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12/11/2012

VM Matériaux: annonce un projet de réorganisation.

Constatant la dégradation du marché, particulièrement dans le domaine de la construction, VM Matériaux anticipe la poursuite de cette tendance jusque fin 2013, compte-tenu de l'environnement économique et des projections liées aux demandes de permis de construire.
Face à la baisse de son activité et des impacts sur sa rentabilité, le groupe centré sur l'univers du bâtiment annonce avoir réuni ses Comités d'Entreprise les 22 et 23 octobre pour les informer d'un projet de réorganisation et les convoquer pour une première réunion de consultation les 5 et 6 novembre prochains.
Compte-tenu des contraintes réglementaires, aucune information relevant des prérogatives des Comités d'Entreprise ne pourra être communiquée avant ces dates.
VM Matériaux poursuit ses efforts de réduction de ses dépenses opérationnelles et de ses investissements, tout en travaillant à une baisse de son endettement.
L'objectif de ce projet est de 'replacer le groupe sur une trajectoire de croissance rentable et de consolider son avenir dans un contexte de marché en pleine évolution'.
Source Le Figaro

11/11/2012

Ceric Technologies : un géant au service des briques d'argile

Il porte le nom de Demeter, déesse de l'agriculture et des moissons, mais c'est bien un bijou industriel, fruit d'une longue tradition d'innovation et de maîtrise technologique, que l'entreprise Ceric Technologies de Soissons va livrer, en novembre, à un fabricant de briques d'argile basé en Algérie, un produit qui revient en force face aux parpaings.
D'un poids de 40 tonnes et d'une longueur de 8 mètres, ce groupe d'étirage nouvelle génération peut traiter de 70 à 100 tonnes d'argile par heure et a demandé 5 400 heures de travail et fait travailler dix corps de métiers.
Cette immense machine, unique en son genre au plan mondial, est le symbole d'une renaissance, celle de Pélerin, société fondée à Soissons en 1901, Ceric et Hallumeca.
Priorité à l'export
En 2009, ces trois sociétés ont été placées en redressement judiciaire. « Il a fallu se retrousser les manches et nous avons monté un projet de reprise avec les salariés et un fonds d'investissement. Les anciens actionnaires avaient décidé de fermer l'usine et avaient fait assez peu d'investissements. Nous, nous avons cru en ce site », explique Laurent Toquet, directeur du développement de Ceric Technologies, porteur de ce projet avec Patrick Hebrard et Thierry Petra.
L'entreprise Pélerin jouissait d'une forte renommée au plan international. « Ce passé pouvait devenir un potentiel pour l'avenir », note Laurent Toquet.
Pour Ceric Technologies, qui a réalisé un chiffre d'affaires de 17 millions d'euros en 2011 et emploie une centaine de salariés, dont 40 à Soissons, l'objectif est avant tout de se positionner sur l'exportation d'unités de production de matériaux de construction en terre cuite.
Depuis la création de Ceric, plus de 450 usines sont, partout dans le monde, équipées des équipements développés sous la marque Pélerin, en Asie, en Afrique du Nord, en Europe de l'Est ou encore en Australie. « Nous fabriquons les équipements, les intégrons et les installons sur place », insiste Thierry Petra, le directeur des opérations industrielles, en soulignant que ces équipements sont « faits pour durer ».
Source L'Union

10/11/2012

Saint-Gobain en recul

Le groupe Saint-Gobain, fabricant et distributeur de matériaux de construction, a vu ses ventes baisser au troisième trimestre 2012 et s’attend de ce fait à un recul de son résultat dans la 2e moitié de l’année.
Pierre-André de Chalendar, P-dg du groupe, est clair : « Saint-Gobain maintient globalement ses objectifs, avec néanmoins une baisse du résultat d’exploitation du second semestre un peu plus prononcée qu’anticipé fin juillet ». L’entreprise a en effet connu un troisième trimestre 2012 difficile avec un chiffre d’affaires de 10,9 Mrds €, (-3,8 % à données constantes), ce qui porte ce résultat à 32,5 Mrds € depuis le début d’année (-1,8 % à données constantes).
La hausse des prix de ventes de 1,5 % aurait permis de compenser, en partie, la baisse des volumes (-5,3 %). Tous les pôles du groupe ont été touchés, illustrant la dégradation progressive de l’environnement économique global depuis le mois de mai. Le pôle Matériaux innovants par exemple, recule fortement sur le trimestre (-7,2 %), tout comme les Produits de construction (-4,3 %) et l’activité Distribution bâtiment (-3 %). Seul le pôle Emballages de verre ressort en hausse (+3,2 %). Saint-Gobain invoque le nombre de jours ouvrés sur le trimestre, inférieur d’une journée à celui de 2011, pour expliquer la différence de volume des ventes. A nombre de jours ouvrés constant, le recul aurait été limité à -2,8 %, soit un point de mieux affirme-t-on chez l’industriel.
Programme d’adaptation à la conjoncture « Parmi les grandes zones géographiques sur lesquelles le groupe opère, seule l’Amérique du Nord reste bien orientée, à la faveur de la poursuite du redressement du marché de la construction », explique le communiqué. Mais la contraction en Europe (-4 %) et particulièrement en France (-5,7 %) s’est accentuée et l’Asie ainsi que les pays émergents « ne montrent pas encore de signe tangible de redressement ».
Source Batiactu
Pour faire face, Saint-Gobain entend poursuivre « avec détermination » son programme d’adaptation à la conjoncture en réalisant des économies de coûts de 160 M€ sur la deuxième moitié de l’année afin d’atteindre un gain de 500 M€ par rapport à 2011 et un impact de 750 M€ en année pleine (2013).

09/11/2012

Morando and Rieter – more than 200 years of experience concentrated at one production site

Since 2010 the equipment made by Rieter, the traditional German machine engineering company, has been built together with Morando equipment at Asti, Italy, Morando’s headquarters. Robert Kohl, Managing Director at Morando, tells us how the German-Italian cooperation has evolved. Zi: The announcement that Rieter machines would be built in Asti in future met with some scepticism from clay brick and tile manufacturers as to whether the quality standard of Rieter equipment could be maintained. What is the situation today?
R. K.: After around two years’ manufacturing in Asti we can say that the quality is at least just as good, if not even better. We have not just simply continued building the Rieter machines as before, but competently optimized and further developed them step by step.
Zi: The first machine manufactured in Asti was a DR6 roofing tile press for the German...


Source Ziegelindustriel International

08/11/2012

Crédits immobiliers : forte chute malgré les taux très bas

Le montant des crédits immobiliers accordés par les banques a continué d'enregister un très fort recul au troisième trimestre avec une chute de 24,3% par rapport à la même période de 2011.
"En août, la production a fortement reculé (...) puis en septembre, alors que le marché retrouve habituellement de la vigueur avec la rentrée, la reprise a été très molle", indique Crédit Logement dans son étude.
Pour les 9 premiers mois de de 2012, la chute est encore plus brutale avec une baisse de 30,5% par rapport à la période correspondante de 2011. Le paradoxe de cette situation réside dans le fait que le taux des crédits immobiliers se maintient à un niveau très bas et continue de baisser.
En effet, les taux d'intérêt reculent depuis mars et ne sont plus très loin de leur plus bas niveau historique depuis 1945 (3,25% en moyenne) atteint en novembre 2010. Ils se sont en effet établis en moyenne à 3,38% en octobre contre 3,43% en septembre et 3,97% par exemple en janvier.
Crédits : baisse de 30 % par rapport à 2011
Pour l'ensemble de l'année 2012, les crédits immobiliers accordés par les banques devraient être d'un peu plus de 115 milliards d'euros, soit une baisse de près de 30% par rapport à 2011 (un peu moins de 162 milliards), loin du record absolu de 2007 (170,2 milliards), estime Michel Mouillart, professeur d'économie à l'Université Paris-Ouest.
"Une chute d'une telle ampleur et d'une telle rapidité, on ne l'a jamais connu. Durant la dépression de 2008-2009, il aura fallu deux ans pour en arriver là. Cette fois-ci, il aura suffit d'un an", souligne M. Mouillart.
Ce renversement de tendance survient après une explosion de ces crédits depuis le début du siècle qui avait contribué à la bonne tenue du marché immobilier en France : 70,8 milliards en 2001, 87,3 en 2003, 143,7 en 2005 et 170,2 en 2007.
Source : batirama.com / AFP

07/11/2012

Etats-Unis : la construction reprend du poil de la bête

Le marché de la construction aux Etats Unis repart à la hausse et pourrait dynamiser une économie encore faiblarde.
Le Commerce Department des Etats-Unis a annoncé hier que les constructeurs américains ont construit 872 000 logements individuels et collectifs au mois de septembre soit une hausse de la construction de 15% depuis le mois d'août. Il s'agit de la plus grosse augmentation depuis juillet 2008. Le taux de construction a bondi à 38% au cours des 12 derniers mois. Les mises en chantier sont maintenant 82,5% au dessus du taux annuel de 478 000 logements établi en avril 2009 lors de la récession. Toutefois, il est encore bien en deçà du taux annuel de 1,5 million de logements que les économistes considèrent comme un facteur de bonne santé économique. L'activité de construction devrait encore augmenter dans les prochains mois selon Patrick Newport, économiste américain chez IHS Global Insight. Ce dernier prévoit 950 000 mises en chantier l'an prochain et 1,27 million en 2014. En 2015, 1,5 million de logements devraient être construits. En outre, la reprise du logement pourrait octroyer 0,25 point à la croissance économique globale du pays cette année car chaque nouveau logement construit crée une moyenne de trois emplois et crée environ 90 000$ de recettes fiscales. Si, comme le prévoit Paul Ashworth, économiste chez Capital Economics, les mises en chantier atteignent le nombre de 1,5 million d'ici la mi-2015, l'industrie devrait voir l'émergence d' 1 million d'emplois d'ici là, ou environ 30 000 emplois par mois.
Source France BTP

06/11/2012

Coup dur pour le bâtiment qui se dit « choqué » : La TVA intermédiaire passe à 10%

Ce mardi, à l’occasion du séminaire gouvernemental sur la compétitivité, le Premier ministre a notamment annoncé que le taux intermédiaire – qui concerne les travaux de rénovation des logements et la restauration - sera porté de 7 à 10% au 1er janvier 2014. Coup dur pour le bâtiment qui se dit « choqué ».
Les cris d’alerte de la profession n’auront pas suffi ! « Ne touchez pas à la TVA à 7% ! », clamait, il y a encore quelques jours, la Capeb. Avec la FFB, elle demandait même le retour à un taux de 5.5%...
Peine perdue ! Suite à la remise du rapport Gallois, le Premier ministre a annoncé le contenu de son « Pacte national pour la croissance », dans lequel figure une mesure qui va faire du mal au secteur de la construction : l’augmentation de la TVA intermédiaire de 7 à 10%. « Ce sont 20.0000 emplois qui seront détruits », s’indigne Didier Ridoret, président de la FFB. Tandis que Patrick Liébus nous annonce le chiffre de « 16 à 18.000 emplois supprimés ». Et les conséquences sur l’activité du bâtiment semblent évidentes. « Nous irons vers une perte d’activité certaine et une augmentation du travail au noir », nous confie Didier Ridoret. Qui se dit surtout « choqué » par la méthode du Gouvernement : « Son attitude n’est pas loyale, tout cela s’est fait sans concertation et surtout après que le Président a démenti toute hausse éventuelle dans le bâtiment le 19 octobre dernier ! ».
Méthode singulière
Même son de cloche du côté de la Capeb, qui n’entend pas se démobiliser. Au contraire. Patrick Liébus nous apprend ainsi qu’il a envoyé, la semaine dernière, un courrier à tous les présidents des organisations de la filière, ainsi qu’à Didier Ridoret, afin que tous se réunissent autour d’une table et discutent des mesures à prendre pour contrer cette hausse de trois points. « La réaction des professionnels – si l’on s’accorde tous – sera à la hauteur de cette annonce. On sait se mobiliser et on le fera », affirme Patrick Liébus. Qui lui aussi a qualifié de « singulière » la méthode du Gouvernement. Et de conclure : « Où est la concertation ? On nous en parle depuis les conférences sociale et environnementale, et là on nous prévient une demi-heure avant l’annonce du Premier ministre… On nous impose les choses et on ne tient pas parole. Encore une fois, ils agissent et ils réfléchissent après… Cela aura des conséquences. Sans compter que la question des auto-entrepreneurs n'est même pas évoquée, alors que l'écart va se creuser encore davantage entre eux et nos salariés... ».
L’UPA, qui manifestait lundi soir, après la remise du rapport Gallois, de la satisfaction, a désormais un jugement plus modéré. « Concernant l’augmentation de la TVA en 2014, l’UPA déplore que l’effort repose essentiellement sur les activités soumises aujourd’hui au taux intermédiaire de 7%, principalement les travaux de rénovation des logements ainsi que la restauration et les professions alimentaires », déclare l’organisation dans un communiqué. Et d’ajouter : « Il est de la responsabilité du gouvernement de supprimer sans attendre le régime de l’auto-entrepreneur dans les activités relevant de l’artisanat ».
Pour sa part, l'Union sociale pour l'habitat (USH) déclare : « Un taux de TVA plus bas (5%) va s'appliquer aux produits et services de première nécessité (produits alimentaires, abonnements relatifs aux livraisons de gaz et d'électricité...). Or, le logement social est également un service de première nécessité, et une priorité absolue des politiques publiques reconnue comme telle par le Gouvernement ». Et de demander le rétablissement du taux de TVA le plus faible pour les opérations d'investissement réalisées dans le secteur : « Le retour au taux réduit de TVA pour ces opérations permettra de dégager une capacité d'investissement supplémentaire de l'ordre de 270 millions d'euros, indispensable à la réalisation de l'objectif de production des 150 000 logements sociaux par an ».
Halte au yo-yo ! Enfin, la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim) « accueille avec consternation les propositions du rapport Gallois d’alourdir encore la fiscalité sur le logement ». Et de conclure : « L’immobilier ne peut plus et ne doit plus servir de variable d’ajustement budgétaire au Gouvernement ».


Source Batiactu

Matériaux de construction : l’Unicem déplore un automne maussade

Selon l’Union nationale des industries de carrières et de matériaux de construction (Unicem), l’activité du secteur sur les neuf premiers mois de l’année s’inscrit en repli de 6,2 % par rapport à 2012. Du côté des granulats, le recul est de 4,5 % sur la même période.
Selon les données provisoires de l’enquête rapide du mois de septembre réalisée par l’Union nationale des industries de carrières et de matériaux de construction (Unicem), les livraisons de granulats auraient accusé un repli de 1,2 % en septembre par rapport au mois précédent et de de 2,4 % par rapport au même mois de l’an passé. Sur les neuf premiers mois de l’année, le recul est de 4,5 % par rapport à la même période de 2012.
De juillet à septembre, la production a tout de même progressé de 1 % (-1,6 % par rapport au trois mêmes mois de 2011). Du côté du Béton prêt à l’emploi (BPE), la production a enregistré un recul de 1,2 % par rapport au mois d’août et de 2,4 % par rapport à septembre 2011. Mais la dégradation est plus marquée que pour les granulats même si elle demeure néanmoins contenue. Le recul sur le troisième trimestre se limite à 0,5 % par rapport au trimestre précédent et à 2,6 % par rapport à l’an passé. Au total, sur les neuf premiers mois de l’année, l’activité se replie de 6,2 % par rapport à 2012.
« Les derniers indicateurs disponibles suggèrent plutôt la poursuite de ces tendances pour les mois prochains ce qui tend à valider les hypothèses retenues pour l’ensemble de l’année 2012, indique un communiqué de l’Unicem. Notre indicateur matériaux, encore provisoire pour le mois d’août, reste sur une pente négative de l’ordre de 6,6 % en cumul sur l’année, un rythme de repli qui se modère un peu mais qui masque des disparités importantes selon la destination des matériaux (maison individuelle, travaux publics etc.). »
Source LE MONITEUR.FR

05/11/2012

Imerys affaibli au T3 par le contexte macroéconomique

Imerys a publié lundi des résultats financiers pénalisés par l'environnement macroéconomique qui conduit le spécialiste des minéraux industriels et de construction à renforcer ses mesures de réduction de coûts.
Au troisième trimestre, le résultat courant net d'Imerys a diminué de 0,8% à 80,3 millions d'euros tandis que son résultat opérationnel courant a baissé de 5,1% à 122,6 millions sur un chiffre d'affaires en amélioration de 4,4% à 984 millions d'euros.
Sur les neuf premiers mois de l'exercice en cours, la marge opérationnelle du groupe s'inscrit en repli à 13,1%, contre 13,9% un an plus tôt.
"Alors que le net ralentissement de l'Europe est désormais confirmé, les résultats dégagés par Imerys depuis le début de l'année attestent de la solidité de ses fondamentaux et, en particulier, de sa diversification géographique et sectorielle", affirme Gilles Michel, le PDG du groupe, dans un communiqué.
Les activités d'Imerys incluent entre autres la production de kaolin pour l'industrie du papier, celle de matériaux réfractaires pour les secteurs de la sidérurgie, de la métallurgie et de l'énergie, ou encore des tuiles et des briques.
Sur les neuf premiers mois de l'année, Imerys a réalisé 53% de ses ventes en dehors de l'Europe de l'Ouest. Dans la zone européenne, l'Europe du Nord constitue la principale destination de ses ventes puisque l'exposition aux pays d'Europe du Sud (Portugal, Italie, Grèce, Espagne) est inférieure à 7%.
Sur la base de ses performances sur neuf mois et prenant pour hypothèse la poursuite, à court terme, des tendances macroéconomiques observées actuellement, Imerys se dit confiant dans sa capacité à maintenir, en 2012, un niveau de résultat courant net "au minimum comparable à celui de l'exercice précédent".
RECUL ATTENDU DE LA CONSTRUCTION EN FRANCE
En 2011, ce résultat s'était élevé à 303,1 millions d'euros, contre 242 millions un an plus tôt.
Le groupe estime que le ralentissement marqué en Europe devrait notamment se traduire par un recul de la construction, en particulier en France.
Aux Etats-Unis et dans les zones émergentes, il table sur un maintien du niveau actuel d'activité.
"Dans ce contexte, les mesures internes de réduction des coûts fixes et frais généraux ainsi que la gestion rigoureuse des ressources financières et de la trésorerie sont renforcées", lit-on dans le communiqué.
Lors d'une conférence téléphonique, le directeur financier d'Imerys, Michel Delville, a expliqué que l'intention du groupe était de s'adapter en fonction de la demande et des besoins et non d'engager "un plan généralisé de baisse des coûts, tout azimut".
Au 30 septembre 2012, la dette financière nette consolidée d'Imerys est comparable à celle du 30 juin 2012, de l'ordre d'un milliard d'euros.
Le groupe a par ailleurs annoncé la signature d'un accord pour l'acquisition des activités de kaolin de la société Goonvean (Cornouailles, Grande-Bretagne) dont le chiffre d'affaires annuel est de l'ordre de 18 millions de livres sterling (22 millions d'euros).
Avant la publication des résultats, l'action Imerys a clôturé lundi à 44,4 euros (-0,80%). Elle a progressé de près de 28% depuis le début de l'année.
Source Les Echos

Façade bioclimatique en zone ABF à Saint-Maximin

L'Union des Maisons Françaises a décerné la Médaille d'or du Challenge 2012 des maisons de l'année dans la catégorie « Défi urbanistique individualités urbaines » à la société EPC avec la maison aux balcons suspendus. Une mise à l'honneur pour un projet urbanistique et environnemental exemplaire, auquel s'ajoute une autre médaille d'or, celle du Challenge Bleu Ciel d'EDF, dans la catégorie Innovation. Le défi a été relevé par EPC avec le cabinet T3 architecture et IMERYS et différents matériaux en terre cuite, il allie prouesses thermiques, architecture intelligente et esthétique contemporaine.
La maison, derrière une première façade qui reprend le style traditionnel « trois fenêtres » de la ville, possède une seconde façade en retrait de 2,50 m par rapport à la première et ce, malgré les contraintes d'architecture imposées par la zone ABF et l'emplacement limitant la conception bioclimatique.vCette seconde façade est très contemporaine : vitrée dans sa quasi-totalité, elle s'ouvre sur un patio d'une dizaine de mètres de hauteur, véritable serre bioclimatique et espace de terrasses fermées, mais non chauffées. Utilisable toute l'année, cette zone intermédiaire d'agrément apporte une scénographie forte au projet. La serre bioclimatique participe également aux performances thermiques de la maison. L'énergie naturelle de la serre est récupérée, une VMC double flux permet en hiver de répartir cet air préchauffé dans les pièces de vie. En été, un système domotique assure à la fois la gestion des brumisateurs et l'automatisation des ouvertures et protections solaires des fenêtres de toit. Cette climatisation naturelle sera efficace et suffisante. Les espaces sont optimisés pour un réel confort de vie.
Le bâti et l'isolation sont assurés par des briques Monomur 37,5 d'IMERYS. Le Monomur, « brique à isolation répartie », présente une structure alvéolaire qui permet d'emprisonner l'air et de limiter les ponts thermiques. Ce produit dispose ainsi d'un pouvoir isolant exceptionnel. Il se caractérise par une forte inertie et une faible diffusivité. En été, la maison est naturellement fraîche jusqu'à 6°C de moins qu'une maison à isolation légère par l'intérieur. En demi-saison, le Monomur permet de réaliser des économies de chauffage : les murs restituent la nuit la chaleur accumulée durant la journée provenant des apports solaires gratuits au travers des vitrages. et en hiver, la forte inertie du Monomur lisse les variations de température et réduit les pics de chauffage. Le mur pour la partie de la serre bioclimatique est en OPTIBRIC PV 4G qui utilise 16 fois moins de mortier à fabriquer et à transporter que le béton : 600 kg contre 9 tonnes et génère un gain de productivité de 30 % avec 5 jours de travail en moins grâce à la pose joint mince. Le système INTUITYS en terre cuite, d'IMERYS Structure a été utilisé pour les cloisons de distribution. Constitué de parements fins en terre cuite (30 mm x 2) et de 3 pièces de liaison, il se fixe sur une ossature métallique standard (NF) de 36 mm. Le montage est réalisé à sec et le jointoiement effectué à posteriori. La finition est assurée par un enduit mince ou un plâtre.
EPC (Entreprise Provençale de Construction), constructeur depuis 1998, basé à Erguilles (13) réalise une douzaine de villas bioclimatiques par an. Spécialiste de la bio construction, Arnaud BURBAN, ingénieur et gérant d'EPC depuis 2005, prône l'habitat écologique construit avec des matériaux sains tels que le Monomur en terre cuite ou le bois, et utilisant les énergies renouvelables.
T3 Architecture (3 rue Pastoret - 13 006 Marseille). Composée d'architectes DPLG spécia- lisés en architecture bioclimatique et architecture écologique, l'équipe de T3 Architecture réalise tous les projets de construction et de rénovation en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Source Batijournal

04/11/2012

Ceric Technologies montre son savoir-faire dans les équipements de fabrication de briques et tuiles en terre cuite

Société d’ingénierie et fabricant d’équipements de fabrication de briques et tuiles en terre cuite, Ceric Technologies présente son savoir-faire à Soissons (Aisne), l’un de ses quatre sites. C’est une "renaissance industrielle et technologique" pour cette société issue du regroupement de trois sociétés en redressement judiciaire en 2009.
Société d’ingénierie et fabricant d’équipements de fabrication de briques et tuiles en terre cuite, Ceric Technologies présente son savoir-faire à oissons (Aisne), l’un de ses quatre sites. C’est une "renaissance industrielle et technologique" pour cette société issue du regroupement de trois sociétés en redressement judiciaire en 2009.
Société d’ingénierie et fabricant d’équipements de fabrication de briques et tuiles en terre cuite, Ceric Technologies va présenter ce jeudi 25 octobre à Soissons (Aisne) une machine destinée à l’Algérie. Cette société parisienne qui réalise 17 millions d’euros de chiffre d’affaires dont 90 % à l’export, emploie 100 salariés sur ses quatre sites, dont 40 à Soissons. Elle entend, à travers cette opération de relations publiques, attirer des collaborateurs, faire connaître sa technologie et ses prestations d’ingénierie dans la conception de briqueteries ou de tuileries à partir de terre cuite. "Notre métier est la conception, la réalisation, le montage et la mise en route d'usines complètes pour la production de matériaux de construction en terre cuite qui peuvent être des briqueteries ou des tuileries" explique Laurent Toquet, directeur du développement de Ceric Technologies.
Le "groupe d’étirage" qui sera présenté ce jeudi aux élus et clients de Ceric Technologies est la juxtaposition de deux machines : un malaxeur horizontal et une mouleuse. Le terme "d’étirage" renvoie à la pâte argileuse que l’on étire pour donner la forme d’une brique ou d’une tuile. L’équipement qui présente plusieurs innovations selon Ceric Technologies, produit entre 70 et 100 tonnes de briques à l’heure ; il a une envergure de 8 mètres de long, de 7 mètres de large, pèse 40 tonnes et développe 760 chevaux (560 kW). Pour ses "groupes d’étirage", Ceric Technologies a opté pour la technologie de l’extrusion sous vide d’air à l’opposé du système gravitaire.
Selon Laurent Toquet, Ceric Technologies est "la seule entreprise en Europe qui dispose des équipements de préparation terre au sein de sa propre société d'ingénierie, et d’une gamme complète". Il fait allusion aux concurrents de Ceric Technologies qui sont des fabricants de machines mais n’ont pas l’expertise d’ingénierie pour construire des usines de A jusqu’à Z dont la fonction est de préparer l’argile, la broyer et la malaxer, puis de la façonner en vue d’obtenir la forme de brique ou de tuile.
L’événement de jeudi sera aussi pour Ceric Technologies l’occasion d’évoquer sa "renaissance industrielle et technologique" après la faillite de Ceric et de ses filiales en octobre 2009. Ceric Technologies est en fait la réunion des savoir-faire des sociétés Ceric, Hallumeca et Pelerin (Soissons). Les trois sociétés placées en redressement judiciaire avaient été reprises par trois cadres de Ceric - Patrick Hebrard, Thierry Petra et Laurent Toquet - avec le soutien du fond Pléiade Investissement. Ce dernier est aujourd'hui l'actionnaire majoritaire de Ceric Technologies. Repris avec 27 collaborateurs, le site de Soissons en emploie désormais 40.
Ceric Technologies exporte dans tous les pays du monde, particulièrement en Europe, en Russie, au Maghreb et en Amérique du sud. Outre son siège social à Paris, le groupe a trois autres établissements en France : un site de fabrication à Soissons (Aisne), un bureau d’études et un service thermique à Villeneuve d’Ascq (Nord) et un bureau d’études électriques et automatismes à Chenove (Côte-d’Or).
Source L'Usine Nouvelle 

03/11/2012

Les briques Terca se parent de deux nouvelles teintes

Terca, marque du groupe Wienerberger, complète sa gamme de briques de façades par deux nouvelles teintes : Terre blanche et Terre grise. Elles viennent compléter les autres couleurs de la ligne Unie : Terre brune, Terre noire, Terre dorée, Terre ivoire, Terre de corail, Terre rouge et Terre alezane.
Chaque brique de la marque bénéficie d’un rendu lisse et harmonieux. Fabriquées à partir d’argile cuite à haute température et teintée dans la masse, elles n’exigent aucun entretien particulier et résistent aux assauts du temps.
Ces nouvelles briques de façades bénéficient des performances de la terre cuite, reconnue pour ses qualités isolantes. Posées en double mur, elles constituent une isolation thermique par l’extérieur : le mur manteau protège le bâtiment des variations climatiques et possède un pouvoir isolant acoustique et thermique.
La pose est aisée grâce à leur légèreté. Elles se déclinent dans plusieurs dimensions : 220 x 105 x 54 mm et 215 x 102,5 x 65 mm et sont disponibles en format plaquette (220 x 54 x 15 mm) et angle (220 x 105 x 54 x 18 mm). Terca offre également une possibilité de brique longue, disponible sur commande.
Source Nostro Domus

02/11/2012

Roumazières: La tuilerie Monier récompense ses salariés

Christian Stenger, le directeur du site, entouré des cadres de la tuilerie Monier à Roumazières-Loubert, a remis dernièrement trente-six médailles du travail récompensant la carrière professionnelle d'autant de salariés méritants. La cérémonie s'est déroulée dans les locaux de l'entreprise, en présence de Jean-Michel Dufaud, maire de Roumazières.
«Comme beaucoup d'entreprises françaises, la tuilerie Monier subit la crise économique de plein fouet, a déclaré Christian Stenger. Nous nous accrochons pour traverser cette période afin de limiter les dégâts, mais il ne faudrait pas que cette crise s'éternise...» Le responsable a ensuite félicité chacun des récipiendaires.
La tuilerie Monier est une des deux entreprises basées à Roumazières, la cité de l'argile, elle emploie plus de deux cents personnes. C'est une filiale du groupe Monier expert mondial des produits de toiture.
Les récipiendaires. Médaille grand or à Alain Crémoux, Armando Ferreira, Jean Luc Freyermuth, Francis Quichaud, Daniel Raynaud, Eric Raynaud.
Médaille d'or à Francis Bossant, Richard Crosland, Bernard Demaille, Jean-Jacques Gillardeau, Marie Claude Jayat, Pascal Ladrat, Patrick Lavergne, Daniel Moreau, Jacquie Tardieu, Daniel Vignaud.
Médaille de vermeil à Alain Bauchanps, Bernadette Baudet, Jeanine Bourdareau, José Henriques de Oliveira, Thierry Desbordes, Bruno Geantillaud, Philippe Grand, Eric Granet, Bruno Jallageas, Pascal Jammet, Gérard Ladrat, Pascal Ladrat, Michel Laplagne, Patrick Lavergne, Daniel Merine, Jean François Noble, Francis Ratier, Luc Vrignaud.
Médaille d'argent à James Quintard, Daniel Merine. Trois retraités ont également été honorés: Raphaël Fernandes, Claude Malharbe et Marcel Teillout.
Source La Charente Libre

Les tuiliers de Roumazières aux aguets

Chez Terreal, neuf volontaires rejoignent une usine en Bourgogne après un appel à candidatures. Chez Monier, on redoute des mesures de chômage partiel.
Après une percée dans le solaire fin 2009, Terreal est revenu à ses fondamentaux: les toitures et les briques. Photo archives Phil Messelet Après une percée dans le solaire fin 2009, Terreal est revenu à ses fondamentaux: les toitures et les briques. Photo archives Phil Messelet
Un appel à candidatures pour rejoindre un autre site, des craintes de chômage partiel quand d'autres usines sont touchées. Les tuiliers de Roumazières, à commencer par ceux de Terreal, la plus grosse entité (520 salariés), sont sur leurs «gardes» comme le reconnaît Laurent Délias, le délégué CGT. «On est vraiment à flux tendu. On n'a pas de vision, ça change tout le temps. Une usine a été liquidée en Espagne. Il y a du chômage partiel sur le site de Toulouse. Heureusement, on a la chance d'avoir un directeur général qui met tout en oeuvre pour éviter le chômage et tout le monde fait de gros efforts», résume le délégué du personnel.
Des efforts qui peuvent prendre la forme de congés anticipés. «On gère la situation avec les compteurs de congés de récupération des salariés, explique Bruno Hocdé, le directeur qui se veut rassurant. Il n'y aura pas de chômage partiel sur le site cette année. On est en train de construire le budget 2013. On communiquera en CCE [comité central d'entreprise] le 6 décembre.»
L'appel à candidatures lancé auprès du personnel? «Il ne concerne que quelques personnes qui vont en Bourgogne pour remplacer des intérimaires», relativise le responsable. «Ils sont neuf à partir lundi prochain sur la base du volontariat. On va aussi rapatrier du personnel de Chasseneuil», complète le syndicaliste.
Les stocks impressionnants de tuiles que l'on remarque à Roumazières: une conséquence de la crise? «ça correspond surtout aux nombreux modèles que l'on présente. On vient d'en sortir deux nouveaux, on joue sur la diversité», explique Laurent Délias. Terreal appartient depuis sept ans à LBO-France, un fonds d'investissement. Elle compte 17 usines dans l'Hexagone et emploie près de 1 800 personnes.
Inquiétude chez Monier
Chez Monier, la deuxième tuilerie de Roumazières (190 salariés), le doute plane. Les responsables sont en vacances cette semaine. Au siège parisien du groupe allemand, on reconnaît simplement que «le marché du bâtiment ne se portant pas bien, les entreprises du secteur vont être impactées». Des mesures de chômage partiel sont prévues en fin d'année dans une partie des huit usines françaises (plus de 900 emplois). «On attend la prochaine réunion fin novembre pour en savoir plus. 2013 s'annonce difficile», observe Didier Audouin, délégué CGT. Des propos qui rejoignent ceux de Christian Stenger, le directeur, lors de la remise des médailles du travail, le mois dernier. «Comme beaucoup d'entreprises, la tuilerie Monier subit la crise économique de plein fouet. Nous nous accrochons pour traverser cette période afin de limiter les dégâts, mais il ne faudrait pas que cette crise s'éternise», déclarait-il alors. Les tuiliers croisent les doigts.
Source La Charente Libre

01/11/2012

Trois questions à Stéphane Fayol Directeur des Relations et des Ressources Humaines chez Terreal

Retour sur la table ronde « Développer l’engagement collectif au service de l’homme et de l’entreprise « organisée lors du Colloque du Prix Olivier Lecerf du Management humaniste le 27 juin 2012 à l’Institut de France.
Les tables rondes ont été animées par des témoignages d’acteurs du réseau Germe et d’ entreprises proches parmi lesquelles le Groupe Terreal
1. Comment se traduit dans votre entreprise la notion d’engagement : celui de l’entreprise pour ses salariés, celui des salariés pour l’entreprise ?
TERREAL, née en 2000, repose sur des fondations solides : trois PME, centenaires, porteuses d’un métier d’une tradition ancestrale. Mais pour l’équipe dirigeante présente depuis sa création, il s’est agi très clairement de respecter cet héritage si riche, et de le faire prospérer en imaginant un avenir commun, une aventure industrielle susceptible de garder l’adhésion des plus anciens et d’attirer de nouveaux talents. Pendant plus de 7 ans, nous avons relevé ensemble tous les défis d’un groupe en plein développement : changements d’actionnaires, créations de fonctions nouvelles, acquisitions, créations de capacités de productions nouvelles, etc.… aussi, quand en 2008 la première crise a frappé notre environnement économique, avec une perspective d’altération assez durable de nos résultats, nous avons fait le choix de préserver autant que nous le pourrions la cohésion du groupe, en évitant toute mesure brutale, sur le plan social qui pourrait altérer le lien fort, « l’affectio societatis » comme le cite Xavier FONTANET dans son ouvrage si on faisait confiance aux entrepreneurs, pour préserver ce qui a fait notre force et ce qui est susceptible de nous rendre encore plus fort demain, la mobilisation de notre capital humain. Et en contrepartie, nous avons gardé la confiance de nos collaborateurs, qui ont accepté de nous suivre et de répondre présents dans tous les lourds efforts d’adaptation et de flexibilisation permanents des organisations qu’il nous a fallu faire. Nous avons ainsi pu traverser les fortes turbulences de 2008, 2009, 2010 sans chômage, sans licenciements économiques.
2. En termes d’organisation, comment faites vous rimer “Performance et humanisme” ?
Avec une exigence partagée au service de la communauté d’intérêt que nous avons su construire. Nous ne sommes aucunement des philanthropes. Nous menons une politique d’entreprise orientée clairement performance, mais toutes les performances, pas seulement celles ressortant d’une seule lecture de compte de résultats. Nous veillons en permanence à ce que la valorisation de notre capital humain.
Par un dialogue social nourri, par une responsabilisation permanente de chacun (en respectant toutes les personnes dans leurs différences) à laquelle nous sommes attachés, par une écoute permanente, par le partage de valeurs qui nous lient, par une GRH type GPEC durable et responsable où chacun peut avoir le sentiment de contribuer à l’œuvre de l’entreprise en confortant talent et son équilibre personnel, son capital confiance en son avenir. Et bien sûr, grâce à une politique de rémunération globale de qualité, nous associons autant que nous le pouvons l’ensemble du personnel à la performance. 3. La question de la formation aux métiers de manager devient une question centrale pour l’efficacité des entreprises. De quelles façons Germe soutient cette démarche?
Cela fait longtemps que nos managers font l’objet d’une attention toute particulière. Claude Bernard CHABRIER, qui a lui-même Présidé GERME pendant des années, et qui a longtemps dirigé nombre de nos managers d’exploitation, a partagé avec le Directoire de TERREAL, et moi en particulier, la conviction qu’il nous fallait donner aux managers de nombreux moyens pour que les femmes et les hommes que l’entreprise leur confie soient fiers de leur entreprise, de son projet, se sentent écoutés, respectés pour ce qu’ils sont et la contribution qu’ils peuvent apporter. Et que les managers eux-mêmes, trouvent une capacité à garder une légitimité de « patron » dans un monde qui change, et où la maitrise d’une technique process ne suffit plus en soi, où un titre sur un organigramme ne suffit plus non plus, où il faut gagner et entretenir la confiance de ses équipes en permanence, en luttant notamment contre la tyrannie du temps court.
C’est ainsi que nous avons une école de maitrise interne en liaison avec l’union des industries, un programme Campus Management pour nos cadres, et bien sûr une adhésion renouvelée à GERME, association à laquelle nos patrons de pôles industriels sont adhérents pour trouver le temps du partage, de la réflexion, pour « lever le nez du guidon », pour avoir l’oxygène indispensable à une bonne respiration de leur propre management, et une capacité d’émulation des managers dont ils ont la responsabilité.
Source GERME

Nouveauté Würth : le foret monomur

Le perçage des briques creuses est toujours très délicat, pour répondre à cette problématique Würth France a lancé en 2012 un foret pour brique monomur qui permet un perçage de qualité sans abîmer la brique. D'une performance inégalée, ce foret saura étonner tous les utilisateurs !
Grâce à une plaquette affûtée positive à 120° et une pointe de centrage, la coupe est optimale pour toutes les parois et l'angle ne sera pas émoussé. De plus, l'hélice progressive et courte permet de renforcer la fonction de guidage.
Le perçage se fait de façon rapide et sans percussion, le trou est propre, régulier et surtout il ne fragilise pas la paroi de la brique.
La plaquette en carbure d'une dureté spécialement étudiée assure une très haute résistance à l'abrasion. Ce nouveau foret a une longueur utile de perçage de 200 mm (longueur totale de 260 mm), il est idéal pour les ancrages profonds.
Source Batiactu

31/10/2012

« 24h d’architecture » et de la terre cuite à Strasbourg

A l'occasion des premières journées portes ouvertes autour de l’architecture, intitulées « 24h d’architecture », à Strasbourg les 19 et 20 octobre, les industriels de la tuile terre cuite ont lancé un concours d’envergure auprès des architectes, en partenariat avec le RMA.
C’est une grande première… et même trois premières ! Tout d’abord les industriels de la tuile terre cuite, réunis au sein de la FFTB (Fédération Française des Tuiles et Briques), ont décidé de s’associer et de soutenir l’initiative du Réseau des maisons d’architectes (RMA) avec les premières journées portes ouvertes autour de l’architecture, intitulées « 24h d’architecture », à Strasbourg les 19 et 20 octobre. Gratuites aussi bien pour le grand public que pour les architectes et personnalités, elles se déroulent dans le cadre exceptionnel de la Manufacture des Tabacs, friche industrielle ré-ouverte pour l’occasion, accueillant ainsi pendant 2 jours un colloque européen « Qui a peur de l’architecture ? », du cinéma avec des fictions et documentaires, 15 expositions, des ateliers pour les enfants, des tables rondes, des balades et parcours vélo…
Ensuite, pour la première fois, les industriels de la tuile terre cuite ont lancé un concours d’envergure auprès des architectes, en partenariat avec le RMA. Le 1er Grand prix de la Tuile Terre Cuite Architendance valorise des projets ou réalisations de moins de 3 ans, en maison individuelle, logement collectif et bâtiment tertiaire, qui intègrent des tuiles terre cuite soit en couverture soit en couverture et façade, avec pour défi de s’inscrire dans l’esprit épuré et créatif de l’architecture contemporaine. Ouvert de mai à août, il a rencontré un engouement de taille avec 119 inscriptions.
Parmi les 24 projets « nominés », le jury en a finalement sélectionnés 7, auxquels la FFTB remettra un Grand prix le vendredi 19 octobre à 20h lors de la soirée de gala des 24h d’architecture, animée par le journaliste Jacques Rieg et l’improvisateur Lionel Riou. Pour l’occasion, la FFTB a demandé à l’artiste Jacques Canonici, de réaliser une sculpture inédite en terre cuite pour les 7 trophées. Au total 15 000€ de dotations seront attribués aux lauréats.
Enfin, une première exposition « La tuile terre cuite Architendance » prend place à la Manufacture des Tabacs de Strasbourg du 19 au 28 octobre. Conçue par la scénographe réputée, Tiphaine Cazenave, originaire elle-même de Strasbourg, elle met en résonnance de manière aérienne et futuriste la terre, origine du monde, et de multiples réalisations intégrant la tuile terre cuite, dont les projets des lauréats du Grand Prix de la Tuile Terre Cuite Architendance qui ont fait preuve d’une créativité particulière dans l’utilisation pratique, esthétique et contemporaine de la tuile terre cuite. Destinée aux architectes, elle est cependant ouverte à tous les visiteurs des 24h d’architecture.
Source Cyberarchi

30/10/2012

FFTB Un prix pour des maisons groupées à Ribeauvillé

Vendredi 19 Octobre, le cabinet K’nL Laperrelle et Koscielski s’est vu remettre, à Strasbourg, le premier prix en maisons individuelles groupées du premier concours organisé par la FFTB (Fédération française des tuiles et briques). Ce prix distingue un projet ou une réalisation de moins de trois ans qui intègre la terre cuite. En l’occurrence, les architectes Philippe Koscielski et Mathieu Laperrelle ont été récompensés pour la réalisation de dix maisons en bandes, achevées en 2011 dans la ZAC du Brandstatt, à Ribeauvillé. Organisée sur deux niveaux, chaque maison dispose d’un jardin privatif. Les structures des murs sont en terre cuite isolante et les niveaux en ossature bois.
Les projets récompensés sont présentés dans le cadre de l’exposition « La terre cuite architendance », qui se tient jusqu’au 26 octobre à la Manufacture des tabacs, à Strasbourg.
Source L'Alsace

29/10/2012

Reducing energy expenditures for brick production by use of vibrating cutters


1 Background and problem description
Large-format, porosity-enhanced, vertically perforated clay bricks with high core-hole fractions and filigreed webs call for the use of materials with good plasticity. That, however, means that the freshly extruded brick green bodies will display diminished strength and be in danger of deforming and suffering structural damage on cutting. Moreover, their compositions are usually laced with fibrous porosity enhancers like sawdust or paper sludge that cause “smearing” of the filigreed core-hole structure due to cutting. Indeed, cutting imposes substantial loads on the highly perforated bricks – loads that can cause considerable deformation.
To a greater or lesser extent, both phenomena tend to close off the core holes. This impedes the kind of energy-conserving through-air drying that is becoming increasingly popular in modern masonry brickworks. Subsequent grinding of the fired bricks, in turn, presupposes tight dimensional tolerances in order to minimize the required amount of grinding.
For reasons of energy economy, producers try to use as little batching water as possible for extruding facing bricks. Thus, either less energy has to be expended for evaporating the water, or the freshly extruded brick green bodies can be loaded onto the kiln cars by the “direct setting method”. The force required for cutting stiff-extruded clay columns, however, imposes bottom limits on the reduction of batching water volumes.

2 Procedure
The mechanisms of action involved in the use of knives as cutting tools were investigated with a view to reducing the applied cutting force. The overlapping effects of vertical and horizontal motion greatly reduce the effective cutting angle (with respect to the workpiece) as compared to the actual blade angle. The flatter the effective cutting angle, the more easily the blade penetrates the workpiece.
A similar situation applies to the cutting wire. A wire pressing vertically downward through the wet green body squeezes the latter with its full, circular cross section. Superimposing horizontal motion to the wire during the cutting process effectively gives the wire the nature of an elliptical cutter plunging its narrow side into the green brick. The faster the speed in the wire‘s direction of motion, the narrower the cutting angle and, hence, the easier the wire is able to penetrate into the green body to be cut.
If the blade (wire) is not always pulled in the same direction, but made to swing back and forth, it achieves exactly that effect. The limited length of knives and saws makes this practically self-evident.
If a cutter is made to change direction very quickly, the effect is that of a longitudinally vibrating wire. The following course of events can be anticipated for a high vibration frequency: Thanks to its horizontal motional component, the wire not only penetrates more easily, it even induces local fluidization via vibrating pressure at the cutting point and therefore leaves behind a particularly smooth, integumental film on the sliced face.

3 Results
The implemented trials showed consistently positive results for the use of a vibrating cutting wire. Braided cutting wires, with their elevated inherent elasticity, were successfully employed as a means of preventing wire breakage (caused by operation at resonant frequency). With each increase in cutting speed, the frequency of vibration must be altered accordingly in order to maintain the positive “saw effect”. The positive results are exemplified by the cross-sectional photo of a vertically perforated clay brick in »1.
This project of the Research Alliance of the Clay Brick and Tile Industry Regd (FGZ) was funded under the project number AiF 16074 N by the BMWi through the German Federation of Industrial Research Associations “Otto von Guericke” Regd (AiF). and implemented by Brick Research Institute Essen Regd (IZF). The final report is 65 pages long and available for a handling fee from the Research Alliance of the Clay Brick and Tile Industry Regd in Berlin.

Research paper conducted by the Research Alliance of the Clay Brick and Tile Industry Regd (FGZ)Project numberAiF 16074 NProject funded byBMWi through the German Federation of Industrial Research Associations “Otto von Guericke” Regd (AiF)Implemented byBrick Research Institute Essen Regd (IZF)Project
managersDipl.-Ing. E. Rimpel and Dipl.-Ing.
S. Petereit
Source Ziegelindustrie International

28/10/2012

Tourisme Village de la Poterie de Martinique

Une vue aérienne du village de la Poterie des Trois-Ilets en Martinique, où se sont installés des artisans dont quelques Martiniquais (poterie traditionnelle, céramiste, peinture, artisans terre et sable). Les Trois-Ilets détiennent l’une des plus anciennes entreprises de la Martinique. La poterie existe depuis 1783. Le village de la poterie qui promeut cette activité se situe sur les terres d’un ancien couvent de jésuites établi à la fin du XVIIème siècle. Ce village se consacre depuis le XVIIIème siècle au travail de la terre, cela a permis de développé les métiers de terre cuite en conjuguant industrie (fabrication de briques, tuiles, carreaux…) et artisanat (poterie de terres cuites. Cette activité a créé au sein de la ville des Trois-Ilets une architecture faite principalement de briques et de tuiles qui lui vaut le surnom de « cœur rouge ». Aujourd’hui le village de la poterie accueille en plus des traditionnels potiers, des créateurs et des boutiques faisant découvrir le savoir-faire de nombreux artisans et de merveilleux espaces d’expositions.
Source Assemblée Martinique

27/10/2012

Façades en terre cuite pour une réhabilitation durable à Valenton

Les façades des 210 logements sociaux situés à Valenton (94) viennent d'être rénovées avec la mise en place d'une ITE. Construite en 1952, la cité se compose de huit bâtiments repartis sur 15 767m2 SHON. La réhabilitation de la Résidence Le Château a été réalisée pour améliorer le confort et la sécurité des habitants et veiller à la pérennité du patrimoine. Revêtus initialement d'un enduit mince sur isolant en polystyrène, les murs en maçonnerie ont été recouverts de 120 mm (R=3.4) de laine de verre additionnelle. Le bardage en terre cuite a été posé après le remplacement des menuiseries extérieures en PVC, posées en applique extérieure du mur béton. Pour apporter une réponse technique aux contraintes imposées par le maître d'ouvrage, l'entreprise Isore Bâtiment, chargée des travaux de façade, a réalisé une ITE complétée de bardeaux Alphaton de Moeding. L'architecte du projet de réhabilitaiton, Marie Schweitzer, spécialiste des menuiseries au nu extérieur de façades, a retenu ces bardeaux pour leurs dimensions allongées, les nombreuses possibilités de calepinages et donc d'effets architecturaux, la qualité pérenne du produit et sa facilité de remplacement. Pour l'architecte il s'agissait également d'intervenir par l'extérieur et de déranger le moins possible les habitants de la résidence. « Je suis partie des ouvertures existantes pour composer les façades. Ensuite, j'ai crée des rythmes et des découpages proportionnant les matériaux de façades affleurants et mis en place un système que j'ai nommé, "la façade lisse et écologique", explique Marie Schweitzer. Ce concept de façade s'est inscrit dans sa charte écologique appliquée aux bâtiments. L'architecte a choisi la couleur brique orangé pour sa parfaite harmonie avec le vert du parc et de la végétation. Le programme technique de la réhabilitation a permis d'atteindre une dépense énergétique de 63 kWh EP/m2/an (classe B). www.moeding.fr
Source Batijournal

26/10/2012

« Le pire est à venir », s’inquiète la Capeb

Patrick Liébus s’est dit particulièrement inquiet pour l’activité des entreprises artisanales du bâtiment, révélant une baisse de 1% au troisième trimestre 2012. Il demande des mesures rapides au gouvernement pour relancer l’activité.
« La situation est désormais mauvaise et tous les indicateurs montrent que le pire est à venir », a prévenu Patrick Liébus, président de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb). Et d’annonce la baisse de 1% de l’activité sur le troisième trimestre 2012, par rapport à la même période de 2011.
Ce recul vient ainsi confirmer la baisse des carnets de commandes amorcée dès le début de l’année, tandis que l’activité enregistrait déjà au trimestre précédent une baisse de 0.5%. « Les entreprises artisanales du bâtiment n’auront pas les moyens de faire longtemps face », a déploré Patrick Liébus. Qui évoque les nombreuses causes de ce déclin : climat économique « délétère » marqué par une frilosité à investir et une baisse du recours aux crédits par les particuliers ; effondrement des mises en chantier de logements ; dispositifs d’aide publique malmenés en 2012.
La Capeb demande donc des mesures rapides au gouvernement pour relancer l’activité et « éviter un effet boule de neige qui impacterait toute l’économie ».
Source Batiactu

25/10/2012

IFMI lance un appel d’offre pour un prêt Européen à effet de levier de 24 Millions d’Euros.

Selon une source bien informée de cette vente, l’appel d’offre sera clôturé le 25/10 à 14h00 à Londres.
La liste inclurait la dette de 4 émetteurs selon la même source anonyme.
Les prêts sont distribués par l’agence de courtage Cohen & Co.
Les prêts concernent une tranche de 10,7 Millions d’Euros de prêts du fabricant de solutions de couverture Monier Groupe Sarl ; 3.8 Millions de prêt terme B et 4 Millions de prêt terme C du produteur de matériaux de construction Materis SA,2 tranches de 1.7 Millions d’Euros à long terme de l’Espagnol Telepizza SA et 1.7 Millions de prêt termes B et C d’un opérateur de téléphonie mobile Autrichien.
IFMI propose ces prêts dans un appel d’offre ouvert à la concurrence ( ou BWIC) où l’offre la plus élevée au dessus du prix de réserve l’emporte. Les prêts à effet de levier sont des dettes à haut rendement évaluées inférieures à) BAA3 par Moody’s Investors Service et inférieures à BBB- par Standard & Poor’s.
Source Bloomberg par Stephen Morris

La tuile terre cuite architendance

Les nominés du Grand Prix 2012 “la Tuile Terre Cuite Architendance.”
Cette année, le Grand Prix, organisé par la FFTB en partenarait avec le Réseau des Maisons d'Architecture (RMA), a regroupé plus de 100 participants dans toute la France répartis dans les 3 catégories.
La FFTB tient à remercier chaleureusement tous les participants qui ont fait de cette éditon une réussite en démontrant, chacun à sa façon, toute la modernité de la Tuile Terre Cuite.
Retrouvez-ci-contre les nominés dans chacune des catégories et des images de leur réalisation. ou projet Les lauréats recevront leur trophée le 19 octobre prochain à Strasbourg lors d'une cérémonie à l'occasion des 24h de l'architecture organisées par le RMA.
Source Latuileterrecuite

24/10/2012

Moeding et Erlus, deux entreprises bavaroises à la conquête du marché français de la tuile

Dans la région de la Basse-Bavière, la tradition de la tuile est immuable, parmi les grands industriels figurent Moeding basé à Marklofen et Erlus situé à Neufahrn. Moeding est spécialisé dans la fabrication à la demande de façades en terre cuite, et Erlus dans la réalisation de tuiles en terre cuite et conduits de fumée. Toutes deux ont un point commun, celui de percer le marché français de la tuile.
A une centaine de kilomètres de Munich, Moeding et Erlus deux sociétés spécialisées dans les produits en terre cuite développent leurs savoir-faire et tissent depuis plusieurs années leur réputation sur leur marché respectif. En effet, en Basse-Bavière, la tradition de la tuile est reconnue puisque la région regorge d’une quantité infinie de terrains argileux.
Tout d’abord, Moeding s’affiche comme une pionnière en Allemagne dans le développement des bardages rapportés. «Basée à Marklkofen, cette société filiale du groupe familial Girnghuber Gmbh-GIMA compte 250 collaborateurs, nous explique Jean-Marie Hauswald, directeur commercial France. C’est ici, que Moeding commercialise ses produits dans près de 60 pays et pénètre au fil des années le marché français.» Présent justement en France depuis 2005 avec les gammes Alphaton® et Longoton®, toutes deux certifiées par le CSTB, Moeding s’illustre notamment dans les écoles, bâtiments tertiaires, logements collectifs neufs ou en rénovation.
Sa particularité ? L’entreprise, qui travaille avec des architectes, maîtres d’œuvre et économistes, fabrique essentiellement des façades en terre cuite haut de gamme. «Nous nous adaptons surtout aux exigences architecturales, notamment le développement de formats ou finitions spécifiques», poursuit Jean-Marie Hauswald. Et nous nous appuyons aussi sur un réseau performant d’entreprises qualifiées et formées au produit pour la mise en œuvre des façades». Et d’ajouter : «En France, il y a une forte demande qui se justifie notamment par des besoins d’isolation des bâtiments, un marché de la rénovation en constante recherche de produits design et isolants ou encore par la quête de solutions pour des ouvrages à consommation énergétique quasiment nulle.»
« Nous voyons bien que la terre cuite a su évoluer notamment grâce à la créativité des architectes et au professionnalisme des façadiers qui la mettent en œuvre, conclut Jean-Marie Hauswald.
Erlus, une PME cotée en bourse
Toujours dans l’univers de la terre cuite, son voisin en Basse-Bavière Erlus dont son siège est à Neufahrn, s’étend sur 39 hectares et dispose de 7 gisements dans les environs. « Avec 3 sites de production à Neufahrn, Ergoldsbach et Teistungen ainsi que 4 pôles logistiques répartis dans le pays, Erlus qui emploie 495 salariés est une entreprise allemande spécialisée dans la fabrication de matériaux de couverture et de fumisterie », nous indique Claus Girnhuber, PDG de Erlus. Son chiffre d’affaires en 2011 ? 115,4 millions d'Euros.
Avec une production de 500.000 tuiles par jour, 42 millions par an et également 300.000 conduits de cheminée par an sur le site de Neufahrn, cette PME cotée en bourse s’impose en Allemagne et dans près de  vingt pays. « Nous poursuivons notre politique dédiée à l’export, nous signale Claus Girnhuber. Pour la France, cela progresse. Jusqu’ici les activités de distribution se sont concentrées sur les régions de l’Est de la France en Alsace, Lorraine et Franche-Comté avec un réseau de négociants de matériaux stockistes, strictement sélectionnés. »
Une stratégie commerciale offensive en France Afin de poursuivre sa stratégie commerciale offensive en France, le fabricant de tuiles vient d’annoncer deux nominations au sein de son équipe commerciale : Marc Maio devient délégué commercial de la région Alsace et Dominique Ginez prend la direction commerciale France.
« La demande croissante de matériaux pour toitures et conduits de fumées sur le territoire français représente pour nous un défi particulier. La focalisation claire et sans compromis de l'entreprise sur des produits haut de gamme et exceptionnels en matière de design et de fonctionnalité, est la garantie de gagner des parts de marché en France », nous confirme Dominique Ginez en Bavière sur le site référent de la société Erlus.
Source Batiactu par Sébastien Chabas

ERLUS AG : Nouvelle tuilerie Hi-Tech en Allemagne


Nouveau succès de CLEIA pour les projets de tuileries de hautes technologies : la société Allemande ERLUS AG vient de confier à CLEIA la réalisation d'une ligne de production de tuiles sur son site historique de production de Neufahrn / Niederbayern.
Le savoir faire et la maîtrise technologique de CLEIA pour les technologies de cuisson et de manutentions automatiques, ainsi que la confiance d’ERLUS AG envers les professionnels reconnus de CLEIA ont favorablement motivé la décision des dirigeants d’ERLUS.
La transformation de l’usine 2 répond à une demande du marché Allemand pour des tuiles de grande qualité et en particulier certains modèles de la gamme ERLUS.
Sur la ligne existante les tuiles étaient cuites avec des U dans un four traditionnel. La nouvelle installation conçue par CLEIA permettra de cuire les tuiles et des accessoires sur des supports unitaires de cuisson réfractaire de type H. ERLUS homogénéise ainsi la qualité de production de ses tuiles très appréciées par le marché.
La particularité de cette unité sera de pouvoir produire en même temps des tuiles et des accessoires plats. Après cuisson ces derniers seront reconnus puis prélevés sur le circuit principal et conditionnés sur une ligne spéciale.
Cette nouvelle unité comprendra un four à joint liquide ‘Hydro-Ecofast’ qui permet d’obtenir la meilleure qualité des tuiles, avec une étanchéité de cuisson optimale et sans équivalence.
Le four sera doté d’équipements et de brûleurs gaz CLEIA ultra performants, garantissant ainsi des consommations énergétiques très faibles.
L'ensemble des manutentions automatiques seront également fabriquées et installées par CLEIA, qui propose les solutions techniques les plus modernes et éprouvées.
L’unité de production sera pilotée par le système de supervision informatique Wincer.
La sortie des premières tuiles cuites du nouveau four est prévue dès le début de l’été 2013.
Source Cleia

23/10/2012

Le montage des murs en maçonnerie terre cuite gagne en productivité

Wienerberger lance une solution de collage horizontal rapide spécifiquement destinée à ses briques de structure rectifiées Porortherm.
Cinquante pour cent de gain de productivité sur les chantiers par rapport à une maçonnerie à la truelle, et 30% par rapport à une maçonnerie roulée : c’est la promesse que fait Wienerberger pour sa nouvelle solution de montage Dryfix dédiée aux murs porteurs en terre cuite à base de briques Porotherm. « La rapidité est l’avantage que tout le monde retient de ce procédé de collage, mais c’est le dernier que nous mettons en avant, après la fiabilité, la simplicité, la possibilité de travailler jusqu’à -5°C ou encore l’absence d’émission de COV», énumère Gérard Fouilloux, responsable marketing Briques de Wienerberger. De fait, pour profiter d'autant d'atouts, l’utilisation de ce liant monocomposant en mousse polyuréthanne réclame le respect d’un certain nombre de précautions relatives à la pose (réalisée avec un pistolet spécial) et aux conditions de stockage (debout, toujours à moins de 70°C, pendant une durée limitée et entre 10°C et 25°C la veille de l’utilisation). A tel point d’ailleurs que le liant Dryfix, conditionné en cartouches de 750 g, ne sera distribué qu’auprès des agences signataires d’une charte prévoyant notamment que les entreprises clientes devront avoir été préalablement formées.
Travail possible jusqu'à -5°C
Associé à un Avis Technique du CSTB (N°16/11-624), le procédé s’adresse exclusivement aux blocs de terre cuite rectifiés Porotherm de 15 à 30 cm d’épaisseur, pour les ouvrages en maçonnerie de type R+1 au maximum (hauteur limitée à 2,5 m pour des murs porteurs de 15 cm). Après la pose du premier rang sur une arase de mortier traditionnel, ajustée à l’aide des platines Porotherm, le liant Dryfix supprime tout besoin en eau, sauf humidification éventuelle des surfaces à fins d’accélération de la prise. « En cas de défaut, le produit ne permet aucun rattrapage de niveau : ce premier rang doit donc être parfaitement réalisé », insiste toutefois Gérard Fouilloux. Si en revanche tout est correct, les rangs suivants sont posés sur les briques préalablement dépoussiérées en appliquant au pistolet le ou les cordons de mousse (deux en général) d’environ 3 cm de diamètre et situés à 5 cm des bords. Les briques doivent alors être assemblées dans un délai de 3 minutes. Grâce à un accessoire double sortie à base de canules en plastique à écartement variable, la pose de deux cordons est possible avec un seul mouvement. Une cartouche permet en pratique de réaliser environ 40 m de cordon, ce qui représente 5 m2 de mur en moyenne. A noter également que le nettoyage du pistolet (au moyen d’une cartouche spécifique) n’est pas indispensable en fin de journée.
Source LE MONITEUR.FR par Jean-Charles Guézel

22/10/2012

Tuilerie Monier: Deux licenciements et trois départs volontaires

SIGNY- L'ABBAYE (Ardennes). Lors d'une réunion de comité d'entreprise qui a eu lieu le lundi 15 octobre, le directeur du site de la tuilerie Monier à Signy-l'Abbaye a annoncé aux représentants du personnel qu'un cadre (responsable de production) et un agent de maîtrise (technicien en extraction de terre) avaient été récemment licenciés « pour des raisons internes ».
Par ailleurs, trois autres cadres ou assimilés - un responsable process, un automaticien et un préparateur terre - ont quitté volontairement la société sans être pour autant remplacés. « Ce sont les aléas de la vie d'une entreprise », assure le dirigeant de l'unité ardennaise.
Après la réduction d'une équipe de production par arrêt de contrats intérimaires survenue cet été, Dallah Mekki a, par ailleurs, confirmé qu'en raison d'une baisse importante des volumes dans le secteur de la construction et d'un marché rétréci des ventes de maisons individuelles, une mesure de chômage partiel d'une à deux semaines pourrait être envisagée lors du prochain CE du 8 novembre avec une probable mise en pratique en fin d'année 2012.
Aucune précision supplémentaire n'a été donnée sur la façon dont seraient touchés les 90 salariés de la tuilerie signacienne.
En quête d'économies compte tenu de la mauvaise conjoncture et de l'érosion du marché, les dirigeants de Monier envisagent de stopper l'importation d'argile venant d'Allemagne pour tout concentrer vers la Belgique.
Aucune indication n'a été donnée sur la façon dont seraient touchés les 90 salariés de la tuilerie signacienne.
Ton cassant
Il faut en effet savoir que l'argile extraite à Signy-l'Abbaye est complétée par d'autres terres extérieures. Une pratique usitée sur d'autres sites Monier. Inquiet de la situation conjoncturelle de la tuilerie, le jeune militant socialiste Baptiste Touchon, sans vouloir mettre de l'huile sur le feu, entend malgré tout soumettre à Jean-Paul Bachy, président de l'exécutif régional, au commissaire du redressement productif et au préfet de Région l'idée d'une réunion tripartite rassemblant la direction du groupe, les représentants des salariés et les pouvoirs publics.
On remarquera qu'il n'a pas convié Benoît Huré à cet éventuel tour de table, lequel on s'en souvient n'avait à pas du tout apprécié, cet été, l'attitude et les prises de position de l'ex-candidat du PS aux cantonales de Signy-l'Abbaye dans ce dossier industriel.
D'un ton cassant, le président de l'exécutif départemental avait alors reproché à Baptiste Touchon, surnommé « la mouche du coche », de tenir des propos alarmistes susceptibles de jeter le trouble et le discrédit sur une entreprise qui a pourtant « rempli son contrat vis-à-vis des financeurs publics ».
Source L'UNION par Pascal REMY

La nouvelle tuile Galléane® 10 patinée de Monier

C'est en plein coeur de la cité phocéenne, dans la dernière tuilerie de la région Sud, que Monier fabrique sa nouvelle tuile, Galléane® 10 patinée. La nouveauté avec cette tuile réside dans son tout nouvel aspect qui restitue l'esthétique des toitures Canal d'antan.
Des tuiles esthétiques à la « patine » incomparable dans la pure tradition du Sud-Est de la France
C'est en plein coeur de la cité phocéenne, dans la dernière tuilerie de la région Sud, que MONIER produit sa toute nouvelle tuile, Galleane® 10 Patinée. Chargée d'histoire et de passion, cette tuilerie est le symbole d'une région, et le dernier bastion d'une industrie jadis florissante. Avec les tuiles Canal, Galléane® 10, Abeille, Romane, MONIER perpétue la tradition des toitures authentiques du Sud. Pour chacune d'elles, MONIER intègre ce savoir-faire ancestral, son expertise, et la recherche constante de performance. Depuis toujours acteur incontournable de la région Marseillaise, MONIER réécrit sans cesse l'histoire des toits méridionaux et cultive son héritage dans le respect de la tradition.
Des performances et une faculté de pose unique
La nouveauté de cette tuile réside dans son tout nouvel aspect qui restitue l’esthétique des toitures Canal d’antan. Aucune tuile ne se ressemble. En effet, la structuration est faite à partir de 6 empreintes différentes surmoulées sur d’anciennes tuiles de récupération. Le coloris Authentique apporte quant à lui un éventail de 4 couleurs associé à un poudrage aléatoire de 2 pigments. Cette association donne un rendu qui saura sublimer les plus beaux ouvrages de votre région. Pour parfaire l’esthétique Canal à l’égoût, nous avons développé un système de finition unique grâce à la Canal sablière et la demie-tuile structurées en sous-face.
D’autre part, la Galléane® 10 Patinée profite des performances qui ont fait la renommée de la Galléane® 10. Vous pourrez continuer à apprécier sa résistance. Ensuite, elle bénéficie toujours d’une facilité et d’une rapidité de pose grâce à un jeu longitudinal de 3cm et à un jeu latéral de 1,5cm.
Source DKOmaison