Pages

30/09/2011

Franck Cotton, président de l'Union de la maçonnerie et du gros œuvre (UMGO/FFB) : « Je ne prévois pas de reprise du gros œuvre avant l'automne 2012 »

Motiver les troupes alors qu'aucun signe économique encourageant n'est propice à l'activité : l'exercice était délicat pour Franck Cotton, président de l'Union de la maçonnerie et du gros œuvre (UMGO/FFB) lors des rencontres des métiers du gros œuvre, organisées le vendredi 23 septembre à Ajaccio. Pas question pour autant de tomber dans le catastrophisme, même si la visibilité sur 2012 est quasi nulle.

Comment s'annonce la fin de l'année pour les entreprises de gros œuvre ?

Nos entreprises vivent actuellement sur leurs carnets de commandes qui sont extrêmement variables d'une entreprise à l'autre. Un grand nombre d'entre elles ont un volume de travail d'environ 2 à 4 mois, mais certaines ont beaucoup plus. Et grâce à la petite bouffée d'oxygène due à un regain de travaux avant l'été, nous allons, dans l'ensemble, finir l'année correctement. Mais le plus inquiétant est le manque de visibilité sur les prochains mois.


Vous pensez que 2012 sera encore difficile pour vos entreprises ?

On peut se demander si on ne va pas encore rentrer dans une crise en 2012. Si nous regardons en arrière, en juin/juillet 2008, l'activité était plutôt bien orientée, mais s'est effondrée en septembre. Cette année, le phénomène est moins fort même si nous avons le sentiment d'un tassement de l'activité. A ce ralentissement de projets structurants s'ajoute bien évidemment la période électorale qui gèle de façon assez traditionnelle les décisions de projets. Le temps que tout se remette en ordre de marche, il ne devrait pas y avoir de reprise avant l'automne 2012. Pour ne pas licencier pendant ces années de crise, nous avons puisé dans nos bas de laine qui sont vides aujourd'hui. Nous devons pourtant reconstituer nos trésoreries, mises à mal, sinon nos entreprises seront en danger, surtout celles qui ont entre 30 et 60 salariés qui souffrent le plus actuellement.


Ce danger ne vient-il pas non plus des prix bas pratiqués ?

En effet, la pression sur les prix ne faiblit pas. Elle aurait même tendance à s'accélérer. Par exemple, là où il y a 3 ans, nous étions trois à quatre maçons à répondre à un marché de réhabilitation, nous sommes aujourd'hui 15, parmi lesquels des entreprises structurées de 30 à 40 salariés dont l'activité porte normalement sur le secteur du neuf. Ce glissement est d'autant plus dangereux que les investissements consentis en matériels par ces entreprises sont plus importants pour la construction neuve que ceux pour la réhabilitation et souvent inadaptés. Il est vrai qu'en temps de crise, les entreprises ont tendance à aller sur des marchés qu'elles maîtrisent moins que leur marché habituel.


La montée en puissance de la RT 2012 devrait avoir lieu fin 2011 début 2012. Quels seront ses effets sur vos activités ?

Nous ne sommes pas les premiers concernés par l'application de la RT 2012. Cependant, nos métiers de maçonnerie-gros œuvre peuvent légitimement s'octroyer 15 % de ce marché. Notamment en ce qui concerne l'étanchéité à l'air. Et s'il y a un message à faire passer auprès de nos entreprises qui s'inquiètent de cette étape essentielle de la réglementation thermique, c'est bien de les rassurer. Car l'étanchéité à l'air nécessite simplement l'application de quelques bonnes règles de construction, que certaines entreprises ont peut-être oubliées. Cette obligation considérée comme une contrainte a le mérite de souligner la qualité du travail tout en apprenant à mieux se coordonner avec les autres corps d'état et à développer nos relations avec la maîtrise d'œuvre. Quoiqu'il en soit, les chantiers issus des réglementations, thermique, mais aussi sismique, sont à plus forte valeur ajoutée et donc intéressants pour nos entreprises.


Avec la mise en place du Grenelle de l'Environnement, la filière maçonnerie a donné l'impression d'être suiveuse par rapport à celle du bois. Qu'en est-il aujourd'hui ?

Nous avons souffert en effet d'un déficit d'image, mais c'est beaucoup moins le cas actuellement. Il n'est pas question de nous lancer dans une guerre avec le bois. Notre filière sait faire des bâtiments BBC. Ce que nous demandons par contre, c'est que le choix du matériau soit basé sur des critères objectifs et non pas par effet de mode. En attendant, nous espérons que le Grenelle démarre très vite pour en ressentir les effets.
Source LE MONITEUR.FR propos recueillis par Frédérique Vergne et Florent Lacas

29/09/2011

Efficacité énergétique : premières propositions

Lancée en mai dernier, la table ronde pour l’efficacité énergétique a pour but de dégager des mesures visant à améliorer les dépenses d’énergie des foyers français, mais aussi des entreprises. Après trois mois de discussions, les premières propositions sont tombées. Quelles sont-elles pour l’habitat et les sociétés ? Réponses.

A mi-parcours, la ministre de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement, Nathalie Kosciuszko-Morizet, dresse un premier bilan de la table ronde pour l’efficacité énergétique lancée le 31 mai dernier.

Au cœur des discussions : l’habitat et le bâtiment. C’est pourquoi, le gouvernement a chargé Philippe Pelletier, président du comité stratégique, de rechercher les points de consensus des principales fédérations professionnelles du bâtiment, de l'architecture et de l'ingénierie et de lui faire des propositions pour fin octobre 2011 avec une approche progressive pour permettre aux entreprises de s’adapter. «Je soutiens l’idée de conditionner d’ici 2013 à 2015 les aides à la rénovation à la qualification des professionnels. Cette mesure est à la fois la clé de l’avenir pour les entreprises du bâtiment et une nécessité pour une meilleure efficacité économique », a déclaré la ministre.

A noter que les groupes de travail continueront leurs analyses et discussions sur ces thèmes afin de dégager des propositions finales mi-novembre. S’en suivra une consultation publique jusqu’à mi-décembre. Enfin, les résultats passeront entre les mains du Premier ministre et du Président.

Premières propositions pour l’habitat
- Conforter et coordonner le Crédit d’Impôt Développement Durable (CIDD) et l’écoPTZ pour encourager la rénovation énergétique des logements ;
- Prendre en compte les ménages en situation de précarité énergétique ;
Deux points importants : éviter que les mesures conçues pour le ménage moyen aient des impacts négatifs, et mettre en œuvre des dispositifs spécifiquement adaptés aux situations les plus difficiles.
- Pérenniser l’éco-prêt logement social pour les bailleurs sociaux ;
- Intensifier l’usage des certificats d’économies d’énergie pour la rénovation du parc ;
- Mettre des conditions de qualification des professionnels pour le versement des aides publiques.

Propositions pour les entreprises

- Inciter les sociétés à réaliser des opérations d’économies d’énergies
Cette proposition vise les PME-TPE et s’appuie sur des efforts à fournir au niveau matériel avec, par exemple, l’acquisition d’équipements performants (moteurs, pompage, éclairage…) ou la production d’énergie à partir d’énergie renouvelable. Au niveau immatériel, on peut citer la réalisation d’audits énergétique, le recrutement de responsable énergie…

- Inciter à la qualification des professionnels en conditionnant les aides publiques à un certain niveau de qualification
Il a été suggéré la mise en place d’une qualification «Recommandé par le Grenelle de l’Environnement » pour les professionnels titulaire d’une qualification reconnue.

- Développer le recours aux tiers investissements notamment pour les contrats de performance énergétique

- Mettre en ligne un site Internet dédié aux entreprises
Mettre à disposition des entreprises un portail Internet recensant l'ensemble des réglementations et dispositif d'aides sur le thème de l'efficacité énergétique. Les textes en vigueur, les procédures administratives à suivre…

- Rendre obligatoire les extinctions d’enseignes lumineuses de minuit à 6 heures du matin

- Réviser le livret développement durable

Il est proposé de mettre en place un système de contrôle et de sanction pour renforcer l'implication des banques dans le financement de l'efficacité énergétique pour les particuliers. De plus, il est proposé de renforcer l'enveloppe à destination des entreprises pour proposer des éco-prêts et/ou constituer un fonds de garantie pour les PME.

Quelques chiffres :
Le secteur du bâtiment, c’est :
- le secteur le plus consommateur d’énergie : il représente 43% de l’énergie finale
de la France et 25% des émissions de CO2
Le secteur des transports, c’est :
- 31,9 % de la consommation d’énergie finale en France, 69% de la consommation de produits pétroliers, et 26 % des émissions nationales de CO2 en 2009
Le secteur industriel, c’est :
- environ 21% de la consommation d'énergie finale de la France en 2009
- 20 % du total des émissions de gaz à effet de serre de la France
Source : ministère de l'Ecologie
Source Batiactu

28/09/2011

Cavac Biomatériaux reprend la société Naptural

La société Naptural, acteur de l’isolation naturelle et connu sous les marques Batiplum, Baticoton et Batiouate, a été reprise par l’entreprise Cavac Biomatériaux suite à l’accord du tribunal de commerce émis le 15 septembre dernier.

En liquidation judiciaire depuis quelques mois, le fabricant d’isolation naturelle Naptural, situé à Sainte-Hermine (85), cède sa place. Sur accord du tribunal de commerce, la société Cavac Biomatériaux, basée à Sainte Gemme la Plaine (85), reprend Naptural.

Avec un chiffre d’affaires de 534 millions d’euros et 950 employés, le Groupe agro-industriel Cavac affirme sa stratégie de diversification en reprenant Naptural. Depuis deux ans, 10 millions d’euros ont été investis pour les biomatériaux et le développement du "bâtiment biosourcé", notamment avec la gamme d’isolants Biofib'isolation.

Cette reprise permettra d’augmenter les capacités de production du groupe défendant une production 100 % française et devant répondre à une demande toujours plus croissante d’isolants naturels.
Source Batiactu

27/09/2011

En 2012, priorité au logement

Si les intentions d’achat de logements neufs semblent se maintenir, les dispositifs mis en place par le gouvernement auraient modifié le profil des clients, pour qui la question à l’avenir n’est plus une France de propriétaires mais une France de bien-logés, indique la dernière étude Nexity publiée mercredi.

Selon le dernier indicateur du logement neuf de Nexity, les intentions d’achat dans le neuf se maintiennent, à 5.5%, malgré un contexte économique difficile. Un attrait d’autant plus marqué que l’écart entre le neuf et l’ancien se réduit, atteignant 3 points contre 6 en février 2011.

Cependant, le profil des clients subit quelques modifications, notamment en raison des mesures gouvernementales de ces derniers mois. En effet, « le nombre de réservations enregistrées auprès des primo-accédants dans la production de logements baisse de 9% pour s’établir à 1.189 réservations au 1er semestre 2011 », note l’étude. Soit des primo-accédants qui auraient changé de visage sous l’effet combiné de la mise en place du nouveau PTZ+ et de la disparition du pass-foncier. Les récentes statistiques montrent ainsi que le PTZ+, lancé en grande pompe au début de l’année, favorise davantage les catégories les plus aisées, qui achètent plus cher et plus grand. Nexity appelle à un « recentrage » du PTZ+, qui profite désormais plus au secteur de l’ancien que du neuf.

Autre élément de cette conjoncture, la progression des prix, constatée sur la France entière au premier semestre 2011, tirée notamment par l’Ile-de-France. Cette question des prix est une des préoccupations majeures des Français, explique, en parallèle, un sondage Ipsos/Nexity. Désormais, « l’objectif pour les années à venir est celui d’une France de bien-logés pour 86% des Français et 81% des élus », l’idée d’une France de propriétaires comme le désirait Nicolas Sarkozy à l’aube de son mandat étant devenue obsolète. Mettant en cause la rareté du foncier et la hausse des prix du terrain, les Français pointent du doigt la politique nationale du logement. Et attendent du gouvernement qu’il « modifie les choses en profondeurs en matière de logement ». Pour atteindre cet objectif, ils sont très majoritairement pour « plus d’intervention des pouvoirs publics pour encadrer et réguler les prix de l’immobilier et du foncier », révèle le sondage.


Méthodologie des enquêtes
Volet Grand public : réalisée par téléphone du 22 au 25 août auprès de 1000 personnes constituant un échantillon représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. L’échantillon est construit selon la méthode des quotas (sexe, âge, profession du chef de famille, catégorie d’agglomération et région).
Volet Elus : Enquête réalisée par téléphone du 5 au 27 juillet auprès d’un échantillon raisonné de 351 élus comprenant:
‐ 40 parlementaires,
‐ 70 conseillers généraux et régionaux,
‐ 241 élus communaux (maires, 1er adjoint et adjoint à l’urbanisme).
[5.000 à 20.000 habitants : 174 interviews / 20.000 à 50.000 habitants : 45
Source Batiactu

26/09/2011

Matériau 100 % adapté à la RT 2012 : le monomur

L’utilisation du monomur ne cesse de croître dans les constructions ces dernières années, au rythme de 2 % par an, surfant sur le Grenelle de l’environnement et la RT 2012. Le monomur se présente sous de multiples aspects, à commencer par la brique, le béton cellulaire et la pouzzolane (roche volcanique). Pour Pascal Deffaugt, maçon et président de la CAPEB Haute-Savoie, « le type de monomur est variable suivant le lieu de construction. Dans le Nord ou en Alsace, les réalisations se font en briques de façon séculaire tandis qu’en montagne, le bois est majoritaire ».
Les avantages du monomur

S'il n'est guère écologique lors de sa fabrication du fait de l'énergie utilisée pour sa cuisson, le monomur s'avère en revanche très sain. En effet, il est conçu sans aucun apport chimique. De même, tout au long de sa vie, ses résidus sont employés pour les opérations de terrassement.

Sa forme alvéolaire, tout comme sa forte inertie, sont sources de performances thermiques remarquables ce qui le rend très intéressant pour répondre aux exigences de la RT 2012. Il est également possible de poser une isolation supplémentaire en intérieur pour obtenir une meilleure protection. Celle-ci permet notamment d'éliminer les rainurages des briques, qui peuvent provoquer des ponts thermiques (consultez notre fiche pour savoir identifier les ponts thermiques) dus au passage des câbles et des conduits. Accusée de provoquer ces derniers, la mise en place de structures en monomur emploie désormais de nouvelles solutions techniques pour les supprimer. C'est le cas avec la maçonnerie à rouler à joints minces.

Une existence déjà ancienne pour le monomur

Pascal Deffaugt en explique d'ailleurs les différentes techniques de pose : « Dans certains cas, quand les surfaces vitrées sont nombreuses, il est fait l'emploi de solutions techniques particulières comprenant des joints pelliculaires pour supprimer les ponts thermiques. Le monomur doit également être mis en place avec précision pour permettre de bénéficier de tous ses atouts. Comme toutes les techniques de construction adaptées, notamment en cas de risque sismique, le soubassement, le sous-sol et le vide sanitaire doivent être réalisés en béton avec une semelle plane au micron ».

Parmi les matériaux utilisés pour le monomur, le béton cellulaire, réalisé suivant un procédé spécifique, a fait son apparition à la fin du 19e siècle. La brique, quant à elle, affiche un passé encore plus ancien. En conclusion : « Construire en monomur revient à réaliser un travail d'horloger adapté à la construction. Le procédé, moins cher que l'ossature bois, est l'une des explications de sa croissance importante ces dernières années. Seule contrainte, ce type de construction ne peut dépasser le R+5 ».
D'après ETI Construction - Le monomur pour un matériau adapté à la RT 2012
Source Batiweb

25/09/2011

ADLER Technologies participe à l'édition 2011 du salon BATIMAT

ADLER Technologies participe à l'édition 2011 du salon BATIMAT qui se tiendra porte de Versailles à Paris, du 7 au 12 novembre. Expert en ingénierie, fournisseur de solutions clés en main, d'équipements et de services dédiés à la production et l'innovation au coeur de ses développements.

En s'appuyant sur un savoir-faire reconnu, une excellente connaisance des matériaux et une large maitrise du process béton, ADLER Technologies accompagne ses clients sur le long terme en leur proposant une offre globale flexible et évolutive.

Aujourd'hui, la société propose une offre de services complète destinée à assurer la meilleure productivité aux installations de ses clients. Audit et diagnostic, formation, optimisation d'installation, mise en conformité aux nouvelles normes, télémaintenance et visiomaintenance : ces services à la carte participent à l'optimisaion de la performance de leur installation.

ADLER Technologies anticipe aussi les évolutions du marché et les besoins de ses clients en proposant notamment des innovations dont de nouvelles solutions de complexage de matériaux (insertion d'isolant dans les blocs béton), qui seront présentées en avant-première sur le salon, en partenariat avec FIMEC Technologies.

Ces solutions viennent compléter une offre large, fruit de plus de 30 ans d'expérience : centrales à béton, presses à béton et moules, rectifieuses, étuves, solutions de transitique et automatismes de gestion de production.

L'équipe d'ADLER Technologies vous accueillera avec plaisir sur son stand (HALL 4 - Allée A - Stand n° 49) pour vous présenter ces solutions uniques et vous accompagner dans l'ensemble de vos projets.
Plus d'information sur www.batimat.com
Source Adler Technologies

24/09/2011

TUILERIE de PUYCHENY SARL MAZEROLAS & Fils


Depuis 5 générations, la famille MAZEROLAS cuit de l'argile. Spécialisée dans la fabrication de tuiles plates pour la restauration du patrimoine ancien, et grace à leur savoir-faire transmis de père en fils, cette entreprise est en mesure de reproduire toutes les dimensions de tuiles ainsi qu'une grande variété de couleurs et de patines. Elle vous ouvre très volontiers ses portes si vous désirez la visiter.

Produits:
Tuiles Plates MH(Monument Historique) Sablées 4 Coloris
Tuiles Plates MH-RSC(Monument Historique Rouge Sablée Clair)
Tuiles Plates MH-BSG(Monument Historique Brune Sablée Gris)
Tuiles Plates PV(Patrimoine Vieillie)

Coordonnées
TUILERIE de PUYCHENY
Tuiles plates de restauration
SARL MAZEROLAS & Fils
PUYCHENY
87800 SAINT-HILAIRE-LES-PLACES
Tèl.05.55.09.33.45.
Fax : 05.55.09.39.14.
Email : Christophe.MAZEROLAS@wanadoo.fr
SIRET 448 089 292 00016 - NAF 264B
Source TUILERIE de PUYCHENY

Le Thermoreal®-Gebrik® de TERREAL

Le Thermoreal®-Gebrik® est un procédé de vêture de parement en terre cuite, autour d’une solution technique s’appuyant sur plus de 30 ans d’expérience et un Avis technique du CSTB.

Il réuni la qualité architecturale des plaquettes traditionnelles TERREAL à une solution d’isolation thermique par l’extérieur.

Avec 18 finitions, à joints croisés ou filants, il est l’assurance d’une mise en œuvre économique et rapide et d’un système durable, performant et sans entretien.
Source CyberArchi

23/09/2011

Maisons individuelles : un atterrissage des ventes à -7% fin 2011

Alors que le salon Faire construire sa maison vient de fermer ses portes, la conjoncture du marché de la maison individuelle est plutôt mitigée, à en croire l’Union des maisons françaises. Ainsi, la fédération prévoit une baisse des ventes de -5 à -7% à fin 2011, notamment en raison des tensions sur les prix liées aux obligations du BBC, et de la hausse du prix du foncier.

Le nombre de ventes de maisons individuelles a baissé de 4% entre fin juillet 2010 et fin juillet 2011, a indiqué vendredi l’Union des maisons françaises (UMF), lors d’un point presse sur le salon Faire construire sa maison.

Une baisse qu’accusent les constructeurs, mais qui reste à pondérer selon les régions. En effet, celles qui tractent le marché depuis une quinzaine d’années – Bretagne en tête – ont vu leurs ventes s’effondrer, entre -6 et -12% sur un an en moyenne. En revanche, celles de la façade Est et du Centre tirent leur épingle du jeu (3% dans le Centre-Est). Si la fédération attend avec impatience les résultats du mois d’août, elle envisage tout de même une activité qui devrait s’achever entre -5 et -7% au 31 décembre 2011. Dans ces conditions, la fédération s’achemine vers un « atterrissage en douceur », et compte sur un marché globalement soutenu par ses fondamentaux, et notamment le besoin de quelque 400.000 logements à produire chaque année. L’immobilier qui reste une valeur refuge, même en période de crise, sera néanmoins chahuté par une demande qui devrait s’effriter encore davantage en raison de la dégradation de la solvabilité des ménages qui se poursuit et par la remontée des taux d’intérêt.

PTZ+ : retour aux sources…
Toutefois l’Union, et son président Christian Louis-Victor, ne veut pas parler de catastrophisme. La fédération entend bien continuer les combats qu’elle mène depuis toujours pour un « confort accessible » en maison individuelle. Pour cela, ses préoccupations pour l’avenir se contreront, d’une part, sur les dérives du PTZ+ qui, selon elle, a généré trop peu de travaux utiles à la filière bâtiment et donc à l’emploi. « Il est urgent de redonner au PTZ+ les fondamentaux de sa création originelle », clame son président, qui explique que l’ouverture de ce dispositif à l’ancien sans condition de travaux a perverti le système. Il préconise ainsi un octroi conditionné par des plafonds de ressources et un recalibrage des montants. D’autre part, la construction BBC reste un grand point d’interrogation pour la filière. Si la montée en puissance du BBC, qui s’est traduite dans les offres de prêt en 2010 et dans la distribution de labels, la demande reste à la peine car sa traduction financière et la solvabilité des ménages ne sont pas au rendez-vous.

A l’horizon de l’entrée en vigueur de la RT 2012 pour les maisons individuelles, au 1er janvier 2013, l’Union s’interroge sur le surplus de financement lié à la construction BBC. En effet, aujourd’hui considérés comme logements « performants » dans les textes du PTZ+, qu’adviendra-t-il de ces logements BBC au 1er janvier 2013 ? « A priori, ces logements, qui ne feront qu’appliquer la norme réglementaire, ne pourront plus bénéficier des surplus de financement actuels, la notion de performance étant réservée à ceux qui auront un label sanctionnant des contraintes supérieures. Or, au 1er janvier 2013, il est évident que les surcoûts du BBC n’auront pas été lissés et absorbés par la filière », reconnait l’Union. Christian Louis-Victor a indiqué avoir transmis ces observations au secrétaire d’Etat au Logement, Benoist Apparu.
Source Batiactu

22/09/2011

Concours Terroirs de Terreal : plus que quelques semaines pour participer !

Pour une seconde édition, Terreal, leader français de la tuile terre cuite et leader mondial de la tuile plate, organise un grand concours national visant à valoriser le travail des professionnels de la couverture dans le cadre de chantiers patrimoniaux : Terroirs de Terreal. Tous les couvreurs et les prescripteurs, architectes et maîtres d'ouvrage ayant choisi les tuiles Terreal pour restaurer une demeure ou un monument sont appelés à participer à l'opération en présentant l'une de leurs réalisations significatives. Il ne vous reste plus que quelques semaines pour présenter vos dossiers de participation : rendez-vous vite sur le site www.atrium-construction.com et cliquez sur la bannière Terreal. Après délibération du jury, composé d'architectes et de professionnels de la couverture, les prix seront remis dans le cadre du Salon International du Patrimoine culturel, au Carrousel du Louvre.
www.atrium-construction.com
Source Bati-journal

Boral Bricks to lay off 70 Augusta workers

The nation’s largest brickmaker will be cooling two of its Augusta kilns in November.

Boral Bricks Inc. on Tuesday announced layoffs to start in 60 days at its facilities on Arthern Road, affecting about 70 employees.

Boral Bricks president, Bob Kepford, said there is a surplus of bricks that need to be absorbed into the housing market and the plant shutdown might last six months.

“This is the second time we’ve had these facilities idled during this downturn. The market for bricks is new home construction and that market is in pretty bad shape,” Kepford said.

The first shutdown was between December 2008 and April 2009. Another facility on Doug Barnard Parkway was closed in July 2009 and still hasn’t restarted.

Boral has 23 brick making plants in the Southeast and only 10 of them are operating, Kepford said.

“We anticipate a return to full operations as market conditions improve,” he said. “The forecasters keep predicting that there’ll be improvement, but that has yet to come in the last two years. We’re hoping that the market will turn a corner here soon.”

The U.S. Commerce Department said Tuesday that builders began work on a seasonally adjusted 571,000 homes in August, a 5 percent decline from July and a three-month low.

Single-family homes, which represent roughly two-thirds of home construction, fell 1.4 percent. Apartment building plunged 12.4 percent.

Home construction is down nearly 6 percent over the past year.

Boral Bricks’ corporate services facility in Augusta, employing 104 people, is not affected by Tuesday’s announcement.
The Augusta Chronicle by Tim Rausch

21/09/2011

VM Matériaux profite d'un marché plus favorable


VM Matériaux a enregistré pour le premier semestre 2011 un chiffre d'affaires en hausse de 14,7% (+7,6% à périmètre constant), à 366,4 millions d'euros.

Les trois domaines d'activité du groupe vendéen (négoce de matériaux, industrie du béton et menuiserie industrielle) ont participé à ses bons résultats. "Compte tenu de nos performances semestrielles, nous confirmons la poursuite d'une évolution favorable de nos activités malgré les incertitudes macro-économiques actuelles", indique le groupe dans un communiqué.
Source France BTP par Anthony Laurent

20/09/2011

Energies décarbonées : des marchés pour l'industrie française

Il est de coutume de se gausser du retard pris par la France dans le développement des énergies éolienne terrestre et photovoltaïque. A l'heure où de nouvelles filières décarbonées montent en puissance (réseaux électriques intelligents, captage et stockage du CO2, énergies marines, pour n'en citer que quelques-unes), l'industrie française est en marche. Un tout nouveau rapport de la Direction générale de l'Energie et du Climat le prouve.

« Malgré un relatif déficit de communication, la France n'est pas en retard dans le domaine des réseaux électriques intelligents », est-il ainsi noté. Or, avec un objectif de 10 à 15 % des parts du marché mondial qui reviendraient aux grands groupes français du domaine électrique, ce marché devrait représenter de 1 à 5 milliards d'euros par an pour la filière française. Sont concernés bien sûr les électriciens et les gestionnaires de réseaux, mais aussi les équipementiers (environ 50 000 emplois) et les installateurs/mainteneurs pour les équipements de réseau (environ 100 000 emplois).

Autre exemple : la géothermie. Un marché qui s'adresse aux bureaux d'études, aux fabricants de pompes à chaleur et aux installateurs. « Les acteurs français sont capable de couvrir l'ensemble des maillons de la chaîne de valeur de la géothermie de haute énergie », souligne le rapport. Ca tombe bien : le potentiel de marché dans l'Europe des 27 est considérable.

Le captage et stockage du CO2, autre technologie en devenir : si le nombre de PME/PMI présentes aujourd'hui dans la filière est limité, elles ont « un rôle important à jouer avec une valeur ajoutée tout d'abord sur la fourniture d'études et d'équipements spécifiques » mais aussi dans la structuration du futur tissu industriel. Or, le CSC est considéré comme une voie potentiellement majeure de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Le potentiel de marché mondial est estimé à 120 milliards d'euros par an, selon le Boston Consulting Group (captage de 4 milliards de tonnes/an à 30 euros la tonne). En France, le volume concerné pourrait approcher les 80 Mt de CO2 par an.

Avec ce travail colossal – et inédit – qui a été fait pendant 18 mois par les équipes de Pierre-Franck Chevet, le directeur de l'Energie et du Climat, toutes les cartes sont sur la table : technologies, chaînes de valeur, marchés, acteurs, sans oublier un vaste panorama des efforts de R&D et valorisation et le rappel du cadre réglementaire. Le rapport de 189 pages doit être mis aujourd'hui en ligne. Nul doute qu'il aura valeur de référence.
Source ENERPRESSE / Le Moniteur par Elisabeth Salles - Enerpresse

19/09/2011

Bourse: Le secteur des biens de construction dans la tourmente

Sombre début de semaine pour le secteur des matériaux de construction à la Bourse de Paris. Saint-Gobain cède 4,22% à 29,58 euros tandis que Lafarge abandonne 3,61% à 25,375 euros. Les investisseurs fuient les secteurs considérées cycliques alors que la zone euro et les Etats-Unis semblent tout proches de basculer une nouvelle fois en récession.

Les investisseurs sanctionnent également l'incapacité des dirigeants européens, réunis vendredi et samedi, à s'entendre sur la mise en place du second plan d'aide à la Grèce. Une absence de décision qui a ravivé les craintes que le pays fasse défaut sur sa dette.

Et ce matin, la note publiée par la banque britannique HSBC concernant le secteur des matériaux de construction n'incite guère à l'optimisme. Au contraire.

Selon HSBC, les actions du secteur des matériaux de construction sont installées, voire collées dans un tunnel de ténèbres. Les prévisions d'un retour à la récession (scénario du double dip) des marchés développés et les nouvelles capacités de production continuent de s'imposer devant le retour des marchés émergents, souligne le courtier.

Il attend une dégradation de l'Ebitda du secteur jusqu'en 2015 après une baisse de 15% en moyenne de ses estimations pour 2012. Le broker a réduit son objectif de cours sur Saint-Gobain de 60 à 44 euros tout en réitérant sa recommandation Surpondérer.

L'analyste a également abaissé son objectif de cours sur Lafarge de 47 à 27 euros tout en maintenant sa recommandation Neutre.

Concernant les valeurs étrangères, HSBC a dégradé sa recommandation sur le mexicain Cemex de Neutre à Sous-pondérer. Il maintient sa recommandation Neutre sur Holcim et Surpondérer sur HeidelbergCement.
Source Zone Bourse

Les pros découvrent Terréal 2 Chagny

Lundi dernier, une dizaine de membres du réseau Ecosyn avaient rendez-vous à Chagny pour découvrir le dernier site de Terréal en Bourgogne : Terréal 2.

Depuis 5 ans, Ecosyn, (Réseau d’entreprises de l’éco-construction de Saône-et-Loire) fort de 13 sociétés des métiers du bâtiment, œuvre dans le respect de l’environnement.

Toutes ces entreprises, architectes, géothermie, isolation, récupération d’eau, pompes à chaleur… ont dû, pour entrer dans cette entité, signé une charte.

La charte Ecosyn a pour but de mettre en valeur l’écologie et respecter l’environnement en allant vers la définition du développement durable.

Le réseau n’a pas de bureau au sens propre du mot, son siège est dans les locaux de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Saône-et-Loire à Écuisses.

La visite de la tuilerie par ces professionnels s’intègre parfaitement dans la protection de l’environnement menée par Terréal.

« Depuis la pose de la première pierre en mai 2007, explique Jacques Lieury, délégué commercial pour la Saône-et-Loire, et guide pour l’occasion, la vision stratégique du groupe Terréal s’inscrit dans une démarche de développement durable. Son engagement porte sur la maîtrise des impacts sur l’environnement, la protection des paysages et de la biodiversité dans l’exploitation de carrières, la proposition de systèmes constructifs pour suivre la performance énergétique du bâtiment (réglementation thermique 2012 et 2020) et une gestion durable des ressources humaines. 90 % de la manutention est faite par des automates ».
Une visite appréciée

Terréal est aussi associé à la démarche HQE (Haute Qualité Environnementale), qui vise l’intégration, dans le bâtiment, des principes du développement durable.

Du début à la fin de la chaîne de production, de l’extraction de l’argile à la terminaison finale du produit, Terréal est conscient des enjeux liés au développement durable.

L’usine, construite sur le site du lac de Bresse, est au cœur du lieu d’extraction de sa matière première. Après déforestation et décaissement des terres minérales, Terréal reboise.

Une éco visite fort appréciée par tous, tant du coté industriel que du coté sauvegarde des milieux naturels.

86 500 m² de surface, 37 000 m² de bâtis, 85 millions d’euros d’investissement, 126 personnes pour près de 130 000 tonnes de tuiles et 10 000 tonnes d’accessoires fabriqués par an, 16 modèles de tuiles et 125 modèles d’accessoires proposés dans une palette de 20 coloris.
Source Le Journal de Saône et Loire

18/09/2011

CERIC Technologies: Préparation des matières premières

Plus qu’un fournisseur de machines, CERIC Technologies réalise l’intégration complète des différents équipements composant l’installation de préparation des matières premières.

Des solutions adaptées

A partir d’échantillons de matières premières prélevées dans la carrière, CERIC Technologies pratique les analyses des constituants et réalise les essais de broyage pour définir la solution adaptée de préparation des matières premières.

Pour la conception d’installations de préparation des terres, CERIC Technologies propose des ateliers en fonction de chaque matière première :

* en voie humide traditionnelle,
* ou en voie sèche avec broyeur pendulaire.

Depuis la réception des matières premières, en passant par le dosage, le broyage, le mélange, le stockage, CERIC Technologies réalise des ateliers complets de traitement des matières premières.
Source Ceric Technologies

TBE ­annual general assembly

On 29 and 30 September, the profession will meet in Cyprus for the TBE ­annual general assembly and I would like to take this opportunity to review some of our recent achievements as well as forthcoming challenges.

On 19 May, at the ­Climate Change Committee, national government representatives approved the draft European Commission (EC) decision that proposed to add the sector “brick, tiles and construction products, in baked clay” to the existing list of sectors exposed at significant risk of “carbon leakage”, i.e. companies under pressure from EU environmental legislation are forced to relocate their factories and jobs outside the EU. The Council and the European Parliament (EP) still need to formally endorse the proposal. According to the revised Emission Trading Scheme (ETS) Directive, sectors which are exposed to significant risk of carbon leakage will receive free allocation corresponding to 100% of the benchmarks, whereas the level of free allocation for the other sectors will start at 80% in 2013 and decrease to 30% in 2020. Together we were able to demonstrate that the sector fulfils the qualitative criteria set in the revised ETS Directive. Our inclusion in the carbon leakage list was a crucial target to ensure a level playing field and clearly shows the value of common action through our associations.

In June, the EC published its European standardization proposal, which includes legislative and non-legislative measures. While the application of standards remains voluntary, more and more CEN standards are developed and used in support of EU policies and legislation. The EC proposal will now be reviewed by the EP and the Council and we will have to voice our opinion on the matter as the EC wants to increase the role of consumers, small businesses (SMEs), environmental and social organizations in the drafting of ­European standards.

According to the EC, resource efficiency means using the earth‘s limited resources in a sustainable manner. To do so, we should produce more value with fewer resources, lessen our environmental impact and consume more intelligently. Recycling, incentives and price signals are at the core of the EC Roadmap for resource efficiency. In order to assist its drafting of future policy options, the EC recently published its online consultation on the sustainable competitiveness of construction enterprises. TBE has provided answers to the EC and now awaits the Communication and Regulation ­proposal expected for later this year.

Furthermore two important legislative acts have been adopted by the European legislators in the last two years, the ­Energy Performance of Buildings Directive (EPBD) and the Construction Products Regulation (CPR). Some major provisions of the two legislations are still outstanding and will be negotiated in the coming month as EC proposals for dele­gated acts. Therefore we have to follow these dossiers closely and coordinate our positions accordingly.

As you can see, there are plenty of issues where we define our position together and therefore I hope to see you in ­Cyprus to discuss this with you further.
Source Ziegelindustrie International by Dr. Heimo Scheuch President of TBE

17/09/2011

Loi de Finances 2012 : retour du cumul du crédit d'impôt et de l'éco-PTZ

La loi de Finances 2012 prévoit que l'éco-PTZ et le crédit d'impôt développement durable devraient à nouveau pouvoir se cumuler. Mais l'éligibilité au second sera sérieusement restreinte

Rétablissement du cumul de l'éco-prêt à taux zéro et du crédit d'impôt, mais suppression de ce dernier pour la pose de menuiseries : dans son édition du 14 septembre, le quotidien économique « Les Echos » annonce pour la loi de Finances 2012 une série de réformes des aides fiscales pour la rénovation énergétique des logements.

Actuellement examiné par le conseil d'Etat, le projet de loi deF inances 2012 sera présenté en Conseil des ministres et rendu public le 28 septembre. Attendu par le secteur du bâtiment, le texte fixe notamment les réformes à venir concernant les crédits d'impôt développement durable (CIDD) et l'éco-PTZ. Des éléments du texte ont fuité au quotidien économique « Les Echos ». Suite à leur publication, le ministère du Budget a fait savoir qu'il s'agissait "de pistes explorées et que rien n'était arbitré à ce stade". LeMoniteur.fr a vérifié l'inscription de ces mesures dans le projet de loi de Finances 2012.
Cumul du crédit d'impôt et de l'Eco-PTZ

Le retour du cumul de l'éco-PTZ et du crédit d'impôt (autorisé de 2008 à 2010) semble assuré. Après lecture du projet de loi de Finances, une personne proche du dossier confirme également que cette addition des aides fiscales devrait voir son champ d'application restreint : pour l'obtenir, un plafonnement des ressources fixé autour des 30.000 euros par an est notamment prévu. Le rallongement de la durée de remboursement de l'éco-PTZ, qui passerait de 10 à 15 ans, comme l'annonce le quotidien économique, est également dans le projet de loi.
Jusqu'à 50% de crédits d'impôts sur les plus gros bouquets de travaux

"Le crédit d'impôt sera même relevé jusqu'à 50% pour les ménages qui entreprennent des travaux de rénovations lourdes" précisent « Les Echos ». Philipe Pelletier, avocat chargé de présider le comité stratégique du Plan bâtiment Grenelle, se réjouit de cette mesure : "Elle va dans le sens de la progressivité de l'aide en fonction du niveau de performance des travaux". Les différents bouquets ne figureraient pas dans le projet de loi et pourraient être établis par décrets.
Suppression du crédit d'impôts sur les menuiseries extérieures

Le projet de loi stipule que le simple changement des menuiseries existantes pour des menuiseries plus performantes ne bénéficierait plus de crédit d'impôt. Néanmoins, le renouvellement de fenêtres pourra toujours bénéficier de l'aide fiscale s'il est inclus dans un bouquet d'actions. (Lire à ce sujet la réaction de Philippe Macquart, président de l'UFME)
Rabots sur crédit d'impôt appliqué aux équipements

« Les Echos » expliquent enfin que les panneaux photovoltaïques devraient voir le crédit d'impôt les concerant passer de 22% à 20%. D'après les informations qu'a pu obtenir LeMoniteur.fr, les crédits d'impôt pour des équipements telles que les PAC (dont les crédits d'impôt représentaient en 2012 plus d'un demi-milliard) ou les chaudières à condensation, devraient subir un cout de rabot du même ordre.
Source LE MONITEUR.FR par Eric Leysens avec Adrien Pouthier

Autour de Vallet, un patrimoine entre terre et briques

Le four des Tuileries, témoin d'une histoire économique et sociale qui a marqué le territoire.© Communauté de communes de Vallet


Les journées européennes du patrimoine, ce week-end, sont l'occasion de découvrir des sites remarquables, souvent méconnus. Comme les trois sites du vignoble qui racontent les briqueteries et tuileries.

La diffusion du style architectural clissonnais a profité du développement des tuileries et briqueteries de ce secteur du vignoble. À l'époque, bon nombre de tuileries, de potiers et d'entreprise travaillaient l'argile, la terre cuite. Les carrières fleurissaient et les artisans fabriquaient la tuile, plus tard la brique. Aujourd'hui, seule l'entreprise Imerys Terre cuite est encore en activité et exploite sa carrière. Une halte y est prévue ce week-end pour que les visiteurs des différents sites patrimoniaux apprécient le travail d'exploitation de l'argile. « Imerys Terre cuite participe encore aujourd'hui à la réalisation d'un habitat durable respectueux de l'environnement et des habitants », assure Jean-Pierre Maillard, du groupe patrimoine à la communauté de communes de Vallet.

Trois lieux sont à découvrir lors de ces Journées du patrimoine. Au village des Courrères, à Vallet, tuiliers et briquetiers ont travaillé activement jusqu'en 1945. « Les potiers ont, pour la plupart, disparu à la guerre de 1914-18. Mais il reste dans le village des fours artisanaux de grande qualité. Le village est émaillé de briques et il existe encore bon nombre de traces des carrières d'argile ancienne », explique Jean-Pierre Maillard. La carrière d'argile des Roseaux, exploitée par Imerys à La Boissière-du-Doré, en est le parfait exemple.

Des tuiles aux briques rouges

Les visites guidées se poursuivront par le village des Tuileries, situé au carrefour de Vallet et de La Remaudière. Sur place, un four debout de fin XIXe siècle sera l'un des clous des Journées du patrimoine.

La journée de dimanche se terminera par la visite guidée du château de la Péquinière, construit dans un style italien daté entre 1840 et 1850. La cour d'honneur est marquée par l'usage de la brique comme élément structurant. « Le style est très évolué », commente le groupe du patrimoine de la communauté de communes. « La brique, si on la retrouve sous le second Empire, est bien plus reconnue entre le XIXe et le XXe », souligne Jean-Pierre Maillard.

Lors des visites commentées, guides, historiens, membres du groupe patrimoine seront présents sur tous les sites afin de raconter l'histoire des anciens potiers, des tuiles, des briques. « Un large inventaire a été effectué et une projection vidéo sera présentée sur le travail actuel de la briqueterie Imerys de La Boissière-du-Doré. »


Dimanche 18, de 14 h à 18 h. Exposition présentant un recensement des vestiges de briqueteries, fours, séchoirs et briques repérés à Vallet, La Chapelle-Heulin, La Boissière-du-Doré, Mouzillon, La Regrippière et Le Pallet et présentation en vidéo de la briqueterie IMERYS.

À 14 h 30. Visite commentée des villages des Courrères et des Roseaux.

À 16 h. Visite commentée du village des Tuileries.

À 17 h. Présentation de l'historique du château de la Péquinière par les propriétaires et visite de la cour d'honneur marquée par l'usage de la brique.
Source Labaule-Maville par Agnès SURJUS-TARDY.

16/09/2011

Evolution des dispositifs fiscaux en faveur de la rénovation énergétique des logements

Le projet de loi de finances 2012 contiendra un volet « vert ». En effet, plusieurs remaniements sont annoncés comme le cumul du crédit d’impôt Développement durable et de l’Eco-PTZ ou encore la prolongation du dispositif Scellier jusqu’en 2015 assorti d’un nouveau coup de rabot. D’autres moins bonnes nouvelles sont aussi au programme. Explications.

Des informations ont filtré quant à la préparation de la prochaine loi de finances 2012. Ainsi, le quotidien Les Echos révèle ce mercredi une série de mesures à venir qui toucheront le secteur du logement et plus précisément les travaux de rénovation dits « verts ».

Les prochaines modifications apporteront leur lot de bonnes et mauvaises nouvelles pour les particuliers. Parmi les premières, il faut d’abord retenir le cumul du crédit d’impôt Développement Durable et de l’Eco-prêt à taux zéro (Eco-PTZ). Une formule mise en place en 2008, mais interdite depuis le 1er janvier 2011, provoquant une baisse des prêts sans intérêt. Le rétablissement de ce cumul va réduire la concurrence entre les deux mécanismes et constituer un « levier essentiel » pour tenter d’atteindre le rythme de 400.000 rénovations énergétiques – seulement 150.000 à ce jour, ndlr - par an annoncé par le gouvernement, explique un communiqué du Plan Bâtiment Grenelle. Ce dernier, par la voix de son président Philippe Pelletier, se félicite de cette annonce, qui va dans la logique de ses propositions du printemps dernier (lire article), mais reste prudent et mobilisé sur deux sujets essentiels : « l’éco-conditionnalité des aides publiques, qui appelle la qualification des entreprises », ainsi que la « mise en place d’un éco-prêt collectif qui accélèrera la rénovation énergétique des copropriétés ». Deux ajustements majeurs pour l’amélioration complète du dispositif, selon l’institution. Enfin, ce cumul ne sera autorisé que sous un certain plafond de ressources, proche de 30.000 € par an.

Parallèlement, ce même crédit d’impôt Développement Durable sera prolongé jusqu’au 31 décembre 2015. Mais surtout, il sera bonifié et relevé jusqu’à 50% pour les ménages qui engagent des travaux de rénovation lourde, soit « une hausse substantielle par rapport aux taux de subvention actuels qui oscillent entre 13 et 45% », indiquent Les Echos. Mais cela se fera sous certaines conditions, et le ministère de l’Ecologie prévoit de mettre en place six combinaisons de travaux prédéfinies. Par exemple, une isolation de toiture devra s’accompagner d’une isolation des parois et des tuyaux. La troisième bonne nouvelle concerne enfin l’extension sur 15 ans au lieu de 10 actuellement du remboursement des prêts « verts ».

Des changements non sans restriction…
Mais toute médaille a son revers, et, rigueur oblige, le gouvernement a décidé de resserrer le champ des travaux éligibles au crédit d’impôt : ainsi, l’avantage fiscal sur l’installation de panneaux photovoltaïques passera de 22 à 20%, croit savoir le quotidien économique, tandis que l’installation de double vitrage sans changer le bâti ne sera plus subventionnée.

Autre dispositif phare qui fera l’objet d’un remaniement : le Scellier. S’il est entendu qu’il sera prolongé jusqu’à fin 2015, il devrait subir, dans le même temps, un sérieux coup de rabot, passant à 14% (22% en 2011) dans le projet de loi de finances 2012. « La prolongation du Scellier jusqu’en 2015 serait une bonne nouvelle, mais il faudrait que le taux de réduction d’impôt soir encore suffisamment intéressant », a réagi Marc Pigeon, président de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI) au micro de l’AFP. De son côté, Didier Ridoret, président de la FFB, se satisfait de cette annonce, indiquant, toujours à l’AFP, que cet allongement « irait dans le bon sens » et qu’il donnerait de « la visibilité aux entreprises pour leurs travaux ».

Le projet de loi de finances 2012 doit être présenté le 28 septembre en Conseil des ministres.
Source Batiactu

15/09/2011

BigMat nomme son nouveau président du directoire

Joël Armary devient président du directoire de BigMat France, en remplacement d'Antoine Jochyms.

Passé par plusieurs sociétés du secteur du luxe, comme Lancel dont il a été le PDG, Joël Armary a rejoint la distribution en 2003 en devenant directeur général d'Intersport. Sa nomination, insiste le communiqué de BigMat, vise à "proposer et piloter la mise en oeuvre des grandes orientations stratégiques de l'enseigne" définies par le conseil de surveillance. Le directeur opérationnel, Christophe Lejal, reste membre du directoire. "Après le changement de gouvernance en 2010, l'arrivée de Joël Armary est l'aboutissement du travail entrepris depuis deux ans afin d'assurer la croissance pérenne de l'enseigne sur un marché en pleine évolution", indique le président du conseil de surveillance, Gérard Pillaud.
Source Le Moniteur

Du changement à la tête de CRH France Distribution

Philippe Dénecé n'exerce plus ses fonctions de président-directeur général au sein de CRH France Distribution (enseignes Raboni, Buscaglia, Doras en joint-venture avec Samse).

Philippe Dénecé, ancien président-directeur général au sein de CRH France Distribution (enseignes Raboni, Buscaglia, Doras en joint-venture avec Samse) a rejoint depuis le 1er septembre, le spécialiste de la toiture et de l'aménagement intérieur SIG France (Larivière, Litt, Ouest Isol...) en tant que PDG, aux côtés de David Kilby qui conserve la direction de SIG Europe. "Philippe Dénecé est chargé de renforcer notre organisation et d'accélérer les synergies, en liaison avec nos trois directeurs généraux, explique à Négoce, David Kilby. Pour ma part, je me consacrerai à 100% au développement international de l'entreprise." Au sein de CRH France Distribution, Valérie Mignola, jusque-là directrice Excellence Opérationnelle, devient directrice générale, dans un organigramme où la fonction de président n'est pour l'heure pas renouvelée.
Source Le Moniteur

Prosidif spécialiste de la distribution de matériaux réfractaires et isolants haute température

Installée en Ile de France dans la Seine et Marne (77), à proximité de Paris, la société Prosidif est spécialisée dans la distribution de matériaux réfractaires et isolants haute température. Dès que l'isolation de votre process, chambre froide, étuve, chaudière, poêle, cheminée, four de traitement thermique, de re-cuisson, de cuisson ou de fusion est primordiale, Prosidif met à votre disposition une gamme de matériaux isolants et réfractaires adaptée à votre besoin. Notre bureau technique est là pour répondre à vos interrogations et trouver la solution optimale en fonction de vos impératifs techniques, énergétiques et environnementaux.

Disposant d'un stock important, Prosidif peut répondre à vos demandes, quel qu'en soit le volume, dans les meilleurs délais, grâce à une logistique souple et adaptée aux besoins de ses clients.

Prosidif est aussi spécialisée dans la fabrication de pièces spéciales, usinées dans toute une gamme e matériaux isolants haute température, fibre bio et céramique, board, silicate de calcium, vermiculite compressée, diélectrique haute densité, briques isolantes légères, etc.
Source Prosidif

14/09/2011

Wienerberger : Changes in Wienerberger’s Shareholder Structure

First Eagle Investment Management, LLC holds more than 5% of Wienerberger shares

Vienna, September 14, 2011 – Wienerberger AG received an announcement in accordance with §§ 91, 92 of the Austrian Stock Exchange Act concerning a change in the number of voting rights held by First Eagle Investment Management, LLC which is based in the USA. As of September 12, 2011 First Eagle Investment Management, LLC holds 5,958,372 voting rights or 5.07% of 117,526,764 total voting rights of Wienerberger AG. First Eagle Investment Management, LLC is a U.S. registered investment adviser und may exercise these voting rights pursuant to § 92 (5) Stock Exchange Act. First Eagle Investment Management, LLC has voting authority for the following accounts:

First Eagle International Value Fund LP owns 144,264 or 0.12% voting shares in Wienerberger AG. First Eagle Overseas Fund owns 5,176,309 or 4.40% of Wienerberger shares. First Eagle Overseas Variable Fund owns 318,816 or 0.27% of Wienerberger shares. Ewing Marion Kauffman Foundation owns 70,839 or 0.06% of Wienerberger shares. Miami Fire and Police owns 44,148 or 0.04% of Wienerberger shares. Premier International Equity Fund owns 34,326 or 0.03% of Wienerberger shares. Producer-Writers Guild of America Pension Plan owns 37,468 or 0.03% of Wienerberger shares. Raytheon Pension Fund owns 75,219 or 0.06% of Wienerberger shares. United Food And Commercial Workers Union owns 56,983 or 0.05% of Wienerberger shares.
Source 4 trade par Barbara Braunöck, Head of Investor Relations

'PERMIS DE CONSTRUIRE', UNE EXPOSITION ATYPIQUE DU 14 AU 23 OCTOBRE 2011 À PARIS

Du 14 au 23 octobre 2011, Imerys Terre Cuite, leader des tuiles et briques en terre cuite, 9e concept et les Architectes de l’Urgence s’associent autour du projet « Permis de Construire », une exposition mettant à l’honneur bâti, création, urbanisme et humanitaire. C’est au coeur de Paris, à la Galerie Nikki Diana Marquardt, que seront exposés 27 oeuvres en brique, créations originales d’artistes du «9ème Concept» et 100 dessins, photos et esquisses d’architectes de renom.

À l’issue de cette exposition, les oeuvres exposées seront vendues aux enchères au profit de la Fondation Architectes de l’Urgence pour l’aider dans son action internationale de reconstruction.
Cette vente aux enchères, animée gracieusement par Maître Cornette de Saint Cyr, aura lieu le dimanche 23 octobre à 15h.

Vous trouverez plus d'informations dans le communiqué de presse ci-joint.

Nous restons à votre disposition pour toute information complémentaire.

Cordialement.

Sonia Bernet et Nataly Joubert
Agence Bonne Réponse pour IMERYS Terre Cuite
Tél. : 04 72 40 54 10
Mail : s.bernet@bonne-reponse.fr / n.joubert@bonne-reponse.fr
Source Espacedatapresse

13/09/2011

Stéphane Fayol (Terreal)

Son actualité:
Alors que le spécialiste des toits et des murs en terre cuite (2.700 salariés dont 1.900 en France) craint les effets de la crise, Stéphane Fayol garde le cap de l'engagement pris avec l'Agefiph et avalisé par les syndicats en juin : hisser le taux d'emploi des handicapés de 4,5 % à 6 % des effectifs d'ici à 2013. Jouant la pédagogie, le DRH lance des formations à la notion de handicap « trop méconnue » auprès des 200 managers en France et des équipes RH.

Son parcours:
A quarante-six ans, il a fourbi ses armes de DRH dès 1990 dans la PMI familiale Promil. En 1997, il intègre Saint-Gobain, où il pilote les relations du travail chez Isover puis la DRH chez TBF. Ce Périgourdin a ensuite mené la fusion des activités tuiles et briques sous la bannière Terreal, revendu ensuite et dont il est devenu DRH en 2006.

Sa citation:
« Je souhaite casser la culture du tabou sur le handicap. Ce n'est pas pour moi un sujet marketing, mais un objectif de l'ordre du possible, partagé par tous. »
Source Les Echos par M.-M . S.

Des handicapés maltraités et utilisés comme esclaves dans des briqueteries

Trente handicapés mentaux auraient été forcés à travailler dans des briqueteries en Chine. Ils auraient également été battus et maltraités. Huit patrons de briqueteries ont été interpellés.

«Ces trente personnes sont handicapées mentales et elles ont été emmenées depuis leur ville natale pour être forcées à travailler» dans des briqueteries, c’est en ces termes qu’un porte parole de la police chinoise a expliqué l’interpellation de huit patrons chinois ayant participé à ce scandale dans la province du Henan.

En effet, certains handicapés auraient même subi des sévices et auraient été exploités pendant plus de sept ans sans toucher de salaire.

Ce n’est pas la première fois que ce genre de scandale éclate en Chine. En 2007, des centaines d'adultes et de dizaines d'enfants exploités comme esclaves dans des briqueteries et des mines avaient été retrouvés et secourus dans les provinces du Shanxi et du Henan.
Source Batiactu

12/09/2011

KELLER reçoit une commande importante à Aomar en Algérie

La Division KELLER construit une des plus modernes briqueteries sur le continent africain à Aomar en Algérie.

«Avec ce concept innovant de KELLER HCW l’entreprise algérienne S.A.R.L. MACTELL obtiendra l’installation la plus moderne sur le continent africain et développera une forte présence au marché en Algérie». C’étaient les mots du gérant KELLER HCW Laurenz Averbeck après la signature du contrat.

A Aomar au Nord Algérie la Division KELLER réalisera une installation de production ultramoderne pour briques perforées en longueur et hourdis avec machines de préparation et de façonnage de la marque Rieter ainsi que la technique pour four, séchoir et de production de KELLER HCW pour l’entreprise S.A.R.L. MACTELL.

La nouvelle usine est conçue en première étape pour une puissance de 220.000 t/a et peut être élargie en deuxième étape à une puissance de 440.000 t/a.

Le trésor d’expérience de la Division KELLER sera projeté sur le projet par la synergie de KELLER HCW, Rieter et morando.

Avec cela le concept d’une installation a été crée qui satisfait des exigences irréprochables concernant la consommation d’énergie basse pour séchoir, four et machines, l’ingénierie des ressources humaines plus efficient, la flexibilité et la qualité des produits ce qui jouera un rôle précurseur à l’avenir.
Source Keller-HCW

Logements : la construction future victime de la baisse des ventes

Les ventes de logements dégringolent et ne devraient pas tarder à impacter la construction. Si les mises en chantier affichaient encore une progression de 9 % au deuxième trimestre 2011, la chute de 23 % des ventes de logements individuels promet une fin d’année plus difficile.

La construction surfait jusqu’à présent sur les bons chiffres des ventes de logements avec des mises en chantier et des autorisations de permis de construire en augmentation. Remontée des taux d’intérêts, pénurie de terrains et réduction du Scellier (probablement encore plus importante en 2012) sont les principaux facteurs de cette baisse des ventes qui menace la construction. Pour Dominique de Sauza, président de l’union des constructeurs immobiliers (UCI-FFB) "le quatrième trimestre verra un décrochage à la baisse".
Source France BTP

10/09/2011

The clay brick and tile industry in Tunisia


On 28 June 2011 a seminar organized by the Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammen-arbeit (GIZ) in cooperation with the Association des Tunisiens Diplômés des Universités Allemandes ­(ATDUA), the Agence Nationale pour la Maitrise de l’Energie (ANME), the Centre Technique des Matériaux de Construction de la Céramique et du Verre (CTMCCV), and the High-tech Brennersysteme GmbH was held in Tunis. Goal of the seminar was to inform representatives of the Tunisian clay brick and tile industry about innovations with regard to energy consumption in clay brick and tile production. The ­papers primarily addressed issues of energy saving and operations management as well as the use of alternative raw materials in production as well as energy generation. The possibilities of financing modernization projects with the help of CDM projects (Clean Development Mechanism) were also presented.


Tunisian clay brick and tile industry
Despite the difficult political situation, the clay brick and tile producers in the country are confident. The ongoing boom in exports to Libya and Algeria, which to a large extent is not recorded in the statistics, is contributing to lively investment, the building of new plants and the modernization of existing plants. Inadequate maintenance of the equipment in most plants remains a problem. Equally under criticism is the inadequate availability of training, without, however, identifying a responsible cause or suggesting re­mediation measures.

Technologies that in traditional brick and tile making countries have only been recognized as expedient only in isolated cases, for example equipment for plant-internal power generation, are often funded by governmental or semi-governmental offices, sometimes without careful analysis of the technical ­issues. In international comparison the clay brick and tile industry in Tunisia cannot be regarded as very competitive in terms of technology as the product quality in particular must be improved considerably.

Tunisia has set itself a very ambitious energy programme: By 2016, according to details from the ANME, 1 000 MW electric energy, including 200 MW from renewable sources, are to be exported to Europe. At the same time, the total energy consumption of the country is to be lowered by 22%. The question of how these goals are to be achieved remains open.

Produced are mainly solid bricks, which make up around 10% of the market, vertically perforated bricks with two or three rows of equally sized perforations as well as products for brick floors.

In Tunisia 129 brickworks are currently in operation («Table 1), which employ around 4 000 people. The annual production capacity of below 7.25 mill. tonnes in the year 2006 increased to over 10.5 mill. tonnes in the year 2010. Plants with a capacity < 0.6 mill. t/year are under construction. The published production figures indicate an average capacity utilization of around 70%. The energy input of the ­Tunisian brick and tile industry for the year 2010 is specified for gas-fired plants at around 39 to 48 Nm3 per thousand bricks. For oil-fired plants, the consumption should be at around 35 to 45 kg/t. The power consumption is estimated at 30 to 40 kWh/t. The figures are based on data from the CTMCCV.
Source Ziegelindustrie International

08/09/2011

Face à la RT 2012, Terreal renforce ses capacités de production

Les exigences d’isolation thermique du grenelle de l’Environnement, le développement des habitations BBC et l’arrivée de la RT 2012 conduisent à une utilisation toujours plus fréquente de la brique de structure. C'est pourquoi Terreal renforce donc ses capacités de production de plus de 80 KT par an.

Afin de faire face aux exigences d’isolation thermique du grenelle de l’Environnement, du développement des habitations BBC et de l’arrivée de la RT 2012, Terreal a apporté des améliorations à l’ensemble de son pôle «briques» pour dégager une capacité supplémentaire de plus de 80 KT par an, et ce, grâce à des investissements maîtrisés et à une optimisation du dispositif industriel.
Ce projet d’augmentation de capacité de production a coûté moins de deux millions d’euros au Groupe et a vu le jour en seulement six mois.
Source Batiactu



Terreal anticipe la forte croissance de la brique

Les exigences d’isolation thermique du grenelle de l’Environnement, le développement des habitations BBC et l’arrivée de la RT 2012 conduisent à une utilisation toujours plus fréquente de la brique de structure. Terreal a donc décidé d'anticiper cette tendance, en augmentant ses capacités de production.

De récentes études(*) confirment que la brique terre cuite devient le matériau de référence pour la réalisation de constructions économes en énergie. Plus de 60 % des maisons individuelles labellisées BBC sont réalisées en brique, contre 32 % pour l’ensemble des constructions. La tendance en collectif reste également très soutenue, avec un nombre de chantiers en constante hausse. Par ailleurs, le déploiement de la nouvelle réglementation thermique RT 2012 à l’ensemble des logements neufs dès le 1er janvier 2013 laisse entrevoir de très belles perspectives au marché de la brique de structure. Les chiffres de la fédération française des tuiles et briques condirment également cette croissances avec +30 % de tonnage par rapport à 2010 en cumul à fin juillet 2011.
Terreal a apporté des améliorations à l’ensemble de son pôle « briques » afin de dégager une capacité supplémentaire de plus de 80 KT par an. Ce projet d’augmentation de capacité de production a coûté moins de 2 M€ au Groupe et a été mené en seulement 6 mois.
* Etude Cequami « Panorama de la Maison BBC-effinergie en 2010 » (février 2011) - Etude Caron Marketing pour la FFTB (mai 2011).
Source France BTP

07/09/2011

La construction en Europe décroche


Plombée par les résultats espagnols, la construction dans la zone Euro enregistre une baisse de 11,3 % en juin, par rapport à la même période de l’année précédente.

Premier pourvoyeur de statistique au niveau européen, Eurostat estime que dix pays voient leur production baisser, alors que quatre seulement sont en croissance. La chute la plus importante vient de l’Espagne où la construction a reculé de 43,7 % au mois de juin.
Source France BTP

Air intérieur : faut-il imposer un niveau minimal de qualité ?

Sondage. Répondez dès à présent à la question de la semaine : Pensez-vous qu'il faudrait des règles fixant des exigences de résultats sur la qualité de l'air intérieur, au même titre que celles sur les consommations énergétiques ?

A l' heure où l'observatoire de la qualité de l'air intérieur fête ses 10 ans, la problématique sanitaire commence à émerger dans le secteur de la construction. Une prise de conscience essentielle quand on sait que l'on passe plus de ¾ de son temps à l'intérieur des bâtiments.

L' Observatoire publie régulièrement des enquêtes signalant le piètre niveau de qualité de l'air des crèches, des habitations et des bureaux. Son dixième anniversaire est l'occasion de rappeler au secteur du bâtiment que la qualité de l'air est un enjeu de santé publique. Une prise en compte négligée par rapport à celle de la performance énergétique. Alors que la construction d'un immeuble exige de ne pas dépasser un certain seuil de consommation énergétique, aucune limite de concentration maximale de particules potentiellement nuisibles n'est exigée.

Pensez-vous qu'il faudrait des règles fixant des exigences de résultats sur la qualité de l'air intérieur, au même titre que celles sur les consommations énergétiques ?

Pour répondre, cliquez-ici


Vous pouvez voter jusqu'au mardi 13 septembre à 13 heures.
Source Sondage LeMoniteur.fr par Adrien Pouthier/LeMoniteur.fr

06/09/2011

Fumes issue causes a stink at Wienerberger's Warnham brick factory

AN ENVIRONMENTAL health officer visited a brick factory near North Horsham on Tuesday after residents complained about ‘a low level haze over the weekend’.

Adam Dracott, principle environmental health officer at Horsham District Council, said he soon discovered the cause of the haze to be a four inch hole in a chimney extractor fan at Wienerberger’s Warnham brick factory off Langhurstwood Road.

Mr Dracott confirmed to the County Times: “The fan has now been repaired

and that’s stopped the haze.”

However, the officer warned there were other ongoing issues that needed to be resolved, including the replacement of a filter which involves major work to the chimney at a cost estimated by the company to be £300,000.

Wienerberger plans to carry out the work this Christmas, however, district councillor Christian Mitchell (Con, Holbrook West) said he would like to see the work carried out ‘without delay’.

He told the County Times: “I’m very concerned about the current situation with regard to this filter which is not fully operational in the way that it needs to be.

“The brickworks’ decision to wait until the factory closes at Christmas to change

the filter is the wrong one. By then the filter will have not been working properly for some six months.

“In the proportionality test when the balancing test is done, the brickworks’ approach favours the economic case over the risk, however small, to public health. Well in my books when it comes to people’s health we don’t play fast and loose.

“Over a century of Parliamentary legislation has ensured that we have clean and safe air to breath and the public’s health must always be put before profit.

“I trust the brickworks will now do the right thing and change the filter without delay. Then, and only then, should they look at cost and I’d suggest they look to their insurers for any losses sustained during the period the factory closes.”

Speaking on behalf of local residents, Cressida Elias, of Langhurstwood Road, contacted the County Times to complain of ‘a lot of black smoke around the area and a terrible smell of plastic’.

She said: “The residents of Langhurstwood Road, Horsham have noticed over the past few months a hazy fog settling over their properties.

“The smoke, coming from the chimney at the brickworks will drift according to the wind and has been seen by residents as settling around their houses or crossing the A264 into North Horsham and Holbrook areas.”

A spokesperson for Wienerberger said: “Obviously we take these issues very seriously.

“The situation from our site is that we’re fully in discussion with the local authorities.

“We have agreed for repairs to take place over the Christmas period.”
Source West Sussex County Times