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27/06/2016

La société Italienne Dyaqua met sur le marché une tuile photovoltaïque invisible!

Les panneaux solaires ont une esthétique particulière. On peut les accepter sur les constructions modernes mais en revanche, sur les toits d’un petit village provençal ou d’une ville historique de Toscane, ils font désordre ; et, en général, dans les cités historiques, ils sont interdits. Alors, pour permettre à l’énergie solaire de s’implanter partout, sans risquer de défigurer les paysages de notre patrimoine, une startup italienne a inventé la tuile romane qui convertit le soleil en énergie. Avec cette invention, les toits qui font le cachet des villes du sud ne seront plus menacés de disparition devant la poussée des énergies alternatives. Au contraire, ils prennent, plein d’énergie, une nouvelle jeunesse!
Les centres historiques ont besoin d'être rénovés de manière durable. Mais avec les contraintes du patrimoine culturel, il est difficile de mettre en action des rénovations alliant innovation et préservation du patrimoine. Une société italienne, Dyaqua, vient de trouver la solution : « Le Coppo invisible Solar ». Il s’agit de la première tuile ayant développé un système photovoltaïque invisible à l’œil nu. Explications.
Une tuile qui garde l’aspect traditionnel de la terre cuite, mais qui intègre les dernières nouveautés technologiques, c’est désormais possible!

Le nombre de projets d'installations photovoltaïques présentés aux paysagistes conseils et architectes conseils de l’Etat est en augmentation exponentielle depuis ces dernières années.
La réglementation qui encadre ces installations est récente et continue d’évoluer. Aussi, son interprétation au sein des services décentralisés de l'Etat n’est pas homogène et déconcerte la plupart des acteurs concernés.
Ces installations, qui ont un impact important sur le paysage (utilisation de sols agricoles, forestiers ou naturels, participation à l'étalement urbain, construction de pseudo bâtiments agricoles…), ne font que rarement l’objet d’une réflexion globale et d’un projet de paysage.
L’enjeu est de sauvegarder le patrimoine – et son attrait touristique – tout en respectant le besoin objectif de préserver la planète... Il s’agit de trouver le juste équilibre entre la protection du patrimoine et un règlement trop systématique, qui briderait les démarches architecturales insérant les éléments des capteurs solaires.

La société italienne Dyaqua vient sans doute d’apporter une solution à ce problème en créant une tuile dont l’esthétique s’adapte selon les caractéristiques des régions car elle peut être produite à partir de l’argile locale. La tuile Coppo Invisible Solar a plusieurs fonctions : elle produit une énergie propre et renouvelable, elle imperméabilise et protège les habitations, elle purifie l’air des substances nocives et sa surface est autonettoyante. Le Coppo invisible solaire est formé par un composé polymère non toxique et recyclable, qui est noyé dans les cellules de silicium monocristallin. Une surface spéciale, opaque à l'œil et transparente à la lumière solaire, couvre les cellules qui se cachent sans affecter le fonctionnement.
L’utilisation de matériau traditionnel permet donc à la lumière du soleil de filtrer à travers la surface externe et d’atteindre les cellules photovoltaïques. Le chargement de poussière naturelle locale peut également permettre l'obtention de plusieurs variantes typiques des couleurs traditionnelles locales de construction par rapport à l'argile disponible dans les différents territoires régionaux, ainsi que des caractéristiques des matériaux similaires à ceux des éléments de briques normales.
Le Coppo Invisible solairese distingue des autres technologies photovoltaïques et des tuiles en terre cuite classiques, grâce à des caractéristiques particulières qui le rendent unique:
- Installé en terre cuite, il est camouflé dans l'esthétique Uninterruptible du toit; - Photocatalytique: La lumière active un processus naturel et infini qui purifie l'air pendant le nettoyage de la surface de la tuile;
 - Résistant: Il peut résister à une charge statique élevée, ne craint pas de solvants chimiques ni les intempéries;
 - Durable: Fabriqué avec des matériaux non toxiques, qu'ils soient naturels ou réutilisation, tous recyclables.

 Cette vidéo explique comment le système fonctionne et comment il s’installe sur les toits :

Un système photovoltaïque adapté à la couverture du toit, et conservant l'esthétique de l'édifice c’est une innovation majeure car il peut se glisser aussi facilement dans les bâtiments existants, dans ceux à construire, que dans des bâtiments à valeur historique car les édifices les plus anciens et protégés par les architectes des bâtiments de France pourront bénéficier des avantages du solaire. Une mise à niveau pour favoriser une urbanisation durable élevée. 

Source UP Magazine

26/06/2016

Saint-Léger-sous-Cholet / Bouyer Leroux: Le projet de méthanisation présenté aux élus

Vincent Tignon du Gaëc de la Minée (production de porcs), Christophe et François Augereau du Gaëc Lactajou (vaches laitières), représentent les deux exploitations saint-légoises associées au projet de méthanisation qui en compte 27.

A La Séguinière, le projet d'unité de méthanisation de matières organiques Bio-Méthane-Seg est en bonne voie. Il est porté par vingt-sept exploitations.
Exploitants sur Saint-Léger-sous-Cholet, Christophe Augereau du Gaëc Lactajou et Vincent Tignon, du Gaec de la Minée, ainsi que Christian Chupin, exploitant à La Séguinière, trois des dirigeants du projet Bio-Méthane-Seg ont exposé leur projet au conseil municipal. Il s'agit d'une unité de production de biogaz. Une énergie verte produite par la méthanisation des effluents d'élevage (déjections animales). « Le projet porté par 27 exploitations touche une quarantaine d'agriculteurs sur un rayon de dix kilomètres », explique Christian Chupin.
L'unité de méthanisation sera alimentée par 54 000 tonnes de déjections animales par an (toutes les productions sont concernées : viandes, lait, porc, volaille) et produira 1 280 000 m3 de gaz/an injectés sur le réseau. Soit l'équivalent des besoins en chauffage d'environ 700 foyers. La collecte des matières se fera par camions « dans des proportions très inférieures au trafic de la briqueterie » assurent les agriculteurs. Tout comme la restitution des résidus restants (appelés digestats) après méthénisation. Ils seront répandus comme engrais dans les exploitations participantes « il n'y a aucune perte sur le plan nutritif ».
Environnement et économie
L'unité fonctionnera en flux tendu. « Il n'y aura pas de stockage de fumier sur site, car la matière stockée perd de son pouvoir de méthanisation », soulignent les exploitants. Pas de nuisance olfactive non plus, « tout le bâtiment est équipé de filtres capteurs d'odeurs ».
Bio-Méthane-Seg sera implantée près de la briqueterie Bouyer-Leroux sur une parcelle de trois hectares au carrefour des routes de Saint-Léger et de Saint-Macaire.
Les agriculteurs voient de multiples objectifs dans ce projet : environnemental, sociétal, stratégique et économique. Ils seront en effet producteurs d'énergie renouvelable en diminuant la dépendance en énergie fossile tout en procurant une diversification de leur activité devant l'instabilité des filières agricoles. « On veut pérenniser nos exploitations », insiste Christian Chupin.
Le projet pourrait démarrer en septembre pour une production à l'été 2017. Avec trois emplois nouveaux à la clé (deux chauffeurs, un gestionnaire de site). D'un coût de 6,5 millions d'euros, il bénéficie d'une subvention de 20 % de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Adem). L'agence de l'eau Loire & Bretagne a également été sollicitée « par rapport à la résorption du phosphore ».

Source Ouest France

25/06/2016

A la recherche des tuileries bélinétoises

À l'occasion des 10e Tessonnade qui se déroulent cette année à Hostens du 17 au 26 juin, l'association du Courant alternatif propose un circuit balisé sur les traces des anciennes tuileries et briqueterie belinetoises. Ce circuit, intitulé « à pied, à vélo sur les traces des tuileries de Belin-Béliet » a pour objectif de rappeler que les anciennes communes de Belin et de Béliet ont été le siège de nombreuses entreprises dans le domaine de la terre cuite.

Tuileries, briqueteries et poteries ont laissé des traces dans le paysage et dans la mémoire des habitants.

À pied ou à vélo

Ce circuit est jalonné par des flèches apposées sur des tuiles et permet de rejoindre des emplacements d'anciennes tuileries ou briqueteries de la commune. Sur chaque lieu, les traces sont plus ou moins visibles, parfois même inexistantes. Ainsi, huit panneaux explicatifs conçus spécialement pour ce circuit sont échelonnés sur le parcours. Ils sont équipés de QR-codes qui permettent d'accéder au site Internet de l'association où des compléments d'information seront disponibles. L'itinéraire se pratique en autonomie dans le respect du code de la route.
Un document, contenant un plan simplifié en page centrale est disponible au parc Lapios, point de départ du circuit, où un parking permet au public de laisser son véhicule. La longueur du circuit est d'environ 10 km, soit approximativement 3 heures à pied ou 1 heure à vélo, plus le temps d'observation et de lecture des panneaux.

Il est rappelé aux amateurs de venir avec leurs propres vélos en bon état, si possible de type VTC puisque le parcours emprunte quelques portions de chemins constitués de grave. Il est également rappelé de prévoir un peu d'eau, un couvre-chef et pour les enfants, le casque est fortement recommandé.


Pour aller plus loin et compléter ces informations, un numéro spécial du « Chari vari » a été édité sur le sujet. Il est en vente au prix de 5 € à la librairie presse Codina de Belin-Béliet et la maison de la presse Magre à Salles.


10e Tessonnades à Hostens du 17 au 26 juin.

Source Sud Ouest

24/06/2016

Nouvelles obligations pour Braas Monier, Cemex, Dell, Dior, NLMK et Tereos

Alors que les taux d'emprunts connaissent un nouvel accès de faiblesse, à l'image du Bund allemand à dix ans qui a touché un plus bas historique ce matin à 0,03%, les entreprises se ruent littéralement sur le marche obligataire. Voici quelques-unes des émissions en préparation
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Après avoir levé 20 milliards de dollars il y a quelques semaines, le concepteur américain d’ordinateurs Dell remet déjà le couvert. Via l’intermédiaire de ses filiales financières, le groupe texan compte lever plus de trois milliards de dollars en deux tranches, l’une à cinq ans et l’autre à huit ans. Selon l’agence Bloomberg, l’émission devrait être bouclée pour jeudi.
Les nouvelles obligations, notées dans la catégorie spéculative avec un rating « BB » chez Standard & Poor’s, auront le statut de dette senior non-sécurisée. Elles bénéficieront donc d’un niveau de priorité inférieur aux obligations senior de premier rang émises par Dell à la mi-mai. Les rendements seront dès lors plus élevés (au-dessus des 8%).
Le cimentier mexicain Cemex (B+ chez Standard & Poor’s) devrait boucler encore aujourd'hui une émission de 400 millions d’euros. Il s’agit d’un emprunt senior-non sécurisé à huit ans, remboursable anticipativement dans quatre ans. Selon des sources bancaires proches de l’opération, le rendement devrait se situer légèrement sous les 5%. Les carnets d’ordres totaliseraient par ailleurs 2,2 milliards d’euros. L’investissement est fixé à 100.000 euros en nominal.
Pour rester dans la catégorie des émissions à haut rendement, Braas Monier (« BB- » chez Standard & Poor’s) devrait proposer du 3,30% pour sa nouvelle obligation senior sécurisée à cinq ans. Le spécialiste de la toiture compte lever exactement 435 millions d’euros par coupure de 100.000.
Christian Dior, qui ne fait l’objet d’aucun suivi de la part des agences de notation, travaille de son côté à l’émission d’un nouvel emprunt à cinq ans en euro. Il faudra probablement attendre le début de la semaine prochaine pour le bouclage de l'opération. La dernière émission du groupe remonte à juin 2014, il avait proposé à l’époque un coupon de 1,375% à échéance 2019.
NLMK (Combinat métallurgique de Novolipetsk) devrait quant à lui proposer du 5% pour son nouvel emprunt à sept ans en dollar. L’émission sera classée en catégorie spéculative avec un rating Ba1 chez Moody’s. La coupure est cette fois fixée à 200.000 dollars.
Citons pour terminer Tereos, troisième groupe sucrier mondial, dont les intermédiaires financiers élaborent un nouvel emprunt à sept ans. La coopérative, notée « BB » dans la catégorie spéculative chez Standard & Poor’s, est connue pour ses marques Béghin Say et La Perruche. L’émission pourrait être bouclée ce jeudi. L’investissement est fixé à 100.000 euros en nominal.

Source Oblis.be

23/06/2016

Ons-en-Bray/Saint-Germer-de-Fly : la carrière d’argile d'Imerys toiture veut ménager ses voisins

Imérys Toiture a l’autorisation d’extraire 220 000 t d’argile par an d’ici 2033. De nombreux aménagements ont été réalisés pour limiter l’impact sur l’environnement et les nuisances pour les riverains. (Imerys Toiture)
« Le bruit, la poussière, pour l’instant on n’en souffre pas. Mais c’est un peu juste pour se faire une opinion vu qu’il n’y a eu que quelques semaines d’extraction. » Comme d’autres habitants d’Ons-en-Bray, ce voisin de la carrière d’argile était invité par l’entreprise Imerys Toiture à visiter le site ce jeudi et à faire part de ses éventuelles récriminations. « Si vous souffrez de nuisances, il faut nous le dire », encourage François Dupety, directeur d’Imerys Toiture à Saint-Germer-de-Fly. Le leadeur de la tuile française qui emploie 170 salariés et produit 200 000 t de tuiles par an, a tout intérêt à entretenir de bonnes relations avec ses voisins.
La société a patienté quinze ans avant d’obtenir l’autorisation d’exploiter le site du Chêne Notre-Dame, pour une durée de vingt ans et une extraction maximale de 220 000 t d’argile par an. « L’ouverture de cette nouvelle carrière était nécessaire pour assurer la pérennité de l’entreprise, rappelle François Dupety. Avant, nous ne disposions plus que de cinq ans de réserve d’argile. C’était très juste. »
Pour décrocher cette autorisation, Imerys Toiture a dû vaincre les réticences des élus locaux et de leurs administrés. « Au début, lorsque nous avons présenté le projet, on nous a dit « Une carrière c’est comme une décharge, on n’en veut pas ! Il va y avoir des camions et du bruit toute la journée... » », se souvient le chef d’entreprise. La société n’a pas lésiné sur les moyens pour rassurer les plus sceptiques. Butte paysagère pour limiter l’impact visuel et sonore et la propagation des poussières, laveur de roues pour éviter que la douzaine de camions effectuant la rotation chaque jour en période d’extraction entre la carrière et l’usine, ne salisse les routes, aménagement routier pour sécuriser l’accès au site et sa sortie sur la N 31... Au total, l’entreprise a investi près de 1 M€ pour limiter l’impact d’une telle activité.
Durant l’été 2015, 37 000 t d’argile rouge, qui représentent à elle seule 60 % du mélange de fabrication des tuiles, ont été extraites.
Une deuxième saison d’extraction doit prochainement commencer. Elle a été retardée par les trop fortes et trop nombreuses précipitations du printemps.
Source Leparisien.fr par Corinne Fourcin

22/06/2016

Good demand for Terreal's €260m loan despite Brexit angst

In a week when the coming UK referendum is clouding capital markets, Terreal, the clay tiles and bricks maker, has managed to tighten pricing on a €260m refinancing loan, reflecting healthy demand for French and German deals.

Park Square Capital and bookrunners and Goldman Sachs and ING offered Terreal’s €225m six year term loan ‘B’ with a 0% Euribor floor and a 99 original issue discount. The initial spread over Euribor was 600bp. It came at 575bp.
The deal also includes a €30m ...

Source Global Capiltal par  Victor Jimenez

Mécénat : TERREAL s'engage auprès de Maisons Paysannes de France

TERREAL a signé un accord de mécénat avec Maisons Paysannes de France. Etabli pour une durée de 3 ans, entre formations et actions locales, ce partenariat est basé sur un véritable partage de valeurs communes.

Agréée « organisme de formation », « environnement » et « jeunesse et sport », l’association nationale Maisons Paysannes de France agit pour la sauvegarde, la connaissance et la restauration du patrimoine.
A travers la mise en place d’actions de sensibilisation sur le territoire et la formation de particuliers ou de professionnels, l’association reconnue d’utilité publique se veut garante d’une architecture en harmonie avec son environnement et d’un paysage français protégé. Elle apporte son expertise technique du bâti ancien aux propriétaires et aux collectivités locales dans l’élaboration de projets de sauvegarde et de mise en valeur du patrimoine depuis 1965.
Impliqué dans la préservation du patrimoine des terroirs français, la transmission des savoir-faire et l’usage de matériaux nobles et naturels, TERREAL réaffirme ses engagements en apportant son soutien à Maisons Paysannes de France. Cette collaboration se traduira notamment par l’organisation commune de formations à la restauration du bâti rural ancien et par des partenariats locaux en soutien aux actions régionales de Maisons Paysannes de France.

Source Terreal

21/06/2016

MONIER: NOUVEAU COLORIS TERRE DU SUD

Monier fait le pari de l’authenticité et enrichit sa gamme de tuiles avec un nouveau coloris Terre du Sud.
Conscient des spécificités esthétiques régionales, Monier a développé une teinte spécialement dédiée aux toitures du Sud de la France.
Dans ces régions où le soleil et le vent donnent aux tuiles les nuances claires et délicates qui les caractérisent, le coloris Terre du Sud s'intègre parfaitement dans le paysage architectural traditionnel. Il préserve le cachet des maisons anciennes, ce qui le rend idéal pour la rénovation.
Terre du Sud est disponible pour les tuiles Galléane 10® et Canal Midi.
GALLEANE 10®: ESTHÉTIQUE CANAL ET FACILITÉ DE POSE
La Galleane 10®, tuile moderne par ses caractéristiques techniques restitue l’esthétique des toits canal et réduit les coupes grâce à son grand jeu longitudinal et latéral.

  • Jeu longitudinal 3 cm Jeu transversal 1.5 cm
  • Fond courbe prononcé
  • Galbe canal
  • + Système à l'égout pour une restitution parfaite des toits d'antan : finition unique avec la demi-tuile et la canal sablière

CANAL MIDI : L’INCONTOURNABLE CANAL DE 50 AUX QUALITÉS INÉGALÉES

La Canal Midi est une tuile canal traditionnelle de référence des toits du Sud. Cette tuile pressée est appréciée pour sa résistance et son bel aspect de finition.

  • Posifix® à talons : largeur d’assise 11 cm et très bonne stabilité sur liteau
  • Forte résistance mécanique
  • Tuile teintée en sous-face pour une pose en génoise et en débord de toit
  • + Tuile teintée en sous-face pour une pose en génoise et en débord de toit

20/06/2016

Bouyer Leroux - Briqueterie Sommery. « Le projet demande du temps »

Briqueterie Sommery. « Le projet demande du temps »
Sommery est, depuis trois ans, prise entre deux feux. Elle n'est , exploitant de carrières d'argile et usines de briques. Son représentant avoue que c'est un projet qui demande du temps. Une carrière de Bouyer-Leroux en Loire-Atlantique (44).
« On est dans un pays d’argile. Il suffit de regarder les maisons. Elles sont faites de briques », reconnaît Colette Bertrand, maire de Sommery.
« On est dans la phase d’étude »
Citoyens, mairies ou association « Non aux carrières et briqueteries » sont actuellement dans l’incertitude quant à l’avancée du projet. « Il n’y a aucune décision prise pour le moment. Nous n’avons plus vraiment de nouvelles. Leur dernier courrier remonte à un an. Il stipulait que l’entreprise s’engageait à ne pas enfouir les déchets. Si on peut leur faire un reproche, c’est ce manque d’information. Mais on ne leur court pas après non plus », raconte Colette Bertrand.
Contacté à ce sujet, Benoît Touzelet, directeur technique chez Bouyer-Leroux explique : « De notre côté, nous n’avons pas beaucoup avancé sur Sainte-Geneviève et Sommery. Nous sommes en discussion avec des propriétaires de terrains et de maisons, ainsi qu’avec la Sociétés d’aménagement foncier et d’établissement rural (SAFER).
Il précise : On est dans l’analyse économique. Nous faisons des études pour voir si le projet est viable. Nous sommes dans la phase d’estimation des coûts ».
« Ce n’est pas décourageant »
Concernant le manque d’information, il répond : « Nous donnons des informations, lorsque nous en avons. Les gens ne se rendent pas compte mais c’est un projet qui demande du temps. Il y a tout à faire, installer l’usine, mettre en place l’exploitation des carrières ». Devant la lenteur et la fronde de certains riverains, il rétorque : « Ce n’est pas décourageant, cela fait partie du processus ».
La commune de Sommery, comme beaucoup d’autres concernées, n’est pas défavorable à l’arrivée d’une nouvelle entreprise, qui créerait du travail et pourrait redynamiser la région.
Elle est également consciente de l’opposition de certains riverains qui « ne veulent pas de trous, des rotations de camions jour et nuit et de la poussière d’argile », avoue le maire de Sommery.
Elle est cependant intransigeante sur la manière de faire : « Pourquoi pas accueillir cette entreprise, mais pas à n’importe quel prix et n’importe comment. Cela doit se décider autour d’une table et nous devons être vigilant ».
Source Le Réveil de Neufchatel par Anais Grammatico

19/06/2016

Les matériaux minéraux de construction peinent à redémarrer

Les adhérents de l'Unicem ont connu un mois d'avril plutôt meilleur qu'attendu. Les signes positifs s'étaient multipliés… avant que les mouvements sociaux et intempéries ne viennent compliquer l'activité printanière.

"Le mois d'avril vient réenclencher le mouvement de hausse amorcé depuis l'automne", annonce avec satisfaction l'Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (Unicem) dans sa lettre mensuelle de conjoncture. Car les chiffres du quatrième mois de l'année étaient plutôt en hausse : les livraisons de granulats, par exemple, se sont accrues de +2,1 % en un mois et de +1,5 % en un an, les niveaux de production restant donc à peu près équivalents à ceux de l'an passé. De même, pour le béton prêt à l'emploi (BPE), la production s'inscrit en légère hausse entre mars et avril 2016. Le niveau, par rapport à la même période en 2015 est supérieur de +0,8 %. Les professionnels résument : "Ce lent mouvement de redressement de l'activité se constate dans la plupart des matériaux de construction, certains d'entre eux connaissant un redémarrage un peu plus soutenu. Après sept trimestres consécutifs de recul, l'indicateur matériaux renoue enfin avec des évolutions positives et s'inscrit en hausse de +1,5 % sur un an, au premier trimestre 2016".
Des signaux de reprise dans la construction
La raison ? Une reprise dans le bâtiment qui tend à se confirmer. La lettre mensuelle de conjoncture précise : "Dans le secteur du logement, les perspectives d'activité et le sentiment sur l'activité passée sont très favorablement orientés, les soldes d'opinion ayant même dépassé leur moyenne de long terme. Dans l'entretien-amélioration et le bâtiment non résidentiel, le climat conjoncturel s'éclaircit également et les tendances de l'activité passée et future ont retrouvé leur niveau moyen". Même observation pour la construction, malgré un tassement du nombre de logements autorisés au premier trimestre de l'année (-4,5 % par rapport au trimestre précédent) : les permis sont tout de même beaucoup plus nombreux qu'en 2015 (393.700 permis, +7,5 %), tout comme les mises en chantier de logements, qui ont augmenté (353.200 unités commencées, +3 %). Le collectif se montre "beaucoup plus vigoureux que l'individuel, tant pour les permis que pour les mises en chantier", signale l'Unicem. Les locaux d'activité ont également rebondi, avec une forte progression des surfaces autorisées (+12,3 % sur un an) et les lancements de travaux (+10 % sur un an).
Du côté des travaux publics, là aussi, la tendance serait un redressement progressif de l'activité. Les travaux réalisés au premier trimestre 2016 sont plus nombreux que ceux du premier trimestre 2015 (+2,9 %). Et les prises de commandes ont enregistré un bond (+11,6 % sur un an). Mais dans les deux cas, les niveaux de l'an passé "étaient historiquement faibles", note la lettre de conjoncture. Le redémarrage, tant attendu, resterait donc encore fragile : "En outre, l'activité du côté des travaux routiers reste dégradée avec un repli de -5,2 % au premier trimestre sur un an, bien que les carnets de commandes semblent doucement se regarnir". L'activité des TP devrait, malgré tout, restée faible en 2016, à cause de l'indigence des investissements des collectivités locales. Leur niveau devrait rester à environ 48 Mrds € selon la Banque postale, ce que l'Unicem estime être finalement "une bonne nouvelle dans un contexte de baisse continue des dotations de l'Etat". Mais le chiffre reste inférieur à la moyenne des années antérieures, où il frisait les 53 Mrds €.

Source Batiactu

18/06/2016

TERREAL intervient sur la thématique de la compétitivité par le design

Le 1er juin dernier, la Société d'Encouragement pour l'Industrie Nationale a organisé une conférence sur le thème de la compétitivité par le design.
TERREAL était présent pour présenter 2 solutions innovantes : Cobra et le Diabolo®.
Le design n’est pas seulement une affaire de forme et de créativité, c’est aussi un outil pour les entrepreneurs soucieux de créer de la valeur et de gagner en compétitivité. Pour toutes ces entreprises qui réussissent sur leur marché, le design est au cœur des success-stories, des TPE aux multinationales.
La Société d'Encouragement pour l'Industrie Nationale organise depuis plusieurs années une table ronde sur le management du design dans le cadre des D'DAYS.
Pour cette édition 2016, elle a proposé à l’Agence pour la Promotion de la Création Industrielle (APCI) d'inviter 8 lauréats primés à l’Observateur du Design pour qu’ils viennent expliquer leurs stratégies, leurs pratiques et leurs réussites.
C’est dans ce contexte qu’Éric Weiland, Directeur technique chez TERREAL, est intervenu à la table ronde réunissant 7 autres sociétés.
Parmi elles, étaient notamment présents SCHNEIDER ELECTRIC qui est engagé comme TERREAL dans la transition énergétique et qui a mis en place depuis 2008 un centre de design pour tous les projets de développement.
La société LEBORGNE/FISKARS a quant à elle développé des outils ergonomiques sur les chantiers de construction et favorisé le dialogue avec les entreprises et artisans, notamment sur la thématique des risques de santé et de sécurité au travail.
Lors de ces échanges, TERREAL a pu présenter 2 solutions innovantes mises en place : Cobra, système de sortie de toiture aéraulique et le Diabolo®, revêtement de sol extérieur auto-drainant de finition terre cuite engazonnée.
Ces exemples sont le fruit d’une démarche engagée il y a plusieurs années par TERREAL dans le but de fournir des solutions innovantes pour l’enveloppe du bâtiment et promouvoir ainsi des bâtiments plus responsables.
TERREAL s’entoure pour cela d’architectes et de designers talentueux en plaçant au cœur de ses projets l’esthétique, le confort, la fonctionnalité et la facilité de mise en œuvre.
Zoom sur Cobra (Stéphane Frant, Agence de design Ilô créatif / Khalid Maman et Hervé Lemercier, Terreal)
Cobra est un « système de sortie de toiture aéraulique respectant les nouvelles normes basse consommation », se raccorde à des conduits de 125mm ou 160mm des VMC DF et des CETD ; le dispositif en terre cuite (lanterne) et PET (raccordement) brille par sa faible perte de charge sans nuire à l’esthétique de la toiture ni produire de salissures.
Focus sur le Diabolo® (Paul Vincent, RPBW / Philippe Malé, Terreal)

Le Diabolo® est un revêtement de sol extérieur auto-drainant de finition terre cuite engazonnée, formé d’une superposition de différentes couches de graves et sablon sur lesquelles sont posés, à l'aide d'agrafe en polyamide, des Diabolo® en terre cuite. Les espaces sont valorisés grâce à l'alliance d'un matériau terre cuite naturel et d'un sol écologique et durable, résistant au temps, au gel et aux charges, accessible aux PMR.
Source Terreal

17/06/2016

ALGERIE - Loi sur les mines : révision prochaine

Le gouvernement va réviser prochainement la loi sur les mines afin de mieux valoriser les sites miniers à travers le pays, et faciliter leur exploitation via les projets d’investissement, a annoncé hier à Alger le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdessalam Bouchouareb.
Le gouvernement va réviser prochainement la loi sur les mines afin de mieux valoriser les sites miniers à travers le pays, et faciliter leur exploitation via les projets d’investissement, a annoncé hier à Alger le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdessalam Bouchouareb. «Nous avons décidé de revoir ce texte par ce qu’il ne répond plus aux exigences de l’investissement», a-t-il indiqué lors d’une rencontre avec les cadres du secteur qui a réuni les directeurs de l’Industrie de wilaya et l’ensemble des organismes et institutions sous tutelle. L’objectif de cette modification, a poursuivi le ministre, est de donner à ce texte plus d’efficacité, précisant néanmoins qu’il était «encore tôt» d’avancer une date de présentation de cette loi.
La loi minière actuelle (qui date de 2001) dont la dernière révision remonte à 2014, ne permet qu’une exploitation très «limitée» des sites miniers, a souligné M. Bouchouareb dans une déclaration à la presse.
«A travers la loi actuelle, on crée de la rareté, et qui crée la rareté, crée tous les problèmes à l’investissement», a-t-il encore déploré, indiquant que les délais d’attribution de certaines mines atteignent parfois une année, voire deux.
A ce propos, le ministre a dit que ce n’était pas normal que l’attribution d’un site d’argile pour une briqueterie met deux ans», alors que tout le territoire algérien est fait d’argile». «Il y a donc quelque chose qui ne va pas», a insisté M. Bouchouareb, qui promet qu’avec la nouvelle loi, «toutes les contraintes seront levées» pour permettre, d’une part, aux opérateurs économiques d’investir, et d’autre part à l’industrie de jouer son rôle dans la diversification de l’économie. Ainsi, la nouvelle loi donnera un nouvel élan au secteur minier à même d’atteindre l’autosuffisance en produits miniers et exporter, a souligné M. Bouchouareb réitérant que «l’Année 2016 sera l’année des mines».
Dans ce contexte, il avance que son secteur ambitionne d’atteindre un taux de croissance de 7% à l’horizon 2019. En 2015, a-t-il rappelé, le secteur a réalisé une croissance de 4%, un taux non atteint depuis des années, selon lui.
Par ailleurs, le ministre a indiqué que la nouvelle loi relative à la promotion de la PME serait présentée au prochain Conseil des ministres pour adoption. Ce texte, a-t-il souligné, va permettre non seulement l’émergence des petites et moyennes entreprises mais aussi de donner une nouvelle dynamique à la sous-traitance industrielle à travers une nouvelle organisation et des mesures de soutien.

Source El Moudjahid

16/06/2016

Grand prix Tuile Terre Cuite Architendance : candidats à vous de jouer !

Tous les deux ans, la Fédération française des tuiles et briques organise un grand prix pour récompenser les projets valorisant l'utilisation de la tuile terre cuite. La 3e édition est ouverte. Détails.
Vous êtes architecte et avez réalisé ou participé à la réalisation d'un projet innovant en tuile terre cuite ? Ce concours est pour vous. Comme tous les deux ans, la FFTB organise le concours "La Tuile Terre Cuite Architendance", en partenariat avec le RMA (Réseau des Maisons de l'Architecture). Les organisateurs souhaitent ainsi récompenser les projets les "plus audacieux et innovants" en tuile terre cuite. "Innovation dans l'utilisation de la tuile terre cuite, originalité dans le traitement du toit, modernité architecturale seront les principaux critères", précise la FFTB.
Le concours est ouvert à tous les architectes exerçant une activité indépendante ou en agence, domiciliés en France métropolitaine et ayant réalisé un projet, il y a moins de 3 ans, utilisant les tuiles terre cuite en couverture ou en couverture et façade. Trois catégories seront récompensées : habitat collectif, bâtiment tertiaire et logement individuel. Les candidats ont jusqu'au 31 juillet 2016 pour s'inscrire en ligne (http://www.latuileterrecuite.com/) et jusqu'au 31 août 2016 pour remettre leur dossier.
Le jury, présidé par un architecte membre du RMA, sera composé de lauréats des éditions précédentes, d'un représentant des industriels de la filière terre cuite, d'un journaliste spécialisé et d'un enseignant en architecture. La remise de prix aura lieu dans le cadre du forum du RMA à Nantes, le 18 novembre 2016.

Source Batiactu

15/06/2016

TERREAL participe aux Trophées Batiactu : votez avant le 30 juin !

Cette année, TERREAL participe aux Trophées de la Construction Batiactu avec 3 projets innovants qui sont présentés dans la catégorie Solution Technique. Pour soutenir ces candidatures, n’hésitez pas à voter en cliquant ici
Les 3 projets présentés sont les suivants :
1er projet / activité façade : TERREAL - Solution technique - VAUX EN VELIN (Rhône)
Opération de 41 logements neufs, enveloppés de la vêture isolante Thermoreal-Gebrick totalisant 145mm d'isolant lauréate du concours BBC.
2ème projet / activité structure-décoration : TERREAL - Solution technique - AMIENS (Somme)
Revêtement de sol extérieur auto-drainant de finition terre cuite engazonnée, le Diabolo est une solution innovante qui respecte le souhait d'un aménagement écologique et durable.
3ème projet / activité couverture : TERREAL - Solution technique - BORDEAUX (Gironde)
Connecteur aéraulique (Cobra) permettant d'assurer un raccordement rapide et sûr entre une tuile à douille terre cuite et une gaine de VMC avec une perte de charge <25 200m3="" 68-3="" au="" blockquote="" conform="" dtu="" h="" ment="" pa=""> Pour soutenir ces candidatures, n’hésitez pas à voter en cliquant ici
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Pour voter, rien de plus simple :

  1. Sélectionnez votre projet favori
  2. Entrez votre adresse email pour valider votre vote (un seul vote par catégorie sera pris en compte pour une même adresse email)
  3. Cliquez sur « valider le vote »

14/06/2016

Rhône: Imerys toiture fleuron de l'économie régionale

Rhône-Alpes est la troisième région de France pour la production, l'extraction et la transformation de matériaux pour la construction. Parmi les entreprises leaders (filière matériaux de construction/céramique) se trouve Imerys Terre Cuite implantée dans la Loire et le Rhône
Tuiles en cours de fabrication- Ste Foy L'Argentière
Leader sur le marché français des tuiles en terre cuite, le groupe Imerys TC est ambitieux, il s'appuie sur un savoir-faire ancestral, largement modernisé, pour développer sans cesse sa gamme de produits afin de proposer aux couvreurs des solutions novatrices et performantes.
Une histoire séculaire
La réputation de la Grande Tuilerie du Rhône, à Ste-Foy-l'Argentière, rayonne bien au-delà des Monts du Lyonnais. L'activité des tuiliers à Sainte-Foy a débuté au cours de la seconde moitié du XVIIIe siècle. À cette période on trouve des tuileries artisanales, les tuiliers faisaient tout à la main, on raconte même qu'ils moulaient les tuiles sur leurs cuisses.
La Grande Tuilerie du Rhône est créée plus tard, elle est mécanisée et n’a cessé depuis d’évoluer et de se moderniser. Les bâtiments, toujours situés au même endroit, ont été, au fil des années, transformés et agrandis.
La Grande Tuilerie du Rhône a été rebaptisé en 2000 "Imerys Toiture" elle conserve son appellation "Tuiles Sainte-Foy".
De la tuile traditionnelle à l'industrie de pointe
Implantations Imerys TC en France
L'appellation d'origine Tuile Sainte Foy est aujourd'hui propriété d'IMERYS Toiture, elle regroupe une offre vaste aux origines séculaires. Douze usines sont implantées en France, en Rhône-Alpes, deux unités de production fonctionnent, à Quincieux et à Sainte Foy L’Argentière.
Une position de numéro 1 qu’Imerys TC entend conforter et développer grâce à une politique de rachat d'entreprises spécialisées dans des produits complémentaires: accessoires de toiture ou encore énergie solaire.
Dernièrement Imerys TC a racheter le stéphanois Profimo. Fabricant français de composants techniques pour le bâtiment, l’entreprise ligérienne emploie environ 70 personnes personnes dans l’agglomération stéphanoise pour un chiffre d’affaires de l’ordre de 20 M€.
A travers ce rachat, Imerys TC s'adjoint le savoir-faire de Profimo spécialisée dans le travail des matières métalliques et divisée en deux marques emblématiques : Aquaz et Fazer. La première propose des solutions pour les eaux pluviales, la seconde des solutions profils avec des profilés bardage, profilés isolation thermique, profilés enduits extérieurs… L’entreprise a également procédé à l’acquisition de l’ activité héliothermique (marque commerciale Ecoscience du Groupe SAG (basée dans la Loire également) et à une prise de capital majoritaire dans la société LUXOL (installée en Savoie) et spécialiste de la fabrication de tuiles photovoltaïques.
La société IMERYS Terre Cuite a également développé une filiale CAPTELIA, basée à Arnas dans le Rhône, qui est en charge de la conception et du développement de la tuile ou ardoise photovoltaïque. Captélia réunit ainsi le savoir-faire des deux sociétés mères dans le développement photovoltaïque, la toiture et l’énergie. Le but est de produire des systèmes photovoltaïques parfaitement intégrés en toiture et parfaitement étanches. La société propose ainsi des tuiles photovoltaïques mais aussi des ardoises photovoltaïques et des tuiles thermiques.
Imerys Toiture: un savoir-faire maîtrisé et des ambitions affichées
Dans le Rhône, la tuile de Ste Foy est largement connue et ses qualités reconnues. Désormais, sous l'impulsion du groupe Imerys TC, son rayonnement va bien au-delà et son développement assuré. De l'extraction de l'argile à la naissance de la tuile, les différentes étapes sont maîtrisées, surveillées, contrôlées mais les ambitions du groupe Imerys TC ne s'arrêtent pas là...
Source France 3 reportage Isabelle Gonzalez, Arnaud Jacques et Romuald Pacaly

13/06/2016

Pierre Jonnard devient Président du Centre Technique de Matériaux Naturels de Construction

Francis Lagier, Directeur Général de Wienerberger France passe le flambeau à Pierre Jonnard à la présidence du CTMNC, Centre Technique de Matériaux Naturels de Construction. Président de la Fédération Française des Tuiles et Briques depuis juillet 2015, il aura pour mission de poursuivre les efforts en termes de recherche et de développement du CTMNC, sur les produits de terre cuite, terre crue et pierre naturelle.

Pierre Jonnard a été élu président du CTMNC, suite au conseil d'administration qui s'est tenu le 1er juin.
Agé de 59 ans, Pierre Jonnard est diplômé des Arts et Métiers et d’un MBA ISA-HEC. Il a commencé sa carrière dans le groupe Charles Frères en 1982, avant de rejoindre en 1988 la société Eurocasing.
En 1990, il est nommé Directeur Général de la société CMR, groupe Matériaux service. Depuis 1993, date à laquelle il intègre le groupe Imerys, il a été successivement Directeur Général de la filiale Kiln Furniture, puis Directeur Général de la filiale Tiles Minerals en 2000.
En janvier 2005, il devient Directeur Général d’Imerys TC dont le siège est situé à Limonest (69) et c’est en janvier 2013 qu’il prend la présidence de cette entité, avec notamment la marque Imerys Toiture.
Président de la FFTB (Fédération Française des Tuiles et Briques) depuis juillet 2015, Pierre Jonnard succède ainsi à Francis Lagier, Directeur Général de Wienerberger France, à la tête du CTMNC.
« Le CTMNC fait partie des « forces vives » des professions de la terre cuite et de la pierre. Ses compétences sont indispensables à nos filières. Innovation, compétitivité, qualité des produits et des process sont intimement liés aux travaux et aux cerveaux du CTMNC », souligne Pierre Jonnard.
Des laboratoires à Clamart et Limoges
Membre du réseau CTI (Centre technique industriel), le CTMNC réalise des travaux de recherche et développement pour le compte des industriels et des maîtres d’œuvre. Il effectue également des essais sur produits et/ou ouvrages en terre cuite, terre crue et pierre naturelle.
« Les résultats de la filière Terre cuite en matière de diminution de consommation d’énergie (-37 %) et d’émission de CO2 (-35 %) entre 1990 et 2014, la recherche sur les dépôts de sédiments argileux comme matière première renouvelable pour la fabrication des produits terre cuite, les travaux sur le BIM… sont autant de sujets sur lesquels les ingénieurs et techniciens du Centre s’investissent pour que les fabricants et in fine le consommateur construisent avec des produits toujours plus performants, plus respectueux de l’environnement et plus durables », ajoute Pierre Jonnard.
Le Centre participe également aux travaux de normalisation, assure une veille technologique active et diffuse l'information technique auprès des professionnels.
Le CTMNC dont les laboratoires sont situés à Clamart et Limoges, emploie soixante personnes, dont des techniciens, ingénieurs et docteurs.

Source Batiweb

12/06/2016

USA: Triangle Brick Company Clay County plant humming

Triangle Brick Plant's Grand Opening:

Barry Snowden, left, Marc Balckson, Chase Blackson, Brae Barton and Justin Serna, all of Blackson Brick Company, check out the texture of a new brick at the grand opening of Triangle Brick Thursday morning in Henrietta. The plant is one of the largest and most modern brick factories in the world. Customers, wholesalers, company reps, city and county officials attended the opening ceremonies for company.
After years of planning and construction, Triangle Brick Company's newest, most modern and largest brick making plant is up and running in Clay County on U.S. 287 between Henrietta and Bellevue.
It's the first TBC plant to be built outside of its home state of North Carolina.
Howard Brown, chief operating officer and executive vice president of TBC, said the plant has been a long term vision of the company as well as its owner, Germany-based Röben Tonbaustoffe. The process of planning for the plant and seeing it come to fruition has been exciting, and it's a great opportunity to make brick.
He said the biggest draw to North Texas was the raw materials available on the 994-acre parcel needed for TBC's process.
"We make brick a certain way, and in order for us to do that, we had to find materials similar to what we have in North Carolina," he said. "And we found that here."
The new 400,000-square-feet plant will produce 100 million bricks annually, adding to the 400 million already manufactured at plans in Merry Oaks and Wadesboro, North Carolina.
Brown likened the process of brick making to a baker baking a cake. He said the raw materials are mined from the Clay County landscape and ground into a product with the consistency of flour. The flour-like product is then mixed with water, then formed and extruded. The green bricks are then sent through a kiln where it is dried and then fired.
Packaging and shipping is all that's left to do after those steps.
"Because we're mining and making raw material from here in Clay County, a little bit of Clay County gets dispersed out through the rest of Texas, Oklahoma, Louisiana — all those places," he said. "It's really just a great opportunity. We are, like I said, really grateful for everybody for being here."
Rick Langford, economic development director for the Henrietta Growth Corp., said conversations began about four years ago. Because Clay County doesn't have an economic development entity, he worked in his official capacity with Henrietta and county leadership on the project.
He also credited the Governor's Office in Austin, NORTEX Regional Planning Commission, the Texas Commission on Environmental Quality and other agencies to ensure the success of the venture.
"This is like the climax of a book, I tell you," he said. "It's been a long time coming. Everybody has been talking about it and seeing the construction, but we could finally, today, get to show it off."
Representatives from TBC began looking for a location in 2009, and the land in Clay County was bought in 2011. Construction began in November 2014, finishing in late 2015. Crews began making bricks in the all-automated plant soon after.
Langford said he doesn't have an exact figure on the economic impact the plant will have on the surrounding communities and county, but he is already seeing a difference in other sectors because of the plants construction and operations.
"Up to this point, there's already been a lot of money injected into the community," he said. "We've had local workers out here. We've had local contractors. Scales Concrete out of Wichita Falls has poured all of the concrete that you've seen out here. That's a big job, and they employ local people."
Langford said the company is hoping to employ up to 45 people.
With the kiln always running, the plant is a 24/7 operation. Once bricks are extruded, they are placed on automated cars that are sent through the remaining processes. Each car carries 15,600 bricks, and go through a 1,900-degree kiln.
Source the Times Record News par John Ingle pictures TORIN HALSEY

11/06/2016

Aux tuileries de Puycheny, des stagiaires ont découvert l’art de l’enduit limousin

Les stagiaires, les formateurs et Aurélie Garreau de l’atelier-musée de la Terre de Puycheny ont expérimenté les enduits des tuiliers du Limousin.
L’atelier-musée de la terre de Puych eny proposait la semaine dernière un stage de découverte, de mise en œuvre et d’application d’enduits élaborés par les tuiliers du Limousin.
Une recherche validée par les Bâtiments de France
Neuf stagiaires, attentifs et motivés, y ont participé. Les raisons de leur présence étaient multiples : pour certains – professionnels du bâtiment –, il s'agissait d'acquérir une nouvelle compétence ; d'autres, des particuliers, souhaitaient découvrir les enduits et apprendre les techniques d'application du produit sur divers supports, en vue d'une restauration d'une maison ou autre.
Les enduits en question sont des enduits fins de décoration intérieure. Ils se composent de sable et de terre, auxquels est ajouté de l'eau. Deux tuiliers travaillent sur le projet : Jean-François Litaud et Christophe Mazerolas. Trois sortes d'enduits ont été réalisées dont deux par le premier tuilier, à partir d'argile (non utilisable pour faire des tuiles) et le troisième, par le second, à base de tuf (déchets non utilisables, enlevé pour récupérer l'argile pour les tuiles). Chaque enduit a sa couleur : jaune, rouge et gris.
Transmission des techniques
Cette recherche d'enduits a été faite, en partie, sous l'impulsion des Bâtiments de France, toujours à la recherche de produits et de techniques anciennes pour procéder à la restauration d'édifices classés. Un chantier test a été mené à Saint-Léonard-de-Noblat, dans la partie de la vielle ville, comprise entre l'église et la mairie. Test concluant puisque les enduits ont été approuvés par les Bâtiments de France.
Une formation, animée par Maisons Paysannes de France, a également été mise en œuvre pour les professionnels. La semaine dernière, Arnaud Peauthier et Jérôme Rougier, membres de l'association des amis des tuileries, sont devenus formateurs pour la journée. Il est à noter que le second s'est formé sur les enduits auprès du « maître » en la matière, Philippe Tourtebatte, expert du bâti ancien, qui a développé la filière enduits dans le nord de la France. Jérôme Rougier est aussi encadrant pour le chantier d'insertion Aléas, ce qui lui permet de mettre en application les techniques qu'il a apprises et de les transmettre.
La semaine dernière, les neuf stagiaires ont donc été pris en main par les deux formateurs, d'abord pour découvrir les enduits et ce qu'il peut être fait avec. Ensuite, dans un deuxième temps, ils sont passés à la pratique en appliquant, à la truelle (de maçon), les trois enduits qui existent, sur les murs d'une salle de l'espace Mazerolas. Cette partie du stage a été la plus développée, la pratique étant le meilleur moyen pour découvrir les enduits et apprendre à les utiliser.
Source Le Populaire par Bernadette Feuillard

10/06/2016

Koramic: Ce mariage qui va donner naissance à un géant français du carrelage

Desvres et Cérabati veulent se rapprocher pour créer le premier groupe industriel de carrelage en France.
L'ensemble pèserait 70 M€ de chiffre d'affaires dans l'Hexagone.
Un leader de l’industrie céramique est sur le point de naître. Les sociétés Desvres et Cérabati ont en effet annoncé, mardi 10 mai, que des discussions sur un rapprochement étaient en cours. L’ensemble formerait le plus grand groupe de l’industrie du carrelage céramique en France, qui emploierait environ 350 personnes et prévoirait de réaliser un chiffre d’affaires de plus de 70 millions d’euros en 2016.
Taille critique
« La capacité totale du groupe serait de plus de 9 millions de m²/an, atteignant ainsi une taille critique nécessaire pour rivaliser avec les principaux concurrents du marché en termes de développement de nouveaux produits », affirment les deux acteurs, dans un communiqué.
Le nouvel ensemble compterait en effet trois unités de production, l’une à Sous-le-Bois (Nord, qui est actuellement dans le giron de Desvres, la seconde en Haute-Loire, à Paulhaguet, site actuel de Cérabati, et la troisième en Moselle, à Forbach, site actuelle de Forbach Ceramics.
Spécialiser les gammes par usine
« Ce rapprochement permettrait également de spécialiser les gammes par usine, augmentant ainsi leur performance et permettant d’assurer un service encore meilleur à la clientèle », poursuivent-ils.
Les deux sociétés viennent d’entamer des procédures d’information et de consultation des instances représentatives du personnel concernant ce projet.
Les modalités du mariage
-Le nouveau groupe serait créé au travers de l’apport à une nouvelle société à constituer de l’intégralité des titres des sociétés Desvres, Cérabati et Forbach Ceramics.
-Les sociétés Cérabati et Forbach Ceramics sont contrôlées par la société de droit britannique Dorcas Ceramics, dont l’actionnaire majoritaire est l’un des plus importants groupes du Moyen-Orient. « Ce groupe a l’intention de développer des activités dans l’industrie céramique en Europe mais aussi de construire au Moyen-Orient une unité de production de carrelage », détaille le communiqué.
-La société Desvres est détenue par le groupe Koramic, dont la société-mère Koramic Holding est établie à Courtrai (Belgique). Le groupe Koramic est un groupe privé belge actif entre autres dans de nombreux secteurs industriels et présent dans une vingtaine de pays. Il réalise un chiffre d’affaires consolidé de 500 M€ et emploie environ 3 500 personnes. Pour mémoire, une des activités du groupe Koramic est la production de produits chimiques pour le bâtiment, entre autres via Cermix en France.
-Le groupe Koramic rejoindrait la société Dorcas Ceramics en tant qu’actionnaire. Il entre également dans les intentions du groupe Koramic et de ce groupe partenaire au Moyen-Orient de s’associer dans la construction d’une unité de production de produits chimiques pour le bâtiment au Moyen-Orient.
Source Le Moniteur par Florent Maillet

09/06/2016

ROUMAZIÈRES: TERREAL PLAIDE POUR SA TUILE

Xavier Bonnefont, maire d’Angoulême et conseiller régional, Jean-Noël Dupré, maire de Confolens, et Christian Faubert, président de la communauté de communes de Haute-Charente, ont visité hier l’usine Terreal de Roumazières.
Terreal et la fédération des tuiles et briques ont invité, hier, des élus charentais à visiter la fabrique de tuiles de Roumazières. L’occasion de rappeler les atouts et la fragilité de la filière.
"L’argile, notre matière première, arrive directement des six carrières situées dans les 15 km autour de l’usine." Micro à la main, Bruno Hocdé, directeur de l’usine Terreal de Roumazières-Loubert, qui emploie 405 salariés, animait hier l’une des rares visites autorisées sur le site industriel charentais. Face à lui, plusieurs élus locaux et régionaux, gilets jaunes sur le dos et casques de protection sur la tête, étaient là pour visiter ce plus gros site de production de tuiles d’Europe, qui emploie 405 salariés. "Une mouleuse met la terre sous pression. Le pain de terre passe ensuite à la coloration, puis reçoit de la poudre qui lui donnera...
Source La Charente Libre par Amandine COGNARD,photo Phil Messelet

08/06/2016

Association Non aux carrières en Bray. « Déjà dans l’optique d’un recours au tribunal »

Mobiliser : c'est le mot d'ordre de l'association Non aux carrières et briqueteries en Bray. Vendredi à Beaubec-la-Rosière, le président, Christophe Marsille a une nouvelle fois répondu aux questions.
(De droite à gauche) La députée de la Xe circonscription Dominique Chauvel,
Christophe Marsille président de l'association et Roger Decarnelle, maire de Beaubec
et vice-président de l'association.

Le projet de la société Bouyer-Leroux d’installer des carrières d’argile et de sable et une usine de briques dans le pays de Bray ne passe décidément pas.
Convaincu d’un désastre économique annoncé, Christophe Marsille enchaîne les réunions dans les communes du pays de Bray.
A Beaubec, il était en terrain conquis puisque le maire, Roger Decarnelle, est aussi vice-président de l’association Non aux carrières et briqueteries en Bray
Désormais persuadé que l’usine et les premières carrières seront installées entre Sommery, La Ferté, Hodeng-Hodenger, Sainte-Geneviève ou Roncherolles, les membres de l’association veulent faire bouger les politiques.
« Quoi qu‘il arrive, au final, il s‘agira d‘une décision politique. Nous voulons donc mobiliser les politiques mais aussi les acteurs économiques et touristiques de la région. Il faut que tout le monde prenne conscience de ce projet. La société a déjà acheté 85 hectares par la Safer. Le projet est en marche » affirme Christophe Marsille. L’association forte de 150 adhérents emmagasine déjà les fonds pour financer les futurs appels devant le tribunal.
« Nous avons visité des usines de Boyer Leroux dans leur région. Ils rebouchent les carrières avec des déchets ménagers. Aujourd‘hui, ce n‘est pas possible de faire ça en pays de Bray. Mais les lois peuvent changer. Et au bout de 30 ans d‘exploitation, que peut-il se passer ? ». « C‘est le côté politiquequi prime » Alors face à ce qu’il considère comme une menace, Christophe Marsille veut interpeller les élus. Il estime que ce sont eux qui ont la clé. « Ils peuvent ou pas accepter cette installation. C‘est donc le côté politique qui prime. Or il y a du chantage à l‘emploi. Mais si on laisse faire une installation, il sera trop tard. On ne pourra plus les stopper » assure le président.
Un discours plutôt alarmiste qu’il martèle à qui veut l’entendre. C’est pourquoi vendredi, la députée de la Xe circonscription, Dominique Chauvel, a légèrement débordé de son territoire (qui s’arrête à Sommery) pour pousser jusqu’à Beaubec.
« J‘ai déjà rencontré les deux associations anti-carrières. Elles sont inquiètes sur la taille de l‘entreprise et le risque de détérioration du milieu naturel. Il y a aussi des craintes concernant le tourisme et la circulation des camions. Il faut faire attention. » explique prudemment la députée qui sait aussi qu’une entreprise dans la région apporterait un peu d’emploi.

Source L'Eclaireur La Dépêche

07/06/2016

Wienerberger Brick Award 2016 : un record de candidatures pour fêter la créativité en terre cuite

Les lauréats du concours Wienerberger Brick Award 2016 viennent d’être officiellement désignés lors de la soirée du 19 mai 2016, au Centre d’Architecture de Vienne. Cette année, notons qu’un nombre record de plus de 600 projets venus de 55 pays ont été soumis aux délibérations. Découverte du palmarès 2016...
Wienerberger Brick Award, concours international organisé tous les deux ans depuis une dizaine d’années, constitue une occasion unique de récompenser l’architecture en briques au travers de plusieurs catégories, pouvant évoluer selon les tendances et les thèmes d’actualité. Cette année, des critiques et journalistes spécialisés dans l’architecture ainsi que, pour la première fois, des architectes, ont proposé plus de 600 projets issus de 55 pays : 50 d’entre eux ont été nominés pour participer au concours Wienerberger Brick Award 2016, dans les catégories suivantes : Residential Use (Bâtiment Résidentiel), Public Use (Bâtiment Public), Re-Use (Réutilisation), Urban Infill (Intégration Urbaine) et Special Solution (Solution Spéciale).
Le jury
Cette sélection a été ensuite soumise aux délibérations d’un jury composé de 4 architectes de renommée internationale (Laura Andrein, Archea Associati Florence Italie ; Johan Anrys cabinet 51N4E à Bruxelles ; Matija Bevk, Bevk Perovic arhitekti Slovénie, et Alfred Munkenbeck, Munkenbeck + Partners Londres et New York) pour désigner les vainqueurs de l’édition Brick Award 2016. Les points de controverse comme l’esthétisme contre l’innovation et les nouveaux concepts de construction ont donné lieu à de nombreuses discussions animées, ainsi qu’à la décision d’élire deux lauréats du Grand Prix et de récompenser un Prix Spécial supplémentaire.
Le Palmarès 2016
Rwanda, Royaume-Uni, Chine, Pologne, Brésil, Hongrie, Argentine, Burundi, Iran, Australie, Inde, la diversité d’origine des nominés prouve une fois encore le caractère mondial des Brick Award... Notons de plus, que des projets français ont été sélectionnés pour l’édition 2016 : une réalisation du cabinet Antonini Darmon Architecte pour une maison à Belleville et une autre, signée Fresh Architectures, pour un immeuble d’habitat collectif à Paris.
Le premier Grand Prix ainsi que la catégorie Urban Infill ont été remportés par le projet House 1014, du cabinet d’architecture espagnol Harquitectes. House 1014, situé dans le centre historique de Granollers, présente des conditions de site complexe. Une attention spéciale a été portée à la construction de la maçonnerie en briques double peau. Les différents formats de briques s’assemblent comme des bandes d’ornements structurants, pour aboutir à un ouvrage uniforme.
Le deuxième Grand Prix et la catégorie Special Solution ont été remportés par le projet 2226, du cabinet d’architecture autrichien Baumschlager Eberle Lustenau. Cet immeuble novateur en briques est une illustration du credo : « faire les choses le plus facilement possible ! » La structure de six étages fonctionne sans système de traitement de l’air : sans ventilation, sans air conditionné, ni chauffage. Le nom déjà indique la température intérieure qui prévaut, à savoir une confortable plage comprise entre 22 et 26 degrés Celsius, tout au long de l’année. Tout cela est possible grâce à la solide structure en murs creux, qui représente une épaisseur totale de paroi de 76 cm.
La catégorie Public Use a été remporté par le projet Auditorium AZ Groningue, du cabinet d’architecture belge Dehullu Architecten. AZ Groeninge, établissement d’enseignement nécessitant un auditorium, constitue également l’un des plus grands centres hospitaliers de Belgique. Des briques brutes enveloppent la façade toute en rondeurs de l’auditorium, tel un revêtement brut, dont le rythme crée une structure supérieure à tous les niveaux. De loin, les parois extérieures ressemblent à une image composée de pixels. Ce n’est qu’en s’approchant que l’on découvre que le motif est celui des briques.
La catégorie Re-Use a été remportée par le projet Marilia Project, du cabinet d’architecture brésilien SuperLimão Studio. La maison de la Rua Marília, datant de 1915, est l’une des dernières constructions historiques en briques de ce quartier de São Paulo. Plutôt que d’opter pour la démolition de cette ancienne bâtisse résidentielle, solution la plus intéressante économiquement, les architectes et le propriétaire du site ont convenu de préserver la structure, mais l’intérieur de la bâtisse a été complètement remanié... Un bel exemple de gestion réfléchie de bâtiment historique, qui contribue à la sauvegarde du patrimoine culturel.
La catégorie Residential Use a été remportée par le projet Termitary House, du cabinet d’architecture Vietnamien Tropical Space. Le nom Termitary House illustre la configuration de la maison, à l’image des termites qui en ont insufflé son inspiration ; une pièce centrale dessert l’ensemble des couloirs, galeries et autres pièce. Située dans une région au climat soumis aux moussons tropicales, cette demeure est entièrement construite en briques, de sorte qu’elle soit adaptée aux conditions climatiques extrêmes tout en illustrant l’architecture historique du Centre du Vietnam.
Le prix spécial a été remporté par le projet Cluster House, du cabinet d’architecture suisse Duplex Architekten. Le Cluster House fait partie du tout récent Hunziker Areal dans le Nord de Zurich, qui comprend 450 appartements répartis sur 13 immeubles aux designs différents mais réunis sous le slogan prometteur “more than living”. « La surface du matériau et le matériau lui-même étaient vraiment importants pour l’ensemble du système à faible contenu technologique. La brique que nous avons choisie se passe d’isolation artificielle. » Toutes les dimensions géométriques du bâtiment sont basées sur un multiple des dimensions des briques, afin de réduire les déchets à un minimum et ne pas réduire les propriétés isolantes du matériau.
Pour en savoir plus, visionner les déclarations des architectes et du jury : consulter le site www.brickaward.com

Source N Schilling

06/06/2016

Bouyer Leroux- Deux nouveaux accessoires monoblocs grandes longueurs : le coffre tunnel et le pilier

Après le succès des ½ coffres de volets roulants et des linteaux de grandes longueurs, Bouyer Leroux terre cuite lance un coffre tunnel et un pilier monoblocs pour des façades 100% terre cuite.

Cette nouvelle offre en complément de gamme des accessoires grandes longueurs va ainsi garantir de meilleures performances thermiques du bâti et offrir un gain de productivité sur les chantiers.

COFFRE TUNNEL TERRE CUITE 280, POUR UNE QUALITE DURABLE DU BATI 100 % TERRE CUITE 


Spécialement adapté aux maçonneries de 20, 25 ou 30 cm d’épaisseur, le CVR Tunnel 280 monobloc peut être équipé de tout type de volet roulant traditionnel grâce à ses joues universelles et son diamètre d’enroulement disponible de 225 mm.
Associé à une isolation rapportée de 2, 4 ou 6 cm, il corrige parfaitement le pont thermique au droit des ouvertures.
Il est doté d’un film intérieur qui protège les lames de volet roulant de tout frottement éventuel et améliore l’étanchéité à l’air.
Il est disponible pour des ouvertures de 60 à 350 cm.

CARACTERISTIQUES:

  • Performance thermique -­‐ Up jusqu’à 0,35 W/m².K (en fonction de la performance et de l’épaisseur de l’isolation rapportée) 
  • Diamètre d’enroulement disponible : 225 mm 
  • Dimensions en mm : l.280 x HT.300 x L 600 à 3500 
  • Prix Public indicatif pour le modèle CT28080 (longueur 990 mm) : 180 € HT franco l’unité 
  • Date de commercialisation : février 2016 


PILIER, POUR UNE MISE EN OEUVRE RAPIDE ET FIABLE 

Le nouveau pilier monobloc terre cuite est destiné à la réalisation d’avancées de toits, de balcons, de portails et peut également servir de coffrage de poteaux intérieurs.
Fabriqué d’un seul tenant d’une hauteur de 2,80 m (recoupable sur chantier pour répondre à toutes les configurations), il offre une mise en oeuvre rapide et facile.
Sa structure monobloc permet une finition par enduction pour un rendu soigné.

CARACTERISTIQUES

  • Hauteur : 280 cm Section : 20 x 20 cm 
  • Section béton : 12 x 12 cm 
  • Prix Public indicatif : 70 € HT franco l’unité 
  • Date de commercialisation : février 2016 


Avec bio’bric, vivez dans une maison saine, durable et économe en énergie. Les accessoires monoblocs grandes longueurs sont commercialisés par bio’bric sur la France entière.

Source Cécile Roux Relations Presse

05/06/2016

France Inter le dimanche 5 juin à 19h30 : Hervé Petard répond aux questions de l'émission "les p'tits bateaux" par Noëlle Bréham

Comment on fabrique les briques ? (Gabriel) Comment on fabrique les briques pour faire les maisons ? (Eulalie)
Réponse : Hervé PETARD, Secrétaire général de la Fédération Française des Tuiles et Briques (FFTB).
Source France Inter

FIMEC TECHNOLOGIES: Unité de nettoyage robotisé pour wagon

FIMEC Technologies a développé un nettoyeur dépoussiéreur robotisé qui assure un dépoussiérage efficace et l’évacuation des poussières et débris (casseaux) sur le dessus du wagon et sous les fausses soles. Le robot permet aussi de recentrer les fausses soles et les dalles réfractaires (en option).
En utilisant une aspiration de très haute qualité, ces nettoyeurs entièrement automatisés améliorent significativement la qualité de l’empilage et augmentent la durée de vie des soles et fausses soles de wagons.
FIMEC Technologies a imaginé cette solution robotisée pour apporter à ses clients une grande fiabilité et une souplesse incomparable tout en leur donnant la possibilité de réutiliser d’anciens robots restés sans affectation. La gamme de nettoyeurs automatisés est complétée par des solutions montées sur rails ou sur portiques ; tous ces nettoyeurs permettent un nettoyage complet du wagon sans le déplacer.
Nettoyage

  • Ajustement automatique du niveau de nettoyage
  • Aspiration sans contact
  • Brossage des gros débris
Recentrage des fausses soles
  • Préhension par doigts ou ventouses
  • Recentrage individuel de chaque fausse sole
  • Recentrage des dalles réfractaires

04/06/2016

PETITE HISTOIRE DE LA TERRE BATTUE, L’AUTRE STAR DE ROLAND-GARROS

La plus ancienne et sûrement la plus appréciée des surfaces de jeu de tennis, la terre battue, est le symbole de Roland-Garros. Du 22 mai au 5 juin, les meilleurs joueurs du monde font voler la poussière ocre des courts parisiens. Voici tout ce que vous ne saviez pas sur la terre battue. Inventée à Cannes par des tennismen anglais
La terre battue a été inventée à Cannes en 1880 par les frères anglais Renshaw, plusieurs fois vainqueurs de Wimbledon. Alors que le gazon brûlait sous l’effet du soleil, ils décidèrent de recouvrir le court d’une poudre rouge, issue du broyage de pots en terre cuite. L'usage officielle de la terre battue sera repris pour la première fois dans une finale de Coupe Davis en 1928 à Paris, lors d’un match qui opposait la France aux Etats-Unis.
De nombreuses couches sous terre
La terre battue est aujourd'hui beaucoup plus sophistiquée qu’il y a 100 ans et se compose en fait de 4 ou 5 couches dont la première se trouve à près de 80 cm de profondeur ! Il y a d’abord une grosse couche de pierres (de 40 à 60 cm) avec des tuyaux de drainage, puis une couche de petits graviers (2 cm) et de mâchefer (10 cm) qui permettent de stocker l'eau avant une couche de calcaire (7 à 10 cm) nommée « craon ». Le tout est recouvert d’une fine couche de briques rouges pilées de seulement 2 millimètres d'épaisseur ! Jusqu'à deux tonnes de briques sont nécessaires pour recouvrir un court.
Des entreprises françaises à la pointe
La fabrication de la terre battue est une spécialité française, le calcaire étant souvent extrait des carrières de l'Oise, tandis que les briques proviennent surtout des briqueteries du nord de la France. Chaque année, des milliers de tonnes de briques cassées ou défectueuses sont soigneusement sélectionnées par les fabricants puis broyées pour obtenir la belle couleur rouge orangé de la terre battue. Tout un circuit s’est constitué autour de quelques entreprises qui ont créé en 1990 le groupement des constructeurs de terre battue (GCTB), un petit lobby dédié à développer cette surface de jeu en France et dans le monde.
De nombreux avantages
La terre battue est connue pour être l'une des surfaces les plus « lentes » pour jouer au tennis car la balle est ralentie au moment de l’impact, ce qui laisse plus de temps pour s’organiser en défense. Les échanges sont d’ailleurs normalement plus longs sur terre battue. Un autre avantage est qu’il est possible de glisser ce qui permet aux joueurs de couvrir plus de terrain. Avec des appuis moins brusques, les problèmes d'usures d'articulations sont aussi moins fréquents. Enfin, les balles laissent des marques claires sur la terre battue, ce qui facilite l’arbitrage en particulier au niveau professionnel.
Et quelques inconvénients…
A l’inverse de Rafael Nadal ou Gaël Monfils qui glissent naturellement sur la terre battue, plusieurs joueurs majeurs sont connus pour leur faiblesse sur cette surface bien particulière, comme Boris Becker, John McEnroe ou Pete Sampras. Mais l’inconvénient principal d’un court en terre battue est l’entretien pour les clubs, avant, après et parfois même pendant les matchs !
Entre le débâchage, le « passage du filet », le balayage des lignes et l’arrosage, les courts en terre battue demande un entretien quasi quotidien pour les clubs de tennis. Des frais qui peuvent monter jusqu’à 3.000 euros par an, hors coût de l'arrosage. Car le court doit être régulièrement arrosé et abondamment afin que la brique pilée se fixe à la couche de calcaire. C'est l’eau qui permet à la terre battue de garder sa souplesse caractéristique.
Beaucoup moins cher que le synthétique
Selon le service équipement de la FFT, le coût de construction d’un court extérieur en terre battue est estimé à 47.000 euros, soit le même prix qu’un terrain en béton (46.000 euros) et beaucoup moins cher qu’un court en résine (58.000 euros) ou gazon (67.000 euros) synthétique. C’est donc surtout le prix de l’entretien qui explique pourquoi moins de 15% des courts de tennis en France sont aujourd’hui en terre battue. Pour y remédier, la FFT accorde désormais des aides financières et organise des stage de formation à l’entretien des courts.
Plusieurs dizaines de tonnes de calcaire et de « rouge » ont ainsi été commandés pour entretenir la terre battue des prestigieux courts de Roland-Garros. Pendant les trois semaines de compétition, une équipe de 100 personnes prendra soin de la vingtaine de courts parisiens. Les glissades de Nadal n'ont pas de prix !
Source Capital par Jonathan Chelet

03/06/2016

TERREAL- Façade terre cuite

Douze nouvelles teintes contemporaines ou traditionnelles étoffent la gamme de briques en terre cuite de la gamme Moulé-Main : blanc, gris, noir, orange, rosé, beige, taupe, charbon, carbone…

Cette série de coloris est proposée pour les briques, les plaquettes et la solution de vêture Thermoreal-Gebrik, panneau préassemblé de plaquettes de parement en terre cuite sur isolant polyuréthane à fixer mécaniquement sur le mur porteur pour assurer l’isolation thermique par l’extérieur. La brique pleine Moulé-Main est disponible en 25 x 12 x 5,5 cm, pour 2,8 kg ; 21 x 10 x 5 cm, pour 1,6 kg ; 21,5 x 10 x 6,5, pour 2,2 kg.

Source Batijournal