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15/06/2017

Matériaux de construction : après un premier trimestre solide, la reprise se confirme !

Timide l’année dernière, prometteuse au premier trimestre 2017, la reprise des matériaux de constructions semble finalement bien décidée à s’installer durablement ! En effet, les chiffres enregistrés par l’Unicem en avril dernier semblent confirmer plus que jamais le retour à la croissance du marché, aussi bien pour les granulats que le béton prêt à l’emploi. Le bilan détaillé.

Après l’année mitigée qu’a été 2016 pour le marché des matériaux de construction, le premier trimestre 2017 semblait avoir ''enfin'' sonné la reprise, avec une « tendance très encourageante» observée par l’Unicem (Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction). Un phénomène qui s’est raffermi au début du printemps.

En effet, dans ses dernières observations, l’organisme révèle que « le mois d’avril s’inscrit dans le mouvement de redémarrage de l’activité des granulats et du BPE ». Ce dernier, tout d’abord, progresse de 6,1% sur un an, même si l’activité enregistrée en avril est en baisse par rapport au mois précédent (-2,5%). Sur le dernier trimestre, en revanche, la production de Béton prêt à l’emploi progresse de 7% par rapport aux trois mois précédents, et même de 10,6% sur l’année.

La hausse est également au rendez-vous pour les livraisons de granulats (+5,6% par rapport à avril 2016). « Sur les trois derniers mois connus, l’activité s’inscrit en progression de près de 5% au regard des trois mois précédents et de +8,3% par rapport à la même période un an plus tôt », révèle l’Unicem.

De manière générale, l’ensemble de l’activité matériaux profite d’une conjoncture favorable, avec une croissance de 3,0% entre les premiers trimestres 2016 et 2017. L’Union note cependant que « les tuiles et les produits béton à destination des travaux publics restent en marge de ce redémarrage ».
Le BTP en profite aussi

Du côté du bâtiment, le climat est également au beau fixe. Profitant d’une amélioration de la conjoncture en mai dernier, l’activité continue de croître. Ainsi, sur le trimestre février-mars-avril, les mises en chantier de logements ont augmenté de 15,1% par rapport à la même période l’année précédente, soit un cumul sur l’année à 391 500 unités.

Les demandes de permis, elles, progressent de 13,7% sur le trimestre (365 400 autorisations annuelles délivrées à fin avril). Les chantiers pour les locaux d’activité sont également en bonne forme, avec une évolution de 8% sur un an. L’Unicem, qui se base sur les données de l’Insee, constate par ailleurs que les ventes suivent le mouvement (+8,1% sur un an).

Enfin, les professionnels des travaux publics, s’ils soulignent un certain éclaircissement, préfèrent rester prudents. « Ils anticipent un nouveau raffermissement de leur activité pour les mois à venir, le solde d’opinion atteignant un niveau inconnu depuis dix ans », s’inquiète l’Unicem. En espérant que les prochains mois leur donneront tort.

Source Batiweb

14/06/2017

Gironde-sur-Dropt: Incendie dans la briqueterie Bouyer Leroux

Un incendie accidentel s'est déclaré dans une briqueterie à Gironde-sur-Dropt.

Le Lundi 29 Mai  après-midi, un incendie accidentel s’est déclaré à la briqueterie Bouyer-Leroux Structure sur la commune Gironde-sur-Dropt.

Le feu a pris sur un tapis roulant et s’est propagé à l’entrepôt de reconditionnement de palettes.

Les pompiers et les gendarmes ont été dépêchés sur place. L’origine du sinistre serait due à un dysfonctionnement électrique.

Source Le Républicain par Bernard Peyré

13/06/2017

Pays de Bray : les opposants aux carrières Bouyer Leroux font appel à Corinne Lepage

L’association Non aux carrières en Bray s’est attaché les services du cabinet d’avocats Huglo-Lepage, spécialisé dans le droit de l’environnement et dans lequel l’ancienne ministre de l’Environnement est associée.

« Nous voulons être prêts, le jour où l’enquête publique sera lancée », souligne Christophe Marsille, le président qui, depuis 2015, milite afin de contrecarrer les projets de l’entreprise Bouyer-Leroux en pays de Bray.
« Nous ne voulons pas attendre que l’industriel veuille bien nous faire connaître la réalité de son projet pour agir, poursuit-il. Le cabinet de Corinne Lepage va nous aider, avec une démarche professionnelle, à établir un plan d’action et à agir en justice le moment voulu.

« Bouyer-Leroux doit partir !
L’association revendique « plusieurs centaines d’adhérents, mais refuse d’en donner le nombre exact : « Nous avons en tout cas aujourd’hui, suffisamment d’argent, grâce aux cotisations et aux dons, pour faire cette démarche auprès de ce cabinet d’avocat réputé...

Autour de Sommery et de Sainte-Geneviève-en-Bray, épicentre de la contestation d’un projet qui étend ses ramifications également du côté de La Ferté-Saint-Samson, Mésangueville et d’Hodeng-Hodenger, les pancartes des opposants sont bien visibles devant de nombreuses habitations.
« Les gens sont inquiets, insiste Christophe Marsille. Des transactions immobilières ont échoué ces derniers mois quand les acheteurs ont appris l’existence de ce projet d’extraction d’argile et de briqueterie ; nous avons des témoignages en ce sens. Et ceux qui ont des projets susceptibles de générer des emplois en lien avec le tourisme, l’environnement ou l’agriculture, y renoncent...

L’association estime que les avocats ne seront pas, le moment venu, à court d’arguments pour saisir un tribunal : « Les préjudices sont là : nuisances provoquées par la poussière, nuisances sonores, destruction du paysage, pollution visuelle, destruction d’emplois directs et indirects en très grand nombre...

Les opposants, qui ont professionnalisé leur discours et leur communication, sans doute sur les conseils de leurs nouveaux avocats, multiplient également les contacts auprès des élus et des décideurs. « Alors qu’il est question de créer un parc naturel régional en pays de Bray, ce projet apparaît à contre-courant...

Les anti-carrières martèlent leur détermination, il n’est pas question pour eux de compromis : « La seule issue, c’est le retrait du projet de Bouyer-Leroux, qu’ils quittent le pays de Bray !

En attendant, Non aux carrières en Bray organise une réunion publique d’information le samedi 24 juin à 18 h 30 dans la salle communale de Beaubec-la-Rosière. « Nous ferons le point sur notre action, conclut Christophe Marsille."

Source Paris Normandie

12/06/2017

Erlus étend sa gamme de tuiles Linea

Le fabricant de tuiles Erlus développe sa gamme Linea pour la rendre toujours plus attrayante et simple à poser. Elle se décline désormais dans plusieurs teintes, avec un aspect résolument contemporain qui s’adapte à toutes les architectures.

Une tuile plus facile à poser

Erlus poursuit ses innovations pour faciliter les opérations de pose des tuiles en terre cuite sur toutes les toitures. Le fabricant vient notamment de revoir sa gamme Linea, disponible depuis 2000. Celle-ci accueille désormais un nouveau produit présentant un pureau élargi.
Ce choix permet d’accéder à une pose simplifiée et plus économique. En effet, les recoupes deviennent inutiles, pour une mise en place sur des liteaux espacés de 37,3 à 39,3 cm. Cette tuile à pureau plat Linea affiche des dimensions de 29 x 48,5 cm. Elle présente une surface lisse et régulière, pour un aspect contemporain et stylé. Il faut en prévoir 10,5 au m².

Plusieurs teintes pour tous les styles extérieurs

La tuile à pureau plat Linea est proposée dans six teintes : en version vieillie, rouge, gris ardoise, noir mat et brun. Cela permet de personnaliser les toitures en les associant à l’apparence architecturale de l’immeuble. Sa solution d’emboîtement lui assure également une parfaite étanchéité et une forte résistance au vent. Un plus qui lui permet d’être positionnée sur quasi toutes les toitures.
Ainsi, cette solution est prévue pour durer dans le temps. Cuite à 1 200°C, la tuile est aussi très solide au niveau de sa structure. Elle est de la même façon adaptée aux travaux de rénovation pour protéger toujours mieux les constructions.

Source ETI Construction

11/06/2017

Vous pouvez précommander les tuiles solaires Tesla en France

Les toits solaires proposés par Tesla avec des batteries Powerwall sont en précommande en France.

Elon Musk avait fait sensation en présentant l’étape « toit solaire » du grand plan pour Tesla. Dans la tête du milliardaire, une maison et le véhicule d’une famille ou d’un particulier doivent être entièrement autonome du côté de l’énergie et cela passe par des tuiles solaires et des énormes batteries nommées Powerwall. Les tuiles présentées par Tesla misent beaucoup sur le design : au-delà des modèles textures et lisses qu’on trouve en noir qui ressemblent à des panneaux traditionnels, on peut trouver des tuiles toscane oranges et des tuiles ardoises, qui, comme leur nom l’indique, ressemblent à de l’ardoise.

Depuis aujourd’hui, il est possible de précommander ces toits solaires du futur en France même si on trouve malheureusement peu de détails sur la commercialisation réelle du produit. En effet, Tesla vous propose simplement de bloquer un acompte de 930 € pour réserver un toit et un Powerwall sans vous donner le montant réel de l’ensemble. C’est la même stratégie qui avait été appliquée pour les Model 3 : les personnes ayant pré-réservé la Tesla d’entrée de gamme ne connaissent pas le prix définitif de l’engin ni ses options.

Côté caractéristiques, il s’agit de tuiles de 184 mm x 365 mm, résistantes à l’impact, au vent et au feu (vous trouverez les standards sur la capture ci-dessous). Elles sont garanties par Tesla pour «  toute la durée de vie de votre maison, sans limite dans le temps ». Leur puissance est garantie pendant 30 ans et elles peuvent s’installer sur un toit incliné de 14 à 90 degrés.

Notez que vous pouvez faire des simulations avec un calculateur proposé par Tesla sur la version américaine du site. N’oubliez pas de convertir les pieds carrés en mètres carrés (100 m2 équivaut plus ou moins à 1000 pieds carrés). Vous pouvez trouver une adresse aux États-Unis en utilisant ce générateur.

Les livraisons sont, elles, prévues pour 2018. Si vous comptiez vous équiper en solaire et que vous avez la somme demandée de côté, vous pouvez toujours garder une place : le montant sera intégralement remboursé jusqu’à la phase définitive d’achat et d’installation — on imagine après avoir reçu le devis par rapport à la surface à couvrir. Cela permet en tout cas à Tesla de jauger l’intérêt du produit en France.

Source Numerama par Julien Cadot

10/06/2017

La résurrection de la céramique de Kim Lan

Situé en banlieue de Hanoï, le village de Kim Lan était autrefois réputé pour la production de la céramique. Héritage disparu d’un passé lointain, les villageois ont fait renaître de ses cendres le métier traditionnel. Et l’activité se porte bien.

Le village de Kim Lan n’est pas aussi connu que son voisin Bat Tràng, considéré comme la terre de la céramique de Hanoï. Et pourtant, selon des documents historiques, ce métier s’y est développé bien des siècles auparavant.

D’après des cadres et chercheurs de l’Institut d’archéologie, l’âge d’or de la céramique de Kim Lan remonte aux XIIIe et XIVe siècles. Le village était le centre de production des céramiques de l’ancienne capitale Thang Long.

Puis, au fil du temps, elle est tombée en désuétude. Crise oblige, certains céramistes se sont reconvertis en paysans, tandis que d’autres, tenant à vivre du métier traditionnel, ont migré à Bat Tràng.

Bien que rattaché au district de Gia Lâm, le canal Bac Hung Hai sépare le village de Kim Lan de la partie la plus densément peuplée du district. Ce qui explique la relative tranquillité qui y règne comparé à son alter-ego de Bat Tràng, qui accueille toujours une foule de touristes et d’amateurs de céramiques raffinées.

Le passé retrouvé

C’est grâce à l’archéologue japonais Nishimura Masanari et à ses collègues - qui avaient découvert des objets montrant l’essor de la céramique de Kim Lan dans le passé - que l’on a décidé de faire revivre cette tradition précieuse.

Aujourd’hui, le village compte 240 foyers de producteurs de céramique, représentant 15% du total des foyers locaux. Un taux relativement faible, surtout lorsque l’on sait que leurs produits génèrent 60% du chiffre d’affaires du village.

Environ 70% des producteurs ont recours au gaz et non au charbon pour le chauffage des produits. Cette méthode permet une productivité deux fois plus élevée qu’avec le charbon. De plus, les fours à gaz permettent de réaliser des produits de meilleure qualité, plus résistants aux dommages du temps.

À la différence des produits de Bat Tràng, vifs et délicats, ceux de Kim Lan sont moins élaborés. Les objets servent avant tout à la construction, tels que briques, tuiles ou pots de fleurs.

Plusieurs dizaines d’années après la résurrection du métier traditionnel, les articles en céramique de Kim Lan gagnent de plus en plus de parts de marché. Certains foyers céramistes gagnent même très bien leur vie. Notamment celui de Nguyên Van Thinh, spécialisé dans la fabrication de briques et de tuiles, dont le carnet de commande est rempli toute l’année.

Source Le Courrier du Vietnam par Mai Quynh

09/06/2017

Le limougeaud 3 D Ceram veut révolutionner l'impression 3 D

Le limougeaud 3 D Ceram veut révolutionner l'impression 3 D La Ceramaker 900 est équipée d’un plateau de 30 x 30 cm. 

Depuis 2001, 3 D Ceram n’a cessé d’innover pour s’imposer dans l’impression 3 D grâce à la stéréolithographie. Mise au point dès 1998 par Thierry Chartier et Christophe Chaput au sein du laboratoire SPCTS installé à Limoges (Haute-Vienne), cette technologie permet de réaliser des pièces par couches successives grâce à un laser qui polymérise une pâte pour partie en céramique. Cela permet de produire un modèle unique ou de petites séries.

Après sa reprise en 2009, par Christophe Chaput et Richard Gaignon, l’activité de 3 D Ceram se diversifie avec la fabrication d’une machine d’impression 3 D, mais la production de céramiques techniques se poursuit. "Nous avons haussé le niveau en travaillant pour le secteur biomédical, afin de fabriquer des implants crâniens et des substituts osseux. Le luxe (joaillerie, horlogerie), puis les industriels de l’aérospatial, de l’aéronautique, de la défense et de l’automobile ont fait appel à nous, explique Richard Gaignon, l’un des co-dirigeants de 3 D Ceram. L’an dernier, nous avons commercialisé une machine que nous avions développée en interne pour nos besoins".

La Ceramaker 900 est équipée d’un plateau de 30 x 30 cm. Dix machines ont trouvé preneur et sa petite sœur, la Ceramaker 100 arrive sur le marché avec son plateau de 10 x 10 cm. "Celle-ci va accélérer l’innovation avec des propriétés technologiques de haute performance et apporter un potentiel de développement pour les clients de tous secteurs notamment les centres de recherche", assure Richard Gaignon. Un partenariat a été signé avec le japonais Aspect.

Une machine capable d’imprimer plusieurs matériaux à la fois est à l’étude et sera lancée en septembre. 3 D Ceram compte quinze salariés, a réalisé un chiffre d’affaires de 2,1 millions en 2016 et vise 3 millions cette année avec un développement prévu en Grande-Bretagne et aux États-Unis.

Source L'Usine Nouvelle par Corinne Mérigaud

Clay XYZ, une nouvelle imprimante 3D d’argile pour modeler plus facilement

La Clay XYZ, développée par l’entreprise éponyme, est une nouvelle imprimante 3D qui fonctionne à partir d’argile. Elle a récemment débuté sa campagne Kickstarter dont elle a déjà largement atteint son objectif de $10 000. Cette machine permet de créer plus facilement des objets en céramique et fait de la poterie un jeu d’enfant. Un outil idéal pour tous les passionnés et sculpteurs qui veulent mêler des techniques de fabrication additive avec des méthodes plus traditionnelles.

En 2015, John Fray, un artiste spécialisé dans la céramique, a crée Clay XYZ pour démocratiser l’utilisation de l’argile. Il s’est tourné vers l’impression 3D qu’il a considérée comme un « outil magique » qui pourrait donner vie à des designs en céramique beaucoup plus rapidement et facilement. Il existait déjà des machines capables d’imprimer des objets en céramique sur le marché mais les industrielles étaient plus chères et les imprimantes de bureau n’étaient pas satisfaisantes en termes de résultat final. 3DCeram par exemple est spécialisée dans l’impression 3D céramique mais cible plutôt le marché du biomédical ou encore du luxe.

Avec un volume d’impression de 210 x 220 x 180 mm, la Clay XYZ permet de créer toutes sortes de design à partir de n’importe quel argile à modeler basique. La startup a déjà téléchargé plusieurs modèles 3D sur son site et sur Thingiverse. Créez ainsi des tasses, des bols, des abat-jours ou encore de petites sculptures. Une fois que les objets sont imprimés en 3D, si vous n’êtes pas satisfaits, vous pouvez retravaillez le design très facilement, comme pendant un atelier de poterie. Les objets peuvent être vernis ou décorés avec de la peinture avant d’être passés au four.

La Clay XYZ est dotée d’un système d’extrusion unique qui est composé d’un tube dans lequel l’utilisateur met l’argile, comme s’il chargeait une batterie, et d’une tête d’impression. Il utilise un compresseur qui retire les bulles d’air de l’argile, augmentant ainsi la précision de l’impression. Ce système est compatible avec plusieurs imprimantes FDM : si vous en avez déjà une, il vous suffit d’acheter le système seulement.

La nouvelle imprimante 3D permet d’augmenter de 15% la vitesse d’impression de l’argile, avec une précision comprise entre 0,2 et 0,8 mm. Cela permet d’avoir des résultats beaucoup plus travaillés qu’avec des méthodes plus traditionnelles.

L’argile est un matériau d’impression qui présente plusieurs avantages : il est très facile à trouver et peut être réutilisable s’il n’a pas déjà été cuit. Il suffit de dissoudre l’objet imprimé en 3D dans de l’eau chaude et  de récupérer alors l’argile.

L’imprimante 3D, ainsi que le système d’extrusion et une boite à outils, sera disponible à partir de $699 pour les Super Early Birds ; le dispositif d’extrusion seul est quant à lui disponible à partir de $399.

Source 3Dnatives

08/06/2017

L’entreprise Ceratec recrute cent personnes tout de suite


Avec 15 % de chiffre d’affaires en plus en 2016, Ceratec recherche cent nouveaux collaborateurs à Olsene (entre Courtrai et Gand), Tournai, Templemars et Ploegsteert. Une campagne de recrutement vient d’être lancée et les candidats pourront visiter l’entreprise les 11 et 13 mai, aux journées de l’emploi.

Philip De Bruyn CEO, a gauche, et Louis De Bruyn administrateur délégué du groupe Cératec.


D’ici fin 2017, le groupe aux 458 collaborateurs souhaite recruter cent personnes sur des postes disponibles dès à présent à Olsene (entre Courtrai et Gand), Tournai, Templemars et Ploegsteert.D’ici fin 2017, le groupe aux 458 collaborateurs souhaite recruter cent personnes sur des postes disponibles dès à présent à Olsene (entre Courtrai et Gand), Tournai, Templemars et Ploegsteert.

Ceratec a été créée en 1986 à partir du département ingénierie du groupe de briqueteries qui automatise son procédé de production. Aujourd’hui, le groupe a développé des machines, des technologies et des procédés pour des clients de dix-neuf pays sur les cinq continents.
L’année dernière, l’entreprise a réalisé un chiffre d’affaires de 91 millions d’euros (contre 78,5 millions en 2015) grâce à la croissance des commandes nationales et internationales dans les quatre divisions de l’entreprise : automatisation, manutention et logistique, électrotechnique et industrie céramique technique.

Briqueterie en Algérie
En 2017, le département Ceramics Equipment supervisera la construction d’une briqueterie en Algérie, de la conception à l’ingénierie des machines en passant par la programmation et la gestion des processus. Mais d’autres départements également ont d’autres projets pour des clients plus proches géographiquement (Clarebout, la police de Coxyde…).


En 2010, la superficie des bureaux avait déjà doublé, mais un nouvel agrandissement est planifié pour cette année. L’année dernière, Ceratec a inauguré une nouvelle filiale à Templemars (France).
«  Nous sommes tout à fait conscients que la croissance du personnel ne suit plus le rythme de la croissance du chiffre d’affaires ces dernières années. C’est pourquoi nous devons souvent externaliser certaines tâches. Cependant, notre ambition est de réaliser un maximum en interne. Nous ne voulons plus que la recherche de collaborateurs qualifiés reste un frein au développement de notre entreprise  », explique Louis De Bruyn, administrateur délégué du groupe Ceratec.

« Électriciens, mécaniciens, chefs de chantiers et de projets, et techniciens constituent le plus grand groupe. »
D’ici fin 2017, le groupe aux 458 collaborateurs souhaite recruter cent personnes sur des postes disponibles dès à présent à Olsene (entre Courtrai et Gand), Tournai, Templemars et Ploegsteert. «  Électriciens, mécaniciens, chefs de chantiers et de projets, et techniciens constituent le plus grand groupe, mais nous recherchons aussi des dessinateurs-concepteurs, des techniciens sécurité, des programmeurs et bien d’autres. Nous essayons de tenir compte de l’origine de nos salariés (Wallons, Flamands, Français) lors de la formation des équipes et nous offrons des cours de langue  », conclut Philip De Bruyn, CEO du groupe Ceratec.

Source La Voix du Nord par Damien Menu 

07/06/2017

INDIA: Higher tax on fly ash bricks condemned

The Union Government's move to impose a higher tax of 12 per cent on fly ash bricks and 5 per cent on clay bricks is retrograde and contrary to the stated objectives of the Government, according to N. Kalidas, the Director of the Institute for Solid Waste Research and Ecological Balance (INSWAREB).

It is a Visakhapatnam-based private institute working for the promotion of eco-friendly fly ash bricks and is instrumental in the establishment of several fly ash brick manufacturing units in AP and Telangana.

Kalidas said that under the new GST regime Union Finance Minister Arun Jaitley had made the proposal to tax fly ash bricks at a higher rate. He said that it was generally agreed, even by the Government and the Supreme Court, that clay bricks were causing immense damage to the environment and therefore fly ash bricks should be encouraged. Therefore, the taxation policy should be in tune with the objective. In fact, clay bricks should attract higher tax than fly ash bricks and not the contrary.

Use of fly ash bricks would result in conservation of top soil, reduction of emissions and carbon footprints. Therefore, he pleaded, the Union Government should have a rethink on the critical issue and reverse its policy.

Source TheHinduBusinessLine

06/06/2017

Ceramic Network les 7 et 8 juin à Limoges

Organisé par le pôle Européen de la Céramique, Ceramicnetwork 2017 se tiendra les 7 et 8 juin 2017, à la Technopole ESTER à Limoges.
Il réunira près de 200 entreprises internationales sous la forme de rendez vous d’affaires, conférences thématiques et visites de sites (centres de recherches et PME/PMI).

Grâce à un programme complet, Ceramicnetwork est l’événement majeur de la filière céramique en 2017 :
• Un programme de conférences thématiques et de visites de sites afin de découvrir les dernières innovations et les usages nouveaux de la céramique.
• Des rendez-vous d’affaires afin de trouver de futurs partenaires dans le développement de projets industriels.

Toutes les informations : www.ceramic-network.fr

Source Lepetiteconomiste

05/06/2017

Biennale d'architecture de Lyon du 8 juin au 9 juillet

TERREAL est partenaire de la première édition de la biennale d'architecture de Lyon et plus particulièrement du projet Amàco. L'événement se déroulera du 8 juin au 9 juillet 2017 à la Sucrière, lieu emblématique de la confluence lyonnaise.

La biennale invite à une expérience inédite autour des processus de fabrication de l’architecture et de la ville d’aujourd’hui et de demain. Durant un mois, praticiens, opérateurs, chercheurs, enseignants, étudiants, industriels,… sont invités à réfléchir, travailler, produire, débattre ensemble, au sein d’un vaste atelier ouvert à tous les publics.

L'atelier Matières à construire, Amàco, va ainsi proposer une expérience autour de la brique de terre crue.

« Qui es-tu, brique ? » invite à explorer les potentiels du matériau, de la formulation de la matière terre à l’architecture en passant par les modes de mise en oeuvre, l’art et le design. Au fil des jours et des visiteurs, l’espace va ainsi évoluer du plus petit grain de terre à la production de briques jusqu’à leur assemblage pour élever des éléments et structures architecturales.

L’espace Amàco joue avec les formes, les textures, les fonctions, les applications de la brique de terre crue pour mieux interpeller le visiteur et le pousser à la réflexion de l’espace et l’environnement qui l’entoure.

TERREAL est fier d'offrir de l'argile pour la réalisation de ce projet culturel créatif et ludique qui fait émerger de nouveaux processus de fabrication de l’architecture et de la ville de demain.

Source Terreal


04/06/2017

RTS87: FUMISTERIE INDUSTRIELLE

La société REFRACTORY THERMIC SERVICES vous propose une grande maîtrise dans les techniques de montage des réfractaires ainsi que dans le retrait de fibres céramiques réfractaires et d’amiante.

RTS peut faire des analyses et expertises réfractaires pour vous trouver des solutions et vous apporter des améliorations thermiques et techniques.

Selon vos projets, le bureau d’étude RTS vous fera des propositions adaptées à vos besoins:

  • Les mise en réfractaires
  • Etude et conseil de vos installations réfractaires
  • Etude thermique des pertes en parois
  • Elaboration de nouveaux concepts de fumisterie
  • Montages des réfractaires de 200°C à 1750°C. 

RTS intervient dans l’étude, la fourniture et la mise en place des garnissages réfractaires pour les travaux neufs et d’entretien.

RTS vous apportera des solutions innovantes et d’amélioration sur les diverses fumisteries.

Source RTS87

03/06/2017

LES ANCIENS DE LA TUILERIE LARTIGUE et DUMAS N'OUBLIENT PAS

C'est à l'Auberge du Cousteau à Saint Lary que les anciens salariés de la Tuilerie Lartigue et Dumas,et leur famille s'étaient récemment  donné rendez-vous pour des retrouvailles conviviales autour d'un repas typiquement gascon concocté par le maître des lieux .

La soixantaine de personnes présentes ont évoqué maints souvenirs souvent agréables malgré des conditions de travail parfois difficiles.

La tuilerie auscitaine a été fondée en 1856 par Pierre Louis Lartigue. En 1878 la nouvelle usine à vapeur va être  implantée  route de Pessan à Auch . A cette époque PL Lartigue va s'associer à son beau frère Pierre Dumas. De cette association vont naître les établissements Lartigue et Dumas. Aujourd'hui quelques éléments de bâtiments accolés à l'actuelle gendarmerie, demeurent les seuls vestiges visibles du site industriel. Les nouveaux venus ignorent bien souvent qu'une grande usine a vécu à cet endroit là.

Durant plus d'un siècle et, à l'exception de l'activité agricole,  l'industrie de la céramique a été prédominante dans tout le département du Gers. Peu avant les années 1950 avec l'invention et le brevet de la tuile Romane , la société Lartigue et Dumas va connaître un essor et une renommée considérable dans tout le sud de la France et parfois au delà. Autour des années 1970 le groupe des anciens établissements Lartigue et Dumas associé aux tuileries Gilardoni Frères devint le leader français de tuiles en terre cuite.

Quarante et un ans après la fermeture définitive de la tuilerie l'ensemble des participants  veulent que perdure le souvenir de la plus importante entreprise industrielle d'Auch avec près de 400 ouvriers et employés.

Source Le Jounal Du Gers par Pierre Dutil

02/06/2017

Déviation de la desserte de la carrière de Saint Papoul : 70 000 € pour les victimes

Sept ans après la mise en service d'une déviation consacrée à la desserte d'une carrière d'argile par des poids lourds, un couple installé à Saint-Papoul a vu s'achever, le 5 mai dernier, son chemin de croix judiciaire. C'est devant le Conseil d'État que les propriétaires d'une maison achetée en 2004 ont eu gain de cause.

La juridiction suprême a en effet rejeté le recours du Département et de la commune de Saint-Papoul, qui contestaient le jugement de la cour administrative d'appel de Marseille du 7 janvier 2016. L'instance des Bouches-du-Rhône avait alors condamné les deux collectivités à verser solidairement 70 000 € au couple, sur la foi des préjudices causés par cette déviation (*).

Préjudice et perte de valeur vénale
Dans sa décision, le Conseil d'État rejette les pourvois du conseil départemental et de la commune, et les condamne à verser chacun 2 500 € au couple au titre des frais de justice… en plus de cette indemnisation de 70 000 €, que la juridiction suprême confirme en reprenant les considérants de la cour d'appel. C'est en effet bien devant le domicile acquis en 2004 que la déviation a mené, à compter d'avril 2010, un flux de 140 camions par jour du lundi au vendredi, de 6 heures à 22 heures Là aussi que des mesures de bruit supérieures à la valeur limite des 60 décibels ont été relevées. Là encore que des dépôts de terre rouge ont été constatés. De quoi donc confirmer les préjudices moraux subis, et la perte de la valeur vénale de l'habitation, chiffrée à 60 000 €.

Une estimation qui mène à cette indemnisation fixée à 70 000 €, dont devront s'acquitter solidairement les collectivités, puisque le Conseil d'État a rappelé que, si le maître d'ouvrage était bien la commune, la déviation avait été réalisée avec l'aide financière et technique du Département.

(*) En première instance, le 24 mars 2014, le tribunal administratif de Montpellier avait rejeté la demande du couple, qui demandait une indemnisation de 123 538 €.

Un conflit vieux de sept années vient de connaître son épilogue entre une couple, la collectivité locale, et le Département., au sujet de la mise en service d'une déviation menant à une carrière.

Source La Dépêche du Midi

01/06/2017

Cérémonie de remise des Certificats de Qualification Professionnelle

Le 11 mai dernier, la Fédération des Tuiles et Briques (FFTB) organisait une cérémonie pour la remise des Certificats de Qualification Professionnelle (CQP) - promotion 2016 - de toute la filière terre cuite. Ces diplômes valident des compétences spécialisées dans nos métiers et répondent aux besoins spécifiques des entreprises de notre branche.

Cela fait 10 ans que les Certificats de Qualification Professionnelle existent au sein de la FFTB. Ils sont au nombre de trois : le CQP Chef d’équipe, le CQP Préparation des terres et le CQP Conducteur d’installations. D’une durée de 1 an, cette formation diplômante permet d’acquérir de nouvelles compétences et de valoriser l’expérience des collaborateurs. Grâce à cela, la professionnalisation des salariés de nos entreprises se développe.

Pour la promotion 2016, 5 salariés de TERREAL ont ainsi été diplômés pour le CQP Conducteurs d’installations. Une belle fierté pour notre entreprise ! TERREAL s’engage en effet depuis plusieurs années dans la formation professionnelle de ses collaborateurs à travers plusieurs programmes dédiés. La formation constitue un véritable levier de performance et d’épanouissement professionnel et personnel. Chaque année, TERREAL investit un budget important, mais au combien nécessaire, dans la formation de ses collaborateurs.

Source Terreal

31/05/2017

fix'bric Lauréat des Trophées Santé Bâtiment 2017 dans la catégorie "produits innovants"

Mesure des polluants, technologie d'amélioration de la qualité de l'air, démarche de santé inventive ou produit de construction novateur, rien n'a été oublié pour l'édition 2017 des Trophées Bâtiment Santé Innovations organisés par l'association Bâtiment Santé Plus du docteur Suzanne Déoux. Le jury a dévoilé le vendredi 12 mai l'ensemble des lauréats.

Dans la catégorie " Produits innovants", le seul trophée attribué est allé à Bouyer Leroux pour sa colle fix'bric, prête à l'emploi. Elle apporte une plus grande simplicité sur les chantiers et permet d'améliorer la santé au travail des compagnons en diminuant les risques de contacts cutanés avec des substances irritantes ou allergisantes. Le produit ne contient de plus pas d'isocyanates et ne dégrade pas la qualité de l'air intérieur du bâtiment terminé.

Source Biobric

30/05/2017

Isabelle Dorgeret remplace Bruno Martinet à la tête de la FFTB

Après 14 ans de bons et loyaux services, Bruno Martinet, directeur général de la Fédération française des tuiles et briques (FFTB), s’est finalement décidé à tirer sa révérence. Pour le remplacer, Isabelle Dorgeret, jusqu’alors secrétaire générale de l’organisme, a été choisie par le Conseil d’administration afin de « poursuivre et développer la valorisation de tous les potentiels de la terre cuite ».

Alors qu’elle se réjouissait au début du mois de la pertinence de la brique terre cuite dans le cadre du label E+C-, la FFTB (Fédération française des tuiles et briques) vient tout juste d’annoncer la nomination d’Isabelle Dorgeret au poste de directrice générale. Elle remplace ainsi Bruno Martinet, qui occupait cette fonction depuis 2003, et « qui a fait valoir ses droits à la retraite », selon l’organisme.

Diplômée de PolytechParis (Chimie des matériaux option ‘’céramique et verre’’), Isabelle Dorgeret a d’abord occupé des postes de R&D avant de rejoindre le CTMNC (Centre technique de matériaux naturels de construction) en tant que chef du service tuile, puis du service céramique entre 2002 et 2007. Elle devient ensuite directrice du développement durable chez Terreal – fonction qu’elle occupera jusqu’en 2016. Elle était, par ailleurs, secrétaire générale de la Fédération française des tuiles et briques.

« La FFTB qui a fêté ses 80 ans en 2016 est une organisation ‘’agile’’ au service du matériau Terre Cuite que nous sommes fiers de promouvoir », déclare la nouvelle directrice générale. « Nous représentons une filière dont les sites maillent le territoire et produisent plus de 95% des produits (tuiles, briques, parement) de terre cuite utilisés dans la construction en France. »

« Notre objectif est de poursuivre et de développer la valorisation de tous les potentiels de la Terre Cuite. Performances techniques et environnementales, qualité sanitaire, pertinence économique, durée de vie, confort de pose, les solutions terre cuite sont des solutions constructives d’avenir », poursuit-elle.

« Issue d’une matière première géosourcée et renouvelable, la Terre Cuite offre en outre, une complète liberté architecturale aux architectes et aux maîtres d’ouvrage. C’est donc bien le plus contemporain des matériaux durables…et le plus durable des matériaux contemporains », conclut Isabelle Dorgeret. Nul doute qu’avec de tels discours, la nouvelle directrice générale de la FFTB saura remplir ses missions à merveille !

Source Batiweb

Terre &Art : une résidence artistique à l’usine TERREAL de Bavent

TERREAL, le spécialiste des matériaux de construction en terre cuite, et l’artiste Blandine Brière présentent l’œuvre « Dessous », en partenariat avec le Relais Culturel 2angles à Flers et la Fabrique Apefim de Caen.

Inaugurée le 16 mai dernier à l’usine TERREAL de Bavent, cette création est le fruit du projet « Terre & Art », un travail collaboratif entre l’artiste plasticienne et les salariés du site. Pour la réalisation de cette œuvre unique en terre cuite, TERREAL a accueilli Blandine Brière en résidence artistique au sein de sa tuilerie de Bavent pendant 7 mois. La créatrice s’est imprégnée des lieux, entourée des collaborateurs qui ont partagé leur savoir-faire et leur passion pour l’argile. Sans oublier les clients couvreurs qui ont apporté leur expertise pour la mise en œuvre des produits.

Quand l’art contemporain s’invite en usine

TERREAL mène depuis plusieurs années une politique de mécénats directement liés à notre savoir-faire, la terre cuite, à l’Habitat et à la sauvegarde du patrimoine. Cet engagement se traduit par un soutien auprès d’association pour la sauvegarde du patrimoine et de la ruralité.

En octobre 2016, Terreal a décidé d’aller plus loin dans cette démarche et d’impliquer ses collaborateurs, en accueillant une artiste plasticienne, Blandine Brière, durant 7 mois en résidence artistique dans l’une de nos usines, la tuilerie de Bavent. L’objectif étant de valoriser les savoir-faire des hommes et des femmes TERREAL.

Une œuvre moderne inspirée d’un savoir-faire ancestral

Pour créer cette œuvre unique, Blandine Brière s’est entourée d’experts qui façonnent au quotidien l’argile, une matière première noble. Les premières semaines ont donc été consacrées à la rencontre des équipes de l’usine de Bavent ainsi que d’une entreprise de couverture pour comprendre le métier de chacun et s’inspirer de leurs gestes. L’artiste a également eu l’opportunité de découvrir le process industriel de TERREAL qui bénéfice d’une technologie de pointe pour dessiner les tuiles des toits de nos régions.

Baptisée « Dessous », l’œuvre est une sculpture prenant la forme d’une immense vague de terre cuite (6 mètres de long et 2,50 mètres de haut). Elle est composée de 850 tuiles émaillées bleues et de 1900 tuiles Grand Cru rouges.

« Dessous «, c’est aussi un objet sonore. Inspirée des sons des nombreuses machines de l’usine, Blandine Brière a composé une partition qui a ensuite été interprétée par des salariés volontaires impliqués dans le projet. Ces sons sont diffusés depuis des enceintes installées au creux de la vague.

La sculpture est exposée sur le site de Bavent et accessible aux partenaires et clients de TERREAL lors des visites de l’usine ainsi qu’au grand public à l’occasion de journées portes ouvertes.

Les ateliers, des moments d’échange et de création

Au total, une trentaine de personnes s’est impliquée dans le projet. Des ateliers ont permis aux équipes de réfléchir à l’œuvre et à ses possibilités techniques, tout en laissant cours à la créativité et à la sensibilité du groupe.

Les collaborateurs se sont investis bénévolement et avec grand enthousiasme, en dehors de leurs horaires de travail, pour la réussite de ce projet.


3 questions à Blandine Brière, artiste plasticienne
Qu’est-ce qui vous a le plus marqué en découvrant les lieux ?
La première fois que je suis arrivée, j’ai été impressionnée par les lieux dès l’extérieur. On y voit des présentoirs et des enchainements de toits de l’entrée de l’usine jusqu’à la poterie. Découvrir la carrière qui jouxte l’usine a également été grandiose. Ensuite, à l’intérieur de l’usine, les sons et les images qui vous parviennent en quelques secondes sont assez magiques et je ne m’attendais pas à une robotique aussi sophistiquée.


Comment a débuté votre travail ?
Pendant 3 mois, au rythme d’une semaine sur deux, j’ai rencontré tous les services. Je restais une journée ou plus avec chacun. J’ai vu un maximum de personnes et j’ai beaucoup appris à leurs côtés tant sur le parcours de la matière jusqu’à la fabrication de la tuile, que sur le vocabulaire utilisé ou encore sur les liens entre les différents métiers. C’était passionnant ! Plein d’idées me venaient en tête au fur et à mesure mais mon objectif était que l’on crée, avec les salariés volontaires, une œuvre collective du début à la fin.

D’où vient l’idée de la forme de la sculpture ?
Elle s’apparente à une vague, un mouvement. À l’image de l’usine qui vit jour et nuit, en écho à l’eau que l’on retrouve partout, de la carrière née du retrait de la mer, à la préparation de la terre ou au fonctionnement des fours. Au cours des différents échanges, le vocabulaire marin a d’ailleurs été fréquemment employé, “tenir le cap” ou encore “tous dans le même bateau”. L’usine est apparue tel un cargo, avec comme élément tempétueux à maîtriser la terre, matière vivante en mutation… Au creux de cette immense vague, nous avons choisi de représenter en tuiles émaillées bleues les différentes strates de la coupe géologique Sud-Nord de la carrière de Bavent, une sorte d’arrêt sur image, l’empreinte du temps dans le sol.

Source Wellcom

29/05/2017

La palette attitude, Koramic renforce l'engagement Wienerberger

Après avoir ouvert la voie du secteur dès 2012 dans la consignation des palettes avec la gamme Porotherm, Wienerberger étend la consignation depuis le 2 mai 2017, sur l’ensemble de l’Hexagone, aux palettes des tuiles et accessoires Koramic. Une démarche écoresponsable poussée en faveur du respect de l’environnement que Wienerberger souhaite partager avec les professionnels distributeurs et poseurs sous la maxime : “Pour la planète adoptons la palette attitude”.

Palettes renforcées, environnement préservé, économie circulaire, le triptyque Wienerberger gagnant

En France, alors qu’une palette consignée peut effectuer jusqu’à 10 rotations en conservant toutes ses performances, 60 millions de palettes sont perdues par an, soit l’équivalent de 6.000 m3 de bois détruits par jour ouvrable*.

Éco-responsable depuis l’origine, Wienerberger privilégie la réutilisation des palettes et renforce encore son accompagnement auprès des entreprises dans leur gestion de déchets. En effet, Wienerberger confirme son ancrage historique dans le développement durable en déployant la consignation des palettes pour tous les produits et accessoires terre cuite de sa marque Toiture Koramic.

Accompagnement du réseau de distribution et des artisans

Dans un souci d’accompagnement, depuis plus de cinq mois, Koramic informe et sensibilise ses partenaires distributeurs. Une communication sur mesure a été déployée avec les partenaires de la marque, complétée par une information et des rencontres régulières sur le terrain.

Afin de relayer l’information auprès des artisans, Koramic met également à la disposition des négociants un pack d’information composé d’une documentation détaillée et d’affiches.

Le retour des palettes peut être organisé soit par le distributeur lui-même soit par Koramic, un formulaire de retour et de contact est alors disponible en un simple clic, via le formulaire PDF téléchargeable sur le site Internet de Wienerberger : www.paletteconsignewienerberger.fr

Les équipes commerciales, le service client et logistique sont aussi présents en back office pour répondre à toutes les questions et faciliter la mise en place de la consignation.

Des étiquettes sur les housses aident à distinguer ces nouvelles palettes ainsi que la flamme Wienerberger apposée sur les quatre côtés. Ces palettes à quatre entrées facilitent également la manutention sur chantier.

Autres informations d’importance mises en avant dans ce dispositif, les préconisations de l’Ademe sur les déchets bois et emballages non souillés.

Optimisation des palettes

Enfin, le développement de cette démarche a aussi été l’occasion pour Koramic de renforcer ses palettes : plus résistantes, elles garantissent de meilleurs gerbages et houssages, une manutention facilitée, une protection optimale des tuiles et bien entendu, une identification aisée (marquage intégré sur les quatre côtés). De quoi finir de convaincre tous les acteurs de la filière à adopter la “palette attitude”.

Source N Schilling

Wienerberger cautiously optimistic on residential construction in UK

Austrian brickmaker Wienerberger said its expects a slightly positive development of residential construction in Britain to continue in the second half of the year.

"From today's perspective we anticipate that residential construction in Britain will be slightly above the previous year's level (in the second half of the year)," the group said in its first-quarter earnings report published on Wednesday.

Rising demand in Britain is currently supported by government aid programs for new housing construction, the group said.

Britain is Wienerberger's largest single market, contributing around 10 percent of annual group sales. Last year, revenue in the country fell 5.1 percent, strongly influenced by the fall of the pound after Britain voted to leave the European Union.

Source Reuters

28/05/2017

Souffrance entre terre et feu… fortune et construction en Egypte

De la terre égyptienne malaxée par des mains sculptées par la souffrance d’un soleil torride et un feu brûlant, poussée vers les fours afin qu’elle devienne une brique rouge destinée à la construction des châteaux des riches et des logements des plus modestes.

Et si cette terre voit le jour, les modestes experts sauront en tirer leurs ressources. Dans un village de Fayoum (Centre de l'Egypte°, sur un lot de terrain de 1000 m², 50 ouvriers dont l’âge varie entre 18 et 50 ans outre quelques enfants de moins de 15 ans, œuvrent avec ardeur dans ce métier primaire qui constitue un des principaux fondements pour la construction des bâtiments. Des millions de ces briques d’argile rouge réputées en Egypte sont superposées les unes sur les autres reflétant leur image originale et crue.

L’ouvrier Ahmed Ala'a (18 an) en saisit une partie, avec rapidité et dextérité, qu’il place sur une charrette rudimentaire tirée par des chevaux et des ânes, et qu’il se propose de transporter vers d’autres destinations.

Cinq enfants, dont l’âge ne dépasse guère 15 ans, mûris par la chaleur du soleil, se tiennent aux cotés du jeune Ahmed, tout en sueur, et guident les chevaux et les ânes qui tirent ces rudimentaires charrettes dénommées « Caros » en Egypte remplies soit de briques non cuites et destinées aux fours, soit de briques récemment fabriquées mais devant sécher à l‘air libre.

Ahmed Hussein, directeur et propriétaire de cette usine rudimentaire, déclare qu’il a loué ce lot de terrain qu’il a transformé en usine de fabrication de ces briques, depuis 2002, et y fait travailler plus de 50 ouvriers : Chacun de ces ouvriers perçoit 10 livres (soit un demi dollar américain) pour 1000 briques fabriquées ou transportées, parvenant ainsi à gagner près de 100 livres (soit 5 dollars environ) quotidiennement.

Dans son entretien avec Anadolu, Hussein précise qu’ils utilisent de l’argile de terre et du sable dans la fabrication de ces briques rouges. Cette argile est acquise à Koumérchim à l’entrée de la préfecture d’El Fayoum (Centre) au prix de 25 livres (1.5 dollar) le mètre cube.

Selon le propriétaire de l’usine, la fabrication de ces tuiles se fait en 5 étapes : au départ, mélanger argile et sable, puis placer ce mélange dans d’énormes caisses en utilisant des machines spéciales, le transporter dans une autre machine destinée à son polissage et au ponçage des grands morceaux. Par la suite, ce mélange est placé dans une meule (il s’agit de deux blocs de pierre sphériques tournant à sens contraire) afin de malaxer ce mélange parfaitement. A la troisième étape, il s’agit de créer les moules de ces briques dans une forme longitudinale et harmonieuse.

Pendant la quatrième étape, il s’agit de transporter ces briques sur ces charrettes rudimentaires, tout en les agençant convenablement, en respectant les espaces entre elles afin de laisser pénétrer l’air et faire sécher le résidu d’eau et plaçant dessus une couverture d’écorce de riz destinée à protéger ces briques du soleil.

Cette étape dure 40 jours en hiver et 20 seulement en été selon Hussein. Enfin, à la cinquième et dernière étape, ces briques sont cuites dans les fours à mazout pendant 36 heures et mises à la vente. A ce sujet, Hussein insiste pour dire que ce commerce a été affecté depuis la révolution du 25 janvier 2011, et devenu peu rentable à la suite de l’augmentation du prix du mazout passé de 500 livres (27 dollars) la tonne à 2300 livres égyptiennes (127 dollars).

Une autre souffrance vient de s’adjoindre : il s’agit des revendications salariales des ouvriers qui font valoir qu'à la suite de l’augmentation des prix des produits alimentaires, « la quotidienne » ne suffit plus à payer nourriture, boisson et soins médicaux, faisant allusion aux 50 dollars perçus quotidiennement.

A la fin du mois de novembre dernier, Mohamed Ameur, président du Syndicat des fours au sein de la chambre de fabrication du matériel de construction des bâtiments et immeubles, relevant de l’union égyptienne des industries, déclarait que 2000 entreprises de fabrication de briques exercent en Egypte.

Source TRT

27/05/2017

PARAY-LE-MONIAL: Plus d’un siècle d’industrie de la céramique en 47 minutes



L’entreprise Cérabati, devenue l’usine Paray Céramiques, a fermé en 2006, générant 70 licenciements. Un traumatisme encore aujourd’hui pour la ville.  


« On est allé voir des universitaires pour faire du cinéma de recherche. » Dominique Dendraël, conservatrice du musée du Hiéron, avait à cœur de laisser une trace de plus d’un siècle d’industrie de la céramique à Paray.

Le choc de la fermeture

En 2009, Nadine Michau, cinéaste et anthropologue à Tours, avait recueilli 30 témoignages et 50 heures de tournages. « La fermeture en 2006 de Paray Céramiques a été un choc. Des savoir-faire sont morts. Derrière le déclin de l’industrie, il y a toute l’histoire sociale de la condition ouvrière », explique la réalisatrice, dont le film, au budget de 13 500 €, a été financé par la réserve parlementaire d’Édith Gueugneau, le pays Charolais-Brionnais, la ville de Paray, le Département et l’association du musée Paul-Charnoz.

Source Le Journal de Saône et Loire

26/05/2017

André Viola s'invite chez Terreal de Saint Papoul

André Viola président du conseil départemental, mais surtout candidat aux prochaines élections législatives ne néglige aucun secteur économique de la région.

Lors de sa venue sur le canton Nord de Castelnaudary, et accompagné des conseillers départementaux Patrick Maugard et Éliane Brunel, et en présence du maire de la commune Serge Ourliac, André Viola a tenu à rencontrer l'équipe de la carrière Terreal de Saint Papoul. Cette rencontre au cœur de la carrière et notamment dans le laboratoire de l'entreprise fut très enrichissante. Cela lui a permis de mieux appréhender les enjeux auxquels doit faire face le groupe Terreal, l'un des plus importants employeurs du Lauragais, notamment en termes de démarches environnementales, tant au niveau des matériaux développés, que du mode d'exploitation et de remise en état de la carrière, ou enfin, de la réglementation relative à l'industrie de la terre cuite, si précieuse et pourvoyeuse d'emplois sur notre territoire. Ces échanges très fructueux d'un homme du terrain vont permettre à André Viola de maîtriser encore davantage l'avenir de cette industrie dans cette perspective de la campagne des élections législatives toutes proches.

Source La Dépêche du Midi

Menacés par l'instauration des quotas, les Espagnols augmentent leurs exportations de céramique vers l'Algérie

L'industrie céramique espagnole a augmenté de 49,6% ses exportations vers l'Algérie, rapporte le journal espagnol el Mundo dans son édition du jeudi 27 avril.

Cette accélération des exportations s'explique, selon le journal, par la "nécessité" d'esquiver les quotas d'importations qui vont être appliqués par le gouvernement algérien. Ce dernier, précise el Mundo, n'a pas encore fixé le montant maximum autorisé à l'importation.

Selon le journal espagnol, l'Algérie constitue le plus grand marché du continent africain, la destination essentielle pour la céramique espagnole. L'annonce d'une nouvelle liste de produits soumis aux quotas par ministère du Commerce algérien datant du 1er avril dernier a été la plus mauvaise nouvelle de l'année pour les industriels de la céramique espagnole.

Ces derniers ont été catastrophés par la classification de la céramique espagnole parmi les 21 produits soumis aux quotas.

Ainsi, précise le journal espagnol, le made in spain en céramique, a doublé ses exportations vers l'Algérie en un mois. Les données sur le commerce extérieur espagnol pour les mois de janvier et février 2017 attestent que la valeur des exportations de céramique vers le marché algérien a connu une croissance de 49,6 %.
Le chiffre, affirme-t-on, est particulièrement important si l'on considère que le marché algérien a terminé l' année 2016 sur une note négative pour les espagnols qui n'ont pas réussi à redresser la barre.

Les exportations de céramique espagnoles vers l'Algérie se sont élevées à 123,4 millions d'euros sur l'ensemble de l'année écoulée, ce qui représente une baisse de 5,2% sur l'année d'avant, selon les données de l'Association espagnole des fabricants de carreaux pavage céramique (Ascer).

Cette tendance, souligne-t-on de même source, a radicalement changé en ce début 2017. Au mois de janvier, le secteur de la céramique espagnole a réussi à exporter des produits d'une valeur totale de 10.132 millions d'euros, ce qui représente une hausse de de 29,5% et place ainsi le marché algérien comme le cinquième plus important pour ce secteur industriel espagnol.

Un mois plus tard et avec la crainte d'une adoption rapide des mesures protectionnistes annoncées par le gouvernement algérien, le secteur de la céramique espagnole a exporté pour près de 15 millions d' euros en février, ce qui représente une augmentation des exportations vers l' Algérie avoisinant les 67,3% sur un an.

A ce jour, note encore El Mundo, l'Algérie est devenu le quatrième plus grand marché du secteur de la céramique espagnole avec des livraisons atteignant un total de près de 25 millions d'euros et une croissance de 50% par rapport à toute l'année écoulée, selon les statistiques du ministère espagnol du Commerce.

Aussi les décisions attendues du gouvernement algérien se révèlent décisives pour le futur de ce secteur espagnol.

Source HuffPost Algérie  par May Sammane

24/05/2017

Risques associés aux nanoparticules de dioxyde de titane (TiO₂)

Des présomptions de risques très fortes pour le dioxyde de titane (même non nano)

Même non nano, le TiO2 inhalé est possiblement cancérigène
Les données scientifiques analysées par l’ANSES en 2016 montrent que le dioxyde de titane peut entraîner des tumeurs malignes chez le rat après une exposition par inhalation, ce qui a conduit l'agence à considérer le dioxyde de titane comme cancérogène avéré chez l’animal. Chez l’Homme, le caractère cancérogène reste débattu du fait de limites méthodologiques des études épidémiologiques disponibles.
En mai 2016, l'ANSES a donc proposé à l'agence européenne des produits chimiques (ECHA) de classer le dioxyde de titane comme cancérogène 1B par inhalation1, déclenchant l'ire des fédérations et entreprises concernées, qui ont envoyé plus de 500 commentaires en réponse à la consultation de l'ECHA sur le sujet (en mai-juin 2016)2.
Le processus d’instruction de la proposition de classification a suivi depuis les étapes prévues par le règlement CLP. Un avis final devrait ainsi être rendu par le Comité d’évaluation des risques (RAC) de l'ECHA à la fin du premier semestre 2017. Sur la base de cet avis, la Commission européenne décidera de l’inclusion ou non de la classification proposée par l’Anses pour le TiO2 dans le règlement CLP3. Cette proposition de classification, si elle est adoptée, conduira à des obligations d’information des travailleurs, mais aussi de recherche de substitution de la substance, qui bénéficierait également à une meilleure protection de la population générale.

En 2006 le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) avait classé le dioxyde de titane (TiO₂) comme cancérigène possible pour l'homme (classe 2 B)4 - et ce, toutes tailles confondues : l'échelle nanométrique est donc concernée mais pas plus ni moins que le TiO2 non nanométrique.
Les études qui ont été considérées pour cette classification portaient sur le TiO₂ sous forme de poudre avec la présomption de risques par inhalation qui concernent d'abord les travailleurs potentiellement exposés.

A l'échelle nano, les risques pourraient être encore plus grands

Depuis plusieurs années, les publications scientifiques sur les risques sanitaires et environnementaux associés aux nanoparticules de dioxyde de titane s'accumulent5.
En mai 2014, l’Agence française de sécurité sanitaire (ANSES) avait donc préconisé un classement des nanoparticules de dioxyde de titane (et autres) comme substances dangereuses afin que soient mises en place des mesures de restriction d’usage voire d’interdiction de l'utilisation de certaines applications grand public6.
Cette préconisation a été reprise dans l’action n°72 du 3ème plan national Santé Environnement (PNSE 3) (2015-2019) fin 2014 et dans l’action 1.13 du Plan Santé au travail (PST 3) (2016-2019).
Nous ignorons à ce stade quelles déclinaison la DGT a donné, ou non, à cette action. Des demandes ont-elles été déposées ou sont-elles en préparation ?

Les travailleurs particulièrement exposés (notamment dans le secteur de la chimie, du bâtiment, des cosmétiques ou de l'alimentaire) devraient faire l'objet d'une sensibilisation et d'une surveillance ciblée*.
Des efforts commencent à être faits en ce sens : en 2014, les données recueillies dans le cadre de la déclaration obligatoire relatives aux nanoparticules de dioxyde de titane ont été communiquées à l'Institut national de veille sanitaire (InVS) dans le cadre du projet Epinano pour le suivi de cohortes de travailleurs exposés aux nanomatériaux. Mais le dispositif connaît des difficultés de mise en oeuvre.

Dans les peintures : Un projet de recherche européen intitulé NanoHouse mené entre 2010 et 2013 avait observé le cycle de vie de nanoparticules de dioxyde de titane contenues dans les peintures et revêtements utilisés en intérieur et à l’extérieur des habitations. Les travaux ont évalué le taux de relargage des nanoparticules de 1 à 2% seulement - et sous forme d'agglomérats18. Mais d'autres études sont beaucoup moins rassurantes : une étude de l'INERIS et de l'université de Compiègne publiée début 2015 a montré qu'un nanorevêtement de dioxyde de titane existant dans le commerce, une fois appliqué sur une façade de bâtiment, peut se détériorer sous l'effet du soleil et de la pluie ; ce faisant, il entraîne le relargage de particules de titane dans l'air en quelques mois - et qui plus est, sous forme de particules libres (plus dangereuses que lorsqu'elles sont agglomérées entre elles ou avec des résidus d'autres matériaux)19, il convient donc dans ces conditions de minimiser le recours aux nanorevêtements.


Source Veillenanos par MD et l'équipe Avicenn

23/05/2017

Ceramic Network 7 et 8 juin, 6e édition à Limoges

7 et 8 juin, 6e édition à Limoges L'entreprise limougeaude Ceradrop, filiale du groupe MGI, fera partie des 50 exposants de Ceramic Network 2017.

C'est le Pôle Européen de la Céramique qui organise cette convention d'affaires sur les technologies céramiques, événement majeur de l'année pour les acteurs du domaine.

L’évènement offre aux professionnels un programme complet : rendez-vous d’affaires programmés, conférences plénières et visites d’entreprise sont organisés durant les deux jours.

50 exposants seront présents

Ces rencontres d’affaires mettent en relation des entreprises à la recherche de solutions industrielles innovantes et issues de secteurs tels que l’aéronautique, spatial, l’automobile, le bâtiment, les arts de la table, le médical, la cosmétique… et des offreurs de technologies spécialisés en céramique technique et en revêtements de surface.

L’objectif est de favoriser les transferts de technologies et de créer un courant d’affaires et de coopération technologique.

La conférence d’ouverture de l’édition 2017 aura lieu le 7 juin 2017 à 11h30 Salle Hermès Ester Technopole.

Une convention de partenariat interclustering

A l’occasion de cet évènement, le Pôle Européen de la Céramique officialisera une convention de partenariat interclustering avec Aerospace Valley, pôle de compétitivité dédié à l’aéronautique, aux systèmes embarqués et au spatial. Ce partenariat fait suite aux échanges entre les deux pôles notamment concernant les solutions apportées par les céramiques pour le domaine de l’aéronautique.

Source Le Populaire

22/05/2017

UK: Family owned brick company sees growing demand from SMEs

Small and medium sized housebuilders across the UK are concerned that clay brick shortages could significantly delay construction projects, as we move through the year.

Lagan Brick, based in Kingscourt Co. Cavan, has seen a sharp upturn in demand for its range of clay bricks.

Currently the company produces a wide range of facing bricks using one of its two tunnel kilns located on-site. Should the upturn in demand experienced continue, the company is well placed to increase its manufacturing capacity by bringing back into production the second tunnel kiln.

The brick making industry in the UK and Ireland has gone through considerable change in the last decade with several brick factories closing during the downturn and not re-opening. Industry experts believe that brick- making capacity between the UK and Ireland is now no more than 2bn bricks per annum. This figure would represent a reduction of 30% of pre-recession manufacturing capacity.

Much of the increase in brick demand experienced by Lagan in recent months has come from small independent, regional housebuilders across the UK.

Commenting on the situation, Mark Morris, commercial director for Lagan Products, said: “We are delighted with the levels of demand for our bricks, and while we are currently reaching full capacity with one tunnel kiln in production, there is the potential that we are going to announce the opening of the second tunnel kiln in the near future.

“It is the small independent housebuilder that is most in need of support and our product range and service package suits these customers well, especially with Lagan Products’ credentials as an independent building materials producer. There is a natural synergy and deep understanding of each other’s needs.”

The need for increased brick supply is being driven by the housing shortage and the government’s target of building one million new homes by 2020, the equivalent of 200,000 homes per year. This level of construction has not been achieved in a decade.

Commenting on the impact of the shortage, Jude Lagan, managing director of Lagan Products, added: “Smaller scale developers and independent businesses striving for growth in a challenging market are often the most affected by any shortfall in supply. Large multinational suppliers are challenged to sell high volumes of product and therefore service only national stockists. The majority of our customer base tends to reflect the Lagan Group business in that we are an independent and family-owned company. Our strategy is to support these small to medium sized customers to ensure supply continues to flow to meet the resurgent demand for our products.”

Source BMN

21/05/2017

PAYS RUFFÉCOIS: DYNAMIQUE 16 EXPLORE LE TISSU INDUSTRIEL DU NORD-CHARENTE


Le club des entreprises du Nord-Charente, Dynamique 16 invite régulièrement ses adhérents à des visites chez des collègues. Un rendez-vous était fixé dernièrement à la tuilerie Lambert au Mas de Saint Adjutory.

«On a choisi de visiter cette entreprise parce que c'est la dernière tuilerie artisanale de la région et parce que cette entreprise continue à progresser» explique Jean-Luc Tessier, président du club et assureur à Mansle. «La tuile, il assure connaitre !»

La visite s'est terminée avec Philippe Lascoux, désormais retraité. L'entreprise est maintenant gérée par sa fille Marie-Bernadette Baluteau, et son petit-fils Aurélien Baluteau.

Emmanuelle Laroche, chargée de la communication de la tuilerie Lambert et des relations clients Grand-Ouest, a présenté l'entreprise. «Depuis 1880, dit-elle, créée par Henri Lambert venu d'Auvergne. C'est toujours la même famille et nous en sommes à la sixième génération .»

Les carrières d'argile sont situées à un kilomètre et appartiennent à la famille. «Il y en a encore pour deux générations, c'est une argile excellente pour faire des tuiles. Elle se présente sous quatre couleurs selon la profondeur d'extraction,. On en extrait 10 000 tonnes par an au mois de juin. On la mélange puis elle passe 6 semaines en pourrissement afin de neutraliser la chaux. Elle fournit des tuiles rouges».

La propreté de l'atelier a épaté les chefs d'entreprise en visite. Un transbordeur automatique alimente le four à feu continu. L'argile a été d'abord malaxée puis formée grâce à une filière. Les tuiles sont parfois peintes, puis séchées et cuites - 38 heures de cuisson à presque 1.000°. Les visiteurs ne s'attendaient pas à découvrir à la sortie du four six robots qui saisissent les tuiles et les empilent avec une étonnante précision. Peu d'ouvriers, mais chacun gère son poste tant à l’approvisionnement qu'à la mise en palette des tuiles terminées. Il ne faut que quatre jours de l'entrée de l'argile à la sortie de la tuile finie.

Les clients peuvent être fournis plus vite grâce à l’automatisation qui garantit moins de perte. «Il n'a fallu que trois semaines pour installer cette ligne de six robots il y a deux ans» indique Emmanuelle Laroche pendant que la chaine débite sa série de tuiles.

Source La Charente Libre

20/05/2017

Wienerberger launches new long-format bricks

In response to the growing trend for architects and designers exploring a wider variety of brick sizes, Wienerberger, the UK’s leading provider of building material solutions, has announced the launch of seven new long format bricks to its Roman range.

The introduction of these seven new bricks is in direct response to the rising popularity of longer, thinner brick formats. Each of the new bricks are 400x100x40mm offering a very long, slender design option and they all have a desirable waterstruck texture that adds distinctiveness and character to builds.

Wienerberger’s Roman range now includes ten products with size options up to 510mm long available. The wide range of colours available open up ample aesthetic possibilities.

The Roman Range is ideal for design projects looking to make a statement. Whether it be for a whole facade or to help give a distinguished feature to specific areas of a building, the new bricks provide a versatile and striking brick solution that can benefit many types of architectural projects.

As well as the enhanced Roman range, Wienerberger offers its Megaline range which also provides longer, thinner formats but with a very different look to the Roman range. The Megaline range is manufactured using an extrusion process that gives the bricks a very precise shape. Available in 288x88x48mm format in five colours, the range offers architects and designers a clean, crisp, contemporary aesthetic design option for their projects.

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