Bouyer-Leroux, dont la marque bio’bric est numéro 1 de la brique en France, tente de lancer Prefa’bric, le premier préfabriqué en briques. Tout est prêt, ne manque plus que la validation du marché. Une démonstration aura lieu au salon Aquibat.
« Pallier le manque de main d’œuvre sur les chantiers et faciliter l’accès à la brique si performante et compétitive ». Stéphane Yvars est clair et convaincu : « On doit donc attirer les jeunes vers les métiers du bâtiment grâce à des systèmes constructifs plus intuitifs et moins pénibles à poser. Si on ne fait pas ce genre de transfert, dans dix ans, çe seront les imprimantes 3D qui construiront tout, et ce ne sera peut-être pas en brique. Donc on risque de perdre un savoir-faire et un matériau ».
Les solutions pour résoudre ce problème sont multiples et le responsable ingénieur bâtiment du groupe Bouyer-Leroux ne prétend pas toutes les avoir. Mais au moins une, quand même : « Grâce à notre innovation, un maçon qui décide de se lancer, il aura besoin d’une formation, de nos plans et d’une grue. Et le soir quand il rentrera, il ne sera pas fatigué comme il l’est aujourd’hui, après avoir soulevé quatre tonnes de matériau ».
Préfa’bric : une nouvelle alternative préfabriquée
L’innovation de Bouyer-Leroux, c’est plus précisément le Lab Bouyer-Leroux qui la développe depuis plus de deux ans. « Tout est validé, on sait que ça fonctionne, maintenant il faut que le marché valide la nouveauté », précise Stéphane Yvars, par ailleurs pilote du projet. La nouveauté en question c’est donc Préfa’bric, qui est, comme son nom l’indique un préfabriqué en briques. « On vient présenter le concept à Aquibat en tout humilité parce que le préfa existe depuis quelques temps. On n’est donc pas les premiers sur le sujet, mais les premiers à le faire en brique ».
Qui cela peut-il intéresser ? Pour quel bâtiment ? Bouyer-Leroux doit encore obtenir la réponse à quelques questions avant de se lancer définitivement. « Pour le moment, ce sont des prototypes qu’on propose aux entreprises de tester. Forcément dans ce contexte-là, on a une très faible capacité de production. On aura donc le luxe de choisir les projets ».
La présence sur le salon Aquibat va permettre à l’entreprise de mettre en scène et d’expliquer le fonctionnement de son innovation, tout en prenant connaissance de l’appétit ou des réticences de leurs potentiels clients.
Un chantier zéro nuisance
La démonstration se fera en synergie avec Matebat, l’un des leaders de la location et de la vente de grue. « C’est aussi hyper bénéfique pour nous, assure Stéphane Yvars. Ça nous permet de développer nos connaissances et d’orienter nos futurs clients vers des moyens de levage adaptés à leurs besoins ».
Sur le salon Aquibat, les grues Matebat soulèveront donc les préfabriqués en briques de Bouyer-Leroux pour une démonstration gagnant-gagnant. Avec son innovation, le leader de la brique de mur tente de s’offrir davantage de souplesse pour répondre à des chantiers rapides. « L’idée c’est d’aller chercher des marchés sur lesquels on n’est pas, des bâtiments scolaires, industriels, de commerce, de santé et bien sûr sur la région, des bâtiments pour le stockage du vin ».
Alors le Préfa’bric, c’est pour demain ? Forcément, Stéphane y croit, lui : « J’y crois tellement, quand on voit ça sur chantier, c’est magique ». Et le tour de magie, c’est au salon Aquibat qu’il aura lieu.
Source Aquibat
« Pallier le manque de main d’œuvre sur les chantiers et faciliter l’accès à la brique si performante et compétitive ». Stéphane Yvars est clair et convaincu : « On doit donc attirer les jeunes vers les métiers du bâtiment grâce à des systèmes constructifs plus intuitifs et moins pénibles à poser. Si on ne fait pas ce genre de transfert, dans dix ans, çe seront les imprimantes 3D qui construiront tout, et ce ne sera peut-être pas en brique. Donc on risque de perdre un savoir-faire et un matériau ».
Les solutions pour résoudre ce problème sont multiples et le responsable ingénieur bâtiment du groupe Bouyer-Leroux ne prétend pas toutes les avoir. Mais au moins une, quand même : « Grâce à notre innovation, un maçon qui décide de se lancer, il aura besoin d’une formation, de nos plans et d’une grue. Et le soir quand il rentrera, il ne sera pas fatigué comme il l’est aujourd’hui, après avoir soulevé quatre tonnes de matériau ».
Préfa’bric : une nouvelle alternative préfabriquée
L’innovation de Bouyer-Leroux, c’est plus précisément le Lab Bouyer-Leroux qui la développe depuis plus de deux ans. « Tout est validé, on sait que ça fonctionne, maintenant il faut que le marché valide la nouveauté », précise Stéphane Yvars, par ailleurs pilote du projet. La nouveauté en question c’est donc Préfa’bric, qui est, comme son nom l’indique un préfabriqué en briques. « On vient présenter le concept à Aquibat en tout humilité parce que le préfa existe depuis quelques temps. On n’est donc pas les premiers sur le sujet, mais les premiers à le faire en brique ».
Qui cela peut-il intéresser ? Pour quel bâtiment ? Bouyer-Leroux doit encore obtenir la réponse à quelques questions avant de se lancer définitivement. « Pour le moment, ce sont des prototypes qu’on propose aux entreprises de tester. Forcément dans ce contexte-là, on a une très faible capacité de production. On aura donc le luxe de choisir les projets ».
La présence sur le salon Aquibat va permettre à l’entreprise de mettre en scène et d’expliquer le fonctionnement de son innovation, tout en prenant connaissance de l’appétit ou des réticences de leurs potentiels clients.
Un chantier zéro nuisance
La démonstration se fera en synergie avec Matebat, l’un des leaders de la location et de la vente de grue. « C’est aussi hyper bénéfique pour nous, assure Stéphane Yvars. Ça nous permet de développer nos connaissances et d’orienter nos futurs clients vers des moyens de levage adaptés à leurs besoins ».
Sur le salon Aquibat, les grues Matebat soulèveront donc les préfabriqués en briques de Bouyer-Leroux pour une démonstration gagnant-gagnant. Avec son innovation, le leader de la brique de mur tente de s’offrir davantage de souplesse pour répondre à des chantiers rapides. « L’idée c’est d’aller chercher des marchés sur lesquels on n’est pas, des bâtiments scolaires, industriels, de commerce, de santé et bien sûr sur la région, des bâtiments pour le stockage du vin ».
Alors le Préfa’bric, c’est pour demain ? Forcément, Stéphane y croit, lui : « J’y crois tellement, quand on voit ça sur chantier, c’est magique ». Et le tour de magie, c’est au salon Aquibat qu’il aura lieu.
Source Aquibat
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