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08/06/2012

Schiedel, the leading supplier of prefabricated chimney systems in Europe with the widest choice of chimney and flue products.


Part of the Monier group, Schiedel is at the forefront in product and service innovation, with systems and solutions that are reliable, innovative and cost-effective.
Our products conform to the most stringent standards of design, manufacture and performance required world-wide, and are CE certified in accordance with EN1856 and manufactured under BS EN ISO 9001-2000 quality control systems.

Whether it’s a multi-flue chimney, a fan dilution system or a generator exhaust, Schiedel has a product to suit every commercial or industrial application. We also offer a full CAD design service and technical support.

 Both in the private and public-sector Schiedel Rite-Vent has unrivalled experience that you can rely on whatever the scale or nature of your project – from chimneys to exhaust and venting systems.
On-site, our technical team can provide site analysis and application advice as required.
Schiedel can design and manufacture for projects in the U.K. and Europe, and arrange for on-site installation from a small commercial installation to a large industrial application.

07/06/2012

Moeding leader du bardage terre cuite - s'impose sur le marché français


Leader du bardage rapporté terre cuite en Allemagne, Moeding s'impose aujourd'hui comme partenaire privilégié sur le marché français. La grande variété de couleurs, finitions et formats,  associée à une qualité irréprochable et à des performances techniques élevées contribuent au succès croissant de cette marque en France.
Pionnière dans le développement des bardages rapportés terre cuite dans les années 80, Moeding a su garder son approche artisanale tout en développant  ses outils et procédés de fabrication pour devenir un industriel performant  et un partenaire fiable et durable. Impliquée dans de nombreux projets de grande envergure, l'entreprise Moeding s'adapte aux exigences et particularités architecturales, notamment par le développement de formats ou finitions spécifiques.

Par amour de la Terre ...
Imprégnée par la culture allemande très sensible aux questions environnementales, Moeding a depuis toujours été très attentive à son impact sur l'environnement. Elle utilise des matières premières nobles et naturelles, produit en minimisant les rejets de gaz à effet de serre,  développe de nouvelles solutions d'ossature aluminium, recycle et analyse le cycle de vie du produit participant ainsi aux démarches HQE et de développement durable.
Exploitées depuis la période romaine,  les carrières d'argiles et de lœss locales fournissent aujourd'hui encore la grande majorité des matières premières pour la fabrication des produits Moeding.

Façades en terre cuite pour une enveloppe écologique et durable
Les nouvelles réglementations énergétiques françaises, l'explosion du marché de l'isolation thermique par l'extérieur, les nouvelles attentes en terme de confort acoustique et de confort d'été sont des problématiques auxquelles Moeding
Source EspaceDatapress

06/06/2012

Pierre versus Brique : Le combat des poids lourds


Liant esthétisme et durabilité, les constructions en pierre ou en brique sont toujours un choix gagnant. Mais entre les deux, qui gagnerait le combat ? Allons voir.

Round 1 : Écologie

La brique est un matériau naturel réalisé à base de terre cuite. Elle n'émet aucun produit nocif ni lors de la construction, ni au fil des ans. Quant à la pierre, il s’agit évidemment d’une ressource recyclable, non polluante et inépuisable. Verdict : égalité.

Round 2 : Qualité du produit

Isolant naturel, solide, noble, incombustible… La brique et la pierre font toutes les deux le poids. Cependant, la porosité de la brique lui confère une grande capacité d’absorption. Ceci fait en sorte qu’elle peut accumuler la chaleur pendant la journée pour la restituer la nuit. Elle préserve aussi la qualité de l'air intérieur en limitant la condensation et les moisissures et est une meilleure barrière sonore que la pierre. Quant à l’installation, un mur en brique sera plus facile à installer principalement à cause de son poids. Cependant, la pierre comme la brique ne nécessitent aucun entretien Verdict : avantage Brique.

Round 3 : Allure

Une maison en brique propose une ambiance sympathique et chaleureuse. Quant à elle, la pierre donne un aspect plus propre, plus chic. D’un autre œil, l’un comme l’autre convient autant aux styles moderne ou traditionnel. Verdict : décision partagée.

Round 4 : Coût

Les coûts des matériaux varient énormément selon la ville où la maison sera située. La disponibilité des matériaux fera en sorte que l’un sera plus dispendieux que l’autre. Il n’y a pas de règle générale ou de tendance. Verdict : égalité.

Ainsi, il semble que la brique ait un léger atout sur la pierre, mais rien de majeur. Vous pouvez donc vous en remettre à la plus agréable des raisons pour choisir votre revêtement : vos goûts personnels. Personnellement, je préfère la pierre, mais en ce qui concerne le choix du revêtement de votre résidence, ce n’est pas de mes affaires
Source Edition  Beauce

Michèle Malmanche n'est plus


«Michèle laissera un vide immense au sein de l'équipe. C'était une personne de confiance». François Weller, maire d'Abzac, est encore sous le choc de voir disparaître Michèle Malmanche, 64 ans, sa 1re adjointe. Native de Saint-Aubin-du-Plain (79), Michèle Malmanche avait épousé Roland Malmanche, l'un des dirigeants de la tuilerie de Chardat d'Abzac. Pour s'occuper de ses trois enfants Emilie, Justine et Romain elle avait quitté son emploi de secrétaire à Poitiers et s'était consacrée à son foyer. En 2008, elle se présente comme conseillère municipale, est élue et toujours très disponible s'implique dans tous les dossiers de la commune. Elle était déléguée communautaire, membre du CCAS et du CIAS et de la Confrérie Saint-Lucius et Émérite. Ses obsèques seront célébrées cet après-midi à 16h à l'église d'Abzac (Repro CL).
Source La Charente Libre

05/06/2012

Tellus Ceram. Sortie du tunnel pour la briqueterie ?


Dans le Fumélois, la mobilisation, syndicale ou pas, n'est pas une légende. Le 16 Mai , une petite vingtaine des salariés de Tellus Ceram, toujours appelée briqueterie, s'est retrouvée devant la porte du tribunal de commerce à Agen. Au bout d'une petite heure d'audience à huis clos, le représentant du personnel Pascal Adalbert est sorti. Avec un sourire prudent, mais avec un sourire, malgré tout.
Un trou de 400 000€

Le 5 juin, le tribunal de commerce pourrait permettre à cette entreprise d'une quarantaine de salariés de sortir de son redressement judiciaire, et des dommages collatéraux causés par un donneur d'ordre, un client, qui a fait faux bond à hauteur, semble-t-il, d'environ 400 000 €. Un peu beaucoup pour une société dont le chiffre d'affaires 2011 était de 3,6 M€.

Spécialisée dans les matériaux réfractaires entre autres, Tellus Ceram pourrait ainsi sortir par le haut d'une mésaventure qui a fait s'opposer le chef d'entreprise Mesmin Béragnes, et les salariés, sur les modalités d'une réorganisation interne. « Lors d'une audience précédente du tribunal de commerce », explique le représentant du personnel Pascal Adalbert, « on craignait vraiment la liquidation judiciaire… ».

Avant le 5 juin, le juge-commissaire du tribunal de commerce doit en effet valider un montage juridique original au sens littéral du terme : pour raffermir ses positions, Tellus cherche à s'associer au groupe britannique Sistac pour la commercialisation de ses produits. « Il ne s'agit pas de restructuration », réaffirmait hier le chef d'entreprise, pour contredire les doutes qui peuvent encore germer au sein du personnel. Et Mesmin Béragnes d'expliquer que son entreprise possède quelque 1,5 million d'€ de stocks. « Il faut un flux que seul un distributeur qui va chercher les marchés peut générer pour libérer ces stocks ».

C'est le chemin que veulent suivre les dirigeants de cette entreprise industrielle emblématique du Fumélois pour un nouveau départ attendu à la rentrée. Sans perte d'emplois, assure son PDG.
Source La Dépêche

04/06/2012

La tuilerie Monier de Limoux obtient deux trophées : sécurité et performance industrielle !


La performance productive et la sécurité dans le fonctionnement d'une usine ne sont pas forcément antinomiques. La preuve en a été donnée récemment par la société Monier, spécialisée dans la fabrication de produits de tuilerie. En effet, les responsables de l'unité limouxine ont reçu deux trophées importants. Le premier récompense l'usine française qui a obtenu les meilleurs résultats en matière de sécurité au travail, tant au niveau du nombre d'accident qu'à celui du comportement au travail. L'usine a ainsi franchi le cap des 2 000 jours sans accident, soit 5 ans, un résultat exceptionnel. Un second trophée est également venu récompenser l'unité limouxine. Il s'agit de la médaille d'or récompensant la performance industrielle. Cet excellent résultat situe le site limouxin parmi les trois meilleurs classés sur les 150 compris dans le groupe.  
Source La Dépêche

03/06/2012

ADLER TECHNOLOGIES Des solutions clés en main pour gagner en productivité

Adler Technologies fabrique et commercialise des solutions clés en main entièrement automatisées pour la mise en forme du béton. Présente sur le salon Intermat, l’entreprise a mis l’accent sur les solutions dédiées aux gains de productivité.

Elle a présenté une solution permettant de réduire les temps de réglages des pontets nécessaires à la maîtrise de la hauteur des produits : un nouvel appareil de mesure permet d’obtenir d’une façon rapide et précise (au 0,01 mm près), le décalage en hauteur des frappeurs par rapport aux pontets. Le gain moyen constaté du temps de contrôle est supérieur à 30 min par rapport à une solution classique.
Dans la même optique, Adler Technologies propose le système VIP (Valeurs Intégrées au Process) afin de réduire les temps de changement de production et les erreurs de saisie des paramètres (la modification des paramètres de production est entièrement automatisée lors du changement de moule). Ce souci de gain de productivité et de simplification des opérations de contrôles et des activités de maintenance se retrouve aussi dans la gamme de solutions d’automatisation et de gestion de centrale à béton proposées par la division automatisme d’ADLER Technologies. Cette gamme offre la possibilité de gérer de manière simple et conviviale, les commandes, le process et la facturation. La maintenance des sites de production est faite par télémaintenance et inclut la mise à jour des logiciels. Il est même possible de prendre la main sur les écrans de contrôle à distance via un Smartphone ou une « tablette » depuis n’importe quel endroit du globe. Enfin, notre système de planification et de suivi des véhicules s’adapte à la plupart des systèmes de géo-localisation existants, assurant ainsi la gestion en temps réel de la disponibilité des camions à l’aide d’un dispatch très graphique et intuitif. Adler-Technologies fabrique et commercialise des solutions clés en main entièrement automatisées pour la mise en forme du béton. A Intermat, l’entreprise a souhaité mettre l’accent sur les produits ciblés pour les gains de productivité. Concernant la maîtrise de la hauteur des produits nécessitant un réglage des pontets régulier, Adler-Technologies a développé un appareil de mesure permettant d’obtenir d’une façon rapide et précise (au 0,01 mm près), le décalage en hauteur des frappeurs par rapport aux pontets, ceci afin de minimiser les temps de contrôle. Le gain moyen constaté du temps de contrôle est supérieur à 30 min par rapport à une solution classique.

02/06/2012

Première édition du Festiv-argile ce week-end - Bavent


Pour la première année, le comité des fêtes de Bavent, en collaboration avec la Poterie du Mesnil de Bavent et l'usine Terreal, organise le festival Festiv-argile. Objectif : faire connaître aux habitants de la commune et à toute la région, la richesse de la terre d'où est prélevée l'argile pour fabriquer des tuiles et des épis de faîtage.

C'est pourquoi les portes de la poterie comme celle de l'usine de tuiles seront ouvertes aux visiteurs gratuitement, et une navette proposée au départ du centre de Bavent.

Un groupe de sculpteurs travaillera devant le public avec un thème bien précis, tout au long du week-end.

Le programme de samedi

9 h, ouverture du Festiv'Argile. À 10 h, lancement du concours de sculpture, début des animations pour les enfants à la Poterie et dans le parc de la mairie, ouverture du marché des potiers. À 14 h, début des visites de la Tuilerie (sur inscription) et de la Poterie, fin des visites à 17 h. À 18 h 30 fermetures des installations.

À 19 h, début de la soirée normande (sur inscription) à la salle des Arts et des loisirs.

Le programme de dimanche

10 h, ouverture du marché bio et des stands des potiers, début des animations pour enfants à la Poterie et dans le parc de la mairie, soins à base d'argile par une esthéticienne au foyer des jeunes (sur inscription). À 14 h, reprise des visites de la Tuilerie et de la Poterie, à 16 h clôture du concours de sculpture, à 16 h 30 fin des visites. À 17 h, fermeture des stands et à 18 h remise des prix du concours et vin d'honneur.

Samedi 2 et dimanche 3 juin, Festi-argile. Pour tous renseignements, s'adresser à Émilie Laugeois 06 71 06 95 99.

Périgueux- Saint-Pierre-de-Frugie La chapelle restaurée


Les travaux de restauration de la chapelle funéraire et des vitraux de l'église romane de Saint-Pierre-de-Frugie, réalisés en partenariat avec la Fondation du patrimoine, ont été inaugurés samedi. Cet événement, qui s'est déroulé en présence de nombreux élus et des représentants de la Fondation, a donné lieu à la bénédiction de la chapelle funéraire par Mgr Michel Mouïsse, évêque de Périgueux et Sarlat.

Cette chapelle, édifiée en 1839 par Mme Labrousse pour qu'y soit déposée la dépouille de son époux, avait été détruite par la tempête de 1999 et c'est à la demande des descendants que, dès 2008, la nouvelle municipalité a jugé opportun de la reconstruire. Des recherches auprès d'habitants qui l'ont connue, la collecte de photos et la localisation exacte des fondations ont permis de se faire une idée assez précise de l'édifice tel qu'il avait été à l'origine.
Les dons des descendants de la famille Labrousse, fortement mobilisés, la participation et la subvention de la Fondation du patrimoine, l'entreprise Terreal avec la fourniture des tuiles ont permis à la municipalité d'entreprendre rapidement cette reconstruction.
Mobilisation générale

Les travaux ont également été réalisés par des employés communaux (Guillaume Claude et Joël Faymendy), dont le maire a souligné la qualité du travail, des bénévoles et les entreprises Depré-Provenzano, de Miallet (maçonnerie et couverture), Martin LG de Nontron (vitraux), Jérôme Turcotti de Saint-Hilaire-les-Places (ferronnerie), et JME (électrification).

La commune de Saint-Pierre-de-Frugie a été distinguée pour la restauration de cette chapelle et la municipalité a ainsi été encouragée à poursuivre ses actions pour la sauvegarde et la protection du patrimoine.

C'est en effet à l'occasion du 23e concours pour la sauvegarde du patrimoine que le prix national lui a été décerné par la Société pour la protection des paysages et de l'esthétique de la France, le dossier du concours ayant été réalisé par Véronique Freconnet, secrétaire de mairie. Le maire a insisté sur l'investissement dans ce projet et son intérêt pour le patrimoine de la commune.
Source Sud Ouest par Philippe Pagès

01/06/2012

SOLVAY FINALISE LA CESSION DE SA PARTICIPATION DANS LA SOCIETE PIPELIFE A WIENERBERGER


Solvay et Wienerberger ont finalisé la cession de la participation de 50% de Solvay dans le capital de Pipelife, l'un des leaders mondiaux dans la fabrication de tubes en plastique, à Wienerberger.

Pour Solvay, cette opération s'est faite sur la base d'une valeur d'entreprise de 257 millions EUR, un montant qui prend également en compte les dettes diverses et engagements de retraite estimés à 85 millions EUR.

Solvay a reçu en contrepartie de ses actions un paiement en cash de 172 millions EUR, dont 10 millions EUR au titre d'un dividende spécial.

Pipelife est l'un des leaders mondiaux dans la fabrication de tubes en plastique. Basée à Vienne en Autriche, Pipelife opère sur 29 sites de production et emploie 2600 personnes dans 27 pays. La société a réalisé un chiffre d'affaire de 800 millions EUR en 2011.

Wienerberger est le leader mondial de la brique (Porotherm, Poroton, Terca) ainsi que le leader du marché des tuiles en terre cuite (Koramic, Tondach) en Europe et des pavés en terre cuite (Semmelrock) en Europe centrale et de l'Est. Dans le domaine des tubes (tubes en céramique Steinzeug-Keramo et tubes en plastiques Pipelife), la société est l'un des leaders en Europe. Avec un réseau de 232 usines, Wienerberger a réalisé un chiffre d'affaires de 1.555 millions EUR et un EBITDA opérationnel de 214 millions EUR sur les 9 premiers mois de 2011.

Solvay est un groupe chimique international, résolument engagé dans le développement durable et clairement focalisé sur l'innovation ainsi que l'excellence opérationnelle. Il réalise plus de 90% de ses ventes dans des marchés où il figure déjà parmi les trois premiers mondiaux. Solvay propose une large gamme de produits qui contribuent à améliorer la qualité de la vie et la performance de ses clients dans des marchés tels que les biens de consommation, la construction, l'automobile, l'énergie, l'eau et l'environnement ainsi que l'électronique. Le Groupe, dont le siège se trouve à Bruxelles, emploie environ 29.000 personnes dans 55 pays, et a réalisé un chiffre d'affaires de 12,7 milliards d'EUR (pro forma) en 2011. Solvay SA (SOLB.BE) est côté à la Bourse NYSE Euronext de Bruxelles et de Paris (Bloomberg: SOLB.BB - Reuters: SOLBt.BR).

31/05/2012

IMERYS « Étendre la couverture aux achats de faible montant »


La branche matériaux de construction d'Imerys, groupe international spécialisé dans la valorisation des minéraux industriels, utilise la solution de P2O et de gestion de contenu (APC) Ariba pour contrôler près de 50 % de ses achats. L'avis de Lionel Willaert sur le déploiement de cette solution.



Lionel Willaert, directeur des achats et de la supply chain, groupe Imerys

Lionel Willaert : en préambule, je voudrais préciser qu’Imerys est un groupe international présent sur les cinq continents et que notre organisation des achats est décentralisée. En faisant migrer, pour partie, les achats de la branche matériaux de construction vers la solution d’e-achats d’Ariba (NDLR : qui vient d'être rachetée par la branche américaine de SAP, SAP America, Inc) nous sommes restés très vigilants sur le maintien du niveau de service, à la fois pour nos acheteurs et nos fournisseurs. Au quotidien, la stratégie achats déployée est assez traditionnelle, avec des offres fournisseurs regroupées dans des catalogues validés par les acheteurs sur la base de prix négociés. La solution mise en place avec Ariba permet de faire ­cohabiter dans un même cadre de gestion d’un portefeuille des fournisseurs disposant de catalogues créés et traités par Ariba, et des catalogues fournisseurs préexistants, propres à ­Imerys. Tout cela en s’appuyant sur un moteur de recherche dédié qui, sans être un “Google bis”, offre une ergonomie satisfaisante. Les échanges de propositions et contre-propositions de prix s’effectuent de façon traditionnelle, conformément aux conditions contractuelles générales retenues. Ariba endosse ici une responsabilité d’intermédiaire garantissant l’exactitude des données échangées et mises en ligne dans les catalogues. À l’aide de cette ­solution, nous souhaitons étendre la couverture des achats gérés en ligne aux dépenses à faible montant unitaire qui, cumulées, représentent des montants significatifs.

Quel est le périmètre de déploiement de cette solution ?

Le déploiement de cette nouvelle plateforme a une vocation européenne, et sera étendu aux autres divisions du groupe suivant leurs priorités de gestion respectives. Ceci est d’autant plus attractif pour les fournisseurs qu’un certain nombre d’entre eux sont Européens. En ce qui concerne la typologie des achats, il s’agit surtout de consommables, de pièces de maintenance et de tous types d’achats pour la branche construction d’Imerys.

Quels perfectionnements seraient souhaitables ?

Une des complexités tient à l’hétérogénéité des nomenclatures et dénominations que les fournisseurs utilisent. Un marqueur reste un Stabilo et un collier de serrage reste un Serflex, par exemple. Mais les outils d'e-achats aident à bâtir une stratégie fournisseurs par la mise en place de catalogues avec des fournisseurs choisis qui, eux-mêmes, bénéficient de la globalisation des besoins du client.

Comment avez-vous accompagné le changement au sein de votre organisation ?

L’initiative est prise par les entités elles-mêmes, et les acheteurs/approvisionneurs sur site jouent un rôle-clé dans le déploiement. Pour susciter l’adhésion des équipes, nous avons communiqué sur des cas concrets afin d'expliquer les bénéfices de ce changement, et nous avons accentué nos efforts sur la mise en œuvre de bonnes pratiques de management achats sur la plateforme.
Source Décision Achats par Emmanuelle Serrano

Matériaux de construction : prévisions revues à la baisse


Dans un contexte assez général de repli des indicateurs de confiance et du climat d’attentisme qui prévaut depuis cet hiver, la production de granulats et de BPE a accusé un recul en avril.
La Commission économique de l’Union nationale des industries de carrières t matériaux de construction (UNICEM) révise à la baisse ses prévisions d’activité, les portant à - 4 % pour les granulats (contre - 3 % prévus en mars) et à - 5 % pour le BPE (contre - 4 %).
Elle confirme que l’activité perdue au mois de février ne sera pas rattrapée, dans un contexte climatique qui, par ailleurs, est apparu peu favorable en avril et en mai.
Si les signaux conjoncturels ne poussent pas à l’alarmisme, ils n’en demeurent pas moins très partagés et les incertitudes politiques ne sont que partiellement levées dans l’attente des échéances des élections législatives.
La lisibilité conjoncturelle du premier trimestre est cependant très brouillée par les intempéries de février qui masquent les résultats relativement corrects des mois de janvier et de mars.
Aussi, le repli de l’activité constaté entre avril 2012 et avril 2011, d’environ - 3 % (en données cvs-cjo) pour les granulats et de - 6 % pour le BPE ne doit-il pas être interprété comme la confirmation d’une forte dégradation conjoncturelle mais comme un signal cohérent avec une activité du BTP globalement moins bien orientée.
Par rapport au mois de mars, la production observe également une baisse de 5,5 % pour les granulats et de 7,5 % pour le BPE (données cvs-cjo).
Au total, en cumul sur les quatre premiers mois de l’année 2012, les livraisons de granulats et de BPE affichent une contraction assez comparable, de l’ordre de - 8 % et - 7,7 % respectivement, par rapport à la même période de l’année dernière.
Quant à l’ensemble des matériaux, le marché enregistrerait au premier trimestre 2012 un recul de plus de 11 % sur un an.
Pas d’alarmisme…
Même s’il apparaît peu probable que la perte sèche d’activité enregistrée en février soit rattrapée sur le reste de l’année 2012, l’inventaire des derniers indicateurs conjoncturels et des enquêtes n’invite cependant pas à l’alarmisme.
En avril, les carnets de commandes dans le secteur du bâtiment (gros œuvre et second oeuvre) demeuraient orientés à la hausse, un certain rebond des perspectives d’activité étant même observé dans le segment de l’entretien-rénovation et des bâtiments non résidentiels.
En revanche, les professionnels sont un peu plus pessimistes s’agissant du logement neuf. Ils s’attendent à la poursuite du tassement de l’activité, qui se situait, il est vrai, à un niveau relativement élevé.
En effet, à la fin du premier trimestre 2012, les mises en chantier de logements étaient en repli de 11 % par rapport à la même période de 2011, une tendance fortement influencée par le segment de l’individuel (- 18 % contre - 3 % pour le collectif).
À fin mars, on enregistrait encore près de 410 000 mises en chantier en cumul sur douze mois. Le freinage des autorisations se poursuit également, même si, du côté des logements collectifs, les trois premiers mois de l’année 2012 s’achèvent encore sur une progression de + 11 % sur un an (contre - 9 % pour l’individuel).
En cumul sur douze mois, le volume des autorisations de logements avoisinait encore 535 000 unités à fin mars, ce qui constitue un potentiel d’activité non négligeable pour les prochains mois.
…mais prudence et attentisme
Reste que, du côté des promoteurs, la tendance est à la prudence. En l’attente des futures orientations gouvernementales de la politique du logement, les professionnels réduisent la voilure de leurs projets.
Un attentisme qui se retrouve aussi du côté des acquéreurs plus frileux dans leurs investissements et achats de logements, dans un contexte marqué, il est vrai, par des incertitudes économiques et une remontée du chômage.
Selon certaines estimations, les ventes de logements neufs se seraient contractées de 25 % au premier trimestre 2012 par rapport à 2011, une tendance liée à des dispositifs de soutien moins favorables mais aussi à un accès au crédit bancaire plus difficile. La dernière enquête de la Banque de France sur la distribution de crédits effectuée en avril confirme ce diagnostic.
Certes, la remontée des taux d’intérêt à l’habitat est restée maîtrisée (3,9 % au premier trimestre 2012 en moyenne contre 3,6 % il y a un an) mais les critères d’octroi de prêts, quant à eux, se sont légèrement resserrés.
D’où une sensible contraction de la demande de prêts à l’habitat de la part des ménages, mouvement qui pourrait se poursuivre dans les prochains mois si l’on en croit l’enquête.
Ces difficultés d’accès au crédit bancaire ne touchent pas seulement les ménages mais aussi les entreprises, et plus particulièrement les collectivités locales pour lesquelles les ressources financières bancaires représentent la modalité essentielle de financement.
Dans ce contexte, le retour à une normalisation des comportements des banques constitue un enjeu majeur du réamorçage durable de l’activité du secteur du bâtiment mais aussi et surtout des travaux publics.
Si, au premier trimestre 2012, le volume des travaux réalisés dans les TP affichait un repli limité de - 3,5 % sur un an, les dernières enquêtes traduisaient, quant à elles, une chute des marchés conclus (- 21,5 % sur un an), renforçant les incertitudes sur les perspectives d’activité.
Source : batirama.com

Moody's warns on leveraged loan maturity wall


Call it what you like - a cliff, mountain, wall or hump - Europe's EUR133bn-worth of leveraged buyout loans maturing over the next three years is more of a challenge than ever, Moody's Investors Service said in an annual report published on Tuesday.

The escalating eurozone crisis, dismal economic growth prospects, the demise of collateralised loan obligations, increasing pressure on banks to pull the plug on the most distressed credits and a volatile high-yield bond market will make it difficult to refinance, the rating agency said.

Private companies have made significant progress in chipping away at maturities falling due 2012-2015. Around EUR48bn has been refinanced over the past year, either with high-yield bonds or via amend and extend agreements on terms and maturities of existing loans with lenders, Moody's said.

But the weaker credit quality of the loans left to tackle has increased the risk of defaults and a possible subsequent wave of restructurings, Moody's said, especially as demand from CLOs, which are nearing the end of their reinvestment periods, wanes.

"The wall may be smaller, but much of the better credit quality loans have moved out, and so what we're left with is a bigger concentration of weaker credits," said Chetan Modi, senior vice president at Moody's.

Moody's estimates that around 25% of the 254 companies in its study will default over the next three years, and the rate could double if external factors shut the high-yield market for extended periods.

A year ago, Moody's forecast was for a more conservative 20% default rate.

"We are one year closer to the 2014-2015 refinancing peak, which remains worrisome given the weak macroeconomic environment and the generally low credit quality of this debt," Moody's said.

"The openness of both European and U.S. high-yield markets will largely determine how the refinancing burden is navigated. Market access will remain in 'windows', given the ongoing euro crisis, thereby reducing that market's ability to absorb the supply of debt."

RUNNING OUT OF OPTIONS

The progress made so far in pushing out maturities has taken some pressure off. Loans maturing in 2013 have reduced by 75% over the past two years and the 2014 peak flattened by about EUR12bn to EUR60bn.

In addition, of the overall EUR171bn debt maturing from now and beyond 2015 - down from EUR207bn a year ago - 22% matures in 2015 or later compared to 12% a year ago.

Whether the weaker credits will be able to access the high-yield market, however, is questionable.

Fifty-five percent of the loans maturing up to 2015 have been scored at 16 by Moody's, which is equivalent to a rating of B3 or lower. Perhaps more worrying is the 23% of debt scored at 17 - or an equivalent Caa1 rating - which implies a stressed capital structure, the rating agency said.

Last year's EUR38.75bn high-yield bond supply fell well short of the lofty EUR60bn analyst expectations sounded at the start of 2011, and although the market has bounced back, fears are rising that another second-half gridlock is in store.

Supply is currently running at USD32bn for all European high-yield issuers, according to Thomson Reuters data, but the market faced a significant set-back earlier this month when several deals struggled to get done.

One issuer, German roofing materials group Monier, pulled a deal after refusing to give in to investor demands for a coupon in excess of 10.5%.


DISTRESSED OPPORTUNITY

Moody's predicts a dispersion in default rates between rated speculative-grade credits that have proven access to high-yield bond markets and unrated LBOs.

European speculative-grade defaults are currently 2% and are expected to rise to just below 3% by the end of the year, according to Moody's. The default rate peaked at around 12% in 2009.

For those companies that do not have access to high-yield - either because of their weak credit quality or limited size of their debt - their other option is to amend and extend the terms and maturity of their loans.

That is expected to get more difficult.

"Banks are still reluctant to write-down debt if they don't need to, but the situation may be taken out of their hands if their funding partners, the CLOs, are constrained and are unable to participate in amend and extends," said Moody's.

"There hasn't been a situation yet where this has prevented an amend and extend, but it's a factor that has to be taken increasingly into account. It will have a much more dramatic impact next year".

That could result in a big opportunity for distressed funds, he added, who anticipated a big spike in restructurings in 2009 which failed to meet expectations. That, to some extent, was because both banks and CLOs were both more willing and able to agree amend and extends then.

"There's a sense that this time round, that this is less of an option and that should mean more opportunities for distressed funds," Modi said.

The timing of that, however, is difficult to forecast.

"Whether we'll see a deluge or a steady flow of restructurings is uncertain." (Reporting by Natalie Harrison; Editing by Julian Baker)

30/05/2012

Terreal Décoration - nouveau service service « Affichez vos envies »


A l'occasion de la refonte totale de sa communicationet du lancement de son nouveau site Internet, Terreal Décoration propose un nouveau service « Affichez vos envies » : un événement organisé comme un jeu-concours pour donner vie aux plus beaux projets d'aménagements intérieurs ou extérieurs.
Jusqu'au 30 juin 2012, les amateurs de terre cuite peuvent ainsi remporter jusqu'à six "relookings", soit un gagnant par semaine. Le candidat décrit son projet sur le site ci-dessous en y joignant la photo du lieu à rénover ou à créer.
Elu par un jury de professionnels, le vainqueur se verra alors offrir une modélisation en 3D de son nouvel espace, réalisée par une agence de design, et la mise en relation avec les équipes de professionnels Terreal.
Pour participer, rendez-vous sur le site www.terrealdeco.com
A travers ses différentes rubriques, le nouveau site offre de manière interactive des propositions d'ambiances, des informations techniques et pratiques sur ses produits. Une section de recherche permet également de trouver le distributeur Terreal le plus proche de chez soi.
De plus, en concevant sa nouvelle brochure, Terreal a souhaité dévoiler l'étendue de sa gamme Décoration à travers des propositions d'ambiance alliant tendance, modernité et tradition. Cet outil de présentation de plus de 80 pages propose des fiches illustrées pour chaque produit, présentant à la fois des informations techniques et des astuces pour aider les plus novices à créer et réaliser des aménagements intérieurs ou extérieurs. Terreal a également élaboré un nuancier et un guide de pose afin d'assurer la meilleure mise en oeuvre possible de ses produits, mais aussi de fournir toutes les clés pour les entretenir et préserver leur esthétisme.
Source Batijournal

29/05/2012

Concourez pour le premier Grand Prix de la Tuile Terre Cuite Architendance


Plus que jamais la tuile terre cuite est un matériau en phase avec l'époque. Les nouveaux modèles aux couleurs modernes et aux formes novatrices offrent de très nombreuses possibilités aux architectes et aux concepteurs de maison audacieux. Ultraplates, d'aspect brillant ou métallique, dans des teintes anthracite, grise ou noire, la tuile terre cuite s'intégre parfaitement à l'esprit épuré et créatif de l'architecture contemporaine. Elle est même descendue de la toiture pour venir habiller la façade de maisons, pour un rendu résolument moderne et élégant. La FFTB fait appel à la créativité et organise, en partenariat avec le Réseau des Maisons d'Architectes (RMA), le premier Grand Prix de la Tuile Terre Cuite Architendance.
Inscription en ligne avant le 31 juillet 2012. Les dossiers de présentation des projets et/ou des réalisations sera à envoyer à la FFTB avant le 31 août 2012.
Source Batijournal

28/05/2012

Monier rate son émission sur le marché obligataire


En avril, le fabricant de matériaux de couverture a obtenu de ses créanciers un rallongement de ses échéances bancaires, mais avec la promesse d'un remboursement via une émission obligataire. Il devait émettre 250 millions d'euros à 7 ans à un rendement d'environ 10%.

High-yield: down but not out

Whether the blame lies with nervous investors, poorly managed deals or simply bad timing, Europe’s high-yield market has suffered a significant setback that risks locking out all but the top-tier issuers in the next few weeks.

A pulled deal from German roofing materials supplier Monier and other deals from Europcar and Schmolz & Bickenbach that struggled to get over the line have raised fears that the market is not as robust as the unexpected strong start to the year had suggested.

“There is definitely an underlying concern,” said one high-yield syndicate banker. “Effectively, the market in Europe has infinite demand for Double B and high-quality Single B credits, but not much for what we call traditional high-yield with more subordinated capital structures.”

“The majority of investors just don’t have the mindset for that right now. They are being driven by fear.”

Nonetheless, bankers say it is far too early to write off the market, which has come a long way in the past three years. Some pinned the blame on the lead managers, saying that Monier should have been marketed more heavily in the US, while existing FRN investors in Europcar should have been lent on more heavily to roll over into the new issue.

Either way, both deals were seen in isolation to a certain extent, and for now at least, the market is still poised for a clutch of deals later this quarter, with supply likely to emerge from the auctions of companies, including BSN Medical and Birds Eye Iglo.

“This doesn’t stop us from underwriting deals or stop the auctions going ahead, and it certainly doesn’t mean we’ve taken our foot off the high-yield accelerator in favour of loans in terms of acquisition financing,” said one high-yield banker. “It just means it’s a bit more finely balanced going to either market.”
Reckless timing

The sellside also did itself no favours with the timing of the deals that struggled. Bankers picked one of the most volatile periods since the start of the year to swamp the market with five transactions as they rushed to push issuers out before full-year earnings went stale. Monier, for example, pulled its bond on Wednesday as yields on Spanish 10-year bonds jumped above 6%.

Not only were many buyside managers taking advantage of the May Day holiday, but elections in France and Greece had already brought a widespread pullback across all asset classes.

The cyclical nature of all the deals also sparked criticism from investors, who can afford to sit back after enjoying returns of more than 12% since the start of the year.

“When primary deals are pulled, there is a tendency for the sellside to blame the European high-yield fund community for being overly skittish,” said Peter Aspbury, head of European credit research at JP Morgan Asset Management. “It’s easy to forget that a lot of fund managers are subject to retail investor flows that can be highly reactive to equity market sell-offs.”
Back to the US

But some bankers warned that issuers might increasingly turn to other alternative sources of financing such as mezzanine loans, even though this remains a very niche market.

Europcar’s owner Eurazeo had little choice to price its downsized deal to yield 14%, despite a €110m cash injection, but a company such as Monier has greater flexibility because its bank debt does not mature until 2015.

In the short term, European issuers may also lean more heavily on the US dollar market. Companies such as Ineos, for example, completely bypassed the European bond market last month after it achieved cheaper refinancing costs across the pond.

    “Issuers are having to adjust, but they are only slowly weaning themselves off cheap bank debt”

An US$853m-equivalent bond from B1/B+ rated business travel operator Carlson Wagonlit this week also demonstrated the benefits of doing a dual-tranche dollar/euro issue.

“It definitely helps to create a better dynamic. If European investors see that the deal is getting support in the US – it helps give more conviction. With a sole euro deal, you don’t get that interplay,” said one of the bankers involved in the deal.

On a more positive note, the fact that Monier’s book was covered was seen as a positive by some players.

“If a company wants to walk away from 10.5% term money, that’s someone making a call on the cost of capital, and something that I find great solace in. Issuers are having to adjust, but they are only slowly weaning themselves off cheap bank debt,” said Jacques McChesney, a high-yield partner at Shearman & Sterling.

Balesta. 25 tonnes de tuiles renversées sur la D17


L'accident s'est produit mardi en fin d'après-midi, à la sortie de Balesta, sur la D17. Un poids-lourd espagnol qui roulait dans le sens Lannemezan-Boulogne.

Transportant un chargement de 25 à 26 tonnes de tuiles canal, provenant de la tuilerie de Blajan, il aurait fait un écart vers le bas-côté pour faciliter le passage d'un véhicule qui le doublait. Le bord de la route étant très étroit à cet endroit et le fossé presque immédiat, le poids-lourd a versé dans le fossé avec tout son chargement.

La brigade de gendarmerie de Montréjeau est intervenue pour sécuriser les abords. Problème, le poids-lourd étant espagnol, il faut attendre l'accord de son assurance pour réaliser le travail de vidage du contenu de tuiles et l'enlèvement du camion. En attendant, une déviation pour les poids-lourds est à l'étude. Elle pourrait se faire vers la D 24 en direction de Garaison-Boulogne, à partir de l'embranchement d'Uglas. Le conducteur n'a pas été blessé dans l'accident.
Source La Dépêche

27/05/2012

Droits à construire : un guide explicatif sur la nouvelle majoration de 30%



Suite à la publication de la loi n°2012-376 du mars 2012 relative à la majoration de 30% des droits à construire pendant 3 ans, le ministère de l’Ecologie a mis en ligne, quelques jours avant l’investiture du nouveau Président, un guide composé de fiches qui détaillent les modalités d’application de ce nouvel outil.
Dans le but de favoriser la construction de logements, Nicolas Sarkozy a instauré, en mars dernier, une nouvelle loi qui accorde une majoration de 30% des droits à construire dans les communes couverte par un plan d’occupation des sols (POS), un plan local d’urbanisme (PLU) ou un plan d’aménagement des zones (PAZ).

Si cette majoration est automatique, le choix est toutefois laissé aux communes ou EPCI de l’appliquer ou non sur leurs territoires.
Le ministère du Développement durable vient donc de publier un guide qui détaille le dispositif. Il est composé de quatre fiches : les collectivités et les parties du territoire des collectivités concernées par le dispositif de majoration ; dispositif de participation du public : de l’élaboration de la note d’information à la présentation de la synthèse des observations du public ; la prise de décision et ses effets dans le temps ; application de la majoration aux demandes d’autorisations d’urbanisme.

L’idée est de fournir toutes les clés pour une bonne application de ce nouvel outil. Reste à savoir s’il perdurera avec le nouveau gouvernement…
Source Batiactu

26/05/2012

Travailler avec un cabinet de recrutement


Trouver un bon professionnel du recrutement est parfois plus difficile que de dénicher le bon candidat pour un poste stratégique. Nos conseils.

Quels avantages tirer du recours à un professionnel du recrutement ? Les mêmes que pour toutes les opérations d'externalisation : dégager des ressources pour se concentrer sur son coeur de métier et rendre variables des coûts fixes. Si les entreprises britanniques en sont des adeptes depuis longtemps (plus de la moitié des recrutements passe par les professionnels de la profession), les firmes françaises sont plus hésitantes : environ un recrutement sur cinq fait appel à ce type d'intermédiaires. Outre les bénéfices financiers, les cabinets apportent leur savoir-faire et contribuent à renouveler les profils, en privilégiant les compétences, plutôt que les réseaux internes ou les associations d'anciens élèves. Sans oublier la possibilité de trouver une perle en provenance d'un concurrent, grâce à la confidentialité permise par le cabinet.



1 - TROUVER LE BON PRESTATAIRE VIA UN RÉSEAU

Difficile de s'y retrouver parmi le millier de professionnels du recrutement sur le marché français. « Il faut d'abord faire confiance au bouche à oreille », estime Pascale Kroll, co-auteure du « Guide des professionnels du recrutement » et créatrice du site rhadvisors.com. L'adhésion du cabinet à un syndicat professionnel (Syntec Recrutement, l'Association of executive search consultants) ou à une association (comme À compétence égale, qui milite pour la non-discrimination) donne une première garantie. Cela n'empêche pas d'éventuels dérapages, mais ils seront a priori moins nombreux. Un cabinet ne se choisit pas à l'aveugle. C'est en recrutant qu'on le trouve. « La première mission qu'on nous confie est souvent un test », reconnaît Laurent Hürstel, le directeur associé du cabinet Robert Walters. Ensuite, c'est une relation commerciale entre deux personnes qui se met en place. « Je travaille avec des professionnels que j'ai connus chez mon précédent employeur, un grand groupe coté », explique Nicole Soustrade, la directrice de la gestion des cadres de Terreal, spécialiste des matériaux de construction pour bâtiments. Selon elle, « la capacité du consultant à comprendre l'environnement de travail du futur recruté est une donnée essentielle ». Si le consultant ne franchit pas la porte du site où travaillera le salarié, s'il ne rencontre pas son N+1, c'est mauvais signe. « Nous cherchons à trouver le meilleur candidat par rapport à un environnement donné », confirme par ailleurs Nicolas Leroy, le directeur de la division ingénieurs du cabinet Michael Page.



2 - NÉGOCIER LE MODE DE RÉMUNÉRATION

C'est l'un des points les plus discutés dès que l'on parle de cabinets de recrutement. Ils seraient trop chers et leurs tarifs pas assez transparents. Pourtant, sur le papier, les règles sont des plus simples : les cabinets appliquent une rémunération proportionnelle, entre 15 et 20% de la rémunération brute annuelle (elle peut monter jusqu'à 33% pour les postes les plus élevés de l'entreprise). La logique veut que plus le poste recherché est rare, plus le salaire est élevé, et donc mieux le cabinet se rémunère. Malgré tout, constatant des dérives - présenter les candidats aux émoluments les plus élevés -, les cabinets ont adapté leur mode de rémunération en pratiquant le forfait négocié d'avance, soit un pourcentage du salaire moyen pour le poste.

Il n'est pas rare qu'un acompte soit demandé. L'intérêt pour le cabinet ? Éviter de mobiliser ses équipes pour que finalement la mission lui échappe, l'entreprise trouvant elle-même le bon candidat. Acompte, forfait... Tout peut se négocier et ce d'autant que le volume d'affaires d'une entreprise traité par le cabinet est important. Le choix de la rémunération n'est pas neutre et doit être adapté aux attentes de l'entreprise. Chez JCDecaux, le paiement d'un acompte est privilégié pour les métiers en tension, jeunes diplômés compris. « Pour ces compétences rares, donner l'exclusivité à un cabinet a du sens et est économiquement intéressant, car le bon candidat est difficile à trouver », rappelle Guillaume Comby, le responsable du recrutement pour JCDecaux France. « Ce qui ne nous empêche pas de travailler au succès sur d'autres missions pour lesquelles nous estimons pouvoir trouver aussi par nos moyens la bonne personne. » La rémunération dite « au succès » est une sorte d'offre low cost, soit le paiement si, et seulement si, le cabinet trouve le bon candidat.



3 - ENVISAGER DE RÉPARTIR LE TRAVAIL

Un ou plusieurs cabinets ? Sans DRH centralisée et « centralisante », il n'est guère possible d'avoir un cabinet unique. Chaque service ou direction régionale sélectionnera son prestataire. Le choix peut aussi s'effectuer en fonction des postes recrutés : un cabinet dédié à la chasse des cadres les plus recherchés, un autre pour trouver les commerciaux, par exemple. C'est la solution retenue par Jean-Paul Malec, le responsable du recrutement et de la formation de Berner, distributeur d'outillages. Retenir un cabinet unique peut devenir pertinent quand les volumes de recrutements récurrents deviennent importants. « En juillet 2011, nous avions 60 postes de cadres ouverts et il nous a semblé intéressant d'avoir un contrat d'externalisation pour le sourcing avec un cabinet unique », témoigne Guillaume Comby. Son but n'est pas tant d'obtenir des économies d'échelle que de simplifier, avant tout, la gestion administrative : « Un seul cabinet, c'est un interlocuteur unique et un reporting unifié », poursuit-il. Comme pour tout investissement, un appel d'offres permet de mieux choisir. EDF a procédé ainsi, confiant à six cabinets (trois pour les cadres, trois pour les techniciens) l'ensemble de ses recrutements. La répartition s'organise en fonction d'un découpage par région et par spécialités.

25/05/2012

La fabrique des Terres cuites de Courboissy, à Charny, s’ouvre au public demain après midi


S’il existe une entreprise qui connaît par cœur les propriétés de la terre de Puisaye, c’est bien Les Terres cuites de Courboissy, à Charny. Des milliers de carreaux d’argile y sont fabriqués.

Un savoir-faire rodé depuis plus d'un siècle couplé à une volonté d'exploiter artisanalement l'argile, telle est la recette utilisée par l'entreprise de Charny Les Terres cuites de Courboissy. « Les gens tiennent de plus en plus à aménager leur maison avec des produits naturels, insiste le patron, Olivier Brunet. Ici, tout est fait manuellement. Les carreaux de terre cuite que nous fabriquons sont issus d'un mélange d'argiles auquel nous n'ajoutons aucun pigment. »
Un travail qui réclame
de la patience

Cette argile, qui arrive à Charny sous la forme de pains, passe ensuite entre les mains expertes des artisans de Courboissy. Chaque pain est découpé avec une mandoline équipée de cordes de piano. Chacune des galettes d'argile qui sortent de la mandoline est disposée dans une presse pneumatique manuelle. En ressortent des carreaux, durs et peu poreux, qui partent ensuite au séchage durant plus d'un mois.

Dès la période de séchage, les carreaux laissent apparaître leurs spécificités. « On peut voir les grains, les fils de découpe, les nuances de couleur, explique Olivier Brunet. Les carreaux fabriqués de manière industrielle n'ont pas du tout cet aspect. »

Une fois la période de séchage terminée, les carreaux sont disposés, un à un, dans un four à flamme inversée, « qui est conçu de façon à ce que la chaleur reste et s'évacue par le bas pour une parfaite cuisson », précise le patron.

Pendant près de deux jours, les pièces d'argile sont chauffées. Selon la couleur souhaitée, les artisans dosent l'air qui passe dans le four. « S'il y a moins d'air, cela provoque une réaction chimique avec le chauffage au gaz. Le fer contenu dans l'argile ressort, ce qui donne ensuite des carreaux plus foncés. »

Les pièces de terres cuites sont ensuite stockées et prêtes à partir chez les clients, qui optent aussi pour ce type de matériaux pour économiser l'énergie. Selon Olivier Brunet, « mettre de la terre cuite au sol permet de garder la chaleur ».

Arrivé à la tête de l'entreprise en 2008, l'actuel patron réfléchit à différentes pistes pour diversifier son activité. « Je suis actuellement en discussion avec un artisan qui fabrique des carreaux émaillés à partir de biscuits d'argile blanche sur lesquels on dessine ensuite des motifs, souligne-t-il. J'espère à terme pouvoir produire ce type de pièces ici. »

Visite. La CCI de l'Yonne et l'office de tourisme de la région de Charny proposent une visite de la fabrique des Terres Cuites de Courboissy, demain vendredi, à 14 h 30. Réservations au 03.86.63.65.51.

Algérie : le salon Batimatec ouvert sur l’international


Pour sa 15ème édition, le salon algérien du bâtiment, des matériaux de construction et des travaux publics, Batimatec, aura compté 1030 exposants issus de tous horizons.
L’événement qui a pris  fin le 7 mai après avoir ouvert ses portes jeudi 3 mai aura regroupé 544 entreprises algériennes, mais également 488 sociétés étrangères représentant quelque 23 pays parmi lesquelles la Turquie, l’Italie, la France, la Chine, l’Espagne la Belgique et l’Allemagne. Cette manifestation aura notamment permis d’évaluer les possibilités qui s'offre à l'Algérie pour mener à bien son programme quinquennal (2010-2014) qui prévoit la construction de 2,5 millions de logements. 
Source France BTP

24/05/2012

Le style architectural conservé avec les tuiles photovoltaïques


Les technologies de panneaux solaires thermiques et photovoltaïques se distinguent dans leurs destinations, tout en employant la même énergie : le soleil. Si celui-ci s’avère une source inépuisable, son principal défaut est aujourd’hui de ne pouvoir être stocké, même si les recherches actuelles s’orientent vers ce nouvel objectif.

❑ Le soleil, alternative aux énergies fossiles
L'emploi de l'énergie solaire n'est pas une nouveauté du XXIe siècle. En effet, elle a fait ses premières armes à plus ou moins grande échelle dans les années 1970. Marquées par le premier choc pétrolier, ces années ont été l'occasion de développer de nouvelles sources de fabrication d'énergie avec, déjà, les premières aides gouvernementales. Leur développement a cependant rapidement été stoppé avec l'arrivée de l'énergie nucléaire et, dans le même temps, la baisse des prix des énergies fossiles.

Ce n'est qu'à la fin des années 1990 que cette solution de production d'énergie revient sur le devant de la scène. Elle est appuyée, pour l'énergie solaire thermique, par le « Plan Soleil » mis en place par l'État et l'ADEME en 1999. Les particuliers commencent également à s'intéresser au photovoltaïque en y voyant un intérêt financier par la revente de la production d'électricité ainsi obtenue.

La politique énergétique est matérialisée par le Plan pluriannuel d'investissement (PPI) qui précise les orientations gouvernementales.

❑ Les énergies renouvelables pour couvrir les besoins énergétiques
De cette avancée sur énergies solaires, il en est ressorti 4 objectifs :

    • Participer à l'indépendance du pays en matière énergétique et assurer un approvisionnement constant ;
    • Garantir un prix compétitif pour cette production ;
    • Se soucier de la santé et de la préservation de l'environnement en agissant contre la multiplication des émissions de gaz à effet de serre;
    • Assurer la cohésion sociale et territoriale en offrant à tous un accès à cette nouvelle énergie.

Il en résulte des textes d'application aux données variées. Le premier objectif est notamment d'arriver à satisfaire, par le biais des énergies renouvelables, 23 % des besoins français en énergie à l'horizon 2020. Les textes précisent aussi la volonté de passer de 14 à 21 % d'électricité issue des énergies vertes et de voir la production de chaleur émanant de cette solution renouvelable évoluer de 50 % afin de répondre aux prescriptions du Grenelle de l'environnement de 2009. Si l'on prend le photovoltaïque, les énergies à produire devront alors être de 1 100 Mwc en 2012 et 5 400 Mwc en 2020. Pour obtenir ce résultat, la France prévoit la mise en place de nouveaux panneaux, mais également de tuiles photovoltaïques.
Source Batiweb

L'année historique de Maisons France Confort


Le premier constructeur de maisons individuelles, dont le siège est à Alençon, fait mieux que résister à la crise. Il a tenu son assemblée générale mardi matin, à la halle aux Toiles.
Record

Maisons France Confort a réalisé un chiffre d'affaires record l'an dernier : 583 millions d'euros. En progression de 31 % par rapport à l'année précédente. Le constructeur de maisons individuelles a connu selon son PDG, Patrick Vandromme, un exercice « de croissance forte et rentable ». Le premier trimestre 2012 est en repli de 12 % mais cette baisse est à relativiser avec « le très bon premier trimestre 2011 et le contexte économique ».
Conjoncture

« Les périodes électorales créent toujours un certain attentisme. Nous constatons un resserrement des conditions d'attribution des crédits, observe Patrick Vandromme. Les banques demandent beaucoup plus d'apport personnel et des remboursements plus rapides. Elles ont prêté 40 % de moins que l'année précédente. »
Optimisme

Patrick Vandromme estime que le marché va se maintenir « car il est porteur », malgré la cherté des terrains autour des grandes villes. Le groupe devrait bénéficier de l'accélération de la destruction des logements anciens (avant 1975) : ils consomment trop d'énergie.
Acquisitions

Maisons France Confort a acquis l'an dernier deux nouvelles sociétés : Logis du Marais Poitevin et Les Maisons de Stéphanie. Le groupe compte désormais plus de 1 400 salariés. Il a gagné plus de 2 % de parts de marché, entre 2008 et 2011.
Innovations

L'année écoulée a été marquée par deux innovations : les « Maisons performance », aux dernières normes d'isolation, dont le rapport qualité prix est qualifié d'excellent et le concept MFC 2020, la maison à énergie positive. Elle produit davantage qu'elle ne consomme. Le prototype a été inauguré en mars, à Saint-Priest.
Atypique

Autant d'atouts qui permettent d'aborder 2012 « de façon très sereine ». Le PDG qualifie le groupe de « très solide » grâce à ses coûts fixes qui ne représentent que 10 à 12 % du chiffre d'affaires. Les commissaires aux comptes qualifient leur rapport de « totalement atypique » tellement la structure financière apparaît saine.
Rachat

Maisons France Confort est côté en bourse. Compte tenu de la faiblesse du cours de l'action, le groupe a considéré qu'il était opportun de racheter des titres. Ce qui a été fait pour 1,5 million d'euros.
Indice

Qu'est ce qui fait dire à Patrick Vandromme que 2012 se présente bien ? Le nombre de contacts sur Internet. Il y en a 6 000 par mois. Un indice important.
Source Ouest France par Arnaud TOUCHARD.

23/05/2012

Grèves pour les salaires chez l’équipementier Allemand Lingl


A l’appel du syndicat IG Metall 100 salariés du fabricant d’équipement pour l’industrie de la terre cuite se sont rassemblés Vendredi 11 Mai sur le parking de l’entreprise pour revendiquer une augmentation générale de salaires de 6.5%. La direction proposait jusqu’alors 3% pour 14 Mois.
Source Donau3FM