German firms have signed a range of business deals with Iranian partners as part of two-day visit with Economy Minister Sigmar Gabriel aimed at rebuilding trade ties, the ministry said on Oct. 3.
Gabriel has flown to Iran with a planeful of executives who are keen to re-establish business relations with the Islamic Republic after it reached a landmark deal with world powers over its disputed nuclear program.
However, remaining U.S. sanctions and political concerns have so far held back a hoped-for business boom.
The ministry said several German Mittelstand firms, the small-to-medium-sized companies that form the backbone of the economy, had signed deals with Iranian partners, including SMS group, a builder of steelmaking plants and INTRA industrial solutions.
In addition, Mitsubishi Germany has signed a contract to modernize a gas-fired plant,
while plant constructor Keller HCW wants to build a brickyard in Iran, it said. Both countries central banks have also agreed to a technical co-operation.
There was no detail on the size of the agreed deals.
Iran’s Deputy Economy Minister Mohammad Khazaei said earlier that 10 economic agreements would be signed on the sidelines of Gabriel’s visit. “I hope that this will smooth the way between both countries,” he said.
Germany, which has commercial and cultural ties with Iran that go back to the 19th century, was for decades a major trading partner of Tehran before the sanctions allowed China and several other nations to overtake it.
Gabriel is making his second visit to Tehran since the Islamic Republic reached a deal in July last year which lifted economic sanctions imposed on Iran over its nuclear program, in return for curbs on its nuclear activities.
Industrial giant Siemens AG and automaker Daimler will be among the first German firms to benefit from opportunities in Iran, but they are proceeding carefully and only after legal reviews.
The German banking sector has been reluctant to underwrite business deals for fear of falling foul of remaining U.S. sanctions imposed on Iran for what Washington says is Tehran’s money laundering, support for terrorism and human rights abuses.
Gabriel said earlier that Germany wants to help Iran push ahead with reforms, and promised to remind the United States of its commitment to reduce sanctions against Iran.
Source Daily News
Téhéran (ISNA)- La compagnie allemande, Siemens, a signé un contrat de modernisation du réseau ferroviaire de l'Iran.
Ce contrat est l'un des plusieurs offres acceptées par les entreprises allemandes lors d'une visite de deux journées à Téhéran du ministre allemande de l'Economie Sigmar Gabriel accompagné d’une grande délégation économique.
M. Gabriel s’est rendu en Iran avec une délégation de 120 gestionnaires qui sont désireux de rétablir des relations d'affaires avec la République islamique après avoir atteint un accord nucléaire historique avec les puissances mondiales l'année dernière.
Siemens a déclaré qu'il fournira des composants pour 50 locomotives diesels-électriques à l'Iran. Il n'a pas révélé la valeur du contrat, mais sur la base de prix comparables, il pourrait être à quelques centaines de millions d'euros.
Le ministère allemand de l'Economie a déclaré que plusieurs entreprises du Mittelstand, les petites et moyennes entreprises qui forment l'épine dorsale de l'économie, ont également signé des accords avec les partenaires iraniens.
En outre, Mitsubishi de l’Allemagne a signé un contrat pour la modernisation d'une centrale au gaz, tandis que
le constructeur de l'usine Keller HCW veut construire une briqueterie en Iran. Les banques centrales des deux pays ont également convenu de la coopération technique.
Il n'y avait pas de détails sur la taille des offres convenues.
Le vice-ministre iranien de l'Economie Mohammad Khazaei a déclaré plus tôt que 10 accords économiques seront signés en marge de la visite de M. Gabriel. "Je souhaite que cela va faciliter les choses entre les deux pays", a-t-il dit.
L’Allemagne, qui a des liens commerciaux et culturels avec l'Iran qui remontent au 19ème siècle, a été pendant des décennies un important partenaire commercial de Téhéran avant que les sanctions ont permis à la Chine et plusieurs autres pays à le dépasser.
M. Gabriel a insisté plus tôt que l'Allemagne veut aider l'Iran à poursuivre les réformes, et a promis de rappeler aux États-Unis de son engagement à réduire les sanctions contre l'Iran.
Il a également souligné que l'Iran était un partenaire de crédit fiable qui a gardé des accords en règle générale.
Les exportations allemandes vers l'Iran ont fait un bond de 15 pour cent dans la première moitié de l'année à 1,13 milliards d'euros et pourrait atteindre 4 milliards d'euros en année pleine, a déclaré Michael Tockuss, président de la Chambre germano-iranienne de commerce basée à Hambourg.
Source ISNA
KELLER HCW signe des contrats en Iran
En présence du ministre allemand de l’Économie Sigmar Gabriel, Stefan Reichert, fondé de pouvoir de KELLER HCW, a signé à Téhéran le jour de la Réunification de l’Allemagne trois contrats pour la fourniture en Iran d'une briqueterie ainsi que deux fours tunnels. M. Reichert et d’autres managers de l’économie allemande ont accompagné Sigmar Gabriel lors de son voyage d’affaires en Iran et il a pu, avec l’aide du directeur commercial régional KELLER Faik Gürbüz, conclure avec succès les négociations contractuelles entamées en amont de ce voyage.
« Je me réjouis en particulier du contrat avec la société Esfahan Brick Fattahi », explique Stefan Reichert à la presse. « C’est déjà la deuxième installation pour KELLER. La première, que l’on peut qualifier d’installation de référence, est actuellement dans la phase de mise en service et va produire cette année 400 t/jour de briques de remplissage et de parement. C’est la première installation entièrement automatique de ce type en Iran. »
Dans ce contexte, nous remercions particulièrement Mohsen Torabi, représentant KELLER en Iran. « Depuis de nombreuses années déjà, il représente avec beaucoup d’engagement les sociétés de la Division KELLER depuis la capitale régionale Esfahan au centre de l'Iran », selon Faik Gürbüz.
« La prochaine étape réside dans le soutien par KELLER du financement de ces projets via Euler Hermes », conclut Stefan Reichert. « Les PME comme la nôtre doivent toujours davantage s’occuper de ces questions. Il ne suffit désormais plus d’avoir une bonne machine dans sa gamme au vu de la concurrence internationale.