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11/05/2015

TEREAL BLOG DES SALARIES : Gaffe, le loup s’apprête à sortir du bois!

« Ne craignez rien », dit le loup, « Je suis le Président des agneaux »

Alertés par la presse que les Térréaliens et les Terréaliennes n’étaient pas de tendres agneaux disposés à se faire tondre, les banquiers ING Bank, Park Square Capital et Goldman Sachs Group risquent de ne pas faire attendre longtemps leur riposte.

Le loup va très vite pointer son museau et ses dents. Ne serait-ce que pour soutenir la petite poignée de commis de l’équarisseur qui ne sont pas très heureux du précédent communiqué. (Eh oui ! ils sont démasqués !)

S’ouvrent à lui deux possibilités de communication : la carotte ou le bâton.

Va-t-il essayer de mettre tout le monde dans le rang (en priorité les cadres) « Aucun manquement à la discipline ne saurait être toléré ! Que les futurs chômeurs la bouclent… sous peine d’être licenciés ! Mourez, mais mourez en silence ! » Ou bien va-t-il essayer encore de nous bourrer le mou. « Dormez tranquilles, petits agneaux Terréaliens, l’équarrisseur est sympa ! »

L’heure du vrai combat a sonné pour sauver nos emplois ! Ne soyons pas dupes de la campagne d’intoxication qui a déjà commencé.
Non à la casse industrielle de TERREAL !
Non à la casse sociale !
Non au départ de Gastinel !

Source Le blog des salariés de TERREAL



 
Le plan de dépeçage est en marche ! Encore plus machiavélique que tout ce qu’on pouvait imaginer !


Lors de la séance du CCE de mardi, Gilles Auffret, en tant que Président du Conseil d’Administration, nous a tenu, en résumé, le discours suivant :
  • 1-       La stratégie TERREAL depuis 15 ans, c’était très bien.
  • 2-     Mais je change de PDG
  • 3-      Non, il n’y a pas de changement de stratégie car je n’ai pas de stratégie.
  • 4-     Je donnerai quelques mois au nouveau PDG pour élaborer une nouvelle stratégie.
Vous avez compris quelque chose à ce charabia ? …. Nous non plus !

Cela s’appelle prendre les salariés de TERREAL pour …. Ce qu’ils ne sont pas !

Rappelons que la procédure d’alerte demande que les informations données au CCE soient « sincères, complètes et loyales ». !.... « Nous sommes prêts à expliquer notre position, annonce pourtant Gilles Auffret au journal Le Monde. mais notre décision a été mûrement réfléchie, le futur patron est déjà choisi. »

Ce charabia confus et mensonger cache donc en réalité le véritable plan de dépeçage « mûrement réfléchi » par les banquiers  ING Bank, Park Square Capital et Goldman Sachs Group. « Cette société peut avoir un essor sensiblement plus rapide qu’aujourd’hui, une croissance rentable », dit Auffret dans la même interview. Que nous a-t-il donc caché au CCE ?

Ce que les banquiers demanderont au  prochain PDG, quel qu’il soit, devrait ressembler, à peu de choses près, au « plan stratégique » suivant :

Axe 1 Baisse des coûts

  • -         Fermeture des usines sous occupées et/ou pas assez rentables en période de conjoncture basse. (Il faudra donc faire vite car courant 2016 les perspectives s’améliorent). Seraient donc dans la première charrette : Revel, Les Mureaux, Rieussequel et Montpon.
  • -         Suppression des investissements commerciaux de prescription,  de marketing et  de recherche destinés, dans le plan stratégique 2020, à doper la croissance. Ils seront considérés comme des charges inutiles à court terme. Cela ferait, au bas mot, cent postes supprimés.

« Je n’ai pas de stratégie », dit le loup

Axe 2 Dépeçage de TERREAL

Pour continuer à tondre la laine sur le dos de TERREAL, il s’agit de « monétiser une partie des actifs », comme on dit en jargon financier. Cela veut dire vendre des parties de l’entreprise aux plus offrants, comme IMERYS l’a déjà fait pour sa partie brique (chez nous Colomiers et Lasbordes, soit 110s salariés sur chaque site ! ) Nos concurrents s’en lèchent déjà les babines.

Toujours dans Le Monde (mais pas au CCE, car, nous dit-il, il n’a pas de stratégie), Monsieur Auffret, nous apprend que « les activités à l’étranger se développent très peu, le potentiel n’est pas exploité comme il faut ». Finies donc les filiales étrangères !

Les actionnaires de TERREAL,  à savoir les banquiers  ING Bank, Park Square Capital et Goldman Sachs Group,  s’apprêtent à faire du leader mondial du secteur le maillon faible que  des prédateurs pourront dépecer ! Auffret pourra alors fanfaronner dans les salons et dans la presse sur les brillants résultats de sa présidence !

On comprend pourquoi il ose dire, malgré tout le dynamisme déployé ces dernières années et en particulier ces derniers mois, que TERREAL est fatigué ! Oui les salariés sont fatigués, lassés, écœurés, révoltés par ses mensonges, par ses intrigues minables et désastreuses pour l’entreprise et pour ses salariés.

Mais avec des individus qui pensent que la fin justifie les moyens, que la parole donnée n’engage que ceux qui l’écoutent, on peut s’attendre à ce que le plus machiavélique soit encore à venir ! 





 Quel équarrisseur nos banquiers vont-ils choisir pour mener leurs basses œuvres contre TERREAL et ses salariés ? Bien sûr, il n’y a pas besoin de connaître le métier pour saigner l’entreprise et les salariés et ouvrir le pot de miel aux grosses pattes d’ING Bank, Park Square Capital et Goldman Sachs Group.  






Mais ce serait sûrement plus  « subtil » de trouver une figure « d’ange exterminateur » qui serait tapi tout près du cœur de TERREAL !

Peu importe son nom, on voit déjà ses commis, avant même la fin du CCE, puis tous ces jours-ci, commencer à parcourir TERREAL pour rassembler, ici, quelques égarés, promettre, là, quelques postes, pour prix de la trahison.


On entend déjà Auffret claironner sans rougir au prochain CCE « Vous voyez, rien ne change, dormez, dormez tranquilles petits agneaux terréaliens, il ne vous arrivera rien ! On ne vous fera aucun  mal, vous connaissez maintenant le visage du nouveau berger, il veillera sur vous !». Mais lorsque nous nous réveillerons, ce sera pour aller pointer à pôle-emploi. Et pour les plus chanceux … Nous serons traités à la manière de MONNIER.





L’heure du vrai combat a sonné pour sauver nos emplois ! Ne soyons pas dupes de la campagne d’intoxication qui a déjà commencé. 

La Scop Bouyer Leroux bétonne son offre de matériaux de construction

Devenu numéro un français de la brique et des conduits de fumée en terre cuite après le rachat d’Imérys Structure, Bouyer Leroux poursuit son développement avec l’acquisition de la société bretonne Robert Thébault, spécialisée dans les produits en béton.
En «négociation exclusive» depuis la fin de l’année dernière, le groupe
Bouyer Leroux a annoncé avoir finalisé l’acquisition de la société Robert Thénault, basée à Landerneau dans le Finistère. Société familiale créée en 1956, Robert Thénault conçoit et fabrique quelque 2 000 produits en béton commercialisés via un réseau de 700 négociants. Elle emploie environ 150 salariés et dispose de 3 sites de production situés à Landerneau – Plouédern (Finistère), Mauron (Morbihan) et Verneuil-sur-Avre (Eure). Elle réalise un chiffre d’affaires d’environ 20 millions d’euros en 2014.
Le rapprochement vient conforter la place de Boyer Leroux sur le marché des matériaux de construction avec une offre de produits complémentaires.
Société coopérative, le groupe Boyer Leroux est organisé aujourd’hui autour de 3 métiers: la fabrication de matériaux de construction en terre cuite (9 usines), la fabrication de coffres de volets roulants (société SPPF), la valorisation des déchets et la production de biogaz (Bouyer Leroux Environnement). Le groupe emploie environ 725 collaborateurs et a réalisé un chiffre d’affaires d’environ 155 millions d’euros au cours de l’exercice clos le 30 septembre 2014.
Source LE MONITEUR.FR par Jean-Philippe Defawe (Bureau de Nantes du Moniteur)

Une nouvelle usine pour Bouyer Leroux

Créée en 1955 à la Séguinière dans le Maine-et-Loire, la société Bouyer Leroux est une entreprise familiale devenue une société coopérative et participative (SCOP) en 1980.
Au fil des années, l’indépendance de l’entreprise et ses résultats l’ont amenée à atteindre un niveau de fonds propres qui lui a permis de réaliser d’importants investissements ainsi que plusieurs acquisitions (lire également notre article dans cette édition en page 8).
En 2013, le groupe Bouyer Leroux acquiert l’activité “Structure” d’Imerys, aujourd’hui Bouyer Leroux Structure, et réalise un an plus tard une unité de production d’éléments de grandes longueurs sur le site de La Boissière-du-Doré en Loire-Atlantique en vue de développer son activité.
4,5 millions d’euros investis dans ce projet industriel
Implantée dans un bâtiment de 15 000 m2 sur un terrain d’une surface de 10 ha, la construction de cette nouvelle ligne qui a débuté en janvier dernier s’est réalisée dans un temps record. Le site a vu le jour en mai et la production a démarré en juin 2014, avec un objectif de qualité et de productivité atteint dès le mois de juillet.
« Destiné au départ à la fabrication de briques de murs, le projet a été réorienté vers la fabrication de linteaux et de coffres de volets roulants monoblocs en terre cuite due à une demande plus importante sur ce marché », explique Roland Besnard, Pdg du groupe Bouyer Leroux.
Le site a été équipé d’un nouveau séchoir, d’une ligne complète de manutention des éléments de grandes longueurs (supérieurs à trois mètres) sur les différentes phases du processus de production, d’une ligne de sciage pour la fabrication de produits dont les longueurs peuvent varier de 80 cm à plus de trois mètres, de deux lignes d’assemblage des coffres de volets roulants. (lire également notre article page 39).
Nouvelle usine en Normandie en 2015
Avec une production de 10 000 tonnes actuellement, cette unité qui tourne sept jours sur sept, peut atteindre les 20 000 tonnes si l’on exploite toute sa capacité.
Cette unité confirme la volonté de l’entreprise de devenir leader sur ce marché comme elle l’est d’ores et déjà sur celui des briques.
Le groupe Bouyer Leroux dispose aujourd’hui d’un effectif d’environ 740 salariés, dont 226 sociétaires, et devrait réaliser un chiffre d’affaires supérieur à 165 millions d’euros.
La Scop n’a pas encore fini de se développer puisqu’elle a récemment acquis un terrain de 10 ha en Normandie à Forges-les-Eaux destiné à accueillir une usine à l’horizon 2015.

Source L'Industrie Céramique et Verrière

10/05/2015

Dragon Rouge construit Terreal

Dragon Rouge imagine la nouvelle identité visuelle et verbale de Terreal, acteur en matériaux de construction et notamment en terre cuite. 

C'est dans le cadre de son projet d’entreprise « Terreal 2020 » que le groupe a fait appel à l'agence qui contribue à accompagner l'enseigne sur trois enjeux. 
Il s’agit pour Terreal de se positionner comme un acteur global de l’enveloppe du bâtiment durable ; de mettre en valeur son engagement en termes de responsabilité sociale et environnementale et évidemment d'accélérer sa notoriété. 

« Terre de votre imagination » : Dragon Rouge a articulé une plateforme de marque autour de la beauté de la terre. Côté identité, jaillit "l’étincelle", emblème de la marque. 

Le lancement s’est traduit en interne par la réalisation d’un nouveau magazine « Terreal Mag » ainsi que d’un brand book. En externe, l’agence a créé la première brochure institutionnelle du groupe ainsi qu’un film de marque.

09/05/2015

Algérie - Adrar : Les constructions ancestrales «précaires» !

L’architecture de terre, un savoir-faire durable


Utiliser les matériaux locaux dans les futurs projets de construction est une idée fortement discutée aux journées d’information et de sensibilisation du 4e Festival international de promotion des architectures de terre, ArchiTerre, à l’université Ahmed Draia, à Adrar. Des journées clôturées dimanche soir.
Les matériaux locaux sont, selon Abdelhamid Benouali du Centre national d’études et de recherches intégrées du bâtiment (CNERIB), naturels, sains et non énergivores à la production et à l’exploitation. «Et la terre est le matériau le plus ancien utilisé en Algérie. Il en est de même de la pierre et du plâtre fabriqué localement. Aujourd’hui, dans les programmes du logement, le parpaing de ciment et la brique de terre cuite sont les plus utilisés.

Ces matériaux donnent des habitations avec un comportement thermique médiocre», a-t-il relevé. Il a plaidé pour un retour aux pratiques ancestrales de construction, notamment dans le sud du pays et dans les Aurès, pour économiser l’énergie et respecter l’environnement. Tous les intervenants aux débats ont relevé que les constructions en béton consomment beaucoup d’électricité et de gaz pour la climatisation et le chauffage comparées aux habitations bâties en terre ou en pierre.
L’architecte Yasmine Terki, commissaire du Festival ArchiTerre, a noté, pour sa part, que les ksour du sud de l’Algérie sont menacés de disparition aujourd’hui. La raison ? Un plan du ministère de l’Habitat pourtant sur «la lutte contre les constructions précaires» a été adapté, créant des confusions. Dans les régions du Sud, les APC ont demandé aux citoyens de détruire leurs maisons bâties en pierre comme le veut la tradition constructive pour les remplacer par des habitations en béton en plein Sahara  ! Une aide financière est accordée à ceux qui acceptent de reconstruire leurs maisons faussement présentées comme «plus solides». «Le problème ne réside pas dans les matériaux de construction utilisés dans les ksour, mais dans le fait que l’Etat n’a rien fait pour moderniser ces espaces.

On peut parfaitement vivre dans les maisons en terre ou en pierre et dans des conditions modernes de confort», a soutenu Yasmine Terki. Ilhem Belhatem, architecte et directrice de l’Atelier D à Paris, a relevé un retour à la construction en bois avec remplissage bio sourcé (matériaux à base végétale) en Europe. Plusieurs architectes européens plaident actuellement pour l’utilisation du béton chanvre, qui est constitué de chaux, de chènevotte fibrée et d’eau.

Ce béton est aussi solide que celui constitué de ciment mais plus souple et résistant aux séismes. Selon Ilhem Belhatem, les savoir-faire ancestraux en matière de construction se sont adaptés aux écosystèmes naturels depuis longtemps. «Dans l’architecture bio climatique, il est important d’observer le niveau d’ensoleillement, la pluviométrie, le sens des vents, les vents dominants. Les vents permettent de rafraîchir les intérieurs de façon passive. Il faut s’appuyer sur les savoir-faire locaux et l’architecture vernaculaire qui nous donnent des leçons sur la manière de s’adapter au climat, à la chaleur, au froid», a-t-elle noté, soulignant que les savoirs-faire locaux sont liés à la matière qui existe localement. Ilhem Belhatem a notamment réalisé avec son équipe un immeuble en briques de terre crue à Bujumbura, capitale du Burundi.
L’ingénieur civil Horst Shroeder, ancien président de l’Association de la construction en terre (Dachverband Lehme) et ancien enseignant à l’université Bauhaus, a présenté les normes et standards adaptés en Allemagne pour les architectures de terre. «Le tout est rassemblé dans un livret  Lehmbau Regeln élaboré par notre association.
Ces normes, qui couvrent tous les aspects du bâtiment, ont été approuvées par l’autorité allemande de construction en 1999. L’intérêt pour la construction en terre en Allemagne a commencé au début des années 1980 avec l’émergence de la culture écologique. Depuis cette année, on fait attention à la consommation d’énergie, au climat, au développement durable. Tout le monde est d’accord sur la nécessité de réintégrer la terre comme matériel de construction dans les bâtiments contemporains», a expliqué Horst Shroeder. Après Adrar, les invités de ArchiTerre 2015 se déplacent à Timimoun pour visiter, entre autres, le Centre algérien du patrimoine culturel bâti en Terre (Capterre) que dirige Yasmine Terki. Le Capterre, qui existe depuis 2012, est installé dans l’ex-hôtel Oasis rouge.


08/05/2015

La filière terre cuite mobilise les couvreurs sur l'ITE

Pour encourager les couvreurs à développer l'isolation par l'extérieur dans leur activité, la FFTB (Fédération Française des Tuiles et des Briques) leur propose une brochure en six arguments rappelant les avantages de ce type de travaux.

"Le toit est votre territoire. Tirez la couverture à vous !". S'appuyant sur des arguments forts, la Fédération Française des Tuiles et des Briques souhaite inciter les couvreurs à promouvoir l'isolation thermique par l'extérieur auprès de leurs clients. Selon une étude de l'Ademe et Etude Open, les travaux de rénovation énergétique ont enregistré une croissance de plus de 10% sur les 5 dernières années. Soutenus par des politiques publiques favorables (crédits d'impôts, TVA à taux réduit...), les artisans du bâtiment ont de réelles opportunités pour doper leur activité. Et en particulier du côté des ITTE (Isolation Thermique de la Toiture par l'Extérieur), un marché qui a le vent en poupe, comme le souligne la FFTB. "Avec un total de 16 millions de toits peu ou mal isolés, ce sont plus de 30 années de chantiers assurés à ceux qui sauront en profiter".
La légitimité des couvreurs
Pour encourager à développer ce type d'isolation, la Fédération mène actuellement une campagne d'e-mailing à destination de 10.000 couvreurs ciblés. Une brochure rappelle en six arguments l'intérêt de recourir à l'isolation par l'extérieur. Outre le gain de temps et le faible encombrement du chantier, l'isolation de la toiture permet de lutter contre les déperditions d'énergie, de supprimer les ponts thermiques ou encore de préserver la charpente et les poutres apparentes. Mais cette technique représente néanmoins un coût supplémentaire par rapport à une simple réfection de toiture, note la FFTB. L'ITTE concerne principalement les projets de rénovation moyens et haut de gamme et les bâtiments anciens.
"Le couvreur est le plus légitime pour mener ce travail d'isolation de manière qualitative. Or nous constations nous les industriels de la tuile terre cuite, que sur le terrain les artisans, les petites structures ont du mal à sortir de leur travail quotidien pour obtenir la nécessaire mention RGE (Reconnu Garant de l'Environnement) et aller vers ces chantiers à haute valeur ajoutée. Mais s'ils ne le font pas, d'autres le feront à leur place et c'est toute la profession qui peut se décrédibiliser", a commenté Christophe Lagrange, en charge du groupe de travail "Isolation" au sein de la Fédération.
En France, la filière terre cuite comprend 90 sociétés (groupes industriels, entreprises nationales et régionales), 140 usines et plus de 5.000 salariés.

Source Batiactu

07/05/2015

Les salariés de Terreal se mobilisent contre le départ d’Hervé Gastinel

L’annonce de la mise à l’écart par le Conseil d’administration de Terreal du fondateur du groupe et président, Hervé Gastinel, a fait l’effet d’une bombe. Les salariés en colère dénoncent une décision irresponsable.
Hervé Gastinel débarqué, les salariés de Terreal ne s’y font pas.
Dans un communiqué publié mercredi 6 mai, les élus du comité central d’entreprise dénoncent une « mesure sidérante du point de vue industriel » et s’en prennent aux « banquiers actionnaires », ING Bank, Park Square Capital et Goldman Sachs Group, tenus pour responsables du « licenciement de M. Gastinel ».
« Cette attitude irresponsable, irrespectueuse des personnes et des biens, bafouant sans vergogne les engagements pris et la parole donnée risque de tuer en vol quinze années d’efforts des 2700 salariés qui ont su hisser l’entreprise au premier rang de l’innovation et du développement durable dans son secteur », clame le communiqué.
ING Bank, Park Square Capital et Goldman Sachs Group créanciers du groupe étaient entrés au capital de Terreal à l’été 2013. La restructuration financière avait permis de ramener la dette de 486 millions d’euros à 300 millions. Lors du jugement d’homologation de l’accord devant le tribunal de Commerce de Nanterre en juillet 2013 les nouveaux actionnaires avaient reconnu « qu’une part notable de la pérennité de l’entreprise repose sur l’expérience du dirigeant M. Gastinel qui bénéficie du soutien de ses salariés et de leur représentants, et des nouveaux actionnaires majoritaires ».
Si ces derniers lui ont donc retiré leur soutien, les salariés eux le lui réaffirment.
« Les salariés de Terreal s’insurgent contre l’inconcevable bêtise qui consiste à casser la dynamique actuelle au moment où l’horizon de la profession s’annonce meilleur dès la fin de l’année ». Ils en appellent donc « à la mobilisation générale de tous : artisans et entrepreneurs du bâtiment, distributeurs, utilisateurs, élus municipaux, régionaux et nationaux, journalistes et relais d’opinion, économistes, universitaires, ministres, à Madame Royal, ministre du de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, qui connaît l’entreprise et ses innovations, à l’ensemble du gouvernement, à son Premier ministre ainsi qu’au chef de l’Etat » et promettent des actions dans chacun des 16 sites de de l’entreprise « pour sauver Terreal, pour sauver l’un des fleurons rentable de l’innovation industrielle française ».
« Non à la casse industrielle ! Non à la casse sociale ! Non au départ d’Hervé Gastinel ! », conclut le communiqué.

Source Le Moniteur

Roumazières: Terreal en quête d’argile

La tuilerie conduit trois nouveaux projets de carrières. Deux extensions et une création à Roumazières. Enquêtes publiques prévues cette année.

Aux "Vignauds", Terreal doit récupérer l’argile sous terre avant la création de la nouvelle déviation de Roumazières. Un vrai enjeu pour Ivan Mignot, le directeur des carrières et de l’environnement du groupe.

Les apparences sont trompeuses. Même si Terreal, la tuilerie de Roumazières, tourne aujourd’hui au ralenti (1), la quête de la matière première continue. "On n’est pas inquiet mais on doit continuer de prospecter", reconnaît Ivan Mignot, le directeur des carrières et de l’environnement du groupe. 
Cent cinquante ans d’industrie tuilière ont "asséché" les réserves. Le responsable le sait mieux que quiconque. "On rayonne un peu plus large pour la prospection." Exemple aujourd’hui à Bussière-Badil où des sondages sont effectués. Mais la priorité est encore donnée à la proximité pour approvisionner l’usine locale, la plus importante du groupe avec ses 480 salariés. Trois projets se dessinent à horizon 2016.

Les Vignauds".  Terreal possède 40 hectares attenants à son site de production le long de la 141. Elle n’en exploite qu’une partie et a demandé une autorisation d’extension. Une extension qui empiète sur l’emprise de la future déviation prévue en 2017.  "On conçoit un plan d’avancement en fonction de la configuration de la route. L’objectif est d’extraire le maximum d’argile avant que la déviation ne soit réalisée, pour récupérer la ressource présente et la stocker. Il faudra ensuite remblayer. On travaille avec les services de l’État et les collectivités", explique Ivan Mignot. Enquête publique prévue cet automne pour un arrêté préfectoral espéré début 2016.

La Faye - La Fidora. En service depuis dix ans, la carrière située au nord de Roumazières, arrive en fin d’exploitation. La demande d’extension a été déposée. Enquête publique prévue dans les prochaines semaines.

Les Palennes.
Ce nouveau site de 10 hectares, propriété de Terreal depuis cinq ans, est situé près du "Pont-Sigoulant". Il pourrait autoriser un rendement de 30 000 à 40 000 tonnes annuelles. De quoi satisfaire une partie des besoins actuels de la tuilerie: 200 000 tonnes. Encore faut-il obtenir l’aval de l’administration. La demande d’autorisation a été déposée. L’enquête publique devrait également intervenir à l’automne.

"Une autre vie après les carrières"
L’usine produit moins qu’il y a cinq ans, mais il faut être prêt le jour où ça va redémarrer",  commente Ivan Mignot qui se doit d’anticiper. Le processus entre l’étude géologique (les électrodes dans le sol, les sondages et les analyses d’échantillon) et l’extraction est long. Le premier n’aboutit pas forcément. On l’a vu récemment à Orgedeuil où Terreal a renoncé faute de matériaux intéressants. La seconde ne clôt pas définitivement le volet.

"Les carrières ne stérilisent pas la terre ad vitam æternam. On réaménage le terrain. Pour l’agriculture ou pour implanter de l’énergie renouvelable. On peut même créer une base de loisirs",  détaille le spécialiste, en citant l’exemple des Pradelles. La remise en état est une obligation. Après avoir creusé à une profondeur "de 6 et 12 mètres" en moyenne, le carrier se doit de veiller à ce que le site, in fine, s’intègre dans son environnement. Il y a une autre vie après les carrières."

(1) Terreal traverse une période de chômage partiel depuis hier et jusqu’au 20 mai, qui touche 80% des 480 salariés. Les carrières et les bureaux continuent de tourner.

Un projet photovoltaïque à "Laplaud"
La carrière de sable de "Laplaud" est fermée depuis deux ans
Le site d’une vingtaine d’hectares est à l’arrêt. Un projet d’installation photovoltaïque au sol est à l’étude. Terreal louerait le terrain à une société poitevine qui fabrique et exploite les installations photovoltaïques.

Cette dernière doit répondre à l’appel à projet lancé en juin. Pour un champ photovoltaïque de 10 à 15 hectares. Terreal compte aussi deux autres carrières encore en activité à Cherves-Chatelars: Etamenat en phase terminale et La Faurie, ouverte depuis trois ans qui doit perdurer une vingtaine d’années, au rythme de 30 000 tonnes annuelles.

Une troisième carrière est située à la frontière avec Mazières. Ouverte dans les années 90, il lui reste encore quelques années à produire après une extension en 2000.

(1) Pour fabriquer une tuile, il faut de l’argile mais aussi du sable.

06/05/2015

Hervé Gastinel évincé de la présidence de Terreal

Hervé Gastinel va devoir passer la main à la tête du fabricant de tuiles et de briques Terreal qu'il a fondé il y a 15 ans, a indiqué le groupe qui ne dévoile pas le nom de son successeur.

"Le Conseil d'administration du groupe Terreal a décidé de mettre fin aux fonctions de président d'Hervé Gastinel. Son successeur a été choisi par le Conseil et rejoindra le groupe en juillet prochain", a indiqué Terreal, ancienne filiale de Saint-Gobain, dans un communiqué.
"Pour des raisons de confidentialité", le nom de ce successeur "sera divulgué ultérieurement", est-il précisé. Hervé Gastinel conservera ses fonctions pendant la période de transition.
Fondateur de Terreal en 2000 en fusionnant plusieurs sociétés au sein du groupe Saint-Gobain, Hervé Gastinel en a piloté le développement, notamment à l'international, même après la cession par le géant français des matériaux de construction en 2003.
"Une éviction sidérante"
Lourdement endettée, la société a fait l'objet d'une restructuration de sa dette en 2013, passant du même coup sous le contrôle de ses créanciers, notamment les banques Goldman Sachs et ING.
Aussitôt, les représentants du personnel de Terreal ont qualifié l'éviction d'Hervé Gastinel de "sidérante du point de vue industriel", selon un communiqué du Comité central d'entreprise.
Ils dénoncent une attitude "irresponsable, irrespectueuse des hommes" et en appelle au gouvernement, prévenant que chacun des 16 sites du groupe en France "va entrer dans l'action pour sauver Terreal".
Présidence de la FFTB
"Pour les salariés de Terreal, le remplacement de Monsieur Hervé Gastinel à la direction de Terreal constitue un non-sens de gestion qui déboucherait inévitablement sur une casse industrielle et une casse sociale", protestent-ils. Le groupe compte plus de 2.700 collaborateurs et est présent en France, en Espagne, en Italie, aux Etats-Unis et en Asie. Il réalise un chiffre d'affaires d'environ 400 millions d'euros.
Rappelons enfin que Hervé Gastinel préside la FFTB, la fédération française des tuiles et des briques, en tant que président de Terreal. Son départ du groupe Terreal au mois de juin pourrait peut être remettre en cause sa fonction de président de la FFTB qui traditionnellement organise son assemblée générale en juin.

Source : batirama.com

Le Président de Terreal démis de ses fonctions

Le Conseil d'administration du Groupe Terreal, spécialisé dans les produits en terre cuite, annonce avoir mis fin aux fonctions de son Président, Hervé Gastinel. Son successeur est connu, mais son nom ne sera dévoilé qu'ultérieurement.

Coup de théâtre chez Terreal ! Son président, Hervé Gastinel, vient d'être démis de ses fonctions par le Conseil d'administration. Son successeur a été désigné : il rejoindra le groupe en juillet prochain, mais son nom ne sera pas dévoilé pour le moment, "pour des raisons de confidentialité", précise le communiqué de Terreal Holding.
Hervé Gastinel a accepté de garder ses fonctions pendant la période de transition.
Fondateur de Terreal, né de la fusion de plusieurs sociétés familiales et régionales au sein du groupe Saint-Gobain, Hervé Gastinel a développé l'entreprise à l'international et a fortement augmenté ses performances. A partir de 2008, il a restructuré Terreal et redressé ses résultats. Récemment, il a annoncé la nouvelle stratégie de marque du groupe, qui vient notamment d'adopter un nouveau logo.

Source Batiactu

ALGERIE - Investissements privés : quatre usines entrent en production à Souk Ahras

Quatre unités de production sur 144 projets d’investissement validés en 2014 par le Calpiref (Comité d'assistance à la localisation et à la promotion des investissements et de la régulation du foncier) viennent d’entrer en production, a indiqué jeudi à l’APS le directeur de l’industrie et des mines, Kamel Kafi.
Il s’agit, a-t-il précisé, d’usines de fabrication de produits laitiers, à El Mechrouha, d’aliments de volaille à Bir Bouhouche, de charpente métallique, à Sedrata, et d’une briqueterie dans la commune de Zaârouria, permettant la création de 224 postes d’emploi permanents.
Quarante trois (43) autres projets liés, entre autres, à la réalisation d’établissements hôteliers, de stations-services et d’unités de fabrication de matériaux de construction, sont en cours de réalisation, selon le même responsable qui a fait savoir que ces usines permettront de générer plus de 600 postes de travail.
Pas moins de 142 hectares répartis sur les communes d’Oum Laâdhaïm, de Terguelt, de Ragouba, de Tifeche, de M’daourouch et d’Oued Keberit ont été mis à la disposition des investisseurs pour abriter de nouveaux projets, a encore noté M. Kafi, précisant que 16 zones d’activités seront "prochainement" créées dans plusieurs localités de la wilaya de Souk Ahras.
Neuf (9) nouveaux projets ont été validés par le Calpiref dans cette wilaya durant le premier trimestre de l’année 2015, a également indiqué le même responsable.

Source Radio Algérie

Limoges: Visite de l’usine Cerinnov à Ester

Lundi 23 Avril 2015, l'Association des retraités hospitaliers de la Haute-Vienne a visité Cerinnov, usine de fabrication de machines surtout pour la porcelaine.
Les retraités ont été reçus dans le parc d'Ester Technopole par Arnaud Hory qui, avec son épouse, a créé en 1998 Cerlase, puis racheté en 2008 Elceram devenu Cerinnov. L'ascension de l'entreprise s'est poursuivie en 2013 avec l'achat du groupe franco-allemand Dewistra et la création de Cerianov-Dener au USA.
Juste avant les Russes
Forte de nombreux brevets mondiaux, l'usine Cerinnov base son développement sur une équipe humaine flexible et innovante de 70 personnes (dont une majorité de cadres) dans son usine de Limoges qui se maintient à la pointe de l'évolution technologique. Elle a acquis la confiance de nombreux clients prestigieux dans le monde entier.
Cerinnov vend des usines clés en mains dans le monde entier avec une gamme de machines couvrant toutes les étapes de la production, du façonnage à la décoration en passant par l'émaillage et le marquage laser.
Acteur du Pole européen de la céramique, elle met au service de ses clients la compétence et l'appui scientifique des laboratoires, des centres de transferts et de l'Ecole nationale supérieure de céramique industrielle. D'ailleurs, Arnaud Hory reçoit cette semaine une grosse délégation de fabricants de porcelaine en provenance de Russie.
Après avoir écouté et visionné les différents outils fabriqués grâce à Cerinnov dans ses ateliers de la rue Columbia, sur le parc d'Ester, les 18 participants ont visité toute l'entreprise.
Source Le Populaire

05/05/2015

BOUYER LEROUX - Thébault change de mains

Spécialisé dans le béton industriel, Thébault bâtira son avenir dans le giron du numéro 1 français des matériaux de construction en terre cuite.
Au 30 septembre, la SA Thébault passera sous pavillon Bouyer-Leroux. La société, réputée pour son béton industriel, rejoint un groupe assez armé, semble-t-il, pour pérenniser une entreprise créée en 1956 par le père des vendeurs, soulagés. « Nous avons fini de mettre au point le protocole d'accord la semaine dernière. Nous sommes en phase sur l'essentiel.
Il ne manque plus que nos signatures mais on peut annoncer que la vente est faite à 99,9 % », confirme Jacques Thébault, P-DG de l'entreprise du même nom, suite à l'envoi d'un communiqué du groupe Bouyer-Leroux, jeudi, affirmant l'acquisition des trois usines de la société nord-finistérienne : Plouédern, Mauron (Morbihan) et Verneuil-sur-Avre (Eure).
En vente depuis 2008 Le changement de propriétaire sera officiel le 30 septembre. Enfin ! Les frères cherchent à vendre l'entreprise depuis 2008 : « Nous commencions à éprouver de la lassitude. Aujourd'hui, mon sentiment, c'est un peu de soulagement.
Car l'affaire s'est négociée dans un contexte très difficile », signale Jacques Thébault. La société, spécialiste de la construction de pièces industrielles en béton, subit en effet les conséquences de la morosité économique de ses trois principaux secteurs clients : « La moitié de notre production concerne l'assainissement individuel, suivent la fourniture d'éléments en béton pour les étables ou porcherie et les travaux publics ».
Outillée pour repartir Les baisses de commandes par rapport à 2014 avoisinent 20 % dans le logement, 50 % dans les exploitations agricoles et 30 % dans les travaux publics. Un déclin amorcé en 2010, marquant la fin de trois années fastueuses pour le bâtiment. Pourtant, la SA Thébault et ses 120.000 tonnes de produits, déclinés chaque année en 2.000 références sur les trois sites, s'appuie toujours sur un outil industriel performant. Si la production doit descendre à 100.000 tonnes cette année, la société a tout de même dégagé 20 M€ de chiffre d'affaires en 2014 (23 M€ en 2013).
« Aujourd'hui, nous fonctionnons à 70 % de notre capacité. Mais la société sera en mesure de répondre aux demandes lorsque cela repartira ». Bouyer-Leroux un statut de Scop Dans l'attente d'une conjoncture économique nettement plus favorable, les salariés de Thébault peuvent-ils se montrer rassurés sur le maintien de leur emploi ?
Le protocole de reprise ne comporte aucune garantie. Mais Jacques Thébault se veut optimiste. Les 136 salariés (80 au siège, 25 à Verneuil, 30 à Mauron), tous en CDI, passent dans un groupe d'envergure nationale qui met en pratique de solides ambitions en investissant pour la première fois dans une production de béton industriel.
Numéro 1 français de la construction en terre cuite (briques, tuiles, conduits de cheminée, etc.), le groupe Bouyer-Leroux (725 salariés, 155 M€ de CA) pose la première pierre à sa stratégie de diversification en rachetant Thébault, présent dans 30 départements du grand Ouest. Le statut en Scop (coopérative de salariés) de la société, basée à La Seguinière (Maine-et-Loire), est un autre élément susceptible de rassurer.
Trois générations d'entrepreneurs Camille et Jacques Thébault restent en poste pendant la phase de transition qui s'ouvre.
En septembre, ils laisseront les rênes au nouveau manager désigné par Bouyer-Leroux. Ce passage de témoin tournera la page d'une histoire familiale entamée avant la Seconde Guerre mondiale par Camille Thébault, grand-père des deux frères : « Il fabriquait de la chaux, près de La Rochelle (17).
Puis il s'est installé à Landerneau (route de Sizun) pour faire du négoce de sa production.
Il était alors un concurrent de la briqueterie.
Mon père a travaillé avec lui à partir de 1946 », détaille Jacques Thébault. En 1956, Robert Thébault a inauguré sa propre centrale à béton, rue Guébriant. Prospère, l'entreprise a acquis son terrain de Saint-Éloi en 1974, puis a mis en service ses deux autres sites de Mauron et de Verneuil, employant 150 salariés jusqu'à très récemment.
Âgés de 63 et 69 ans, les deux frères n'ont pas trouvé d'héritier parmi les dix petits-enfants de Robert (Jacques et Camille ont deux soeurs) : « Partir avec seulement 10 % du capital, c'est de toute façon mission impossible », observe sagement le dernier P-DG de la lignée Thébault.
Source Le Télégramme par Yann Le Gall

Chine : la production de matériaux de construction en baisse au premier trimestre

La production de matériaux de construction a baissé au premier trimestre 2015, à cause de la faible demande du marché immobilier, a-t-on appris mercredi du site Internet de la Commission nationale du développement et de la réforme.

La production de ciment a baissé de 3,4% en glissement annuel pour atteindre 428 millions de tonnes, alors que celle du verre plat a baissé de 6%, selon la même source.

Les prix du ciment et du verre plat ont baissé en mars. Par rapport au mois précédent, les prix au départ d'usine du ciment et du verre plat ont diminué respectivement de 1,3% et 0,4%,

Le secteur immobilier, gros consommateur de ces deux matériaux, n'a montré aucun signe de reprise malgré le soutien politique du gouvernement.

Parmi les 70 grandes et moyennes villes chinoises prises en compte dans une étude, 50 ont connu une baisse des prix de l'immobilier en mars.



04/05/2015

Terreal : la production de tuiles doit s'arrêter faute de marchés

A l'usine Terreal de Roumazières en Charente, la production est arrêtée pour un mois. Les zones de stockage de l'entreprise sont pleines et la direction a du prendre cette mesure pour compenser la baisse d'activité liée à la chute des constructions neuves de maisons.

L'usine charentaise n'est pas fermée mais la production de nouvelles tuiles est à l'arrêt. Environ 300 salariés sur près de 430 sont impactés par cette mesure.


En mois d'un an c'est la troisième fois que le site de l'usine Terreal ferme de manière temporaire sa production. Le travail doit reprendre le 20 mai prochain et tout le monde espère chez Terreal que la reprise d'activité prévue pour le 4ème trimestre soit vraiment au rendez-vous.

03/05/2015

CERIC TECHNOLOGIES EL DJAZAÏR

CERIC, leader de l’industrie des matériaux de construction en Terre Cuite (briques, tuiles, hourdis, etc.) consolide sa présence historique en Algérie en lançant officiellement sa nouvelle filiale en Algérie, CERIC TECHNOLOGIES EL DJAZAÏR.
CERIC compte près de 500 installations dans le monde dont 70 en Algérie, soit environ 60% de la production nationale de produits rouges. Ainsi, chaque jour presque 5 millions de briques et tuiles participent à la construction de l’Algérie de demain (programme étatique, promotions immobilières, villes nouvelles, infrastructures, habitat individuel, etc.). Sur la période 2015-2016, au moins 8 nouvelles lignes de production viendront renforcer cette capacité.
CERIC est fière de rappeler sa présence en continu sur le sol algérien, au côté de ses clients, depuis 43 ans. Elle n’a jamais tourné le dos au pays, même pendant les années les plus difficiles qu’il a enduré pendant la décennie 1990. La solidarité et la fidélité que lui reconnaissent ses clients historiques sont placées au rang des valeurs et principes que défend et promeut l’entreprise depuis sa création par les ingénieurs Michel RASSE et Jean MERIENNE à la fin des années 1950.
Dépositaire des marques les plus prestigieuses de cette filière industrielle, notamment la marque PELERIN – réputée pour la robustesse et la maintenabilité de ses machines– CERIC associe très étroitement l’Algérie à sa nouvelle stratégie tant au plan industriel que des services.
« Proximité, qualité et juste prix » sont les maîtres-mots de sa volonté de placer ses clients au cœur de ses activités de production et programmes de développement, depuis la R&D en amont jusqu’aux services à valeur ajoutée en aval. Ainsi, par le biais de cette filiale, CERIC compte associer étroitement les acteurs algériens du secteur de la construction à l’écriture d’une nouvelle page de l’histoire de l’industrie des produits rouges. En même temps, elle entend rendre hommage à tous les clients qui lui ont permis de conforter sa position de N°1 et son leadership. Grâce à eux, elle a pu anticiper les besoins du marché et améliorer ses processus d’innovation en les ancrant dans les réalités du terrain, notamment la diversité de la matière première, l’argile.
CERIC inscrit son positionnement et sa démarche en Algérie dans la nouvelle dynamique de refondation des liens économiques et stratégiques entre la France et l’Algérie. Elle figure sur la liste des PME qui bénéficient de la considération et du soutien des autorités des deux pays.
A l’avenir, CERIC met à la disposition de ses clients présents et à venir une palette très complète de services en Algérie, tous facturables en DA :

  • Vente de pièces détachées et de pièces d’usures,
  • Maintenance préventive et maintenance curative,
  • Réparation et remplacement de matériels,
  • Audit technique et diagnostic d’installations,
  • Conseils : extension de capacité, augmentation de la performance, amélioration de la qualité, économie d’énergie, sécurité des biens et des personnes, protection de l’environnement, etc,
  • Aide à l’exploitation et assistance à la continuité de service,
  • Formation et développement des compétences, …

Très prochainement, CERIC lancera la fabrication locale des parties métalliques qui jusqu’alors demeuraient à la charge des clients, notamment les composants nécessaires à la réalisation des châssis de wagons, des balancelles, etc.
Cette production leur apportera une garantie de conformité par rapport aux spécifications techniques de CERIC et en découlera un confort supplémentaire dans l’exercice de leur métier d’exploitants.Progressivement, cette offre sera déployée à partir de l’Algérie dans toute la grande région Euro-méditerranéenne, Africaine et Moyen-orientale. De cette façon, CERIC apportera une contribution significative à la création de nombreux emplois directs et indirects en Algérie et renforcera la capacité d’exportation nationale vers les marchés de proximité.
Source : CERIC Technologies El Djazaïr

"Batimatec 2015" se tiendra du 3 au 7 mai à Alger

La 18ème édition du Salon international du bâtiment, des matériaux de construction et des travaux publics "Batimatec 2015" se déroulera du 3 au 7 mai prochain, au Palais des expositions des Pins maritimes à Alger, indique un communiqué de la Société Batimatec Expo.

Organisée par la Société Batimatec Expo en partenariat avec la Société Algérienne des Foires et Exportations (SAFEX), cette nouvelle édition accueillera quelque 1.200 exposants dont 640 étrangers venus de 26 pays, a-t-on ajouté.
L’édition de 2015 verra aussi la présence de nouveaux pays tels que l’Afrique du Sud, la Russie, la Serbie et la Malaisie, aux côté des participants habituels à savoir la Turquie (163 entreprises), la Chine (103 entreprises), l’Espagne (90 entreprises), l’Italie (82 entreprises) et la France (67), selon les organisateurs.
Cette rencontre qui durera cinq jours s’étalera sur une surface globale de plus de 44.000m2, et abritera des journées techniques et des conférences-débats axées sur la valorisation et la promotion de la production nationale.
La première journée de ce cycle de conférences sera réservée au ministère de l’Habitat, de l’urbanisme et de la ville et portera sur la présentation de communications notamment sur la valorisation et la promotion de la production nationale et l’industrialisation du bâtiment.
La deuxième journée du salon sera axée sur l’implication de la corporation des architectes, des urbanistes algériens et de leurs invités respectifs.
Placée sous le thème "du développement et de l’efficacité constructive" la journée focalisera sur l’efficacité énergétique dans le bâtiment et la réhabilitation.
Une cérémonie de remise de trophées à des jeunes architectes est également au programme de cette journée.
La troisième et dernière journée sera consacrée aux industries des matériaux de construction comme les bétons prêts à l’emploi (BPE), et l’industrie algérienne des terres cuites (briques, procédés d’extrusion, contrôle de qualité, la préparation et l’isolation).
Parmi les participants figurent notamment des dirigeants d’entreprises, des responsables institutionnels, des décideurs et des experts.

Source Radio Algérie

Isaad Rebrab va exporter en France des fenêtres en PVC à partir de Bordj Bou Arreridj

Le patron de Cevital, l’homme d’affaires Isaad Rebrab va lancer une grande usine de PVC à Bordj Bou Arreridj, une ville située à 230 Km à l’est d’Alger. C’est Azeddine Mechri, le Wali de cette wilaya, qui a révélé en personne cette information. En réponse à une question d’Algérie-Focus, le Wali a expliqué que cette usine créera plus de 3200 emplois.” Cette usine permettra à Rebrab d’exporter des fenêtres en PVC vers la France”, se réjouit le Wali de Bordj Bou Arreridj qui affiche sa fierté d’accueillir dans sa région un tel projet d’investissement.

Il est à souligner que Rebrab va lancer sa grande usine de PVC à Bordj Bou Arreridj après avoir racheté le fabricant français OXXO, spécialiste de la fenêtre en PVC. Cet investissement va donc lui permettre de compléter son business en créant une filiale en Algérie. Une filiale qui permettra justement de commercialiser de la menuiserie PVC dans le marché international et booster les exportations du groupe Cevital. Un groupe est aujourd’hui un véritable conglomérat présent dans plusieurs secteurs de l’automobile à l’agroalimentaire.
De son côté, le Wali de Bordj Bou Arreridj a indiqué que sa wilaya abritera de nombreux autres projets d’investissements dont la création de la plus grande briqueterie en Afrique. 15 hôtels sont aussi en cours de construction, annonce le même haut responsable qui table sur la création de plus de 30 000 emplois permanents d’ici 2 ans.
Source Algérie Focus par Abdou Semmar

02/05/2015

CERIC confirme son dynamisme au Maghreb et démarre 5 nouvelles usines

Les Tuileries Woestelandt de Nieurlet racontées par ses anciens salariés

Alors que le destin du site des tuileries Woestelandt, à Nieurlet, est en cours de décision, ses anciens salariés rappellent leurs souvenirs et savoir-faire moins de deux ans après sa fermeture, fin juin 2013. L’histoire du village et son passé industriel furent intimement liés à la vie des anciens établissements.
« Quand on passe devant, on ne peut pas s’empêcher de jeter un coup d’œil aux bâtiments. Cette entreprise, elle était familiale jusqu’au bout. Et quand tout s’est arrêté, évidemment que ça nous a fait mal au cœur. »
Didier Ryckelynck, contremaître, a travaillé une quarantaine d’années aux Tuileries Woestelandt, comme ses frères, et y a même rencontré son épouse. Il y est entré à 16 ans « pour couper du bois », s’est formé « sur le tas » et a gravi les échelons jusqu’à prendre en charge la gestion des équipes, l’entretien du site, la fabrication et la gestion des stocks. Martine Speter, aujourd’hui adjointe à la Culture, fut la secrétaire commerciale et la dernière personne à gérer l’administratif des Tuileries, lorsque le site, à sa fermeture n’accueillait plus que 22 salariés dont 15 Nieurlétois (ils étaient 87 au plus fort de l’activité). Pour elle, les tuiles n’ont plus de secret : « Quand je vois un camion transportant des tuiles, je ne peux pas m’empêcher de vérifier le modèle. À l’usine, notre production était diversifiée. On a vendu plus de mille références : des tuiles, du parement, des accessoires. »
Les établissements Woestelandt sont intimement liés à la vie du village. L’usineWoestelandt a vu le jour en 1867, comme l’indique une lettre de patente autorisant l’exploitation de l’argile signée par Napoléon III ! À cette époque, Nieurlet ne s’appelait pas encore Nieurlet, et était un hameau rattaché à la commune de Lederzeele. Devenu village en 1928, il a profité de son sol argileux pour développer un savoir-faire, comptant jusqu’à quatre tuileries. La fermeture des établissements, après celle des Tuilerie Devynck, du comptoir Tuilier du Nord (appelé Tuilerie de Saint-Momelin), et de la tuilerie des Flandres, a tourné la page du passé industriel florissant nieurlétois.
Les dates clés des établissements Woestelandt
Une histoire familiale née en 1867
Les établissements Woestelandt portent le nom de la famille qui les a créés. Une lettre patente d’autorisation d’exploitation datée de 1867 marque le début des activités. L’agrandissement en 1989
Les propriétaires Joseph et Hubert Woestelandt ouvrent un deuxième site à l’entrée du village et y fabriquent une tuile grand moule baptisée la « Double V ». Au plus fort de son activité, l’usine emploie 87 salariés. Ce deuxième site sera fermée en 2002.
Juin 1992
L’usine fête ses 125 ans et ouvre ses portes aux visiteurs, aux élus et clients. Une grande fête est organisée avec visite du marais en bateau.

Juin 2013
L’usine en liquidation judiciaire ferme ses portes faute de repreneur laissant 22 salariés au chômage. Tous ou presque le sont encore.
Les tuiles qui ont marqué l’histoire
Une invention brevetée :
En 1983, Joseph Woestelandt a inventé et breveté le bardage en terre cuite, un système d’accroche sans vis et sans clou. Le premier modèle fut le « bardatuil », aspect tuile plate.
De Roland-Garros à Bruges :
Les tuiles abîmées étaient concassées pour être rajoutées à la « pâte » de fabrication ou vendue à des sous-traitants. L’un d’eux a fourni la terre battue du Grand-Chelem de tennis à Roland-Garros où les tuiles nieurlétoises ont vécu une seconde vie. Les parements de Woestelandt peuvent aussi être vus sur la salle des concerts de Bruges, ou en Pologne. Avant sa fermeture, l’entreprise avait collaboré avec les Monuments historiques en fournissant des tuiles anciennes fabriquées à la main hand-made.

Les produits :
Avant 1970, l’usine fabriquait surtout des briques creuses,des drains (tuyaux de drainage), des hourdis et des carreaux en terre cuite... Dès 1970, les frères Joseph et Hubert Woestelandt fabriquent des tuiles qui remplacent la brique creuse (tuiles plates, tempête, panne flamande...)... Mille références figuraient au catalogue. « Nos bons produits se vendaient encore », rappelle Martine Speter.
Source La Voix du Nord par Marie Castro

01/05/2015

Roumazieres loubert: Les femmes à l'honneur chez Terreal

La tuile, un métier d'homme.... on pourrait peut être le croire face aux imposantes machines qui broient et façonnent chaque jour des tonnes et des tonnes de terre. Chez Terreal, on veut casser les codes machistes. Et c'est Estelle Jourdain Richelot, la responsables des relations et ressources humaines qui a mené l'opération "journée de la femme" avec l'immersion pendant une journée d'une femme dans un service de maintenance.
"La femme avait autrefois sa place dans la
fabrication des tuiles à Roumazières. Ce sont les femmes qui les façonnaient sur la cuisse, une des spécialités des tuileries d'autrefois. " Avec le modernisme, l'industrialisation et les horaires de nuit, les femmes se sont faites plus rares dans les tuileries.
Pourtant l'entreprise s'est engagée depuis 2012 dans un contrat social visant à accueillir de plus en plus de femmes dans tous les secteurs d e fabrication des tuiles. " ceci dans un processus d'égalité de traitement dans le recrutement et la promotion active de la mixité professionnelle" explique la responsable des ressources humaines.
Terreal célèbre d'ailleurs chaque année la journée de la femme. Cette année une fleur a été offerte à toute les collaboratrices.
Et pour marquer encore plus l'évènement l'une d'entre elles a accepté de jouer le jeu l'espace d'une demi-journée en participant à une opération de maintenance au sein d'une unité typiquement masculine.
Et pour Brigitte Tremblais, 48 ans et 25 années en électro mécanique au sein de Terreal, l'expérience s'est plutôt bien passée.
Brigitte Tremblais qui aujourd'hui par choix a été mutée au service approvisionnement, après un CAP d'électro mécanique "où on m'a souvent demandé ce que je venais faire ici" intègre les rangs de Terreal justement dans le secteur maintenance où elle est retournée aujourd’hui. Au début ce n'était certes pas facile. Rien n'était prévu pour accueillir des femmes dans un monde d'homme. Mais aujourd'hui c'est différent et tout est fait pour qu'elles s'y sentent à l'aise.
A l'heure actuelle, Terreal renforce sa présence dans les salons et auprès des écoles pour faire découvrir toutes ces filières accessibles aux femmes.
Et il y encore beaucoup à faire pour faire évoluer les mentalités. Le pôle tuile Terreal compte actuellement dans ses rangs 32 femmes sur 456 employés. A Roumazières elles sont 29 sur 420 salariés, à Chasseneuil 2 et à Montpon, 1 seule. Une femme est chef d'équipe de production en 5/8 et cinq sont opératrices de production.

Source Roumazièresblogs  La Charente libre par Marie Françoise Cormier

30/04/2015

Terreal fait sa mue et devient une marque unique

Industriel proposant des solutions complètes pour l’enveloppe du bâtiment, Terreal a décidé de se doter d'une nouvelle stratégie de marque et d'une nouvelle identité visuelle, et ce pour toutes ses activités. Ces dernières seront reconnaissable grâce à une charte graphique unique. Une nouvelle image plus moderne et un positionnement plus en phase avec son identité et ses ambitions.
Historiquement spécialisé dans la fabrication de matériaux en terre cuite grâce à l’héritage de grands noms français de l’industrie de la tuile et de la brique (Lambert, TBF, Guiraud), Terreal a depuis bien évolué puisque le groupe fournit aujourd’hui des systèmes constructifs complets qui vont de la couverture (tuiles, cheminées, composants métalliques d’étanchéité, écrans de sous-toiture...) en passant par la structure et la façade (vêtures, bardages en terre cuite et murs- manteaux). Une plus petite partie du Chiffre d'affaire du groupe (400 millions d'euros en 2014) vient de la décoration.
Cette offre complète permet d’apporter au groupe une approche globale aux enjeux énergétiques du marché, en neuf comme en rénovation. Mais l’identité visuelle commençait à se faire vieillissante. « Notre ancienne identité était trop restrictive par rapport à la diversification de nos savoir-faire et notre offre plus globale » indique Hervé Gastinel, Président de Terreal. Il ne s’agit donc pas simplement d’un relifting mais bien du lancement d’une nouvelle stratégie de marque permettant de soutenir le repositionnement du groupe.
« Nous avons diversifié nos savoir-faire et élargi notre offre, avec notamment le solaire et l’isolation thermique par l’extérieur. De plus, notre entreprise a pris, ces dernières années, des engagements profonds sur les 2 piliers de la RSE : toutes ces évolutions devaient apparaître dans notre identité. Cette nouvelle marque reflète ainsi nos valeurs et nos ambitions stratégiques » précise Hérvé Gastinel, pour qui le « nouveau logo symbolise un éclairage sur le monde, une étincelle communicative ».
Ce logo s’accompagne d’une nouvelle signature, « Terre de votre imagination », qui met en avant des dimensions chères à Terreal. « Avec ce logo et cette signature, nous souhaitons mettre en avant l’accompagnement que nous offrons à nos clients dans la création de beaux projets, plus accessibles et fonctionnels, respectueux de la santé des hommes et de l’environnement », précise le Pdg de Terral qui souhaite ainsi affirmer son statut d’acteur global de l’enveloppe du bâtiment grâce à une identité cohérente pour l’ensemble du groupe, à la fois institutionnelles et commerciales.

Source Batiweb

29/04/2015

Imerys Toiture : un nouveau coloris pour les toits du Jura

Avec ce nouveau coloris Chevreuse aux tonalités de terre naturelles composées de nuances claires de gris, la gamme de tuile robuste Jura 10 Jacob s'attribue une teinte parfaitement adaptée pour les maisons jurassiennes habituées à utiliser ce coloris sur d'autres gammes Imerys Toiture.

Grâce à ce coloris authentique, le fabricant a voulu préserver le bâti traditionnel de ces régions naturelles.

Il conserve tous les atouts de la tuile Jura10 Jacob, fabriquée avec les fameuses argiles de Commenailles, réputées ingélives.

L'ensemble des éléments de fabrication apporte une résistance mécanique particulièrement adaptée aux hivers rigoureux.

Son imperméabilité efficace en toutes circonstances fait la réputation de cette tuile, résistante à toutes les intempéries, même les plus intenses.

La pose, à joints droits, s'établit de façon remarquable en faible pente sur la totalité de la toiture mais aussi sur un coyau.

Source Batijournal