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26/11/2025

D-Carbon, la brique très bas carbone signée Bouyer Leroux

La brique D-Carbon, signée Bouyer Leroux, est composée d’argiles spécifiques sélectionnées par des experts Biobric afin de limiter l’impact carbone process. Focus sur une brique innovante.

Leader français des briques de mur et briques de cloison en terre cuite à travers sa marque Biobric, la SCOP Bouyer Leroux n’a de cesse de proposer des solutions innovantes et éco-performantes pour les marchés de la maison individuelle, du logement collectif et du non résidentiel.

La nouvelle gamme D-Carbon, présentée en avant-première à Artibat et commercialisée à partir de janvier 2026, bénéficie d’un impact carbone réduit de 50 % ce qui permet à Bouyer Leroux de garder un temps d’avance aussi bien sur la réglementation environnementale RE2020 que sur ses concurrents.

En développant cette nouvelle gamme D-Carbon, la marque Biobric de Bouyer Leroux, engagée durablement dans une stratégie de décarbonation, répond aux enjeux de performance environnementale comme d’innovation dans la construction. © Bouyer Leroux

La performance environnementale, critère incontournable 

La gamme D-Carbon se veut qualitative et différenciante par ses caractéristiques :

– une matière locale et renouvelable : les briques Bouyer Leroux sont composées d’argile, une matière naturelle, renouvelable, géosourcée, prélevée en France dans un rayon moyen seulement de 5 km autour des sites de production (– de transport de matières = moins de CO2) ;

– Le choix d’argile bas carbone : la brique D-Carbon est composée d’argiles spécifiques sélectionnées par des experts Biobric pour limiter l’impact carbone process (+ d’argiles dédiées D-Carbon = moins de CO2).

La gamme D-Carbon déclinée sur tous les marchés

Quels que soient les marchés de maisons individuelles et de logements collectifs, la gamme D-Carbon facilite la validation du seuil 2025 de la RE2020 et des futurs seuils 2028 et 2031. Ses performances thermiques permettent de répondre à l’indicateur Bbio de la RE2020 et de réduire les épaisseurs d’isolant afin de générer des économies de coût de construction.

Sur une maison individuelle

Avec D-Carbon Uno et D-Carbon 3+, le faible impact carbone de la gamme associé à sa résistance thermique en fait la solution la plus optimisée pour la construction de maisons individuelles : C = 12,1 kg eq. CO2/m2/ Rth ≥ 1,00 m2.K/W.

Logement collectif

D-Carbon Costo et D-Carbon Urban permettent d’optimiser la performance thermique et carbone du mur pour les projets de logements collectifs : C = 12,1 kg eq. CO2/m2 / Rth ≥ 1,00 m2.K/W + une résistance mécanique dédiée aux contraintes du collectif.

La gamme D-Carbon comme l’ensemble de la gamme Biobric est mise en œuvre avec les colles prêtes à l’emploi haute adhérence Fixbric et Powerbric. © Bouyer Leroux

Source : batirama.com par Laure Pophillat 

19/11/2025

Bouyer Leroux: Malgré l'incertitude, les Scop de l’Ouest tiennent le cap

En hausse de 15 % en France, le modèle de « Société coopérative et participative » continue d’inspirer les entrepreneurs de l’Ouest, dans un contexte pourtant teinté d’incertitudes économiques.

La Scop a une figure de proue dans le BTP : Bouyer Leroux implanté dans le Maine et Loire. Depuis 45 ans, ce spécialiste de la terre cuite opère sous ce statut.

L’économie coopérative a le vent en poupe. Elle peut prendre le visage des Scop (société coopérative et participative), ces entreprises qui ont la particularité d’appartenir à leurs salariés associés majoritaires. Ces derniers détiennent au minimum 51 % du capital et 65 % des droits de vote.

Dans une Scic (société coopérative d'intérêt collectif), statut créé en 2001, la seule différence est que les associés au capital peuvent être de toute nature : clients, bénévoles, collectivités territoriales, partenaires privés, etc.

Malgré un contexte économique peu porteur, le modèle continue de se développer en France, avec 4.140 coopératives sur le sol national. Soit une progression de 15% en quatre ans, selon le dernier rapport d’activité de leur mouvement. Les Scop et Scic ont connu une hausse de leurs effectifs de 21%, passant de 67.200 salariés en 2020 à 81.000 en 2024, sans compter les filiales en France et à l’étranger. Le chiffre d’affaires cumulé a quant à lui fait un bond de 26% pour atteindre 8,3 milliards d’euros l’année dernière, contre 6,6 milliards d’euros quatre ans plus tôt.

Source la Tribune par Florence Falvy

08/10/2025

La Séguinière. Le photovoltaïque, moteur de la stratégie bas-carbone de Bouyer-Leroux

Poursuivant la réduction de son empreinte carbone, le fabricant de matériaux en terre cuite Bouyer Leroux a choisi la société montpelliéraine Urbasolar, filiale du producteur et distributeur d'électricité suisse Axpo, pour développer une centrale photovoltaïque à La Séguinière. 

L'implantation s'effectuera à proximité du siège social de l'entreprise, sur l'emprise de la Brunière, anciennes carrière d'argile reconvertie ensuite au stockage de déchets non dangereux jusqu’en 1999. Filiale à 50/50 de Veolia et de la coopérative via l'entité CET Bouyer Leroux.

Le fabricant de matériaux en terre cuite Bouyer-Leroux poursuit sa stratégie bas-carbone avec le développement d’une centrale photovoltaïque de 8,34 MWc sur 11,5 hectares à La Séguinière, en partenariat avec la société montpelliéraine Urbasolar. 

La production annuelle prévue est de 10,1 GWh, équivalente à la consommation de 4 600 personnes, dans le cadre d’un plan bas-carbone 2030 de 76 M€, visant à couvrir 100 % des besoins électriques du groupe (70 GWh/an) et à porter la part d’énergie thermique renouvelable à 90 %. 

Le site de La Séguinière, déjà équipé d’un foyer bois de 13,2 M€ mis en service en 2024 avec un taux de décarbonation de 85 %, rejoint quatre autres centrales en France : 

  • La-Boissière-du-Doré (6,7 MWc), 
  • Mably (4,6 MWc), 
  • Saint-Marcellin-en-Forez (4,9 MWc) 
  • Porte-de-Benauge (20 MWc), 

utilisant biomasse et biocombustibles pour réduire l’empreinte carbone.

Source Ouest France






08/09/2025

Bouyer Leroux recrute Stéphane Jan comme directeur général adjoint finances

Le groupe Bouyer Leroux annonce l’arrivée de Stéphane Jan en tant que directeur général adjoint finances. Un recrutement stratégique qui prépare la succession de l’actuel directeur administratif et financier, Henri Doumenge, attendu à la retraite en 2026.

Fraîchement recruté au sein du groupe Bouyer Leroux, Stéphane Jan intègre l’entreprise française de fabrication de matériaux de construction en tant que directeur général adjoint finances.

Ce recrutement intervient dans un souci de préparation de la succession de Henri Doumenge, directeur administratif et financier du groupe depuis 14 ans, à la retraite au printemps 2026, et de poursuivre la stratégie de développement durable et équilibré à long terme du groupe.

Un parcours riche dans les finances et l’industrie

 Âgé de 54 ans, Stéphane Jan est diplômé de HEC Paris. Avant de rejoindre le groupe Bouyer Leroux, Stéphane Jan a secondé pendant 10 ans celui en charge des finances du groupe Herige, où il a conduit la réorientation stratégique, mené à bien des projets de réorganisation, d’acquisition, de fusion et de cession de sociétés, et piloté la performance globale. Il a également été directeur administratif et financier chez Conforama en Suisse et Douglas en France. 

M. Jan dispose aussi d’une expérience internationale notable dans l’industrie, pour avoir travaillé en tant qu’analyste financier chez ELF, en Allemagne.

Les principales responsabilités et priorités de Stéphane Jan au sein de Bouyer Leroux seront la stratégie financière, la gestion des risques, l’optimisation de la performance économique, le développement international, et la structuration de la gouvernance et l’actionnariat salarié.

Source Batiweb par Jérémy Leduc

18/08/2025

Bouyer Leroux: Une personne héliportée dans un état grave après un accident du travail en Vendée

Un accident du travail a eu lieu à Saint-Martin-des-Fontaines (Vendée) lundi 4 août en fin de matinée. Alors qu’il travaillait dans les locaux de l’entreprise Bouyer Leroux, un ouvrier de 25 ans a chuté de plusieurs mètres. Il a été héliporté à l’hôpital dans un état grave.

L’accident a eu lieu à Saint-Martin-des-Fontaines (Vendée).

Encore un accident du travail en Vendée… À Saint-Martin-des-Fontaines, un ouvrier de 25 ans est tombé d’un toit aux environs de 10 h 30, lundi 4 août 2025. La chute, d’une hauteur de 7 mètres, a eu lieu dans les locaux de l’entreprise Bouyer Leroux. Alertés, le Smur (Service mobile d’urgence et de réanimation) et les pompiers se sont rendus sur place pour prendre en charge la victime.

Cette dernière a été héliportée à l’hôpital aux alentours de 13 h. Son pronostic vital est engagé. Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances de l’accident.

Source Ouest France

19/07/2025

Saint-Martin-des-Fontaines. Un entraînement de pompiers au site Bouyer Leroux

Vendredi dernier, au soir, à l’heure de la relève des équipes de production du site Bouyer Leroux, l’équipe des sapeurs-pompiers volants du centre de secours de L’Hermenault-Pouillé intervenait pour une manœuvre simulant un départ de feu, dans un hangar de stockage de combustible. Cet exercice incluait également la recherche de deux victimes portées disparues après l’évacuation du bâtiment.

Le scénario, relativement complexe, se devait de permettre aux différentes équipes de s’entraîner sur leurs techniques d’extinction et leur aisance avec l’appareil respiratoire.

L’équipe d’assistance médicale a, elle, pu s’entraîner à gérer les premières interventions après avoir retrouvé les victimes portées disparues.

La disposition des différents matériels sur le site et les meilleures stratégies à employer étaient commentées à mesure du déroulement de la manœuvre. C’est ensuite accompagnés par M. Marionneau, responsable sécurité de l’entreprise, que les pompiers ont terminé l’intervention par une visite complète du site, permettant ainsi d’en connaître les particularités.

Ils ont ainsi pu renforcer leur efficacité sur une structure industrielle, tant pour le secours aux personnes que pour les risques incendies ou pour les accidents matériels.

Source Ouest-France  

09/06/2025

Bouyer Leroux - Un feu se déclare chez le fabricant de briques de Colomiers

La briqueterie Bouyer Leroux de Colomiers, située près de Toulouse, subit ce jeudi 5 juin 2025 un incendie. Le feu s'est déclaré dans la pièce dédiée aux archives.

Les pompiers sont engagés à la briqueterie Bouyer Leroux de Colomiers, près de Toulouse, ce jeudi 5 juin 2025. Un feu s’y est déclaré. 

Les pompiers étaient engagés sur place vers 17h15 et jusqu’à 18h30 environ. Ce jeudi 5 juin 2025 après-midi, un feu s’est déclaré au sein de la fabrication de briques Bouyer Leroux à Colomiers, située route d’Auch, à l’ouest de Toulouse.

Les archives en proie aux flammes

En cause ? « Un feu de papier dans le local à usage d’archives », détaillent les pompiers de Haute-Garonne, présents au nombre de 19 sur les lieux, munis de cinq engins de secours.

La pièce en question mesure 60 m². «Le foyer principal est en cours d’extinction au moyen d’une lance », précisait le Sdis 31, peu avant 18 heures.

Aucune victime

Vers 18h30, le feu était éteint. « La ventilation des locaux a été effectuée », indiquent par ailleurs les pompiers. Le sinistre n’a fait aucune victime.

Source Actu par Maréva Laville

27/05/2025

Bouyer Leroux: Soprofen investit 6,5 M€ sur son site de Champagney (70)

Le spécialiste des fermetures sur-mesure Soprofen investit massivement dans son site de Champagney (70) pour répondre à la demande croissante. Au programme : doublement de capacité pour les portes de garage et lancement d’une nouvelle activité de stores screen.

Face au succès commercial de ses gammes de portes de garage et à l’essor des protections solaires extérieures, Soprofen, acteur majeur du groupe Bouyer Leroux, entame une nouvelle phase de son développement industriel. Le site de Champagney, historiquement dédié à la fabrication de portes de garage sectionnelles, voit ses capacités de production doublées et accueille désormais une activité inédite : la fabrication de stores screen ZIP, très demandés pour améliorer le confort thermique des bâtiments.

D’un investissement total de 6,5 millions d’euros, ce plan d’envergure s’inscrit dans une stratégie industrielle de long terme, amorcée dès 2020. Il répond à deux objectifs principaux : renforcer la performance industrielle de l’usine et diversifier son activité vers des solutions solaires extérieures.

Une transformation industrielle sur plusieurs axes

L’investissement a permis de faire passer la surface couverte du site de 9 000 à 16 000 m² et de moderniser les lignes existantes. Sur les portes de garage, près de 3,5 millions d’euros ont été alloués à l’acquisition de nouveaux équipements. Parmi les équipements notables : une machine d’emballage pour la nouvelle porte Carsec Origine, un transstockeur automatisé pour le rangement des panneaux et plusieurs robots destinés à automatiser les étapes de fabrication telles que le débit, le perçage, le contrôle et l’usinage. Cette robotisation permet à la fois un gain significatif de productivité et une amélioration de la qualité des finitions.

Par ailleurs, une attention particulière a été portée à l’ergonomie des postes de travail, avec un réaménagement général visant à optimiser la flexibilité de la production. L’environnement intérieur a également été revu avec l’intégration d’un système d’aspiration des copeaux et poussières lors de la découpe des panneaux, garantissant ainsi une meilleure qualité de l’air pour les opérateurs. Grâce à cette montée en puissance, le site est désormais capable de produire jusqu’à 500 portes de garage par semaine, contre 250 auparavant. Cette dynamique industrielle a également permis la création de 25 emplois en cinq ans, portant l’effectif à 65 collaborateurs.

Le screen ZIP, un relais de croissance stratégique

 Déjà présent sur le marché des stores screen via son site de Massac-sur-Tarn depuis 2019, Soprofen accélère aujourd’hui avec l’intégration d’une nouvelle ligne de production dédiée à ces protections solaires extérieures sur son site de Champagney. Une zone de 1 000 m² a ainsi été aménagée pour produire ces équipements devenus incontournables dans la lutte contre la surchauffe estivale des bâtiments. Le site abrite désormais une ligne complète comprenant un poste de découpe, une machine de soudure pour les toiles auparavant sous-traitée, ainsi qu’un atelier de fabrication des axes motorisés, capable d’en produire une cinquantaine par semaine. Une ligne d’usinage spécifique permet également de produire des stores screen ZIP allant jusqu’à 7 mètres de long.

Cette nouvelle activité, soutenue par une aide de l’État de 629 000 euros dans le cadre du plan France Relance, permettra à Soprofen de produire jusqu’à 150 stores screen par semaine dès 2025. Elle s’inscrit dans une logique de relocalisation et de renforcement de l’indépendance industrielle, tout en capitalisant sur un marché en pleine croissance.

Un site modèle tourné vers l’avenir

 L’ambition de Soprofen d’augmenter significativement ses capacités de production d’ici cinq ans avait été affichée dès 2020, lors de la présentation du nouveau comité de direction piloté par Emmanuel Lesage, directeur général. En 2024, avec plus de 169 millions d’euros de chiffre d’affaires réalisés, l’entreprise confirme sa solidité et sa capacité à tenir ses engagements industriels. Cette nouvelle phase d’investissement témoigne de sa volonté de produire mieux, plus localement et de manière plus durable, tout en offrant un meilleur cadre de travail à ses équipes.

Source BatiWeb par Jérémy Leduc

27/02/2025

Bouyer Leroux: Les premières démonstrations 𝐏𝐨𝐰𝐞𝐫𝐛𝐫𝐢𝐜 sur chantier sont lancées !

Powerbric révolutionne la construction des logements collectifs de 2e famille (jusqu’à R+3).

En tant que 1er procédé de pose sous forme de colle prête à l'emploi (pose au pistolet électrique) pour les bâtiments collectifs, la première utilisation du Powerbric nécessite une formation gratuite effectuée par les techniciens chantiers de Bouyer Leroux.

𝐅𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐢𝐫𝐞𝐜𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐬𝐮𝐫 𝐯𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐜𝐡𝐚𝐧𝐭𝐢𝐞𝐫 Au programme : 

✅ Réalisation du 1er rang de briques Biobric 

✅ Démonstration de mise en place de la poche dans le pistolet 

✅ Conseils et accompagnement de vos équipes à la pose de la colle

Vous souhaitez adopter le Powerbric sur votre chantier ? 

L'équipe Bouyer Leroux intervient partout en France pour une mise en œuvre optimale ! 

SÉRÉNITÉ AU SERVICE DU CHANTIER

Performance de collage, support d'enduit de qualité et bilan environnemental réduit.

PERFORMANCE AU SERVICE DU MAÇON

Gain de temps sur chantier, santé et sécurité des poseurs préservées.

Source Powerbric

13/01/2025

Marcel Rivereau, le fondateur de la briqueterie de La Boissière-du-Doré, s’en est allé

Le fondateur de la briqueterie Rivereau (aujourd’hui Bouyer-Leroux), âgé de 96 ans, s’est éteint le 29 décembre 2024. Sa disparition a suscité une certaine émotion dans la commune de La Boissière-du-Doré (Loire-Atlantique).

Marcel Rivereau, né dans une famille de paysans tuiliers et devenu le patron d’une briqueterie aura marqué l’histoire de la commune.

Les Rivereau ont toujours façonné l’argile

L’homme était connu et apprécié et il aura marqué l’histoire de la commune de La Boissière-du-Doré (Loire-Atlantique). 

L’ancien aubergiste, Jean-Camille Emeriau, a perdu un ami :  Il vivait toujours chez lui et depuis quelques années nous avions rendez-vous chaque semaine. Je le sortais en voiture pour sillonner le pays de son enfance et cela lui faisait plaisir, lui l’homme façonné d’argile et d’eau . Car le chef d’entreprise était d’abord un enfant du pays. Marcel Rivereau est né, en 1928, dans une famille de paysans tuiliers aux Petites-Bourgères hameau de Saint-Christophe-la-Couperie (Maine-et-Loire).

Source Ouest France

Bouyer Leroux, coopérative depuis 1980

Le PDG Roland Besnard raconte l'histoire de l'entreprise, devenue société coopérative (Scop) en 1980. « La société Bouyer Leroux a été créée en 1875 à La Séguinière. Les ascendants de la famille étaient propriétaires de terres où il y avait de l'argile et du bois. Avec ça, ils se sont mis à produire des briques et des tuiles. L'entreprise s'est beaucoup développée en 1955, avec les besoins de la reconstruction d'après-guerre. Elle est devenue Scop en 1980. Chez les Bouyer comme chez les Leroux, personne n'avait la volonté ni les moyens de racheter l'entreprise. Georges Leroux, le président de l'époque, qui avait une vraie fibre humaniste, a souhaité vendre l'entreprise aux salariés sous la forme d'une Scop. »

Deux idées derrière cette volonté : « Assurer la pérennité et l'indépendance de l'entreprise et récompenser les salariés pour leur travail accompli ». Pari gagné : « Depuis, on n'a cessé de progresser. En 1984, avec 50 salariés, nous avons racheté les Produits rouges de Vendée qui étaient au bord du dépôt de bilan et qui comptent 100 salariés aujourd'hui ».

Fort de 250 salariés, Bouyer Leroux envisage, aujourd'hui, d'intégrer dans la Scop les sept sites de production que la holding a rachetés en 2013, dont fait partie le site de La Boissière-du-Doré.

Source Ouest France

18/12/2024

Bouyer Leroux, Numéro 1 français dans son domaine

Depuis la création de l’activité industrielle, par les familles Bouyer et Leroux en 1955, l’entreprise regroupe les activités « terre cuite ». Avec 900 salariés, 9 sites de production répartis sur le territoire national et 60 ans d’existence, la société est numéro 1 français sur les marchés des briques de mur, briques de cloison et conduits de fumée. Ils fabriquent et commercialisent également des parements terre cuite ainsi que des tuiles.

Cette place reflète la qualité de l’expertise et la connaissance de la terre cuite qui permettent de garantir la valeur reconnue de ses produits.

En effet, les équipes travaillent sans relâche afin d’optimiser au maximum la qualité. Depuis la sélection des argiles jusqu’au conditionnement de leurs produits, rien n’est laissé au hasard. L’exigence est tel que l’entreprise s’appuie sur la rigueur des contrôles et la certification de leurs produits (NF tuiles et briques et le marquage CE).

Bouyer Leroux s’engage à améliorer sans cesse la performance de ses produits et de son process grâce à l’innovation.

L’entreprise s’engage également dans le développement durable, de sa politique environnementale à sa politique sociale. Le sponsoring d’associations autour des usines de production illustre l’importance pour le groupe de s’impliquer dans le tissu économique, social et culturel local.

Source L'Echo de la Baie

13/10/2024

Ils racontent l'histoire de la fabrication des tuiles et des briques à Mably

Si le mot patrimoine évoque immédiatement les vieilles bâtisses, c’est un autre thème que la Ville de Mably a choisi de mettre à l’honneur en ces Journées européennes du patrimoine : l’histoire de la fabrication des tuiles et des briques, notamment à Mably, et des hommes qui l’ont écrite.

Le 1 juin 1963, les employés de l’usine Cancalon se réunissaient pour le remise des médailles du travail.

C’est une histoire qui débute au XIXe siècle et qui s’arrête en partie en 1986, avec la fermeture de l’usine Cancalon, spécialisée dans la fabrication des tuiles. Une histoire qui perdure néanmoins avec l’exploitation du même gisement d’argile, extrait par l’entreprise Bouyer-Leroux pour la fabrication de briques. Joseph Cariat et Robert Pradeilles, respectivement responsable Entretien et directeur d’exploitation de l’usine Roanne Brique, tous deux aujourd’hui retraités, témoigneront de leur métier et de ses évolutions, samedi 21 et dimanche 22 septembre après-midi, à l’Espace de la Tour, dans le cadre des Journées européennes du patrimoine.

Dans les années 1960, l’usine était prospère. Nous étions après guerre, il fallait tout reconstruire. Nous avons vu arriver des travailleurs italiens, portugais, ou encore polonais, que nous avions formés sur le tas.

Né aux Tuileries, Joseph Cariat avait 14 ans lorsqu’il a intégré l’usine Cancalon. Intéressé plus particulièrement par la mécanique, il a gravi les échelons jusqu’à devenir responsable de l’entretien de l’ensemble des machines à Cancalon, puis à Roanne Brique. « Dans les années 1960, l’usine était prospère. Nous étions après guerre, il fallait tout reconstruire. Nous avons vu arriver des travailleurs italiens, portugais, ou encore polonais, que nous avions formés sur le tas », se souvient le désormais retraité. Joseph Cariat se rappelle aussi des sorties d’usine, lorsque les ouvriers se retrouvaient pour boire un verre ou jouer à la belote. « Au fil des années, j’ai vu aussi peu à peu les liens sociaux se distendre. Aujourd’hui, les ouvriers viennent de plusieurs communes et rentrent directement chez eux après le travail. »

« Peiné de voir l’usine être démolie »

Sollicité régulièrement et durant un long moment après son départ à la retraite, Joseph Cariat peut se vanter d’être « la mémoire du site ». Une usine Cancalon qu’il a évidemment été « peiné de voir démolir ». Mais, par-dessus tout, l’ancien responsable ne pourra oublier « la disparition tragique de deux collègues, tués accidentellement sur le site ».

De son côté, Robert Pradeilles, ancien directeur d’exploitation, a toujours eu le souci d’améliorer les conditions de travail des employés, témoigne-t-il. L’un de ses combats a été d’amener le gaz naturel jusqu’au site, le rendant ainsi « beaucoup plus propre. Nous avons d’ailleurs obtenu la norme ISO 14001 pour nos actions sur l’environnement ». Car, à son arrivée en 1990, le four de la briqueterie était encore alimenté avec du coke de pétrole venu des États-Unis par bateau et acheminé jusqu’à Roanne par péniches sur le canal, et ce depuis le choc pétrolier de 1974.

Les odeurs nauséabondes, l’un de ses combats

Un autre des combats mené par Robert Pradeilles a été « de faire cesser les odeurs nauséabondes qui enveloppaient le site. En effet, la décharge de Roanne jouxtait l’usine et la carrière, et nous vivions dans les odeurs des déchets en décomposition et des boues en provenance de la station d’épuration », raconte-t-il. Entouré de ses équipes, le directeur qu’il était a obtenu le transfert des boues sur une usine de traitement à Vichy et l’utilisation de chaux sur les déchets. « Sans compter les oiseaux qui se ravitaillaient sur la décharge et qui laissaient échapper leurs trouvailles sur nos stocks d’argile ; des déchets que l’on retrouvait dans nos fabrications ! », abonde le retraité. Robert Pradeilles se réjouit aujourd’hui « de savoir que l’usine, entièrement automatisée, perdure dans des locaux neufs, avec un atelier de stockage et de préparation d’argile bien à l’abri ». 

Source Le Pays

08/10/2024

Bouyer Leroux, cet accidenté du travail depuis trois ans se désespère d’obtenir une réponse judiciaire

Le 17 juin 2021, Anthony Bûcheron perdait un bras dans un accident du travail chez Bouyer Leroux, à La Séguinière, près de Cholet (Maine-et-Loire). Plus de trois ans après, ce père de famille de 43 ans attend toujours un procès qui, s’il ne lui ôterait pas ses douleurs quotidiennes, l’apaiserait un peu.

Depuis un premier témoignage dans « Ouest-France » en mars 2023, Anthony Bûcheron a vu sa santé s’étioler, son œil droit ayant perdu une partie importante de son acuité et son corps nécessitant de régulières séances d’ostéopathie pour corriger de mauvaises postures liées à son handicap.

Plus de trois ans après un accident du travail chez Bouyer Leroux, spécialiste de la brique en terre cuite basé à La Séguinière, près de Cholet, Anthony Bûcheron attend toujours que justice soit faite. Le 20 mars 2023, pour Ouest-France, il témoignait de cette attente déjà interminable, lui, qui, le 17 juin 2021, se voyait happer le bras droit jusqu’à l’épaule par le rouleau d’une machine s’étant, selon lui, remise seule en route de manière inopinée.

Source Ouest-France  par Vincent Danet

16/09/2024

Briqueterie : pourquoi Bouyer Leroux investit dans sa vénérable usine de Gironde sur Dropt ?

Vestige rare d’un passé industriel, l’usine girondine du spécialiste de la brique Bouyer Leroux va faire l’objet d’une profonde transformation. 

Où se mêlent économies d’énergie, inclusion de bio-matériaux et robots ultra fiables. Explications avec Laurent Monjot, directeur du site depuis 2015.

Source Placéco


02/09/2024

Bouyer Leroux lance le projet de sobriété énergétique "GIRAVENIR" de la briqueterie de Gironde sur Dropt

Démarrage du projet de 𝐬𝐨𝐛𝐫𝐢𝐞́𝐭𝐞́ 𝐞́𝐧𝐞𝐫𝐠𝐞́𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 sur le site de Gironde-sur-Dropt (33):

AOÛT 2024 / Bouyer Leroux lance son projet "Giravenir" pour la modernisation des lignes de fabrication de briques en terre cuite.

En passant de 2 lignes de production à 1 seule optimisée, le site girondin :

  • Gagnera en efficacité énergétique : 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗼𝗺𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘁𝗼𝘁𝗮𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗶𝗺𝗶𝗻𝘂𝗲𝗿𝗮 𝗱𝗲 𝟭𝟱 %
  • Améliorera son 𝘁𝗮𝘂𝘅 𝗱𝗲 𝗱𝗲́𝗰𝗮𝗿𝗯𝗼𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹'𝗲́𝗻𝗲𝗿𝗴𝗶𝗲 dans son processus de fabrication ; pour atteindre 85 % après travaux.

Gironde-sur-Dropt ; site précurseur en terme de décarbonation avec des solutions bien ancrées :

▪ Foyer bois pour assurer le séchage des briques

▪ Cuisson à la sciure

▪ Intégration de biocombustibles dans les briques (comme des graines de tournesol) 

Mise en service prévue au 1er trimestre 2025

Source LinkedIn


31/07/2024

Bouyer Leroux investit 13,2 millions d'euros dans un nouveau foyer bois pour le séchage de ses briques.

Engagé depuis 2018 dans un programme de décarbonation de ses activités, Bouyer Leroux achève l'un des projets phares de ce plan. Le groupe met en effet en service un nouveau foyer bois sur sa briqueterie de La Séguinière (Maine-et-Loire), où se situe également son siège social. 

Ce site, qui emploie une centaine de personnes, produit annuellement 300.000 tonnes de briques de mur, soit l'équivalent de 18.000 maisons. Il affichait jusqu'alors un taux de décarbonation de 50 % grâce à l'usage de biogaz à hauteur de 10 % et de 40 % de sciure de bois dans le process de cuisson de ses briques. 

Pour compléter cette démarche, l'industriel a ainsi investi 13,2 millions d'euros dans ce nouveau foyer bois d'une puissance thermique de 10 mégawatts dédié au séchage de sa production. Bénéficiant d'une subvention de l'Ademe de 1,83 million d'euros, le projet a nécessité deux ans de travaux pour créer cette installation permettant de décarboner en totalité le processus de séchage des briques sur le site.

Source Les Echos par Cédric Menuet

18/07/2024

Avec son foyer bois, l'usine de briques Bouyer Leroux poursuit sa décarbonation

Bouyer Leroux, n°1 sur le marché des briques de mur et de cloison, annonce que la mise en service du foyer bois de la Séguinière (Maine-et-Loire) a eu lieu le 7 juin dernier. Le métier est par essence très énergivore, même si la fabrication de la brique creuse l’est moins que la production de béton, et le matériau plus isolant. Mais le groupe coopératif, basé depuis près de soixante-dix ans à La Séguinière, n’est pas rester les bras croisés.

Il était l’un des plus gros chantiers en cours parmi les sites Bouyer Leroux. Ce projet va permettre de décarboner le site de La Séguinière à hauteur de 85 %.

Points clés :

  • Puissance : 10 MW
  • Investissement : 13,2 millions €
  • Subvention BCIAT ADEME : 1,83 M €
  • Mix énergétique : 15 % gaz, 10 % biogaz, 40 % sciure de bois, 35 % bois éco-mobilier
  • Production : 300 000 T de briques (18 000 maisons)
  • Effectif : 100 personnes

D’une puissance de 10 MW, le foyer bois est alimenté en bois CSR (combustible solide de récupération) via le dispositif éco-mobilier par la société Brangeon implantée localement. 

Source LinkedIn

08/07/2024

Bouyer Leroux : un foyer bois pour sécher les briques

Sur son immense site de production de briques à La Séguinière, Bouyer Leroux a mis en service son foyer bois CSR pour le séchage, afin de décarboner 85% de sa production.

Bouyer Leroux : un foyer bois pour sécher les briques

Après deux ans de chantier, le foyer bois du site Bouyer Leroux de La Séguinière (49) est enfin en service. Son usage vise à décarboner jusqu'à 85% de la considérable production de 300 000 t de briques par an, soit le plus grand volume en France. Alimenté en bois CSR (combustible solide de récupération) via le dispositif éco-mobilier de la société locale Brangeon, le foyer bois dégage une puissance de 10 MW. En brûlant jusqu’à 2,9 tonnes de bois CSR par heure, le foyer alimente les trois séchoirs du site en air chaud.

Avec un mix énergétique de 10 % biogaz et 40 % de sciure de bois pour la cuisson, le site affichait jusque là 50% de décarbonation. En remplaçant le gaz par 35 % de bois éco-mobilier, il espère ainsi passer à 85% (15% de gaz restant) d'ici la fin de l'année. Un investissement de 13,2 millions pour Bouyer Leroux, auxquels s’ajoute 1,83 million d’aides de l’Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie. 

Certifiée par Bureau Veritas, l'innovation permettrait même un séchage des briques de meilleure qualité qu’avec les bruleurs de gaz initiaux.

Source Le Moniteur

04/07/2024

Les transferts et réceptions des terres excavées, valorisables" du 𝐩𝐫𝐨𝐣𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐦𝐞́𝐭𝐫𝐨 𝐝𝐞 𝐓𝐨𝐮𝐥𝐨𝐮𝐬𝐞 sur le site de production Bouyer Leroux de Colomiers (31) ont démarré"

Dans la lignée de mettre à disposition des TRANSPORTS DÉCARBONÉS, le chantier du métro de Toulouse permettra d'économiser 250 000 km de trajets polluants / an.

Si la mise en service est prévue pour fin 2028, la phase de creusement et construction a déjà démarré.

En partenariat avec Eiffage, NGE - BTP et BRESSOLLES TRAVAUX PUBLICS SARL, Bouyer Leroux  récupère une partie des terres évacuées pour l'intégrer dans son process de fabrication de produits en terre cuite.

Dans un objectif d'économie circulaire, certaines briques Biobric seront bientôt fabriquées avec la terre du métro !

Projet de la ligne C de Toulouse :

  • 3e ligne de métro sur la métropole
  • 27 km de ligne, qui en fait une des plus longues de France

Source LinkedIn par Emmanuel Cahué