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28/05/2012

Balesta. 25 tonnes de tuiles renversées sur la D17


L'accident s'est produit mardi en fin d'après-midi, à la sortie de Balesta, sur la D17. Un poids-lourd espagnol qui roulait dans le sens Lannemezan-Boulogne.

Transportant un chargement de 25 à 26 tonnes de tuiles canal, provenant de la tuilerie de Blajan, il aurait fait un écart vers le bas-côté pour faciliter le passage d'un véhicule qui le doublait. Le bord de la route étant très étroit à cet endroit et le fossé presque immédiat, le poids-lourd a versé dans le fossé avec tout son chargement.

La brigade de gendarmerie de Montréjeau est intervenue pour sécuriser les abords. Problème, le poids-lourd étant espagnol, il faut attendre l'accord de son assurance pour réaliser le travail de vidage du contenu de tuiles et l'enlèvement du camion. En attendant, une déviation pour les poids-lourds est à l'étude. Elle pourrait se faire vers la D 24 en direction de Garaison-Boulogne, à partir de l'embranchement d'Uglas. Le conducteur n'a pas été blessé dans l'accident.
Source La Dépêche

27/05/2012

Droits à construire : un guide explicatif sur la nouvelle majoration de 30%



Suite à la publication de la loi n°2012-376 du mars 2012 relative à la majoration de 30% des droits à construire pendant 3 ans, le ministère de l’Ecologie a mis en ligne, quelques jours avant l’investiture du nouveau Président, un guide composé de fiches qui détaillent les modalités d’application de ce nouvel outil.
Dans le but de favoriser la construction de logements, Nicolas Sarkozy a instauré, en mars dernier, une nouvelle loi qui accorde une majoration de 30% des droits à construire dans les communes couverte par un plan d’occupation des sols (POS), un plan local d’urbanisme (PLU) ou un plan d’aménagement des zones (PAZ).

Si cette majoration est automatique, le choix est toutefois laissé aux communes ou EPCI de l’appliquer ou non sur leurs territoires.
Le ministère du Développement durable vient donc de publier un guide qui détaille le dispositif. Il est composé de quatre fiches : les collectivités et les parties du territoire des collectivités concernées par le dispositif de majoration ; dispositif de participation du public : de l’élaboration de la note d’information à la présentation de la synthèse des observations du public ; la prise de décision et ses effets dans le temps ; application de la majoration aux demandes d’autorisations d’urbanisme.

L’idée est de fournir toutes les clés pour une bonne application de ce nouvel outil. Reste à savoir s’il perdurera avec le nouveau gouvernement…
Source Batiactu

26/05/2012

Travailler avec un cabinet de recrutement


Trouver un bon professionnel du recrutement est parfois plus difficile que de dénicher le bon candidat pour un poste stratégique. Nos conseils.

Quels avantages tirer du recours à un professionnel du recrutement ? Les mêmes que pour toutes les opérations d'externalisation : dégager des ressources pour se concentrer sur son coeur de métier et rendre variables des coûts fixes. Si les entreprises britanniques en sont des adeptes depuis longtemps (plus de la moitié des recrutements passe par les professionnels de la profession), les firmes françaises sont plus hésitantes : environ un recrutement sur cinq fait appel à ce type d'intermédiaires. Outre les bénéfices financiers, les cabinets apportent leur savoir-faire et contribuent à renouveler les profils, en privilégiant les compétences, plutôt que les réseaux internes ou les associations d'anciens élèves. Sans oublier la possibilité de trouver une perle en provenance d'un concurrent, grâce à la confidentialité permise par le cabinet.



1 - TROUVER LE BON PRESTATAIRE VIA UN RÉSEAU

Difficile de s'y retrouver parmi le millier de professionnels du recrutement sur le marché français. « Il faut d'abord faire confiance au bouche à oreille », estime Pascale Kroll, co-auteure du « Guide des professionnels du recrutement » et créatrice du site rhadvisors.com. L'adhésion du cabinet à un syndicat professionnel (Syntec Recrutement, l'Association of executive search consultants) ou à une association (comme À compétence égale, qui milite pour la non-discrimination) donne une première garantie. Cela n'empêche pas d'éventuels dérapages, mais ils seront a priori moins nombreux. Un cabinet ne se choisit pas à l'aveugle. C'est en recrutant qu'on le trouve. « La première mission qu'on nous confie est souvent un test », reconnaît Laurent Hürstel, le directeur associé du cabinet Robert Walters. Ensuite, c'est une relation commerciale entre deux personnes qui se met en place. « Je travaille avec des professionnels que j'ai connus chez mon précédent employeur, un grand groupe coté », explique Nicole Soustrade, la directrice de la gestion des cadres de Terreal, spécialiste des matériaux de construction pour bâtiments. Selon elle, « la capacité du consultant à comprendre l'environnement de travail du futur recruté est une donnée essentielle ». Si le consultant ne franchit pas la porte du site où travaillera le salarié, s'il ne rencontre pas son N+1, c'est mauvais signe. « Nous cherchons à trouver le meilleur candidat par rapport à un environnement donné », confirme par ailleurs Nicolas Leroy, le directeur de la division ingénieurs du cabinet Michael Page.



2 - NÉGOCIER LE MODE DE RÉMUNÉRATION

C'est l'un des points les plus discutés dès que l'on parle de cabinets de recrutement. Ils seraient trop chers et leurs tarifs pas assez transparents. Pourtant, sur le papier, les règles sont des plus simples : les cabinets appliquent une rémunération proportionnelle, entre 15 et 20% de la rémunération brute annuelle (elle peut monter jusqu'à 33% pour les postes les plus élevés de l'entreprise). La logique veut que plus le poste recherché est rare, plus le salaire est élevé, et donc mieux le cabinet se rémunère. Malgré tout, constatant des dérives - présenter les candidats aux émoluments les plus élevés -, les cabinets ont adapté leur mode de rémunération en pratiquant le forfait négocié d'avance, soit un pourcentage du salaire moyen pour le poste.

Il n'est pas rare qu'un acompte soit demandé. L'intérêt pour le cabinet ? Éviter de mobiliser ses équipes pour que finalement la mission lui échappe, l'entreprise trouvant elle-même le bon candidat. Acompte, forfait... Tout peut se négocier et ce d'autant que le volume d'affaires d'une entreprise traité par le cabinet est important. Le choix de la rémunération n'est pas neutre et doit être adapté aux attentes de l'entreprise. Chez JCDecaux, le paiement d'un acompte est privilégié pour les métiers en tension, jeunes diplômés compris. « Pour ces compétences rares, donner l'exclusivité à un cabinet a du sens et est économiquement intéressant, car le bon candidat est difficile à trouver », rappelle Guillaume Comby, le responsable du recrutement pour JCDecaux France. « Ce qui ne nous empêche pas de travailler au succès sur d'autres missions pour lesquelles nous estimons pouvoir trouver aussi par nos moyens la bonne personne. » La rémunération dite « au succès » est une sorte d'offre low cost, soit le paiement si, et seulement si, le cabinet trouve le bon candidat.



3 - ENVISAGER DE RÉPARTIR LE TRAVAIL

Un ou plusieurs cabinets ? Sans DRH centralisée et « centralisante », il n'est guère possible d'avoir un cabinet unique. Chaque service ou direction régionale sélectionnera son prestataire. Le choix peut aussi s'effectuer en fonction des postes recrutés : un cabinet dédié à la chasse des cadres les plus recherchés, un autre pour trouver les commerciaux, par exemple. C'est la solution retenue par Jean-Paul Malec, le responsable du recrutement et de la formation de Berner, distributeur d'outillages. Retenir un cabinet unique peut devenir pertinent quand les volumes de recrutements récurrents deviennent importants. « En juillet 2011, nous avions 60 postes de cadres ouverts et il nous a semblé intéressant d'avoir un contrat d'externalisation pour le sourcing avec un cabinet unique », témoigne Guillaume Comby. Son but n'est pas tant d'obtenir des économies d'échelle que de simplifier, avant tout, la gestion administrative : « Un seul cabinet, c'est un interlocuteur unique et un reporting unifié », poursuit-il. Comme pour tout investissement, un appel d'offres permet de mieux choisir. EDF a procédé ainsi, confiant à six cabinets (trois pour les cadres, trois pour les techniciens) l'ensemble de ses recrutements. La répartition s'organise en fonction d'un découpage par région et par spécialités.

25/05/2012

La fabrique des Terres cuites de Courboissy, à Charny, s’ouvre au public demain après midi


S’il existe une entreprise qui connaît par cœur les propriétés de la terre de Puisaye, c’est bien Les Terres cuites de Courboissy, à Charny. Des milliers de carreaux d’argile y sont fabriqués.

Un savoir-faire rodé depuis plus d'un siècle couplé à une volonté d'exploiter artisanalement l'argile, telle est la recette utilisée par l'entreprise de Charny Les Terres cuites de Courboissy. « Les gens tiennent de plus en plus à aménager leur maison avec des produits naturels, insiste le patron, Olivier Brunet. Ici, tout est fait manuellement. Les carreaux de terre cuite que nous fabriquons sont issus d'un mélange d'argiles auquel nous n'ajoutons aucun pigment. »
Un travail qui réclame
de la patience

Cette argile, qui arrive à Charny sous la forme de pains, passe ensuite entre les mains expertes des artisans de Courboissy. Chaque pain est découpé avec une mandoline équipée de cordes de piano. Chacune des galettes d'argile qui sortent de la mandoline est disposée dans une presse pneumatique manuelle. En ressortent des carreaux, durs et peu poreux, qui partent ensuite au séchage durant plus d'un mois.

Dès la période de séchage, les carreaux laissent apparaître leurs spécificités. « On peut voir les grains, les fils de découpe, les nuances de couleur, explique Olivier Brunet. Les carreaux fabriqués de manière industrielle n'ont pas du tout cet aspect. »

Une fois la période de séchage terminée, les carreaux sont disposés, un à un, dans un four à flamme inversée, « qui est conçu de façon à ce que la chaleur reste et s'évacue par le bas pour une parfaite cuisson », précise le patron.

Pendant près de deux jours, les pièces d'argile sont chauffées. Selon la couleur souhaitée, les artisans dosent l'air qui passe dans le four. « S'il y a moins d'air, cela provoque une réaction chimique avec le chauffage au gaz. Le fer contenu dans l'argile ressort, ce qui donne ensuite des carreaux plus foncés. »

Les pièces de terres cuites sont ensuite stockées et prêtes à partir chez les clients, qui optent aussi pour ce type de matériaux pour économiser l'énergie. Selon Olivier Brunet, « mettre de la terre cuite au sol permet de garder la chaleur ».

Arrivé à la tête de l'entreprise en 2008, l'actuel patron réfléchit à différentes pistes pour diversifier son activité. « Je suis actuellement en discussion avec un artisan qui fabrique des carreaux émaillés à partir de biscuits d'argile blanche sur lesquels on dessine ensuite des motifs, souligne-t-il. J'espère à terme pouvoir produire ce type de pièces ici. »

Visite. La CCI de l'Yonne et l'office de tourisme de la région de Charny proposent une visite de la fabrique des Terres Cuites de Courboissy, demain vendredi, à 14 h 30. Réservations au 03.86.63.65.51.

Algérie : le salon Batimatec ouvert sur l’international


Pour sa 15ème édition, le salon algérien du bâtiment, des matériaux de construction et des travaux publics, Batimatec, aura compté 1030 exposants issus de tous horizons.
L’événement qui a pris  fin le 7 mai après avoir ouvert ses portes jeudi 3 mai aura regroupé 544 entreprises algériennes, mais également 488 sociétés étrangères représentant quelque 23 pays parmi lesquelles la Turquie, l’Italie, la France, la Chine, l’Espagne la Belgique et l’Allemagne. Cette manifestation aura notamment permis d’évaluer les possibilités qui s'offre à l'Algérie pour mener à bien son programme quinquennal (2010-2014) qui prévoit la construction de 2,5 millions de logements. 
Source France BTP

24/05/2012

Le style architectural conservé avec les tuiles photovoltaïques


Les technologies de panneaux solaires thermiques et photovoltaïques se distinguent dans leurs destinations, tout en employant la même énergie : le soleil. Si celui-ci s’avère une source inépuisable, son principal défaut est aujourd’hui de ne pouvoir être stocké, même si les recherches actuelles s’orientent vers ce nouvel objectif.

❑ Le soleil, alternative aux énergies fossiles
L'emploi de l'énergie solaire n'est pas une nouveauté du XXIe siècle. En effet, elle a fait ses premières armes à plus ou moins grande échelle dans les années 1970. Marquées par le premier choc pétrolier, ces années ont été l'occasion de développer de nouvelles sources de fabrication d'énergie avec, déjà, les premières aides gouvernementales. Leur développement a cependant rapidement été stoppé avec l'arrivée de l'énergie nucléaire et, dans le même temps, la baisse des prix des énergies fossiles.

Ce n'est qu'à la fin des années 1990 que cette solution de production d'énergie revient sur le devant de la scène. Elle est appuyée, pour l'énergie solaire thermique, par le « Plan Soleil » mis en place par l'État et l'ADEME en 1999. Les particuliers commencent également à s'intéresser au photovoltaïque en y voyant un intérêt financier par la revente de la production d'électricité ainsi obtenue.

La politique énergétique est matérialisée par le Plan pluriannuel d'investissement (PPI) qui précise les orientations gouvernementales.

❑ Les énergies renouvelables pour couvrir les besoins énergétiques
De cette avancée sur énergies solaires, il en est ressorti 4 objectifs :

    • Participer à l'indépendance du pays en matière énergétique et assurer un approvisionnement constant ;
    • Garantir un prix compétitif pour cette production ;
    • Se soucier de la santé et de la préservation de l'environnement en agissant contre la multiplication des émissions de gaz à effet de serre;
    • Assurer la cohésion sociale et territoriale en offrant à tous un accès à cette nouvelle énergie.

Il en résulte des textes d'application aux données variées. Le premier objectif est notamment d'arriver à satisfaire, par le biais des énergies renouvelables, 23 % des besoins français en énergie à l'horizon 2020. Les textes précisent aussi la volonté de passer de 14 à 21 % d'électricité issue des énergies vertes et de voir la production de chaleur émanant de cette solution renouvelable évoluer de 50 % afin de répondre aux prescriptions du Grenelle de l'environnement de 2009. Si l'on prend le photovoltaïque, les énergies à produire devront alors être de 1 100 Mwc en 2012 et 5 400 Mwc en 2020. Pour obtenir ce résultat, la France prévoit la mise en place de nouveaux panneaux, mais également de tuiles photovoltaïques.
Source Batiweb

L'année historique de Maisons France Confort


Le premier constructeur de maisons individuelles, dont le siège est à Alençon, fait mieux que résister à la crise. Il a tenu son assemblée générale mardi matin, à la halle aux Toiles.
Record

Maisons France Confort a réalisé un chiffre d'affaires record l'an dernier : 583 millions d'euros. En progression de 31 % par rapport à l'année précédente. Le constructeur de maisons individuelles a connu selon son PDG, Patrick Vandromme, un exercice « de croissance forte et rentable ». Le premier trimestre 2012 est en repli de 12 % mais cette baisse est à relativiser avec « le très bon premier trimestre 2011 et le contexte économique ».
Conjoncture

« Les périodes électorales créent toujours un certain attentisme. Nous constatons un resserrement des conditions d'attribution des crédits, observe Patrick Vandromme. Les banques demandent beaucoup plus d'apport personnel et des remboursements plus rapides. Elles ont prêté 40 % de moins que l'année précédente. »
Optimisme

Patrick Vandromme estime que le marché va se maintenir « car il est porteur », malgré la cherté des terrains autour des grandes villes. Le groupe devrait bénéficier de l'accélération de la destruction des logements anciens (avant 1975) : ils consomment trop d'énergie.
Acquisitions

Maisons France Confort a acquis l'an dernier deux nouvelles sociétés : Logis du Marais Poitevin et Les Maisons de Stéphanie. Le groupe compte désormais plus de 1 400 salariés. Il a gagné plus de 2 % de parts de marché, entre 2008 et 2011.
Innovations

L'année écoulée a été marquée par deux innovations : les « Maisons performance », aux dernières normes d'isolation, dont le rapport qualité prix est qualifié d'excellent et le concept MFC 2020, la maison à énergie positive. Elle produit davantage qu'elle ne consomme. Le prototype a été inauguré en mars, à Saint-Priest.
Atypique

Autant d'atouts qui permettent d'aborder 2012 « de façon très sereine ». Le PDG qualifie le groupe de « très solide » grâce à ses coûts fixes qui ne représentent que 10 à 12 % du chiffre d'affaires. Les commissaires aux comptes qualifient leur rapport de « totalement atypique » tellement la structure financière apparaît saine.
Rachat

Maisons France Confort est côté en bourse. Compte tenu de la faiblesse du cours de l'action, le groupe a considéré qu'il était opportun de racheter des titres. Ce qui a été fait pour 1,5 million d'euros.
Indice

Qu'est ce qui fait dire à Patrick Vandromme que 2012 se présente bien ? Le nombre de contacts sur Internet. Il y en a 6 000 par mois. Un indice important.
Source Ouest France par Arnaud TOUCHARD.

23/05/2012

Grèves pour les salaires chez l’équipementier Allemand Lingl


A l’appel du syndicat IG Metall 100 salariés du fabricant d’équipement pour l’industrie de la terre cuite se sont rassemblés Vendredi 11 Mai sur le parking de l’entreprise pour revendiquer une augmentation générale de salaires de 6.5%. La direction proposait jusqu’alors 3% pour 14 Mois.
Source Donau3FM

Hécatombe chez les sociétés allemandes du photovoltaïque


C’est la loi des séries : après Solon, Solar Millenium, Solarhybrid et Q.Cells, c’est Sovello, un autre fabricant de panneaux solaires allemand qui dépose son bilan. Il s’agit de la cinquième victime de la crise de l’industrie photovoltaïque outre-Rhin en quelques mois. En cause : la concurrence chinoise à bas coût et la diminution des subventions.

La crise de l’industrie solaire allemande fait une nouvelle victime : Sovello (Saxe-Anhalt) a déposé son bilan, laissant 1.250 employés dans l’incertitude. Fondée en 2005 sous le nom de « EverQ GmbH », dans l’ex-Allemagne de l’Est, elle rejoint la longue liste des entreprises du secteur photovoltaïque en faillite : Solon, Solar Millenium, Solarhybrid, Q.cells, etc. Et la liste pourrait encore s’allonger. Selon le journal Les Echos, Phoenix Solar AG, un développeur de projets solaires, aurait annoncé une réduction drastique de ses effectifs, qui passeraient de plus de 400 à seulement 230 salariés. Il s’agit là de la conséquence d’un vaste plan d’économies destiné à rééchelonner la dette de l’industriel.

Comme toutes les autres sociétés européennes - voire occidentales - du photovoltaïque, Sovello est victime d’une crise sans précédent : la réduction drastique des subventions accordées pour l’installation de panneaux solaires et la chute de la rentabilité de tels systèmes avec la baisse des tarifs d’achat de courant électrique. Les sociétés ne pourraient donc plus faire face à la concurrence asiatique dont les coûts de production sont bien inférieurs.

La concurrence asiatique en cause
La situation économique dans l’ex-Allemagne de l’Est, eldorado perdu des entreprises de fabrication de panneaux solaires, pourrait même pousser le gouvernement allemand à prendre des mesures d’exception, en prenant à titre temporaire des participations dans les sociétés en difficulté. Pourtant, il y a quelques mois seulement, plusieurs sociétés du secteur se voyaient récompensées par l’institut EuPD Research, dont Q.Cells, déclarée « European Top Brand 2012 », ou Sovello elle-même, parée du titre de « Germany Top Brand of PV Branch ». Un retournement de situation extrême.
Source Batiactu

Batimat Maroc : le logement sera au coeur des préoccupations


C’est à partir du mercredi 23 mai que Batimat tente sa première expérience marocaine. Durant quatre jours, les professionnels de la construction au Maghreb sont attendus autour de nombreuses conférences sur le thème de la construction durable.

Un des temps forts de cette première manifestation – scindée en deux partie : Gros œuvre/Menuiserie ; Matériel/Outillage - est la tenue d’un cycle de conférences sous l’appellation ‘Batimat Green Building’. «C’est une marque que nous avons déposée», nous explique Stéphanie Auxenfans, Directeur Division Construction de Reed Expositions. L’événement recevra le soutien de l’organisme local équivalent de l’Ademe, qui mène actuellement une réflexion sur une réglementation thermique sur le modèle français et sur l’élaboration d’une certification environnementale. A ce titre, Qualitel et Certivea seront partenaires de ces conférences. Pour répondre aux nouvelles préoccupations des professionnels marocains, 4 conférences sont donc prévues, autour des thèmes de la construction neuve, de la rénovation, du solaire et de l’architecture. Enfin, une conférence sur la sécurité/prévention/gestion de chantier est également organisée, notamment pour la partie ‘Matériel-outillage’, pour laquelle il s’agit d’un véritable enjeu.
«Ce doit être un outil d’information pour les décideurs de la construction au Maroc. En cela, nous souhaitons attirer le plus grand nombre de prescripteurs, et aussi toucher les entreprises de bâtiment d’une certaine taille», poursuit Stéphanie Auxenfans.
Pour rappel, le Maroc compte quelque 60.000 entreprises dans le secteur du bâtiment, mais seulement 5.000 d’entre elles sont structurées. Aujourd’hui, l’activité bâtiment a une croissance de 5% par an, mais possède un fort potentiel. Si de grands projets d’infrastructure ont vu le jour depuis quelques années, désormais c’est le logement qui est au cœur des préoccupations.

Vous retrouverez un compte-rendu de ce salon dans les prochains jours.
Source Batiactu

22/05/2012

CERIC Technologies participe à l’édition 2012 de CERAMITEC du 22 au 25 mai.


Ce salon de renommée internationale constitue un moment unique de rencontre et d’échange avec les grands acteurs de l’industrie de la terre cuite.
CERIC Technologies présentera l’ensemble de ses solutions pour la production de briques et tuiles et plus particulièrement les derniers développements qui permettent d’améliorer l’efficacité énergétique des équipements et de réduire les émissions de CO2,  le tout nouveau séchoir APR, le plus four casing du monde et sa toute nouvelle gamme PELERIN.
De bonnes raisons de venir nous rencontrer Hall B5, stand 522.
Source Ceric Technologies

Le salon Cerimatec aura lieu du 22 au 25 mai 2012


Le 12e salon Ceramitec se tiendra du 22 au 25 mai 2012 au nouveau parc des expositions de Munich. En ayant lieu au printemps, le salon triennal de la céramique et de la métallurgie des poudres renoue avec la période de l’édition de 2006. À côté des domaines classiques de la céramique, les segments « Céramique technique » et « Céramique avancée » se trouveront renforcés à Ceramitec 2012 afin de présenter un portefeuille de produits élargi.

Un nouveau sous-titre
Le sous-titre de Ceramitec a été modifié : il n’est plus “salon international des machines, appareils, installations, procédés et matières premières pour la céramique et la métallurgie des poudres” mais désormais : “technologies – innovations – materials”.
« Avec le nouveau sous-titre, nous exprimons clairement l’offre complète de Ceramitec : de la céramique classique et des matières premières à la métallurgie des poudres jusqu’à la céramique technique », affirme Eugen Egetenmeir, directeur général de Messe München GmbH. « Avec le terme “innovations”, nous soulignons de surcroît le fait que Ceramitec est le lieu de la présentation exhaustive de nouvelles technologies et applications. »

L’efficacité énergétique au programme
Ceramitec 2012 débute avec une table ronde sur le thème “efficience coût et efficience énergétique”. L’évaluation de l’efficacité énergétique ne se réduit pas à l’efficacité des processus thermiques dans la fabrication de céramiques. Les consommations électrique et pneumatique sont aussi réduites grâce aux optimisations réalisées dans la chaîne des processus. Il s’agit là de mesures ayant pour objectif de réduire la consommation d’énergie, mais aussi de fermer les cycles de consommation, par exemple en mettant encore mieux à profit la chaleur dissipée ou en évitant les déchets ou les eaux usées.
Un des atouts des matières premières céramiques est le fait qu’elles peuvent être réutilisées à l’état cuit, pré réactif. Cela ne vaut pas seulement pour leur remise dans le processus mais aussi après leur utilisation. Il existe des projets-pilotes dans différents domaines de la céramique. Il ne s’agit pas de minimiser les déchets mais de les éviter entièrement ; et ce, avec un minimum d’énergie.

Durabilité des processus
Une approche globale va du choix de la matière première jusqu’au recyclage du produit final. De nouveaux développements spécifiques au niveau des processus de fabrication mais aussi du design des produits peuvent ainsi s’avérer nécessaires. Le concept de la durabilité des processus permet de suivre la tendance actuelle d’une construction efficace au plan énergétique et écologique. Derrière le terme “green building” se cache la volonté de réduire les besoins globaux en énergie des bâtiments et d’assurer des émissions de CO2 les plus faibles possibles. L’efficacité énergétique et l’évitement d’émissions de CO2 sont des mesures élémentaires pour le perfectionnement du processus de fabrication “vert”. Cette réussite requiert des échanges interactifs entre les fabricants de produits céramiques et leurs fournisseurs. En tant que plate-forme internationale de présentation et d’échanges, Ceramitec 2012 offre à l’industrie céramique les meilleures conditions pour poursuivre ce dialogue avec succès.

Forum de la métallurgie des poudres
De nombreux domaines techniques sont de nos jours inimaginables sans les produits de la métallurgie des poudres (MdP). En raison de leur forte rentabilité et de leur flexibilité fonctionnelle, des pièces réalisées par la MdP se sont imposées dans l’industrie au cours des dernières décennies. En plus de leur performance, les produits issus de la MdP présentent une composante économique essentielle. Les expériences réalisées avec de nombreuses pièces montrent que, par rapport à la fabrication conventionnelle de pièces par enlèvement de copeaux, il est possible avec ce procédé d’économiser jusqu’à 70 pour cent des coûts.
Lors du salon Ceramitec 2012, l’association professionnelle “métallurgie des poudres” (FPM) organise dans le hall A5 un forum sur la MdP, intitulé « La MdP aujourd’hui et demain » au cours duquel il sera question de l’état actuel de la métallurgie des poudres ainsi que des perspectives d’avenir. Ce forum aura lieu le 22 mai 2012, il sera présenté par le professeur honoraire Paul Beiss et organisé par Hans Kolaska (FPM). Les exposés seront tenus en allemand et traduits simultanément en anglais. L’entrée à cette manifestation est gratuite pour les visiteurs du salon.

Journée de la céramique technique et Automatica
Le salon Ceramitec 2012 travaille en étroite collaboration avec la 10e conférence CMCEE “Ceramic materials and components for energy and environmental application”, laquelle se tiendra du 20 au 23 mai 2012 à Dresde. Entre 600 et 800 participants sont attendus à ce congrès où des professionnels internationaux discuteront des principales questions que soulèvent les céramiques dans les technologies énergétiques et environnementales. Le mercredi, les participants au symposium seront transférés à Munich.
Le salon Ceramitec accueillera, à la suite de ce congrès, une “journée de la céramique technique”, le jeudi 24 mai 2012. De nombreux participants à la conférence CMCEE sont attendus à cette manifestation en tant qu’intervenants. Les céramiques destinées aux techniques énergétiques et environnementales seront les thèmes phares des rencontres céramiques “Treffpunkt Keramik”.
Les visiteurs du salon peuvent aussi se rendre à Automatica, le salon international de l’automatisation et de la mécatronique, qui se déroule en même temps et est accessible par l’entrée ouest du salon de Munich.

Journées de la terre cuite, de l’Inde, visites guidées…
Le « Heavy clay Day » se déroulera le mercredi 23 mai 2012, sur le thème “économie des ressources et efficience énergétique, chances et possibilités pour l’industrie de la terre cuite.” Le groupe de travail européen ECTS (European ceramic technology suppliers) prendra part pour la première fois à la manifestation par le biais d’une table ronde. Un autre temps fort du programme des manifestations est la Journée de l’Inde, laquelle se tiendra le vendredi 25 mai. La manifestation mettra en lumière la situation et les conditions générales du marché indien.
Différentes visites seront organisées, qui mèneront les visiteurs vers les temps forts des différents thèmes : “terre cuite”, “céramique technique” et “efficience énergétique, fours, réfractaires”. Deux visites en anglais d’environ 2 heures 30 chacune sont prévues chaque jour. Aux huit stations, chaque exposant dispose de 15 minutes pour sa présentation. Les entreprises qui souhaitent prendre part à ces visites guidées doivent s’inscrire. La participation aux visites guidées est gratuite pour les visiteurs.
Informations sur Ceramitec 2012 :
Source L’Industrie Céramique et Verrière

Roumazières: Artgila fait la fête aux arts populaires de Provence


Du 25 au 27 mai, Roumazières va vivre au rythme de la terre.

Jacques Baudrant, le président d\'Artgila, entouré de Raymonde Roussy et Henri Beau préparent depuis des mois cette 10e édition du festival Artgila. Photo CL

L'argile et les arts populaires de Provence seront les vedettes du 10e festival de sculptures d'argile de Roumazières qui mettra aussi en valeur le patrimoine local et animera le centre-bourg vendredi, samedi et dimanche.

L'humoriste Yves Lecoq sera l'invité d'honneur du rendez-vous qui accueillera dix-huit participants au concours de sculpture. Des artistes qui travailleront tout le week-end devant le public pour modeler des oeuvres en terre, sur le thème du festival: l'art provençal.

Un jury composé de personnalités locales et du monde des arts attribuera les tuiles d'or, d'argent et de bronze, aux meilleures sculptures. Les visiteurs voteront pour le prix du public (remise des trophées dimanche à 17h pour les scolaires et 18h prix officiels). Yves Lecoq remettra les prix dimanche.

Vendredi la manifestation ouvrira ses portes à 10h avec la journée des scolaires. Les écoliers et collégiens, de Suris, Genouillac, La Péruse et Roumazières-Loubert participeront à des ateliers animés par des professionnels et des bénévoles. Ils y réaliseront des objets en terre qui seront exposés samedi.

«Cette année nous récompenserons les deux meilleures oeuvres de chaque classe, explique le président d'Artgila, Jacques Baudrant. Une façon d'intéresser les jeunes à notre manifestation et de les inciter à créer des choses avec leurs mains». Un président qui ajoute que toute l'organisation du festival en général n'a pu être possible que grâce à l'implication forte des bénévoles des nombreuses associations locales, du conseil général, de la municipalité et du pays de Charente-Limousine.

Samedi, le public pourra flâner autour des stands de machines anciennes, des tuiles et accessoires présentés par les deux industries tuilières de la commune, Monier et Terreal, partenaires privilégiés de la manifestation. S'y ajouteront de nombreuses autres attractions liées à l'argile: soins de beauté, bijoux, maquillage enfant, métiers d'art, stand de potiers...

Samedi et dimanche, la boutique du festival proposera des démonstrations de sculpture sur bois, sur pierre, de la ferronnerie, un souffleur de verre, un portraitiste. Animations de rue samedi avec le groupe Bazoucada et dimanche avec la banda Lou Brandalou de Confolens.

Global Building Materials Industry


PRNewswire announces that a new market research report is available in its catalogue:
The global outlook series on Building Materials provides a collection of statistical anecdotes, market briefs, and concise summaries of research findings. The report offers an aerial view of the global construction landscape, identifies major market segments, and offers a bird's eye view of the industry's diverse and recession-related dynamics impacting demand. The report also offers incisive insights into key technological breakthroughs i.e. the evolution of Fiber-Reinforced Concrete, Fly ash, Green building materials, ICF and others. Discussion on the industry's regional markets are amply detailed with unbiased research commentary and punctuated with 33 fact-rich market data tables with a special focus on the US and China markets. The report offers a compilation of strategic corporate developments and product launches. Other markets briefly synopsized to offer the reader a prelude to regional dynamics, include France, Finland, Germany, Russia, UK, Turkey, Australia, India, Indonesia, Argentina, Brazil, and Saudi Arabia among others. Also included is an indexed, easy-to-refer, fact-finder directory listing the addresses, and contact details of 488 companies worldwide.
Source Marketwatch

21/05/2012

Caractérisation d’atterrissements d’argiles récents sur le territoire français, en vue de leur valorisation dans l’industrie des matériaux de construction en terre cuite

Enjeux de la thèse
L’industrie des matériaux de construction en terre cuite (tuiles, briques) en France utilise 7 millions de tonnes d’argile par an. Elle s’inscrit dans les enjeux de plus en plus stricts d’utilisation efficace des ressources naturelles. Dans ce but, elle cherche, en substitution de tout ou partie des argiles exploitées aujourd’hui, des matériaux renouvelables, ou des sous produits d’autres activités économiques, tels que les produits de dragage des barrages hydroélectriques, des établissements portuaires et des barrages réservoirs.
La thèse proposée constitue un point de départ à ce contexte général de Recherche et se poursuivra par des travaux complémentaires en vue de sa transposition industrielle.
Travail attendu
Réaliser une étude quantitative et qualitative des atterrissements argileux sur quelques sites modèles (en France), via les étapes suivantes :
-Bibliographie, conduisant à identifier plusieurs sites potentiels en prenant en compte les contraintes locales (intérêt à la valorisation de ces atterrissements argileux), industrielles (éloignement des sites par rapport aux lieux de transformation, demande régionale) et environnementales (acceptabilité du projet).
-Etudes sur les sites retenus avec deux objectifs : 1) caractériser l’historique des dépôts (influence des sources naturelles et anthropiques, du climat) et leur devenir à l’échelle d’un siècle, 2) échantillonnage de différents produits à de fins d’analyse minéralogique et géochimique
-Analyse de ces échantillons en vue de la caractérisation de ces matières premières au regard d’une utilisation dans la fabrication industrielle de produits de construction en terre cuite (comportement céramique, caractéristiques physico-chimiques, etc.). Cette analyse sera faite en partenariat avec le laboratoire du Centre Technique de Matériaux Naturels de Construction (CTMNC, situé à Clamart – 92) et les industriels associés.
La thèse sera financée dans le cadre d’un contrat CIFRE, et débutera à l’automne 2012. Les travaux seront réalisés en étroite collaboration entre MINES ParisTech qui apportera sa connaissance des systèmes fluviatiles et de leur dynamique de sédimentation et le CTMNC qui détient l’expertise d’analyse des matériaux naturels de construction.
Le candidat devra présenter une formation solide en sédimentologie ainsi qu’une bonne connaissance des techniques d’analyses minéralogiques. Un goût pour le travail de terrain et le travail en équipe sont évidemment indispensables, ainsi qu’une bonne maitrise de l’anglais.
Ecole Doctorale 398 Géosciences et Ressources Naturelles - MINES-ParisTech :
Centre de Géosciences - 35 rue Saint Honoré - 77300 Fontainebleau :
Nom du directeur de thèse : COJAN Isabelle (MINES-ParisTech )
Nom, prénom et affiliation des co-encadrants éventuels :
MARTINET Bruno, CTMNC, 17 rue Letellier, 70015 Paris
BRUNEAUX Marie Anne, CTMNC, 200 avenue du Général de Gaulle, 92 Clamart
Adresse courriel du contact scientifique : isabelle.cojan@mines-paristech.fr  ; b.martinet@ctmnc.fr

Une nouvelle gamme de brûleurs à haut rendement pour Ceritherm


Ceritherm, issue d’une reprise partielle de Ceric, présente sa nouvelle gamme de brûleurs à haut rendement. Cette gamme de brûleurs CT à combustible gazeux permet de couvrir l’ensemble des besoins des fours industriels. Elle se compose de 2 brûleurs "jet" à allumage commandé et contrôle de flamme (100 et 250 kW), et d’un brûleur destiné à fonctionner dans une ambiance supérieure à 750°C (80 kW). Ce dernier brûleur, le CT50, est disponible en version Radiax, solution développée par Ceritherm.
Le Radiax est le premier brûleur modulant à combustible gazeux dont la position de flamme dans l’enceinte de cuisson du four peut être modifiée en fonctionnement, tout en maintenant la puissance de chauffe et un rapport air/gaz constants.
L’interface de communication permet de moduler et d’alterner les modes de fonctionnement des Radiax. La possibilité de synchroniser le pilotage sur l’ensemble de la zone de cuisson offre de nouvelles possibilités dans la gestion globale des fours. Facilement intégrable, le Radiax peut être installé sans modifications importantes des réseaux fluides de distribution existants ou des parois de fours.

Le dispositif répartiteur breveté du Radiax oriente le flux d’air de combustion unique vers l’injecteur pour une distribution radiale ou axiale des gaz. L’injection radiale basée en partie sur l’effet Coandã permet de distribuer la puissance thermique à proximité du nez de brûleur. L’injection axiale délivre le mélange air/gaz à haute vitesse pour une distribution à grande
distance. Plus besoin de modifier le brûleur ou de changer de modèle pour répartir la puissance de chauffe dans l’enceinte du four. Toutes les zones de l’enceinte peuvent recevoir la puissance de chauffe du brûleur, même à proximité des parois. La modulation de la position de flamme élimine les zones de surchauffe et améliore l’homogénéité dans la charge.
Le réglage de la position de flamme est sans influence sur la puissance thermique délivrée par le Radiax ou sur les pressions air et gaz des réseaux de distribution. Le rapport air/gaz n’est pas modifié par le mode de fonctionnement, ce qui garanti une qualité de combustion et une atmosphère identique dans toutes les zones distribuées.
Le Radiax dispose d’une position “stop”. Un obturateur situé à proximité du nez de brûleur bloque l’accès des gaz chauds de l’enceinte de cuisson au reste de l’installation. Un brûleur ou un groupe de brûleurs peut donc être mis en arrêt sans conséquence sur le réseau de distribution. Cette disposition est particulièrement intéressante pour adapter en continu la puissance thermique du four à la production. La fonction intégrée “Fail-Safe” ferme cet
obturateur en cas de panne électrique de l’installation, protégeant ainsi les équipements de distribution situés en amont des retours de gaz chauds.
La transition entre les différents modes de fonctionnement est pilotée pour chaque brûleur Radiax par un actuateur situé dans la tête de commande.
Une interface de communication série permet de mettre les Radiax en réseaux et de les contrôler individuellement ou par groupe.
Ceritherm assure l’installation/intégration, la formation du personnel, et propose un ensemble de prestations complémentaires : contrats de location, de suivi de performances, de maintenance…
Source L’industrie Céramique et Verrière

20/05/2012

Ceric Technologies sera présent au Ceramitec 2012 Hall B5, Booth 522

Mardi 22 Mai  le salon CERAMITEC accueillera un public professionnel international autour de trois thèmes centraux : les technologies, l’innovation et les matériaux.
CERAMITEC présentera tous les champs des matériaux céramiques depuis les céramiques traditionnelles et les matières premières jusqu’aux poudres métallurgiques et les céramiques techniques.
CERAMITEC est le plus important des salons professionnels de la branche. Fort de son approche globale, CERAMITEC présente un panel complet d’exposants permettant aux visiteurs une vision exhaustive des technologies céramiques à travers le monde.
Il n’y a pas de meilleur endroit pour rassembler l’ensemble des acteurs de l’industrie céramique sous un même toit !
CERAMITEC se déroulera du 22 au 25 Mai 2012 au nouveau parc d’exposition de Munich.
Depuis sa création en 1979 CERAMITEC s’est hissé à la première place des salons dédiés à l’industrie céramique. CERAMITEC 2009 a acceuilli 656 exposants de 35 pays et environ 15000 visiteurs de 84 pays.
Source Ceramitec

Tecauma appuie son développement sur l’axe tradition-innovation


L’expérience de Tecauma en manutention automatique de produits céramiques remonte à l’origine de la société, créée en 1977. Depuis, l’en­­treprise vendéenne a su développer des lignes de manutention, devenues des standards dans la profession, tels que chargeurs de séchoir, empileurs, dépileurs, palettiseurs… Elles ont été reproduites à de multiples exemplaires, en France, en Europe, et le monde entier (Maghreb, Amérique du sud, Asie…).
Ces équipements ont sans cesse été améliorés par l’intégration des dernières évolutions technologiques, telles que courroies crantées, motorisations brushless, roboti­que, etc. Par exemple, elles ont été largement employées lors de la réalisation en 2009, de l’unité de production de briques rectifiées de Bouyer-Leroux en Vendée.
Répondre aux demandes particulières

À côté des grands standards, Tecauma a également répondu à des demandes particulières faisant appel à l’innovation. C’est le cas de la fabrication de tuiles plates estampées, réalisée pour Terreal. Plus récemment, l’empilage par robots de la majorité des produits de parement de la briqueterie Bouisset en est un autre exemple.
Parmi les produits phares de Tecauma, le coupeur de briques de structure, de parement, ou de tuiles, démontre tout son savoir-faire en terme d’innovation. Une de ses plus intéressantes réalisations est un coupeur de tuiles canal filées, capable de produire tous les modèles de la tuilerie Malmanche.

Fort de ces expériences, Tecauma continue de proposer ses équipements pour l’industrie cérami­que, en particulier sur le marché français.
Philippe Verdier, ingénieur technico-commercial, en charge de l’activité céramique chez Tecauma depuis plus de dix ans, a pu proposer de nouveaux équipements tels que des pinces de manutention pour Imerys ou deux coupeurs de briques pour Terreal. Une ligne de sciage de produits de parement a également parfaitement répondu aux attentes du client.
Tecauma a aussi des savoir-faire dans d’autres secteurs d’activité, liés également à la construction, mais restera dans les prochaines années un fournisseur fidèle de l’industrie céramique.
30 ans d’expérience à l’export

Les lignes de manutentions automatiques réalisées depuis 30 ans par Tecauma dans le monde entier, en particulier au Maghreb (110 instal­lations réparties sur 50 sites en Algérie), ont fait la renommée de la marque et permettent à l’entreprise de proposer des équipements standard qui ont fait leurs preuves sur des produits qui n’ont plus de secret pour l’entreprise.
Selon Philippe Breillac, président de la société, « l’intérêt des matériels standard est de proposer des équipements à prix avantageux, dans un délai court et avec une qualité et un résultat assurés : une fois installés, nos équipements produisent immédiatement, et nécessitent peu d’entretien. » Et d’ajouter : « Les briques fabriquées au Maghreb, telles que la brique huit trous et 12 trous en Algérie, sont bien maîtrisées par l’entreprise qui a su s’adapter à toutes les problématiques dues aux produits pour proposer sur catalogue tous les équipements de manutentions adaptés à l’Algérie mais aussi au Maroc, à la Tunisie, poursuit-il. Et une fois équipé de matériels Tecauma, vous pouvez compter sur l’entreprise pour assurer la fourniture des pièces de rechange grâce à un service après-vente réactif et des prix négociés du fait des quantités de composants achetés par Tecauma au quotidien, » conclut Philippe Breillac.
Représentée au Maghreb par Spritech

Depuis le 1er juillet dernier, Tecauma a choisi la société Spritech pour représenter sa marque au Maghreb. Laurent Le Roy, créateur de Spritech, fort d’une expérience réussie au Maghreb dans le domaine de la briqueterie, se déplace tous les mois pour visiter les clients et apporter réponses à leurs besoins en équipements et pièces de rechange, en étroite collaboration avec Tecauma.
Toutes ces démarches ont permis à Tecauma de revenir en direct sur le marché algérien en toute indépendance pour suivre les matériels existants mais également pour en proposer d’autres : c’est ainsi que la Briqueterie Mansouri, située à Batna, et client historique de l’entreprise, a confié à Tecauma la réalisation d’un dépileur automatique et d’un paquettiseur, après avoir visité les équipements standards installés chez Brimatec à M’Sila.

19/05/2012

Cameroun : Où sont les matériaux locaux ?


Construire un logement ou un bâtiment public avec des matériaux importés n’est pas aisé parce qu’ils coûtent cher. Leur coût élevé est également un obstacle à la mise en œuvre de la politique gouvernementale de multiplication des logements sociaux (à coûts modérés), compte tenu du faible pouvoir d’achat de la majorité des Camerounais. En outre, l’utilisation des matériaux importés fait sortir d’importantes devises dont le pays a besoin et contribue à déséquilibrer davantage la balance commerciale déjà déficitaire même dans son volet concernant les matériaux de construction, avec son corollaire qui est d’entretenir la dépendance du Cameroun vis-à-vis de l’extérieur. C’est pour inverser cette tendance que le chef de l’Etat a créé en 1990 la Mission de promotion des matériaux locaux (Mipromalo) dont le but est notamment de valoriser l’emploi des matériaux fabriqués localement en vue de réduire les coûts de réalisation des équipements nationaux. Par matériaux locaux, il faut comprendre, d’après Uphie Chinje Melo, directeur de la Mipromalo, les matériaux dont la fabrication intègre au moins 70% de la matière première prélevée dans notre environnement.

Mais, en dépit de l’abondante disponibilité de ces matières premières (argile pour produire des briques cuites, pierres de taille, terre latéritique pour fabriquer des blocs de terre comprimée, sable de granulométrie et autres agrégats pour tuiles en micro béton et carreaux en granulats ciment, bois aux essences variées, etc.), force est de reconnaître que plusieurs années après l’avènement de la Mipromalo, les résultats sont largement en deçà des attentes, en dehors de quelques cas isolés.

Pour remédier à cette situation, une circulaire du Premier ministre, chef du gouvernement, signée le 12 mars 2007, demandait instamment aux maîtres d’ouvrage et maîtres d’ouvrage délégués « de veiller à ce que la construction des bâtiments publics jusqu’à R+1 soit désormais faite en matériaux locaux ». Lesquels doivent être disponibles et produits localement, poursuit le document, qui ajoute que les dossiers d’appel d’offres (DAO) y relatifs, préparés par les soins des maîtres d’ouvrage et maîtres d’ouvrage délégués, en relation avec les services compétents du ministère des Travaux publics, doivent indiquer entre autres les spécifications techniques des matériaux locaux à utiliser dans ces constructions.

Cinq ans après la signature de cette circulaire d’une actualité brûlante en raison de la tendance haussière des coûts des matériaux de construction importés, le bilan de sa mise en œuvre est pour le moins négatif, alors même que les pouvoirs publics ont formé des contrôleurs dans tous les départements du pays pour pouvoir suivre la réalisation des projets avec des matériaux locaux. Qu’est-ce qui fait problème ? Pourquoi les maîtres d’ouvrage et maîtres d’ouvrage délégués chargés d’attribuer les marchés publics n’incluent-ils pas dans les DAO l’utilisation des matériaux locaux par les adjudicataires ? Les capacités de production actuelles de ces matériaux peuvent-elles satisfaire la forte demande observée chez les particuliers ? Y a-t-il une main d’œuvre bien formée pour construire en matériaux locaux ? Quelles sont les nouvelles perspectives ouvertes par l’inauguration, le 28 avril dernier à Nkolbisson, Yaoundé, d’une usine semi-industrielle de production des briques cuites capable de mettre sur le marché jusqu’à 5 millions de briques par an ?
Source Cameroun Tribune par Rousseau-Joël FOUTE

18/05/2012

VM Materiaux : activité en repli au 1er trimestre


VM Matériaux enregistre pour les trois premiers mois de l’exercice 2012 un chiffre d’affaires de 163,7 M€ contre 171,3 M€ un an plus tôt, soit un repli de 4,5 % par rapport à la même période de l’exercice 2011.
Au terme de ce 1er trimestre, l’activité du Groupe est en repli de 4,5 % par rapport à la même période de l’exercice 2011 (-6,6 % à périmètre constant) en raison de plusieurs facteurs conjoncturels et climatiques.
Ainsi, au cours de ce 1er trimestre 2012 le secteur de la construction enregistre une baisse de 11% des mises en chantier de logements par rapport à la même période en 2011. Les activités Béton et Négoce, malgré des performances intéressantes en janvier, font ressortir une baisse de leur CA (respectivement -3,3 % et -4,2 % à périmètre courant) en raison de conditions climatiques rigoureuses en février.
Celles-ci ont entraîné l’arrêt total durant une dizaine de jours des activités de gros oeuvre sur les chantiers ainsi que la fermeture de l’ensemble des centrales à béton et de certains outils de production. Enfin, la menuiserie industrielle, spécialisée sur le marché de la rénovation, marque un repli de 12,4% en raison de la réduction des incitations fiscales sur ce segment.

Développement et perspectives
Après un 1er trimestre en retrait, le Groupe reste confiant dans ses fondamentaux et poursuit son développement avec une prise de participation complémentaire au sein de la société Havraise de Matériaux (HM Matériaux) en janvier 2012.
HM Matériaux a réalisé en 2011 un chiffre d’affaires de 33,9 M€ et était jusqu’à présent consolidée par intégration proportionnelle. Elle est désormais intégrée à 100% dans l’exploitation du Groupe.

Par ailleurs, VM Matériaux, dans le cadre de son activité menuiserie industrielle (Atlantem), a annoncé dernièrement le renforcement de son implantation au Canada avec l’acquisition de la société québécoise Fene-Tech, fabricant de portes et de menuiseries bois, PVC et hybride.

Cette acquisition, qui sera intégrée dans les comptes à partir du 1er avril 2012, s’inscrit pleinement dans sa stratégie de développement à l’international, déjà présent dans des activités de négoce dans les départements d’outre-mer.
Source : batirama.com

17/05/2012

La tuile au service de l’architecture


La fédération des tuiles et briques et le réseau des maisons de l’architecture viennent de signer un partenariat afin d’améliorer la réflexion autour de la culture architecturale.

« Notre objectif commun est de développer des échanges multiples, constructifs et fructueux autour de l’urbanisation, de l’évolution de l’habitat et du développement architectural », a expliqué, dans un communiqué, Benoît Hennaut, responsable de ce projet de partenariat à la Fédération des tuiles et briques et président du GIE Tuile Terre Cuite.

Le rapprochement des industriels de la FFTB avec les 35 maisons de l’architecture, via le réseau des maisons de l’architecture (RMA), vise à réfléchir sur le thème de la culture architecturale et de sa transmission vers tous les publics. L’autre objectif est de favoriser l’amélioration des produits de construction que constitue notamment la terre cuite.

L’ouverture du Centre technique des matériaux naturels de construction (CTMNC), le 4 mai dernier, a été la première action concrète de ce partenariat. Tous les laboratoires du centre ont été ouverts et en fonctionnement, y compris la soufflerie Moby Dyck II, dont les caractéristiques techniques permettent de reproduire des intempéries comme pluies et vents et de tester la résistance des matériaux face à ces agressions. « C’est une porte d’entrée avant de nouvelles actions communes, s’est félicité Cloud de Grandpré, président du RMA. Avec ce partenariat, nous souhaitons d’une part enrichir la formation technique afin de mieux appréhender les questions environnementales, et d’autre part développer les échanges entre nos professions, en y associant les écoles d’architecture, ainsi que les enseignants. »

Prochaine étape de cette nouvelle collaboration : la participation de la FFTB – le contenu reste à découvrir prochainement – aux premières 24 heures d’architecture, qui se dérouleront à Strasbourg, les 19 et 20 octobre 2012.
Source Batiactu

Claude Bernard-Chabrier, Directeur des projets et du développement industriel de Terreal


A l'origine, spécialiste de la fabrication de produits de construction en terre cuite, Terreal est devenu un leader sur le marché de l'enveloppe des bâtiments : toiture, structure et façade. 25 sites industriels dont 16 en France, 2700 collaborateurs dont 1900 en France. Le siège est à Suresnes (92), 3 sites de production en Charente.

Sur quelles compétences pensez-vous que Germe impacte le plus les managers ?
La qualité d'écoute et la prise en compte des différences pour mieux assurer la cohérence de la direction d'entreprise. Cela permet au manager de bien mieux comprendre les enjeux de son entreprise et de faire le lien entre sa direction et ses collaborateurs. C'est aussi un bon moyen d'élargir sa culture générale grâce à des thèmes qui sortent du quotidien et traités par de vrais experts.

Quelle est votre vision du manager de 2015 ?
Dans un monde qui bouge très vite, avec des frontières qui explosent, avec un périmètre de l'entreprise appelé à bouger régulièrement, avec des personnes qui elles aussi sont appelées à changer souvent, le manager devra être adaptable, imaginatif, curieux... et particulièrement tenace !


Savoir prendre des risques, de L'ENSMA à TBF
« Même si je voyage à l’autre bout du monde sans aucun problème, je suis très attaché à mes racines, je souhaitais donc rester dans la région », explique Claude-Bernard Chabrier, directeur technique de TBF (Tuilerie briqueterie française) à Roumazières-Loubert en Charente, son département natal. Après s’être posé la question de savoir dans quel type d’activité il aurait le plus de chance de trouver du travail dans le Sud-Ouest, Claude-Bernard Chabrier a choisi la mécanique. «Depuis mon plus jeune âge, je voulais être ingénieur mais je ne savais pas dans quel domaine. A l’époque, on parlait d’industrie, de technologie, et l’ingénieur était quelqu’un qui pouvait créer quelque chose.» Après une maîtrise à l’université dans ce domaine, il se dirige vers l’Ensma, l’une des écoles qui acceptaient de prendre des élèves avec un diplôme d’université. En troisième année, il s’est spécialisé dans les matériaux et l’automatisme, «une formation qui m’a énormément servi lorsqu’à TBF on m’a confié la partie concernant le moulage». Claude-Bernard Chabrier sort de l’Ensma en 1978.« A cette époque, les jeunes ingénieurs n’avaient pas de problème pour trouver du travail. J’ai envoyé des CV un peu partout et en particulier à Michel Maury- Laribière qui était président de l’Union patronale de la Charente et patron de TBF. Lorsqu’il m’a proposé de travailler dans son entreprise, je me suis d’abord demandé ce que je pourrais y faire. Mais après avoir visité l’usine équipée d’automates programmables, j’ai été tout de suite séduit et, vingt ans après, je suis toujours là.» Après avoir gravi tous les échelons, Claude-Bernard Chabrier est aujourd’hui chargé de la direction technique. Il y a trois ans, on lui a demandé de monter une usine en Malaisie. « J’ai pris ma valise et je suis parti.» Une décision que peu de jeunes ingénieurs semblent prêts à prendre puisque la majorité d’entre eux refusent de quitter leur pays. C’est néanmoins un jeune diplômé de l’Ensma, recruté par Claude-Bernard Chabrier qui avait apprécié son travail effectué lors d’un premier stage au sein de TBF
, qui, depuis deux ans, suit la construction de l’usine en Malaisie.« Le diplôme d’ingénieur est une base solide sur laquelle on peut s’appuyer. L’Ecole nous donne la capacité d’apprendre. A la sortie, il faut notamment s’habituer à assumer des responsabilités.» Selon Claude-Bernard Chabrier, contrairement à un grand groupe où la hiérarchie pèse lourd, une petite entreprise permet de «s’exprimer totalement, même si c’est également plus risqué .
Un ingénieur doit d’abord être un fonceur qui doit savoir prendre des décisions, trouver des solutions et donner l’occasion aux autres de s’épanouir .»

Resource efficiency in the clay brick and tile industry – a brilliant contribution to securing the future supply of raw materials


In response to the global shortage of raw materials, the ­German government has issued a national resource efficiency programme. The extraction of raw materials is to be severely restricted. Conversely, resource efficiency is to be increased by means of recycling. Against this background, the talk begins by taking the famous broader view beyond the horizon. What is the situation with resource efficiency in other parts of the world?

Irrespective of any ranking, one thing is certain: bricks have been made from clay for over 6 000 years and clay is a fossil resource. Clay is formed by weathering, erosion, transport and sedimentation over millions of years in geological periods. With a global clay consumption of around 430 mill. t per year, it is also clear that the reserves of clay are dwindling – it is only a question of time. At first glance it may seem that we do not need to worry about this too much, after all there is enough clay in Germany. But the impression is misleading. Really good clay is already scarce today. In respect of regional raw material reserves, a crucial factor is that the best, that is the surface-near clays have already been exhausted by the brickworks. The extent to which the clay brick and tile industry has been affected is consequently documented by the rising volume of externally supplied clays and the strong dependence on nationally operating clay suppliers.

What could recycling solutions look like? What other possibilities are there to reduce the consumption of natural resources while maintaining the same economic performance? ­According to current research projects, the use of finely ground broken bricks presents one technically feasible option.

In the paper, supplementing the above option, another approach is presented. This concerns the exploitation of alternative clay potential produced in mineral washing of non-metallic minerals. The potential volume of material is so huge that the entire amount could not even be absorbed by the clay brick and tile industry. A study of the Deutsche Roh­stoffagentur (DERA – German Mineral Resources Agency) in 2010 showed that a large part of this washing sludge is potentially suitable for use in the clay brick and tile industry. The grain size ranges of these substances fit almost perfectly into the grain size range of common brick bodies. And the mineral composition does not look too bad either, so that use of these materials appears possible in the production of both clay masonry bricks and roofing tiles.

But here too there is a limiting factor: more than 90% of the washing sludge is currently landfilled and can therefore not be used in the clay brick and tile industry. Less than 10% of the washing slurries are dewatered on filter presses so that they could be used in the form of filter cake. What we urgently need therefore are filter presses instead of sludge landfills. It is important: the filter presses must be in the vicinity of the brickworks. After all resource efficiency should not be bought with bulk transport.

Suddenly a potential of regionally available raw materials is opened up, of which we had no longer dared to dream. That really would be a brilliant contribution to the assured supply of raw materials.

EurGeol Dr. Lutz Krakow, ClayServer GmbH, Ostercappeln-Venne, Germany

16/05/2012

La FFTB organise, en partenariat avec le Réseau des Maisons d'Architectes (RMA), le 1er Grand Prix de la Tuile Terre Cuite Architendance.


Les modalités
Ce concours est ouvert à tous les architectes inscrits à l'ordre exerçant une activité indépendante ou en agence, domiciliés en France métropolitaine.
Le Grand Prix 2012 met en compétition des projets ou réalisations de moins de 3 ans utilisant des  tuiles terre cuite en couverture ou des tuiles terre cuite en couverture et en façade.

Les catégories
Le Grand Prix 2012 concerne 3 catégories de projets ou de réalisations :
• L' habitat Collectif         
• Le logement individuel          
• Les bâtiments tertaires

Les dotations
Deux prix seront descernés dans chacune de ces catégories rapportant respectivement aux vainqueurs 2 500 € pour le 1er et 1 500 € pour le 2nd.
Un Grand Prix sera également remis rapportant un prix de 3 000 €.        

Le Jury
Le jury sera présidé par un architecte membre du RMA et sera composé :
    * d'un représentant des industriels de la tuile terre cuite,
    * d’un journaliste spécialisé en architecture,
    * d'un enseignant dans une école d’architecture.

La remise des récompenses du Grand Prix aura lieu le 19 octobre 2012 à Strasbourg à l'ocasion de la soirée des palmarès des "24h de l'architecture" organisées par le RMA.         
Agenda
           
4 Mai 2012                  Ouverture des inscriptions au Grand Prix
31 Juillet 2012             Clôture des inscriptions au Grand Prix
31 Août 2012             Remise des dossiers de participation
Septembre 2012    Réunion et délibération du jury
15 Octobre 2012    Remise des prix à l'occasion de la soirée des 24 heures de l'architecture.

INSCRIVEZ-VOUS AVANT LE 31 JUILLET
Source La tuile terre cuite .com