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21/10/2016

Imerys toiture dévoile son offre d’avenir et ses engagements 1 0 0 % v e r t s

IMERYS Toiture, leader français de tuile terre cuite et spécialiste de solutions pour toits et façades, participe à la 15e édition du salon Artibat organisée du 19 au 21 octobre au Parc des Expositions de Rennes.

Ce salon est l’occasion pour IMERYS Toiture de présenter ses nouvelles tuiles ainsi que ses perspectives de croissance et d’innovation en matière de développement durable.
COUVRIR L’ENSEMBLE DES BESOINS DE LA FILIÈRE
Avec plus de 1000 exposants et 40 000 visiteurs professionnels du BTP, le salon Artibat est le révélateur des tendances du bâtiment depuis 28 ans. Cet événement majeur est une nouvelle occasion pour IMERYS Toiture de valoriser son offre complète qui répond à toutes les attentes des couvreurs à travers 5 domaines complémentaires : solaire, accessoires fonctionnels, services dédiés et surtout tuiles et bardage.
Toujours à la pointe de l’innovation et des dernières tendances, IMERYS Toiture propose des solutions intégrales de couverture et de façade offrant un résultat harmonieux et original. La tuile terre cuite utilisée en bardage se décline en une multiplicité de coloris (argentique, gris quartz, ardoisé etc.) repoussant ainsi les limites de la créativité.
Par ailleurs, avec ses nouvelles acquisitions, (PROFIMO, HELIOSCIENCE, LUXOL), la modernisation constante de ses sites industriels, et son investissement important en R&D, IMERYS Toiture est en mesure d’offrir aux professionnels des produits de qualité qui apportent une solution complète à toutes les demandes et à tous les projets.
INNOVATION DURABLE ET PERFORMANCE, VALEURS CLÉS D’ IMERYS TOITURE DES NOUVEAUTÉS PRODUITS POUR DES TOITURES DE CHOIX
IMERYS Toiture mise sur cet événement pour présenter ses engagements et ses innovations en matière de systèmes d’énergie propre, notamment dans le développement des nouvelles méthodes de stockage de l’énergie.
Dans ce cadre, IMERYS Toiture est devenu en 2016 le sponsor privilégié et le partenaire technique de l’Energy Challenge, une course au large basée sur l’innovation et l’efficacité énergétique. Ce partenariat a vu le jour comme une évidence pour la marque. « La course au large, et particulièrement le projet Energy Challenge incarne parfaitement les engagements responsables d’IMERYS Toiture en faveur de l’innovation et de la performance, dans une démarche de développement durable et de respect de l’environnement » souligne Pierre Jonnard, Président d’IMERYS Toiture.
Lors de cette course, un système d’énergie propre et complètement autonome sera testé à bord d’un voilier Class40.
Ce monocoque prendra part aux courses les plus emblématiques et s’attaquera prochainement à quelques records dont un premier tour du monde complètement «vert» (système énergétique vert et entièrement autonome pour les instruments de navigation), en solitaire et sans escale. Une exposition unique pour démontrer les performances d’IMERYS Toiture des technologies propres.
«Je suis fier de ce partenariat qui témoigne de l’engagement permanent d’IMERYS Toiture à développer des solutions vertes, durables pour la société de demain et pour le secteur du bâtiment en particulier.» ajoute Pierre Jonnard, Président d’IMERYS Toiture.
Fort de son travail en recherche et développement, la société présente sur son stand ses nouvelles tuiles toujours plus stylisées et optimales en terme d’efficacité énergétique et de confort thermique. Les produits phares de cette année y sont dévoilés comme la PV13 HUGUENOT, une tuile polyvalente très facile à monter et s’adaptant à toute rénovation de toiture. La finesse de l’argile et son pressage sur moule plâtre confère à la tuile une finition haut de gamme alliant modernité et tradition.
Autre nouveauté 2016, la tuile HP 10 HUGUENOT se décline désormais dans un nouveau coloris Gris Quartz, au design lisse et contemporain. Ses finitions modernes apportent une tonalité tendance particulièrement adaptée aux constructions neuves.
D’autres tuiles dédiées tant au marché du neuf que de la rénovation seront sur le stand 5A 25.

Source Imerys Toiture

PLUS D’UN LOGEMENT SUR TROIS CONSTRUIT EN BRIQUE !

En une décennie, la brique terre cuite a fortement augmenté ses positions dans la construction de logements pour devenir le premier matériau utilisé.
Selon la Fédération française des tuiles et briques (FFTB), la brique terre cuite s’impose comme le premier matériau dans la construction de logements avec une part de marché qui est passée de 20,3 % en 2005 à 37,4 % en 2015 (tous types de logements confondus).

Ce matériau a renforcé ses positions dans tous les segments : 41,7 % pour les maisons individuelles isolées (contre 27,9 % de part de marché en 2005), 49,1 % pour les maisons individuelles groupées (contre 18 % en 2015), 29,5 % dans le logement collectif (contre 5,4 % en 2005).

Les facteurs explicatifs de son succès : une pertinence technico-économique alliée à des performances thermiques qui ont considérablement progressé en 20 ans (une résistance thermique multipliée par 3). Et grâce à ses atouts, la brique terre cuite devrait continuer à avoir le vent en poupe auprès des professionnels.

Source Les Echos

20/10/2016

Bouyer Leroux- Bio’bric- bgv’costo th+®, la brique à haute performance thermique pour le collectif

Dédiée au marché du collectif, pour des immeubles jusqu’à 5 étages, la nouvelle brique bgv’costo th+® est dotée d’une résistance thermique de 1,5 m2.K/W. Elle est conçue pour les projets qui privilégient l’isolation du bâti en lui assurant une performance thermique durable.
LES + PRODUITS
Une brique très isolante : la performance thermique de la bgv’costo th+® booste la performance du bâti et permet un gain de 9 points de Bbio et 6 points de Cep comparé avec le bloc béton de granulat courant.
Le gain sur la partie mise en oeuvre peut conduire à une économie jusqu’à 30% par rapport à une solution en béton banché.
MISE EN OEUVRE
Sa mise en oeuvre est rapide grâce à son grand format (6,35 briques / m² de mur) et au joint mince de mortier colle distribué au rouleau. Elle permet un gain de productivité jusqu’à 30%.
Les deux poignées de la bgv’costo th+® facilitent la prise en main par le maçon. La brique se manipule et se met en oeuvre plus facilement.
LA GAMME BGV : UNE GAMME UNIQUE A HAUT NIVEAU DE PERFORMANCE THERMIQUE ET MECANIQUE
À montage rapide, la BGV (Brique à Grande Vitesse) est utilisée pour la réalisation de murs porteurs pour tous types de bâtiments et plus particulièrement pour les maisons individuelles et pour les bâtiments collectifs.
La gamme bgv est accompagnée d’accessoires indispensables qui garantissent et augmentent les performances du système constructif BGV : tableau, linteau, poteau, arase, planelle ainsi que des accessoires monoblocs grandes longueurs tels que le CVR tunnel 280 pour tout type de volet roulant traditionnel.
La bgv’costo th+® est commercialisée par bio’bric sur la France entière par les négociants en matériaux.
Source Cécile Roux Communication

19/10/2016

Terreal, à la pointe de l'innovation et du durable

Les élus aux côtés du préfet de l'Aude pour une visite du centre de recherches dans la commune de Castelnaudary.

 Le centre de recherches d'études et de développement de Terreal, c'est le saint du saint. là, où l'on invente l'habitat de demain et se trouvent des solutions pour une amélioration constante des usines du groupe.
Là qu'hier Laurent Musy, président-directeur-général recevait, le préfet, Jean-Marc Sabathe et la secrétaire générale de la préfecture. Terreal, une des plus grosses, si ce n'est la plus grosse entreprise industrielle audoise spécialisée dans la brique et la tuile, emploie dans le département quelque 437 salariés, et c'est sans compter les emplois induits.
«Nous travaillons le plus possible avec les entreprises locales notamment pour la maintenance», relève le responsable, fier de souligner que le groupe vient de se voir attribuer, au niveau national, le prix des délais de paiement, gage de fiabilité».
Et d'indiquer que si «97 % des tuiles posées en France sont fabriquées en France, le groupe exporte également à partir de France et l'on trouve ainsi des produits de Castelnaudary en Floride, au Texas ou en Corée.
Nous savons que nous devons être exemplaires aussi notre stratégie s'appuie sur des valeurs fortes de respect, vis-à-vis de nos clients, comme des hommes et des femmes qui travaillent chez nous. Une stratégie qui s'appuie sur trois axes : «l'excellence opérationnelle – nous avons engagé un programme d'amélioration de nos usines ; le volet investissement, important -4M€ sur une ligne dans l'usine de Castelnaudary; et parce que sans carrière, on ne fait rien, nous avons engagé un travail de prospection important pour augmenter la durée de vie des nôtres.».
Côté challenges, Terreal, à la pointe dans son engagement en faveur du développement durable , n'en manque pas. «Le secteur de la construction connaît des difficultés, il faut s'adapter pour être rentable. Un des facteurs qui explique qu'il ne redémarre pas, c'est parce que les artisans n'embauchent pas. Ils vont dans le neuf parce qu'il n'y a pas de bras pour la rénovation. Il manque de main-d'œuvre qualifiée et d'apprentis», déplore le responsable.
Tradition et modernité
Un discours entendu par le représentant de l'État qui ne cache pas son intérêt «pour cet exemple de diversité économique dont le département a bien besoin. Vous vous inscrivez dans la tradition et la modernité, c'est la clé de la réussite et de la pérennité».
La crise de la rénovation ? «Il faut se sortir de la tête que l'on va se lancer dans de grands programmes de constructions neuves.
C'est fini, d'abord par ce que les terres agricoles refluent.
Ensuite il y a un vrai sujet de sécurité dans les villes anciennes avec des incendies, des effondrements qui se multiplient, Dans les années à venir, je suis sûr qu'il y aura des aides sur la rénovation, pour faire revenir des gens dans les centres bourgs.
Vous aurez un gros créneau là», relève le préfet.
Idem pour le problème des carrières et l'accession au foncier où il lance une piste à explorer. «Dans l'avenir, avec le réchauffement climatique, cette région ne survivra pas sans création de ressource en eau nouvelle.
Ce peut être des retenues collinaires ou des centres de rétention d'eau et cela, ce sera beaucoup plus acceptable si les carriers travaillent avec les chambres d'agriculture pour créer des bassins de rétention d'eau après l'exploitation». La formation ? «C'est un problème que l'on trouve partout. On aura beau créer des formations, si personne ne s'inscrit… En Allemagne 1 jeune sur 4 est en apprentissage, en France, c'est 1 sur 10».
Source La Dépêche du Midi par Gladys Kichkoff

World Roofing Market

World Roofing analyzes the world roofing industry. It presents historical data (2005, 2010 and 2015) plus forecasts (2020 and 2025) in square meters and in value for supply and demand, as well as demand by product and market, for 6 regions and 18 countries. The study also considers market environment factors, assesses industry structure, analyzes company market share and profiles industry competitors such as Beijing Oriental Yuhong Waterproof Technology, Berkshire Hathaway (Johns Manville), Etex, GAF Materials, Monier, Owens Corning, Saint-Gobain and Wienerberger.
New building construction, building codes to impact worldwide demand
Size and growth of the world roofing market depend on building construction activity, as roofing materials are used on new buildings as well as in repair and reroofing of existing structures. New building construction and the types of new buildings influence demand for roofing materials on new structures, while the stock of existing buildings supports demand for replacement roofing. In many areas, residential and nonresidential buildings tend to have a different mix of materials, due to aesthetic concerns and construction methods, impacting roofing demand and distribution among materials. According to World Roofing, a new report from The Freedonia Group, a variety of other factors influence demand for roofing as well as the types of roofing used, including local, regional, and national building codes; concerns about the environmental impact of roofing materials; raw material and product pricing trends; new materials and products; local climate conditions; and local aesthetic preferences.
Growth in developed regions to offset projected slowdown in China, other developing countries
Freedonia projects that accelerating growth in developed regions, including North America and Western Europe, will offset an expected slowdown in demand growth in China, the world’s largest market for roofing materials. China’s boom in new building construction is expected to taper after a decade of robust growth; however, roofing demand in the country is still expected to register healthy growth. Many other developing countries, including India, Indonesia, and Iran can also expect strong advances, especially in the nonresidential market. Roofing demand in developed regions is expected to improve after several years of weakness following the global economic recession. In North America and Western Europe, a recovery in new housing construction will be a particularly important driver of advances in roofing material demand.

Source Report Buyer

18/10/2016

Francis Lagier président de Promotoit

Francis Lagier intègre le leader de la fabrication de briques Wienerberger SAS en 2008, en tant que directeur général adjoint, et en devient président en mai 2009.

Parcours professionnel de Francis Lagier
Francis Lagier commence sa carrière au sein du groupe Lafarge en 1993.
Il y exerce les fonctions d’ingénieur automaticien, directeur du développement du Ductal (béton fibré à ultra-hautes performances), puis devient directeur régional des ventes pour l’activité ciment avant de devenir directeur national des ventes routes et travaux Publics.
Il quitte l’entreprise après 15 ans, en 2008, pour intégrer Wienerberger SAS.
Francis Lagier fut président de la Fédération française des tuiles et briques (2011-2014), et aujourd’hui du Centre technique des matériaux naturels de construction (CTNMC) depuis mai 2013.
Francis Lagier a été élu en mars 2016 président de Promotoit, l’association de promotion du toit en pente qui regroupe les industriels Eternit, Imerys Toiture, Isover, Terreal, Unilin, VMZinc, Velux et Wienerberger.
Formation de Francis Lagier
Ingénieur civil, diplôme de l’Ecole des Mines de Nancy.
Source LE MONITEUR.FR par Stéphanie Fefeu

17/10/2016

MONIER-À Signy-l'Abbaye, la rivière a été polluée en toute discrétion

Depuis mardi, faute d’information, les rumeurs les plus folles circulent...
La Vaux est devenue toute rouge. Personne n’a jugé utile d’informer la population.
Mardi, la Vaux, petite rivière qui s’écoule paisiblement près de Signy-l’Abbaye, est devenue toute rouge. Si les élus et les autorités compétentes ont été informés et ont cherché à comprendre cette couleur anormale, la population, elle, n’a jusqu’alors pas été informée. Un choix assumé du maire de Signy (« le bouche-à-oreille a vite permis d’informer tout le monde », glisse ce dernier) mais qui laisse planer certains doutes pour les plus méfiants. Parmi lesquels l’élu local Baptiste Touchon qui a donné l’alerte ce vendredi soir sur les réseaux sociaux en s’étonnant du silence des autres élus et autorités compétentes.
Depuis mardi, faute d’information, les rumeurs les plus folles circulent. Notamment quant à l’origine de cette pollution. L’entreprise Monier, spécialiste de la tuile, a vite été pointée du doigt. C’est de là que se serait écoulé de l’oxyde de manganèse, produit qui sert à colorer les tuiles. « Le produit s’est infiltré dans les sols. Il a contaminé la Vaux en passant par le Gibergeon. C’était impressionnant à voir, mais ce n’est pas un produit dangereux », assurait, hier, le maire de la commune, Alain Devillard. Seule conséquence éventuelle : « une petite baisse de l’oxygénation de l’eau » mais qui n’aurait pas, selon lui, de conséquence mortelle sur les truites, pêchées en nombre dans ce cours d’eau. Un constat qui l’amène à ne pas porter plainte contre Monier.
Christophe Jamot, directeur du site Monier, est plus prudent encore en parlant d’une « présomption de pollution » provenant de son usine. « On a peut-être détecté quelque chose qui pourrait être à l’origine de la pollution », finit par lâcher le directeur, qui, poussé dans ses retranchements parle « d’un déversement accidentel ».
Selon lui, mardi, des mesures ont rapidement été prises pour curer un fossé qui, visiblement, était pollué à hauteur de son site. Depuis, tout serait revenu à la normale. Selon ses constatations visuelles, la pollution se limiterait donc à l’oxyde de manganèse, balayant ainsi d’un revers de main la présence de carbonate de baryum comme évoqué sur les réseaux sociaux. Le baryum étant un produit nettement plus dangereux que le manganèse. Les services de l’État ont néanmoins procédé à des prélèvements en vue d’analyses afin de vérifier que cette pollution n’a pas d’autres effets.
Source L'Union par OLIVIER DURAND et THOMAS DELOBELLE

Matériaux de construction : l’activité boostée pendant l’été (briques +11.1% sur 8 mois, tuiles -3.6%)

L’activité repart à la hausse dans le secteur des matériaux de construction, indique la dernière lettre de conjoncture de l’Union nationale des industries de carrières et de matériaux de construction. Sur les mois de juin, juillet et août, le rythme d’activité est apparu en hausse de 3,7 % par rapport aux trois mois précédents dans les granulats.
L’été 2016 a apporté avec lui son lot d’éclaircies dans le ciel des industries des matériaux de construction. Selon la dernière lettre de conjoncture de l’Union nationale des industries de carrières et de matériaux de construction (Unicem) publiée le 30 septembre, l’activité dans les granulats a augmenté de 3,7 % aux mois de juin, juillet et août par rapport aux trois mois précédents (mars-avril-mai), et de 2,3 % au regard des trois mêmes mois de 2015. Après un volume de production en hausse de + 2,2 % par rapport à juin et de + 0,8 % sur un an, les granulats ont affiché une progression de + 10 % en termes de livraisons entre juillet et août et de + 9,5 % par rapport à août 2015, indique la note. Une embellie qui permet presque de stabiliser les volumes produits sur les huit premiers mois de 2016 au niveau de ceux de l’an passé (à – 0,3 %).
L’activité dans le béton prêt à l’emploi (BPE) affiche elle aussi une nette amélioration : la production de BPE a de nouveau augmenté en août de + 1,4 % par rapport à juillet et de + 5,1 % sur un an. Une tendance qui ne fait que confirmer celle des mois précédents, qui avait vu une hausse de + 3,1 % entre juin et juillet (+ 5,6 % entre juillet 2015 et juillet 2016), . Par rapport aux trois mois de mars-avril-mai, c’est une évolution trimestrielle de + 2,1 % et de + 3,8 % comparé à juin-juillet-août de 2015.
Côté travaux publics, les prises de commandes (+ 8,7 % sur un an et + 12,8 % en cumul de janvier à juillet) ainsi que les facturations (+ 3 % en cumul sur sept mois) sont désormais mieux orientées, assure l’Unicem. Une tendance qui ne se reflète toutefois pas encore dans tous les segments d’activité, comme celui des routes par exemple.
Source LE MONITEUR.FR

16/10/2016

Qui est Direxa Engineering?

Direxa Engineering est une société d’ingénierie spécialisée dans l’industrie des matériaux de construction, avec également un savoir-faire dans l’industrie des Céramiques Techniques. Les 15 ingénieurs les plus expérimentés de Direxa Engineering ont une expérience de plus de 15 ans chacun dans ce métier, avec des réalisations qui ont fait leurs preuves dans diverses Industries de Matériaux de Construction.
En se basant sur l’expérience et les accomplissements des membres seniors de son équipe, on peut considérer que Direxa Engineering est le leader mondial pour la réalisation de lignes de production de produits de terre-cuite extrudés en dur (stiff extrusion).  De plus, Direxa Engineering a une quantité de références s’appliquant à toute la palette des produits de terre-cuite, produits de béton, utilisation de cendres-volantes dans différents matériaux de construction, etc.  Enfin, Direxa Engineering a de nombreuses connections avec d’autres sociétés d’ingénierie spécialisées dans différent domaines pour lui permettre de s’attaquer à presque tout projet dans l’Industrie des Matériaux de Construction.
Le “Business Model” de Direxa Engineering

Direxa Engineering se focalise autour de deux missions fondamentales:
  • L’activité d’ensemblier vendeur de solutions (en anglais : EPC, pour Engineering, Procurement and Construction). Cela signifie que nous n’avons pas d’ateliers propres pour fabriquer les équipements mais que nous forgeons des alliances avec des fournisseurs clés sur chaque marché et parfois pour un projet particulier.  Il faut cependant bien noter et retenir que Direxa Engineering conçoit intégralement, et construit sur site, ses propres fours et séchoirs.
  • L’activité de services au sens large, supportant les clients de façon exhaustive et soutenue: expertises d’usines, études de faisabilité, service après-vente, mises à niveau et travaux de rénovation, projets d’innovation (Direxa engineering entend devenir rapidement un leader de l’innovation dans son domaine), etc.  Une des conséquences de cette focalisation est que Direxa Engineering n’hésite jamais à établir une filiale locale où que ce soit si nécessaire, et privilégie toujours le recours à des fournisseurs locaux pour développer un service de proximité.
Cette stratégie confère à Direxa Engineering deux avantages majeurs:
  • Flexibilité importante et résilience face aux cycles économiques naturels
  • La capacité de travailler intensément et sans compromis dans le meilleur intérêt du client. Il n’y a aucune pression pour donner absolument du travail à ses propres ateliers de fabrication.  Le but de Direxa Engineering est d’étudier le problème propre et particulier du client et de trouver la meilleure solution adaptée, quelle qu’elle soit.  Ainsi Direxa Engineering peut vraiment travailler dans le meilleur intérêt du client en toutes circonstances
Il est clair que le “business model” de Direxa Engineering place le client au centre de son attention.  Le besoin du client est le point de départ de notre travail, la réponse adaptée à ce besoin est notre but ultime.
Le Territoire Géographique de Direxa Engineering
Bien que basé aux USA, Direxa Engineering entend étendre son activité sur l’ensemble du globe.  Les premiers exemples en sont le Brésil et l’Australie, où des filiales ont été créées, opérant avec la même philosophie que Direxa aux USA. La filiale brésilienne est appelée à servir l’ensemble du marché Sud-Américain.

Direxa Engineering poursuit activement des projets en Asie. La Chine est l’objet d’attentions particulières. Direxa Engineering prévoit d’y ouvrir bientôt une filiale ainsi qu’ en Afrique, au Moyen-Orient et en Inde.  Direxa Engineering étudie également des alliances stratégiques qui pourraient offrir des opportunités en Europe de l’Est et en Russie, voire même en Europe de l’Ouest.
Conclusion
Comme expliqué plus haut, le client est au cœur de l’attention portée par Direxa Engineering.  Le fait que JC Steele & Sons soit investisseur dans Direxa Engineering n’est pas anodin car cette société est un des exemples le plus fort de notre industrie, sinon le plus fort, de ce qu’est le service client et de comment se rendre indispensable à ses clients.  Direxa Engineering entend suivre cet exemple et développer la même proximité avec ses clients.  Qu’une société telle que JC Steele & Sons, référence de 120 ans dans la profession, ait investi dans Direxa Engineering est le meilleur sceau d’approbation que Direxa Engineering ait pu recevoir.

15/10/2016

La fabrique Normant abritera bientôt l’exposition de céramiques du Musée de Sologne

La collection " Pasquier " s'installe brique après brique
Julie Brossier-Duclos devant l'une des vitrines où seront présentées quelques-unes des céramiques de la collection « Pasquier ».
Certaines pièces de la collection ne sont pas encore définitivement sauvées des eaux. Mais, prises en main par toute une équipe de bénévoles après leur mésaventure du mois de juin alors qu'elles étaient stockées dans les sous-sols de bâtiments municipaux (*), les céramiques seront bientôt prêtes à entamer leur nouvelle vie, aux yeux de tous, cette fois, dans les murs de la fabrique Normant, où le chantier avance à grands pas, à bientôt un mois des Journées gastronomiques de Sologne, l'événement inaugural du nouveau pôle culturel romorantinais de Romo 1.
Plus de 1.000 pièces en exposition permanente
Les quelque 150 mètres de vitrines ne sont pas encore terminés, mais la muséographie de « Céra brique, de l'argile à l'architecture », le nom de la collection qui y sera exposée, est bien finalisée. Les premières pièces devraient être installées dès le mois de novembre aux entrées de l'aile nord et sud de la grande salle du rez-de-chaussée. Y sont attendues 1.000 pièces au total, sans compter la frise de briques de tous les départements de France et même de l'étranger, des vitrines elles-mêmes.
Briques estampillées, éléments d'architecture en terre cuite et céramique, mais aussi machines et outils, décors et maquettes, viendront composer cette exposition unique en France en balayant tout le processus de fabrication des céramiques architecturales. « On aura des produits finis mais aussi les outils de fabrication qui permettent de présenter le processus », souligne Julie Brossier-Duclos, assistante de conservation du patrimoine et responsable de cette collection de 7.000 pièces acquises par la municipalité en 2011 et confiée au Musée de Sologne.
Afin de mettre en valeur ce patrimoine rare, six thématiques ont été retenues : l'argile matériau universel, le savoir-faire du tuilier, ces briques qui colorent la France, les décors en céramique, la céramique dans la rue. Sans oublier une vitrine consacrée au travail d'Alexandre Bigot, le spécialiste de l'art nouveau qui était originaire de Mer. D'autant plus incontournable qu' « il a un lien direct avec le bâtiment puisqu'il a beaucoup travaillé avec l'ingénieur Hennebique qui a inventé le béton armé », souligne Julie Brossier-Duclos. Un lien de plus avec Romorantin, s'il fallait encore justifier de la proximité de la Sologne avec les briques et céramiques.
« On a vraiment une collection qui permet de montrer à la fois le savoir-faire artisanal et la production industrielle sur toute la période fin XIXe et début XXe, c'est en cela qu'il s'agit d'une collection exceptionnelle », note la passionnée du Musée de Sologne qui a elle-même inventorié la collection pièce après pièce. Brique après brique.
(*) Une partie des briques et céramiques ont été impactées par les inondations dans l'ancien quartier Matra, début juin. Une équipe de bénévoles les a pris en charge pour les nettoyer, les faire sécher, voire, les faire restaurer pour certaines.
repères

  • La collection dite « Pasquier » est celle que Michel Pasquier, habitant de Cour-Cheverny, a constituée pendant 20 ans.
  • Elle est composée de 7.000 pièces, dont 4.000 briques estampillées.
  • Rachetée par la municipalité en 2011, la collection du Musée de Sologne a été labellisée « Musée de France » par la Drac.
  • Prévue à partir du mois de novembre, l'installation de l'exposition permanente devrait pouvoir être admirée du public (gratuitement) dans sa configuration définitive au printemps. Dans un second temps, le Musée de Sologne prévoit d'étoffer la visite par des QR Codes qui offriront « une seconde lecture » et des contenus interactifs aux visiteurs.

Source La Nouvelle République par Laurence Texier

14/10/2016

3D Ceram ouvre une filiale en Chine

L'entreprise limougeaude spécialisée dans les imprimantes 3D et les céramiques techniques accélère son développement et étend ses activités en Asie. Elle ouvre une filiale à Wuhan, en Chine.
3D Ceram est bien décidée à partir à la conquête du marché asiatique, avec l'ouverture de cette filiale en Chine. La société, implantée à Limoges, existe depuis 15 ans, et compte une quinzaine de salariés en France. Son chiffre d'affaires devrait dépasser 1,9 million d'euros en 2016, en progression de plus de 70% par rapport à 2015.
"3D Ceram a développé une technologie unique : la stéréolithographie : un système d'impression 3D puis de cuisson des pièces céramiques. Elle vend les imprimantes et les consommables qui vont avec", explique Richard Gaignon, l'un des dirigeants, qui était l'invité de France Bleu Limousin à 8h20 ce mercredi.
Ses clients, en France, peuvent aussi bien être "le CHU de Limoges pour des implants crâniens, que des entreprises du luxe, ou encore Safran pour l'aéronautique ou des entreprises du secteur de la défense". A l'international, outre l'ouverture de la filiale chinoise, l'entreprise a aussi des agences de distribution en Ukraine et en Russie. "On se trouve bien à Limoges, reconnaît Richard Gaignon, même si être à une demi-journée d'un aéroport international est un handicap, mais la Région nous aide bien".
Source France Bleu Limousin par Fabienne Joigneault

3DCeram taille sa route avec l'imprimante 3D

La PME, basée à Limoges, a développé sa propre technologie d’impression 3D pour concevoir et réaliser des objets en céramique. De nombreux secteurs sont intéressés par ce concept.
Créée en 2001 par le Centre de transfert de technologies céramiques, puis reprise fin 2009 par deux entrepreneurs, Christophe Chaput et Richard Gaignon, qui l’ont renommée 3DCeram l’année suivante, la société est spécialisée dans la fabrication de céramique technique.
Une technologie révolutionnaire
3DCeram, dotée d’un effectif de 17 personnes, a réalisé un chiffre d’affaires d’un million d’euros l’an dernier. Pour cette année, elle vise 1,6 million d’euros. Cette prévision de forte croissance sera alimentée grâce à la technologie révolutionnaire développée par la société : la stéréolithographie. Cette technique consiste à réaliser des prototypes rapides à partir d’un modèle numérique sans passer par l’usinage. Pour y parvenir, 3DCeram a notamment mis au point sa propre imprimante 3D, baptisée Ceramaker.
Un concept séduisant pour les industriels
Les différentes solutions d’impression 3D de la société s’adressent à de nombreux secteurs qui ont besoin de réaliser rapidement des prototypes. Parmi les débouchés les plus intéressants de 3DCeram figurent l’horlogerie, la joaillerie, les articles de luxe, le biomédical (implants et substituts osseux), la chimie, les télécommunications, l’aérospatial ou encore l’électronique. Autant de secteurs qui permettront à la société de poursuivre sa croissance et son développement.
3DCeram est membre du réseau Bpifrance Excellence.

Source BPI France

"J’ai du mal à comprendre l'intérêt des réseaux sociaux", le portrait chinois de Richard Gaignon

Chaque semaine, L'Usine Digitale dresse le portrait chinois d'une personnalité du numérique. Ce week-end, Richard Gaignon, co-Président de 3DCeram s'est prêté au jeu des 13 questions.
Si vous étiez une connexion, vous seriez... ?
Un synapse. Nous voyons que les organisations traditionnelles hiérarchiques, de type projet ou matricielles ne sont plus en phase avec le monde qui nous entoure. Le business évolue rapidement, les décisions sont prises dans la seconde, seule une organisation entreprise de type neurologique va permettre de relever les défis. Vaste programme et évolution rapide qui risque d’épuiser beaucoup d’humains.
Si vous étiez un site web, vous seriez ?
Un portail pour mettre en relation, échanger, comparer, et capitaliser des compétences.. ?
Si vous étiez une appli, vous seriez... ?
Libre de droit et à télécharger. Le free ware comme son nom l’indique doit être gratuit. En revanche, les services doivent être payants. Cela permettra aux pays "industrialisés" mais compétents de retrouver une compétitivité.
Si vous étiez un système d'exploitation, vous seriez...?
Un ERP. La vision globale de l’entreprise est nécessaire pour savoir comment cet organisme qu’est l’entreprise fonctionne, réagit en cas d’attaque, de succès. Comprendre son évolution, son adaptabilité. C’est un MUST pour piloter.
Si vous étiez une start-up, vous seriez... ?
Dans mon élément. Et oui, j’adore le business développement. Créer, trouver des financements, convaincre, vaincre les réticences, motiver les troupes, se surpasser, le tout dans une ambiance de pionnier !
Si vous étiez un réseau social, vous seriez... ?
En formation ! J’ai du mal à comprendre leur intérêt. Une forme d’existence pour ceux qui ont besoin de reconnaissance... Pourquoi partager publiquement, ce qui pour la plupart du temps ne revêt aucun intérêt. Des effets d’annonce sans fondement, de la com à court terme…Il faut malgré tout vivre avec son temps et profiter de ces réseaux tout en restant très critiques.
Si vous étiez une requête Google, vous seriez... ?
"Comment trouver des fonds intéressants pour mon entreprise en France". La France a un potentiel technologique et un gisement d’entrepreneurs impressionnants. En revanche, il est difficile de trouver des fonds qui n’aient pas pour seul intérêt la rentabilité immédiate ! Pour la plupart, aucun vision stratégique, que de la rentabilité à court terme, pas de volonté de créer des champions nationaux ou internationaux.
Si vous étiez un #hashtag twitter, vous seriez... ?
#I2P, Idea to products.
Si vous étiez un "fan" sur Facebook, vous seriez... ?
Fan d’amis et non de sociétés….J’ai essayé d’être fan de marque ou de sociétés, et là, inéluctablement, je me sens devenir mouton, suiveur, sans avis critique, attendant bêtement les prochaines news de la société que je suis, lisant les commentaires affligeant des internautes…
Si vous étiez un "device", vous seriez ?
Une montre/photo connectée avec GPS pour savoir où j’en suis quand je cours mes ultras (100 km et plus). Pouvoir prendre des photos, partager avec mes amis sur un réseau social en mode privé, indiquer mon état de forme au fil des kilomètres, mettre à jour les kilomètres parcourus et le dénivelé réalisé.
Si vous étiez une technologie ou une innovation numérique, vous seriez ?
L’impression 3D... What else ! Cette technologie de rupture permet de passer de l’idée au produit. Nous vivons une révolution, nous participons à une révolution, nous créons de nouvelles façons de penser un produit, c’est tout le charme et l’intérêt de l’impression 3D.
Si vous étiez un lieu du numérique, vous seriez ?
Un fablab mais un fablab pensé pour innover et non pour bricoler, pensé pour échanger dans le but de faire du business, d’acquérir les codes de la 3D et non pour échanger sans but…comme les réseaux sociaux !
Si vous étiez une icône du web, vous seriez ?
Le thumb up de Facebook !

Source L'Usine Digitale

Cerinnov : nette hausse des revenus au premier semestre.

Cerinnov a fait état ce mardi après marché d'un chiffre d'affaires de 7,4 millions d'euros au titre du premier semestre de son exercice, en croissance de 55,2% par rapport à la même période l'an passé.

Le tassement de 7% des revenus issus de la branche 'SAV, consommables et autres' à 1,1 million d'euros a été anecdotique au regard de l'expansion des autres divisions du groupe. Alors que les ventes tirées du pôle 'Procédé laser & Décoration' ont été multipliées par plus de 2 à 1,9 million d'euros, le chiffre d'affaires des segments 'Robotique & Numérisation avancée' et 'Traitement thermique de la matière' a en effet crû de respectivement 78,3 et 61% à 2 et 2,4 millions.
Cerinnov a en outre généré 86% de son chiffre d'affaires à l'international à 6,4 millions d'euros, en hausse de 151% en glissement annuel.
'Le premier semestre est l'illustration parfaite de la mutation technologique à laquelle font aujourd'hui face les industriels que nous équipons. Comme annoncé lors de notre introduction en Bourse, le décollage de ces 6 premiers mois confirme la dynamique extrêmement porteuse de notre secteur et notre capacité à répondre aux problématiques industrielles de nos clients en les accompagnant dans leur fort développement à l'international', s'est réjoui Arnaud Hory, PDG et co-fondateur de Cerinnov.

Source Zone Bourse

13/10/2016

La Ferté Saint-Samson : les opposants aux carrières sur les traces de Bouyer-Leroux

La Ferté Saint-Samson. L’association Non aux Carrières et aux briqueteries en Bray organisait une visite sur le terrain.

Les opposants aux carrières avaient rendez-vous, dimanche, au sommet de la motte féodale de La Ferté-Saint-Samson, avant d’entamer deux heures de visites, sur les différents points d’exploitation visés par la société Bouyer-Leroux à Mesangueville et Hodeng-Hodenger.
C’était la deuxième randonnée de ce genre organisée par l’association, la première s’étant déroulée à Sommery en juin dernier. Pour guider dans cette excursion, Béatrice Besnard, ingénieur écologue depuis vingt-cinq ans.
« Notre objectif est de montrer toutes les richesses de notre territoire en matière, notamment, de biodiversité, explique-t-elle. Et de voir les sites convoités par Bouyer-Leroux. Le pays de Bray est mis en valeur par le tourisme. Si nous avons des carrières, il est évident que notre paysage sera gâché, ce qui aura des conséquences sur la fréquentation touristique et les activités qui en découlent. »
En préambule, l’ingénieur est revenu sur les origines géologiques de la boutonnière du pays de Bray, composée d’argile et de sable dans les creux et des côtes calcaires. Une explication qui permet de situer les différents sites que Bouyer-Leroux exploiterait dans la fabrication de ses briques.
Une nouvelle randonnée le 16 octobre
À cet effet, Béatrice Besnard insiste sur la trame verte et bleue, une dénomination qui met en valeur le bocage et la préservation des corridors écologiques, haies, arbres, mares et tout ce qui gravite autour, sur le plan des espèces animales.
« Nous sommes dans des zones humides riches en biodiversité, avec des espèces de papillons rares en voie de disparition et dont la chenille se nourrit de canneberge, sans oublier le triton crêté. » Les opposants redoutent l’impact d’une telle exploitation sur la ressource en eau et la qualité des terres agricoles.
L’écologue évoque le devenir des carrières transformées, en fin de vie, en bassins ou plans d’eau : « Ils n’auront pas la même valeur que des prairies humides. Les prairies sont de vrais réservoirs qui épurent les eaux et qui sont importantes pour la biodiversité des sols. » La visite n’a fait que renforcer les opposants dans leurs convictions...
Une troisième randonnée est proposée le 16 octobre, sur la commune de Sainte-Geneviève-en-Bray.

Source Paris Normandie

12/10/2016

German firms sign contracts in Iran on trade mission

German firms have signed a range of business deals with Iranian partners as part of two-day visit with Economy Minister Sigmar Gabriel aimed at rebuilding trade ties, the ministry said on Oct. 3.
Gabriel has flown to Iran with a planeful of executives who are keen to re-establish business relations with the Islamic Republic after it reached a landmark deal with world powers over its disputed nuclear program.
However, remaining U.S. sanctions and political concerns have so far held back a hoped-for business boom.
The ministry said several German Mittelstand firms, the small-to-medium-sized companies that form the backbone of the economy, had signed deals with Iranian partners, including SMS group, a builder of steelmaking plants and INTRA industrial solutions.
In addition, Mitsubishi Germany has signed a contract to modernize a gas-fired plant, while plant constructor Keller HCW wants to build a brickyard in Iran, it said. Both countries central banks have also agreed to a technical co-operation.
There was no detail on the size of the agreed deals.
Iran’s Deputy Economy Minister Mohammad Khazaei said earlier that 10 economic agreements would be signed on the sidelines of Gabriel’s visit. “I hope that this will smooth the way between both countries,” he said.
Germany, which has commercial and cultural ties with Iran that go back to the 19th century, was for decades a major trading partner of Tehran before the sanctions allowed China and several other nations to overtake it.
Gabriel is making his second visit to Tehran since the Islamic Republic reached a deal in July last year which lifted economic sanctions imposed on Iran over its nuclear program, in return for curbs on its nuclear activities.
Industrial giant Siemens AG and automaker Daimler will be among the first German firms to benefit from opportunities in Iran, but they are proceeding carefully and only after legal reviews.
The German banking sector has been reluctant to underwrite business deals for fear of falling foul of remaining U.S. sanctions imposed on Iran for what Washington says is Tehran’s money laundering, support for terrorism and human rights abuses.
Gabriel said earlier that Germany wants to help Iran push ahead with reforms, and promised to remind the United States of its commitment to reduce sanctions against Iran.

Source Daily News





Téhéran (ISNA)- La compagnie allemande, Siemens, a signé un contrat de modernisation du réseau ferroviaire de l'Iran.
Ce contrat est l'un des plusieurs offres acceptées par les entreprises allemandes lors d'une visite de deux journées à Téhéran du ministre allemande de l'Economie Sigmar Gabriel accompagné d’une grande délégation économique.
M. Gabriel s’est rendu en Iran avec une délégation de 120 gestionnaires qui sont désireux de rétablir des relations d'affaires avec la République islamique après avoir atteint un accord nucléaire historique avec les puissances mondiales l'année dernière.
Siemens a déclaré qu'il fournira des composants pour 50 locomotives diesels-électriques à l'Iran. Il n'a pas révélé la valeur du contrat, mais sur la base de prix comparables, il pourrait être à quelques centaines de millions d'euros.
Le ministère allemand de l'Economie a déclaré que plusieurs entreprises du Mittelstand, les petites et moyennes entreprises qui forment l'épine dorsale de l'économie, ont également signé des accords avec les partenaires iraniens.
En outre, Mitsubishi de l’Allemagne a signé un contrat pour la modernisation d'une centrale au gaz, tandis que le constructeur de l'usine Keller HCW veut construire une briqueterie en Iran. Les banques centrales des deux pays ont également convenu de la coopération technique.
Il n'y avait pas de détails sur la taille des offres convenues.
Le vice-ministre iranien de l'Economie Mohammad Khazaei a déclaré plus tôt que 10 accords économiques seront signés en marge de la visite de M. Gabriel. "Je souhaite que cela va faciliter les choses entre les deux pays", a-t-il dit.
L’Allemagne, qui a des liens commerciaux et culturels avec l'Iran qui remontent au 19ème siècle, a été pendant des décennies un important partenaire commercial de Téhéran avant que les sanctions ont permis à la Chine et plusieurs autres pays à le dépasser.
M. Gabriel a insisté plus tôt que l'Allemagne veut aider l'Iran à poursuivre les réformes, et a promis de rappeler aux États-Unis de son engagement à réduire les sanctions contre l'Iran.
Il a également souligné que l'Iran était un partenaire de crédit fiable qui a gardé des accords en règle générale.
Les exportations allemandes vers l'Iran ont fait un bond de 15 pour cent dans la première moitié de l'année à 1,13 milliards d'euros et pourrait atteindre 4 milliards d'euros en année pleine, a déclaré Michael Tockuss, président de la Chambre germano-iranienne de commerce basée à Hambourg.

Source ISNA

KELLER HCW signe des contrats en Iran


En présence du ministre allemand de l’Économie Sigmar Gabriel, Stefan Reichert, fondé de pouvoir de KELLER HCW, a signé à Téhéran le jour de la Réunification de l’Allemagne trois contrats pour la fourniture en Iran d'une briqueterie ainsi que deux fours tunnels. M. Reichert et d’autres managers de l’économie allemande ont accompagné Sigmar Gabriel lors de son voyage d’affaires en Iran et il a pu, avec  l’aide du directeur commercial régional KELLER Faik Gürbüz, conclure avec succès les négociations contractuelles entamées en amont de ce voyage.

« Je me réjouis en particulier du contrat avec la société Esfahan Brick Fattahi », explique Stefan Reichert à la presse. « C’est déjà la deuxième installation pour KELLER. La première, que l’on peut qualifier d’installation de référence, est actuellement dans la phase de mise en service et va produire cette année 400 t/jour de briques de remplissage et de parement. C’est la première installation entièrement automatique de ce type en Iran. »

Dans ce contexte, nous remercions particulièrement Mohsen Torabi, représentant KELLER en Iran. « Depuis de nombreuses années déjà, il représente avec beaucoup d’engagement les sociétés de la Division KELLER  depuis la capitale régionale Esfahan au centre de l'Iran », selon Faik Gürbüz.

« La prochaine étape réside dans le soutien par KELLER du financement de ces projets via Euler Hermes », conclut Stefan Reichert. « Les PME comme la nôtre doivent toujours davantage s’occuper de ces questions. Il ne suffit désormais plus d’avoir une bonne machine dans sa gamme au vu de la concurrence internationale.

Azarakhsh International, Iran, awards order to Sacmi Heavy Clay

Sacmi Heavy Clay has been awarded an order to install a new production line for Azarakhsh International, a leading brick manufacturer in Iran. For Sacmi, this order is a key to enter this strategically important growth and development region.
With almost 100 000 t per year of output sold on both internal and foreign markets, the Iranian company Azarakhsh International Refractory Brick Manufacturer Group is one of the main players in the brick and construction material sector in this region. Azarakhsh is already well-known for its high-quality clay pavers and facing bricks with low water absorption and high strength. The order covers the supply of a new complete line for the manufacture of facing bricks, so-called “strip bricks”, in the Group’s manufacturing facility in the town of Qom, Iran.
The new line is to be installed in the new building near the old factory and has been designed for a routine output of 140 000 units/day (85 t), yet it can cope with production peaks of up to 100 t per day. The order includes two PH 690 D hydraulic presses, specially configured for the production of such product types. The order also comprises a 5-level ECP 235/11.3 roller dryer with an effective intake width of 2 350 mm and a length of 11.3 m.
Completing the order are the single-channel roller kiln (FMS 223/136.5 model, 136.5 m long with an effective load width of 2 350 mm) and the Synthesis sorting and packaging line with the Extrapack robot. The kiln has been designed and equipped to fire heavy materials at high temperature (up to 1 250° C). It is equipped with a flashing system to obtain a reducing atmosphere in the final firing zone of the kiln.
This order equips Azarakhsh to extend its product range, already widely appreciated on the internal and external markets. For Sacmi, which has operated in the area through its Sacmi Iran branch for years, this is a new and prestigious reference customer, strategic in terms of growth and development potential, especially in the construction and infrastructure sector. Thanks to recent changes on the international scene, the total growth of exports from Italy to the area can be estimated at no less than 3 bill. euros over the next four years (source: Sace – Cassa Depositi e Prestiti).
Source Ziegelindustrie International

IRAN: Perforated brick screens act as curtains for Tehran housing by CAAT Studio

Angled screens of perforated brick provide ventilation and shade for this housing block in Tehran by CAAT Studio, providing its residents with relief from the city's hot and dry climate (+ slideshow).

The six-storey building is located in the rapidly developing neighbourhood of Kahrizak in the southwest of the capital, which is populated primarily by low-income households. But the Iranian architects behind the project believe the kind of property being designed for the area is unsuitable.
They found that residents often adapt the uniform balconies of new blocks with colourful panes of glass or masonry, creating personalised places to hang clothing and store belongings. They felt this should be something included from the beginning.
"The main purpose of the design was to modify a typology of residential building in this region, in which lifestyle and social class of the population were considered," said CAAT Studio.
"There was a huge gap between resident's lifestyle and the type of constructions happening in that region," they added, "for example, by observing the existing building in the neighbourhood, balconies as a routine function in the facade were misused."
The architects focused their attention on the southern facade, fitting a series of sloping brick screens into recessed balconies to integrate some of the spaces they saw being developed by the residents of adjacent blocks.
They developed 21 different types of screen that create a degree of personalisation for each residence while still maintaining the overall appearance of the scheme.
These brick structures help to cast shadows on windows and provide storage nooks. Some are designed to be used as bookshelves or closets, while other are perforated to allow fresh air and natural light to pass through the facade.
The forms of the screens are based on the geometric patterns often found in traditional Iranian design.
The central balconies feature brick screens that slope in opposing directions to each other, creating the appearance of curtains drawn across the facade.
"Brick modules were designed based on Iranian geometry pattern; each module was subservient by the function of the space behind it," said the team.
"The design strategy was to provide each space behind the south facade with a proper brick arrangement module to support enough daylighting and storage requirements."
The client had a modest budget for the project, so the architects decided to use a type of locally produced clay brick and to employ local workmen to achieve the effect.
The bricks are cut with an angle grinder to form large holes, allowing them to be fixed to the block above and below with cement, and allowing them to be put together in varying arrangements.
Iran is fast becoming a hub for inventive design, as the gradual lifting of economic sanctions is paving the way for a generation of young architects to find work.

Source DEZEEN

French Companies Eye Iranian Market

Yann Jaubert, the President of Materials Technologies, which delivers block making machines, said he had very fruitful meetings and was warmly welcomed by the Iranian authorities including ministers and those of the business community.
“We have been investigating the Iranian market for more than two years now and have an Iranian agent here. Negotiations are currently underway with a number of companies with whom signing deals is quite probable,” he said, but added that banking restrictions have hindered cooperation with Iranian firms.

Source Iran Business News

11/10/2016

Maroc: Des résidus miniers comme matériaux de construction

Les recherches de Yassine Taha ont démontré que certains résidus miniers pourraient être employés comme produits de substitution à l’argile dans la fabrication de briques.
Selon un nouveau docteur en Sciences de l’environnement de l’UQAT, les résidus de certaines mines pourraient être employés dans la fabrication de briques cuites.
Dans sa soutenance de thèse, réalisée en cotutelle avec l’Université Cadi Ayyad à Marrakech au Maroc, Yassine Taha a démontré la possibilité de figer les éléments polluants des rejets de calamine et les stériles de charbon lorsqu’ils sont cuits à une température variant de 900 à 1100 degrés Celsius. Ceux-ci pourraient ensuite être employés comme substituts à l’argile naturelle dans la fabrication de briques cuites.
Si la calamine et le charbon ne sont pas des minéraux exploités au Québec, les résultats des travaux de M. Taha ouvrent quand même des perspectives intéressantes dans la valorisation des résidus miniers.
«Des briques pourront être fabriquées en substituant jusqu’à 30 % de l’argile naturelle par les rejets de calamine et jusqu’à 100 % par les stériles de charbon. Il s’agit d’une solution environnementale prometteuse pour un pays comme le Maroc. Non seulement elle réduit les quantités de rejets miniers, mais elle préserve aussi les ressources naturelles non renouvelables telles que l’argile et le sable, qui sont exploitées intensivement dans la construction», a exposé Yassine Taha.

Source La Frrontière

10/10/2016

Salon ARCHIBAT 2016 TERREAL présente ses innovations pour l’enveloppe du bâtiment

Du 19 au 21 octobre prochain, TERREAL sera présent au salon de la construction ARTIBAT à Rennes (Hall 5 Stand 5E25).

TERREAL présentera ses dernières solutions innovantes pour l’enveloppe du bâtiment au travers de ses 4 activités : la couverture, la structure, la décoration et la façade. L'expertise technique, énergétique et esthétique de notre groupe permet la réalisation de projets architecturaux modernes et performants et contribue à améliorer l’habitat. Parmi les solutions à découvrir sur le stand de TERREAL :
En couverture :

  • le coloris bleu irisé pour les tuiles Eminence et Elysée, pour une architecture résolument contemporaine,
  • le coloris « panaché d’automne », un coloris dédié à la rénovation, développé sur Giverny PV, la référence des petits moules d’aspect plat,
  • la Port Royal, une tuile plate vieillie, conçue pour les rénovations des toits de caractère,
  • la Romane Evo Blanc Mat qui parachève la gamme Zen pour les toitures contemporaines du sud,
  • le système COBRA, un système unique pour le raccordement des VMC aux tuiles à douille,
  • le stockage Easyli pour une autoconsommation optimisée de la production photovoltaïque du système Solterre PV.

En structure et décoration :

  • le revêtement de sol extérieur naturel Diabolo®, un concept de sols innovant alliant le minéral et le végétal,
  • l’appui réno, la solution universelle et simple pour rénover durablement les appuis de baies et les seuils,
  • la Brique Monolithe Isolée, une brique d’une hauteur de 2.80 m dont les nouvelles performances thermiques permettent une architecture toujours plus ambitieuse,
  • la gamme d’accessoires Monolithes, en constante évolution, incontournables de la RT2012 et RE2018.

En façade :

  • le Zephir Evolution, un bardage posé sur rails, dont les nouvelles dimensions (longueur 150 cm, hauteur 40 cm) permettent encore plus de souplesse architecturale, et sa nouvelle finition le MODLINE,
  • la nouvelle finition texturée de 440 mm du Thermoreal Gébrik.

Rendez-vous sur le salon au stand Hall 5 Stand 5E25 du 19 au 21 octobre prochain !

Source Terreal

09/10/2016

FIMEC TECHNOLOGIES/ BRANIS – Un succès confirmé :

FIMEC Technologies développe depuis plus de 40 ans des solutions innovantes pour la terre cuite.
Depuis son entrée en production en 2014, le site Branis de Biskra, plus grosse briqueterie en Algérie, illustre avec succès l’apport des dernières innovations dans le domaine de la production de briques en terre cuite.
Pour la construction de ces deux nouveaux sites à Biskra et à Sidi Bel Abbes, la famille Hoggui a retenu à nouveau les solutions développées par FIMEC Technologies pour le premier site de Branis.
L’entreprise, qui investit beaucoup en R&D, fait la différence par son approche innovante basée sur une expérience multi-marché. En se positionnant avec succès sur différents marchés (industrie automobile, matériaux de construction, logistique…) pour renforcer son activité elle a en effet démontré sa capacité d’adaptation et sa créativité en exploitant les meilleures idées et proposer des solutions dédiées à la terre cuite :

  • lignes de manutention de produits verts ou secs(coupeurs, chargeurs, empileurs, dépileurs),
  • séchoirs aux mécanismes innovants (séchoir rapide ANJOU® APO à pas optimisé),
  • manutention wagon,
  • palettiseurs et paquettiseurs,
  • nettoyeurs de wagon robotisés,
  • roues de wagons en acier forgé trempé
  • portes de four.

En plus des nouvelles installations de ligne de manutentions et d’équipements livrés clés en main, FIMEC Technologies propose une offre dédiée à la rénovation de sites de productions :

  • Manutention wagon
  • Modification séchoir (tension de chaine automatique, étanchéité séchoir)
  • Augmentation capacité séchoir
  • Augmentation de cadence par robotisation (pré-empilage, empilage).
  • Test des équipements avant livraison - Atelier FIMEC Technologies
  • Test des équipements avant livraison – Atelier FIMEC Technologies

Portes ouvertes à la Briqueterie Bouisset

A l'occasion des 10 ans du label d'Etat EPV (entreprise du patrimoine vivant), l'entreprise Briqueterie Bouisset, détentrice de ce label récompensant des entreprises françaises d'exception, ouvrira ses portes au public pour des visites exceptionnelles les vendredi 14 et samedi 15 octobre. L'entreprise détient le label EPV, marque de reconnaissance de l'État qui distingue des savoir-faire artisanaux et industriels d'excellence. Elle fabrique depuis 1878 des briques, tuiles, éléments de décoration de toitures, vases, jarres, etc, destinés à des chantiers allant de la construction à la décoration. Elle travaille régulièrement pour des chantiers de restauration du patrimoine et Monuments historiques. Les 14 et 15 octobre, le public pourra visiter les ateliers de fabrication, découvrir les savoir-faire, des visites guidées seront proposées, par groupe de 20 personnes, le vendredi 14 à 10h, 11h, 13h30, 14h30 et 15h30, le samedi 15 à 9h, 10h et 11h.

Ces journées «portes ouvertes» s'inscrivent dans le cadre de la première édition des Journées des savoir-faire d'excellence EPV, lancées pour les 10 ans du label ; elles sont initiées par l'Institut supérieur des métiers qui gère le label EPV au nom de l'État et l'Association de la visite d'entreprise, spécialiste de la filière du tourisme de savoir-faire avec pour objectif de susciter des vocations, présenter les possibilités de formation et d'apprentissages et découvrir des métiers de passion, promouvoir les entreprises d'exception EPV auprès du grand public et valoriser l'identité des territoires à travers la découverte de la culture économique. Ces «portes ouvertes» sont l'opportunité de (re) découvrir le territoire en allant à la rencontre des hommes et des femmes d'excellence des entreprises du patrimoine vivant.
Contact : 06.82.57.34.25/05.63.98.32.08 Site : www.briqueterie-bouisset.fr
www.terres-albine.com

Source La Dépêche du Midi

08/10/2016

CHAGNY- 1881-2016 : les Grandes tuileries ont prospéré

Voie de communication à la fois touristique et industrielle, le canal du Centre a grandement participé au développement de la tuilerie et de la ville de Chagny. Navigable à partir de 1783, le canal du Centre (ancien canal du Charolais) a servi de moyen de transport aux entreprises riveraines comme les Verreries de Chagny (1861 – 1881), remplacées par les Grandes tuileries de Bourgogne en septembre 1881.
Ces dernières, absorbées par Lambert Frères en 1963, deviennent Lambert Céramiques en 1975 puis Terréal en 2003.
Les premières tuileries à Chagny datent de 1713, avec la tuilerie Robert au lieudit la Grangerie.
La tuilerie a connu plusieurs dates marquantes comme en 1938, avec la fusion des tuileries de Chagny et Montchanin. En 1963, la société Lambert rachète les tuileries de Montchanin et Chagny pour ne conserver que celle de Chagny, Montchanin étant arrêtée en 1973. Le 6 août 1964, un incendie, commencé au four n° 3, détruit les trois quart du site chagnotin. En 1976, la dernière cheminée est démoli, puis en 1990 la société devient la tuilerie la plus moderne d’Europe, suivie de la construction de Terréal 2 en 2007.

Source Le Journal de Saône et Loire

07/10/2016

Recyclage et réemploi de matériaux en construction, mythe ou réalité ?

Le réemploi de matériaux dans la construction se développe avec l’émergence de nouvelles façons de construire, portées notamment par l’association d’architectes Bellastock. Dans un rapport paru en avril 2016, l’ADEME se penche sur les freins au développement de cette filière et propose des leviers pour la promotion de cette pratique.

Chaque habitant produit plus de 354 kg de déchets ménagers par an, mais si on prend en compte tous les types de déchets, et notamment ceux liés à l’industrie et à la construction, ce chiffre passe à plus de 14 tonnes par an et par habitant ! Les ressources s’épuisent et les déchets ne font que croitre...
Il parait vital de trouver des solutions pour inverser cette tendance. Le recyclage se pose comme solution évidente à cette problématique, mais comment et dans quelles mesures peut-il s’appliquer au secteur de la construction ?
Dans son rapport « Identification des freins et des leviers au réemploi de produits et matériaux de construction », l’ADEME rassemble différents retours d’expérience de projets déjà mis en place et répertorie un certain nombre d’actions pour favoriser le réemploi.
Constat général de l’étude :
Les premiers résultats de l’étude ont montré que le développement du réemploi devait d’abord passer par une sensibilisation des acteurs en diffusant des retours d’expérience et une formation aux bonnes pratiques du réemploi dans les secteurs de la construction et des travaux publics.
Les freins au réemploi :
Dans le secteur du bâtiment, les principaux freins liés au statut juridique des matériaux réemployés et des garanties sur la qualité des produits et construction. En effet, le statut de déchet n’est pas encore reconnu et la garantie n’est pas assurée. Le développement de la filière reste donc encore limité, accentué par une modification nécessaire des pratiques de pose et dépose des matériaux.
Concernant le secteur des travaux publics, les freins sont proches de ceux du secteur du bâtiment.
Ces freins s’expliquent par une pratique encore récente en France – victime d’aprioris négatifs - et peu réglementée. L’acceptation du recyclage n’est encore que trop faible par rapport à d’autres pays. La valorisation de l’ouvrage du point de vue environnemental n’est pas encore assez reconnue ni mise en valeur, ce qui ne permet pas une différenciation assez importante par rapport aux autres types de construction.
Les actions à mettre en place :
>> Evolution réglementaire
Une évolution réglementaire est attendue pour pouvoir légitimer le statut de déchet et favoriser le réemploi, de même qu’une meilleure définition de la responsabilité des entreprises de construction.
>> Requalification des produits de dépose
Une requalification des produits de dépose permettrait de faciliter leur intégration dans la réglementation en vigueur. Une anticipation du devenir des matériaux et une facilitation de la mise à disposition de ces produits de dépose améliorerait le recyclage.
>> Diffusion des retours d’expériences
Le rapport encourage une meilleure diffusion des retours d’expériences afin de lutter contre les aprioris négatifs qui grèvent le développement de la filière.
Perspectives du recyclage :
Néanmoins, aujourd’hui des projets utilisant des matériaux recyclés existent déjà comme par exemple la Recycled Materials au Chili ou la Springfield House au Kansas :
La Recycled Materials Cottage au Chili et la Springfield House au Kansas, USA, issu du livre Matière Grise.
En France, des projets de recyclage sont aussi présents, le projet Reclybeton est l’un d’eux. Ce projet de recherche vise la réutilisation du béton dans les nouvelles constructions. Aujourd’hui seulement 10% du béton est recyclé ce qui est faible par rapport à nos voisins. Des expérimentations sont en cours – notamment en Ile-de-France - et pourraient permettre le développement de ces pratiques dans les prochaines années. Dans le même esprit, la SNCF porte un projet de réalisation d’entrepôts réalisé à 90% grâce à des matériaux récupérés sur leurs sites (remplacement de traverses etc.). Ces perspectives pourraient permettre de faire évoluer la vision sur le recyclage et devenir des vitrines à ciel ouvert du réemploi.
Pour aller plus loin :
Les détails des actions et les retours d’expérience pour les projets de réemploi peuvent être retrouvés dans l’étude complète de l’ADEME en suivant le lien : http://www.ademe.fr/sites/default/files/assets/documents/identification-freins-reemploi-btp-201604-rapport.pdf
D’autres références et retours peuvent être retrouvés sur le site de l’association Bellastock, engagée dans la démarche du recyclage : http://www.bellastock.com/, ou dans le livre Matière Grise, Matériaux/Réemploi/Architecture, ENCORE HEUREUX Julien Choppin & Nicola Delon, Pavillon de l’Arsenal.
Source Les ENR par Tania Jalocha