’usine continuant de produire, l’émerveillement était dans les yeux des plus grands et des plus petits , tous conscient d’être des privilégiés ! De découvrir, non seulement le lieu de travail du conjoint, du parent, mais aussi de voir toute l’ingénierie (pas de photos, secret industriel oblige), les grands fours, les séchoirs, les mesures de sécurité strictes mais tellement nécessaires, et enfin la qualité des pièces produites. Des pièces grandement appréciées par les professionnels du bâtiment qui gagnent du temps avec des linteaux de grandes tailles. 140 000 tonnes de briques sont produites par an à Lasbordes ; 130 employés travaillent sur le site. Patrick Leblans, directeur de l’usine, se félicitait de cette journée conviviale où quelque 250 personnes ont participé aux visites et 170 sont restées manger au repas prévu pour l’occasion.

Source La Dépêche du Midi

25/09/2013

IMERYS TOITURE: Qualité, stabilité, fiabilité

Imerys Toiture a reçu le label "Origine France Garantie". Décerné par Bureau Veritas Certification, ce label s'applique à l'ensemble des gammes Imerys Toiture de tuiles et accessoires et concerne douze de ses sites de production implantés en France. Pour obtenir la marque "Origine France Garantie", un cahier des charges strict doit être rempli.
Les tuiles Imerys Toiture labellisées répondent à un double principe : au moins 50 % de leur prix de revient unitaire est acquis en France, et les caractéristiques essentielles des tuiles y prennent leurs origines.

Imerys Toiture représente aussi 100 % d'emplois locaux.
A travers l'implantation de treize sites de production dans tout l'Hexagone, l'entreprise se place comme un acteur économique local incontournable, tandis que le label "Origine France Garantie" vient aujourd'hui saluer ce savoir-faire industriel et l'ancrage territorial du groupe.

Source Batijournal

24/09/2013

BATIMAT 2013 :ERLUS présente ses innovations sur un nouveau stand

ERLUS : Hall 5 A stand M 117 Du 4 au 8 novembre 2013 à Paris Nord Villepinte À l'occasion du salon international BATIMAT, la société ERLUS donne rendez-vous aux professionnels de la construction sur un nouveau stand de plus de 100 m2. L'un des leaders allemands dans la fabrication de tuiles en terre cuite et de conduits de fumée en céramique présentera ses tuiles primées : les modèles Linea®, Karat®, Forma® et GF XXL® qui ont obtenu un award iF design, ainsi que le modèle Karat XXX gratifié d'un reddot design award.

Le stand mettra en scène ces produits-phares et les dernières innovations.
Créées pour répondre à la demande des architectes, maîtres d'ouvrage, couvreurs et négociants spécialisés, les tuiles ERLUS offrent toutes de hautes performances et une esthétique contemporaine. Avec sa gamme de produits, ERLUS apporte une réponse aux exigences de la RT 2012 et permet la construction de Bâtiments Basse Consommation.
Nouvelles teintes pour les tuiles E 58 SL, Forma® et Reform SL
ERLUS a enrichi ses modèles de tuiles E 58 SL et Reform SL avec le coloris engobé noble couleur Bourgogne. Le fabricant s'appuie sur les toutes dernières techniques de fabrication. Les tuiles bénéficient en surface d´une céramique appliquée avant cuisson et qui permet la diffusion de la vapeur d´eau. Grâce à ce traitement haut de gamme appelé engobe noble, les tuiles sont parfaitement résistantes au gel et ne se détériorent pas avec le temps. Adaptées au neuf comme à la rénovation, les tuiles E 58 SL, Forma® et Reform SL se caractérisent par un pureau variable et un jeu latéral confortable. Elles offrent aussi une grande résistance au vent et une étanchéité exceptionnelle.
Erlus E 58 SL pour les toits à faible pente
Particulièrement adaptée aux toits à faible pente, la tuile E 58 SL est facile à installer. Pour couvrir 1m2, seules 11,5 pièces sont nécessaires.
Polyvalente, la tuile Reform SL
Sa forme, à la fois classique et linéaire, convient aussi bien aux toitures traditionnelles qu'aux architectures contemporaines. Grâce à son étanchéité optimale, elle est particulièrement adaptée aux régions pluvieuses.
Erlus Forma®, élégante, ergonomique et fonctionnelle

Facile et rapide à la pose, elle s'adapte à toutes les longueurs de chevrons et convient à la fois aux grosses toitures et aux petites surfaces, aux toits pentus et à ceux à faible pente.
La tuile Ergoldsbacher Hohlfalz SL
La ligne dynamique et galbée de cette tuile génère un jeu particulier d'ombre et de lumière. Très robuste, elle est aussi économique puisque 11,5 pièces suffisent à couvrir 1m2. Son profil frontal et latéral en fait l'une des tuiles les plus performantes de sa catégorie pour résister aux infiltrations d'eau. La tuile Ergoldsbacher Hohlfalz SL est disponible dans les tons rouge naturel, rouge vieilli, noir mat et en engobe noble noir saphir.
Le nouveau configurateur de toitures en ligne
À l'occasion du salon, ERLUS mettra en avant son nouveau configurateur de toitures. Consultable dans le nouveau magazine ERLUS sous www.erlus.com/Magazin, cette application sera disponible également en langue française. Un simple clic modifiera la référence de tuiles couvrant la toiture et des maisons virtuelles changeront d'aspect de fond en comble. Le magazine proposera pour les maîtres d'ouvrage, couvreurs, architectes et négociants spécialisés, d'autres outils faciles à manier. Ceux-ci leur permettront de déterminer la tuile ou le conduit de cheminée le plus approprié. Dans l'univers dédié aux cheminées, l'utilisateur pourra trouver la cheminée adaptée au système de chauffage qui a été prescrit. La version virtuelle du guide thermique ERLUS identifiera la solution adéquate en fonction de la présence ou non de panneaux solaires, de poêles cheminée et d'un système de chauffage central.
L'information sera complétée par des précisions sur la fabrication des tuiles, des références architecturales, des interviews d'architectes, de designers ou de spécialistes de production.
Triva, le conduit de cheminée intelligent
Ce conduit monobloc intègre trois gaines : deux pour l'évacuation des fumées polycombustibles (fioul, gaz ou bois) et une pour les réseaux dédiés aux installations solaires. Ce système permet le branchement simultané d'une chaudière et d'un chauffage d'appoint ou d'agrément. Le cœur du conduit est constitué de deux tubes en céramique iso-pressée très résistants aux chocs thermiques et avec joints sécurisés sur une longueur de 6 cm. Le conduit assure une circulation double flux : les gaz brûlés sont évacués par le conduit céramique central ; l'air comburant qui alimente le corps de chauffe est, lui, amené depuis le couronnement par un espace ménagé entre le boisseau et le tube céramique. L'appareil de chauffage fonctionne ainsi indépendamment de l'air ambiant. Les conduits Erlus sont optimisés pour les tests d'infiltrométrie (test blowerdoor) qui consiste à détecter et à mesurer les flux d'air qui s'infiltrent dans le bâtiment.
Source L'Espace Dapresse

23/09/2013

Terreal/ Orgedeuil: le spectre de la carrière fait réagir

Une association "La Colline 16" vient de se constituer n Elle demande une réunion à Terreal au sujet du projet de carrière. Prématuré répond le tuilier.
Une carrière, ce n'est pas seulement un trou de 10 à 15 hectares. Ce sont des infrastructures, des routes. On veut une réunion publique de Terreal", tempête François Bernard, président de "La Colline 16", la nouvelle association de défense de l'environnement d'Orgedeuil. L'entrepreneur audiovisuel, qui a acheté une bâtisse au hameau de "La Ribe" il y a une vingtaine d'années, craint pour l'avenir du territoire. "Un territoire, dit-il, à potentiel agricole et touristique."
Lorsqu'il a entendu parler du projet de carrière, il a rencontré les élus et le directeur de Terreal Bruno Hocdé. Visiblement, cela n'a pas suffi à apaiser ses craintes. Il n'accepte pas que la Safer [société d'aménagement foncier et d'établissement rural] ait déjà passé des compromis de vente pour 54 hectares situés en grande partie autour de son village, mais aussi dans les communes voisines de Montbron, Mazerolles, Yvrac et Saint-Sornin. Il s'inquiète des premiers sondages effectués actuellement sur ces terrains.
Deux logiques s'affrontent
"On prospecte comme on le fait partout dans la région. On vérifie s'il y a assez d'argile; si ce n'est pas le cas, on n'achètera pas, on a une clause suspensive, rétorque le directeur de Terreal qui réfute le manque d'information. On a tenu des permanences à la mairie d'Orgedeuil". Une réunion publique? "C'est prématuré, il n'y aura rien de concret avant deux ans. Peut-être qu'un jour il y aura une carrière, pas avant trois ou quatre ans. Peut-être aussi qu'elle ne se fera pas. Ces terrains peuvent nous servir à faire des échanges pour aller ailleurs."
Pas sûr que cela suffise à rassurer François Bernard et sa trentaine d'adhérents, "des riverains qui savent très bien l'impact d'une carrière". Pour le président, la situation "délicate" de Terreal ne permettra "pas de créations d'emplois", l'argument avancé par les élus. Pour lui, le projet "ne favorise" ni le développement économique de son secteur, ni l'installation des jeunes. Au contraire, "il fragilise l'agriculture et le tourisme".
"Il y a deux centres équestres ici. Chevaux et camions ne font pas bon ménage. Les sentiers ne seront plus accessibles", anticipe François Bernard, attaché à ces paysages, boisés et vallonnés qui flirtent avec le massif de l'Arbre. Comme bien d'autres avant lui, il redoute le voisinage d'une carrière. En face, les tuileries, comme les entreprises de travaux publics, ont besoin de matière première pour travailler. Éternel dilemme.
La Safer garantit "la transparence"
"On s'interroge sur le rôle de la Safer, un organisme à vocation publique qui intervient dans le cadre d'une entreprise privée. Elle ne favorise pas l'installation des jeunes, ne protège pas l'environnement", accuse François Bernard, président de "La Colline 16".
"C'est dans nos missions d'intervenir sur l'agriculture et les projets de développement économique. La Safer permet à la profession agricole d'avoir un droit de regard, d'assurer la transparence et de maintenir un prix correct. On a la maîtrise du foncier. Le projet a été validé par nos instances. On a expliqué tout cela aux représentants de l'association que nous avons rencontrés à plusieurs reprises", répond Sylvie Massacret, la directrice.

Source La Charente Libre

Les ventes de maisons individuelles toujours en baisse

La tendance de l'activité des constructeurs de maisons individuelles est toujours à la baisse, indique la dernière conjoncture de l'Union des maisons françaises (UMF). Selon elle, une des armes absolues pour enrayer la chute serait de redonner toute sa place au dispositif du PTZ. Explications.

Maisons individuelles
Le secteur diffus connaît bien des difficultés… et ce depuis plusieurs mois. En effet, sur un an, de juillet 2012 à juillet 2013, l'activité enregistre une chute de 16%, un chiffre identique sur l'ensemble de l'année 2012 qui était alors la 6e année consécutive de baisse depuis 2006.
Rien ne va plus donc pour la maison individuelle, dont les ventes sont estimées, pour l'année 2013, à seulement 106.000 unités, contre 126.600 l'an dernier. En cause ? "Depuis 2010, la jeune primo-accession de moins de 40 ans, qui représentait 50% du marché est tombée à 33%, accusant une chute de 41%", souligne l'UMF dans un communiqué. Cet enlisement est à mettre en perspective des baisses des ouvertures de chantier de logements groupés, rappelle l'UMF.
Aucune mesure à l'horizon
Cependant, l'Union s'insurge qu' "à ce jour, aucune mesure qui permette d'inverser la tendance n'a été annoncée et encore moins mise en place". Face à ce constat, elle émet quelques propositions pour relancer le secteur. D'abord, s'appuyer sur un levier de production fort en volume et en réactivité. Et de rappeler que la construction de maisons représente, depuis presque 40 ans, plus de la moitié de l'ensemble des logements construits chaque année et des surfaces créées. Ensuite, utiliser un instrument qui existe déjà : le PTZ. L'UMF invite à lui "redonner ses vertus originelles" et à "sortir de la vision malthusienne du zonage". En clair, il faudrait "remonter les quotités de prêts qui ont été dégradées notamment au regard de l'augmentation des coûts de la mise en œuvre de la RT 2012", soit remonter le bénéfice du différé de 14 ans jusqu'à la tranche 4 (30.000 € au lieu des 23.000 € actuels pour un couple avec 2 enfants). Et plutôt qu'un zonage appliqué à l'ensemble du territoire, "imaginer un traitement très spécifique et adapté pour les seules zones urbaines de très fortes tensions", suggère l'UMF.
"La politique de relance de la construction la plus efficace consiste à actionner le levier accession en maison, qui depuis 1975, représente plus de 50% des mises en chantier et des surfaces construite", a insisté Christian Louis-Victor, président de l'UMF.

Source Batiactu

22/09/2013

CERIC : un rayonnement international

Filiale en Algérie : une nouvelle étape décisive pour un service optimal
Fidèle à sa volonté de s’inscrire dans la continuité de ce partenariat de plus de 40 ans avec les industriels algériens de la Terre Cuite, CERIC est heureux d’annoncer aujourd’hui l’ouverture d’une filiale sur le sol algérien.

Avec cette filiale, CERIC ouvre un nouveau chapitre de son histoire industrielle avec les entreprises algériennes du secteur de la construction. La filiale aura deux principales missions :

  1. fournir des pièces de rechange et des pièces d’usure. Leur facturation se fera en dinars pour plus de facilité dans les échanges commerciaux et un stock sera constitué localement, 
  2. gérer la fabrication locale de parties métalliques qui jusqu’alors demeuraient à l’entière charge des clients. A terme, cette production locale portera essentiellement sur des pièces et composants destinés aux machines et équipements pour tuileries et briqueteries.