LES CANDIDATURES AUX WIENERBERGER BRICK AWARD 2020 SONT OUVERTES !

Les Wienerberger Brick Award, concours bisannuel d’architecture, récompensent depuis 2004 des exemples remarquables de réalisation, en terre cuite, modernes et innovantes.

Cette distinction internationale a pour vocation de soutenir l’innovation et la créativité des projets à travers 5 catégories distinctes:

• Feeling at home, 
• Living together, 
• Working together, 
• Sharing public spaces et 
• Building outside the box.

Fort de la mobilisation pour 2018 (50 projets, issus de 600 participations de 44 pays), Wienerberger annonce l’ouverture des candidatures de l’édition 2020, à compter du 7 janvier 2019, sur la plateforme en ligne dédiée : https://brickaward.submit.to/register/.

Les participants ont jusqu’au 9 avril pour déposer leurs dossiers. Après expertise par les membres du jury expert, 50 projets nominés seront dévoilés, à partir du mois de novembre 2019, sur les sites internet et réseaux sociaux. Le palmarès quant à lui, sera révélé au printemps 2020.

Source CLC communication

La brique, ce nouveau préfabriqué

Bouyer-Leroux, dont la marque bio’bric est numéro 1 de la brique en France, tente de lancer Prefa’bric, le premier préfabriqué en briques. Tout est prêt, ne manque plus que la validation du marché. Une démonstration aura lieu au salon Aquibat.

« Pallier le manque de main d’œuvre sur les chantiers et faciliter l’accès à la brique si performante et compétitive ». Stéphane Yvars est clair et convaincu : « On doit donc attirer les jeunes vers les métiers du bâtiment grâce à des systèmes constructifs plus intuitifs et moins pénibles à poser. Si on ne fait pas ce genre de transfert, dans dix ans, çe seront les imprimantes 3D qui construiront tout, et ce ne sera peut-être pas en brique. Donc on risque de perdre un savoir-faire et un matériau ».

Les solutions pour résoudre ce problème sont multiples et le responsable ingénieur bâtiment du groupe Bouyer-Leroux ne prétend pas toutes les avoir. Mais au moins une, quand même : « Grâce à notre innovation, un maçon qui décide de se lancer, il aura besoin d’une formation, de nos plans et d’une grue. Et le soir quand il rentrera, il ne sera pas fatigué comme il l’est aujourd’hui, après avoir soulevé quatre tonnes de matériau ».

Préfa’bric : une nouvelle alternative préfabriquée

L’innovation de Bouyer-Leroux, c’est plus précisément le Lab Bouyer-Leroux qui la développe depuis plus de deux ans. « Tout est validé, on sait que ça fonctionne, maintenant il faut que le marché valide la nouveauté », précise Stéphane Yvars, par ailleurs pilote du projet. La nouveauté en question c’est donc Préfa’bric, qui est, comme son nom l’indique un préfabriqué en briques. « On vient présenter le concept à Aquibat en tout humilité parce que le préfa existe depuis quelques temps. On n’est donc pas les premiers sur le sujet, mais les premiers à le faire en brique ».


Qui cela peut-il intéresser ? Pour quel bâtiment ? Bouyer-Leroux doit encore obtenir la réponse à quelques questions avant de se lancer définitivement. « Pour le moment, ce sont des prototypes qu’on propose aux entreprises de tester. Forcément dans ce contexte-là, on a une très faible capacité de production. On aura donc le luxe de choisir les projets ».

La présence sur le salon Aquibat va permettre à l’entreprise de mettre en scène et d’expliquer le fonctionnement de son innovation, tout en prenant connaissance de l’appétit ou des réticences de leurs potentiels clients.

Un chantier zéro nuisance
La démonstration se fera en synergie avec Matebat, l’un des leaders de la location et de la vente de grue. « C’est aussi hyper bénéfique pour nous, assure Stéphane Yvars. Ça nous permet de développer nos connaissances et d’orienter nos futurs clients vers des moyens de levage adaptés à leurs besoins ».

Sur le salon Aquibat, les grues Matebat soulèveront donc les préfabriqués en briques de Bouyer-Leroux pour une démonstration gagnant-gagnant. Avec son innovation, le leader de la brique de mur tente de s’offrir davantage de souplesse pour répondre à des chantiers rapides. « L’idée c’est d’aller chercher des marchés sur lesquels on n’est pas, des bâtiments scolaires, industriels, de commerce, de santé et bien sûr sur la région, des bâtiments pour le stockage du vin ».

Alors le Préfa’bric, c’est pour demain ? Forcément, Stéphane y croit, lui : « J’y crois tellement, quand on voit ça sur chantier, c’est magique ». Et le tour de magie, c’est au salon Aquibat qu’il aura lieu.

Source Aquibat

TERREAL souffle ses 20 bougies

20 ans, l’âge de la maturité pour « continuer à inventer demain »

Aujourd’hui reconnue comme un acteur de référence dans l’industrie du bâtiment, Terreal réaffirme sa stratégie, ses ambitions et sa confiance dans l’avenir à travers une campagne de communication spécialement créée pour son vingtième anniversaire et incarnée par les salariés du Groupe. 9 de nos collaborateurs, acteurs d’un jour, y rappellent avec entrain et bonne humeur les valeurs humaines (transparence, respect, esprit d’équipe, équité), les forces de Terreal et partagent l’énergie et l’envie de progresser.

Ensemble, continuons à inventer demain !

Source Terreal

Enphase Energy s'associe à CREATON pour fournir des solutions de toitures solaires résidentielles en Allemagne

Enphase Energy, Inc. (ENPH), une société mondiale de technologie énergétique et le principal fournisseur mondial de micro-onduleurs solaires, a annoncé aujourd'hui sa collaboration avec CREATON GmbH , l'un des principaux fabricants de toitures résidentielles en Europe, à fournir des systèmes photovoltaïques (PV) en toiture à des clients solaires résidentiels dans toute l'Allemagne.

CREATON, avec des bureaux et des usines de fabrication situés dans toute l'Allemagne, propose une vaste gamme de produits pour les solutions de toiture en pente, y compris les tuiles en terre cuite et en béton, et les accessoires du système. Ses nouveaux systèmes photovoltaïques dans le toit avec Enphase Energy comprennent des micro-onduleurs Enphase IQ 7 ™ et IQ 7 + ™, ainsi que des passerelles de communication Enphase Envoy ™, qui connectent le système à la plate-forme de surveillance Enphase Enlighten ™ et permettent la surveillance de l'énergie par panneau et aperçu pour les opérations et la maintenance facile. Vous trouverez plus d'informations sur cette collaboration ici.

«Nous pensons que la proposition de valeur unique d'Enphase, à savoir des performances élevées et une installation flexible, ainsi qu'une architecture de système tout CA sûre, résonneront bien auprès de nos clients de toiture», a déclaré Matthias Meir, chef de la division PV chez CREATON GmbH. «La demande de panneaux solaires résidentiels en Allemagne croît rapidement, et la facilité d'installation des produits Enphase, la production d'énergie supérieure, le système de surveillance intelligent et le fonctionnement fiable et sûr sont quelques-unes des principales raisons pour lesquelles nous les proposerons à nos clients.»

Les micro-onduleurs IQ 7 et IQ 7+ exploitent l'architecture unique définie par logiciel et l'intégration de semi-conducteurs d'Enphase pour une excellente fiabilité et des économies d'échelle. Les micro-onduleurs Enphase sont soumis à un programme de tests de fiabilité et de qualité rigoureux avec plus d'un million d'heures de tests de mise sous tension pour garantir des performances exceptionnelles sous la chaleur, une humidité élevée, l'air salin, le froid extrême et les conditions climatiques difficiles. Les micro-onduleurs de la société sont conçus pour être des actifs énergétiques à longue durée de vie et sont couverts par une garantie de 25 ans.

«Nous sommes ravis de collaborer avec CREATON pour fournir des solutions de toiture photovoltaïque pour les clients résidentiels en Allemagne», a déclaré Dave Ranhoff, directeur commercial d'Enphase Energy. "Ces solutions solaires sur les toits offrent des avantages uniques, en particulier dans les nouvelles constructions et les petits systèmes résidentiels en raison de l'architecture évolutive des micro-onduleurs Enphase, et devraient améliorer considérablement l'expérience client en termes de qualité et de performances."

À propos d'Enphase Energy, Inc.

Enphase Energy, une société mondiale de technologies énergétiques, propose des solutions intelligentes et faciles à utiliser qui connectent la production, le stockage et la gestion de l'énergie solaire sur une plate-forme intelligente. La société a révolutionné le solaire avec sa technologie de micro-onduleurs et produit la seule solution solaire et de stockage véritablement intégrée au monde. Enphase a expédié plus de 23 millions de micro-onduleurs et environ un million de systèmes basés sur Enphase ont été déployés dans 130 pays. Pour plus d'informations, visitez www.enphase.com/de et suivez la société sur Facebook, LinkedIn et Twitter.

Enphase, IQ 7, IQ 7+, Envoy, Enlighten, le logo Enphase et d'autres noms de marques ou de services sont des marques commerciales d'Enphase Energy, Inc. Les autres noms sont fournis à titre informatif et peuvent être des marques commerciales de leurs propriétaires respectifs.

À propos de CREATON GmbH

CREATON est l'expert des solutions de toitures inclinées utilisant des tuiles en terre cuite et des tuiles en béton. Nous défendons une diversité illimitée de formes, de couleurs, de matériaux et de savoir-faire dans ce domaine dans lequel nous opérons depuis 1884. Qu'est-ce que cela signifie pour nos clients? Ils ont un partenaire à leurs côtés pour qui le toit n'est pas qu'une partie de l'enveloppe du bâtiment; qui travaille avec eux pour trouver la bonne solution; qui leur ouvre de nombreuses possibilités de conception et de toiture et considère le toit comme un système global; et qui peut fournir un service exceptionnel en raison de notre vaste expérience, de nos connaissances techniques et de notre vaste réseau de conseillers commerciaux et de techniciens d'application.

Énoncés prospectifs

Ce communiqué de presse peut contenir des déclarations prospectives, y compris des déclarations concernant la qualité, la fiabilité, la sécurité, la performance et les avantages attendus des produits et de la technologie d’Enphase Energy, ainsi que les services fournis par nos partenaires. Ces déclarations prospectives sont basées sur les attentes actuelles d'Enphase et impliquent intrinsèquement des risques et des incertitudes importants. Les résultats réels et le moment des événements pourraient différer sensiblement de ceux anticipés dans ces déclarations prospectives en raison de certains risques et incertitudes, y compris les risques décrits plus en détail dans le plus récent rapport annuel d'Enphase sur le formulaire 10-K et d'autres documents au dossier auprès de la SEC et disponible sur le site Web de la SEC à l'adresse www.sec.gov. Enphase Energy n'assume aucune obligation ni obligation de mettre à jour.

Source Finance Yahoo

La Séguinière. La visite d’entreprises dans le parcours citoyen

Outre des actions ponctuelles, le cursus des élèves de CM2 se décline également en trois temps forts. Le troisième a eu lieu vendredi, à la découverte de secteurs diversifiés.

À l’usine de production de gaz biométhane, les enfants ont été attentifs aux commentaires expliquant le fonctionnement de l’entreprise, comme dans les autres secteurs visités.

C’était, vendredi 24 Janvier 2020, le troisième temps du parcours écocitoyen, consacré à la découverte du secteur économique de la commune. Pour l’occasion, les 78 élèves ziniérais de CM2 ont visité six entreprises.

« C’est aussi une approche concrète de milieux professionnels différents. Les élèves peuvent ainsi découvrir leur commune et réfléchir à leur orientation », souligne Yolaine Bossard, adjointe au cadre de vie et à l’environnent.

Source Ouest France

UK/ Ibstock: la nouvelle usine de Walsall sera opérationnelle d'ici 2020

Ibstock a annoncé son intention de construire un nouveau site de production à Walsall, West Midlands (Royaume-Uni) pour un investissement de 45 millions de livres sterling.

Une installation ultramoderne hautement durable, elle remplacera l'usine existante utilisée pour produire la gamme Atlas et devrait produire une production de 80 millions de briques par an.

«Cet investissement augmentera encore notre capacité dans un contexte de déficit de logements important au Royaume-Uni et de forte demande du secteur des logements neufs», a expliqué Joe Hudson, PDG d'Ibstock. «Nous lancerons la construction en 2020, l'usine devant être mise en service en 2022.»

Le nouvel investissement a été annoncé alors qu'Ibstock publiait ses résultats 2019 montrant une solide performance financière. Le chiffre d'affaires a augmenté de 5%, passant de 391 millions de livres sterling en 2018 à 409 millions de livres sterling, dont 300 millions de livres sterling générés par la division Clay. L’usine Eclipse dans le Leicestershire, achevée en 2018 avec une capacité de production annuelle de 100 millions de briques de terre molle, a largement contribué à la croissance du groupe.

«2019 a été une année de progrès dans un contexte d'incertitude politique et économique», a déclaré Hudson. «Nous avons bien progressé par rapport à nos priorités stratégiques, y compris les mesures visant à améliorer les volumes de production et la qualité, le renforcement de notre équipe de direction et l'expansion de nos activités dans le béton, grâce à l'acquisition de Longley Concrete dans le Yorkshire.

L’efficacité de la production et la durabilité restent les principales priorités du groupe. En 2019, Ibstock a fixé ses objectifs à 2025, qui incluent l'augmentation des ventes de solutions durables, la réduction de 15% du CO2 par tonne de production et la réalisation du zéro déchet en décharge.

Source CeramicWorldWeb

Allemagne - groupe BMI: fusion des équipes commerciales de Braas, Icopal, Vedag et Wolfin à partir de 2020

Braas, Icopal, Vedag et Wolfin Bautechnik font partie du groupe BMI depuis près de deux ans. Alors que les activités de vente étaient toujours gérées séparément jusqu'à la fin de 2019, le support client fait partie d'une équipe depuis début 2020. La nouvelle équipe commerciale travaille désormais sur toutes les marques et tous les systèmes.

La nouvelle structure de vente est conçue de manière à ce que l'expertise et l'expérience complètes des quatre marques en matière de conseil soient disponibles de manière globale. Cela devrait permettre aux équipes régionales inter-marques de proposer le système idéal du portefeuille BMI pour toutes les demandes des clients.

Depuis janvier 2020, les ventes de BMI sont réparties en quatre zones de vente régionales. Parallèlement, il existe une gestion nationale des grands comptes (KAM). Les directeurs des ventes sont :

• Christian Sack pour le nord-est,
• Jörg Flaßkamp au nord-ouest,
• Roland Fietz au sud-ouest,
• Dirk Rosso dans le sud également
• Markus Kircher pour les grands comptes.

Le conseil sur site dans 19 régions de vente est assuré par des responsables commerciaux avec leurs équipes composées de consultants spécialistes et systèmes. Afin que les processus internes se déroulent également sans heurts, le personnel de bureau et la technologie d'application des quatre sociétés ont été combinés sur le plan organisationnel et alignés sur la nouvelle structure de vente.

Une équipe pour tout
Une équipe de consultants spécialistes et système est désormais disponible pour assister les clients, qui peuvent conseiller sur toutes les marques. Pour les activités quotidiennes classiques, les artisans couvreurs et les partenaires commerciaux devraient pouvoir s'attendre à ce que toutes les questions et demandes soient traitées aussi simplement et rapidement que possible - avec leurs conseillers spécialisés respectifs comme contacts. S'il existe des défis particuliers liés au projet et qu'un conseil approfondi est requis, les consultants système prennent des mesures. Ils ont des connaissances techniques approfondies qu'ils utilisent également pour conseiller les planificateurs et les architectes.

De la prise en charge différenciée du client par l'équipe de spécialistes et de consultants système, BMI attend une qualité de conseil optimale pour toutes les exigences. Ulrich Siepe, directeur général des sociétés BMI, a déclaré à Dach + Holz: «Dans notre nouvelle organisation commerciale, nous serons en mesure de vous offrir plus de services que jamais. Et, non sans fierté et gratitude, je voudrais souligner qu'une partie de ce qui deviendra désormais réalité a également été créée grâce aux contributions constructives de nos clients. Dès le départ, l'exigence la plus importante était que nous ne voulions pas submerger nos clients ou notre propre organisation, mais que nous voulions créer de la valeur ajoutée pour toutes les personnes impliquées. »

Source Baulinks

Appel à projets : 5ème édition La Tuile Terre Cuite Architendance

Les Prix La Tuile Terre Cuite Architendance sont ouverts aux architectes exerçant une activité indépendante ou en agence, domiciliés en France. Jusqu’au 30 juin 2020.

Tous les deux ans, la Fédération Française des Tuiles et Briques organise le Grand Prix La Tuile Terre Cuite Architendance en partenariat avec le rma, Réseau des Maisons de l’Architecture. Le jury, présidé par un architecte membre du RMA est composé de lauréats des éditions précédentes, d’un représentant des fabricants de la filière terre cuite, d’un journaliste spécialisé et d’un enseignant.

Constructions neuves, opérations de réhabilitation, extension ou rénovation… tous les ouvrages de moins de quatre ans ou en cours d’achèvement au 30 juin 2020 peuvent être présentés au jury.

Trois critères sont pris en compte par le jury :
1. Mise en valeur de la tuile terre cuite et originalité dans le traitement du toit/façade, innovation dans la mise en oeuvre, esthétique contemporaine…
2. Démarche et créativité architecturale : pertinence du projet, réponse aux enjeux de la construction durable
3. Qualité et performances du projet : technique, environnementale…

Les délibérations du jury auront lieu le 6 octobre 2020 pour récompenser deux réalisations dans chacune des trois catégories suivantes :
– Logement individuel
– Habitat collectif
– Equipement / Bâtiment tertiaire

Deux prix supplémentaires seront attribués :
– Prix du public (Instagram)
– Prix des architectes (sur Facebook)

Inscriptions en ligne sur : https://www.latuileterrecuite.com/grand-prix-architendance/

Source Chroniques Architecture

POUR SA 5ÈME ÉDITION, LA TUILE TERRE CUITE ARCHITENDANCE REVIENT AVEC SON CONCOURS GRAND PRIX D’ARCHITECTURE !

Ce concours récompense les projets qui utilisent la tuile terre cuite dans des réalisations innovantes et inattendues et est ouvert à tous les architectes exerçant une activité indépendante ou en agence, domiciliés en France.

Trois catégories sont proposées aux participants : habitat individuel, logement collectif, bâtiment tertiaire.

Plus d’informations et inscription en ligne sur : https://www.latuileterrecuite.com/grand-prix-architendance/

Source Monier

WIENERBERGER ENGAGÉ À VALORISER LE PATRIMOINE INDUSTRIEL LOCAL À TRAVERS L’ART

Leader du marché français des briques en terre cuite, Wienerberger France dispose notamment de 3 sites de production en Alsace (Achenheim, Betschdorf et Seltz).

Fort de cet ancrage régional, de son patrimoine industriel et de ses valeurs, Wienerberger s’implique et fédère ses équipes dans un projet d’entreprise d’envergure.
Souhaitant créer une rencontre entre l’art et l’industrie, Wienerberger devient partenaire engagé dans l’Industrie Magnifique, mouvement et événement inédit associant industriels, artistes et collectivités locales de la région Alsacienne.

Cette démarche a su mobiliser et impliquer les ressources internes de l’entreprise pour valoriser auprès du grand public son savoir-faire industriel. Pérenne, cet engagement s’illustre aujourd’hui par l’intégration de l’œuvre, exposée lors de la manifestation en 2018, au siège de l’entreprise et au réengagement de Wienerberger dans l’édition 2020.

Source CLC

Terreal vise une croissance à deux chiffres dans le solaire résidentiel

Terreal, leader des tuiles en terre cuite propose 3 offres packagées de toit photovoltaïque dans le cadre de son programme « Demain tous solaire ». Sa cible : le résidentiel neuf.

Devenu spécialiste de la toiture grâce à une politique de croissance externe, le groupe français Terreal poursuit sa stratégie « de toit complet et intelligent », annonce Laurent Musy, son PDG. Il vise aujourd’hui une croissance à deux chiffres dans le solaire résidentiel

Fort d’un chiffre d’affaires de 412 millions d’euros et de 23 sites industriels (dont 16 en France) le groupe qui compte 2230 collaborateurs dévoile son nouveau programme « Demain tous solaires ».

Cette offre comprend 3 niveaux pour le solaire résidentiel dont le premier correspond à la pose de 1 à 4 panneaux PV pour 1500 euros et le 3e, de 10 à 20 panneaux PV + la batterie (coût : 10 000 euros). Quant au 2e niveau, il est  proposé à 5000 euros sur un format intégré de 6 à 10 panneaux -sans batterie-. Ces montants de prix incluent la fourniture et l’installation complète.

Ce programme (voir les détails de l’offre ci-dessous) repose sur l’un des piliers stratégiques du groupe, à savoir la croissance, dans les secteurs à fort potentiel comme le solaire précisément. L’acquisition de GSE Intégration en 2018, société spécialisée dans l’intégration photovoltaïque, a ainsi permis à Terreal de « changer ses objectifs et sa dimension » dans ce secteur. Le solaire représente dorénavant 13 % de l’activité de l’industriel.

Le marché solaire résidentiel en retard en France

Or, ce marché va croître dans les années à venir, assurent les dirigeants du groupe. Pour preuve, il se développe partout en Europe dans le neuf et la rénovation. Mais en France, le marché du solaire résidentiel est en retard : on compte 1 maison équipée sur 10 contre 1 maison sur 3 en Angleterre et une maison sur 5 aux Pays bas, indique le service marketing du groupe.

« Le coût de revient de l’électricité solaire a diminué de 10 % par an sur les 5 dernières années, tout simplement parce que les systèmes sont moins coûteux et plus efficaces aujourd’hui », souligne Eric Risser, directeur marketing. Parallèlement, le prix d’achat de l’électricité augmente d’année en année (+ 20 % sur 5 ans pour les particuliers).

On sait en effet, selon les prévisions de la CRE (Commission de régulation de l’électricité) que l’électricité devrait augmenter de 5 à 6 % par an. Résultat : les courbes se croisent, ce qui rend le solaire beaucoup plus attractif via l’autoconsommation, plaident les promoteurs de l’offre. Quant au surplus de production, il peut être revendu à EDF.

Le matériel est aujourd’hui beaucoup plus performant et les coûts ont diminué, rappelle l'équipe de direction du fabricant. Il y a dix ans, il fallait débourser 25 000 euros pour une installation qui coûtera aujourd’hui seulement 5000 euros.

Deux marchés : les "solaristes" pour l’existant et le monde de la toiture pour le neuf

Terreal se positionne donc sur un marché global du matériel solaire aujourd’hui évalué à 150 millions d’euros. Un marché essentiellement axé sur l’existant (à 90%) où les « solaristes » (Ndlr : chauffagistes, électriciens) sont très actifs auprès des particuliers, avec du matériel acquis auprès des distributeurs spécialisés en énergies renouvelables.

C’est le marché du neuf (10 % restants) que vise le spécialiste de l’intégration de systèmes PV en toiture. Un marché qui représente 15 millions d’euros et qui est susceptible de doubler tous les 5 ans selon les projections du fabricant. « Notre offre va permettre aux acteurs traditionnels de se positionner, c’est à dire les Constructeurs de maisons individuelles/ promoteurs, les couvreurs et le négoce » indique Eric Risser.

Les distributeurs de matériaux, dont ceux spécialistes de la couverture, sont un élément clé de la stratégie pour le fabricant. Sans eux, il sera difficile de toucher les 20 000 couvreurs français recensés dont 3000 actifs dans le résidentiel neuf « qu’il faudra faire migrer vers le solaire ». Une formation des équipes de vente du négoce est d’ailleurs prévue pour relayer cette offre auprès leurs clients spécialistes de la couverture.

Des équipes Terreal dédiées pour faire du « monitorat solaire »

En effet, les couvreurs, « les référents légitimes du toit » selon le fabricant, devront se former et être qualifiés pour prendre le virage du solaire. Ils pourront en outre bénéficier d’un accompagnement chantier avec l’appui d’équipes dédiées Terreal, pour faire du « monitorat solaire »

Ce besoin d’accompagnement bien identifié par l’industriel fait partie des éléments mis en place dans le cadre de son offre solaire. Il rappelle que son organisation compte 70 commerciaux pour le segment couverture, dont 8 spécialistes solaires et 10 techniciens SAV pour lancer le programme.

Les spécialistes solaires pourront ainsi accompagner les commerciaux pour évaluer les besoins des particuliers, déterminer le dimensionnement des installations et apporter une assistance administrative aux couvreurs (raccordement Enedis)

Le fabricant argue par ailleurs que son offre de systèmes certifiés « fiables et simples à poser » peut s’adapter à toutes les configurations de toiture (quel que le soit le matériau de couverture). Un système de 6 à 10 panneaux solaires peut être posé en une journée à deux personnes. Enfin, des outils d’aide à la vente (papier et digitaux, site web pour le particulier) complèteront le dispositif.

90 % des panneaux sont aujourd'hui fabriqués en Asie (cellules). Le système proposé par Terreal comprend un panneau et un kit d’intégration (spécialité de Terreal) ainsi que des micro-onduleurs achetés chez Emphase et des câbles. Le raccordement se fait par le couvreur grâce à un système de plug & play. Le fil est ensuite descendu jusqu’au tableau électrique où il faudra assurer la connexion (soit par lui ou une personne de son équipe soit par un électricien) ©Terreal

Trois offres pour le résidentiel solaire

Trois offres composent donc le programme lancé par le fabricant : l’offre Découverte (1500 euros, et garantissant - 10 % de consommation d’électricité), l’offre Indépendance à 5000 euros (- 50 % de consommation d’électricité) et l’offre Liberté (- 70 % de consommation d’électricité).

Si la première offre, dite micro PV constitue un premier pas vers les solutions solaires, la seconde offre est présentée comme une solution permettant de disposer de plus de pouvoir d’achat. L’offre Liberté comprend, quant à elle, une solution de stockage avec des batteries pour aller plus loin dans l’autoconsommation et l’indépendance électrique.

Pour finir, le fabricant indique apporter une garantie de 30 ans sur les systèmes intégrés. Quant à l’installation PV elle-même, Terreal annonce un fonctionnement de 90 % au bout de 10 ans et de 85 % au bout de 25 ans.

Selon le fabricant, 90 % des constructeurs de maisons individuelles déjà rencontrés (environ 25 %) sont intéressés par l’offre intégrée de solaire. Elle devrait leur garantir une marge supplémentaire lors de la vente d’une maison individuelle qui elle-même, par définition, génère souvent de faibles rentabilités. ©Terreal

Source : batirama.com par Fabienne Leroy

AERO TOP 30, le seul écran de sous-toiture qui garantit 30 ans de sérénité avec les tuiles terre cuite EDILIANS !

Pour la toiture, la façade ou l’éco-habitat, toutes les solutions globales d’EDILIANS s’inscrivent dans une perspective de construction durable. Le nouvel écran de sous-toiture AERO TOP 30 illustre parfaitement cette volonté du spécialiste de l’enveloppe du bâtiment de proposer une offre de produits toujours plus techniques, inaltérables et performants.

Proposé en exclusivité par EDILIANS, AERO TOP 30 est un écran souple de sous-toiture composé d’une membrane support en polypropylène non tissé et d’une membrane fonctionnelle en polyéthylène aux propriétés uniques de durabilité et d’étanchéité.
Grâce à sa technologie innovante et à sa structure respirante hautement perméable à la vapeur d’eau (HPV), l’AERO TOP 30 additionne les performances :
• une excellente imperméabilité à la pluie et une insensibilité à l’humidité,
• une résistance mécanique (résistance à la traction R2) exceptionnelle tout en étant extrêmement léger,
• une longévité à toute épreuve.

Inédites, ces propriétés techniques renforcées permettent à l’AERO TOP 30 de préserver durablement l’étanchéité de la toiture et les
performances thermiques du bâtiment. Raison pour laquelle il bénéficie d’une garantie de base de 15 ans. Cette dernière est étendue jusqu’à 30 ans si l’écran de sous-toiture AERO TOP 30 est associé à des tuiles terre cuite et accessoires garantis 30 ans EDILIANS*.

Caractéristiques techniques
• Dimensions rouleau : 1,5 x 50 m soit 75 m2 de surface couverte
• Conditionnement : 12 rouleaux par palette
• Résistance mécanique à la traction R2
• Entraxe maximum entre chevrons de 60 cm
• Grammage : 145 g/m2
• Etanchéité au vent : avec ou sans mono bande adhésive
• Etanchéité à l’eau : norme EN 13859-1

Retrouvez l’ensemble des produits sur edilians.com

Avec le nouvel écran de sous-toiture AERO TOP 30, EDILIANS offre plus que jamais un véritable gage de sérénité pour les artisans couvreurs et de longévité pour leurs clients particuliers quant à l’étanchéité de leur couverture.

Source Edilians

INDEX EGALITÉ FEMMES / HOMMES, MONIER OBTIENT 76 POINTS SUR 100

La publication, pour toutes les entreprises de plus de 250 salariés, d’un index relatif aux écarts de rémunération entre les femmes et les hommes est obligatoire depuis le 1er septembre 2019.
L’index de la société Monier pour 2018 est de 76 points sur un maximum de 100, soit au-dessus des 75 points requis par le décret du 8 Janvier 2019 instituant cette mesure.

Cet index est composé de 5 indicateurs traitant :
– Des écarts de rémunération entre les femmes et les hommes,
– Des proportions de femmes et d’hommes augmentés,
– Des proportions de femmes et d’hommes promus,
– Du pourcentage de femmes augmentées après leur retour de congé maternité,
– Du nombre de femmes et d’hommes parmi les 10 plus hautes rémunérations de la société.

Une volonté de progression pour la société

La volonté de la société est aujourd’hui de mener une politique volontariste en faveur de l’élimination des disparités entre les femmes et les hommes afin de progresser sur l’ensemble des indicateurs où elle n’atteint pas le maximum de points.

Source Monier

Alep est reconstruite à partir de la Galice: c'est le projet auquel la tuilerie Verea participe

«La brique la plus chère du monde» est la clé de l'initiative de solidarité qui a aidé 15 000 personnes et souhaite lever un million d'euros

Les employés de Verea montrent une brique de solidarité.
"La brique la plus chère du monde" vaut 500 euros et est faite de décombres de bâtiments à Alep, un lieu où la guerre était installée dans la routine quotidienne de ses habitants il y a près de dix ans. C'est la base du projet d'Alepoh, promu par l'ONG Rescate et financé avec le Programme des Nations Unies pour le développement, dans lequel la société galicienne Tejas Verea a récemment été impliquée.

L'objectif principal est de lever des fonds pour reconstruire un élément clé dans la ville syrienne comme sa briqueterie (rebaptisée Factory of Hope pour cette initiative) et ainsi pouvoir remettre sur pied des maisons, des hôpitaux et des écoles. L'idée a fait écho de la Syrie à la paroisse de La Corogne de Mesía (La Corogne), où se trouvent les installations de Verea, grâce à l'Association espagnole des fabricants de briques et tuiles en terre cuite (Hispalyt).

Réduit en décombres,Alep peine aujourd'hui à renaître

«On nous a proposé à tous les partenaires de faire un achat en commun des briques solidaires et nous acceptons. C'est une façon d'aider qui est à notre portée et nous permet de nous assurer que l'argent donné sera entièrement affecté à ce projet », explique Lucía Verea, responsable marketing de Verea. La jeune femme est fière que de l'entreprise familiale fondée il y a plus de 50 ans par son grand-père, Luis Verea, apportent leur grain de sable pour ce type de causes et s'assure que «j'espère que l'ONG vendra l'édition limitée de 200 briques qui a pris sur le marché ». Ces éléments de construction ont un style très différent de celui habituel, car ils sont totalement blancs comme symbole de paix et d'espoir et ont l'inscription «Made in Spain for Aleppo» gravée.

L'objectif actuel est le million d'euros de collecte, un argent qui, selon Rescue, serait utilisé pour fabriquer près d'un million et demi de briques, réhabiliter 400 maisons dans l'est d'Alep (l'une des zones les plus punies) et reconstruire deux hôpitaux et entre 10 et 15 écoles. Une réalisation ambitieuse mais pas impossible, car de l'ONG ils assurent que 15 000 personnes ont pu être prises en charge. De plus, 31 000 briques ont été réalisées avec plus de 10 000 tonnes de gravats grâce à la collaboration de 136 femmes et hommes syriens qui, malgré les destructions qui les entourent, ne perdent pas l'espoir que leur ville sera un jour celle était.

Source ElEspanol par Amara Santos

La Tuilerie de la Bretèche au programme de l'émission TV, La Maison France 5

Quand Aymeric de Baudus a appris, il y a environ un mois, que l’émission la Maison France 5 s’intéressait à son entreprise, évidemment, il a dit oui !
Le gérant de la Tuilerie de la Bretèche, à Ligny-­le-Ribault, n’a même pas hésité une seule seconde. « Je connaissais l’émission. Je considère que c’est une communication utile et pas chère ! Par rapport à d’autres programmes que nous avons pu faire (*), La Maison France 5 s’adresse complètement à notre clientèle. J’espère qu’elle va nous permettre d’attirer de nouveaux clients. »

Mise en valeur d’un savoir-faire
L’aspect logistique lié à l’accueil d’une équipe de tournage – en l’occurrence huit personnes –, ne l’a pas inquiété non plus. « Il n’y a pas eu de visite de repérage ou de préparatifs en amont, tout s’est très simplement, le matin même », raconte­-t­-il. Du reste, le dispositif de tournage était assez léger et n’a pas empêché la production de continuer. Ce passage dans l’émission est aussi une façon de mettre en valeur le savoir-faire historique de l’entreprise qui se perpétue depuis cinq générations.

L’émission tournée le 14 janvier à la Tuilerie de la Bretèche sera diffusée le 21 février, à 20 h 50, sur France 5.

La Tuilerie de la Bretèche a été fondée en 1890 par Emmanuel de Baudus, l’arrière­arrière­-grand-­père du gérant actuel. Elle n’a de tuilerie que le nom car elle fabrique principalement des briques et du carrelage en terre cuite pour la restauration de monuments ou de maisons de caractère. « On fait ponctuellement quelques tuiles, mais c’est devenu rare », précise Aymeric de Baudus.

« En France, on doit être quatre ou cinq briqueteries de cette taille »

Il s’agit de la dernière briqueterie artisanale de Sologne (il y en a eu jusqu’à 500). « En France, on doit être quatre ou cinq de cette taille », estime le chef d’entreprise. 250.000 briques et 6.000 mètres carrés de carrelage sortent chaque année des fours de la fabrique solognote. Ces 4 mastodontes engloutissent 12 stères de bois par jour et peuvent monter jusqu’à 1.050 degrés. La matière première ne peut pas être plus locale : elle provient d’une carrière d’argile située juste derrière la tuilerie ; le bois de combustion vient de Cepoy et d’Angers. Les huit salariés sont tous « des gens du coin », formés dans l’entreprise.

Une exposition bienvenue

70 % de l’activité de la briqueterie concerne la restauration de monuments historiques, qu’ils soient publics ou privés. Le reste de la clientèle est constitué de particuliers. L’entreprise a, par exemple, déjà travaillé pour les châteaux de Chambord et d’Amboise ou le théâtre antique d’Orange. Elle produit actuellement des dalles de carrelage destinées au pavillon de la Lanterne, à Versailles. L’entreprise est donc particulièrement tributaire des budgets du ministère de la Culture.

Et justement, Aymeric de Baudus trouve que, cette année, l’activité redémarre « mollement ». « L’administration met beaucoup de temps à débloquer les fonds et à délivrer les permis », déplore-­t-­il. Même si l’entreprise « a toujours des beaux bâtiments sous le coude », comme le château de Bellegarde, la ferme de Varatre-à-Lieusaint (Seine-­et-Marne) et si ses carnets de commandes sont remplis pour deux mois et demi, l’exposition offerte par l’émission, vue par 1,5 million de téléspectateurs en moyenne, sera la bienvenue !

Source Le Berry par Marion Bonnet

L'industrie allemande des tuiles et briques fait face à de nouveaux défis

Le secteur de la construction, toujours dynamique en Allemagne, a assuré une utilisation élevée des  capacités de production en 2019.
Des taux de croissance solides ont été enregistrés dans les blocs terre cuite et les segments des briques de parement ainsi que pour les pavés en terre cuite. L'enfant à problème reste le secteur des tuiles en terre cuite, qui, après un bon départ, affichent à nouveau des chiffres en légère baisse. Les raisons en sont le taux de rénovation encore trop faible et la préférence croissante pour les toits plats et en pente dans le segment des nouvelles constructions.

Même si certains indicateurs suggèrent que l'économie allemande pourrait s'affaiblir, nous anticipons cette année avec des perspectives positives pour tous les segments de la brique. Nos carnets de commandes pour 2020 sont pour la plupart bien remplis.

Cependant, nous n'avons aucune raison de nous asseoir et de nous détendre - bien au contraire. Dans les années à venir, l'Allemagne devra trouver des réponses à d'importantes questions d'avenir, telles que l'urbanisation progressive et le changement climatique. Ici, la politique, les affaires et la société sont également mises au défi de définir la bonne voie.

En tant qu'industrie allemande de la brique et de la tuile, nous voulons apporter une contribution active à la maîtrise de ces défis qui nous concernent tous de la meilleure façon possible.

Cette année, nous souhaitons la bienvenue à nos collègues européens à la réunion d'association à Berlin. Parallèlement à nos activités, le congrès de l'association européenne Tiles and Bricks Europe TBE se tiendra les 18 et 19 juin 2020. Je me réjouis d'accueillir le plus grand nombre possible d'entre vous à Berlin. Nous profiterons de cette occasion pour examiner de près les concepts politiques de neutralité climatique en Europe d'ici 2050. Il est important de maintenir des secteurs tels que l'industrie de la brique et de la tuile impliqués et de ne pas perdre de vue la faisabilité des processus de transformation industrielle. C'est pour cela que nous travaillons tous les jours!

Stefan Jungk
Président de l'Association fédérale allemande de l'industrie de la brique et du carrelage, Berlin

Source Ziegelindustrie International

Produits et matériaux innovants à surveiller en 2020

Le début d'une nouvelle année et d'une décennie marque l'occasion d'évaluer les développements récents des matériaux architecturaux. Pour de nombreux fabricants et professionnels AEC, 2020 représente une étape importante dans l'évaluation des objectifs de durabilité existants. Pour d’autres, cette année pourrait servir de référence pour les progrès de la science et de la technologie, comme la Vision 2020 du National Science Board pour la National Science Foundation. De plus en plus, ces objectifs fusionnent dans la recherche du développement de processus et d'applications innovants avec des objectifs écologiquement bénéfiques. Les exemples suivants sont des blocs de construction paradigmatiques pour 2020: modules, panneaux et autres matériaux orientés construction récemment créés.

L'un des blocs de construction les plus emblématiques est la brique d'argile, une unité de matériau simple mais énergivore. Gabriela Medero, professeur de génie civil à l'Université Heriot-Watt à Édimbourg, en Écosse, a développé une brique alternative offrant une empreinte environnementale inférieure à 10% de celle du module standard. Composé principalement de débris de construction pulvérisés, le soi-disant K-Briq est approvisionné et fabriqué sur le site de Hamilton Waste & Recycling local et fabriqué sous pression sans utiliser de fours. "Le K-Briq ressemble à une brique normale, pèse le même poids et se comporte comme une brique d'argile mais offre de meilleures propriétés d'isolation", a déclaré Medero dans une interview à la BBC. «Il est durable et ne fonctionne pas au four, il est donc bien meilleur pour l'environnement et représente des économies massives pour l'industrie de la construction en termes de taxes connexes.»

La prévalence du matériel "vivant" a également gagné du terrain au cours de la dernière décennie. En 2010, la designer architecte basée en Caroline du Nord et PDG de BioMason, Ginger Krieg Dosier, a fait la une des journaux avec sa version modifiée d'une brique créée avec la bactérie Sporosarcina pasteurii. Plus récemment, des scientifiques de l'Université du Colorado à Boulder ont également créé un bloc bio-conçu à l'aide de constructeurs microbiens. Dans ce cas, les chercheurs inoculent des cyanobactéries Synechococcus, qui synthétisent de manière similaire le carbonate de calcium en absorbant le dioxyde de carbone, dans une solution de sable imprégnée de gélatine. Le matériau résultant, qui ne nécessite aucune cuisson et donc aucun four, présente non seulement des performances environnementales améliorées, mais a également la durabilité de la brique conventionnelle. Curieusement, les modules de construction restent «vivants» après la fabrication, avec entre 9% et 14% des colonies bactériennes se développant toujours après une période de 30 jours. Le matériau vivant incarne une étonnante capacité de régénération: même si une brique est fendue, les pièces sont théoriquement capables de se développer en unités entières.

Source Architectmagazine par Blaine Brownell

Energy Efficiency Award 2019 pour un projet innovant d'utilisation de la chaleur fatale

Adolf Gottfried Tonwerke GmbH et la société de technologies propres Orcan Energy ont reçu le prix de l'efficacité énergétique pour leur projet innovant d'utilisation de la chaleur fatale dans l'extraction et le raffinage énergivores des matières premières pour l'industrie de la céramique.
Ils ont reçu le prestigieux prix de l'industrie dans la catégorie «Transition énergétique 2.0», que l'Agence allemande de l'énergie (dena) a remis lors de son congrès sur la transition énergétique à Berlin le 25 novembre 2019.

Adolf Gottfried Tonwerke GmbH, s'est spécialisé dans l'extraction et le traitement des matières premières pour l'industrie céramique. En ce qui concerne un traitement respectueux du climat, l’objectif de l’entreprise était de valoriser les grandes quantités de chaleur perdue produites lors de sa cuisson d’argile pour la transformation en chamotte.
Avec l'installation d'un échangeur de chaleur de fumées spécialement conçu pour cette application, l'entreprise a permis l'exploitation d'une solution ORC. Cela peut utiliser les températures élevées des fumées pour produire de l'électricité. Les «packs d'efficacité» d'Orcan Energy, une société qui conçoit des solutions pour l'utilisation de la chaleur résiduelle industrielle, sont très flexibles et peuvent réagir aux quantités de chaleur fluctuantes en quelques secondes. De plus, en conséquence, ils atteignent un haut degré d'efficacité dans la conversion de la chaleur en électricité même pendant le fonctionnement à charge partielle. Le module Orcan possède un deuxième circuit à haute température et, dans l'application, il peut donc utiliser des températures très élevées dans le flux de chaleur perdue. Les économies prévues grâce au recyclage de l’énergie de 180 t de CO2 et de 300 MWh d’électricité par an signifient une réduction considérable des coûts d’électricité de l’entreprise.

Le jury a justifié son verdict comme suit: «Adolf Gottfried Tonwerke GmbH, en coopération avec Orcan Energy, a réussi non seulement à exploiter rapidement la chaleur perdue d'un processus de cuisson énergivore, mais aussi à montrer une voie innovante pour une utilisation réussie de la poussière. -des fumées chargées.

Utilisation de la chaleur fatale chez A. Gottfried Tonwerke:

• Génération de chaleur résiduelle avec la technologie ORC dans le flux de gaz d'échappement (200-300 ° C) 
• Avec E-Pack d'ORCAN à 8000 Bh / 25 kW + consommation d'énergie en moins
• Ventilateur de gaz de combustion.
• Avec une subvention de 40% KfW, l'armortissement est possible en 2-3 ans.
• Support de projet pour le stockage mobile de chaleur à haute température dans des conteneurs ISO.
• Les gaz d'échappement chauds sont conduits dans des conteneurs spécialement isolés avec ballast de stockage et échangeur couplé pour restitution de chaleur.

Adolf Gottfried Tonwerke GmbH
www.gottfried.de

Source Ziegelindustrie International

Italie: La première nouveauté de Fornaci Laterizi Danesi pour 2020: Normablok sans pont thermique

Une nouvelle gamme de blocs en terre cuite hautes performances thermiques destinés à corriger les ponts thermiques des poutres et piliers. Fornaci Laterizi Danesi a présenté un nouveau produit à Klimahouse 2020: Normablok Più Ponti Termici

À l'occasion du salon Klimahouse à Bolzano, Fornaci Laterizi Danesi lance un nouveau produit conçu pour l'isolation thermique.

Normablok Più Ponti Termici est une gamme complète de blocs perforés et de cloisons à hautes performances thermiques conçues pour la correction des ponts thermiques des piliers et poutres.

Les hautes performances thermiques sont garanties grâce à l'injection de polystyrène expansé rempli de graphite BASF Neopor®.

Ces nouveaux blocs de briques sont également idéaux sur les chantiers de construction pour les rénovations, en particulier pour la construction de murs intérieurs écoénergétiques, garantissant une excellente isolation thermique du bâtiment.

Utilisés dans la construction de murs de remplissage, sans aucune fonction porteuse, ils ont cependant d'excellents paramètres mécaniques. Les cloisons sont disponibles dans les épaisseurs 8 et 10 cm, tandis que celles perforées dans les épaisseurs 8 et 12 cm.

Les formats ont été spécialement conçus pour améliorer la mise en œuvre du matériel et répondre aux demandes de conception les plus diverses.

Domaines d'application des ponts thermiques Normablok Plus
Ce nouvel élément de construction est très efficace lorsqu'il est utilisé sur de nouveaux chantiers, pour la correction des ponts thermiques de poutres et piliers.

Même les poutres et les piliers peuvent désormais être isolés grâce aux ponts thermiques Normablok Più: ses cloisons peuvent être posées du côté extérieur des mêmes poutres et piliers, compte tenu de l'épaisseur réduite, et ainsi obtenir un bon résultat en termes d'isolation thermique.

En combinaison avec les blocs Normablok Più Ponti Termici, il est enfin possible de créer les remplissages restants avec Normablok Più High Performance, ce qui rend inutile l'application d'une couche thermique.

Les cloisons perforées et isolées sont également très fonctionnelles sur les chantiers de rénovation, pour la construction de contre-murs internes. En fait, si vous construisez des murs intérieurs avec des cloisons perforées ou Normablok Più Ponti Termici, en les plaçant sur des murs existants, vous pouvez obtenir un bon coefficient d'isolation, même sans installer la couche thermique. Cette solution peut être utile pour intervenir sur des parties de bâtiments dans lesquelles il n'est souvent pas possible d'isoler en intervenant de l'extérieur.

Les discontinuités de la construction: le problème du pont thermique
Le pont thermique n'est rien d'autre qu'une zone locale de l'enveloppe thermique, où il y a une discontinuité telle que le flux de chaleur entre l'intérieur et l'extérieur est différent, presque toujours supérieur au reste des structures, provoquant par conséquent de points froids. Les causes peuvent être différentes, allant des discontinuités de construction, lors de l'utilisation de matériaux hétérogènes, aux discontinuités géométriques, toutes deux faciles à trouver aux angles, entre le mur et le sol ou entre le mur et les luminaires, mais pas seulement. Souvent, un pont thermique de pilier d'angle est évident, dans les poutres et beaucoup plus fréquemment près des balcons, des fenêtres ou des appuis de fenêtre, une note douloureuse est qu'au fil des ans, cette anomalie peut affecter à la fois les performances et la durabilité des matériaux utilisés. Le principal problème qui en découle est bien sûr la perte de chaleur de l'intérieur de la zone habitée vers l'extérieur, avec pour conséquence la formation de moisissures et de condensation.

Les ponts thermiques Normablok Più facilitent le chantier
Pour surmonter ces éléments de discontinuité, il est désormais possible d'utiliser les systèmes de cloisons et de blocs Normablok Più Ponti Termici, qui garantissent également une vitesse élevée et une facilité d'exécution tout en offrant un ordre et une propreté maximaux de la structure construite et du chantier.

L'utilisation de blocs de briques de haute technologie, qui peuvent facilement être intégrés dans un système avec les autres solutions de construction du bâtiment, permet la construction de bâtiments à haute efficacité énergétique, où les coûts de consommation d'énergie seront très faibles, tandis que le confort et le bien-être à la maison seront certifiables.

Les ponts thermiques Normablok Più, comme toute la gamme de produits Normablok Più, démontrent que les techniques et matériaux de construction avancés traditionnels peuvent encore être très efficaces dans la réalisation d'un bâtiment de qualité répandu et avec des normes énergétiques élevées.

Source IngenioWeb

Terreal mise sur le solaire accessible

Fort de l’acquisition de GSE Intégration en octobre 2018, Terreal se diversifie et axe sa stratégie sur le développement des modules photovoltaïques intégrés aux tuiles. Dans ce contexte, il annonce le lancement de son programme « Demain tous solaire », qui vise à rendre le photovoltaïque accessible au plus grand nombre, et à faire des couvreurs « les installateurs privilégiés du solaire ».
Alors que le solaire résidentiel est en hausse de 15 % par an et que les prix baissent, Terreal, spécialiste des matériaux de construction en terre cuite, mise sur ce marché en pleine expansion pour apporter des solutions abordables.

Lancement du programme « Demain tous solaire »

Le groupe a annoncé ce vendredi 31 janvier, à l’occasion d’une conférence de presse, le lancement de son programme « Demain tous solaire », avec trois offres comprenant des modules photovoltaïques intégrés, qui deviennent l’une des spécialités de Terreal. Il faut dire que le groupe a racheté GSE Intégration, spécialiste du photovoltaïque, en octobre 2018. Grâce à cette acquisition, le chiffre d’affaires du groupe est monté à 412 millions sur l’année 2019, et le solaire représente désormais 13 % des ventes du groupe.

Certes, ces panneaux photovoltaïques (PV) sont fabriqués en Chine, mais les trois offres proposées, allant de 1 500 euros pour la formule « Découverte », à 10 000 euros pour la formule qui comprend une batterie de stockage, rendent le solaire accessible au plus grand nombre.

Avec ces prix pratiqués, le payback est plus rapide. « Il faut compter environ 8 ans pour un logement situé à Marseille, et environ 12 ans à Lille », précise Laurent Musy, le PDG du groupe. Mais contrairement aux a priori, habiter dans une région à faible ensoleillement n’a pas forcément d’impact important sur la production d’énergie, comme en témoigne le développement du solaire dans des pays comme les Pays-Bas, l’Allemagne ou l’Angleterre. Aux Pays-Bas, une maison neuve sur cinq serait ainsi équipée de PV. Or, sur ce point, la France est à la traîne.

Terreal ambitionne donc de se développer dans les régions du nord de la France, et s’intéresse tout particulièrement à la rénovation. La stratégie ? Profiter d’une rénovation de toiture pour installer des modules photovoltaïques.

Des économies pour les particuliers

Pour les particuliers, il s’agit d’un levier important de réduction de la facture d’électricité, surtout lorsque l’on sait que le prix de l’électricité doit encore augmenter de 5 à 6 % par an. Ainsi, le groupe estime que l’installation de PV peut permettre de réduire jusqu’à 50 % la facture d’électricité des ménages. Terreal rappelle par ailleurs que l’autoconsommation permet de revendre le surplus d’énergie produite à EDF.

L’esthétique est également un critère important. Ainsi, le groupe propose des modules colorés pour se fondre dans la teinte des tuiles en terre cuite lorsqu’elles ne sont pas ardoisées.

Un exemple de modules photovoltaïques intégrés à des tuiles ardoisées. 

Convaincre les couvreurs

Selon une étude réalisée par le groupe en novembre dernier, la grande majorité des constructeurs jugeraient déjà Terreal crédible en tant que producteur de solutions photovoltaïques. 94 % des constructeurs auraient ainsi répondu « tout à fait d’accord » (47 %) et « plutôt d’accord » (47 %) à la question « Terreal est-il légitime pour m’accompagner dans cette croissance du solaire photovoltaïque ? »

Pour le directeur commercial, il s’agit désormais « d’évangéliser » les couvreurs, qui doivent impérativement « prendre le tournant du solaire pour ne pas passer à côté de ce marché en croissance ».

Terreal estime que le couvreur doit être « l’installateur privilégié du solaire ». « Il existe une réelle opportunité d’allier le développement du solaire et la rénovation des toits. Le couvreur ne doit pas perdre sa place de leader du toit et nous devons l’aider à se saisir de ce marché en neuf mais aussi sur le toit existant », insiste Laurent Musy.

Pour convaincre les couvreurs, le groupe entend notamment passer par l’intermédiaire du négoce, et par des outils de vente papier et digitaux. Il annonce par ailleurs la mise en ligne prochaine d’un site aux couleurs du programme « Demain tous solaire ».

Source Batiweb par Claire Lemonnier

Castelnaudary. Cent treize salariés médaillés du travail chez Terreal

Terreal a renoué avec une de ses habitudes : l’organisation d’une belle soirée pour un événement d’importance, la remise de médailles du travail à 113 de ses salariés du Pôle Tuiles sud. Une cérémonie en présence de la préfète de l’Aude, Sophie Elizeon, et présentée par les directeurs Eric Ledour, directeur des sites Pôle sud de Lasbordes et Colomiers, Javier de la Casa, celui du Pôle Sud, sites de Labastide, Castelnaudary et Saint-Martin-Lalande et en présence des maires des communes des sites de Térréal. Une belle cérémonie, donc, qui s’est déroulée à Saint-Martin-Lalande pour cette remise de 41 médailles d’argent, 31 de vermeil, 15 d’or et 26 grand or. " C’est pour nous l’occasion d’honorer et de valoriser l’engagement quotidien des personnes qui font vivre notre entreprise. Certains d’entre vous sont à la retraite, d’autres y pensent et vous avez tous un point commun, vous avez réalisé la quasi-totalité de votre parcours chez Terreal. Terreal qui a changé de nom mais l’entreprise reste la même" souligne M. Ledour avant d’informer l’assistance que "Terreal allait être mettre à l’honneur ce week-end. Il va être rassemblé en France 101 produits fabriqués en France, un par département et Tereral y sera présent avec une tuile de notre usine de Romazières – la romaine canal — pour la Charente".

"La médaille d’honneur du travail a été instituée le 15 mai 1948 pour récompenser ceux et celles qui se distinguent par leur valeur professionnelle, la durée et la qualité de leur service", a rappelé la préfète mettant en exergue les valeurs que symbolise cette médaille : "des valeurs de la République, des valeurs professionnelles, du sens de l’effort, de la persévérance, et de l’esprit d’équipe. Soyez en fiers, transmettez-les, car, en plus du symbole, cette médaille fait de vous des exemples à suivre". Ce que n’a pas manqué de souligner M. de la Casa en félicitant, avec beaucoup de gentillesse et d’enthousiasme, ses équipiers du Lauragais audois.

Les médaillés du Lauragais audois.

ARGENT.
Lasbordes. Nadine Paulhan, David Perrutel, Benoit Teisseire.

Castelnaudary. Mathieu Lerime,

CRED. Christophe Picon, Thierry Quiquandon,

Le Ségala. David Allabert, David Brunel, Jérôme Courtessole, Javier de la Casa, Nicolas Fabre, Philippe Faugères, Yannick Lemaire, André Pinet, Nicolas Rauzy, Yannick Robidou. Jean-Claude Soula.

Saint-Martin-Lalande. Claude Reynes, Michel Riverola,

VERMEIL. 
Lasbordes. Joël Dalcol, Patricia Mondragon, Jean-marc Pélissier, Tayeb Rezig. Castelnaudary. Claude Deumie, Eric Guiraud, Pascal Hernandez, Bruno Nicol.

CRED. Djemal Amrine, Sébastien Jeanjean,

Le Ségala. Patrick Arseguel, Laurent Castelle, Hughes Chevallier, Jean-Paul Cras, Alexis Dalloux, Laurent Jean-Baptiste, Christophe Nicolau, Christophe Vidal, Hervé Voirin.

Saint-Martin Lalande : Gilles Deville, Laurent Guéffier, Francis Limongy, Francis Marquié, Patricia Prigent.

OR

Lasbordes. Tayeb Reuzig,

Castelnaudary. Ouardi Azzougui.

Le Ségala. Michel Alric, Claude Anthony, Serge Bouyssou, René Flocat, Alain Melet.

Saint-Martin-Lalande. Éric Calvayrac, Pascal Louvet, Francis Soury,

GRAND OR.

Lasbordes. Régis Fiole, Daniel Fraysse, Ahmed houssine, Norbert Kerner,

Castelnaudary Jean-Pierre Calmettes, Alain Delrieu, Jean-Philippe Deumié, Jean-Bernanrd Morant, Thierry Panegos,

Le Ségala. Auguste Belot, Abdelaziz Didouh, Paul Dolz-Gracia, Marc Fort, Jean-Luc Lépidi, Henri mazet, Chrisitan Ramière. Saint-Martin-Lalande. José Louis Mondragon.

Source La Dépêche du Midi 

Saint-Piat rachète la briqueterie Lambert pour 1€ symbolique

Saint-Piat rachète la briqueterie Lambert pour 1€ symbolique Les élus, dont Michèle Martin (à gauche), maire, ont visité hier matin le site de la briqueterie de Saint-Piat. © agence de Chartres
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Le projet de sauvegarde de la briqueterie de Saint-Piat a franchi une nouvelle étape avec l’achat par la commune d’une partie du site inscrit aux Monuments historiques.
C’est un projet que Michèle Martin porte depuis près de douze ans. La maire (sans étiquette) de Saint-Piat tente, depuis ses premiers pas d’élue en 2008, de donner un futur au site de la briqueterie Lambert. Et c’est à la toute fin de son ultime mandat qu’elle pense avoir trouvé la solution.

La briqueterie de Saint-Piat va être rachetée pour 1€ par la mairie

Cette ancienne usine, à l’arrêt depuis 1997, est inscrite aux Monuments historiques, mais elle est aujourd’hui à l’abandon. La commune vient d’acquérir, fin décembre 2019, le site classé pour 1 € symbolique et a acheté les terrains aux alentours pour 75.000 €.

« Le four Hoffmann, c’est comme une cathédrale ! »
« Nous allons commencer, à partir du 1er février, les premiers travaux urgents de mise hors d’eau. Il faut maintenant décider de ce que l’on préserve et ce qu’on doit démolir », a expliqué hier matin Michèle Martin, en marge d’une réunion technique sur le sujet. Le coût de ces aménagements s’élèverait à 300.000 €.

L’élue sait que ce projet peut changer la donne dans la commune. « Il faut préserver tout ce qui fait l’histoire du village. Ce site a un intérêt touristique et économique. Il faut valoriser le beau four de type Hoffmann (Ndlr : un équipement à feu continu qui permettait de cuire les briques) qui est encore intact. C’est comme une cathédrale ! », s’enflamme-t-elle.

Et même si elle ne se représente pas aux élections municipales de mars prochain, Michèle Martin continue d’égrener ses projets pour la commune.

« Nous pourrions proposer à des artisans d’art de s’installer. Il y a de la place. Et avec l’ancienne préfète, Sophie Brocas, nous avons eu l’idée de louer les locaux aux compagnies de danse parisiennes. La gare est à côté », détaille l’édile, juste au moment où un train s’arrête pour faire monter les voyageurs.

L’avenir de la briqueterie sera-t-il un enjeu de la campagne des municipales ? Du côté des deux candidats déclarés, le projet ne soulève pas l’enthousiasme.

Amélie de Sousa, 31 ans, tête de liste de “Au fil de Saint-Piat et ses hameaux”, qui se définit comme « apolitique », préfère ne pas prendre d’engagement. « Nous n’avons pas eu accès au dossier, donc nous ne pouvons pas nous prononcer pour le moment ».

« Est-ce que ça vaut vraiment le coup ? »
Jean-Roger Condat, qui mène la liste « de centre-droit » “Demain Saint-Piat”, est beaucoup plus hostile. « C’est une sacrée peau de banane glissée à la prochaine municipalité. Il faudrait 2 millions d’euros pour tout remettre en état. Est-ce que ça vaut vraiment le coup ? C’est impossible à financer. Nous ne voulons pas faire exploser la fiscalité. Notre solution serait de céder le site pour 1 € symbolique à un promoteur privé. En échange, il s’engagerait à valoriser les deux cheminées du bâtiment et construire une crèche familiale ». Laquelle des philosophies l’emportera-t-elle ? Réponse dans quelques semaines...

Source L'Echo Républicain par Rémi Bonnet

A Cabourg, Lemoal Lemoal architectes fixe un rendez-vous avec l’élégance

A Cabourg, Lemoal Lemoal architectes fixe un rendez-vous avec l’élégance Batiweb
C’est un projet tout aussi plastique que fonctionnel que les architectes de l’agence Lemoal Lemoal viennent de livrer en Mai 2019 à Cabourg. Une réalisation qui fait cohabiter astucieusement un pôle social et culturel.
Le pôle social et culturel Gonzague Saint Bris est situé à Cabourg, sur une parcelle complexe entourée d’une part par un centre de protection maternel et infantile et d’autre part par un parking. Malgré tout, l’ensemble se détache de son voisinage avec grâce tout en imposant ses lignes pures.

Le social et le culturel en miroir
Suite à la décision de la mairie de Cabourg de regrouper sur un même site les deux services culturel et social, Lemoal Lemoal architectes (Christophe et Jesse Lemoal) ont été mandaté pour mener à bien le projet. L’équipement propose non seulement la reviviscence de la parcelle enclavée mais s’inscrit dans une remarquable démarche de durabilité qui profite des savoir-faire et des matériaux locaux.

Les architectes, conscient de l’emplacement de la nouvelle réalisation qui se trouve à l’écart des flux de la rue, ont opté pour le remaniement du maillage des différentes artères en rendant pratique la liaison entre le centre-ville et le quartier résidentiel situé vers le nord. La nouvelle organisation incite les piétons à traverser le site. Ce dernier devient une nouvelle place publique où donnent les différentes ouvertures.

Et bien que le programme suggérait la construction d’un seul édifice, les architectes ont choisi de scinder l’ensemble en deux entités distinctes. Avec leurs imposantes toitures en terre cuite, ces dernières reproduisent l’architecture normande soutenant le concept du départ très cher au cœur des architectes : Produire une architecture sensée, attentive aux diverses détails et enracinée dans son contexte.

La médiathèque et la ludothèque sont abritées par l'édifice du pôle culturel qui est situé au nord de la parcelle. Tandis que les salles de lecture et de jeu s’ouvrent sur la place publique, les espaces de stockage, les toilettes et les réserves, se trouvent à l’arrière du bâtiment. Quant au pôle social, qui est réalisé en symétrie par rapport au pôle culturel, se distingue, sur sa partie la plus longue, par une circulation centrale qui permet de séparer les espaces d’accueil des bureaux du centre social. L’espace public constitue le lien fort entre les deux entités.

De la longère normande
Les deux pôles, quasiment identiques, s’inscrivent dans l’architecture de la région, en reprennent les codes de la longère normande traditionnelle. Cependant, il ne s’agit pas d’une pâle copie de l’ancien mais une fine interprétation de ce dernier. Nous pouvons noter que, dans leur démarche, les architectes, ont entrepris d’optimiser la charpente en bois, de simplifier la structure laissée apparente tout en se montrant soucieux des différents détails d’exécution.

Un petit coup de cœur pour le revêtement en tuiles qui, comme un ruban, continue du sol jusqu’au sommet du toit conférant aux bâtiments une douce harmonie décelable de loin. A noter que, concernant ce petit exploit, les architectes ont travaillé avec l’entreprise spécialisée Terreal. De même, les tuiles de terre cuite composant la couverture ont été réalisées sur le site de fabrication de Bavent, situé dans le Canton de Cabourg. L’argile servant à leur confection provient de la carrière de l’usine. Une démarche qui ancre le projet dans sa région en associant sa conception à un savoir-faire et une production locale.

A Cabourg, Lemoal Lemoal architectes fondée en 2010 par les frères Christophe et Jesse Lemoal a entrepris un travail d’orfèvre qui touche à la perfection.

Source Batiweb par Sipane Hoh

Albi : un poids lourd perd son chargement de briques à la sortie de la rocade

Lundi matin, des morceaux de briques étaient répandus sur la chaussée au niveau de la sortie 15 de la rocade d'Albi. En cause : un poids lourd a perdu une partie de son chargement dans un virage. Le sinistre a légèrement perturbé la circulation.

Lundi matin, aux alentours de 8h30, un poids lourd a perdu plusieurs palettes de briques qui se sont répandues sur la route à Albi. C'est en sortant de la rocade à la sortie 15 (direction Castres) que son chargement a été déséquilibré dans un virage. Des palettes de briques ont alors basculé hors du poids lourd et se sont écrasées sur la chaussée.

La Dirso est intervenue rapidement pour dégager la route. La circulation n'a été que légèrement impactée car cette bretelle de sortie dispose de deux voies. Une heure après, l'incident était terminé.

Source La Dépêche du Midi