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06/06/2013

Bardage simple peau

Le bardage terre cuite Argelite, de Wienerberger, vient d'obtenir l'Avis technique n° 2/12-1514 qui valide de larges zones d'emploi. En effet, une utilisation sur l'ensemble du territoire, y compris en zone sismique est désormais réalisable. Cet Avis technique permet une pose sur supports verticaux en maçonnerie enduite ou en béton, ainsi qu'une pose sur ossature bois (Mob limitée à R + 2 et à 9 mètres au maximum + point de pignon) ou métallique. Pour une esthétique variée, la pose à joints verticaux nuls est à présent possible. Ce produit est teinté dans la masse en seize coloris possibles.

Source Batijournal

Obtention d'une double certification ISO pour KELLER HCW

Qualité et innovation, ces deux mots sont fermement ancrés chez KELLER HCW et font maintenant partie intégrante de notre société. En nous accordant la certification, TÜV Nord (centre de contrôle technique agréé) a validé ces notions qui constituent en même temps deux qualités essentielles de KELLER HCW. L'entreprise ayant pour siège Ibbenbüren-Laggenbeck a obtenu le label mondialement connu non pas pour un mais pour deux systèmes de management, d'une part la certification ISO 9001 et d'autre part la certification ISO 14001.
L'introduction d'un système de management intégré composé d'un système de management environnemental et de management de la qualité a démarré l'année passée. À cet effet, l'ensemble des processus de chaque service a été documenté, les opérations inutiles ont été éliminées et de nombreuses améliorations, aussi bien grandes que petites, ont été introduites. Cette certification permet à KELLER HCW d'assurer sa compétitivité, d'offrir à ses clients une meilleure coopération grâce à un mode de travail structuré et orienté sur l'environnement ainsi que de garantir l'avenir de l'entreprise.
Le standard international ISO 9001 atteste que l'ensemble des opérations chez KELLER HCW (de la demande d'offre jusqu'au montage final sur site) font l'objet d'un contrôle permanent et ainsi d'une évolution et amélioration continues du fait de ce système de management de la qualité. Le deuxième sujet primordial est celui de l'environnement qui a été analysé et évalué dans un vaste système de management environnemental selon 14001. Notre développement est même allé au-delà des exigences fixées par les normes internationales sur de nombreux points. Lors d' «audits» et de «reviews» réguliers, les opérations ont été reconsidérées en permanence avec, comme objectif fixé, de les améliorer continuellement.
Le secteur MSR (technique de mesure, de commande et de réglage) a joué un rôle de précurseur depuis 1996 en convaincant ses clients avec un système de management de la qualité efficace. Lors de la recertification cette année, ceci a été confirmé une nouvelle fois, le TÜV n'ayant constaté aucune non-conformité. KELLER MSR se réjouit donc d'avoir obtenu dans le même temps la certification ISO 14001 relative au système de management environnemental.
«KELLER HCW suit une stratégie claire avec cette certification, celle de rendre les processus et opérations transparents pour ses employés. La première étape de ce chemin a été atteinte. Il s'agit à présent d'améliorer et d'optimiser les processus d'une part et, d'autre part, d'étendre les processus définis aux autres sites de la Division KELLER. La poursuite de ses objectifs vise en premier lieu la satisfaction des clients qui sera garantie par des critères élevés en matière de qualité et d'environnement», selon Dr. Jochen Nippel, Directeur Général de KELLER HCW GmbH. KELLER HCW et son label TÜV en sont désormais la preuve.

Source KELLER HCW

05/06/2013

Saint-Martin-des-Fontaines. Bouyer-Leroux : les experts de la brique

Mille tonnes de briques par jour. C’est la capacité de production de la briqueterie de Saint-Martin-des-Fontaines qui est, avec son second site de la Séguinière (49), le leader régional de la brique d’argile, un des trois leaders nationaux. Bouyer-Leroux couvre commercialement la moitié du territoire français.
Installée sur douze hectares, l’usine vendéenne fonctionne sept jours sur sept. Créée en 1870, dans une région généreuse en argile, elle s’est industrialisée en 1963 et n’a cessé, depuis, de s’adapter au marché. C’est, aujourd’hui, un mastodonte qui produit principalement des briques de murs, mais aussi des briques de cloison et des tuiles.
Source Ouest France

Logements neufs : le recul des mises en chantier freine timidement

Alors qu'elles s'effondrent littéralement depuis plusieurs mois, les mises en chantier semblent entamer une décélération. Selon les derniers chiffres publiés par le ministère du Développement durable, de février 2013 à avril 2013, la baisse est de seulement 1,1 % par rapport à la même période de 2012.
Si la construction de logements neufs affiche toujours des difficultés, il semblerait que les derniers chiffres du ministère du Développement durable montrent un léger ralentissement de la baisse. En effet, sur les trois derniers mois, de février à avril 2013, le nombre des mises en chantier s'établit à près de 85.000, soit une légère baisse de 1,1 % par rapport à la période de février à avril 2012. Pour rappel, au premier trimestre de cette année, leur nombre s'élevait à 83.929, soit une baisse de 11,2 % par rapport au premier trimestre 2012.
Dans le détail, le segment des logements collectifs enregistre une hausse de +6,1 % tandis que l'individuel et les logements en résidence fléchissent respectivement de 6,7% et 4,7%. Ce freinage est également ressenti au niveau des chiffres cumulés sur douze mois, puisqu'entre mai 2012 et avril 2013, le nombre de mises en chantier de logements neufs a baissé de 16,9%, à 297.438 unités, alors qu'entre avril 2012 et mars 2013, le recul était de 19,5%. "On est en train de toucher le fond", analyse Michel Mouillart, professeur d'économie à l'Université Paris X Nanterre, interrogé par l'AFP.
Ventes en recul et frilosité des primo-accédants
Concernant les autorisations, sur les trois derniers mois, de février à avril 2013, elles ont progressé de 3,8 % par rapport à la même période l'année dernière, à 121.700 logements. "La construction neuve, qui représente 87 % de l'offre de logements, progresse de 3,9 % par rapport aux mêmes trois mois un an plus tôt", précise le ministère dans un communiqué. Cette hausse incombe essentiellement aux maisons individuelles (+15,2 %). De leur côté, les logements collectifs sont en légère baisse (- 1,4 %) et les résidences affichent une forte diminution (- 34,7 %).
Enfin, les ventes de logements neufs peinent avec un recul de 2,6 % au premier trimestre par rapport au premier trimestre 2012. "Le niveau des stocks est au plus haut depuis la crise de 2008, atteignant 98.300 logements invendus, soit une progression de 18,1 % par rapport au premier trimestre 2012", indique le ministère dans un communiqué. Des résultats dus en partie à l'accession à la propriété fortement impactée par la crise et ce malgré des taux de crédit historiquement faibles. Sans oublier le nouveau mécanisme du prêt à taux zéro qui peine à fédérer.
Dans ce contexte, quid des perspectives 2013 ? D'après Michel Mouillart, les mises en chantier devraient connaître en 2013 "une nouvelle diminution, mais de moindre ampleur que l'an dernier". Il prévoit un peu moins de 320.000 mises en chantier pour 2013, soit une baisse d'environ 7,5%.

Source Batiactu

04/06/2013

La Saur envisage de supprimer 520 postes minimum d'ici 2015

La Saur, numéro trois français de l'eau, envisage de supprimer 520 postes minimum d'ici 2015, sur 12.000 au total, a annoncé jeudi l'intersyndicale (CFTC, CFDT, FO, CGT et CFE-CGC), qui a appelé les salariés à la grève le 5 juin.
Contactée par l'AFP, la direction du groupe, dont l'Etat est actionnaire à 38%, a pour sa part indiqué que bien que la Saur doive s'adapter aux nouvelles conditions de marché, aucun plan de suppression d'emplois n'est envisagé à ce stade.
L'adaptation nécessaire doit se faire au travers d'un recours réduit à l'intérim et au non remplacement de certains départs naturels (démissions et départs à la retraite), a précisé un porte-parole de la direction.
Frédéric Buonafortuna, délégué central FO, premier syndicat du groupe, a souligné que la semaine dernière l'entreprise a présenté aux élus du personnel le +business plan+ et la direction a bien été obligée de nous dire qu'elle envisageait la suppression de 520 postes minimum.
Il y a à peu près 250 départs par an, a-t-il ajouté.
Hime, holding qui détient 100% de la Saur, est plombé par une dette de deux milliards d'euros.
La Saur, numéro trois de l'eau en France (derrière Veolia et Suez Environnement), compte près de 12.000 salariés en France.
La direction a rappelé qu'il était nécessaire de distinguer Hime, la maison-mère qui porte la dette, de l'entreprise Saur qui est quant à elle une entreprise profitable et peu endettée.
Dans ces conditions, aucune procédure collective n'est envisagée pour la Saur : ni redressement judiciaire, ni liquidation judiciaire, a-t-elle insisté.
Les syndicats dénoncent également dans un communiqué la disparition de la participation aux bénéfices des salariés.
Cette participation représente en moyenne un mois de salaire et cette année, cela a été divisé par deux, l'année prochaine, nous n'aurons plus rien. C'est une perte énorme de pouvoir d'achat, a expliqué M. Buonafortuna.
L'intersyndicale demande aux pouvoirs publics de se positionner sur le devenir et les emplois de la Saur et de nommer un médiateur afin qu'une solution soit trouvée.
Un préavis de grève a été déposé pour le 5 juin.

Source Romandie News

Des murs construits en terre comme autrefois

Julien Nicoletto sur son chantier, face au premier mur en terre du bâtiment.

Son grand-père maternel, Alfred Bellandi, était maçon comme son père Jacques. Enfant d’Espiens né à Nérac, Julien Nicoletto décide de perpétuer la tradition familiale. Titulaire d’un CAP, d’un BEP et d’un baccalauréat professionnel Gestion et encadrement de chantier, il choisit de parfaire sa formation au sein d’une société effectuant de la restauration de bâtiments anciens avant de devenir chef d’équipe chez un entrepreneur pavillonnaire. Au terme de quinze années de pratique sur le terrain, encouragé par son épouse Fanny, il crée il y a sept ans sa propre entreprise, la SARL Julien Nicoletto, spécialisée dans la maçonnerie générale, la restauration et la taille de pierres.
Son activité concerne à 80 % des travaux de gros œuvre dans la rénovation de l’ancien. Les 20 % restant sont consacrés à la construction neuve. S’inscrivant dans une démarche de développement durable, il utilise en neuf de la brique isolante Monomur. L’épaisseur et les alvéoles d’air de cette terre cuite permettent une bonne isolation. « En travaillant dans la restauration, j’ai toujours été sensibilisé aux matériaux sains qui étaient utilisés pour réalirelaser les bâtiments d’autrefois », explique l’artisan. Coût très compétitif
Il s’est, pour la première fois, lancé dans la construction en terre des murs d’un bâtiment qui servira de bureaux bioclimatiques sur la zone d’activités du Caudan, à Calignac. « Cette construction repose sur le principe de murs en pisé, avec de la terre extraite suffisamment en profondeur pour qu’elle ne soit pas fertile. L’avantage, comme ici, est de pouvoir disposer de la terre sur place. Ce type de construction, très peu coûteux en matière première, reste très compétitif par rapport à une construction moderne », précise Julien Nicoletto. Érigé sur un soubassement en pierres avec un béton de chaux sur un isolant en liège, ce bâtiment de 120m2 est recouvert d’une toiture végétalisée. Il est équipé de menuiseries doubles posées sur des réservations en bois et de baies vitrées plein sud. Les murs intérieurs et extérieurs sont enduits à la chaux et le chanvre est utilisé pour l’isolation. « Plus de 40 % de la population mondiale vit dans des habitations en terre. L’emploi de ce matériau n’est pas archaïque. Tout au contraire ! Il a deux mille ans d’histoire », commente le maçon sur ce premier chantier du genre qui marque « l’orientation qu’il veut donner à son entreprise », qui représente à ce jour cinq emplois.
SARL Julien Nicoletto, maçonnerie générale, restauration et taille de pierres, à Espiens.
Source Sud Ouest

Monier à la conquête de la rénovation des toits

Leader de la toiture, Monier axe sa stratégie sur le marché de la rénovation avec de nouvelles gammes terre cuite et béton adaptées à chaque budget. Et un partenariat renforcé avec les couvreurs.
Le leader de la toiture en France (8 usines et un CA de 181 millions d’€ en 2011) ne cache pas la réalité : avec un chiffre d’affaire (non communiqué) en baisse en 2012 et un premier trimestre 2013 difficile, une stratégie de conquête de nouveaux marchés s’impose, après une restructuration de l’organisation.
« Monier a étudié un projet de plan social avec une restructuration de son organisation » explique son président Benoit Hennaut. Un site spécialisé dans la fabrication d’accessoires de toitures sera en effet fermé à Orléans et son activité sera répartie sur 3 autres sites du fabricant.
Avec un recul des ventes des maisons individuelles très marqué en 2012 et sans doute en 2013, Monier ne peut qu’adapter son outil de production sur ce segment de marché en baisse. Et mettre le cap sur une stratégie ciblant le marché de la rénovation.
Solutions globales pour la toiture
« Quelque 16 millions de maisons individuelles sont à rénover dans les 30 ans à venir, et le gouvernement évoque un objectif de 500 000 logements à rénover par an » poursuit le président.
Dès 2011, l’industriel a développé une offre de rénovation énergétique avec un système d’isolation thermique par l’extérieur de toiture (sarking) baptisé Climat Comfort.
Il enrichit sa gamme avec son écran de sous-toiture respirant et réfléchissant intégré pour un confort d’été augmenté (83 % de la chaleur réfléchie, pour un gain de 4°C sous les toits).
Outre l’enrichissement de sa gamme accessoires, avec un closoir souple ventilé, breveté et assurant une ventilation optimale, le fabricant parie sur son offre de tuiles béton, baptisées tuiles minérales en 2011.
Stratégie de conquête de la rénovation
Parent réputé pauvre de la toiture, en raison d’une mauvaise tenue des couleurs dans le temps, la tuile minérale veut reprendre des parts de marché. Le fabricant a donc modifié ses lignes de fabrication dans les usines de Verberie (Oise) et Aiguillon (Lot et Garonne) afin de proposer des produits esthétiques et durables.
Il propose aujourd’hui une solution dite minérale esthétique destinée aux rénovations de caractère dans les régions Ile de France et Normandie avec la tuile Médiévale. Il s’agit d’une tuile plate d’aspect rustique (16,5 x 27) à pureau variable, revêtue d’un revêtement sablé.
Teintée dans la masse, la tuile Médiévale ressemble à s’y méprendre à une tuile terre cuite. Autre atout : son rapport qualité prix, son coût étant inférieur « de 10 % minimum » selon Monier, à la terre cuite.
Autre illustration de la stratégie de conquête de rénovation : la nouvelle offre concernant les tuiles terre cuite du sud (canal et grand moule fort galbe). Elles se parent de nouvelles couleurs rappelant les coloris des tuiles de récupération...
Cap sur les couvreurs
Monier n’ira pas à Batimat cette année, comme d’autres fabricants de briques et tuiles terre cuite. « Cette année, nous avons mis en place des partenariats avec la Capeb pour aider à développer les éco-artisans (engagés dans une démarche de performance énergétique) » explique Benoit Hennaut.
Le groupe souhaite fidéliser les artisans et les aider à mieux expliquer les atouts des nouveaux produits destinés à la rénovation énergétique. Il a d’ailleurs signé deux accords avec EDF et Total pour apporter des aides au financement des rénovations via les Certificats d’économies d’énergie.
Enfin, le groupe souhaite mettre en place un réseau de couvreurs solidaires, qui seront chargés d’accompagner les particuliers en situation de précarité énergétique, tout au long de leurs travaux.
Une expérience mise en place par Chappée, fabricant de chaudières, qui a lancé un réseau d’installateurs solidaires. Le nouveau directeur commercial et marketing chez Monier, Jacques Llados, reproduit cette initiative qu’il avait conduite pour le spécialiste des chaudières avant de rejoindre le fabricant de toitures.
Source : batirama.com par Fabienne Leroy

03/06/2013

Toulouse: Nos toits de tuile sont-ils vraiment menacés ?

Les pros du toit s'inquiètent de l'uniformisation des villes et de la multiplication des toits terrasses qui menacent, selon eux, le toit traditionnel en pente et la «pincée de tuiles» toulousaine.
«Aujourd'hui tes buildings grimpent haut/à Blagnac tes avions ronflent gros/si l'un me ramène sur cette ville/pourrai-je encore y revoir ma pincée de tuiles ?». L'interrogation lancée par Nougaro dans son fameux hymne à Toulouse ne date pas d'hier.
Les professionnels du toit traditionnel en pente, menuisiers, charpentiers, couvreurs et zingueurs, poussent cependant un cri d'alarme, aujourd'hui : Toulouse, ta pincée de tuiles fout le camp ! Le toit en pente n'aurait plus la cote, la Ville rose serait menacée de perdre sa couleur, selon le syndicat d'une «filière (bois et terre cuite) qui représente 11 000 emplois qualifiés en Haute-Garonne et forme 300 apprentis chaque année, dont 76 % trouvent un emploi dans les six mois à Toulouse».
«La tuile, c'est l'ADN de Toulouse», lance Michel Clemente, président du syndicat des menuisiers, charpentiers, couvreurs et zingueurs de Haute-Garonne, «il ne faudrait pas qu'on ne distingue plus Toulouse de Bordeaux, Lyon ou Le Havre», ajoute son compère charpentier Daniel Fresquet.
Les pros du toit de tuiles en pente se plaignent d'un effet de mode : «D'autres solutions (toits terrasses-NDLR) sont proposées par des architectes extérieurs à la région, dont les projets sont retenus par les décideurs surtout au nom de leur signature, à Borderouge (Toulouse) ou Andromède (Blagnac) par exemple. Que pensent les riverains de ces immeubles au style impersonnel ? Les habitants nous confient pourtant apprécier au contraire les toits de tuiles à la toulousaine, même sur des bâtiments collectifs», assurent les pros du toit, qui revendiquent la défense d'une identité régionale mais aussi la créativité (avec des tuiles de toutes les couleurs, et même noires), et le développement durable.
«Les toits de tuile sont moins chers d'un tiers à la construction, de moitié à l'entretien sur 30 ans, et deux à trois fois moins sujets à sinistres (infiltrations, etc.)», argumentent-ils, «nos tuiles sont fabriquées dans des entreprises locales et les bois proviennent de la filière régionale». Des arguments que les pros du toit entendent bien mettre en avant, auprès des décideurs notamment, pour que Toulouse garde sa pincée de tuiles.
Source La Dépêche du Midi par Philippe Emery

Salaires minima dans les industries de tuiles et briques


Les salaires minima des salariés relevant de la convention collective de l'industrie des tuiles et briques (IDCC 1170) ont été modifiés.
1 - L'avenant n°7 du 26 juin 2012 relatif aux salaires et aux primes pour l'année 2012 des ouvriers, employés, techniciens et agents de maîtrise applicable dans les entreprises de la convention collective de l'industrie des tuiles et briques, a été étendu par arrêté du 23 avril 2013 (publié au JORF du 7 mai 2013).
Depuis le 1er janvier 2012 - pour les entreprises adhérant à la Fédération française des tuiles et des briques (signataire de l'accord) - et à compter de la publication de l'arrêté pour les autres, le barème des rémunérations minimales annuelles garanties est modifié.
Les rémunérations minimales ont été augmentées de :
- 4,5% pour le groupe 1
- 4% pour le groupe 2
- 3,5% pour le groupe 3
- 2,6% pour le groupe 4 
- 2,4% pour le groupe 5.
Pour éviter un chevauchement entre le niveau D du groupe 3 et le niveau A du groupe 4, le minima de ce dernier a été fixé à 25.380 euros.
Cette rémunération minimale annuelle est garantie sur la base d'un travail à temps complet.
 
Groupe
Niveau A
Niveau B
Niveau C
Niveau D
1
17 814
18 284
18 644
19 226
2
19 249
20 003
20 817
21 859
3
21 867
22 677
23 889
25 332
4
25 380
26 140
27 689
29 784
5
29 840
31 032
33 523
36 538
2 - L'avenant n° 49 du 26 juin 2012 relatif aux salaires minima au 1er janvier 2012 des cadres applicables dans les entreprises de la convention collective de l'industrie des tuiles et briques a été étendu par arrêté du 23 avril 2013 (publié au JORF du 7 mai 2013).
Depuis le 1er janvier 2012 – pour les entreprises adhérant à la Fédération française des tuiles et des briques (signataire de l'accord) – et à compter de la publication de l'arrêté pour les autres, le barème des salaires minimas des cadres est modifié.
La valeur du point est fixée à 5,94 euros et les salaires minima sont fixés comme suit.
Catégorie
Salaire mensuel minimum
I
300
1 784,83
322
1 915,71
344
2 046,60
II
366
2 177,49
388
2 308,38
410
2 439,27
432
2 570,15
454
2 701,04
476
2 831,93
498
2 962,82
III
520
3 093,70
542
3 224,59
564
3 355,48
586
3 486,37
608
3 617,25
630
3 748,14
652
3 879,03
Source Juritravail

02/06/2013

La capacité d'innovation de CERIC Technologies reconnue par OSEO EXCELLENCE 2013!

CERIC entre dans le monde exclusif d'OSEO Excellence, cercle select réservé à 2 000 PME Françaises connues et reconnues pour leur capacité en termes d'innovation !
C'est clairement un signe fort, un encouragement des pouvoirs publics et une reconnaissance du savoir-faire de CERIC Technologies , des compétences et des capacités en termes d'innovation dans différents domaines tels que la Thermique, la Mécanique (avec le succès de la Demeter !), l'Informatique Industrielle (Diapason), sans oublier la Céramique, pilier et coeur de notre entreprise.

Source Facebook

Autriche: La tuilerie Tondach de Pinkafeld reprend la production après un arrêt économique


La société Tondach Gleinstätten AG a relancé la production de sa tuilerie de Pinkafeld à pleine capacité. Suite à la baisse du marché et pour permettre des travaux de maintenance, la production de tuiles terre cuite avait été arrêtée depuis quelques mois.

La production s’effectue en 2 postes par jour, 7 jours par semaine. Depuis l’hivers dernier le four de 150 M de long était à l’arrêt pour la première fois en 14 ans, a annoncé la porte parole de l’entreprise der Tondach Gleinstätten AG, Sabine Linner. La situation des ventes de l’entreprise est stable et l’on prévoit même une amélioration dans les mois à venir.

La tuilerie de Pinkafeld qui comprend 56 employés est l’une des 26 usines de Tondach Gleinstätten AG, qui emploie au  niveau européen 2000 salariés.

L’argile utilisée à Pinkafeld vient de la région du Südburgenland, ce qui correspond  à la composition optimale pour la fabrication de tuiles, déclare le directeur du site Mr Wolfgang Hiermayer. Pour cela il faut un bon mélange de matières premières et un bon contrôle de température. Les tuiles de Tondach sont faites pour durer au moins 100 ans.

L’usine de Pinkafeld a une capacité de production de 13 millions de tuiles par an  ce qui correspond à environ  5 500 maisons individuelles. Les tuiles sont principalement vendues en Autriche. Une partie de la production est cependant exportée en Hongrie, Croatie et en Slovaquie. 

Source Burgenland

01/06/2013

WIENERBERGER: INSTALLATION POUR BARDAGE DE FACADE

La présente invention a pour objet un dispositif de fixation (1), pour bardage, comprenant au moins un rail présentant une portion d'appui (4), ainsi qu'une âme (5) perpendiculaire et délimitant une partie supérieure (6) et une partie inférieure (6') du au moins un rail. Ce dispositif de fixation (1) est caractérisé en ce que le au moins un rail présente, dans sa partie supérieure (6), une aile supérieure (7), et, dans sa partie inférieure (6'), une aile inférieure (7'), disposées en vis-à-vis de la paroi d'appui (4) et s'étendant à partir l'âme (5), pour accueillir, d'une part, dans la partie supérieure (6), une partie d'un panneau, et, d'autre part, dans la partie inférieure (6'), une autre partie d'un panneau, l'aile inférieure (7') étant plus longue que l'aile supérieure (7). L'invention a aussi pour objet un revêtement de façade, comprenant au moins un panneau et un tel dispositif de fixation, ainsi qu'un bardage et son procédé de réalisation.
Date de pub : 2013-05-03
Inventeur(s) : MARMILLOD THARCICE +
Demandeur(s) : WIENERBERGER [] +
Classification : internationale: E04F13/08; E04F13/21
N° de demande : FR20110059923 20111102
Source Espacenet

31/05/2013

MONIER : un Avis technique pour le Wakaflex

Un Avis technique pour le Wakaflex 70 % des dégâts constatés sur une toiture proviennent des points singuliers (source Sycodes), et plus particulièrement de l’étanchéité. Pour y répondre, Monier propose une solution d’étanchéité pour le traitement des points singuliers de murs, cheminées, fenêtres de toit, panneaux solaires : le Wakaflex®, qui vient d’obtenir l’Avis technique du CSTB n°5/12-2272. Matériau innovant, il est composé d’une bande souple synthétique en polylsobutylène, armée d’une résille en aluminium, véritable bande d’étanchéité lui conférant une très grande résistance.
Sa mise en œuvre sans outillage spécifique, sans soudure et à froid offre un réel confort de pose. Facile à maroufler, il s’adapte et épouse parfaitement les galbes de toutes les tuiles et ardoises. Produit multicouche, il ne se fissure pas et ne se déchire pas, tout en proposant des facultés d’étirement de 50 % en longitudinal et de 15 % en transversal. Résiste à des températures de -40 à +100°C. Disponible en quatre coloris. Garanti 10 ans.

Source Zepros

Italie: Sacmi dispose de 45 millions d’euros de fonds de recherche et développement apportés par l’organisme d’assurance crédit Italien SACE et la banque européenne de développement (BEI)


SACE a garanti un prêt de 45 millions d'euros accordé par la Banque européenne d'investissement (BEI) pour soutenir la recherche et le développement de Sacmi, le leader mondial Italien  dans la production de machines et équipements pour la céramique, l'emballage, le moulage par injection du plastique et de la nourriture et des boissons. Cette information est issue d’un communiqué de presse de SACE. La ligne de crédit, qui fait partie du programme de R & D pour la période 2012-2016 que Sacmi a affecté à un investissement d’un montant total de  140 M €, permettra de financer des projets visant à améliorer l'efficacité et la compétitivité, la réduction de l'impact environnemental des produits et équipements pour renforcer les machines du secteur de l'industrie des boissons. Tous les projets seront mis en œuvre au sein du Centre R & D de Sacmi Imola.  Ce centre est divisé dans les différents domaines de recherche correspondant aux activité de SACMI (céramiques, emballage, boissons, automatisation). Ce Centre est actuellement l'un des plus importants dans ce domaine en Italie. Ses programmes de recherche et développement emploient environ  580 salariés du groupe SACMI et bénéficient de la a collaboration de plusieurs universités et centres de recherche.

Source Ilvelino.it

30/05/2013

Angola : Cerâmica da Canâmbua met en route son usine de briques


La briqueterie du groupe Freimar dans le quartier de  Canambua, dans la ville de Malanje, a déjà fabriqué  220 ​​000 briques et accessoires pour les ventes sur le marché local à destination des entreprises de construction et des particuliers.

Le directeur de la briqueterie , Rui Carvalho, a déclaré que les briques sont commercialisées entre 75 et 85 kwanza ( 0.6 à 0.7 Euros) indépendamment de leurs dimensions.

Le responsable a fait savoir que la ligne de production a une capacité de 30 000 briques par jour. Pour le moment en phase de démarrage la capacité est de 20 000 briques par jour.

Rui Carvalho pense que cette briqueterie permettra rapidement aux entreprises de construction d’acheter leur matériaux localement sans être obligés de faire venir les briques dont ils ont besoin d’autres provinces.


De même le directeur affirme que la briqueterie sera en mesure à brève échéance de produire des tuiles ce qui sera un vrai atout pour le secteur du bâtiment dans la province Angolaise de Malanje, étant donné que le pays est en pleine reconstruction.

Damiatte. Imerys cuit la terre au gaz naturel liquéfié

C'est la toute première fois en France que le GNL est utilisé par un industriel en tant que combustible, et c'est à l'usine Imerys de Damiatte. Si d'autres sites du groupe utilisent du gaz naturel, le site damiattois est le premier à l'employer sans être raccordé au réseau de gaz sous sa forme liquéfiée, alimenté par des camions en provenance directe de Barcelone, aucun terminal pétrolier français ne permettant pour l'heure de répondre techniquement à ce besoin.

En optant pour cette source d'énergie, un des postes les plus important du site, le spécialiste de la production de toitures en terre cuite réalise des économies à grande échelle tout en limitant son impact sur l'environnement. «Nous cherchions des postes d'économie et l'énergie était un de nos plus gros postes de dépense. Ce nouveau mode de combustion nous permet de réaliser des économies de l'ordre de 15 %. Cela dépend aussi du marché, moins volatile pour le GNL que le propane que nous utilisions avant» explique Carryl Cambier, directeur du site Imerys Terre Cuite à Damiatte.
Sur le site ce changement n'a entrainé que des changements mineurs car afin d'accompagner au mieux les entreprises dans leur changement de mode de combustible, Gas natural Fenosa propose un suivi et un accompagnement tant au niveau juridique que réglementaire et opérationnel. GNF prend en effet à sa charge l'investissement matériel, la maintenance, l'approvisionnement et accompagne le site industriel tout le long du projet.
L'investissement pour le site industriel concerné reste donc minime et se trouve compensé par la diminution du coût de la matière première. Il doit simplement prendre en charge le coût du génie civil et les coûts liés au changement de process. «La société Daniel Meilland d'Aussillon s'occupe de nos réseau depuis longtemps et nous a bien aidé. Ils ont réalisé un audit de toute l'installation et nous n'avons pas eu à refaire la tuyauterie pour ce changement de source d'énergie» se félicite Carryl Cambier qui confie que les responsables d'autres site viennent déjà visiter l'usine damiattoise en vue de changer eux aussi leur source d'énergie.
Source La Dépêche du Midi par J-C Cler

29/05/2013

Un nouveau président pour le Centre Technique de Matériaux Naturels de Construction

Francis Lagier est le nouveau Président du Centre Technique de Matériaux Naturels de Construction (CTMNC). Il remplace Sylvain Laval, Directeur Général des Carrières du Bassin Parisien, qui devient Vice Président du CTMNC.
A 45 ans, Francis Lagier a été élu Président du Centre Technique de Matériaux Naturels de Construction (CTMNC).
Diplômé de l’Ecole des Mines de Nancy, il commence sa carrière au sein du groupe Lafarge où il reste pendant 15 ans. Il a occupé successivement les postes d'ingénieur automaticien en système expert de conduite de four, responsable de production en cimenterie, directeur du développement du Ductal®, directeur régional des ventes dans les régions Rhône-Alpes puis Nord-Ouest. Par la suite, il prendra le titre de directeur national des ventes Routes et Travaux Publics.
En 2008, Francis Lagier rejoint Wienerberger SAS au poste de directeur général adjoint. Il a notamment participé à la fusion-absorption de Koramic SAS (tuiles) par Wienerberger SAS (briques) réalisée au 1er janvier 2009. Dès mai 2009, il prend la direction générale de l’entreprise. A noter également que depuis juin 2011, il est également Président de la FFTB (Fédération Française des Tuiles et Briques).

Source Batiactu

PROCEDE AUTOMATISE D'INSERTION DE CORPS D'ISOLATION DANS LES ALVEOLES DE BLOCS DE CONSTRUCTION, ET LIGNE D'INSERTION AUTOMATIQUE POUR SA MISE EN OEUVRE

Dans la ligne automatique d'insertion, les corps d'isolation (2) sont transportés couchés les uns après les autres sur un convoyeur (13) jusqu'à la ligne d'insertion (3), alors que les blocs à alvéoles sont déplacés par translation sur un support (14). La ligne d'insertion comporte un entonnoir (22) disposé à la fin du convoyeur (13). Les corps d'isolation (2) sont redressé par gravité en tombant dans l'entonnoir qui communique avec un couloir d'alimentation (21) dans lequel les corps d'isolation (2) sont poussés par un dispositif de poussée pour être déplacés dans le couloir d'alimentation (21) vers une position d'attente débouchant à portée d'une pince (16) d'un robot (18; 18') disposé sur un portique (20) enjambant le support (14).

Date de pub : 2013-05-10
Inventeur(s) : COUDAMY GERARD; JAUBERT YANN +
Demandeur(s) : FIMEC TECHNOLOGIES [] +
Classification  internationale: B65G47/252; B65G47/44; E04C1/40
N° de demande : FR20110059982 20111104

N°(s) de priorité : FR20110059982 20111104

Source Espacenet

28/05/2013

Alliances d’ALEONARD : une palette infinie d’idées pour un toit unique

Aléonard propose une gamme chromatique qui sublime votre goût pour l’authenticité et la rareté. La gamme ALLIANCES vous offre la possibilité de créer votre propre composition en variant les modèles, qu’ils soient en coupe droite ou écaille, et les couleurs, pour un toit unique.
Alliances, par Aléonard, est un concept audacieux né d’une idée simple : offrir à chacun un toit au caractère unique. Avec Aléonard, c’est vous qui choisissez l’aspect de votre toiture, pour un résultat qui sera parfaitement adapté à vos goûts, vos envies, votre demeure, votre région. Inspirez-vous librement, Aléonard a élaboré pour vous huit suggestions mariant les modèles de tuiles en coupe droite ou écaille aux couleurs harmonieuses. Les tuiles entrant dans la composition d’Alliances sont déjà connues des passionnés de patrimoine : issues d’argiles bourguignonnes aux propriétés exceptionnelles, elles trouvent naturellement leurs teintes et nuances pendant la cuisson. Avec un savoir-faire maîtrisé depuis plus de 130 ans, Aléonard, tuilier légendaire, fait de chaque tuile un objet unique. Aujourd’hui, grâce à Alliances, c’est votre toit qui est unique. Laissez vos sens vous transporter au gré des tonalités subtiles de ces 8 poèmes chromatiques : Accents graminés, Accords boisés, Ardente palette, Air de mars, Absolu voyage, Ampleur dévoilée, Amour naissant, Astre lointain…
Suggestion n°4 en coupe droite : 40 % Rouge de Mars, formats : 15/26 – 16/27 + 20 % Vert de Lichen, format : 16/27 + 20 % Rouge Flammé, format : 16/27 + 20 % Ocré Lichen, format : 16/27 Suggestion n°4 en coupe droite : 40 % Rouge de Mars, formats : 15/26 – 16/27 + 20 % Vert de Lichen, format : 16/27 + 20 % Rouge Flammé, format : 16/27 + 20 % Ocré Lichen, format : 16/27

Suggestion n°3 en coupe écaille : 30 % Vert de Lichen, formats : 15/26 – 16/27 + 10 % Ocré Lichen, format : 16/27 + 30 % Rouge Flammé, format : 16/27 + 30 % Rouge Naturel, format : 16/27

Source Batiactu

Monier : vers une fermeture de la tuilerie de Saint Jean de Blanc

Pour Benoît Hennaut, président de Monier France, l'efficacité énergétique est la clé de la conquête du marché de la rénovation.
Confronté à la crise de la construction neuve, l’industriel spécialise une partie de sa force de vente sur le segment de la rénovation. Et développe de nouvelles solutions sur les toitures isolées.
Le marché de la toiture va mal : à l'instar de la plupart des industriels du secteur, Monier a renoncé cette année à participer à la prochaine édition du salon Batimat. Le fabricant (ex-Lafarge Toiture) ne veut pas donner le détail de l'évolution récente de son chiffre d'affaires (181 M€ en 2011) mais indique que "2012 et 2013 marquent une chute en volume" : "Nous subissons de plein fouet la baisse des ventes de logements neufs depuis la fin 2011 - et ce, même si nous estimons que nos résultats ont été en ligne, voire légèrement supérieurs avec la moyenne du marché", précise Benoît Hennaut, président de Monier France.

Convaincre les bailleurs sociaux et les particuliers
Pour l'industriel, le seul rayon de soleil vient de la forte croissance de son offre de toiture isolée Clima Confort. "Depuis la rentrée 2012, nous doublons de mois en mois nos ventes : certes il s'agit d'un nouveau segment de marché, mais nous y voyons aussi le fruit de notre travail d'information et de formation des couvreurs, ainsi que de l'approche de partenariat menée avec la Capeb et avec la distribution pour structurer l'offre", se félicite Benoît Hennaut. Plus qu'un relai conjoncturel de croissance, l'efficacité énergétique en rénovation constitue pour Monier un axe stratégique structurel, dans la droite ligne de son positionnement d'ensemblier de la toiture. "Si la construction neuve reste aujourd'hui notre coeur de métier, avec la recherche de solutions toujours plus économiques pour nos clients CMIstes, nous développons deux autres piliers dans notre offre : la réhabilitation auprès des bailleurs sociaux et des donneurs d'ordres, et la rénovation auprès des particuliers", indique Jacques Llados, le nouveau directeur commercial et marketing de la société. Monier vient ainsi de réorganiser sa force de vente dont une partie sera désormais dédiée à la rénovation, sur le modèle de ce que la société avait déjà mis en place sur le neuf. La stratégie de communication s'est quant à elle élargie au grand public, avec le lancement d'un site internet consacré à la rénovation énergétique de la toiture.
Une nouvelle offre sur le confort d'été
La conquête du marché de la rénovation passe aussi par l'innovation. L'offre de toiture isolée s'enrichit en ce printemps 2013 d'une déclinaison confort d'été (Clima Comfort Sun) comprenant un écran de sous-toiture respirant et réfléchissant, avec une promesse de gain de 4°C sous les toits. Côté esthétique, Monier présente aussi une nouvelle tuile plate béton à pureau irrégulier (Minéral Médiévale) pour attaquer des marchés haut de gamme à des conditions économiques très concurrentielles (de -10 à -50% moins chère qu'une solution terre cuite).  

Vers une fermeture de l'usine de Saint-Jean-Le-Blanc
La direction de Monier France a confirmé le 23 mai son projet de fermeture de son usine de Saint-Jean-Le-Blanc (45). Dédié aux tuiles béton, le site emploie actuellement 47 personnes, à qui vont être proposés des reclassements dans les sept autres usines du groupe. D'autres sites vont voir leurs cadences de production diminuées pour s'adapter à la baisse des ventes, a indiqué la direction de Monier France.
Source Le Moniteur par Paul Falzon

27/05/2013

Monier se réorganise et ferme une unité à Orléans

Le spécialiste des tuiles minérales et terre cuite, Monier, qui fait face à la baisse du marché de la construction neuve, a entrepris une réorganisation de son outil industriel et de sa force de vente.  
La société va fermer son site d'Orléans qui produit des accessoires pour ses tuiles minérales et mettre en place des responsables ventes "Rénovation" pour se renforcer sur ce marché.

Explications avec Benoît Hennaut, le président de Monier France.
"Stratégiquement, Monier jouit d'un nouveau positionnement depuis trois ans", explique Benoît Hennaut, président de Monier France. "Nous sommes les seuls à disposer de la double compétence tuiles en terre cuite et tuiles minérales, et nous disposons de notre propre gamme de produits techniques pour les toitures pour proposer des 'systèmes de toiture', solutions globales d'étanchéité et d'isolation". Pour autant, la société n'a pas été épargnée par la conjoncture difficile qui règne aujourd'hui : "Le marché du neuf est en pleine récession : -27 % sur le premier trimestre de l'année", renchérit Jacques Llados, le nouveau directeur commercial & marketing de l'entreprise. Monier a donc engagé un plan social pour fermer le site de production de Saint-Jean-le-Blanc, près d'Orléans (Loiret), une unité qui emploie une cinquantaine de personnes à la production d'accessoires pour les tuiles minérales (béton). "Le dialogue social est de bonne qualité", tient à préciser Benoît Hennaut, les personnels devant être reclassés dans les sept autres sites de production que compte la société. "Quant à la production, elle sera réallouée à trois autres unités, dans le Nord, l'Est et le Sud, au plus près des marchés", indique le président.
Une éclaircie en… 2015 ?
"Nous allons mettre l'accent sur la rénovation, car l'objectif gouvernemental est de 16 millions de rénovations dans les 30 ans, à raison de 500.000 opérations par an ! Et nous disposons d'une offre solide en termes d'efficacité énergétique", poursuit-il. Pour ces réhabilitations, Monier va donc mettre en place des responsables des ventes "Rénovation" qui auront pour tâche de se concentrer sur les bailleurs sociaux mais également de répondre aux attentes des particuliers. "La conjoncture est défavorable", explique Jacques Llados, "l'année 2011 était correcte, meilleure en tout cas que 2009 et 2010. Mais avec la fin du Scellier et du PTZ, nous avons enregistré une chute en 2012 qui se poursuit en 2013. Et le Duflot qui favorise uniquement l'habitat social a moins d'impact pour nous. La situation devrait donc perdurer en 2014… Nous n'entrevoyons pas de changements à court terme mais peut-être une éclaircie en 2015". Et même la rénovation a connu un recul en 2012, lié au mauvais temps du mois de février qui a entraîné la perte de tout un mois d'activité. Afin de faire des économies, la société ne sera donc pas présente à Batimat. "Mais nous mènerons d'autres actions en région, plus proches de nos clients", assure le directeur commercial & marketing. Grâce aux accords passés avec Total et EDF pour des Certificats d'économies d'énergie (CEE), Monier espère même apporter de nouvelles solutions de financement.
Monier en quelques chiffres clefs :
Chiffre d'affaires 2012 : 1,315 Mrd €
Ventes par produit : tuiles minérales (37 % du CA), tuiles terre cuite (21 %), composants de système de toiture (21 %), cheminées et systèmes haute performance énergétique (16 %), autres (5 %)
Sites de production : 122 dans 33 pays, dont 8 en France
Effectifs : 8.600 personnes

Source Batiactu

Système d'ITE pour la toiture certifié Acermi par Koramic/ Wienerberger

Sarking Eco, Confort et Max pour le climat de plaine constitue la nouvelle solution pour l'isolation de la toiture par l'extérieur proposée par Koramic, marque du groupe Wienerberger. Ce panneau en mousse de polyuréthane avec écran HPV intégré est disponible dans les épaisseurs de 50 à 180 mm. L'épaisseur minimale de polyuréthane affiche une résistance thermique maximale (ex. : pour une ép. de 180 mm de Sarking Max, R = 8,15 contre 4,5/5,0 pour les laines minérales courantes). Résistant aux températures extrêmes (-30 °C à + 90 °C) et classé E pour sa réaction au feu, ce nouveau système est certifié Acermi. Respirant et hydrophobe, il protège la charpente et la garde saine.

Source Batijournal

26/05/2013

L’espace Services Clients de CERIC Technologies

Une offre de services adaptée à chaque phase du cycle de vie des installations pour des solutions 100% satisfaction
Satisfaire les demandes des clients de Ceric Technologies , tenir les engagements, offrir des services de qualité, anticiper les besoins, analyser, diagnostiquer et conseiller, c’est dans ce cadre que s’inscrit cette offre de services, confirmant ainsi la volonté de CERIC Technologies de partenariat avec ses clients au travers d’un suivi de proximité.
Pour cela, CERIC Technologies a mis en place une organisation afin d’offrir à ses clients une assistance pour les guider dans l’utilisation de leurs équipements et pour leur permettre d’optimiser la production de leurs usines.
Cette organisation tourne autour de 3 axes prioritaires :
Assistance technique & field service : Gestion des contrats et des garanties (garanties, extension de garantie, maintenance, garantie des délais d’intervention), gestion du planning des interventions du pôle techniciens (fours spéciaux, robotique, informatique industrielle, …),…
Modification - optimisation d’installations existantes : Etude, analyse, diagnostic et conseil – Gestion des projets (Préparation terre, séchoir, four, automation, supervision informatique), amélioration de la qualité et de la sécurité, réduction des coûts de production…
Les pièces détachées (pièces de rechange, pièces d’usure et consommables) : En étoffant l’offre par zone géographique, en mettant en place des stocks mutualisés de pièces détachées, en proposant des échanges standards, des réparations et un catalogue de pièces de rechange (pièces d’origine, pièces constructeur), CERIC Technologies souhaite développer cette activité essentielle à la bonne marche des usines de ses clients.

Source Ceric Technologies

25/05/2013

Mise en place par KELLER HCW de sa douzième installation de remplissage des briques pour l'entreprise Röben Tonbaustoffe à Reetz

La société Röben Tonbaustoffe GmbH a signé une innovation pour le futur en coopération avec KELLER HCW sur le site de Reetz dans la région du Brandebourg.
Röben a complété sa palette de thermobriques. L'assortiment de briques superisolantes remplies de laine minérale s'est enrichi des thermobriques allant de TV7 avec une conductibilité thermique de seulement 0,07 W/(mK) à TV10 avec une conductibilité thermique de 0,10 W/(mk). Les alvéoles des briques sont remplies de laine minérale et ont ainsi une isolation thermique intégrée supplémentaire. Röben réagit ainsi à la demande croissante de matériaux de construction muraux superisolants et offre par là même au site de Reetz un avenir sûr.
Les briques sont produites sur une ligne de remplissage des briques de la société KELLER HCW. Notre entreprise a été retenue comme partenaire compétent qui a déjà fait ses preuves sur le plan technique et économique ainsi qu'avec des installations de référence. Nous avons réussi à réaliser une solution optimale et rapide. Une capacité horaire effective de 800 briques remplies/heure a été rapidement atteinte lors de la mise en service. Ceci a été rendu possible grâce à l'excellente coopération entre les deux entreprises. Les techniciens du site ont notamment profité des vastes expériences de KELLER HCW en matière de technologie de remplissage.
Cette installation autonome est alimentée en briques sur palettes en en panneaux de laine minérale. Les briques sont dépilées individuellement par des robots industriels hautes performances, groupées en fonction de leur format puis amenées à l'unité de remplissage proprement dite. Les panneaux en laine minérale sont inclus dans le processus par un système de préhension conventionnel. Nous avons ici réussi à combiner la technique robotique à la technique conventionnelle tout en gardant à l'esprit que ces deux techniques ont chacune leur raison d'être. La station de remplissage est équipée d'une technologie KELLER HCW brevetée et maintes fois appliquée. Cette technique permet de très courts temps de montage lors des changements de format tout en utilisant les synergies lors des changements d'outillage. La technologie utilisée permet qui plus est des tolérances dimensionnelles autorisées sur le plan de la céramique industrielle pour les briques et garantit même pour des surfaces rugueuses dues à la porosion de très bons résultats de remplissage. Le système compense aussi bien des épaisseurs différentes des panneaux en laine minérale que des écarts de dimensions au sein d'une charge utilisée de laine minérale. Les morceaux de laine minérale coupés sur mesure ainsi qu'un système de remplissage éprouvé et sûr sont des préalables pour la disponibilité de l'installation.
C'est avec fierté que la société KELLER HCW affirme avoir franchi une nouvelle étape sur le chemin d'une coopération fructueuse entre les deux entreprises.

Source KELLER  HCW

24/05/2013

la France ne construirait que 250.000 logements en 2013

Le nombre de logements construits en France devrait continuer à reculer en 2013 pour s'établir à 250.000, très loin des 500.000 visés à moyen terme par le gouvernement, a estimé Jean Perrin, président de l'UNPI.
Cela représenterait une baisse de près de 18% par rapport aux logements neufs mis en chantier en 2012 (304.234, déjà en baisse de 19,6% par rapport à 2011) et "le chiffre le plus bas depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale", a souligné Jean Perrin, président de l'Union nationale de la propriété immobilière (UNPI), dont l'organisation défend les intérêts de quelque 250.000 propriétaires immobiliers.
M. Perrin attribue ce repli à une situation réglementaire et fiscale, qui "décourage les propriétaires-investisseurs". "Le problème n'est pas tellement que les promoteurs ne peuvent plus construire, mais qu'ils ne vendent pas. Le vrai enjeu n'est pas de trouver des terrains pour bâtir mais de donner confiance aux gens pour acheter", ajoute-t-il.
Jeudi 16 Mai matin, la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI) a annoncé que le nombre de logements neufs vendus par les promoteurs avait continué à reculer au premier trimestre, de 6,9% à 15.988 unités, et que le délai d'écoulement des lots commercialisés avait grimpé à 15,3 mois, contre 12,7 mois un an plus tôt.
De ce point de vue, les mesures annoncées par le gouvernement de François Hollande pour relancer la construction de logements n'atteindront pas leur but, estime M. Perrin. Si le projet de loi préparé par la ministre du Logement Cécile Duflot n'est pas encore connu dans le détail, les premières mesures évoquées "ne donnent pas un bon signe aux propriétaires", selon lui.
"Cette loi détériore les rapports locatifs", ajoute-t-il, s'opposant tout particulièrement au financement par les propriétaires de la garantie universelle des revenus locatifs. "C'est à celui qui fait courir le risque de payer, c'est-à-dire au locataire", argumente M. Perrin, qui juge encore possible de faire évoluer le texte sur ce point.
Le président de l'UNPI fustige également l'encadrement des loyers dans certaines zones, les pénalités qui seraient imposées aux propriétaires tardant à restituer le dépôt de garantie, ou encore, l'éventuelle suppression de la possibilité de réviser à la hausse les loyers "manifestement sous-évalués".
Le projet de loi Duflot doit être examiné par le Conseil des ministres "fin juin ou début juillet", selon le ministère du Logement.
Source : batirama.com

Castelnaudary/ cloison en terre crue: Terreal innove, ECB bâtit, Bioocop ouvre

Il y a un an, un couple de producteurs en œufs et volailles, une jeune contrôleuse de gestion et une responsable d'atelier de confection chaurien s'associaient pour ouvrir un magasin d'alimentation bio «Païs'en Bio». Sous forme d'une société coopérative d'intérêt collectif, ils ont rassemblé à ce jour 18 sociétaires : des producteurs, des consommateurs, deux associations de développement de l'agriculture audoise, et de futurs salariés. Ils intègrent le réseau coopératif Biocoop, leader français de l'alimentation bio. Depuis l'ouverture, ce 15 mai au 114 avenue Mgr-deLangle, pas de place au toxique, encore moins à l'alimentation industrielle. Tout sera bio et au maximum bio et local ! Plus qu'un projet professionnel, leur propre volonté est de rendre accessible à tous la richesse alimentaire et culinaire de notre bio'pays. Une cinquantaine de producteurs locaux sont déjà mobilisés pour assurer la distribution de leur production. 7 emplois sont créés dont 4 à temps partiel choisi. Terreal, producteur a souhaité être présent par une cloison en terre crue. La société ECB a assuré la mise en œuvre de ce chantier test.
Le lien au terroir est affirmé «Nous avons du local dans tous les rayons !», nous dit fièrement Cécile. Pour Carole, future responsable du magasin, c'est évidemment un changement de vie, mais c'est surtout le moyen de rendre accessible à tous l'alimentation locale Quant à Morgane, arrivée de Paris il y a 3 ans, «c'est une aubaine d'exercer ma profession de gestionnaire comptable pour une raison qui nous alimente tous, et tous les jours !». Enfin Vincent, sans qui ce projet n'aurait existé, a le regard clair «nous nous devons d'être au plus près du consommateur, ma ferme est ouverte à tous !». Leur objectif : «Que tous les consommateurs et producteurs soient gagnants !». Vous y trouverez ainsi : légumes et fruits de saison, pains de différents boulangers et paysans-boulangers, œufs, viandes, fromages et produits laitiers, huiles, vinaigres, condiments divers et variés, vins et bières, miels et confitures, céréales, légumes secs, produits de phytothérapie et cosmétiques, sans oublier plus de 90 produits en «vrac»
La Dépêche du Midi

23/05/2013

VM Matériaux: Portzamparc fait un point sur la publication.

Les analystes de Portzamparc restent à Conserver sur le titre VM Matériaux avec un objectif de cours maintenu à 16 E.
Le Groupe a enregistré un chiffre d'affaires de 161,1 ME pour les trois premiers mois de l'exercice 2013 contre 163,7 ME un an plus tôt, soit un repli limité de 1,6% (-1,1% à périmètre retraité). Ce chiffre ressort au-dessus des attentes de Portzamparc (155,3 ME -2,2%).
' Ces chiffres témoignent d'une bonne résistance (pour mémoire négoce Samse -5,9% comparable et St Gobain Distribution -8,6% comparable sur la même période) ' indique le bureau d'analyses.
Les activités Menuiserie et Négoce présentent des performances stables sur la période (-2,0% et 0,3% à périmètre retraité). Le groupe a mis en place une nouvelle organisation pour l'activité Négoce avec 6 directions commerciales.
' A ce stade, VM Matériaux a finalisé l'ensemble des départs prévus (150 salariés en net : 182 suppressions de poste, 32 créations) et cédé 9 agences au groupe Samse ainsi que la centrale à béton du Buisson. Nous estimons que 40 à 45% du programme est ainsi réalisé à ce stade de l'année '. indique le bureau d'études.
' VM Matériaux entame 2013 sur des bases renforcées et le T2 ne devrait pas marquer de rupture négative par rapport aux bons chiffres du T1. Le principal handicap du titre reste sa faible liquidité boursière et le peu d'intérêt des investisseurs pour le secteur '.

Source Le Figaro Bourse

Samse: CRH France Distribution à plus de 20% des droits de vote

CRH France Distribution a déclaré à l'AMF avoir franchi en hausse, le 2 mai 2013, le seuil de 20% des droits de vote de Samse et détenir 21,13% du capital et 23,06% des droits de vote de cette société de négoce de matériaux de construction.
Ce franchissement de seuil résulte d'une attribution de droits de vote double.
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Groupe SAMSE : deux nouvelles acquisitions

La société Christaud, filiale spécialiste en adduction d'eau du Groupe SAMSE, développe son réseau
d'agences par l'acquisition de la société Vaudrey. Fondée en 1906 à Reims, Vaudrey est spécialisée en métrologie, compteurs d'eau et s'est orientée vers le négoce de matériel pour l'adduction d'eau depuis 25 ans. La société emploie 7 salariés et a réalisé un chiffre d'affaires de 2 ME en 2012.
Le réseau Christaud comprend désormais 14 points de vente répartis en Rhône Alpes, Auvergne, Centre, Provence Alpes Côte d'Azur, Indre et Loire et Champagne Ardennes.
Le Groupe PLATTARD, partenaire du Groupe SAMSE, renforce sa branche industrie
Le groupe PLATTARD, situé à Villefranche sur Saône (69), qui compte 450 collaborateurs pour un chiffre d'affaires consolidé 2012 de 151 ME, a acquis, en date du 5 avril 2013, le bétonnier ECO.BETONS situé à Crottet (01). La filiale spécialisée PLATTARD BETON comptera donc à l'avenir quatre centrales situées à Villefranche (69), Guéreins (01), La Chapelle de Guinchay (71) et Crottet (01) afin de mieux servir sa clientèle traditionnelle d'entreprises de gros-oeuvre, de Travaux Publics, de paysagistes et de particuliers. www.plattard.fr
Source Boursier.com