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29/03/2025

Allemagne l'usine wienerberger/Terca de Buchwäldchen met en service une nouvelle extrudeuse Händle Futura II

Une mise en service réussie avec des économies d’énergie impressionnantes !

Händle a finalisé la mise en service réussie d'une extrudeuse FUTURA II (composée d’une extrudeuse de type E65B/56 et d’un mélangeur à double arbre de désaération MDVG920F) avec de nouveaux entraînements économes en énergie chez  Wienerberger Ziegelindustrie (WZI), à Buchwäldchen.

Le résultat ? 40 % de consommation d’énergie en moins – un grand pas vers une production durable ! 

L’usine de Buchwäldchen fabrique désormais des briques de parement et des clinkers Terca, ainsi que des pavés Penter et des clinkers de canal, avec une efficacité maximale.

Un grand succès pour la directrice de l’usine Katrin Zöllner et à sa fantastique équipe pour l’excellente coopération et la confiance qu’ils ont accordé à Händle.

Source LinkedIn

17/03/2025

Belgique- wienerberger lance Elfino Grande: une tuile pour la toiture et la façade

Une architecture extraordinaire mérite des solutions extraordinaires. C'est pourquoi wienerberger lance la nouvelle tuile plate en terre cuite Elfino Grande, le mariage de la finesse et de la fonctionnalité. Appropriée pour la toiture comme pour la façade, cette tuile innovante offre aux architectes et aux professionnels de la construction une solution à la fois esthétique et durable.

Une tuile à l’aspect fin, mais pétrie de caractère

La dernière nouvelle collection de tuiles plates signée wienerberger surprend par son design allongé et son pureau fin. Grâce à son look épuré et contemporain, elle confère à chaque bâtiment un caractère architectural. La collection Elfino Grande se compose de deux tuiles: la tuile Elfino Grande (18,4 pièces/m²) conçue pour la toiture et la façade, et la tuile raccourcie Elfino Grande (28,6 pièces/m²) spécifiquement destinée aux façades. Cette collection se décline en trois teintes aux nuances chaudes: gris clair, rouge rouille et brun foncé. Chaque variante de couleur arbore des différences de nuances subtiles qui créent un effet vivant et naturel, permettant à la tuile de s'intégrer facilement dans différents styles architecturaux. En faisant se prolonger des tuiles de même couleur sur le toit et la façade, vous créez en outre de l’homogénéité ainsi qu’un look épuré qui accentue la forme du bâtiment.

Pose rapide et efficace 

Outre son esthétique, la tuile Elfino Grande offre aussi des avantages pratiques pour les couvreurs car, grâce à son talon d’accrochage continu en partie supérieure, sa pose est extrêmement rapide et aisée. De plus, en raison de son format généreux, les couvreurs auront besoin de beaucoup moins de tuiles plates au mètre carré. Elfino Grande convient en outre parfaitement pour les projets de rénovation. Il ne sera en effet généralement pas nécessaire de renforcer la structure du toit existante. Les tuiles de la collection Elfino Grande peuvent être appliquées tant en pose à joints croisés qu’en pose en appareillage sauvage.

Durables et réutilisables 

Les tuiles de cette nouvelle collection sont produites localement à partir de matières premières naturelles et recyclables. Grâce au processus d’engobage, ces tuiles plates en terre cuite sont inaltérables. De plus, pouvant être démontées et réutilisées, elles conviennent donc à merveille pour des projets de construction circulaire.   

wienerberger.be/fr/elfino-grande

Source Livios

09/03/2025

Roumanie: L'usine Berca joue un rôle dans la stratégie de développement durable de Wienerberger

L'usine de Berca, en Roumanie, est considérée comme un centre d'excellence pour la production de briques respectueuses de l'environnement.

En mettant l'accent sur la décarbonation, l'économie circulaire et la biodiversité, le groupe autrichien wienerberger ouvre la voie à un avenir durable en accord avec le Green Deal européen. L'entreprise entend réduire les émissions de production de 25 % supplémentaires d'ici 2026 et augmenter le pourcentage de produits recyclables ou réutilisables à plus de 90 %. D'ici la même année, 75 % du chiffre d'affaires total proviendra de produits utilisés pour construire des bâtiments à empreinte carbone neutre.

L'année dernière, wienerberger a franchi une nouvelle étape importante vers son objectif de neutralité climatique avec la modernisation de son usine de production de briques à Berca, en Roumanie. La durabilité était au cœur de cet investissement, et aujourd'hui, l'usine répond aux normes les plus élevées d'efficacité de production et de réduction de l'utilisation des ressources. Grâce à un nouveau procédé de séchage, les émissions de carbone de l'usine ont été réduites d'environ 4 000 tonnes par an.

L'usine de Berca, qui a officiellement rouvert ses portes le 16 septembre 2024, est considérée comme un centre d'excellence pour la production de briques respectueuses de l'environnement et constitue un élément essentiel de la stratégie de développement durable de wienerberger. L'usine est située près de Bucarest, une ville où l'activité de construction est importante et où la demande de produits adaptés aux bâtiments à zéro émission est forte.

wienerberger est présent en Roumanie depuis 1998 et est l'un des plus grands producteurs de matériaux de construction du pays. L'entreprise exploite un total de sept sites de production dans le pays et emploie environ 550 personnes.

Source CeramicWorldWeb

04/03/2025

Belgique: L'entreprise Wienerberger pourrait fermer une briqueterie à Malle

Le fabricant de briques autrichien Wienerberger envisage la fermeture de son usine située à Malle, dans la province d'Anvers, a-t-il indiqué vendredi. Le site de Malle compte une cinquantaine de salariés.

"Si cette intention se confirme, nous explorerons toutes les options pour parvenir à un remploi maximal au sein du groupe", a déclaré vendredi un porte-parole. "Wienerberger reste déterminé à maintenir sa gamme de produits à la disposition de ses clients."

L'usine de Malle, où sont fabriquées des briques de façade avec de la terre locale, ne serait pas déficitaire. Cependant, les investissements ont fait défaut ces dernières années.

Les raisons de cette éventuelle fermeture sont multiples. Le malaise dans la construction se poursuit et le nombre de prêts hypothécaires conclus ne cesse de diminuer.

En outre, il faut souvent beaucoup de temps aux entreprises comme Wienerberger pour obtenir certains permis. Elles sont aussi confrontées à des réglementations environnementales européennes de plus en plus strictes.

Enfin, l'éventuelle délocalisation de la production de Malle vers Kortemark, en Flandre occidentale, pourrait également jouer un rôle.

Direction et syndicats restent muets "pour donner toutes les chances à la concertation sociale". La direction a toutefois affirmé que l'intention de fermeture venait du siège social de Courtrai, et non de l'étranger.

Des discussions sont prévues dans les prochaines semaines.

Source DHnet

03/03/2025

Wienerberger augmente son dividende malgré la chute de ses bénéfices

Le fabricant de briques Wienerberger surprend avec un dividende plus élevé

Le fabricant autrichien de briques Wienerberger satisfait ses actionnaires avec un dividende plus élevé malgré une baisse de ses bénéfices.

Les actionnaires recevront un dividende de 0,95 EUR (0,90) par action pour l'exercice écoulé, a annoncé mercredi la société basée à Vienne. Les investisseurs réagissent avec joie. À la bourse nationale, les actions de la société ont grimpé de 4,8% à 31,68 euros dans les premiers échanges. Le versement de dividendes plus élevé a surpris positivement le marché. « Nous nous attendions en fait à une réduction du dividende », a déclaré Erste Group dans une première évaluation.

En outre, l'entreprise souhaite à nouveau accroître ses activités au cours de l'exercice en cours, après que le récent ralentissement du secteur de la construction ait entraîné de lourdes pertes. Le résultat d'exploitation avant intérêts, impôts, dépréciations et amortissements (EBITDA) a chuté de dix pour cent à 706,6 millions d'euros au cours du dernier exercice. En fin de compte, les bénéfices ont chuté de 76 pour cent à 79,8 millions d'euros. Le résultat a également été impacté par des effets négatifs ponctuels liés à la vente de l’activité russe. En 2025, l’EBITDA devrait être d’environ 800 millions d’euros.

« Le secteur de la construction a été confronté à des défis considérables en 2024 », a déclaré le PDG Heimo Scheuch. La construction de maisons unifamiliales et multifamiliales, notamment en Allemagne et en Autriche, a diminué de plus d'un quart l'année dernière. La reprise attendue sur les marchés de la construction résidentielle neuve ne s’est pas matérialisée. La hausse des taux d’intérêt, l’augmentation des coûts de construction et l’incertitude politique ont rendu le développement encore plus difficile, explique le groupe. Selon Scheuch, le résultat reste le troisième meilleur de l’histoire de l’entreprise.

Des contre-mesures ont été prises pour réaliser des économies. Au total, ces mesures ont contribué à hauteur de 100 millions d’euros aux bénéfices et ont permis de garantir une marge opérationnelle solide d’environ 17 %. L’objectif est d’augmenter la marge à 17,5 pour cent d’ici 2025. Le secteur d'activité des infrastructures devrait également connaître un développement stable au cours de l'année en cours, tandis qu'une légère croissance est prévue pour le secteur d'activité de la rénovation.

Source MarketScreener

20/02/2025

wienerberger annonce l'annulation de 2 % de son capital-actions après la conclusion du rachat d'actions

wienerberger s'engage à une politique d'allocation de capital disciplinée qui améliore constamment la valeur actionnariale tout en maintenant à tout moment une position de bilan solide. Les rachats d'actions ainsi qu'une politique de dividendes attrayante offrent un rendement accru aux actionnaires. Dans le cadre de sa politique d'allocation de capital, wienerberger s'engage à racheter et à annuler 1 à 2 % de son capital social chaque année, en fonction des conditions du marché.

wienerberger est un fournisseur international de premier plan de solutions innovantes et écologiques pour l'enveloppe du bâtiment dans les domaines de la construction neuve et de la rénovation, ainsi que des infrastructures pour la gestion de l'eau et de l'énergie. Même dans les périodes difficiles, wienerberger a constamment poursuivi sa stratégie de croissance créatrice de valeur. Le développement de l'entreprise a été très satisfaisant, combinant croissance organique, programme ambitieux d'optimisation commerciale et opérationnelle et acquisitions attrayantes pour élargir le portefeuille de l'entreprise.

Le programme de rachat d'actions le plus récent a été conclu début février 2025.

Du 30 décembre 2024 au 7 février 2025 inclus, la société a acquis 1 125 000 actions ordinaires au porteur de Wienerberger AG à un prix moyen de 26,78 € via la Bourse de Vienne.

Heimo Scheuch, PDG de wienerberger, a commenté :

« Les rachats d'actions constituent un élément important de notre stratégie d'allocation de capital et, associés à une politique de dividendes attrayante, offrent un rendement accru aux actionnaires. La semaine dernière, nous avons mené à bien notre dernier programme de rachat d'actions. Pour accroître encore la valeur actionnariale, nous annulerons jusqu'à 2 % du capital social au cours des prochains mois. »

Source wienerberger

24/01/2025

Wienerberger renforce son partenariat avec Habitat pour l’humanité

Wienerberger prolonge son partenariat avec Habitat for Humanity International pour loger les personnes dans le besoin

Wienerberger AG, un acteur international de premier plan dans la fourniture de solutions écologiques et innovantes pour l’enveloppe des bâtiments, a récemment renouvelé son partenariat avec l’organisation à but non lucratif Habitat for Humanity International. Cette collaboration vise à offrir des logements abordables, dignes et durables, et ce, dans le cadre d’une initiative plus vaste en faveur de la construction durable.

Depuis 2012, cette association a rendu possible la réalisation de nombreux projets ciblant principalement l’Europe et l’Amérique du Nord. En prolongeant leur engagement pour trois années supplémentaires, jusqu’en 2027, Wienerberger et Habitat for Humanity espèrent continuer à apporter une aide significative aux populations vulnérables.

Au cours des douze dernières années, plus de 6,300 personnes ont bénéficié de ce partenariat, qui a permis la création de plus de 600 unités d’habitation. En plus de la construction de logements, des projets de développement de structures sociales ont également été mis en œuvre, incluant des centres pour les personnes handicapées et la rénovation d’écoles. Les projets à venir se concentreront essentiellement en Hongrie, Pologne, Roumanie, Slovaquie, Royaume-Uni et États-Unis.

Heimo Scheuch, PDG de Wienerberger, a déclaré à propos de cette coopération renouvelée : « Le logement est un défi social crucial à l’échelle mondiale. Des foyers sûrs sont indispensables pour garantir de bonnes conditions de vie et ouvrir de nouvelles opportunités. En tant qu’acteur majeur du secteur de la construction, nous avons une responsabilité particulière à cet égard. C’est pourquoi nous soutenons Habitat for Humanity International par des dons de produits et des solutions de construction innovantes et économes en ressources. Nous sommes fiers de poursuivre ce partenariat pendant au moins trois ans supplémentaires afin d’améliorer davantage de vies et de bâtir ensemble des avenirs plus radieux. »

La construction de logements pour les personnes dans le besoin s’inscrit également dans la stratégie ESG (Environnement, Social et Gouvernance) de Wienerberger. Actuellement, l’entreprise s’est fixée pour objectif de construire au moins 200 unités d’habitation par an pour les personnes défavorisées dans ses marchés locaux, en utilisant ses propres solutions, comme les briques et tuiles en terre cuite. De plus, les employés de Wienerberger s’engagent bénévolement dans ces efforts de construction, apportant leur temps et leur savoir-faire.

Points à retenir

Partenariat durable : La collaboration entre Wienerberger et Habitat for Humanity a été prolongée jusqu’en 2027, mettant l’accent sur des projets en Europe et en Amérique du Nord.

Impact significatif : Depuis 2012, plus de 6,300 personnes ont été aidées, avec la création de 600 unités de logement et le développement de structures sociales.

Engagement des employés : Les bénévoles de Wienerberger jouent un rôle actif dans la mise en œuvre des projets, renforçant ainsi le lien communautaire.

Vision ESG : Le groupe se fixe des objectifs ambitieux en matière de logements pour les personnes dans le besoin, intégrant cette initiative dans sa stratégie de durabilité.

Ce partenariat entre Wienerberger et Habitat for Humanity soulève une réflexion sur la responsabilité sociale des entreprises dans la lutte pour offrir de meilleures conditions de vie aux plus démunis. Quelles autres initiatives pourraient être mises en place pour élargir cette approche et toucher encore plus de personnes dans le besoin ?

Source: Les NewsCA  par Nerdy Gamlouse

22/01/2025

Wienerberger dévoile l’ISObric, la brique isolante de 20 cm la plus performante du marché

Face aux exigences croissantes de la RE2020, Wienerberger innove avec une solution unique : l’ISObric

Ce n’est pas un scoop, le secteur de la construction est en forte progression ! Davantage d’habitants à loger nécessitent inéluctablement de construire de nouvelles habitations. Néanmoins, faut-il rappeler que le béton est l’un des matériaux les plus polluants de la planète, comme le rappelle cette infographie publiée sur build-green.fr. Nous vous avons déjà parlé de l’entreprise innovante Wienerberger dans cet article, ou bien dans celui-ci. Et, encore une fois, elle s’impose comme un acteur incontournable grâce à l’ISObric, l’une de ses dernières innovations. Cette brique de 20 cm d’épaisseur se distingue par des performances thermiques exceptionnelles et un design pensé pour répondre aux défis posés par la RE2020. Je vous invite à la découvrir.

Une brique compacte aux performances thermiques inégalées

Avec l’ISObric, Wienerberger a relevé un défi ambitieux : intégrer trois rangées d’alvéoles remplies de laine de roche de 40 mm dans une brique de seulement 20 cm d’épaisseur. Le résultat ? Une performance thermique impressionnante, qui, une fois associée à une isolation intérieure de type 10 + 100 Th32, dépasse un coefficient R mur fini de 5 m².K/W. Mais, ce n’est pas tout : grâce à sa faible épaisseur, cette brique permet de libérer de précieux mètres carrés habitables, un avantage indéniable pour les constructions dans lesquelles chaque centimètre compte. L’ISObric ne se contente pas de respecter les exigences réglementaires de la RE2020. Elle les surpasse.

L’ISObric, l’isolant idéal pour répondre à un mauvais DPE

Ah le fameux DPE, ou Diagnostic de Performance Énergétique, depuis le 1ᵉʳ janvier, les logements classés F ou G, ne sont plus éligibles à la location. Pour les propriétaires, obligés à la rénovation thermique, l’ISObric pourrait être une solution. En effet, avec cette brique, une maison individuelle de plain-pied peut gagner 2,4 points de Bbio, et jusqu’à 5 points pour une maison à étage (R+1). Et, le succès de l’ISObric repose également sur sa simplicité d’utilisation. Avec des dimensions standardisées (500 × 200 × 299 mm) et une compatibilité avec les accessoires actuels, cette brique s’intègre facilement dans les projets de maçonnerie existants. Que ce soit pour la rénovation thermique de bâtiments anciens, ou pour de nouveaux projets immobiliers, l’ISObric pourrait rapidement s’imposer comme une solution écologique et économique.

Quel est le dernier point fort de l’ISObric ?

Autre point fort : cette brique reste un support d’enduit robuste grâce à ses parois renforcées. Elle procure par ailleurs des solutions efficaces pour les ruptures de ponts thermiques, améliorant ainsi l’enveloppe énergétique globale du bâtiment. Sa conception low-tech ne nécessite pas d’équipements spécifiques, ce qui en fait un produit accessible et pratique, même pour les artisans. Enfin, et c’est quand même le nerf de la guerre, son coût est légèrement supérieur, d’approximativement 1 200 € pour 120 m².

Avec ces briques, le besoin en isolation est réduit, ce ce qui permet de gagner de la surface lors de vos constructions. Crédit photo : Wienerberger France (capture d’écran vidéo YouTube)

Un surcoût rapidement récupéré grâce aux économies d’énergie réalisées. Et vous, seriez-vous prêts à adopter l’ISObric ? Avec des arguments si convaincants, si vous souhaitez en savoir plus, rendez-vous sur le site officiel : wienerberger.fr

Source NeoZone par Nathalie Kleczinski

08/01/2025

Wienerberger sous pression : bénéfice en baisse de 85 pour cent

Wienerberger est confronté à d'énormes problèmes : une baisse des bénéfices de 85 %, des coûts d'arrêt se chiffrant en millions et une faible demande pèsent sur l'entreprise de matériaux de construction. Le rachat record de Terreal peut-il changer la donne ?

Le groupe de matériaux de construction Wienerberger, coté en bourse, souffre de la conjoncture économique actuelle et des conditions météorologiques extrêmes.

Wienerberger est aux prises avec des conditions de marché difficiles et des catastrophes naturelles

Le groupe de matériaux de construction classé Wienerberger est confronté à des défis majeurs face à un environnement économique difficile et à des phénomènes météorologiques extrêmes croissants. Le bénéfice net du plus grand fabricant de briques au monde a chuté de 85 % au cours des trois premiers trimestres de l'année, passant de 312,5 millions d'euros à seulement 46,1 millions d'euros. Le chiffre d'affaires, en revanche, est resté largement stable à 3,4 milliards d'euros (année précédente : 3,3 milliards d'euros).

Les défis du marché de la construction et de la rénovation de logements

"La reprise attendue pour 2024 sur les marchés de la construction résidentielle neuve ne s'est pas produite", a expliqué Wienerberger. La raison en est le retard dans la réduction des taux d'intérêt et l'efficacité limitée des mesures gouvernementales sur des marchés importants comme l'Autriche, l'Allemagne, la France et l'Amérique du Nord. En outre, l'incertitude politique, par exemple avant les élections américaines, ainsi que les inondations catastrophiques ont pesé sur la demande au troisième trimestre.

Toutefois, la demande en Europe de l'Est ainsi qu'en Grande-Bretagne et en Irlande a eu un effet positif, qui a partiellement compensé la faiblesse des marchés d'Europe occidentale - notamment en France et en Allemagne - et aux États-Unis. Selon l'entreprise, les secteurs d'activité des infrastructures et de la rénovation ont continué à se développer de manière solide.

Réalisation de la plus grande acquisition de l'histoire de l'entreprise

Malgré des conditions difficiles, Wienerberger a franchi une étape importante : l'acquisition du fournisseur français de toiture et d'énergie solaire Terreal pour 600 millions d'euros. "Nous sommes en mesure d'assimiler la plus grande acquisition jamais réalisée par Wienerberger", a souligné le PDG Heimo Scheuch.

Avec environ 3 000 salariés et 28 implantations, Terreal générera un chiffre d'affaires annuel supplémentaire d'environ 725 millions d'euros. À ce jour, la société a contribué à hauteur de 56 millions d'euros à l'EBITDA opérationnel de Wienerberger entre mars et septembre. Pour 2025, le groupe attend une contribution de plus de 100 millions d'euros.

Prévisions annuelles révisées

La faible demande a entraîné une mauvaise utilisation de nombreuses installations en 2024, ce qui a entraîné des coûts d'arrêt de 80 millions d'euros rien que pendant les mois d'été. Wienerberger a réagi en prenant d'importantes mesures de réduction des coûts. « Nous avons intensifié nos mesures en matière de coûts et d'efficacité », a expliqué Scheuch. Cela a permis d'économiser jusqu'à présent 51 millions d'euros sur l'ensemble de l'année, dont 22 millions d'euros au troisième trimestre. Pour l'ensemble de l'année, l'entreprise s'attend à des économies de 60 millions d'euros, complétées par 40 millions d'euros provenant du « programme d'auto-assistance ».

Compte tenu des défis persistants dans la construction de logements, Wienerberger a révisé ses prévisions annuelles. L'EBITDA opérationnel devrait désormais se situer entre 750 et 770 millions d'euros, soit une réduction significative par rapport aux 800 à 820 millions d'euros initiaux. L'année précédente, cette valeur s'élevait à 810,8 millions d'euros.

Malgré un environnement difficile, le directeur financier Gerhard Hanke voit un potentiel de reprise au cours de l'année à venir : "Le volume est le facteur le plus important - nos usines tournent actuellement en veilleuse." La baisse des taux d’intérêt et les programmes de relance gouvernementaux pourraient apporter un revirement en 2025.

Source IndustrieMagazin

04/01/2025

Autriche: Le plus grand four à briques électrique au monde permet d'économiser des tonnes de CO2

Chez Wienerberger, en Haute-Autriche, les briques sont cuites pour la première fois dans un four électrique. Passer du gaz n’a pas été facile.

En juillet 2023, la dernière brique alimentée au gaz est sortie de l'usine Wienerberger d'Uttendorf, en Haute-Autriche, non pas parce que l'usine a été fermée par la suite, mais parce qu'elle était électrifiée à 100 pour cent.

Au lieu du four à gaz dans lequel les briques étaient auparavant cuites, l'usine dispose désormais d'un four électrique de 80 mètres de long, le plus grand du genre au monde. Il est actuellement en phase d'essai et devrait produire en 2025. 270 tonnes de briques par jour en exploitation régulière, soit environ 100 000 tonnes par an. Selon Wienerberger, cela correspond à environ 2 600 maisons individuelles ou 3 000 logements.

Optimiser l’ensemble du processus

Si l'on veut rendre une briqueterie neutre en CO2, il ne suffit pas d'équiper simplement le four à gaz d'éléments chauffants électriques, explique Andreas Kugi, directeur scientifique de l'Institut autrichien de technologie (AIT), qui a participé aux études. "Il faut aller bien au-delà et optimiser l'ensemble du processus - en commençant par un mélange d'argile neutre en CO2 et en terminant par les pompes à chaleur utilisées pour le séchage."

Empreinte carbone de l'industrie de la brique

Selon une étude de l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, la production mondiale de briques est responsable de 1,1 milliard de tonnes de CO2 par an, ce qui correspond à environ un demi-kilogramme de CO2 par kilogramme de brique produite. Cela signifie que les émissions de cette industrie sont nettement supérieures à celles du trafic aérien mondial (0,7 milliard de tonnes en 2022).

Lorsqu'elle est brûlée, une tuile en terre cuite émet elle-même du CO2 en raison de réactions chimiques dues à la teneur en chaux de l'argile. Moins l’argile contient de calcaire, mieux c’est. La cellulose et parfois le charbon sont également mélangés à l'argile, qui brûlent dans le four et rendent la brique poreuse. Cela signifie qu’il peut mieux isoler un bâtiment, mais les émissions de CO2 augmentent. Wienerberger utilise à la place de la sciure de bois neutre en CO2.

Cependant, la majorité des émissions se produisent lors du séchage et de la cuisson. 90 pour cent des émissions de CO2 peuvent être évitées sur le site d'Uttendorf grâce à l'électrification. En chiffres, cela représente 7 340 tonnes par an. Cela correspond à peu près aux émissions de CO2 de plus de 7 000 personnes voyageant entre Vienne et New York et retour.

Le four électrique est plus efficace

Par rapport au four à gaz, le nouveau four électrique permet non seulement d'économiser du CO2, mais également 30 % d'énergie. Avec un four à gaz, un mélange gaz-air doit être introduit dans le four pour que la combustion puisse avoir lieu. Cela crée une surpression dans le four, qui doit être évacuée. Une chaleur précieuse est perdue au cours du processus. Ce n'est plus nécessaire avec un four électrique ; la chaleur peut être mieux conservée dans le four. Le nouveau four est également mieux isolé.

Production de briques à faible teneur en CO2

La chaleur perdue du four est également utilisée pour les pompes à chaleur des systèmes de séchage. Les briques d'argile humides doivent être séchées avant la cuisson. «Cela nécessite une quantité d'énergie similaire à celle de la combustion», explique Tilman Barz, chef de projet AIT. Le séchage a lieu à des températures de 80 à 90 degrés Celsius et les briques sont cuites pendant environ 20 heures à près de 1 000 degrés.

"La consommation totale d'énergie de l'usine a été réduite de 17 millions de kilowattheures par an à 11 à 12 millions de kilowattheures par an", a déclaré Barz. Les économies réalisées correspondent à elles seules à la consommation annuelle d’électricité d’environ 1 600 foyers autrichiens.

Cependant, afin d'acheminer l'électricité nécessaire au four et aux pompes à chaleur jusqu'à l'usine, une ligne distincte a dû être posée jusqu'à l'usine. «La sous-station la plus proche se trouve à Mattighofen, à 6 kilomètres», explique Barz. La conduite d'alimentation et les infrastructures supplémentaires sur le site coûtent à elles seules 5 millions d'euros. Avec un investissement total de 30 millions d’euros, ce n’est pas une petite proportion.

Cependant, 5 à 10 pour cent de l’énergie provient du système photovoltaïque installé sur le toit de l’usine. "Ce n'est pas une petite valeur", déclare Barz. Le reste provient d’énergies 100 % renouvelables. Et bien que l’électricité soit plus chère que le gaz, grâce aux économies d’énergie, les briques ne deviennent pas plus chères.

Transférer les expériences vers d’autres secteurs

L'usine d'Uttendorf produit uniquement des briques dites creuses. L'objectif est d'électrifier d'autres sites - Wienerberger exploite plus de 200 usines dans le monde - et également de produire des murs de parement et des tuiles. Cependant, il faut d’abord déterminer à quoi devrait ressembler le four électrique parfait pour ce type de briques. « C'est assez complexe : il y a 40 zones avec des températures différentes dans le four tunnel. Avec d'autres briques, le temps passé dans le four change, l'empilage, les espaces entre les briques entre lesquelles l'air circule - tout cela doit être pris en compte », explique Barz.

Toutefois, les résultats peuvent également être utilisés dans d’autres industries où les matériaux doivent être brûlés ou séchés. Il existe également des procédés de séchage dans l'industrie du papier ou dans la production de batteries qui pourraient bénéficier de l'expérience d'AIT dans ce domaine, explique Kugi.

Source FutureZone par Marcel Strobl

28/12/2024

Wienerberger rachète des actions

Wienerberger a décidé de lancer un programme de rachat d'actions. Le projet consiste à racheter un maximum de 1.125.000 actions, soit jusqu'à environ 1,0 pour cent du capital social. 

Le prix d'achat maximum pour toutes les actions dans le cadre du programme de rachat d'actions est de 35 millions d'euros. Le rachat est prévu entre le 30 décembre 2024 et probablement le 7 février 2025.

Source Boerse Social

26/12/2024

Durtal: Les salariés de Wienerberger inquiets pour leur avenir

L'usine Wiernerberger à Durtal, sera t-elle encore ouverte dans deux ans ? 

À l'appel de la CFDT, les salariés de Durtal ont apporté leur soutien à leurs collègues du Nord de la France dont la briqueterie du même groupe, installée à Flines-lez-Râches, doit fermer et laisser 35 salariés sur le carreau. Les employés durtalois craignent que leur site soit le prochain à baisser le rideau. 

Une activité partielle jusqu'en 2025

Eric Lazare, opérateur de fabrication, est inquiet. "On ne sait pas comment on va être mangé". Depuis 2023, l'entreprise autrichienne, leader mondial de la terre cuite, a activé le dispositif d'activité partielle de longue durée (APLD) pour le site de Durtal. En clair, l'usine tourne au ralenti, les salariés sont payés, en partie, par l'Etat. "On est à 60 % de notre activité depuis le début de l'année. 

Alors même si le siège du groupe tente de rassurer, les voyants sont à l'orange foncé. "Aujourd'hui, les chiffres qui nous sont présentés, ne sont pas forcément révélateurs sur la situation de l'usine de Durtal. On se dit que si Flines-lez-Râches ferme, qu'est-ce qu'il va advenir de nous en 2026 quand on ne sera plus protégé par l'APLD ?", s'interroge Eric Péglion, délégué CFDT de l'usine et salarié depuis l'installation en 2008. Et ce qui agace le plus les salariés, c'est le discours contradictoire de la direction. "Il y a eu une expertise d'un cabinet au sein du groupe, qui dit que Durtal est en déficit. Et la direction dit en Comité sociale économique que ce n'est pas le cas. Il faudrait peut-être savoir qui ment", affirme Jean-François Conan, secrétaire générale de la CFDT Construction-Bois.

Plusieurs salariés ont même été surpris de découvrir la situation de leur entreprise. "On nous communique souvent que notre usine est dans le top de la production du groupe. Et au final, on se rend qu'on compte qu'on est avant-dernier en termes de coût de revient. En fait, c'est flou, on ne sait pas. Quand on nous a annoncé le rachat de Terreal (ndlr : concurrent de la société), on nous a vendu monts et merveilles que ça allait nous faire avancer, et au final, on recule", ajoute l'un d'eux. 

 Victimes de la crise de l'immobilier

Pour le moment, l'entreprise n'a pas communiqué sur l'après APLD. Le syndicat CFDT craint des vagues de licenciements, une fermeture d'usine ou un arrêt d'activité. Un salarié s'interroge sur la suite. "Nous, notre usine, on s'y donne. Puis en fait, du jour au lendemain, on nous dit que ça peut être terminé. Là, ça fait mal. Après, il y a des personnes qui sont seules. Eux vont se retrouver du jour au lendemain arrêtés ou alors des gens à trois ans de la retraite arrêtés. Pour retrouver un boulot derrière, c'est plus compliqué". C'est le cas d'Eric Lazare qui a déjà connu une fermeture d'usine du groupe dans le Nord. "J'avais demandé ma mutation pour finir mes années sereinement, mai là, je vois que ce n'est pas serein du tout. Je veux cotiser normalement pour avoir une retraite normale". "Ils devraient donner des réponses tout de suite. On est grand, on est capable de comprendre les choses", souffle Eric Péglion. 

La CFDT regrette le manque de communication

D'après les salariés, l'usine a souffert de la crise de l'immobilier neuf. "On n'a pas pris les parts de marché qu'on devait prendre", explique le délégué syndical. Michael Seby, directeur du site depuis 5 ans, confirme : "pour notre secteur, c'est moins 50 % dans la construction de l'immobilier neuf. On attend des mesures concrètes de l'Etat pour la relance". Sur place, il a confirmé que le dispositif d'activité partielle allait être réutilisé dans les prochains jours pour protéger les 46 salariés avant d'annoncer une reprise totale de l'activité à partir de février 2025, en attendant de savoir de quoi sera fait l'avenir de l'usine Wienerberger de Durtal. 

Source OxygeneRadio par Alexis Vellayoudom

25/12/2024

Flines-lez-Râches : la briqueterie cesse sa production, trente-quatre emplois supprimés

La nouvelle est tombée comme un couperet avant les grandes vacances. Le groupe Wienerberger, propriétaire de l’ancienne briqueterie Bar depuis 2007, a décidé de mettre un terme à la production de l’usine en raison de « difficultés économiques et industrielles ». 

Un plan social a été lancé

En plus des opérateurs de production, une partie de l’activité logistique et un poste administratif sont aussi touchés.

Parmi les coups durs qui se sont abattus sur la briqueterie ces dernières années, la mort accidentelle d’un ouvrier en janvier avait conduit la police à placer sous scellés une partie de l’unité de production, qui n’a jamais redémarré.

Source La Voix du Nord

09/12/2024

Wienerberger lance sur le marché des robots de construction pour murs en briques

Le géant de la brique Wienerberger lance sur le marché un robot pour la pose de briques : il existe actuellement sept unités disponibles qui peuvent être louées par les entreprises de construction.

Le fabricant de systèmes de briques et de murs Wienerberger a présenté un nouveau robot de maçonnerie. Selon les informations, le soi-disant « WLTR » construit des murs en briques jusqu'à trois mètres de haut avec un rendement moyen de 5 à 6 m²/heure. Selon l'entreprise, il sera principalement utilisé pour la construction de bâtiments industriels et d'immeubles d'habitation. Il est promis que les entreprises de construction en bénéficieront. À moins, bien sûr, qu’ils s’appuient sur le mode de construction concurrent en béton armé ou en poutres de bois.

« Le secteur de la construction est confronté à des défis majeurs à l'époque de la numérisation, de la forte demande de construction et de logements abordables, de la pénurie actuelle de travailleurs qualifiés et de l'objectif de faciliter les travaux de construction, souvent physiquement difficiles. Wienerberger voit un grand potentiel dans l'automatisation, la préfabrication et la robotique pour réaliser des projets de construction plus rapidement et à moindre coût. Et nous pourrons le faire à l'avenir avec l'aide de WLTR », déclare Johann Marchner, directeur général de Wienerberger Autriche.

Selon les informations, le concept du robot de construction mobile a été testé pour la première fois en 2020. Le développement a été dirigé par Wienerberger République tchèque en collaboration avec KM Robotics et l'Institut tchèque d'informatique, de robotique et de cybernétique (CIRRC) de l'Université technique de Prague.

Brique spéciale requise

Selon Marchner, le nouveau robot a été conçu principalement pour construire de longs murs dans des bâtiments industriels, des écoles et d'autres grands bâtiments et automatise le processus de pose des briques. "Il fonctionne en continu à l'intérieur comme à l'extérieur sous une surveillance humaine minimale, ne nécessite que de l'eau et de l'électricité pour fonctionner et réduit considérablement la fatigue physique des maçons sur le chantier de construction", a déclaré le directeur général du pays.

Le robot de maçonnerie est également connecté à une plateforme numérique et génère des métadonnées utilisables à des fins de documentation et destinées à faciliter la logistique et la gestion des chantiers.

Cependant, pour que le robot puisse bien faire son travail, une brique spéciale et brevetée a dû être développée : la brique Porotherm dite « Robot Ready ». Celui-ci comporte deux rainures spéciales sur les côtés du mur qui permettent au robot de le manipuler.

Il existe actuellement sept robots sur le marché

Selon ses propres informations, Wienerberger souhaite réaliser cette année le premier chantier test avec le nouveau robot en Autriche. Il sera alors prêt à être utilisé sur les chantiers de construction nationaux, disent-ils. Selon Wienerberger, sept robots sont actuellement disponibles et peuvent être loués par les entreprises de construction. D'autres modèles seront ajoutés dans les années à venir.

Source ExtraJournal


02/12/2024

Autriche: Wienerberger met en service sa première usine de briques « vertes »

Wienerberger, le plus grand fabricant de briques au monde, avec plus de 200 sites au total, a mis  en service test sa première usine « verte » à Uttendorf (district de Braunau), jeudi 28 novembre 2024 comme l'a annoncé l'entreprise.

Le four à gaz a été remplacé par un immense four industriel électrique pour la cuisson des briques en terre cuite. Cela a permis de réduire jusqu'à 90 pour cent les émissions de CO2 sur le « site de démonstration ». La rénovation des lieux a duré 24 mois et a coûté 30 millions d'euros.

L'usine est actuellement en cours d'optimisation avec une capacité de production de 270 tonnes de briques par jour, a annoncé jeudi Wienerberger. Sous la direction de l'usine Gerhard Pichler, 16 collaborateurs assurent le bon fonctionnement du site.

Four électrique mis en service

« Avec la mise en service réussie du four électrique, nous avons franchi une véritable étape dans la production durable de briques », a souligné Johann Marchner, directeur de Wienerberger Autriche, en parlant du « site de production le plus vert » du géant de la brique. Wienerberger a financé en partie la rénovation grâce à des subventions.

Les vastes mesures de conversion dans le cadre du projet « GreenBricks » ont montré « que Wienerberger est fermement déterminé à prendre des mesures significatives en faveur de la protection du climat et à investir à long terme en Autriche en tant que site économique important », a déclaré Marchner. Selon l'entreprise, le four électrique est alimenté par de l'électricité verte, notamment grâce à son propre système photovoltaïque.

Émissions de CO2 réduites de près de 90 pour cent

La réduction des émissions de CO2 de près de 90 pour cent correspond à une réduction pouvant atteindre 7 340 tonnes par an. Cela équivaut à un voyage annuel de 600 fois autour du monde en voiture.

Selon les informations, la cérémonie d'ouverture s'est déroulée en présence du directeur financier de Wienerberger Gerhard Hanke et du Directeur de l'Autriche, du conseiller d'État à l'économie de Haute-Autriche Markus Achleitner (ÖVP) et du conseiller d'État à l'environnement Stefan Kaineder (Verts).

L'usine d'Uttendorf appartient à Wienerberger depuis 1987. Le groupe teste sur place des « technologies révolutionnaires en fonctionnement réel ». En 2019, une pompe à chaleur industrielle à haute température y a été utilisée pour la première fois avec succès pour les processus de séchage.

À partir du printemps 2022, dans le cadre du projet NEFI « GreenBricks » – soutenu par le Fonds Climat et Énergie dans le cadre de l'initiative RTI « Showcase Energy Region » – le four à gaz a été progressivement remplacé par le premier four électrique industriel en collaboration avec l'Institut autrichien de technologie AIT. De plus, un nouveau hall de traitement de la sciure et trois nouvelles pompes à chaleur ont été installés.

Les « briques de structure presque neutres pour le climat » seraient désormais transportés par des véhicules à guidage automatique (AGV) au lieu de wagons-fours. L'ensemble de l'infrastructure électrique et une grande partie du traitement de l'argile ont également été modernisés.

Source OOE.ORF


Autriche : Wienerberger démarre la production de briques la plus « verte » d'Europe à Uttendorf

Le producteur autrichien de briques Wienerberger affirme avoir lancé la production de briques la plus durable d'Europe. Après 24 mois de rénovation, le signal de départ de la production de briques la plus durable au sein du groupe Wienerberger a été donné jeudi 28 novembre 2024 à l'usine d'Uttendorf. En utilisant le plus grand four électrique industriel au monde, les émissions de CO2 sur le site de démonstration pourraient être réduites jusqu'à 90 pour cent.

Wienerberger utilise un four électrique industriel

Sur le site d'Uttendorf, Wienerberger a remplacé le four à gaz par le premier four électrique industriel pour briques creuses, alimenté par de l'électricité verte, notamment celle de sa propre installation photovoltaïque. Cela devrait permettre de réduire les émissions de CO2 jusqu'à 7 340 tonnes par an. Cela équivaut à un voyage annuel de 600 fois autour du monde en voiture.

Johann Marchner, directeur général de Wienerberger Autriche : « Avec la mise en service réussie du four électrique, nous avons franchi une véritable étape dans la production durable de briques. Les vastes travaux de rénovation montrent que Wienerberger est fermement déterminé à prendre des mesures significatives en faveur de la protection du climat et à investir à long terme en Autriche en tant que site économique important.

30 millions d'euros pour la rénovation d'une usine

L'usine d'Uttendorf, en Haute-Autriche, appartient à Wienerberger depuis 1987. Depuis lors, l'usine s'est imposée comme un lieu de démonstration où le fabricant de briques teste les nouvelles technologies en situation réelle. Une pompe à chaleur industrielle à haute température pour les processus de séchage a été utilisée avec succès pour la première fois en 2019.

À partir du printemps 2022, le four à gaz a été progressivement remplacé par le premier four électrique industriel dans le cadre du projet « GreenBricks ». Le fonds climat et énergie NEFI a soutenu le projet dans le cadre de l’initiative RTI « Energy Showcase Region ». L'Institut autrichien de technologie AIT a soutenu le projet. Wienerberger a en outre installé un nouveau hall pour le traitement de la sciure et trois nouvelles pompes à chaleur. Au lieu de wagons de four, les briques de structure, presque neutres sur le plan climatique, seront désormais transportés à l'aide d'AGV (véhicules à guidage automatique). Le producteur de briques a également modernisé l’ensemble de l’infrastructure électrique et une grande partie du traitement de l’argile.

La rénovation, largement financée par Wienerberger, a nécessité un investissement total d'environ 30 millions d'euros. Le producteur de briques faisait principalement appel à des entreprises régionales. L'usine est actuellement en phase de test et devrait produire environ 270 tonnes de briques par jour. Sous la direction de l'usine Gerhard Pichler, 16 collaborateurs sont chargés d'assurer le bon


fonctionnement du site.

Source TrendingTopics

29/11/2024

Belgique- Wienerberger lance Wevolt : la révolution des toitures énergétiques

Face aux défis énergétiques actuels, Wienerberger innove avec Wevolt, une gamme de toitures énergétiques révolutionnaires. Composée des systèmes Wevolt X-Roof et X-Tile, cette solution promet de transformer les toits en sources d'énergie durable, tout en réduisant la consommation énergétique pour répondre aux normes strictes de construction éco-responsable.

Dans un contexte où la Belgique vise une réduction de 95 % des émissions de CO2 d'ici 2050 par rapport aux niveaux de 1990, Wienerberger se positionne comme un acteur clé de la transition énergétique. Depuis le 1er janvier 2021, toutes les nouvelles constructions doivent respecter des standards élevés en matière d'efficacité énergétique. Wevolt est conçu pour répondre parfaitement à ces nouvelles exigences.

Wevolt X-Roof : Innovation et performance inégalée

Le système solaire verre-verre Wevolt X-Roof, conçu pour remplacer entièrement la toiture, exploite toute la surface du toit pour maximiser l'efficacité énergétique. Avec son design épuré, il s’intègre harmonieusement en lieu et place des tuiles traditionnelles, offrant une solution esthétique et hautement résistante à l'eau, au feu et au vent. Grâce à des panneaux noirs de 2 x 3,2 mm dotés de cellules high-tech, Wevolt X-Roof garantit une production énergétique optimale de 203 Wp/m², avec une durabilité exceptionnelle (90 % de puissance garantie après 20 ans, 85 % après 30 ans).

Facile à installer et à entretenir, ce système ne nécessite que cinq éléments de base pour une installation rapide et efficace. Les panneaux sans cadre, conçus pour éviter l'accumulation de saleté, peuvent être retirés individuellement. Produit localement, avec un taux de recyclabilité élevé et exempt de plomb et de PFAS, Wevolt X-Roof combine performance maximale et faible impact environnemental.

Caractéristiques principales :

  • Esthétique et robustesse : intégration harmonieuse, résistante aux éléments naturels.
  • Performance durable : rendement optimal avec 85 % de puissance garantie après 30 ans.
  • Installation et entretien simplifiés : conception à cinq éléments, panneaux sans cadre.

Wevolt X-Tile : Fusion de l'esthétique et de la durabilité

Wevolt X-Tile allie efficacité énergétique et esthétique contemporaine. Ces tuiles solaires se fondent parfaitement avec les tuiles Koramic Actua 10, créant une toiture élégante et cohérente tout en assurant une production d’énergie propre. Conçus en double verre trempé, ces panneaux sont robustes, résistants à la grêle, étanches à l’eau et au vent, et ont été rigoureusement testés par KIWA.

Tout comme Wevolt X-Roof, les tuiles Wevolt X-Tile sont faciles à entretenir grâce à leur conception sans cadre qui empêche l'accumulation de saleté. Leur installation est simple et rapide, avec seulement cinq éléments de base nécessaires. Affichant un rendement de 180 Wp/m², ces tuiles exploitent efficacement la surface du toit.

Caractéristiques principales :

  • Intégration parfaite : harmonisation avec les tuiles Koramic Actua 10 pour une toiture cohérente.
  • Robustesse et résistance : panneaux en double verre trempé, fiables contre les intempéries.
  • Installation simplifiée : cinq éléments de base, panneaux sans cadre pour un entretien aisé.

Vers un avenir durable

Wienerberger s'engage activement à bâtir un avenir durable en développant des produits comme les toitures énergétiques Wevolt. Ces solutions permettent aux architectes, constructeurs et propriétaires de respecter les normes énergétiques tout en adoptant des énergies renouvelables. Grâce à Wevolt, il est possible de réduire les factures énergétiques sans sacrifier l'esthétique des bâtiments, contribuant ainsi à un environnement plus durable dès la conception des projets

Source Architectura par Florian Holsbeek 

27/11/2024

Allemagne: wienerberger va électrifier sa briqueterie de Kirchkimmen

 La réduction des gaz à effet de serre coûte cher aux entreprises énergivores. Pour certains, l’État intervient désormais pour les financer. Le ministre de l'Économie Habeck considère l'Allemagne comme un pionnier. Mais ce plan comporte des risques.

L'entreprise Wienerberger est l'un des plus grands fabricants de briques et de clinker en Allemagne. L'entreprise compte plus de 20 sites et emploie environ 1 700 personnes. 

L'une des briqueteries de Kirchkimmen, près d'Oldenbourg, va maintenant être transformée pour être respectueuse du climat. Jusqu'à présent, les briques étaient cuites au gaz à 1 100 degrés Celsius, explique Jörg Boldt de Wienerberger. "Il sera entièrement électrifié. Cela signifie que le gaz sera coupé. Un tout nouveau four sera construit, qui sera ensuite chauffé avec des éléments électriques." Cela nécessite non seulement des investissements élevés. 

Les briques respectueuses du climat seront probablement plus chères que les briques conventionnelles, explique Boldt. Parce qu'il nécessite beaucoup d'électricité, l'utilisation du gaz est moins chère. 

Le ministère fédéral de l'Économie va désormais soutenir l'entreprise Wienerberger avec un accord sur la protection du climat - pendant 15 ans à hauteur de 72 millions d'euros. L'État compense les coûts supplémentaires liés à une production respectueuse du climat, à condition que Wienerberger économise réellement les gaz à effet de serre comme convenu.

L’Allemagne devrait devenir neutre sur le plan climatique d’ici 2045. 

Les investissements comportent également des risques. Le ministre de l'Économie, Robert Habeck, a remis aujourd'hui le premier de ces contrats de protection du climat à 15 entreprises, pour un financement total pouvant atteindre 2,8 milliards d'euros. "Nous réduisons de 17 millions de tonnes les émissions du secteur à forte intensité énergétique. Et grâce à vos entreprises, nous rendons le site attractif pour la production, en particulier dans cette zone difficile et compétitive d'Allemagne", a déclaré le ministre de l'Économie lors de l'événement d'aujourd'hui. chez lui, les usines de papier et les entreprises des secteurs métallurgique et chimique reçoivent également le financement. Habeck salue la sécurité de planification apportée par les accords sur la protection du climat. 

Cependant, il est actuellement difficile de déterminer si les investissements seront réellement rentables au bout de 15 ans. Cela dépend également de l'évolution des prix de l'électricité et du CO2, explique Jörg Boldt de Wienerberger. "Le risque est de savoir si nous serons capables de faire fonctionner une telle usine, un projet aussi énorme, à pleine capacité pour qu'il soit rentable et fonctionnel", espère le ministère de l'Économie, et les technologies respectueuses du climat prendront le dessus. se maintiennent rapidement dans de nombreux secteurs - et les financements doivent être encore moins importants que prévu précédemment. Toutefois, si le concept ne fonctionne pas, l'Allemagne devra subventionner pendant de nombreuses années des entreprises dont les produits ne sont en réalité pas compétitifs.

Un nouveau programme de financement vise à aider les entreprises de production de taille moyenne à réduire leurs émissions. 

"Les fonds sont prêts" Le ministère de l'Économie parle d'une phase pilote pour les premiers contrats afin d'acquérir de l'expérience. Une deuxième série de candidatures pour des contrats de protection du climat est déjà en cours. À cette fin, le ministère de l'Économie prévoit un financement nettement plus important, d'au moins dix milliards d'euros. "Les fonds sont prêts", a déclaré Habeck. "Et c'est pourquoi, je pense, tout le monde est heureux que le deuxième tour commence maintenant. Et nous verrons à nouveau si nous pouvons organiser un troisième et un quatrième tour jusqu'à ce que l'argent soit épuisé." Mais le concept de subvention de Habeck n'est pas le seul. chose qui pose problème sur la joie. L'association de l'industrie chimique VCI estime que les accords sur la protection du climat peuvent constituer un financement de démarrage utile. Mais le site doit devenir globalement plus attractif – grâce à une baisse des coûts énergétiques et des taxes. Le concept de Habeck d'un financement individuel valant des milliards est contrecarré par les exigences d'une large réduction des coûts et de meilleures conditions-cadres pour l'ensemble de l'économie afin de sortir de la récession.

20/11/2024

Wienerberger AG annonce ses résultats pour le troisième trimestre et les neuf mois se terminant le 30 septembre 2024

Wienerberger AG a publié ses résultats pour le troisième trimestre et les neuf mois se terminant le 30 septembre 2024. Pour le troisième trimestre, la société a déclaré un chiffre d'affaires de 1 178,5 millions d'euros, contre 1 083,28 millions d'euros l'année précédente. Le bénéfice net s'est élevé à 47,32 millions d'euros, contre 89,38 millions d'euros l'année précédente. Le résultat de base par action des activités poursuivies est de 0,43 euro, contre 0,85 euro l'année précédente.

Pour les neuf mois, le chiffre d'affaires s'est élevé à 3 391,75 millions d'euros, contre 3 285,79 millions d'euros l'année précédente. Le résultat net s'élève à 46,08 millions d'euros contre 312,53 millions d'euros l'année précédente. Le résultat de base par action des activités poursuivies est de 0,42 euro, contre 2,96 euros l'année précédente.

Source ZoneBourse

16/11/2024

À partir de fin novembre, Wienerberger Autriche livrera des briques qui génèrent 90 % d'émissions en moins qu'auparavant.

Le 28 novembre, les bouchons sauteront à Uttendorf, en Haute-Autriche. Ce jour-là, le fabricant de briques Wienerberger y sortira de sa chaîne de montage la première brique (presque) climatiquement neutre au monde. «Tous les fabricants de briques du monde entier se tournent vers nous», déclare Johann Marchner, directeur autrichien de Wienerberger. « Ce que nous faisons était impensable il y a quelques années à peine. » Pour réduire de 90 pour cent les émissions de CO2 liées à la production de briques, il suffisait de quelques panneaux solaires sur le toit de l’usine. Outre l’énergie propre, il fallait également une nouvelle recette pour la brique et un « chef-d’œuvre technique ». En collaboration avec l'Institut autrichien de technologie (AIT) et le partenaire de développement germano-sud-coréen Onejoon, Wienerberger a développé le premier four électrique au monde adapté à la cuisson de briques.

La brique respectueuse du climat n’est qu’un exemple de la manière dont les entreprises autrichiennes font progresser la décarbonation de leurs processus. La Linzer Voest investit plusieurs millions afin de pouvoir fournir de l'acier vert dans un avenir proche, le cimentier Holcim produit le ciment le plus respectueux du climat de ce pays. Même si ces pionniers se plaignent également de la diversité des réglementations environnementales en Europe, ils s’efforcent honnêtement de dire adieu au charbon, au pétrole et au gaz. Mais qu’en est-il du reste des entreprises manufacturières du pays ? Dans quelle mesure l’industrie nationale est-elle écologique par rapport à ses concurrents dans le reste du monde ?

Les entreprises industrielles autrichiennes sont déjà plus respectueuses du climat que leur réputation. Le déplacement de la production à l’étranger entraîne presque toujours davantage d’émissions. C'est pourquoi la plupart des entreprises ne se soucient pas de la décarbonisation. Pour une bonne raison.

Source DiePresse par Matthias Auer