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12/02/2017

TECAUMA: un véritable savoir-faire reconnu en manutention de produits céramiques (terres cuites)

LA SOCIÉTÉ

Le métier de TECAUMA est la conception, la fabrication, l'assemblage et la mise en route de lignes de production automatique et d'équipements de manutentions pour différents secteurs d'activités et principalement le bois, la menuiserie industrielle, la terre cuite, le béton et l'agroalimentaire.
Fort de ces diversifications et d'un savoir-faire reconnu, TECAUMA a la capacité de proposer des lignes ou équipements pour d'autres secteurs d'activités.
TECAUMA possède aussi une réelle expertise en cellules robotisées qui lui a déjà permis de mettre en oeuvre ces solutions dans de nombreux secteurs d'activités avec des contraintes de cadence et de précision très élevées.
L'ensemble des solutions développées par TECAUMA répond efficacement à des problématiques de production, de productivité, d'ergonomie et de sécurité.
Dès la conception, les contraintes de maintenance des équipements sont intégrées dans la réflexion et assurent aux clients, l'intégration de composants de marques notoirement connues et des coûts d'entretien limités.

L'ORGANISATION


Le Système de Management Qualité de TECAUMA est certifié AFAQ ISO 9001.
L'entreprise TECAUMA a un effectif de 65 personnes, qui se consacrent pour moitié à l'ingénierie et pour moitié à la réalisation.
Dès la phase de consultation, TECAUMA établit une offre détaillée et précise des équipements qu'elle conseille et qui répond intégralement aux spécificités techniques du produit à manutentionner et aux performances attendues par le client.
Les équipements sont ensuite réalisés selon le cahier des charges établi lors de la consultation. De la commande à la mise en production, l'un de nos chefs de projet devient l'interlocuteur unique du client. Il lui assure une qualité de prestations, une réactivité et un respect des délais qui sont les valeurs essentielles de l'entreprise.
Tous nos équipements sont montés et essayés dans nos halls d'assemblage d'une surface de 6 000 m². Une réception interne avec le client garantit la conformité et la qualité des projets avant livraison. Après livraison, notre service après-vente réactif répond efficacement à vos besoins de pièces de rechange, maintenance et dépannage.
Pour vous assurer cette qualité de prestation, TECAUMA s'appuie sur : Une équipe de techniciens et d'ingénieurs expérimentés, Une capacité d'adaptation pour proposer à ses clients, des solutions sur mesure, Un Service Après-Vente reconnu pour son efficacité.

PLUS DE 30 ANNÉES D'EXPÉRIENCE...

Fondée en 1977, par M. Gérard HERBRETEAU, l'entreprise a toujours cultivé une diversification dans les secteurs d'activités lui permettant ainsi d'apprendre, et de se constituer un véritable savoir-faire dans la manutention et les process de ses clients. TECAUMA possède aujourd'hui un large parc installé dans de nombreux secteurs d'activités en France et à l'étranger. Ces lignes et équipements sont largement reconnus pour leur fiabilité et leurs performances.
Pour conforter sa position, TECAUMA innove dans de nouveaux équipements pour anticiper les évolutions des produits et les process de fabrication. De nombreux brevets ont déja été déposés.

En France et à l'étranger, TECAUMA est l'acteur de nombreux projets de référence qui permettent de proposer à ses clients des solutions largement éprouvées.

Source TECAUMA
   

11/02/2017

Des briques écologiques pour lutter contre la déforestation au Sud-Kivu en RDC

Benjamin Kamulete, l’initiateur de la fabrication des briques écologiques, poste avec quelques jeunes qu'il a initiés dans la production des briques écologiques, à Bukavu, Sud-Kivu, 2 janvier 2017. (VOA/ Ernest Muhero)

Ce briques sont l’œuvre de l’organisation "Vision paysanne pour le développement " dont le coordonnateur Benjamin Kamulete a reçu fin 2016 le prix initiative climat à  la COP22 à Marrakech.
La frange de la société civile du Sud-Kivu dite environnementale appelle la population et l’Etat congolais à s’approprier cette innovation.

Il s’agit d’une alternative à la brique cuite produite en quantité industrielle au Sud-Kivu avec pour conséquence la destruction d’au moins 10 hectares de forêt chaque mois.

Des jeunes en train de fabriquer des briques écologiques, à Bukavu, Sud-Kivu, 2 janvier 2017. (VOA/ Ernest Muhero)

"Ce qu’il faut seulement reprocher à l’utilisation de la brique cuite, c’est le déboisement massif. Si vraiment nous avons quelque chose qui peut remplacer la brique cuite et qu’on nous propose une brique écologique, je pense que c’est à encourager. Il faut même demander au gouvernement d’encourager cette initiative", déclare l’ingénieur en bâtiment et travaux publics, Requin Balyahamwabo qui construit voilà plus de 20 ans des bâtisses à Bukavu.

Selon lui, le besoin de construction est encore énorme dans la ville mais la brique cuite utilisée à de sérieux inconvénients.

"Chez nous, il y a un grand taux de déforestation suite à la production des briques, c’est la raison pourquoi j’ai commencé ma lutte consistant à produire des briques écologiques afin de protéger la forêt congolaise", explique Benjamin Kamulete, l’initiateur de la fabrication des briques écologiques, seul lauréat Congolais du prix initiative climat à la COP 22 au Maroc explique son innovation.

"Ces briques écologiques, nous les produisons sans combustibles, sans couper le bois, sans utiliser des biches. La matière première, c’est l’argile. Nous utilisons les ressources que nous avons. L’ombrage et le soleil suffisent pour produire la brique écologique. Nous y ajoutons quelque ciment et un peu de sable", précise-t-il.

La société civile environnementale du Sud-Kivu envisage de vulgariser cette technologie.

"Nous allons vulgariser cette initiative car la forêt congolaise est menacée avec la flambée démographique. Il faut que les acteurs internationaux viennent à l’appui et en accompagnement parce que la forêt congolaise contribue globalement à la question de stabilisation climatique", déclare Josué Aruna, coordonnateur de la société civile environnementale.

Benjamin Kamulete reçoit le trophée initiative climat pendant la COP 22 au Maroc. Photo non datée.

Selon une étude de l’auteur de l’initiative, la production des briques cuites épargne au moins 200 arbres qui devraient être coupés par mois pour la fabrication des briques cuites. Elle contribue énormément à la réduction de taux de déforestation de10 hectares par mois.

M. Kamulete regrette cependant la faible motivation et le peu d’engagement de la jeunesse dans cette entreprise.

"Mon rêve est de voir toutes les maisons du monde construites désormais avec de la brique écologique", laisse-t-il entendre.

A ces jours, il produit une cinquantaine de briques par jour mais il estime avoir la capacité 500 avec suffisamment de moyens.

Source VOAfrique un reportage d’Ernest Muhero à Bukavu

10/02/2017

Australia - BORAL Bricks might expand in Augusta as Meridian

Bricks are fired in the kiln at the Boral Bricks plant in east Augusta in this file image. The company, which merged with another brick maker late last year, was renamed Meridian Brick last month.

Workers load a truck with bricks at the Boral Bricks facility in Augusta in this file image. The company merged with another brick manufacturer and was renamed Meridian Brick last month. STAFF/FILE
The recent merger between suburban Atlanta-based Boral Bricks and Charlotte, N.C.-based Forterra Brick could have resulted in the new company moving more than 65 white-collar jobs out of Augusta.

But on Wednesday, the chief executive of the merged company said the quality and stability of its Augusta employees caused the company to seek reductions in its “back office” operations in Charlotte instead.

“We have a lot of long-term, tenured employees who know our business and our customers there in Augusta,” Meridian Brick LLC CEO Paul Samples said in a telephone interview . “We have a very stable workforce in Augusta. Once we find the right employee, that relationship usually lasts for decades.”

Under Boral, the company’s Augusta office on Doug Barnard Parkway oversaw all North American administrative operations, such as payroll, benefits and accounts payable and receivable. Forterra’s Charlotte office performed similar functions for that company.

Samples said the merged company, renamed Meridian last month, studied consolidating the offices in Roswell, Ga., but decided it was not worth disrupting the smooth-running local operation.

“We were very hesitant to unplug all that experience and rebuild it somewhere else,” said Samples, who started with the company more than 30 years ago as a customer service representative in the Augusta operations Boral acquired from Merry Brothers in 1981.

Samples said the Boral-Forterra merger, which creates North America’s largest brick manufacturer, could lead to additional employment in the Augusta administrative office as well as its east Augusta brick manufacturing plant, where 40 employees produce about 120 million clay bricks per year.

Brick production declined during the past recession as homebuilders shifting production to more “affordable” housing. However, Samples said the Augusta plant is so efficient compared to many of Meridan’s 27 sites in the U.S. and Canada that it might add a second shift, which would essentially double employment.

“I think we’ll see utilization of the Augusta operation increase,” Samples said.

Meridian also operates a Boral retail showroom on Belair Frontage Road. He said Boral signs at all company locations will be changed to Meridian in the coming months.

Source Augusta Chronicle by Reach Damon Cline

09/02/2017

Exposition : "Matériaux et savoir-faire de l'architecture traditionnelle du Tarn" à Albi

Derniers jours pour découvrir le Tarn à travers un autre regard... Exposition Matériaux et savoir-faire de l’architecture traditionnelle dans le Tarn au CAUE jusqu’au 10 février.

Franchissez la porte et découvrez le patrimoine tarnais à travers la variété de ses matériaux de construction et leur mise en œuvre ! Le pisé, les briques de terre crue, de terre cuite… les maisons en pan-debois et leur étonnant système constructif… la pierre et ses variétés de couleurs .. ; l’ardoise, utilisée en couverture, mais pas uniquement…
Autant d’ambiances et de tonalités issues des matériaux prélevés sur place qui caractérisent notre territoire et sa diversité.

Une exposition ouverte à tous, une sensibilisation pour petits et grands à ce qui nous entoure, à notre patrimoine et à notre territoire.
L’occasion de consulter également les ouvrages produits ou proposés par le Conseil d’Architecture d’urbanisme et de l’Environnement dont la mission première est la sensibilisation à la qualité architecturale et au cadre de vie.

Le CAUE et ses chargés de mission, architectes, urbanistes, paysagistes, conseiller en maîtrise de l’énergie seront heureux à cette occasion de vous accueillir et de vous présenter le programme annuel de manifestations et d’actions du CAUE organisées dans le cadre des 40 ans de la Loi sur l’architecture et de la naissance des CAUE.

• Exposition CAUE du Tarn - 1 rue de Jarlard, Albi. Entrée libre. Du lundi au vendredi, de 9h à 12h30 et de 14h à 18h. Samedi et Dimanche, de 14h à 18h. Visite libre tous les matins en semaine, de 9h à 12h.

Source : CAUE du Tarn -  Le Tarn Libre

La Ceramatech offre une perspective positive du marché

Cette année, KELLER a pour la première fois participé au salon Ceramatech de Moscou. Les visages satisfaits de tous les participants montrent que la décision prise de se plonger dès le début de l'année dans les préparatifs du salon de la capitale russe était la bonne.

« Nous nous sommes longtemps demandés si KELLER devait tourner le dos à la Mosbuild et plutôt se présenter à la Ceramatech dans le cadre du salon de construction OCM » explique Kim Bendick, le responsable des relations publiques du constructeur renommé de machines & installations basé à Ibbenbüren-Laggenbeck. « L’incroyable écho des quatre derniers jours est une preuve plus que convaincante que nous avons pris la bonne décision en choisissant de changer.  Le salon a offert une perspective positive du marché ! »

Les deux collègues du service commercial Torsten Bärtels et Björn Braukmann, responsables depuis des années du marché russe depuis Laggenbeck, partagent aussi cet avis. « Notre stand était toujours très fréquenté que ce soit par des clients de longue date ou par de nouveaux prospects du secteur de la terre cuite. Les notes d’entretiens de la Ceramatech 2017  contiennent diverses demandes pour des machines individuelles ainsi que des extensions d’usine, sans compter les nombreux compliments de clients satisfaits. Le creux de la vague semble surmonté, le marché russe se remet lentement en marche », se réjouit Torsten Bärtels.

Le directeur commercial régional est particulièrement fier que les usines réalisées par KELLER aient toujours produit en continu même en temps de crise économique. « Des spécialistes du secteur nous ont raconté que beaucoup d’usines d’autres fournisseurs ont dû fermer. Grâce à la haute qualité des produits issus de nos machines et installations ainsi qu’à l’excellent service fourni à nos clients russes par notre bureau de Moscou, elles ont toutefois réussi à bien surmonter les années de crise. Il n’y a pas meilleure publicité… », conclut T. Bärtels.

Source KELLER HCW

08/02/2017

Solumix conçoit une poudre isolante multi-usage

Fondée sur un brevet d’Air liquide, la poudre isolante multi-usage de Solumix a été mise au point dans les usines de l’industriel, en partenariat avec le laboratoire SPCTS de Limoges (Haute-Vienne). Sa formulation et son process, qui s’apparentent à la synthèse hydrothermale, phénomène observé lors de la cristallisation naturelle des minéraux, sont à l’origine de sa structure isolante autoporteuse, de sa forte adhérence à la brique et de sa résistance à la compression. "Solumix est léger, ininflammable et respirant.
L’opportunité
Solumix répond à la réglementation thermique RT 2012. Ne dégageant ni fumée ni gaz toxique, il résiste au feu, en accord avec les normes Euroclasses 2013.
Des débouchés sont possibles dans de multiples applications, notamment pour de nouvelles solutions de construction tout en un comme élément porteur isolant et de décoration", précise le cogérant Richard Gaignon.
Après deux ans de développement, il a créé en novembre 2013 avec Christophe Chaput, ingénieur céramiste comme lui, son entreprise au Palais-sur-Vienne (Haute-Vienne). Ils ont recruté en janvier un jeune diplômé de l’École nationale supérieure de céramique industrielle, chargé de la R&D, puis un ingénieur confirmé. Une levée de fonds de 600 000 euros doit permettre d’installer une ligne pilote en mai. Sont entrés au capital Aliad, un fonds d’investissement d’Air liquide, Grand Sud Ouest, filiale du Crédit agricole, Céric Technologies et le holding Orion Industrie des deux associés, qui détiennent 20% du capital. "Nous allons fabriquer des produits de démonstration en utilisant le bois, le métal et la brique. Une fois les certifications obtenues, nous vendrons la poudre aux fabricants de matériaux de construction qui l’intégreront à leur ligne de production, et nous fabriquerons aussi des produits façonnés avec des formes spéciales." L’ambition de Solumix dans cinq ans : 20 millions d’euros de chiffre d’affaires et un effectif de 15 à 20 salariés.
L’innovation
Solumix est un composant multifonctions (isolant, structurel, cohésif) qui se présente sous la forme d’une poudre 100% naturelle composée de silice, de chaux et d’eau. Incorporé à la brique, il renforce les propriétés de la terre cuite. Il permet aux briquetiers d’anticiper les nouvelles réglementations.
Source L'Usine Nouvelle par Corinne Mérigaud

07/02/2017

Systèmes de stockage d'électricité solaire : les solutions se multiplient

Avec l'arrivée prochaine du texte sur l'autoconsommation, les entreprises se placent sur ce marché qui doit exploser dans les prochaines années. Pour faire face à Tesla et à son Powerwall, des industriels européens fourbissent leurs armes, à l'image de Terreal ou de Solarwatt.

Les Français ont hâte de pouvoir consommer leur propre électricité, produite sur leur toiture. A en croire les sondages réalisés par OpinionWay pour Qualit'EnR ou Enerplan, 78 % des personnes interrogées souhaitent couvrir leurs besoins énergétiques par leurs propres moyens et 47 % d'entre elles sont prêtes à investir pour parvenir à l'autonomie totale (15 %) ou à un certain degré d'autonomie (32 %). André Joffre, président de Qualit'EnR, déclarait, voilà quelques jours : "L'autoconsommation est en cours d'examen au Sénat et à l'Assemblée nationale. On aura enfin un cadre juridique qui sortira ce statut du no man's land juridique où il se trouve". Une tendance forte qui entraîne un développement rapide de solutions de stockage domestique d'électricité.

Plusieurs industriels ont présenté, en 2015 et 2016, des systèmes destinés à pouvoir consommer en soirée, l'électricité photovoltaïque produite en journée. L'annonce de Tesla et de son Powerwall avait fait grand bruit. L'industriel américain propose aujourd'hui la version 2 de ce produit au design sobre et élégant, d'une capacité unitaire de 14 kWh (deux fois plus que la version 1), contre un chèque de 6.300 € (plus 1.650 € de pose). Un tarif finalement équivalent à ceux des solutions concurrentes, dont celle développée en Allemagne par Solarwatt : MyReserve.

Sylvia Lamaty, la directrice générale de Solarwatt France, détaille : "Cette unité de stockage électrique a bénéficié de la R&D interne, faite près de Cologne, pour développer le système de batterie". La technologie choisie ? Des modules lithium-ion, comme pour ses concurrents. En France, la société a déjà installé une dizaine de systèmes pilotes dans différentes régions (Dijon, Clermont-Ferrand, Toulouse, etc.) d'une capacité de 4,4 kWh, suffisant pour stocker l'énergie produite par des capteurs solaires de 3 kWc (soit 16 à 20 m² de panneaux). "L'objectif est de maximiser sa consommation d'électricité photovoltaïque produite", précise-t-elle. Pour y parvenir, le spécialiste allemand met l'accent sur le système de gestion, un composant critique dans le cas des batteries lithium-ion. "Il faut bien maîtriser cette technologie car c'est important pour la sécurité d'un équipement qui va finir chez les particuliers", souligne la directrice générale. De même, l'interface avec l'utilisateur final est comprise dans l'offre, apportant un outil de pilotage à distance (via smartphone ou tablette) ainsi qu'un outil de visualisation de la production, de la courbe de charge des batteries et de la consommation. La marque allemande promet un taux de couverture des consommations de l'ordre de 80 %, pour les installations les plus optimisées. "Sur des besoins électriques moyens de 4.500 kWh/an pour un ménage de quatre personnes, il sera possible de couvrir 3.800 kWh", avance Solarwatt.

Des systèmes aux capacités très variées


"Le modèle MR 500 est facilement installé, puisqu'une personne suffit avec une journée de travail au maximum", assure Sylvia Lamaty. Le boîtier, lui aussi design, mesure 1 mètre de haut sur 75 cm de large et 31 cm de profondeur, pour un poids total de 75 kg. Des chiffres supérieurs à ceux d'une autre solution de stockage, celle développée par Terreal, Storelio, dont le système tient dans un bloc de 60 cm de haut, par 53 cm de large et 28,4 cm de profondeur pour 55 à 65 kg de masse. Mais pour une bonne raison : les capacités sont, elles aussi, inférieures. Deux modèles sont ici proposés, la série 1000, d'une capacité de stockage de 1 kWh (pour une puissance photovoltaïque recommandée de seulement 1,5 kWc) ou de 2 kWh (pour 2,25 kWc de puissance PV). La société Terreal explique que le coffret mural compact contient tous les composants, pré-raccordés et pré-programmés en usine, et que la batterie lithium-FePO4, "couvrira en moyenne 50 % des besoins en électricité d'un foyer de quatre personnes".


Le tout est donc de bien dimensionner le système, selon la puissance de son installation en toiture et selon ses besoins en courant électrique. La directrice générale de Solarwatt explique : "Un configurateur oblige l'installateur à se poser les bonnes questions pour proposer une solution adaptée". Car la firme allemande propose un modèle supérieur, MR 800, d'une capacité de 8,8 kWh, destiné à stocker la production de centrales solaires de 9 kWc environ. Et ce modèle est modulaire, tout comme le Powerpack de Tesla, lui-même destiné au petit collectif ou aux bâtiments tertiaires. A l'autre extrémité, Solarwatt a déjà écoulé, principalement outre-Rhin, 2.000 unités d'un système de stockage plus réduit, de 2,2 kWh de capacité, qui ne couvre qu'en partie la demande d'autoconsommation d'une maison. Sylvia Lamaty espère que 200 systèmes MR 500 seront vendus en France en 2017, au prix unitaire d'environ 6.000 € (hors pose). La société privilégie un réseau d'installateurs formés, dont 40 ont déjà suivi la formation maison.

Côté durée de vie, les trois fabricants proposent une garantie de 10 ans sur les batteries, qui doivent être recyclables. Une période largement suffisante pour rentabiliser l'ensemble, à en croire la directrice générale de Solarwatt France : "La rentabilité sera rapide si les mesures d'encouragement à l'autoconsommation sont prises". Elle conclut : "La France est un marché très réglementé : nous attendons avec impatience le texte sur l'autoconsommation. Nous sommes dans les starting-blocks mais, pour l'heure, les conditions du marché ne sont pas encore clairement définies". Il est donc urgent d'attendre avant de se lancer dans cet investissement qui reste pour l'instant, l'apanage de quelques "early adopters". La preuve, le Powerwall 2 de Tesla, qui ne sera livré qu'à l'été 2017, est en pré-commande contre un chèque d'acompte de 450 €… Alors, le stockage d'électricité, phénomène de mode ou futur de la consommation ?

Source Batiactu par Grégoire Noble

06/02/2017

MONIER - CLIMA COMFORT, RECOMMANDÉ PAR LES PROFESSIONNELS DU BTP

La solution d'isolation de toiture par l'extérieur CLIMA COMFORT® a obtenu le label "Recommandé par les professionnels du BTP" lors de l'édition annuelle de l'Election des Produits du BTP. Cette distinction fait suite à une grande enquête menée auprès des entreprises et des prescripteurs de la construction. C'est un signe de reconnaissance pour Monier qui s'engage depuis des années pour des solutions d'isolation de toiture performantes.


A propos 


L' Election des Produits du BTP est organisée par SAGERET, en partenariat avec Fichiers-BTP et la SMABTP. Pour la 5ème année consécutive, l' Election des Produits du BTP vise à récompenser les produits et les matériaux les plus remarquables du bâtiment et des travaux publics. L'événement repose sur une grande consultation en ligne menée auprès des entreprises et des prescripteurs de la construction

Source Monier

05/02/2017

L’Ensil et l’Ensci fusionnent à Limoges, mais ça change quoi ?

Depuis le 1er janvier 2017, les écoles d’ingénieurs Ensil (Ecole nationale supérieure d’ingénieurs de Limoges) et Ensci, spécialisée en céramique industrielle, de Limoges, ne font plus qu’une. À la clé pour les étudiants, des cursus plus personnalisés, plus d’opportunités de stages, plus de passerelles entre spécialités… en attendant une formation ingénieur en apprentissage.

Les deux écoles d’ingénieurs de Limoges l’Ensil (Ecole nationale supérieure d’ingénieurs de Limoges) et l’Ensci, spécialisée en céramique industrielle), ont donné naissance, le 1er janvier 2017, à une nouvelle école d’ingénieurs Ensil-Ensci. Le rapprochement administratif et financier est effectif mais la fusion des deux entités n'entrera en vigueur pour les étudiants qu'à la rentrée. Cette fusion positionnera l’Ensil-Ensci comme l’une des plus importantes écoles d’ingénieurs de l’Hexagone avec 730 étudiants et 80 enseignants-chercheurs, la moyenne se situant entre 500 et 600 inscrits. Basée sur la technopole ESTER à Limoge (Haute-Vienne), l’école va offrir un cursus unique en cinq ans dans ses cinq spécialités : eau et environnement, électronique et télécommunications, matériaux, mécatronique et céramique industrielle.

Un cursus unique et cinq spécialités

Ce rapprochement permet d’élargir le choix des cursus et de multiplier les synergies et passerelles entre ces disciplines. L’élève-ingénieur accédera plus facilement à des parcours individualisés et profitera d’une offre plus large en matière de stages et de mobilité internationale, ce que confirme le directeur Patrick Leprat. "Cette fusion permettra d’avoir une meilleure visibilité à Limoges, nous avions déjà une proximité géographique et des spécialités proches, à savoir matériaux à l’ENSIL et céramique industrielle à l’ENSCI qui relèvent du même laboratoire de recherche le SPCTS, même si les deux écoles forment des ingénieurs aux compétences différentes. Le second intérêt est de grossir et d’avoir une visibilité nationale et internationale. Pour les étudiants, l’école propose désormais cinq départements diplômants et la possibilité de développer davantage de compétences à l’interface de leur discipline, l’objectif étant qu’un étudiant d’un département puisse suivre un module d’un autre. Nous le faisions déjà l’ENSIL mais, avec cette fusion, nous allons accroître cette interdisciplinarité"

Des stages sur les cinq continents

La nouvelle école va également proposer une offre accrue en termes de mobilité internationale, en additionnant ces partenariats respectifs. "L’Ensci proposait déjà 30 à 40 possibilités de stages ou de formation d’un semestre à l’étranger et l’ENSIL en offrait une soixantaine. Aujourd’hui, les étudiants peuvent se rendre sur les cinq continents, promet le directeur. Enfin, à terme, l’objectif est d’accroître nos effectifs sur certains diplômes où des besoins forts existent au niveau des entreprises et de développer de nouvelles spécialités en formation initiale. Enfin, nous avons de très fortes demandes dans les secteurs de l’électronique et de la mécatronique pour former des ingénieurs en apprentissage, ce sera l’un de nos objectifs pour les trois ans à venir."

Source L'Usine Nouvelle par  CORINNE MÉRIGAUD 

04/02/2017

La collection " Pasquier " prend ses quartiers à la Fabrique

Retardée par les inondations, l’exposition de céramiques s’installe à la Fabrique Normant. La compagne du donateur a constaté l’avancée du chantier.
J'étais très émue quand je suis arrivée. Il aurait été tellement content. Michel Pasquier n'aurait gardé aucun souvenir du moment s'il avait pu le savourer. Et pourtant, après 25 années de passion pour les briques, tuiles et autres céramiques architecturales de toutes origines, nul doute que le lieu d'exposition qui est en train de voir le jour dans les murs de la Fabrique Normant aurait été du goût du collectionneur acharné. Sa compagne, Monique Leroux, était, elle, bien présente et aux premières loges mardi pour assister à la mise en place de l'exposition « cérabrique » que Michel Pasquier a léguée à la municipalité de Romorantin.
Depuis le mois de décembre, l'équipe du Musée de Sologne s'y affaire de manière quasiment permanente. A commencer par Julie Brossier-Duclos, la responsable de la collection, qui a inventorié et étiqueté l'ensemble des 7.000 pièces sur la propriété du collectionneur de Cour-Cheverny il y a quelques années.
" Toucher un autre public "
L'assistante de conservation romorantinaise a imaginé la muséographie du nouveau lieu, au gré des 150 m linéaires de vitrines spécialement conçues par la société Atelier Duo (Indre) pour accueillir les quelque 1.000 pièces machines et autres éléments décoratifs sélectionnés pour l'exposition permanente. Sans oublier les plus de 2.000 briques estampillées qui ont d'ores et déjà gagné le bas des vitrines de la Fabrique Normant. « Ça lui tenait vraiment à cœur qu'on puisse les voir », apprécie Monique Leroux en visitant les lieux. Et la compagne du collectionneur de prendre des nouvelles de telle ou telle céramique. A l'image de la « frise aux souris », que Michel Pasquier avait récupérée sur la maison de son concepteur Alexandre Bigot dans le Loir-et-Cher. « Certaines autres pièces sont parties à l'étranger, en Suisse ou aux États-Unis », explique Julie Brossier-Duclos engagée depuis le début du projet. « Moi ce qui me plaît, c'est que les personnes qui viendront ne sont pas là pour voir un musée. Elles viendront par exemple à un événement ou un concert, mais découvriront la collection par hasard. Ca va permettre de toucher un autre public », apprécie Monique Leroux, qui ne peut s'empêcher de faire le lien entre les pièces exposées et le lieu lui-même, le premier bâtiment Hennebique en béton armé, une histoire liée au céramiste Bigot. Retardée par les inondations du mois de juin, l'équipe du Musée de Sologne a encore du travail devant elle. Tête de lion Perrusson, épis de faîtage, reconstitution de fours à briques et autres presses à estampille seront présentés de manière « très didactique », avec quelques frises, éléments historiques et géographiques, volontairement grand public, explique Julie Brossier-Duclos, qui espère maintenant pouvoir lever le voile sur son exposition entre fin mars et début avril.
Source La Nouvelle République par Laurence Texier

03/02/2017

AUSTRALIA: Boral, Forterra announce Meridian Brick as name of new joint venture


Leading brick manufacturers merge to increase distribution footprint and product offerings

Mineral Wells' two brick plants are becoming Meridian Brick, the result of a joint venture of Boral Bricks and Forterra Brick. The picture shows the east plant, located on N.E. 14th Avenue.
   
Mineral Wells' two brick plants are getting a new name and leadership.

Boral Bricks and Forterra Brick, leading manufacturers and suppliers of sustainable building products and construction materials, recently announced the name of their joint venture, Meridian Brick.

Serving both United States and Canadian markets, Meridian Brick builds on the two companies' histories of innovation while uniting the strength and passion of their personnel to deliver a broader range of high-quality products and solutions as well as superior services and support across a larger network.

The new name, suggested by Debbie Brady, director of sales for Forterra Brick and 32-year industry veteran, speaks to the new direction the joint venture will take toward both performance gains and cost reductions.

Meridian is defined as a circle of constant longitude passing through a given place on the earth's surface. With the definition in mind, Brady added, "Meridian represents the joining of two companies, their people and the promise they bring to the future."

The new logo conveys the cornerstone of two companies merging into a unified, diverse structure focused on elevating the new brand while also communicating to the market-at-large the influence the combined presence delivers.

Customers, suppliers and employees will benefit from a stronger company created to deliver value and ensure long-term success. Meridian Brick will offer expanded commercial and residential brick offerings through the formation of a greater, more responsive plant network. Additionally, as a result of improved utilization of freight and distribution channels, Meridian Brick will be positioned to better meet the needs of an evolving market.

"Meridian Brick is a company centered on taking care of customers and providing our employees an environment and the tools to achieve Zero Harm in the workplace," said Paul Samples, CEO of Meridian Brick. "Our goal is to continue to manufacture clay brick and supply other high-quality durable cladding and components. We will continue to provide the service and support for which Boral and Forterra are known. This is an exciting time, and we look forward to building the Meridian brand and promoting the attributes of brick that support our message: "Be Bold. Be Brick."

To learn more about Meridian Brick and its portfolio of innovative solutions, visit meridianbrick.com.

Source PRNewswire by DAVID MAY

02/02/2017

Matériaux : une légère reprise sans surprise

A fin 2016, les matériaux de construction finissent modestement l’année en raison d’un premier semestre difficile rythmés par les grèves et les intempéries. Les granulats stagnent tandis que le BPE progresse légèrement.

Au mois de décembre 2016, les livraison de granulats ont augmenté de 0,5% mais baissé de 1,1% sur un an. On perçoit néanmoins un légrer redressement avec une augmentation de 1,8% des volumes entre le 3ème et le 4ème trimestre et de 1,6% sur un an. Sur l’ensemble de l’année 2016, les granulats stagnent à -0,3%.

Le BPE s’en sort honorablement en progression de 1,1% entre novembre et décembre mais fléchit de 0,5% sur un an. L’activité se stabilise au 4ème trimestre (+0,2%) mais gagne +2% par rapport à 2015. Au total, la production de BPE aura progressé de 1,8% en 2016.

L’indicateur matériaux se redresse de 1% sur l’année 2016.

Source Construction Cayola

01/02/2017

Reprise des déchets du bâtiment: les distributeurs de matériaux veulent être accompagnés

Les distributeurs et négociants de matériaux de construction appellent les pouvoirs publics et les collectivités à "accompagner les entreprises" du secteur, contraints depuis le 1er janvier, de reprendre les déchets issus des matériaux et produits qu'ils vendent.

Dans une décision publiée mardi, le Conseil constitutionnel a rejeté un recours de la Confédération française du commerce de gros (CGI) contre cette nouvelle obligation, découlant de la loi sur la transition énergétique.

Or "rien n'est prévu à ce jour pour accompagner les entreprises de la distribution professionnelle au bâtiment" qui doivent s'y conformer, déplore jeudi dans un communiqué le Comité de liaison de la distribution professionnelle au bâtiment (CLAB).

Pourtant le distributeur est appelé à s'organiser "en lien avec les pouvoirs publics et les collectivités compétentes", fait-il valoir.

Ces professionnels appellent "les pouvoirs publics et les collectivités à la responsabilité à l'endroit d'entreprises qui se retrouveront parfois dans l'incapacité matérielle de répondre à l'obligation".
Ils leur demandent de "réunir localement l'ensemble des acteurs, publics et privés, concernés (...) afin d'identifier clairement les besoins et d'impliquer tous les maillons de la chaîne".

Car "alors que certaines déchèteries publiques se ferment progressivement aux déchets de construction", les distributeurs de matériaux, "laissés seuls face à cette nouvelle obligation", sont "tenus d'assumer dans certains cas, non seulement la collecte mais également la gestion des déchets jusqu'à leur site de traitement".

Or cette reprise des déchets soulève "d'importantes questions", relatives à "la nature des déchets à reprendre, aux conditions de prise en charge de certains d'entre eux, parfois dangereux, de sécurisation des sites de reprise et de préservation de la santé de leurs salariés".

Le CLAB étudie le dépôt d'un référé, afin d'obtenir la suspension de cette obligation.

Source Lefigaro.fr 

31/01/2017

Imerys Toiture met l’accent sur l’environnement

Les palettes en bois représentent une part importante des déchets de chantier avec environ 60 millions de palettes non réutilisées. Imerys Toiture, fabricant français de tuile terre cuite et spécialiste en solutions pour toits et façades, met en place, en 2017, les palettes en bois réutilisables consignées.

En effet, les livraisons aux distributeurs des tuiles Imerys se feront dorénavant sur des palettes consignées renforcées, ce qui participera à la sauvegarde de 9 100 tonnes de bois.

Source Bati-journal

30/01/2017

Bouyer Leroux - Bio’bric : des voeux qui se veulent optimistes....

Le 19 janvier dernier, Roland Besnard, Président du groupe Bouyer Leroux, a convié les principaux clients, les directions des négoces ainsi que les prescripteurs parisiens du Groupe à bord de la péniche Le Maxim’s au pied de la Tour Eiffel pour les traditionnels vœux : une soirée conviviale qui a réuni un peu plus de 210 personnes.
En première partie de soirée, les échanges ont porté autour des nouveautés 2017 et la présentation des solutions et produits innovants aussi bien pour la maison individuelle que pour le logement collectif. Pour ces deux segments de marché, les 2 nouveautés lancées lors du salon Artibat, ont été présentées : la colle prête à l’emploi fix’bric, pour le montage à sec des briques rectifiées en maison individuelle, et la bgv’costo th+, la dernière-née de la gamme bgv en collectif qui affiche une résistance thermique de 1,50 m².K/W.
Puis Roland Besnard est intervenu en commençant par présenter les bons indicateurs qui confirment la reprise du marché de la construction neuve. Extrait de son discours « À fin octobre 2016, les autorisations de construire ont bondi de 14.8 % et s’élèvent sur 12 mois glissants à 442 500 unités. Sur cette même période, les mises en chantier de logements neufs ont atteint 376 800 unités, soit une croissance de 10.4 % par rapport à l’année précédente. Autre indicateur important, l’évolution des parts de marché de la brique en terre cuite dans le neuf. En dix ans, entre 2005 et 2015, elle est passée de 27,9 % à 41,7 % en maison individuelle ! Mais la croissance la plus spectaculaire concerne le marché du collectif où la brique en terre cuite affiche aujourd’hui près de 30 % de parts de marché contre seulement 5,4 % il y a dix ans ». « Toutes nos équipes industrielles, logistiques et commerciales sont mobilisées pour le déploiement de notre standard de qualité bio’bric pour les produits et services » se félicite le Président. « Il va vous apporter encore plus de qualité, de fiabilité et de satisfaction et nous permettre de renforcer notre collaboration ». Et de conclure « mon regard est donc tourné vers l’avenir avec confiance, ambition et détermination».
Autre temps fort de la soirée : un rendez-vous vidéo avec Jean LE CAM. « Le skippeur fait une course magnifique » souligne Roland Besnard. « Toute l’équipe Bouyer Leroux est avec le Roi Jean. Nous lui souhaitons de finir dans le Top 5 ! »
Un cocktail dînatoire a clôturé la soirée.
La marque phare du groupe Bouyer Leroux, Bio’bric, est leader national sur les marchés des briques de mur, briques de cloisons et conduits de fumée en terre cuite.

Source Cécile Roux 

29/01/2017

Ibstock group revenue up 5% in 2016

Company issues trading update ahead of preliminary results announcement for year ended 31 December 2016

IBSTOCK plc, manufacturers of clay bricks and concrete products with operations in the UK and the US, say the Group continued to trade as anticipated with adjusted EBITDA in line with expectations and Group revenue up 5% for the year ended 31 December 2016.

According to the company’s latest trading update, revenue from clay and concrete products in the UK, which represents approximately 80% of Group revenue, was up 2% for the full year, compared with 2015, reflecting low single-digit volume growth for clay bricks and further volume and price growth in the concrete businesses.


Meanwhile, revenue in the US was up 18% (4% at constant exchange rates) for the full year, compared with 2015, principally reflecting a combination of higher average prices and the benefits from a more favourable product and end-use sector mix.

During 2016 the Group progressed with the construction of an additional clay brick factory in Leicestershire, which will expand Ibstock’s UK clay brick capacity by around 13%. This project is currently making good progress and will commission in the second half of this year.

Installation of a new concrete roof tile line at the Leighton Buzzard facility was completed within budget and commissioning commenced during August 2016, adding around 5% to UK concrete roof tile market capacity.

Ibstock will announce their preliminary results for the year ended 31 December 2016 on 7 March 2017.

Source AGG Net

28/01/2017

JAPON - KOYO SEIGA: La manufacture de tuiles Ibushi à Himeji

Koyo Seiga est une fabrique japonaise de tuiles traditionnelles Ibushi localisée dans le quartier de Funatsu, au nord-est de Himeji dans la région du Kansai. En céramique et de couleur argentée, les toits "Ibushikawara" témoignent de l'héritage architectural du Japon à l'ère des châteaux et des seigneurs féodaux.
La préfecture de Hyogo abrite le fameux château de Himeji, l’un des rares monuments fortifiés du Japon ayant survécu aux incendies et aux guerres. Les grands travaux de rénovation effectués entre avril 2010 et mars 2015 permettent désormais aux visiteurs de profiter à nouveau de la blancheur divine de ses murs et de ses tuiles Ibushi aux reflets argentés, éclatantes au soleil.

Aujourd'hui, il ne reste qu’une des quarante manufactures Ibushikawara que comptait la ville de Himeji. C'est donc à Koyo Seiga, petite entreprise de dix employés créée dans les années 1920, que la tâche de fabriquer les tuiles pour la restauration du château a été confiée. 75.000 tuiles sur les 80.000 qu'il compte au total ont ainsi été remplacées.

Entre les matériaux naturels et la fabrication qui prend un mois et demi, la conception des Ibushi n'est pas compétitive face à la concurrence industrielle. Par le passé, les maisons étaient construites pour tenir dans la durée et par tous les temps, afin d'être transmises de père en fils. De nos jours, il n’est plus utile de prévoir des tuiles pouvant résister plus d’un siècle ; les industrielles construites pour une vingtaine d’années semblent suffisantes à la majorité des Japonais. Et c’est sans même parler de la demande en chute libre.

Fabrication artisanale
Koyo Seiga fabrique toutes ses tuiles de manière artisanale à partir d'une argile sélectionnée avec soin et qui, mélangée avec de l’eau, devient une pâte prête à être moulée. Une fois la forme de la tuile réalisée, il faut compter deux semaines de repos avant la cuisson. Contrairement à la majorité des potiers qui chauffent leurs tuiles pendant un à deux jours, ici le processus de cuisson prend quatre jours, avec une température du four atteignant 1.165°C. Le refroidissement, lui aussi naturel, intervient en fin de fabrication.

La cuisson puis le refroidissement assurent l’oxydation de la surface, ce qui donne ainsi à la tuile cette couleur argentée naturelle censée durer plus de cinquante ans. Les toits traditionnels de châteaux et temples japonais ne sont donc pas peints.

Durant le processus de cuisson, la taille des tuiles réduit de 4%. Le maître tuilier doit alors bien calculer ses moulures ; pour un monument classé par exemple, une simple erreur de plus de cinq millimètres impliquerait de tout recommencer !

Pour ceux qui restent plus d'une journée sur Himeji, la visite de l'entreprise peut valoir le détour pour son savoir-faire artisanal. Néanmoins, pour avoir les explications en anglais, il est indispensable de réserver à l'avance.

De plus, il est possible de se faire fabriquer gratuitement une tuile avec son empreinte de main. Celle-ci est ensuite exposée dans la rue devant Koyo Seiga ; une manière originale de laisser sa trace dans l'histoire du Japon.

Cette fiche de visite a été réalisée dans le cadre d'un séjour organisé et financé par l'Office du Tourisme de la préfecture.

Source KAMPAÏ

27/01/2017

Terreal va exploiter une nouvelle carrière à Chagny

D’ici fin 2018, Terreal ouvrira une nouvelle carrière dans la forêt de Chagny. Elle servira à alimenter l’usine Chagny 1.

La future carrière va servir à alimenter l’usine Terreal Chagny 1 d’ici la fin 2018.

Aujourd’hui, toute la terre alimentant les deux usines de fabrication de briques et tuiles de Terreal de Chagny est extraite sur le même site, à proximité de l’usine Chagny 2. « Ce qui reste à exploiter n’est plus compatible pour Chagny 1 », indique Jean-Sébastien Besset, directeur des sites.

Il a donc fallu trouver une solution pour permettre la poursuite de l’activité de l’usine historique et cela passe par l’exploitation d’une nouvelle carrière.

Une dizaine d’années d’exploitation

« C’est une question de propriétés de la terre. Avec le broyeur plus récent de Chagny 2, nous arrivons à utiliser une plus grande variété de terre. Le matériel de Chagny 1 est plus ancien et ne permet pas de faire disparaître tous les éléments organiques », précise le directeur. D’où la nécessité de trouver de la nouvelle terre. La mise en route de la carrière ne se fera pas tout de suite. Aucune date n’est encore définie chez Terreal, mais l’année 2018 paraît le plus probable. Quant à la durée de l’exploitation, elle est également difficile à estimer. « Ce sera au moins une dizaine d’années », termine Jean-Sébastien Besset. Il y a une cinquantaine d’hectares sur la parcelle. L’entreprise a déjà lancé toutes les procédures légales (enquête publique…) nécessaires pour entamer le chantier.

Source le Journal de Saône et Loire par Grégory Jacob

26/01/2017

Votre toit est peut-être fait avec les tuiles d'Imerys Toiture

Créée en 1981 sur le site d'une ancienne briqueterie, au coeur du pays de Bray, l'usine a produit plus de 180 000 tonnes de tuiles l'an passé. Avec deux maîtres-mots : qualité et innovation.
De l'eau, de la terre, du feu... et un savoir-faire éprouvé. Voilà presque entièrement révélés, les secrets de fabrication de la tuile en terre cuite chez Imerys Toiture, à Saint-Germer-de-Fly. Créée en 1981 sur le site d'une ancienne briqueterie, l'usine est la plus importante unité du groupe, qui est le leader français du secteur (43 % de parts de marché). C'est ici, au coeur du pays de Bray, terre bénie des potiers et des briquetiers pour son argile, que sont sorties 186 000 t de tuiles labellisées « made in France » l'an passé.
« Ce qui fait notamment la réputation de nos produits c'est leur résistance aussi bien mécanique que contre le gel, contre lequel ils sont garantis trente ans. On est dans le produit durable, pas dans l'obsolescence programmée », sourit François Dupety, directeur d'exploitation. Les 165 salariés du site s'emploient à défendre ce savoir-faire dans un secteur du bâtiment qui fait grise mine. « Le nombre de constructions est en baisse, le marché de la rénovation aussi », fait observer le directeur.

Galbée dans le sud, à côtes dans le nord, plutôt plate dans le centre... On retrouve la tuile de Saint-Germer-de-Fly, commercialisée par les négociants en matériaux, sur tous les toits de France. Elle s'exporte aussi. « L'Angleterre, c'est ce qui nous sauve aujourd'hui, car ça continue de construire là-bas. Ça marche aussi au Benelux et ça se développe bien en Chine. Notre tuile y est apparentée à un produit de luxe. »

Elle se décline en dix modèles et dix teintes, grâce à des pigments ajoutés à l'argile et céramisés. Elle suit aussi les modes dictées par les architectes, friands en ce moment de la couleur « argentique » évoquant l'ardoise.

L'accès à la matière première, le nerf de la guerre

« C'est un produit ancestral, certes, mais qui demande d'innover sans cesse, à la fois sur les plans esthétique et pratique. On travaille en partenariat avec les couvreurs pour faire émerger les nouvelles idées et on a un laboratoire à Limoges (Vienne) qui teste les produits. »

Directeur d'exploitation, François Dupety est aussi un chercheur d'or du XXIe siècle. L'une de ses principales et constantes préoccupations est en effet d'assurer l'accès à la matière première, argile rouge et verte et sable. « Il faut au minimum trente ans de réserve exploitable, j'en ai dix-sept aujourd'hui ».

L'usine dispose de cinq sites d'extraction dans quatre communes du Pays de Bray (Saint-Germer-de-Fly, Blacourt, Espaubourg et enfin Ons-en-Bray depuis 2015), mais il faut anticiper la fin de vie de certaines carrières en cherchant de nouveaux gisements, pour assurer la pérennité de l'entreprise. Un travail de longue haleine : les terrains récemment achetés par la société ne pourront être exploités que si le feu vert de l'administration est donné, au terme d'une procédure qui pourrait durer jusqu'à dix ans. Il faudra notamment donner aux élus concernés et aux riverains de la future carrière toutes les garanties de bonne gestion des nuisances générées par son exploitation.

Source Le Parisien par Corinne Fourcin

25/01/2017

Un moucharabieh en terre cuite TERREAL pour rafraîchir une école

L’agence Danièle Damon Architecte a imaginé des façades sur rue ajourées pour la conception des trois bâtiments du groupe scolaire Louise Michel à Aussone (31).
187 m2 de moucharabiehs en briques ont été érigés. Les façades en briques perforées filtrent les rayons du soleil et habillent le sol intérieur d’un damier lumineux plus ou moins marqué au fil du jour.

Conseillée par TERREAL, l’agence d’architecture a sélectionné des briques longues (40 cm) pour jouer sur l’horizontalité et la perspective.
Les joints noirs et en retrait des pièces renforcent le relief et la matérialité de la terre cuite.
Une ossature métallique a été aménagée pour garantir la solidité du mur.
Les briques ont été installées selon la technique du double mur afin d’assurer une inertie parfaite et un confort thermique exceptionnel.

  • Architecte : Agence Danièle DAMON Architecte
  • Maitre d’ouvrage : Mairie d’Aussonne
  • Installateur : Briqueteur réunis
  • Photo : Felix Faure

24/01/2017

Sébastien Botella, responsable de production Imerys Toiture: « Avec l'argile, on ne s'ennuie pas »

Des tuiles, Sébastien Botella, 46 ans, ne connaissait pas grand-chose au milieu des années 1990.
« J'avais fait un peu de couverture avec mon beau-frère maçon », se souvient-il. Ne trouvant pas de travail dans sa Marne natale avec sa formation en électrotechnique, Sébastien Botella arrive, début 1996, à Saint-Germer-de-Fly, en même temps qu'une vingtaine de jeunes titulaires du BTS. Tous sont recrutés par Imerys Toiture pour accompagner le développement d'une nouvelle unité de fabrication. L'opérateur est aujourd'hui responsable de production, véritable bras droit du directeur de la tuilerie.

« On favorise beaucoup la promotion interne ici », souligne François Dupety. Les deux hommes partagent la même passion pour le produit qu'il fabrique. « On part d'une matière première pour arriver au produit fini, précise le directeur. On a la chance d'être présent à chaque étape de la chaîne de production, du broyage de l'argile à la cuisson en passant par le pressage et le séchage de la tuile. Ce n'est pas le cas quand vous travaillez dans l'automobile. » « Ce n'est pas une science exacte l'argile, ce n'est jamais pareil, on ne s'ennuie pas », confirme Sébastien Botella. Le responsable de production ne demande qu'à partager son enthousiasme : il recherche des apprentis pour en faire des mécaniciens « maison ».

Source Le Parisien>Oise

23/01/2017

Francis Lagier, « La terre cuite a su s’imposer sur de nouveaux marchés »

Francis Lagier, 48 ans, PDG de Wienerberger, fait un point sur les marchés de la terre cuite, en France.
 « Chez Wienerberger, nous avons des passionnés de la Terre cuite, qui aiment la technique dans la brique, l’esthétique dans la tuile et la créativité dans la brique apparente… »

La terre cuite a souffert mais a su s’imposer sur de nouveaux marchés... et elle reprend son souffle aujourd’hui.

Quels ont été les effets de la crise sur le marché de la brique ?

Francis Lagier : Dès les années 2008-2009, le marché a baissé, et ce jusqu’en 2015. Nous avons cependant gagné des parts de marché dans la maison individuelle et dans le collectif sur les produits concurrents, c’est à dire le bloc béton en maison individuelle et le béton banché en collectif.

Aujourd’hui, cette tendance se poursuit puisque nous avons connu une croissance + 6 % de croissance en 2016 par rapport à l’année 2015 pour la brique. Wienerberger est d’ailleurs leader sur le marché des briques de structure. Le bois a aussi gagné des parts de marché sur le logement individuel : terre cuite et bois, sont un peu les deux gagnants de la RT 2012 suite au changement des comportements des constructeurs.

En quoi les constructeurs ont-ils changé leurs habitudes ces dernières années ?


Lors de la RT 2012, nous avons travaillé sur le système alvéolaire de la brique de 20 cm, ce qui nous a permis d’obtenir une résistance thermique comprise entre 1 et 1,5 contre 0,5 pour les anciennes briques. En utilisant les mêmes épaisseurs d’isolants, on a pu augmenter la résistance du mur de l’ordre de 1 point. Les constructeurs ont pu remplacer la brique traditionnelle ou le bloc béton, moins performants thermiquement, par la nouvelle brique de 20 cm tout en conservant le système d’isolation par l’intérieur, sans forcément changerles épaisseurs d’isolants.

L’ajout de planelles terre cuite pour traiter les ponts thermiques et de coffres de volets roulants a permis d’améliorer le mur thermiquement parlant. La brique a donc progressé dans le marché de la maison individuelle avec 40 % de parts de marché en 2015 contre 28 % en 2005. De même, concernant la maison individuelle groupée, la brique atteint aujourd’hui 44 % de parts de marché contre 18  % en 2005. La part de marché a été prise sur le bloc de béton et le béton cellulaire.

Et sur le logement collectif, pourquoi la brique a-t-elle pu s’imposer ?

Face à la baisse du marché de la maison individuelle, l’industrie de la terre cuite a pris le virage de la construction de logements collectifs qui a moins souffert. Nous avons mis en place des forces de prescription : les architectes et constructeurs ont été intéressés par le discours thermique, notamment en ce qui concerne le traitement des ponts thermiques.

Avec cette solution de briques et de planelles, on a montré que l’on était capable de traiter la partie structure et thermique, à coût très compétitif. Comparée à la solution du béton coulé en place, notre système coûte environ -15 % moins cher. C’est ce qui a intéressé les promoteurs.

Ainsi, sur ce segment de marché, nous sommes passés de 5 % en 2005 à 30 % de parts de marché en 2015. Un produit dédié a été développéavec une performance thermique (R : 1 à 1,2) et a gagné en performances mécaniques avec de meilleures résistances à la compression.

Comment la tuile a-t-elle vécu les aléas de conjoncture ?

La tuile, c’est une histoire… plus compliquée. Le marché a longtemps été porté par le logement neuf en progression et la rénovation qui était positive année après année. Avec la crise en 2008, on a moins construit de MI et plus de logements collectifs, d’où moins de tuiles utilisées ; et ensuite, les surfaces des logements ont diminué. Par ailleurs, depuis 3 ans, la rénovation de toiture est en retrait, suite à la crise de confiance des ménages.

Dans la MI, il y a eu également la concurrence de la toiture plate. C’est une tendance européenne, avec des maisons d’architectes haut de gamme mais ça reste plus cher (10 à 12 % plus cher, selon les études et solutions retenues). Donc, le marché de la tuile a beaucoup baissé, d’environ 30 %, alors que la brique a perdu entre 5 et 10 % sur ces années de crise, grâce à la compensation de perte par des gains de part de marchés.

La tuile peut-elle reconquérir facilement le marché de la toiture ?

Les tuiliers ont dû réagir, pour remettre de la valeur dans la tuile en devenant créatifs. De nouveaux modèles contemporains, déclinés dans une large gamme (tuiles plates, grands moules, tuiles faiblement galbés,…), des coloris inédits (un blanc émaillé par exemple chez Wienerberger, du noir titane,…) et des solutions innovantes comme la Bellus, une ardoise céramique, ont vu le jour pour revisiter l’architecture de la toiture en pente.

Nous avons également réfléchi sur de nouvelles façons de dessiner la maison : on peut avoir une faible pente, voire une très faible pente (avec les tuiles adaptées), ou des mixages de pentes sur la même maison ce qui donne un autre look au bâtiment. On peut aussi utiliser la tuile contemporaine en parement de façade. La profession (industriels et la FFTB) organise enfin des concours d’architecture pour révéler des réalisations remarquables, appréciées des maîtres d’œuvre.

Que peuvent faire valoir les tuiliers sur le marché de la rénovation ?


Il s’agit d’un marché important qui représente 60 % du marché français de la tuile, et la créativité demeure importante en rénovation. C’est le cas chez Wienerberger, avec Aléonard, qui représente le haut de gamme sur ce marché.

On peut mixer différents types de cuissons et coloris, différentes matières premières, et proposer une offre large. L’intérêt des tuiliers, est que les usines existent depuis longtemps, l’usine Aléonard date de 1872, et l’usine de Lantenne-Vertière (25), existe depuis 350 ans. Avec un autre gros avantage : l’argile qui sert à fabriquer les tuiles, demeure une ressource locale abondante, et l’on est capable de maintenir des gammes de produits pendant très longtemps, pour rénover des toitures.

Dernier marché, celui de la façade, comment va-t-il évoluer ?

Sur ce marché, outre les bardeaux en terre cuite, il faut distinguer les marchés de la brique apparente ou la plaquette en Terre cuite. Sur le marché de la brique apparente, Wienerberger est très présent dans les pays d’Europe du nord, ainsi que dans le nord de la France et en région parisienne.

C’est un marché qui a connu des péripéties importantes, en France, puisque l’on a pratiquement divisé sa taille par trois depuis fin 2008. Mais ça se stabilise, depuis un an. Le marché a changé, c’était un marché de volume qui est devenu un marché de niches où les architectes recherchent des solutions différenciantes, originales et esthétiques. Le marché des plaquettes, lui, se développe bien grâce notamment à la rénovation et l’ITE…

Quelles seront vos actions pour 2017 ?

Nous sommes en train de compléter notre offre sur le logement collectif pour être plus pertinents sur ce marché. Par exemple, nous avons un produit destiné à la MI mais aussi au collectif, que l’on appelle la brique à bancher (ou la brique d’acrotère), pour terminer le dernier rang de briques plutôt que d’utiliser un produit béton. Ce produit assure ainsi l’uniformité de la façade. Et il complète notre offre en collectif avec la Citibric, donc nous disposons d’un système complet.

Nous travaillons sur les planelles pour l’isolation des ponts thermiques, au niveau des planchers entre deux étages, en logement collectif : nous améliorons leurs performances thermiques.

Concernant le système Dryfix, nous avons demandé et obtenudes avis techniques, pour l’utiliser sur les murs à fortes épaisseurs, de plus de 20 cm,… (sur les briques Climamur, de 30 à 42 cm). On peut les utiliser en logements individuels, petits collectifs et petits tertiaires, ou encore sur la maison individuelle haut de gamme pour concurrencer le bois.

*FFTB : fédération française des tuiles et briques regroupant 85 fabricants (grands groupes industriels, entreprises nationales et régionales)


Dryfix,  la révolution de la bombe !

« Après avoir lancé le système de pose à joint mince, Wienerberger a franchi une autre étape il y a 3 ans grâce un nouveau système de pose, le Dryfix. Il s’agit d’une colle à base de liants organiques, disponible en bombe, encore plus rapide à mettre en œuvre que la colle à joint mince. La prise est immédiate, et on peut l’utiliser même en cas de températures légèrement négatives. C’est devenu une solution classique pour de nombreux maçons puisqu’elle représente 30%des utilisations de la brique en maison individuelle et R+1 ».


Briques apparentes, des centaines de modèles !

« Il y a aujourd’hui beaucoup d’actions de prescriptions pour séduire les architectes et les constructeurs de maisons individuelles, pour leur montrer la largeur de nos gammes en façade. Nous disposons en effet de centaines de modèles en briques apparentes (contre des dizaines de modèles en tuiles). On sait tout faire avec les couleurs, on peut mixer les produits dans la pose, surprendre avec les jeux de lumière, c’est très apprécié par les architectes… »


Quelques chiffres
Wienerberger Groupe 2015

  • Chiffre d’affaires : 2,972 milliards d’euros
  • 14 800 collaborateurs
  • Wienerberger  est le 1er briquetier mondial et 1er tuilier européen

Wienerberger France 2015

  • Chiffre d’affaires : 169,6 millions d’euros
  • 783 collaborateurs
  • Wienerberger est leader en France sur la brique et 4e tuilier en France

Source : batirama.com / Fabienne Leroy

22/01/2017

Le groupe MATERIALS Technologies fédère ses toutes ses filiales sous la marque ALFI Technologies

Le groupe MATERIALS Technologies aborde 2017 en fédérant ses différentes activités sous la même marque, ALFI Technologies, pour refléter sa nouvelle stratégie. En mettant les attentes de ses clients au cœur de son développement, le groupe s’est spécialisé par marché en développant une expertise process unique.
Le groupe MATERIALS Technologies change de nom et devient ALFI Technologies. La raison sociale de chacune de ses filiales est également modifiée :

  • ACC Technologies devient ALFI Acc
  • ADLER Technologies devient ALFI Adler
  • CHAUDRONNERIE Savoyarde devient ALFI Chaudronnerie Savoyarde
  • FIMEC Technologies devient ALFI Fimec

L’offre du groupe est organisée autour de solutions dédiées à la fabrication de matériaux de construction (béton, terre cuite, isolation et plaques) et à l’intralogistique (logistique et centres de tri, industries aéronautique, pneumatique et papier). Elle permet à chaque client d’avoir une vue rapide des possibilités offertes par les synergies entre les équipes du groupe et les nombreuses innovations qu’elles ont développées.
Vous retrouverez cette nouvelle présentation de notre offre sur notre nouveau site internet www.alfi-technologies.com d’ici quelques jours…

Source Fimec Technologies

21/01/2017

Les modules intégrés de ventilation haute température de CERITHERM

L’homogénéité thermique est un paramètre primordial pour la qualité des produits de nos clients. La maîtrise fine des répartitions de température permet de :

  • Diminuer les taux de rebuts liés au « surcuit»
  • Diminuer les taux de rebuts liés au « non cuit »
  • Diminuer les non-conformités thermiques liées à la réglementation aéronautique NAD CAP AMS2750E
  • Diminuer les rebuts liés aux différences de couleurs pour les produits esthétiques type porcelaine émaillée, bijoux émaillées, cocotte culinaire émaillées …..
  • Economiser de l’énergie en ne surchauffant pas une zone afin d’atteindre une température minimum dans une zone « froide »

Pour accompagner nos clients dans leur démarche d’amélioration de la qualité, Ceritherm a développé les modules de ventilation intégrés haute température (MVIHT).
Les MVIHT s’intègrent en voute. Ils assurent un important brassage de l’atmosphère du four permettant d’améliorer significativement l’homogénéité de température dans le four et cela jusqu’à 900°C. Le principe est d’aspirer l’air chaud en voute et de le réinjecter en zone basse pour créer des boucles de convexion forcée.

Les MVIHT sont particulièrement recommandés pour les fours tunnel avec un fort flux longitudinal, comme pour les fours tunnel de terre cuite (tuiles ou briques). En effet, le flux longitudinal n’assure pas de brassage dans la section du four tunnel. Des différences de température de plus de 300°C peuvent ainsi être constatées sur les sections dans les zones de montée de température (haut, milieu, bas de pile).

L’intégration de MVIHT en avant feu jusqu’au zone à 900°C permet de diviser par 3 les écarts de température  et les rebuts associés !

Les MVIHT sont également recommandés pour les fours électriques où il n y a pas de flux, comme par exemple pour les fours électriques de traitement thermique des métaux (revenu, recuit).

Source Ceritherm

20/01/2017

ALGERIE- Fabrication de briques à Touggourt: Un créneau prometteur arrivé à saturation

Située à 160 km au nord-est d’Ouargla et à 600 km environ au sud-est d’Alger, Touggourt recèle un grand gisement de terre rouge avec une réserve d’exploitation qui suffira, selon des experts, pour une durée de plus de deux siècles. Actuellement, avec ses 10 mines d’argile, elle a tendance à développer une activité industrielle, notamment la fabrication des matériaux de construction, dont la brique rouge qui devient un créneau très important dans la région. Elle compte 10 briqueteries d'une capacité de production annuelle d’environ 3 000 000 de tonnes, 26 briqueteries sont en cours de réalisation en plus des 54 projets approuvés par l’ex-Calpiref.

Cependant, ce créneau semble arrivé à saturation. Selon certains opérateurs et experts, ce fléchissement de l’activité est dû à l'offre qui dépasse la demande. Il est vrai que beaucoup d'efforts ont été consentis dans ce domaine et de grands projets ont été réalisés, mais le rétrécissement de l'investissement de l'État, notamment dans les infrastructures et l’habitat, s'est répercuté sur la commercialisation des produits rouges. “Le problème, ce sont les projets qui ne sont plus favorables. Car on a créé une capacité de production à un moment où il y avait vraiment de la demande, alors que maintenant, la demande a baissé parce que l'investissement de l'État a également baissé. Donc l'important maintenant, c’est que ce surplus soit exporté vers d'autres pays et cela dépendra de la compétence de l'État’’, nous dira un opérateur dans le domaine.

Pour accéder à l’étape de l’exportation s’impose d’abord la collaboration des pouvoirs publics quant à l’ouverture des portes de l’exportation à ces produits, ensuite, il faut que les producteurs innovent, diversifient et élargissent leur gamme de produits. Khaled Hamrouni, gérant d'une entreprise et consultant en développement des PME, dira à ce propos : “Premièrement, dans certains cahiers des charges de certains utilisateurs, la certification du produit est exigée. Donc ça va être une différence. Deuxièmement, ce qui est recommandé maintenant aux briquetiers, c’est de passer à l’innovation. Dans le domaine des produits rouges, il n’y a pas que la brique ordinaire (de douze et de huit trous), mais il y en a d’autres. Maintenant, il faut que les briquetiers pensent à évoluer par la maîtrise des coûts, de la chaîne de production et aussi à innover avec d’autres produits avec lesquels ils peuvent concurrencer.’’ Et de poursuivre : “L’investissement à Touggourt devient plus cher qu’au Nord. Nous sommes loin des ports, des matières premières, de la main-d’œuvre qualifiée et des marchés.’’ Et d’ajouter : “Comme vous savez, les marchés sont au centre et à l’est du pays.’’  M. Hamrouni conclut en affirmant qu’“il est urgent pour la protection de la production nationale d’exiger dans les cahiers des charges l’utilisation des produits locaux. À cet effet, nous avons demandé de décentraliser cette décision. C’est-à-dire de faire une exigence de l’utilisation du produit local à qualité technique égale, mais on n’a pas l’accord des autorités pour imposer aux entreprises de bâtiment d’utiliser le produit local à condition d’avoir une qualité technique égale’’.

De plus, le problème du manque de financement des projets par l’État dû à l’amenuisement des recettes des hydrocarbures s’est posé avec acuité. Aussi, la nécessité de créer d’autres gisements d’argile et de faciliter aux nouveaux producteurs leur exploitation, a expliqué le directeur délégué de l’investissement de Touggourt, Hocine Hamal.      

Source LIBERTE-ALGERIE.COM par Ammar Dafeur



INAUGURATION OFFICIELLE DE LA NOUVELLE USINE BRIQUETERIE TIDJELABINE

Inauguration officielle de la nouvelle usine entièrement automatisée Briqueterie Tidjelabine par une cérémonie solennelle.

Le 18 décembre 2016, la briqueterie „SARL Briqueterie de Tidjelabine“ a été inaugurée solennellement en présence du Wāli de la province Boumerdes, Son Excellence Monsieur Abderrahmane Madani Fouatih.

Lors de cette cérémonie, l’associé-gérant de l‘entreprise, Monsieur Hamid Yacef, a tenu un discours devant plus de 200 invités expliquant les investissements réalisés dans la nouvelle usine entièrement automatisée et sa stratégie visant à produire des briques de qualité irréprochable pour la région en croissance autour d’Alger. Lors de la visite ayant suivie ce discours, les invités ont pu se faire une impression globale de la qualité excellente des briques, de l’organisation de l’exploitation professionnelle et de la technologie de production de pointe avec des opérations robotisées.

Depuis un certain temps, la quantité convenue dans le contrat est produite dans l’usine, à savoir, 800 tonnes de briques de première qualité par jour, ceci correspond à une capacité de production de 280 000 tonnes par an. Compte tenu de cette capacité, l’usine compte parmi les plus grandes lignes de production installées en Algérie. Un autre fait marquant est la technologie de production: le séchage est effectué dans un séchoir rapide en forme de U séchant les briques en seulement 3 heures. Ce concept d’usine mis en pratique pour la première fois est peu encombrant et très économique – toutes les machines de manutention du circuit des produits verts, de l’installation d’empilage et de conditionnement sont centralisées de sorte que toute la production peut être contrôlée par deux personnes pour l’essentiel.

En qualité d’entrepreneur général, le volume des livraisons de LINGL comprenait l’installation complète de préparation et de façonnage de la marque Rehart-Petersen, les équipements de production ainsi que le séchoir rapide OPTIFLOW et un four tunnel LINGL. Tous les convoyeurs pour l’alimentation des matières et le retour des déchets ont été également fabriqués et fournis par LINGL.

Cet événement constitue une nouvelle étape importante pour le succès de LINGL en Algérie: situé à seulement 20 minutes environ de l‘aéroport international d’Alger, cette usine est une référence de premier ordre pour le constructeur des machines et des installations dont le siège se trouve en Bavière souabe.

Source LINGL