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01/10/2012

Faites jouer la lumière...avec l’esthétique à Joints Vifs® TERCA

Innovation Wienerberger, la mise en oeuvre à Joints Vifs® met en évidence l’esthétique de la brique sans joint traditionnel, conférant aux murs apparents un cachet bien particulier et à la façade une apparence plus pure et une couleur plus intense. De nouvelles perspectives Les Joints Vifs® apportent au mur de briques TERCA un cachet bien particulier et proposent une nouvelle esthétique de la façade. L’impression d’un empilement naturel des briques donne à la façade une apparence plus pure et une couleur plus intense. Fort de son succès à l’étranger, Wienerberger propose maintenant en France cette technique de pose à Joints Vifs® TERCA, pour les réalisations les plus audacieuses. Des avantages techniques L’esthétique à Joints Vifs® est obtenue grâce à un liant spécial permettant de diminuer l’épaisseur du lit de mortier à environ 3 - 7 mm à l’aide d’un outillage adapté, manuel pour les petits chantiers ou mécanisé pour les chantiers importants. Cette technique permet une pose plus facile et rapide du fait de la suppression du jointoiement. Dans tous les cas, les risques d’efflorescences dues aux mortiers traditionnels, sont quasiment inexistants et la façade est exempte de toute salissure. La brique sert aussi de bouclier contre les intempéries et les chocs et protége l’isolant entre le parement extérieur et la structure du bâtiment dans le cas d’isolation par l’extérieur. La mise en oeuvre à Joints Vifs® TERCA est validée par le CSTB par DTA. Une esthétique innovante Le mouvement de la lumière sur les briques et les Joints Vifs®, donne vie aux volumes et rythme la façade. Au final le joint de la brique ne représente que 4 à 6% de la surface vue, renforçant ainsi l’identité du bâtiment. Cette esthétique pure et monolithique de la façade permet une approche contemporaine du bâtiment. Source Batijournal

30/09/2012

Inauguration de la nouvelle tuilerie CREATON (groupe Etex) en Pologne


C’est le 19 Septembre à Widziszewo , commune de Kościan, située à environ 50 kilomètres de Poznan en Pologne que CREATON a inauguré l’usine de production de tuiles terre cuite la plus moderne d’Europe.
Cette usine d’une capacité de plusieurs dizaines de millions de tuiles par an a été commencée au printemps 2011 sur un terrain d’une dizaine d’hectares. Le bâtiment principal abrite l’atelier de préparation des matières premières, le hall de production de tuiles et accessoires ainsi que les services administratifs. L’usine se situe a proximité immédiate de la carrière d’argile avec des réserves couvrant plusieurs dizaines d’année de production.
La gamme de produits actuels sera élargie à deux nouveaux modèles de tuiles à emboîtement , développés exclusivement pour les consommateurs polonais adeptes d'architecture classique et de qualité fiable.
La nouvelle usine est équipée de machines innovantes qui répondent aux plus hauts standards européens.
Les produits qui y sont fabriqués sont spécialement conçus pour répondre aux conditions climatiques qui prévalent en Pologne, et bénéficient d’une haute étanchéité. La gamme de couleurs des tuiles, s'est appuyé sur les traditions de l'architecture.
En conjonction avec le volume de production des deux autres usines appartenant à la filiale ETERNIT en Pologne ,les produits de cette nouvelle unité vont renforcer la position de l'entreprise et lui permettre de se targuer d'être le leader du secteur "- prévoit Wim Messiaen, directeur général d'Etex Matériaux de construction Poland Sp.o.o.
Existant depuis quelques années, les deux autres usines dans le nord et le sud de la Pologne, sont destinés principalement à la production de tuiles de ciment. Récemment ouvert dans la partie centre-ouest , la nouvelle tuilerie Creaton permettra à l'entreprise de devenir le leader incontesté sur le marché polonais. Grace à cet investissement  le groupe Etex offrira en Pologne une gamme complète de produits de la plus haute qualité fabriqués localement.
Source Biznet.onet.pl

Saverdun Terre Cuite: 3M d’investissement pour le développement d’une nouvelle gamme terre cuite



C’est un des plus anciens matériaux artificiels de construction, obtenu par la cuisson d’argile.
Utilisée par les romains, la terre cuite a traversé les siècles et ses multiples dérivés (tuiles, boisseaux, corniches, briques, hourdis ou entrevous…) sont encore bien présents dans la construction contemporaine, réputés pour leur résistance mécanique et thermique.
À Saverdun l’argile fait partie du paysage, les carrières sont nombreuses et son extraction depuis des centaines d’années a permis de créer une économie (d’abord artisanale puis industrielle) autour des briqueteries et des tuileries pourvoyeuses d’emploi.
La première briqueterie à Saverdun date de 1867, le savoir-faire s’est transmis de génération en génération.
La briqueterie Diligent devient en 1985 Saverdun Terre Cuite avec à la tête de cette PME familiale, Jean Christophe Valdebouze qui oriente la production vers la fabrication de pièces spéciales (accessoires de murs et de couvertures): fabrication de corniches en terre cuite (génoises), appuis de fenêtre, coffres de volets roulants, pièces pour planchers (hourdis, entrevous).

La carrière, située au-dessus du site, fournit la matière première et bien que les techniques aient évolué, les principes restent identiques: il faut rendre la terre homogène avant de pouvoir la travailler, elle est dépierrée avant d’être broyée.
La poudre est ensuite humidifiée puis extradée à travers un moule.
Les produits vont sécher avant une cuisson de 24h à 1 020°C dans des fours de 70 m de long.
Les briques en terre cuite sont transportées par palettes sur des chariots, tout est robotisé.
Avec une production de 17 000 tonnes par an, les terres cuites de Saverdun sont destinées aux négociants de matériaux ou aux industriels de la terre cuite (Monier Lafarge ou Imérys à Colomiers).

Cette PME (dont le siège administratif est domicilié dans l’Hérault) a décidé de réaliser d’importants investissements sur le site de Saverdun, ceci afin de développer une nouvelle gamme de produits (de taille plus importante et des produits pressés comme les tuiles).
Une nouvelle chaîne en cours d’installation dans un bâtiment de 4 500 m² (pour un investissement évalué à 3M€) permettra de développer des produits mieux adaptés à ce marché spécialisé en permanente évolution: «nous avons notre propre gamme adaptée aux nouvelles réglementations, comme les coffres pour volets roulants pour les bâtiments BBC.
Avec ce type de matériel on n’a plus de ponts thermiques […] nous sommes guidés par des préoccupations énergétiques, pour créer des produits adaptés et certifiés mais pas seulement.
Notre démarche industrielle s’inscrit également dans le Grenelle de l’Environnement, avec l’installation de cette nouvelle chaîne de fabrication et de séchage, nous avons mis en place un système permettant de récupérer l’énergie perdue pendant la cuisson» explique Jean-Christophe Valdebouze qui participe avec les partenaires locaux (issus du monde agricole) à une réflexion sur un projet de réseau chaleur autour du Biogaz.
En attendant ce chef d’entreprise, membre fondateur du réseau Effinergie* a décidé d’installer des panneaux solaires sur la toiture de la briqueterie et réfléchit au plan carbone, pour recycler les émissions de CO2.
Parmi ses grands défis, le stockage de l’énergie mais aussi l’adaptation aux bâtiments de demain en développant une maison en brique avec de la terre cuite comme système d’accumulation de chauffage.
Il existe déjà deux maisons pilotes (dans l’Aude et l’Hérault) sur ce modèle, entre le BPOS et le BBC.
Un patron discret mais qui se définit comme acteur citoyen, en matière d’énergie et de développement durable.

Pour en savoir plus: http://saverdunterrecuite.fr/

*Effinergie est un collectif associatif français créé en 2006, avec pour objectif de promouvoir les constructions à basse consommation d’énergie (en neuf et en rénovation).
Son premier label, lancé en 2007, est devenu «BBC-Effinergie», repris dans la réglementation thermique visant une consommation énergétique moyenne de 50 kWhep/m²/an (source: Wikipédia)
Source Ariegenews

29/09/2012

14 jobs at risk at brick firm in Hartlebury(GB)

JOBS are under threat at a brick manufacturers in Hartlebury. About 14 jobs could be cut at Wienerberger Ltd at the Hartlebury and Waresley brickworks on the Hartlebury Industrial Estate, as the firm reviews its production “in light of current market conditions and the UK’s unprecedented low levels of construction”. Harald Schwarzmayr, managing director, said: “It is likely there will be a reduction in production volume at Hartlebury, which may result in approximately 14 job losses. “We have now entered a period of consultation with trade unions and employees and hope to minimise the impact through redeployment of staff and a voluntary redundancy programme.”
Source Kiddermunstershuttle

Samse : bénéfice semestriel en recul de 25%


Le résultat opérationnel courant de Samse s'établit à 16,4 Millions d'Euros, contre 22,2 ME au premier semestre 2011.
Le résultat financier représente une charge de 0,6 ME,
en baisse de 20,2%. Le résultat net, part attribuable aux actionnaires de SAMSE, ressort à 11,4 ME (- 25,5%).
"La bonne activité du Négoce sur les mois de juin et juillet nous permet de rester confiant quant aux perspectives du 2e semestre. L'activité Bricolage devrait se maintenir au-dessus du marché", commente la société.
Source Boursier.com

28/09/2012

La brique s’adapte aux normes sismiques


Les fabricants anticipent l’entrée en vigueur prochaine de la réglementation sismique. Celle-ci impose de modifier les principes de construction dans les zones à risque. Les matériaux ont donc évolué pour s’adapter à ces nouvelles obligations. Cela concerne, notamment, les briques. Terreal vient d’ailleurs de commercialiser une gamme adaptée qui a pour particularité de conserver les dimensions des briques traditionnelles.

Des préconisations précises pour l’utilisation des matériaux en zone sismique

La refonte de la carte de zonage des risques sismiques en mai 2011 s’est accompagnée d’une nouvelle réglementation (pour en savoir plus sur les mises aux normes en présence de risque sismique, consultez notre publication concernant la nouvelle réglementation sismique) pour sécuriser les constructions ayant fait l’objet d’un permis de construire après mai 2011. Celle-ci s’appuie sur les codes parasismiques inclus dans l’Eurocode 8 de l’Union européenne. Son entrée en application définitive est programmée au 1er novembre 2012.

À compter de cette date, chaque construction devra appliquer les règles de construction définies dans les zones à risque. Pour cela, les constructeurs ont amélioré leurs matériaux pour les adapter aux nouvelles obligations. C’est le cas des briques qui doivent désormais disposer d’un processus de fabrication spécifique pour être utilisées dans ces zones.

Ainsi, leur épaisseur doit être au minimum de 20 cm et comprendre au moins trois cloisons porteuses longitudinales disposant d’une résistance en compression supérieure à 15 bars de façon longitudinale et 40 bars de façon horizontale. Les réservations minimales doivent, elles, être de 15×15 cm pour la mise en place de chaînages verticaux. Ces obligations ont souvent amené les fabricants à revoir l’épaisseur des briques, passant de 20 à 25 cm.
Une brique parasismique de dimension traditionnelle

Terreal, connu pour ses matériaux en terre cuite, a en revanche fait le choix de s’adapter aux obligations de l’Eurocode 8, tout en conservant les dimensions traditionnelles de la brique. L’objectif était ainsi de permettre aux professionnels de garder leurs habitudes de construction, tout en limitant le surcoût dans l’achat de ces matériaux. Celui-ci ne devrait d’ailleurs pas dépasser 100 euros pour un habitat de 130 m².

Si cette option peut faire craindre une fragilisation de la structure de la brique, il n’en est pourtant rien. En effet, les tests en laboratoire menés par le CSTB ont démontré la parfaite résistance de ce nouvel équipement.

Reste que la loi impose également un chaînage important. Aussi, si le surcoût n’est pas au niveau de la brique Terreal, il faudra, en revanche, compter avec celui des éléments de ferraillage.

27/09/2012

FFB : « Le temps est à la réactivité ! »

A l’occasion d’une conférence de presse ce midi, Didier Ridoret, président de la FFB, a confirmé la tendance à la dégradation de l’activité dans le bâtiment et les fortes incertitudes à l’horizon 2013. "Le temps n’est pas à la fatalité, mais à la réactivité !", a martelé Didier Ridoret lors de la conférence de presse de ce midi à la Fédération Française du Bâtiment. Face à une situation économique qui s’aggrave, le réseau des fédérations locales de la FFB intensifie l’action de ses cellules de crise et mène une coopération étroite avec l’ensemble des acteurs publics et privés impliqués dans la filière. Concernant la conjoncture (à fin septembre), dans le neuf, les prévisions de la FFB pour l’ensemble de l’année sur la base des données disponibles sur sept mois ressortent à près de 350.000 logements mis en chantier, soit un recul de 16,5% par rapport à 2011 ; et 22,5 millions de m² commencés dans le non-résidentiel soit un repli de 9,3%. Pour l’amélioration-entretien, la production en volume s’inscrit en baisse de 0,5% au premier semestre 2012 par rapport au même semestre de 2011. Ces éléments expliquent l’effritement des carnets de commandes observé depuis mars 2012 et confirment les évolutions prévues par la FFB pour l’ensemble de l’année, soit un recul de la production en volume de 1,9%. Si les défaillances d’entreprises sont en baisse, les cessations d’activité dans le bâtiment ont progressé de 13,4% en glissement annuel sur douze mois à fin mai 2012. Par ailleurs, les délais de paiement clients continuent de s’allonger, et les prix bâtiment reculent depuis l’été 2011, entraînant des problèmes de trésorerie pour un certain nombre d’entreprises. Enfin, les perspectives d'emploi dans le bâtiment s’avèrent négatives pour les mois à venir. La FFB maintient donc ses prévisions pour 2012, soit une perte globale nette de l’ordre de 35.000 postes en moyenne annuelle. Source France BTP

IMERYS : nouvelle nomination au conseil d'administration


Imerys a annoncé la nomination de Marion Guillou au conseil d'administration. Le leader mondial des spécialités minérales pour l'industrie a précisé que Marion Guillou est présidente du Conseil d'administration de l'Ecole Polytechnique et membre du Conseil de surveillance d'Areva ainsi que Présidente d'Agreenium après avoir été, jusqu'en août dernier, Présidente et Directrice Générale de l'INRA.

- Imerys fait de l'innovation un fer de lance. Le groupe a créé un fond dédié à l'innovation (géré par le top management) afin de s'assurer que des projets ne seront pas abandonnés faute de budget prévisionnel dans les différentes unités du groupe ;
- Imerys bénéficie d'une très grande diversification de ses débouchés et d'une bonne répartition géographique. Imerys réalise plus d'un quart de son activité dans les pays émergents ;
- Imerys a su installer d'importantes barrières à l'entrée de ses activités. Le groupe ne connaît pas de concurrence chinoise. Il a ainsi une forte capacité à imposer ses prix à ses clients ;
- Le groupe a redressé sa situation financière, ce qui lui permet d'envisager des opérations de croissance externe notamment dans les nouveaux minerais et les pays émergents ;
- Le groupe bénéficie d'un actionnariat stable.

Les points faibles :
- Le management reconnait que la visibilité est actuellement très faible. Qui plus est, après une croissance organique de 8% en 2011, l'effet de base est défavorable cette année ;
- Le groupe est exposé à certains marchés à caractère cyclique, comme la sidérurgie, la construction et la publicité ;
- Imerys souffre d'un déficit de notoriété auprès de la communauté financière, ainsi que d'un flottant et d'une liquidité limités ;

Suivre Imerys :
- Le titre est dépendant de l'évolution de la conjoncture économique. Il est notamment sensible au marché de la construction, domaine où le groupe réalise un tiers de son activité ;
- Par ailleurs, la valeur est soumise à l'évolution du dollar, du prix de l'énergie, et plus particulièrement à celui du gaz ;
- Le groupe a une structure de coûts fixes importante induisant un fort effet de levier de la hausse des volumes sur le résultat opérationnel. Mais l'inverse est également vrai dans les phases de croissance plus difficile.

Le Syndicat français de l'industrie cimentière (SFIC) ne s'attend plus qu'à 360.000 logements mis en chantier cette année (contre 420.000 en 2011), ce qui entraînerait une baisse de 7% de la consommation de ciment. Cette détérioration intervient dans un contexte de surcapacités. Selon le SFIC les capacités sur le marché français s'élèvent à 25 millions de tonnes contre une consommation normale, de 22 à 23 millions de tonnes. Les acteurs français pâtissent d'une distorsion de concurrence du fait des réglementations environnementales européennes, qui ne pèsent pas sur les cimentiers hors d'Europe. Les produits importés ont donc un coût de revient de 10% à 20% inférieur au ciment français. C'est pourquoi importer la matière première du ciment, le clinker, pour uniquement la broyer au lieu de la produire en France est rentable. Il existe en France une dizaine de projets pour des stations de broyage.
Source Capital.fr

26/09/2012

Limoux. Tuilerie Monier : chômage partiel en décembre


Les 82 salariés de la tuilerie Monier vont voir leurs salaires diminués dans le chômage partiel.

Une période de chômage partiel est prévue courant décembre à la tuilerie Monier. Les salariés sont inquiets pour 2 013 de l'éventuelle baisse d'activité dans le secteur.

Quand le bâtiment va tout va, le bon sens populaire affirme là une évidence qui dans cette période de crise, par effet inverse, donne quelques sueurs froides aux 82 salariés de la tuilerie Monier à Limoux. En 2 011 les fours sont restés allumés jour et nuit, les équipes de roulement à la fabrication des tuiles sont passées de 4 à 5 fois 9,36 heures, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24. Dans l'usine route de Saint Polycarpe on éteignait jamais la lumière, elle fabriquait en continue, une activité soutenue qui alimentait un marché qui n'avait pas encore fléchi. Aujourd'hui les choses ont changé même si certaines rumeurs affirment pourtant qu'il y avait une volonté de la direction de faire des réserves pour ensuite «s'offrir» un chômage partiel moins coûteux, puisqu'une partie des heures payées aux salariés est prise en charge par l'État. Une sorte d'assurance d'avant crise. Mais les syndicats sur place démentent formellement. Rodolphe Fabrié responsable CFDT affirme : «Notre activité répondait bien à une demande, nous avons très peu de stock, nous n'avons pas été impactés pour l'instant par l'effondrement du marché et les problèmes espagnols ne touchent pas notre créneau de production. Notre tuile à Limoux est d'une esthétique et d'une qualité supérieure. Mais il est évident que nous allons entrer dans une période plus délicate ce qui explique notre semaine de chômage partiel cette fin d'année, nous sommes pour l'instant en négociation sur les acquis que nous voulons conserver. Mais l'idée de ce chômage partiel est de garder de la fabrication donc du travail sur le premier trimestre 2 013.Bien sûr nous avons peur à long terme pour nos emplois. L'année qui vient est annoncée comme l'année de tous les records à la baisse, toutes les prévisions sont extrêmement mauvaises. Il est prévu en France 35 000 licenciements dans le domaine du bâtiment tous secteurs confondus.» Difficile évidement de passer à travers les gouttes. Les trois autres leaders français de la tuile (Terreal, Imerys, Wienerberger) joueront la même partition que les établissements Monier à savoir prévoir une période d'une semaine de chômage partiel au mois de décembre 2 012.Période ou les salariés seront payés 75 % du salaire brut, soit 93 % du salaire net. Pas vraiment une bonne nouvelle pour Noël.
Source La Dépêche du Midi

25/09/2012

Terreal autorisé à exercer l'activité de fourniture de gaz naturel

Journal officiel du 23 septembre 2012 Par arrêté du 24 août 2012, la société Terreal (13-17, rue Pagès, 92158 Suresnes Cedex) est autorisée à exercer l'activité de fourniture de gaz naturel limitée à des opérations occasionnelles d'achat et de vente aux points d'échange de gaz du territoire français, pour les besoins de l'activité de ses sites industriels. Le volume de gaz échangé ou vendu au cours d'une année civile ne peut dépasser le volume de gaz consommé directement par ces sites industriels.
Source Energie 2007

Le solaire thermique, une technologie éprouvée


Après une première vague d’installations non maîtrisée dans les années 1980, le solaire thermique est aujourd’hui une technologie aboutie, respectueuse de l’environnement et économiquement intéressante. Pierre Mas, référent technique de Qualit’ EnR, revient pour Batiactu sur les avantages de cette solution et sur les erreurs à éviter lors de l’élaboration de son système.

Après les chocs pétroliers des années 1970, les pays européens se sont penchés sur des technologies énergétiques alternatives. Le solaire thermique fait partie de celles-ci : elle consiste à recueillir l’énergie du rayonnement solaire et à la transmettre à un fluide caloporteur (gaz ou liquide). La chaleur transmise est utilisée pour réchauffer un réservoir d’eau ou pour alimenter un dispositif de chauffage par le sol. Le procédé permet de couvrir environ 50 % des besoins annuels en eau chaude et d’apporter un complément de chauffage. « Une première vague d’installations a eu lieu au début des années 1980. Mais elle était non maîtrisée et beaucoup d’installations ressemblaient à du bricolage », nous explique Pierre Mas, couvreur plombier chauffagiste, spécialiste du solaire thermique et membre du bureau de Qualit’EnR. « D’où des contreperformances et des installations de moindre qualité ».

Tirant les enseignements de ce premier échec, l’Ademe lance, en 1999, le plan Helios 2006 avec pour objectif d’implanter durablement l’énergie solaire en France. Les produits et procédés de mise en œuvre sont alors mieux encadrés et les systèmes agrémentés par le CSTB. Les aides ne sont alors versées qu’aux utilisateurs de matériels performants. « Avec la hausse des prix de l’énergie et les aides apportées par les conseils régionaux, le solaire thermique connaît alors un certain engouement », poursuit Pierre Mas. « La technologie, dans les années 1990, reposait sur des capteurs plans classiques. Puis sont apparus les capteurs sous vide, avec ou sans caloduc. Quelques tentatives de capteurs à air ont également été menées. Mais il s’agit d’une technique non courante, risquée pour un installateur car elle a besoin d’être bien maîtrisée ».

Un rendement qui dépend de très nombreux facteurs
« L’amortissement des installations est la première question posée par les clients », constate l’installateur. « Le retour sur investissement doit être rapide, en 4 ans. Il s’agit donc d’une logique économique et non pas écologique », déplore le professionnel. « Pourtant, avec le solaire thermique, le rendement dépend de très nombreux facteurs : la localisation géographique, l’orientation et la pente de la toiture, la technologie choisie, la gestion des appoints et… la consommation d’eau chaude ! Si l’utilisateur ne tourne jamais le robinet, l’installation ne sera jamais rentabilisée ». Des logiciels permettant de simuler sa future installation sont disponibles mais les conseils de l’entreprise ou de l’artisan chargé de l’installation restent primordiaux. Il conviendra notamment de faire attention aux ombres portées et aux toitures non adaptées. « Il sera peut être nécessaire de renoncer et de choisir une autre technologie plus adaptée que le solaire thermique ».
Car les installations avec le ballon d’eau chaude double, sont beaucoup plus volumineuses que des chauffe-eau classiques. L’échange standard n’est donc pas possible. « C’est la maison qui décide de l’implantation, avant même le propriétaire », prévient Pierre Mas. Dans des appartements existants, il s’avère donc qu’une installation est très compliquée, faute de place. « En revanche, pour les maisons individuelles ou pour les hôtels, avec la plus forte affluence estivale au moment où le rayonnement solaire est important, la technologie thermique s’avère bien adaptée ».

Et quels seront les développements de la technologie à l’avenir ? Selon Pierre Mas, on assistera à un rapprochement entre le solaire photovoltaïque et le thermique. Des expérimentations sont actuellement menées afin de faire circuler un fluide caloporteur dans les capteurs PV, afin de récupérer la chaleur et faire ainsi baisser la température qui entraîne normalement une chute de leur rendement. Mais l’installateur prévient : « En tant que professionnel, je suis ouvert mais prudent face à ces nouvelles avancées. Quelle sera leur tenue dans le temps ? Que les industriels fassent tous les tests nécessaires en laboratoire afin que les clients n’essuient pas les plâtres. Quant à mes collègues installateurs, qu’ils n’oublient jamais de prescrire diverses solutions à énergies renouvelables : les clients n’auront pas forcément le réflexe de les demander. C’est donc à nous, professionnels, de jouer un rôle actif dans la transition énergétique ».

Composition d’un système solaire thermique :
- Des panneaux solaires (ou capteurs) qui captent l’énergie du rayonnement solaire en chauffant un fluide caloporteur dans un circuit primaire qui achemine les calories récupérées jusqu’au circuit secondaire ;
- Un réservoir où le volume d’eau est chauffé par le liquide caloporteur par simple échange thermique via un serpentin en cuivre ;
- Un dispositif de chauffage d’appoint peut être intégré au réservoir (résistance électrique ou liaison à une chaudière à gaz) ;
- Un vase d’expansion sur le circuit primaire afin de compenser la dilatation thermique du fluide ;
- Un circulateur sur le circuit primaire pour les matériels en circulation forcée.

Un réservoir placé plus haut que le panneau solaire permet de se passer d’une pompe : la circulation dans le circuit primaire se fait par thermosiphon la température de sortie étant plus élevée que celle d’entrée pour vaincre les pertes de charges dans le système. La circulation s’arrête donc pendant la nuit, ce qui permet de garder l’énergie accumulée dans le ballon durant la journée.

24/09/2012

Maisons individuelles: 46.000 emplois menacés en 2012


Le secteur des maisons individuelles pourrait voir disparaître en 2012, 46.000 emplois, sur un total de 250.000, parce qu’il va réaliser sa plus mauvaise année de ventes depuis 2006, a annoncé jeudi 13 septembre Christian Louis-Victor, président de l’Union des maisons françaises (UMF).

"Il faut appeler un chat, un chat et Voltaire un fripon comme on disait au XVIIIe siècle". Christian Louis-Victor, président de l'Union des maisons françaises,  a trouvé la formule qui fait mouche et ne s'est pas voilé la face vendredi 14 septembre lors de son point presse de rentrée. Le secteur de la maison individuelle va mal.

Les ventes de maisons indivividuelles ont enregistré une baisse de 18% au cours des douze derniers mois considérés (août 2011-juillet 2012) par rapport aux douze mois précédents. Sur les trois derniers mois (mai-juillet), la baisse des ventes brutes n'est que de 12% par rapport aux mois correspondants de 2011 mais elles devraient tomber, sur l'ensemble de l'année, sous la barre des 150.000 contre 180.000 en 2011, soit la plus mauvaise année depuis 2006.

Conséquence, 46.000 emplois sur les 250.000 du secteur sont menacés en 2012, dont 14.000 condamnés presque à coup sûr. Soit 5,5 % de pertes.

Relance

Pour relancer un secteur très atteint, Christian Louis-Victor a avancé deux pistes principales.

Outre la libération du foncier privé par une inversion de la fiscalité (lire notre article), le président de l'UMF propose de renforcer le Prêt à Taux Zéro Plus, le fameux PTZ +. Un PTZ + renforcé pour tous les territoires, sous conditions de ressources et concentré sur la production neuve, qui permettrait de contrebalancer les surcoûts de la construction BBC et resolvabiliser les ménages. Christian Louis-Victor prône une "déterritorialisation" des aides pour agir sur les prix "en respectant davantage les besoins en logements de bassins de vie et d'emploi. "

Enfin autre piste avancée au moment ou le Parlement s'apprête à adopter le projet de loi sur le logement social, prendre en compte dans le quot de logements sociaux, la production de logements en accession sociale qui participe selon l'UMF "au desserrement de l'offre". En effet, pour la seule primo-accession sociale (accédants ayant entre 1700 et 2300 euros de revenis nets mensuels) la chute des ventes de maisons individuelles est de 25 % sur les 12 derniers mois, donc nettement supérieure à la moyenne de 18 % tous segments confondus.
Source LE MONITEUR.FR  par Adrien Pouthier

23/09/2012

Nouvelle unité de production de coffres de volets roulants pour Bouyer-Leroux


Le fabricant français de briques, Bouyer-Leroux, vient d’investir 1,3 million d’euros dans une nouvelle unité de fabrication de coffres de volets roulants sur son site de la Séguinière (49).
« Les coffres manuportables et les linteaux de grandes longueurs con­naissent un franc succès, explique Roland Besnard, pdg de Bouyer-Leroux, car, dans le cadre de la nouvelle réglementation thermique, ils répondent aux attentes des acteurs de la construction pour une enveloppe toujours plus isolante ».
Avant la création de cette nouvelle unité de production de coffres de volets roulants, une unité pilote a validé la faisabilité du processus tant au niveau de la spécificité des produits qu’au niveau de la qualité des argiles. Le fabricant a ensuite conçu cette unité de production qui a permis l’embauche de neuf personnes à la Séguinière. Aujourd’hui, ce site compte 95 personnes (hors administratif).
La surface de cette nouvelle unité représente environ 2 000 m² supplémentaire soit 750 m² d’atelier de fabrication et 1 300 m² d’unité d’assemblage pour un investissement d’un montant de 1,3 million d’euros.
« La demande en constante augmentation des éléments de grandes longueurs offre une belle perspective de développement pour Bouyer-Leroux, poursuit Roland Besnard. Nous am­bitionnons d’équiper 50 % des maisons individuelles livrées en briques Bouyer-Leroux ».

Un marché de 3,5 millions d’unités par an
Il faut noter que le marché du volet roulant est très important en France puisqu’il est estimé à 3,5 millions d’unités par an, pour partie en rénovation et pour partie dans le neuf. Sur ce dernier segment de marché, la quasi-totalité des logements collectifs et plus de la moitié des maisons individuelles sont équipés de volets roulants.
En maisons individuelles, les volets roulants sont traditionnellement intégrés dans des coffres tunnels. Le renforcement des exigences thermiques a conduit les industriels à développer une offre plus isolante que ce standard : les menuiseries monoblocs avec volets roulants intégrés déportés vers l’extérieur sont devenues une solution très performante.
Ce système coffre/menuiserie mo­no­bloc supprime les ponts thermiques habituellement localisés au droit des volets roulants. Sur une maison standard de 100 m², il permet de réduire la consommation énergétique de 3 à 4 %. Cette gam­me permet évidemment de renforcer l’isolation du bâti mais aussi de proposer une enveloppe homogène toute en terre cuite. Elle est conçue pour être mise en œuvre sans moyens de levage.
Cet investissement dans la production d’éléments monolithiques de grandes longueurs est également accompagné d’un accroissement des capacités de production en briques de structure au travers d’un autre investissement de sept millions d’euros, dans l’usine que Bouyer-Leroux exploite à Saint-Martin-des-Fontaines (Vendée).
Source Verre et protections

22/09/2012

Algérie : Conflit à la briqueterie Boudoudou (Mila)


Accusé d’évasion fiscale et de licenciements abusifs par les travailleurs, l’employeur nie catégoriquement, assurant agir en conformité avec la réglementation.

Le collectif des travailleurs de l’entreprise des produits rouges de l’Est (EPRE), privatisée depuis 2006 et dénommée présentement briqueterie Boudoudou de Mila, lance un autre pavé dans la mare. Sous l’impulsion de leur section syndicale affiliée à l’UGTA, les salariés ont organisé, jeudi dernier, dans l’enceinte de l’usine, une action de protestation pour exiger des pouvoirs publics l’ouverture d’une enquête sur de présumées transgressions des lois en matière «d’embargo sur le fonds des œuvres sociales, de licenciements abusifs et d’évasion fiscale». Des syndicalistes affirment en ce sens que des documents compromettants illustrant ces faits commis au préjudice des salariés, sont entre les mains des plus hautes autorités et que la brigade économique et financière a eu vent de cette affaire.

«Dès lors, nous attendons que justice soit rendue, car des ouvriers contractuels, quatre exactement sur un total de 34, pourtant réhabilités par voie de justice et réintégrés via l’inspection du travail, ont fait l’objet de licenciement abusifs», martèlent-ils. Entre autres préjudices faits aux ouvriers, «la mainmise exercée depuis 2006 par l’administration sur l’argent des œuvres sociales et la non réversion dudit budget dans des actions contribuant au bien-être social des travailleurs», indiquent nos interlocuteurs. Accusant leur employeur d’évasion fiscale, ils soulignent: «Depuis quelque temps, les gestionnaires de la briqueterie multiplient les tentatives de fraude vis-à-vis de l’administration fiscale. A ce propos, des facteurs sans valeur commerciale relatives à la vente d’une partie de la production, ont été émises.»

Ce que conteste catégoriquement M. Amar Boussouf, directeur administratif et financier (DAF). «Ce n’est que pure affabulation, nous travaillons en totale conformité avec la réglementation», répond-il. Il récuse également l’idée que des contractuels aient été licenciés arbitrairement: «Deux des mise en cause ont été remerciés pour fautes professionnelles du 3e degré. Quant aux deux autres, ils sont coupables de négligence et de désobéissance vis-à-vis de leur responsables hiérarchiques.» Concernant la question des œuvres sociales, le même responsable note que «la section syndicale n’a aucune prérogative à ce sujet, puisqu’elle n’a été installée que vers la fin 2011».               
Source El Watan par Mahmoud Boumelih

Imerys CEO Focuses on Growth Markets as Europe Suffers Doldrums


Imerys SA (NK) plans to expand in growth markets, and the French minerals processor and maker of building materials may increase debt without undermining its credit rating, Chief Executive Officer Gilles Michel said.

“We need to increase the company’s presence in some emerging markets such as China, Brazil and India, where there’s still a strong growth potential, and in some industries,” Michel said in an interview at the company’s Paris headquarters.

Imerys is looking at new markets after a second-quarter drop of 3.1 percent in like-for-like sales at comparable exchange rates as French housing starts slumped, Europe steel production fell and emerging markets slowed.

“Even if the environment is less supportive in 2012 and 2013, Imerys can develop geographically and in industries where we weren’t before and where growth is strong,” such as ceramics used for the recovery of oil and gas in the U.S., Michel said. There are also growth opportunities in cars, packaging, energy, electronics, “or even health and home care as well as agriculture, where we’re not very exposed,” he said.

Michel, 56, joined Imerys in 2010 and took the top job in April last year.

Moody’s Investors Service raised Imerys’s credit rating one step in May 2011 to Baa2, the second-lowest investment grade, with a stable outlook.

“I don’t want to undermine the strength of our rating,” Michel said. “It’s a lethal sin to be vulnerable against a backdrop that offers little support.” If Imerys plans an acquisition, “I would clearly look at the impact on our rating,” he said.
Debt Ratio

The company, which bought the talc business of Rio Tinto Plc for $340 million in 2011, expressed an interest in aluminates maker Kerneos, three people with knowledge of the matter said in July.

The CEO declined to talk about Kerneos, which makes cement aluminates used as binders for cement used in construction, pipe anti-corrosion protection, refractories and steel production.

“The world is more uncertain,” Michel said. “That’s leading us to be more selective in our development with higher profitability criteria when risks are higher.”

The company is “keeping a tight rein” on fixed costs and on expenditure for maintenance and investment, Michel said.

Imerys’s net debt was 1 billion euros ($1.31 billion) at the end of June, or 1.5 times earnings before interest, taxes, depreciation and amortization. That was down from 2.5 times three years earlier. The company said it has spent 1.8 billion euros on 71 acquisitions since 2000.

“If justified, the company’s financial robustness allows it to take on more debt and have higher ratios than today,” Michel said.
Profit Forecast

The CEO reiterated a forecast that net income from current operations in 2012 will be “at least comparable” with 2011.

“Italy, Spain, Portugal and Greece account for less than 7 percent of our sales,” Michel said. “We’re not materially exposed to a large disruption in these markets.”

Still, the possibility of trouble in the economy remains a threat, Michel said.

“We live in a world where systemic risks exist,” he said. “While we would have laughed if one had said five or seven years ago that Europe or the euro could unravel, or that a developed country might collapse, we now know that it’s possible, which implies a lot of uncertainty.”

Imerys shares have advanced 24 percent in Paris trading this year, giving the company a market value of 3.33 billion euros.
Source Bloomberg par Francois de Beaupuy

21/09/2012

La terre cuite en façade


Naturelle, recyclable, résistante, imputrescible, la terre cuite est également appréciée en façade pour sa durabilité et l'immense variété des finitions permises. C'est aussi une solution performante au niveau thermique, qui favorise l'isolation par l'extérieur et la protège durablement. Solution architecturale dans l’air du temps, la façade en terre cuite séduit de plus en plus les maîtres d'ouvrage et maîtres d'oeuvre à la recherche d'une finition à la fois originale et pérenne. Destinées jusqu’ici à un marché de niche, les solutions de terre cuite en façade ont tendance à se démocratiser, aussi bien dans le neuf que dans la rénovation. Elle se décline en de nombreuses solutions qui permettent de faire bénéficier le bâtiment de tous les avantages du matériau : protection de l’isolation, mais aussi augmentation de l’inertie donc réduction de la consommation d’énergie, esthétisme et personnalisation, matériau naturel et pérenne… Et à la différence du bardage en bois ou de l’enduit qui impose des travaux de rénovation de façon régulière, elle ne nécessite pas d’entretien particulier.
Solutions traditionnelles

A côté des solutions classiques, qui relèvent souvent de traditions régionales, les industriels proposent leurs propres systèmes, aux finitions plus contemporaines. Parmi les premières, on trouve le mur simple, qui a une fonction à la fois structurelle et esthétique ; composé de briques apparentes, pleines ou perforées, de 22 x 22 cm minimum, il est associé à un isolant intérieur. Très courante dans les régions du nord de la France, proches du Benelux, la technique du mur simple est également présente dans le sud-ouest. Autre solution maçonnée autoportante, le mur double associe un parement en brique apparente sur l’extérieur et un mur porteur intérieur d'épaisseur 15 cm minimum. Entre les deux, on place un isolant devant lequel il faut laisser un vide d’air ventilé. Le parement en brique apparente de 9 cm minimum d’épaisseur, ou mur manteau, n’assure pas l’étanchéité. Un écran étanche peut être appliqué sur le mur porteur. Le mur manteau doit être lié au mur porteur par des attaches métalliques non corrodables et sa hauteur ne doit pas excéder trois niveaux. Toujours dans la famille des produits de maçonnerie, la plaquette de parement a de son côté une fonction purement esthétique. Collée sur un mur maçonné ou banché, à l’aide de mortiers-colle, elle permet d’habiller la façade. La plaquette de parement est relativement répandue en France et elle est de plus en plus utilisée pour protéger un isolant extérieur. Enfin, les bardeaux de terre cuite, qui s’apparentent à des tuiles posées à la verticale, relèvent des techniques de couverture ; posés sur liteaux et chevrons, ils donnent un aspect particulier au bâtiment.
Techniques contemporaines

Personnaliser la façade, c’est justement ce que permettent les systèmes proposés par les industriels de la terre cuite. Bardages, vêtures, vêtages se déclinent en une multitude de formes, de coloris et de finitions, offrant ainsi une véritable liberté de création dans le neuf. La palette, déjà très large, s’étoffe sans cesse avec des produits de grande dimension, des teintes inédites allant du gris ardoise au blanc pur (bientôt sur le marché), en passant par toutes les nuances de rouge. Les fabricants travaillent aussi sur les aspects « matière » et proposent des bardages ondulés, striés, rainurés… et des joints de plus en plus discrets. Côté mise en œuvre, chaque solution développe son propre système mais celui-ci repose généralement sur la mise en place d’une ossature sur laquelle viennent « s’accrocher » les éléments de terre cuite. Les efforts récents des industriels ont porté sur la simplification de la pose afin de réduire les temps de montage et de minimiser les coûts. On trouve ainsi des éléments de grande dimension qui se recoupent facilement en hauteur et en longueur, directement sur le chantier. D’autres produits préfabriqués ont également fait leur apparition : composés d’un panneau en mousse de polyuréthane et d’un bardage en terre cuite, ils assurent à la fois l’isolation et la finition. D’où un gain de temps sur le chantier et des économies.
Source Batijournal

20/09/2012

Blajan. Après le combat, une rencontre conviviale à l'usine de tuiles

Demain 21 Septembre, à 18 heures, sur la place de Blajan (ou à la salle des fêtes en cas de mauvais temps), une rencontre conviviale est organisée, à l'initiative du comité d'entreprise des tuileries après le combat de ces derniers mois. Jean-Bernard Castex, maire de Blajan, avec l'ensemble de la population, a un regard aujourd'hui empreint de recul sur les événements. «Depuis l'annonce le 25 juillet du retrait du projet de fermeture, dit-il, nous ne savons pas grand-chose de nouveau. IMERYS n'a pas explicité les raisons de ce retrait. Un nouveau comité d'entreprise se réunira le 25 septembre et permettra peut-être d'en savoir davantage». Si on interroge le maire sur la raison de cette marche arrière du groupe industriel, il analyse le phénomène en expliquant qu'«IMERYS ne s'attendait pas à ce qu'il y ait une telle mobilisation. Les décideurs se sont rendus compte de l'attachement à cette entreprise et de l'émotion suscitée sur le territoire par l'annonce de la fermeture. En fait, la résistance a été bien structurée».
Source La Dépêche du Midi par J.- Ch. Thomas

Réglementation sismique : la brique est-elle conforme ?


Peut-on concilier la réglementation sismique, applicable dès le 1er novembre, et la RT 2012 en matière de briques terre cuite ? Un système sous avis technique confirme que la brique résiste bien en zone sismique.

La nouvelle réglementation sismique prendra effet dès le 1er novembre 2012. Une transition a été accordée jusqu’au 31 octobre 2012, autorisant l’application des anciennes règles PS92. Demain, c’est à dire le 1er novembre prochain, seule l’Eurocode 8 sera applicable.

Outre une carte sismique de France, plus large qu’auparavant, l’Eurocode 8 impose des dispositions plus contraignantes dont des aciers plus épais et nombreux pour les ferraillages utilisés dans les chaînages (poteaux, linteaux, tableaux). Et qui dit ferraillage, dit souvent béton…

« Nous nous posons la question depuis deux ans, de savoir quel sera l’impact de la réglementation sismique sur nos produits, et comment concilier les réglementations thermiques et sismiques ? » indique Eric Risser, directeur marketing de l’activité Gros-œuvre chez Terreal.

Prévoir des réservations de 15 x 15 cm

La RT 2012 a en effet contraint les fabricants à mettre au point des maçonneries étudiées, c’est à dire, plus isolantes et moins étanches à l’air, afin de limiter les ponts thermiques. Les planelles de rive en terre cuite permettent ainsi de limiter voire supprimer le pont thermique en about de dalle.

De son côté, la réglementation sismique impose à la brique de respecter plusieurs recommandations : exigences de compression, d’épaisseurs (20 cm minimum), des cloisons porteuses longitudinales (3 minimum) et enfin, des accessoires permettant de faire des réservations de 15 x 15 cm pour les chaînage verticaux de part et d’autre des ouvertures.

Si l’ensemble des recommandations a pu facilement être respectée, un dilemme s’est posé sur les accessoires (briques tableaux, linteaux, angles). Comment respecter les réservations exigées de 15 x 15 cm pour ces accessoires (au lieu de 12 cm auparavant) ?


Des briques accessoires de 20 cm

Le plus simple consistait à élargir l’épaisseur des briques accessoires à 25 cm (au lieu de 20 cm) afin d’intégrer plus facilement ces nouvelles réservations. Une maçonnerie de 20 cm suppose en effet de réduire l’épaisseur des parois (et donc de les fragiliser car il s’agit de terre cuite)

Terreal a pour sa part pris le parti de maintenir une épaisseur de 20 cm pour ses briques linteaux. Explication du fabricant : « Nous ne voulions pas renchérir les coûts de construction et voulions rester dans la logique du système standard de 20 cm pour ne pas changer les habitudes des maçons… ».

Coût évalué pour ces accessoires supplémentaires : moins de 100 euros sur une maison individuelle de 130 m2, selon Terreal (sans compter le ferraillage qui représente le vrai surcoût).

Le fabricant propose aux négociants et aux maçons une assistance technique complète. Grâce à une maquette grandeur nature, les formateurs Terreal donnent de précieuses (et pratiques) indications sur la nouvelle mise en œuvre sismisque…

Un essai probant au CSTB

Pour obtenir son avis technique, la gamme sismique de Terreal a dû subir des essais sismiques dans les laboratoires du CSTB de Champs-sur-Marne (94). Les équipes de Terreal ont donc monté un mur de 9 m2 (2,75 cm x 3, 70 de longueur) sur une semelle basse. Le mur est inséré dans une structure métallique et un « casque » (une pince métallique posée au sommet du mur) applique des efforts poussants et tirants sur la structure.

Après plusieurs trains de 12 cycles (soit 12 secondes), des relevés permettent d’étudier la souplesse et la raideur du système. Ici, le chaînage périphérique en béton armé permet de maintenir la structure en place même si des fissurations apparaissent sur les angles des poteaux avec quelques bris de briques. Test réussi en tout cas grâce au chaînage performant sur ce mur terre cuite !

19/09/2012

German building construction: further growth expected


The management consultancy OC&C Strategy Consultants is expecting building construction volume to reach just under € 210 bill. for 2012, corresponding to a growth rate of 1.6%. For the years 2013 and 2014, the latest study forecasts a slowdown with an increase of just 0.7% and 0.2% respectively.

For 2012 the consultants see great potential in the building of new apartment blocks. In addition, OC&C expects a growing market for detached and semi-detached houses and commercial construction and a slight increase in the renovation volume. Only public building construction is set for a substantial decline. The currently high demand for new living space will tail off in the mid-term.

For housing construction, OC&C expects this year 3-% growth for private newbuilds and 4-% growth for commercial newbuilds. Newbuilds in non-housing construction are growing a moderate rate of 1.3%, although for public new building a decline of 1% is expected. For the renovation segment, which accounts for two thirds of the market volume and is more important than newbuild segment, OC&C forecasts for 2012 1.4-% growth in hou­sing construction and 1.1-% growth in non-housing construction. The renovation volume is already on a very high level, so there is not much room overall for any further increase. With a slowdown in growth, OC&C expects stagnation to set in by 2014.
Source Ziegelindustrie International

17/09/2012

La terre cuite en façade Esthétique et efficace


Naturelle, recyclable, résistante, imputrescible, la terre cuite est également appréciée en façade pour sa durabilité et l'immense variété des finitions permises. C'est aussi une solution performante au niveau thermique, qui favorise l'isolation par l'extérieur et la protège durablement. Solution architecturale dans l’air du temps, la façade en terre cuite séduit de plus en plus les maîtres d'ouvrage et maîtres d'oeuvre à la recherche d'une finition à la fois originale et pérenne. Destinées jusqu’ici à un marché de niche, les solutions de terre cuite en façade ont tendance à se démocratiser, aussi bien dans le neuf que dans la rénovation. Elle se décline en de nombreuses solutions qui permettent de faire bénéficier le bâtiment de tous les avantages du matériau : protection de l’isolation, mais aussi augmentation de l’inertie donc réduction de la consommation d’énergie, esthétisme et personnalisation, matériau naturel et pérenne… Et à la différence du bardage en bois ou de l’enduit qui impose des travaux de rénovation de façon régulière, elle ne nécessite pas d’entretien particulier.
Solutions traditionnelles

A côté des solutions classiques, qui relèvent souvent de traditions régionales, les industriels proposent leurs propres systèmes, aux finitions plus contemporaines. Parmi les premières, on trouve le mur simple, qui a une fonction à la fois structurelle et esthétique ; composé de briques apparentes, pleines ou perforées, de 22 x 22 cm minimum, il est associé à un isolant intérieur. Très courante dans les régions du nord de la France, proches du Benelux, la technique du mur simple est également présente dans le sud-ouest. Autre solution maçonnée autoportante, le mur double associe un parement en brique apparente sur l’extérieur et un mur porteur intérieur d'épaisseur 15 cm minimum. Entre les deux, on place un isolant devant lequel il faut laisser un vide d’air ventilé. Le parement en brique apparente de 9 cm minimum d’épaisseur, ou mur manteau, n’assure pas l’étanchéité. Un écran étanche peut être appliqué sur le mur porteur. Le mur manteau doit être lié au mur porteur par des attaches métalliques non corrodables et sa hauteur ne doit pas excéder trois niveaux. Toujours dans la famille des produits de maçonnerie, la plaquette de parement a de son côté une fonction purement esthétique. Collée sur un mur maçonné ou banché, à l’aide de mortiers-colle, elle permet d’habiller la façade. La plaquette de parement est relativement répandue en France et elle est de plus en plus utilisée pour protéger un isolant extérieur. Enfin, les bardeaux de terre cuite, qui s’apparentent à des tuiles posées à la verticale, relèvent des techniques de couverture ; posés sur liteaux et chevrons, ils donnent un aspect particulier au bâtiment.
Techniques contemporaines

Personnaliser la façade, c’est justement ce que permettent les systèmes proposés par les industriels de la terre cuite. Bardages, vêtures, vêtages se déclinent en une multitude de formes, de coloris et de finitions, offrant ainsi une véritable liberté de création dans le neuf. La palette, déjà très large, s’étoffe sans cesse avec des produits de grande dimension, des teintes inédites allant du gris ardoise au blanc pur (bientôt sur le marché), en passant par toutes les nuances de rouge. Les fabricants travaillent aussi sur les aspects « matière » et proposent des bardages ondulés, striés, rainurés… et des joints de plus en plus discrets. Côté mise en œuvre, chaque solution développe son propre système mais celui-ci repose généralement sur la mise en place d’une ossature sur laquelle viennent « s’accrocher » les éléments de terre cuite. Les efforts récents des industriels ont porté sur la simplification de la pose afin de réduire les temps de montage et de minimiser les coûts. On trouve ainsi des éléments de grande dimension qui se recoupent facilement en hauteur et en longueur, directement sur le chantier. D’autres produits préfabriqués ont également fait leur apparition : composés d’un panneau en mousse de polyuréthane et d’un bardage en terre cuite, ils assurent à la fois l’isolation et la finition. D’où un gain de temps sur le chantier et des économies.

16/09/2012

CERIC Technologies : Nombreux contacts lors de la 41ème rencontre nationale de l’industrie de la céramique au Brésil


CERIC Technologies a eu le plaisir de participer à la 41ème rencontre nationale de l’industrie de la céramique organisé par Anicer, qui a eu lieu à Campo Grande au Brésil.

La rencontre nationale de l’industrie de la Céramique rouge organisée par Anicer est la plus grande foire internationale d’exposition d’équipements pour la terre cuite au Brésil et en Amérique du Sud.

Cette participation a permis à CERIC Technologies de revoir certains de ses clients historiques, de nouer de nombreux contacts parmi les producteurs de terre cuite brésiliens, permettant d’ouvrir de nouvelles perspectives de développement sur ce marché.

Ceric Technologies tient à remercier tous les visiteurs à qui ont été présentés les équipements de séchage et de cuisson adaptés au marché Sud Américain.
Source CERIC

15/09/2012

Guide CSTB : Les couvertures en tuiles


Tuiles de terre cuite / Tuiles en béton Pour vous professionnels : charpentiers, couvreurs, maçons, architectes, bureaux d'études,...

le CSTB à créé le guide Couvertures en tuiles.

Enrichi de nombreux schémas et tableaux, ce guide pratique répond à toutes vos questions :

Quel type de tuiles choisir en fonction de la zone géographique ou de la pente ?

Comment les poser et les fixer ?

Comment traiter les points singuliers (égouts, faîtage, arêtiers, noues, etc.) ?

Dans quel cas et comment installer un écran de sous-toiture ?...

D'autres thèmes sont également abordés comme l'isolation, la ventilation ou la climatologie (vent, pluie, neige).

Le guide Couvertures en tuiles met à votre disposition une synthèse claire et accessible sur les conditions de mise en œuvre relatives aux DTU, 40.21 - 40.211 - 40.22 - 40.23 - 40.24 - 40.241 - 40.25.
128 pages / Plus de 130 dessins et schémas / Format 16 X 24 cm

Cleia poursuit son chemin

La modeste commune de Nolay abrite une entreprise unique en France : Cleia, une société d’ingénierie spécialisée pour l’industrie de la terre cuite.

Il y a tout juste deux ans, c’était en avril 2010, l’entreprise Cleia reprenait, avec l’aide financière du conseil régional de Bourgogne et du conseil général de Côte-d’Or, le pôle industriel de Céric Automation et Céric Système, situé à Nolay. Quarante-sept des salariés de ce groupe étaient alors intégrés dans cette nouvelle entreprise bourguignonne qui compte déjà plus de cinquante années d’expérience dans l’industrie de la terre cuite.

Cleia est une entreprise qui fournit des unités industrielles clé en main et les services associés pour briqueteries et tuileries : lignes de préparation des matières premières et de fabrication, séchoirs, fours, manutentions automatiques, robotique, régulation et supervision informatique. Dotée d’un savoir-faire unique en France, l’entreprise bourguignonne figure parmi les leaders mondiaux de l’ingénierie de terre cuite. Elle a déjà réalisé plus de six cents installations dans le monde entier.

Quelques chiffres…

Installée à Nolay, sur un terrain d’environ 25 000 m², elle abrite plus de 7 000 m² de bâtiments industriels et techniques (bureaux, bâtiments de fabrication et de stockage, d’assemblages et d’essais, ateliers divers). Elle emploie quatre-vingt-dix salariés permanents et peut faire appel à quelque cent quarante employés en période de pointe. Son chiffre d’affaires annuel approche les vingt millions d’euros.

Une envergure internationale

Si l’entreprise a démarré en avril 2010 avec un carnet de commandes vide, elle affiche, deux ans plus tard, un état des lieux très positif et un important potentiel de développement.

« Le projet de reprise est réussi et les résultats sont au-delà des prévisions », affirme Philippe Pénillard, président, qui précise que Cleia a, entre autres, remporté trois contrats majeurs en Europe et au Maghreb.

L’entreprise supervise actuellement, pour CS-Coelho Da Silva, la construction de la tuilerie la plus moderne du Portugal, qui sera mise en service cet été, et d’une nouvelle briqueterie pour le groupe Tedjini à Touggourt (Algérie).

Des équipements innovants

Au niveau local, Cleia vient de s’équiper d’un nouvel atelier de fabrication de fours. « Cet atelier est unique en France », précise Jérôme Degueurce, directeur des opérations. « Il permettra de réaliser les rénovations de fours construits avec cette technologie, ainsi que de fours neufs complets. »

Une équipe compétente et très motivée, une ouverture au monde, des équipements performants, des projets multiples et innovants sont les principaux atouts et les garants de réussite de l’entreprise bourguignonne Cleia.

Cleia, 1, avenue Spuller à Nolay. Tél. 03.80.26.71.00. E-mail : info@cleia.fr/.

Source Le Bien Public

14/09/2012

Saint-Léger-sous-Beuvray : Quand la terre cuite révèle le passé


Dimanche matin, un nombre important de visiteurs du musée a pris part à la présentation mensuelle de l’objet du mois. Effectuée par le céramologue Benjamin Clément, archéologue spécialiste des matériaux de construction en terre cuite et doctorant à l’université de Lyon, cette conférence a permis de découvrir des techniques de fabrications véritablement étonnantes.

« Cela ne fait qu’une dizaine d’années que l’on commence à étudier de façon spécifique ce type de matériaux. Grâce à cela, nous avons appris beaucoup sur les styles géographiques, les différentes techniques de fabrications et surtout sur les échanges et le commerce de ces différents objets », a précisé Benjamin Clément.

Débutant son propos devant notamment une tuile et une antéfixe, l’archéologue a ensuite convié son auditoire à aller découvrir dans le musée la reconstitution du sol d’une maison équipée d’un système de chauffage dit à hypocauste.

Là encore, le jeune scientifique a pu démontrer toute l’importance de la céramique architecturale dans la mise en place de systèmes ingénieux de construction ou d’amélioration de l’habitat. Bien évidemment, à l’issue de cette présentation visiblement très appréciée des visiteurs, Benjamin Clément s’est prêté bien volontiers au traditionnel jeu des questions-réponses.

Un moment de découverte réussi salué par un public ravi d’avoir assisté à cette matinée.
Source Le Journal de Saône et Loire