Dimanche après-midi, des petits groupes de visiteurs se sont
succédé de 14 à 18 heures au musée de la tuile. Tous se sont montrés intéressés
par un guide fort au courant des choses de la terre cuite. Innovation cette
année, comme dans les grands musées, une petite salle de projection a été
aménagée qui permet de visionner un film sur les derniers artisans tuiliers.
Source
L’Union
Ce blog recueille les informations concernant le secteur des matériaux de construction en terre cuite ( tuiles, briques, bardeaux de façades, carreaux).
Pages
22/06/2012
21/06/2012
Le secteur du bâtiment ne parvient pas à se relever (Insee)
L’Insee n’est pas optimiste pour le secteur du bâtiment.
L’indicateur synthétique du climat des affaires, constitué à partir des soldes
d’opinion des chefs d’entreprise, perd de nouveau un point en juin (96) et
reste en dessous de sa moyenne de long terme.
L’amélioration dans le secteur du bâtiment ne sera pas pour
le mois de juin, selon l’Insee. En juin 2012, les entrepreneurs sont plus
nombreux qu’en mai à indiquer que leur activité s’est détériorée sur la période
récente. L’indicateur synthétique du climat des affaires, constitué à partir
des soldes d'opinion des chefs d'entreprise du bâtiment, perd de nouveau un
point, à 96 points. Et les chefs d’entreprise restent pessimistes concernant
leur activité dans les prochains mois. Concernant l’emploi, il est en berne. Il
«est mal orienté : les soldes correspondant à l’emploi passé et à l’emploi
prévu se maintiennent en dessous de leur moyenne de long terme», précise
l’Insee.
Du côté des carnets de commandes,
ces derniers permettraient d’assurer 6,8 mois d’emploi à temps plein des
effectifs. En juin, les entrepreneurs sont plus nombreux qu’en mai à juger
leurs commandes inférieures à la normale. Quant au taux d’utilisation des
capacités de production, il s’est replié. Il reste sous sa moyenne de longue
période. Près d’un entrepreneur sur quatre déclare ne pas pouvoir accroître sa
production. En juin, les chefs d’entreprise sont moins nombreux qu’en mai à
signaler des baisses de prix.
Source Batiactu
Intersolar Europe 2012 : quel avenir pour le photovoltaïque ?
Intersolar, le plus grand salon mondial dédié au solaire
vient de se tenir du 13 au 15 juin à Munich (Allemagne). Alors que l’industrie
photovoltaïque européenne connaît de graves difficultés, les industriels
étaient pourtant présents en nombre, tout comme les visiteurs. Reportage et
rencontre avec des acteurs internationaux du secteur.
C’est l’événement à ne pas rater pour tous les acteurs de
l’énergie solaire : Intersolar est le rendez-vous de toute la profession. Le
salon, le plus important au monde qui soit dédié aux technologies solaires
(photovoltaïque, thermique), a rassemblé cette année encore un nombre
impressionnant de participants. Les chiffres donnent le tournis : 2.200
exposants sur 170.000 m² de surface, répartis dans pas moins de 15 halls
d’exposition et une zone extérieure de démonstration, plus de 80.000 visiteurs
en provenance de 150 pays du monde, un cycle de conférences débutant quelques
jours avant l’ouverture officielle du salon (du 11 au 14 juin) et comprenant
400 intervenants et 2.500 participants… Intersolar, événement qui se tient
depuis 1991, est l’occasion pour les industriels de présenter leurs nouveautés
ou d’améliorer leur visibilité. Certaines bénéficient d’une exposition supplémentaire,
tel SolarEdge Technologies, vainqueur du « Innovation Award », décerné par un
jury de professionnels. La société israélienne a été récompensée pour sa
technologie IndOP d’optimisation de puissance des modules solaires.
Etat des lieux
Shawn Qu, le p-dg de Canadian Solar, dresse un tableau de la
situation mondiale de l’industrie photovoltaïque : « Le marché global progresse
de façon marquée depuis 2004, notamment grâce à de la volonté politique de
certains pays comme l’Allemagne, l’Espagne, l’Italie, la France ou la
Grande-Bretagne. A la fin de 2011, l’énergie solaire fournissait 27 GW de
puissance dans le monde. D’après des analystes, ce chiffre devrait atteindre
les 40 voire 50 GW dès 2014-2015. Le photovoltaïque prend une importance considérable
: on l’a vu en Allemagne dernièrement, lorsque la part du solaire est monté à
10 % de la fourniture totale d’énergie. On a ainsi pu constater que les réseaux
électriques modernes peuvent accepter les sources intermittentes ». Pour
autant, la situation n’est pas rose selon le dirigeant de la 5e société du
secteur : « Les capacités de production croissent encore plus vite que la
demande. On se retrouve donc dans une situation de surcapacité qui fait chuter
les prix. D’autant plus que les politiques des pays européens sont moins
favorables aujourd’hui avec la baisse des prix d’achat de courant. Tout ceci
entraîne des difficultés dans notre secteur ».
De grandes manœuvres dans l’industrie
Qu’espèrent les industriels pour sortir de cette situation ?
Pour Shawn Qu, ce sont les gouvernements qui détiennent une partie de la
réponse : « Ils doivent encourager les nouvelles énergies comme le solaire. Une
autre des conditions est l’accès facilité au réseau, car le photovoltaïque est
une ressource distribuée. Enfin, le secteur devrait recevoir quelques aides –
raisonnables – car l’argent des contribuables a déjà subventionné de nombreuses
autres énergies ». Le président de Canadian Solar – qui a passé un an en France
lors de ses études – se dit triste de voir Photowatt en difficulté et pense que
la France pourrait tout à fait, grâce à ses ressources technologies et
humaines, prendre le leadership sur de nombreux marchés, notamment en Afrique
francophone.
Julien Chirol, responsable de Panasonic HIT France, pense
pour sa part que l’industrie photovoltaïque va connaître de grandes manœuvres
avec de nombreuses opérations de fusion-acquisition et d’absorption : « Le
nombre d’acteurs du photovoltaïque est trop important, notamment en Chine.
Seuls de gros conglomérats survivront, dont ceux qui sont diversifiés à l’image
de LG (Corée), Bosch (Allemagne) ou Panasonic (Japon) ». Une vision que partage
Shawn Qu : « Des consolidations vont avoir lieu et ne laisser que 4 ou 5 grands
groupes ». L’avenir nous le dira. Mais les industriels prévoient déjà de se
retrouver pour Intersolar North America à San Francisco du 10 au 12 juillet,
pour Intersolar South America à São Paulo le 15 août, pour Intersolar India à
Bombay au mois de novembre, pour Intersolar China à Pékin en décembre ou pour
Intersolar Europe au mois de juin 2013, encore à Munich.
Source
Batiactu
20/06/2012
Ruffec-le-Château. L’activité ancestrale des Terres cuites de la Lorne sera l’une des attractions des Journées du patrimoine de pays et des moulins.
La tuilerie de la Lorne fonctionne depuis 1774. Une raison
suffisante pour intégrer l'entreprise artisanale de Ruffec-le-Château dans la
liste des sites à visiter ce week-end pour les Journées du patrimoine de pays
et des moulins.
Lorsque Pascal Robin a repris, l'an passé, ces vieux
bâtiments qui ont su s'adapter au temps sans perdre leur âme, les tuiles, les
carrelages et les briques de pays, étaient toujours fabriqués avec la terre
d'une carrière du voisinage. Il fallait plus de trois semaines pour remplir le
four de 25 m2, le pousser à plus de 1.000°, le refroidir et vider son contenu.
Le processus n'a pas varié d'un iota et si le nouveau propriétaire de cette société
de trois salariés s'emploie à innover, il joue uniquement sur les formes de
carrelages et les tons en ajoutant de la terre du gisement tout proche de
Pouligny-Saint-Pierre, riche en kaolin.
Cette saga industrielle pérennisée par de vrais artisans, fiers
de donner vie à des matériaux du terroir, sera bien sûr évoquée samedi et
dimanche, mais Pascal Robin mettra l'accent sur les différentes phases de
fabrication d'une tuilerie légendaire qui reste la seule du département à cuire
au bois. Cette particularité interpelle de plus en plus les amateurs de
tradition et, récemment, des briquettes de Ruffec ont, par exemple, rejoint la
Californie.
L'entreprise, rebaptisée Les Terres cuites de la Lorne,
s'ouvre d'ailleurs beaucoup sur l'extérieur. « Il est important de faire
découvrir notre atelier, notre méthode et ce qu'on sait faire », conclut son
propriétaire qui a déjà inscrit le site aux visites estivales de l'Écomusée du
Blanc et à l'opération départementale, Secrets de fabrique.
Tuilerie de la Lorne à Ruffec-le-Château. Présentation la
fabrication de tuiles et briques à l'ancienne, samedi et dimanche, de 10 h à
12 h et de 14 h à 18 h.
Source
La Nouvelle République par Jean-Michel Bonnin
18/06/2012
Les salariés de la tuilerie Imerys TC de Blajan en appellent au gouvernement
Le 26 janvier dernier, les 32 salariés de la tuilerie Imerys
Terre Cuite de Blajan (Haute-Garonne) apprennent que l’usine doit fermer ses
portes en raison d’une surcapacité de production. Après avoir interpellé
direction et élus locaux, puis constitué un comité de soutien au mois de mars,
les représentants du personnel ont poursuivi leur mobilisation en se rendant
vendredi 8 juin au ministère du Redressement productif afin d’y chercher un
soutien.
La menace de fermeture de l’usine Imerys Terre Cuite de
Blajan (Haute-Garonne) plane depuis le début d’année et l’annonce, par
l’industriel, d’une surcapacité de production de tuiles canal sur un marché en
déclin. Le groupe, qui ne souhaite pas procéder à des licenciements économiques
mais à des reclassements, envisage le regroupement des activités de l’usine
avec celle de Saint-Geours-d’Auribat, dans les Landes, à 180 kilomètres de là.
Mais les 32 salariés ne l’entendent pas de cette oreille et multiplient, depuis
le 26 janvier 2012, les discussions et actions de mobilisation. Après avoir
constitué un groupe de soutien au mois de mars, les représentants du personnel,
accompagnés d’élus locaux (dont le maire de Blajan, Jean-Bernard Castex, et la
vice-présidente du Conseil régional, Carole Delga), ont fait le déplacement
jusqu’à Paris, afin de rencontrer un responsable du ministère du Redressement
productif.
Sentiment d'injustice
C’est le conseiller du ministre Arnaud Montebourg, John
Palacin, qui a reçu les délégués de Blajan en leur déclarant : « Il faut
chercher tous les moyens possibles et existants pour s’opposer à la fermeture
». Les salariés seraient ressortis soulagés de l’entretien de plus d’une heure
qui leur a été accordé. Les élus, pour leur part, espèrent que le ministère
mettra tout en œuvre afin d’apporter le meilleur soutien possible. Ils
s’indignent particulièrement du fait qu’avant d’annoncer son intention de
fermer l’unité de production locale, Imerys avait obtenu l’autorisation
d’exploiter une carrière d’argile de 15 hectares (60.000 tonnes/an) en disant
vouloir pérenniser l’unité de Blajan. « Imerys a une réserve d’un demi-siècle
pour alimenter d’autres usines », s’émeuvent-ils.
Une situation qui apparaît comme une injustice aux employés
qui estiment que la société, largement bénéficiaire, n’a pas réalisé les
investissements nécessaires pour la production d’un autre modèle de tuile, qui
permettrait d’envisager une autre solution que la fermeture pure et simple.
Mais pour Imerys, cette solution ne pourrait se faire qu’au détriment d’un
autre site. Une porte-parole du groupe, contactée ce lundi, a estimé qu’il
était « prématuré de réagir : Imerys va reprendre contact avec les délégués du
personnel et faire avancer le dossier dans la semaine ». Rappelons que la
société, emploie plus de 16.000 salariés dans 240 sites industriels implantés
dans 47 pays. En 2011, elle a généré un chiffre d’affaires de 3,675 milliards
d’euros, dont 28 % pour la division « Matériaux et monolithiques » dont dépend
la tuilerie. Cette seule branche emploie 4.200 personnes sur 40 sites,
implantés dans 16 pays.
Résultats du 1er trimestre 2012 et perspectives :
Imerys se targue d’un premier trimestre 2012 solide, avec un
chiffre d’affaires en hausse de 10,4 % par rapport au 1er trimestre 2011, et un
résultat opérationnel courant en progression de 8,9 %. La situation financière
du groupe est restée saine avec un endettement stable à 47 % des fonds propres
consolidés.
Concernant la seule branche « Matériaux et monolithiques »,
la tendance du marché a impacté les ventes : la baisse des mises en chantier et
constructions de logements individuels neufs en raison des aléas climatiques, a
entraîné un repli de -6 %. Mais les activités « Réfractaires monolithiques », dont
la demande dans la sidérurgie, la pétrochimie et le ciment est stable, ont
rattrapé le chiffre, en limitant la baisse à -0,8 %.
Quant aux perspectives, le début du 2e trimestre 2012
n’ayant pas montré de changement de tendance significatif, le groupe table
toujours sur un environnement macro-économique contrasté. Imerys entend
s’appuyer sur son portefeuille diversifié, sur une gestion stricte de sa
trésorerie et sur une stratégie de développement, notamment dans les métiers du
talc, ou dans les proppants.
Source
Batiactu
L'école de la céramique du futur à Limoges
L'Ensci de Limoges, École nationale supérieure de céramique
industrielle, forme des ingénieurs céramistes Loin de la porcelaine
traditionnelle, ils planchent sur les matériaux de demain.
On y apprend à fabriquer des assiettes dans la grande
tradition des porcelainiers. Mais l'École nationale supérieure de céramique
industrielle (Ensci) de Limoges est avant tout une école de pointe pour inventer
les matériaux de demain et perfectionner ceux d'aujourd'hui, aussi bien pour
des usages médicaux que pour l'aéronautique.
L'Ensci puise ses racines dans l'école de céramique de
Sèvres créée en 1893 en lien avec la manufacture royale. Elle s'est implantée à
Limoges en 1979 en raison des savoir-faire locaux. Il y a deux ans, elle a
déménagé avec ses 200 étudiants dans des locaux flambant neufs du Centre
européen de la céramique, au coeur de la technopole Ester, au nord de la ville.
«Ce centre, c'est la vitrine des céramiques techniques à Limoges malgré le
déclin de la porcelaine», résume Gaëlle Jarry, chargée de communication de
l'école.
Dans le hall, une vitrine, justement, montre quelques
exemples de ce qui se conçoit ici dans les labos de recherche. De la prothèse
de hanche à la fibre optique en passant par la couronne d'embrayage ou les
filtres, le registre est vaste. «Nous sommes dans une école de chimie minérale,
la seule en France à former des ingénieurs céramistes», indique Gaëlle Jarry.
Dans les couloirs éclaboussés des couleurs vives des
installations de l'artiste Felice Varini, les étudiants se promènent en blouse
blanche. Ils naviguent entre les amphis de la drôle de pyramide inversée qui
trône sur l'esplanade et les laboratoires bourrés de matériel high-tech.
De la terre au labo
Sur les étagères du premier atelier visité, ce sont bien des
tasses et des théières qui s'alignent. «Il faut qu'ils connaissent les bases de
techniques traditionnelles: le coulage, la cuisson, l'émaillage», justifie
Gaëlle Jarry. Dans une série de tiroirs, des échantillons de minéraux: kaolin,
argiles ou feldspath. «Les étudiants font leurs mélanges en fonction de ce
qu'ils veulent obtenir comme propriétés. Ils apprennent à maîtriser la
matière.»
Sophie Cailliet, élève de première année, travaille sur un
projet conçu pour les enfants. «C'est une assiette avec un motif au fond qui
n'apparaît que quand la soupe est presque finie. En première année, on touche
un peu à tout, raconte-t-elle. On a des cours sur les propriétés des
matériaux.» Mais elle ne compte pas se spécialiser dans la vaisselle pour les
enfants: «Je veux travailler dans le domaine médical, faire de la recherche. Tout
ce qui est prothèses, réparation physique, reconstruction faciale.» «L'école a
été pionnière il y a une dizaine d'années en participant à la reconstruction de
la boîte crânienne d'un homme accidenté. C'était une première mondiale»,
souligne Gaëlle Jarry.
César Jaubert, également en première année, s'intéresse
davantage aux utilisations de la céramique dans le bâtiment et l'automobile. «Ce
qui me plaît ici, c'est que l'école est très spécifique. C'est la seule en
France. On fait aussi de la pratique. Je n'avais pas envie de faire que du
général.»
Changement d'univers à quelques portes de là dans l'atelier
de caractérisation des matières. Sur les paillasses, des engins aux noms
mystérieux: granulomètre à diffraction laser, Bet Tristar ou pycnomètre à
hélium. De la haute technologie pour plonger au fin fond de la matière. Ce
va-et-vient incessant entre passé et futur, la ville de Limoges l'a bien perçu.
Elle propose désormais la visite du centre dans son circuit de visite «Ville d'art
et d'histoire».
Source
La Charente Libre
17/06/2012
Ceric Technologies designs a supersized tunnel kiln for a Polish roofing tile plant
For its new
Koscian facility, which will produce 30 mill. large-size clay roofing tiles (10
tiles/m2) and related accessories, the Belgian Etex Group has decided to
entrust Ceric Technologies with the design of its kiln. Measuring 220 m in
length and 10.28 m in width, the kiln is exceptionally large, but key features
of this new project of the ceramics manufacturing equipment specialist are its
performance and innovative elements.
The Casing
tunnel kiln with a sand seal is equipped with all Ceric Technologies’ latest
innovations. Once complete, it is set to be the largest kiln in the world for
the firing of tiles on H-setters. Around 750 panels were cast in the workshops
of Ceric Technologies and shipped to Poland. Given the large dimensions of the
kiln, the mechanical strength of the panels was the subject of extensive
modelling calculations to ensure their stability, especially in the assembly
phase.
On average,
38 cars per day will be pushed through the kiln, in which tiles and accessories
will be simultaneously fired to ensure colour consistency and optimum energy
utilization. The average firing cycle lasts 21 hours at just over 1 000° C.
Cars with an individual loading area of 60 m2 are equipped with lightweight
refractories for better thermal efficiency. Perlite is used to insulate the
kiln walls while expanded clay is used for the car floor.
“With a
kiln width of more than 10 m, it was necessary to improve temperature
uniformity and air circulation efficiency”, says Lionel Dumont, Manager of the
Process Engineering Department at Ceric Technologies. For this reason, the
equipment supplier chose to distribute 338 low-power unitary burners in the
high firing area to ensure homogeneous firing. High-speed burners are installed
for preheating in the kiln roof, but not on the kiln walls as is often the
case. In the pre-heating and cooling zones, patented Thermobooster circulation
systems are integrated into the roof. The Koscian kiln is the first roofing
tile kiln in Europe to be equipped with this system. It lowers the number of
burners and improves the kiln’s energy performance. The air circulation in the
pre-heating area enables a reduction in the consumption of energy while
ensuring regular and improved heat exchange in the cooling zone. To minimize
energy consumption, the fans are powered with variable speed drives.
Ceric
Technologies’ new computerized Diapason control system will ensure permanent
monitoring of the kiln as well as mapping of the kiln cars and provide a clear
real-time image of energy transfers between the kiln and the dryer. Ceric
Technologies has developed the best solution to best capitalize on the
exceptional size of this kiln.
Source
Ziegelindustrie Internatonal
16/06/2012
Australia: Cement Rising, Bricks & Tiles Falls Back
In a
further indication that the two-speed nature of the construction industry is
reflecting on the manufacturing sector, the latest data shows that cement
production in Australia is running hot while manufacturing activity for bricks
and tiles remains weak.
In the
first quarter of this year, data from the Australian Bureau of Statistics
indicates strong levels of activity in cement manufacturing. Compared with the
same quarter last year, production of Portland cement rose by 12 per cent in
the March quarter while that of Portland cement clinker was up by 5.3 per cent.
This
increase, however, was not the case for bricks and tiles. Production of clay bricks for structural
purposes was down 13.8 per cent compared with the March quarter last year while
clay bricks other than for structural purposes dropped 37.6 per cent over the
period and concrete brick, block and paver production fell 12.5 per cent. In
roofing materials, meanwhile, production of terracotta roofing tiles was down
nearly 30 per cent while that for concrete tiles was down 9.5 per cent.
The latest
data illustrates how the two-speed nature of the construction industry is
flowing back to manufacturers of construction materials. Because of its use in
roads, where construction activity is increasing modestly but steadily, cement
manufacturers have been spared much of the impact of weak building conditions
while makers of bricks and tiles have seen a downturn.
Moreover,
the weakness in manufacturing of tiles may be a particular sign of specific
weakness in the roofing industry. The latest HIA Trades report, for example,
indicated a significant oversupply of tradespeople in the roofing trade, though
the same report found an undersupply in the ceramic tiling trade.
Overall
Production Rising
Whilst the
ABS report provides an excellent breakdown of production levels regarding
individual types of construction materials, it does not provide any indication
as to whether production of construction materials is rising or falling.
The best
guide for that information is the monthly Performance of Manufacturing Index
published by Australian Industry Group and accounting firm PwC.
That report
shows in an increasingly brightening picture. Following subdued activity over
the summer, last month’s PMI showed manufacturing activity in construction
materials growing strongly even as manufacturing activity in other sectors fell
into decline.
What the
latest ABS report does appear to show, however, is that there are substantial
differences in manufacturing activity across different materials used in the
sector.
Overall,
construction manufacturing is back on the rise, but some materials are in
greater demand than others.
Source
Designbuildsource By Andrew Heaton
15/06/2012
Imerys Terre Cuite lance une plaque pour cloison
Imerys Terre Cuite, leader des briques en terre Cuite,
présente Intuitys, une plaque pour cloison de doublage (contre cloison) et de
distribution (cloison séparative) destinée aux belles maisons, aux maisons à
ossature bois en neuf comme en rénovation, ou encore aux établissements
recevant du public (hôpital, écoles, crèches, piscine, gymnase…).
Fabriquée à base d’argile, la cloison Intuitys n’a aucun
impact négatif sur la santé et contribue à une bonne qualité de l’air intérieur
grâce à son classement sanitaire A+ conformément au Décret d’étiquetage
sanitaire (les émissions de COV et de formaldéhyde sont conformes aux exigences
du protocole AFSSET 2009, aucune émission de composés CMR-cancérogènes,
mutagènes et reprotoxiques). Elle possède une résistance aux chocs importante
(choc d’usage sans dégradation : 240 joules / choc de sécurité sans chute
d’éléments : 400 joules). La terre cuite offre également une sécurité
d’accroche élevée et est incombustible.
Grâce à l’inertie de la terre cuite qui agit comme un
climatiseur naturel, Intuitys assure une qualité de vie optimale et
d’excellentes performances d’isolation été comme hiver. Ce matériau se démarque
également par sa capacité à évacuer le surplus d’humidité, pour un confort
hygrométrique garanti. Axe fort de la RT2012, l’étanchéité à l’air est quant à
elle assurée par les enduits de finition du produit (enduit pelliculaire,
plâtre, chaux aérienne…) qui font barrière à l’air.
Outre ses caractéristiques thermiques, Intuitys apporte
également un confort acoustique, tant au niveau des cloisons de séparation (48
dB en distribution) que des cloisons de doublage (73 dB). Intuitys offre une
très large palette de choix : chaux aérienne, tadelakt, terre naturelle,
finition brute, enduit pelliculaire, carrelage... autant de possibilités pour
satisfaire toutes les audaces de décoration.
Global Clay Building Materials & Clay Refractories Industry
Reportlinker.com
announces that a new market research report is available in its catalogue:
This report
analyzes the worldwide markets for Clay Building Materials And Clay
Refractories in US$ Million by the following Product Segments: Clay Building
Materials (Clay Bricks, Floor & Wall Tiles, & Other Clay Products), and
Clay Refractories. The report provides separate comprehensive analytics for the
US, Canada, Japan, Europe, Asia-Pacific, Middle East, and Latin America. Annual
estimates and forecasts are provided for the period 2009 through 2017. Also, a
six-year historic analysis is provided for these markets. The report profiles
282 companies including many key and niche players such as Austral Brick
Company Ltd., Boral Bricks Inc., Boral Limited, Brampton Brick Limited, CRH
PLC, Glen-Gery Corporation, CSR Limited, Florida Tile Industries, Inc., Hanson
Building Products UK, Lanka Floortiles Plc, Mohawk Industries, Inc., Dal-Tile
Corporation, Monier Group GmbH, Pacific Coast Building Products Inc., RHI AG,
TRL Krosaki Refractories Limited, US Tile, Vesuvius Group SA, Wienerberger AG,
and Baggeridge Brick Plc. Market data and analytics are derived from primary
and secondary research. Company profiles are primarily based upon search engine
sources in the public domain.
Source
The Sacramento Bee
14/06/2012
Saverdun Terre Cuite: 3 M€ pour une nouvelle ligne de production
Utilisée par les romains, la terre cuite a traversé les
siècles et ses multiples dérivés (tuiles, boisseaux, corniches, briques,
hourdis ou entrevous…) sont encore bien présents dans la construction
contemporaine, réputés pour leur résistance mécanique et thermique.
À Saverdun l’argile est bien présente dans le paysage, les
carrières sont nombreuses et son extraction depuis des centaines d’années a
permis de créer une économie (d’abord artisanale puis industrielle) autour des
briqueteries et des tuileries pourvoyeuses d’emploi.
La première briqueterie à Saverdun date de 1867, le
savoir-faire s’est transmis de génération en génération.
La briqueterie Diligent devient en 1985 Saverdun Terre Cuite
avec à la tête de cette PME familiale, Jean Christophe Valdebouze qui oriente
la production vers la fabrication de pièces spéciales (accessoires de murs et
de couvertures): fabrication de corniches en terre cuite (génoises), appuis de
fenêtre, coffres de volets roulants, pièces pour planchers (hourdis,
entrevous).
La carrière, située au-dessus du site, fournit la matière
première et bien que les techniques aient évolué, les principes restent
identiques: il faut rendre la terre homogène avant de pouvoir la travailler,
elle est dépierrée avant d’être broyée.
La poudre est ensuite humidifiée puis extradée à travers un
moule.
Les produits vont sécher avant une cuisson de 24h à 1 020°C
dans des fours de 70 m de long.
Les briques en terre cuite sont transportées par palettes
sur des chariots, tout est robotisé.
Avec une production de 17 000 tonnes par an, les terres
cuites de Saverdun sont destinées aux négociants de matériaux ou aux
industriels de la terre cuite (Monier Lafarge ou Imérys à Colomiers).
Cette PME (dont le siège administratif est domicilié dans
l’Hérault) a décidé de réaliser d’importants investissements sur le site de
Saverdun, ceci afin de développer une nouvelle gamme de produits (de taille
plus importante et des produits pressés comme les tuiles).
Une nouvelle chaîne en cours d’installation dans un bâtiment
de 4 500 m² (pour un investissement évalué à 3M€) permettra de développer des
produits mieux adaptés à ce marché spécialisé en permanente évolution: «nous
avons notre propre gamme adaptée aux nouvelles réglementations, comme les
coffres pour volets roulants pour les bâtiments BBC.
Avec ce type de matériel on n’a plus de ponts thermiques […]
nous sommes guidés par des préoccupations énergétiques, pour créer des produits
adaptés et certifiés mais pas seulement.
Notre démarche industrielle s’inscrit également dans le
Grenelle de l’Environnement, avec l’installation de cette nouvelle chaîne de
fabrication et de séchage, nous avons mis en place un système permettant de
récupérer l’énergie perdue pendant la cuisson» explique Jean-Christophe
Valdebouze qui participe avec les partenaires locaux (issus du monde agricole)
à une réflexion sur un projet de réseau chaleur autour du Biogaz.
En attendant ce chef d’entreprise, membre fondateur du
réseau Effinergie* a décidé d’installer des panneaux solaires sur la toiture de
la briqueterie et réfléchit au plan carbone, pour recycler les émissions de
CO2.
Parmi ses grands défis, le stockage de l’énergie mais aussi
l’adaptation aux bâtiments de demain en développant une maison en brique avec
de la terre cuite comme système d’accumulation de chauffage.
Il existe déjà deux maisons pilotes (dans l’Aude et
l’Hérault) sur ce modèle, entre le BPOS et le BBC.
Un patron discret mais qui se définit comme acteur citoyen,
en matière d’énergie et de développement durable.
Pour en savoir plus: http://saverdunterrecuite.fr
*Effinergie est un collectif associatif français créé en
2006, avec pour objectif de promouvoir les constructions à basse consommation
d’énergie (en neuf et en rénovation).
Son premier label, lancé en 2007, est devenu
«BBC-Effinergie», repris dans la réglementation thermique visant une
consommation énergétique moyenne de 50 kWhep/m²/an (source: Wikipédia)
Source
Ariegenews
Le logement sur la mauvaise pente
Les chiffres publiés par le ministère du logement, le 30 mai
dernier, font état d’une situation préoccupante dans le secteur. Les indicateurs
sont en baisse et aucune mesure de soutien à l’activité n’a encore été évoquée.
Avec une baisse des ventes de logements neufs par les
promoteurs de 14,4% sur un an et une chute des mises en chantier de 22.5% sur
les trois derniers mois, la baisse de 2 % des permis de construire paraîtrait
presque anecdotique. Loin de l’objectif des 500 000 logements neufs pour 2013
fixé par François Hollande, plusieurs analystes tablent aujourd’hui sur la
création d'environ 340 000 logements en 2012, soit le plus bas niveau depuis 8
ans.
Source
FranceBTP
13/06/2012
«Lumières de l’innovation» 2012 : les inscriptions bientôt achevées
Les artisans du bâtiment et leurs fournisseurs n’ont plus
que jusqu’au 30 juin pour déposer leur candidature au concours «Lumières de
l’innovation » lancé par la Capeb. Dédié aux innovations dans l’artisanat du
bâtiment, il met un coup de projecteur sur « ceux qui osent l’innovation pour
réinventer les pratiques, les produits, et les services du secteur. »
La Confédération de l’artisanat et des petites entreprises
du bâtiment (CAPEB) alerte les retardataires qui souhaitent concourir à la
seconde édition des «Lumières de l’innovation», concours dédié aux artisans du
bâtiment. Celui-ci valorise notamment l’innovation dans les pratiques, produits
et services.
Ce concours s’adresse particulièrement aux artisans et chefs
d’entreprises artisanales innovantes, et aussi aux industriels, fabricants,
institutions, développeurs de solution innovante spécifiquement adaptée aux
besoins des entreprises artisanales. Deux catégories «Démarches» ou «Produits
et services destinés aux entreprises» sont donc proposées aux candidats qui
peuvent faire parvenir leur dossier de candidature jusqu’au 30 juin 2012.
En détails. La catégorie «Démarches»récompense les artisans
ayant une initiative innovante dans leur entreprise ou avec d'autres
entreprises et la catégorie«Produits et services destinés aux entreprises»,
s'adresse, elle, aux artisans et à tous les concepteurs et fabricants de
solutions innovantes à destination des entreprises artisanales du bâtiment.
La remise des prix aura lieu en novembre 2012, lors des
journées professionnelles de la construction, précise la Confédération.
Source
Batiactu
12/06/2012
Batimat Maroc 2012, les visiteurs ont dépassé la barre des 8 000
La première édition du salon, qui s’est clôturée le 26 mai,
a connu un réel succès, selon les organisateurs.
Exactement 8 123, c’est le nombre de visiteurs annoncé par
Reed Exhibitions Morocco, l’organisateur du salon Batimat Maroc 2012, qui a
tenu ses deux premières éditions spécialisées (Gros œuvre-Menuiserie et
matériel de chantier-outillage) du 23 au 26 mai au Centre international des
conférences et expositions de Casablanca (CICEC). Au total, 150 exposants
venant de 17 pays (Europe, Afrique, Moyen-Orient et USA) ont également fait le
déplacement, en plus d’autres exposants marocains.
Tous ont participé à cette première édition dans le but de
rencontrer de nouveaux clients et/ou partenaires potentiels qui leur
permettront de s’ouvrir vers de nouveaux horizons (Européens et Américains pour
les entreprises marocaines et Africains pour les sociétés étrangères). «Nous
sommes très satisfaits de notre participation au salon. Nous avons pris contact
avec beaucoup de clients potentiels», affirme Ilham Mohamed Farouk, commercial
chez Ciments de l’Atlas (CIMAT), dont le dispositif industriel comporte, entre
autres, deux cimenteries à Ben Ahmed et Béni Mellal. «CIMAT a été créée en
2007, mais cela fait deux ans que nous avons commencé à commercialiser nos
produits et notre objectif est d’exporter vers l’international, surtout
l’Afrique de l’Ouest, c’était l’objectif de notre participation», ajoute
Farouk.
Même son de cloche chez Adil Semlali, responsable commercial
chez OroBrique, une entreprise marocaine spécialisée dans la fabrication de
matériaux en terre cuite. «L’objectif de notre présence à la 1re édition de
Batimat Maroc est, bien sûr, d’établir des contacts avec de nouveaux clients,
qu’ils soient marocains ou étrangers, mais également de présenter nos nouveaux
produits à nos clients habituels», explique-t-il. Et d’ajouter : «Le salon est
une expérience satisfaisante pour nous, parce que nous n’avons pas manqué de
visiteurs qui se sont intéressés à nos produits, surtout le “Thermobrick”, une
solution 100% terre cuite qui répond aux exigences d’isolations thermique et
acoustique de tous types de bâtiments, ainsi que notre escalier en brique».
Toujours dans la catégorie Gros œuvre et Menuiserie, Saad
Mekouar, export manager chez Itqane, se dit tout aussi ravi de la présence de
son entreprise au salon et de la qualité des visiteurs. «Batimat a parfaitement
répondu à nos attentes. Nous avons établi le contact avec beaucoup de
professionnels, ce qui était justement le but de notre participation»,
souligne-t-il. «Itqane est une entreprise marocaine qui agit dans cinq segments
d’activité, à savoir le contract (hôtellerie), le sur-mesure, l’artisanat de
luxe, le tertiaire, et le TCE (tout corps d’Etat). Nos principaux clients sont
les architectes et nous en avons rencontré un grand nombre ici», ajoute-t-il.
Par ailleurs, et contrairement à l’enthousiasme des
entreprises marocaines, certains de leurs homologues étrangères, habituées aux
évènements de grande envergure, ont exprimé leur déception quant à la faiblesse
du visitorat. C’est le cas par exemple de Far Group France, société spécialisée
dans les produits électriques de bricolage et de jardinage à destination du
grand public. «Batimat est notre salon de référence en France, c’est la raison
pour laquelle nous avons tenu à participer à cette 1re édition marocaine avec
pour objectif d’entrer en contact avec de nouveaux clients tunisiens,
algériens, égyptiens et subsahariens», précise le responsable commercial de la
marque. Avant d’ajouter : «Cependant, nous avons été assez déçus. L’espace
dédié au salon est beaucoup plus petit qu’à Paris et les visiteurs n’étaient
pas au rendez-vous. En tout cas, pas autant qu’on attendait. Résultat, nous
n’avons rencontré aucun nouveau client, juste nos acheteurs de base».
La société française n’est pas la seule à se plaindre. Même
déception exprimée par la commerciale d’Officine Iori SRL, entreprise italienne
qui produit les treuils. «Le salon n’a malheureusement pas répondu à nos
attentes. Nous espérions plus de visiteurs, surtout d’Afrique, vu que nous
vendons déjà nos produits dans les pays arabes, la région méditerranéenne, et
en Amérique centrale. Malheureusement, cela n’a pas été le cas»,
affirme-t-elle.
Source
Le Matin
Wienerberger Extends Credit Line Until 2016
The
Austrian building materials company Wienerberger AG (WIE.VI) said it secured an
early extension of a EUR250 million revolving credit line until May 2016.
The
syndicated loan, originally due in 2013, is available for general corporate
finance until May 2016.
Since the
financial crisis, the company has continually lowered its debt ratio, raising
its own funds and assuring debt will only need to be refinanced in small
amounts until 2018, Chief Financial Officer Willy Van Riet said.
The
consortium centered around The Royal Bank of Scotland plc. (RBS) and UniCredit
Bank Austria was increased by two members bringing the total number of lenders
to 15.
Source The Wall
Street Journal
11/06/2012
Imerys Blajan : Les salariés d'une tuilerie menacée de fermeture reprennent espoir à Paris
Les représentants du personnel d'une tuilerie de
Midi-Pyrénées ont reçu vendredi à Paris le soutien du ministère du Redressement
productif dans leurs efforts pour empêcher la fermeture du site, ont indiqué
les élus qui les accompagnaient.
Les représentants des 36 salariés de la tuilerie de Blajan
(Haute-Garonne), l'une des tuileries du grand groupe français Imerys (extraction
et transformation de minéraux pour l'industrie et la construction), ont été
reçus pendant plus d'une heure à Paris par un conseiller du ministre Arnaud
Montebourg.
Imerys (240 implantations industrielles dans 47 pays, plus
de 16.000 salariés selon son site) a décidé la fermeture de l'usine qui
représente l'une des dernières activités de production en Comminges, région
durement affectée par la désindustrialisation.
Le conseiller du ministre, John Palacin, a concédé que les
dispositions contre les licenciements dits boursiers restaient à créer, mais a
dit qu'au-delà de cette réserve, il "fallait chercher tous les moyens
possibles, et existants, pour s'opposer à la fermeture", a rapporté le
maire de Blajan, Jean-Bernard Castex. Le ministère "va tout mettre en
oeuvre pour nous apporter le meilleur soutien possible", a dit la
vice-présidente du conseil régional Carole Delga.
Les salariés sont ressortis "encouragés" de
l'entretien, a dit un de leurs représentants, Jean-François Fourcade.
Les élus s'indignent particulièrement du fait qu'avant
d'annoncer la fermeture, Imerys a demandé et obtenu l'autorisation d'exploiter
une carrière d'argile en disant qu'il s'agissait de pérenniser l'usine de
Blajan. Avec l'autorisation d'exploiter la quinzaine d'hectares de cette
carrière à raison de 60.000 tonnes d'argile par an, Imerys a une réserve d'un
demi-siècle pour alimenter d'autres usines, s'émeuvent-ils.
"On verra passer les camions et, avec eux, la
plus-value nous filer sous le nez", a dit le maire de Blajan. "On est
devant un cas typique d'entreprise qui utilise les réserves naturelles d'un
territoire sans y préserver l'emploi", a renchéri Mme Delga.
PARGNY-SUR-SAULX (Marne), le musée de la tuile rouvre ses portes
Ouvert quatre mois dans l'année, le musée de la tuile et de
la terre cuite rassemble entre 350 et 400 pièces, plus surprenantes les unes
que les autres.
Construite en 1931 le long de l'avenue du Bois du roi, la
chapelle Sainte-Thérèse, dont les murs, la toiture, l'autel, le confessionnal
et le chemin de croix sont en terre cuite, abrite un véritable trésor.
Entre 350 et 400 tuiles et accessoires de couverture sont
exposés à l'intérieur de cet édifice, que les ouvriers de la tuilerie Gilardoni
de Pargny-sur-Saulx utilisaient à l'époque comme lieu de culte. Depuis huit
ans, l'association des Amis de la tuile, qui compte actuellement une vingtaine
d'adhérents, fait de cette chapelle un véritable musée de la tuile et de la
terre cuite ouvert quatre mois dans l'année. « L'édifice n'étant pas chauffé,
l'hiver, il fait froid, prévient Bernard Parisse, 69 ans, secrétaire de
l'association. Et puis, on n'accueille pas assez de monde. »
Exceptionnellement l'an dernier, lors du bicentenaire de la
dernière tuilerie pargnysienne Imerys toiture, plus de 400 personnes ont visité
le musée. « Les gens étaient étonnés de la diversité et de l'origine des pièces
rassemblées », souligne Bernard Parisse.
« Ça fait un joli toit »
Le secrétaire de l'association se dirige vers ses tuiles
préférées : « les losangiques », comme il les surnomme. Quelques-unes sont
posées sur une petite charpente en bois. « Elles étaient fabriquées au XIXe
siècle à Ludes, dans la Marne, par le tuilier Jacques-Remi Hure »,
explique-t-il. Il fallait trente-cinq de ces pièces pour couvrir un mètre
carré, ce qui représente un poids de 52,5 kilos, la tuile pesant 1,5 kilo. «
Jusque dans le motif, tout est conçu pour que l'eau puisse s'écouler sans
glisser sous les tuiles, précise-t-il. Au final, ça fait un joli toit ! »
Grâce au don d'un mécène marnais, l'association des Amis de
la tuile a pu acheter cette année une vitrine. Des tuiles miniatures y sont
exposées pour la première fois, ainsi que d'anciennes factures et même des
actions, dont 3 500 francs au porteur émis par Gilardoni Frères. Ces derniers
avaient racheté en 1920 la tuilerie des Tarterets basée à Essonnes, près de
Corbeil. « C'était la seule gérée en société anonyme », rappelle Bernard
Parisse.
Clemenceau sur un médaillon
Le secrétaire de l'association montre également du doigt un
gros médaillon en terre cuite réalisé par M. Chobert. Celui-ci représente un
tigre. À la place de la tête de l'animal figure celle de Clemenceau, les pattes
aplatissant quatre autres petites têtes, dont deux maréchaux allemands et
l'empereur Guillaume II. Le slogan « Vaincre d'abord ! » y est gravé. « La
terre cuite ne sert pas qu'à faire des tuiles ! » lance Bernard Parisse, large
sourire aux lèvres.
À l'intérieur de la chapelle, les visiteurs pourront par
ailleurs découvrir l'histoire de la société Huguenot à travers notamment des
extraits d'un catalogue publié entre 1920 et 1930 par les frères Huguenot à
Pargny-sur-Saulx. On y trouve un œil-de-bœuf art nouveau modelé par MM. Damain
et Lehmann de Bar-le-Duc, d'après le croquis de M. Renaud, architecte à
Bar-le-Duc. À côté, une photo de cet œil-de-bœuf prise sur une maison qui se
trouve rue André-Theuriet à Bar-le-Duc. « Les vieux catalogues permettent
d'identifier les pièces lorsqu'elles ne sont pas estampillées, explique Bernard
Parisse. C'est très utile. »
Un saut dans le temps que les visiteurs pourront faire
jusqu'au 16 septembre.
Le musée de la tuile et de la terre cuite sera ouvert les
dimanche 1er juillet, 5 et 26 août, 16 septembre, ainsi que le jeudi 19
juillet, de 14 à 18 heures. Entrée gratuite.
Source
L’Union par Stéphanie GRUSS
10/06/2012
CERIC Technologies participe au salon Libyabuild
Les solutions présentées par CERIC Technologies pour la
fabrication de briques et tuiles en Terre Cuite ont rencontrées un vif succès à
l’occasion du salon Libyabuild, organisé du 20 au 24 mai 2012 à Tripoli.
Les nombreux visiteurs ont apprécié les nouveaux
développements de la gamme préparation Terre, les solutions de séchage et de
cuisson (four CASING) et de manutention.
Conjoncture économique défavorable et chômage partiel
Le chômage partiel est un dispositif qui permet aux
entreprises confrontées à des difficultés économiques de réduire ou de
suspendre temporairement leur activité, tout en assurant aux salariés une
indemnisation en compensation de la perte de salaire qui en découle.
Cette indemnisation, assurée par l'employeur, est
partiellement prise en charge par l'État.
Le chômage partiel peut être mis en place dans l'une des
situations suivantes :
- en cas de conjoncture économique défavorable,
- en cas de difficultés d'approvisionnement en matières premières ou en énergie,
- en cas de sinistre ou d'intempéries à caractère exceptionnel,
- en cas de transformation, de restructuration ou de modernisation de l'entreprise,
- lors de toute autre circonstance de caractère exceptionnel.
Certaines catégories de salariés ne peuvent pas bénéficier
du chômage partiel. Il s'agit :
- des salariés dont le chômage est provoqué par un conflit collectif de travail,
- des salariés dont la durée du travail est fixée par forfait en heures ou en jours sur l'année. Toutefois, ces salariés bénéficient du chômage partiel en cas de fermeture totale de leur établissement,
- des chômeurs saisonniers, sauf s'ils démontrent que leur situation de chômage est exceptionnelle à l'époque de l'année à laquelle elle se produit. Pour cela, le chômeur saisonnier doit apporter la preuve qu'au cours d'une des 2 années précédentes, il occupait à la même époque et pendant la même période un emploi salarié dont il tirait une rémunération régulière.
Préalablement à la mise en chômage partiel de ses salariés,
l'employeur doit consulter le comité d'entreprise, ou, à défaut, les délégués
du personnel.
Indemnités horaires de chômage partiel
- Les heures chômées donnent lieu au versement d'indemnités horaires de chômage partiel en compensation de la perte de salaire.
- Ces indemnités horaires sont égales au minimum à 60 % de la rémunération horaire brute du salarié, sans qu'elles puissent être inférieures à 6,84 € par heure.
- Elles sont versées par l'employeur à la date habituelle de versement du salaire.
- En cas de chômage partiel, les heures supplémentaires, même contractuelles, ne sont pas indemnisables.
Durée du chômage partiel
- En cas de réduction d'activité
En cas de réduction du temps de travail, l'indemnisation du
chômage partiel n'est pas limitée dans le temps, mais le nombre d'heures
chômées indemnisables est limité à 1.000 heures par an.
Si la réduction du temps de travail se poursuit pendant plus
de 2 mois, l'employeur peut conclure avec l'État une convention d'activité
partielle de longue durée (APLD).
Le salarié bénéficie alors d'indemnités horaires d'APLD, qui
sont plus élevées que les indemnités horaires de chômage partiel.
- En cas de suspension d'activité
En cas de suspension d'activité (fermeture de l'entreprise),
le versement d'indemnités horaires de chômage partiel par l'employeur est
possible pendant 6 semaines consécutives maximum (42 jours).
Au-delà de 42 jours, le salarié peut percevoir des
allocations chômage de la part de Pôle emploi pendant 3 mois : il doit faire sa
demande d'indemnisation auprès de Pôle emploi et remplir les conditions exigées
de la part de tout demandeur d'emploi (à l'exception de celle relative à la
rupture du contrat de travail). Le contrat de travail n'est pas rompu, le
salarié reste en situation de chômage partiel.
Si la suspension d'activité se poursuit au-delà de 3 mois,
le préfet décide, compte tenu de la situation de l'entreprise, si le salarié
peut continuer à être indemnisé au titre du chômage partiel :
- en cas de décision positive du préfet, le salarié continue d'être indemnisé par Pôle emploi au titre du chômage partiel pendant 3 mois supplémentaires maximum (soit 6 mois au total) et l'employeur doit engager au cours de cette période une procédure de licenciement,
- en cas de décision négative du préfet, le contrat de travail est considéré comme rompu.
En cas de rupture du contrat de travail (à la fin des 3 mois
ou des 6 mois), le salarié est indemnisé au chômage par Pôle emploi comme un
demandeur d'emploi à part entière.
Situation du salarié en chômage partiel
La mise en chômage partiel du salarié entraîne la suspension
de l'exécution de son contrat de travail.
Durant cette période, le salarié peut suivre des formations
en dehors du temps de travail. Il peut alors cumuler ses allocations de chômage
partiel et les allocations de formation dans la limite de sa rémunération nette
antérieure.
Le salarié peut éventuellement cumuler un autre emploi
pendant la période de suspension de son contrat à condition :
- de respecter le principe de loyauté et de non-concurrence,
- de respecter la durée légale du travail,
- et d'être toujours à la disposition de son employeur en cas de reprise d'activité anticipée. Il doit rompre le contrat de travail de l'emploi cumulé.
Il peut cumuler ses allocations de chômage partiel et son
salaire.
Source Service
Public
09/06/2012
Algérie - intérêt italien pour le marché algérien des matériaux de construction
Les opérateurs italiens du secteur des matériaux de
construction accordent "un intérêt particulier au marché algérien non
seulement pour l’exportation de leurs produits mais aussi pour y réaliser des
investissements", a indiqué jeudi le directeur de l’Institut italien pour
le commerce extérieur (ICE) à Alger, Giuseppe Agostinacchio.
"Le marché algérien des matériaux de construction
constitue pour nous le plus important marché au niveau maghrébin et
méditerranéen car c’est l’un des plus proches géographiquement et qui présente
le plus d’opportunités d’affaires", a précisé M. Agostinacchio lors d’une
conférence de presse tenue en marge du 15ème salon du Bâtiment "Batimatec".
L’Italie, deuxième fournisseur de l’Algérie et également son
2ème client, est présente à ce salon avec 65 entreprises, qui exposent sur un
espace de 1.300m² leurs innovations dans les machines, installations et
équipements entrant dans la production de divers matériaux de construction.
Les entreprises italiennes sont intéressées par cette
exposition, qu’elles considèrent comme la plus importante d’Afrique, non
seulement pour l’exportation mais aussi pour établir des relations de
partenariat avec un pays (l’Algérie) qui connaît une stabilité financière par
rapport aux autres pays notamment européens, selon ce responsable.
Toutefois, ce dernier n’a pas manqué d’évoquer certaines
contraintes qui entravent l’investissement en Algérie, notamment en matière de
législation et de procédures pour la réalisation de partenariats, mais ceci n’a
pas empêché plusieurs sociétés italiennes à chercher des partenaires algériens.
"Il y a plusieurs entreprises italiennes spécialisées
dans la construction et les matériaux de construction qui sont en contact avec
leurs homologues algériennes pour discuter des projets de partenariats", a
précisé ce responsable.
De son côté, un responsable d’une association italienne des
constructeurs de matériaux de construction, regroupant une centaine de
sociétés, a indiqué que le marché algérien est devenu un marché important car
le secteur de la construction est en essor en Algérie contrairement à l’Europe
où ce secteur connaît un déclin.
Source
Maghrebemergent
SAINT-GOBAIN annonce l'acquisition de Celotex
Saint-Gobain (SGO 27.52 -1.08%) a annoncé l'acquisition de
Celotex, le producteur britannique de mousses isolantes de haute performance.
La société, qui emploie 170 personnes, a annoncé pour l'exercice fiscal 2011 un
chiffre d'affaires de 69,7 millions de livres (soit 86,7 millions d'euros).
Elle vient par ailleurs d'investir 3 millions de livres (3,7 millions d'euros)
dans un nouveau centre d'innovation et de distribution. Par ailleurs, ce marché
n'est pas inconnu au français Saint-Gobain.
En effet, implanté sous la marque Isover en Grande Bretagne,
le fabricant des matériaux de construction a ainsi souhaité renforcer sa
présence sur ce marché.
AOF - EN SAVOIR PLUS
- La thématique de l'efficacité énergétique des bâtiments
est porteuse en France (27% du CA du groupe) et devrait rester un sujet
important du prochain quinquennat quel que soit le gagnant de l'élection
présidentielle ;
- Le groupe fait également du solaire un axe de
développement majeur ;
- La branche Distribution Bâtiment (45% du CA) bénéficie de
l'enracinement local de ses implantations, ce qui lui procure une connaissance
des besoins de ses clients sans équivalent et un fort pouvoir de négociation
avec ses fournisseurs ;
- Dans un contexte d'inflation des coûts, Saint-Gobain
dispose d'une forte capacité à répercuter la hausse des coûts dans ses prix de vente.
Les points faibles de la valeur
- Les inquiétudes sur la croissance économique dans les pays
matures pèsent directement sur une valeur cyclique comme Saint-Gobain qui
réalise près de 80% de son activité dans le secteur de la Construction ;
- Qui plus est, l'Europe représente encore plus de 70% du
chiffre d'affaires du groupe, ce qui est interprété actuellement comme un point
faible. Mais le groupe ne réalise que 5% de son chiffre d'affaires en Europe du
Sud et est bien positionné sur les pays en croissance (20% du CA en Allemagne
et Scandinavie) ;
- La part de l'activité dans les pays émergents n'est pas
encore suffisante ;
- La valeur affiche toujours une décote par rapport à ses
pairs.
Comment suivre la valeur
- Le cours de l'action est corrélé aux données
macroéconomiques car Saint-Gobain exerce une activité cyclique ;
- La conjoncture du secteur du BTP, à travers notamment
l'évolution des mises en chantier et des permis de construire, est à surveiller
de près ;
- Saint-Gobain réalise près de la moitié de ses résultats
hors zone euro et est donc sensible aux variations de change ;
- Les cours des matières premières influent sur les
performances du groupe ;
- Le groupe souhaite réaliser de petites opérations dans les
pays émergents, l'efficacité énergétique ou le solaire ;
- Le plan stratégique 2011-2015 et les objectifs de
croissance qui y sont attachés pourraient réduire la décote du titre et
entraîner une revalorisation boursière. Le groupe souhaite conquérir un statut
de valeur de croissance ;
- Avec la cession prévue de Verallia, l'activité
conditionnement de Saint-Gobain, le groupe va poursuivre son recentrage et son
désendettement. Mais l'introduction en Bourse a été reportée en raison des
conditions de marché ;
- Le marché s'interroge régulièrement sur les intentions de
Wendel, l'actionnaire de référence.
LE SECTEUR DE LA VALEUR
Construction - Matériaux
La plupart des analystes financiers sont prudents sur le
secteur et estiment que 2012 devrait être une année difficile. Si les volumes
du marché mondial (hors Chine) devraient croître de 3,5%, les augmentations de
prix sont jugées insuffisantes pour compenser la hausse des coûts de
production. En revanche, malgré les difficultés anticipées de la construction
en Europe du fait d'un climat économique morose, Fitch considère que les
perspectives de crédit sont stables pour le secteur des matériaux de
construction. Les entreprises bénéficient de bilans assainis, avec des niveaux
de trésorerie élevés et un risque de refinancement limité. L'agence anticipe
que cette année, les difficultés devraient être semblables à celles de 2011,
avec une faible croissance de la demande et des marges en retrait. Les volumes
ne devraient que faiblement croître sur les marchés matures. Ils pourraient
même régresser dans certaines régions. La demande sera plus dynamique sur les
marchés émergents, mais certains marchés (comme l'Inde) pâtiront de
surcapacités et d'une hausse des coûts.
DERNIERE RECOMMANDATION SUR LA VALEUR
Société Générale a réitéré sa recommandation à Achat sur
Saint Gobain et son objectif de cours à 45 euros. Le chiffre d'affaires du
premier trimestre est ressorti supérieur aux attentes du broker.
CONSENSUS DES PROFESSIONNELS
D'après le consensus de marché calculé à la date du
06/06/2012, les analystes conseillent d'acheter le titre SAINT-GOBAIN. En
effet, sur un total de 9 bureaux d'études ayant fourni des estimations, 8 sont
à l'achat et 1 est neutre. L'indice de recommandation AOF, reflétant l'avis
moyen des analystes et s'étendant de -100% à +100%, est de 89%. Enfin,
l'objectif de cours moyen est de 42,01 EUR. Le consensus précédent conseillait
d'acheter la valeur .
Source
Capital
08/06/2012
Le plan de la briqueterie Tellus-Ceram validé
Le tribunal de commerce lève la procédure de redressement judiciaire.
La briqueterie centenaire de Monsempron-Libos,
Tellus-Ceram, spécialisée dans les produits réfractaires, n'est plus en
redressement judiciaire. La décision espérée après l'examen du dossier le 15
mai par le tribunal de commerce a été rendue hier après-midi par les magistrats
agenais. Ces derniers ont donc validé le plan présenté par l'entreprise dirigée
par Mesmin Béragnes qui s'appuie sur un partenariat noué avec le groupe anglais
Sistac.
400 000 euros
Le plan social craint par les 35 salariés de la briqueterie
est donc écarté. « Nous sommes très satisfaits de cette décision, indique
Benjamin Arboux, délégué du personnel à Tellus-Ceram. La levée de cette mesure
de redressement va permettre de redonner confiance à nos clients ».
En difficulté depuis le faux bond d'un de ses clients à
hauteur tout de même de 400 000 euros, Tellus-Ceram (3,6 millions de chiffres
d'affaires en 2011) espère retrouver de la croissance et regonfler ses carnets
de commande grâce à une synergie opérée avec le groupe anglais Sistac sur le
plan commercial. Il s'agirait pour les deux entités de s'unir pour compléter
leurs gammes et donc de proposer à chacun de leur clientèle leurs produits
respectifs. Le groupe britannique ne rentre pas dans le capital de Tellus-Ceram
qui, libérée de sa tutelle judiciaire, retrouve sa liberté d'agir. Maiss la
prudence reste de mise parmi les salariés qui estiment que « le plus dur reste
encore à venir ».
Source
Sud Ouest
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