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31/10/2011

Terreal lance la Latitude 12

Dans la grande tradition canal des régions atlantiques, la Latitude 12 est une tuile esthétique et robuste pour des chantiers sans souci. Héritière du savoir-faire TBF, la Latitude 12 de Terreal répond aux exigences esthétiques et techniques des couvreurs d’aujourd’hui, en neuf comme en rénovation !

Les plus :
– Le ressaut vif pour restituer le rythme des tuiles canal de la façade atlantique.
– L’esthétique du nez tranché.
– L’ épaisseur typique des tuiles canal.
– Le courant courbe pour un rendu 100 % canal.
– Une conception technique garantissant stabilité et étanchéité, même à faible pente.
– Le jeu latéral et longitudinal de 2 cm pour une pose simplifiée.

Caractéristiques techniques:
Dimensions 45,7x29,8
Masse unitaire 3,9 kg
Nb/m2 12
Pureau latéral(cm) 20 à 22
Pureau longitudinal(cm) 37 à 39
Liteaux(cm) 2,63
Masse au m2(kg) 46,8 kg
Source Terreal

Solaire photovoltaïque : les acteurs du secteur plaident pour un investissement d'avenir

Les participants des Etats Généraux du Solaire Photovoltaïque réunis ce jeudi 27 octobre 2011 ont livré leur vision commune du photovoltaïque en France, d’ici à 2020, avec un diagnostic et des propositions. Leur objectif : sensibiliser les pouvoirs publics et les citoyens aux enjeux et opportunités liés au développement du secteur.

Le secteur du solaire photovoltaïque français s’est réuni pour ses Etats Généraux (EGS-PV). En souffrance depuis le moratoire sur les projets solaires décidé fin 2010 par le gouvernement, les acteurs se sont mobilisés pour dresser un état des lieux, donner un aperçu de l’avenir de la filière, et pour faire des propositions afin de développer cette énergie. Car le soleil brille pour les industriels du photovoltaïque au niveau mondial : le marché global et les capacités de production augmentent constamment pour répondre aux besoins d’énergie écologique. Le marché mondial du photovoltaïque représentera ainsi entre 24 et 44 GW en 2015 (soit un chiffre d’affaires de 50-80 Mrds €) pour atteindre entre 60 et 135 GW en 2020 (soit un CA de 80-120 Mrds €). La filière française souhaite donc profiter de cette manne.

Les professionnels du secteur demandent donc une politique solaire ambitieuse en France. D’autant plus qu’à partir de 2016, la « parité réseau » sera obtenue sur une partie du territoire. C’est-à-dire que le coût du kW/h produit par l’énergie solaire deviendra sensiblement équivalent au coût du kW/h acheté. Et la généralisation des bâtiments neufs à énergie positive (BEPos) à l’horizon 2018-2020, fait que le photovoltaïque constituera un élément traditionnel dans la construction.

De réels atouts, des obstacles importants
Or si la France dispose de nombreux atouts, aux dires des participants à ces Etats Généraux, il existerait également des obstacles à dépasser. En effet, la France, terre d’excellence et d’innovation, possède de nombreux laboratoires de R&D, un tissu industriel existant, de grands groupes énergétiques d’envergure mondiale et une filière du bâtiment mobilisé. Malheureusement, l’instabilité réglementaire qui règne depuis 2007 (quatre arrêtés tarifaires en quelques années) n’a pas permis de déployer de véritable stratégie industrielle. Ainsi, malgré 100 millions d’euros investis pour la création d’une quinzaine d’usines et un secteur qui employait 25.000 personnes à son apogée, un mouvement de repli s’est déjà amorcé. Près de 10.000 emplois ont ainsi été perdus dernièrement. Germain Gouranton (TCE Solar) précise : « La réglementation d’amorçage n’est plus adaptée : la limitation des volumes, la fixation des tarifs, les appels d’offres au-delà des 100 kW… autant de barrières administratives qui pèsent sur le développement de projets solaires ».

Afin d’inverser la tendance, les EGS-PV proposent un pacte de confiance, compréhensible par tous (assureurs, clients), afin d’encourager les investissements industriels et créer des emplois. L’objectif : atteindre les 100.000 salariés dans le secteur en 2020, dont 12.000 dans l’industrie. Pour y parvenir, Loïc de Poix (AIPF) prévient : « La nation a besoin de revoir son business plan. Il faut se remettre dans la compétition européenne en aménageant des mécanismes de soutien existants, afin de mettre en place un mécanisme de soutien stable. Il est par exemple nécessaire de relever à 20 GigaWatts l’objectif photovoltaïque pour 2020 » qui sont établis à 5,4 GW actuellement. Pour les tarifs d’achat, le président de l’AIPF poursuit : « Il faut les adapter de façon dynamique, les régionaliser et différencier ainsi les projets du Nord au Sud de la France qui ne présentent pas la même rentabilité. Il faut également intégrer un mécanisme de bonification de l’autoconsommation afin d’alléger la charge du CSPE (Contribution au Service Public d’Electricité) ».
Les Etats Généraux proposent des simplifications et clarifications réglementaires, notamment au niveau de la limite de distance entre deux installations d’un même propriétaire ou la révision des modalités actuelles d’évaluation technique des procédés photovoltaïques intégrés aux bâtiments.

Enfin, Loïc de Poix martèle : « Il faut encourager l’offre européenne et française, en mettant en œuvre un dispositif de déclaration d’origine des composants. En mettant en place une garantie de financement OSEO pour les projets réalisés avec du Made in France et en promouvant le label de qualité AQPV. Et il va falloir développer une stratégie collective à l’export, à l’image de ce qui se fait en Allemagne où les industriels pratiquent ‘la chasse en meute’ ». Les EGS-PV ont chiffré leur plan de déploiement, pour installer les 18 GW supplémentaires d’ici à 2020 : 800 M€/an d’investissements. Faute de quoi, « la France risque de creuser encore un peu plus son déficit en aggravant le déséquilibre de la balance commerciale, d’environ 1,5 Mrd d’euros chaque année, au moment de l’atteinte de la parité réseau et de la généralisation des BEPos ». Un message d’urgence que les organisations professionnelles semblent adresser aux candidats des prochaines élections nationales.
Source Batiactu

30/10/2011

CERIC Technologies

CERIC , expert mondial des solutions et services destinés à la production des matériaux de construction en terre cuite, développpe aujourdhui un nouveau projet soutenu par une équipe d'experts et des partenaires financiers reconnus. La société met en place une nouvelle organisation en devenant CERIC Technologies

Dans le cadre de son développement, CERIC Technologies s'appuie sur son réseau international, pour favoriser la proximité et la réactivité avec ses clients à chaque étape d'un projet, et en termes d'assistance technique, de service après vente et de pièces de rechange : "Nous parlons tous le même langage et la même langue."

CERIC Technologies s'appuie sur une longue tradition d'innovation et de maîtrise technologique qui lui permet de tester, au travers des projets de recherche, des process et des produits innovants.

Ces projets dont le but est de promouvoir de nouvelles solutions constructives, contribuant au développement durable et à la préservation de l'environnement, sont menés en partenariat avec des clients, des universités et des grandes écoles.

Avec la volonté de s'engager pour l'innovation et l'amélioration continue du rendement des équipements et des procédés, CERIC Technologies travaille sur :

* La diminution des consommations d'énergie,
* L'optimisation des capacités de production des équipements proposées,
* La réduction et la simplification des opérations de maintenance,
* L'amélioration des interfaces homme-machine.

Par ses solutions personnalisées toujours élaborées en partenariat avec ses clients, par la qualité et la modernité de ses équipements, par ses innovations sécurisées, par son expertise, par sa disposition à assurer des services et un suivi constant et performant, CERIC Technologies s'adapte aux évolutions industrielles, aux évolutions normatives et réglementaires, aux évolutions de son époque pour assurer à ses clients le succès et la pérennité de leurs activités "car l'engagement total de CERIC Technologies pour ses clients, est leur garantie d'être performants dans le temps".
Source Ceric Technologies

Terreal et ComBTP testent le décapage tracté

La société Terreal a confié à la société ComBTP la réalisation d’une plateforme de stockage d’argile sur son site de Colomiers, en Haute-Garonne.

Le chantier consiste à enlever sur une surface de 15 000 m2, une couche de 80 à 90 cm de graves silico-calcaires et argileux 0/300 comprenant de nombreux silex. Pour ce faire, ComBTP a mobilisé un atelier de terrassement composé d’une niveleuse Caterpillar 120M et de trois décapeuses tractées DF105 Martorell, accouplées respectivement à un tracteur articulé Case IH de 450 cv, un tracteur articulé John Deere de 450 cv et un tracteur rigide John Deere de 330 cv. "Nous avons excavé 13 000 m3 de matériaux en 10 jours, malgré les intempéries", précise Pierre Castany, gérant de ComBTP, importateur et distributeur des décapeuses tractées Martorell. "C’est la preuve que les décapeuses tractées représentent une alternative économiquement et techniquement viable aux échelons classiques de terrassement."
Source France BTP par Hubert de Yrigoyen

29/10/2011

Le PTZ+ ne subira finalement aucune modification

Alors que des députés avaient soumis un amendement à l’Assemblée visant à exclure les 10% de contribuables les plus aisés du PTZ+, ce dernier a été rejeté lors de l'examen du projet de budget 2012.

Evoqués la semaine dernière, les changements liés au PTZ+ n’auront finalement pas lieu. En effet, l’Assemblée a rejeté l’amendement visant à réduire l’accès du prêt aux ménages les plus modestes.

Ainsi, les prêts souscrits du 1er janvier 2012 au 31 décembre 2014 n’auraient plus été consentis aux contribuables dans la tranche des 10% de revenus fiscaux de référence les plus élevés. Cet ajustement avait pour but de souligner le caractère «social» de cette aide dont le but est d’encourager les classes moyennes à investir. Mais aussi de réaliser des économies. Finalement, cet aménagement n’aboutira pas.

La ministre du Budget, Valérie Pécresse, a expliqué qu’elle craignait que cet amendement «complexifie le PTZ+ et qu’ il ne soit plus proposé par les banques» et que ne «décroisse l'offre de ce dispositif qui semble soutenir énormément l'accession à la propriété». Avant d’ajouter : «Nous voulons un PTZ simple et universel».
Source Batiactu

CHEMINON (Ardennes): Son « taudis » a été rénové

Grâce à une opération programmée d'amélioration de l'habitat et à une certaine solidarité villageoise, André Paillot a pu rénover le logement insalubre qu'il occupait depuis plus de 20 ans.

UN toit de tôle, soutenu par des étais. Pas de sanitaires. Des trous dans les murs, masqués par des bâches. De la terre battue sur une partie du sol. Un vieux poêle tellement inefficace « qu'on pouvait voir une bouteille d'eau posée à côté geler sur place ». Le logement d'André Paillot était une ruine. « Je n'aurais pas pu finir mes jours là-dedans. Un jour ou l'autre, tout se serait écroulé », témoigne ce retraité de 64 ans. « Je voulais le retaper, mais je n'en avais pas les moyens », explique-t-il. Et pour cause, il vivait avec à peine 400 euros par mois. Il a bien eu quelques contacts avec l'Opac pour déménager il y a quelques années, mais il ne se voyait pas vivre en appartement. Cette maisonnette de la rue de Châlons qu'il avait acheté en 1999, c'était chez lui.

Et le solide gaillard s'en contentait presque. « Le froid, ça conserve », plaisante-t-il alors que la température chez lui pouvait atteindre - 15°C.
« On n'avait pas le droit de le laisser là-dedans, affirme aujourd'hui Michel Journet, le maire de Cheminon. En voyant cela, je me suis dit qu'il pouvait bénéficier de l'Opération programmée d'amélioration de l'habitat en cours dans la communauté de communes ». Ce dispositif permet d'obtenir des subventions pour réaliser des travaux sur des logements dégradés ou mal isolés (lire par ailleurs). La secrétaire de mairie a aidé à titre personnel André Paillot à remplir un dossier et à effectuer les démarches. « Conformément à la procédure, nous avons fait en avril 2010 une analyse thermique du logement et un rapport de dégradation, explique Guillaume Vandenbussche, chargé d'opérations au Comal-Pact 51, l'organisme qui pilote l'OPAH. Tout était à faire. Estimation des travaux : 16 500 euros. Compte tenu des ressources limitées de M. Paillot, il fallait trouver un moyen pour qu'il ait le moins d'argent possible à avancer ».

16 500 euros de travaux

RVH, une société de rénovation de Trois-Fontaines-l'Abbaye accepte de faire un effort considérable sur ses prix. Imerys fournit gratuitement les tuiles nécessaires à la réfection de la toiture. Au final, le Comal Pact permet à André Paillot d'obtenir une aide de 11 500 euros (soit 68 % du montant des travaux), ainsi qu'un prêt à taux zéro de 6 000 euros. En mars 2011, le chantier débute grâce à une avance de subvention. En attendant, le propriétaire est relogé par la commune.
Dans une semaine, André Paillot devrait pouvoir passer la nuit chez lui. « Un mur a été remonté, une charpente a été posée, des équipements sanitaires ont été installés, une dalle de sol, du carrelage, des radiateurs… », énumère Guillaume Vandenbusshe. André Paillot en aussi profité pour investir ses petites économies pour mieux s'équiper et faire placer des placards. Désormais, les deux pièces sont habitables. « C'est petit, c'est simple, mais c'est bien », résume-t-il en toute simplicité.
Source L'Union L'Ardennais par Rémi HAVYARIMANA

28/10/2011

Roumazières Loubert: Terreal: le travail et le mérite récompensés

Une centaine d'employés de l'entreprise Terréal ont reçu hier à la salle des fêtes de Roumazières les médailles du travail. L'occasion pour le PDG du groupe Hervé Gastinel de faire le point sur la santé de l'usine et de lancer officiellement la nouvelle tuile "Latitude 12"

C'est elle qui accueillait les visiteurs et les employés hier lors de la traditionnelle remise des médailles du travail, à la salle des fêtes de Roumazières. En pied de nez à la crise économique ambiante... La nouvelle tuile "Latitude 12" vient de sortir des chaînes de fabrication de la l'usine Terréal. Cette "romane canal" modernisée va répondre aux nouvelles exigences esthétiques et techniques des professionnels de la couverture tout en gardant le savoir-faire TBF et en respectant la tradition régionale. Une nouvelle jeunesse pour l’un des produits phare de Terréal. Bruno Hocdé le directeur du site et Hervé Gastinel PDG du groupe Terréal, en lançant ce nouveau produit, ont aussi voulu rendre hommage aux salariés, saluer la valeur du travail et leur engagement "face à une crise qui va s'avérer longue et difficile"
cette cérémonie qui a lieu tous les deux ans est l'occasion de passer un moment ludique autour d'un buffet, avec les employés et de présenter aux élus et responsables locaux parmi lesquels le sous préfet de Confolens Laurent Alaton, l'activité de l'entreprise.
"Le lancement de la "latitude 12" ajouta le PDG "est le garant de la pérennité du site, des emplois et de l’activité économique de l'usine".
Et pour rassurer aussi bien les ouvriers que les élus présents à la cérémonie, dont le maire Jean Michel Dufaud, le directeur général affirma, en rappelant que 2011 avait été une bonne année malgré une décélération à partir de l'été, qu'il n'y aurait pas, malgré la fermeture d'une unité de fabrication de "réduction d'effectif dans les emplois à durée indéterminée, ni de plan de délocalisation ou de re-localisation, contrairement aux rumeurs...En revanche rien en ce qui concerne les intérimaires.
Il précisa également que face à la crise économique il faudrait certainement s'attendre à une activité en baisse pour l'année 2012.
Petite consolation pour les employés de Terreal, en fin d'année, ils auront droit à la prime d'intéressement.

Le directeur général rappela l’importance du site de Roumazières, le « navire amiral » du groupe, qui emploie plus de 500 personnes.

Ce discours a rassuré le maire de Roumazières et le sous préfet de Confolens, sensibles l’un et l’autre au devenir d’une industrie qui a elle- seule fait la richesse de ce secteur de Charente Limousine. L’ouverture prochaine de la nouvelle carrière en bordure de la RN 141 et le projet futur d’une unité de métanisation témoignent de la volonté de maintenir à Roumazières une certaine dynamique.
Source Charente Libre

Une fin d’année florissante pour Poujoulat

Le fabricant de conduits de cheminée termine l’année en beauté. Le groupe enregistrera une croissance supérieure à 10% à fin décembre, tandis que de nombreux projets viennent conforter la bonne santé et la volonté de développement de l’entreprise. En prime, il nous réserve encore une belle surprise sur Batimat !

Avec une hausse du chiffre d’affaires consolidé de près de 21%, Poujoulat peut se targuer d’avoir réalisé une année 2011 florissante. Ainsi, le résultat opérationnel s’inscrit en croissance de 32.5%, tandis que les investissements auront représenté quelque 28 M€ dirigés vers le développement des capacités de production et l’accélération des innovations. Si le groupe envisage un « léger ralentissement au dernier trimestre », la croissance annuelle devrait tout de même être supérieure à 10%.

Ce vendredi, sera inaugurée la nouvelle unité de production de bois de chauffage baptisée BF 36 – Bois Factory 36. Elle produira de gros volumes, soit plus de 150.000 stères par an de bûches à haute performance et assurera un recyclage à 100% de ses produits connexes, qui alimenteront les chaufferies de Buzançais et de Niort.

Enfin, traditionnellement attendu sur Batimat, le stand du groupe devrait encore faire sensation cette année. Création du designer Francesco Giganti, de l’agence IDA Industrie Design Architecture Paris – Milano, et de l’architecte Antoine Rouzeau, « le stand poujoulat se veut très ouvert sur l’extérieur, lisible, à la fois puissant dans sa simplicité et sobre », explique le designer. En outre, il s’étendra sur 380 m2, où différentes ambiances s’articuleront autour d’un élément central pour le moins surprenant : la réplique grandeur nature du bateau de Bernard Stamm sponsorisé par Poujoulat ! Rendez-vous sur le pont…
Source Batiactu

27/10/2011

Un réseau de négoces à la conquête du marché de la rénovation thermique

Rexel, Samse, Denis Matériaux, Tanguy sont les quatre distributeurs de ce GIE baptisé Réseau Energie Habitat. Partie prenante également Crédit Mutuel Arkéa ainsi que le spécialiste de l'étude thermique Inovéha comme partenaire privilégié. Son objectif : simplifier le passage à l'acte des projets de rénovation des particuliers en proposant produits et services.

« Ce groupement sera le premier réseau national de professionnels en capacité d'apporter aux clients finaux l'ensemble des réponses articulées autour de six postes de rénovation énergétique, tout en les guidant dans leur financement », affirme Jérôme Thfoin, directeur Marketing et Méthodes du Groupe Samse et président du GIE Réseau Energie Habitat. Autour de la table, des négociants en matériaux (Denis Matériaux, Groupe Samse, Tanguy Matériaux) et en matériel électrique (Rexel), ainsi que le réseau bancaire Crédit Mutuel Arkéa. Parmi les partenaires opérationnels, un cabinet d‘étude thermique (Inovéha) et des réseaux locaux d‘artisans pour la réalisation des travaux. « Nous nous situons sur des rénovations de 35 000 euros en moyenne, pas assez importantes pour intéresser un architecte ou un maître d'œuvre, mais trop lourdes pour que les ménages puissent les gérer seuls. Le Réseau Energie Habitat vient combler un vide sur un marché au potentiel énorme », explique Rachel Denis-Lucas, directrice commerciale de Denis Matériaux, le négoce qui expérimente le dispositif en Bretagne depuis deux ans.
De l'audit aux travaux

Pour le particulier intéressé, le programme commence avec l'audit thermique du logement, assorti d'une proposition de bouquets de travaux. Puis vient la validation financière du projet, en y incluant les aides potentielles (crédits d'impôt, éco-PTZ...), avec le réseau bancaire Crédit Mutuel Arkéa. La dernière étape c'est le lancement des travaux, avec la mise en relation du client et des artisans sélectionnés par REH, sur le bâti (en moyenne les deux tiers des projets) et le génie climatique. Sur le chauffage, la climatisation et la ventilation, Rexel présente son offre EnR et électrique, y adjoignant notamment des outils de maîtrise de l'énergie et une offre en luminaires basse consommation. Ce sont les négoces qui tiendront le rôle de coordination et de mise en contact, aidés d‘une plateforme informatique commune. Ils assureront aussi la commercialisation de l'offre REH, laquelle sera également accessible via un site Internet dédié et les artisans partenaires. « Nous sommes désormais à la recherche de nouveaux négoces matériaux pour compléter le réseau dans des régions non couvertes », précise le directeur du GIE Jérôme Thfoin. Le Réseau Energie Habitat profitera de Batimat, où il disposera d'un stand, pour faire connaître son offre et partir à la recherche de partenaires.
Source Le Moniteur par Paul Falzon

26/10/2011

La maison solaire e4-Ziegelhaus

Les projets de constructions durables ne manquent pas en Autriche. Voici un coup de projecteur sur l'un d'entre eux, la maison "e-4 Ziegelhaus 2020" ("Ziegel" signifie "tuile"), qui promet un bilan énergétique et un bilan CO2 positifs.

Ce concept de logement individuel à deux étages doté d'une consommation énergétique optimisée est en construction dans la petite ville de Zwettl en Basse-Autriche, connue pour être l'un des endroits les plus froids d'Autriche - les températures y descendent fréquemment en-dessous de moins vingt degrés Celsius en hiver. Ainsi, les constructeurs pourront déterminer si le concept est efficace y compris dans un tel environnement. Pour un coût de l'ordre des prix usuels dans le secteur (à savoir environ 1700 euros par mètre carré), cette maison ne doit en effet ne consommer que peu d'énergie - et cette énergie doit venir en grande partie de la maison elle-même : énergie solaire thermique pour l'eau chaude et le chauffage (complétée dans ce cas par une chaudière), et photovoltaïque.

Le terrain d'implantation n'autorise pas une exposition solaire optimale. C'est pourquoi l'architecture du bâtiment est adaptée : le toit est tourné par rapport au corps du bâtiment tandis que les collecteurs solaires sont installés sur une pente à 60°. Cette disposition permet de réfléchir une grande partie du rayonnement solaire en été, de capter autant de puissance que possible en hiver lorsque le Soleil est bas dans le ciel, et de faire glisser la neige d'elle-même afin qu'elle n'obstrue pas la surface utile. Et au coeur de la maison, sur deux étages, se niche un réservoir d'accumulation de 9600 litres, où l'eau pourra être chauffée à un maximum de 38°C.

Une illustration est disponible sur le site internet de Wienerberger [1].

D'après les calculs effectués par l'Austrian Institute of Technology (AIT, le plus grand organisme de recherche extra-universitaire du pays [2]), cette maison nécessite pour le chauffage 39 kWh par mètre carré par an ; la consommation d'énergie totale (y compris l'électricité) est estimée à 71 kWh par mètre carré par an - alors qu'elle doit en produire 73 (voir les chiffres clés, en allemand [3]). Dans le même temps, le bilan carbone doit être légèrement positif durant l'utilisation de ce logement. La confrontation des calculs avec les résultats se fera dans trois ans : les propriétaires emménageront à l'été 2012 puis l'AIT mesurera deux années durant les paramètres énergétiques et les comparera aux simulations.

Ce projet, mené par Wienerberger (entreprise autrichienne employant environ 12.000 personnes, notamment leader mondial dans le domaine de la fabrication des briques), compte plus d'une dizaine de partenaires et de soutiens.
Source Bulletins Electroniques

"Les distributeurs de matériaux et Internet poursuivent leur croissance en Russie"

Archaïques, trop peu nombreux... les réseaux de distribution de matériaux dans le secteur du BTP présentent un potentiel important de développement en Russie, alors que la demande explose. Une mine qu'Internet entend bien exploiter lui-aussi. Tour d'horizon avec Xavier Dumoulié*, depuis Moscou.

Ce 5 octobre 2011, l'allemand Obi vient d'ouvrir son sixième magasin à Moscou, en grande pompe, devant un parterre de personnalités et de représentants de l'ambassade d'Allemagne. Obi devient ainsi le premier distributeur en Russie par le nombre de points de vente, devant Castorama et Leroy Merlin. Malgré cette expansion des GSB, la distribution de matériaux en Russie se fait encore majoritairement via les "foires" et Internet pourrait bien bientôt rebattre les cartes...

Un réseau de GSB très insuffisant
Avec respectivement un réseau de 19, 18 et 17 magasins pour toute la Russie, OBI, Leroy Merlin et Castorama continuent de se développer à grande vitesse, certains misant plutôt sur une politique de prix agressive et d'autres plutôt sur le service. Les surfaces de ces
Leroy Merlin en Russie
Zoom [+]
www.leroymerlin.ru ©
GSB, pour le moins spartiates et où la mise en valeur des produits est moins une préoccupation que celle liée à l’optimisation de l’espace, dépassent souvent les 10.000 m2 et on y trouve tous les matériaux et équipements pour construire, rénover et aménager. Le succès de ces enseignes est tel que plusieurs magasins se placent régulièrement dans le "top 10" en chiffre d’affaires, tous pays confondus, de leur groupe respectif. Pour autant, avec moins d'une quinzaine de magasins de la sorte à Moscou - qui compte, selon les sources, de 15 à 18 millions d’habitants - la demande est très loin de pouvoir être satisfaite. Pis, certaines villes comme Ekaterinbourg, quatrième ville du pays avec près de 2 millions d'habitants, ne disposent que d’un seul magasin... Il va de soi que, seul, ce mode de distribution ne suffit pas à satisfaire les millions de Russes qui ont besoin de s’approvisionner en matériaux et équipements pour leurs travaux !

Les marché ou "foires" : un mode hérité du système soviétique et encore numéro 1
Foire aux matériaux en Russie - DR
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Foire aux matériaux en Russie - DR ©

Les marchés ou "foires" constituent un autre mode de distribution, hérité du système soviétique et qui a explosé dans les années 2000. Il représente aujourd'hui le premier canal de distribution de matériaux en Russie et semble avoir encore de beaux jours devant lui... Implantés le long des grands périphériques urbains ou sur les grands axes menant aux "datchas" dans les lointaines banlieues, ces marchés sont de véritables labyrinthes, composés de containers empilés les uns sur les autres, et autour desquels on circule en voiture. Chaque container du rez-de-chaussée est aménagé en "show-room" ; le stock est quant à lui dans le container du dessus... Chacune de ces boutiques est très spécialisée : électricité, sanitaire, carrelage, parquet... et les vendeurs redoublent d'efforts pour présenter les produits en mettant en valeur, du mieux qu’ils peuvent, les PLV des fournisseurs ! Ici, on mise aussi sur le stock et le prix avec, en prime, la possibilité de marchander.

Quels sont les autres canaux de distribution ? Comment se place internet aujourd'hui ? Découvrez la suite de la chronique en page suivante.

*Xavier Dumoulié est Associé, Directeur Général Délégué de Cap Info Pro SAS et Directeur Général de Cap Info Pro Russie (supports d’information sur les secteurs de la construction, de l'architecture et de l'immobilier et services d’accompagnement aux PMI du bâtiment pour amorcer et développer leurs activités en Russie).
Source Batiactu

25/10/2011

Un nouveau président pour l’association Promotoit

L’association Promotoit, qui regroupe les principaux industriels de la toiture, vient de changer de président : Michel Langrand, à sa tête depuis son lancement en 2005, est remplacé par Hervé Gastinel, président de Terreal.

« Remplacer Michel Langrand est un beau challenge que je relèverai avec enthousiasme », a précisé Hervé Gastinel. La mission de Promotoit est triple : mutualiser les connaissances techniques et règlementaires afin d’offrir au grand public une plateforme d’information ; accompagner les professionnels de la couverture dans les évolutions de leur métier ; valoriser la solution de toiture en pente dans ses dimensions thermique, esthétique et environnementale auprès de tous les acteurs publics et privés de la construction. Dès son origine, Promotoit s’est donné pour mission de « penser le toit globalement ». L’association a ainsi contribué à placer le toit au coeur des enjeux techniques, économiques, architecturaux et sociologiques de l’habitat et accompagner son évolution vers une véritable 5ème façade active. En parallèle, Promotoit a mis en place un site Internet pour informer le grand public et les acteurs de la construction sur les bénéfices de l’entretien et de la rénovation des couvertures.
Source France BTP

« Pour 2012, la certitude est que rien n’est certain », Patrick Liébus, Président de la Capeb

« Coup de froid » et « gelées hivernales » en vue pour l’activité de l’artisanat du bâtiment. Ce sont les mots d’ordre de la Capeb, qui revoit ses prévisions à la baisse pour 2011, à +2.2% contre +2.9% initialement. Un coup dur pour la filière qui commençait à entrevoir une reprise ces derniers mois. Détails.

Le climat s’annonce très morose sur l’activité de l’artisanat du bâtiment. Dans sa dernière note de conjoncture, la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment affiche un certain pessimisme quant à l’avenir : ainsi, elle se voit contrainte de revoir à la baisse ses prévisions pour fin 2011, à +2.2% contre +2.9% prévu initialement. « Une avalanche de facteurs de crispation s’est abattue sur l’économie mondiale cet été, remettant en cause la croissance escomptée pour 2011 », justifie Patrick Liébus, Président de la Capeb nationale.

La croissance de l’activité de l’artisanat a donc pris un sérieux « coup de froid » en cet automne, alors même que les prévisions d’ici à la fin de l’année n’augurent rien de bon non plus. Ainsi, si l’activité a enregistré une hausse au 2nd trimestre, à +2.5%, elle n’a progressé que de 1.5% au 3e trimestre, rendant les perspectives pour 2012 bien incertaines. « Pour 2012, la seule certitude est que rien n’est certain », a indiqué le Président Liébus, qui envisage même « un retour de la baisse d’activité ». Cependant, il estime « qu’un pronostic plus précis est difficile à ce jour en raison d’un voile d’incertitudes qui masquent l’horizon ».

Piqûre de rappel
Et le président de dénoncer les « annonces homéopathiques du gouvernement », qui ne suffisent plus à rassurer le secteur. Et encore moins les ménages touchés par la frilosité quand il s’agit d’investir notamment dans des travaux de rénovation. En effet, ce segment de l’entretien-réhabilitation, qui avait déjà connu une croissance moindre depuis le début de l’année, a été divisé par deux (+1%), souligne le communiqué de la Capeb. « Si le cumul de l’Eco-PTZ et du crédit d’impôt est plutôt une bonne nouvelle, il est impératif d’augmenter à au moins 40.000 € le plafond des ressources proposé aujourd’hui à 30.000, sauf à casser totalement la dynamique actuelle », prévient Patrick Liébus. Qui note également un ralentissement du marché de la rénovation énergétique…

Côté métiers, des écarts sont à noter. Ainsi, on relèvera une accélération de l’activité pour les couvreurs-plombiers-chauffagistes (+2.5%) et les menuisiers-serruriers (+2%), tandis que les électriciens (+1.5%) et les maçons (+1%) affichent toujours une croissance mais plus contenue qu’au trimestre précédent. En revanche, les spécialistes de l’aménagement-décoration-plâtrerie doivent se contenter d’un petit 1% et d’une activité très limitée. Rappelant la dégradation de la situation des trésoreries des artisans et le fait que les carnets de commandes se remplissent plus difficilement qu’au 2e trimestre, le Président a conlu : « […] Le financement de l’économie française passe par le soutien aux TPE et aux PME du bâtiment qui maintiennent en France des emplois non délocalisables. J’aimerais que le gouvernement accorde autant d’importance aux inquiétudes de Dupond & co qu’à la parole de Standard and Poor’s ».
Source Batiactu

24/10/2011

La commune de La Grève-sur-Mignon fête la renaissance de sa briqueterie

« J'ai aidé au déchargement », se souvient Jean-Paul Chessé, 72 ans, de la famille Legatte-Chessé, qui a racheté l'usine en 1938, avant de la vendre à la commune en 2004. (photo dominique jullian)


«C'est la tuile ! » s'exclament depuis près de 140 ans les habitants de La Grève-sur-Mignon. Mais pas question de constater un événement fâcheux et imprévu pour cette commune du Marais poitevin située près de Courçon. Au contraire. Dans la langue française, le mot « tuile » permet de constater un fâcheux ou un heureux événement.

La tuile - puis la brique - a fait la renommée et la richesse de La Grève-sur-Mignon. Au nord et au sud, la commune dispose de gisements d'argile très pure. En 1872, les Vincent, frères et industriels, fondent une des premières briqueteries de la région. Jusqu'à la Première Guerre mondiale, l'usine tourne à plein. Les crises économiques, l'exode rural, le progrès technique, la demande qui se tarit, un incendie aussi viennent à bout de l'usine.


Fours monumentaux

Les portes se ferment, le village prend une claque. C'est la tuile ! La mauvaise, celle-là… Reste deux fours industriels monumentaux et une cheminée de 22 mètres, des ateliers et une machine à vapeur, des moules, des tuiles et des briques par milliers. À jamais inutilisées, certaines arborent fièrement, gravées dans leur terre : « Tuilerie mécanique de La Grève, canton de Courçon ».

Hier, en fin de matinée, La Grève-sur-Mignon s'est réjouie à nouveau. Toiture neuve, charpente réhabilitée, cheminée consolidée… La première phase de travaux de réhabilitation vient de s'achever. Le complexe industriel, racheté par la commune en 2004, a retrouvé des couleurs. Et la commune, sa mémoire.

« Pendant la guerre, on venait s'amuser ici avec les filles », glisse un vieux monsieur. « Les jeunes faisaient des boums dans le four désaffecté », rajoute une habitante. Pour la mémoire des chiffres, il faudra repasser et potasser. « Il y a eu jusqu'à combien d'ouvriers ? » demande un curieux dans l'assistance. « 150 ! » lance un septuagénaire. « T'es malade ? 35 au maximum », conteste un camarade du même âge.

Peu importe la véracité des effectifs, qui ont varié selon les époques, la tuilerie fut toujours centrale dans la vie du village, des familles, des habitants.
L'usine libère les souvenirs

Depuis deux ans, « 217 apprentis et leurs formateurs sont passés par le chantier. La grande majorité des jeunes n'avait jamais touché à une charpente ou à de la maçonnerie », se félicite Henri Patois, délégué régional du Chantier école Poitou-Charentes, une structure de formation et d'insertion.

Si loin, si proche, le temps où « c'était de l'esclavage. À l'époque, il fallait beaucoup de main-d'œuvre pour charger et décharger l'argile sur les bateaux », témoigne encore un vieux monsieur.

Quarante-deux ans après sa fermeture, la briqueterie prépare sa renaissance (1). Courant 2012, elle s'ouvrira aussi au public comme pôle de référence sur l'éco-habitat et les nouvelles énergies. À deux siècles de distance, l'usine déchaîne les passions et les vocations, libère les souvenirs et les hommes.

(1) Commune, État, Région Poitou-Charentes, Département de Charente-Maritime, le Pays d'Aunis, la CdC du canton de Courçon, le Parc interrégional du Marais poitevin, des mécènes privés participent à l'aventure de cette réhabilitation.
Source Sud Ouest par Benoît martin

23/10/2011

CERITHERM

CERITHERM est issue de la volonté des principaux cadres de Ceric Wistra de poursuivre l'activité de cette société du groupe Ceric qui centralisait la conception et la réalisation de tous les fours (fours pour le marché de la terre cuite et fours spéciaux).

CERITHERM est une équipe pluridisciplinaire d'hommes motivés et experts dans leur domaine, dédiée à la conception/réalisation de vos nouvelles installations thermiques ou à la modification/amélioration de vos installations existantes.


CERITHERM bénéficie de l'environnement universitaire et scientifique riche et reconnu du Pôle de Compétitivité de la Céramique de Limoges (écoles d'ingénieurs, centres de transferts technologiques, laboratoires de recherche, centres de recherche de multinationales, start-up...).
Forte de ses expertises et de ses innovations,CERITHERM vous accompagne dans vos challenges Industriels : fabriquer de nouveaux produits, produire mieux, produire plus, consommer moins, polluer moins... Produire différemment pour préparer l'avenir !

RÉALISATION DE PROJETS D'INSTALLATIONS THERMIQUES CLEFS EN MAIN
(fours jusqu'à 1700°C - foyer biomasse - chaudières - équipements spéciaux..,} :

• Dimensionnement processConception (fumisterie, thermique, mécanique, fluide, électricité, automatisme)
• Intégration dès la conception des aspects environnementaux (ICPE...), hygiène, sécurité (ATEX...)
• Intégration dès la conception de la thématique << économie d'énergie » • Audit / Expertise / Analyse de besoins • Fabrication • Logistique / Export • Installation sur site • Mise en service • Gestion de projet • Intégration d'équipements • Maintenance PRESTATIONS DE « SERVICE CLIENTS » SUR INSTALLATIONS THERMIQUES (foyers, fours, séchoirs...) : • Remise en état totale ou partielle de fours (rails, parois isolantes - fumisterie -, gaines, électricité, équipements de chauffe (brûleurs, résistances électriques...) • Remise en état totale ou partielle de wagons de fours (châssis métallique, isolants réfractaires, roues...) • Mise en conformité d'installations (gaz, électrique, amiante, rejets atmosphériques, sécurité opérateur...) • Retrait/Substitution Amiante et Fibres Céramiques Réfractaires • Audits (analyses de risques, bilan énergétique/ thermique / aéraulique, analyses performances fours : régulation, rendement, homogénéité...) • Pièces détachées (réfractaires, mécaniques, électriques, brûleurs...) L'ensemble de ces prestations sera proposé sous forme de contrat « à la carte », avec une fréquence d'intervention convenue. Les audits seront convertis en propositions d'amélioration(s) chiffrées, avec évaluation du retour sur investissement(s). OPTIMISATION DES PERFORMANCES DES INSTALLATIONS THERMIQUES (foyers, fours, séchoirs..,) ; • Réalisation de brasseurs basse et haute température • Réalisation de récupérations de gaz chauds, en direct et/ou via échangeurs • Amélioration des combustions et réglages des équipements de chauffe • Augmentation de la température de fonctionnement Réduction du taux de rebut : Contrats de maintenance préventive • Amélioration des isolations des équipements haute température (fumisterie) • Audit performances . .. INTÉGRATION D'ÉNERGIES ALTERNATIVES AUX ÉNERGIES FOSSILES, SUR INSTALLATIONS THERMIQUES (foyers, fours, séchoirs...} : • Réalisation d'équipements de chauffe fonctionnant au : biogaz, gaz pauvres, combustibles solides • Réalisation d'équipements de chauffe « bi-énergies » (gaz naturel + autre énergie) • Réalisation de générateurs de chaleur multicombustibles • Intégration d'ORC (générateurs d'électricité à Cycle de Rankine Organique)
Source CERITHERM

Carrièrs d'argile d'Aomar : danger en Kabylie

Le chef-lieu de la commune d’Aomar compte trois zones d’activité assurant essentiellement la production des produits rouges (brique, tuile…) literie et insecticides.

Cependant, les unités produisant les produits rouges sont les plus nocives. Elles causent des désagréments et touchent à la santé de la population. Elles polluent l’environnement et l’atmosphère. Une catastrophe sanitaire et écologique est provoquée par l’exploitation, l’extraction et le transport de l’argile de la carrière vers les unités implantées au nord-ouest d’Aomar gare et à quelques encablures des établissements scolaires et de la cité Saadi Moussa. La carrière se trouve à trois kilomètres au nord-ouest de la ville. Des camions de gros tonnage font la navette pendant tous les jours de la semaine et sans arrêt pour acheminer l’argile vers les unités de production ou encore vers les unités implantés à Boudouaou, dans la wilaya de Boumerdès. Ces engins soulèvent un gros nuage de poussière qui se dégage du chemin carrossable reliant la carrière à la RN25, en passant par les unités d’Aomar gare. Soulevée par les roues des véhicules lourds et emportée par le vent, la poussière se dirige droit vers les établissements scolaires édifiés à quelques mètres de ce chemin et les habitations de la cité Saadi Moussa ainsi que celles de la cité évolutive. D’un côté, ce nuage de poussière pollue l’atmosphère, les habitants et les écoliers notamment ceux du primaire et les personnes ayant une maladie chronique à savoir l’asthme, sont les premières victimes de cette catastrophe écologique. En été, la population étouffe et l’air devient irrespirable, de l’autre, elle retombe sur les toits des maisons formant des couches sur les tuiles rouges qui prennent la couleur de la terre. Cette situation nuit à la santé des citoyens, particulièrement les élèves qui fréquentent l’école primaire Akkacha Laifa, le CEM frères Djouhri Ali, ainsi que les enfants de la crèche communale, située à la cité Saadi Moussa. Sans doute, ces innocents seraient atteints de maladies respiratoires. Un citoyen nous déclare : «La poussière fait partie des condiments des assiettes et des repas servis à la cantine scolaire et dans les foyers». Vraisemblablement, personne ne s’inquiète sur l’état de santé de la population et de ses préoccupations. Ces victimes souffrent depuis des années et «les autorités compétentes ne se soucient guère de cette situation désastreuse», nous dira un résident de la cité Saadi Moussa. A la poussière s’ajoutent les risques auxquels sont confrontés les écoliers à chaque passage de ces camions de gros tonnage, chargés d’argile. Les autorités locales sont invitées à poser des bordures en vue de séparer les deux établissements scolaires de la route qui passe à proximité des portails d’entrée des deux institutions de l’éducation.
Pour diminuer les risques de maladies respiratoires, la direction de l’environnement et celle de la santé sont appelées à prendre la décision et de recommander voire sommer les propriétaires de ces unités de production des produits rouges de réaménager la route qui mène à la carrière en engravant la chaussée, ce qui diminuera la poussière. Nous avons appris qu’une requête a été adressée à toutes les instances compétentes de la wilaya, pour trouver une solution à leurs préoccupations et leurs souffrances, qui durent depuis des années.
Source La Dépêche de Kabylie

22/10/2011

A Laon, le Palais de Justice sauvé de justesse

La gamme Patrimoine de Wienerberger a été retenue pour la restauration des 3.200 m2 de toitures du Palais de Justice de Laon, sauvé de justesse alors qu’il était voué à la fermeture.
Wienerberger fournira le chantier de rénovation de la toiture Palais de Justice de Laon. Au total, une surface de 3.200 m2 sera réalisée en deux tranches sur 17 mois. Le toit des différents corps de bâtiments sera habillé de tuiles en terre cuite Patrimoine Ocré Lichen en trois formats : 14x25, 15x26 et 16x27 (sauf les tourelles en un seul format).

C’est la marque de tuiles haut-de-gamme Aléonard qui a été retenue. Conçue pour les sites classés, la gamme Patrimoine est fabriquée dans le respect des procédés ancestraux et répond à un haut niveau d’exigence technique et esthétique. Cette démarche innovante portée par Wienerberger, a été consacrée par le label EPV (Entreprise du Patrimoine Vivant).

Sauvé de la fermeture

Alors qu’il était voué à la fermeture en 2004 sur avis de la Commission de sécurité, le Palais de Justice de Laon va être sauvé. Le chantier de rénovation débute ce mois d’octobre et doit remettre en état ce site classé Monument historique tout en veillant à la mise en conformité des normes de sécurité en vigueur.

C’est donc un long chantier de restauration qui débute pour ce site, exceptionnel par sa surface et sa richesse historique et architecturale : les corps de bâtiment les plus anciens remontent au 12ème siècle.
Source Batiweb par Laurent Perrin

21/10/2011

Braas‘ brand-new Granat 13V roof tile – the outstanding result of constructive ­co­operation

What is there to improve on a classical double-trough interlocking tile? Actually, such a timeless roof tile should already be about as good as it can get – one might think! On the other hand, the criteria to be met by classical construction materials have always been in a constant state of flux, perhaps even more so in recent years. So, in order to satisfy shifting expectations, even time-tested, long-­established models and products are being redesigned.

Carl Gustav Magnusson, jury chairman in the “Buildings” category at the 2011 iF Product Design Awards event, summed it up nicely in his introductory motif: “Because installation meth­ods remained unchanged for quite a long time, it was very difficult for progressive designs to catch on in the building sector. Nevertheless, there were always many interesting contributions to be evaluated, and many of them deserved our respect and recognition. Some of them amounted to worthwhile, if unspectacular, improvements, while others attempted to redefine their own category.”[1] The Granat 13V roof tile by Braas, for example, which won the 2011 iF Product Design Award, is one such worthwhile improvement.

The main focus of attention in redesigning the Granat 13 was to give it more head adjusting range and make it much more flexibly deployable. In terms of market acceptance, the additional flexibility is very important for roof renovation jobs, heritage-protected rehabilitation projects and even new buildings. Another important point was to improve the tiles‘ rainproofness by optimizing their head and foot interlocks, as confirmed by the results of wind-tunnel trials. The design of the Granat 13V is characterized by the two-troughs‘ high degree of symmetry. This is particularly important, because the Granat 13V can therefore be installed in straight and staggered bonds, and the finished appearance is harmonious in either case.

A number of framework conditions made the job of redesigning the Granat 13V especially challenging. For one thing, the joint task force formed by ­Monier Braas GmbH and Franz Banke GmbH had to ensure, that the new Granat 13V would fit well onto existing-type drying supports and cranks and therefore be optimally supported during drying and firing. That applied not only to the normal roof tile, but also to the various accessories: right and left verges, half-length tiles, dormer ventilators and double-bead tiles. That, of course, requires lots of testing and attention to numerous details and limiting factors. With the aid of modern 3D-CAD software, though, along with all the necessary know-how and experience on the part of both Monier Braas GmbH and Franz Banke GmbH, many good solutions were worked out together. Naturally, such a task entails one or the other compromise, but when client and supplier work together as productively as they did in this project, that can be very conducive to good results.

Any new theoretical design has to proof itself in practice, of course, particularly when the natural raw material clay is involved. Consequently, the design development process included a number of test runs with subsequent analysis and appropriate optimization of the models. As usual in Germany and northern Europe, the tiles are produced with the aid of plaster moulds, so alterations to be made on the model can be effected by altering the master model accordingly. With their integral design and production prowess, Franz Banke GmbH is optimally positioned for that kind of work. Each and every change is CAD-designed and can be implemented immediately, quickly and simply in the manufacturing network situated directly downstream. As such, the learning cycles associated with any such development process were able to be concluded very rapidly.

The joint development team sees their 2011 iF Product Design Award for the Granat 13V as an ­acknowledgement of work well done, confirming that innovations and product modifications can yield good results despite difficult boundary conditions. In addition to winning the 2011 iF Product Design Award, their Granat 13V has also been nominated for the 2012 German Design Award, which is bestowed once each year by the ­German Design Council.
[1] iF product design yearbook 2011, vol. 2, p. 264
Source Ziegelindustrie International

20/10/2011

Solidia Technologies dévoile une technologie de haute performance, de construction ultra-protectrice de l'environnement et de matériaux de constructio

Solidia Technologies a présenté aujourd'hui à l'exposition GreenBuild qui s'est tenue à Toronto, au Canada, sa plateforme de technologie d'avant-garde permettant de produire les matériaux de construction et d'immeubles de prochaine génération, dotés d'impressionnantes propriétés physiques et bénéficiant d'un coût réduit de cycle de vie et d'une empreinte environnementale inferieure. Solidia Technologies ancre cette innovation dans la Solidification à basse température, avec laquelle la morphologie et la chimie peuvent être manipulées afin de fabriquer des matériaux possédant des caractéristiques exceptionnelles ainsi qu'une performance d'application unique. La technologie emploie également du CO2 comme réactif, séquestrant ainsi ce gaz à effet de serre au cours du processus de production et en créant une nouvelle passerelle vers les matériaux de construction et d'immeubles avec zéro émission carbone.

Les produits fabriques au moyen du procédé de Solidia Technologies n'utilisent pas de ciment de Portland, ne sont pas liés par la résine et peuvent être utilisés pour des applications intra et extramuros. Dans l'industrie des matériaux de construction, cela permet de fabriquer des produits plus résistants et plus durables, allant des façades aux mosaïques pour le sol et aux tuiles pour le toit et aux comptoirs décoratifs. En outre, en raison des basses températures avec lesquelles les matériaux sont fabriques, des capteurs et autres dispositifs électroniques peuvent être incrustés, ouvrant ainsi la porte vers un monde de produits de construction avec des emplois novateurs et plusieurs caractéristiques de valeur ajoutée.

" En qualité d'architectes dont les créations visent à assurer un avenir durable, nous sommes a la recherche de nouveaux produits qui ne sont pas juste qualitativement meilleurs, mais qui réduisent de beaucoup notre empreinte carbone. Je suis d'avis que Solidia Technologies a conçu un tel matériau ", ajoute Rick Cook, concepteur de One Bryant Park, le premier immeuble en platine LEED à New York City.

Solidia Technologies travaille également afin d'élaborer des matériaux qui peuvent remplacer le béton. Les premiers résultats montrent la résistance et les propriétés de ces matériaux dépassent de loin celle du béton traditionnel. La séquestration de CO2 au cours du processus de production offre l'avantage supplémentaire de créer un remplacement au béton qui soit neutre en ce qui concerne le carbone.

" Solidia Technologies effectue des avancées scientifiques extraordinaires qui modifieront de manière radicale la manière dont sont conçus et fabriqués les matériaux de construction et d'immeubles ", a expliqué Bill Joy, un associé de Kleiner Perkins Caufield and Byers ; " cela pourrait tout bouleverser ".

La société a accepté de collaborer avec SIMEC, un fabricant international d'équipement, en vue de développer des lignes de production échelonnables qui seront déployées au niveau international en conjonction avec des partenaires stratégiques.

" Solidia Technologies fournit une nouvelle plateforme qui révolutionnera le monde des matériaux de construction et de d'immeubles en apportant une solution écologique unique en son genre à l'industrie de la construction ", a déclaré Ampelio Stangherlin, Président de SIMEC. " Nous sommes très heureux de pouvoir collaborer avec Solidia Technologies et sommes enthousiastes à l'idée de travailler avec eux sur la commercialisation de cette découverte scientifique. "

En raison du rythme effréné de l'urbanisation à travers le monde, l'énorme volume de matériaux requis de la construction et les immeubles, l'augmentation des prix de l'énergie, la rareté croissante de l'eau et une attention plus soutenue au changement climatique, les industries des immeubles et de la construction sont confrontées à une pression grandissante les forçant à changer et à innover, à créer des matériaux dotés de propriétés exceptionnelles et réduire l'impact sur l'environnement. Solidia Technologies jouit d'une excellente position pour déclencher ce changement.

La société a prélevé jusqu'à présent 29 millions USD de KPCB et de Bright Capital, le bras the venture arm du groupe RU-COM en Russie.

Contact : Atilla Sebuktekin +1-908-922-4704 asebuktekin@solidiatech.com
Solidia Technologies
Source Bolsamania PR Newswire Association LLC

19/10/2011

Rénovation énergétique des bâtiments existants : comment impulser une dynamique ?

La rénovation énergétique des bâtiments existants était au programme de la deuxième journée des Rencontres de la Performance Energétique, le mardi 11 octobre.

La rénovation énergétique des bâtiments existants est un marché d'importance au regard des milliers de logements qui devront être rénovés thermiquement. Mais "il n'y a pas de dynamique sur l'ancien comme il peut y en avoir une sur le neuf, car il n'existe aujourd'hui aucune obligation" regrette Alain Maugard.

Pour accélérer le mouvement, le président de Qualibat milite pour 3 idées :
- installer une réglementation thermique sur l'ancien;
- créer une "loi malraux" de ravalement thermique (ou rénovation thermique), qui deviendrait obligatoire tous les 15-20 ans ;
- introduire l'idée d'une valeur verte qui jouerait sur le prix de la revente d'un logement (à l'image d'un véhicule qui doit être contrôlé régulièrement et qui s'il n'est plus en état, part à la casse). Le DPE deviendrait alors "le juge de paix."

Alain Maugard a annoncé par ailleurs la mise en place de règles de l'art spécifiques pour l'ancien. Autre certitude : "on n'attendra pas 2020 pour faire du Bepos dans certaines zones privilégiées mais plutôt 2015-2017", a-t-il estimé. Quant aux bâtiments (historiques par exemple) qui ne pourraient pas atteindre le seuil de 80 kWh.ep/m2.an, l'idée est de pratiquer la compensation : les bâtiments à moins de 80 kWh.ep/m2.an équilibreront ceux qui ne peuvent y accéder.
Source Le Moniteur par Frédérique Vergne

18/10/2011

«Permis de construire», une exposition au service des plus démunis

Imerys Terre cuite, le collectif artistique «9èmeconcept» et la Fondation Architectes de l’urgence (FAU) se mettent au service des plus démunis en s’associant autour du projet «Permis de construire». A cette occasion, des grands noms de l’architecture et des artistes exposeront et vendront leurs œuvres au profit de la FAU.

La deuxième vente aux enchères de dessins d’architectes de renom au profit de la Fondation Architectes de l’Urgence (FAU) aura lieu le 23 octobre à la galerie Nikki Diana Marquardt (Paris IVe). Elle sera précédée d’une exposition des œuvres, du 15 au 23 octobre, aux côtés de vingt-sept créations originales en briques d’artistes contemporains du collectif «9èmeconcept», imaginées sous l’impulsion d’Imerys Terre Cuite, le spécialiste des briques et tuiles en terre cuite. Ces dernières seront également mises en vente au profit de la FAU.

Des dessins et des maquettes
Parmi les architectes qui ont fait don des dessins mis en vente : Claude Parent, Roland Castro, Mario Botta, Richard Meier, Rudy Ricciotti, Eduardo Souto de Moura, mais aussi les célèbres architectes navals Jean Marie Finot ou Marc Van Peteghem. Pour la FAU, Manuelle Gautrand a accepté de se séparer de sa fameuse maquette du C42, le showroom Citroën, situé 42 avenue des Champs-Elysées à Paris.

En 2010, une première grande vente aux enchères avait été organisée par la FAU. Face au succès rencontré, Patrick Coulombel, président de la Fondation Architectes de l’Urgence a souhaité faire de cette vente un rendez-vous annuel.

Avec le projet «Permis de construire», architectes, artistes et artisans donnent le maximum de visibilité à l’action de la FAU :
«Construire pour les très pauvres avec très peu d’argent».
Source Batiactu

17/10/2011

Les engins attaquent l'argile sur la montagne

Les 18 ha de la carrière de Vendémies sont exploités depuis 1992. Et vu le volume de gisement, ça devrait durer jusqu'en 2031, date prescrite par l'autorisation préfectorale. L'argile qui est extraite du sol sert à la fabrication des tuiles.

Chose rare -et surtout très pratique pour diminuer les coûts de transport-, l'usine (85 salariés) est située juste à côté de sa matière première : environ 1 km de distance les sépare. L'unité de fabrication, modernisée voici quelques années, appartient au groupe Monier. Rappelons qu'elle abrite le plus grand four de cuisson d'Europe.

Mais depuis quelques jours, des Limouxins se disent impressionnés lorsqu'ils longent la carrière en voiture : des engins entament le sol au sommet des crêtes.

Qu'on se rassure, ils n'attaquent pas la montagne ! L'extraction de l'argile suit tout simplement son petit bonhomme de chemin, ou plutôt de filon. "Afin de ne pas provoquer de nuisances pendant la saison estivale, où les touristes sont plus nombreux, la campagne d'extraction, qui s'étend sur environ six mois, se déroule entre automne et hiver", explique Stéphane Dautria, le responsable des postes qualité service environnement (QSE) et de la maintenance.

Environnement protégé

"Actuellement, le gisement se trouve effectivement sur la partie ' montagne' du site. Les engins doivent d'abord passer par les couches de graves alluvionaires et par les terres végétales avant d'atteindre les bancs alternés de grès et d'argile". Une fois extraites, les argiles sont stockées. Et quand le site n'est plus exploité, il est aussitôt réaménagé.

L'usine est en effet inscrite en ICPE ("installation classée pour protection environnement") : "Nous obéissons donc à des règles strictes. On réaménage d'abord le site et ensuite, on le reconstitue en y replantant de la verdure et des arbres".

Mais la protection de l'environnement est également prévue dans le cadre même de l'exploitation : ainsi, après 2031, si la possibilité d'extraire l'argile au-delà du site actuel est autorisée, les engins pourront creuser soit en surface, soit en profondeur : "Mais en profondeur, nous nous arrêterons à 10 mètres au-dessus du niveau de l'Aude".
Source L'indépendant

16/10/2011

TECAUMA au Maghreb


Depuis le 1er juillet 2011, TECAUMA a choisi la société SPRITECH pour représenter sa marque au Maghreb.

Pour tout service et ou pièces de rechange sur vos équipements TECAUMA actuels ou si vous souhaitez réaliser de nouveaux équipements ou lignes complètes de marque TECAUMA, prenez contact:

Laurent LE ROY
Société SPRITECH
Tél. France : +33 6 72 96 71 02
Tél. Maghreb : +213 550 36 29 20
laurent.leroy@tecauma.fr
www.spri-tech.fr
Source Tecauma

15/10/2011

Adler Technologies offers total control over concrete product manufacturing at Saudi Build - Riyadh

For over 30 years, Adler Technologies has worked hard at understanding and controlling every aspect of concrete, and thus to provide innovative solutions to help its customers optimise their business and operational performance.

Adler Technologies will come and meet its future customers as it takes part in Saudi Build, the international event for building materials and techniques being held next October 16th to 19th.

Adler Technologies has complete control over the manufacturing process it has developed for concrete products, a mastery which the company has developed as it followed and anticipated changes in the market and in its customers' requirements.

The lines of equipment produced by Adler Technologies are versatile and they are scalable: single- or double-line vibrating presses, comprehensive handling and conveying systems (transfer cars, palletising equipment, robots), calibration by machining of one or both sides, insulation insertion into blocks, all kinds of moulds featuring such brands as Demler, Pierre & Bertrand, Balbinot, Minato, Sodeem and Brouiller, horizontal or vertical batching plants with a capacity of 10 to 60 cubic metres per hour. Adler Technologies is in a position to supply a complete turnkey plant; including buildings and curing chambers...

An acknowledged specialist in concreting trains, Adler Technologies has taken part in the achievement of prestigious tunnels like the Channel Tunnel - Europe's greatest project - and, more recently, the 57-kilometre Saint-Gothard tunnel, the world's longest.

Adler Technologies has recently boosted the versatility and performance of its solutions in terms of handling and conveying by teaming up with partner FIMEC Technologies. Putting a finishing touch to the process, Adler Technologies provides comprehensive automated production solutions devoted to prefab. The entire operational cycle, from storing aggregates to the finished product is offered complete with simple and convivial end-to-end process management.

Adler Technologies already enjoys solid references worldwide. It now plans on reinforcing its presence in the Middle East, and will be exhibiting at the French Pavilion, supported by UBIFRANCE, the French Agency for international Business Development, in Hall 2 - Booth 405.
Source AME info

Tout Faire Matériaux accompagne la construction BBC

Le réseau de négoces indépendants en matériaux de construction « Tout Faire Matériaux » propose à tous ses clients, professionnels ou bricoleurs avertis, un service dédié à l’étude thermique indispensable à la conception de bâtiments basse consommation énergétique.

En prévision de la généralisation de la Règlementation thermique 2012 à l’ensemble des constructions neuves au 1er janvier 2013, Tout Faire Matériaux va désormais proposer à l’ensemble de ses clients, qu’ils soient professionnels ou bricoleurs « lourds », un service d’étude thermique pour aider à la conception de maisons basse consommation. Pour ce faire, un partenariat a été conclu avec le cabinet d’ingénierie Antoine Barbet. Les maîtres d’ouvrages gagnent ainsi un temps précieux en partant directement des solutions techniques disponibles et immédiatement chiffrables.

Dans la pratique, des technico-commerciaux spécifiquement formés à la construction de bâtiments basse consommation proposeront aux maîtres d’ouvrage des solutions produits conformes à leurs attentes et adaptées au projet BBC. Une fois le projet défini, une étude thermique est réalisée. Elle apporte les optimisations nécessaires et garantit le caractère basse consommation.

L’étude engagée, le maître d’ouvrage a la certitude de mener à bien son projet BBC, quelle que soit la solution retenue. Le cabinet restitue, lorsque l’ensemble des choix de produits arrêté, une étude de validation du projet finalisé, avec ajustements si nécessaires. Cette étude définitive sera l’une des pièces à fournir obligatoirement en 2013, au moment du dépôt de permis de construire.
Afin d’anticiper cette évolution, Tout Faire Matériaux proposera également, à partir du mois de novembre prochain, une plaquette pédagogique et didactique afin de mieux comprendre les enjeux des nouvelles exigences de la RT 2012.

Le réseau Tout Faire Matériaux compte près de 480 points de vente en France et en Belgique et plus de 4.000 collaborateurs. Le catalogue compte 14 familles de produits et plus de 700.000 références.
Source Batiactu

14/10/2011

General Shale to host open house

General Shale Brick, the North American subsidiary of Wienerberger AG and a leading manufacturer of one of the world’s oldest green building materials, is celebrating the opening of its new showroom at 925 E. Stone Drive, Kingsport, with an open house on Friday from 8 a.m. to 5 p.m. and Saturday from 8 a.m. to 3 p.m.

The open house will feature door prizes, a 15 percent discount on purchases made that weekend and other goodies. Radio station 98.5 WTFM will be on hand for live remote coverage.

“We are excited to open this new showroom on Stone Drive for friends and neighbors to come by and check out the new outdoor living products, new brick colors, thin brick and thin rock as well as the many other choices we have,” says Dick Green, General Shale Brick president and CEO. “It’s a wonderful opportunity to have an event like this in our back door and to be able to purchase any of our products at a reduced price for the weekend.” Visitors over the age of 18 may register in a grand prize drawing for their choice of a small fireplace or water feature do-it-yourself kit.

Two drawings will also be held for a choice of a fire pit, mailbox or garden bench DIY kit. Winners do not have to be present to win. Customers will receive 15 percent off all purchases during the weekend.

Normal business hours for the Kingsport Showroom are 8 a.m. – 5 p.m. Monday through Friday and 8 a.m. – 1 p.m. on Saturday through Oct. 29 (closed on Saturday during the winter months). General Shale Brick is America’s largest brick, stone and concrete block manufacturer supplying a wide variety of masonry materials for residential, commercial and specialty architectural projects. For more information, visit w w w. g e n e r a l s h a l e . c o m .
Source Times News

13/10/2011

La FFB souffle le chaud et le froid sur les prévisions 2011 et 2012

Les autorisations et mises en chantier continuent de s'inscrire en nette progression par rapport à 2010.
En rythme annuel sur la base des 8 premiers mois de l'année, on est passé d'environ :
- 451 500 logements autorisés en 2010 à 507 100 en 2011 (+12,3%),
- 320 200 logements mis en chantier en 2010 à 385 300 en 2011 (+20,3%).

En conséquence sur la base des données connues, 2011 ressort à des niveaux proches de ceux de 2008, très bonne année au regard des tendances de long terme (graphique ci-dessus).

Selon la FFB, l'écart important et positif entre autorisations et mises en chantier d'une part, l'absence d'effondrement des enquêtes d'opinion constatée d'autre part laissent espérer que l'année s'inscrive bien dans cette tendance à la hausse.

Les autorisations et mises en chantier continuent de s'inscrire en nette progression par rapport à 2010.
En rythme annuel sur la base des 8 premiers mois de l'année, on est passé d'environ :
- 451 500 logements autorisés en 2010 à 507 100 en 2011 (+12,3%),
- 320 200 logements mis en chantier en 2010 à 385 300 en 2011 (+20,3%).

En conséquence sur la base des données connues, 2011 ressort à des niveaux proches de ceux de 2008, très bonne année au regard des tendances de long terme (graphique ci-dessus).

Selon la FFB, l'écart important et positif entre autorisations et mises en chantier d'une part, l'absence d'effondrement des enquêtes d'opinion constatée d'autre part laissent espérer que l'année s'inscrive bien dans cette tendance à la hausse.

Malgré l'accumulation des mauvaises nouvelles financières et économiques depuis la rentrée, la Fédération Française du Bâtiment croit encore en une bonne année 2011 pour le secteur de la construction. En revanche, ses prévisions pour 2012 sont bien sombres, voire alarmistes sur l'emploi.

En termes d'activité, les évolutions à fin septembre confirment que 2011 est une année de reprise pour le bâtiment.

Exercice d'équilibriste pour le président de la FFB, mardi 4 octobre lors de la présentation à la presse des chiffres du bâtiment à fin septembre 2011. Didier Ridoret a, en effet, voulu se dégager du discours ambiant sur la crise pour présenter une année plutôt positive avec un maintien de la prévision de croissance à 2,1 ou 2,2%. « Force est de constater, a-t-il lancé, que l'activité dans le secteur du bâtiment est toujours bien orientée. » Pour preuve, l'accélération de la reprise dans le neuf non-résidentiel, le maintien de la dynamique dans l'amélioration-entretien et, dans une moindre mesure, dans le logement neuf. Autre élément de satisfaction pour la FFB, l'emploi s'est maintenu et les entreprises effectuent un glissement de l'intérim vers les salariés fixes.
Trésoreries mises à mal

Pourtant, dans ce portrait à contre-courant de l'actualité, Didier Ridoret a mis en évidence quelques fissures qui pourraient bien faire s'écrouler ce bel ensemble. Tout d'abord, les indices de progression sont à modérer à l'aulne de l'année de référence (2010) et leur lissage sur huit mois indique en fait un ralentissement de la reprise au troisième trimestre, notable dans le logement neuf. Par ailleurs, les prix sont restés bas et ne semblent pas prêts de remonter, mettant à mal la trésorerie des entreprises qui ont maintenu leur masse salariale et n'ont pas obtenu en aval une amélioration des délais de paiement. Ajouter à tout cela l'écart qui se creuse entre autorisations et mises en chantier : le cocktail est explosif.

Commencée dans l'optimisme, la conférence s'est achevée sur les plus sombres prédictions pour 2012. « Jusqu'à mi-2012, le bâtiment tiendra, affirme Didier Ridoret, mais après, je ne vois pas comment nous pourrions résister. J'appelle les entreprises à la plus grande prudence dans leurs projets de développement. » Et le président de la FFB de lister l'outil de production surdimensionné, les prix qui ne remontent pas, la trésorerie des entreprises qui se dégrade, la concurrence catastrophique des auto-entrepreneurs, sans compter les pouvoirs publics qui pourraient faire de l'immobilier « la victime expiatoire du désendettement ». Seule lueur d'espoir, le rabot sur la loi Scellier à partir du 1er janvier 2012 pourrait inciter les promoteurs à multiplier les projets au quatrième trimestre, lançant ainsi une dynamique qui « sauverait partiellement l'année 2012 ».
Source Le Moniteur par Marie-Hélène Nougaret et Frédérique Vergne

12/10/2011

Logements BBC: plus de 200.000 mises en chantier en 2011

Plus de 200.000 logements à basse consommation d'énergie sur un total d'environ 360.000 seront mis en chantier en 2011, contre seulement 95.000 en 2010.

"A la fin juin nous étions à 108.000 et pour l'ensemble de l'année 2011 nous aurons plus de 200.000 mises en chantier de bâtiments basse consommation (BBC)", a déclaré M. Apparu, secrétaire d'Etat au logement lors d'une rencontre avec l'Association des journalistes de la construction (AJC).

Tous les permis de construire des logements neufs à partir du 1er janvier 2013 devront être certifiés "basse consommation", soit pas plus de 50 kilowattheures d'énergie par mètre carré et par an (kWh/m2/an), en moyenne selon les régions, incluant le chauffage, la production d'eau chaude, l'éclairage et la ventilation, hors électroménager.

La mesure avait été prise à la suite du Grenelle de l'Environnement. M. Apparu a estimé à 5%, "un surcoût non négligeable", contre 8% à 10% au début de sa mise en oeuvre, le surcoût de construction lié à la mise en oeuvre du label BBC mais a indiqué qu'il n'y avait "pas encore assez de recul pour évaluer les économies réalisées".
Source : batirama.com / AFP

11/10/2011

La couverture d’excellence à l’honneur aux 7e Trophées Aléonard 2011

La 7e édition des Trophées Aléonard a récompensé des réalisations d’exception de couvreurs nationaux et internationaux, portant, cette année, une attention particulière aux architectes des projets. Palmarès.

La tuile plate Aléonard, qui a reçu en 2010 le label EPV (Entreprise du Patrimoine Vivant) du ministère de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi, pare depuis presque deux siècles et demi les toits de tous types d’édifices, de la rénovation de demeures historiques aux constructions neuves de maisons individuelles. Entité du groupe Wienerberger, la tuilerie Aléonard reste une référence française en matière de fabrication de tuiles plates d’exception en terre cuite.

Cette année, six trophées ont été décernés dans les catégories « Rénovation », « Monuments inscrits ou classés », « Construction neuve », « Premier Chantier » et « International ». Un « Prix spécial Monument historique » s’est également glissé dans le palmarès. A découvrir en images…

Les lauréats 2011
- Rénovation : Entreprise Battais (45)
- Construction neuve : Entreprise Thévard (78)
- Monuments inscrits ou classés : Boutel Entreprise (95)
- Premier Chantier : Thuiland Fils MCPI (89)
- International : Bram Van de Vijver (Belgique)
- Prix spécial Monuments historiques : Société Falaisienne de Couverture (14)
Source Batiactu