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05/11/2012

Façade bioclimatique en zone ABF à Saint-Maximin

L'Union des Maisons Françaises a décerné la Médaille d'or du Challenge 2012 des maisons de l'année dans la catégorie « Défi urbanistique individualités urbaines » à la société EPC avec la maison aux balcons suspendus. Une mise à l'honneur pour un projet urbanistique et environnemental exemplaire, auquel s'ajoute une autre médaille d'or, celle du Challenge Bleu Ciel d'EDF, dans la catégorie Innovation. Le défi a été relevé par EPC avec le cabinet T3 architecture et IMERYS et différents matériaux en terre cuite, il allie prouesses thermiques, architecture intelligente et esthétique contemporaine.
La maison, derrière une première façade qui reprend le style traditionnel « trois fenêtres » de la ville, possède une seconde façade en retrait de 2,50 m par rapport à la première et ce, malgré les contraintes d'architecture imposées par la zone ABF et l'emplacement limitant la conception bioclimatique.vCette seconde façade est très contemporaine : vitrée dans sa quasi-totalité, elle s'ouvre sur un patio d'une dizaine de mètres de hauteur, véritable serre bioclimatique et espace de terrasses fermées, mais non chauffées. Utilisable toute l'année, cette zone intermédiaire d'agrément apporte une scénographie forte au projet. La serre bioclimatique participe également aux performances thermiques de la maison. L'énergie naturelle de la serre est récupérée, une VMC double flux permet en hiver de répartir cet air préchauffé dans les pièces de vie. En été, un système domotique assure à la fois la gestion des brumisateurs et l'automatisation des ouvertures et protections solaires des fenêtres de toit. Cette climatisation naturelle sera efficace et suffisante. Les espaces sont optimisés pour un réel confort de vie.
Le bâti et l'isolation sont assurés par des briques Monomur 37,5 d'IMERYS. Le Monomur, « brique à isolation répartie », présente une structure alvéolaire qui permet d'emprisonner l'air et de limiter les ponts thermiques. Ce produit dispose ainsi d'un pouvoir isolant exceptionnel. Il se caractérise par une forte inertie et une faible diffusivité. En été, la maison est naturellement fraîche jusqu'à 6°C de moins qu'une maison à isolation légère par l'intérieur. En demi-saison, le Monomur permet de réaliser des économies de chauffage : les murs restituent la nuit la chaleur accumulée durant la journée provenant des apports solaires gratuits au travers des vitrages. et en hiver, la forte inertie du Monomur lisse les variations de température et réduit les pics de chauffage. Le mur pour la partie de la serre bioclimatique est en OPTIBRIC PV 4G qui utilise 16 fois moins de mortier à fabriquer et à transporter que le béton : 600 kg contre 9 tonnes et génère un gain de productivité de 30 % avec 5 jours de travail en moins grâce à la pose joint mince. Le système INTUITYS en terre cuite, d'IMERYS Structure a été utilisé pour les cloisons de distribution. Constitué de parements fins en terre cuite (30 mm x 2) et de 3 pièces de liaison, il se fixe sur une ossature métallique standard (NF) de 36 mm. Le montage est réalisé à sec et le jointoiement effectué à posteriori. La finition est assurée par un enduit mince ou un plâtre.
EPC (Entreprise Provençale de Construction), constructeur depuis 1998, basé à Erguilles (13) réalise une douzaine de villas bioclimatiques par an. Spécialiste de la bio construction, Arnaud BURBAN, ingénieur et gérant d'EPC depuis 2005, prône l'habitat écologique construit avec des matériaux sains tels que le Monomur en terre cuite ou le bois, et utilisant les énergies renouvelables.
T3 Architecture (3 rue Pastoret - 13 006 Marseille). Composée d'architectes DPLG spécia- lisés en architecture bioclimatique et architecture écologique, l'équipe de T3 Architecture réalise tous les projets de construction et de rénovation en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Source Batijournal

04/11/2012

Ceric Technologies montre son savoir-faire dans les équipements de fabrication de briques et tuiles en terre cuite

Société d’ingénierie et fabricant d’équipements de fabrication de briques et tuiles en terre cuite, Ceric Technologies présente son savoir-faire à Soissons (Aisne), l’un de ses quatre sites. C’est une "renaissance industrielle et technologique" pour cette société issue du regroupement de trois sociétés en redressement judiciaire en 2009.
Société d’ingénierie et fabricant d’équipements de fabrication de briques et tuiles en terre cuite, Ceric Technologies présente son savoir-faire à oissons (Aisne), l’un de ses quatre sites. C’est une "renaissance industrielle et technologique" pour cette société issue du regroupement de trois sociétés en redressement judiciaire en 2009.
Société d’ingénierie et fabricant d’équipements de fabrication de briques et tuiles en terre cuite, Ceric Technologies va présenter ce jeudi 25 octobre à Soissons (Aisne) une machine destinée à l’Algérie. Cette société parisienne qui réalise 17 millions d’euros de chiffre d’affaires dont 90 % à l’export, emploie 100 salariés sur ses quatre sites, dont 40 à Soissons. Elle entend, à travers cette opération de relations publiques, attirer des collaborateurs, faire connaître sa technologie et ses prestations d’ingénierie dans la conception de briqueteries ou de tuileries à partir de terre cuite. "Notre métier est la conception, la réalisation, le montage et la mise en route d'usines complètes pour la production de matériaux de construction en terre cuite qui peuvent être des briqueteries ou des tuileries" explique Laurent Toquet, directeur du développement de Ceric Technologies.
Le "groupe d’étirage" qui sera présenté ce jeudi aux élus et clients de Ceric Technologies est la juxtaposition de deux machines : un malaxeur horizontal et une mouleuse. Le terme "d’étirage" renvoie à la pâte argileuse que l’on étire pour donner la forme d’une brique ou d’une tuile. L’équipement qui présente plusieurs innovations selon Ceric Technologies, produit entre 70 et 100 tonnes de briques à l’heure ; il a une envergure de 8 mètres de long, de 7 mètres de large, pèse 40 tonnes et développe 760 chevaux (560 kW). Pour ses "groupes d’étirage", Ceric Technologies a opté pour la technologie de l’extrusion sous vide d’air à l’opposé du système gravitaire.
Selon Laurent Toquet, Ceric Technologies est "la seule entreprise en Europe qui dispose des équipements de préparation terre au sein de sa propre société d'ingénierie, et d’une gamme complète". Il fait allusion aux concurrents de Ceric Technologies qui sont des fabricants de machines mais n’ont pas l’expertise d’ingénierie pour construire des usines de A jusqu’à Z dont la fonction est de préparer l’argile, la broyer et la malaxer, puis de la façonner en vue d’obtenir la forme de brique ou de tuile.
L’événement de jeudi sera aussi pour Ceric Technologies l’occasion d’évoquer sa "renaissance industrielle et technologique" après la faillite de Ceric et de ses filiales en octobre 2009. Ceric Technologies est en fait la réunion des savoir-faire des sociétés Ceric, Hallumeca et Pelerin (Soissons). Les trois sociétés placées en redressement judiciaire avaient été reprises par trois cadres de Ceric - Patrick Hebrard, Thierry Petra et Laurent Toquet - avec le soutien du fond Pléiade Investissement. Ce dernier est aujourd'hui l'actionnaire majoritaire de Ceric Technologies. Repris avec 27 collaborateurs, le site de Soissons en emploie désormais 40.
Ceric Technologies exporte dans tous les pays du monde, particulièrement en Europe, en Russie, au Maghreb et en Amérique du sud. Outre son siège social à Paris, le groupe a trois autres établissements en France : un site de fabrication à Soissons (Aisne), un bureau d’études et un service thermique à Villeneuve d’Ascq (Nord) et un bureau d’études électriques et automatismes à Chenove (Côte-d’Or).
Source L'Usine Nouvelle 

03/11/2012

Les briques Terca se parent de deux nouvelles teintes

Terca, marque du groupe Wienerberger, complète sa gamme de briques de façades par deux nouvelles teintes : Terre blanche et Terre grise. Elles viennent compléter les autres couleurs de la ligne Unie : Terre brune, Terre noire, Terre dorée, Terre ivoire, Terre de corail, Terre rouge et Terre alezane.
Chaque brique de la marque bénéficie d’un rendu lisse et harmonieux. Fabriquées à partir d’argile cuite à haute température et teintée dans la masse, elles n’exigent aucun entretien particulier et résistent aux assauts du temps.
Ces nouvelles briques de façades bénéficient des performances de la terre cuite, reconnue pour ses qualités isolantes. Posées en double mur, elles constituent une isolation thermique par l’extérieur : le mur manteau protège le bâtiment des variations climatiques et possède un pouvoir isolant acoustique et thermique.
La pose est aisée grâce à leur légèreté. Elles se déclinent dans plusieurs dimensions : 220 x 105 x 54 mm et 215 x 102,5 x 65 mm et sont disponibles en format plaquette (220 x 54 x 15 mm) et angle (220 x 105 x 54 x 18 mm). Terca offre également une possibilité de brique longue, disponible sur commande.
Source Nostro Domus

02/11/2012

Roumazières: La tuilerie Monier récompense ses salariés

Christian Stenger, le directeur du site, entouré des cadres de la tuilerie Monier à Roumazières-Loubert, a remis dernièrement trente-six médailles du travail récompensant la carrière professionnelle d'autant de salariés méritants. La cérémonie s'est déroulée dans les locaux de l'entreprise, en présence de Jean-Michel Dufaud, maire de Roumazières.
«Comme beaucoup d'entreprises françaises, la tuilerie Monier subit la crise économique de plein fouet, a déclaré Christian Stenger. Nous nous accrochons pour traverser cette période afin de limiter les dégâts, mais il ne faudrait pas que cette crise s'éternise...» Le responsable a ensuite félicité chacun des récipiendaires.
La tuilerie Monier est une des deux entreprises basées à Roumazières, la cité de l'argile, elle emploie plus de deux cents personnes. C'est une filiale du groupe Monier expert mondial des produits de toiture.
Les récipiendaires. Médaille grand or à Alain Crémoux, Armando Ferreira, Jean Luc Freyermuth, Francis Quichaud, Daniel Raynaud, Eric Raynaud.
Médaille d'or à Francis Bossant, Richard Crosland, Bernard Demaille, Jean-Jacques Gillardeau, Marie Claude Jayat, Pascal Ladrat, Patrick Lavergne, Daniel Moreau, Jacquie Tardieu, Daniel Vignaud.
Médaille de vermeil à Alain Bauchanps, Bernadette Baudet, Jeanine Bourdareau, José Henriques de Oliveira, Thierry Desbordes, Bruno Geantillaud, Philippe Grand, Eric Granet, Bruno Jallageas, Pascal Jammet, Gérard Ladrat, Pascal Ladrat, Michel Laplagne, Patrick Lavergne, Daniel Merine, Jean François Noble, Francis Ratier, Luc Vrignaud.
Médaille d'argent à James Quintard, Daniel Merine. Trois retraités ont également été honorés: Raphaël Fernandes, Claude Malharbe et Marcel Teillout.
Source La Charente Libre

Les tuiliers de Roumazières aux aguets

Chez Terreal, neuf volontaires rejoignent une usine en Bourgogne après un appel à candidatures. Chez Monier, on redoute des mesures de chômage partiel.
Après une percée dans le solaire fin 2009, Terreal est revenu à ses fondamentaux: les toitures et les briques. Photo archives Phil Messelet Après une percée dans le solaire fin 2009, Terreal est revenu à ses fondamentaux: les toitures et les briques. Photo archives Phil Messelet
Un appel à candidatures pour rejoindre un autre site, des craintes de chômage partiel quand d'autres usines sont touchées. Les tuiliers de Roumazières, à commencer par ceux de Terreal, la plus grosse entité (520 salariés), sont sur leurs «gardes» comme le reconnaît Laurent Délias, le délégué CGT. «On est vraiment à flux tendu. On n'a pas de vision, ça change tout le temps. Une usine a été liquidée en Espagne. Il y a du chômage partiel sur le site de Toulouse. Heureusement, on a la chance d'avoir un directeur général qui met tout en oeuvre pour éviter le chômage et tout le monde fait de gros efforts», résume le délégué du personnel.
Des efforts qui peuvent prendre la forme de congés anticipés. «On gère la situation avec les compteurs de congés de récupération des salariés, explique Bruno Hocdé, le directeur qui se veut rassurant. Il n'y aura pas de chômage partiel sur le site cette année. On est en train de construire le budget 2013. On communiquera en CCE [comité central d'entreprise] le 6 décembre.»
L'appel à candidatures lancé auprès du personnel? «Il ne concerne que quelques personnes qui vont en Bourgogne pour remplacer des intérimaires», relativise le responsable. «Ils sont neuf à partir lundi prochain sur la base du volontariat. On va aussi rapatrier du personnel de Chasseneuil», complète le syndicaliste.
Les stocks impressionnants de tuiles que l'on remarque à Roumazières: une conséquence de la crise? «ça correspond surtout aux nombreux modèles que l'on présente. On vient d'en sortir deux nouveaux, on joue sur la diversité», explique Laurent Délias. Terreal appartient depuis sept ans à LBO-France, un fonds d'investissement. Elle compte 17 usines dans l'Hexagone et emploie près de 1 800 personnes.
Inquiétude chez Monier
Chez Monier, la deuxième tuilerie de Roumazières (190 salariés), le doute plane. Les responsables sont en vacances cette semaine. Au siège parisien du groupe allemand, on reconnaît simplement que «le marché du bâtiment ne se portant pas bien, les entreprises du secteur vont être impactées». Des mesures de chômage partiel sont prévues en fin d'année dans une partie des huit usines françaises (plus de 900 emplois). «On attend la prochaine réunion fin novembre pour en savoir plus. 2013 s'annonce difficile», observe Didier Audouin, délégué CGT. Des propos qui rejoignent ceux de Christian Stenger, le directeur, lors de la remise des médailles du travail, le mois dernier. «Comme beaucoup d'entreprises, la tuilerie Monier subit la crise économique de plein fouet. Nous nous accrochons pour traverser cette période afin de limiter les dégâts, mais il ne faudrait pas que cette crise s'éternise», déclarait-il alors. Les tuiliers croisent les doigts.
Source La Charente Libre

01/11/2012

Trois questions à Stéphane Fayol Directeur des Relations et des Ressources Humaines chez Terreal

Retour sur la table ronde « Développer l’engagement collectif au service de l’homme et de l’entreprise « organisée lors du Colloque du Prix Olivier Lecerf du Management humaniste le 27 juin 2012 à l’Institut de France.
Les tables rondes ont été animées par des témoignages d’acteurs du réseau Germe et d’ entreprises proches parmi lesquelles le Groupe Terreal
1. Comment se traduit dans votre entreprise la notion d’engagement : celui de l’entreprise pour ses salariés, celui des salariés pour l’entreprise ?
TERREAL, née en 2000, repose sur des fondations solides : trois PME, centenaires, porteuses d’un métier d’une tradition ancestrale. Mais pour l’équipe dirigeante présente depuis sa création, il s’est agi très clairement de respecter cet héritage si riche, et de le faire prospérer en imaginant un avenir commun, une aventure industrielle susceptible de garder l’adhésion des plus anciens et d’attirer de nouveaux talents. Pendant plus de 7 ans, nous avons relevé ensemble tous les défis d’un groupe en plein développement : changements d’actionnaires, créations de fonctions nouvelles, acquisitions, créations de capacités de productions nouvelles, etc.… aussi, quand en 2008 la première crise a frappé notre environnement économique, avec une perspective d’altération assez durable de nos résultats, nous avons fait le choix de préserver autant que nous le pourrions la cohésion du groupe, en évitant toute mesure brutale, sur le plan social qui pourrait altérer le lien fort, « l’affectio societatis » comme le cite Xavier FONTANET dans son ouvrage si on faisait confiance aux entrepreneurs, pour préserver ce qui a fait notre force et ce qui est susceptible de nous rendre encore plus fort demain, la mobilisation de notre capital humain. Et en contrepartie, nous avons gardé la confiance de nos collaborateurs, qui ont accepté de nous suivre et de répondre présents dans tous les lourds efforts d’adaptation et de flexibilisation permanents des organisations qu’il nous a fallu faire. Nous avons ainsi pu traverser les fortes turbulences de 2008, 2009, 2010 sans chômage, sans licenciements économiques.
2. En termes d’organisation, comment faites vous rimer “Performance et humanisme” ?
Avec une exigence partagée au service de la communauté d’intérêt que nous avons su construire. Nous ne sommes aucunement des philanthropes. Nous menons une politique d’entreprise orientée clairement performance, mais toutes les performances, pas seulement celles ressortant d’une seule lecture de compte de résultats. Nous veillons en permanence à ce que la valorisation de notre capital humain.
Par un dialogue social nourri, par une responsabilisation permanente de chacun (en respectant toutes les personnes dans leurs différences) à laquelle nous sommes attachés, par une écoute permanente, par le partage de valeurs qui nous lient, par une GRH type GPEC durable et responsable où chacun peut avoir le sentiment de contribuer à l’œuvre de l’entreprise en confortant talent et son équilibre personnel, son capital confiance en son avenir. Et bien sûr, grâce à une politique de rémunération globale de qualité, nous associons autant que nous le pouvons l’ensemble du personnel à la performance. 3. La question de la formation aux métiers de manager devient une question centrale pour l’efficacité des entreprises. De quelles façons Germe soutient cette démarche?
Cela fait longtemps que nos managers font l’objet d’une attention toute particulière. Claude Bernard CHABRIER, qui a lui-même Présidé GERME pendant des années, et qui a longtemps dirigé nombre de nos managers d’exploitation, a partagé avec le Directoire de TERREAL, et moi en particulier, la conviction qu’il nous fallait donner aux managers de nombreux moyens pour que les femmes et les hommes que l’entreprise leur confie soient fiers de leur entreprise, de son projet, se sentent écoutés, respectés pour ce qu’ils sont et la contribution qu’ils peuvent apporter. Et que les managers eux-mêmes, trouvent une capacité à garder une légitimité de « patron » dans un monde qui change, et où la maitrise d’une technique process ne suffit plus en soi, où un titre sur un organigramme ne suffit plus non plus, où il faut gagner et entretenir la confiance de ses équipes en permanence, en luttant notamment contre la tyrannie du temps court.
C’est ainsi que nous avons une école de maitrise interne en liaison avec l’union des industries, un programme Campus Management pour nos cadres, et bien sûr une adhésion renouvelée à GERME, association à laquelle nos patrons de pôles industriels sont adhérents pour trouver le temps du partage, de la réflexion, pour « lever le nez du guidon », pour avoir l’oxygène indispensable à une bonne respiration de leur propre management, et une capacité d’émulation des managers dont ils ont la responsabilité.
Source GERME

Nouveauté Würth : le foret monomur

Le perçage des briques creuses est toujours très délicat, pour répondre à cette problématique Würth France a lancé en 2012 un foret pour brique monomur qui permet un perçage de qualité sans abîmer la brique. D'une performance inégalée, ce foret saura étonner tous les utilisateurs !
Grâce à une plaquette affûtée positive à 120° et une pointe de centrage, la coupe est optimale pour toutes les parois et l'angle ne sera pas émoussé. De plus, l'hélice progressive et courte permet de renforcer la fonction de guidage.
Le perçage se fait de façon rapide et sans percussion, le trou est propre, régulier et surtout il ne fragilise pas la paroi de la brique.
La plaquette en carbure d'une dureté spécialement étudiée assure une très haute résistance à l'abrasion. Ce nouveau foret a une longueur utile de perçage de 200 mm (longueur totale de 260 mm), il est idéal pour les ancrages profonds.
Source Batiactu

31/10/2012

« 24h d’architecture » et de la terre cuite à Strasbourg

A l'occasion des premières journées portes ouvertes autour de l’architecture, intitulées « 24h d’architecture », à Strasbourg les 19 et 20 octobre, les industriels de la tuile terre cuite ont lancé un concours d’envergure auprès des architectes, en partenariat avec le RMA.
C’est une grande première… et même trois premières ! Tout d’abord les industriels de la tuile terre cuite, réunis au sein de la FFTB (Fédération Française des Tuiles et Briques), ont décidé de s’associer et de soutenir l’initiative du Réseau des maisons d’architectes (RMA) avec les premières journées portes ouvertes autour de l’architecture, intitulées « 24h d’architecture », à Strasbourg les 19 et 20 octobre. Gratuites aussi bien pour le grand public que pour les architectes et personnalités, elles se déroulent dans le cadre exceptionnel de la Manufacture des Tabacs, friche industrielle ré-ouverte pour l’occasion, accueillant ainsi pendant 2 jours un colloque européen « Qui a peur de l’architecture ? », du cinéma avec des fictions et documentaires, 15 expositions, des ateliers pour les enfants, des tables rondes, des balades et parcours vélo…
Ensuite, pour la première fois, les industriels de la tuile terre cuite ont lancé un concours d’envergure auprès des architectes, en partenariat avec le RMA. Le 1er Grand prix de la Tuile Terre Cuite Architendance valorise des projets ou réalisations de moins de 3 ans, en maison individuelle, logement collectif et bâtiment tertiaire, qui intègrent des tuiles terre cuite soit en couverture soit en couverture et façade, avec pour défi de s’inscrire dans l’esprit épuré et créatif de l’architecture contemporaine. Ouvert de mai à août, il a rencontré un engouement de taille avec 119 inscriptions.
Parmi les 24 projets « nominés », le jury en a finalement sélectionnés 7, auxquels la FFTB remettra un Grand prix le vendredi 19 octobre à 20h lors de la soirée de gala des 24h d’architecture, animée par le journaliste Jacques Rieg et l’improvisateur Lionel Riou. Pour l’occasion, la FFTB a demandé à l’artiste Jacques Canonici, de réaliser une sculpture inédite en terre cuite pour les 7 trophées. Au total 15 000€ de dotations seront attribués aux lauréats.
Enfin, une première exposition « La tuile terre cuite Architendance » prend place à la Manufacture des Tabacs de Strasbourg du 19 au 28 octobre. Conçue par la scénographe réputée, Tiphaine Cazenave, originaire elle-même de Strasbourg, elle met en résonnance de manière aérienne et futuriste la terre, origine du monde, et de multiples réalisations intégrant la tuile terre cuite, dont les projets des lauréats du Grand Prix de la Tuile Terre Cuite Architendance qui ont fait preuve d’une créativité particulière dans l’utilisation pratique, esthétique et contemporaine de la tuile terre cuite. Destinée aux architectes, elle est cependant ouverte à tous les visiteurs des 24h d’architecture.
Source Cyberarchi

30/10/2012

FFTB Un prix pour des maisons groupées à Ribeauvillé

Vendredi 19 Octobre, le cabinet K’nL Laperrelle et Koscielski s’est vu remettre, à Strasbourg, le premier prix en maisons individuelles groupées du premier concours organisé par la FFTB (Fédération française des tuiles et briques). Ce prix distingue un projet ou une réalisation de moins de trois ans qui intègre la terre cuite. En l’occurrence, les architectes Philippe Koscielski et Mathieu Laperrelle ont été récompensés pour la réalisation de dix maisons en bandes, achevées en 2011 dans la ZAC du Brandstatt, à Ribeauvillé. Organisée sur deux niveaux, chaque maison dispose d’un jardin privatif. Les structures des murs sont en terre cuite isolante et les niveaux en ossature bois.
Les projets récompensés sont présentés dans le cadre de l’exposition « La terre cuite architendance », qui se tient jusqu’au 26 octobre à la Manufacture des tabacs, à Strasbourg.
Source L'Alsace

29/10/2012

Reducing energy expenditures for brick production by use of vibrating cutters


1 Background and problem description
Large-format, porosity-enhanced, vertically perforated clay bricks with high core-hole fractions and filigreed webs call for the use of materials with good plasticity. That, however, means that the freshly extruded brick green bodies will display diminished strength and be in danger of deforming and suffering structural damage on cutting. Moreover, their compositions are usually laced with fibrous porosity enhancers like sawdust or paper sludge that cause “smearing” of the filigreed core-hole structure due to cutting. Indeed, cutting imposes substantial loads on the highly perforated bricks – loads that can cause considerable deformation.
To a greater or lesser extent, both phenomena tend to close off the core holes. This impedes the kind of energy-conserving through-air drying that is becoming increasingly popular in modern masonry brickworks. Subsequent grinding of the fired bricks, in turn, presupposes tight dimensional tolerances in order to minimize the required amount of grinding.
For reasons of energy economy, producers try to use as little batching water as possible for extruding facing bricks. Thus, either less energy has to be expended for evaporating the water, or the freshly extruded brick green bodies can be loaded onto the kiln cars by the “direct setting method”. The force required for cutting stiff-extruded clay columns, however, imposes bottom limits on the reduction of batching water volumes.

2 Procedure
The mechanisms of action involved in the use of knives as cutting tools were investigated with a view to reducing the applied cutting force. The overlapping effects of vertical and horizontal motion greatly reduce the effective cutting angle (with respect to the workpiece) as compared to the actual blade angle. The flatter the effective cutting angle, the more easily the blade penetrates the workpiece.
A similar situation applies to the cutting wire. A wire pressing vertically downward through the wet green body squeezes the latter with its full, circular cross section. Superimposing horizontal motion to the wire during the cutting process effectively gives the wire the nature of an elliptical cutter plunging its narrow side into the green brick. The faster the speed in the wire‘s direction of motion, the narrower the cutting angle and, hence, the easier the wire is able to penetrate into the green body to be cut.
If the blade (wire) is not always pulled in the same direction, but made to swing back and forth, it achieves exactly that effect. The limited length of knives and saws makes this practically self-evident.
If a cutter is made to change direction very quickly, the effect is that of a longitudinally vibrating wire. The following course of events can be anticipated for a high vibration frequency: Thanks to its horizontal motional component, the wire not only penetrates more easily, it even induces local fluidization via vibrating pressure at the cutting point and therefore leaves behind a particularly smooth, integumental film on the sliced face.

3 Results
The implemented trials showed consistently positive results for the use of a vibrating cutting wire. Braided cutting wires, with their elevated inherent elasticity, were successfully employed as a means of preventing wire breakage (caused by operation at resonant frequency). With each increase in cutting speed, the frequency of vibration must be altered accordingly in order to maintain the positive “saw effect”. The positive results are exemplified by the cross-sectional photo of a vertically perforated clay brick in »1.
This project of the Research Alliance of the Clay Brick and Tile Industry Regd (FGZ) was funded under the project number AiF 16074 N by the BMWi through the German Federation of Industrial Research Associations “Otto von Guericke” Regd (AiF). and implemented by Brick Research Institute Essen Regd (IZF). The final report is 65 pages long and available for a handling fee from the Research Alliance of the Clay Brick and Tile Industry Regd in Berlin.

Research paper conducted by the Research Alliance of the Clay Brick and Tile Industry Regd (FGZ)Project numberAiF 16074 NProject funded byBMWi through the German Federation of Industrial Research Associations “Otto von Guericke” Regd (AiF)Implemented byBrick Research Institute Essen Regd (IZF)Project
managersDipl.-Ing. E. Rimpel and Dipl.-Ing.
S. Petereit
Source Ziegelindustrie International

28/10/2012

Tourisme Village de la Poterie de Martinique

Une vue aérienne du village de la Poterie des Trois-Ilets en Martinique, où se sont installés des artisans dont quelques Martiniquais (poterie traditionnelle, céramiste, peinture, artisans terre et sable). Les Trois-Ilets détiennent l’une des plus anciennes entreprises de la Martinique. La poterie existe depuis 1783. Le village de la poterie qui promeut cette activité se situe sur les terres d’un ancien couvent de jésuites établi à la fin du XVIIème siècle. Ce village se consacre depuis le XVIIIème siècle au travail de la terre, cela a permis de développé les métiers de terre cuite en conjuguant industrie (fabrication de briques, tuiles, carreaux…) et artisanat (poterie de terres cuites. Cette activité a créé au sein de la ville des Trois-Ilets une architecture faite principalement de briques et de tuiles qui lui vaut le surnom de « cœur rouge ». Aujourd’hui le village de la poterie accueille en plus des traditionnels potiers, des créateurs et des boutiques faisant découvrir le savoir-faire de nombreux artisans et de merveilleux espaces d’expositions.
Source Assemblée Martinique

27/10/2012

Façades en terre cuite pour une réhabilitation durable à Valenton

Les façades des 210 logements sociaux situés à Valenton (94) viennent d'être rénovées avec la mise en place d'une ITE. Construite en 1952, la cité se compose de huit bâtiments repartis sur 15 767m2 SHON. La réhabilitation de la Résidence Le Château a été réalisée pour améliorer le confort et la sécurité des habitants et veiller à la pérennité du patrimoine. Revêtus initialement d'un enduit mince sur isolant en polystyrène, les murs en maçonnerie ont été recouverts de 120 mm (R=3.4) de laine de verre additionnelle. Le bardage en terre cuite a été posé après le remplacement des menuiseries extérieures en PVC, posées en applique extérieure du mur béton. Pour apporter une réponse technique aux contraintes imposées par le maître d'ouvrage, l'entreprise Isore Bâtiment, chargée des travaux de façade, a réalisé une ITE complétée de bardeaux Alphaton de Moeding. L'architecte du projet de réhabilitaiton, Marie Schweitzer, spécialiste des menuiseries au nu extérieur de façades, a retenu ces bardeaux pour leurs dimensions allongées, les nombreuses possibilités de calepinages et donc d'effets architecturaux, la qualité pérenne du produit et sa facilité de remplacement. Pour l'architecte il s'agissait également d'intervenir par l'extérieur et de déranger le moins possible les habitants de la résidence. « Je suis partie des ouvertures existantes pour composer les façades. Ensuite, j'ai crée des rythmes et des découpages proportionnant les matériaux de façades affleurants et mis en place un système que j'ai nommé, "la façade lisse et écologique", explique Marie Schweitzer. Ce concept de façade s'est inscrit dans sa charte écologique appliquée aux bâtiments. L'architecte a choisi la couleur brique orangé pour sa parfaite harmonie avec le vert du parc et de la végétation. Le programme technique de la réhabilitation a permis d'atteindre une dépense énergétique de 63 kWh EP/m2/an (classe B). www.moeding.fr
Source Batijournal

26/10/2012

« Le pire est à venir », s’inquiète la Capeb

Patrick Liébus s’est dit particulièrement inquiet pour l’activité des entreprises artisanales du bâtiment, révélant une baisse de 1% au troisième trimestre 2012. Il demande des mesures rapides au gouvernement pour relancer l’activité.
« La situation est désormais mauvaise et tous les indicateurs montrent que le pire est à venir », a prévenu Patrick Liébus, président de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb). Et d’annonce la baisse de 1% de l’activité sur le troisième trimestre 2012, par rapport à la même période de 2011.
Ce recul vient ainsi confirmer la baisse des carnets de commandes amorcée dès le début de l’année, tandis que l’activité enregistrait déjà au trimestre précédent une baisse de 0.5%. « Les entreprises artisanales du bâtiment n’auront pas les moyens de faire longtemps face », a déploré Patrick Liébus. Qui évoque les nombreuses causes de ce déclin : climat économique « délétère » marqué par une frilosité à investir et une baisse du recours aux crédits par les particuliers ; effondrement des mises en chantier de logements ; dispositifs d’aide publique malmenés en 2012.
La Capeb demande donc des mesures rapides au gouvernement pour relancer l’activité et « éviter un effet boule de neige qui impacterait toute l’économie ».
Source Batiactu

25/10/2012

IFMI lance un appel d’offre pour un prêt Européen à effet de levier de 24 Millions d’Euros.

Selon une source bien informée de cette vente, l’appel d’offre sera clôturé le 25/10 à 14h00 à Londres.
La liste inclurait la dette de 4 émetteurs selon la même source anonyme.
Les prêts sont distribués par l’agence de courtage Cohen & Co.
Les prêts concernent une tranche de 10,7 Millions d’Euros de prêts du fabricant de solutions de couverture Monier Groupe Sarl ; 3.8 Millions de prêt terme B et 4 Millions de prêt terme C du produteur de matériaux de construction Materis SA,2 tranches de 1.7 Millions d’Euros à long terme de l’Espagnol Telepizza SA et 1.7 Millions de prêt termes B et C d’un opérateur de téléphonie mobile Autrichien.
IFMI propose ces prêts dans un appel d’offre ouvert à la concurrence ( ou BWIC) où l’offre la plus élevée au dessus du prix de réserve l’emporte. Les prêts à effet de levier sont des dettes à haut rendement évaluées inférieures à) BAA3 par Moody’s Investors Service et inférieures à BBB- par Standard & Poor’s.
Source Bloomberg par Stephen Morris

La tuile terre cuite architendance

Les nominés du Grand Prix 2012 “la Tuile Terre Cuite Architendance.”
Cette année, le Grand Prix, organisé par la FFTB en partenarait avec le Réseau des Maisons d'Architecture (RMA), a regroupé plus de 100 participants dans toute la France répartis dans les 3 catégories.
La FFTB tient à remercier chaleureusement tous les participants qui ont fait de cette éditon une réussite en démontrant, chacun à sa façon, toute la modernité de la Tuile Terre Cuite.
Retrouvez-ci-contre les nominés dans chacune des catégories et des images de leur réalisation. ou projet Les lauréats recevront leur trophée le 19 octobre prochain à Strasbourg lors d'une cérémonie à l'occasion des 24h de l'architecture organisées par le RMA.
Source Latuileterrecuite

24/10/2012

Moeding et Erlus, deux entreprises bavaroises à la conquête du marché français de la tuile

Dans la région de la Basse-Bavière, la tradition de la tuile est immuable, parmi les grands industriels figurent Moeding basé à Marklofen et Erlus situé à Neufahrn. Moeding est spécialisé dans la fabrication à la demande de façades en terre cuite, et Erlus dans la réalisation de tuiles en terre cuite et conduits de fumée. Toutes deux ont un point commun, celui de percer le marché français de la tuile.
A une centaine de kilomètres de Munich, Moeding et Erlus deux sociétés spécialisées dans les produits en terre cuite développent leurs savoir-faire et tissent depuis plusieurs années leur réputation sur leur marché respectif. En effet, en Basse-Bavière, la tradition de la tuile est reconnue puisque la région regorge d’une quantité infinie de terrains argileux.
Tout d’abord, Moeding s’affiche comme une pionnière en Allemagne dans le développement des bardages rapportés. «Basée à Marklkofen, cette société filiale du groupe familial Girnghuber Gmbh-GIMA compte 250 collaborateurs, nous explique Jean-Marie Hauswald, directeur commercial France. C’est ici, que Moeding commercialise ses produits dans près de 60 pays et pénètre au fil des années le marché français.» Présent justement en France depuis 2005 avec les gammes Alphaton® et Longoton®, toutes deux certifiées par le CSTB, Moeding s’illustre notamment dans les écoles, bâtiments tertiaires, logements collectifs neufs ou en rénovation.
Sa particularité ? L’entreprise, qui travaille avec des architectes, maîtres d’œuvre et économistes, fabrique essentiellement des façades en terre cuite haut de gamme. «Nous nous adaptons surtout aux exigences architecturales, notamment le développement de formats ou finitions spécifiques», poursuit Jean-Marie Hauswald. Et nous nous appuyons aussi sur un réseau performant d’entreprises qualifiées et formées au produit pour la mise en œuvre des façades». Et d’ajouter : «En France, il y a une forte demande qui se justifie notamment par des besoins d’isolation des bâtiments, un marché de la rénovation en constante recherche de produits design et isolants ou encore par la quête de solutions pour des ouvrages à consommation énergétique quasiment nulle.»
« Nous voyons bien que la terre cuite a su évoluer notamment grâce à la créativité des architectes et au professionnalisme des façadiers qui la mettent en œuvre, conclut Jean-Marie Hauswald.
Erlus, une PME cotée en bourse
Toujours dans l’univers de la terre cuite, son voisin en Basse-Bavière Erlus dont son siège est à Neufahrn, s’étend sur 39 hectares et dispose de 7 gisements dans les environs. « Avec 3 sites de production à Neufahrn, Ergoldsbach et Teistungen ainsi que 4 pôles logistiques répartis dans le pays, Erlus qui emploie 495 salariés est une entreprise allemande spécialisée dans la fabrication de matériaux de couverture et de fumisterie », nous indique Claus Girnhuber, PDG de Erlus. Son chiffre d’affaires en 2011 ? 115,4 millions d'Euros.
Avec une production de 500.000 tuiles par jour, 42 millions par an et également 300.000 conduits de cheminée par an sur le site de Neufahrn, cette PME cotée en bourse s’impose en Allemagne et dans près de  vingt pays. « Nous poursuivons notre politique dédiée à l’export, nous signale Claus Girnhuber. Pour la France, cela progresse. Jusqu’ici les activités de distribution se sont concentrées sur les régions de l’Est de la France en Alsace, Lorraine et Franche-Comté avec un réseau de négociants de matériaux stockistes, strictement sélectionnés. »
Une stratégie commerciale offensive en France Afin de poursuivre sa stratégie commerciale offensive en France, le fabricant de tuiles vient d’annoncer deux nominations au sein de son équipe commerciale : Marc Maio devient délégué commercial de la région Alsace et Dominique Ginez prend la direction commerciale France.
« La demande croissante de matériaux pour toitures et conduits de fumées sur le territoire français représente pour nous un défi particulier. La focalisation claire et sans compromis de l'entreprise sur des produits haut de gamme et exceptionnels en matière de design et de fonctionnalité, est la garantie de gagner des parts de marché en France », nous confirme Dominique Ginez en Bavière sur le site référent de la société Erlus.
Source Batiactu par Sébastien Chabas

ERLUS AG : Nouvelle tuilerie Hi-Tech en Allemagne


Nouveau succès de CLEIA pour les projets de tuileries de hautes technologies : la société Allemande ERLUS AG vient de confier à CLEIA la réalisation d'une ligne de production de tuiles sur son site historique de production de Neufahrn / Niederbayern.
Le savoir faire et la maîtrise technologique de CLEIA pour les technologies de cuisson et de manutentions automatiques, ainsi que la confiance d’ERLUS AG envers les professionnels reconnus de CLEIA ont favorablement motivé la décision des dirigeants d’ERLUS.
La transformation de l’usine 2 répond à une demande du marché Allemand pour des tuiles de grande qualité et en particulier certains modèles de la gamme ERLUS.
Sur la ligne existante les tuiles étaient cuites avec des U dans un four traditionnel. La nouvelle installation conçue par CLEIA permettra de cuire les tuiles et des accessoires sur des supports unitaires de cuisson réfractaire de type H. ERLUS homogénéise ainsi la qualité de production de ses tuiles très appréciées par le marché.
La particularité de cette unité sera de pouvoir produire en même temps des tuiles et des accessoires plats. Après cuisson ces derniers seront reconnus puis prélevés sur le circuit principal et conditionnés sur une ligne spéciale.
Cette nouvelle unité comprendra un four à joint liquide ‘Hydro-Ecofast’ qui permet d’obtenir la meilleure qualité des tuiles, avec une étanchéité de cuisson optimale et sans équivalence.
Le four sera doté d’équipements et de brûleurs gaz CLEIA ultra performants, garantissant ainsi des consommations énergétiques très faibles.
L'ensemble des manutentions automatiques seront également fabriquées et installées par CLEIA, qui propose les solutions techniques les plus modernes et éprouvées.
L’unité de production sera pilotée par le système de supervision informatique Wincer.
La sortie des premières tuiles cuites du nouveau four est prévue dès le début de l’été 2013.
Source Cleia

23/10/2012

Le montage des murs en maçonnerie terre cuite gagne en productivité

Wienerberger lance une solution de collage horizontal rapide spécifiquement destinée à ses briques de structure rectifiées Porortherm.
Cinquante pour cent de gain de productivité sur les chantiers par rapport à une maçonnerie à la truelle, et 30% par rapport à une maçonnerie roulée : c’est la promesse que fait Wienerberger pour sa nouvelle solution de montage Dryfix dédiée aux murs porteurs en terre cuite à base de briques Porotherm. « La rapidité est l’avantage que tout le monde retient de ce procédé de collage, mais c’est le dernier que nous mettons en avant, après la fiabilité, la simplicité, la possibilité de travailler jusqu’à -5°C ou encore l’absence d’émission de COV», énumère Gérard Fouilloux, responsable marketing Briques de Wienerberger. De fait, pour profiter d'autant d'atouts, l’utilisation de ce liant monocomposant en mousse polyuréthanne réclame le respect d’un certain nombre de précautions relatives à la pose (réalisée avec un pistolet spécial) et aux conditions de stockage (debout, toujours à moins de 70°C, pendant une durée limitée et entre 10°C et 25°C la veille de l’utilisation). A tel point d’ailleurs que le liant Dryfix, conditionné en cartouches de 750 g, ne sera distribué qu’auprès des agences signataires d’une charte prévoyant notamment que les entreprises clientes devront avoir été préalablement formées.
Travail possible jusqu'à -5°C
Associé à un Avis Technique du CSTB (N°16/11-624), le procédé s’adresse exclusivement aux blocs de terre cuite rectifiés Porotherm de 15 à 30 cm d’épaisseur, pour les ouvrages en maçonnerie de type R+1 au maximum (hauteur limitée à 2,5 m pour des murs porteurs de 15 cm). Après la pose du premier rang sur une arase de mortier traditionnel, ajustée à l’aide des platines Porotherm, le liant Dryfix supprime tout besoin en eau, sauf humidification éventuelle des surfaces à fins d’accélération de la prise. « En cas de défaut, le produit ne permet aucun rattrapage de niveau : ce premier rang doit donc être parfaitement réalisé », insiste toutefois Gérard Fouilloux. Si en revanche tout est correct, les rangs suivants sont posés sur les briques préalablement dépoussiérées en appliquant au pistolet le ou les cordons de mousse (deux en général) d’environ 3 cm de diamètre et situés à 5 cm des bords. Les briques doivent alors être assemblées dans un délai de 3 minutes. Grâce à un accessoire double sortie à base de canules en plastique à écartement variable, la pose de deux cordons est possible avec un seul mouvement. Une cartouche permet en pratique de réaliser environ 40 m de cordon, ce qui représente 5 m2 de mur en moyenne. A noter également que le nettoyage du pistolet (au moyen d’une cartouche spécifique) n’est pas indispensable en fin de journée.
Source LE MONITEUR.FR par Jean-Charles Guézel

22/10/2012

Tuilerie Monier: Deux licenciements et trois départs volontaires

SIGNY- L'ABBAYE (Ardennes). Lors d'une réunion de comité d'entreprise qui a eu lieu le lundi 15 octobre, le directeur du site de la tuilerie Monier à Signy-l'Abbaye a annoncé aux représentants du personnel qu'un cadre (responsable de production) et un agent de maîtrise (technicien en extraction de terre) avaient été récemment licenciés « pour des raisons internes ».
Par ailleurs, trois autres cadres ou assimilés - un responsable process, un automaticien et un préparateur terre - ont quitté volontairement la société sans être pour autant remplacés. « Ce sont les aléas de la vie d'une entreprise », assure le dirigeant de l'unité ardennaise.
Après la réduction d'une équipe de production par arrêt de contrats intérimaires survenue cet été, Dallah Mekki a, par ailleurs, confirmé qu'en raison d'une baisse importante des volumes dans le secteur de la construction et d'un marché rétréci des ventes de maisons individuelles, une mesure de chômage partiel d'une à deux semaines pourrait être envisagée lors du prochain CE du 8 novembre avec une probable mise en pratique en fin d'année 2012.
Aucune précision supplémentaire n'a été donnée sur la façon dont seraient touchés les 90 salariés de la tuilerie signacienne.
En quête d'économies compte tenu de la mauvaise conjoncture et de l'érosion du marché, les dirigeants de Monier envisagent de stopper l'importation d'argile venant d'Allemagne pour tout concentrer vers la Belgique.
Aucune indication n'a été donnée sur la façon dont seraient touchés les 90 salariés de la tuilerie signacienne.
Ton cassant
Il faut en effet savoir que l'argile extraite à Signy-l'Abbaye est complétée par d'autres terres extérieures. Une pratique usitée sur d'autres sites Monier. Inquiet de la situation conjoncturelle de la tuilerie, le jeune militant socialiste Baptiste Touchon, sans vouloir mettre de l'huile sur le feu, entend malgré tout soumettre à Jean-Paul Bachy, président de l'exécutif régional, au commissaire du redressement productif et au préfet de Région l'idée d'une réunion tripartite rassemblant la direction du groupe, les représentants des salariés et les pouvoirs publics.
On remarquera qu'il n'a pas convié Benoît Huré à cet éventuel tour de table, lequel on s'en souvient n'avait à pas du tout apprécié, cet été, l'attitude et les prises de position de l'ex-candidat du PS aux cantonales de Signy-l'Abbaye dans ce dossier industriel.
D'un ton cassant, le président de l'exécutif départemental avait alors reproché à Baptiste Touchon, surnommé « la mouche du coche », de tenir des propos alarmistes susceptibles de jeter le trouble et le discrédit sur une entreprise qui a pourtant « rempli son contrat vis-à-vis des financeurs publics ».
Source L'UNION par Pascal REMY

La nouvelle tuile Galléane® 10 patinée de Monier

C'est en plein coeur de la cité phocéenne, dans la dernière tuilerie de la région Sud, que Monier fabrique sa nouvelle tuile, Galléane® 10 patinée. La nouveauté avec cette tuile réside dans son tout nouvel aspect qui restitue l'esthétique des toitures Canal d'antan.
Des tuiles esthétiques à la « patine » incomparable dans la pure tradition du Sud-Est de la France
C'est en plein coeur de la cité phocéenne, dans la dernière tuilerie de la région Sud, que MONIER produit sa toute nouvelle tuile, Galleane® 10 Patinée. Chargée d'histoire et de passion, cette tuilerie est le symbole d'une région, et le dernier bastion d'une industrie jadis florissante. Avec les tuiles Canal, Galléane® 10, Abeille, Romane, MONIER perpétue la tradition des toitures authentiques du Sud. Pour chacune d'elles, MONIER intègre ce savoir-faire ancestral, son expertise, et la recherche constante de performance. Depuis toujours acteur incontournable de la région Marseillaise, MONIER réécrit sans cesse l'histoire des toits méridionaux et cultive son héritage dans le respect de la tradition.
Des performances et une faculté de pose unique
La nouveauté de cette tuile réside dans son tout nouvel aspect qui restitue l’esthétique des toitures Canal d’antan. Aucune tuile ne se ressemble. En effet, la structuration est faite à partir de 6 empreintes différentes surmoulées sur d’anciennes tuiles de récupération. Le coloris Authentique apporte quant à lui un éventail de 4 couleurs associé à un poudrage aléatoire de 2 pigments. Cette association donne un rendu qui saura sublimer les plus beaux ouvrages de votre région. Pour parfaire l’esthétique Canal à l’égoût, nous avons développé un système de finition unique grâce à la Canal sablière et la demie-tuile structurées en sous-face.
D’autre part, la Galléane® 10 Patinée profite des performances qui ont fait la renommée de la Galléane® 10. Vous pourrez continuer à apprécier sa résistance. Ensuite, elle bénéficie toujours d’une facilité et d’une rapidité de pose grâce à un jeu longitudinal de 3cm et à un jeu latéral de 1,5cm.
Source DKOmaison

21/10/2012

CERIC TECHNOLOGIES présente son nouveau groupe d’étirage 730 ER MRP 12-25 PELERIN®, le Jeudi 25 Octobre à Soissons

Un savoir-faire de plus 50 ans dans la réalisation d’équipements de production matériaux de construction!
Le jeudi 25 octobre 2012 à 11 heures, CERIC TECHNOLOGIES, basée 1 rue d’Orcamps à Soissons, présentera son groupe d’étirage nouvelle génération, une réalisation représentant 5 400 heures de travail et ayant nécessité l’intervention de plus d’une dizaine de corps de métiers.
Une renaissance industrielle et technologique
CERIC (Centre d’Etudes et de Réalisation Industrielles et Commerciales), créé en 1960 et leader mondial, a été fondé pour la réalisation d’équipements et le développement de technologies dans le domaine des matériaux de construction en terre cuite ainsi que pour la conception de nouvelles unités de production.
En octobre 2009, CERIC et ses filiales sont en cessation de paiement. Après plusieurs mois de procédure, le Tribunal de Commerce de Paris accorde la cession des sociétés CERIC, HALLUMECA et PELERIN (société fondée en 1901 à Soissons) au projet porté par Patrick HEBRARD, Thierry PETRA et Laurent TOQUET. Le site de Soissons, ex-PELERIN, est repris avec 27 collaborateurs.
Rebaptisée CERIC TECHNOLOGIES en 2010, avec un CA s’élevant à 17 M€ en 2011, l’entreprise emploie aujourd’hui plus de 100 personnes dont 40 à Soissons. Elle s’est redéployée avec le soutien des collectivités locales, en particulier la Communauté d’Agglomération du Soissonnais, et a su faire face à d’importants défis industriels. S’appuyant sur une longue tradition d’innovation et de maîtrise technologique, elle a recherché des solutions innovantes, dans le respect du développement durable.
Lorsque prouesse technologique et rayonnement international se retrouvent à Soissons Première étape, le groupe d’étirage 730 ER MRP 12-25. Développé sous la marque PELERIN®, il est destiné à un projet en Algérie. Cette unité, composée d’un malaxeur horizontal et d’une mouleuse, présente de nombreuses innovations. Le diamètre de l’hélice de sortie du malaxeur, dont la dimension a été augmentée à 550 mm,= garantit un débit d’alimentation en argile en adéquation avec les capacités de la mouleuse (débit maxi de 100 t/h). La mouleuse permet une introduction directe et sous pression de l’argile dans la cuve d’entrée qui lui assure une adaptabilité à tous types d’argiles. Le volume de sa chambre à vide est supérieur de 40 % à celui des précédentes générations pour une désaération de la pâte.
Ce groupe d’étirage est pour le moment unique au monde. D’un poids de 40 tonnes, conçu à hauteur d’homme, il fera l’objet d’une présentation aux acteurs locaux et régionaux, ainsi qu’à la presse : le jeudi 25 octobre 2012 à 11 heures dans les locaux de CERIC TECHNOLOGIES, 1 rue d’Orcamps à Soissons
Pour toute confirmation, merci de contacter Magali Vitté au 01 53 05 55 00 ou par mail : info@cerictechnologies.com.


Source Ceric Technologies

Réglementation sismique : les impacts sur les acteurs de la construction 10 octobre 2012

Réglementation sismique : les impacts sur les acteurs de la construction La nouvelle réglementation sismique prendra effet à partir du 1er novembre 2012. Comment l’arrivée de l’Eurocode 8, règles de construction parasismique harmonisées à l’échelle européenne, a été anticipé par les fabricants et constructeurs ? Les bureaux d'étude seront-ils les plus impactés ? Batiweb a rencontré différents acteurs de la construction sur le sujet.
En 2011, la carte du zonage sismique de la France a été modifiée. 50% des communes sont aujourd'hui concernées par le risque sismique avec le nouveau zonage qui comporte 5 zones de sismicité. La zone 5 correspondant au niveau de risque le plus élevé (Les Antilles). L'Eurocode 8 "Conception et dimensionnement des structures pour leur résistance aux séismes" s'impose comme la norme à respecter pour la construction de bâtiment neuf. L'objectif est de construire parasismique dans les zones concernées. Le choix de l'implantation d'un nouveau bâtiment sera déterminant, comme la conception et la mise en œuvre des matériaux. Justement, les matériaux des fabricants sont-ils prêts à répondre à ce nouveau cadre réglementaire ?
Les fabricants peu impactés
« L'eurocode 8 est à 80% celui que l'on utilise en France depuis très longtemps, les 20% restants sont des ajouts qui ne changent pas grand chose » insiste le technicien de BETON 06, fabricant de Matériaux de construction en béton à Nice, ville justement située en zone 4 de la carte du zonage sismique. Même son de cloche du côté du Centre d’Études et de Recherches de l'Industrie du béton (CERIB), « le bloc-béton répond bien aux exigences de l'Eurocode 8, car l'industrie du béton était en avance par rapport à l'exigence de ce texte » précise Ana Grau Gimeno, chargée des normes parasismiques au CERIB. Pour le béton, aucun véritable impact n'est prévu pour les fabricants. Du côté de la terre cuite, Terreal vient de lancer la première gamme de briques de 20 cm conforme aux nouvelles exigences, preuve de l'anticipation des fabricants. Allons voir désormais du côté des constructeurs. Fondée en 1981 en tant qu'Entreprise Générale du Bâtiment, Val de Saône Bâtiment réalise des maisons en brique ou ossature bois. La réglementation sismique a-t-elle changé sa manière de fonctionner ?
« Nous avons consulté nos fournisseurs (aciers, etc...) et sous-traitants (notamment pour les murs ossature bois), et avons intégré leurs préconisations et spécificités produits » indique Mr Arfaoui, dirigeant de Val de Saône Bâtiment. « Notre activité de construction de maisons individuelles se situe essentiellement en zone 2 (autour de Mâcon), mais nous avons de plus en plus de demande par exemple autour de Lyon, en zone 3. Dans ces cas là, nous étudions plus spécifiquement le projet, et nous passons par un Bureau d’Étude Béton Armé » précise ce dernier. Le véritable changement se situerait donc dans la phase de calcul de la structure du bâtiment. « Avec la RT 2012, et la nouvelle norme sismique, le changement sera plus poussé pour les bureaux d'étude et les architectes » confirme le technicien de BETON 06.
De nouvelles surcharges pour les bâtiments
Dimensionner la structure de manière différente, respecter la disposition au niveau des armatures, des épaisseurs de murs... L'Eurocode 8 implique donc un changement dès la phase de conception d'un bâtiment. « C'est une toute nouvelle approche des bâtiments qui remet en cause les acquis des mouvements habituels comme le vent et la neige » confirme Mr Langry, ingénieur structure bois au Bureau d'Etude Oregon à Toulouse. « Nous avons eu une formation en interne sur les logiciels sur lesquels ont travaille habituellement pour adapter la façon d'analyser les bâtiments en fonction du risque sismique » précise l'ingénieur, pour qui le « calcul sismique impose aux bâtiment de nouvelles surcharges ». Selon lui, « il faudra grossir les assemblages, renforcer certaines pièces : au final, il y aura plus de matières pour le même usage ».
Pour la construction neuve, cette nouvelle réglementation risque d'engendrer un surcoût puisque le bureau d'étude passera plus de temps sur la phase de conception. « On va passer plus de temps sur le calcul sismique, donc ce sera plus cher, même si ce sera indolore pour le client final » affirme Mr Langry. Pour les bâtiments existants, la réglementation n’impose pas de travaux. Si des travaux conséquents sont envisagés, un dimensionnement est nécessaire avec une minoration de l’action sismique à 60% de celle du neuf. Heureusement, car renforcer la structure du bâtiment par le biais de l'isolation, comme l'isolation par l'extérieur, « c'est rajouter du poids sur la structure et c'est très complexe » conclut Mr Langry, qui ne voit pas les Bureaux d’Études réaliser de calcul de structure pour les bâtiments en rénovation.

Source Batiweb par Bruno Poulard

20/10/2012

Green Technology: Optimising water usage


MONIER is an industry leader in environmentally friendly roofing systems. Its two most significant innovations — the MONIER CoolRoof and the MONIER SolarRoof Systems — are not only aesthetically pleasing but also conserve energy and cool the interiors of a house.
The MONIER name is synonymous worldwide with energy efficiency, sustainability and ecological consciousness. Staying true to these fundamentals, the very foundation of its business philosophy, the company believes in optimising the full potentials of roofs so as to improve lives and homes.
In pursuing its on-going green agenda, MONIER is now venturing into the third ‘E’ in its energy efficient roofing solutions equation — environment, particularly the care and preservation of it. This is embodied in the latest offering from MONIER — the MONIER EcoRain Rainwater Harvesting System.
Why MONIER EcoRain?: Heavy downpours and floods during the monsoon seasons and convectional rain in the hot, dry months are all-too-familiar, oftentimes unwelcome, rainfall patterns that Malaysians contend with annually.
The MONIER EcoRain Rainwater Harvesting System takes full advantage of this situation by tapping into nature’s free resource when it is available in abundance. Water is collected, filtered and stored, and then recycled for use when it is scarce or occasioned by need. This facility from MONIER conserves water by supplementing piped water supply.
The MONIER EcoRain Rainwater Harvesting System is easy to install and simple to maintain. It provides a hassle-free and effective supply of harvested rainwater that saves water costs whilst helping the environment. Should its storage tank run dry during periods of heavy usage, the MONIER Rainwater Harvesting System automatically switches to the main water supply without any water supply disruption.
The quality of the harvested rainwater, however, is suitable only for non-potable use, for example, washing of vehicles, watering the plants and for flushing of toilets.
Benefits of MONIER EcoRain: The MONIER Rainwater Harvesting System has many benefits to a household:
• It acts as a convenient supplement to the main water supply in catering to household needs.
• It reduces utility bills as homeowners can now make full use of an alternative water source.
• It offers peace of mind to homeowners knowing that they have an independent supply of water during times of water shortage or rationing.
• It helps with the preservation of the environment, a universal campaign where building and homeowners and consumers can play a major role by the judicious use of and conservation of water.
Adding value to properties: Purchasing decisions are highly influenced by buyers’ preference for projects that promote sustainability of the environment. Amongst the in-demand green features that builders incorporate are energy and water efficiency technologies and rainwater harvesting systems in both new and old buildings.
The MONIER perspective: While rainwater harvesting systems can make homes more sustainable and reduce costs, the higher purpose, though, is conservation of the environment. MONIER shares these sentiments as its innovations are not just about energy efficiency and savings on electricity bills but advancing the global cause for sustainability.
The MONIER EcoRain, the latest addition that completes the MONIER family of E³ roofing solutions, reflects the company’s green direction in offering its consumers a comfortable and better living environment.
For more information, email roofing-malaysia@monier.com or visit www.monier.com.my 
Source NST

19/10/2012

Le mur de la dette LBO? Circulez, il n'y a rien à voir...

Alors que Moody's avait tiré en juin la sonnette d'alarme sur la dette des sociétés européennes sous LBO, l'Association française des investisseurs pour la croissance (Afic) assure que 1% seulement des entreprises françaises détenues par des fonds de LBO n'ont pas résolu les difficultés liées à leur dette. 14% des sociétés sous LBO, en France, ne respectent pas les 14% des sociétés sous LBO, en France, ne respectent pas les "covenants" liés à leur dette, selon l'Afic.
D'emblée, le ton est donné: «Nous voulons démentir certaines contre-vérités émises sur le métier du capital-investissement, et plus particulièrement sur celui du LBO (Leverage Buy-Out: acquisition par endettement)», a asséné mercredi Louis Godron, président de l'Association française des investisseurs pour la croissance (Afic), en préambule de la présentation de la situation financière des entreprises détenues par des fonds de LBO, en France. «On ne peut pas continuer à dire que le mur de la dette va bouleverser les équilibres financiers de la France et de l'Europe», a insisté Louis Godron.
Un mur de dette de 133 milliards d'euros, selon Moody's
Une allusion à peine voilée à Moody's. Fin mai, l'agence de notation financière avait tiré la sonnette d'alarme sur un mur de 133 milliards d'euros de dettes liées à des opérations de LBO, contractées par 254 sociétés européennes, et arrivant à échéance dès 2014 et 2015. Selon Moody's, au moins un quart de ces 254 entreprises risquaient de faire défaut, en raison de la dégradation de la conjoncture économique et de la difficulté à se refinancer auprès des banques et des marchés, crise financière oblige.
L'exemple de PAI pris au piège de Monier 
Un exemple de défaut avait frappé les esprits, en juin 2009. Celui du fonds de LBO PAI, contraint de céder Monier à ses créanciers. Deux ans plus tôt, PAI avait acheté 65% de ce fabricant de tuiles au prix de 2,07 milliards d'euros, profitant de l'euphorie sur les marchés pour financer cette acquisition via 1,8 milliard d'euros de dette. L'idée étant, comme dans toute opération de LBO, de rembourser la dette et de payer les intérêts grâce aux résultats dégagés par le fabricant de tuiles. C'était compter sans la récession économique de 2009, qui a provoqué une chute de l'activité de Monier, plongeant PAI dans l'incapacité de payer les intérêts de la dette d'acquisition.
14% des sociétés sous LBO ne respectent pas leurs «covenants»
La probabilité d'assister à de tels cas d'école, dans les prochains mois, est très faible, à en croire l'Afic, qui a mené une enquête auprès de ses membres. Enquête selon laquelle, au 31 décembre 2011, 14% seulement des sociétés détenues par des fonds de LBO ne respectaient pas leurs «covenants», c'est-à-dire les ratios financiers qui, s'ils sont brisés, rendent la dette immédiatement exigible par les créanciers. En 2010, ce ratio était de 19%, et il s'élevait à 24% en 2009.
Négociations avec les créanciers De plus, sur ces 14% de mauvaises élèves, 1% seulement n'ont pas encore résolu leurs problèmes de «covenants». Les autres ont obtenu de leurs créanciers des dérogations à ces ratios financiers, ou bien ont négocié avec eux un rééchelonnement de leur dette. En mai dernier, la société d'investissement Wendel avait ainsi obtenu un report de la maturité de la dette du chimiste Materis, de 2013-2015 à 2015-2016. Idem pour le groupe de restauration Elior, détenu par le fonds Charterhouse, et dont les créanciers ont accepté de différer de trois ans, à 2017, l'arrivée à échéance de près de la moitié de sa dette.
69 fonds de LBO seulement ont répondu à l'enquête de l'Afic Mais «il faut se garder d'un excès d'optimisme, (...) parce que la situation économique est très rude et peut conduire à de nouvelles difficultés», reconnaît l'Afic. Surtout que, sur les 132 fonds de LBO que l'association a interrogés, 69 seulement ont accepté de lever le voile sur la santé financière de leurs participations.
Source La Tribune par Christine Lejoux

18/10/2012

Le groupe Terreal soutient l’économie locale

Le Groupe Terreal a affirmé, lors d’une réunion organisée par l’association Terre & Communes, sa volonté de trouver des solutions pour préserver l’emploi local. Le spécialiste des matériaux de construction en terre cuite a exposé devant les 16 maires des communes de France où sont situées ses usines, 4 axes d’innovations, visant à assurer la pérennité de l’industrie de la terre cuite. Avec les perspectives négatives des marchés de la construction, Terreal met en place diverses mesures destinées à assurer la flexibilité entre les 5 sites de la région afin d’anticiper pour les 18 mois à venir. Dans ce contexte, la réunion Terre & Communes a porté sur 4 axes d’innovations destinés à soutenir l’industrie de la terre cuite à long terme. L'innovation dans l’urbanisme Hervé Gastinel, également président de Promotoit, une association d’industriels de la toiture, a présenté son livre blanc sur les propositions destinées à libérer la production de logements. L’association préconise par exemple la surélévation des immeubles collectifs et la libération du foncier au sein de zones pavillonnaires existantes. Ce projet d’innovation urbanistique réintroduit aussi le toit en pente et singulièrement le toit en tuiles au sein de l’architecture contemporaine. Il s’oppose ainsi la pensée unique du toit plat, tant sur le plan esthétique que de la performance énergétique et du coût global. L’innovation constructive Corollaire de l’urbanisme, l’innovation constructive s’est tenue au cœur des débats par la présentation du projet BEPOS, lancé à l’initiative du Maire de Castelnaudary Patrick Maugard, d’Habitat Audois et de Terreal. BEPOS, ou Bâtiment à Énergie Positive, est un chantier expérimental portant sur deux maisons individuelles. Ce projet transversal vise à présenter concrètement le savoir-faire de Terreal sur des problématiques de performance et d’innovation, dans le respect des futures exigences thermiques de 2020, pour un habitat social accessible et reproductible. L’innovation industrielle L’innovation industrielle, indispensable à la compétitivité, passe tout d’abord par la maîtrise des coûts énergétiques. Terreal s’est ainsi fixé l’objectif ambitieux de réduire d’un quart sa consommation d’énergies fossiles et ses émissions de CO2 d’ici 2020. Pour cela, l’entreprise compte sur les bioénergies telles que le biométhane et le syngaz, et s’inscrit dès aujourd’hui dans des projets territoriaux de développement durable, aux côtés des collectivités locales. L’innovation produits L’innovation produits est le ferment de la croissance de demain. Terreal a présenté aux élus présents ses prochaines innovations, dont les développements sont articulés autour de 3 axes ; la performance énergétique (briques à haute performance thermique, cloisons en terre crue et tuiles solaires) ; la réduction des coûts de construction (briques dite à hauteur d’étage permettant de diviser par trois les temps de construction) ; l’innovation architecturale : des innovations spéciales pour des projets architecturaux spécifiques, mais également un travail sur les textures, structures et coloris des tuiles et briques de bardage. L’ensemble de ces projets repose sur sa pleine implication dans la vie locale et sur un travail commun pour la formation des jeunes et l’information du grand public. Le succès des Bâtiments à Energie Positive résidentiels pourra mener par la suite à des projets de bâtiment similaire pour le tertiaire.
Source France BTP

17/10/2012

Trophées Aléonard 2012 : le palmarès

Depuis 2004, les trophées Aléonard récompensent, à travers un concours international, les professionnels qui mettent en œuvre ses différents modèles de tuiles à travers le monde, un hommage à ce savoir-faire unique.

Cette année, pas moins de 31 dossiers ont ainsi été examinés avec attention par le jury. La cérémonie de la huitième édition des Trophées Aléonard s'est déroulée jeudi 5 octobre.

Quatre projets se sont distingués dans les catégories : "Rénovation", "Construction neuve", "Premier Chantier" et "International". "Des réalisations hors normes toutes plus impressionnantes par leur esthétique, leur créativité, la maîtrise des techniques et l'exactitude de mise en œuvre, (qui) font de cette édition un véritable concours dans les règles de l'art", se félicite-t-on chez Aléonard, filiale de Wienerberger.

Source LE MONITEUR.FR

16/10/2012

Montagny de Terreal: Une tuile à côte esthétique et économique

Disponible en 5 coloris, la nouvelle tuile Montagny de Terreal s'adapte à tous les systèmes constructifs et aux régions françaises où les tuiles à côtes sont mises en oeuvre. Elle se différencie des tuiles à côtes traditionnelles par ses lignes épurées et sa côte centrale moderne. Ses formes géométriques donnent aux toits un rythme harmonieux et une allure contemporaine. Seule sur le marché à disposer d'un nez fin biseauté et sans ergots, elle permet d'affiner l'écriture de la couverture avec l'esthétique d'un pureau plat. Le pureau longitudinal de 42,5 cm, le plus important du marché, permet une économie jusqu'à 15% en liteaux. Cette tuile, robuste et très résistante grâce à sa géométrie régulière et à ses renforts en sous-face, garantit une pose sans casse. Elle convient à tous les types de toiture en neuf comme en rénovation. Particulièrement étanche, elle peut être posée à faible pente et a été testée avec succès sur des pentes inférieures à 19%. La tuile Montagny est produite à Chagny en Bourgogne, terre de tradition tuilière depuis plus de 100 ans où TERREAL possède deux usines.
Source Batijournal