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18/05/2020

BMI MONIER OBTIENT LA FDES POUR SES TUILES BÉTON

Souhaitant répondre avec précision aux enjeux environnementaux de ces prochaines années, BMI Monier a entrepris une démarche en partenariat avec le laboratoire CERIB. Les Fiches de Données Environnementale et Sanitaire (FDES) obtenues attestent aujourd’hui de notre faible empreinte carbone des tuiles Béton.

À quoi servent les FDES ?

Destinées aux professionnels de la construction, les FDES constituent la seule base d’informations techniques reconnue en termes d’impacts environnementaux et sanitaires. Elles permettent de répondre à la future RE2020 et d’enrichir l’expérimentation E+C-.

Les FDES prennent en compte l’ensemble du cycle de vie du produit, de l’extraction des matières premières à sa fin de vie, sans oublier les transports, la mise en œuvre et l’usage même du produit. Les FDES constituent ainsi un outil multicritère majeur permettant d’éclairer les professionnels dans leurs choix pour rendre un bâtiment plus durable, avec des impacts limités sur l’environnement tout en créant une ambiance saine pour les futurs utilisateurs.

Tuile Béton Monier, la solution bas carbone pour les toitures en pente.

La FDES Tuile Béton a pour objectif de fournir l’information disponible sur les caractéristiques environnementales et sanitaires d’un mètre carré de tuiles en béton.

Avec une valeur certifiée de 11,6 kg éq de CO2 par m2  la tuile Béton Monier entre dans la catégorie des matériaux de construction bas carbone. Cette valeur, qui prend notamment en compte la fabrication, l’approvisionnement, le transport et le packaging, place la tuile Béton Monier parmi les matériaux les mieux positionnés dans le domaine de la couverture en petits éléments.

Tuile Béton Monier, une production responsable

Made in France sur trois sites régionaux, les tuiles Béton BMI Monier obtiennent leur excellent bilan carbone grâce notamment à :


  • Le phénomène de carbonatation du ciment.

La carbonatation est un phénomène naturel qui se traduit par l’absorption et la transformation de CO2 par la tuile béton durant toute sa durée de vie. Le dioxyde de carbone présent dans l’atmosphère pénètre dans le béton à partir de la surface du matériau et est chimiquement transformé en calcaire.

  • Un process de fabrication intelligent qui favorise pour la cuisson du ciment l’utilisation de déchets industriels.
  • Composée de sable à 75 %, de ciment, d’eau et de pigments minéraux, la tuile Béton nécessite peu de transformation.  :  elle bénéficie d’un process industriel relativement simple avec un étuvage qui dure seulement 7 heures. À noter que les peintures acryliques de finition utilisées pour les teintes ne rejettent pas de (Composés Organiques Volatils) et sèchent par évaporation.
  • Très peu de rebus lors de la fabrication.
  • La tuile béton est 100 % recyclable : en effet les tuiles comme les déchets du béton, peuvent être triées puis concassées pour fabriquer des granulats utilisés ensuite en techniques routières, ce qui évite la production de granulats naturels provenant la plupart du temps d’au-delà de nos frontières.

La Tuile Béton Monier répond aux attentes des Constructeurs, Promoteurs et Elus Locaux


  • Pour les constructeurs de maisons individuelles et promoteurs immobiliers, la tuile Béton BMI Monier constitue une alternative durable et « zéro souci ».
  • Pour les élus locaux, la FDES des tuiles Béton BMI Monier atteste d’un choix en accord avec les demandes du Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire et respectueux des prochains enjeux environnementaux actuels.

17/05/2020

Marcheluzzo Ceramics repense le processus de séchage pour Mladost

Le cône de ventilation innovant de la chambre interne MT80evo, qui a été conçu et développé par le département R&D, a été installé avec succès

Mladost, un important fabricant serbe de briques terre cuite basé à Vlasotince, a contacté Marcheluzzo Ceramics pour lui demander de réduire la consommation d'énergie du séchoir installé il y a environ 30 ans. L'entreprise basée à Vicence a relevé le défi en fournissant un cône de ventilation de chambre interne MT80evo innovant, qui a été conçu et développé par le département R&D et est déjà en service chez le client.

Les producteurs de briques sont bien conscients de l'importance d'une ventilation interne puissante et uniforme pendant la phase de séchage pour le temps de séchage, la qualité du produit et le pourcentage de déchets. Une ventilation non uniforme dans les directions longitudinales ou transversales entraîne un retrait inégal du matériau dans le séchoir. Les pièces exposées à un débit d'air plus élevé ou à des vitesses d'air excessivement élevées auront tendance à se contracter plus rapidement que celles qui sont ombragées, ce qui pourrait entraîner la rupture de la brique. Grâce aux différentes solutions aérodynamiques, le MT80evo assure que l'air est distribué à vitesse constante sur tout le matériau séché, tandis que sa géométrie particulière permet de l'installer près du toit du séchoir. Cela permet d'exploiter pleinement la hauteur de travail interne de la chambre de séchage, qui doit être d'au moins 21 cm du haut afin d'éviter des pertes sévères qui réduiraient l'efficacité aérodynamique et entraîneraient des courants d'air non uniformes.

Marcheluzzo a accordé une attention particulière à la qualité et à la durabilité des moteurs de classe H, surdimensionnés de 30% et adaptés à une utilisation dans des conditions d'humidité et de température extrêmes. Les travaux d'entretien du système de ventilation interne ont été réduits de 80% par rapport aux cônes traditionnels, tandis que l'objectif principal du projet était de réduire la consommation d'énergie. Les cônes MT80evo nouvelle génération ont une puissance installée de 2,2 kW et permettent un retour sur investissement très rapide (normalement un an).

Le système est la solution idéale pour convertir tous les séchoirs à chambre à faible efficacité d'air afin d'atteindre une plus grande productivité, une meilleure qualité et une consommation considérablement réduite.

Source CeramicWorldWeb

16/05/2020

TERREAL DONNE VIE AUX FAÇADES DE L’ÎLOT 4.4 À BÈGLES (33) GRÂCE À SES TUILES RULLY NOIRES ET BLANCHES

Dans le cadre de la construction de l’îlot 4.4, un bâtiment conçu en zig-zags pour conserver les arbres magnifiques qui habitent la parcelle depuis des décennies, TERREAL, acteur majeur de la façade en France, a été choisi par l’agence d’architecture Taillandier pour habiller les façades des 5 bâtiments qui le composent. Ainsi, des Tuiles Rully en coloris noir et blanc ont été posées en bardage, créant un jeu de lumière qui donne vie au bâtiment et fait écho aux pixels d’une image.

Quand nature et volumes s’imbriquent à la perfection

Implanté au sein de l’éco-quartier pensé par la mairie de Bègles, l’îlot 4.4. est un bâtiment de 75 logements sociaux neufs bordé par la Garonne et entouré par la nature. Il se devait donc de tirer le meilleur de son environnement exceptionnel. Sa forme fragmentée permet justement de conserver les vues et d’insérer circulations verticales et grandes loggias.

La terre cuite, choisie comme une évidence pour sa matérialité brute et naturelle, a permis aux architectes d’aller encore plus loin dans le mimétisme avec le paysage. Le noir et blanc étant imposé, ils ont en effet pris le parti de reproduire en façade l’effet de pixellisation que l’on peut observer en regardant le ciel à travers les feuilles à la cime des arbres. Fascinant pour le regard, ce jeu d’ombre et de lumière est soutenu par les tuiles Rully de TERREAL, calepinées en mat et brillant noir sur les façades saillantes, et en blanc sur les façades rentrantes.

Comme le promeneur en sous-bois, le visiteur est saisi par l’aspect changeant de la matière selon l’heure du jour, le temps qu’il fait et même la saison. La matière vit, le bâtiment réagit. Environnement, matérialité, humain… Pour les architectes jusqu’au-boutistes de l’agence Taillandier, c’est à ce prix que l’on obtient une symbiose unique entre la flore et le bâti.

« Chaque fois que l’on peut garder des éléments existants, cela ancre le  projet dans le site beaucoup plus facilement et rapidement » indique Pierre-Louis Taillandier, Taillandier Architectes Associés. « Ici, ce sont des racines au sens propre du terme puisque nous conservons les arbres. Les habitants ont vue sur cette végétation, et je suis persuadé que cela change complètement la perception qu’ils ont du bâtiment qu’ils occupent : c’est comme s’il était là depuis toujours, le vécu du lieu a été respecté. Nous avons soutenu ce projet par l’utilisation de la terre cuite, et notamment de la tuile Rully, qui est une tuile plate dont le format et les traitements possibles nous ont permis l’effet de pixellisation que l’on voulait atteindre. Nous travaillons avec la terre cuite depuis toujours. Nous aimons les continuités de surface et cette matière s’y prête bien. Nous travaillons toujours la matière sous sa forme la plus essentielle. Ici, la terre cuite se marie au métal, qui habille encadrement et escaliers. Pour nous, Terreal est un partenaire de longue date, toujours dans l’innovation et l’accompagnement quand on doit mettre des produits au point. Nous étions confiants quant au résultat ».

TERREAL, l’allié de la créativité des architectes

Les façades des bâtiments constituent pour les architectes un terrain d’expression sur lequel ils peuvent laisser libre cours à leur créativité.

Avec le chantier de l’îlot 4.4 à Bègles, TERREAL a prouvé une nouvelle fois qu’il est un partenaire de choix pour les architectes grâce à sa capacité à réaliser, en totale collaboration, des produits, des coloris et des finitions sur-mesure à partir d’un produit inaltérable et pérenne : la terre cuite.

Ainsi customisés, les produits TERREAL font partie intégrante de l’identité des bâtiments dans lesquels ils sont mis en œuvre.

Pour retrouver en image le processus de fabrication de cette industrie de technique et de passion :

Caractéristiques du chantier de l’îlot 4.4, Bègles – France :


  • Architecte : Taillandier Architectes Associés
  • Maitre d’ouvrage : Adim Nouvelle Aquitaine
  • Poseur : Dupuy Frère
  • Produit : Tuile Rully (coloris noir et blanc)


A propos de TERREAL

Inspiré par plus de 150 ans de savoir-faire dans les matériaux de construction en terre cuite, TERREAL crée des solutions innovantes pour l’enveloppe du bâtiment. A travers 4 activités (couverture, structure, façade et décoration), 24 sites de production dans le monde dont 16 en France, plus de 2209 collaborateurs et 376 millions d’euros de chiffre d’affaires (414 M€ pro forma de l’acquisition de GSE Intégration), TERREAL contribue à l’amélioration de l’habitat en accompagnant ses clients dans la création de projets, porteurs de bien-être pour les hommes et de respect pour l’environnement. En révélant au quotidien toute la beauté de la terre cuite dans chaque réalisation, TERREAL fait rejaillir son énergie au service de ses partenaires et de leur imagination.

Source Presseonline

15/05/2020

BMI MONIER ET BMI ICOPAL: Système d'énergie solaire harmonieusement intégré en toiture

Les énergies renouvelables avec des panneaux solaires et une toiture esthétique et de bon goût ne doivent plus s'exclure mutuellement. Les systèmes photovoltaïques entièrement ou universellement intégrés de BMI Monier combinent durabilité et design dans un ensemble harmonieux. Les systèmes d'énergie solaire remplacent les tuiles et sont ainsi intégrés dans la toiture pour un tout complètement linéaire. Les systèmes s'intègrent dans les couvertures de toiture neuves et existantes.

Énergie respectueuse de l'environnement dans un design saisissant

Les panneaux solaires, avec au moins un onduleur et le câblage nécessaire, forment une installation photovoltaïque ou PV. Selon vos souhaits, les systèmes PV BMI Monier peuvent être entièrement intégrés ou universellement intégrés. Le système PV Monier VI90, un système entièrement intégré, se distingue par sa conception. Le système est traité comme une toiture en forme d'échelle ordinaire, sans imposer d'exigences supplémentaires au toit ou à la construction du toit. Le système Monier InDaX est un système photovoltaïque universellement intégré, qui intègre des modules photovoltaïques cristallins dans les toits avec presque tous les types courants de tuiles, pour un ensemble élégant et moderne.

Résistant à la pluie et aux tempêtes


Le plus grand avantage des deux systèmes PV est qu'ils ne se détachent pas sur le toit. De cette façon, le vent a moins d'adhérence sur votre toit et les dommages lors d'une forte tempête ou d'une averse sont évités. De plus, tous les systèmes PV BMI Monier répondent aux exigences les plus élevées en matière de sécurité incendie, de résistance à la pluie, de montage et de ventilation à l'épreuve des tempêtes. Vous n'avez donc plus à vous soucier des intempéries.

Bon choix pour l'environnement

Un système PV avec des panneaux solaires est un bon choix pour l'environnement. Aucun CO2 n'est libéré lors de la production d'électricité: le soleil sert de source d'énergie inépuisable. Les panneaux solaires ne produisent également aucune pollution sonore, aucun déchet nocif ou émission nocive. De plus, un système photovoltaïque est rentable pendant au moins 25 ans, l'investissement étant amorti entre 7 et 12 ans. L'énergie solaire devient donc de plus en plus un moyen de production d'énergie largement accepté et populaire.

Source Livios

14/05/2020

L’UNICEM propose au gouvernement un panel de mesures pour une relance résiliente de l’activité

L’arrêt des chantiers du BTP a entraîné depuis le début du confinement une baisse considérable d’activité des entreprises adhérentes à l’UNICEM, de l’ordre de 80 %. Cette situation, si elle perdure, va menacer la pérennité de certaines d’entre elles et à moyen terme fera peser un risque sur l’emploi. Dans ce contexte inédit, l’UNICEM, a proposé au gouvernement, il y a quelques jours, des pistes d’action pour garantir la reprise de l’activité au moyen de mesures de court terme. Dans la continuité, l’UNICEM a élaboré des propositions pour un plan de relance de l’activité à moyen et plus long terme.

Aujourd’hui, la fédération insiste sur la nécessité d’assurer une relance cohérente avec les enjeux de transition écologique et l’adaptation des villes et des territoires au changement climatique, tout en accentuant notre résilience et en tirant les enseignements de cette crise, avec une place toujours plus
importante accordée à la responsabilité sociale des entreprises.

L’UNICEM invite le gouvernement à décider la mise en œuvre de mesures fortes et concrètes, parmi
lesquelles :

Réaliser des infrastructures et des aménagements collectifs nécessaires à un développement de l’économie compatible avec le respect de l’environnement et la santé des concitoyens.

La construction et les travaux publics doivent être relancés en suivant deux priorités :

- Un ambitieux programme d’entretien et de rénovation :
o des infrastructures routières structurantes, y compris les ouvrages d’art, des voies navigables et du réseau ferroviaire afin de permettre une augmentation du trafic marchandises ;
o du patrimoine historique bâti, domaine important pour l’industrie française de la pierre ornementale, et la sauvegarde de savoir-faire nationaux.

- Un plan d’investissement massif en faveur :
o de l’extension et la rénovation des infrastructures nécessaires à la réalisation des missions de service public (hôpitaux, EHPAD, établissements scolaires, centres de recherche et cités administratives…) ;
o de l’extension des infrastructures adaptées aux nouvelles mobilités (infrastructures cyclables, transports en commun urbain et interurbain, mobilités électrique ou hydrogène, développement de la mobilité connectée et autonome) ;
o de la modernisation et du développement du parc de logements sociaux ;
o de la construction d’ouvrages qui favorisent la résilience de nos villes face aux inondations et aux vagues de chaleur ;
o du développement des contournements urbains pour améliorer la sécurité des populations et la qualité de l’air dans les villes et villages.

Faire de la commande publique un levier pour encourager la production locale et le mieux-disant.
L’UNICEM souhaite que soit réengagé le débat quant aux règles européennes des marchés publics afin que la commande publique puisse favoriser, lorsque cela est possible, le recours aux produits et
matériaux locaux ou à des entreprises engagées dans une démarche responsable (labels RSE, ISO 14
001, ISO 26 000, labels sectoriels…).

Accélérer le développement de l’économie circulaire.
La filière de recyclage et de valorisation des déchets inertes du bâtiment est une une filière équilibrée
économiquement et performante sur le plan environnemental. Le taux de recyclage de la filière
 épasse les objectifs de la directive européenne : le seuil des 70 % de recyclage et valorisation est
d’ores et déjà atteint. Les déchets recyclables sont recyclés à hauteur de 80 % et ils couvrent 28 % des besoins en granulats pour la construction. L’UNICEM propose d’aller encore plus loin dans la
performance du recyclage en s’appuyant sur ce modèle qui fonctionne. La fédération est prête à contractualiser avec les collectivités et les pouvoirs publics un objectif d’amélioration de la couverture du territoire en points de collecte visant à atteindre en trois ans un taux de recyclage de 95 %. Elle a déjà commencé à agir dans cette direction en signant une convention avec la CAPEB pour accompagner les artisans dans l’amélioration du recyclage des déchets du bâtiment et la lutte contre les dépôts sauvages.

Garantir une fiscalité environnementale réellement favorable à la transition écologique et profitable à tous les territoires.
Les entreprises adhérentes à l’UNICEM sont convaincues de la nécessité d’une fiscalité incitative,
cohérente avec les moyens humains, matériels et financiers dont elles disposent, en faveur de
l’atteinte des objectifs de l’Accord de Paris. Cette fiscalité incitative, ou ayant vocation à susciter une
évolution des pratiques en faveur de l’environnement, doit cependant être soumise à l'existence d'une
alternative à ces dernières.

L’UNICEM propose qu’une part significative des taxes environnementales soit réorientée vers les
territoires qui accueillent leurs activités. Ceci constitue un préalable nécessaire :
o A l’acceptabilité, donc la pérennité, des activités industrielles ;
o Au maintien des budgets de nos communes, donc à leur investissement dans les leviers
humains et infrastructurels sources de valeurs pour l’ensemble de notre pays.
« Avec ce plan pour une relance résiliente, notre ambition est de proposer au gouvernement des
mesures fortes et concrètes qui permettraient au tissu économique de rattraper une partie de l’activité
perdue et d’accélérer la transition écologique et l’adaptation de nos villes et de nos territoires au
changement climatique », conclut Nicolas Vuillier, Président de l’UNICEM.

Source UNICEM

13/05/2020

La région Nouvelle-Aquitaine s'engage aux côtés de Terreal pour la réduction de sa consommation énergétique

TERREAL aborde les grands enjeux du réchauffement climatique et de la protection de l’environnement avec la plus haute exigence.

Pour son site de Roumazières (Charente), Terreal a défini un objectif de réduction de sa consommation énergétique de 10,5%. Cette réduction des consommations d’énergie représente l’équivalent de la consommation énergétique de près de 3 800 logements. Pour y parvenir, Terreral va modifier ses équipements et transférer la production d’une de ses gammes de tuile d’un four à un autre, moins gourmand en énergie.

La Région Nouvelle-Aquitaine s’engage aux cotés de Terreal pour atteindre cet objectif et l'accompagne via une participation financière de 1,3 M€.

Source Terreal

12/05/2020

TÉNORD HUGUENOT D’EDILIANS : LA SEULE TUILE PETIT MOULE CERTIFIÉE NF FAIBLE PENTE

Leader français de la tuile terre cuite, EDILIANS dispose déjà d’une large gamme de tuiles fortement et faiblement galbées aptes à être utilisées sur des couvertures Faible Pente. Aujourd’hui, le spécialiste de l’enveloppe du bâtiment complète son offre et présente la TÉNORD Huguenot, la première tuile petit moule certifiée NF Faible Pente.

L’unique modèle petit moule du marché certifié NF FP

Dernière née de la gamme des tuiles petits moules à relief d’EDILIANS, la TÉNORD Huguenot est une tuile à emboîtement produite dans le site de Wardrecques au cœur de l’Audomarois, dans les Hauts de France.

Caractéristique des toitures de la région Nord, elle est la première et la seule tuile petit moule du marché à bénéficier de la certification NF Faible Pente et s’ajoute aux 12 modèles déjà certifiés d’EDILIANS. Sans aucune modification des pureaux de pose, la TÉNORD Huguenot peut être mise en œuvre jusqu’à 19% de pente ce qui autorise son installation sur des toitures plus plates, un atout pour répondre aux exigences des projets architecturaux plus contemporains.

Une esthétique traditionnelle

Grâce à un procédé de fabrication innovant sur moule en plâtre, la TÉNORD Huguenot offre un aspect de surface parfaitement lisse et une haute qualité de finition. Avec son nez fin, son cornet étroit et ses demi-lunes, son design respecte les codes traditionnels des toitures du Nord.

S’inscrivant résolument dans le patrimoine historique de sa région, la TÉNORD Huguenot se décline dans une palette de 4 teintes brillantes (Flammé Rustique, Rouge, Anthracite, Terre d’Amarante) qui apportent une touche de modernité.

Un jeu double et une pose simple

Aux performances techniques élevées, la tuile TÉNORD Huguenot possède un double jeu de pose inédit de 20 mm longitudinal, au niveau du pureau, et de 4 mm latéral. Cette qualité de conception garantit une flexibilité de pose optimale ainsi qu’une simplicité d’installation en rénovation comme en neuf. En construction, son pureau maximum de 270 mm fait de la TÉNORD Huguenot la plus économique des tuiles du Nord (jusqu’à 18,7 tuiles au m2).

Dotée d’un système de double emboîtement et recouvrement au service d’une étanchéité irréprochable, la tuile TÉNORD Huguenot peut être associée aux autres solutions pour la toiture et l’éco-habitat d’EDILIANS, telles que les accessoires (rive, plain plan, faîtage) et les écrans de sous-toiture.

Source Batipresse

11/05/2020

Les entreprises du secteur de la terre cuite relancent leur production

En amont des chantiers, le secteur des tuiles et briques reprend lui aussi sa production de manière progressive. Un guide de bonnes pratiques a également vu le jour pour accompagner les entreprises dans l'après-confinement.

Au moment où les guides de bonnes pratiques se multiplient, du BTP jusqu'aux industriels du béton et des granulats, la filière terre cuite reprend elle aussi son activité. En amont des chantiers, la production de matériaux repart progressivement, bien que la Fédération française des tuiles et briques (FFTB) affirme que les stocks constitués avant la mise en place du confinement ont permis de répondre à la demande croissante des négoces et à la reprise timide des chantiers. La plupart des lignes de production avaient malgré tout été progressivement arrêtées à partir du 17 mars dernier, et n'ont redémarré que depuis le 2 avril. D'après les chiffres de la profession pour la semaine du 27 avril 2020, le niveau des livraisons atteint 65% de son niveau de la même période en 2019.


En parallèle et conformément à ce qui se pratique dorénavant dans un grand nombre de secteurs d'activité, un guide de mesures de sécurité sanitaire a donc été édité par la FFTB pour accompagner les entreprises de la filière dans l'après-confinement. Le document a été élaboré avec les syndicats, co-signé par la CFDT, et propose donc des mesures spécifiques aux métiers de la terre cuite en fonction des postes de travail et des environnements. Il a été validé le 26 avril par le directeur général du Travail, Yves Struillou.

Source Batiactu

La filière terre cuite reprend ses chantiers

Après la parution d’un guide de bonnes pratiques pour assurer la reprise de la production des tuiles et briques, la filière terre cuite accompagne la reprise progressive des chantiers.

La production repart progressivement, les stocks ayant toujours permis de répondre à la demande, signale la FFTB, la Fédération Française des Tuiles et Briques.

Après l’arrêt progressif de la majorité des lignes de production à partir du 17 mars, les stocks constitués avant le confinement ont permis de répondre à la demande croissante des négoces et à la reprise progressive des chantiers.

Pour la semaine 18 (semaine du 27 avril), les livraisons s’établissent ainsi à environ 65% de leur niveau de la même période en 2019. Les lignes de production redémarrent progressivement venant ainsi réapprovisionner les stocks existants.

Un guide de bonnes pratiques pour la filière terre cuite

Par ailleurs, un guide édité par la FFTB (Fédération Française des Tuiles et Briques) accompagne les acteurs de la filière dans la mise en place de bonnes pratiques dans le contexte Covid-19.

Elaboré conjointement avec les organisations syndicales représentatives et co-signé par la CFDT, ce Guide de Bonnes Pratiques édité par la FFTB est destiné à ses adhérents. Il vise à assurer la santé et la sécurité des salariés dans le contexte de l’épidémie de Coronavirus (Covid-19) en tenant compte des particularités des environnements, des métiers, des postes de travail et des organisations de travail de la filière.

Validé le 26 avril 2020 par le Directeur Général du Travail au Ministère du Travail, le guide est disponible sur demande auprès de la FFTB.

Source : batirama.com

10/05/2020

Pérou: Ladrillos Lark va doubler sa capacité de production

La société péruvienne Ladrillos Lark prévoit de doubler la capacité de ses installations de Chiclayo. Les travaux devraient commencer en 2021.

La société péruvienne Ladrillos Lark a entamé une étude de faisabilité sur son projet de doubler la capacité de ses installations à Chiclayo, une ville côtière située dans la région de Lambayeque au nord du Pérou.

L'investissement, initialement de 8 millions de dollars excluant l'achat du site, reflète la croissance de la demande locale de matériaux de construction, en particulier de briques. Les travaux devraient débuter en 2021 et s'achever en 2022. La décision a été prise en raison de l'insuffisance de la structure existante, qui fonctionne à 107% de sa capacité.

L'investissement est au cœur des stratégies d'entreprise de Ladrillos Lark, qui a investi 10 millions de dollars dans les nouvelles technologies en 2019.

L'entreprise produit 1500 tonnes de briques par jour dans son usine de Lima et 400 tonnes par jour à Lambayeque (+ 8% au premier semestre 2019) et détient 22% du marché domestique.

Source CeramicWoldWeb

09/05/2020

Afrique du Sud: Keller livre une installation automatique de dépilage et palettisation à Corobrik

Avec ses racines remontant à 1902, Corobrik est devenu le leader du marché Surd Africain, surtout en raison de son standard de qualité élevé. Cette norme de qualité n'est pas seulement réalisée par des employés hautement qualifiés, mais bien sûr aussi par la qualité des installations de production.

Ici, KELLER a pu une nouvelle fois prouver la qualité de ses usines sur le plus grand site de production avec 90 millions de briques équivalent standard. Il convient également de mentionner que le site a déjà été créé par KELLER au début des années 1980.

Le système de déchargement entièrement automatique commence par le déchargement des paquets de la cabine du four. Les packs sont ensuite désempilés en couches par des robots industriels et divisés en rangées individuelles.
Après un tri manuel, les briques sont formées en emballages sans palettes et sont cerclées verticalement et horizontalement.

Cet important projet pour Corobrik et KELLER, combiné à la coopération professionnelle de tous les partenaires, a été un succès total. Non seulement la capacité requise de l'usine pourrait être bien atteinte, mais la qualité des colis d'expédition pourrait également être améliorée, ce qui a un effet positif, en particulier sur les longs trajets jusqu'au client final.

Source Keller

08/05/2020

Le toit solaire : plus de pouvoir d’achat et moins d’impact sur l’environnement grâce à l’énergie du soleil

Chez TERREAL, le solaire est utilisé pour vous permettre de produire de l’énergie sur le toit de vos maisons.

Avec le programme « Demain, Tous Solaire », TERREAL s'engage dans les grandes mutations du bâtiment pour construire ensemble l’habitat du futur à travers des solutions de toiture intelligente.

Gagnez en pouvoir d’achat tout en faisant un geste vertueux pour la planète. les solutions TERREAL
s'adaptent à vos envies et à votre maison (ensoleillement, surface, configuration...).

Découvrez l'offre Indépendance à travers cette vidéo.

Source TERREAL

07/05/2020

UK: Forterra investit 114 millions d'euros dans la nouvelle usine de Desford

La construction de la nouvelle usine appartenant à Forterra, premier producteur britannique de produits de maçonnerie, avance à plein régime.

L'investissement de 95 millions de livres sterling (près de 114 millions d'euros) transformera les installations de la société à Desford, dans le Leicestershire en ce que les propriétaires estiment être la plus grande et la plus efficace briqueterie d'Europe. L'usine existante continuera de fonctionner jusqu'à ce que la nouvelle usine démarre en 2022. Le projet doublera la capacité de production des 85 millions de briques actuelles / an à 180 millions de briques par an, suffisamment pour construire 24 000 maisons familiales de taille moyenne.

La nouvelle usine de Desford sera un modèle d’efficacité de production, de production et de durabilité avec des processus automatisés de pointe qui minimiseront l’impact environnemental de l’usine. Cet investissement portera la capacité totale de Forterra en 2022 à 700 millions de briques / an (+ 16%). L'histoire de Forterra plc remonte aux années 1960, lorsqu'elle opérait en tant que division des produits de construction de Hanson au Royaume-Uni, qui a été vendue en 2007 à HeidelbergCement Group et finalement acquise en 2015 par Lone Star Funds qui a rebaptisé la société sous le nom de Forterra.

En avril 2016, la société a été admise à la Bourse de Londres en tant que société cotée indépendante. Forterra, qui emploie plus de 1900 personnes dans 18 usines, a clôturé l'exercice 2019 avec un chiffre d'affaires en hausse de 3,4% à 380 millions de livres sterling, l'Ebitda à 82,7 millions (+ 4,9%) et un résultat d'exploitation en baisse de 3,1% à 65 millions de livres sterling.

Source CeramicWorldWeb

06/05/2020

Belgique: Le secteur de la construction grogne: "Nous sommes punis deux fois"

Crise du coronavirus et indice des prix des matériaux de construction: le secteur, par la voix de la Confédération Construction, se plaint mercredi d'être "puni deux fois".
L'indice I des prix des matériaux de construction, publié mardi, a baissé de 2,4% entre février et mars 2020. Entre octobre 2018 et février 2020, ce même indice avait diminué de 7%. Selon les calculs de la Confédération Construction, l'indice I a baissé de 10,4% entre octobre 2018 et février 2020, alors que les entreprises ressentent, elles, une hausse des prix des matériaux. "Concrètement: pour les chantiers pour lesquels une offre a été soumise en octobre 2018, la révision d'aujourd'hui est calculée sur la base d'une baisse de 10% de l'indice des prix des matériaux de construction, malgré le fait que le coût des matériaux effectivement achetés par les entrepreneurs ait augmenté de quelques pour cent depuis lors. Il est clair que les entreprises ne pourront alors plus couvrir leurs frais", regrette la Confédération Construction, qui parle de situation "inacceptable" vu le contexte.

La différence entre l'évolution de l'indice et celle des coûts des entreprises est liée à la composition de l'indice des prix des matériaux de construction, selon l'organisation sectorielle. En Belgique, ces prix sont basés sur les matériaux bruts (le bois par exemple), alors que les entreprises achètent aujourd'hui bien plus de produits transformés (comme des fenêtres), précise-t-on. La Confédération Construction demande que des "mesures d'urgence" soient prises afin d'empêcher que la situation ne s'aggrave dans les prochains mois.

Source DHNet

05/05/2020

TERREAL: Découvrez le nouveau rapport RSE (Responsabilité Sociétale de l’Entreprise) 2019 !

Chez TERREAL, la RSE s’intègre aujourd’hui dans le plan stratégique de croissance rentable et durable. La démarche RSE vise à définir des engagements concrets, datés et chiffrés pour pérenniser les activités de TERREAL. Cette volonté implique de mettre en œuvre tous les moyens nécessaires pour maîtriser les impacts environnementaux, accompagner les territoires, développer des relations et des conditions de travail responsables et proposer des offres innovantes, durables et responsables.

Ce rapport a vocation à expliciter, de manière concise, la pertinence des réalisations obtenues en 2019 en vue d’atteindre nos objectifs fixés pour 2021, des succès mais aussi de certaines difficultés, dans un contexte de profondes mutations environnementales, économiques, industrielles et sociétales.

Le titre de ce rapport, de la Terre au Soleil, n’est pas un hasard. Tout en restant ancré dans les traditions liées à la terre cuite, TERREAL a pris un tournant majeur avec un développement fort du solaire pour affirmer son engagement dans la transition énergétique et la lutte contre le réchauffement climatique.


Pour lire le Rapport RSE 2019 de TERREAL, cliquez ici.

Source TERREAL

04/05/2020

"Nous avons réactivé un numéro vert de soutien psychologique", Fréderic Didier, DGA, Wienerberger

Le spécialiste de la terre cuite, Wienerberger, dont le siège social France est basé dans le Grand Est, une région fortement touchée par l'épidémie de Covid-19, reprend progressivement son activité. Son directeur général adjoint, Frédéric Didier, nous en dit plus.

Le Grand Est est une région qui a été fortement touchée par l'épidémie, et aussi l'une des premières à avoir subi la crise. Vous disposez de 3 usines et votre siège social français est implanté à Achenheim (67). Comment avez-vous appréhendé la situation ?
Frédéric Didier : En effet, nous avons été touchés très tôt puisque plus de 350 de nos collaborateurs se trouvent dans le Bas-Rhin, soit 1/3 de notre effectif en France. Nous avons forcément vu des répercussions sur nos équipes, mais fort heureusement, nous n'avons pas enregistré d'hospitalisation.


Etant un groupe international, nous avons pu bénéficier des retours de la filiale Wienerberger basée en Italie, pays impacté 15 jours avant la France. Nous avons anticipé des mesures avant même l'annonce du confinement et pu faire appliquer les gestes barrière rapidement. A titre d'exemple, nous avons mis en place avant le 17 mars des procédures pour limiter les contacts entre caristes et transporteurs.

Comment avez-vous réagi par la suite ?
Frédéric Didier : Si nos services client et logistique ont été maintenus, le 20 mars, suite à l'arrêt des chantiers et des négoces, nous avons interrompu progressivement nos installations pour mettre en sécurité nos collaborateurs. Nous avons mis en place également le télétravail pour les collaborateurs nomades et sédentaires. Notre priorité : c'est la santé !
En parallèle, nous avons lancé une cellule de crise début mars pour gérer la situation et ajuster nos prises de décision au jour le jour, tenir nos salariés informés, et dialoguer avec les représentants du personnel. Nous avons aussi réactivé un numéro vert de soutien psychologique. Même s'il n'y a pas de sursaut d'usage, la cellule psychologique permet à ceux qui le souhaitent de s'exprimer.

Où en êtes-vous actuellement ?

Frédéric Didier : Depuis le 20 avril, nous reprenons progressivement notre activité, avec le respect des distanciations sociales, l'usage des EPI. Actuellement, plus de 50% des unités de production sont en fonctionnement, soit 4 sites. Les fours redémarrent dans les respects des consignes sécurité afin d'être prêt pour le 11 mai. Environ 40% de collaborateurs sont sur site et cela devrait monter en puissance dans les jours à venir.

Sur le volet économique, comment affrontez-vous la crise ?
Frédéric Didier : Si nous avons préservé les opérations de maintenance, nous avons revu nos projets d'investissement. Nous avons gelé ou reporté les investissements sur les processus industriels non majeurs. Nous appliquons une gestion stricte de l'investissement et de la dépense. En revanche, nous devrions poursuivre nos développements digitaux, notamment ceux concernant la supply chain et les services au client. Le digital reste un vecteur de croissance.

Quel regard portez-vous sur la crise ? En quoi peut-elle changer l'approche industrielle ?
Frédéric Didier : Il est fort probable que la crise crée des modifications en matière de communication. Nous allons interroger nos collaborateurs afin de réaliser un retour d'expérience et voir comment avancer par la suite. Une chose est sûre, nous ne freinerons pas nos objectifs bas carbone. Nous allons continuer à travailler sur la réduction des énergies fossiles et les process de réduction d'émissions de CO2, de récupération d'énergie etc. ou encore sur l'apport des matériaux géosourcés ou biossourcés.

Source Batiactu propos recueillis par Céline Galoffre

03/05/2020

Leier rachète Siceram

Le groupe autrichien Leier se développe en Roumanie avec l'acquisition d'un autre fabricant de briques

Suite à l'acquisition du fabricant de briques roumain Brikston Construction Solutions (anciennement Ceramica Iasi) en décembre 2018, le groupe autrichien Leier s'est encore étendu en Roumanie avec l'achat de Siceram (Sighișoara), une autre société opérant dans le secteur de l'argile lourde (briques, toiture tuiles et autres matériaux de construction).

Grâce à un accord signé en octobre 2019 avec le fonds d'investissement CEECAT Capital, Leier a acquis une société historique privatisée en 1995 et a réalisé un chiffre d'affaires de 18,3 millions d'euros en 2018. Présent en Roumanie depuis 2004, le groupe autrichien a consolidé un chiffre d'affaires de plus de 200 millions d'euros et exploite 40 unités de fabrication dans sept pays: Autriche, Hongrie, Pologne, Slovaquie, Roumanie, Croatie et Ukraine.

Source CeramicWorldWeb

02/05/2020

Planelles de plancher en terre cuite supeRmax

Avec sa nouvelle planelle supeRmax, bio’bric offre LA solution la plus performante du marché pour les planelles de plancher en terre cuite grâce à sa résistance thermique de 1,70 m².K/W.

Les renforcements successifs de la réglementation thermique et la nécessité de relever les défis climatiques conduisent à la construction de bâtiments toujours plus économes en énergie.
Pour booster la performance thermique du bâti, la correction des ponts thermiques est désormais LE véritable enjeu. La planelle supeRmax, avec une résistance thermique de 1,70 m².K/W, propose la meilleure performance thermique du marché.

Domaine d’utilisation
•    Réalisation des abouts de planchers intermédiaires de planchers hourdis et béton plein (épaisseur 20 et 25 cm).
•    Maisons individuelles, bâtiments collectifs et non résidentiels.
•    La planelle supeRmax s’utilise avec les briques de 20 et 25 cm en zones non sismiques ou avec la bgv’S25 en zones sismiques.

La planelle supeRmax vient compléter la gamme existante de 4 planelles bio’bric (planelles 2A et 3A, planelles Rmax et Rmax+), pour traiter efficacement les ponts thermiques en about de plancher tout en préservant l’homogénéité de la façade 100 % terre cuite : homogénéité du support assurée pour les enduits extérieurs.

+ ÉCONOMIQUE
•    Réduction des ponts thermiques au droit des planchers intermédiaires.
•    Évite le recours aux rupteurs thermiques additionnels.

+ SIMPLE
•    Mise en œuvre aisée : pose joint mince ou joint traditionnel.
•    Compatible avec différents types de planchers grâce à 2 hauteurs disponibles : 20 et 25 cm.

+ THERMIQUE POUR LE LOGEMENT COLLECTIF
Combinée à la brique de 20 cm la plus isolante de la gamme bio’bric, la bgv’costo th+ (R = 1,5 m2.K/W), elle offre ainsi LA solution d’excellence pour la construction de bâtiment à étages :
Ψ L9 = 0,26 W/m².K en plancher béton.

+ CONFORME
•    Épaisseur conforme au DTU 20.1.
•    Mise en œuvre couverte par l’avis technique 16/16-747 pour la continuité d’isolation.

Source Batiweb

01/05/2020

Une nouvelle tuile résistante aux intempéries signée Erlus

L’entreprise Erlus développe sa gamme de tuiles pour répondre à toutes les configurations et s’adapter aux intempéries. Parmi les prochains modèles figure la Level RS. Sa particularité est d’être résistante au vent. Elle sera disponible à l’automne 2020.


Un triple emboîtement pour une plus grande résistance
Face à l’évolution des conditions climatiques, les fabricants s’adaptent. Cela concerne notamment le secteur de la couverture avec l’amélioration des tuiles. Celles-ci se font aujourd’hui plus résistantes. Erlus développe ses nouvelles gammes en ce sens. C’est le cas avec son produit Level RS. Celui-ci a été conçu pour convenir aux faibles pentes de toits, de 10° ou 16°.

Level RS dispose d’un triple emboîtement latéral et de tête. Ce choix assure la bonne évacuation de l’eau lors d’importantes intempéries, sans risque d’infiltration. Ainsi, les éléments de sous-couverture restent secs pour garantir la durabilité du bâti.

Un crantage supplémentaire pour éviter les soulèvements au vent
Cette nouvelle tuile dispose, en plus du triple emboîtement, d’un crantage sur le bas de sa surface. Celui-ci a pour effet de maintenir parfaitement en place la tuile, y compris en présence de vent violent, sans nécessiter la mise en place de crochets de pannetonnage. La tuile Level RS devrait être disponible à l’automne 2020.

D’autres produits sont également annoncés par Erlus. Cela concerne, entre autres, la commercialisation d’un extracteur d’air en aluminium et d’une tuile teintée dans la masse. Cette particularité permet de masquer les découpes, pour une plus grande esthétique.

Source ETI construction

30/04/2020

Quelle solution solaire choisir pour sa toiture en 2020 ?

L’Alpha Solaire, la première tuile du marché français à allier le savoir-faire de la terre cuite d’EDILIANS à la technologie photovoltaïque. C’est l’accord parfait entre la qualité de l’argile de St Foy, l’esthétisme des toitures modernes et la performance énergétique !

Quels sont les avantages de l’Alpha solaire ?

-Un véritable gain de temps  et de rentabilité pour les professionnels de la toiture

-Une simplicité de pose : forme et caractéristiques de mise en œuvre identiques à l’ALPHA 10 Ste-Foy

-Un esthétisme inégalé : intégration parfaite et discrète

-Une étanchéité irréprochable : propriétés inhérentes à la terre cuite

-Une performance énergétique à haut rendement avec une autoconsommation solaire immédiate

-Une solution évolutive dans le temps : la tuile Alpha Solaire s’adapte à une toiture existante en toute facilité

-La longévité et la fiabilité d’un matériau durable garanti 30 ans

-La solution proposée par l’Alpha Solaire répond aux exigences de la RT 2012 d’aujourd’hui ainsi qu’à celles de la RT 2020 de demain.

-La réglementation thermique imposant une réduction de la consommation énergique de plus en plus importante dans les constructions neuves, la tuile terre cuite solaire d’EDILIANS a été pensée pour les artisans couvreurs qui souhaitent se tourner vers un marché porteur.


Dans cette dynamique d’évolution, EDILIANS va encore plus loin ! L’offre solaire s’élargie avec l’arrivée de nouvelles solutions  2020 :

-Un nouveau coloris : la tuile solaire rouge pour s’adapter aux identités régionales.

-2 nouveaux modèles : la HP Solaire et la Rhôna Solaire pour s’accommoder à d’autres toitures.


Source : batirama.com

29/04/2020

La future consommation de matériaux étudiée par l’Ademe

L’Ademe s’est intéressée pour la première fois à la question des besoins en matériaux pour les prochaines décennies, plus précisément jusqu’en 2050. L’occasion de voir l’évolution des consommations et donner, dans le même temps, des indications précieuses aux fabricants, mais aussi aux professionnels du recyclage en lien avec la gestion des déchets produits.


Une consommation en baisse
C’est une première à laquelle s’est livrée il y a quelques semaines l’Ademe. L’organisme a effectué une projection des besoins en matériaux de construction pour les futures décennies. L’exercice de prospective est particulièrement intéressant, permettant de visualiser les filières à entretenir au cours des prochaines années, même si seul le temps pourra définir concrètement la réalité de cette évolution.

L’année de référence choisie est 2015, avec une consommation annuelle de matériaux établie à 51 millions de tonnes. D’ici 2050, l’étude fait apparaître une baisse des besoins, notamment en raison du ralentissement attendu des constructions de logements neufs. Cette diminution est envisagée entre – 5 et – 7 % d’ici 2035 et entre – 36 et – 39 % en 2050.

Le secteur résidentiel en tête des besoins de matériaux
Le secteur résidentiel reste le plus gros consommateur. D’ici 30 ans, il devrait absorber plus de 1,3 milliard de tonnes de matériaux, composés à 85 % de granulats, sable et ciment. À l’inverse, les travaux de rénovation se révèlent beaucoup moins consommateurs avec un rapport de 1 à 17 par rapport à la construction neuve.

Selon les chiffres publiés par l’Ademe, la rénovation en BBC de l’intégralité du parc de logements existants d’ici 2050 devrait aboutir à la consommation de 17 millions de tonnes d’isolants. Ces dépenses devraient être utilisées à 80 % pour les maisons individuelles.

Voir les rapports sur le site ADEME

Source ETI Construction

28/04/2020

Sublimez votre toiture avec la tuile plate ELIXIR

Pour aider les architectes et maîtres d’œuvre à rester fidèles aux aspects des toitures des demeures d’exception et donner du caractère à leurs réalisations, EDILIANS propose une tuile plate avec des longueurs légèrement différentes (pureau brouillé) qui rappelle l’irrégularité́ des toitures anciennes.

La tuile plate ELIXIR, la quintessence pour une toiture intemporelle

Conçue dans la continuité́ de ses tuiles emblématiques telles que la Restauration 16×27, la tuile PLATE ELIXIR d’EDILIANS puise sa qualité́ dans les argiles réputées de Grossouvre. Avec son format adapté et la déstructuration irrégulière de sa surface, elle est idéale pour restaurer les plus beaux châteaux et patrimoines culturels. Ses effets grattés, rappellent les tuiles patinées par le temps.

Son coloris Sépia est un mélange de 5 teintes chamarrées qui passe du jaune pâle au rouge/brun plus ou moins foncé. Ce large spectre permet d’adapter les nuances à chaque projet et répond aux exigences esthétiques des maisons de caractère et monuments historiques de la région du Centre de la France.

Source Batijournal

27/04/2020

En Alsace, une réalisation moderne dans le respect des traditions architecturales


Le cabinet d’architecture IDEAA s’est lancé dans le projet de construction de cette maison individuelle avec l’idée de mêler identité régionale et design contemporain Pour se faire, les recherches ont abouti à la sélection de la tuile Koramic Vauban droite pour la toiture et la façade.

Respect de l’environnement et des traditions
Installée aux pieds des collines vosgiennes, face à la Forêt Noire allemande, la maison individuelle de Wettolsheim se distingue par son architecture contemporaine A flanc de colline, la maison devait, néanmoins, s’intégrer harmonieusement dans son environnement naturel et à l’architecture locale La réglementation régionale impose en effet une toiture, à deux pans, inclinée entre 45 et 55 et de couleur terre cuite.

Tuile de proximité
Le cabinet d’architecture IDEAA a très souvent prescrit la tuile Vauban en demi rond ou à bord droit pour faire respecter les exigences traditionnelles sur les différentes maisons individuelles alsaciennes.
Pour affirmer les lignes contemporaines de ce nouvel ouvrage d’exception, les architectes ont sélectionné le format carré de la tuile.
Utilisée en toiture et en façade, elle donne tout son sens au mariage de la tradition et de la modernité, en offrant une continuité esthétique à l’ensemble de la réalisation.


En outre, comme le précise Sandro de Pin, l’architecte du projet « En sélectionnant cette tuile, nous adaptons un comportement écoresponsable avec un produit local et de proximité Son utilisation pour le toit et le bardage a également permis de limiter le nombre de matériaux sur les façades et garantir sa pérennité sans entretien avec la terre cuite »

Ouverture sur la nature
À l’approche, le bâtiment présente une peau rouge impénétrable mais une fois à l’intérieur, la maison s’ouvre progressivement pour révéler une vue imprenable sur la plaine, les collines voisines et jusqu’à la Forêt Noire.
Sa forme particulière et ses pignons totalement vitrés, créent de beaux volumes intérieurs tout en laissant pénétrer la lumière.

Sandro de Pin explique « Les espaces de vie sont très ouverts il n’existe plus de limites franches entre le jardin et l’intérieur, renforçant ainsi le sentiment de dilatation des espaces vers le jardin qui a été conçu en même temps et dans le même esprit que la maison ».

Source Batiweb

26/04/2020

Patrimoine du Trégor-Goëlo : pourquoi ces tuiles rouges sur certains toits ?

Dans le paysage d'ardoise bleue, certaines bâtisses du nord-Bretagne sont étonnamment couvertes de tuiles rouges,parfois à l'effigie de la reine Victoria. Quelle est leur origine ?

Le promeneur attentif, arpentant les routes du Trégor, de Paimpol à Morlaix, aura-t-il remarqué les îlots de tuiles rouges dans un paysage d’ardoises bleues ?

L’association Océanide, dont la mission est de recenser et valoriser le patrimoine maritime du Pays de Tréguier, s’est intéressée de très près aux tuiles rouges en Trégor-Goëlo.

Michel Le Hénaff et André le Person, férus du patrimoine local, apportent des éléments de réponse :

« Cette singularité architecturale doit son origine aux relations maritimes étroites réalisées par cabotage à voile, entre la côte nord de Bretagne et le sud-ouest de l’Angleterre »

Depuis l’Angleterre
L’examen des tuiles les plus anciennes montre qu’elles proviennent de Bridgewater, un petit port situé non loin de Bristol et Cardiff, où depuis 1830, quatre usines fabriquent les fameuses tuiles rouges, de modèle double romaines.

Une région bien connue des capitaines bretons puisque c’est vers ce comté du Somerset que leurs voiliers se rendaient régulièrement chargés de poteaux de mines (issus entre autres de la forêt de Penhoat-Lancerf) pour revenir les cales remplies du charbon gallois, distribuées surtout depuis le port de Tréguier.

« Si cet échange de fret outre-Manche assure un débouché rentable et régulier l’hiver, il en va autrement aux beaux jours. Et puisque l’exportation de légumes bretons (pommes de terre, artichauts, choux-fleurs, oignons…) s’avère des plus lucratives, certains capitaines ont alors l’idée de ramener des tuiles rouges de Bridgewater ».

Pour lester le bateau
Les capitaines trouvent rapidement plusieurs avantages à ce commerce :

« Outre le fait de servir de lest, les tuiles salissent moins le bateau que le charbon, leur prix est intéressant et leur manipulation plutôt aisée en raison de leur solidité. »

À la place du chaume

Sans compter qu’à la différence du Finistère et du Morbihan, l’habitat rural dans notre département n’était pas tenu d’utiliser l’ardoise.

La tuile rouge, moins chère que la pierre bleue, permettait de remplacer avantageusement le chaume amené à se dégrader rapidement sous notre climat.

Les nombreux incendies dus aux bougies ou lampes à pétrole incitaient d’ailleurs les assureurs à préconiser la tuile, sans compter les raisons d’ordre hygiénique.

Tuiles mécaniques
Et même si la charpente dédiée à les recevoir, le plus souvent sur un penty (petite maison), devait être renforcée, ce matériau rencontra un joli succès jusqu’aux années 20.

Date vers laquelle les tuiles galloises furent peu à peu concurrencées par la tuile à emboîtement, fabriquée en France, dite aussi « tuile mécanique » car fabriquée en grandes séries à l’aide d’une presse. Des tuiles plus légères, plus faciles à poser et de ce fait, plus économiques.

Et si sur notre territoire l’ardoise grise ou bleue, autrefois du pays, aujourd’hui d’Anjou ou d’Espagne, règne en maître sur les charpentes bretonnes, quelques toits rouges de-ci de-là, demeurent encore, comme un clin d’œil à cette époque du cabotage à la voile.

Réputation mondiale
La tuile anglaise du Sommerset produite par Symons & Co est très reconnaissable : faite dans des moules en bois, elle est ondulée en double romaine de 4 kg, sans agrafe ni rebord.
À Bridgwater, l’argile alluviale est utilisée depuis le Moyen-Âge pour fabriquer des tuiles.
Au milieu du XIXe siècle, quatre usines tournent à plein régime. Les fours de cuisson, qui peuvent en contenir 5 000 à la fois, sont alimentés par le charbon des mines proches du Pays de Galles. Ces tuiles ondulées, faites à la main avec un moule en bois, obtiennent une réputation mondiale.
En 1867, Symons & Co gagne une médaille d’or à l’Exposition universelle de Paris. La firme obtient alors le droit de graver le portrait de Napoléon III sur chaque tuile (ce qui laissa croire à tort, à une production française)
D’autres productions de Bridgewater, de chez Brown & Co, encore plus rares, estampillées du sceau de la reine Victoria, peut encore se retrouver sur l’une de nos toitures locales, comme sur cette grange en bordure du Jaudy à Trédarzec.
Aujourd’hui, sur les rives de la rivière Parret, dans la ville de Bridgwater, en Angleterre, les usines ont depuis longtemps fermé leurs portes. Seul le Musée de la brique et de l’industrie du Somerset évoque cette industrie passée.

Source Actu par David Kerhervé

25/04/2020

Wienerberger: Claudia Hajdinyak prend la direction de la communication

Claudia Hajdinyak a pris la direction de la communication du groupe Wienerberger le 1er avril 2020. Dans sa fonction de responsable de la communication d'entreprise, elle est responsable de toutes les communications internes et externes mondiales du fournisseur de solutions de construction et d'infrastructure et, dans sa nouvelle fonction, rend directement compte à Heimo Scheuch, PDG de Wienerberger AG. Hajdinyak succède à Barbara Grohs, qui a quitté l'entreprise fin mars à sa propre demande et d'un commun accord et continue d'assister le conseil d'administration de Wienerberger AG en tant que consultant.

"Notre objectif est de faire progresser l'apparence communicative de Wienerberger AG. Claudia Hajdinyak possède de nombreuses années d'expérience professionnelle, tant en communication interne qu'externe, et guidera et façonnera considérablement ces processus", a déclaré le PDG Heimo Scheuch. "Je tiens à remercier Barbara Grohs, qui a quitté l'entreprise à sa propre demande, pour son engagement et son travail précieux, et je suis heureux que nous ayons pu gagner avec Mme Hajdinyak une experte en communication expérimentée et performante pour Wienerberger AG. . "

Claudia Hajdinyak fait partie de Wienerberger Group Communication depuis octobre 2019. Elle possède de nombreuses années d'expérience professionnelle réussie et a été responsable de nombreux postes de direction dans le secteur des communications dans diverses industries. Avant de rejoindre Wienerberger, Claudia Hajdinyak était responsable de la communication d'entreprise, responsable de la communication interne globale et externe du groupe Erber.

Source Leadersnet

24/04/2020

Afrique du Sud/ Corobrik va démarrer une nouvelle ligne de production à Driefontein en 2020

Corobrik, premier fabricant de briques en Afrique du Sud, doublera la production de l'usine de Driefontein, atteignant 100 000 pièces / an

Il y a environ deux ans, Corobrik, premier fabricant de briques en Afrique du Sud, a lancé un important programme d'investissement de 5 ans pour développer ses activités et développer de nouveaux marchés.

S'exprimant lors de la conférence sud-africaine sur l'investissement qui s'est tenue à Johannesburg début novembre 2019, le directeur général de Corobrik, Dirk Meyer, a déclaré que la part du lion des 1 milliard de rands alloués en 2017/8 irait vers un méga investissement de 800 millions de rands (50,4 millions d'euros) dans une briqueterie qui sera construite aux côtés de l’usine Driefontein de Gauteng.

Devant être opérationnelle à partir de novembre 2020, l'usine sera la plus grande et la plus respectueuse usine de briques de parement en Afrique. La nouvelle installation zéro déchet de Driefontein produira environ 100 millions de briques par an - soit le double de celle qui existe actuellement - en utilisant des fours économes en énergie entièrement automatisés. En conséquence, la nouvelle usine n'utilisera qu'un tiers de l'énergie actuellement utilisée par son prédécesseur, qui sera fermée et démolie une fois que la nouvelle installation sera pleinement opérationnelle.

De plus, l'usine générera 20% de ses besoins en électricité à partir de ressources renouvelables. Le projet permettra à Corobrik d'élargir sa gamme de produits avec des briques de façade de haute qualité dans différentes tailles, formats et couleurs, permettant à l'entreprise de suivre le rythme des nouvelles tendances de construction et des styles architecturaux. En termes de technologie, la nouvelle installation de Driefontein suivra les traces de l'installation de Rietvlei, où en janvier 2019 Corobrick a commandé une mise à niveau de 65 millions de rands qui comprenait l'installation de conditionnement qui mélange automatiquement les briques hors ligne et les conditionne de manière pratique. Un total de 1 000 emplois ont été créés lors de la construction des installations de Driefontein et 60 autres postes permanents seront créés au fur et à mesure de la mise en service de l'usine.

Les 200 millions restants seront dépensés pour la construction d'une deuxième usine de fabrication dans la province du KwaZulu-Natal au nord de Durban. Corobrik produit actuellement environ un milliard de briques faciales / an. En plus de desservir le marché intérieur, le groupe exporte également vers les États-Unis, Singapour, Taïwan, la Corée du Sud, le Japon, les États du Golfe et d'autres pays africains.

Source CeramicWorldWeb

23/04/2020

Aero Top 30 d’Edilians, un écran de sous-toiture garanti 30 ans

Le fabricant spécialiste des tuiles terre cuite propose un nouvel écran de sous-toiture, Aero Top 30, garanti 30 ans en association avec ses produits.

L’écran souple de sous-toiture Aero Top 30 se compose d’une membrane support en polypropylène non tissé et d’une membrane fonctionnelle en polyéthylène très durable et étanche. Il se présente en rouleau de 1,5 x 50 m soit 75 m² de surface.

Avec sa structure respirante hautement perméable à la vapeur d’eau (HPV), il est imperméable à la pluie et insensible à l’humidité. D’après des tests, il supporte 20 cm d’eau pendant 2 heures sans qu’une goutte ne le traverse. Autre avantage, il offre une haute résistance mécanique (résistance à la traction R2) tout en étant très léger (145 g/m²).

Grâce à ses propriétés renforcées, l’étanchéité de la toiture est préservée de manière durable. Il bénéficie donc d’une garantie de base de 15 ans, étendue jusqu’à 30 ans s’il est associé à des tuiles terre cuite et des accessoires garantis 30 ans Edilians.

Source Le Moniteur par Maya Pic 

22/04/2020

Wienerberger/ Argeton

Argeton propose des solutions de façade innovantes d'une élégance intemporelle.

La durabilité est tout aussi convaincante que l'esthétique contemporaine: les bardeaux de façade Argeton en céramique sont résistants aux intempéries, aux chocs et incassables et ne nécessitent pratiquement aucun entretien.

Durables et intemporels, ils sont un rêve pour tout architecte - d'autant plus que les façades Argeton sur mesure sont disponibles dans toutes les couleurs, formes et surfaces imaginables.

Source Youtube

21/04/2020

Wienerberger annonce un bon début pour 2020 malgré la pandémie de COVID-19


  • Le chiffre d'affaires du Groupe T1 2020 en hausse de 2% sur un an à 792 millions d'euros
  • EBITDA T1 106 de 106 millions d'euros, globalement en ligne avec le T1 2019
  • Bilan solide et position de liquidité améliorée pour faire face à COVID-19
  • Assemblée générale annuelle virtuelle prévue le 5 mai 2020

De solides résultats au premier trimestre
Le groupe Wienerberger a livré de solides résultats au premier trimestre, malgré l'impact initial de la pandémie de COVID-19. Le chiffre d'affaires au niveau du Groupe progresse de 2% à 792 millions d'euros (T1 2019: 777 millions d'euros), malgré une baisse des volumes. Compte tenu de la très bonne performance opérationnelle du Groupe, Wienerberger a dégagé un EBITDA de 106 millions d'euros au premier trimestre 2020, égalant presque le résultat record de 110 millions d'euros de l'année précédente, nonobstant l'exigence de fermetures d'usines sélectionnées et d'ajustements de capacité en raison de COVID -19.

"Ce résultat très satisfaisant confirme que, grâce aux mesures d'optimisation prises au cours des trimestres précédents, nous sommes très bien positionnés même en période difficile. Aujourd'hui, nous avons les capacités et l'infrastructure nécessaires pour faire face à COVID-19. Nous disposons de solutions numériques intelligentes et sommes en mesure de réagir rapidement et avec souplesse à un environnement en évolution. Notre bilan et notre position de liquidité restent solides, nous permettant de prendre des mesures décisives à partir d'une position de force."
Heimo Scheuch PDG

Position de liquidité améliorée
Wienerberger a mis en place un programme complet de mesures pour gérer l'impact de la pandémie de COVID-19, avec un accent particulier sur la génération de cash, l'optimisation des coûts, les ajustements de capacité flexibles et le report des investissements non essentiels.

Dans ce cadre, Wienerberger a pris des mesures rapides pour renforcer encore sa situation financière. La liquidité du Groupe a été augmentée par des emprunts bancaires d’un montant de 380 millions d’euros. L’obligation de Wienerberger à 4% de 300 millions d’euros a été remboursée conformément à son échéance prévue le 17 avril 2020. L’effet net a été de renforcer davantage la position de liquidité de Wienerberger. Le Groupe dispose de plus de 450 millions d'euros de liquidités immédiatement disponibles après remboursement de l'obligation.

Wienerberger s'attend à ce que le deuxième trimestre de 2020 soit la période la plus durement touchée par la pandémie de COVID-19, avec presque tous les pays bloqués. Compte tenu du manque de visibilité persistant, l'impact sur les résultats financiers de Wienerberger pour l'année 2020 ne peut être quantifié avec précision à ce stade, tandis que le calendrier et le profil de la reprise après la pandémie restent incertains. Le résultat de l'année entière dépendra de la rapidité avec laquelle les gouvernements vont assouplir les restrictions actuelles et permettre ainsi un retour progressif à la normalité.

AGA et proposition de dividende
Wienerberger a décidé de tenir l'assemblée générale annuelle de cette année le 5 mai 2020, en tant qu'AGA virtuelle. Cela permettra à tous les actionnaires de participer à l'Assemblée Générale Annuelle et d'exercer leurs droits. Comme déjà communiqué, Wienerberger a l'intention de proposer un dividende de 0,60 € par action pour l'année record 2019, qui sera versé en octobre 2020. «Wienerberger poursuit une politique de dividende équilibrée avec une orientation à long terme», explique Heimo Scheuch. Cette politique prévoit que 20 à 40% des flux de trésorerie disponibles soient distribués aux actionnaires par le biais de dividendes et de rachats d'actions. «En 2019, nous avons livré le meilleur résultat de l'histoire de 200 ans de notre entreprise et nous voulons que nos propriétaires participent à ce succès», explique Heimo Scheuch. Dans le sillage de la pandémie COVID-19, la possibilité d'interdire la distribution de dividendes par les entreprises est à l'étude. La résolution du dividende et de son versement est donc soumise à la réserve de distribution de dividende autorisée par la loi au moment de l'adoption de la résolution et au moment du versement.

Tous les indicateurs financiers mentionnés dans ce communiqué sont des chiffres préliminaires non audités. Les résultats complets du premier trimestre 2020 seront publiés le 14 mai 2020 à 7h30 (CEST).

Source Wienerberger

Terreal: De la terre à la façade architecturale

Découvrez les étapes de fabrication d’un matériau ancestral de la construction.

Né de l’imagination des architectes, les produits de façades TERREAL issus de la terre sont transformés pour répondre aux besoins architecturaux les plus originaux. Retrouvez en image le processus de fabrication de cette industrie de technique et de passion.

Source Terreal