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25/10/2019

Toit solaire: Tesla rencontre des problèmes graves aux États-Unis

Quand Tesla a lancé ses e-tuiles pour toits solaires en 2017, elles sont parties comme des petits pains. On se plaint maintenant de problèmes techniques graves.


Lorsque le patron de Tesla, Elon Musk, lance un nouveau produit sur le marché, les clients se l'arrachent généralement. C'est donc à la mi-2017 que le constructeur de voitures électriques a lancé ses soi-disant e-tuiles pour la construction de toits solaires chics dans la course. Même avant le lancement sur le marché, tous les quotas étaient vendus jusqu'à une bonne partie de l'année prochaine. Ceux qui ont réussi à faire équiper leur toit solaire de la marque Tesla ont eu de la chance - mais se sont peut-être réjoui trop tôt. De plus en plus d'utilisateurs des toits Tesla signalent des problèmes techniques aux conséquences partiellement dévastatrices. Selon Business Insider, le 1er août 2019, par exemple, le toit solaire d'un consultant en environnement dans l'État du Colorado aux États-Unis était en flammes.

Toit solaire Tesla: les panneaux s'enflamment
Le propriétaire n'était pas à la maison à ce moment-là et doit aux voisins attentifs que sa maison soit toujours debout. La veille de l'incendie, Tesla avait informé sa femme qu'il y avait des fluctuations de tension sur son toit et qu'on envoyait des techniciens dans une semaine - trop tard, s'est-il avéré. Le propriétaire attend toujours un rapport sur la cause de l'incendie. Celui-ci porte de graves allégations contre Tesla et se plaint que le fabricant ne se conforme pas à la maintenance contractuelle et légale des installations. Comme Tesla refuse de renvoyer son contrat, le client est maintenant devant le tribunal - et il n'est pas la seule à être touchée.

Source Business Isider par Claudia Brüggen-Freye et nos auteurs Przemyslaw Szymanski, Katharina Göttsche, Manuel Bauer

24/10/2019

Climamur© Un nouvel art de vivre - épisode 3

Dans cet épisode, venez à la rencontre des constructeurs de maison individuelle et de entreprise générale de construction qui posent notre brique en terre cuite Climamur avec :
-Christophe Muller, Gérant de Maison Créa
-Damien Moog, Directeur de travaux chez Hemmerlé

Et visiter une maison individuelle en cours de construction à Lampertheim en Alsace.

Plus d'information sur https://www.climamur.fr

Source Youtube

23/10/2019

GSE Intégration, candidat au concours d’innovation EnergieSprong

La candidature de GSE Intégration, société du Groupe TERREAL, a été retenue pour le concours d’innovation d’Energiesprong France dans la catégorie 5 « logement individuels, toiture isolante avec production d’énergie ».

La démarche EnergieSprong vise à accélérer le développement de rénovations à zéro énergie garantie en s’appuyant, entre autres, sur une logique de préfabrication et d’industrialisation.

Le cahier des charges stipule :

• Un niveau énergie zéro garanti sur 30 ans post-rénovation, cela grâce à un haut niveau d’efficacité énergétique et à la production locale d’énergies renouvelables ;

• Un surcoût financé par les économies d’énergie et de maintenance, ce qui est possible grâce à la garantie de performance de long terme ;

• Des travaux réalisés en site occupé et en un temps court grâce à l’utilisation d’éléments préfabriqués pour limiter les nuisances liées au chantier pour les occupants ;

• Une attention spécifique portée au confort, à l’esthétique et la qualité architecturale.



Le 80ème Congrès Hlm a été l’occasion de révéler les 24 candidatures sélectionnées par un jury composé d’experts pour la prochaine étape du concours : le développement des solutions innovantes. Chacune des 7 catégories est parrainée par un bailleur social, et les prototypes seront développés sur la base des dimensions et caractéristiques réelles de bâtiments représentatifs de leur patrimoine. Les bailleurs parrains sont les suivants : Domofrance, Est Métropole Habitat, ICF Habitat, Maine et Loire Habitat, Nantes Métropole Habitat, Néotoa et Vilogia.

C’est au total, 78 candidatures réparties sur les 7 catégories qui ont été reçues, représentant 41 groupements et 133 entreprises différentes.

Au sein de notre catégorie 5 : Logement individuel, Toiture isolante avec production d’énergie :

Parrain bailleur : Maine & Loire Habitat ;

Equipe 1 : Guillet Production / Systovi / Emenda / Abak Ingénierie
Equipe 2 : GSE Intégration / Christian Cardonnel Consultant

Le concours est soutenu par l’Union sociale pour l’habitat, et co-financé par le programme Mustbe0 d’Interreg NWE, GRDF et le programme CEE EnergieSprong France.

Rendez-vous le mardi 5 novembre au salon Batimat pour la présentation des schémas des solutions, les lauréats seront annoncés en mars 2020.

Source Terreal

Salon International du Patrimoine 2019

Retrouvez Terreal du 24 au 27 octobre 2019 au Carrousel du Louvre, Paris  Salle LE NOTRE - Stand J28

Porté par Ateliers d’Art de France depuis 2009, le Salon International du Patrimoine Culturel rassemble et fédère l’ensemble des acteurs des métiers du patrimoine. Moment unique d’échanges et de réflexion, le salon accueille plus de 330 exposants et 21 000 visiteurs, grand public comme professionnels, pendant 4 jours au Carrousel du Louvre à Paris.

Le Salon International du Patrimoine Culturel (SIPC) est l’événement de référence qui fédère les professionnels de la valorisation, la restauration et la sauvegarde du patrimoine bâti ou immatériel.

Retrouvez les équipes de TERREAL lors de ces 3 jours uniques salle Le Nôtre - stand J28


Informations pratiques

  • Carrousel du Louvre - 99, rue de Rivoli, 75001 Paris
  • Jeudi 24 octobre 2019, de 10h à 18h.
  • Vendredi 25 et samedi 26 octobre 2019, de 10h à 19h.
  • Dimanche 27 octobre 2019, de 10h à 18h.
  • www.patrimoineculturel.com 


Source Terreal

22/10/2019

Wienerberger s'attend à une nouvelle croissance en Grande-Bretagne

Wienerberger (WBSV.VI), le plus grand briquetier au monde, se développe en Grande-Bretagne et s'attend à ce que cette tendance se maintienne après la sortie du pays de l'Union européenne, a annoncé jeudi son directeur général.

«Nous avons de très très bons résultats en Angleterre et nous continuons à croître», a déclaré Heimo Scheuch lors d'une conférence à Vienne.

La Grande-Bretagne, où la société emploie près de 1 000 personnes sur 14 sites de production, est le plus grand marché unique de Wienerberger.

Interrogé sur les incertitudes liées au Brexit, Scheuch a déclaré que la société était très bien préparée. "Nous sommes beaucoup plus détendus au sujet du Brexit qu'il y a un an."

Source Reuters reportage de Kirsti Knolle; édité par Tassilo Hummel

21/10/2019

Bâtiment : un climat des affaires encore très favorable (tuiles +0,1 briques -1,8)

Les mois se suivent et se ressemblent. Interrogés par l’INSEE en septembre, les chefs d’entreprise ont confirmé une conjoncture très favorable. L’indicateur synthétique du climat des affaires, ancré autour de 111 depuis onze mois, affichait 112 en septembre, soit un niveau très supérieur à sa moyenne de long terme (100). L’opinion des professionnels concernant leur activité de ces trois derniers mois, tout comme leurs perspectives d’activité, se sont même nettement améliorées.

Quant aux carnets de commandes, ils culminent à haut niveau, soit 9 mois de travail dans le gros œuvre et 8,1 mois dans l’ensemble du bâtiment, un volume bien plus élevé que la moyenne (6,1 et 5,7 respectivement) dans un contexte où les effectifs continuent de s’étoffer en dépit des difficultés de recrutement. Il est vrai que le retard accumulé dans les chantiers en raison des goulots de main-d’œuvre masque la décélération des entrées de commandes consécutive au repli des permis de construire en logements.

A fin août, et en cumul sur douze mois, ces derniers affichaient un recul de - 5,7 % sur un an. Toutefois, le léger rebond du segment individuel de ces derniers mois, sans doute en partie lié à la perspective de disparition du dispositif du PTZ à la fin 2019, a permis de modérer la tendance (- 2,5 % sur un an au cours des trois deniers mois). Quant aux mises en chantier de logements, si elle cèdent - 3,8 % sur un an au cours du trimestre juin-août (et des douze derniers mois), elles se sont légèrement redressées au regard du trimestre précédent (+1,3 % en données cvs-cjo).

Dans le segment non résidentiel la conjoncture reste bien orientée. Les autorisations de surfaces
grimpent de + 8,4 % sur un an sur le trimestre juin-août (+ 5,8 % sur douze mois) tandis que les ouvertures de chantier se redressent de + 12,2 % (+ 1,3 % sur douze mois). De fait, la conjoncture de
la fin d’année s’annonce finalement un peu moins sombre que prévu, un constat corroboré par les derniers chiffres de commercialisation des logements neufs. En effet, les ventes des promoteurs, notamment dans le collectif, font preuve de résilience (- 0,7 % sur un an au premier semestre 2019) tandis que les ventes en individuel diffus se redressent à + 4,7 % sur un an au cours des sept premiers mois de l’année (selon le baromètre Markemétron).
L’attractivité des conditions de crédit, avec des taux de crédit à l’habitat à 1,17 % en août (selon les données de l’Observatoire du Crédit Logement), couplée à la détente des conditions bancaires, avec des durées de prêt qui atteignent 228 mois (un point haut depuis près de 20 ans), contribuent à solvabiliser la demande des ménages.

Source Unicem

20/10/2019

Terrabloc change la terre en pierre

La start-up genevoise remporte la deuxième édition du Prix SUD, organisé par «Le Temps». En produisant des briques à partir de déchets d’excavation, elle réinvente une technique ancestrale, la construction en terre crue, tout en appliquant le principe d’économie circulaire au secteur du bâtiment

Oubliez le machine learning, la blockchain, l’intermédiation ou toute autre innovation que l’imaginaire rapporterait au mot start-up. Terrabloc est bien une jeune entreprise de quelques employés qui cherche à grandir et à fignoler son modèle d’affaires. Mais elle ne travaille pas dans un garage, n’a pas d’open space ni de données stockées dans le cloud. Cela ne l’a pas empêchée de remporter la deuxième édition du Prix SUD, le prix de la start-up durable créé et organisé par Le Temps, qui a été remis jeudi soir à Lausanne.

Terrabloc travaille la terre. Celle de nos sous-sols, celle dont plus personne ne veut. Elle la récupère sur les chantiers, la concasse, la mélange, la compresse et en fait des briques. Rien de bien technologique, mais la réinvention intelligente d’une technique ancestrale qui s’inscrit dans un mouvement de fonds et bénéficie d’une prise de conscience écologique généralisée. Une deuxième vie pour les déchets d’excavation locaux qui sont recyclés… pour des chantiers locaux.

De savants mélanges

Le produit de Terrabloc, c’est la terre crue. Lorsqu’il présente son activité, le cofondateur Rodrigo Fernandez évoque volontiers la célèbre citadelle de Bam, en Iran, dont les habitations et la forteresse en adobe, mélange d’argile et de sable, s’étendaient sur une superficie de 180 000 m², avant de s’effondrer lors du grand tremblement de terre de 2003.


La citadelle de Bam, en Iran, un an après le tremblement de terre de 2003
Cette référence n’est pas de la prétention. C’est une manière de souligner que lui et son associé, l’architecte Laurent de Wurstemberger, n’ont rien inventé en créant Terrabloc. Ils n’ont fait qu’améliorer une vieille recette. «Notre savoir-faire, ce sont les mélanges et les techniques de stabilisation, nous avons réalisé une multitude de tests en amont et désormais, c’est surtout à l’expérience que nous sommes capables de savoir si une terre peut convenir à la fabrication de briques ou si elle a besoin d’être mélangée à une autre», confie l’ingénieur de l’EPFL spécialisé en matériaux. Il ne cache pas non plus qu’une part de ciment – entre 3 et 5% – est ajoutée à ces savants mélanges.

Rodrigo Fernandez
«Le Temps» a rencontré Rodrigo Fernandez sur le site de la société Cornaz, à Allaman (VD), avec laquelle les deux associés se sont liés. Dans l’un des entrepôts repose un stock brunâtre: quelque 100 m³ de terre particulièrement riche en argile et dont une partie a été piochée pour être ajoutée à une terre plus sèche afin de répondre à une commande de briques à Chexbres.

Tout à côté des milliers de palettes de briques en terre cuite, de pavés et de dalles entreposées chez Cornaz, les employés de l’entreprise sont en train de fabriquer des éléments de murs de soutènement en béton. Mais deux à trois jours par mois, désormais, la machine change de métier. C’est la terre de Terrabloc qui y est compactée dans des moules par une gigantesque et bruyante presse vibrante.

Les trois quarts de nos produits ne sont pas porteurs. Nous n’avons pas l’ambition de remplacer le béton

Cette industrialisation a permis à Terrabloc d’augmenter ses capacités de production de 1000 à 25 000 blocs par jour. Et de réduire les prix à 110 francs le m². Contre 180 francs à ses débuts, lorsqu’elle n’utilisait que sa petite machine débitant une brique après l’autre. Un modèle artisanal plus fort symboliquement, mais qui n’est pas rentable, reconnaît l’ingénieur. Le «brique par brique» est encore utile pour de petits ouvrages, mais il revêt désormais aussi un but pédagogique, comme sur le chantier d’une école à Estavayer-le-Lac, où les élèves ont pu être sensibilisés aux vertus de la brique écologique..

Ce que ces écoliers auront peut-être appris au passage, c’est qu’à elle seule, la fabrication du béton traditionnel, composé de ciment à hauteur d’environ 15%, est responsable de 5 à 10% des émissions totales de CO2 dans le pays. Mais Rodrigo Fernandez prévient, Terrabloc ne va pas tout changer: «Les trois quarts de nos produits ne sont pas porteurs. Nous n’avons pas l’ambition de remplacer le béton.»

Le retour à la terre
Des façades et de l’ornement surtout, donc. Comme une autre technique similaire mais devenue marginale, le pisé, que la révolution industrielle a plus ou moins englouti. La terre était alors devenue un matériau évoquant la pauvreté et l’artisanat. Elle ne faisait plus le poids face à l’efficacité du béton et de l’acier.

Mais aujourd’hui, à l’image de la réalisation de l’Autrichien Martin Rauch pour la Maison des plantes du confiseur Ricola, à Laufon (BL), les charmes séculaires du pisé séduisent de nouveau. Sauf que le prix de cette méthode est un luxe que tout le monde ne peut pas se permettre. «Ce n’est pas la conception que nous avons de Terrabloc, coupe Rodrigo Fernandez. Nous voulons que l’utilisation de la terre se démocratise.»

Cela semble en bonne voie. L’entreprise a déjà réalisé une quinzaine d’ouvrages. Et une quinzaine d’autres sont en préparation, dont certains de grande ampleur. Le bouche-à-oreille fait son œuvre, les projets déjà réalisés rassurent les hésitants et l’expansion s’accélère. En 2018, le chiffre d’affaires de Terrabloc a atteint 200 000 francs. Et il devrait flirter avec les 500 000 francs cette année.

Ce sont des murs vivants. Il y a des reflets grisés, beiges, couleur sable et des variations de teintes entre chaque brique

Manuel Barthassat, architecte
Si le surcoût d’environ 10%, par rapport à des briques d’ornement en terre cuite classiques, retient certains maîtres d’ouvrage, cela n’a pas été le cas du couple Genton. L’un des derniers ouvrages en briques Terrabloc, ce sont les façades extérieures pour un bâtiment de neuf logements à Lancy (GE), réalisé l’hiver dernier. L’un des architectes, Manuel Barthassat, est séduit. «Ce sont des murs vivants. Il y a des reflets grisés, beiges, couleur sable et des variations de teintes entre chaque brique. C’est, en plus, un matériau très respirant qui absorbe une partie de la chaleur.» Résultat, une façade de 205 m² exposée au soleil, mais protégée de la pluie par des terrasses.

Manuel Barthassat espère pouvoir convaincre d’autres clients. «On aimerait retravailler avec Terrabloc dès qu’on le pourra, on va en tout cas militer pour que cela soit possible dans d’autres projets», assure-t-il. Une bonne nouvelle pour la start-up, puisque «nos vecteurs de vente sont davantage les architectes que les maîtres d’ouvrage», résume Rodrigo Fernandez.

Pour la réalisation de Lancy, les briques ont été constituées à partir de la terre extraite sur le même site. Dans l’idéal, Rodrigo Fernandez voudrait que tous les chantiers puissent s’auto-alimenter. Ou que le chemin entre la terre et la fabrication des briques reste limité à une dizaine de kilomètres. Mais les quantités ou la qualité ne sont pas toujours au rendez-vous. Alors le cofondateur de Terrabloc s’est fixé une limite: pas plus de 50 km pour transporter la terre. «C’est la moyenne effectuée par les camions de chantiers à Genève pour aller jeter la terre, parfois en France voisine.»

Le principe de l’économie circulaire appliqué au monde de la construction. C’est l’argument qui a fini de convaincre les membres du jury d’attribuer le Prix SUD à Terrabloc.

Source Le Temps

19/10/2019

Peter Johnson devient le nouveau président du conseil de surveillance de Wienerberger

Changement à la tête du conseil de surveillance de Wienerberger AG: le Britannique Peter Johnson remplace Regina Prehofer. Prehofer reste au conseil de surveillance du fabricant de briques.

Le Britannique Peter Johnson prend la présidence du groupe de briques Wienerberger à la suite de Regina Prehofer. "En tant qu'ancien PDG de sociétés internationales de matériaux de construction, Johnson possède un excellent savoir-faire du secteur et une grande expérience des marchés financiers internationaux", a déclaré la société. Avec ses nombreuses années d’expérience, il est idéalement placé pour définir des priorités importantes pour la prochaine phase du développement de l’entreprise.

L'ancienne présidente du conseil de surveillance, Regina Prehofer, continuera à siéger au conseil. Heimo Scheuch, PDG de Wienerberger, a remercié Prehofer pour la contribution substantielle qu’elle a apportée en tant que présidente du conseil de surveillance, en particulier pour sa responsabilité après la crise financière et la réorientation de la société.

Peter Johnson a étudié les sciences économiques à l'Université d'Oxford et est président du conseil d'administration d'Electrocomponents plc. Sa carrière l'a amené à Redland plc, où il était notamment responsable des activités de toiture et de briques. Il a également été PDG de Rugby Group plc, George Wimpey plc et jusqu'en 2012, président du conseil d'administration de DS Smith plc. Il considère avant tout que sa tâche consiste à poursuivre le succès de la société et à renforcer sa position dans les domaines de la numérisation, de l'innovation et de l'orientation client.

Wienerberger est le plus grand producteur de briques au monde avec 195 sites de production et un chiffre d’affaires annuel du groupe de 3,3 milliards d’euros (2018). Le groupe coté (ISIN AT0000831706) est le leader du marché des tuiles en terre cuite en Europe, ainsi que celui des fixations de surfaces en béton en Europe centrale et orientale avec la marque Semmelrock. Wienerberger figure parmi les principaux fournisseurs en Europe de systèmes de tuyauterie (tubes en terre cuite vitrifiés de la marque Steinzeug-Keramo et tubes en plastique de la marque Pipelife).

Source Trend

18/10/2019

"Nous avons mis de l'IA dans nos recommandations tarifaires", Jean-Baptiste Fayet (Terreal)

La tuile n'est pas connectée. Mais le marketing de Terreal l'est de plus en plus.© Terreal

Qu'a changé le numérique dans la façon dont vous concevez le marketing chez Terreal ?

Jean-Baptiste Fayet : Le numérique et la data ont eu plusieurs impacts majeurs sur la façon dont nous concevons le marketing. D’abord, cela a changé nos modes de communication avec les clients. Jusqu’à très récemment nous étions très "papier et rendez-vous physiques". Le numérique nous oblige à revoir nos manières de faire. Nous allons vers plus d’applications, plus de conseils en ligne.

Nous avons aussi travaillé sur nos bases de données de produits afin d’être capable d’exporter la donnée auprès de nos clients. Nous avons également travaillé sur nos outils internes, comme le CRM, la gestion des prix et des devis, et la présentation aux clients de nos brochures produits ou de nos références chantiers.

Ces demandes sont venues de vos clients ou les avez-vous anticipées ?

Ce n’était pas une demande directe. Mais depuis 4 ou 5 ans, nos commerciaux perçoivent des changements dans les attentes de leurs contacts. Le courriel est de plus en plus demandé. Ils nous ont fait remonter un besoin de brochures digitales… Nous travaillons dans un univers particulier : le monde artisanal, les entreprises de couverture et de maçonnerie. La moitié d’entre elles comptent moins de cinq salariés.

Quel impact sur le marketing ? Avez-vous vu vos façons de travailler avec la multiplication des données ?

Oui, nous avons désormais des outils pour avoir des actions plus ciblées. Pour une campagne d’e-mail, on va travailler par région administrative et selon la typologie de nos clients, alors qu’avant on avait plutôt des campagnes nationales.

En outre, on peut mieux suivre le lien entre ce qu’on fait sur le digital et l’action des forces de vente. Envoyer un courriel sans assurer derrière un suivi commercial a impact limité. L’outil de CRM est un vrai levier pour les commerciaux pour relayer les actions digitales.

Vous parlez beaucoup de courriels. C’est encore un outil important pour vous ?

Ça dépend des clients. Comme je vous le disais, nous travaillons beaucoup avec des artisans, les couvreurs, les maçons, pour lesquels l’e-mail est encore important. Pour d’autres cibles, comme les architectes, les promoteurs, tous les donneurs d’ordre intervenant sur le marché du neuf, on va privilégier des outils comme LinkedIn. On se doit de faire les deux.

Quel impact a eu le RGPD pour vous ?

C’était surtout un sujet de compliance, donc un travail en interne. Il a fallu passer au crible les informations présentes dans nos bases de données ainsi que tous nos process d’autorisation. Mais cela n’a pas eu d’impact majeur sur nos manières de faire en direction du public

Quels sont les principaux défis que vous allez devoir relever ces prochains 24 mois ?

Nous avons toujours un sujet important autour de la gestion du prix. Nous avons mis de l’intelligence artificielle dans nos recommandations tarifaires. Notre objectif est de fournir le bon prix selon la segmentation des clients.

Un autre chantier concerne l’élaboration de services numériques à destination de nos clients professionnels via la création d’un portail de services. Nous travaillons aussi sur la maquette numérique, pour mieux simuler le rendu des toitures.

Dans de nombreuses industries, le numérique a conduit à une désintermédiation. Qu’en est-il dans votre métier ?

Le poids du négoce est encore très important dans nos activités. Je ne vois pas de changement dans ce domaine à court terme.

Source L'Usine Digitale

17/10/2019

LA TUILE ULTIMA TFP® ARDOISÉ, POUR UNE TOITURE MODERNE EN FAIBLE PENTE

Rui Moreira, entrepreneur et architecte s’est lancé dans son projet de construction de maison individuelle avec l’idée de lui offrir une enveloppe exclusive et moderne. Il souhaitait une toiture douce et plate, aux lignes épurées, qui puisse répondre aux exigences du PLU imposant une pente minimale de 14 %.
Ses recherches, en matière de toiture et pour répondre à ses aspirations sans modifier l’esthétique recherchée, l’ont mené au choix de la tuile contemporaine Ultima TFP® ardoisé de Wienerberger.
La maison individuelle devait intégrer un quartier résidentiel de type lotissement et s’harmoniser avec l’environnement tout en reflétant une personnalité certaine et exclusive.
Plusieurs projets ont été dessinés avant que celui-ci n’aboutisse à une maison sans étage, de plain-pied, doté de toits en monopente. « Avec une toiture plate, je voulais que la maison ait du style, qu’on la remarque… seulement je devais répondre au PLU qui impose une pente minimale ne pouvant aller en dessous de 14%.
Si je voulais que la maison puisse conserver l’esthétique que je voulais lui donner, je devais trouver la solution technique adéquate pour ne pas avoir à augmenter la pente. J’ai donc fait des recherches pour trouver une tuile plate, contemporaine et design » explique Rui Moreira.

Une alternative esthétique aux toitures plates dans le respect du PLU

Une tuile contemporaine pour les très faibles pentes
La tuile Ultima TFP® (Très Faible Pente) offre des qualités esthétiques en accord parfait avec les envies du propriétaire, sensible aux finitions épurées d’une maison moderne et stylée. D’un design à relief ajusté , Ultima TFP ® confère au toit de cette maison individuelle, construite fin 2018 dans un lotissement résidentiel dans la Marne (51), un aspect plat ultra-moderne.
Innovante et brevetée, la tuile adopte un pureau variable qui lui permet de s’adapter aux différentes longueurs de rampant. Ses emboîtements profonds, associés à sa structure, garantissent une étanchéité renforcée et sont donc un atout durable pour la toiture.

Une signature moderne facile à poser
Une fois Ultima TFP ® identifiée pour répondre à la pente souhaitée, les travaux de toiture ont été réalisée en moins de 2 mois. La tuile est en effet très facile à poser en joints croisés à l’aide d’accessoires dédiés. Ces derniers se fondent dans la toiture et ne se voient pas. Le résultat est linéaire et épuré et confère à la maison une véritable signature contemporaine.
« Le résultat fait son effet car nous avons très vite été contactés par un autre architecte qui, souhaitant contourner la problématique de pente sur une construction contemporaine, voulait se procurer la même tuile » conclue Rui Moreira.

Source Wienerberger

16/10/2019

Beck & Heun renouvelle l'ensemble de la production de coffres en terre cuite

Sur le site d'Altenmünster, Beck &  Heun a investi dans une chaîne de production de coffres en terre cuite ROKA-LITH contrôlée par robot, numérisée et en grande partie automatisée.

Les ventes à leur plus haut niveau ont complètement épuisé les capacités de production et le personnel d’Altenmünster. Avec la nouvelle usine, l'équipe de production existante peut maintenant produire deux fois plus qu'auparavant - plusieurs centaines de mètres de coffres sont produites par équipe. Surtout, les six nouveaux robots ont pris en charge des étapes de production particulièrement stressantes pour les employés en raison du bruit, des émissions de poussière et des efforts physiques qui en résultent.

Avec un volume d’investissement de plus de 5 millions d’euros, le renouvellement de la production de briques en terre cuite est l’un des plus grands projets d’avenir du fabricant de boîtes à volets roulants.

Source Ziegelindustrie International


Bedeschi fournit du matériel automatisé au groupe Nexe

Des solutions innovantes ont été installées et démarrées avec succès sur le site de Polet (Serbie).

Le groupe Nexe, un fabricant de premier plan de briques et de tuiles possédant plusieurs installations en Bosnie-Herzégovine, en Croatie et en Serbie, poursuit sa collaboration de plusieurs décennies avec Bedeschi.

Les relations commerciales entre les deux sociétés ont débuté avec la fourniture de plusieurs usines pour la cimenterie de Nasice en Croatie et se sont poursuivies avec diverses expéditions de machines destinées à la production de briques et de blocs en terre cuite.

Le groupe Nexe a récemment chargé l'entreprise basée à Limena, en Italie, de fournir une série d'automatisations à l'usine Polet de Novi Becej en Serbie, spécialisée dans la production de tuiles. Les solutions innovantes ont été installées et mises en service avec succès ces derniers mois à la satisfaction du client.

L'usine a été développée à la suite d'une étude de faisabilité détaillée visant à améliorer le chargement / déchargement des cadres de support de tuiles dans les wagons sécheurs dans le but de réduire les travaux de maintenance.

Pour ce faire, deux robots équipés de pinces spéciales et de doubles fourches capables de charger le chariot sur toute sa hauteur ont été installés.

Le projet comprenait également un système de séparation des tuiles des paquets, équipé de ventouses et d'une pompe à vide innovante, qui s'adapte à tout type de tuile avec un minimum d'ajustements mécaniques.

La livraison comprenait également la nouvelle ligne de constitution des paquets de tuiles sèches à charger dans les réfractaires en Us et une nouvelle ligne de conditionnement de tuiles avec un système de contrôle qualité et une ligne de cerclage de paquets.

Source Ceramic Word Web

15/10/2019

Wienerberger rachète deux briquetiers au Danemark

Le leader mondial du marché viennois reprend deux fabricants de briques danois. Cette décision devrait "renforcer la position sur les marchés nordiques des façades", a déclaré Heimo Scheuch, CEO.

Le plus grand fabricant de briques au monde, Wienerberger, étend sa présence en Scandinavie avec trois acquisitions moins importantes au Danemark. Le groupe autrichien reprend les deux fabricants Vesterled et Helligsö avec chacun un site, ainsi que la société de distribution Egernsund, comme annoncé par la société. Les prix d'achat n'ont pas été communiqués.

"Grâce à ces prises de contrôle, nous franchissons une étape importante dans notre croissance et renforçons notre position sur les marchés nordiques des façades", a déclaré le PDG Heimo Scheuch, qui y voit également "des conditions idéales pour une croissance rentable supplémentaire" dans cette région.

Wienerberger compte déjà cinq sites en Europe du Nord - deux au Danemark, deux en Suède et un en Finlande. Le géant de la brique emploie environ 200 personnes dans la région et, avec les sociétés acquises, réalise un chiffre d'affaires d'environ 95 millions d'euros. Le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 3,3 milliards d'euros en 2018 et un résultat ajusté avant intérêts, impôts et amortissements (EBITDA) de 470 millions d'euros.

Source Industriemagazin

14/10/2019

Bouyer Leroux intègre les planchers de chêne de Panaget

Le groupe coopératif, numéro un français de la terre cuite, explique se renforcer par cette acquisition dans l'écoconstruction et poursuit son rééquilibrage entre le neuf et la rénovation. Il garde de l'appétit pour d'autres acquisitions.

En une décennie, le chiffre d'affaires du groupe a ainsi plus que quadruplé.

Bouyer Leroux réalise une acquisition plutôt inattendue. Le  groupe coopératif  de Cholet (Maine-et-Loire), dont le coeur de métier est la brique en terre cuite, fait son entrée dans le secteur du plancher en bois en reprenant 100 % des titres du groupe Panaget. Disposant de deux sites industriels en Ille-et-Vilaine et d'une filiale aux Etats-Unis, Panaget produit des parquets en chêne d'origine française contrecollé et massif pour une clientèle de réseaux de négoce, magasins spécialisés et grandes surfaces du bricolage.

Changement de dimension
Panaget, qui appartenait à ses cadres, emploie 150 salariés pour un chiffre d'affaires de 28 millions d'euros cette année (18 millions il y a dix ans), dont 20 % à l'export. Bouyer Leroux poursuit ainsi une stratégie d'acquisition soutenue avec d'importants rachats tels son concurrent Imerys Structure en 2012 ou  Soprofen l'an dernier. En une décennie, le chiffre d'affaires du groupe a ainsi plus que quadruplé. Plus qu'une diversification, Panaget participe au rééquilibrage des activités du groupe vers « l'intérieur du bâtiment et donc la rénovation ». « Avec la brique, nous sommes à 100 % dans le neuf, Panaget permet de porter à 45 % la part de la rénovation dans le chiffre d'affaires total », note Roland Besnard, le président de Bouyer Leroux, qui développe par ailleurs un solide pôle de menuiserie industrielle et de matériaux en béton.

Argile et bois
Selon Roland Besnard, l'argile et le bois présentent plus de points communs qu'on l'imagine. « Ces métiers impliquent une relation circulaire avec les forestiers, les agriculteurs, les collectivités, ils impliquent le séchage et la transformation en continu avec une notion de variabilité liée à la matière première », détaille le dirigeant pour qui les deux matériaux « relèvent de solutions d'écoconstruction ». Bouyer Leroux se montre d'ailleurs volontariste sur la question énergétique. Le groupe a programmé 60 millions d'euros d'investissement pour réduire de 60 à 10 % la part de l'énergie fossile dans sa production de briques, énergivore, et effacer sa  consommation électrique par du photovoltaïque sur ses 23 sites industriels.

Dans les cinq à sept ans à venir, Roland Besnard envisage une croissance qui porterait le chiffre d'affaires à 450, voire 500 millions d'euros, contre 350 millions cette année, Panaget inclus. La moitié de cette croissance se ferait par acquisitions, le groupe, fort de 1.350 salariés, est en veille sur les secteurs de la menuiserie et du béton.

Source Les Echos par Emmanuel Guimard (Correspondant à Nantes)

Bouyer-Leroux grandit encore à Cholet

Roland Besnard, PDG du groupe Bouyer-Leroux, vient de racheter le Groupe Panaget.

Le groupe Bouyer-Leroux, dont le siège est installé à La Séguinière, dans l’agglomération de Cholet (Maine-et-Loire), n’en finit plus de croître. Il indique avoir racheté le Groupe Panaget, « leader français du parquet contrecollé », qui dispose de deux sites industriels à Bourgbarré et Redon (Ille-et-Vilaine).

Le groupe Bouyer-Leroux, spécialiste des activités autour de la terre cuite, dont le siège est installé à La Séguinière, dans l’agglomération de Cholet (Maine-et-Loire), n’en finit plus de croître. Il indique, dans un communiqué, lundi 30 septembre, avoir racheté le Groupe Panaget, « leader français du parquet contrecollé », qui dispose de deux sites industriels à Bourgbarré et Redon (Ille-et-Vilaine). Ce dernier emploie 150 salariés et devrait réaliser un chiffre d’affaires de 28 millions d’euros en 2019, dont près de 20 % à l’export.

1 350 salariés
Avec cette acquisition, Bouyer-Leroux poursuit « une stratégie de développement durable de ses activités, et ambitionne de porter la part d’énergie non fossile (biomasse, biogaz, photovoltaïque) de 50 % à 90 % à moyen terme ». Il emploie 1 350 collaborateurs, dispose de 23 sites industriels et devrait réaliser un chiffre d’affaires de 320 millions d’euros en 2019, dont environ 5 % à l’export.

Source Ouest-France par Vincent COTINAT.

Le groupe Bouyer Leroux a finalisé l'achat du groupe Panaget

Dans le cadre du déploiement de sa stratégie de développement durable de ses activités, le Groupe BOUYER LEROUX a finalisé le 30 septembre, l’acquisition de 100% des titres de la Société MFP SAS, société holding détenant le Groupe PANAGET qui compte 2 filiales (PANAGET SAS, SAS Chêne de l’Orne) en France ainsi qu’une filiale aux Etats-Unis (PANAGET USA Inc.).

Originaire de l’ouest de la France, le Groupe PANAGET, leader sur le marché français du parquet contrecollé, dispose de 2 sites industriels (Bourgbarré et Redon-35). Il fabrique et commercialise une large gamme de parquets en chêne d’origine française et de bois mural via des réseaux de négoces, des magasins spécialisés, des
GSS et GSB, ainsi que des spécialistes du revêtement de sol. Il emploie 150 collaboratrices et collaborateurs et devrait réaliser un chiffre d’affaires de 28 millions d’euros en 2019 dont près de 20% à l’export.

Le Groupe BOUYER LEROUX, N°1 français des matériaux de construction en terre cuite (briques de murs et de cloisons, conduits de cheminée, tuiles et faîtières) et des volets roulants (blocs baies), a pour origine la SCOP Bouyer Leroux qui est la 2ème plus grande SCOP industrielle de France, et est aujourd’hui organisé autour de 4 pôles*. Il poursuit une stratégie de développement durable de ses activités, et ambitionne de porter la part d’énergie non fossile (biomasse, biogaz,photovoltaïque) de 50% à 90% à moyen terme. Il emploie 1350 collaboratrices et collaborateurs, dispose de 23 sites industriels et devrait réaliser un chiffre
d’affaires de 320 millions d’euros en 2019 dont environ 5% à l’export.

* la fabrication de matériaux de construction en terre cuite (Société Bouyer Leroux ; 9 usines dédiées à la production des briques et solutions constructives bio’bric et de tuiles Tégula), la fabrication de fermetures et coffres de volets roulants pour l’habitat (Sociétés SPPF, 1 usine ; Fermetures Loire Océan, 1 usine ;
SOPROFEN et TBS ; 7 usines dont 2 en Belgique), la fabrication de produits béton (Société Robert THEBAULT ; 3 usines), la valorisation énergétique (BOUYER LEROUX Environnement ; 2 sites).

Cette acquisition s’inscrit parfaitement dans la stratégie de développement équilibré et durable du Groupe BOUYER LEROUX. Elle lui permet de renforcer son offre de solutions éco-performantes, de devenir un acteur majeur de l’économie circulaire, de se développer dans l’aménagement intérieur des bâtiments et de porter la
part de la rénovation à 45% de son chiffre d’affaires.

Les objectifs du Groupe BOUYER LEROUX sont :

  • de renforcer le leadership de la marque PANAGET sur les marchés des bâtiments résidentiels et non résidentiels en France grâce à la qualité de son offre, et à la prescription auprès des maîtres d’ouvrage et maîtres d’oeuvre en synergie avec les sociétés du Groupe BOUYER LEROUX ;
  • d’accélérer le développement à l’international du Groupe PANAGET ;
  • d’enrichir les gammes de produits et de services grâce à la collaboration des équipes marketing, R&D, logistiques et informatiques des différentes sociétés du groupe en France et en Europe ;
  • de poursuivre la modernisation des outils de production engagée par le Groupe PANAGET et d’améliorer les processus de fabrication pour garantir la qualité des produits et services, et de répondre aux enjeux futurs en matière de développement durable, de qualité de l’air intérieur ;
  • de garantir l’approvisionnement en matières premières du Groupe PANAGET par une stratégie d’approvisionnement voire d’acquisition de massifs forestiers en lien avec la stratégie de développement durable du Groupe BOUYER LEROUX ;
  • de développer des synergies d’achat et techniques entre les sociétés Bouyer Leroux et Panaget ;
  • de s’appuyer sur le management en place pour consolider la notoriété des marques et la culture d’entreprise pour fédérer autour de valeurs humaines et professionnelles, et favoriser l’engagement des collaboratrices et collaborateurs dans un projet porteur d’avenir pour le Groupe PANAGET.

Le Groupe BOUYER LEROUX et le Groupe PANAGET dont les cultures d’entreprises sont proches, se réjouissent de cette opération qui leur permettra d’offrir à leurs clients des solutions globales, originales et performantes, pour la construction et la rénovation de bâtiments résidentiels et non résidentiels éco-performants.

Source Bouyer Leroux

13/10/2019

Normandie. Terreal ouvre une carrière d’argile dans la Manche

Trente hectares seront exploités à Amigny, au nord-ouest de Saint-Lô, pour une durée d’environ trente ans.

Présent sur dix-sept sites en France, mais aussi en Europe, en Amérique et en Asie, le spécialiste de la brique et de la tuile ouvre une nouvelle carrière près de Saint-Lô pour alimenter son usine de Bavent (Calvados).

Propriétaire d’une cinquantaine d’hectares à Amigny, à quelques kilomètres au nord-ouest de Saint-Lô, l’entreprise Terreal va y ouvrir dans les prochains mois une carrière d’extraction d’argile de 30 ha environ.

Cette matière première servira à alimenter l’usine de Bavent (Calvados), près de Caen, où Terreal fabrique des tuiles et des briques. Le site devrait atteindre son rythme de croisière d’ici 2021-2022. Il sera destiné à remplacer la carrière de Neuilly-la-Forêt. Ouverte à la fin des années 1990 entre Bayeux et Carentan, elle ne pouvait pas être agrandie.

Source Ouest France

Saint-Lois. L’entreprise Terreal va exploiter une carrière d’argile à Amigny

Pour pallier la fermeture prochaine de sa carrière de Neuilly-la-Forêt (Calvados), l’entreprise spécialiste de la tuile et de la brique va exploiter un gisement d’argile à partir de 2021-2022.

Fabricant historique de briques et de tuiles avant de se diversifier dans le bâtiment, Terreal compte dix-sept sites en France. L’entreprise est également présente aux États-Unis, en Espagne, en Italie et en Malaisie. En devenant propriétaire de 55 ha de terres, elle ouvrira bientôt un site.

Source Ouest-France par Sébastien BRÊTEAU.

12/10/2019

Un sergent de police à la retraite conserve une collection de 3 500 briques dans son abri de jardin

Un collectionneur excentrique a présenté son extraordinaire collection de près de 3 500 briques qu'il conserve dans son abri de jardin.

Mark Cranston, 56 ans, a commencé le passe-temps en 2010 alors qu'il cherchait une brique comme butoir de porte pour son abri de jardin et a trouvé une brique peinte en blanc provenant d'un ancien houillère.

Cette découverte a incité le sergent de police à la retraite de Jedburgh dans les Scottish Borders à se pencher sur l’histoire de la brique – et sa passion pour eux s’est développée à partir de là.

Il a une brique qui, à la fin des années 1990, a été récupérée après la démolition du bloc d'exécution du HMP Barlinnie à Glasgow, la plus grande prison d'Écosse.

Au cours des neuf dernières années, M. Cranston a rassemblé une vaste collection de briques d’Angleterre, d’Écosse, du pays de Galles et d’autres pays.

Il entrepose dans son abri de jardin les rares briques que le père de deux enfants marié a dû étendre au fil des ans au fur et à mesure que sa collection grandissait.

Il mesure maintenant 20 pi (6 m) de long sur 10 pi (3 m) de large avec plusieurs étagères, comme une bibliothèque, pour stocker les briques.

M. Cranston a déclaré: «Je cherchais juste une brique pour que la porte du garage reste ouverte et la première que j'ai ramassé portait un nom.

«La première brique était celle de Whitehill Colliery à Ayrshire, qui a suscité mon intérêt. Quand j'ai regardé en ligne, j'ai été surpris par l'histoire des briques.

«J'ai commencé à voir qu'il y avait beaucoup plus de briques là-bas. Ils étaient autrefois à l'extérieur, mais j'ai maintenant un hangar où ils sont tous à l'intérieur et secs.

«Mais je manque d'espace et ce n'est pas l'idéal, il me faut des locaux plus grands.

«En fin de compte, le but est de créer un musée où les gens peuvent venir les voir tous. Tout le reste, comme la poterie, le verre et le fer, est exposé, mais pas la modeste brique.

Parmi ses collections, M. Cranston possède une brique réfractaire du politicien SS, échoué dans les Hébrides extérieures en 1941 et portant 264 000 bouteilles de whisky de malt, inspirant le célèbre roman Whisky Galore.

Il a une brique qui, à la fin des années 90, a été récupérée après la démolition du bloc d'exécution du HMP Barlinnie à Glasgow, la plus grande prison d'Écosse.

M. Cranston possède également une brique de fabrication écossaise provenant d'une ancienne mine d'or de l'État de Washington, aux États-Unis, et la plus ancienne brique qu'il possède est une tuile de drainage de 1833.

«Il y avait un gardien de prison qui avait pris sa retraite de Barlinnie et qui avait sauvé quelques briques portant le cachet« Wilson & Son Barlinnie ».

«Ils ont eu quelques personnages remarquables qui les ont passés au fil des ans. Chaque brique raconte une histoire.

En 2014, M. Cranston a créé le site Web Scottish Brick History, une base de données contenant des milliers de briques trouvées par lui-même et d'autres collectionneurs et amateurs.

Source Web24

10/10/2019

Couverture : "Il faut plus argumenter sur le béton que sur la terre cuite"

La célébration des 40 ans de l'usine BMI Monier de Verberie, dans l'Oise, a été l'occasion pour les responsables du groupe de livrer leur vision et leur stratégie sur la production de tuiles béton pour le marché français, dominé par les tuiles terre cuite. Le groupe dispose actuellement de trois sites de fabrication de produits béton dans l'Hexagone.

Ce 20 septembre 2019, l'usine BMI Monier de Verberie, sur le territoire de la commune de Longueuil-Sainte-Marie, dans l'Oise, célébrait ses 40 ans d'existence. Un bel anniversaire pour ce site de production de tuiles béton "made in France", qui appartient depuis deux ans au groupe BMI, lui-même issu du rapprochement entre Siplast et Braas Monier à la suite de leur rachat par l'américain Standard Industries. L'ensemble de ces sociétés spécialisées dans les solutions de toiture et d'étanchéité permet au groupe BMI de posséder à l'heure actuelle 120 usines, employant quelque 11.000 collaborateurs à travers le monde, et permettant de réaliser un chiffre d'affaires de deux milliards d'euros. Mais il est des spécificités tricolores auxquelles la nouvelle structure veut s'attaquer : le marché français, dominé par les tuiles en terre cuite, ne laisse encore que peu de place aux tuiles béton, alors que le marché européen dans sa globalité préfère le béton à la terre cuite.

"Les tuiles béton ont de vraies qualités mais elles sont sous-estimées en France"

Dans l'Hexagone, BMI peut pourtant compter sur 7 sites de production - 4 de terre cuite et 3 de béton, en comptant l'usine de Verberie - et sur un millier de salariés. Souhaitant se positionner sur des "solutions globales", les responsables de BMI envisagent donc de mettre les bouchées doubles : "Les tuiles béton ont de vraies qualités mais elles sont sous-estimées en France", affirme le directeur du groupe BMI, Laurent Fischer. "Il faut argumenter beaucoup plus sur le produit béton que sur le produit terre cuite", abonde Vincent Montabonel, directeur des ventes chez BMI France. "Le béton présente un vrai gain au niveau du bilan carbone, avec une empreinte deux fois moindre que celle de la terre cuite. Et la mise en œuvre des tuiles béton est plus rapide et plus économique que celle des tuiles en terre cuite."

L'usine de Verberie, qui emploie une centaine de personnes et affiche une production annuelle légèrement supérieure à 1 million de m² de tuiles béton, dispose de quatre lignes de production, dont deux à très haute cadence, capables de créer différents types et coloris de produits. Où réside l'intérêt environnemental de ce process ? Dans l'absence d'utilisation de fours pour faire cuire les tuiles en terre cuite.

Des tuiles métallisées qui pourraient sortir des tuyaux en 2020

Plus largement, c'est une complémentarité des solutions que recherche le groupe BMI, avec d'une part les tuiles Monier, et d'autre part les membranes d'étanchéité de Siplast. "Aujourd'hui, on veut capitaliser sur la marque BMI comme préfixe en y rajoutant Monier et Siplast", reprend Laurent Fischer. Pour l'activité négoce et GSB, les équipes commerciales ont été scindées en deux groupes : l'un dédié aux toits plats, l'autre aux toits en pente. "On est persuadé que le monde de la distribution est en train de se transformer au sens large", assure Vincent Montabonel. Et Laurent Fischer d'asséner : "On se met en ordre de bataille pour répondre aux besoins de nos clients". Une mobilisation générale qui se traduira aussi par d'autres projets : le groupe BMI planche actuellement sur des tuiles métallisées, qui pourraient sortir des tuyaux en 2020.

Source Batiactu par Corentin Patrigeon

09/10/2019

Terreal va fabriquer des briques rectifiées dans son usine catalane de la Pera

Le groupe Terreal (né de la fusion de trois tuiliers-briquetiers français Lambert, TBF et Guiraud), annonce un investissement de 4 M€ dans son usine de la Pera (Nord de Barcelone) en Espagne. Située à soixante-dix kilomètres de la frontière espagnole, le site de la Pera (38 000 m² et 35 salariés) se spécialise, depuis 2010, dans les briques à pose traditionnelle et les cloisons en terre cuite. Une rectifieuse - qui lime les briques après cuisson pour obtenir une qualité dimensionnelle au dixième de millimètre près selon un communiqué du groupe - va lui permettre de développer une production de briques rectifiées.

Le nouvel outil industriel bénéficiera d'une capacité de 350 tonnes de briques par an, ce qui permettra à l'usine catalane d'augmenter sa production de jusqu'à 20% par an. Ces briques sont destinées au marché résidentiel (maison individuelle et logement collectif).

" Cet investissement représente aussi un gain logistique incontestable pour l’optimisation du transport de nos produits dans les zones de chalandises et le respect des délais de livraison à nos clients. Au-delà de cet aspect, nous relançons notre démarche d’innovation et de développement produit des gammes Calibric et Neobric pour des constructions plus isolantes", souligne Eric Ledour, directeur du pôle Brique.

Spécialisé dans quatre domaines - toiture, solaire, structure, façade et décoration -, Terreal (376 M€ de chiffre d'affaires en 2018 et 2 200 salariés) compte, en plus de la Pera, trois autres usines dans son pôle Brique, qui représente 13% de son chiffre d'affaires total. Elles sont toutes implantées en France : Lasbordes (Aude), Colomiers (Haute-Garonne) et Chasseneuil (Poitou-Charentes).

Source Econostrum par Frédéric Dubessy

08/10/2019

Wienerberger: La Tuile Tempête nouvelle est arrivée ! Longue vie à la Vario 18 !

Que se passe-t-il quand on fait appel à des couvreurs expérimentés pour mettre au point la tuile idéale ? Wienerberger a voulu le savoir et commercialisera sans doute cet automne la plus innovante des tuiles.

La Toile Tempête belge traditionnelle, sortie pour la première fois des fours du Pottelberg, un quartier de Courtrai, il y a près d’un siècle et demi, est de loin la tuile la plus populaire de notre pays. Ce classique pouvait-il être encore optimisé ? Défi relevé ! Pour ce faire, Wienerberger a fait appel à une équipe d’artisans expérimentés. Le résultat ? La nouvelle Tuile Tempête Vario 18. Ce modèle présente le même galbe doux que son prédécesseur, mais la grande nouveauté réside dans son emboîtement de tête et latéral variable, pour une tuile vraiment polyvalente.

Plus rapide et moins cher
La Tuile Tempête Vario 18 se pose sur toit neuf ou existant, sans découpe. En effet, le couvreur peut facilement faire glisser la tuile de 25 mm vers le haut ou vers le bas. En largeur, donc horizontalement, il y a 4 mm de jeu. La facilité de pose est inédite, et c’est tout bénéfice pour le maître d’ouvrage. Avec la Tuile Tempête Vario 18, il faut de trois à quatre pièces de moins au mètre carré par rapport à une tuile traditionnelle : plus rapide et meilleur marché. De plus, la Tuile Tempête Vario 18 est étanche et très résistante aux intempéries.

Un résultat final éblouissant

Déclinée dans une nouvelle teinte couleur noir mat, la Tuile Tempête Vario 18 est tout bonnement superbe. Mince et élégante, elle présente les deux profils en « demi-lune » typiques de la Tuile Tempête traditionnelle. La jonction 4 tuiles est parfaitement fermée, même lorsque les tuiles sont posées avec un pureau maximal. De plus, l’emboîtement latéral continu assure l’évacuation de l’eau. Un résultat optimal est garanti.

Les couvreurs en sont fans
La Tuile Tempête Vario 18 est la préférée des couvreurs. « C’est un bonheur à poser, constate Kristof Verschuere, un couvreur de Rillaar. D’abord, c’est une très belle tuile sobre, mais le principal avantage réside dans le pureau variable. On peut poser des tuiles pleines partout et on n’a pas besoin de scier des tuiles sur mesure à la dernière rangée. » Bart De Rom de Dilbeek, lui aussi, a été totalement convaincu après son premier chantier. « Les travaux avancent plus vite. Au mètre carré, on place trois à quatre pièces de moins, ce qui représente un gain de temps considérable. Et comme vous pouvez le constater, le résultat est particulièrement joli ! »

Pour plus d’inspiration, rendez-vous sur www.wienerberger.be/fr/toiture.html

Durable et local

La nouvelle Tuile Tempête est un produit local, fabriqué à Pottelberg/Aalbeke. La première Tuile Tempête a été fabriquée par Koramic en 1883. La Tuile Tempête Vario 18, optimisée et modernisée à 100 %, perpétue aujourd’hui la tradition. C’est déjà demain !

Conseil
Chez Wienerberger, vous bénéficiez d’une garantie de 30 ans sur la résistance au gel, frais de remplacement inclus. Ce service est unique en son genre sur le marché.

Source Sudinfo

07/10/2019

Edilians améliore ses prévisions de vente et ses simulations de devis grâce à un outil de workflow

Fabricant de tuiles en terre cuite, le groupe français Edilians a remplacé des outils basés sur Excel par le système de workflow Gathering Tools, édité par Calame Software.

Sylvain Moreau, DSI d’Edilians : « L'application conçue sur Gathering Tools ressemble en tout point à des formulaires Excel, tout en gommant ses inconvénients. »

Edilians (ex-Imerys Toiture) est un groupe français spécialisé dans la fabrication de tuiles en terre cuite et tuiles photovoltaïques. L'entreprise possède 14 usines et est présente sur plus de 3800 points de vente au niveau national. Elle emploie plus de 1 000 salariés et a réalisé un chiffre d'affaires de 300 millions d'euros en 2018. En raison de la structure très distribuée du groupe, le partage et la collecte d'informations sont des enjeux importants. Les prévisions de vente, ainsi que les informations transmises aux clients, revêtent en particulier un caractère stratégique.

En partenariat avec le pôle décisionnel, la DSI a entrepris de remplacer Excel par la solution de collecte automatisée Gathering Tools, éditée par Calame Software. L'objectif était à la fois de fluidifier le partage d'informations, mais aussi de renforcer la sécurité. « Un fichier Excel est facilement transférable par mail ou clé USB, les données qu'il contient peuvent ainsi échapper à notre périmètre de sécurité » explique Sylvain Moreau, DSI d'Edilians.

Renforcer la visibilité sur les ventes pour adapter la production

Un premier projet a été mené pour la direction commerciale, qui souhaitait pouvoir récupérer facilement les prévisions de vente des commerciaux présents sur le terrain. Au départ, ces prévisions étaient transmises par oral ou par mail, puis ressaisies dans Excel. « L'idée était d'avoir une meilleure visibilité sur les chantiers à venir, afin que les responsables production puissent anticiper et éviter que nous soyons en rupture sur des produits très spécifiques », explique Sylvain Baduel, Responsable BI chez Edilians. Grâce à la solution, l'entreprise a bâti un workflow permettant aux commerciaux de remplir chaque mois un formulaire avec leurs prévisions, et de recevoir en échange des données sur le chiffre d'affaires réalisé. L'ergonomie très similaire à Excel a facilité l'adoption par les utilisateurs, de même que la possibilité d'accéder à des données dont ils ne disposaient pas auparavant.

Passer d'un mode artisanal à des devis ajustés en temps réel

L'entreprise a ensuite lancé un second projet, permettant de simuler des devis pour les clients. Cette nouvelle application permet aux commerciaux d'accéder à tout le catalogue de produits avec leurs tarifs, le tout synchronisé en temps réel en fonction du prix des matières premières et des paliers de remise définis en interne. « Les commerciaux peuvent ainsi donner des prix ajustés en direct à leurs clients. De plus, s'ils souhaitent réduire le devis plus que prévu lors d'une négociation, un workflow de validation est alors activé », détaille Sylvain Baduel. De cette façon, Edilians a amélioré à la fois le service proposé aux clients et l'organisation interne, en renforçant sa réactivité et sa traçabilité.

Source CIO par Aurélie Chandeze

06/10/2019

Au cœur de la fabrique de briques Pousseur, à Hierges

Après quatre ans d’incertitude, l’entreprise Pousseur a repris de la vigueur. Le carnet de commandes s’est rempli et l’usine s’est embellie.

L'horizon s’est dégagé pour Pousseur. Le long de sa façade d’abord, ce spécialiste des briques réfractaires pour les activités aluminium s’est débarrassé de ses trois maisons fatiguées, laissant place à une vue plus attrayante depuis la départementale 8051 à la sortie de Vireux-Molhain et de la curiosité.
"Mais c’est aussi des carnets de commandes qui lui laissent entrevoir un avenir plus serein pour la fabrication de  briques; ces Legos qui protègent des fours qui doivent résister à de hautes températures et contraintes chimiques", décrit Pascal Bombard, directeur du site.

En 2014, on avait un carnet de commandes qui n'allait pas au-delà de quinze jours. Depuis un an et demi, il est plutôt correct, témoigne-t-il. Notre domaine d'activité est toujours sujet à des variations mais nous avons  été redimensionnés pour résister à la tempête et notre actionnaire a vraiment joué son rôle avec son offre de reprise.
Aujourd'hui, l'entreprise ne produit plus autant de briques denses qu'auparavant, mais avec ces 75 tonnes par jour, elle n'a pas à rougir de son chiffre d'affaires.
Nous enregistrons entre 8 et 10 millions d'euros. Et cela grâce aux clients qui continuent de nous faire confiance.
Résolument tournée vers l'export avec entre 70 et 80%, de produits envoyés en Australie, en Amérique du Nord, en Europe, Pousseur reste, dans son domaine, l'une des deux entreprises au savoir-faire reconnu. Et Pascal Bombard de conclure fièrement:  En Nouvelle-Zélande, il existe une entreprise qui fabrique des disques durs pour le monde entier et ses 4 000 briques sont made in Pousseur.

Source L'Ardennais par Rachel Debrincat

05/10/2019

Sénégal : légère hausse des prix des matériaux de construction en août

Les prix des matériaux de construction au Sénégal ont connu une augmentation de 0,4% en août 2019 comparés au mois précédent, a appris APA mercredi auprès de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD).« Cette évolution résulte de celle des prix des matériaux de base et de menuiserie », explique l’ANSD. Les prix des matériaux de base ont en effet progressé de 0,7% durant la période sous revue, sous l’effet de l’accroissement des prix du ciment (+2,7%), consécutive à la hausse de 5000 FCFA appliquée sur le prix de la tonne. Toutefois, les prix du fer ont baissé de 1,4% en rythme mensuel. Par rapport à la période correspondante en 2018, ils se sont contractés de 3,5%.

Quant aux matériaux de menuiserie, ils se sont renchéris de 0,4% comparés au mois de juillet, en raison de l’appréciation des prix des articles en bois rouge (+0,8%). Par rapport au mois d’août 2018, ils ont crû de 0,6%.

Les prix des matériaux pour travaux d’électricité ainsi que ceux des matériaux d’étanchéité n’ont pas connu de variations sensibles en août 2019. Mais, comparés à la période correspondante en 2018, ils ont diminué respectivement de -0,2% et -0,1%.

Concernant les prix des matériaux pour le revêtement des murs et sols, de même que ceux des peintures, ils sont restés inchangés. En variation annuelle, ils ont évolué respectivement de +1,5% et -0,9%.

Au niveau des prix des matériaux de plomberie et sanitaire, on note un repli de 1,0%, par suite de la baisse des prix des robinets poussoirs (-4,9%). Par rapport au mois d’août 2018, ils ont été minorés de 1,3%.

En variation annuelle, les prix des matériaux de construction se sont réduits de 1,9%. Selon l’ANSD, le rapport des prix moyens des huit premiers mois de 2019 sur ceux de 2018 laisse apparaître une baisse de 0,4%.

Source Le Journal du Senegal

04/10/2019

Tesla fait breveter un moyen de joindre les tuiles de toit solaires pour une installation plus rapide

Tesla envisage d'accélérer l'installation de son nouveau toit solaire, mais elle doit trouver un moyen de réduire le temps d'installation.

Maintenant, un nouveau brevet montre une solution possible en produisant et en installant des tuiles solaires en groupes articulés.
Le président-directeur général de la société, Elon Musk, a déclaré lors de la réunion de ses actionnaires 2019 que Tesla travaillait toujours sur des tests de longévité pour la nouvelle version de ses toits solaires, Solar Roof V3, et qu’ils installaient actuellement le produit solaire dans 8 États.

Le PDG s'est également vanté du prix du Solar Roof V3 équivalant à un toit en bardeaux plus une facture d'électricité.

L’installation représente toujours une part importante des coûts et Tesla s’efforce de simplifier le processus afin de réduire les coûts.

Lors du premier lancement du nouveau produit, Tesla a déclaré que son installation devrait durer à peu près autant de temps qu'une installation sur un toit en tuiles, qui prend généralement cinq à sept jours.

Plus tôt cette année, nous avions signalé que les installations du toit solaire Tesla prenaient encore environ deux semaines.

À présent, Tesla a déposé un brevet intitulé «Support inter-tuile pour tuile de toit solaire», qui décrit un moyen de créer un joint entre les tuiles.

«Le module de toiture peut inclure au moins une première tuile photovoltaïque, une seconde tuile photovoltaïque positionnée de manière adjacente à la première tuile photovoltaïque et une entretoise couplée et positionnée entre les première et seconde tuiles photovoltaïques. L'entretoise est configurée pour faciliter un joint semi-rigide entre les première et deuxième tuiles de toiture photovoltaïques. ”

Dans la demande de brevet, la société écrit qu'elle pourrait fabriquer et installer un groupe de carreaux ensemble en utilisant le «joint semi-rigide»:

«Pour faciliter la production évolutive et faciliter l'installation des tuiles de toiture photovoltaïques, un groupe de tuiles peut être fabriqué ensemble et assemblé de manière rigide ou semi-rigide. Des entretoises soigneusement conçues et insérées entre les tuiles adjacentes sont nécessaires pour faciliter le jointoiement des tuiles de toit PV adjacentes.

Plus tôt cet été, Electrek a présenté pour la première fois la technologie des tuiles solaires V3 de Tesla avec des ferrures personnalisées et la première véritable offre de toit Tesla Solar Roof. Le prix était incroyablement élevé, mais Tesla affirme que cela en vaut la peine d’ajouter des économies d’électricité au fil du temps.

Le mois dernier, Musk a annoncé que Tesla envisageait d'augmenter la production de tuiles de toit solaires à 1 000 toits par semaine d'ici la fin de l'année.

Si vous envisagez de produire 1 000 toits solaires par semaine, vous devez pouvoir installer 1 000 toits solaires par semaine.

Je ne pense pas que Tesla ait actuellement une capacité proche de cette capacité, surtout s’il faut encore deux semaines pour installer un toit.

Espérons qu'une telle méthode pourrait leur faire gagner beaucoup de temps, mais je suis toujours très sceptique quant à ce chiffre de «1 000 toits solaires par semaine».

J’aimerais bien me tromper car nous devons absolument accélérer le déploiement de l’énergie solaire.

Source Electrek par Frederic Lambert

03/10/2019

2018 - une bonne année pour l'industrie belge des tuiles et briques

2018 sera une bonne année pour l'industrie belge de la terre cuite. L’industrie de la construction en général a été le moteur de l’économie belge. En Belgique, le nombre de permis de construire et d'approbations pour la rénovation d'immeubles anciens est nettement plus élevé qu'en 2017. L'économie belge n'a pas évolué aussi bien que prévu. Cette tendance devrait se poursuivre en 2019 également.

En 2018, le nombre de nouvelles unités résidentielles approuvées était de 62 428, ce qui représente une augmentation de 23,9% par rapport à 2017 (source: Statbel). Le nombre de permis pour la rénovation d'anciens bâtiments était également positif.

En Flandre, 38% de permis de construire en plus ont été accordés pour des logements neufs par rapport à 2017. La construction de nouveaux logements en Flandre est donc restée élevée. Le marché de la construction de logements en Wallonie et à Bruxelles ne s'est pas développé aussi favorablement. En Wallonie, les permis de construire pour la construction de logements ont augmenté de 3,8%. Les rénovations approuvées ont augmenté de 1,6%. Dans la région de la capitale bruxelloise, les permis de construction de logements ont fortement diminué (-17%). À Bruxelles même, le nombre de rénovations approuvées a diminué d'environ 5%.

Briques terre cuite
L’ensemble de la production de briques en Belgique s’élève à 1 943 millions d’euros. m3. En 2018, il est resté au même niveau qu'en 2017.

Le taux d'exportation a encore augmenté. Les exportations ont atteint 661 000 m3 (34% de la production totale), ce qui représente une augmentation de 5% par rapport à 2017.

Le Royaume-Uni reste la principale destination des exportations, suivi des Pays-Bas, de l'Allemagne et de la France. Les chiffres d'exportation ont été compilés à partir d'une enquête auprès des membres de l'association.

Les importations ont augmenté de 126 000 m3 par rapport à l'année précédente et représentent 6,48% de la production belge.

En 2018, 969 000 m3 de briques de maçonnerie ont été produites, soit 49,9% de la production totale. Les briques solides n’ont pas été produites.

La production de briques de parement s'est élevée à 974 000 m3, soit 50,1% de la production totale. Divisées entre briques extrudées et briques moulées à la main, des quantités de 133 000 m3 et 841 000 m3 ont été produites en 2018, respectivement.

L'industrie produit une large gamme de plaquettes de brique, utilisées dans différents systèmes de construction, tant pour la construction de nouveaux bâtiments que pour la rénovation de bâtiments anciens. En 2018, la production de blocs de brique s'est élevée à 495 779 m2.

FBB Fédération Belge de la Brique Asbl www.brique.be

Source Ziegelindustrieinternational