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14/10/2016

3DCeram taille sa route avec l'imprimante 3D

La PME, basée à Limoges, a développé sa propre technologie d’impression 3D pour concevoir et réaliser des objets en céramique. De nombreux secteurs sont intéressés par ce concept.
Créée en 2001 par le Centre de transfert de technologies céramiques, puis reprise fin 2009 par deux entrepreneurs, Christophe Chaput et Richard Gaignon, qui l’ont renommée 3DCeram l’année suivante, la société est spécialisée dans la fabrication de céramique technique.
Une technologie révolutionnaire
3DCeram, dotée d’un effectif de 17 personnes, a réalisé un chiffre d’affaires d’un million d’euros l’an dernier. Pour cette année, elle vise 1,6 million d’euros. Cette prévision de forte croissance sera alimentée grâce à la technologie révolutionnaire développée par la société : la stéréolithographie. Cette technique consiste à réaliser des prototypes rapides à partir d’un modèle numérique sans passer par l’usinage. Pour y parvenir, 3DCeram a notamment mis au point sa propre imprimante 3D, baptisée Ceramaker.
Un concept séduisant pour les industriels
Les différentes solutions d’impression 3D de la société s’adressent à de nombreux secteurs qui ont besoin de réaliser rapidement des prototypes. Parmi les débouchés les plus intéressants de 3DCeram figurent l’horlogerie, la joaillerie, les articles de luxe, le biomédical (implants et substituts osseux), la chimie, les télécommunications, l’aérospatial ou encore l’électronique. Autant de secteurs qui permettront à la société de poursuivre sa croissance et son développement.
3DCeram est membre du réseau Bpifrance Excellence.

Source BPI France

"J’ai du mal à comprendre l'intérêt des réseaux sociaux", le portrait chinois de Richard Gaignon

Chaque semaine, L'Usine Digitale dresse le portrait chinois d'une personnalité du numérique. Ce week-end, Richard Gaignon, co-Président de 3DCeram s'est prêté au jeu des 13 questions.
Si vous étiez une connexion, vous seriez... ?
Un synapse. Nous voyons que les organisations traditionnelles hiérarchiques, de type projet ou matricielles ne sont plus en phase avec le monde qui nous entoure. Le business évolue rapidement, les décisions sont prises dans la seconde, seule une organisation entreprise de type neurologique va permettre de relever les défis. Vaste programme et évolution rapide qui risque d’épuiser beaucoup d’humains.
Si vous étiez un site web, vous seriez ?
Un portail pour mettre en relation, échanger, comparer, et capitaliser des compétences.. ?
Si vous étiez une appli, vous seriez... ?
Libre de droit et à télécharger. Le free ware comme son nom l’indique doit être gratuit. En revanche, les services doivent être payants. Cela permettra aux pays "industrialisés" mais compétents de retrouver une compétitivité.
Si vous étiez un système d'exploitation, vous seriez...?
Un ERP. La vision globale de l’entreprise est nécessaire pour savoir comment cet organisme qu’est l’entreprise fonctionne, réagit en cas d’attaque, de succès. Comprendre son évolution, son adaptabilité. C’est un MUST pour piloter.
Si vous étiez une start-up, vous seriez... ?
Dans mon élément. Et oui, j’adore le business développement. Créer, trouver des financements, convaincre, vaincre les réticences, motiver les troupes, se surpasser, le tout dans une ambiance de pionnier !
Si vous étiez un réseau social, vous seriez... ?
En formation ! J’ai du mal à comprendre leur intérêt. Une forme d’existence pour ceux qui ont besoin de reconnaissance... Pourquoi partager publiquement, ce qui pour la plupart du temps ne revêt aucun intérêt. Des effets d’annonce sans fondement, de la com à court terme…Il faut malgré tout vivre avec son temps et profiter de ces réseaux tout en restant très critiques.
Si vous étiez une requête Google, vous seriez... ?
"Comment trouver des fonds intéressants pour mon entreprise en France". La France a un potentiel technologique et un gisement d’entrepreneurs impressionnants. En revanche, il est difficile de trouver des fonds qui n’aient pas pour seul intérêt la rentabilité immédiate ! Pour la plupart, aucun vision stratégique, que de la rentabilité à court terme, pas de volonté de créer des champions nationaux ou internationaux.
Si vous étiez un #hashtag twitter, vous seriez... ?
#I2P, Idea to products.
Si vous étiez un "fan" sur Facebook, vous seriez... ?
Fan d’amis et non de sociétés….J’ai essayé d’être fan de marque ou de sociétés, et là, inéluctablement, je me sens devenir mouton, suiveur, sans avis critique, attendant bêtement les prochaines news de la société que je suis, lisant les commentaires affligeant des internautes…
Si vous étiez un "device", vous seriez ?
Une montre/photo connectée avec GPS pour savoir où j’en suis quand je cours mes ultras (100 km et plus). Pouvoir prendre des photos, partager avec mes amis sur un réseau social en mode privé, indiquer mon état de forme au fil des kilomètres, mettre à jour les kilomètres parcourus et le dénivelé réalisé.
Si vous étiez une technologie ou une innovation numérique, vous seriez ?
L’impression 3D... What else ! Cette technologie de rupture permet de passer de l’idée au produit. Nous vivons une révolution, nous participons à une révolution, nous créons de nouvelles façons de penser un produit, c’est tout le charme et l’intérêt de l’impression 3D.
Si vous étiez un lieu du numérique, vous seriez ?
Un fablab mais un fablab pensé pour innover et non pour bricoler, pensé pour échanger dans le but de faire du business, d’acquérir les codes de la 3D et non pour échanger sans but…comme les réseaux sociaux !
Si vous étiez une icône du web, vous seriez ?
Le thumb up de Facebook !

Source L'Usine Digitale

Cerinnov : nette hausse des revenus au premier semestre.

Cerinnov a fait état ce mardi après marché d'un chiffre d'affaires de 7,4 millions d'euros au titre du premier semestre de son exercice, en croissance de 55,2% par rapport à la même période l'an passé.

Le tassement de 7% des revenus issus de la branche 'SAV, consommables et autres' à 1,1 million d'euros a été anecdotique au regard de l'expansion des autres divisions du groupe. Alors que les ventes tirées du pôle 'Procédé laser & Décoration' ont été multipliées par plus de 2 à 1,9 million d'euros, le chiffre d'affaires des segments 'Robotique & Numérisation avancée' et 'Traitement thermique de la matière' a en effet crû de respectivement 78,3 et 61% à 2 et 2,4 millions.
Cerinnov a en outre généré 86% de son chiffre d'affaires à l'international à 6,4 millions d'euros, en hausse de 151% en glissement annuel.
'Le premier semestre est l'illustration parfaite de la mutation technologique à laquelle font aujourd'hui face les industriels que nous équipons. Comme annoncé lors de notre introduction en Bourse, le décollage de ces 6 premiers mois confirme la dynamique extrêmement porteuse de notre secteur et notre capacité à répondre aux problématiques industrielles de nos clients en les accompagnant dans leur fort développement à l'international', s'est réjoui Arnaud Hory, PDG et co-fondateur de Cerinnov.

Source Zone Bourse

13/10/2016

La Ferté Saint-Samson : les opposants aux carrières sur les traces de Bouyer-Leroux

La Ferté Saint-Samson. L’association Non aux Carrières et aux briqueteries en Bray organisait une visite sur le terrain.

Les opposants aux carrières avaient rendez-vous, dimanche, au sommet de la motte féodale de La Ferté-Saint-Samson, avant d’entamer deux heures de visites, sur les différents points d’exploitation visés par la société Bouyer-Leroux à Mesangueville et Hodeng-Hodenger.
C’était la deuxième randonnée de ce genre organisée par l’association, la première s’étant déroulée à Sommery en juin dernier. Pour guider dans cette excursion, Béatrice Besnard, ingénieur écologue depuis vingt-cinq ans.
« Notre objectif est de montrer toutes les richesses de notre territoire en matière, notamment, de biodiversité, explique-t-elle. Et de voir les sites convoités par Bouyer-Leroux. Le pays de Bray est mis en valeur par le tourisme. Si nous avons des carrières, il est évident que notre paysage sera gâché, ce qui aura des conséquences sur la fréquentation touristique et les activités qui en découlent. »
En préambule, l’ingénieur est revenu sur les origines géologiques de la boutonnière du pays de Bray, composée d’argile et de sable dans les creux et des côtes calcaires. Une explication qui permet de situer les différents sites que Bouyer-Leroux exploiterait dans la fabrication de ses briques.
Une nouvelle randonnée le 16 octobre
À cet effet, Béatrice Besnard insiste sur la trame verte et bleue, une dénomination qui met en valeur le bocage et la préservation des corridors écologiques, haies, arbres, mares et tout ce qui gravite autour, sur le plan des espèces animales.
« Nous sommes dans des zones humides riches en biodiversité, avec des espèces de papillons rares en voie de disparition et dont la chenille se nourrit de canneberge, sans oublier le triton crêté. » Les opposants redoutent l’impact d’une telle exploitation sur la ressource en eau et la qualité des terres agricoles.
L’écologue évoque le devenir des carrières transformées, en fin de vie, en bassins ou plans d’eau : « Ils n’auront pas la même valeur que des prairies humides. Les prairies sont de vrais réservoirs qui épurent les eaux et qui sont importantes pour la biodiversité des sols. » La visite n’a fait que renforcer les opposants dans leurs convictions...
Une troisième randonnée est proposée le 16 octobre, sur la commune de Sainte-Geneviève-en-Bray.

Source Paris Normandie

12/10/2016

German firms sign contracts in Iran on trade mission

German firms have signed a range of business deals with Iranian partners as part of two-day visit with Economy Minister Sigmar Gabriel aimed at rebuilding trade ties, the ministry said on Oct. 3.
Gabriel has flown to Iran with a planeful of executives who are keen to re-establish business relations with the Islamic Republic after it reached a landmark deal with world powers over its disputed nuclear program.
However, remaining U.S. sanctions and political concerns have so far held back a hoped-for business boom.
The ministry said several German Mittelstand firms, the small-to-medium-sized companies that form the backbone of the economy, had signed deals with Iranian partners, including SMS group, a builder of steelmaking plants and INTRA industrial solutions.
In addition, Mitsubishi Germany has signed a contract to modernize a gas-fired plant, while plant constructor Keller HCW wants to build a brickyard in Iran, it said. Both countries central banks have also agreed to a technical co-operation.
There was no detail on the size of the agreed deals.
Iran’s Deputy Economy Minister Mohammad Khazaei said earlier that 10 economic agreements would be signed on the sidelines of Gabriel’s visit. “I hope that this will smooth the way between both countries,” he said.
Germany, which has commercial and cultural ties with Iran that go back to the 19th century, was for decades a major trading partner of Tehran before the sanctions allowed China and several other nations to overtake it.
Gabriel is making his second visit to Tehran since the Islamic Republic reached a deal in July last year which lifted economic sanctions imposed on Iran over its nuclear program, in return for curbs on its nuclear activities.
Industrial giant Siemens AG and automaker Daimler will be among the first German firms to benefit from opportunities in Iran, but they are proceeding carefully and only after legal reviews.
The German banking sector has been reluctant to underwrite business deals for fear of falling foul of remaining U.S. sanctions imposed on Iran for what Washington says is Tehran’s money laundering, support for terrorism and human rights abuses.
Gabriel said earlier that Germany wants to help Iran push ahead with reforms, and promised to remind the United States of its commitment to reduce sanctions against Iran.

Source Daily News





Téhéran (ISNA)- La compagnie allemande, Siemens, a signé un contrat de modernisation du réseau ferroviaire de l'Iran.
Ce contrat est l'un des plusieurs offres acceptées par les entreprises allemandes lors d'une visite de deux journées à Téhéran du ministre allemande de l'Economie Sigmar Gabriel accompagné d’une grande délégation économique.
M. Gabriel s’est rendu en Iran avec une délégation de 120 gestionnaires qui sont désireux de rétablir des relations d'affaires avec la République islamique après avoir atteint un accord nucléaire historique avec les puissances mondiales l'année dernière.
Siemens a déclaré qu'il fournira des composants pour 50 locomotives diesels-électriques à l'Iran. Il n'a pas révélé la valeur du contrat, mais sur la base de prix comparables, il pourrait être à quelques centaines de millions d'euros.
Le ministère allemand de l'Economie a déclaré que plusieurs entreprises du Mittelstand, les petites et moyennes entreprises qui forment l'épine dorsale de l'économie, ont également signé des accords avec les partenaires iraniens.
En outre, Mitsubishi de l’Allemagne a signé un contrat pour la modernisation d'une centrale au gaz, tandis que le constructeur de l'usine Keller HCW veut construire une briqueterie en Iran. Les banques centrales des deux pays ont également convenu de la coopération technique.
Il n'y avait pas de détails sur la taille des offres convenues.
Le vice-ministre iranien de l'Economie Mohammad Khazaei a déclaré plus tôt que 10 accords économiques seront signés en marge de la visite de M. Gabriel. "Je souhaite que cela va faciliter les choses entre les deux pays", a-t-il dit.
L’Allemagne, qui a des liens commerciaux et culturels avec l'Iran qui remontent au 19ème siècle, a été pendant des décennies un important partenaire commercial de Téhéran avant que les sanctions ont permis à la Chine et plusieurs autres pays à le dépasser.
M. Gabriel a insisté plus tôt que l'Allemagne veut aider l'Iran à poursuivre les réformes, et a promis de rappeler aux États-Unis de son engagement à réduire les sanctions contre l'Iran.
Il a également souligné que l'Iran était un partenaire de crédit fiable qui a gardé des accords en règle générale.
Les exportations allemandes vers l'Iran ont fait un bond de 15 pour cent dans la première moitié de l'année à 1,13 milliards d'euros et pourrait atteindre 4 milliards d'euros en année pleine, a déclaré Michael Tockuss, président de la Chambre germano-iranienne de commerce basée à Hambourg.

Source ISNA

KELLER HCW signe des contrats en Iran


En présence du ministre allemand de l’Économie Sigmar Gabriel, Stefan Reichert, fondé de pouvoir de KELLER HCW, a signé à Téhéran le jour de la Réunification de l’Allemagne trois contrats pour la fourniture en Iran d'une briqueterie ainsi que deux fours tunnels. M. Reichert et d’autres managers de l’économie allemande ont accompagné Sigmar Gabriel lors de son voyage d’affaires en Iran et il a pu, avec  l’aide du directeur commercial régional KELLER Faik Gürbüz, conclure avec succès les négociations contractuelles entamées en amont de ce voyage.

« Je me réjouis en particulier du contrat avec la société Esfahan Brick Fattahi », explique Stefan Reichert à la presse. « C’est déjà la deuxième installation pour KELLER. La première, que l’on peut qualifier d’installation de référence, est actuellement dans la phase de mise en service et va produire cette année 400 t/jour de briques de remplissage et de parement. C’est la première installation entièrement automatique de ce type en Iran. »

Dans ce contexte, nous remercions particulièrement Mohsen Torabi, représentant KELLER en Iran. « Depuis de nombreuses années déjà, il représente avec beaucoup d’engagement les sociétés de la Division KELLER  depuis la capitale régionale Esfahan au centre de l'Iran », selon Faik Gürbüz.

« La prochaine étape réside dans le soutien par KELLER du financement de ces projets via Euler Hermes », conclut Stefan Reichert. « Les PME comme la nôtre doivent toujours davantage s’occuper de ces questions. Il ne suffit désormais plus d’avoir une bonne machine dans sa gamme au vu de la concurrence internationale.

Azarakhsh International, Iran, awards order to Sacmi Heavy Clay

Sacmi Heavy Clay has been awarded an order to install a new production line for Azarakhsh International, a leading brick manufacturer in Iran. For Sacmi, this order is a key to enter this strategically important growth and development region.
With almost 100 000 t per year of output sold on both internal and foreign markets, the Iranian company Azarakhsh International Refractory Brick Manufacturer Group is one of the main players in the brick and construction material sector in this region. Azarakhsh is already well-known for its high-quality clay pavers and facing bricks with low water absorption and high strength. The order covers the supply of a new complete line for the manufacture of facing bricks, so-called “strip bricks”, in the Group’s manufacturing facility in the town of Qom, Iran.
The new line is to be installed in the new building near the old factory and has been designed for a routine output of 140 000 units/day (85 t), yet it can cope with production peaks of up to 100 t per day. The order includes two PH 690 D hydraulic presses, specially configured for the production of such product types. The order also comprises a 5-level ECP 235/11.3 roller dryer with an effective intake width of 2 350 mm and a length of 11.3 m.
Completing the order are the single-channel roller kiln (FMS 223/136.5 model, 136.5 m long with an effective load width of 2 350 mm) and the Synthesis sorting and packaging line with the Extrapack robot. The kiln has been designed and equipped to fire heavy materials at high temperature (up to 1 250° C). It is equipped with a flashing system to obtain a reducing atmosphere in the final firing zone of the kiln.
This order equips Azarakhsh to extend its product range, already widely appreciated on the internal and external markets. For Sacmi, which has operated in the area through its Sacmi Iran branch for years, this is a new and prestigious reference customer, strategic in terms of growth and development potential, especially in the construction and infrastructure sector. Thanks to recent changes on the international scene, the total growth of exports from Italy to the area can be estimated at no less than 3 bill. euros over the next four years (source: Sace – Cassa Depositi e Prestiti).
Source Ziegelindustrie International

IRAN: Perforated brick screens act as curtains for Tehran housing by CAAT Studio

Angled screens of perforated brick provide ventilation and shade for this housing block in Tehran by CAAT Studio, providing its residents with relief from the city's hot and dry climate (+ slideshow).

The six-storey building is located in the rapidly developing neighbourhood of Kahrizak in the southwest of the capital, which is populated primarily by low-income households. But the Iranian architects behind the project believe the kind of property being designed for the area is unsuitable.
They found that residents often adapt the uniform balconies of new blocks with colourful panes of glass or masonry, creating personalised places to hang clothing and store belongings. They felt this should be something included from the beginning.
"The main purpose of the design was to modify a typology of residential building in this region, in which lifestyle and social class of the population were considered," said CAAT Studio.
"There was a huge gap between resident's lifestyle and the type of constructions happening in that region," they added, "for example, by observing the existing building in the neighbourhood, balconies as a routine function in the facade were misused."
The architects focused their attention on the southern facade, fitting a series of sloping brick screens into recessed balconies to integrate some of the spaces they saw being developed by the residents of adjacent blocks.
They developed 21 different types of screen that create a degree of personalisation for each residence while still maintaining the overall appearance of the scheme.
These brick structures help to cast shadows on windows and provide storage nooks. Some are designed to be used as bookshelves or closets, while other are perforated to allow fresh air and natural light to pass through the facade.
The forms of the screens are based on the geometric patterns often found in traditional Iranian design.
The central balconies feature brick screens that slope in opposing directions to each other, creating the appearance of curtains drawn across the facade.
"Brick modules were designed based on Iranian geometry pattern; each module was subservient by the function of the space behind it," said the team.
"The design strategy was to provide each space behind the south facade with a proper brick arrangement module to support enough daylighting and storage requirements."
The client had a modest budget for the project, so the architects decided to use a type of locally produced clay brick and to employ local workmen to achieve the effect.
The bricks are cut with an angle grinder to form large holes, allowing them to be fixed to the block above and below with cement, and allowing them to be put together in varying arrangements.
Iran is fast becoming a hub for inventive design, as the gradual lifting of economic sanctions is paving the way for a generation of young architects to find work.

Source DEZEEN

French Companies Eye Iranian Market

Yann Jaubert, the President of Materials Technologies, which delivers block making machines, said he had very fruitful meetings and was warmly welcomed by the Iranian authorities including ministers and those of the business community.
“We have been investigating the Iranian market for more than two years now and have an Iranian agent here. Negotiations are currently underway with a number of companies with whom signing deals is quite probable,” he said, but added that banking restrictions have hindered cooperation with Iranian firms.

Source Iran Business News

11/10/2016

Maroc: Des résidus miniers comme matériaux de construction

Les recherches de Yassine Taha ont démontré que certains résidus miniers pourraient être employés comme produits de substitution à l’argile dans la fabrication de briques.
Selon un nouveau docteur en Sciences de l’environnement de l’UQAT, les résidus de certaines mines pourraient être employés dans la fabrication de briques cuites.
Dans sa soutenance de thèse, réalisée en cotutelle avec l’Université Cadi Ayyad à Marrakech au Maroc, Yassine Taha a démontré la possibilité de figer les éléments polluants des rejets de calamine et les stériles de charbon lorsqu’ils sont cuits à une température variant de 900 à 1100 degrés Celsius. Ceux-ci pourraient ensuite être employés comme substituts à l’argile naturelle dans la fabrication de briques cuites.
Si la calamine et le charbon ne sont pas des minéraux exploités au Québec, les résultats des travaux de M. Taha ouvrent quand même des perspectives intéressantes dans la valorisation des résidus miniers.
«Des briques pourront être fabriquées en substituant jusqu’à 30 % de l’argile naturelle par les rejets de calamine et jusqu’à 100 % par les stériles de charbon. Il s’agit d’une solution environnementale prometteuse pour un pays comme le Maroc. Non seulement elle réduit les quantités de rejets miniers, mais elle préserve aussi les ressources naturelles non renouvelables telles que l’argile et le sable, qui sont exploitées intensivement dans la construction», a exposé Yassine Taha.

Source La Frrontière

10/10/2016

Salon ARCHIBAT 2016 TERREAL présente ses innovations pour l’enveloppe du bâtiment

Du 19 au 21 octobre prochain, TERREAL sera présent au salon de la construction ARTIBAT à Rennes (Hall 5 Stand 5E25).

TERREAL présentera ses dernières solutions innovantes pour l’enveloppe du bâtiment au travers de ses 4 activités : la couverture, la structure, la décoration et la façade. L'expertise technique, énergétique et esthétique de notre groupe permet la réalisation de projets architecturaux modernes et performants et contribue à améliorer l’habitat. Parmi les solutions à découvrir sur le stand de TERREAL :
En couverture :

  • le coloris bleu irisé pour les tuiles Eminence et Elysée, pour une architecture résolument contemporaine,
  • le coloris « panaché d’automne », un coloris dédié à la rénovation, développé sur Giverny PV, la référence des petits moules d’aspect plat,
  • la Port Royal, une tuile plate vieillie, conçue pour les rénovations des toits de caractère,
  • la Romane Evo Blanc Mat qui parachève la gamme Zen pour les toitures contemporaines du sud,
  • le système COBRA, un système unique pour le raccordement des VMC aux tuiles à douille,
  • le stockage Easyli pour une autoconsommation optimisée de la production photovoltaïque du système Solterre PV.

En structure et décoration :

  • le revêtement de sol extérieur naturel Diabolo®, un concept de sols innovant alliant le minéral et le végétal,
  • l’appui réno, la solution universelle et simple pour rénover durablement les appuis de baies et les seuils,
  • la Brique Monolithe Isolée, une brique d’une hauteur de 2.80 m dont les nouvelles performances thermiques permettent une architecture toujours plus ambitieuse,
  • la gamme d’accessoires Monolithes, en constante évolution, incontournables de la RT2012 et RE2018.

En façade :

  • le Zephir Evolution, un bardage posé sur rails, dont les nouvelles dimensions (longueur 150 cm, hauteur 40 cm) permettent encore plus de souplesse architecturale, et sa nouvelle finition le MODLINE,
  • la nouvelle finition texturée de 440 mm du Thermoreal Gébrik.

Rendez-vous sur le salon au stand Hall 5 Stand 5E25 du 19 au 21 octobre prochain !

Source Terreal

09/10/2016

FIMEC TECHNOLOGIES/ BRANIS – Un succès confirmé :

FIMEC Technologies développe depuis plus de 40 ans des solutions innovantes pour la terre cuite.
Depuis son entrée en production en 2014, le site Branis de Biskra, plus grosse briqueterie en Algérie, illustre avec succès l’apport des dernières innovations dans le domaine de la production de briques en terre cuite.
Pour la construction de ces deux nouveaux sites à Biskra et à Sidi Bel Abbes, la famille Hoggui a retenu à nouveau les solutions développées par FIMEC Technologies pour le premier site de Branis.
L’entreprise, qui investit beaucoup en R&D, fait la différence par son approche innovante basée sur une expérience multi-marché. En se positionnant avec succès sur différents marchés (industrie automobile, matériaux de construction, logistique…) pour renforcer son activité elle a en effet démontré sa capacité d’adaptation et sa créativité en exploitant les meilleures idées et proposer des solutions dédiées à la terre cuite :

  • lignes de manutention de produits verts ou secs(coupeurs, chargeurs, empileurs, dépileurs),
  • séchoirs aux mécanismes innovants (séchoir rapide ANJOU® APO à pas optimisé),
  • manutention wagon,
  • palettiseurs et paquettiseurs,
  • nettoyeurs de wagon robotisés,
  • roues de wagons en acier forgé trempé
  • portes de four.

En plus des nouvelles installations de ligne de manutentions et d’équipements livrés clés en main, FIMEC Technologies propose une offre dédiée à la rénovation de sites de productions :

  • Manutention wagon
  • Modification séchoir (tension de chaine automatique, étanchéité séchoir)
  • Augmentation capacité séchoir
  • Augmentation de cadence par robotisation (pré-empilage, empilage).
  • Test des équipements avant livraison - Atelier FIMEC Technologies
  • Test des équipements avant livraison – Atelier FIMEC Technologies

Portes ouvertes à la Briqueterie Bouisset

A l'occasion des 10 ans du label d'Etat EPV (entreprise du patrimoine vivant), l'entreprise Briqueterie Bouisset, détentrice de ce label récompensant des entreprises françaises d'exception, ouvrira ses portes au public pour des visites exceptionnelles les vendredi 14 et samedi 15 octobre. L'entreprise détient le label EPV, marque de reconnaissance de l'État qui distingue des savoir-faire artisanaux et industriels d'excellence. Elle fabrique depuis 1878 des briques, tuiles, éléments de décoration de toitures, vases, jarres, etc, destinés à des chantiers allant de la construction à la décoration. Elle travaille régulièrement pour des chantiers de restauration du patrimoine et Monuments historiques. Les 14 et 15 octobre, le public pourra visiter les ateliers de fabrication, découvrir les savoir-faire, des visites guidées seront proposées, par groupe de 20 personnes, le vendredi 14 à 10h, 11h, 13h30, 14h30 et 15h30, le samedi 15 à 9h, 10h et 11h.

Ces journées «portes ouvertes» s'inscrivent dans le cadre de la première édition des Journées des savoir-faire d'excellence EPV, lancées pour les 10 ans du label ; elles sont initiées par l'Institut supérieur des métiers qui gère le label EPV au nom de l'État et l'Association de la visite d'entreprise, spécialiste de la filière du tourisme de savoir-faire avec pour objectif de susciter des vocations, présenter les possibilités de formation et d'apprentissages et découvrir des métiers de passion, promouvoir les entreprises d'exception EPV auprès du grand public et valoriser l'identité des territoires à travers la découverte de la culture économique. Ces «portes ouvertes» sont l'opportunité de (re) découvrir le territoire en allant à la rencontre des hommes et des femmes d'excellence des entreprises du patrimoine vivant.
Contact : 06.82.57.34.25/05.63.98.32.08 Site : www.briqueterie-bouisset.fr
www.terres-albine.com

Source La Dépêche du Midi

08/10/2016

CHAGNY- 1881-2016 : les Grandes tuileries ont prospéré

Voie de communication à la fois touristique et industrielle, le canal du Centre a grandement participé au développement de la tuilerie et de la ville de Chagny. Navigable à partir de 1783, le canal du Centre (ancien canal du Charolais) a servi de moyen de transport aux entreprises riveraines comme les Verreries de Chagny (1861 – 1881), remplacées par les Grandes tuileries de Bourgogne en septembre 1881.
Ces dernières, absorbées par Lambert Frères en 1963, deviennent Lambert Céramiques en 1975 puis Terréal en 2003.
Les premières tuileries à Chagny datent de 1713, avec la tuilerie Robert au lieudit la Grangerie.
La tuilerie a connu plusieurs dates marquantes comme en 1938, avec la fusion des tuileries de Chagny et Montchanin. En 1963, la société Lambert rachète les tuileries de Montchanin et Chagny pour ne conserver que celle de Chagny, Montchanin étant arrêtée en 1973. Le 6 août 1964, un incendie, commencé au four n° 3, détruit les trois quart du site chagnotin. En 1976, la dernière cheminée est démoli, puis en 1990 la société devient la tuilerie la plus moderne d’Europe, suivie de la construction de Terréal 2 en 2007.

Source Le Journal de Saône et Loire

07/10/2016

Recyclage et réemploi de matériaux en construction, mythe ou réalité ?

Le réemploi de matériaux dans la construction se développe avec l’émergence de nouvelles façons de construire, portées notamment par l’association d’architectes Bellastock. Dans un rapport paru en avril 2016, l’ADEME se penche sur les freins au développement de cette filière et propose des leviers pour la promotion de cette pratique.

Chaque habitant produit plus de 354 kg de déchets ménagers par an, mais si on prend en compte tous les types de déchets, et notamment ceux liés à l’industrie et à la construction, ce chiffre passe à plus de 14 tonnes par an et par habitant ! Les ressources s’épuisent et les déchets ne font que croitre...
Il parait vital de trouver des solutions pour inverser cette tendance. Le recyclage se pose comme solution évidente à cette problématique, mais comment et dans quelles mesures peut-il s’appliquer au secteur de la construction ?
Dans son rapport « Identification des freins et des leviers au réemploi de produits et matériaux de construction », l’ADEME rassemble différents retours d’expérience de projets déjà mis en place et répertorie un certain nombre d’actions pour favoriser le réemploi.
Constat général de l’étude :
Les premiers résultats de l’étude ont montré que le développement du réemploi devait d’abord passer par une sensibilisation des acteurs en diffusant des retours d’expérience et une formation aux bonnes pratiques du réemploi dans les secteurs de la construction et des travaux publics.
Les freins au réemploi :
Dans le secteur du bâtiment, les principaux freins liés au statut juridique des matériaux réemployés et des garanties sur la qualité des produits et construction. En effet, le statut de déchet n’est pas encore reconnu et la garantie n’est pas assurée. Le développement de la filière reste donc encore limité, accentué par une modification nécessaire des pratiques de pose et dépose des matériaux.
Concernant le secteur des travaux publics, les freins sont proches de ceux du secteur du bâtiment.
Ces freins s’expliquent par une pratique encore récente en France – victime d’aprioris négatifs - et peu réglementée. L’acceptation du recyclage n’est encore que trop faible par rapport à d’autres pays. La valorisation de l’ouvrage du point de vue environnemental n’est pas encore assez reconnue ni mise en valeur, ce qui ne permet pas une différenciation assez importante par rapport aux autres types de construction.
Les actions à mettre en place :
>> Evolution réglementaire
Une évolution réglementaire est attendue pour pouvoir légitimer le statut de déchet et favoriser le réemploi, de même qu’une meilleure définition de la responsabilité des entreprises de construction.
>> Requalification des produits de dépose
Une requalification des produits de dépose permettrait de faciliter leur intégration dans la réglementation en vigueur. Une anticipation du devenir des matériaux et une facilitation de la mise à disposition de ces produits de dépose améliorerait le recyclage.
>> Diffusion des retours d’expériences
Le rapport encourage une meilleure diffusion des retours d’expériences afin de lutter contre les aprioris négatifs qui grèvent le développement de la filière.
Perspectives du recyclage :
Néanmoins, aujourd’hui des projets utilisant des matériaux recyclés existent déjà comme par exemple la Recycled Materials au Chili ou la Springfield House au Kansas :
La Recycled Materials Cottage au Chili et la Springfield House au Kansas, USA, issu du livre Matière Grise.
En France, des projets de recyclage sont aussi présents, le projet Reclybeton est l’un d’eux. Ce projet de recherche vise la réutilisation du béton dans les nouvelles constructions. Aujourd’hui seulement 10% du béton est recyclé ce qui est faible par rapport à nos voisins. Des expérimentations sont en cours – notamment en Ile-de-France - et pourraient permettre le développement de ces pratiques dans les prochaines années. Dans le même esprit, la SNCF porte un projet de réalisation d’entrepôts réalisé à 90% grâce à des matériaux récupérés sur leurs sites (remplacement de traverses etc.). Ces perspectives pourraient permettre de faire évoluer la vision sur le recyclage et devenir des vitrines à ciel ouvert du réemploi.
Pour aller plus loin :
Les détails des actions et les retours d’expérience pour les projets de réemploi peuvent être retrouvés dans l’étude complète de l’ADEME en suivant le lien : http://www.ademe.fr/sites/default/files/assets/documents/identification-freins-reemploi-btp-201604-rapport.pdf
D’autres références et retours peuvent être retrouvés sur le site de l’association Bellastock, engagée dans la démarche du recyclage : http://www.bellastock.com/, ou dans le livre Matière Grise, Matériaux/Réemploi/Architecture, ENCORE HEUREUX Julien Choppin & Nicola Delon, Pavillon de l’Arsenal.
Source Les ENR par Tania Jalocha

06/10/2016

WIENERBERGER BELGIQUE: Faites d’une pierre cinq coups

Vous rêvez d’emménager bientôt dans une belle construction neuve ou rénovée ? Visiter des maisons virtuelles peut donner de l’inspiration, mais rien de tel qu’un showroom où tous les matériaux de gros œuvre possibles sont exposés.
Le gros œuvre ne constitue pas seulement l’ossature de votre habitation, c’est aussi la carte de visite de votre maison. L’esthétique n’est pas le seul critère; la qualité, le confort et la durabilité sont bien entendu aussi importants. Pour vous faciliter le choix, Wienerberger a mis au point des showrooms où toutes les solutions de gros œuvre sont exposées les unes à côté des autres. Le concept est unique en son genre, car les visiteurs y bénéficient d’un service de conseil complet concernant les produits de façade, de toiture et de pavage, combinés à tous les accessoires et produits connexes. Vous pouvez y :
1 Faire votre choix parmi quelque 600 produits
Plus de 600 briques de parement, blocs pour murs intérieurs, tuiles et pavés en terre cuite y sont exposés. Regardez, choisissez et combinez à partir d’une gamme gigantesque composée notamment de :
- briques de parement de Desimpel et Terca : des briques moulées-main rugueuses pour un look rustique aux briques étirées aux lignes plus sobres qui s’harmonisent parfaitement avec une architecture moderne.
- tuiles en terre cuite de Koramic : des produits naturels proposés dans de nombreuses formes et tailles. Elles résistent au gel, sont durables et ne se décolorent pas.
- blocs pour murs intérieurs Porotherm :  ces blocs pour murs intérieurs en céramique portent toute la construction. Leurs propriétés thermiques atténuent les fluctuations de température au sein de votre habitation : chaud en hiver, frais en été.
- pavés en terre cuite : en raison de leur grande variété de couleurs et de finitions possibles, les pavés en terre cuite de Wienerberger conviennent à tous les styles, du style campagnard classique au style moderne.
2 Apprendre grâce à des maquettes spéciales
Des présentoirs exposant des éléments de gros œuvre plus imposants forment le « Walk of Building » : plusieurs produits Wienerberger y sont installés. Vous y apprendrez toutes sortes de choses sur les techniques de maçonnerie, l’isolation et les structures de toit, par exemple. Vous êtes surtout intéressé par le bardage et les innovations récentes ? Ne manquez surtout pas l’« Innovation Wall ».
3 Combiner à souhait
Ma brique de parement est-elle assortie à mes tuiles ou à mes châssis ? Vous pouvez directement le vérifier avec les « Combinators », des présentoirs dans lesquels vous pouvez installer divers matériaux de gros œuvre. Y compris du mortier de jointoiement ! Que vous recherchiez un effet de couleur monochrome ou, au contraire, des contrastes de couleur prononcés, vous pouvez combiner à cœur joie jusqu’à obtenir le résultat souhaité. Pour vous offrir une image globale de tous les produits de gros œuvre, Wienerberger collabore dans ses showrooms avec quelques autres fabricants de matériaux de construction.
4 Emporter des échantillons
Nos showrooms renferment un vaste rayon échantillons. Vous pouvez emporter vos échantillons préférés de briques de parement, tuiles et pavés en terre cuite. Pratique pour réfléchir à votre aise chez vous !
5 Bénéficier de conseils avisés
Des professionnels se tiennent à disposition pour fournir de la documentation et des conseils techniques, mais aussi pour chercher avec vous la réponse appropriée à toutes vos questions. Ils se feront également un plaisir de vous remettre une liste d’adresses de référence.
• Showroom de Londerzeel, A12-Koning Leopoldlaan 1, 2870 Breendonk, tél. 052/311.010.
• Showroom de Courtrai, Kapel ter Bede 88, 8500 Kortrijk, tél. 056/249.588.

Source Le Soir

05/10/2016

MONIER FERIANE - Petits collectifs tout de rouge vêtus

Habitat Nord Deux-Sèvres a lancé, en collaboration avec la ville de Cerizay (79), un projet de renouvellement pour le quartier de la Gourre d’Or marqué par un habitat des années soixante vieillissant.

Le cahier des charges, après démolition de l’existant, était de rendre le quartier attractif avec des espaces verts et avec une architecture innovante en éco-conception et éco-contruction.

Parmi les différents projets, 15 nouveaux logements collectifs ont été livrés fin juin, une opération haute-performance Effinergie + RT 2012. Les bâtiments (R+1) groupés avec des toitures en pente bénéficient d’une architecture qui, tout en restant traditionnelle, bouscule les codes habituels. 2 000 m2 de couverture en tuile Fériane rouge y participent pleinement.

En reprenant l’esthétique des tuiles canal d’antan du grand Sud-Ouest, la tuile de Monier assure l’intégration des constructions dans leur environnement.

Sa couleur rouge se confond avec les façades enduites de la même couleur et procure ainsi à l’ensemble une esthétique unique.

Son fond courbe prononcé, son cornet évasé et la pureté des lignes apportent un cachet authentique aux constructions, dans le respect de la tradition architecturale régionale.

Source Batijournal

04/10/2016

European clay brick and tile industry meets in Switzerland

Some 80 brick and tile entrepreneurs and representatives of European national associations met in Lucerne for this year‘s TBE Congress on the 23rd and 24th of June. The annual meeting was hosted by the Swiss Brick and Tile Association, swissbrick.ch. The Swiss delegation included an especially large number of brick and tile producers, as they happened to be holding their own general meeting there on Thursday, June 23, in parallel with the TBE program.
Well-attended product group meetings
The representatives of the various product groups (Masonry Product Group, TBE Joint Environmental and Technical Working Group and TBE Roofing Tiles Product Group) came together for their respective meetings on Thursday, June 23. Many of the members took advantage of the opportunity to drop in on the other group meetings in order to gain as comprehensive an overview as possible of the past year‘s activities.
Then, blessed with great weather, all members convened on the picturesque shore of Lake Lucerne for an evening of cocktails and a gala dinner. TBE...
Source Ziegelindustrie International

2016 TBE Congress, Luzern

Tiles and bricks executives from across Europe met in Luzern, Switzerland on 23 and 24 June for the 2016 TBE Congress, which was hosted by the Swiss Bricks and Tiles Association, swissbrick.ch.
The Congress started on Thursday 23 June with the Masonry Product Group. Members attended the TBE Joint Environmental and Technical Working Group and TBE Roofing Tiles Product Group in the afternoon to gain comprehensive overview of the activities undertaken during the last year. That evening members enjoyed a cocktail and a gala dinner in the picaresque location at the board of the Luzern Lake.
Friday 24 June was dedicated to the TBE Executive Committee and TBE General Assembly.
The TBE General Assembly presented a good occasion to review the last year’s actions and anticipate upcoming activities. Thanks to TBE members, electronic brochures on the advantages of pitched roofs and clay masonry products were implemented at national level and used in meetings with builders and architects and at fairs. Important developments related to the EU climate and energy policy, such as the on-going revision of the post 2020 EU ETS Directive, were debated.
TBE members discussed also the new upcoming activities and challenges for the next year such as the many sustainable construction and technical dossiers, the Circular Economy package as well as the Cumulative Cost Assessment study undertaken for the ceramic industry.
Thank you to this years’ sponsors: SABO and Capaccioli.

Source Tiles& Bricks Europ

03/10/2016

Wienerberger conforte sa fabrication de briques en France

Le major autrichien du secteur a procédé à la rénovation, pour 5 millions d’euros, du four de l’usine alsacienne d’Achenheim, dédiée notamment aux briques de haute résistance thermique et aux gammes spécifiques.
Le nouveau four permettra à Achenheim de maintenir sa production à 150 000 tonnes de brisques par an, avec une qualité finale améliorée selon le fabricant.
Le marché français de la construction connaît des hauts et des bas mais la brique, elle, poursuit presque imperturbablement sa marche en avant. Cette situation favorable amène Wienerberger, le leader mondial du secteur, à investir dans l’Hexagone, en l’occurrence sur son site alsacien d’Achenheim, par ailleurs siège de la filiale française. Son four de cuisson vient d’être reconditionné pour un montant de 5 millions d’euros. L’investissement s’inscrit dans le long terme: un tel équipement est conçu pour 30 ans, ce qui garantit l’avenir de l’usine pour au moins cet intervalle de temps. La brique réfractaire qui constitue désormais la structure intérieure en augmentera même la longévité.
La question de consolider le site a rapidement trouvé une réponse positive, compte tenu de son «rôle stratégique» que rappelle Francis Lagier, P-DG de Wienerberger France. «Au sein de notre dispositif industriel en France, Achenheim fabrique le plus grand nombre de références, de l’ordre de 150. Un certain nombre d’entre elles sont des produits spécifiques qui n’ont pas d’autre lieu de fabrication, il n’y a donc tout simplement pas d’alternative», expose-t-il.
Le nouvel équipement rend possible une augmentation de capacité, qui n’est pas à l’ordre du jour pour l’heure cependant. L’usine de 48 salariés produit environ 150 000 tonnes de briques par an, dont celles de plus forte résistance thermique (RT): «Une brique de RT 1,45 fait parcourir, à elle seule, un tiers du chemin vers le BBC», souligne Francis Lagier.
Quatre usines de même taille
Le site s’insère dans un quatuor d’usines françaises qui présentent toutes une taille comparable, aboutissant à un total annuel de 600 000 tonnes pour un effectif cumulé de 210 salariés. Outre Achenheim, Wienerberger fabrique à Betschdorf, autre commune bas-rhinoise et autre héritage de la briqueterie régionale Sturm, à Pont-de-Vaux dans l’Ain qui est le «produit» de la reprise de Migeon et à Durtal près d’Angers (Maine-et-Loire), une création de site en 2011. Le laboratoire de Besançon-Franois se consacre aux développements pour l’amélioration des performances thermiques, acoustiques, mécaniques, entre autres.
La brique constituant un produit de gros œuvre dont la valeur ajoutée ne suffit pas à justifier un transport sur une longue distance, les différentes usines écoulent 80% de leur volume dans un rayon de l’ordre de 250 km.
Wienerberger revendique également le leadership européen des tuiles, son deuxième pilier, représenté en France par six usines. Au total, en France, le groupe autrichien emploie 790 salariés pour un chiffre d’affaires de 170 millions d’euros en 2015.
Focus: Un four tout neuf
Le four rénové est dimensionné pour durer plus de trente ans.
Le reconditionnèrent du four d’Achenheim redonne tout son lustre à une grosse «boîte» de 16O mètres de long, 2,6 mètres de haut et 6 mètres de large. L’investissement comprend un changement de technologie: le four passe de l’étanchéité par joint d’eau à celle par joint de sable, la solution aujourd’hui courante. L’investissement inclut un système de récupération de chaleur haute température/basse température, de façon à alimenter la zone de feu avec de l’air à 2OO degrés et les brûleurs d’avant feu à 80 degrés. L’homogénéité de cuisson est également améliorée.
Au final, selon Wienerberger, le nouvel équipement procure un meilleur rendement, économise l’énergie (3O% pour l’électrique au droit du four) et améliore la qualité du produit final. «Il donne à Achenheim la capacité à continuer à sortir des briques complexes», souligne Francis Lagier.
Source LE MONITEUR.FR par Christian Robischon (Bureau de Strasbourg du Moniteur)

02/10/2016

TENDANCE : TUILE PLEIN CIEL de MONIER & MAISON INDIVIDUELLE

« C’est pour nous un chantier un peu particulier, avec une forte contrainte d’ordre esthétique. La tuile Plein Ciel nous a permis d’y répondre. D’autant que les accessoires s’intègrent parfaitement, tout en offrant une finition de qualité ».
Christian Delaine, coordinateur travaux SM2C
LE PROJET
Située à Saint-Privat les Vieux dans le Gard, cette grande maison individuelle se distingue de ses voisines par sa couverture, à la fois dans la forme et dans la couleur. Dans la forme avec une couverture composée de quatre ensembles de tailles différentes à quatre pans, séparés par des toitures terrasses, à laquelle s’ajoute la couverture à deux pans du garage. Côté couleur, plutôt que la traditionnelle tuile rose/jaune sablé que l’on trouve habituellement dans la région, le propriétaire souhaitait une tuile de couleur noire. Un choix esthétique motivé par le caractère contemporain de la construction.
LA SOLUTION

C’est la société de construction SM2C qui a eu en charge, en plus de l’ensemble des travaux de gros oeuvre, la réalisation de la couverture. Pour répondre à la demande du client, l’entrepreneur a retenu la tuile Plein Ciel, dans sa version noire évidemment : « Cette proposition technique et esthétique, couleur et galbe du Sud, correspondait en tout point aux besoins du propriétaire », explique Christian Delaine, le conducteur de travaux de l’entreprise. Pour l’entreprise, cette option garantit également une certaine facilité, avec une pose intuitive, une grande flexibilité –puisque la tuile à glissement permet de faire varier le pureau – et une étanchéité parfaite grâce à un emboîtement surélevé.

  • Nombre de tuiles au m² : de 9,6 à 10,6
  • Pureau variable : de 31,5 à 34,5 cm
  • Mise en oeuvre : pose à joints droits ou à joints croisés de droite à gauche
  • Autres coloris disponibles : Dune Sable, Silvacane Littoral, Muscade, Badiane, Dune Ocre, Rouge Sienne, Brun et Provence.


Source Monier

01/10/2016

Projet de Carrière d'argile à Précigné. Un rendez-vous avec la Préfète pour les opposants

C'est la rentrée aussi pour l'association de sauvegarde de la forêt de Malpaire, toujours mobilisée contre le projet de carrière à Précigné.

« Aujourd’hui, nous voulons procéder par les moyens les plus courtois et les plus légaux pour faire entendre notre position. Nous sommes sages mais bien déterminés ». Hubert Guillais avait donné rendez-vous aux opposants au projet de carrière, au cœur de la forêt de Malpaire, à quelques dizaines de mètres du site du projet, vendredi 2 septembre, à Précigné. Une cinquantaine a répondu présent. Hubert Guillais, président de l’association de sauvegarde de la forêt de Malpaire, leur a présenté un compte rendu précis de l’avancement des actions pour contrer le projet.
« Rien n’a changé à commencer par notre détermination »
« Rien n’a changé, à commencer par la détermination de l’association à lutter contre le projet. C’est rentable de vendre l’argile mais ça l’est encore plus de vendre un trou pour enfouir les matériaux inertes », lance-il.
« Depuis trois mois, j’ai rencontré le Ministre de la Forêt, M. Le Foll. Il a été attentif à nos arguments. J’en ai parlé à Marc Joulaud, maire de Sablé, en lui disant que je n’avais pas compris que la ville de Sablé donne un avis favorable ».
Il a aussi vu Dominique Le Méner, président du conseil départemental.
« Il a proposé d’organiser une réunion en mairie de Sablé, avec Marc Joulaud, pour peser les avantages et les inconvénients ».
La pierre angulaire de la lutte des opposants : la Préfète qui décidera de donner ou non le feu vert pour les carrières de Précigné. « Elle m’a appelé jeudi et j’ai eu un échange très long avec elle. Elle voulait entendre nos arguments ». Hubert Guillais a décroché un rendez-vous avec la représentante de l’Etat dans le département, le 19 septembre.
Outre la sauvegarde d’espèces menacées et des zones humides de la forêt, Hubert Guillais mettra en avant la trame verte. « C’est une directive européenne qui s’impose à tous les maires. On ne peut pas couper une forêt millénaire qui s’étend sur 40 km au nord et autant au sud, des portes d’Angers jusqu’à Parcé ».
Dans les actions à venir : le lancement d’une pétition en ligne. « On parcourt aussi la campagne pour faire signer sur la carte tous les gens qui sont contre ».
Source Les Nouvellesdesablé par Julie Hurisse

30/09/2016

Une « toiture chaude », qu’est-ce que c’est ?

Il existe deux types de toiture : la toiture froide et la toiture dite chaude. La toiture froide tend à tomber en désuétude ces dernières années car trop prompte à laisser la vapeur d’eau se condenser à l’intérieur même de la toiture. On préfère désormais la toiture chaude, plus efficace et plus performante.
Toiture chaude : définition
Contrairement à la toiture froide, la toiture chaude ne possède pas de lame d’air entre le support d’étanchéité et l’isolant. Il s’agit souvent d’une toiture isolée par cinq couches différentes : le support, le pare-vapeur, l’isolant, la couche étanche, et une couverture (les tuiles, par exemple). L’absence de lame d’air ventilée dans une toiture chaude est compensée par la présence d’un pare-vapeur ou d’une couche anti-humidité. La toiture chaude est donc isolée par l’extérieur.
VOTRE TOIT EST-IL BIEN ISOLÉ ?
Quel avantage à préférer la toiture chaude ?
La différence entre toiture chaude et toiture froide ne se fait pas sur un quelconque critère de prix ou par un choix esthétique car elles sont très similaires.Le choix entre l’une ou l’autre s’effectue uniquement en fonction de la nécessité de réaliser ou non une ventilation de la toiture. En règle générale, ce sont les experts en charge de la construction ou de la rénovation de la maison qui décident du type de toiture à favoriser après une analyse précise du bâti et de l’environnement. On favorise par exemple des toitures chaudes pour les toits peu ou très pentus, de forme pyramidale, ou encore pour les toitures plates, car ces types de toit ne permettent pas d’aménager une lame d’air ventilée.
De manière générale, la toiture chaude est largement plébiscitée par les professionnels de la toiture car on écarte tout risque de condensation excessive. La toiture froide est peu à peu abandonnée, sauf si les circonstances l’exigent. Dans tous les cas, il est nécessaire de faire confiance aux artisans qualifiés habilités à déterminer les meilleures techniques d’isolation.
L’indispensable isolation du toit
Isolation de la toitureChaude ou froide, la toiture doit impérativement être isolée. La raison : 30 % des pertes de chaleur d’une maison se font par la toiture. Une isolation suffisamment performante permet donc d’économiser 20 % à 30 % d’énergie sur les factures de chauffage des occupants.
Différentes techniques existent là aussi. Il est possible d’isoler directement la toiture, par l’intérieur ou par l’extérieur. Si la maison possède des combles perdus, on peut également isoler directement le plancher des combles comme le propose le Pacte Energie Solidarité avec son programme d’isolation à 1 euro seulement.
Le saviez-vous ?
Refaire l’isolation de son logement permet d’importantes économies d’énergie. Pour vous aider à financer ces travaux, des aides et subventions ont été mises en place par l’État dans le cadre de la transition énergétique.
SIMULATION D’AIDES
Si vous n’êtes pas éligible au programme PES, d’autres aides vous permettent de réaliser l’isolation des combles ou de la toiture à moindre coût. Crédit d’impôt à 30 %, éco-prêt à taux zéro, TVA réduite,… testez le simulateur de Quelle Energie pour calculer l’ensemble de vos droits.

Source QuelleEnergie

29/09/2016

Wienerberger investit près de 5 millions d’euros dans un nouveau four et pérennise son site d’Achenheim

Wienerberger continue d’investir sur ses sites de production français et vient de consacrer près de 5 millions d’euros pour la rénovation du four de son usine de briques de structure d’Achenheim ; le plus gros investissement industriel du gr
oupe en France depuis les travaux réalisés à l’usine de Flines-lez-Râches en 2014.
Arrivé en fin de vie après 30 ans d’exploitation, le four à joint d’eau du site d’Achenheim, endommagé par la corrosion, vient d’être remplacé. Ainsi, 5 mois de travaux ont été nécessaires au remplacement de ce four, avec désormais une technologie d’étanchéité par joint de sable moins génératrice de corrosion. Notons aussi qu’un tiers de l’ancien four (les parties de refroidissement rapide et de récupération) a néanmoins pu être ré-exploité lors des travaux.
Ce four de dernière génération (longueur : 160 m pour une largeur de 6 m et une hauteur de 2.50 m) est un four tunnel où la durée de cuisson est d’environ 24 h, atteignant une température maximale de 1000 °C. La structure intérieure est désormais réalisée en brique réfractaire, ce qui assurera une plus grande longévité en comparaison à l’ancienne structure.Lors de cet investissement, plusieurs innovations dédiées à l’amélioration du contrôle de la cuisson ont été déployées. Ce projet ne pouvait être réalisé sans prendre en compte les dernières techniques d’optimisation des consommations énergétiques ; comme l’alimentation des brûleurs par de l’air de combustion préchauffé, ou la création d’un préfour intégré dans la première partie du four. Les gains obtenus à ce jour sur la phase de cuisson sont significatifs, avec une baisse de 25 % de la consommation de gaz et de 30 % de la consommation électrique, soit une économie annuelle de près de 250.000 euros, avec un impact environnemental positif et un plus faible taux de rejet de CO2.
Une parfaite illustration de la stratégie de performances énergétique, économique et écologique de Wienerberger, qui entend offrir des solutions durables de qualité, dans chaque domaine : de la fabrication de ses produits à leur utilisation.
À noter que malgré un arrêt de 5 mois, et notamment grâce à son autre usine alsacienne de Betschdorf, fortement sollicitée, Wienerberger a assuré la continuité de ses livraisons auprès de ses clients.
Fondé à Vienne en 1819, Wienerberger est aujourd’hui le 1er briquetier mondial et le 1er tuilier européen. La terre cuite, matériau sain, économique et écologique, répond idéalement aux projets de constructions à haute performance énergétique. Matériaux écoresponsables, les briques et tuiles terres cuites ont une durée de vie minimum de 100 ans. Présent dans 30 pays, ses 204 usines emploient plus de 14800 personnes à travers le monde. En France, 830 salariés travaillent dans les 10 usines de tuiles et briques détenues par le groupe. Le chiffre d’affaires en 2014 atteint 178 millions d’euros avec 4 marques reconnues : Argeton - Solutions façade, Koramic - Solutions toiture et façade, Porotherm - Solutions mur et Terca - Solutions façade.

Source N Schilling

28/09/2016

Vendée-Globe : Bouyer Leroux s’embarque avec Jean Le Cam

Le groupe Bouyer Leroux, spécialiste des matériaux en terre cuite, a annoncé la semaine dernière la signature d’un partenariat avec Jean Le Cam, qui participera à la prochaine édition du Vendée Globe. Une collaboration qui s’inscrit dans le cadre d’une collecte de financement participatif organisée par le skipper, qui n’en est pas à son coup d’essai sur la compétition.

Retour sur une aventure humaine dont on connaîtra le dénouement dans les mois à venir.
Un an : c’est le temps qu’il aura fallu à Jean Le Cam pour mener son projet à son terme. En effet, alors qu’il rentre de son dernier Vendée Globe, le skipper de 53 ans peine à trouver un sponsor pour la prochaine édition. Il décide alors de mettre en place une vaste collecte participative pour financer l’armement de son bateau.
Dès lors, particuliers et entreprises lui apportent leur soutien. Parmi elles, le groupe Bouyer Leroux, spécialiste des matériaux de construction en terre cuite sur le marché français, avec qui Jean Le Cam signera finalement un partenariat. Une opportunité de taille pour l’industriel français, qui accompagnera le skipper sur son 60 pieds pour l’édition 2016 du Vendée Globe, dont le départ sera donné le 6 novembre prochain.
Un projet qui rassemble
Baptisé « Yes we cam », le projet a immédiatement su trouver le soutien du public, notamment grâce à la sympathie qu’entretien ce dernier à l’égard du skipper. Même son de cloche du côté de Bouyer Leroux, pour qui cette initiative est « un moyen de mobilisation du personnel autour d’un projet d’entreprise et autour de valeurs coopératives telles que effort dans la durée, esprit d’équipe et solidarité mais aussi savoir-faire et innovation ». Grâce à la volonté sans faille et le capital sympathie de Jean Le Cam, Bouyer Leroux espère bien accroître sa visibilité et améliorer son image auprès de ses clients.
Des avantages pour les deux parties
Au-delà de l’aventure exceptionnelle que représente ce projet, c’est aussi les gains qu’elle pourrait en tirer qui intéressent Bouyer Leroux. « Il [Jean Le Cam] va permettre au Groupe de partager des moments privilégiés et conviviaux avec ses clients, ses partenaires et de créer du lien pour les équipes commerciales », explique le groupe dans un communiqué. L’industriel français compte également profiter de la visibilité du Vendée Globe et de son skipper pour faire connaître ses engagements, notamment en matière de développement durable.
Si, aujourd’hui, Jean Le Cam peut avoir la certitude d’être sur la ligne du départ aux Sables d’Olonne en novembre prochain, il ne lui reste plus qu’à espérer terminer sa course pour mener son beau projet à son terme.
Source Batiweb par F.C

27/09/2016

TENDANCE : TUILE FÉRIANE & HABITAT COLLECTIF de MONIER

« Depuis 40 ans, nous travaillons avec Monier ; pour ce chantier, nous avons été conquis par la Fériane® et notamment par son jeu longitudinal permettant un gain de temps et un confort de pose indéniables sur le chantier. Compte-tenu des contraintes architecturales du projet, il nous fallait une tuile qui bénéficie d’une grande flexibilité ».

Geneviève Delahaye, gérante FBM Chauffage couverture
LE PROJET
Habitat Nord Deux-Sèvres a lancé, en collaboration avec la ville de Cerizay (79), un projet de renouvellement pour le quartier de la Gourre d’Or marqué par un habitat des années soixante vieillissant. Le cahier des charges après démolition de l’existant, était de rendre le quartier attractif avec des espaces verts et avec une architecture innovante. Parmi les différents projets, 15 nouveaux logements collectifs ont été livrés fin juin 2016, une opération haute-performance (Effi nergie + RT 2012) qui assurera aux occupants un cadre de vie agréable et des dépenses au quotidien réduites.
LA SOLUTION
Ce chantier a été réalisé par l’entreprise FBM Chauffage Couverture. Le choix s’est rapidement tourné vers le modèle Fériane® qui se caractérise par une conception inédite. En reprenant l’esthétique des tuiles Canal d’antan, la Fériane® assure parfaitement l’intégration des constructions dans leur environnement. En effet, le design exclusif de la tuile Fériane® lui permet de profiter d’un très important jeu d’assemblage longitudinal de 4 cm pour s’adapter à toutes les configurations de toiture. Cela permet donc moins de coupes (plus de coupes à partir de 3,10 m de rampant), et un nombre de tuiles et d’accessoires optimisés (12 au m2). Les couvreurs ont également pu apprécier la prise en main et les repères de pose judicieusement placés pour un placement instinctif des tuiles sur le toit.

  • Nombre de tuiles au m² : de 11,3 à 13,2
  • Pureau variable : de 34,5 à 38,5 cm
  • Mise en oeuvre : pose à joints droits de gauche à droite
  • Autres coloris disponibles : Colorado, Silvacane Littoral, Tons variés Atlantique

26/09/2016

Standard Industries veut racheter Braas Monier pour 1,9 md

La holding américaine Standard Industries a annoncé une offre de rachat sur Braas Monier BMSA.DE qui valorise le spécialiste allemand des toitures 1,9 milliard d'euros, dette comprise.
Standard Industries, qui possède plusieurs sociétés de ce secteur, a précisé jeudi qu'il proposait 25 euros en numéraire par action, une prime de 15% sur le cours de Braas avant les premières informations faisant état de la possibilité d'une offre.
Le directoire de Braas a déjà dit qu'il jugeait l'offre de Standard Industries insuffisante.
Le titre Braas prend 0,99% à 26,12 euros en Bourse de Francfort vers 08h45 GMT alors que l'indice vedette Dax .GDAXI ne gagne que 0,05%.
Source Boursorama par Maria Sheahan; Patrick Vignal pour le service français

Standard Industries Hits Back at Braas Monier Over Bid Price

Standard Industries Inc., the U.S. roofing and waterproofing business, defended its 980 million-euro ($1.1 billion) offer for German supplier Braas Monier Building Group SA, rejecting claims made by the target that its bid is too low.
A letter sent by Braas Monier to its shareholders last week “contains a number of misleading statements and outright falsehoods that we feel obligated to correct,” Standard Industries said in a message to those same investors on Monday. The U.S. company sought to counter claims made by the German firm on Sept. 23, which said the bid of 25 euros a share offers no premium and ignores potential cost savings and comparable deals.
Standard Industries dismissed the first of those claims, saying its offer is 15 percent higher than the share price of 21.74 euros on Sept. 13, the day before the bid price was disclosed. Braas Monier, which is based in Luxembourg but trades in Frankfurt, fell 9 cents to 25.85 euros at 4:02 p.m. Monday, valuing the company’s equity at 1.01 billion euros.
The U.S. firm also disputed figures provided in Braas Monier’s letter that claimed the comparative values paid in similar transactions showed the offer is too low. Standard Industries said its bid values Braas Monier at 9 times earnings before interest, taxes, depreciation and amortization, more than the 8.4 times it paid in April for Danish rooftiles maker Icopal A/S. The German firm said last week that Icopal got a price of 10.5 times.
The suitor also hit out at German firm’s argument that the price ignores cost savings from a combination, saying Braas Monier’s analysis of potential synergies of 30 million euros to 40 million euros are “neither reasonable nor achievable.” The takeover plan is driven by investment, rather than job and cost cuts, it said.
The counter letter, seen by Bloomberg News, is the latest escalation between the two roofing companies. The U.S. firm’s co-heads David Millstone and David Winter view the combination as an opportunity to create “a global leader in the roofing and waterproofing business.” The target’s board, led by Chairman Pierre-Marie De Leener, says the offer came without warning and undervalues the company, which listed in June 2014 at a price of 24 euros a share.
Braas Monier may find it difficult to defend against the takeover because Standard Industries acquired a stake of about 29.1 percent via an investment vehicle in June, and has a commitment from owners, including Apollo Global Management LLC, TowerBrook Capital Partners and York Capital Management, to tender their remaining 10.8 percent. Those investors took over the company in 2009 in a debt restructuring.
In Monday’s letter, Standard Industries also highlighted business challenges faced by Braas Monier, citing last month’s reduction in the German company’s forecast of revenue growth for this year to 1 percent from 3 percent previously.
“By combining with Standard Industries, the company will benefit from geographic, product and end-market diversification, and through our increased scale and commitment to investment in the business and its people, will create more opportunities for all stakeholders,” according to Monday’s letter.
In a response to the letter, Braas said it “does not accept” the assertion that its claims from last week were misleading or falsehoods, adding that the board still unanimously recommends that shareholders reject the offer. Management would give “full consideration” to any takeover or merger proposal which offers “fair and appropriate value.”

Source Bloomberg