Pages

31/05/2012

IMERYS « Étendre la couverture aux achats de faible montant »


La branche matériaux de construction d'Imerys, groupe international spécialisé dans la valorisation des minéraux industriels, utilise la solution de P2O et de gestion de contenu (APC) Ariba pour contrôler près de 50 % de ses achats. L'avis de Lionel Willaert sur le déploiement de cette solution.



Lionel Willaert, directeur des achats et de la supply chain, groupe Imerys

Lionel Willaert : en préambule, je voudrais préciser qu’Imerys est un groupe international présent sur les cinq continents et que notre organisation des achats est décentralisée. En faisant migrer, pour partie, les achats de la branche matériaux de construction vers la solution d’e-achats d’Ariba (NDLR : qui vient d'être rachetée par la branche américaine de SAP, SAP America, Inc) nous sommes restés très vigilants sur le maintien du niveau de service, à la fois pour nos acheteurs et nos fournisseurs. Au quotidien, la stratégie achats déployée est assez traditionnelle, avec des offres fournisseurs regroupées dans des catalogues validés par les acheteurs sur la base de prix négociés. La solution mise en place avec Ariba permet de faire ­cohabiter dans un même cadre de gestion d’un portefeuille des fournisseurs disposant de catalogues créés et traités par Ariba, et des catalogues fournisseurs préexistants, propres à ­Imerys. Tout cela en s’appuyant sur un moteur de recherche dédié qui, sans être un “Google bis”, offre une ergonomie satisfaisante. Les échanges de propositions et contre-propositions de prix s’effectuent de façon traditionnelle, conformément aux conditions contractuelles générales retenues. Ariba endosse ici une responsabilité d’intermédiaire garantissant l’exactitude des données échangées et mises en ligne dans les catalogues. À l’aide de cette ­solution, nous souhaitons étendre la couverture des achats gérés en ligne aux dépenses à faible montant unitaire qui, cumulées, représentent des montants significatifs.

Quel est le périmètre de déploiement de cette solution ?

Le déploiement de cette nouvelle plateforme a une vocation européenne, et sera étendu aux autres divisions du groupe suivant leurs priorités de gestion respectives. Ceci est d’autant plus attractif pour les fournisseurs qu’un certain nombre d’entre eux sont Européens. En ce qui concerne la typologie des achats, il s’agit surtout de consommables, de pièces de maintenance et de tous types d’achats pour la branche construction d’Imerys.

Quels perfectionnements seraient souhaitables ?

Une des complexités tient à l’hétérogénéité des nomenclatures et dénominations que les fournisseurs utilisent. Un marqueur reste un Stabilo et un collier de serrage reste un Serflex, par exemple. Mais les outils d'e-achats aident à bâtir une stratégie fournisseurs par la mise en place de catalogues avec des fournisseurs choisis qui, eux-mêmes, bénéficient de la globalisation des besoins du client.

Comment avez-vous accompagné le changement au sein de votre organisation ?

L’initiative est prise par les entités elles-mêmes, et les acheteurs/approvisionneurs sur site jouent un rôle-clé dans le déploiement. Pour susciter l’adhésion des équipes, nous avons communiqué sur des cas concrets afin d'expliquer les bénéfices de ce changement, et nous avons accentué nos efforts sur la mise en œuvre de bonnes pratiques de management achats sur la plateforme.
Source Décision Achats par Emmanuelle Serrano

Matériaux de construction : prévisions revues à la baisse


Dans un contexte assez général de repli des indicateurs de confiance et du climat d’attentisme qui prévaut depuis cet hiver, la production de granulats et de BPE a accusé un recul en avril.
La Commission économique de l’Union nationale des industries de carrières t matériaux de construction (UNICEM) révise à la baisse ses prévisions d’activité, les portant à - 4 % pour les granulats (contre - 3 % prévus en mars) et à - 5 % pour le BPE (contre - 4 %).
Elle confirme que l’activité perdue au mois de février ne sera pas rattrapée, dans un contexte climatique qui, par ailleurs, est apparu peu favorable en avril et en mai.
Si les signaux conjoncturels ne poussent pas à l’alarmisme, ils n’en demeurent pas moins très partagés et les incertitudes politiques ne sont que partiellement levées dans l’attente des échéances des élections législatives.
La lisibilité conjoncturelle du premier trimestre est cependant très brouillée par les intempéries de février qui masquent les résultats relativement corrects des mois de janvier et de mars.
Aussi, le repli de l’activité constaté entre avril 2012 et avril 2011, d’environ - 3 % (en données cvs-cjo) pour les granulats et de - 6 % pour le BPE ne doit-il pas être interprété comme la confirmation d’une forte dégradation conjoncturelle mais comme un signal cohérent avec une activité du BTP globalement moins bien orientée.
Par rapport au mois de mars, la production observe également une baisse de 5,5 % pour les granulats et de 7,5 % pour le BPE (données cvs-cjo).
Au total, en cumul sur les quatre premiers mois de l’année 2012, les livraisons de granulats et de BPE affichent une contraction assez comparable, de l’ordre de - 8 % et - 7,7 % respectivement, par rapport à la même période de l’année dernière.
Quant à l’ensemble des matériaux, le marché enregistrerait au premier trimestre 2012 un recul de plus de 11 % sur un an.
Pas d’alarmisme…
Même s’il apparaît peu probable que la perte sèche d’activité enregistrée en février soit rattrapée sur le reste de l’année 2012, l’inventaire des derniers indicateurs conjoncturels et des enquêtes n’invite cependant pas à l’alarmisme.
En avril, les carnets de commandes dans le secteur du bâtiment (gros œuvre et second oeuvre) demeuraient orientés à la hausse, un certain rebond des perspectives d’activité étant même observé dans le segment de l’entretien-rénovation et des bâtiments non résidentiels.
En revanche, les professionnels sont un peu plus pessimistes s’agissant du logement neuf. Ils s’attendent à la poursuite du tassement de l’activité, qui se situait, il est vrai, à un niveau relativement élevé.
En effet, à la fin du premier trimestre 2012, les mises en chantier de logements étaient en repli de 11 % par rapport à la même période de 2011, une tendance fortement influencée par le segment de l’individuel (- 18 % contre - 3 % pour le collectif).
À fin mars, on enregistrait encore près de 410 000 mises en chantier en cumul sur douze mois. Le freinage des autorisations se poursuit également, même si, du côté des logements collectifs, les trois premiers mois de l’année 2012 s’achèvent encore sur une progression de + 11 % sur un an (contre - 9 % pour l’individuel).
En cumul sur douze mois, le volume des autorisations de logements avoisinait encore 535 000 unités à fin mars, ce qui constitue un potentiel d’activité non négligeable pour les prochains mois.
…mais prudence et attentisme
Reste que, du côté des promoteurs, la tendance est à la prudence. En l’attente des futures orientations gouvernementales de la politique du logement, les professionnels réduisent la voilure de leurs projets.
Un attentisme qui se retrouve aussi du côté des acquéreurs plus frileux dans leurs investissements et achats de logements, dans un contexte marqué, il est vrai, par des incertitudes économiques et une remontée du chômage.
Selon certaines estimations, les ventes de logements neufs se seraient contractées de 25 % au premier trimestre 2012 par rapport à 2011, une tendance liée à des dispositifs de soutien moins favorables mais aussi à un accès au crédit bancaire plus difficile. La dernière enquête de la Banque de France sur la distribution de crédits effectuée en avril confirme ce diagnostic.
Certes, la remontée des taux d’intérêt à l’habitat est restée maîtrisée (3,9 % au premier trimestre 2012 en moyenne contre 3,6 % il y a un an) mais les critères d’octroi de prêts, quant à eux, se sont légèrement resserrés.
D’où une sensible contraction de la demande de prêts à l’habitat de la part des ménages, mouvement qui pourrait se poursuivre dans les prochains mois si l’on en croit l’enquête.
Ces difficultés d’accès au crédit bancaire ne touchent pas seulement les ménages mais aussi les entreprises, et plus particulièrement les collectivités locales pour lesquelles les ressources financières bancaires représentent la modalité essentielle de financement.
Dans ce contexte, le retour à une normalisation des comportements des banques constitue un enjeu majeur du réamorçage durable de l’activité du secteur du bâtiment mais aussi et surtout des travaux publics.
Si, au premier trimestre 2012, le volume des travaux réalisés dans les TP affichait un repli limité de - 3,5 % sur un an, les dernières enquêtes traduisaient, quant à elles, une chute des marchés conclus (- 21,5 % sur un an), renforçant les incertitudes sur les perspectives d’activité.
Source : batirama.com

Moody's warns on leveraged loan maturity wall


Call it what you like - a cliff, mountain, wall or hump - Europe's EUR133bn-worth of leveraged buyout loans maturing over the next three years is more of a challenge than ever, Moody's Investors Service said in an annual report published on Tuesday.

The escalating eurozone crisis, dismal economic growth prospects, the demise of collateralised loan obligations, increasing pressure on banks to pull the plug on the most distressed credits and a volatile high-yield bond market will make it difficult to refinance, the rating agency said.

Private companies have made significant progress in chipping away at maturities falling due 2012-2015. Around EUR48bn has been refinanced over the past year, either with high-yield bonds or via amend and extend agreements on terms and maturities of existing loans with lenders, Moody's said.

But the weaker credit quality of the loans left to tackle has increased the risk of defaults and a possible subsequent wave of restructurings, Moody's said, especially as demand from CLOs, which are nearing the end of their reinvestment periods, wanes.

"The wall may be smaller, but much of the better credit quality loans have moved out, and so what we're left with is a bigger concentration of weaker credits," said Chetan Modi, senior vice president at Moody's.

Moody's estimates that around 25% of the 254 companies in its study will default over the next three years, and the rate could double if external factors shut the high-yield market for extended periods.

A year ago, Moody's forecast was for a more conservative 20% default rate.

"We are one year closer to the 2014-2015 refinancing peak, which remains worrisome given the weak macroeconomic environment and the generally low credit quality of this debt," Moody's said.

"The openness of both European and U.S. high-yield markets will largely determine how the refinancing burden is navigated. Market access will remain in 'windows', given the ongoing euro crisis, thereby reducing that market's ability to absorb the supply of debt."

RUNNING OUT OF OPTIONS

The progress made so far in pushing out maturities has taken some pressure off. Loans maturing in 2013 have reduced by 75% over the past two years and the 2014 peak flattened by about EUR12bn to EUR60bn.

In addition, of the overall EUR171bn debt maturing from now and beyond 2015 - down from EUR207bn a year ago - 22% matures in 2015 or later compared to 12% a year ago.

Whether the weaker credits will be able to access the high-yield market, however, is questionable.

Fifty-five percent of the loans maturing up to 2015 have been scored at 16 by Moody's, which is equivalent to a rating of B3 or lower. Perhaps more worrying is the 23% of debt scored at 17 - or an equivalent Caa1 rating - which implies a stressed capital structure, the rating agency said.

Last year's EUR38.75bn high-yield bond supply fell well short of the lofty EUR60bn analyst expectations sounded at the start of 2011, and although the market has bounced back, fears are rising that another second-half gridlock is in store.

Supply is currently running at USD32bn for all European high-yield issuers, according to Thomson Reuters data, but the market faced a significant set-back earlier this month when several deals struggled to get done.

One issuer, German roofing materials group Monier, pulled a deal after refusing to give in to investor demands for a coupon in excess of 10.5%.


DISTRESSED OPPORTUNITY

Moody's predicts a dispersion in default rates between rated speculative-grade credits that have proven access to high-yield bond markets and unrated LBOs.

European speculative-grade defaults are currently 2% and are expected to rise to just below 3% by the end of the year, according to Moody's. The default rate peaked at around 12% in 2009.

For those companies that do not have access to high-yield - either because of their weak credit quality or limited size of their debt - their other option is to amend and extend the terms and maturity of their loans.

That is expected to get more difficult.

"Banks are still reluctant to write-down debt if they don't need to, but the situation may be taken out of their hands if their funding partners, the CLOs, are constrained and are unable to participate in amend and extends," said Moody's.

"There hasn't been a situation yet where this has prevented an amend and extend, but it's a factor that has to be taken increasingly into account. It will have a much more dramatic impact next year".

That could result in a big opportunity for distressed funds, he added, who anticipated a big spike in restructurings in 2009 which failed to meet expectations. That, to some extent, was because both banks and CLOs were both more willing and able to agree amend and extends then.

"There's a sense that this time round, that this is less of an option and that should mean more opportunities for distressed funds," Modi said.

The timing of that, however, is difficult to forecast.

"Whether we'll see a deluge or a steady flow of restructurings is uncertain." (Reporting by Natalie Harrison; Editing by Julian Baker)

30/05/2012

Terreal Décoration - nouveau service service « Affichez vos envies »


A l'occasion de la refonte totale de sa communicationet du lancement de son nouveau site Internet, Terreal Décoration propose un nouveau service « Affichez vos envies » : un événement organisé comme un jeu-concours pour donner vie aux plus beaux projets d'aménagements intérieurs ou extérieurs.
Jusqu'au 30 juin 2012, les amateurs de terre cuite peuvent ainsi remporter jusqu'à six "relookings", soit un gagnant par semaine. Le candidat décrit son projet sur le site ci-dessous en y joignant la photo du lieu à rénover ou à créer.
Elu par un jury de professionnels, le vainqueur se verra alors offrir une modélisation en 3D de son nouvel espace, réalisée par une agence de design, et la mise en relation avec les équipes de professionnels Terreal.
Pour participer, rendez-vous sur le site www.terrealdeco.com
A travers ses différentes rubriques, le nouveau site offre de manière interactive des propositions d'ambiances, des informations techniques et pratiques sur ses produits. Une section de recherche permet également de trouver le distributeur Terreal le plus proche de chez soi.
De plus, en concevant sa nouvelle brochure, Terreal a souhaité dévoiler l'étendue de sa gamme Décoration à travers des propositions d'ambiance alliant tendance, modernité et tradition. Cet outil de présentation de plus de 80 pages propose des fiches illustrées pour chaque produit, présentant à la fois des informations techniques et des astuces pour aider les plus novices à créer et réaliser des aménagements intérieurs ou extérieurs. Terreal a également élaboré un nuancier et un guide de pose afin d'assurer la meilleure mise en oeuvre possible de ses produits, mais aussi de fournir toutes les clés pour les entretenir et préserver leur esthétisme.
Source Batijournal

29/05/2012

Concourez pour le premier Grand Prix de la Tuile Terre Cuite Architendance


Plus que jamais la tuile terre cuite est un matériau en phase avec l'époque. Les nouveaux modèles aux couleurs modernes et aux formes novatrices offrent de très nombreuses possibilités aux architectes et aux concepteurs de maison audacieux. Ultraplates, d'aspect brillant ou métallique, dans des teintes anthracite, grise ou noire, la tuile terre cuite s'intégre parfaitement à l'esprit épuré et créatif de l'architecture contemporaine. Elle est même descendue de la toiture pour venir habiller la façade de maisons, pour un rendu résolument moderne et élégant. La FFTB fait appel à la créativité et organise, en partenariat avec le Réseau des Maisons d'Architectes (RMA), le premier Grand Prix de la Tuile Terre Cuite Architendance.
Inscription en ligne avant le 31 juillet 2012. Les dossiers de présentation des projets et/ou des réalisations sera à envoyer à la FFTB avant le 31 août 2012.
Source Batijournal

28/05/2012

Monier rate son émission sur le marché obligataire


En avril, le fabricant de matériaux de couverture a obtenu de ses créanciers un rallongement de ses échéances bancaires, mais avec la promesse d'un remboursement via une émission obligataire. Il devait émettre 250 millions d'euros à 7 ans à un rendement d'environ 10%.

High-yield: down but not out

Whether the blame lies with nervous investors, poorly managed deals or simply bad timing, Europe’s high-yield market has suffered a significant setback that risks locking out all but the top-tier issuers in the next few weeks.

A pulled deal from German roofing materials supplier Monier and other deals from Europcar and Schmolz & Bickenbach that struggled to get over the line have raised fears that the market is not as robust as the unexpected strong start to the year had suggested.

“There is definitely an underlying concern,” said one high-yield syndicate banker. “Effectively, the market in Europe has infinite demand for Double B and high-quality Single B credits, but not much for what we call traditional high-yield with more subordinated capital structures.”

“The majority of investors just don’t have the mindset for that right now. They are being driven by fear.”

Nonetheless, bankers say it is far too early to write off the market, which has come a long way in the past three years. Some pinned the blame on the lead managers, saying that Monier should have been marketed more heavily in the US, while existing FRN investors in Europcar should have been lent on more heavily to roll over into the new issue.

Either way, both deals were seen in isolation to a certain extent, and for now at least, the market is still poised for a clutch of deals later this quarter, with supply likely to emerge from the auctions of companies, including BSN Medical and Birds Eye Iglo.

“This doesn’t stop us from underwriting deals or stop the auctions going ahead, and it certainly doesn’t mean we’ve taken our foot off the high-yield accelerator in favour of loans in terms of acquisition financing,” said one high-yield banker. “It just means it’s a bit more finely balanced going to either market.”
Reckless timing

The sellside also did itself no favours with the timing of the deals that struggled. Bankers picked one of the most volatile periods since the start of the year to swamp the market with five transactions as they rushed to push issuers out before full-year earnings went stale. Monier, for example, pulled its bond on Wednesday as yields on Spanish 10-year bonds jumped above 6%.

Not only were many buyside managers taking advantage of the May Day holiday, but elections in France and Greece had already brought a widespread pullback across all asset classes.

The cyclical nature of all the deals also sparked criticism from investors, who can afford to sit back after enjoying returns of more than 12% since the start of the year.

“When primary deals are pulled, there is a tendency for the sellside to blame the European high-yield fund community for being overly skittish,” said Peter Aspbury, head of European credit research at JP Morgan Asset Management. “It’s easy to forget that a lot of fund managers are subject to retail investor flows that can be highly reactive to equity market sell-offs.”
Back to the US

But some bankers warned that issuers might increasingly turn to other alternative sources of financing such as mezzanine loans, even though this remains a very niche market.

Europcar’s owner Eurazeo had little choice to price its downsized deal to yield 14%, despite a €110m cash injection, but a company such as Monier has greater flexibility because its bank debt does not mature until 2015.

In the short term, European issuers may also lean more heavily on the US dollar market. Companies such as Ineos, for example, completely bypassed the European bond market last month after it achieved cheaper refinancing costs across the pond.

    “Issuers are having to adjust, but they are only slowly weaning themselves off cheap bank debt”

An US$853m-equivalent bond from B1/B+ rated business travel operator Carlson Wagonlit this week also demonstrated the benefits of doing a dual-tranche dollar/euro issue.

“It definitely helps to create a better dynamic. If European investors see that the deal is getting support in the US – it helps give more conviction. With a sole euro deal, you don’t get that interplay,” said one of the bankers involved in the deal.

On a more positive note, the fact that Monier’s book was covered was seen as a positive by some players.

“If a company wants to walk away from 10.5% term money, that’s someone making a call on the cost of capital, and something that I find great solace in. Issuers are having to adjust, but they are only slowly weaning themselves off cheap bank debt,” said Jacques McChesney, a high-yield partner at Shearman & Sterling.

Balesta. 25 tonnes de tuiles renversées sur la D17


L'accident s'est produit mardi en fin d'après-midi, à la sortie de Balesta, sur la D17. Un poids-lourd espagnol qui roulait dans le sens Lannemezan-Boulogne.

Transportant un chargement de 25 à 26 tonnes de tuiles canal, provenant de la tuilerie de Blajan, il aurait fait un écart vers le bas-côté pour faciliter le passage d'un véhicule qui le doublait. Le bord de la route étant très étroit à cet endroit et le fossé presque immédiat, le poids-lourd a versé dans le fossé avec tout son chargement.

La brigade de gendarmerie de Montréjeau est intervenue pour sécuriser les abords. Problème, le poids-lourd étant espagnol, il faut attendre l'accord de son assurance pour réaliser le travail de vidage du contenu de tuiles et l'enlèvement du camion. En attendant, une déviation pour les poids-lourds est à l'étude. Elle pourrait se faire vers la D 24 en direction de Garaison-Boulogne, à partir de l'embranchement d'Uglas. Le conducteur n'a pas été blessé dans l'accident.
Source La Dépêche

27/05/2012

Droits à construire : un guide explicatif sur la nouvelle majoration de 30%



Suite à la publication de la loi n°2012-376 du mars 2012 relative à la majoration de 30% des droits à construire pendant 3 ans, le ministère de l’Ecologie a mis en ligne, quelques jours avant l’investiture du nouveau Président, un guide composé de fiches qui détaillent les modalités d’application de ce nouvel outil.
Dans le but de favoriser la construction de logements, Nicolas Sarkozy a instauré, en mars dernier, une nouvelle loi qui accorde une majoration de 30% des droits à construire dans les communes couverte par un plan d’occupation des sols (POS), un plan local d’urbanisme (PLU) ou un plan d’aménagement des zones (PAZ).

Si cette majoration est automatique, le choix est toutefois laissé aux communes ou EPCI de l’appliquer ou non sur leurs territoires.
Le ministère du Développement durable vient donc de publier un guide qui détaille le dispositif. Il est composé de quatre fiches : les collectivités et les parties du territoire des collectivités concernées par le dispositif de majoration ; dispositif de participation du public : de l’élaboration de la note d’information à la présentation de la synthèse des observations du public ; la prise de décision et ses effets dans le temps ; application de la majoration aux demandes d’autorisations d’urbanisme.

L’idée est de fournir toutes les clés pour une bonne application de ce nouvel outil. Reste à savoir s’il perdurera avec le nouveau gouvernement…
Source Batiactu

26/05/2012

Travailler avec un cabinet de recrutement


Trouver un bon professionnel du recrutement est parfois plus difficile que de dénicher le bon candidat pour un poste stratégique. Nos conseils.

Quels avantages tirer du recours à un professionnel du recrutement ? Les mêmes que pour toutes les opérations d'externalisation : dégager des ressources pour se concentrer sur son coeur de métier et rendre variables des coûts fixes. Si les entreprises britanniques en sont des adeptes depuis longtemps (plus de la moitié des recrutements passe par les professionnels de la profession), les firmes françaises sont plus hésitantes : environ un recrutement sur cinq fait appel à ce type d'intermédiaires. Outre les bénéfices financiers, les cabinets apportent leur savoir-faire et contribuent à renouveler les profils, en privilégiant les compétences, plutôt que les réseaux internes ou les associations d'anciens élèves. Sans oublier la possibilité de trouver une perle en provenance d'un concurrent, grâce à la confidentialité permise par le cabinet.



1 - TROUVER LE BON PRESTATAIRE VIA UN RÉSEAU

Difficile de s'y retrouver parmi le millier de professionnels du recrutement sur le marché français. « Il faut d'abord faire confiance au bouche à oreille », estime Pascale Kroll, co-auteure du « Guide des professionnels du recrutement » et créatrice du site rhadvisors.com. L'adhésion du cabinet à un syndicat professionnel (Syntec Recrutement, l'Association of executive search consultants) ou à une association (comme À compétence égale, qui milite pour la non-discrimination) donne une première garantie. Cela n'empêche pas d'éventuels dérapages, mais ils seront a priori moins nombreux. Un cabinet ne se choisit pas à l'aveugle. C'est en recrutant qu'on le trouve. « La première mission qu'on nous confie est souvent un test », reconnaît Laurent Hürstel, le directeur associé du cabinet Robert Walters. Ensuite, c'est une relation commerciale entre deux personnes qui se met en place. « Je travaille avec des professionnels que j'ai connus chez mon précédent employeur, un grand groupe coté », explique Nicole Soustrade, la directrice de la gestion des cadres de Terreal, spécialiste des matériaux de construction pour bâtiments. Selon elle, « la capacité du consultant à comprendre l'environnement de travail du futur recruté est une donnée essentielle ». Si le consultant ne franchit pas la porte du site où travaillera le salarié, s'il ne rencontre pas son N+1, c'est mauvais signe. « Nous cherchons à trouver le meilleur candidat par rapport à un environnement donné », confirme par ailleurs Nicolas Leroy, le directeur de la division ingénieurs du cabinet Michael Page.



2 - NÉGOCIER LE MODE DE RÉMUNÉRATION

C'est l'un des points les plus discutés dès que l'on parle de cabinets de recrutement. Ils seraient trop chers et leurs tarifs pas assez transparents. Pourtant, sur le papier, les règles sont des plus simples : les cabinets appliquent une rémunération proportionnelle, entre 15 et 20% de la rémunération brute annuelle (elle peut monter jusqu'à 33% pour les postes les plus élevés de l'entreprise). La logique veut que plus le poste recherché est rare, plus le salaire est élevé, et donc mieux le cabinet se rémunère. Malgré tout, constatant des dérives - présenter les candidats aux émoluments les plus élevés -, les cabinets ont adapté leur mode de rémunération en pratiquant le forfait négocié d'avance, soit un pourcentage du salaire moyen pour le poste.

Il n'est pas rare qu'un acompte soit demandé. L'intérêt pour le cabinet ? Éviter de mobiliser ses équipes pour que finalement la mission lui échappe, l'entreprise trouvant elle-même le bon candidat. Acompte, forfait... Tout peut se négocier et ce d'autant que le volume d'affaires d'une entreprise traité par le cabinet est important. Le choix de la rémunération n'est pas neutre et doit être adapté aux attentes de l'entreprise. Chez JCDecaux, le paiement d'un acompte est privilégié pour les métiers en tension, jeunes diplômés compris. « Pour ces compétences rares, donner l'exclusivité à un cabinet a du sens et est économiquement intéressant, car le bon candidat est difficile à trouver », rappelle Guillaume Comby, le responsable du recrutement pour JCDecaux France. « Ce qui ne nous empêche pas de travailler au succès sur d'autres missions pour lesquelles nous estimons pouvoir trouver aussi par nos moyens la bonne personne. » La rémunération dite « au succès » est une sorte d'offre low cost, soit le paiement si, et seulement si, le cabinet trouve le bon candidat.



3 - ENVISAGER DE RÉPARTIR LE TRAVAIL

Un ou plusieurs cabinets ? Sans DRH centralisée et « centralisante », il n'est guère possible d'avoir un cabinet unique. Chaque service ou direction régionale sélectionnera son prestataire. Le choix peut aussi s'effectuer en fonction des postes recrutés : un cabinet dédié à la chasse des cadres les plus recherchés, un autre pour trouver les commerciaux, par exemple. C'est la solution retenue par Jean-Paul Malec, le responsable du recrutement et de la formation de Berner, distributeur d'outillages. Retenir un cabinet unique peut devenir pertinent quand les volumes de recrutements récurrents deviennent importants. « En juillet 2011, nous avions 60 postes de cadres ouverts et il nous a semblé intéressant d'avoir un contrat d'externalisation pour le sourcing avec un cabinet unique », témoigne Guillaume Comby. Son but n'est pas tant d'obtenir des économies d'échelle que de simplifier, avant tout, la gestion administrative : « Un seul cabinet, c'est un interlocuteur unique et un reporting unifié », poursuit-il. Comme pour tout investissement, un appel d'offres permet de mieux choisir. EDF a procédé ainsi, confiant à six cabinets (trois pour les cadres, trois pour les techniciens) l'ensemble de ses recrutements. La répartition s'organise en fonction d'un découpage par région et par spécialités.

25/05/2012

La fabrique des Terres cuites de Courboissy, à Charny, s’ouvre au public demain après midi


S’il existe une entreprise qui connaît par cœur les propriétés de la terre de Puisaye, c’est bien Les Terres cuites de Courboissy, à Charny. Des milliers de carreaux d’argile y sont fabriqués.

Un savoir-faire rodé depuis plus d'un siècle couplé à une volonté d'exploiter artisanalement l'argile, telle est la recette utilisée par l'entreprise de Charny Les Terres cuites de Courboissy. « Les gens tiennent de plus en plus à aménager leur maison avec des produits naturels, insiste le patron, Olivier Brunet. Ici, tout est fait manuellement. Les carreaux de terre cuite que nous fabriquons sont issus d'un mélange d'argiles auquel nous n'ajoutons aucun pigment. »
Un travail qui réclame
de la patience

Cette argile, qui arrive à Charny sous la forme de pains, passe ensuite entre les mains expertes des artisans de Courboissy. Chaque pain est découpé avec une mandoline équipée de cordes de piano. Chacune des galettes d'argile qui sortent de la mandoline est disposée dans une presse pneumatique manuelle. En ressortent des carreaux, durs et peu poreux, qui partent ensuite au séchage durant plus d'un mois.

Dès la période de séchage, les carreaux laissent apparaître leurs spécificités. « On peut voir les grains, les fils de découpe, les nuances de couleur, explique Olivier Brunet. Les carreaux fabriqués de manière industrielle n'ont pas du tout cet aspect. »

Une fois la période de séchage terminée, les carreaux sont disposés, un à un, dans un four à flamme inversée, « qui est conçu de façon à ce que la chaleur reste et s'évacue par le bas pour une parfaite cuisson », précise le patron.

Pendant près de deux jours, les pièces d'argile sont chauffées. Selon la couleur souhaitée, les artisans dosent l'air qui passe dans le four. « S'il y a moins d'air, cela provoque une réaction chimique avec le chauffage au gaz. Le fer contenu dans l'argile ressort, ce qui donne ensuite des carreaux plus foncés. »

Les pièces de terres cuites sont ensuite stockées et prêtes à partir chez les clients, qui optent aussi pour ce type de matériaux pour économiser l'énergie. Selon Olivier Brunet, « mettre de la terre cuite au sol permet de garder la chaleur ».

Arrivé à la tête de l'entreprise en 2008, l'actuel patron réfléchit à différentes pistes pour diversifier son activité. « Je suis actuellement en discussion avec un artisan qui fabrique des carreaux émaillés à partir de biscuits d'argile blanche sur lesquels on dessine ensuite des motifs, souligne-t-il. J'espère à terme pouvoir produire ce type de pièces ici. »

Visite. La CCI de l'Yonne et l'office de tourisme de la région de Charny proposent une visite de la fabrique des Terres Cuites de Courboissy, demain vendredi, à 14 h 30. Réservations au 03.86.63.65.51.

Algérie : le salon Batimatec ouvert sur l’international


Pour sa 15ème édition, le salon algérien du bâtiment, des matériaux de construction et des travaux publics, Batimatec, aura compté 1030 exposants issus de tous horizons.
L’événement qui a pris  fin le 7 mai après avoir ouvert ses portes jeudi 3 mai aura regroupé 544 entreprises algériennes, mais également 488 sociétés étrangères représentant quelque 23 pays parmi lesquelles la Turquie, l’Italie, la France, la Chine, l’Espagne la Belgique et l’Allemagne. Cette manifestation aura notamment permis d’évaluer les possibilités qui s'offre à l'Algérie pour mener à bien son programme quinquennal (2010-2014) qui prévoit la construction de 2,5 millions de logements. 
Source France BTP

24/05/2012

Le style architectural conservé avec les tuiles photovoltaïques


Les technologies de panneaux solaires thermiques et photovoltaïques se distinguent dans leurs destinations, tout en employant la même énergie : le soleil. Si celui-ci s’avère une source inépuisable, son principal défaut est aujourd’hui de ne pouvoir être stocké, même si les recherches actuelles s’orientent vers ce nouvel objectif.

❑ Le soleil, alternative aux énergies fossiles
L'emploi de l'énergie solaire n'est pas une nouveauté du XXIe siècle. En effet, elle a fait ses premières armes à plus ou moins grande échelle dans les années 1970. Marquées par le premier choc pétrolier, ces années ont été l'occasion de développer de nouvelles sources de fabrication d'énergie avec, déjà, les premières aides gouvernementales. Leur développement a cependant rapidement été stoppé avec l'arrivée de l'énergie nucléaire et, dans le même temps, la baisse des prix des énergies fossiles.

Ce n'est qu'à la fin des années 1990 que cette solution de production d'énergie revient sur le devant de la scène. Elle est appuyée, pour l'énergie solaire thermique, par le « Plan Soleil » mis en place par l'État et l'ADEME en 1999. Les particuliers commencent également à s'intéresser au photovoltaïque en y voyant un intérêt financier par la revente de la production d'électricité ainsi obtenue.

La politique énergétique est matérialisée par le Plan pluriannuel d'investissement (PPI) qui précise les orientations gouvernementales.

❑ Les énergies renouvelables pour couvrir les besoins énergétiques
De cette avancée sur énergies solaires, il en est ressorti 4 objectifs :

    • Participer à l'indépendance du pays en matière énergétique et assurer un approvisionnement constant ;
    • Garantir un prix compétitif pour cette production ;
    • Se soucier de la santé et de la préservation de l'environnement en agissant contre la multiplication des émissions de gaz à effet de serre;
    • Assurer la cohésion sociale et territoriale en offrant à tous un accès à cette nouvelle énergie.

Il en résulte des textes d'application aux données variées. Le premier objectif est notamment d'arriver à satisfaire, par le biais des énergies renouvelables, 23 % des besoins français en énergie à l'horizon 2020. Les textes précisent aussi la volonté de passer de 14 à 21 % d'électricité issue des énergies vertes et de voir la production de chaleur émanant de cette solution renouvelable évoluer de 50 % afin de répondre aux prescriptions du Grenelle de l'environnement de 2009. Si l'on prend le photovoltaïque, les énergies à produire devront alors être de 1 100 Mwc en 2012 et 5 400 Mwc en 2020. Pour obtenir ce résultat, la France prévoit la mise en place de nouveaux panneaux, mais également de tuiles photovoltaïques.
Source Batiweb

L'année historique de Maisons France Confort


Le premier constructeur de maisons individuelles, dont le siège est à Alençon, fait mieux que résister à la crise. Il a tenu son assemblée générale mardi matin, à la halle aux Toiles.
Record

Maisons France Confort a réalisé un chiffre d'affaires record l'an dernier : 583 millions d'euros. En progression de 31 % par rapport à l'année précédente. Le constructeur de maisons individuelles a connu selon son PDG, Patrick Vandromme, un exercice « de croissance forte et rentable ». Le premier trimestre 2012 est en repli de 12 % mais cette baisse est à relativiser avec « le très bon premier trimestre 2011 et le contexte économique ».
Conjoncture

« Les périodes électorales créent toujours un certain attentisme. Nous constatons un resserrement des conditions d'attribution des crédits, observe Patrick Vandromme. Les banques demandent beaucoup plus d'apport personnel et des remboursements plus rapides. Elles ont prêté 40 % de moins que l'année précédente. »
Optimisme

Patrick Vandromme estime que le marché va se maintenir « car il est porteur », malgré la cherté des terrains autour des grandes villes. Le groupe devrait bénéficier de l'accélération de la destruction des logements anciens (avant 1975) : ils consomment trop d'énergie.
Acquisitions

Maisons France Confort a acquis l'an dernier deux nouvelles sociétés : Logis du Marais Poitevin et Les Maisons de Stéphanie. Le groupe compte désormais plus de 1 400 salariés. Il a gagné plus de 2 % de parts de marché, entre 2008 et 2011.
Innovations

L'année écoulée a été marquée par deux innovations : les « Maisons performance », aux dernières normes d'isolation, dont le rapport qualité prix est qualifié d'excellent et le concept MFC 2020, la maison à énergie positive. Elle produit davantage qu'elle ne consomme. Le prototype a été inauguré en mars, à Saint-Priest.
Atypique

Autant d'atouts qui permettent d'aborder 2012 « de façon très sereine ». Le PDG qualifie le groupe de « très solide » grâce à ses coûts fixes qui ne représentent que 10 à 12 % du chiffre d'affaires. Les commissaires aux comptes qualifient leur rapport de « totalement atypique » tellement la structure financière apparaît saine.
Rachat

Maisons France Confort est côté en bourse. Compte tenu de la faiblesse du cours de l'action, le groupe a considéré qu'il était opportun de racheter des titres. Ce qui a été fait pour 1,5 million d'euros.
Indice

Qu'est ce qui fait dire à Patrick Vandromme que 2012 se présente bien ? Le nombre de contacts sur Internet. Il y en a 6 000 par mois. Un indice important.
Source Ouest France par Arnaud TOUCHARD.

23/05/2012

Grèves pour les salaires chez l’équipementier Allemand Lingl


A l’appel du syndicat IG Metall 100 salariés du fabricant d’équipement pour l’industrie de la terre cuite se sont rassemblés Vendredi 11 Mai sur le parking de l’entreprise pour revendiquer une augmentation générale de salaires de 6.5%. La direction proposait jusqu’alors 3% pour 14 Mois.
Source Donau3FM

Hécatombe chez les sociétés allemandes du photovoltaïque


C’est la loi des séries : après Solon, Solar Millenium, Solarhybrid et Q.Cells, c’est Sovello, un autre fabricant de panneaux solaires allemand qui dépose son bilan. Il s’agit de la cinquième victime de la crise de l’industrie photovoltaïque outre-Rhin en quelques mois. En cause : la concurrence chinoise à bas coût et la diminution des subventions.

La crise de l’industrie solaire allemande fait une nouvelle victime : Sovello (Saxe-Anhalt) a déposé son bilan, laissant 1.250 employés dans l’incertitude. Fondée en 2005 sous le nom de « EverQ GmbH », dans l’ex-Allemagne de l’Est, elle rejoint la longue liste des entreprises du secteur photovoltaïque en faillite : Solon, Solar Millenium, Solarhybrid, Q.cells, etc. Et la liste pourrait encore s’allonger. Selon le journal Les Echos, Phoenix Solar AG, un développeur de projets solaires, aurait annoncé une réduction drastique de ses effectifs, qui passeraient de plus de 400 à seulement 230 salariés. Il s’agit là de la conséquence d’un vaste plan d’économies destiné à rééchelonner la dette de l’industriel.

Comme toutes les autres sociétés européennes - voire occidentales - du photovoltaïque, Sovello est victime d’une crise sans précédent : la réduction drastique des subventions accordées pour l’installation de panneaux solaires et la chute de la rentabilité de tels systèmes avec la baisse des tarifs d’achat de courant électrique. Les sociétés ne pourraient donc plus faire face à la concurrence asiatique dont les coûts de production sont bien inférieurs.

La concurrence asiatique en cause
La situation économique dans l’ex-Allemagne de l’Est, eldorado perdu des entreprises de fabrication de panneaux solaires, pourrait même pousser le gouvernement allemand à prendre des mesures d’exception, en prenant à titre temporaire des participations dans les sociétés en difficulté. Pourtant, il y a quelques mois seulement, plusieurs sociétés du secteur se voyaient récompensées par l’institut EuPD Research, dont Q.Cells, déclarée « European Top Brand 2012 », ou Sovello elle-même, parée du titre de « Germany Top Brand of PV Branch ». Un retournement de situation extrême.
Source Batiactu

Batimat Maroc : le logement sera au coeur des préoccupations


C’est à partir du mercredi 23 mai que Batimat tente sa première expérience marocaine. Durant quatre jours, les professionnels de la construction au Maghreb sont attendus autour de nombreuses conférences sur le thème de la construction durable.

Un des temps forts de cette première manifestation – scindée en deux partie : Gros œuvre/Menuiserie ; Matériel/Outillage - est la tenue d’un cycle de conférences sous l’appellation ‘Batimat Green Building’. «C’est une marque que nous avons déposée», nous explique Stéphanie Auxenfans, Directeur Division Construction de Reed Expositions. L’événement recevra le soutien de l’organisme local équivalent de l’Ademe, qui mène actuellement une réflexion sur une réglementation thermique sur le modèle français et sur l’élaboration d’une certification environnementale. A ce titre, Qualitel et Certivea seront partenaires de ces conférences. Pour répondre aux nouvelles préoccupations des professionnels marocains, 4 conférences sont donc prévues, autour des thèmes de la construction neuve, de la rénovation, du solaire et de l’architecture. Enfin, une conférence sur la sécurité/prévention/gestion de chantier est également organisée, notamment pour la partie ‘Matériel-outillage’, pour laquelle il s’agit d’un véritable enjeu.
«Ce doit être un outil d’information pour les décideurs de la construction au Maroc. En cela, nous souhaitons attirer le plus grand nombre de prescripteurs, et aussi toucher les entreprises de bâtiment d’une certaine taille», poursuit Stéphanie Auxenfans.
Pour rappel, le Maroc compte quelque 60.000 entreprises dans le secteur du bâtiment, mais seulement 5.000 d’entre elles sont structurées. Aujourd’hui, l’activité bâtiment a une croissance de 5% par an, mais possède un fort potentiel. Si de grands projets d’infrastructure ont vu le jour depuis quelques années, désormais c’est le logement qui est au cœur des préoccupations.

Vous retrouverez un compte-rendu de ce salon dans les prochains jours.
Source Batiactu

22/05/2012

CERIC Technologies participe à l’édition 2012 de CERAMITEC du 22 au 25 mai.


Ce salon de renommée internationale constitue un moment unique de rencontre et d’échange avec les grands acteurs de l’industrie de la terre cuite.
CERIC Technologies présentera l’ensemble de ses solutions pour la production de briques et tuiles et plus particulièrement les derniers développements qui permettent d’améliorer l’efficacité énergétique des équipements et de réduire les émissions de CO2,  le tout nouveau séchoir APR, le plus four casing du monde et sa toute nouvelle gamme PELERIN.
De bonnes raisons de venir nous rencontrer Hall B5, stand 522.
Source Ceric Technologies

Le salon Cerimatec aura lieu du 22 au 25 mai 2012


Le 12e salon Ceramitec se tiendra du 22 au 25 mai 2012 au nouveau parc des expositions de Munich. En ayant lieu au printemps, le salon triennal de la céramique et de la métallurgie des poudres renoue avec la période de l’édition de 2006. À côté des domaines classiques de la céramique, les segments « Céramique technique » et « Céramique avancée » se trouveront renforcés à Ceramitec 2012 afin de présenter un portefeuille de produits élargi.

Un nouveau sous-titre
Le sous-titre de Ceramitec a été modifié : il n’est plus “salon international des machines, appareils, installations, procédés et matières premières pour la céramique et la métallurgie des poudres” mais désormais : “technologies – innovations – materials”.
« Avec le nouveau sous-titre, nous exprimons clairement l’offre complète de Ceramitec : de la céramique classique et des matières premières à la métallurgie des poudres jusqu’à la céramique technique », affirme Eugen Egetenmeir, directeur général de Messe München GmbH. « Avec le terme “innovations”, nous soulignons de surcroît le fait que Ceramitec est le lieu de la présentation exhaustive de nouvelles technologies et applications. »

L’efficacité énergétique au programme
Ceramitec 2012 débute avec une table ronde sur le thème “efficience coût et efficience énergétique”. L’évaluation de l’efficacité énergétique ne se réduit pas à l’efficacité des processus thermiques dans la fabrication de céramiques. Les consommations électrique et pneumatique sont aussi réduites grâce aux optimisations réalisées dans la chaîne des processus. Il s’agit là de mesures ayant pour objectif de réduire la consommation d’énergie, mais aussi de fermer les cycles de consommation, par exemple en mettant encore mieux à profit la chaleur dissipée ou en évitant les déchets ou les eaux usées.
Un des atouts des matières premières céramiques est le fait qu’elles peuvent être réutilisées à l’état cuit, pré réactif. Cela ne vaut pas seulement pour leur remise dans le processus mais aussi après leur utilisation. Il existe des projets-pilotes dans différents domaines de la céramique. Il ne s’agit pas de minimiser les déchets mais de les éviter entièrement ; et ce, avec un minimum d’énergie.

Durabilité des processus
Une approche globale va du choix de la matière première jusqu’au recyclage du produit final. De nouveaux développements spécifiques au niveau des processus de fabrication mais aussi du design des produits peuvent ainsi s’avérer nécessaires. Le concept de la durabilité des processus permet de suivre la tendance actuelle d’une construction efficace au plan énergétique et écologique. Derrière le terme “green building” se cache la volonté de réduire les besoins globaux en énergie des bâtiments et d’assurer des émissions de CO2 les plus faibles possibles. L’efficacité énergétique et l’évitement d’émissions de CO2 sont des mesures élémentaires pour le perfectionnement du processus de fabrication “vert”. Cette réussite requiert des échanges interactifs entre les fabricants de produits céramiques et leurs fournisseurs. En tant que plate-forme internationale de présentation et d’échanges, Ceramitec 2012 offre à l’industrie céramique les meilleures conditions pour poursuivre ce dialogue avec succès.

Forum de la métallurgie des poudres
De nombreux domaines techniques sont de nos jours inimaginables sans les produits de la métallurgie des poudres (MdP). En raison de leur forte rentabilité et de leur flexibilité fonctionnelle, des pièces réalisées par la MdP se sont imposées dans l’industrie au cours des dernières décennies. En plus de leur performance, les produits issus de la MdP présentent une composante économique essentielle. Les expériences réalisées avec de nombreuses pièces montrent que, par rapport à la fabrication conventionnelle de pièces par enlèvement de copeaux, il est possible avec ce procédé d’économiser jusqu’à 70 pour cent des coûts.
Lors du salon Ceramitec 2012, l’association professionnelle “métallurgie des poudres” (FPM) organise dans le hall A5 un forum sur la MdP, intitulé « La MdP aujourd’hui et demain » au cours duquel il sera question de l’état actuel de la métallurgie des poudres ainsi que des perspectives d’avenir. Ce forum aura lieu le 22 mai 2012, il sera présenté par le professeur honoraire Paul Beiss et organisé par Hans Kolaska (FPM). Les exposés seront tenus en allemand et traduits simultanément en anglais. L’entrée à cette manifestation est gratuite pour les visiteurs du salon.

Journée de la céramique technique et Automatica
Le salon Ceramitec 2012 travaille en étroite collaboration avec la 10e conférence CMCEE “Ceramic materials and components for energy and environmental application”, laquelle se tiendra du 20 au 23 mai 2012 à Dresde. Entre 600 et 800 participants sont attendus à ce congrès où des professionnels internationaux discuteront des principales questions que soulèvent les céramiques dans les technologies énergétiques et environnementales. Le mercredi, les participants au symposium seront transférés à Munich.
Le salon Ceramitec accueillera, à la suite de ce congrès, une “journée de la céramique technique”, le jeudi 24 mai 2012. De nombreux participants à la conférence CMCEE sont attendus à cette manifestation en tant qu’intervenants. Les céramiques destinées aux techniques énergétiques et environnementales seront les thèmes phares des rencontres céramiques “Treffpunkt Keramik”.
Les visiteurs du salon peuvent aussi se rendre à Automatica, le salon international de l’automatisation et de la mécatronique, qui se déroule en même temps et est accessible par l’entrée ouest du salon de Munich.

Journées de la terre cuite, de l’Inde, visites guidées…
Le « Heavy clay Day » se déroulera le mercredi 23 mai 2012, sur le thème “économie des ressources et efficience énergétique, chances et possibilités pour l’industrie de la terre cuite.” Le groupe de travail européen ECTS (European ceramic technology suppliers) prendra part pour la première fois à la manifestation par le biais d’une table ronde. Un autre temps fort du programme des manifestations est la Journée de l’Inde, laquelle se tiendra le vendredi 25 mai. La manifestation mettra en lumière la situation et les conditions générales du marché indien.
Différentes visites seront organisées, qui mèneront les visiteurs vers les temps forts des différents thèmes : “terre cuite”, “céramique technique” et “efficience énergétique, fours, réfractaires”. Deux visites en anglais d’environ 2 heures 30 chacune sont prévues chaque jour. Aux huit stations, chaque exposant dispose de 15 minutes pour sa présentation. Les entreprises qui souhaitent prendre part à ces visites guidées doivent s’inscrire. La participation aux visites guidées est gratuite pour les visiteurs.
Informations sur Ceramitec 2012 :
Source L’Industrie Céramique et Verrière

Roumazières: Artgila fait la fête aux arts populaires de Provence


Du 25 au 27 mai, Roumazières va vivre au rythme de la terre.

Jacques Baudrant, le président d\'Artgila, entouré de Raymonde Roussy et Henri Beau préparent depuis des mois cette 10e édition du festival Artgila. Photo CL

L'argile et les arts populaires de Provence seront les vedettes du 10e festival de sculptures d'argile de Roumazières qui mettra aussi en valeur le patrimoine local et animera le centre-bourg vendredi, samedi et dimanche.

L'humoriste Yves Lecoq sera l'invité d'honneur du rendez-vous qui accueillera dix-huit participants au concours de sculpture. Des artistes qui travailleront tout le week-end devant le public pour modeler des oeuvres en terre, sur le thème du festival: l'art provençal.

Un jury composé de personnalités locales et du monde des arts attribuera les tuiles d'or, d'argent et de bronze, aux meilleures sculptures. Les visiteurs voteront pour le prix du public (remise des trophées dimanche à 17h pour les scolaires et 18h prix officiels). Yves Lecoq remettra les prix dimanche.

Vendredi la manifestation ouvrira ses portes à 10h avec la journée des scolaires. Les écoliers et collégiens, de Suris, Genouillac, La Péruse et Roumazières-Loubert participeront à des ateliers animés par des professionnels et des bénévoles. Ils y réaliseront des objets en terre qui seront exposés samedi.

«Cette année nous récompenserons les deux meilleures oeuvres de chaque classe, explique le président d'Artgila, Jacques Baudrant. Une façon d'intéresser les jeunes à notre manifestation et de les inciter à créer des choses avec leurs mains». Un président qui ajoute que toute l'organisation du festival en général n'a pu être possible que grâce à l'implication forte des bénévoles des nombreuses associations locales, du conseil général, de la municipalité et du pays de Charente-Limousine.

Samedi, le public pourra flâner autour des stands de machines anciennes, des tuiles et accessoires présentés par les deux industries tuilières de la commune, Monier et Terreal, partenaires privilégiés de la manifestation. S'y ajouteront de nombreuses autres attractions liées à l'argile: soins de beauté, bijoux, maquillage enfant, métiers d'art, stand de potiers...

Samedi et dimanche, la boutique du festival proposera des démonstrations de sculpture sur bois, sur pierre, de la ferronnerie, un souffleur de verre, un portraitiste. Animations de rue samedi avec le groupe Bazoucada et dimanche avec la banda Lou Brandalou de Confolens.

Global Building Materials Industry


PRNewswire announces that a new market research report is available in its catalogue:
The global outlook series on Building Materials provides a collection of statistical anecdotes, market briefs, and concise summaries of research findings. The report offers an aerial view of the global construction landscape, identifies major market segments, and offers a bird's eye view of the industry's diverse and recession-related dynamics impacting demand. The report also offers incisive insights into key technological breakthroughs i.e. the evolution of Fiber-Reinforced Concrete, Fly ash, Green building materials, ICF and others. Discussion on the industry's regional markets are amply detailed with unbiased research commentary and punctuated with 33 fact-rich market data tables with a special focus on the US and China markets. The report offers a compilation of strategic corporate developments and product launches. Other markets briefly synopsized to offer the reader a prelude to regional dynamics, include France, Finland, Germany, Russia, UK, Turkey, Australia, India, Indonesia, Argentina, Brazil, and Saudi Arabia among others. Also included is an indexed, easy-to-refer, fact-finder directory listing the addresses, and contact details of 488 companies worldwide.
Source Marketwatch

21/05/2012

Caractérisation d’atterrissements d’argiles récents sur le territoire français, en vue de leur valorisation dans l’industrie des matériaux de construction en terre cuite

Enjeux de la thèse
L’industrie des matériaux de construction en terre cuite (tuiles, briques) en France utilise 7 millions de tonnes d’argile par an. Elle s’inscrit dans les enjeux de plus en plus stricts d’utilisation efficace des ressources naturelles. Dans ce but, elle cherche, en substitution de tout ou partie des argiles exploitées aujourd’hui, des matériaux renouvelables, ou des sous produits d’autres activités économiques, tels que les produits de dragage des barrages hydroélectriques, des établissements portuaires et des barrages réservoirs.
La thèse proposée constitue un point de départ à ce contexte général de Recherche et se poursuivra par des travaux complémentaires en vue de sa transposition industrielle.
Travail attendu
Réaliser une étude quantitative et qualitative des atterrissements argileux sur quelques sites modèles (en France), via les étapes suivantes :
-Bibliographie, conduisant à identifier plusieurs sites potentiels en prenant en compte les contraintes locales (intérêt à la valorisation de ces atterrissements argileux), industrielles (éloignement des sites par rapport aux lieux de transformation, demande régionale) et environnementales (acceptabilité du projet).
-Etudes sur les sites retenus avec deux objectifs : 1) caractériser l’historique des dépôts (influence des sources naturelles et anthropiques, du climat) et leur devenir à l’échelle d’un siècle, 2) échantillonnage de différents produits à de fins d’analyse minéralogique et géochimique
-Analyse de ces échantillons en vue de la caractérisation de ces matières premières au regard d’une utilisation dans la fabrication industrielle de produits de construction en terre cuite (comportement céramique, caractéristiques physico-chimiques, etc.). Cette analyse sera faite en partenariat avec le laboratoire du Centre Technique de Matériaux Naturels de Construction (CTMNC, situé à Clamart – 92) et les industriels associés.
La thèse sera financée dans le cadre d’un contrat CIFRE, et débutera à l’automne 2012. Les travaux seront réalisés en étroite collaboration entre MINES ParisTech qui apportera sa connaissance des systèmes fluviatiles et de leur dynamique de sédimentation et le CTMNC qui détient l’expertise d’analyse des matériaux naturels de construction.
Le candidat devra présenter une formation solide en sédimentologie ainsi qu’une bonne connaissance des techniques d’analyses minéralogiques. Un goût pour le travail de terrain et le travail en équipe sont évidemment indispensables, ainsi qu’une bonne maitrise de l’anglais.
Ecole Doctorale 398 Géosciences et Ressources Naturelles - MINES-ParisTech :
Centre de Géosciences - 35 rue Saint Honoré - 77300 Fontainebleau :
Nom du directeur de thèse : COJAN Isabelle (MINES-ParisTech )
Nom, prénom et affiliation des co-encadrants éventuels :
MARTINET Bruno, CTMNC, 17 rue Letellier, 70015 Paris
BRUNEAUX Marie Anne, CTMNC, 200 avenue du Général de Gaulle, 92 Clamart
Adresse courriel du contact scientifique : isabelle.cojan@mines-paristech.fr  ; b.martinet@ctmnc.fr

Une nouvelle gamme de brûleurs à haut rendement pour Ceritherm


Ceritherm, issue d’une reprise partielle de Ceric, présente sa nouvelle gamme de brûleurs à haut rendement. Cette gamme de brûleurs CT à combustible gazeux permet de couvrir l’ensemble des besoins des fours industriels. Elle se compose de 2 brûleurs "jet" à allumage commandé et contrôle de flamme (100 et 250 kW), et d’un brûleur destiné à fonctionner dans une ambiance supérieure à 750°C (80 kW). Ce dernier brûleur, le CT50, est disponible en version Radiax, solution développée par Ceritherm.
Le Radiax est le premier brûleur modulant à combustible gazeux dont la position de flamme dans l’enceinte de cuisson du four peut être modifiée en fonctionnement, tout en maintenant la puissance de chauffe et un rapport air/gaz constants.
L’interface de communication permet de moduler et d’alterner les modes de fonctionnement des Radiax. La possibilité de synchroniser le pilotage sur l’ensemble de la zone de cuisson offre de nouvelles possibilités dans la gestion globale des fours. Facilement intégrable, le Radiax peut être installé sans modifications importantes des réseaux fluides de distribution existants ou des parois de fours.

Le dispositif répartiteur breveté du Radiax oriente le flux d’air de combustion unique vers l’injecteur pour une distribution radiale ou axiale des gaz. L’injection radiale basée en partie sur l’effet Coandã permet de distribuer la puissance thermique à proximité du nez de brûleur. L’injection axiale délivre le mélange air/gaz à haute vitesse pour une distribution à grande
distance. Plus besoin de modifier le brûleur ou de changer de modèle pour répartir la puissance de chauffe dans l’enceinte du four. Toutes les zones de l’enceinte peuvent recevoir la puissance de chauffe du brûleur, même à proximité des parois. La modulation de la position de flamme élimine les zones de surchauffe et améliore l’homogénéité dans la charge.
Le réglage de la position de flamme est sans influence sur la puissance thermique délivrée par le Radiax ou sur les pressions air et gaz des réseaux de distribution. Le rapport air/gaz n’est pas modifié par le mode de fonctionnement, ce qui garanti une qualité de combustion et une atmosphère identique dans toutes les zones distribuées.
Le Radiax dispose d’une position “stop”. Un obturateur situé à proximité du nez de brûleur bloque l’accès des gaz chauds de l’enceinte de cuisson au reste de l’installation. Un brûleur ou un groupe de brûleurs peut donc être mis en arrêt sans conséquence sur le réseau de distribution. Cette disposition est particulièrement intéressante pour adapter en continu la puissance thermique du four à la production. La fonction intégrée “Fail-Safe” ferme cet
obturateur en cas de panne électrique de l’installation, protégeant ainsi les équipements de distribution situés en amont des retours de gaz chauds.
La transition entre les différents modes de fonctionnement est pilotée pour chaque brûleur Radiax par un actuateur situé dans la tête de commande.
Une interface de communication série permet de mettre les Radiax en réseaux et de les contrôler individuellement ou par groupe.
Ceritherm assure l’installation/intégration, la formation du personnel, et propose un ensemble de prestations complémentaires : contrats de location, de suivi de performances, de maintenance…
Source L’industrie Céramique et Verrière