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11/06/2012

PARGNY-SUR-SAULX (Marne), le musée de la tuile rouvre ses portes


Ouvert quatre mois dans l'année, le musée de la tuile et de la terre cuite rassemble entre 350 et 400 pièces, plus surprenantes les unes que les autres.

Construite en 1931 le long de l'avenue du Bois du roi, la chapelle Sainte-Thérèse, dont les murs, la toiture, l'autel, le confessionnal et le chemin de croix sont en terre cuite, abrite un véritable trésor.
Entre 350 et 400 tuiles et accessoires de couverture sont exposés à l'intérieur de cet édifice, que les ouvriers de la tuilerie Gilardoni de Pargny-sur-Saulx utilisaient à l'époque comme lieu de culte. Depuis huit ans, l'association des Amis de la tuile, qui compte actuellement une vingtaine d'adhérents, fait de cette chapelle un véritable musée de la tuile et de la terre cuite ouvert quatre mois dans l'année. « L'édifice n'étant pas chauffé, l'hiver, il fait froid, prévient Bernard Parisse, 69 ans, secrétaire de l'association. Et puis, on n'accueille pas assez de monde. »
Exceptionnellement l'an dernier, lors du bicentenaire de la dernière tuilerie pargnysienne Imerys toiture, plus de 400 personnes ont visité le musée. « Les gens étaient étonnés de la diversité et de l'origine des pièces rassemblées », souligne Bernard Parisse.


« Ça fait un joli toit »
Le secrétaire de l'association se dirige vers ses tuiles préférées : « les losangiques », comme il les surnomme. Quelques-unes sont posées sur une petite charpente en bois. « Elles étaient fabriquées au XIXe siècle à Ludes, dans la Marne, par le tuilier Jacques-Remi Hure », explique-t-il. Il fallait trente-cinq de ces pièces pour couvrir un mètre carré, ce qui représente un poids de 52,5 kilos, la tuile pesant 1,5 kilo. « Jusque dans le motif, tout est conçu pour que l'eau puisse s'écouler sans glisser sous les tuiles, précise-t-il. Au final, ça fait un joli toit ! »
Grâce au don d'un mécène marnais, l'association des Amis de la tuile a pu acheter cette année une vitrine. Des tuiles miniatures y sont exposées pour la première fois, ainsi que d'anciennes factures et même des actions, dont 3 500 francs au porteur émis par Gilardoni Frères. Ces derniers avaient racheté en 1920 la tuilerie des Tarterets basée à Essonnes, près de Corbeil. « C'était la seule gérée en société anonyme », rappelle Bernard Parisse.


Clemenceau sur un médaillon
Le secrétaire de l'association montre également du doigt un gros médaillon en terre cuite réalisé par M. Chobert. Celui-ci représente un tigre. À la place de la tête de l'animal figure celle de Clemenceau, les pattes aplatissant quatre autres petites têtes, dont deux maréchaux allemands et l'empereur Guillaume II. Le slogan « Vaincre d'abord ! » y est gravé. « La terre cuite ne sert pas qu'à faire des tuiles ! » lance Bernard Parisse, large sourire aux lèvres.
À l'intérieur de la chapelle, les visiteurs pourront par ailleurs découvrir l'histoire de la société Huguenot à travers notamment des extraits d'un catalogue publié entre 1920 et 1930 par les frères Huguenot à Pargny-sur-Saulx. On y trouve un œil-de-bœuf art nouveau modelé par MM. Damain et Lehmann de Bar-le-Duc, d'après le croquis de M. Renaud, architecte à Bar-le-Duc. À côté, une photo de cet œil-de-bœuf prise sur une maison qui se trouve rue André-Theuriet à Bar-le-Duc. « Les vieux catalogues permettent d'identifier les pièces lorsqu'elles ne sont pas estampillées, explique Bernard Parisse. C'est très utile. »
Un saut dans le temps que les visiteurs pourront faire jusqu'au 16 septembre.

Le musée de la tuile et de la terre cuite sera ouvert les dimanche 1er juillet, 5 et 26 août, 16 septembre, ainsi que le jeudi 19 juillet, de 14 à 18 heures. Entrée gratuite.
Source L’Union par Stéphanie GRUSS

10/06/2012

CERIC Technologies participe au salon Libyabuild



Les solutions présentées par CERIC Technologies pour la fabrication de briques et tuiles en Terre Cuite ont rencontrées un vif succès à l’occasion du salon Libyabuild, organisé du 20 au 24 mai 2012 à Tripoli.

Les nombreux visiteurs ont apprécié les nouveaux développements de la gamme préparation Terre, les solutions de séchage et de cuisson (four CASING) et de manutention.

Conjoncture économique défavorable et chômage partiel


Le chômage partiel est un dispositif qui permet aux entreprises confrontées à des difficultés économiques de réduire ou de suspendre temporairement leur activité, tout en assurant aux salariés une indemnisation en compensation de la perte de salaire qui en découle.
Cette indemnisation, assurée par l'employeur, est partiellement prise en charge par l'État.

Le chômage partiel peut être mis en place dans l'une des situations suivantes :
  • en cas de conjoncture économique défavorable,
  • en cas de difficultés d'approvisionnement en matières premières ou en énergie,
  • en cas de sinistre ou d'intempéries à caractère exceptionnel,
  • en cas de transformation, de restructuration ou de modernisation de l'entreprise,
  • lors de toute autre circonstance de caractère exceptionnel.

Certaines catégories de salariés ne peuvent pas bénéficier du chômage partiel. Il s'agit :
  • des salariés dont le chômage est provoqué par un conflit collectif de travail,
  • des salariés dont la durée du travail est fixée par forfait en heures ou en jours sur l'année. Toutefois, ces salariés bénéficient du chômage partiel en cas de fermeture totale de leur établissement,
  • des chômeurs saisonniers, sauf s'ils démontrent que leur situation de chômage est exceptionnelle à l'époque de l'année à laquelle elle se produit. Pour cela, le chômeur saisonnier doit apporter la preuve qu'au cours d'une des 2 années précédentes, il occupait à la même époque et pendant la même période un emploi salarié dont il tirait une rémunération régulière.


Préalablement à la mise en chômage partiel de ses salariés, l'employeur doit consulter le comité d'entreprise, ou, à défaut, les délégués du personnel.

Indemnités horaires de chômage partiel
  • Les heures chômées donnent lieu au versement d'indemnités horaires de chômage partiel en compensation de la perte de salaire.
  • Ces indemnités horaires sont égales au minimum à 60 % de la rémunération horaire brute du salarié, sans qu'elles puissent être inférieures à 6,84 € par heure.
  • Elles sont versées par l'employeur à la date habituelle de versement du salaire.
  • En cas de chômage partiel, les heures supplémentaires, même contractuelles, ne sont pas indemnisables.

Durée du chômage partiel
  • En cas de réduction d'activité
En cas de réduction du temps de travail, l'indemnisation du chômage partiel n'est pas limitée dans le temps, mais le nombre d'heures chômées indemnisables est limité à 1.000 heures par an.
Si la réduction du temps de travail se poursuit pendant plus de 2 mois, l'employeur peut conclure avec l'État une convention d'activité partielle de longue durée (APLD). 
Le salarié bénéficie alors d'indemnités horaires d'APLD, qui sont plus élevées que les indemnités horaires de chômage partiel.
  • En cas de suspension d'activité
En cas de suspension d'activité (fermeture de l'entreprise), le versement d'indemnités horaires de chômage partiel par l'employeur est possible pendant 6 semaines consécutives maximum (42 jours).
Au-delà de 42 jours, le salarié peut percevoir des allocations chômage de la part de Pôle emploi pendant 3 mois : il doit faire sa demande d'indemnisation auprès de Pôle emploi et remplir les conditions exigées de la part de tout demandeur d'emploi (à l'exception de celle relative à la rupture du contrat de travail). Le contrat de travail n'est pas rompu, le salarié reste en situation de chômage partiel.

Si la suspension d'activité se poursuit au-delà de 3 mois, le préfet décide, compte tenu de la situation de l'entreprise, si le salarié peut continuer à être indemnisé au titre du chômage partiel :
  • en cas de décision positive du préfet, le salarié continue d'être indemnisé par Pôle emploi au titre du chômage partiel pendant 3 mois supplémentaires maximum (soit 6 mois au total) et l'employeur doit engager au cours de cette période une procédure de licenciement,
  • en cas de décision négative du préfet, le contrat de travail est considéré comme rompu. 
En cas de rupture du contrat de travail (à la fin des 3 mois ou des 6 mois), le salarié est indemnisé au chômage par Pôle emploi comme un demandeur d'emploi à part entière.

Situation du salarié en chômage partiel
La mise en chômage partiel du salarié entraîne la suspension de l'exécution de son contrat de travail.
Durant cette période, le salarié peut suivre des formations en dehors du temps de travail. Il peut alors cumuler ses allocations de chômage partiel et les allocations de formation dans la limite de sa rémunération nette antérieure.
Le salarié peut éventuellement cumuler un autre emploi pendant la période de suspension de son contrat à condition :
  • de respecter le principe de loyauté et de non-concurrence,
  • de respecter la durée légale du travail,
  • et d'être toujours à la disposition de son employeur en cas de reprise d'activité anticipée. Il doit rompre le contrat de travail de l'emploi cumulé.
Il peut cumuler ses allocations de chômage partiel et son salaire.
Source Service Public

09/06/2012

Algérie - intérêt italien pour le marché algérien des matériaux de construction


Les opérateurs italiens du secteur des matériaux de construction accordent "un intérêt particulier au marché algérien non seulement pour l’exportation de leurs produits mais aussi pour y réaliser des investissements", a indiqué jeudi le directeur de l’Institut italien pour le commerce extérieur (ICE) à Alger, Giuseppe Agostinacchio.

"Le marché algérien des matériaux de construction constitue pour nous le plus important marché au niveau maghrébin et méditerranéen car c’est l’un des plus proches géographiquement et qui présente le plus d’opportunités d’affaires", a précisé M. Agostinacchio lors d’une conférence de presse tenue en marge du 15ème salon du Bâtiment "Batimatec".

L’Italie, deuxième fournisseur de l’Algérie et également son 2ème client, est présente à ce salon avec 65 entreprises, qui exposent sur un espace de 1.300m² leurs innovations dans les machines, installations et équipements entrant dans la production de divers matériaux de construction.

Les entreprises italiennes sont intéressées par cette exposition, qu’elles considèrent comme la plus importante d’Afrique, non seulement pour l’exportation mais aussi pour établir des relations de partenariat avec un pays (l’Algérie) qui connaît une stabilité financière par rapport aux autres pays notamment européens, selon ce responsable.

Toutefois, ce dernier n’a pas manqué d’évoquer certaines contraintes qui entravent l’investissement en Algérie, notamment en matière de législation et de procédures pour la réalisation de partenariats, mais ceci n’a pas empêché plusieurs sociétés italiennes à chercher des partenaires algériens.

"Il y a plusieurs entreprises italiennes spécialisées dans la construction et les matériaux de construction qui sont en contact avec leurs homologues algériennes pour discuter des projets de partenariats", a précisé ce responsable.

De son côté, un responsable d’une association italienne des constructeurs de matériaux de construction, regroupant une centaine de sociétés, a indiqué que le marché algérien est devenu un marché important car le secteur de la construction est en essor en Algérie contrairement à l’Europe où ce secteur connaît un déclin.
Source Maghrebemergent

SAINT-GOBAIN annonce l'acquisition de Celotex


Saint-Gobain (SGO 27.52 -1.08%) a annoncé l'acquisition de Celotex, le producteur britannique de mousses isolantes de haute performance. La société, qui emploie 170 personnes, a annoncé pour l'exercice fiscal 2011 un chiffre d'affaires de 69,7 millions de livres (soit 86,7 millions d'euros). Elle vient par ailleurs d'investir 3 millions de livres (3,7 millions d'euros) dans un nouveau centre d'innovation et de distribution. Par ailleurs, ce marché n'est pas inconnu au français Saint-Gobain.
En effet, implanté sous la marque Isover en Grande Bretagne, le fabricant des matériaux de construction a ainsi souhaité renforcer sa présence sur ce marché.

AOF - EN SAVOIR PLUS
- La thématique de l'efficacité énergétique des bâtiments est porteuse en France (27% du CA du groupe) et devrait rester un sujet important du prochain quinquennat quel que soit le gagnant de l'élection présidentielle ;
- Le groupe fait également du solaire un axe de développement majeur ;
- La branche Distribution Bâtiment (45% du CA) bénéficie de l'enracinement local de ses implantations, ce qui lui procure une connaissance des besoins de ses clients sans équivalent et un fort pouvoir de négociation avec ses fournisseurs ;
- Dans un contexte d'inflation des coûts, Saint-Gobain dispose d'une forte capacité à répercuter la hausse des coûts dans ses prix de vente.
Les points faibles de la valeur


- Les inquiétudes sur la croissance économique dans les pays matures pèsent directement sur une valeur cyclique comme Saint-Gobain qui réalise près de 80% de son activité dans le secteur de la Construction ;
- Qui plus est, l'Europe représente encore plus de 70% du chiffre d'affaires du groupe, ce qui est interprété actuellement comme un point faible. Mais le groupe ne réalise que 5% de son chiffre d'affaires en Europe du Sud et est bien positionné sur les pays en croissance (20% du CA en Allemagne et Scandinavie) ;
- La part de l'activité dans les pays émergents n'est pas encore suffisante ;
- La valeur affiche toujours une décote par rapport à ses pairs.
Comment suivre la valeur

- Le cours de l'action est corrélé aux données macroéconomiques car Saint-Gobain exerce une activité cyclique ;
- La conjoncture du secteur du BTP, à travers notamment l'évolution des mises en chantier et des permis de construire, est à surveiller de près ;
- Saint-Gobain réalise près de la moitié de ses résultats hors zone euro et est donc sensible aux variations de change ;
- Les cours des matières premières influent sur les performances du groupe ;
- Le groupe souhaite réaliser de petites opérations dans les pays émergents, l'efficacité énergétique ou le solaire ;
- Le plan stratégique 2011-2015 et les objectifs de croissance qui y sont attachés pourraient réduire la décote du titre et entraîner une revalorisation boursière. Le groupe souhaite conquérir un statut de valeur de croissance ;
- Avec la cession prévue de Verallia, l'activité conditionnement de Saint-Gobain, le groupe va poursuivre son recentrage et son désendettement. Mais l'introduction en Bourse a été reportée en raison des conditions de marché ;
- Le marché s'interroge régulièrement sur les intentions de Wendel, l'actionnaire de référence.

LE SECTEUR DE LA VALEUR
Construction - Matériaux
La plupart des analystes financiers sont prudents sur le secteur et estiment que 2012 devrait être une année difficile. Si les volumes du marché mondial (hors Chine) devraient croître de 3,5%, les augmentations de prix sont jugées insuffisantes pour compenser la hausse des coûts de production. En revanche, malgré les difficultés anticipées de la construction en Europe du fait d'un climat économique morose, Fitch considère que les perspectives de crédit sont stables pour le secteur des matériaux de construction. Les entreprises bénéficient de bilans assainis, avec des niveaux de trésorerie élevés et un risque de refinancement limité. L'agence anticipe que cette année, les difficultés devraient être semblables à celles de 2011, avec une faible croissance de la demande et des marges en retrait. Les volumes ne devraient que faiblement croître sur les marchés matures. Ils pourraient même régresser dans certaines régions. La demande sera plus dynamique sur les marchés émergents, mais certains marchés (comme l'Inde) pâtiront de surcapacités et d'une hausse des coûts.

DERNIERE RECOMMANDATION SUR LA VALEUR
Société Générale a réitéré sa recommandation à Achat sur Saint Gobain et son objectif de cours à 45 euros. Le chiffre d'affaires du premier trimestre est ressorti supérieur aux attentes du broker.

CONSENSUS DES PROFESSIONNELS
D'après le consensus de marché calculé à la date du 06/06/2012, les analystes conseillent d'acheter le titre SAINT-GOBAIN. En effet, sur un total de 9 bureaux d'études ayant fourni des estimations, 8 sont à l'achat et 1 est neutre. L'indice de recommandation AOF, reflétant l'avis moyen des analystes et s'étendant de -100% à +100%, est de 89%. Enfin, l'objectif de cours moyen est de 42,01 EUR. Le consensus précédent conseillait d'acheter la valeur .
Source Capital

08/06/2012

Le plan de la briqueterie Tellus-Ceram validé


Le tribunal de commerce lève la procédure de redressement judiciaire.

La briqueterie centenaire de Monsempron-Libos, Tellus-Ceram, spécialisée dans les produits réfractaires, n'est plus en redressement judiciaire. La décision espérée après l'examen du dossier le 15 mai par le tribunal de commerce a été rendue hier après-midi par les magistrats agenais. Ces derniers ont donc validé le plan présenté par l'entreprise dirigée par Mesmin Béragnes qui s'appuie sur un partenariat noué avec le groupe anglais Sistac.
400 000 euros

Le plan social craint par les 35 salariés de la briqueterie est donc écarté. « Nous sommes très satisfaits de cette décision, indique Benjamin Arboux, délégué du personnel à Tellus-Ceram. La levée de cette mesure de redressement va permettre de redonner confiance à nos clients ».

En difficulté depuis le faux bond d'un de ses clients à hauteur tout de même de 400 000 euros, Tellus-Ceram (3,6 millions de chiffres d'affaires en 2011) espère retrouver de la croissance et regonfler ses carnets de commande grâce à une synergie opérée avec le groupe anglais Sistac sur le plan commercial. Il s'agirait pour les deux entités de s'unir pour compléter leurs gammes et donc de proposer à chacun de leur clientèle leurs produits respectifs. Le groupe britannique ne rentre pas dans le capital de Tellus-Ceram qui, libérée de sa tutelle judiciaire, retrouve sa liberté d'agir. Maiss la prudence reste de mise parmi les salariés qui estiment que « le plus dur reste encore à venir ».
Source Sud Ouest

Schiedel, the leading supplier of prefabricated chimney systems in Europe with the widest choice of chimney and flue products.


Part of the Monier group, Schiedel is at the forefront in product and service innovation, with systems and solutions that are reliable, innovative and cost-effective.
Our products conform to the most stringent standards of design, manufacture and performance required world-wide, and are CE certified in accordance with EN1856 and manufactured under BS EN ISO 9001-2000 quality control systems.

Whether it’s a multi-flue chimney, a fan dilution system or a generator exhaust, Schiedel has a product to suit every commercial or industrial application. We also offer a full CAD design service and technical support.

 Both in the private and public-sector Schiedel Rite-Vent has unrivalled experience that you can rely on whatever the scale or nature of your project – from chimneys to exhaust and venting systems.
On-site, our technical team can provide site analysis and application advice as required.
Schiedel can design and manufacture for projects in the U.K. and Europe, and arrange for on-site installation from a small commercial installation to a large industrial application.

07/06/2012

Moeding leader du bardage terre cuite - s'impose sur le marché français


Leader du bardage rapporté terre cuite en Allemagne, Moeding s'impose aujourd'hui comme partenaire privilégié sur le marché français. La grande variété de couleurs, finitions et formats,  associée à une qualité irréprochable et à des performances techniques élevées contribuent au succès croissant de cette marque en France.
Pionnière dans le développement des bardages rapportés terre cuite dans les années 80, Moeding a su garder son approche artisanale tout en développant  ses outils et procédés de fabrication pour devenir un industriel performant  et un partenaire fiable et durable. Impliquée dans de nombreux projets de grande envergure, l'entreprise Moeding s'adapte aux exigences et particularités architecturales, notamment par le développement de formats ou finitions spécifiques.

Par amour de la Terre ...
Imprégnée par la culture allemande très sensible aux questions environnementales, Moeding a depuis toujours été très attentive à son impact sur l'environnement. Elle utilise des matières premières nobles et naturelles, produit en minimisant les rejets de gaz à effet de serre,  développe de nouvelles solutions d'ossature aluminium, recycle et analyse le cycle de vie du produit participant ainsi aux démarches HQE et de développement durable.
Exploitées depuis la période romaine,  les carrières d'argiles et de lœss locales fournissent aujourd'hui encore la grande majorité des matières premières pour la fabrication des produits Moeding.

Façades en terre cuite pour une enveloppe écologique et durable
Les nouvelles réglementations énergétiques françaises, l'explosion du marché de l'isolation thermique par l'extérieur, les nouvelles attentes en terme de confort acoustique et de confort d'été sont des problématiques auxquelles Moeding
Source EspaceDatapress

06/06/2012

Pierre versus Brique : Le combat des poids lourds


Liant esthétisme et durabilité, les constructions en pierre ou en brique sont toujours un choix gagnant. Mais entre les deux, qui gagnerait le combat ? Allons voir.

Round 1 : Écologie

La brique est un matériau naturel réalisé à base de terre cuite. Elle n'émet aucun produit nocif ni lors de la construction, ni au fil des ans. Quant à la pierre, il s’agit évidemment d’une ressource recyclable, non polluante et inépuisable. Verdict : égalité.

Round 2 : Qualité du produit

Isolant naturel, solide, noble, incombustible… La brique et la pierre font toutes les deux le poids. Cependant, la porosité de la brique lui confère une grande capacité d’absorption. Ceci fait en sorte qu’elle peut accumuler la chaleur pendant la journée pour la restituer la nuit. Elle préserve aussi la qualité de l'air intérieur en limitant la condensation et les moisissures et est une meilleure barrière sonore que la pierre. Quant à l’installation, un mur en brique sera plus facile à installer principalement à cause de son poids. Cependant, la pierre comme la brique ne nécessitent aucun entretien Verdict : avantage Brique.

Round 3 : Allure

Une maison en brique propose une ambiance sympathique et chaleureuse. Quant à elle, la pierre donne un aspect plus propre, plus chic. D’un autre œil, l’un comme l’autre convient autant aux styles moderne ou traditionnel. Verdict : décision partagée.

Round 4 : Coût

Les coûts des matériaux varient énormément selon la ville où la maison sera située. La disponibilité des matériaux fera en sorte que l’un sera plus dispendieux que l’autre. Il n’y a pas de règle générale ou de tendance. Verdict : égalité.

Ainsi, il semble que la brique ait un léger atout sur la pierre, mais rien de majeur. Vous pouvez donc vous en remettre à la plus agréable des raisons pour choisir votre revêtement : vos goûts personnels. Personnellement, je préfère la pierre, mais en ce qui concerne le choix du revêtement de votre résidence, ce n’est pas de mes affaires
Source Edition  Beauce

Michèle Malmanche n'est plus


«Michèle laissera un vide immense au sein de l'équipe. C'était une personne de confiance». François Weller, maire d'Abzac, est encore sous le choc de voir disparaître Michèle Malmanche, 64 ans, sa 1re adjointe. Native de Saint-Aubin-du-Plain (79), Michèle Malmanche avait épousé Roland Malmanche, l'un des dirigeants de la tuilerie de Chardat d'Abzac. Pour s'occuper de ses trois enfants Emilie, Justine et Romain elle avait quitté son emploi de secrétaire à Poitiers et s'était consacrée à son foyer. En 2008, elle se présente comme conseillère municipale, est élue et toujours très disponible s'implique dans tous les dossiers de la commune. Elle était déléguée communautaire, membre du CCAS et du CIAS et de la Confrérie Saint-Lucius et Émérite. Ses obsèques seront célébrées cet après-midi à 16h à l'église d'Abzac (Repro CL).
Source La Charente Libre

05/06/2012

Tellus Ceram. Sortie du tunnel pour la briqueterie ?


Dans le Fumélois, la mobilisation, syndicale ou pas, n'est pas une légende. Le 16 Mai , une petite vingtaine des salariés de Tellus Ceram, toujours appelée briqueterie, s'est retrouvée devant la porte du tribunal de commerce à Agen. Au bout d'une petite heure d'audience à huis clos, le représentant du personnel Pascal Adalbert est sorti. Avec un sourire prudent, mais avec un sourire, malgré tout.
Un trou de 400 000€

Le 5 juin, le tribunal de commerce pourrait permettre à cette entreprise d'une quarantaine de salariés de sortir de son redressement judiciaire, et des dommages collatéraux causés par un donneur d'ordre, un client, qui a fait faux bond à hauteur, semble-t-il, d'environ 400 000 €. Un peu beaucoup pour une société dont le chiffre d'affaires 2011 était de 3,6 M€.

Spécialisée dans les matériaux réfractaires entre autres, Tellus Ceram pourrait ainsi sortir par le haut d'une mésaventure qui a fait s'opposer le chef d'entreprise Mesmin Béragnes, et les salariés, sur les modalités d'une réorganisation interne. « Lors d'une audience précédente du tribunal de commerce », explique le représentant du personnel Pascal Adalbert, « on craignait vraiment la liquidation judiciaire… ».

Avant le 5 juin, le juge-commissaire du tribunal de commerce doit en effet valider un montage juridique original au sens littéral du terme : pour raffermir ses positions, Tellus cherche à s'associer au groupe britannique Sistac pour la commercialisation de ses produits. « Il ne s'agit pas de restructuration », réaffirmait hier le chef d'entreprise, pour contredire les doutes qui peuvent encore germer au sein du personnel. Et Mesmin Béragnes d'expliquer que son entreprise possède quelque 1,5 million d'€ de stocks. « Il faut un flux que seul un distributeur qui va chercher les marchés peut générer pour libérer ces stocks ».

C'est le chemin que veulent suivre les dirigeants de cette entreprise industrielle emblématique du Fumélois pour un nouveau départ attendu à la rentrée. Sans perte d'emplois, assure son PDG.
Source La Dépêche

04/06/2012

La tuilerie Monier de Limoux obtient deux trophées : sécurité et performance industrielle !


La performance productive et la sécurité dans le fonctionnement d'une usine ne sont pas forcément antinomiques. La preuve en a été donnée récemment par la société Monier, spécialisée dans la fabrication de produits de tuilerie. En effet, les responsables de l'unité limouxine ont reçu deux trophées importants. Le premier récompense l'usine française qui a obtenu les meilleurs résultats en matière de sécurité au travail, tant au niveau du nombre d'accident qu'à celui du comportement au travail. L'usine a ainsi franchi le cap des 2 000 jours sans accident, soit 5 ans, un résultat exceptionnel. Un second trophée est également venu récompenser l'unité limouxine. Il s'agit de la médaille d'or récompensant la performance industrielle. Cet excellent résultat situe le site limouxin parmi les trois meilleurs classés sur les 150 compris dans le groupe.  
Source La Dépêche

03/06/2012

ADLER TECHNOLOGIES Des solutions clés en main pour gagner en productivité

Adler Technologies fabrique et commercialise des solutions clés en main entièrement automatisées pour la mise en forme du béton. Présente sur le salon Intermat, l’entreprise a mis l’accent sur les solutions dédiées aux gains de productivité.

Elle a présenté une solution permettant de réduire les temps de réglages des pontets nécessaires à la maîtrise de la hauteur des produits : un nouvel appareil de mesure permet d’obtenir d’une façon rapide et précise (au 0,01 mm près), le décalage en hauteur des frappeurs par rapport aux pontets. Le gain moyen constaté du temps de contrôle est supérieur à 30 min par rapport à une solution classique.
Dans la même optique, Adler Technologies propose le système VIP (Valeurs Intégrées au Process) afin de réduire les temps de changement de production et les erreurs de saisie des paramètres (la modification des paramètres de production est entièrement automatisée lors du changement de moule). Ce souci de gain de productivité et de simplification des opérations de contrôles et des activités de maintenance se retrouve aussi dans la gamme de solutions d’automatisation et de gestion de centrale à béton proposées par la division automatisme d’ADLER Technologies. Cette gamme offre la possibilité de gérer de manière simple et conviviale, les commandes, le process et la facturation. La maintenance des sites de production est faite par télémaintenance et inclut la mise à jour des logiciels. Il est même possible de prendre la main sur les écrans de contrôle à distance via un Smartphone ou une « tablette » depuis n’importe quel endroit du globe. Enfin, notre système de planification et de suivi des véhicules s’adapte à la plupart des systèmes de géo-localisation existants, assurant ainsi la gestion en temps réel de la disponibilité des camions à l’aide d’un dispatch très graphique et intuitif. Adler-Technologies fabrique et commercialise des solutions clés en main entièrement automatisées pour la mise en forme du béton. A Intermat, l’entreprise a souhaité mettre l’accent sur les produits ciblés pour les gains de productivité. Concernant la maîtrise de la hauteur des produits nécessitant un réglage des pontets régulier, Adler-Technologies a développé un appareil de mesure permettant d’obtenir d’une façon rapide et précise (au 0,01 mm près), le décalage en hauteur des frappeurs par rapport aux pontets, ceci afin de minimiser les temps de contrôle. Le gain moyen constaté du temps de contrôle est supérieur à 30 min par rapport à une solution classique.

02/06/2012

Première édition du Festiv-argile ce week-end - Bavent


Pour la première année, le comité des fêtes de Bavent, en collaboration avec la Poterie du Mesnil de Bavent et l'usine Terreal, organise le festival Festiv-argile. Objectif : faire connaître aux habitants de la commune et à toute la région, la richesse de la terre d'où est prélevée l'argile pour fabriquer des tuiles et des épis de faîtage.

C'est pourquoi les portes de la poterie comme celle de l'usine de tuiles seront ouvertes aux visiteurs gratuitement, et une navette proposée au départ du centre de Bavent.

Un groupe de sculpteurs travaillera devant le public avec un thème bien précis, tout au long du week-end.

Le programme de samedi

9 h, ouverture du Festiv'Argile. À 10 h, lancement du concours de sculpture, début des animations pour les enfants à la Poterie et dans le parc de la mairie, ouverture du marché des potiers. À 14 h, début des visites de la Tuilerie (sur inscription) et de la Poterie, fin des visites à 17 h. À 18 h 30 fermetures des installations.

À 19 h, début de la soirée normande (sur inscription) à la salle des Arts et des loisirs.

Le programme de dimanche

10 h, ouverture du marché bio et des stands des potiers, début des animations pour enfants à la Poterie et dans le parc de la mairie, soins à base d'argile par une esthéticienne au foyer des jeunes (sur inscription). À 14 h, reprise des visites de la Tuilerie et de la Poterie, à 16 h clôture du concours de sculpture, à 16 h 30 fin des visites. À 17 h, fermeture des stands et à 18 h remise des prix du concours et vin d'honneur.

Samedi 2 et dimanche 3 juin, Festi-argile. Pour tous renseignements, s'adresser à Émilie Laugeois 06 71 06 95 99.

Périgueux- Saint-Pierre-de-Frugie La chapelle restaurée


Les travaux de restauration de la chapelle funéraire et des vitraux de l'église romane de Saint-Pierre-de-Frugie, réalisés en partenariat avec la Fondation du patrimoine, ont été inaugurés samedi. Cet événement, qui s'est déroulé en présence de nombreux élus et des représentants de la Fondation, a donné lieu à la bénédiction de la chapelle funéraire par Mgr Michel Mouïsse, évêque de Périgueux et Sarlat.

Cette chapelle, édifiée en 1839 par Mme Labrousse pour qu'y soit déposée la dépouille de son époux, avait été détruite par la tempête de 1999 et c'est à la demande des descendants que, dès 2008, la nouvelle municipalité a jugé opportun de la reconstruire. Des recherches auprès d'habitants qui l'ont connue, la collecte de photos et la localisation exacte des fondations ont permis de se faire une idée assez précise de l'édifice tel qu'il avait été à l'origine.
Les dons des descendants de la famille Labrousse, fortement mobilisés, la participation et la subvention de la Fondation du patrimoine, l'entreprise Terreal avec la fourniture des tuiles ont permis à la municipalité d'entreprendre rapidement cette reconstruction.
Mobilisation générale

Les travaux ont également été réalisés par des employés communaux (Guillaume Claude et Joël Faymendy), dont le maire a souligné la qualité du travail, des bénévoles et les entreprises Depré-Provenzano, de Miallet (maçonnerie et couverture), Martin LG de Nontron (vitraux), Jérôme Turcotti de Saint-Hilaire-les-Places (ferronnerie), et JME (électrification).

La commune de Saint-Pierre-de-Frugie a été distinguée pour la restauration de cette chapelle et la municipalité a ainsi été encouragée à poursuivre ses actions pour la sauvegarde et la protection du patrimoine.

C'est en effet à l'occasion du 23e concours pour la sauvegarde du patrimoine que le prix national lui a été décerné par la Société pour la protection des paysages et de l'esthétique de la France, le dossier du concours ayant été réalisé par Véronique Freconnet, secrétaire de mairie. Le maire a insisté sur l'investissement dans ce projet et son intérêt pour le patrimoine de la commune.
Source Sud Ouest par Philippe Pagès

01/06/2012

SOLVAY FINALISE LA CESSION DE SA PARTICIPATION DANS LA SOCIETE PIPELIFE A WIENERBERGER


Solvay et Wienerberger ont finalisé la cession de la participation de 50% de Solvay dans le capital de Pipelife, l'un des leaders mondiaux dans la fabrication de tubes en plastique, à Wienerberger.

Pour Solvay, cette opération s'est faite sur la base d'une valeur d'entreprise de 257 millions EUR, un montant qui prend également en compte les dettes diverses et engagements de retraite estimés à 85 millions EUR.

Solvay a reçu en contrepartie de ses actions un paiement en cash de 172 millions EUR, dont 10 millions EUR au titre d'un dividende spécial.

Pipelife est l'un des leaders mondiaux dans la fabrication de tubes en plastique. Basée à Vienne en Autriche, Pipelife opère sur 29 sites de production et emploie 2600 personnes dans 27 pays. La société a réalisé un chiffre d'affaire de 800 millions EUR en 2011.

Wienerberger est le leader mondial de la brique (Porotherm, Poroton, Terca) ainsi que le leader du marché des tuiles en terre cuite (Koramic, Tondach) en Europe et des pavés en terre cuite (Semmelrock) en Europe centrale et de l'Est. Dans le domaine des tubes (tubes en céramique Steinzeug-Keramo et tubes en plastiques Pipelife), la société est l'un des leaders en Europe. Avec un réseau de 232 usines, Wienerberger a réalisé un chiffre d'affaires de 1.555 millions EUR et un EBITDA opérationnel de 214 millions EUR sur les 9 premiers mois de 2011.

Solvay est un groupe chimique international, résolument engagé dans le développement durable et clairement focalisé sur l'innovation ainsi que l'excellence opérationnelle. Il réalise plus de 90% de ses ventes dans des marchés où il figure déjà parmi les trois premiers mondiaux. Solvay propose une large gamme de produits qui contribuent à améliorer la qualité de la vie et la performance de ses clients dans des marchés tels que les biens de consommation, la construction, l'automobile, l'énergie, l'eau et l'environnement ainsi que l'électronique. Le Groupe, dont le siège se trouve à Bruxelles, emploie environ 29.000 personnes dans 55 pays, et a réalisé un chiffre d'affaires de 12,7 milliards d'EUR (pro forma) en 2011. Solvay SA (SOLB.BE) est côté à la Bourse NYSE Euronext de Bruxelles et de Paris (Bloomberg: SOLB.BB - Reuters: SOLBt.BR).

31/05/2012

IMERYS « Étendre la couverture aux achats de faible montant »


La branche matériaux de construction d'Imerys, groupe international spécialisé dans la valorisation des minéraux industriels, utilise la solution de P2O et de gestion de contenu (APC) Ariba pour contrôler près de 50 % de ses achats. L'avis de Lionel Willaert sur le déploiement de cette solution.



Lionel Willaert, directeur des achats et de la supply chain, groupe Imerys

Lionel Willaert : en préambule, je voudrais préciser qu’Imerys est un groupe international présent sur les cinq continents et que notre organisation des achats est décentralisée. En faisant migrer, pour partie, les achats de la branche matériaux de construction vers la solution d’e-achats d’Ariba (NDLR : qui vient d'être rachetée par la branche américaine de SAP, SAP America, Inc) nous sommes restés très vigilants sur le maintien du niveau de service, à la fois pour nos acheteurs et nos fournisseurs. Au quotidien, la stratégie achats déployée est assez traditionnelle, avec des offres fournisseurs regroupées dans des catalogues validés par les acheteurs sur la base de prix négociés. La solution mise en place avec Ariba permet de faire ­cohabiter dans un même cadre de gestion d’un portefeuille des fournisseurs disposant de catalogues créés et traités par Ariba, et des catalogues fournisseurs préexistants, propres à ­Imerys. Tout cela en s’appuyant sur un moteur de recherche dédié qui, sans être un “Google bis”, offre une ergonomie satisfaisante. Les échanges de propositions et contre-propositions de prix s’effectuent de façon traditionnelle, conformément aux conditions contractuelles générales retenues. Ariba endosse ici une responsabilité d’intermédiaire garantissant l’exactitude des données échangées et mises en ligne dans les catalogues. À l’aide de cette ­solution, nous souhaitons étendre la couverture des achats gérés en ligne aux dépenses à faible montant unitaire qui, cumulées, représentent des montants significatifs.

Quel est le périmètre de déploiement de cette solution ?

Le déploiement de cette nouvelle plateforme a une vocation européenne, et sera étendu aux autres divisions du groupe suivant leurs priorités de gestion respectives. Ceci est d’autant plus attractif pour les fournisseurs qu’un certain nombre d’entre eux sont Européens. En ce qui concerne la typologie des achats, il s’agit surtout de consommables, de pièces de maintenance et de tous types d’achats pour la branche construction d’Imerys.

Quels perfectionnements seraient souhaitables ?

Une des complexités tient à l’hétérogénéité des nomenclatures et dénominations que les fournisseurs utilisent. Un marqueur reste un Stabilo et un collier de serrage reste un Serflex, par exemple. Mais les outils d'e-achats aident à bâtir une stratégie fournisseurs par la mise en place de catalogues avec des fournisseurs choisis qui, eux-mêmes, bénéficient de la globalisation des besoins du client.

Comment avez-vous accompagné le changement au sein de votre organisation ?

L’initiative est prise par les entités elles-mêmes, et les acheteurs/approvisionneurs sur site jouent un rôle-clé dans le déploiement. Pour susciter l’adhésion des équipes, nous avons communiqué sur des cas concrets afin d'expliquer les bénéfices de ce changement, et nous avons accentué nos efforts sur la mise en œuvre de bonnes pratiques de management achats sur la plateforme.
Source Décision Achats par Emmanuelle Serrano

Matériaux de construction : prévisions revues à la baisse


Dans un contexte assez général de repli des indicateurs de confiance et du climat d’attentisme qui prévaut depuis cet hiver, la production de granulats et de BPE a accusé un recul en avril.
La Commission économique de l’Union nationale des industries de carrières t matériaux de construction (UNICEM) révise à la baisse ses prévisions d’activité, les portant à - 4 % pour les granulats (contre - 3 % prévus en mars) et à - 5 % pour le BPE (contre - 4 %).
Elle confirme que l’activité perdue au mois de février ne sera pas rattrapée, dans un contexte climatique qui, par ailleurs, est apparu peu favorable en avril et en mai.
Si les signaux conjoncturels ne poussent pas à l’alarmisme, ils n’en demeurent pas moins très partagés et les incertitudes politiques ne sont que partiellement levées dans l’attente des échéances des élections législatives.
La lisibilité conjoncturelle du premier trimestre est cependant très brouillée par les intempéries de février qui masquent les résultats relativement corrects des mois de janvier et de mars.
Aussi, le repli de l’activité constaté entre avril 2012 et avril 2011, d’environ - 3 % (en données cvs-cjo) pour les granulats et de - 6 % pour le BPE ne doit-il pas être interprété comme la confirmation d’une forte dégradation conjoncturelle mais comme un signal cohérent avec une activité du BTP globalement moins bien orientée.
Par rapport au mois de mars, la production observe également une baisse de 5,5 % pour les granulats et de 7,5 % pour le BPE (données cvs-cjo).
Au total, en cumul sur les quatre premiers mois de l’année 2012, les livraisons de granulats et de BPE affichent une contraction assez comparable, de l’ordre de - 8 % et - 7,7 % respectivement, par rapport à la même période de l’année dernière.
Quant à l’ensemble des matériaux, le marché enregistrerait au premier trimestre 2012 un recul de plus de 11 % sur un an.
Pas d’alarmisme…
Même s’il apparaît peu probable que la perte sèche d’activité enregistrée en février soit rattrapée sur le reste de l’année 2012, l’inventaire des derniers indicateurs conjoncturels et des enquêtes n’invite cependant pas à l’alarmisme.
En avril, les carnets de commandes dans le secteur du bâtiment (gros œuvre et second oeuvre) demeuraient orientés à la hausse, un certain rebond des perspectives d’activité étant même observé dans le segment de l’entretien-rénovation et des bâtiments non résidentiels.
En revanche, les professionnels sont un peu plus pessimistes s’agissant du logement neuf. Ils s’attendent à la poursuite du tassement de l’activité, qui se situait, il est vrai, à un niveau relativement élevé.
En effet, à la fin du premier trimestre 2012, les mises en chantier de logements étaient en repli de 11 % par rapport à la même période de 2011, une tendance fortement influencée par le segment de l’individuel (- 18 % contre - 3 % pour le collectif).
À fin mars, on enregistrait encore près de 410 000 mises en chantier en cumul sur douze mois. Le freinage des autorisations se poursuit également, même si, du côté des logements collectifs, les trois premiers mois de l’année 2012 s’achèvent encore sur une progression de + 11 % sur un an (contre - 9 % pour l’individuel).
En cumul sur douze mois, le volume des autorisations de logements avoisinait encore 535 000 unités à fin mars, ce qui constitue un potentiel d’activité non négligeable pour les prochains mois.
…mais prudence et attentisme
Reste que, du côté des promoteurs, la tendance est à la prudence. En l’attente des futures orientations gouvernementales de la politique du logement, les professionnels réduisent la voilure de leurs projets.
Un attentisme qui se retrouve aussi du côté des acquéreurs plus frileux dans leurs investissements et achats de logements, dans un contexte marqué, il est vrai, par des incertitudes économiques et une remontée du chômage.
Selon certaines estimations, les ventes de logements neufs se seraient contractées de 25 % au premier trimestre 2012 par rapport à 2011, une tendance liée à des dispositifs de soutien moins favorables mais aussi à un accès au crédit bancaire plus difficile. La dernière enquête de la Banque de France sur la distribution de crédits effectuée en avril confirme ce diagnostic.
Certes, la remontée des taux d’intérêt à l’habitat est restée maîtrisée (3,9 % au premier trimestre 2012 en moyenne contre 3,6 % il y a un an) mais les critères d’octroi de prêts, quant à eux, se sont légèrement resserrés.
D’où une sensible contraction de la demande de prêts à l’habitat de la part des ménages, mouvement qui pourrait se poursuivre dans les prochains mois si l’on en croit l’enquête.
Ces difficultés d’accès au crédit bancaire ne touchent pas seulement les ménages mais aussi les entreprises, et plus particulièrement les collectivités locales pour lesquelles les ressources financières bancaires représentent la modalité essentielle de financement.
Dans ce contexte, le retour à une normalisation des comportements des banques constitue un enjeu majeur du réamorçage durable de l’activité du secteur du bâtiment mais aussi et surtout des travaux publics.
Si, au premier trimestre 2012, le volume des travaux réalisés dans les TP affichait un repli limité de - 3,5 % sur un an, les dernières enquêtes traduisaient, quant à elles, une chute des marchés conclus (- 21,5 % sur un an), renforçant les incertitudes sur les perspectives d’activité.
Source : batirama.com

Moody's warns on leveraged loan maturity wall


Call it what you like - a cliff, mountain, wall or hump - Europe's EUR133bn-worth of leveraged buyout loans maturing over the next three years is more of a challenge than ever, Moody's Investors Service said in an annual report published on Tuesday.

The escalating eurozone crisis, dismal economic growth prospects, the demise of collateralised loan obligations, increasing pressure on banks to pull the plug on the most distressed credits and a volatile high-yield bond market will make it difficult to refinance, the rating agency said.

Private companies have made significant progress in chipping away at maturities falling due 2012-2015. Around EUR48bn has been refinanced over the past year, either with high-yield bonds or via amend and extend agreements on terms and maturities of existing loans with lenders, Moody's said.

But the weaker credit quality of the loans left to tackle has increased the risk of defaults and a possible subsequent wave of restructurings, Moody's said, especially as demand from CLOs, which are nearing the end of their reinvestment periods, wanes.

"The wall may be smaller, but much of the better credit quality loans have moved out, and so what we're left with is a bigger concentration of weaker credits," said Chetan Modi, senior vice president at Moody's.

Moody's estimates that around 25% of the 254 companies in its study will default over the next three years, and the rate could double if external factors shut the high-yield market for extended periods.

A year ago, Moody's forecast was for a more conservative 20% default rate.

"We are one year closer to the 2014-2015 refinancing peak, which remains worrisome given the weak macroeconomic environment and the generally low credit quality of this debt," Moody's said.

"The openness of both European and U.S. high-yield markets will largely determine how the refinancing burden is navigated. Market access will remain in 'windows', given the ongoing euro crisis, thereby reducing that market's ability to absorb the supply of debt."

RUNNING OUT OF OPTIONS

The progress made so far in pushing out maturities has taken some pressure off. Loans maturing in 2013 have reduced by 75% over the past two years and the 2014 peak flattened by about EUR12bn to EUR60bn.

In addition, of the overall EUR171bn debt maturing from now and beyond 2015 - down from EUR207bn a year ago - 22% matures in 2015 or later compared to 12% a year ago.

Whether the weaker credits will be able to access the high-yield market, however, is questionable.

Fifty-five percent of the loans maturing up to 2015 have been scored at 16 by Moody's, which is equivalent to a rating of B3 or lower. Perhaps more worrying is the 23% of debt scored at 17 - or an equivalent Caa1 rating - which implies a stressed capital structure, the rating agency said.

Last year's EUR38.75bn high-yield bond supply fell well short of the lofty EUR60bn analyst expectations sounded at the start of 2011, and although the market has bounced back, fears are rising that another second-half gridlock is in store.

Supply is currently running at USD32bn for all European high-yield issuers, according to Thomson Reuters data, but the market faced a significant set-back earlier this month when several deals struggled to get done.

One issuer, German roofing materials group Monier, pulled a deal after refusing to give in to investor demands for a coupon in excess of 10.5%.


DISTRESSED OPPORTUNITY

Moody's predicts a dispersion in default rates between rated speculative-grade credits that have proven access to high-yield bond markets and unrated LBOs.

European speculative-grade defaults are currently 2% and are expected to rise to just below 3% by the end of the year, according to Moody's. The default rate peaked at around 12% in 2009.

For those companies that do not have access to high-yield - either because of their weak credit quality or limited size of their debt - their other option is to amend and extend the terms and maturity of their loans.

That is expected to get more difficult.

"Banks are still reluctant to write-down debt if they don't need to, but the situation may be taken out of their hands if their funding partners, the CLOs, are constrained and are unable to participate in amend and extends," said Moody's.

"There hasn't been a situation yet where this has prevented an amend and extend, but it's a factor that has to be taken increasingly into account. It will have a much more dramatic impact next year".

That could result in a big opportunity for distressed funds, he added, who anticipated a big spike in restructurings in 2009 which failed to meet expectations. That, to some extent, was because both banks and CLOs were both more willing and able to agree amend and extends then.

"There's a sense that this time round, that this is less of an option and that should mean more opportunities for distressed funds," Modi said.

The timing of that, however, is difficult to forecast.

"Whether we'll see a deluge or a steady flow of restructurings is uncertain." (Reporting by Natalie Harrison; Editing by Julian Baker)

30/05/2012

Terreal Décoration - nouveau service service « Affichez vos envies »


A l'occasion de la refonte totale de sa communicationet du lancement de son nouveau site Internet, Terreal Décoration propose un nouveau service « Affichez vos envies » : un événement organisé comme un jeu-concours pour donner vie aux plus beaux projets d'aménagements intérieurs ou extérieurs.
Jusqu'au 30 juin 2012, les amateurs de terre cuite peuvent ainsi remporter jusqu'à six "relookings", soit un gagnant par semaine. Le candidat décrit son projet sur le site ci-dessous en y joignant la photo du lieu à rénover ou à créer.
Elu par un jury de professionnels, le vainqueur se verra alors offrir une modélisation en 3D de son nouvel espace, réalisée par une agence de design, et la mise en relation avec les équipes de professionnels Terreal.
Pour participer, rendez-vous sur le site www.terrealdeco.com
A travers ses différentes rubriques, le nouveau site offre de manière interactive des propositions d'ambiances, des informations techniques et pratiques sur ses produits. Une section de recherche permet également de trouver le distributeur Terreal le plus proche de chez soi.
De plus, en concevant sa nouvelle brochure, Terreal a souhaité dévoiler l'étendue de sa gamme Décoration à travers des propositions d'ambiance alliant tendance, modernité et tradition. Cet outil de présentation de plus de 80 pages propose des fiches illustrées pour chaque produit, présentant à la fois des informations techniques et des astuces pour aider les plus novices à créer et réaliser des aménagements intérieurs ou extérieurs. Terreal a également élaboré un nuancier et un guide de pose afin d'assurer la meilleure mise en oeuvre possible de ses produits, mais aussi de fournir toutes les clés pour les entretenir et préserver leur esthétisme.
Source Batijournal

29/05/2012

Concourez pour le premier Grand Prix de la Tuile Terre Cuite Architendance


Plus que jamais la tuile terre cuite est un matériau en phase avec l'époque. Les nouveaux modèles aux couleurs modernes et aux formes novatrices offrent de très nombreuses possibilités aux architectes et aux concepteurs de maison audacieux. Ultraplates, d'aspect brillant ou métallique, dans des teintes anthracite, grise ou noire, la tuile terre cuite s'intégre parfaitement à l'esprit épuré et créatif de l'architecture contemporaine. Elle est même descendue de la toiture pour venir habiller la façade de maisons, pour un rendu résolument moderne et élégant. La FFTB fait appel à la créativité et organise, en partenariat avec le Réseau des Maisons d'Architectes (RMA), le premier Grand Prix de la Tuile Terre Cuite Architendance.
Inscription en ligne avant le 31 juillet 2012. Les dossiers de présentation des projets et/ou des réalisations sera à envoyer à la FFTB avant le 31 août 2012.
Source Batijournal

28/05/2012

Monier rate son émission sur le marché obligataire


En avril, le fabricant de matériaux de couverture a obtenu de ses créanciers un rallongement de ses échéances bancaires, mais avec la promesse d'un remboursement via une émission obligataire. Il devait émettre 250 millions d'euros à 7 ans à un rendement d'environ 10%.

High-yield: down but not out

Whether the blame lies with nervous investors, poorly managed deals or simply bad timing, Europe’s high-yield market has suffered a significant setback that risks locking out all but the top-tier issuers in the next few weeks.

A pulled deal from German roofing materials supplier Monier and other deals from Europcar and Schmolz & Bickenbach that struggled to get over the line have raised fears that the market is not as robust as the unexpected strong start to the year had suggested.

“There is definitely an underlying concern,” said one high-yield syndicate banker. “Effectively, the market in Europe has infinite demand for Double B and high-quality Single B credits, but not much for what we call traditional high-yield with more subordinated capital structures.”

“The majority of investors just don’t have the mindset for that right now. They are being driven by fear.”

Nonetheless, bankers say it is far too early to write off the market, which has come a long way in the past three years. Some pinned the blame on the lead managers, saying that Monier should have been marketed more heavily in the US, while existing FRN investors in Europcar should have been lent on more heavily to roll over into the new issue.

Either way, both deals were seen in isolation to a certain extent, and for now at least, the market is still poised for a clutch of deals later this quarter, with supply likely to emerge from the auctions of companies, including BSN Medical and Birds Eye Iglo.

“This doesn’t stop us from underwriting deals or stop the auctions going ahead, and it certainly doesn’t mean we’ve taken our foot off the high-yield accelerator in favour of loans in terms of acquisition financing,” said one high-yield banker. “It just means it’s a bit more finely balanced going to either market.”
Reckless timing

The sellside also did itself no favours with the timing of the deals that struggled. Bankers picked one of the most volatile periods since the start of the year to swamp the market with five transactions as they rushed to push issuers out before full-year earnings went stale. Monier, for example, pulled its bond on Wednesday as yields on Spanish 10-year bonds jumped above 6%.

Not only were many buyside managers taking advantage of the May Day holiday, but elections in France and Greece had already brought a widespread pullback across all asset classes.

The cyclical nature of all the deals also sparked criticism from investors, who can afford to sit back after enjoying returns of more than 12% since the start of the year.

“When primary deals are pulled, there is a tendency for the sellside to blame the European high-yield fund community for being overly skittish,” said Peter Aspbury, head of European credit research at JP Morgan Asset Management. “It’s easy to forget that a lot of fund managers are subject to retail investor flows that can be highly reactive to equity market sell-offs.”
Back to the US

But some bankers warned that issuers might increasingly turn to other alternative sources of financing such as mezzanine loans, even though this remains a very niche market.

Europcar’s owner Eurazeo had little choice to price its downsized deal to yield 14%, despite a €110m cash injection, but a company such as Monier has greater flexibility because its bank debt does not mature until 2015.

In the short term, European issuers may also lean more heavily on the US dollar market. Companies such as Ineos, for example, completely bypassed the European bond market last month after it achieved cheaper refinancing costs across the pond.

    “Issuers are having to adjust, but they are only slowly weaning themselves off cheap bank debt”

An US$853m-equivalent bond from B1/B+ rated business travel operator Carlson Wagonlit this week also demonstrated the benefits of doing a dual-tranche dollar/euro issue.

“It definitely helps to create a better dynamic. If European investors see that the deal is getting support in the US – it helps give more conviction. With a sole euro deal, you don’t get that interplay,” said one of the bankers involved in the deal.

On a more positive note, the fact that Monier’s book was covered was seen as a positive by some players.

“If a company wants to walk away from 10.5% term money, that’s someone making a call on the cost of capital, and something that I find great solace in. Issuers are having to adjust, but they are only slowly weaning themselves off cheap bank debt,” said Jacques McChesney, a high-yield partner at Shearman & Sterling.