Fonctionalités:
- Mesure en ligne de divers formats de briques
- Détermination de la planéité et de l'angle à l'aide d'une configuration de scanner laser double
- Garantir la précision dimensionnelle et l'équerrage dans la production.
Ce blog recueille les informations concernant le secteur des matériaux de construction en terre cuite ( tuiles, briques, bardeaux de façades, carreaux).
Fonctionalités:
Si plusieurs mesures de la loi de Finances 2025 pourraient contribuer à moyen terme à une relance du secteur du bâtiment, leur impact reste incertain. En attendant, l’année 2025 s’annonce particulièrement difficile pour les acteurs du secteur. Dans ce contexte, l’Unicem regrette vivement que la seule mesure qu’elle avait sollicitée dans le cadre de la suppression progressive du GNR n’ait pas été retenue.
Pourtant, la commission des Finances du Sénat avait adopté l’élargissement du suramortissement pour les engins non routiers de l’industrie extractive. Sa suppression finale constitue un frein aux efforts déployés par les exploitants de carrières pour atteindre la neutralité carbone de leur production et participer à l’effort collectif de décarbonation des filières du bâtiment et des travaux publics.
« L’engagement des industriels de la filière minérale des matériaux de construction n’a jamais failli : approvisionnement ininterrompu de la filière construction pendant la crise sanitaire, mise en place réussie de la filière REP des produits et matériaux de construction du bâtiment, efforts continus en matière de décarbonation, gestion responsable des ressources minérales et de l’eau. Pourtant, nos industries ne bénéficient d’aucun soutien spécifique, sous prétexte qu’elles sont non délocalisables. Cette vision est une erreur. J’alerte les pouvoirs publics sur ces idées reçues qui, par le passé, ont déjà conduit à la disparition de pans entiers de l’industrie française. Il est urgent que notre filière soit entendue et soutenue », déclare Alain Plantier, président de l’Unicem.
L’Unicem appelle donc les pouvoirs publics à reconsidérer leur approche et à accorder aux industries de la filière minérale le soutien qu’elles méritent pour garantir un avenir plus durable et résilient au secteur de la construction.
En tant que 1er procédé de pose sous forme de colle prête à l'emploi (pose au pistolet électrique) pour les bâtiments collectifs, la première utilisation du Powerbric nécessite une formation gratuite effectuée par les techniciens chantiers de Bouyer Leroux.
𝐅𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐢𝐫𝐞𝐜𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐬𝐮𝐫 𝐯𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐜𝐡𝐚𝐧𝐭𝐢𝐞𝐫 Au programme :
✅ Réalisation du 1er rang de briques Biobric
✅ Démonstration de mise en place de la poche dans le pistolet
✅ Conseils et accompagnement de vos équipes à la pose de la colle
Vous souhaitez adopter le Powerbric sur votre chantier ?
L'équipe Bouyer Leroux intervient partout en France pour une mise en œuvre optimale !
SÉRÉNITÉ AU SERVICE DU CHANTIER
Performance de collage, support d'enduit de qualité et bilan environnemental réduit.
PERFORMANCE AU SERVICE DU MAÇON
Gain de temps sur chantier, santé et sécurité des poseurs préservées.
Officine Smac de Fiorano Modenese a clôturé l'année 2024 sur une note positive, réalisant une fois de plus une croissance et reproduisant les solides performances commerciales de l'année précédente.
L'entreprise, spécialisée dans les systèmes, équipements et automatisations pour l'émaillage de carreaux de céramique, de briques, de tuiles et d'autres matériaux, a réussi à traverser le ralentissement du marché mondial de la céramique grâce à sa capacité à concevoir et à construire des installations entièrement personnalisées. En conséquence, Smac a réalisé plusieurs projets commercialement importants et techniquement complexes, démontrant le savoir-faire qu'elle a développé depuis plus de 55 ans. Dans le secteur des carreaux de céramique, les marchés les plus dynamiques pour Smac l'année dernière ont été l'Italie, la Turquie et l'Asie du Sud-Est.
Au cours de l'année, l'entreprise a encore renforcé sa présence de longue date dans le secteur des briques et des tuiles, tant en Europe que sur les marchés non européens. Les ventes ont été stimulées en particulier par les technologies d'émaillage et de décoration des briques à effet antique, un produit de plus en plus populaire en Europe qui gagne désormais également du terrain sur un certain nombre de marchés d'Extrême-Orient où Smac a identifié et satisfait une demande croissante.
En 2024, sous la direction de Fulvio Masini, l'entreprise a également enregistré une augmentation des ventes dans les secteurs de la fabrication non céramique, notamment le bois, le plastique et le métal.
L'entreprise a également mis l'accent sur la recherche et le développement l'année dernière, ce qui a abouti à la présentation de plusieurs innovations à Tecna 2024. L'une d'entre elles est un traceur conçu pour décorer les bords des plinthes à l'aide d'encres à base d'eau adaptées à l'application sur le produit fini. Une autre est une solution d'impression numérique de logos sur les lavabos et les WC avant ou après cuisson, en utilisant respectivement des encres céramiques ou des encres UV.
La fermeture du site, annoncée le 23 janvier, a été suspendue le lendemain.
La procédure d’APLD (activité partielle de longue durée) au sein de la tuilerie de Doyet, enclenchée le 24 janvier, est entrée en vigueur début février. "De manière progressive et cela pour une durée de quatre mois minimum", indique le groupe Edilians.
Des échanges entre Edilians et l’agence Auvergne Rhône-Alpes Entreprise
Cette mesure fait suite à la fermeture du site, annoncée au personnel le 23 janvier et suspendue le lendemain après discussion avec le Conseil départemental de l’Allier.
"Il y a des échanges avec Edilians par l’intermédiaire de l’agence Auvergne Rhône-Alpes Entreprise pour trouver un projet alternatif à la fermeture strict", confirme le président du Département, Claude Riboulet.
Etude d'une alternative à la fermeture
Impossible d’en savoir plus pour l’heure, si ce n’est que "l’étude de solution alternative à la fermeture est en cours", répète Edilians : "Des réunions seront prévues avec les élus du CSE et les salariés du site afin de leur donner de la visibilité sur ce projet".
Ils sont 23 en CDI à la Française des tuiles et briques (LFTB). "Il n’y a plus d’intérimaires", commente un ouvrier. "Tout le monde est au chômage technique [pour la production, NDLR.] pendant quatre mois. Il y a constamment du monde quand même pour fournir les clients, car les stocks sont importants. On fait des formations aussi, pour mettre à jour les Caces (certificat d’aptitude à la conduite en sécurité)", poursuit-il, peu optimiste sur la suite des événements.
Le site 1 de l’usine Terreal Wienerberger à Chagny a dû être stoppé quelques semaines en fin d’année dernière.
C’est rare pour être souligné, mais le site Terreal – Wienerberger de Chagny 1, celui de la ville – a dû arrêter sa production en fin d’année dernière durant trois à cinq semaines, tout comme d’autres sites du groupe en France.
L’activité brique chute, la tuile se maintient
Non pas à cause d’un pépin mécanique, ou d’une pénurie de matériaux… Loin de là. Olivier Butel l’explique : « On s’adapte simplement au marché de la construction qui impacte notre rythme de fonctionnement et qui nous oblige à arrêter temporairement nos activités, et donc nos fours. » Traduisons les propos du directeur des opérations de Wienerberger & Terreal France : le marché du neuf est en berne. Ou plutôt en chute libre.
Selon des sites spécialisés, appuyés par des données de la Fédération française du bâtiment (FFB), l’activité du bâtiment a reculé de 6,6 % en volume en 2024. Le logement neuf, lui, est le plus impacté, avec une baisse vertigineuse de 21,9 %. Ce qui a des répercussions évidentes sur le producteur de briques et tuiles en terre cuite qu’est Wienerberger. « Notre activité brique est en recul de 45 %. Pour ce qui est de la tuile, c’est mieux car le marché de la rénovation se maintient », concède Olivier Butel.
Ce qui oblige le groupe à être désormais méfiant sur plusieurs domaines. Et notamment les investissements.
Des investissements plus réfléchis
L’horizon ne risque pas de s’éclaircir car les prévisions pour 2025 ne sont pas réjouissantes. La FFB prévoit une baisse supplémentaire de 5,6 % en volume. Le logement neuf devrait subir une nouvelle contraction de 14,2 %, avec un effondrement des ouvertures de chantier à 239 000 unités (contre 253 000 en 2024) : « On devrait avoir d’autres arrêts, cette fois sur les deux sites de Chagny », conclut-il.
Faut-il avoir peur pour les emplois ?
La conjoncture actuelle, mauvaise pour Terreal Wienerberger, ne freine pas pour autant le recrutement sur Chagny, où une banderole “Terreal recrute” est encore présente : « Des postes sont ouverts sur des domaines sensibles comme la maintenance par exemple. On ne gèle pas les embauches, mais on ne renforce pas non plus trop les effectifs », affirme Olivier Butel.
Sauf que l’avenir, comme nous l’avons dit, n’est pas rassurant. De quoi craindre des licenciements ? Olivier Butel n’en est pas là pour l’instant, mais il reste inquiet : « Si le marché de la construction ne reprend pas, il risque de se passer des choses et l’équation sera compliquée à gérer. Je préfère être positif et me dire que ça va repartir. »
L'objectif principal de BioBrick2 est de promouvoir l'utilisation de la biomasse et des résidus biogéniques pour la fourniture de chaleur de processus dans les processus à haute température afin de remplacer les combustibles fossiles. Cela peut réduire la dépendance de l'industrie aux importations et réduire les émissions de gaz à effet de serre.
Dans l’industrie de la brique et de la tuile, la chaleur nécessaire aux processus de cuisson est en grande partie fournie par le gaz naturel. Rien qu’en Allemagne, la consommation annuelle est d’environ 4,8 térawattheures, soit 89 % de la consommation totale de chaleur de l’industrie. Parmi les sources d’énergie respectueuses du climat, la biomasse présente l’inconvénient que la combustion conventionnelle ne peut atteindre que des températures d’environ 500 degrés. L’électricité, l’hydrogène ou le biométhane peuvent atteindre des températures allant jusqu’à 1500 degrés. Une solution est la gazéification du bois : jusqu’à 1100 degrés sont possibles ici, mais uniquement avec une technologie de brûleur adaptée dans laquelle la combustion du gaz de synthèse produit fournit la chaleur de processus à haute température.
L’intégration technique et le fonctionnement à long terme d’un tel gazéificateur de bois dans une briqueterie ont maintenant été démontrés en fonctionnement réel dans le cadre du projet de recherche.
Mise en service et exploitation réelle chez ABC-KlinkerFin 2023, un gazéificateur à bois Burkhardt V3.90S a été mis en service dans l'usine ABC-Klinker de Schüttdorf après l'installation des brûleurs à gaz modifiés et du système de régulation du gaz. Le gazéificateur à bois, entièrement installé, câblé et raccordé dans un conteneur spécial, permet une intégration parfaite dans le système existant.
Lors de la mise en service, les brûleurs à gaz naturel d'une rangée de brûleurs du four tunnel ont d'abord été remplacés par des brûleurs adaptés à l'utilisation du gaz de bois. Un modèle de flamme stable a été généré, démontrant la faisabilité technique du concept. Depuis la mi-2024, après la pause hivernale de la briqueterie, le four tunnel fonctionne en continu au gaz de bois sur trois des dix rangées de brûleurs. Le fonctionnement du gazéificateur à bois est stable jusqu'à présent. Aucune influence négative sur les températures du four ni sur l'apparence ou la qualité des briques n'a été détectée.
Autres analyses et perspectives
Au cours du projet, des essais à long terme sur l'utilisation directe du gaz de bois dans le four tunnel seront réalisés. Les recherches porteront sur le comportement du gazéificateur en termes de changement de charge, par exemple pendant les périodes de poussée, ainsi que sur des observations détaillées de la distribution de température, de la composition des gaz de combustion et des effets possibles sur les produits. Parallèlement, des stratégies pour un fonctionnement totalement neutre en CO2 sont en cours d'élaboration et une évaluation technico-économique de l'utilisation directe du gaz est réalisée sur la base des résultats obtenus.
L'utilisation de la biomasse dans le gazéificateur pourrait apporter un avantage supplémentaire : le résidu de la gazéification du bois - la cendre du gazéificateur - a été utilisé comme agent de porosification à titre d'essai. Jusqu'à 0,8 pour cent en masse de charbon de gazéificateur, par rapport au poids humide de la brique, pourrait être introduit.
À propos du projet
Le projet BioBrick2, financé par le ministère fédéral de l'Économie et de la Protection du climat (BMWK) dans le cadre du 7e programme de recherche sur l'énergie, se déroulera du 1er janvier 2023 au 31 décembre 2025. Le projet est coordonné par l'Institut Fraunhofer UMSICHT, avec Burkhardt comme fabricant de gazéificateurs et une usine de clinker du groupe ABC-Klinkergruppe comme entreprise de référence active pour l'industrie de la brique.
Atelier sur le projet
"Ce genre d’opération réalisée par les sociétés du CAC 40 n‘est pas vertueuse. Il faut la pénaliser et favoriser l’actionnariat salarié". Natalia Pouzyreff Députée Renaissance des Yvelines
C’est en 2023 que j’ai pris conscience de l’ampleur du phénomène des rachats d’actions en vue de leur annulation par de grandes entreprises cotées. Dès 2021, les rachats d’actions ont atteint un niveau record dans notre pays avec 23,8 milliards d’euros, soit 1,1 % de la capitalisation boursière. La tendance s’est confirmée en 2022 – 24 milliards – et 2023, avec plus de 30 milliards d’euros !
Cette pratique concerne principalement des sociétés matures du CAC 40 ayant fait des bénéfices exceptionnels et sans projet d’investissement immédiat. Elle peut certes permettre de renforcer la structure capitalistique de l’entreprise mais le plus souvent elle vise à accroître la valeur boursière des titres et ainsi à mieux rémunérer les actionnaires par annulation du nombre d’actions rachetées. Que la France compte de grandes entreprises leaders sur les marchés mondiaux qui réalisent de forts bénéfices et attirent ainsi des capitaux est une bonne chose.
Qu’elles mettent en œuvre des programmes de rachat d’actions en vue de leur annulation n’est en revanche pas très vertueux eu égard à l’impact sur l’investissement et le partage de la valeur au détriment des salariés. Aux États-Unis, où les rachats d’actions sont courants, ce constat a conduit le président Joe Biden à introduire une législation visant à encadrer cette pratique.
Entrée en vigueur le 1er janvier 2023, l’Excise Tax on Repurchase of Corporate Stock prévoit ainsi un prélèvement de 1 % sur les rachats d’actions, taxe que l’administration américaine a envisagé de faire passer à 4 %. En mars 2023, le président Emmanuel Macron dénonçait le procédé « des grandes entreprises qui font des revenus tellement exceptionnels qu’elles en arrivent à utiliser cet argent pour racheter leurs propres actions » et d’appeler à trouver la bonne technique pour que ces sociétés « distribuent davantage à leurs salariés ».
Forte d’un long engagement en faveur de l’actionnariat salarié dans ma carrière préparlementaire, j’ai pris attache en août 2023 avec la Fédération française des associations d’actionnaires salariés et anciens salariés (FAS) dans l’idée de déposer un amendement visant à favoriser l’actionnariat salarié. Le dispositif proposé est le suivant : majorer de 1 % le taux de la taxe sur les transactions financières, actuellement fixé à 0,3 %, pour les rachats d’actions de sociétés capitalisées plus d’un milliard d’euros, tout en prévoyant une possibilité d’exonération si au moins un dixième des actions rachetées est attribué gratuitement aux salariés de manière égale et concomitante à l’annulation des autres actions.
Ma démarche n’est pas idéologique mais pragmatique : encourager les grandes entreprises qui aujourd’hui rachètent leurs actions à développer l’actionnariat salarié et à favoriser l’investissement en vue de concilier défis industriels et cause environnementale.
Comment taxer le rachat d’actions ?
"Cette pratique qui ne bénéficie qu’aux actionnaires est la manifestation ultime d’un capitalisme dégénéré. Il faut l’interdire ou la taxer à 100 %". François Hommeril Président de la CFE-CGC
Racheter des actions pour les détruire est l’acte anticapitaliste le plus répugnant qui puisse exister. On ne parle pas ici des rachats nécessaires à distribuer des actions à ses salariés. Mais de cette pratique obscène qui consiste à détruire du capital aux seuls fins de faire monter le cours de l’action d’une entreprise, enrichir ses actionnaires par la spéculation et au surplus échapper à l’impôt.
Le regretté Bernard Maris considérait cet acte suicidaire comme la manifestation ultime d’un capitalisme dégénéré dépourvu de ce qui fait sa substance : inventivité, initiative, prise de risque, ce que, usuellement, on appelle, « l’esprit d’entreprise ». Plus de 30 milliards d’euros de rachats d’actions en 2023 pour le CAC 40, quand l’économie est au ralenti et que les dépôts de bilan font la chronique quotidienne de la presse régionale. Magie du chiffre, 30 milliards, c’est justement ce que Bruno Le Maire déclare rechercher dans les finances publiques pour passer son rabot austéritaire.
Ainsi, et alors que les entreprises n’auront jamais été autant gavées d’argent public sans discernement ni condition (plus de 200 milliards), le haut du panier de l’économie française brûle les euros qu’il a captés en comprimant la chaîne de valeur et en consommant les aides de l’État. Leurs actionnaires nous rient au nez, tout le monde dit que c’est mal, et personne ne fait rien. Et pourtant, tout serait si simple avec un peu de volonté politique et un peu moins de cynisme de la part de nos dirigeants qui s’offusquent du moindre larcin d’un fraudeur social et passent l’éponge en baissant les yeux devant ce qui est peut-être un des plus énormes scandales de notre époque troublée.
Il faut interdire cette pratique, ou la taxer à 100 %. À tout le moins, exiger le remboursement de toutes les aides publiques perçues par les entreprises qui pratiquent cette calcination de la valeur. Défier le pouvoir actionnarial qui régente une économie définitivement financiarisée est possible. Encore faut-il avoir l’esprit libre et la pensée claire. Autant dire une mission, tant les charlatans de l’économie qui squattent les plateaux des médias ont rependu un épais brouillard de propagande tentant à absoudre ces pratiques pour « plaire aux marchés ».
Rachats d’actions : comment les multinationales confisquent les richesses
Racheter des actions pour les détruire, c’est la marque assumée d’un capitalisme sans idée. Une machine qui tourne à vide quand l’urgence climatique impose des investissements et une créativité sans précédent. On peut se demander comment restaurer un peu de confiance en l’avenir pour une jeune génération exigeante et soucieuse du bien commun devant un spectacle aussi désolant d’égoïsme. La CFE-CGC se bat pour une société de liberté de prospérité et de solidarité.
Pour y arriver, nous pensons qu’il faut réformer la structure juridique des entreprises et empêcher le capital et ses représentants de guider toutes les décisions de l’entreprise dans le seul objectif de maximiser le profit de ses actionnaires. Empêcher le rachat d’actions sera le premier signe d’une reconquête de l’intelligence dans le projet de développement des entreprises.
Indice des prix à la production janvier 2025 (graphique avec l'aimable autorisation d'Associated Builders and Contractors)
C'est ce qu'affirme l'Associated Builders and Contractors (ABC), une organisation professionnelle basée aux États-Unis qui représente plus de 23 000 entreprises de construction dans le pays.
L'analyse d'ABC indique que les prix globaux des intrants de construction sont supérieurs de 1,3 % à ceux de l'année précédente, tandis que les prix des intrants de construction non résidentielle sont supérieurs de 0,7 %.
Les prix ont augmenté dans les trois sous-catégories d’énergie le mois dernier : les prix du pétrole brut ont augmenté de 14,8 %, tandis que les prix du gaz naturel et des matières énergétiques non transformées ont augmenté respectivement de 13,7 % et de 13 %.
Anirban Basu, économiste en chef de l’ABC, a déclaré : « Cette escalade rapide est due en grande partie à trois facteurs. Tout d’abord, les prix de l’énergie ont fortement augmenté. Ensuite, les producteurs augmentent souvent leurs prix en début d’année. Et troisièmement, de nombreux acheteurs se sont précipités pour acheter des intrants avant que les droits de douane potentiels n’entrent en vigueur, et cette forte demande a fait grimper les prix. »
Alors que Trump menace d’imposer de nouveaux droits de douane, comment ces mesures pourraient-elles affecter le secteur de la construction ?
Les nouvelles de cette semaine concernant de possibles droits de douane sur les importations d’acier américain font suite à une « pause » sur les droits de douane sur les produits mexicains et canadiens. Quelles pourraient être les conséquences pour le secteur de la construction ?
Basu a noté que les tarifs proposés par l’administration Trump pourraient aggraver la hausse des coûts à l’avenir.
« Les tarifs douaniers… pourraient continuer à faire grimper les prix des intrants dans les mois à venir », a déclaré Basu. « Les taxes à l’importation permettent aux producteurs nationaux d’augmenter leurs prix, et les nouvelles taxes de 25 % sur l’acier et l’aluminium auront précisément cet effet si elles restent en vigueur. »
« Selon l'indice de confiance dans la construction d'ABC , une forte majorité d'entrepreneurs s'attendent à ce que leurs ventes augmentent au cours des six prochains mois, et la combinaison d'une demande accrue d'intrants de construction et de la confusion persistante dans la chaîne d'approvisionnement suggère que l'escalade des prix des intrants pourrait s'accélérer au cours du premier semestre 2025. »
Indice des prix à la production, janvier 2025 (tableau avec l'aimable autorisation d'Associated Builders and Contractors)
Source ConstructionBriefing par Mitchell Keller
wienerberger est un fournisseur international de premier plan de solutions innovantes et écologiques pour l'enveloppe du bâtiment dans les domaines de la construction neuve et de la rénovation, ainsi que des infrastructures pour la gestion de l'eau et de l'énergie. Même dans les périodes difficiles, wienerberger a constamment poursuivi sa stratégie de croissance créatrice de valeur. Le développement de l'entreprise a été très satisfaisant, combinant croissance organique, programme ambitieux d'optimisation commerciale et opérationnelle et acquisitions attrayantes pour élargir le portefeuille de l'entreprise.
Le programme de rachat d'actions le plus récent a été conclu début février 2025.
Du 30 décembre 2024 au 7 février 2025 inclus, la société a acquis 1 125 000 actions ordinaires au porteur de Wienerberger AG à un prix moyen de 26,78 € via la Bourse de Vienne.
Heimo Scheuch, PDG de wienerberger, a commenté :
« Les rachats d'actions constituent un élément important de notre stratégie d'allocation de capital et, associés à une politique de dividendes attrayante, offrent un rendement accru aux actionnaires. La semaine dernière, nous avons mené à bien notre dernier programme de rachat d'actions. Pour accroître encore la valeur actionnariale, nous annulerons jusqu'à 2 % du capital social au cours des prochains mois. »
La multinationale belge Vandersanden, l’un des principaux fabricants mondiaux de briques de parement, de solutions de façade et de pavés, a officiellement inauguré sa première usine Pirrouet® à Lanklaar, une ville de la commune de Dilsen-Stokkem dans la province du Limbourg, en Belgique.
Le démarrage de l’usine de production a nécessité un investissement de 32,5 millions d’euros, dont 2,2 millions d’euros obtenus grâce à une subvention européenne dans le cadre du programme Horizon Europe, qui soutient l’installation d’équipements industriels pour la capture et la réutilisation du CO₂.
Pirrouet® est l’un des produits les plus récents et les plus innovants développés par l’entreprise. Il s’agit d’une brique de parement à bilan carbone négatif qui absorbe le dioxyde de carbone pendant le processus de durcissement, contribuant ainsi à une construction plus durable et plus durable.
La nouvelle usine s’étend sur une superficie de 8 000 m², emploie 26 personnes et dispose d’une capacité de production annuelle allant jusqu’à 20 millions de briques de parement Pirrouet®, avec la possibilité de doubler son volume de production grâce à de nouvelles extensions et investissements. À l’avenir, Vandersanden a pour objectif de construire plusieurs usines Pirrouet®, une extension qui apportera des avantages environnementaux plus larges et soutiendra davantage les objectifs de durabilité de l’entreprise.
Un an après le lancement de ce produit innovant, Pirrouet® a déjà été sélectionné pour plusieurs projets de construction, notamment le Green Nobelhorst à Almere aux Pays-Bas, où 60 logements écologiques sont en cours de construction à l’aide de 320 000 briques Pirrouet®. Chaque mètre carré de façade stocke en permanence 8,5 kg de CO2, dont 7 kg absorbés lors de la production et 1,5 kg capté pendant la durée de vie du bâtiment, soit un total de 42 500 kg de CO2.De même, pour la rénovation du Living Tomorrow Innovation Campus à Bruxelles, les architectes ont choisi le Pirrouet® Prisma en forme de diamant, qui offre une flexibilité de conception et une polyvalence esthétique exceptionnelles. Les façades du campus ont intégré 500 mètres carrés de briques de parement Pirrouet® Prisma, capables d’absorber 5,5 tonnes de CO2.
Pendant trop longtemps, les industries locales ont été négligées, aux prises avec des coûts énergétiques élevés, des charges réglementaires et un accès inégal au soutien à la décarbonation. Avec plus de 800 000 emplois directs et indirects menacés, une action urgente est nécessaire pour empêcher la désindustrialisation et renforcer les chaînes d'approvisionnement de l'UE.
L'Inclusive Clean Industrial Deal doit :
Agissons: nous avons des idées concrètes pour y parvenir !
L'industrie européenne de la céramique a présenté une proposition claire pour un dialogue ouvert avec les principales parties prenantes et les décideurs politiques afin de développer un cadre politique industriel inclusif dans lequel tous les secteurs peuvent prospérer. Plus de 50 députés européens de tous les groupes politiques soutiennent un Inclusive Clean Industrial Deal qui garantit que les industries locales à forte intensité énergétique et les PME obtiennent le soutien qu'elles méritent.
La Commission européenne, sous la direction de la présidente Ursula von der Leyen et du vice-président exécutif Stéphane Séjourné, doit prendre cette proposition au sérieux et en faire une priorité dans le prochain accord industriel propre. Le moment d'agir est MAINTENANT : nous devons façonner l'avenir de l'industrie européenne, ne pas permettre une désindustrialisation accrue et des dépendances extérieures croissantes.
Veuillez lire l'article complet d'Euractiv https://bit.ly/4jW6I7A
En 2021, Erlus avait déjà démontré les avantages du Cool Roof en équipant un complexe de bâtiments dans le sud de la France avec des tuiles blanches du modèle Linea. Ce succès a encouragé le fabricant à intégrer définitivement le Cool Roof dans sa gamme, et a donné naissance au modèle Level RS « cool roof blanc ».
Avec son degré de réflexion solaire élevé, ce nouveau modèle à surface blanche réfléchissante emmagasine moins de chaleur que les tuiles traditionnelles rouges, brunes ou noires. Sa surface reste plus fraîche, et, en renvoyant une forte proportion des rayons solaires, elle contribue à réduire la température des bâtiments et de leur environnement immédiat. Une propriété bénéfique notamment en milieu urbain, afin d’atténuer l’effet d’îlot de chaleur.
Des performances démontrées scientifiquement
Erlus a collaboré avec l’Université des Sciences appliquées de Stuttgart pour analyser et comparer sa nouvelle tuile avec un modèle plus classique en terre cuite lisse de couleur rouge naturelle. Les résultats, obtenus pour une hauteur solaire de 37 degrés, démontrent que la tuile Level RS « cool roof blanc » affiche un degré de réflexion R de 68,4 % (± 1,5). En comparaison, la tuile rouge atteint un R de 20 % (± 1,0). Soit un degré de réflexion quasiment 3,5 fois plus élevé pour la première.
L'utilisation efficace des boues de déchets dans les pratiques de construction durables offre une solution universelle pour atténuer les impacts environnementaux. Alors que l'industrie minière continue d'extraire l'argile des mines d'argile, la demande de pratiques durables dans l'extraction des minéraux argileux et la production de briques augmente.
Les briques sont fondamentales dans la construction en maçonnerie, et les recherches actuelles explorent l'intégration de déchets industriels dans les briques en terre cuite pour améliorer leurs propriétés et atténuer les impacts environnementaux. Cette étude examine l'incorporation de boues résiduaires dans la fabrication de briques afin d'évaluer son potentiel de réduction des charges environnementales tout en maintenant les performances techniques.
L'analyse par spectrométrie de fluorescence X (XRF) révèle que les sols argileux et les boues de mosaïque contiennent des niveaux élevés de dioxyde de silicium (SiO₂) et d'oxyde d'aluminium (Al₂O₃), ce qui confirme leur adéquation comme substituts partiels des sols argileux. L'incorporation jusqu'à 30 % de boues de broyage (BS) et de boues de polissage (PS) dans le mélange de briques améliore considérablement les propriétés physiques et mécaniques, ce qui entraîne une réduction du retrait, une augmentation de la porosité et une amélioration de la résistance à la compression, atteignant jusqu'à 25 N/mm². Le taux initial d'aspiration des tests montre des valeurs inférieures à 5 g/mm², indiquant des caractéristiques d'absorption d'eau optimales.Diverses évaluations de lixiviabilité, notamment la procédure de lixiviation des caractéristiques de toxicité (TCLP), la procédure de lixiviation par précipitation synthétique (SPLP) et le test de lixiviation statique (SLT), confirment que les briques contenant jusqu'à 30 % de BS et de PS sont conformes aux normes de l'Agence américaine de protection de l'environnement (USEPA) et de l'Autorité de protection de l'environnement de Victoria (EPAV) pour les métaux lourds, ce qui les rend sans danger pour l'environnement.
De plus, les évaluations de la qualité de l'air intérieur confirment que ces briques sont conformes aux directives des codes de pratique de l'industrie sur la qualité de l'air intérieur (ICOP-IAQ). Cette étude démontre que l'utilisation de BS et de PS comme matières premières alternatives offre une solution durable et rentable alignée sur les objectifs de développement durable (ODD), favorisant des pratiques de production plus propres dans la fabrication de briques.
Contributeurs: Amir Detho, Aeslina Abdul Kadir, Ahmad Shayuti, Bin Abdul Rahim, Nejib Ghazouani, Abdelkader Mabrouk, Ahmed Babeker Elhag & Hesham Hussein Rassem
Source Nature - Rapports scientifiques volume 15, Numéro d'article : 4820 (2025)
Ce restaurant scolaire de la commune girondine se pare d’une couverture élégante et résistante, réalisée avec nos tuiles MARSEILLE Poudenx Rouge, accompagnées de nos tuiles en verre qui apportent une belle luminosité aux espaces.
Un projet de réhabilitation mené avec exigence et savoir-faire, en collaboration avec la mairie d’Arbanats, l'architecte Philip Gil du cabinet Audouin Lefeuvre Architectes (Bordeaux 33) et l’entreprise de couverture ETS Laurent (Coimères 33).
Une toiture durable qui conjugue performance et esthétique. Bravo aux équipes pour cette belle réalisation !
La machine dispose de plusieurs options de manipulation à régler directement depuis le panneau de commande, avec des dispositifs de poinçonnage et de façonnage.
Les mesures d'adaptation les moins brutales - fin de l'intérim, non-remplacement des départs naturels… - ont déjà été mises en oeuvre dans la filière des matériaux et produits de construction.
C'est un brutal rappel des faits pour les pouvoirs publics, entre panne de la construction neuve et hoquets de la rénovation. En France, après les promoteurs, les entreprises et artisans du bâtiment, la crise risque fort, désormais, de se traduire aussi par un choc social chez les industriels des matériaux et produits de construction.
Source Les Echos par Christophe Palierse
EQUIPCERAMIC, engagé en permanence à se consolider comme la meilleure ingénierie au monde dans l'industrie de la brique, est fier d'annoncer l'acquisition de l'unité de fabrication Beralmar, spécialisée dans les systèmes de combustion, les nouveaux combustibles et les énergies. Ce mouvement stratégique vient renforcer le savoir-faire d'EQUIPCERAMIC ainsi que sa capacité à offrir des solutions complètes et innovantes à ses clients de l'industrie de la brique.
Cette acquisition complète le portefeuille technologique d'EQUIPCERAMIC en intégrant l'expérience et la spécialisation de Beralmar dans l'utilisation de différents combustibles et solutions pour réduire les émissions. Cette avancée complète non seulement les capacités d'EQUIPCERAMIC mais renforce également sa vision de fournir à l'industrie de la brique des outils de pointe pour promouvoir la durabilité et l'efficacité.
Beralmar est depuis des décennies une référence dans le développement de technologies de combustion et de protection de l’environnement et poursuivra son activité en tant qu’organisation spécialisée sous le nom de Beralmar Energies. Désormais, au sein du cluster EQUIPCERAMIC, elle se concentrera exclusivement sur la recherche et le développement de solutions avancées avec des systèmes de combustion et des énergies durables, en préservant son héritage et en promouvant sa contribution au secteur.EQUIPCERAMIC, n'a pas l’intention d’effacer l’héritage de Beralmar, mais bien au contraire : promouvoir la spécialité qui l’a vu naître et grandir. EQUIPCERAMIC croye vraiment à l’importance de préserver son identité et son approche des innovations technologiques au profit de l’environnement et de l’industrie.
L’intégration de Beralmar Energies au sein de l’écosystème d’EQUIPCERAMIC représente un nouveau chapitre dans l’évolution des deux entreprises, garantissant un avenir plein d’innovations pour que leur clients puissent affronter les nouveaux défis du marché avec confiance et succès. Ce mouvement confirme l’engagement d’EQUIPCERAMIC envers l’excellence, la durabilité et le leadership dans l’industrie de la brique.
À propos d’EQUIPCERAMIC, c’est une entreprise leader mondiale en ingénierie et technologie pour l’industrie de la brique. Avec un parcours remarquable en matière d'innovation et d'excellence opérationnelle, elle propose des solutions intégrales allant de la conception d'usines complètes à la mise en œuvre de processus efficaces et durables. De plus, EQUIPCERAMIC se distingue par son engagement indéfectible envers le PROFESSIONNALITÉ, l'HONNÊTETÉ et son principe ferme de ne jamais abandonner ses clients. EQUIPCERAMIC est conscient que ce type de projets représente des investissements importants pour ses clients et que les délais sont généralement serrés pour commencer à produire le plus tôt possible. C'est pourquoi, ses clients peuvent être sûrs qu'EQUIPCERAMIC sera toujours à leurs côtés face à toute éventualité ou contretemps, aussi bien dans les bons que dans les moments difficiles, travaillant sans relâche pour surmonter tout inconvénient et assurer le succès de leurs projets.À propos de Beralmar Energies, désormais au sein du Groupe EQUIPCERAMIC, elle continuera à fonctionner comme une entreprise autonome dédiée à la fourniture de systèmes et d'équipements de combustion de haute qualité axés sur la protection de l'environnement et l'innovation technologique. Beralmar Energies est spécialisée dans les technologies de combustion et renouvelables, et met l'accent sur la réduction des émissions et le développement de solutions durables au profit de l'industrie et de l'environnement. Son héritage et sa spécialisation continueront d’être un pilier essentiel pour le développement de technologies qui font la différence dans le secteur.
Ce mouvement confirme l’engagement d’Equipceramic envers l’excellence, la durabilité et le leadership dans l’industrie de la brique au niveau mondial.
Quai de Jemmapes dans le 10ème arrondissement, la mairie de Paris expérimente actuellement une base logistique fluviale temporaire pour la livraison des matériaux par le canal.
Objectif : être au plus près des chantiers de voirie conduits dans la capitale. Les premiers résultats d'un dispositif qui permet de réduire le trafic de camions sont attendus cet été, avec la possibilité d'étendre le dispositif sur d'autres points de la ville. Reportage.
Paris est une ville de pavés, et même lorsqu'ils sont dissimulés sous une couche de bitume, ils sont bien présents dans 90% des artères de la capitale. Depuis toujours, ces blocs carrés de granit sont des matériaux en itinérance : enlevés d'une rue, ils sont replacés dans une autre ou dans tout autre espace nécessitant un matériau de chaussée résistant, durable et réemployable quasiment à l'infini.
En mars 2024, Wienerberger annonçait l'acquisition de Terreal, l'expert des tuiles et briques en terre cuite. Les 17 sites français de Terreal, dont les deux usines de Chagny (Saône-et-Loire), sont alors passés sous le contrôle du groupe autrichien.
Près d'un an après cette opération, et malgré la crise touchant la construction de maisons individuelles dont dépend fortement le groupe, Wienerberger continue ses efforts pour décarboner ses sites de production.
Tous les 2 ans, ce livret vous invite à découvrir une sélection de réalisations qui mettent en œuvre des produits de terre cuite visibles en façade. Ces programmes ont en commun d'avoir trouvé avec ce matériau une solution technique et esthétique.
Réalisé par Tarik Abd El Gaber en collaboration avec Nelly MONTEIL de la FFTB - Fédération Française des Tuiles et Briques.
Les toitures durables et écologiques méritent d'être examinées de plus près
Lorsqu'il est temps de remplacer un toit, la grande variété d'options peut sembler écrasante. Mais ces dernières années, les toitures composites (également appelées toitures synthétiques) ont gagné du terrain pour une bonne raison. Ces matériaux innovants imitent l'apparence des toits traditionnels (ardoise, bardeaux de cèdre et argile), mais offrent des avantages modernes comme la longévité, la durabilité et un faible entretien. Si vous êtes à la recherche d'un toit qui doit avoir l'apparence et les performances, assurez-vous de prendre en compte les avantages à long terme du composite.
Qu'est-ce qu'une toiture composite exactement ?
La toiture composite est un mélange fabriqué de polymères recyclés (plastiques) et d'autres matériaux avancés. Elles sont conçues pour reproduire l'apparence des types de toitures traditionnels, comme les tuiles en argile naturelle, les toitures en ardoise naturelle et les bardeaux de cèdre, tout en offrant une durabilité et une durabilité supérieures. Brava Roof Tile est l'une de ces marques. Comme l'explique Brian Davis, directeur principal du support de la marque, « Les matières premières sont décomposées, moulées et inspectées pour garantir la cohérence des propriétés physiques et des couleurs, créant des tuiles légères, durables et respectueuses de l'environnement. »
L'un des principaux attraits de la toiture composite est son adaptabilité à différents styles architecturaux. Que vous souhaitiez le charme d'un bardeau de bois ou l'aspect de l'ardoise naturelle sans le poids supplémentaire, les alternatives synthétiques peuvent être la solution idéale.
Avantages de la toiture composite pour les propriétairesNicolas Cruaud, cofondateur de Néolithe, start-up spécialisée dans la fabrication d’unités de traitement des déchets non recyclables par fossilisation accélérée, à Beaulieu-sur-Layon (Maine-et-Loire), le 3 septembre 2024. BRUNO LEVY / CHALLENGES-REA
La longue façade en briques rouges se détache dans le brouillard de ce matin glacial de janvier. Sur deux étages, les contours des fenêtres sont joliment maçonnés dans un béton imitant le tuffeau, la pierre claire emblématique des constructions locales. L’usine, sortie de terre en 2024 dans la zone d’activités de Beaulieu-sur-Layon (Maine-et-Loire), tout près des vignobles d’Anjou, ressemble à une manufacture à l’ancienne, comme au temps de la révolution industrielle triomphante. C’est voulu. « Une usine, ça doit être beau, la nôtre a été construite en briques pour cela. Les usines d’aujourd’hui en tôle et en verre qui ressemblent à des hangars standardisés, personne n’a envie d’y travailler ou d’habiter à côté », explique Nicolas Cruaud. Baskets et barbe en broussaille, le presque trentenaire (29 ans) est le président et cofondateur de Néolithe, une start-up industrielle qui entend bouleverser le monde du traitement des déchets.
Baisse des ventes de béton, gravats, grues, pelleteuses: après les constructeurs immobiliers, leurs fournisseurs industriels s'enfoncent dans la crise du bâtiment en France, qui va déboucher en 2025 sur des "plans sociaux", a averti l'association des industries des produits de construction (AIMCC). "Cette année, nous allons assister à des plans sociaux dans nos entreprises, après la fin de leurs contrats d'intérim en 2024", a prévenu Jacques Manzoni, président de la commission économique de cette association qui regroupe les fabricants de matériaux, lors d'une conférence sur les perspectives 2025 du secteur.
Selon une enquête interne, 52% des adhérents de l'association estiment que leurs effectifs "vont diminuer" en 2025, contre 43% prévoyant qu'ils vont "stagner".
Pour l'instant, "il y a eu assez peu de plans sociaux, les entreprises ont essayé de les éviter en adaptant leurs effectifs via la fin de leurs contrats d'intérim", a expliqué Philippe Gruat, président de l'AIMCC, "mais certains plans sociaux sont à l'étude aussi bien dans les secteurs industriels liés au gros oeuvre que dans le second oeuvre".
"La catastrophe était annoncée. Nous n'avons pas été écoutés par les gouvernements successifs, il n'y a pas eu de politique du logement depuis de nombreuses années", a-t-il déploré. "Maintenant que nous sommes dans la crise, nous avons une meilleure écoute", a-t-il dit, regrettant qu'il doive "se passer des mois" avant que les mesures envisagées par le gouvernement pour soutenir l'activité (relance des prêts à taux zéro, mesures d'allégement fiscaux sur les transmissions de logement) dans le projet de budget 2025, ne soient mises en oeuvre.
L'AIMCC représente 7.000 entreprises de plus de 20 salariés, regroupées dans 39 organisations adhérentes, comptant 450.000 emplois et réalisant 60 milliards de chiffre d'affaires annuel sur le marché français.
L'association Evolis, qui regroupe les fabricants de matériels utilisés par l'industrie et le BTP (robots d'usine, grues, engins de chantier...), a de son côté annoncé un recul de 1% du chiffre d'affaires de ses adhérents l'an passé, sans évoquer de plans sociaux. Dans ce secteur, le chiffre d'affaires qui a le plus reculé en 2024 est celui des nacelles, grues, matériels de terrassement et pelleteuses (-7,9%). Les ventes de matériels de terrassement ont même chuté de 25% l'an dernier.
La Logica Emotions utilise une technologie de coloration avancée pour reproduire le rendu et l’authenticité de l’ardoise naturelle avec 25 nuances différentes.
Idéale pour les rénovations mais aussi les constructions neuves, elle est compatible avec la pose en bardage et les toitures en pente.
Un ensemble d’accessoires haut de gamme, parfaitement assortis aux tuiles, garantit une finition parfaite.
Monier offre des services d’accompagnement de qualité, incluant un simulateur de toiture et la BMI Academy.
L’intervention du président du Conseil départemental de l’Allier, et conseiller départemental du secteur, Claude Riboulet qui a poussé pour éviter une fermeture immédiate, a permis de mettre ce projet en pause. Pas de cessation d’activité pour l’heure, mais pour combien de temps ?
Dès lundi, d’ailleurs, une procédure d’activité partielle de longue durée (APLD) va débuter, l’usine va s’arrêter ou du moins, tourner à minima. Et pour ces deux représentants des salariés que nous avons joints, l’inquiétude est bien réelle.
Pour les salariés, la période est d’autant plus difficile à digérer, qu’ils n’avaient pas vraiment d’indices pouvant laisser imaginer pareille situation.
Contactée à plusieurs reprises par mail ces deux derniers jours, le groupe Edilians, propriétaire du site, n’a pas répondu à nos sollicitations.
PlanMaster utilise une combinaison de photographie aérienne haute résolution, de modélisation 3D et d'examen technique pour fournir des mesures de toiture précises. En utilisant PlanMaster, les couvreurs et les prescripteurs peuvent obtenir des mesures de toiture précises à distance, facilitant les visites de chantier et permettant aux études, estimations et spécifications de projets de progresser rapidement, a déclaré BMI.
Outre des mesures de toiture d'une précision d'au moins 95 % sur toute la surface du toit, PlanMaster fournit un rapport détaillé comprenant des données décomposées en tous les éléments critiques du toit, des diagrammes et des illustrations qui identifient les caractéristiques clés du toit et des photographies aériennes.
Pour obtenir une image précise de chaque toit, PlanMaster s'appuie sur des images aériennes capturées par des avions spécialisés, 95 % du Royaume-Uni étant déjà documenté à une résolution minimale de 20 cm par pixel. Grâce à cela, l'équipe technique de PlanMaster peut identifier les exigences clés du projet dès le début du processus de planification, avant même qu'une étude de site ne soit effectuée.
Disponibles pour les projets domestiques (moins de 300 m²) et commerciaux (300 m² à 15 000 m²), les rapports de mesure PlanMaster peuvent être commandés en ligne et reçus dans les 48 heures.
Une image claire
Le directeur des ventes de BMI, Chris Nicholls, a déclaré : « Nous savons tous qu'il est important d'obtenir chaque détail dès le début d'un projet de réfection de toiture, ce qui permet de prévoir avec précision les besoins en matériaux, les coûts et les délais du projet. PlanMaster ne se contente pas de garantir la précision : il permet également aux couvreurs, aux entrepreneurs et aux prescripteurs de gagner un temps précieux en leur fournissant des mesures et des plans de toiture détaillés à distance.
« En règle générale, obtenir les mesures dont vous avez besoin peut nécessiter des visites sur site et un accès au toit qui prennent du temps, ce qui entraîne des problèmes de sécurité, avant le début d’un projet. Même dans ce cas, il n’est pas toujours facile d’avoir une idée claire du toit et de ses exigences, ce qui peut parfois entraîner des problèmes imprévus par la suite. Les services de mesure avancés de PlanMaster éliminent ces problèmes et accélèrent le processus initial de génération d’un devis ou de préparation d’un appel d’offres. Grâce à un accès en ligne disponible à tout moment et en tout lieu, vous pouvez gagner du temps et réduire les coûts dès le début d’un projet. »
Ibstock, un fabricant leader de produits de construction avec plusieurs sites à travers le Royaume-Uni, a récemment pris la décision d'investir 64 millions de livres sterling dans le réaménagement de son site Atlas.
La nouvelle usine a le potentiel de produire 115 millions de briques par an, soit une augmentation nette de 75 millions de briques.
La gamme produite chez Atlas bénéficiera d'une réduction d'environ 50 % du carbone incorporé par rapport à l'usine précédente, ainsi que d'une nouvelle et magnifique gamme Pathfinder, une collection des premières briques certifiées CarbonNeutral (R) du Royaume-Uni. Les collections de briques ont été développées avec des clients du secteur de la construction de maisons pour répondre à leurs besoins en briques à faible teneur en carbone sans compromettre la qualité, les performances ou l'esthétique.
L'investissement sur le site d'Atlas comprend plusieurs technologies d'efficacité énergétique, d'optimisation de la chaleur et d'électricité renouvelable sur site. Elle bénéficiera également de manière significative à l’économie locale en termes d’emploi, l’usine rénovée soutenant 60 emplois hautement qualifiés dans le secteur de la fabrication et de l’ingénierie, y compris de nouvelles opportunités d’apprentissage.
La gamme Pathfinder est la première brique certifiée CarbonNeutral(R) d’Ibstock. Cela signifie que le carbone produit pendant la fabrication ainsi que les émissions de carbone tout au long du cycle de vie du produit sont pris en compte. Ibstock s’est engagé à réduire son empreinte carbone et son ambition est de réduire son empreinte carbone de 40 % d’ici 2030 et d’être Net Zero sur le plan opérationnel d’ici 2040.
Le Groupe ne s’arrêtera pas là. Alors que nous poursuivons notre approche Pathfinder, nous travaillons déjà sur de nouvelles technologies et solutions pour réduire davantage le carbone et atteindre des opérations nettes zéro d’ici 0 ; nous sommes à la pointe de l’innovation et nous engageons les employés et la communauté locale pour faire progresser les améliorations environnementales et l’impact social, en particulier dans la région.
Créer des opportunitésIbstock est réputé pour sa fabrication de briques, mais notre expertise s'étend bien au-delà. Nos équipes innovantes créent une gamme diversifiée de produits et de solutions de construction qui établissent des normes industrielles. Nous permettons aux architectes, aux constructeurs, aux entrepreneurs et aux promoteurs de créer des maisons, des lieux et des espaces exceptionnels dans tout le Royaume-Uni. Notre portefeuille de produits comprend des briques d'argile, des tuiles, de la maçonnerie architecturale, des systèmes de façade et d'autres solutions de construction durables. En proposant cette gamme complète, nous continuons à soutenir les besoins évolutifs du secteur de la construction et à contribuer à la transformation de l'environnement bâti, alors que nous cherchons tous à réduire notre empreinte carbone.
Nous sommes également passionnés par le développement de nos collaborateurs, afin de pouvoir continuer à proposer une gamme diversifiée de produits et de solutions de construction à nos clients. Nos programmes d'apprentissage, disponibles dans tout le pays, offrent la possibilité de se former à un poste hautement qualifié, d'obtenir une qualification reconnue au niveau national et d'être payé pendant que vous apprenez. À l'issue du programme, nos apprentis sont idéalement placés pour développer leur carrière chez Ibstock.
Les apprentissages durent de 15 mois à 4 ans, chacun offrant un salaire compétitif et la possibilité d'acquérir des compétences pour l'avenir. Chaque apprenti bénéficie d'un apprentissage en milieu de travail aux côtés d'un mentor expérimenté.
Toby Ashcroft, stagiaire en gestion de la fabrication, a commenté : « Je suis fier d'être un apprenti Ibstock car je ne suis pas seulement un apprenti, mais je fais partie d'une équipe. Faire partie de l'équipe signifie que je peux travailler sur des projets passionnants qui font une différence non seulement pour l'entreprise, mais aussi pour l'environnement. Contribuer à des initiatives qui réduisent les émissions de carbone et renforcent les efforts d'Ibstock en matière de développement durable est à la fois gratifiant et inspirant », ajoutant : « Ibstock est très doué pour créer des opportunités pour ses apprentis afin qu'ils acquièrent une visibilité précieuse dans l'ensemble de l'entreprise. La chance d'entrer en contact avec des personnes de tous les secteurs du groupe est formidable. Ces opportunités élargissent notre compréhension et aident à établir des relations solides qui nous aideront à progresser dans l'entreprise. Je recommande vivement à toute personne souhaitant apprendre auprès d'experts du secteur et développer des compétences pratiques et une compréhension d'une carrière ou d'un métier spécifique. »
Joe Hudson, PDG d'Ibstock, a commenté : « Je suis incroyablement fier de notre programme d'apprentissage primé et de longue date ici chez Ibstock Plc. Forts d’un héritage fier qui remonte à plus de 200 ans, nous avons des moments passionnants devant nous dans notre secteur, car nous aidons les gens à mieux vivre et travailler pour les générations à venir.