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21/03/2019

Nadia Houta, 29 ans, est la première femme à diriger la production de tuiles !

Du haut de ses 29 ans, Nadia Houta a été promue en octobre 2018 responsable de production du site industriel Terreal 1 à Chagny. Un poste qui, auparavant, a toujours été occupé par des hommes.
Nadia Houta, Responsable de production du site Terreal 1 à Chagny, elle gère 46 personnes depuis octobre 2018.
L’usine de production Terreal, installée à Chagny sur deux sites – l’une à proximité du centre-ville et l’autre en lisière de forêt, à proximité des gisements d’argile – est bien loin de l’image des tuileries poussiéreuses d’antan. En tout, sur les deux sites Terreal emploie 200 personnes. Cette entreprise est en avance sur son temps que ce soit sur l’environnement ou l’égalité homme-femme.
Du côté de la parité, Terreal se démarque avec un taux supérieur de femmes par rapport aux chiffres du secteur de l’industrie, peu importe les postes, soit 13 % de son effectif. Au comité de direction, les femmes pèsent 30 %. Contrairement à beaucoup de “CoDir”, elles n’occupent pas que les postes de responsables de la communication ou des ressources humaines, mais aussi de responsable de production.
Pour preuve, depuis octobre 2018, le site historique Terreal 1, au cœur de ville, est dirigé par Nadia Houta.

Source Le Journal de Saône et Loire

20/03/2019

Lepir, pour le meilleur

Essai Lepir II pratiqué sur une façade avec bardage de tuiles en terre cuite.
Les résultats de trois nouveaux essais de comportement au feu Lepir II réalisés sur des façades bois et terre cuite ont été présentés lors des Rencontres techniques de la construction bois, le 24 janvier à Paris.
Les règles de l'IT 249 valent pour les ERP et les bâtiments d'habitation de 3e et 4e catégorie. Pas moins de neuf essais Lepir II ont été réalisés depuis 2012 pour en vérifier la pertinence. Un guide d'application en a découlé, mais basé uniquement sur les six premiers. Depuis 2015, trois autres essais ont été réalisés, notamment en 2018 : deux avec des bardages en bois, un avec un bardage en tuiles de terre cuite.
Les résultats de ces nouveaux essais incitent à certaines adaptations. Dans le cas des bardages bois, si les déflecteurs en 15/10 acier sont maintenus, ainsi que le débord disgracieux de 200 mm, cela peut varier en fonction de la combustibilité du débord et de la protection qu'offre l'écran thermique. Sous réserve de l'avis du ministère de tutelle, la version révisée dudit guide d'application devrait prendre en compte une option qualifiée « d'effet pschitt ». Précédemment, le guide prescrivait des bardages bois de 26 mm d’épaisseur avec obturation de la lame d'air par des produits intumescents. Cette fois, les essais ont été pratiqués avec des lames de faible épaisseur, limitant la masse combustible embarquée. Exposé au feu, le bardage se dégrade plus vite mais contribue moins à l'action thermique. Par conséquent, il n'est plus nécessaire d'obturer la lame d'air. Le bardage pourrait ainsi revenir à une épaisseur de 20 à 22mm, sans exigence quant à la géométrie de la lame. Il est également proposé d'associer des déflecteurs renforcés en bois ou à base de bois, d'une épaisseur de 45 mm. En-dessous, l'écran thermique recouvre la sous-face du déflecteur bois pour le protéger d'une agression directe. Toutefois, les règles actuelles précisent que toutes les solutions validées ne sont acceptées que si le local intérieur est sans bois apparent, ce qui pose un problème en présence de CLT apparent au plafond. Les résultats d’un essai Lepir II privé réalisé en avril 2018 sont cependant encourageants, estime Stéphane Hameury, spécialiste bois et feu au CSTB.
Test sur bardage ventilé en tuiles
L’essai Lepir II réalisé avec un bardage ventilé en tuiles a été probant, même si la combustion des tasseaux en fin d'essai a fait chuter des tuiles, ce qui n’a pas de conséquence réglementaire en France. La configuration validée est la suivante : tasseaux horizontaux de 27 x 38 mm, tuiles plates de formats standard (entre 140 x2 40mm et 270 x 380 mm), déflecteur 20 mm acier débord 20 mm seulement, pas de dispositif d'obturation de lame d'air ; schémas spécifiques pour les appuis de fenêtre avec un profilé 15/10 renforcé au dos par du Fermacell, et écran thermique derrière le bardage (complément isolation laine de roche 60-100 mm ou bien Fermacell par ex.). Il existe aussi le cas de la pose sur ITE.
Source Cahiers Techniques du Bâtiment par Jonas Tophoven

19/03/2019

Wienerberger 2018: l'ensemble des divisions sont en croissance

Le chiffre d'affaires du groupe a augmenté de 6% en 2018 pour atteindre 3 305,1 millions d'euros, contre 3 119,7 millions d'euros l'année précédente.

L’EBITDA à données comparables augmente de 15% à env. 469,3 M €. (contre 406,5 millions d’euros l’année précédente). Fast Forward 2020, le programme d'optimisation lancé en 2018, a généré un impact positif d'environ 20 millions d'euros. EBITDA en première année. Le bénéfice net s’est amélioré de 8% à 133,5 millions d’euros. (à partir de 123,2 M €, en 2017).

Au cours de l'exercice 2018, Wienerberger a considérablement investi dans des acquisitions et des agrandissements d'installations. Le montant total des investissements a augmenté pour atteindre 325,2 M €. (2017: 206,3 M €).

Division Europe des matériaux de construction en terre cuite


L'activité européenne de briques a enregistré une performance très satisfaisante en 2018. Une croissance notable a été enregistrée en Europe de l'Est. Les activités en Europe occidentale ont également enregistré une croissance importante dans un environnement stable, mais ont été pénalisées par le coût des ajustements structurels. Les revenus de la Division ont augmenté de 7%, passant de 1 787,0 millions d’euros. à 1 918,8 M €. L’EBITDA LFL a augmenté de 18% à 367,1 M €.
 

Division Amérique du Nord

La forte croissance de la Division en 2018 a été soutenue par les contributions positives de l’acquisition de l’année précédente du Groupe sur le marché nord-américain de la brique. Le chiffre d’affaires de la Division s’élève à 306,8 M €. quasiment stable par rapport à l’année précédente (308,7 M €), tandis que l’EBITDA de LFL s’est nettement amélioré de 23% à 38,6 M €.
 

Mesures stratégiques et perspectives pour 2019

Parallèlement à ses initiatives Fast Forward 2020, Wienerberger a rationalisé son organisation existante pour la rendre encore plus efficace.

À compter de début 2019, les activités européennes du groupe relatives aux matériaux de construction ont été regroupées au sein de la Business Unit Wienerberger Building Solutions. L'objectif est d'élargir encore son offre dans les segments des murs, des façades, des toits et des pavés et de renforcer sa présence sur les marchés européens concernés. Les innovations, les nouveaux produits et les acquisitions sélectives joueront un rôle important dans ce contexte.

La Division Amérique du Nord poursuivra sa stratégie de croissance organique et d’expansion régionale par le biais d’acquisitions ciblées.

Wienerberger s'attend à voir un nouveau marché européen de logements résidentiels stable à légèrement en croissance en 2019. Le marché des infrastructures en Europe de l'Est continuera de bénéficier de la hausse des financements de l'UE. En Amérique du Nord, Wienerberger anticipe une évolution légèrement positive de la construction de logements neufs et une demande croissante dans le segment des infrastructures.

Pour 2019, Wienerberger a pour objectif de réaliser un EBITDA à périmètre constant compris entre 560 et 580 M €.


Source Ziegelindustrie International

18/03/2019

BMI, la marque relationnelle qui unit Monier et Siplast

Holding détenant Siplast-Icopal depuis 2016 et Braas-Monier depuis 2017, BMI devient une marque au niveau européen, précédant chacune des marques présentes sur le marché européen.
"Bien plus qu’un toit" : c’est la promesse de BMI, qui devient une marque globale accompagnant chacune des marques produits présentes sur les marchés européens – les plus connues en France étant Siplast pour l’univers de la toiture plate et Monier pour la toiture en pente. « Un toit, ce n’est pas seulement un élément de construction, mais c’est aussi un espace de vie, un point pour retenir les eaux de pluie, un espace de végétalisation… », résume Laurent Fischer, directeur général de BMI France. Inscrite dans un carré bleu, la marque BMI s’affiche désormais avant les marques commerciales. Une « marque relationnelle », selon la volonté du groupe BMI, pour marquer l’appartenance commune, tournée davantage vers l’apport de solutions que vers la vente de produits.
Convergence
Cet affichage sera dévoilé la semaine prochaine, sur les trois salons de distributeurs – Synermat (Mat+, Matnor et Starmat) à Lille, Orcab (coopératives d’artisans) à Nantes et Gedimat à Lyon. Il constitue la suite logique du rachat par le groupe privé américain Standard Industries des deux acteurs européens Icopal (en 2016) et Braas Monier (en 2017), avec pour ambition de devenir leader mondial des solutions de roofing, terme américain englobant la couverture et l’isolation de toiture.
La création de la structure européenne BMI, désormais domiciliée à Londres, s’est accompagnée durant deux ans d’une recherche de synergies entre ces deux univers – toit plat pour Siplast, toit en pente pour Monier. « Au niveau français, les équipes de distribution sont désormais placées sous un management commun, avec un directeur négoce national », explique Laurent Fischer. « Pour autant, les délégués commerciaux restent spécialisés. » Cette approche est d’autant plus nécessaire que les deux structures ont des cultures commerciales différentes, Monier ne passant que par le négoce tandis que Siplast, de par la structure même du marché de l’étanchéité, s’adresse davantage aux entreprises en direct. Une diversité utile, désormais unifiée sous un étendard commun.
Source Le Moniteur par Pierre Pichère

17/03/2019

Le feu et l’argile

L’association des Carrières de La Lie et le Groupement Archéologique du Mâconnais, propose d’assister à une étape majeure de son projet de reconstitution d’une tuilerie gallo-romaine : la cuisson du four.

La reconstitution de cette tuilerie est un projet d’archéologie expérimentale commencé en 2011
Après six années d’efforts le four et son abri ont pris forme.

Il s’agit le 6 avril de tester la structure du four construit en briques d’argile crue afin de confronter la théorie à la pratique : le four inspiré de modèles antiques sera-t-il à la hauteur de ses ancêtres ?
C’est l’enjeu de l’archéologie expérimentale !
Cette expérience permettra aussi aux visiteurs de découvrir le site exceptionnel des Carrières de La Lie
Quand, Où ?
  • le 06/04/2019 de 10h30 à 16h30
  • Les Carrières de la Lie
  • Routes des Perelles
  • La Roche-Vineuse
Organisateur
  • Les carrières de la Lie
  • 03.85.34.19.27
Tarifs Gratuit

Source Le Journal de Saône et Loire

16/03/2019

L'histoire d'amour de l'Australie pour les briques en terre cuite

Le cliché selon lequel les Australiens sont décontractés, des Larrikins amoureux de la plage et prédisposés au barbecue, est répandu depuis des années.
Mais peut-être l’un des concepts culturels les plus fascinants qui a perduré au fil des circonstances est celui du grand rêve australien.
Le désir de posséder sa propre maison a été remarquablement stable au fil des ans, de même que notre histoire d'amour avec des briques d'argile honnêtes, durables et authentiques.
Les Australiens continuent de désigner les briques comme matériau de construction le plus recherché pour leur propre maison.
Dans une étude de suivi nationale commandée en août 2018 par l'association industrielle Think Brick, 72% des personnes interrogées ont déclaré qu'elles choisiraient une maison construite avec de la brique de terre cuite plutôt que tout autre matériau, tandis que 83% des personnes qui envisagent de construire une maison sont: considérer la brique comme matériau de construction de choix.
Nous voulons que chaque Australien soit en mesure de trouver le choix de brique idéal pour construire sa grande maison de rêve australienne.
Alors, pourquoi les Australiens sont-ils si fidèles et traditionnels dans leur désir de construire la maison de leurs rêves avec la modeste brique, en particulier quand on leur présente tant de nouvelles solutions de rechange?
«Les choix de design et d'architecture dans les options de façade en brique n'ont jamais été aussi grands qu'aujourd'hui, avec une pléthore de couleurs, de textures et de styles disponibles», déclare Jai Sanderson de PGH Bricks & Pavers.
«Les possibilités sont énormes et couvrent un éventail multiculturel de modes de vie australiens», a-t-il déclaré.
«Nous voulons que chaque Australien puisse trouver le choix de briques idéal pour construire sa grande maison de rêve australienne.»
L'étude a révélé que 86% des personnes interrogées avaient grandi avec l'impression que la brique était le meilleur matériau pour construire une maison et que les briques offraient davantage de possibilités de créer un look unique.
À des fins d'investissement, 73% ont déclaré qu'une maison construite avec de la brique d'argile rapportait davantage que tout autre matériau, tandis que 58% avaient estimé qu'une maison de brique réduisait la facture énergétique.
Il existe également tous les avantages que la brique apporte aux conditions de vie: les personnes interrogées ont déclaré que la brique demande peu d'entretien (73%), aide à garder leur maison plus fraîche en été et plus chaude en hiver (66%) et réduit le bruit (67%) .

Source Blue Mountains Gazette

15/03/2019

Béton à base d'argile et sans ciment

Oxara, la spin-off de l'ETH, développe un béton sans ciment fabriqué à partir de matériaux d'excavation à base d'argile afin de construire des maisons abordables et durables.
«J'ai eu énormément de chance dans la vie et je souhaite redonner une partie de cette chance», explique Gnanli Landrou, 29 ans, originaire du Togo. Sa ferme détermination ne laisse aucune place au doute: ce jeune homme suivra ses plans. «Ma vision est de permettre l'accès à des logements dignes, sains et abordables en Afrique et dans d'autres régions.»
Au cours de ses études, Landrou a étudié les défis auxquels doit faire face l'industrie mondiale de la construction: la production de ciment à forte intensité énergétique et de CO2, la raréfaction de l'offre de sable et de gravier de construction et le coût élevé du béton, qui est tout simplement inabordable dans de nombreux pays. Son expérience lui avait déjà appris que la construction en briques de terre cuite traditionnelle est un processus laborieux et fastidieux, et il savait que le logement adéquat faisait encore défaut dans son pays d'origine.
Landrou souligne un oubli important: «Lorsque des personnes construisent une maison dans ce pays, elles creusent d'abord un trou et éliminent le sol excavé. Ensuite, ils apportent des tonnes de sable, de gravier et de ciment dans les fondations et les murs. »Toutefois, l'argile est un matériau de construction idéal en soi et a tendance à être facilement disponible là où il est nécessaire. Pourquoi ne pas combiner les technologies des deux cultures? Cette idée a amené Landrou à l'ETH Zurich début 2014, où il a terminé son doctorat à la chaire de construction durable.
«Encore une fois, j'ai eu beaucoup de chance», commente Landrou à la suite d'un doctorat à l'ETH, où il a trouvé un environnement favorable et un mentor inspirant chez le professeur Guillaume Habert. Ensemble, ils ont mis au point un processus permettant de transformer les matériaux d'excavation à base d'argile en un béton alternatif sans addition de ciment.
Le béton du sol de Landrou peut être coulé à l’état frais; il durcit rapidement et convient aux sols de bâtiments et aux murs non porteurs. Son traitement ressemble à celui du béton conventionnel et il utilise une infrastructure similaire. «Notre technologie confère à la construction en terre cuite presque tous les avantages du ciment en termes de traitement, tout en étant environ 2,5 fois moins chère et 20 fois plus respectueuse de l'environnement», explique M. Landrou. Le potentiel de marché des éléments de construction non structurels est considérable.
Pour entrer sur ce marché, Landrou a breveté sa technologie après avoir terminé son doctorat. Depuis l'automne 2018, il travaille sur sa spin-off Oxara. «Nous n’avons toujours pas décidé si nous allions accorder une licence sur le processus à des entreprises de recyclage de matériaux de construction qui souhaitent transformer leurs matériaux d’excavation en une ressource précieuse, ou si nous vendrions simplement les additifs minéraux nécessaires au béton à base de sol», déclare le jeune entrepreneur.
Source Advanced Science News par Martin Grolms

Un béton très bas carbone sur les chantiers des Ateliers Gaité à Montparnasse

Eiffage Construction veut diminuer l’empreinte carbone sur ses chantiers des Ateliers Gaîté à Montparnasse, en favorisant notamment l’utilisation d’un béton très bas carbone.
Eiffage Construction indique s’est engagé auprès de son client Unibail-Rodamco-Westfield pour diminuer l’empreinte carbone sur le chantier des Ateliers Gaité à Montparnasse. Ses équipes Construction ont accompagné Hoffmann Green Cement Technologies, qui a inauguré fin novembre 2018 la première usine de béton très bas carbone français, dont les produits seront mis en place sur le chantier parisien courant 2019.
Les équipes d’Eiffage Construction réfléchissent à la manière de diminuer l’empreinte carbone de leurs activités de construction. Lorsque leur client Unibail-Rodamco-Westfield leur a présenté sa stratégie « Better Places 2030 » - plan qui vise une transition vers une économie et des mobilités modernisées, intelligentes et moins carbonées -, elles se sont engagées à ses côtés pour trouver des solutions concrètes.
L’entreprise de construction s’est focalisée sur un objectif : la réduction des émissions de carbone lors de la construction des bâtiments. Elle s’est alors concentrée sur le chantier des Ateliers Gaité à Montparnasse qui consiste en la réhabilitation d’un programme mixte à usage principal de commerces, d’hôtel, de bureaux et de logements, dans le 14e arrondissement de Paris. La zone bureaux a été définie comme chantier-pilote pour la réduction d’émission de carbone.
Dalles alvéolaires sans dalles de compression

Désignées pour y réaliser le gros-oeuvre et le clos-couvert, les équipes d’Eiffage Construction ont tout d’abord cherché à diminuer la quantité de béton utilisé. Pour y parvenir, des dalles alvéolaires sans dalles de compression ont par exemple été privilégiées, permettant une économie d’environ 2 % des émissions de carbone.
Le calendrier du chantier a aussi été étudié de façon à favoriser l’utilisation de bétons à la maturité plus lente, mais moins riches en émissions de carbone. Enfin, le major du BTP poursuivant ses recherches de béton moins énergivore, s’est intéressée au travail de David Hoffmann.
Ce chimiste a en effet développé une technologie particulière permettant la production de ciment à partir de coproduits issus de l’industrie, pour produire un liant émettant cinq fois moins de CO2 qu’un ciment classique.
Collaboration avec l’équipe d’Hoffmann Green Cement Technologies
Convaincue de l’avenir de ce nouveau béton, Eiffage Construction a apporté ses conseils et pratiques de mise en oeuvre au projet. Sa collaboration, pendant plus d’un an, avec l’équipe d’Hoffmann Green Cement Technologies a permis de finaliser la mise au point de ce produit en proposant une application sur le projet des Ateliers Gaité à Montparnasse.
L’usine Hoffmann Green Cement Technologies a été inaugurée à Bournezeau (Vendée) le 22 novembre dernier. Les partenaires et élus présents lors de l’événement se sont félicités de l’avancée concrète de cette belle aventure collective, dont les premiers produits ont été livrés sur le chantier parisien fin décembre 2018.
Source : batirama.com

14/03/2019

Rapport 2019 sur les briques et les tuiles en Espagne

Le secteur de la céramique de construction poursuit sa tendance à la hausse et, en 2019, il a augmenté ses ventes de briques de 10,3% et de 10,2% pour les tuiles.

Ce rapport inclut l’évolution au cours de la dernière année des 28 principales entreprises du secteur de la production de briques, ainsi que des 12 fabricants de carreaux, y compris le classement en fonction du revenu, de la production nationale et des parts de marché intérieur de chacun, Données macroéconomiques et données sur le commerce extérieur, de même que des entreprises telles que La Paloma, Ceranor, Mora Bricks, Malpesa, La Escandella, Tejas Borja ou BMI Cobert.

En outre, le rapport passe également en revue les derniers mouvements et opérations intervenus dans le secteur.

Parallèlement, il expose également les stratégies et les investissements mis en place le plus récemment par les principaux opérateurs pour améliorer leur position dans le contexte de la situation économique actuelle.

Source AliMarket

Espagne: La révolution du Tejas Borja à Cevisama coïncide avec son 120e anniversaire

Une année de plus, Tejas Borja a choisi Cevisama comme l’un de ses principaux jalons internationaux. Cet engagement fort a permis la réussite de l'édition réussie de 2018, grâce à la reconnaissance et aux visites reçues lors du salon, ont indiqué des sources de l'entreprise.
Après les récents investissements réalisés dans ses installations de Lliria, l’entreprise valencienne "a renforcé son leadership grâce à l’amélioration continue de la technologie et du design, qui ont donné naissance à la gamme de carreaux en céramique BorjaJET avec une décoration à jet d’encre numérique, unique au monde et félicité par les architectes et les designers au niveau international ".
Ces finitions exclusives ont été façonnées à la perfection sur la tuile non moins innovante Flat-5XL, un produit unique qui est consolidé comme la plus grande tuile plate du marché, pour une utilisation sur le toit et dans les systèmes de façades ventilées.
Tejas Borja à Cevisama 2019.
Par ailleurs, Tejas Borja a présenté plusieurs systèmes d’installation de toitures complets, développés pour améliorer la performance énergétique et la durabilité des toits, compte tenu de la nécessité de partager leurs connaissances du secteur pour améliorer leur efficacité énergétique et la qualité des toits inclinés.
Au cas où cela ne suffisait pas avec les nouveautés présentées, le stand de la firme a reçu la mention honorable au concours de design du Meilleur stand de Cevisama 2019, évalué par le Collège officiel des designers d'intérieur de la communauté valencienne (CDICV). Les membres du jury ont souligné l'éclairage soigné de l'espace et du produit, ce qui a permis de le mettre en valeur en créant des environnements élégants et accueillants.
Cevisama s'est concentré cette année sur les prescripteurs, en améliorant l'offre d'un profil de visiteur lié au canal Contract (architectes, architectes d'intérieur et promoteurs de projets). Avec cet objectif, il a lancé un nouveau pavillon doté d'un cadre soigné, auquel on accédait par un tunnel qui orientait le visiteur vers les dernières tendances en matière de matériaux et de produits pour les projets. Dans cet espace unique, Tejas Borja a présenté sa gamme de carreaux dotés de la technologie jet d'encre, en même temps que les entreprises les plus importantes de chaque secteur.
Et tout cela s'est passé au cours du premier mois de 2019, lorsque l'entreprise familiale fête ses 120 ans consacrées à un seul objectif: la fabrication de carreaux de céramique. Nous espérons que ce sera le début d'une année pour la mémoire dans une entreprise de référence de revêtements en céramique, reconnue dans le monde entier.

Source Interimpresas

13/03/2019

Brésil: une startup développe des tuiles hydroponiques pour faciliter la culture d'aliments sur les toits verts

Le concept créé à São Paulo est plus léger que le format conventionnel, permet une installation rapide et une réutilisation de l'eau.
Expériences au centre d'excellence sur les toits verts Neubrandemburg, Allemagne. Haricots au siège de tuiles hydroponiques Instituto Cidade Jardim.
D'ici la fin du premier semestre de 2019, la tuile hydroponique créée par la startup Instituto Cidade Jardim doit déjà être disponible pour la commercialisation auprès du public.

Fabriquées en fibre de verre avec une résine de polyester et un noyau en polyuréthane, les tuiles résistent aux intempéries et aux impacts tels que la grêle et le piétinement - nécessaires pour l’entretien des toits verts.
Les dalles hydroponiques ne pèsent que 45 kg par mètre carré - beaucoup plus légères que celles en terre cuite, pesant environ 70 kg - et conviennent à la fois à la culture de plantes et de légumes "

En savoir plus sur: Gazetadopovo

12/03/2019

Début d’année incertain pour les matériaux de construction

Tout comme en 2018, ce début d’année n’a pas été de tout repos pour le marché des matériaux de construction. L’Unicem, fédération rassemblant les professionnels du secteur, a en effet partagé ce 7 mars des chiffres mitigés : baisse des livraisons de BPE (Béton prêt à l’emploi), freinage marqué pour les granulats, et diminution plus globale côté matériaux. La conjoncture dans l’industrie du bâtiment reste cependant « robuste ».
Bien que tendue, l’année 2018 s’était soldée par un bilan positif pour le marché des matériaux de construction. L’ensemble des indicateurs était parvenu à rester dans le vert, malgré des difficultés durant la période hivernale. En espérant que le schéma soit similaire en 2019.
En tout cas, l’année a commencé de la même façon que la précédente, comme le relate l’Unicem (Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction) dans sa dernière lettre mensuelle de conjoncture, communiquée ce 7 mars. À travers ce document, l’organisme fait état d’un « nouveau coup de frein », qui s’est fait ressentir en janvier.
Doute sur le BPE, inquiétude pour les granulats
Dans le détail, les livraisons de BPE ont reculé de -1,7% de décembre à juin, bien qu’elles se maintiennent à un niveau supérieur à la même période un an auparavant (+3,7%). Sur le dernier trimestre, la tendance est également à la hausse : +1,5% par rapport aux trois mois précédents et +3,5% vis-à-vis de 2018. Le bilan annuel enregistre ainsi une progression de +2,8%.
Les granulats, de leur côté, sont en plus mauvaise forme. À fin janvier, l’activité a baissé de -5,8% par rapport à décembre et de -1% en comparaison à l’année dernière. Surtout, l’Unicem fait un constat édifiant : janvier 2019 a été « 10% plus faible que la moyenne ». La tendance reste malgré tout à la hausse sur douze mois, à +1,8%.
L’indicateur matériaux, enfin, maintient une certaine progression. Bien que les résultats définitifs se fassent encore attendre, « l’activité aurait progressé de +1,6% » en ce début d’année, et de +1,5% au regard du dernier trimestre connu.
Une conjoncture qui se veut optimiste
Pour autant, le climat conjoncturel dans l’industrie du bâtiment reste bien orienté et a gagné deux points, « atteignant son plus haut niveau depuis juillet 2008 », comme l’indique l’Unicem. Néanmoins, l’organisme rappelle que les mises en chantier sont en baisse, comme l’avait déjà annoncé le ministère de la Cohésion des territoires.
Il n’en reste pas moins que le taux d’utilisation des capacités de production s’élève à 91,2%, et que les carnets de commandes assurent aux acteurs du BTP 8,7 mois de travail en moyenne dans le gros-œuvre. Côté travaux publics, les carnets de commandes sont également bien remplis, portés, entre autres, par les collectivités territoriales.

Source Batiweb

Chez BMI Group, vous expérimentez le toit en réalité virtuelle

Le toit est la partie de la maison dont nous sommes littéralement les plus éloignés.
C'est la couche supérieure d'un bâtiment, que nous ne pouvons regarder que de loin.

Le groupe BMI, le plus grand fabricant de systèmes de toiture pour toits plats et en pente en Europe, assure à Batibouw que vous pouvez maintenant vous rapprocher du toit et en faire l'expérience.

À l'aide de lunettes VR, vous pouvez admirer cinq types de toits à 360 °. Vous pouvez gagner de superbes prix si vous pouvez reconnaître les 5 types du film VR sous une forme avec un choix de 11 types de toits et de solutions de toit différents.
Avec BMI Group, vous trouverez tous les types de toits et solutions de toits pour toits plats et en pente sous le même toit. Et vous pouvez maintenant voir et expérimenter cela de vos propres yeux à Batibouw.
De la terrasse en toiture à votre propre jardin botanique, vous pouvez faire l'expérience d'un toit!
Pour le groupe BMI, le toit parfait dépasse également la combinaison des bons produits. Un toit protège non seulement les personnes qui vivent en dessous, dort et vit contre la pluie, mais il peut également être adapté à vos besoins et souhaits spécifiques. De cette façon, le toit peut générer de l'énergie ou même constituer une véritable œuvre d'art et façonner votre identité et vos goûts.
Il peut servir de terrasse  en toiture où vous pourrez vous détendre avec vos amis et votre famille ou être un lieu propice à la culture et à la détente. Vous pouvez faire l'expérience d'un toit si réel. Et comment pouvez-vous mieux vivre cette expérience que de la maîtriser grâce à la réalité virtuelle?
Un voyage sur le toit du monde
Chaque participant à l'expérience BMI VR Experience rentre chez lui avec une cape de pluie BMI qui, tout comme le toit au-dessus de nos têtes, offre une protection contre toutes les conditions météorologiques. De plus, des parapluies d’orage très pratiques sont mis en jeu après le match. Mais l'heureux gagnant aura la chance de découvrir le toit d'une manière complètement différente. Il gagne un voyage pour deux dans l’Himalaya au Népal, le toit du monde! Alors, tentez votre chance et visitez BMI Group à Batibouw.

Source Livios

11/03/2019

Terreal anticipe la RE 2020 sur une maison de 146m2

La filière bâtiment expérimente aujourd'hui la future réglementation environnementale (référentiel E+C) applicable au logement et au bureau. Terreal s’investit pour proposer une offre globale.
À la question : « les industriels sont-ils en mesure de proposer de produits de construction pour répondre à la future réglementation environnementale des bâtiments ? », Terreal répond de manière affirmative.
Ses solutions portent à la fois sur les choix de structures et sur les options techniques. Ce fournisseur invite d’ailleurs les maîtres d’oeuvre et maîtres d’ouvrage à s’investir dans ces nouvelles méthodes.
C’est ce que démontre la construction d’une maison individuelle sur la commune de Tocane Saint-Âpre, en Dordogne. Conçu par le cabinet d’ingénierie thermique Bastide & Bondoux, cet ouvrage de 146 m² de surface hors oeuvre brute (169 m² de surface au regard de la réglementation thermique 2012), répond aux critères E3C1 du référentiel E+C-. Ce texte doit prochainement se substituer à la réglementation thermique 2012 (RT 2012).
Cette construction de 146 m² shob présente un plan à trois ailes.
Une belle performance
« C’est une belle performance », précise Antoine Giret, responsable technique chez Bastide & Bondoux, « car aujourd’hui le niveau E4 est quasiment inatteignable. Sauf à développer une installation photovoltaïque d’une surface supérieure à celle du toit… ».
Ce référentiel a pour premier objectif d’améliorer les consommations d’énergie des constructions neuves, en dépassant le niveau « basse consommation » de 50 kWh/m².an établi par la RT 2012, et en visant le niveau dit « passif », voire « positif ».
En second lieu, il prendra en compte les émissions de gaz à effet de serre, critère mis en marge de la réglementation actuelle. « La classification E3C1 devrait devenir le seuil réglementaire à l’horizon 2020 », note Emmanuel Toffolo, responsable d’activité « Label et ATH » chez Promotelec Services, certificateur de cette opération.
Un enjeu d’avenir
Conscients des impacts importants de cette évolution réglementaire en termes techniques et d’organisation, dès 2016, les pouvoirs publics ont lancé les expérimentations du référentiel dit « E+C- ».
En résidentiel ou tertiaire, ces « field-test » permettront à la filière construction de tenir un niveau élevé d’ambitions environnementales. Terreal a saisi la balle au bond : « Nous nous sommes mobilisés pour être parmi les tous premiers industriels à atteindre le label E+C – au plus haut niveau », déclare Jean-Philippe Monlouis-Bonnaire, responsable développement marché Gros-oeuvre chez Terreal. « Et surtout, avant même qu’il n’entre en vigueur. »
Il détaille les contours de sa stratégie : « Nos efforts se poursuivront par un grand projet de labellisation de maison dans chaque région de France. Cela demande une adaptation réelle aux contraintes énergétiques et environnementales de chaque territoire.
En parallèle, nous lançons des rencontres avec les constructeurs, promoteurs et tous les acteurs du bâtiment pour informer sur cette nouvelle réglementation. Nous poursuivons également nos efforts pour apporter à nos clients des solutions performantes et durables en couplant la terre-cuite aux solutions de récupération et de production d’énergie renouvelable. Pour nous c’est l’avenir ! »
Quatre niveaux « Énergie », deux niveaux « Carbone »…
Le référentiel retient quatre niveaux de performance énergétique et, actuellement, deux niveaux « carbone ».
Les quatre niveaux « Énergie » sont :
− Énergie 1 et Énergie 2 : en résidentiel, les niveaux de consommation d’énergie sont réduits de 5 à 15 % par rapport à ceux de la RT 2012, et en tertiaire, de -15 % à -30 % ;
− Énergie 3 : en résidentiel, les consommations d’énergie sont réduites de 20 % par rapport à la RT 2012 auxquels doivent s’ajouter 20 kWh/m².an fournis par des solutions à énergies renouvelables ; en tertiaire, les consommations d’énergie sont 40 % inférieurs au seuil de la RT 2012, et 40 kWh/m².an sont apportés par des énergies renouvelables ;
− Énergie 4 : ce niveau qualifie les bâtiments producteurs d’énergie, réellement à énergie positive, c’est-à-dire ceux où la production d’énergies renouvelables est équivalente aux consommations non renouvelables, tous usages du bâtiment pris en compte.
Les deux niveaux « Carbone » varient selon se distinguent par :
− Carbone 1 : niveau établi pour être accessible à tous les projets où les concepteurs et entreprises jouent le jeu d’une évaluation des impacts de l’ouvrage en termes d’émissions de gaz à effet de serre ; aucun système constructif n’est exclu. La production de carbone est calculée lors du chantier et au cours de 50 années d’exploitation du bâtiment.
− Carbone 2 : le travail sur la réduction des émissions est considérablement renforcé. Selon les ouvrages, le poids carbone peut être 2 à 5 fois inférieur au précédent.
À l’expérimentation, l’écart étant estimé trop important par nombre de concepteurs et de constructeurs, un niveau intermédiaire devrait être établi. Voir le site http://www.batiment energiecarbone.fr.
Les murs isolés par l'intérieur ont été réalisés en briques Calibric One d’une résistance thermique de 1,09 (m².K)/W. © Terreal
Adapté au site
Pour réaliser ce chantier, les ingénieurs du cabinet Bastide & Bondoux, en accompagnement du maître d’oeuvre et constructeur Les Bâtisses du Périgord, ont exploité le potentiel du catalogue Terreal. À savoir : les matériaux de construction et leurs accessoires, mais aussi les équipements de production d’énergie renouvelable et une solution d’autoconsommation.
« Les produits Terreal sont déjà calibrés pour rentrer dans le processus d’obtention de label », reconnaît Antoine Giret. Pour créer cette construction de plain-pied au tracé en trois ailes, les concepteurs disposaient principalement de deux produits pour monter les murs : les briques rectifiées à montage par joints minces Calibric One et Calibric Max.
Ces blocs d’une épaisseur de 20 cm, affichent respectivement une résistance thermique R après enduit de 1,09 (m².K)/W et de 1,5 (m².K)/W.
Les points singuliers de la construction – appuis de menuiseries, linteaux – ont été traités avec des éléments à isolation répartie.
Isolation thermique par l’intérieur
En raison de la position géographique et climatique du projet – en zone H2c –, la version Calibric One associée à une isolation par l’intérieur convenait parfaitement. L’enveloppe est complétée de deux produits destinés à maîtriser les ponts thermiques aux points singuliers : des linteaux monoblocs adaptés aux chaînages et volets roulants, ainsi que des appuis de fenêtres monolithes isolés.
Cette association de matériaux a permis de créer une enveloppe qui affiche un coefficient bioclimatique (Bbio) de 27,7 pour un niveau maximal requis de 42. Par ailleurs, les consommations d’énergie requise affichent un niveau 80 % inférieur au Cep max : 8,2 kWh/m².an !
Energies fatales et renouvelables
Si les besoins de chauffage sont faibles et simplement apportés par des radiateurs électriques – un conduit de fumée a toutefois été installé pour donner la possibilité d’installer un chauffage au bois –, les besoins d’eau chaude sont assurés par un équipement thermodynamique original : le Lahe-Roof.
Déjà porteur d’un Titre V RT 2012, ce système comprend un ballon de production d’ECS de 200 l équipé d’une pompe à chaleur de 3 kW et d’un Cop de 2,5. Particularité : sa source froide est alimentée par l’air extérieur préchauffée par le passage dans une lame d’air aménagée sous la toiture.
Pour maintenir un niveau de température satisfaisant en toute saison, soit 5 à 15 °C de plus que la température extérieure, le bureau d’études a retenu une tuile plate de teinte sombre : la Volnay PV de teinte ardoisée. Comparée à une solution sur air extérieur classique, le gain énergétique sera d’environ 4 à 5 kWh/m².an.
L’eau chaude sanitaire est produite par un ballon thermodynamique doté d’une pompe à chaleur air/eau ; cet équipement utilise l'air extérieur réchauffé par son transfert en sous face de la toiture. © Terreal
Consommer son énergie
L’accès au niveau énergie E3 tient aussi à l’installation photovoltaïque dédiée à l’autoconsommation. Le pan de toiture incliné au sud est recouvert de neuf panneaux Solterre, de 260 Wc chacun.
Cette source d’énergie est connectée à un système de stockage Storelio, une batterie au lithium qui dispose d’une capacité de charge rigoureusement adaptée, soit 2,25 kWc. L’installation rassemble aussi les micro-onduleurs et un transformateur d’électricité en courant alternatif indispensables pour exploiter l’énergie directement dans le logement ; le solde est injecté sur le réseau, à titre gratuit.
Comment les propriétaires de la Maison Tocane Saint Âpre apprécieront-ils l’impact de telles performances au quotidien ? « Ils verront la différence sur leurs factures d’énergie, mais aussi en termes de confort de vie », note Antoine Giret, « même si le confort est une notion plus difficile à quantifier ».
Interview : Eric Risser, Directeur marketing de Terreal

« La brique dispose encore de marges de progression »
En gros-oeuvre, si Terreal présente le profil d’un industriel de la grande région sud de la France, son offre de produits développe une palette large de solutions. L’entreprise doit répondre à une demande croissante, en volume et en matière de solutions techniques.
Quelle est aujourd’hui votre place sur le marché de la construction ?
Pour ce qui concerne le marché de la brique, Terreal est historiquement très présent sur la moitié sud de la France, au sud d’une ligne La Rochelle - Marseille. Sur ce territoire, la part de marché de la brique en construction de maison individuelle peut atteindre 80 %.
En collectif, à la faveur des référentiels environnementaux et du renforcement de la réglementation thermique depuis une vingtaine d’année – et notamment en raison de sa réponse aux contraintes de ponts thermiques –, la brique s’est hissée à un niveau de 25 %, localement 30 % de parts de marché. Nous considérons qu’il existe encore des marges de progression.
Pourquoi cet intérêt pour ce matériau ?
Tout d’abord, nous avons vécu une grande mutation technique de la brique. Avec, essentiellement, la généralisation des produits rectifiés pour un montage collé. Concrètement, nous avons travaillé sur deux sujets à la fois : d’une part, la performance des produits – qu’elle soit mécanique, thermique, acoustique ou en termes de résistance au feu – et d’autre part, la mise en oeuvre afin que les éléments soient plus faciles et plus rapides à poser.
Vos capacités de production sont-elles en phase avec la demande ?
L’année 2019 sera justement l’occasion d’un recalage. Car notre usine de briques de Colomiers, près de Toulouse, configurée en 2008, est arrivée à saturation. Nous avons donc investi 4 M€ pour réaménager notre usine espagnole de La Pera, près de Gérone ; sa capacité sera de 120 000 t par an. Ce site, intégré à ceux en France et proche de la frontière, servira les clients du sud de la France.
Vous suivez l’expérimentation E+C- menée depuis plusieurs mois. Ce référentiel sera-t-il à l’origine de la création de nouveaux produits ?
Nous avons déjà des produits optimisés pour ces projets dans notre catalogue. Cependant, nous poursuivons l’innovation selon une démarche d’éco-conception qui tient compte de critères tels que les déchets, les ressources utilisées, le poids… Par exemple, nous préférons le « banderolage » des palettes à une housse ; le volume de déchets sera moindre. Nous avons aussi commencé à étudier l’approvisionnement des fours en biogaz… En matière d’offre de produits, fin 2019, nous allons cependant rajouter au catalogue un coffre en terre cuite dédié aux brise-soleil orientables.
Source : batirama.com/ Bernard Reinteau

10/03/2019

Visite de la briqueterie Wienerberger de Pont-de-Vaux le 13/06/2019 de 14h45 à 17h00

Découvrez les coulisses d’une usine de fabrication de briques et tuiles en terre cuite, du point d’extraction de la matière première jusqu’à la fabrication du matériel de construction. Réservation obligatoire par téléphone ou à contact.altec@ccsti01.org
Cela n’a peut-être l’air de rien une brique... Matériau de construction depuis des millénaires, la terre cuite ne cesse pourtant de se renouveler au fil des innovations, notamment pour faire face aux nouveaux enjeux climatiques.
Visite de la briqueterie et tuilerie Quand, Où ?
  • le 13/06/2019 de 14h45 à 17h00
  • Briqueterie Wienerberger
  • rue des Nivres
  • Pont-de-Vaux
Organisateur
  • ALTEC - Centre de Culture Scientifique, Technique et Industrielle de l'Ain
  • 04.74.45.52.17
Date limite de réservation : 03 juin 2019
Informations complémentaires:
Source Le Progrès

09/03/2019

Des briques à base de fumier et de cheveux pour relancer l’artisanat local

Ellie Birkhead, diplômée de la Design Academy d’Eindhoven, a mis au point un processus de fabrication de briques incorporant les déchets trouvés localement dans les collines de Chiltern, dans le sud-est de l’Angleterre, dans le but de « forger un avenir pour l’industrie locale ».
C’est dans le cadre du projet final de son école de design que la jeune femme a décidé de concevoir ces briques. Au total, ce sont six types de briques différentes qui ont été proposées, incorporant toutes des matériaux sourcés localement.
Des briques utilisant des matériaux recyclés
Le projet appelé « Building The Local », utilise pour la fabrication de ses briques de l’argile mélangée aux cheveux fournis par un coiffeur de la région, du fumier de cheval d’une écurie voisine, des bouteilles en verre issues d’un pub, de la laine et de la paille venant d’une ferme et des graines usées d’une brasserie.
Tous les ingrédients proviennent des collines de Chiltern, qui était autrefois une région propice à la fabrication de briques au Royaume-Uni puisque 100 entreprises spécialisées y exerçaient. C’est ainsi que presque tous les bâtiments des Chiltern Hills ont été construits avec ce matériau de couleur rouge-orangé.
Relancer l’industrie locale
Ellie Birkhead, originaire du Buckinghamshire, travaille avec des industries artisanales et traditionnelles, actuellement menacées au Royaume-Uni. Dans une vidéo produite pour accompagner son projet, la designeuse se demandait s’il était possible de « vaincre les forces de la mondialisation et de créer un avenir pour l’industrie locale ».
Au cours de ses recherches, elle n’a trouvé qu’un seul fabricant de briques artisanales toujours en activité dans la région de Chiltern. L’activité est en grande partie menacée du fait de l’importation de produits bon marché en provenance de l’étranger, mais aussi d’autres régions au Royaume-Uni.
La fabrication locale est un élément essentiel de l’identité culturelle puisque « les briques ne sont pas seulement un produit, mais également un élément architectural qui transforme l’esthétique du lieu », indique la jeune femme.
Ellie a découvert que les Chilterns Hills étaient autrefois une plaque tournante majeure pour la fabrication à petite échelle, où les entreprises artisanales avaient pour coutume de se partager les ressources et d’utiliser les déchets dans les étapes de fabrication.

Source Enviro2b

08/03/2019

Terréal adopte le plan bâtiment durable

Éric Ledour, directeur du pôle de Colomiers de l'usine Terréal, présente le programme Calibric de briques isolantes à Karine Traval-Michelet, maire de Colomiers.
Implanté depuis 1939 au nord de la ville sur 13 ha de terre «fertile», le site columérin de Terréal est spécialisé dans la production de briques de structure et de cloisons en terre cuite. Respectueuse de l'environnement par la proximité de sa matière première, les efforts consentis pour réduire la consommation d'énergie et la recherche permanente de matériaux plus isolants, l'usine de Colomiers a reçu la visite d'une délégation municipale lors d'une récente journée thématique sur les énergies renouvelables, le développement durable et la biodiversité.
«Nous avons développé une politique environnementale car notre usine qui travaille avec de l'argile est salissante», constate Eric Ledour, directeur du pôle columérin de Terréal, en présence du maire Karine Traval-Michelet. «Nous extrayons et nous conditionnons la matière première sur place. Cela évite la pollution causée par le transport mais de gros efforts sont réalisés pour progresser et limiter la poussière chez les riverains».
Démarche écoresponsable
Comme chacun des sites Terréal, celui de Colomiers mesure et déclare régulièrement l'ensemble de ses impacts et met en place des actions d'optimisation qui passent par la limitation des émissions de poussières donc mais aussi la purification des fumées et le recyclage des déchets industriels. «Nous avons réussi à réduire de 70 % les déchets de chantier, notamment sur l'utilisation de plastique», ajoute Eric Ledour.
Pour l'exploitation de ses carrières, avant d'intervenir sur un site, Terréal réalise un état initial de la faune et de la flore, un plan de préservation de la biodiversité et procède à la remise en état à la fin de l'exploitation avec notamment du reboisement, de la reprise de culture, des créations de plans d'eau…
Afin de produire des matériaux toujours plus adaptés, Terréal a développé le système de briques isolantes Calibric qui offre des performances thermiques optimales avec ses accessoires monolithes allant jusqu'à des longueurs de 5,60 m.
La société Terréal contribue ainsi aux travaux du plan bâtiment durable.

Source La Dépêche du Midi

07/03/2019

Etudier les résultats de Wienerberger AG (WBAG: WIE)

Wienerberger AG a une valeur EV ou Entreprise actuelle de 3 153 478. La valeur EV indique comment le marché attribue de la valeur à une entreprise dans son ensemble. EV est généralement une modification de la capitalisation boursière, car elle incorpore une dette et des liquidités permettant d’évaluer la valorisation d’une entreprise. Le suivi des EV peut être utile lorsqu’on compare des sociétés ayant différentes structures de capital. EV peut aider les investisseurs à mieux comprendre si une entreprise est sous-évaluée ou non.
À un moment donné, les investisseurs individuels peuvent se trouver régulièrement victimes de l'attrait de la performance. Il peut être très tentant de vouloir faire partie d'un stock à la hausse à court terme. Les investisseurs à court terme pourraient n'être intéressés que par ce type d'opérations, mais les investisseurs à long terme voudront peut-être être un peu plus prudents. La poursuite de la performance peut amener l’investisseur à s’éloigner des objectifs préalablement définis et de la stratégie globale. Les investisseurs qui sont résolus à réussir à long terme peuvent parfois avoir besoin de remanier le pont lorsque le bruit à court terme devient trop bruyant.
Le RCI de Wienerberger AG (WBAG: WIE) est actuellement de 0,11077. La moyenne quinquennale du ROIC est de 0,061615 et le ratio de qualité du ROIC est de 3,637637. Le RCI est un ratio de rentabilité qui mesure le rendement qu'un investissement génère pour ceux qui fournissent du capital. Le ROIC aide à montrer l'efficacité d'une entreprise à transformer son capital en profit. Le RCI peut être une bonne mesure à prendre en compte pour déterminer si une entreprise est capable d’investir judicieusement. Le RCI peut également constituer une mesure importante pour l’investisseur axé sur la valeur qui tente de déterminer le fossé de la société. Wienerberger AG (WBAG: WIE) a un score composite de valeur actuel de 13. En utilisant une échelle de 0 à 100, un score inférieur représenterait une entreprise sous-évaluée et un score élevé indiquerait une entreprise chère ou surévaluée. James O’Shaughnessy a élaboré ce classement en utilisant six ratios d’évaluation différents, notamment le prix par rapport à la valeur comptable, le prix par rapport aux ventes, le BAIIA par VE, le ratio cours / trésorerie, le ratio cours / bénéfice et le rendement pour les actionnaires.
De nombreux opérateurs estiment que la psychologie appropriée est l’un des aspects les plus importants du succès sur le marché boursier. Les commerçants peuvent avoir besoin d'apprendre à devenir confiants tout en surmontant certaines peurs et en faisant face à des hauts et des bas extrêmes. Cela peut ne pas être facile, car les individus tirent tous parti d'expériences antérieures à un certain niveau. Être capable de convertir le succès extérieur au marché boursier peut demander du travail. Les négociants qui sont capables de surmonter les biais antérieurs peuvent être sur la bonne voie pour avoir l'état d'esprit approprié lorsqu'ils entrent sur le marché.
Les investisseurs en quête de valeur sur le marché boursier pourraient viser le classement dans les formules magiques ou le classement MF de Wienerberger AG (WBAG: WIE). Actuellement, la société a un rang MF de 5404. La formule magique a été conçue et rendue populaire par Joel Greenblatt dans son livre «Le petit livre qui bat le marché». La formule de Greenblatt permet de trouver des actions dont le cours attrayant offre un rendement bénéficiaire élevé ou des bénéfices déclarés élevés par rapport à la valeur marchande de la société. Pour repérer les opportunités sur le marché, les investisseurs peuvent rechercher des actions présentant le rang combiné le plus bas.
Les observateurs du marché peuvent également respecter certains rapports de qualité pour Wienerberger AG (WBAG: WIE). Actuellement, la société a un ratio de marge brute (Marx) de 0,309588. Ce calcul est basé sur les recherches du professeur Robert Novy-Marx de l'Université de Rochester. Marx pensait qu'un ratio de revenu brut élevé était le signe d'une entreprise de qualité. En regardant plus loin, Wienerberger AG (WBAG: WIE) a un score de marge brute de 6,00000. Ce score est basé sur la métrique de la marge brute (Marx) en utilisant une échelle de 1 à 100 où un 1 serait considéré comme positif, et un 100 serait considéré comme négatif.
L'indice de prix est un ratio qui indique le rendement d'un cours d'action sur une période passée. L'indice des prix de Wienerberger AG (WBAG: WIE) le mois dernier était de 0.99799. Ceci est calculé en prenant le cours actuel de l'action et en le divisant par le cours de l'action il y a un mois. Si le ratio est supérieur à 1, cela signifie qu'il y a eu une augmentation du prix au cours du mois. Si le rapport est inférieur à 1, nous pouvons alors déterminer qu'il y a eu une baisse du prix. De même, les investisseurs recherchent le cours de l’action sur des périodes de 12 mois. L'indice des prix à 12 m pour Wienerberger AG (WBAG: WIE) est égal à 0,93808.

Source Weston Business Review

06/03/2019

John Sinfield rejoiny le groupe BMI en tant que président régional Europe du Nord

BMI Group a annoncé que John Sinfield rejoindrait le géant de la toiture en tant que président régional du Nord le 1er mars 2019.
Sous la responsabilité directe de Mark Andrews, directeur commercial du groupe BMI, Sinfield sera responsable des activités de BMI au Royaume-Uni et en Irlande, au Danemark, en Finlande, en Norvège et en Suède.
Sinfield apporte avec lui 30 ans d’expérience dans la vente dans le secteur des matériaux de construction, dont dernièrement en tant que directeur général pour l’Europe du Nord chez Knauf Insulation.

Source Builders Merschants Journal

05/03/2019

Chantier d'urgence pour sauver le château de la Salvetat-Saint-Gilles

Engagement total du mécène
Pour Terreal, entreprise dont une usine de production est située à proximité de La Salvetat-Saint-Gilles, c'était une évidence.

Emilie Benjamin, chef de marché Couverture, déclare : "Il y a eu une année d'échanges avec l'architecte des Monuments historiques, avec le maire et Terreal pour choisir la tuile adéquate".

Le choix s'est finalement porté, après moult hésitations de la part de la direction régionale des affaires culturelles, sur le modèle de tuile plate Pompadour et le coloris "Brun noir".

Des produits industriels neufs qui font tout de même "transparaître l'âme ancestrale" de la toiture, grâce à des irrégularités recrées en usine qui donnent une certaine patine à la tuile.

"C'est un beau métier que tuilier. Il valorise les territoires, préserve le patrimoine", note Emilie Benjamin qui souligne l'engagement total de Terreal qui organise chaque année un concours de belles réalisations avec Maisons Paysannes de France.

"C'est aussi une filière de formation des artisans, des jeunes dans les CFA, une participation aux Olympiades des métiers, et l'excellence des Compagnons du devoir", énumère la chef de marché.
Source Batiactu par Grégoire Noble

TERREAL s’engage auprès de la Fondation du Patrimoine pour la sauvegarde du Château de la Salvetat Saint-Gilles en Occitanie

TERREAL et La Fondation du Patrimoine ont signé une convention de mécénat avec la commune de la Salvetat Saint-Gilles le 27 février dernier pour réaliser des travaux d’urgence de stricte conservation de cet édifice remarquable.

Acquis par la mairie pour 1 euro symbolique en décembre 2016, le château était dans un état avancé de ruines, la toiture notamment menaçait de s’effondrer à la suite d’importantes intempéries. Emblématique de la région de Toulouse, ce chantier fait partie des 270 projets sélectionnés en 2018 par la mission Stéphane Bern dans le cadre du Loto du Patrimoine.
Une tuile d’exception pour la rénovation des 500m2 de couverture
Possédant une implantation locale historique en Occitanie, TERREAL a souhaité s’associer au projet de sauvegarde parun don de tuiles plates de la gamme Monuments Historiques.
Une proposition validée par l’architecte en chef des Monuments historiques, Jean-Louis Rebière, qui a finalement retenu la tuile Pompadour en coloris brun-noir.

«Cette tuile représentait ce qu’il y avait de plus proche des anciennes tuiles utilisées à l’époque, l’effet patiné notamment permet de retranscrire la temporalité de l’édifice et son authenticité» explique Jean-Louis Rebière.

Principalement destinée à la restauration des toitures des bâtiments anciens de caractère ou des demeures d’exception,la gamme de tuiles Monuments Historiques est fabriquée à l’usine de Montpon en Dordogne qui existe depuis la fin du XIXe siècle. Les coloris et textures de ces tuiles plates sont obtenus par sablage et poudrage vitrifiés lors de la cuisson à près de 1000°C.
Elle permet d’obtenir cet effet patiné rappelant les toitures d’antan.
L’emploi de ces matériaux inertes assure une longévité exceptionnelle contre l’érosion et la décoloration.
Ce projet s’inscrit dans la démarche globale de TERREAL pour la préservation de la ruralité et du patrimoine architectural des régions et fait écho aux nombreuses actions de mécénat du Groupe, à l’instar de la rénovation de l’Abbaye de Lagrasse dans l’Aude en 2017.

Deuxième acteur du marché de la couverture en France, l’entreprise a développé ces dernières années des gammes de produits dédiés à la rénovation d’ouvrages remarquables, tels que la gamme de tuiles Monuments Historiques, la Canal Origine ou la Port-Royal.

Un projet soutenu par la Fondation du Patrimoine et sélectionné au Loto du Patrimoine

TERREAL a déjà livré 40 palettes de tuiles pour la réfection des 260 m2de toiture du pavillon Ouest du château.

Elles ont ensuite été mises en œuvre par l’entreprise Rodrigues-Bizeul, spécialiste de la restauration de bâtiments historiques,qui fait intervenir de jeunes apprentis sur le chantier.
Comme le veut la tradition, la fin des travaux de couverture a été célébrée par les Compagnons lors de la traditionnelle «cérémonie du bouquet».
Une deuxième phase de travaux a été amorcée sur le pavillon Est, dont la toiture est complètement effondrée et pour lequel l’ensemble de la charpente devra être reconstituée. Il s’agit donc d’un projet de sauvetage d’envergure dont la durée totale des travaux est estimée à trois ans.

Jean-Louis Rebière souligne: « C’est un projet de sauvetage in extremis, rendu possible par l’implication de la ville de la Salvetat Saint-Gilles.
Ce château est atypique et nous a réservé bien des surprises lorsque le travail a débuté. Il porte les marques de plusieurs périodes historiques et nous avons identifié, entre autres, des planchers peints datant du XVIIème siècle.  Il y aura donc tout un travail de restauration lorsque la partie gros œuvre sera terminée».

Source Terreal

04/03/2019

De nouvelles tuiles solaires en terre cuite

Edilians – nouveau nom d’Imerys Toiture – commercialise deux nouvelles solutions photovoltaïques. Elles complètent la gamme déjà proposée avec la tuile Alpha Solaire, disponible pour offrir une fonction supplémentaire à la toiture.
Deux solutions solaires pour s’adapter aux toitures
La tuile solaire fait doucement son apparition sur les habitats. Afin de développer cette solution et offrir de nouvelles utilisations pour la toiture, Edilians étend sa gamme de tuiles photovoltaïques. Le groupe a mis au point deux modèles supplémentaires en complément de l’Alpha Solaire, déjà disponible sur le marché.
Les tuiles HP10 Solaire et Rhôna 10 Solaire seront commercialisées à compter du second semestre 2019. La première présente un design proche de la tuile en terre cuite HP10 Huguenot. Elle est disponible dans des coloris gris, quartz, argentique et ardoisé. Le second produit affiche une forme contemporaine, dans une teinte ardoisée. Les qualités de la tuile avec une fonction solaire
Ces produits de nouvelle génération sont composés d’un module photovoltaïque en silicium monocristallin d’une puissance unitaire de 75 Wc. Cela leur permet de répondre à la fois aux exigences de la RT 2012, mais aussi de la future RE 2020. Les deux modèles peuvent être intégrés aux projets de rénovation.
Ils affichent d’ailleurs les mêmes qualités que les tuiles classiques en présentant une excellente résistance aux UV et aux intempéries. L’étanchéité est garantie jusqu’à 30 ans.

Source ETI construction

Pour sa 1ère participation sous son nouveau nom au salon Be Positive, EDILIANS dévoile ses solutions éco-habitat

Si la transition énergétique figure parmi les thèmes du Grand débat national, elle est aussi au cœur du prochain salon Be Positive qui se tient du 13 au 15 février à Lyon. Participant pour la 1ère fois sous sa nouvelle identité à ce salon dédié aux enjeux et aux solutions de la transition énergétique et numérique, EDILIANS y présentera ses solutions globales assurant la production d’énergie et l’étanchéité de l’habitat, parmi lesquelles ses nouvelles tuiles terre cuite solaires.
Tuiles terre cuite solaires : la gamme s'enrichit
Après le lancement de l’Alpha Solaire, la 1ère tuile terre cuite intégrant des cellules photovoltaïques, EDILIANS, leader incontesté du marché de la tuile en France, complète sa gamme de tuiles terre cuite solaires avec deux nouveaux modèles qui seront commercialisés début du second semestre 2019.
Dévoilés en avant première sur Be Positive, ces produits s’inspirent directement de deux tuiles terre cuite aux marques historiques : la HP 10 Huguenot et la Rhôna 10 Ste Foy. Sur le même principe que l’Alpha Solaire, ces dernières sont revêtues d’un capteur photovoltaïque, sans aucune surépaisseur, assurant ainsi une intégration parfaite dans la toiture et une étanchéité totale.
Pour une production énergétique performante conformément aux réglementations en vigueur et à venir, en neuf comme en rénovation, EDILIANS proposera aux professionnels :
• la tuile HP 10 Solaire qui reprend la forme de la tuile à pureau plat HP 10 Huguenot et dont le design moderne au nez très fin et ses coloris gris quartz, argentique ou ardoisé, lui permettent de s’associer à merveille avec une cellule photovoltaïque,
• la tuile Rhôna 10 Solaire dont l’aspect contemporain et le coloris Ardoisé offrent une esthétique en toute discrétion y compris dans le cadre d’une toiture à faible pente,
• et l’Alpha Solaire fidèle à l’aspect de la tuile ALPHA 10 Ste Foy avec laquelle elle s’intègre parfaitement pour conférer une ligne épurée aux toitures.
Avec une puissance photovoltaïque de 30 Wc par tuile, les tuiles terre cuite solaires bénéficient des caractéristiques propres aux tuiles standards dont elles s’inspirent (étanchéité optimale, résistance mécanique, ingélivité) et disposent également des mêmes avantages en termes de mise en œuvre, d’emboîtement latéral et de recouvrement.
« En complétant sa gamme avec ces deux nouveaux modèles de tuiles terre cuite solaires, EDILIANS confirme sa volonté de proposer aux couvreurs des produits innovants qu’ils ont non seulement l’habitude de poser en toute facilité mais qui leur permettent également de s’intégrer parfaitement dans la toiture afin de préserver le patrimoine et de proposer une solution aux monuments historiques », explique Olivier Lafore, Directeur Marketing & Communication.
Une offre solaire à 360°
Parmi les autres solutions innovantes exposées par EDILIANS à l’occasion de cette nouvelle édition du salon Be Positive, les 30.000 visiteurs attendus pourront découvrir :
• la tuile hybride constituée d’un capteur héliothermique placé sous un capteur photovoltaïque directement relié à un chauffe-eau thermodynamique héliothermique. En plus d’être un système neutre en énergie, elle offre un ratio exceptionnel entre la surface occupée en toiture et la performance énergétique installée (10 tuiles hybrides permettent de produire 750 kWh/an d’électricité et de l’eau chaude sanitaire à 60°C). Reprenant les mêmes principes d’intégration que la tuile photovoltaïque, la tuile hybride s’intègre harmonieusement à la toiture tout en assurant étanchéité parfaite et durabilité.
• la tuile photovoltaïque composée d’un module photovoltaïque en silicium monocristallin d’une puissance unitaire de 75 Wc, elle fournit une production énergétique performante pour répondre aux enjeux de la RT 2012 et de la future RE 2020. Ses qualités lui permettent également d’être utilisée dans les projets de rénovation. Résistante aux U.V. et aux intempéries, elle garantit une étanchéité optimale jusqu’à 30 ans grâce à son châssis en aluminium, le tout en respectant parfaitement l’esthétique des toitures.
• la marquise solaire qui récupère l’énergie solaire grâce à son panneau photovoltaïque d’une puissance unitaire de 260 à 300 Wc pour produire et autoconsommer en instantané l’électricité ainsi fournie. Sa conception sous forme de brise-soleil protège les ouvrants du bâtiment (portes, fenêtres, baies vitrées…) des apports solaires trop importants. Avec son panneau photovoltaïque et sa structure en acier intégralement de couleur noire, elle permet de créer une avancée de toit à l’esthétique intemporelle.
• l’AERO 3 VOLTAÏQUE DBA HPV, un écran de sous-toiture respirant destiné à être posé sous les panneaux solaires. Issu de la large gamme d’écrans HPV hautement performants d’EDILIANS, l’AERO 3 VOLTAÏQUE DBA HPV associe une membrane à 3 couches en polyester non tissé, une enduction spéciale résistante à des températures jusqu’à 120°C et une grille de renforcement. Doté d’une double bande adhésive, sa mise en œuvre s’effectue aisément pour garantir à la toiture une étanchéité totale à l’eau et à l’air entre deux lés.
Complète, la gamme solaire d’EDILIANS offre également la possibilité de faire évoluer une installation existante en ajoutant facilement de nouvelles tuiles solaires et ainsi obtenir une plus grande indépendance énergétique tout en préservant l’étanchéité et l’esthétique de la toiture. Quelle que soit la tuile solaire choisie, sa compatibilité de pose est parfaite avec toutes les familles de tuiles de couverture en terre cuite ou en ardoise, faiblement ou fortement galbée, à pureau plat ou canal.

Source Andre Sudrie