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07/06/2023

Vers une stabilisation des prix des matériaux de construction ? Les professionnels du Puy-de-Dôme restent prudents

Le coût des matériaux n’a cessé d’augmenter ces dernières années mais les professionnels du secteur dans le Puy-de-Dôme entrevoient du mieux.

Crise sanitaire, guerre en Ukraine et crise énergétique… Ces dernières années, les nerfs des acteurs du secteur de la construction sont mis à rude épreuve. En cause, les prix des matériaux qui ne cessent de fluctuer, mais surtout d’augmenter. Si certains compteurs sont au rouge, il reste quelques notes d’optimisme.

"On n’en voit plus le bout", se désole pourtant Patricia Delépine, présidente de la Fédération française du bâtiment du Puy-de-Dôme. "La violente crise de l’énergie de la seconde moitié de 2022 fait sentir ses effets sur le début 2023, avec une forte reprise des prix des matériaux énergivores comme le ciment, le verre, les produits céramiques, les tuiles, etc."

Spéculation sur l’acier

Patricia Delépine pointe certaines "progressions exceptionnelles" entre décembre 2020 et janvier 2023 : + 41,1 % sur les ossatures et charpentes métalliques ; + 31 % sur les fermetures de baies en aluminium ; + 27 % pour les couvertures et bardages en tôles d’acier nervurés avec revêtement d’étanchéité.

Christophe Dagois, responsable des achats chez BigMat, basé au Brézet Clermont-Ferrand, évoque lui aussi des hausses les premiers mois de 2023, mais plus contenues. "Tous matériaux compris, nous sommes sur + 7 % d’augmentation."

La chute récente des prix de l’énergie donne quelques espoirs de stabilisation et d’amélioration, que constate notamment Christophe Dagois avec le bois de charpente par exemple.

Quelles sont les raisons de la hausse brutale du prix des matériaux de construction ? On démêle le vrai du faux (2012)

Sur l’acier qui a connu une folle envolée l’année passée en raison du conflit en Europe de l’est, la tendance est à la baisse. "Entre 8 et 10 % depuis le début d’année", chiffre-t-il. Pas de quoi fanfaronner pour la présidente de la Fédération française du bâtiment du Puy-de-Dôme : "La hausse a été de 143,6 % entre mai 2020 et mai 2022 tout de même".

"Il n’existe que deux ou trois fabricants d’acier en Europe. Arcelor, un leader, a tendance à produire moins si le cours de l’acier baisse trop", pointe le responsable des achats. En d’autres termes, le fournisseur ne joue pas le jeu et spécule pour limiter la baisse.

Les pénuries semblent quant à elles de l’histoire ancienne, mais ils s’accordent quasiment tous sur un point, on ne retrouvera jamais les prix d’avant crise. 

Source La Montagne par Erwan Rousseau

06/06/2023

Pour Keller HCW, la production de tuiles et briques en terre cuite neutre en carbone est possible!

Keller HCW dit « oui », cela peut être fait, tout en réalisant clairement qu'il s'agit d'un très grand défi pour toutes les personnes impliquées. Ensemble, nous avons besoin de beaucoup d'engagement et de courage pour atteindre cet objectif.

Souvenons-nous, nous avons écrit ensemble la feuille de route de la filière brique-tuile vers la neutralité CO2 d'ici 2050. Le législateur a encore avancé l'échéance de cinq ans via la loi sur la protection du climat, prescrivant ainsi la neutralité gaz à effet de serre d'ici 2045.

En raison de la situation géopolitique très modifiée, il est désormais difficile de prévoir l'évolution des coûts de l'énergie en Allemagne et en Europe.

Par conséquent, l'urgence d'améliorer l'efficacité énergétique s'est considérablement accrue. Les catastrophes climatiques comme celles de la vallée de l'Ahr ou du Pakistan, ainsi que la « sécheresse hivernale » dans de nombreux pays européens, montrent l'ampleur du réchauffement climatique et l'urgence de la neutralité gaz à effet de serre.

Comment gérons-nous cela ?

Uniquement régénératif - c'est-à-dire via l'hydrogène, l'électrification, le biogaz, les gaz de synthèse et les matériaux porogènes biogéniques.

L'électricité produite à partir du photovoltaïque ou de l'éolien fait actuellement partie des sources d'énergie calculables en termes de coût. Produire sa propre électricité coûte sept à neuf centimes/kWh pour l'électricité photovoltaïque et constitue une alternative économique.

L'hydrogène est actuellement encore autour de 18 centimes/kWh pour l'autoproduction à partir du photovoltaïque et de l'électrolyse.

Pour l'Allemagne, il est déjà clair qu'une part importante de l'hydrogène nécessaire, ou de ses dérivés comme l'ammoniac et le méthanol, devra être importée. Au fur et à mesure que la proportion d'hydrogène augmente, l'efficacité économique s'améliore.

Le prix du gaz naturel est soumis à de fortes fluctuations, à des dépendances extrêmes et l'évolution du prix à long terme est imprévisible.

1. Hydrogène

L'hydrogène est l'un des principaux éléments de notre planète. Il est numéro un sur le tableau périodique des éléments et pourrait bientôt être également numéro un sur la liste des combustibles.

Keller travaille sur le thème de l'hydrogène depuis fin 2020 et est membre d'une association de recherche composée de cinq partenaires de Rhénanie du Nord-Westphalie. Il s'agit d'instituts, de fabricants de brûleurs, de producteurs de briques et de tuiles ainsi que de fabricants d'installations.

Les objectifs communs sont une nouvelle technologie de brûleur pour un fonctionnement 100 % hydrogène ou éventuellement gaz naturel (brûleur bi-combustible) et la substitution maximale du gaz naturel par l'hydrogène.

En mai de cette année, le premier groupe de brûleurs sera prêt à être utilisé sur un four existant dans l'industrie de la brique. Sur la base des tests préliminaires, Keller est optimiste que les résultats de tir seront positifs.

2.Électrification

Nous voyons différentes possibilités d'électrification. A cet effet, des essais de cuisson ont été menés avec des registres chauffants muraux et avec des résistances chauffantes électriques afin d'acquérir de l'expérience sur les applications possibles des dispositifs.

Selon les analyses, les résistances chauffantes électriques peuvent être utilisées économiquement jusqu'à une température chambre de cuisson d'environ 800°C. La résistante chauffante atteint env. 1150°C. A cette température, la durée de vie est d'env. cinq ans. Celle-ci est réduite de moitié lorsque la température de préchauffage est augmentée de 50 °C.

Plus le delta T entre la chambre de cuisson et la résistance est petit, plus la capacité de chauffage restante est faible.

Les chauffe-conduits peuvent être utilisés, par exemple, dans les circuits de recirculation sur le four ou comme chauffage d'appoint pour le séchoir.

Des générateurs d'air chaud peuvent également être utilisés pour l'injection d'air chaud dans le four. Cependant, la plage de température est limitée, car la température de sortie est de 1 100 °C maximum.

Une autre alternative est l'électrification des sous-processus, par ex. dans la zone de conditionnement. Keller a déjà fourni une hotte électrifiée à cet effet.

Le séchage par micro-ondes est une technique connue depuis de nombreuses années. Il peut également contribuer à l'électrification des sous-processus. Keller a construit une usine pilote de micro-ondes en 1998 dans laquelle six magnétrons de deux kW chacun ont été installés. Ils servaient à « préchauffer » les produits à env. 60 °C avant d'être transférés dans un sécheur continu conventionnel. Des résultats positifs ont été obtenus dans de nombreux tests préliminaires. L'enjeu réside dans l'intégration de cette technologie dans les installations existantes, que ce soit en tant que modules séchoirs en amont ou également pour l'élévation de la température de la colonne d'argile ainsi que des produits individuels dans la zone d'alimentation du poste de chargement des wagons du séchoir tunnel.

3. Accroître l'efficacité énergétique

La première et essentielle étape vers la neutralité en CO2 doit être d'augmenter l'efficacité énergétique, ce qui conduit in fine à découpler au maximum le four et le séchoir.

Afin d'atteindre les objectifs, les sujets suivants doivent être travaillés dans les usines existantes :

1. Circulation d'air

La circulation d'air sert à augmenter le transfert de chaleur dans le but de se gérer des débits longitudinaux plus faibles, c'est-à-dire un rapport air/brique inférieur dans le four.

Les systèmes de circulation construits par Keller représentent une solution spécifique à l'usine et donc optimisée. Des systèmes plafond à plafond, plafond à côté et côte à côte ont été mis en œuvre et garantissent un flux de réglage idéal avec des valeurs alpha améliorées.

Pour les nouvelles installations, une zone de refroidissement et de préchauffage plus longue doit être envisagée afin d'augmenter l'efficacité grâce à un transfert de chaleur prolongé dans le temps et d'obtenir ainsi des rapports air/brique plus faibles.

2. Utilisation de l'air de combustion préchauffé

Une mesure connue depuis longtemps pour augmenter l'efficacité énergétique est l'utilisation d'air de combustion préchauffé. Encore mieux que l'air de combustion préchauffé est l'injection exclusive de gaz dans le four en utilisant l'air ambiant comme air de combustion. Cela nécessite les soi-disant brûleurs à gaz propres. Keller a deux solutions à proposer : le brûleur Keller CF 10 avec injection de gaz et un faible volume d'air de purge, et le nouveau brûleur à gaz propre Keller HT, via lequel seul le gaz est injecté et l'air ambiant est mélangé via un brûleur de forme spéciale. diriger.

3. Réduction des pertes à la sortie du four

Keller a déjà effectué des tests sur le four à poutres mobiles dans les années 1990. Grâce à cette technique, les pertes à la sortie peuvent être considérablement réduites, car les masses des wagons du four tunnel entrant et sortant du four sont réduites au minimum.

Dans les installations existantes standard, les pertes à la sortie via le wagon du four sont d'env. quatre à dix pour cent de la demande d'énergie thermique du four. Une réduction du poids des wagons du four tunnel existant jusqu'à 50 % semble réaliste, ce qui réduirait les pertes à la sortie à 2 à 5 %.

4. Découplage du four et du séchoir

Si le découplage du four et du séchoir est totalement ou du moins en grande partie réussi, de nouvelles options régénératives sont disponibles pour fournir de l'énergie au séchoir. Une possibilité est l'utilisation d'une pompe à chaleur. L'énergie de condensation contenue dans l'air humide est utilisée et transférée à un niveau de température plus élevé à l'aide de la pompe à chaleur. Des pompes à chaleur à compression à un étage ou à plusieurs étages peuvent être utilisées ici. Avec ces pompes, il est économiquement judicieux d'atteindre des niveaux de température d'env. 110 °C avec un coefficient de performance (COP) d'env. trois.

5. Récupération d'énergie par les fumées

Une autre possibilité intéressante de valorisation énergétique réside dans les fumées. Les pertes de gaz de combustion d'un four représentent environ 25 % de la demande énergétique du four. La récupération est donc logique et peut être effectuée avec les échangeurs de chaleur à huile thermique connus ou alternativement avec des échangeurs de chaleur en polymère. Avec les échangeurs de chaleur en polymère, l'énergie peut être récupérée sans aucun problème si vous conduisez délibérément dans le point de rosée acide. Il s'agirait donc d'une récupération de 12,5 % de l'énergie totale du four. Ceci est disponible à un niveau de température d'env. 110 °C et peut être utilisé de manière optimale pour le processus de séchage.

6. Utilisation du gaz de synthèse

Le gaz de bois est un biogaz produit par pyrolyse. Avec gazéification du bois, env. 94 % de l'énergie utilisée peut être convertie en gaz de bois. Le pouvoir calorifique est d'env. trois kWh/m³ et donc environ 1/3 de gaz naturel, soit il est nécessaire d'intervenir dans la technologie de l'installation car il faut faire passer trois fois la quantité de gaz.

Une condition préalable à une utilisation significative est qu'une quantité suffisante de bois usagé soit disponible à un prix attractif à proximité du site.

7. Contrôle et régulation des flux d'énergie

Une autre mesure pour augmenter l'efficacité énergétique est un système de contrôle «intelligent», qui permet de coordonner plus facilement les flux d'énergie et de réguler plus précisément les processus. Les dépendances doivent être coordonnées à l'avance. Cela est particulièrement vrai lorsque des sources d'énergie régénératives sont intégrées, car elles ne sont pas constamment disponibles. Le soleil ne brille pas toujours et le vent ne souffle pas non plus à tout moment.

Source ZiegelIndustrie International



Roumazières : un barbecue pour les libertés syndicales devant les grilles de Terreal le Jeudi 01 Juin midi

Le climat est tendu avec la direction chez Terreal. La CGT y organise le jeudi 01 Juin midi une grosse action de défense des libertés syndicales.

La CGT en fait un symbole de la lutte contre la discrimination syndicale « que les militants CGT subissent depuis plusieurs mois même années de la part de leur direction » accuse l’union départementale dans un communiqué appelant au rassemblement. 

« Plusieurs camarades ont eu à subir ou subissent une véritable répression du fait de leur appartenance syndicale », affirment les représentants de la CGT.

Ils ont fait de Terreal un emblème pour cette journée. Un conflit « dur » y oppose en effet la CGT à la direction depuis le 7 avril dernier. 

« Harcèlement, violences physiques » dit le syndicat, qui affirme que, ce jour-là, « un palier a été franchi avec l’agression d’un militant »,  élu au CSE de l’entreprise.  « Il a déposé plainte, il est toujours en congé maladie », indique Michaël Lablanche, le secrétaire départemental de la CGT en Charente. 

« Le climat n’est pas serein, du fait de la direction de l’entreprise », commente-t-il.

« Le climat est tendu… avec la CGT », reconnaît pour sa part Bruno Hocdé, le directeur de l’usine. Il a, lui, porté plainte pour « dénonciation calomnieuse », à la suite de ces événements « montés par la CGT. Il n’y a jamais eu de violences », rappelle encore le directeur. Mais, ajoute-t-il, la situation est « calme dans les ateliers, pour le personnel, les autres syndicats [FO et la CFDT sont également présents dans l’usine NDLR] ». Mais si la situation ne s’arrange pas avec la CGT, « on a fait des propositions d’ouverture, pour la mise en place d’une médiation, d’un travail d’équipe avec la volonté d’aboutir à une meilleure ambiance dans l’entreprise ».

Les militants veulent y répondre par la mobilisation. « Quand on attaque un militant de la CGT, c’est toute la CGT qu’on attaque ! » en slogan pour justifier l’action. L’union locale a prévenu qu’elle s’occuperait de la restauration. La direction lui a juste rappelé que la limite de propriété de Terreal était « très proche de la RN 141 »  et que ça pouvait être dangereux.

Source La Charente Libre


ROUMAZIÈRES : LE CONFLIT ENTRE LA DIRECTION DE TERREAL ET LA CGT HORS LES MURS

La CGT a manifesté devant l’usine ce jeudi 01 Juin

Pour la Journée nationale contre les discriminations syndicales, la CGT Charente a rassemblé ses militants devant l’usine Terreal de Roumazières. Pour y dénoncer les agissements de la direction de la tuilerie contre plusieurs salariés syndiqués.

C’eut pu être à Verallia à Châteaubernard. Chez l’imprimeur Hamelin à Nersac. Ou bien devant la préfecture de la Charente, comme le préconisait la CGT pour cette Journée nationale de lutte contre les discriminations syndicales qu’elle organisait jeudi 1er juin.  Pour marquer le coup, l’Union charentaise a préféré l’usine de tuiles Terreal de Roumazières et son contexte social tendu depuis une décennie. 

Une cinquantaine de personnes a répondu à l’appel. Pour l’essentiel des militants extérieurs. « Le contexte (Terreal) se prêtait » à ce rassemblement, rappelle le secrétaire général de la CGT Charente Michaël Lablanche. Le 27 avril dernier, un délégué CGT portait plainte en gendarmerie pour « harcèlement » après une altercation physique avec le directeur du site, Bruno Hocdé. 

Avant lui, Stéphane Hervé, un autre élu CGT, faisait face à une procédure de licenciement et un accès bloqué à la tuilerie, depuis retoquées par l’Inspection du travail. La rue de Grenelle doit encore étudier son cas. Le salarié a pris la parole jeudi et appelé « à s’unir pour dénoncer ces comportements injustes », citant les « sanctions, avertissements, mises à pied, attaques personnelles en réunions plénières, échanges provocateurs… » qui détériorent le climat de travail à Terreal, 350 salariés. 

« Stratégie de répression »

« Mettre au placard, empêcher un déroulement de carrière, ont un impact grave sur la personne concernée, sont nocifs pour le syndicalisme », a élargi Michaël Lablanche. « La direction (de Terreal) reconnaît un climat tendu, refuse les accusations de violences. Mais elle mène une stratégie de répression qui vise à faire taire ceux qui s’opposent », a tancé le représentant charentais.

Le seul fait d’être syndiqué fait grincer des dents dans l’entreprise. 

Portée nationale de la journée oblige, un soutien a aussi été envoyé aux « locaux syndicaux menacés », « aux personnes verbalisées dans les manifs. » Michaël Lablanche : « En Charente nous ne sommes, pour le moment, que peu concernés par des interdictions de manifester, les arrestations arbitraires… Mais nous devons être vigilants. Les arrestations, les gardes-à-vue, ça laisse des traces ». La représentation FO, pourtant majoritaire au Comité social et économique (CSE), n’était pas du rendez-vous. Sollicités, deux élus FO n’ont souhaité apporter « aucun commentaire » sur ce conflit qui oppose l’entreprise et le syndicat ouvrier. « Normal, ils n’ont aucun problème de discrimination », cingle un cégétiste Terreal. Brigitte Tremblay, 35 ans de Terreal sous bannière CFDT, résume : « Le seul fait d’être syndiqué fait grincer des dents dans l’entreprise ». Son droit fondamental valait bien une messe.",

Source La Charente Libre par Pascal Lefebvre


05/06/2023

Réforme des retraites : Sophie Binet compte sur la mobilisation du 6 juin car « rien n’est écrit d’avance »

L’intersyndicale appelle à manifester le 6 juin et les députés doivent procéder à un vote sur les retraites deux jours après

Deux jours de la semaine qui s’ouvre sont entourés en rouge dans les agendas des opposants au texte du gouvernement sur les retraites : ceux de mardi et jeudi. « Rien n’est écrit d’avance » concernant la réforme et tout dépendra « du niveau de la mobilisation » lors de la prochaine journée d’action mardi, ainsi que « du vote le 8 juin » à l’Assemblée nationale, juge en effet la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, dans une interview au Journal du dimanche.

« Jusqu’ici, on a déjoué tous les pronostics. Cela fait six mois que l’intersyndicale est mobilisée, c’est énorme. Les suites dépendront du niveau de la mobilisation mardi et du vote le 8 juin. J’appelle donc tout le monde à descendre dans la rue », exhorte Sophie Binet, à deux jours de la 14e journée d’action à l’appel de l’intersyndicale.

« On a gagné la bataille des consciences »

« Nous avons marqué des points cruciaux : on a gagné la bataille des consciences, remis le syndicalisme au centre et fait perdre à Emmanuel Macron toute majorité sociale et politique. Et, oui, je le confirme : il est encore temps qu’il retrouve la raison et renonce à cette réforme », assure-t-elle.

Source 20 Minutes

04/06/2023

Wienerberger veut faire de ses salariés des pionniers de la transition environnementale

Spécialiste des tuiles et de matériaux de construction en terre cuite, Wienerberger (CA 2021 : 202 M€, 775 salariés) dispose en Alsace de 3 sites de production à Achenheim, Betschdorf et Seltz. 

L’entreprise s’est engagée à atteindre la neutralité carbone en 2050, avec un premier point d’étape dès 2023. Objectif : une baisse de ses émissions de CO² de 15 % par rapport à 2021. 

Elle sensibilise pour cela ses salariés à adopter les bons réflexes en matière de tri des déchets et de sobriété. 

Le 6 juin prochain, pour la deuxième année de suite, Wienerberger organise ainsi sur ses dix sites en France une " journée de la terre ". Au programme, des visites de carrières pour découvrir la biodiversité qu’elles recèlent, des opérations de ramassage des déchets, des ateliers de rangement numérique et de sensibilisation à la gestion de l’eau. 

Ces actions sont réalisées en coopération avec des associations environnementales ; une façon de prolonger la démarche environnementale au quotidien.

Source LeJounalDesEntreprises


03/06/2023

EnerViT : efficace et H2 ready

Keramischer Ofenbau trace la voie vers le four à hydrogène du futur. Baptisé EnerViT H2 ready, le système apporte des économies d'énergie et des réductions d'émissions immédiates tout en préparant la future transition vers un hydrogène 100 % vert.

Les changements profonds qui se sont produits ces dernières années dans les systèmes énergétiques mondiaux et les chaînes d'approvisionnement, associés à la hausse des prix, ont présenté de multiples défis aux entreprises du monde entier. L'industrie de la céramique ne fait pas exception et a dû s'adapter rapidement au nouveau scénario. Le spécialiste des fours à céramique Keramischer OFENBAU fournit des systèmes économes en énergie, fiables et prêts pour l'avenir, capables de répondre aux besoins d'aujourd'hui.

Il a adopté une approche proactive depuis des décennies et est maintenant en mesure d'offrir des solutions révolutionnaires telles que le système EnerViT, une technologie qui a été mise sur le marché il y a dix ans mais qui est constamment améliorée et adaptée pour dépasser l'état de l'art.

Les systèmes EnerViT peuvent être déployés dans de nouveaux fours mais ont également un grand potentiel pour moderniser les fours existants avec des économies d'énergie allant jusqu'à 50 %. La combinaison de technologies d'allumage faciles à entretenir et de la technologie de mesure ZrO Lambda permet d'augmenter les performances tout en réduisant la consommation et les émissions.

Qu'il soit utilisé pour la cuisson de sanitaires, d'arts de la table ou de céramiques techniques ou structurelles, un nouveau four à haut rendement équipé d'EnerViT peut remplacer jusqu'à trois fours existants, garantissant la fiabilité et le plus haut niveau de qualité dans le processus de cuisson.

Grâce au savoir-faire et à la longue expérience de son équipe technique, Keramischer OFENBAU est en mesure de répondre à toutes les exigences de production. Le succès d'EnerViT pousse encore l'entreprise à intensifier son engagement dans l'innovation et à établir des références toujours nouvelles.

Bien que les fours économes en énergie soient un pas dans la bonne direction, les fours du futur seront neutres en carbone. En fonction des besoins de l'utilisateur, Keramischer OFENBAU construit également des fours avec des modes de chauffage alternatifs, tels que l'électricité. Mais comme l'électrification des usines existantes n'est pas toujours faisable ou souhaitable, l'entreprise allemande s'est engagée dans la voie d'un four à hydrogène. Le système EnerViT H2 ready apporte des économies d'énergie immédiates et des réductions d'émissions tout en préparant la future transition vers un hydrogène 100 % vert. Avec de l'hydrogène disponible sur place, de petites adaptations rendront le four à la fois très efficace et neutre en carbone.

Keramischer Ofenbau établit de nouvelles normes énergétiques en atteignant un équilibre optimal entre l'efficacité énergétique et économique, tout en mettant l'accent sur la durabilité. Elle est impliquée dans de nombreux projets de recherche avec des partenaires variés visant à transformer les procédés classiques fonctionnant au gaz en solutions basées sur les énergies alternatives - du biogaz à l'hydrogène pur - et le chauffage électrique. En utilisant intelligemment des technologies innovantes et des matériaux optimisés en poids, les fours hautement efficaces de Keramischer OFENBAU minimisent la consommation de combustibles fossiles, contribuant ainsi à protéger l'environnement tout en augmentant la valeur ajoutée et la sécurité énergétique pour les utilisateurs.

L'efficacité et l'innovation vont de pair avec l'accent mis sur le service à la clientèle. Après une consultation individuelle, Keramischer OFENBAU propose une mise en œuvre de haute qualité et pérenne avec expertise, fiabilité et transparence.

Source CeramicWorldWeb

02/06/2023

Espagne: Tejas Borja présente ses dernières innovations en tuiles céramiques à Construmat

Tejas Borja est une entreprise espagnole avec une longue histoire dans la fabrication de tuiles et de systèmes en terre cuitre de haute qualité pour les toits en pente. Fondée à Alicante en 1899, l'entreprise a commencé à fabriquer des tuiles à la main et aujourd'hui, intégrée depuis deux ans au groupe français leader Edilians Group, elle ne cesse d'innover et d'améliorer ses produits pour offrir à ses clients des tuiles de haute qualité qui s'adaptent aux besoins des chaque projet.

L'entreprise, qui se trouve aujourd'hui à Llíria (Valence), a une structure diversifiée et solide, qui comprend différents départements tels que la production, la conception, les ventes, le marketing et la prescription, dans lesquels travaillent plus de 250 professionnels. Aujourd'hui, les produits de l'entreprise sont présents dans plus de 70 pays à travers le monde, où ils sont une référence grâce à leur gamme large et diversifiée, qui va des tuiles et pièces spéciales de haute qualité aux systèmes d'isolation thermique pour toits en pente.

Évolution

En réponse aux demandes d'un marché de plus en plus exigeant, Tejas Borja a révolutionné le secteur ces dernières années avec l'introduction de nouvelles technologies dans ses produits. L'un d'eux a été la plus grande tuile d'aspect plat au monde, le Flat-5XL, qui a été acclamé dans le monde entier.

De plus, Tejas Borja a marqué un avant et un après dans le secteur avec la mise en œuvre de l'impression numérique sur carreaux de céramique, avec la gamme de couleurs exclusive BORJAJET, qui a reçu le RedDot Award en 2019 pour la conception du produit.

Avec l'intégration de panneaux solaires sur un support en céramique grand format, Tejas Borja poursuit son esprit d'innovation et son engagement envers le design, l'efficacité énergétique et les dernières technologies.

Présence à Construmat

Tejas Borja, qui s'est imposé comme une référence dans l'industrie de la terre cuite grâce à son engagement envers l'innovation et la qualité de ses produits, participe à Construmat 2023 avec un engagement clair en faveur de l'efficacité énergétique, des énergies renouvelables et du design sur les toits en pente. L'entreprise présentera au salon des solutions photovoltaïques intégrées, des systèmes d'isolation thermique et des tuiles avec décoration numérique à jet d'encre.

De plus, Tejas Borja présentera sur son stand la gamme de tuiles solaires qui permettent la génération d'énergie propre sans affecter la conception du toit ; et avec eux les systèmes d'isolation de toiture les plus innovants : BorjaTHERM et BorjaSAT, qui rendent l'enveloppe du toit parfaitement isolée de l'extérieur, en continu et sans ponts thermiques.

Au-delà de Construmat, les responsables de Tejas Borja envisagent l'avenir avec l'idée de continuer à évoluer et à améliorer leurs produits pour répondre aux demandes du marché, notamment en matière de réduction de la consommation d'énergie et de durabilité, d'où leur gamme de solutions photovoltaïques.

Source ElEconomista

Wienerberger : croissance exceptionnelle en 2022

Avec un chiffre d'affaires de 5 milliards d'euros (+25% par rapport à 2021) et un EBITDA opérationnel de plus d'1 milliard d'euros (+48%), le Groupe termine l'année sur de très bonnes performances.

Le groupe Wienerberger a enregistré d'excellents résultats en 2022 avec une performance globale exceptionnelle et une croissance organique robuste dans toutes les unités commerciales.

Grâce à sa gestion efficace des coûts et de l'énergie à l'échelle du groupe, le groupe a pu générer des résultats exceptionnels tant en termes de chiffre d'affaires (environ 5 milliards d'euros, en hausse de 25 % par rapport à 2021) que de bénéfices, l'EBITDA du Groupe ayant bondi de 48 % pour atteindre plus d'1 milliard d'euros (694 millions d'euros en 2021).

La Business Unit Wienerberger Building Solutions a enregistré un chiffre d'affaires de 2,7 milliards d'euros (+17% par rapport aux 2,3 milliards d'euros de 2021), ainsi qu'un EBITDA opérationnel de 655 millions d'euros (+37%). Au cours de la période considérée, la Business Unit Amérique du Nord a également enregistré de fortes hausses de ses revenus externes (en hausse de 89 % à 945 millions d'euros), tandis que l'EBITDA opérationnel est passé de 94 millions d'euros en 2021 à 226 millions d'euros. Wienerberger Piping Solutions a également enregistré un excellent résultat avec des revenus en hausse de 15 % à 1,4 milliard d'euros et un EBITDA en hausse de 14 % à 141 millions d'euros.

Dans le cadre de sa stratégie de développement durable, en plus de l'objectif à long terme d'être climatiquement neutre d'ici 2050, Wienerberger réduira les émissions de CO2 de 15 % d'ici la fin de cette année par rapport à 2020.

Dans ses perspectives pour 2023, Wienerberger s'attend à ce que les conditions du marché mondial restent instables. Les marchés européens et nord-américains seront nettement plus faibles en 2023 que les années précédentes, notamment dans le neuf (-15/-20%) et dans les infrastructures (-5%). Le marché de la rénovation, de l'entretien et de la réparation, qui représente 29 % des revenus, demeurera relativement stable. Le groupe entend poursuivre sa trajectoire de croissance en s'appuyant sur son portefeuille de solutions durables et innovantes.

Source CeramicWorldWeb

31/05/2023

5 conseils pour choisir un matériau de construction bas carbone

Limiter l’impact environnemental du matériau tout au long de son cycle de vie participe à la construction de logements responsables. Au-delà de sa performance thermique, la brique bio’bric est fabriquée à partir d’une matière première géosourcée, l’argile. Le processus de production tend à utiliser 90 % d’énergie décarbonée d’ici 2027.

TIP #1 : Choisir un matériau qui n’épuise pas les ressources de la planète

La brique terre cuite bio’bric est composée d’argile française, matière première d’origine 100 % minérale. Il se dépose 2 fois plus de sédiments argileux en France que ce que la filière terre cuite n’en utilise*. L’argile est donc une matière géosourcée renouvelable.

TIP #2 : Opter pour un matériau de structure 100 % français

Extraite dans un rayon moyen de 5 km autour de nos 7 sites de production en France, l’argile est cuite pour conférer à la brique en terre cuite bio’bric ses propriétés naturellement isolantes. La présence de sites de production sur tout le territoire national permet aussi de limiter les émissions de CO2 liées au transport.

TIP #3 : Offrir une solution constructive à faible empreinte carbone

C’est sur la phase de production que bio’bric se distingue par l’utilisation massive d’énergie décarbonée pour réduire les émissions de CO2 de ses solutions : 45 % aujourd’hui et 90 % à horizon 2027. Des investissements sont également faits pour compenser 100 % des besoins électriques des sites par de l’électricité verte (panneaux photovoltaïques sur les toitures ou sur d’anciens gisements d’argile). Ces investissements permettent aux solutions bio’bric de présenter des FDES très performantes, et qui vont continuer à s’améliorer.

TIP #4 : Sélectionner un matériau performant pour l’enveloppe du bâtiment

Les fortes inertie et performance thermique des solutions mur bio’bric permettent de réduire considérablement les besoins en chauffage et en climatisation. Cela entraîne une économie d’énergie significative et une diminution des émissions de gaz à effet de serre.

Plus la résistance thermique des briques est élevée, moins il y a de déperditions d’énergie. La gamme de briques bio’bric est au moins 4 fois plus isolante qu’une maçonnerie traditionnelle non isolante. La résistance thermique des briques varie de 0,75 à 1,50 m².K/W selon les modèles.

TIP #5 : Choisir un matériau sain pour assurer la pérennité de l’ouvrage

La terre cuite est un matériau inerte. Les moisissures ne peuvent pas s’y développer, et le matériau ainsi que ses performances ne se dégradent pas au fil du temps. Classée A+ pour la qualité de l’air intérieur, la brique ne libère pas de COV (Composés organiques volatils) nocifs pour la santé.

La brique assure une pérennité de l’ouvrage sans porter atteinte à la santé des habitants.

Le choix de matériaux vertueux, performants thermiquement et 100 % français, ayant un faible impact carbone, permet aux acteurs du bâtiment de penser le système constructif dans une démarche durable et de lutte contre le réchauffement climatique. Bouyer Leroux, avec ses solutions constructives bio‘bric, s’engage pour un habitat sain, durable et économe en énergie, jusqu’à la fin de vie du bâtiment.

* Etude MinesParisTech et CTMNC

Source Batirama

30/05/2023

Wienerberger fait évoluer son Eco-brick

Le leader mondial de la terre cuite enrichit sa gamme de briques de parement Terca Eco-brick. Avec de nouveaux coloris et effets matières, elle comprend désormais plus de 250 références.

La brique de parement écoresponsable Eco-brick est fabriquée avec 30 % de matière et d’énergie en moins qu’une brique de parement traditionnelle. Moins épaisse de 3,5 cm, elle autorise une plus grande épaisseur d’isolation pour la même emprise au sol. Et sa légèreté permet d’optimiser le volume de transport et de diminuer les émissions de CO² du trajet.

Nouveaux coloris et matières

Wienerberger décline désormais l’Eco-brick dans de nouveaux coloris, du blanc au gris en passant par l’anthracite, le noir, le rouge nuancé et le beige. La nouvelle collection Amfora affiche des teintes de beige et de blanc, tandis que la collection Archipolis est complétée avec une palette de couleurs chaudes et claires pour des façades épurées.

Les apparences et textures évoluent aussi avec des compléments de gamme tant pour les briques moulées main et aspect vieilli que pour les briques lisses. L’objectif est de répondre à l’ensemble des styles régionaux : les briques lisses et moulées main sont plébiscitées en Ile-de-France, les briques rustiques dans le Nord de la France. L’ensemble de la gamme Eco-Brick bénéficie d’une FDES.

Source Le Moniteur par Maya Pic

29/05/2023

Closoir SIROKO+, « LA » solution ventilation pour toitures

Pour garantir une toiture bien ventilée qui assure la pérennité et le confort thermique des bâtiments, découvrez le closoir souple de faîtage SIROKO+ conçu par EDILIANS. Facile à poser, ultrarésistant, durable et surtout très performant, il vous fait gagner du temps et vous garantit une vraie tranquillité d’esprit !

En neuf comme en rénovation, le closoir nouvelle génération Siroko+, conçu par EDILIANS, assure une ventilation et une étanchéité parfaites du faîtage et de l’arêtier, sur chacun de vos chantiers !

Ce closoir universel bi-composants offre une résistance et une adhérence accrues en toiture. Son maillage de fibres en polypropylène assure une grande capacité de ventilation (de 150 à 200 cm2/ml). Compact et léger, il est pratique à transporter et simple à mettre en œuvre.  

Sa large bande de butyle de qualité coulée dans l’onde assure une adhérence optimale quel que soit le support. Quant à sa bande centrale renforcée, elle permet une meilleure tenue sur le support et vous facilite sa mise en œuvre ainsi que sa fixation. Vraiment innovant !

Quels sont les plus du nouveau closoir souple Siroko+ ?

Un produit hautement résistant, quels que soient les aléas du climat, grâce à une fixation mécanique par couture de la bavette sur le corps en polypropylène traité anti-U.V.

Une bavette aluminium plissé avec 40% de marouflage.

Un grand choix de largeurs de bavettes et de coloris disponibles, pour s’adapter à tous les galbes et teintes de tuiles.

Il est disponible en rouleau unitaire de 5 ml (carton de 20 ml / Palbox de 480 ou 360 ml) ou en rouleau de 30ml dans un carton dévidoir.

Source : batirama.com

28/05/2023

Fours et séchoirs électriques respectueux de l'environnement

Le département R&D de Capaccioli a développé de nouvelles solutions de séchage et de cuisson électriques qui respectent l'environnement et réduisent la consommation.

Les objectifs fixés par la loi européenne sur le climat, dit Green Deal européen, imposent à tous les secteurs économiques et industriels de relever le défi de la décarbonation d'ici 2050. En tant qu'acteurs clés de la transition écologique, les entreprises sont appelées à apporter leur propre contribution à parvenir à la neutralité climatique. L'innovation technologique sera un facteur majeur dans la poursuite de cette feuille de route pour l'avenir.

Capaccioli a depuis longtemps introduit des concepts clés tels que l'économie circulaire et les économies d'énergie et a travaillé dur pour innover, comme en témoignent les derniers projets technologiques achevés et ceux en cours de développement. L'entreprise toscane s'est récemment concentrée sur la conception, le développement, la mise à l'échelle industrielle et la mise en service de systèmes de production capables de réduire la consommation de matière, d'opérer un cycle de production en boucle fermée et en même temps de réduire les émissions de CO2 en éliminant la phase de combustion de la production. processus.

Le dernier projet entrepris pour Wienerberger a consisté à installer un séchoir sans combustion fonctionnant entièrement à l'électricité sur le site belge du groupe autrichien. Cette solution consiste en un séchoir à briques à chambres chauffé par des générateurs de chaleur électriques et l'énergie récupérée du four. L'électricité utilisée provient de sources alternatives et est certifiée neutre en carbone.

Un générateur électrique avec des éléments chauffants gainés est utilisé pour chauffer l'air de traitement. Lorsque l'air de process passe à travers ces éléments chauffants à une température de 300°C, il est chauffé à environ 140°C puis introduit dans la chambre de séchage.

En plus de réduire le CO2, ce système a totalement éliminé les NOx (oxydes d'azote) qui sont normalement présents dans les fumées produites par les générateurs d'air à gaz.

Un autre grand projet consistait à construire des fours de préchauffage pour Trenitalia. Ces machines sont essentielles pour les processus de travail et de transformation des métaux et fonctionnent également avec des éléments chauffants électriques qui permettent une réduction significative des émissions de CO2 dans l'atmosphère tout en réduisant le processus d'oxydation des matériaux.

Ces fonctionnalités innovantes développées pour des produits et des projets spécifiques seront également adoptées sur d'autres solutions de la gamme Capaccioli.

Source Ceramic World Web

27/05/2023

La brique en terre crue, une alternative durable et écologique au béton pour construire une maison

Dites adieu au béton traditionnel, polluant ! Place à la terre crue qui se fait de plus en plus présente dans les constructions actuelles.



La brique de Guyane est un produit fabriqué entièrement en Guyane avec des matériaux locaux. La brique de Guyane est un produit fabriqué entièrement en Guyane avec des matériaux locaux. Crédit photo : La brique de Guyane

Depuis de nombreuses années, la notion de « construction » nous fait automatiquement penser au « béton ». Une pensée assez logique puisque le béton est un formidable matériau qui permet de construire de nombreuses infrastructures telles que des maisons, des ponts, etc. Seulement, le béton, matériau le plus destructeur du monde, a un énorme défaut qui nous dérange de plus en plus aujourd’hui. Notamment lorsque l’on cherche à réduire notre empreinte carbone. S’il est un remarquable matériau, il est aussi l’un des plus polluants à produire. Certains se tournent alors vers le bois ou la paille pour construire des « murs écologiques ». Il existe une autre matière naturelle, encore peu utilisée, et pourtant très pratique pour ces travaux : la terre crue. On vous explique tout sur cette remarquable matière à utiliser en remplacement du béton traditionnel.

La terre crue, qu’est-ce que c’est ?

Vous connaissez la terre cuite, celle qui forme les poteries ou les ollas ? Eh bien, la terre crue, c’est la même matière, mais séchée à l’air libre. En réalité, crue ou cuite, cette matière formidable est l’argile bien sûr ! La terre crue, également appelée argile brute ou terre brute, est une argile non cuite qui conserve sa composition d’origine. Par ailleurs, elle est généralement humidifiée pour devenir malléable, puis façonnée grâce à différentes techniques telles que le modelage à la main ou l’utilisation d’un tour de potier. La terre crue est ensuite séchée à l’air libre ou à l’aide d’un processus contrôlé pour éliminer l’excès d’humidité. Elle peut être utilisée pour créer des objets comme des poteries, des briques crues ou des murs en pisé. La terre crue est utilisée depuis des siècles, en témoigne la ville de Shibam au Yémen, datant du 16ᵉ siècle et construite intégralement avec cette matière naturelle. En France, il est possible de trouver des maisons en terre crue, dans la magnifique ville médiévale de Provins, en Seine-et-Marne, un joyau à découvrir absolument.

Quelles sont les différentes techniques de construction en terre crue ?

Il existe trois techniques distinctes pour construire avec de la terre crue : la bauge, le pisé et la terre coulée. La bauge consiste à empiler des blocs de terre crue mélangée avec des fibres végétales pour construire un mur porteur. Le pisé utilise un mélange d’argile et de petits graviers pour remplir des coffrages, puis l’ensemble est compacté pour élever des murs. La terre coulée est une technique semblable à celle du béton, où un mélange plus humide de terre et de graviers est utilisé. Il est également possible de fabriquer des briques de terre crue de petite taille. Appelées « briques de terre comprimée » ou « adobe », on utilise la technique de terre coulée pour façonner ces briques. Après être passées à travers un moule à briques en bois ou moulées à la main, ces dernières devront être bien séchées avant d’être utilisées.

Quelles sont les techniques de remplissage ?

Les méthodes d’utilisation de la terre crue présentées ne sont pas destinées aux structures porteuses. Par conséquent, elles nécessitent un support porteur en bois. Le torchis est un mélange de terre argileuse et de fibres végétales utilisé pour remplir les espaces entre la structure porteuse. Il est appliqué sur les murs, les cloisons, les planchers et les voûtes. Ce torchis peut aussi être utilisé pour servir de « ciment » entre les briques de terre crue. Utilisée comme matériau d’isolation thermique et phonique, la terre allégée est composée de terre liquide mélangée à des fibres en grande quantité. Elle est appliquée en coffrage ou projetée sur un support, puis recouverte d’un enduit intérieur et extérieur. Les enduits de terre, largement utilisés aujourd’hui, sont des finitions à base d’argile fine mélangée à des fibres et du sable. Ils sont appliqués à la truelle, à la lisseuse ou par projection, avec l’ajout de chaux à l’extérieur pour renforcer la durabilité. Des adjuvants naturels peuvent être ajoutés pour améliorer la résistance de l’enduit aux frottements et à l’abrasion.

Quels sont les avantages de la terre crue ?

La terre crue présente plusieurs bénéfices. Tout d’abord, elle est abondante et largement disponible sur la planète. Ce qui permet de l’utiliser localement et de réduire les coûts. De plus, la terre crue est un matériau 100 % recyclable, faisant d’elle une option bien écologique. En cas de démolition, les murs en terre peuvent être répartis sur le terrain ou réutilisés pour la construction de nouveaux murs, contribuant ainsi à une démarche d’écoconstruction.

Quels sont les inconvénients de la terre crue ?

L’utilisation de la terre crue présente cependant trois inconvénients. Tout d’abord, elle est sensible à l’eau. Ce qui peut altérer ses propriétés mécaniques. Par conséquent, il est nécessaire de prévoir des mesures de protection contre l’eau, comme un soubassement résistant ou des revêtements hydrofuges. Dans un second temps, bien que la terre crue se manipule facilement, elle nécessite une main-d’œuvre importante, constituant un obstacle dans certains cas. Enfin, le séchage de la terre crue peut prendre du temps, allant de plusieurs semaines à plusieurs mois, en fonction des conditions météorologiques. Il est recommandé de planifier les travaux de terre crue en été pour favoriser un séchage plus rapide et de bien anticiper le calendrier d’un chantier avec utilisation de cette matière.

Source Néozone

26/05/2023

Mobilisation générale chez Wienerberger

Pour la 6ème année consécutive, le leader mondial de la terre cuite pour le BTP a profité de la Journée mondiale de la santé et sécurité au travail, du 28 avril dernier, pour mobiliser 700 salariés sur les enjeux en matière de SST. Une priorité absolue pour le groupe.

Chez Wienerberger France, la politique menée pour réduire les risques liés à l'activité et à l'équipement de travail, s’articule autour de trois piliers majeurs : la réduction des risques techniques, l'organisation et l'humain, grâce à la sensibilisation et à l’accompagnement permanent des collaborateurs.

Dans ce contexte, la journée mondiale de la sécurité et de la santé correspond donc chaque année à un moment fort permettant, sur une même journée, de sensibiliser le plus grand nombre de collaborateurs, présents au siège social à Achenheim (Bas-Rhin) et sur les différents sites industriels ancrés dans le territoire français. Temps fort de la journée : la prise de parole, en direct et diffusée en instantanée sur chaque site, de différents intervenants pour sensibiliser les collaborateurs à la culture sécurité et mettre en avant les bonnes pratiques déjà développées dans l’entreprise. Comme le confirme Frédéric Didier, directeur général Wienerberger France (notre photo) : « Chaque année, la journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail est pour nous une occasion unique de rappeler notre engagement permanent en faveur de nos collaborateurs. Elle permet de mettre l’accent sur l’ensemble des actions concrètes que nous mettons en place pour la prévention des accidents du travail et maladies professionnelles en entreprise. Convaincu que notre santé est notre bien le plus précieux, je suis fier d’avoir engagé l’entreprise dans une vaste démarche d’actions concrètes allant de la présence d’animateur santé et sécurité sur chacun des sites, l’organisation régulière d’ateliers de sensibilisation sur l’importance du comportement dans la prévention des risques ou depuis le début d’année, le partenariat avec le paratriathlète alsacien, triple champion du monde, Jules Ribstein. »

Animée par les animateurs santé et sécurité de chaque site, le programme de la journée a combiné les interventions de différents spécialistes et des ateliers axés sur la prévention et les aspects santé et sécurité au travail et le témoignage de Jules Ribstein, paratriathlète alsacien, triple champion du monde et en route vers les Jeux de Paris 2024, dont Wienerberger est le parrain, dans le cadre d’une convention de mécénat signée avec la Fondation du sport Français.

Source PIC

25/05/2023

𝗕𝗘𝗥𝗔𝗟𝗠𝗔𝗥 𝗔𝗨𝗧𝗢𝗠𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡

En 2009, Beralmar a franchi une étape décisive en créant un nouveau département axé sur l'automatisation et la robotique, élargissant encore son portefeuille de produits. Aujourd'hui, Beralmar est devenu un fournisseur complet capable d'offrir des solutions complètes pour tous les besoins liés aux processus de séchage, cuisson et automatisation.

Grâce à cet investissement important, Beralmar a eu le privilège de fournir avec succès plus d'une dizaine de projets complets dans le monde. De plus, Beralmar a  réalisé de nombreuses optimisations et modernisations dans les installations existantes, en maintenant toujours la qualité et le prestige associés à la marque Beralmar.

La concentration sur l'automatisation et la robotique a permis à Beralmar de fournir des solutions innovantes et efficaces à ses clients. Grâce à des systèmes de contrôle avancés et à la mise en œuvre stratégique de robots industriels, Beralmar optimise les processus de production, améliore la productivité et assure des normes de qualité élevées.

Si vous recherchez des solutions complètes et efficaces pour vos processus de séchage, de cuisson et d'automatisation, n'hésitez pas à  contacter Beralmar à sales@beralmar.com 

Source Linkedin

24/05/2023

Près d’Angers, le succès fulgurant de la société Néolithe, qui fabrique des pierres avec des déchets

Après seulement quatre ans d’existence, l’entreprise Néolithe, installée à Chalonnes-sur-Loire, près d’Angers (Maine-et-Loire) ne cesse de grandir. Son créneau ? Le traitement des déchets, ménagers ou industriels, pour en faire des granulats. Retour sur un succès phénoménal et… Récompensé.

Les trois fondateurs de l’entreprise Néolithe : William et Nicolas Cruaud et Clément Bénassy, à droite, avec, en mains, un granulat d’Anthropocite.

Des routes ou des bâtiments, construits avec des déchets non recyclables, genre ordures ménagères ou déchets industriels banals (non inertes et non dangereux). Rêve de doux dingue ? Pour William Cruaud, son fils, Nicolas et Clément Benassy, c’est une réalité. Aussi concrète que du bitume. Les fondateurs viennent d’obtenir le premier prix des Global industry awards, grand rendez-vous européen dédié à l’industrie.

Le trio, à la tête de la toute jeune société Néolithe, créée en 2019 et installée à Chalonnes-sur-Loire, près d’Angers (Maine-et-Loire), fait son business, en développant un procédé « révolutionnaire » et breveté : la fossilisation accélérée.

Levée de fonds de 20 millions

Cette dernière aboutit à la création de granulats – pour la construction et des infrastructures routières -, à partir des déchets non recyclables. Une troisième voie, en somme, avec l’incinération et l’enfouissement. Une voie verte, en l’occurrence. « Elle permet de réutiliser les déchets sans créer la pollution que génèrent les incinérateurs et les sites d’enfouissement », explique Nicolas Cruaud, le cofondateur et président de l’entreprise.

En à peine quatre ans d’existence, la société angevine a connu une ascension fulgurante. Une récente levée de fonds, à hauteur de 20 millions d’euros, servira à nouveau bâtiment à Beaulieu-sur-Layon, toujours près d’Angers d’ici la fin de l’année 2023 et permettra à Néolithe de produire les fameux fossilisateurs. À la clé : 300 emplois.

Source Ouest-France  par  Jean-Philippe Nicoleau

23/05/2023

Edilians pare de tuiles Diamant Huguenot l’îlot B107 de la ZAC Bastide Niel à Bordeaux

Aujourd’hui, cap sur Bordeaux (33) pour découvrir le chantier exceptionnel de l’îlot B107 de la ZAC Bastide Niel.

C’est dans le cadre d’un projet de développement de logements regroupant plusieurs programmes autonomes que l’îlot B107 a vu le jour après plus de 3 ans de travaux !

Pour ce projet audacieux, les clients ont sélectionné des matériaux modernes et novateurs de la gamme Edilians comme la tuile Diamant Huguenot en coloris « Argentique »,les écrans de sous-toiture, sans oublier la Tuile Solaire MAX.

Vous souhaitez en savoir plus sur la Tuile Solaire en intégration ? RDV ic

Un grand BRAVO à BMA - Bordeaux Métropole Aménagement pour ce beau chantier ainsi qu’à BPM Architectes et ENTREP PYRENEE CHARPENTE COUVERTURE !

Merci à Sabine Celmer pour le partage et à Rémi Portier pour ces jolies photos !

Source LinkedIn

22/05/2023

Saône-et-Loire : le fabricant de tuiles Terreal recrute à Chagny

Les carnets de commandes des deux usines bourguignonnes de Terreal ne désemplissent pas. Pour pouvoir tenir le rythme, le fabricant de tuiles est à la recherche de quinze nouveaux employés à Chagny, en Saône-et-Loire.

Le fabricant de tuiles Terreal compte deux usines à Chagny, en Saône-et-Loire.

Porté par une vague importante de réfection des toits depuis environ deux ans, le fabricant de tuiles Terreal va embaucher quinze nouvelles recrues dans ses deux usines situées à Chagny, en Saône-et-Loire. Ces dernières emploient aujourd'hui 210 personnes, dont 25 intérimaires. « Nous avons une forte demande qui s'est amplifiée l'an passé, après les épisodes de grêle qui ont ravagé certains toits. Nos usines tournent en 24/24 et 7/7 mais nous ne parvenons pas à répondre complètement à la demande et le manque d'effectif nous pénalise », explique Sylvain Gazal, le directeur des usines de Terreal à Chagny. Terreal recherche des profils techniques en maintenance, en dépannage, en production ainsi que des techniciens supérieurs.

En parallèle, l'entreprise a lancé, en fin d'année dernière, des formations en interne : une première pour les usines de Chagny. « On forme des personnes qui ont pour la plupart fait carrière dans l'industrie et qui viennent parfois d'autres secteurs comme la logistique ou l'artisanat », explique Sylvain Gazal.

Source Les Echos par Lucile Meunier

21/05/2023

Étanchéité à l’air de l’enveloppe du bâtiment : EDILIANS devient distributeur officiel de la gamme DuPont sur le marché français

Créateur de solutions toiture innovantes, EDILIANS s’attache depuis toujours à proposer des produits performants afin de protéger durablement l’habitat. En témoignent sa large gamme d’isolation et d’étanchéité à l’air et son offre solaire complète. Aujourd’hui, l’acteur reconnu sur le marché de la couverture illustre une nouvelle fois cet engagement en devenant le distributeur officiel des membranes respirantes DuPont™ Tyvek®.

DuPont™ Tyvek®, une technologie unique...

Inventé et fabriqué par DuPont, DuPont™ Tyvek® est un matériau non tissé qui s’est imposé depuis près de 60 ans dans de nombreux secteurs industriels aussi divers que les vêtements de protection et le bâtiment.

Résultat d’une technologie de production exclusive, il est constitué de millions de microfibres de polyéthylène haute densité (HDPE), thermoliées entre elles de manière aléatoire et omnidirectionnelle par le procédé de filage éclair. C’est ce dernier qui lui permet d’offrir une couche fonctionnelle unique aux propriétés exceptionnelles.

...au service de performances inégalées

La performance reconnue du matériau DuPont™ Tyvek® réside dans sa conception et dans ses qualités intrinsèques qui lui confèrent une longévité et une durabilité inaltérables dans le temps parmi lesquelles :

  • ses propriétés d’étanchéité à l’eau grâce à sa structure respirante toujours perméable à la vapeur d’eau et à son excellente imperméabilité. Barrière efficace contre les infiltrations d’eau (pluie, neige), les écrans de sous-toiture DuPont™ Tyvek® évitent la formation de condensation et empêchent l’humidité de pénétrer dans l’isolant sous le toit, y compris dans des conditions climatiques extrêmes,
  • sa robustesse à toute épreuve. Au-delà de sa haute résistance mécanique (perforation, déchirure, abrasion), DuPont™ Tyvek® bénéficie d’une excellente résistance aux UV et à la chaleur (jusqu’à des températures de 100°C), principaux facteurs affectant l’efficacité des écrans de sous-toiture,
  • sa grande légèreté et flexibilité qui facilitent non seulement son transport sur les chantiers mais garantissent aussi une rapidité de mise en œuvre.

Autant d’atouts qui en font un écran de sous-toiture révolutionnaire et amène aujourd’hui EDILIANS à se voir confier la distribution des membranes DuPont™ Tyvek® en France.

Une offre EDILIANS encore plus complète pour une protection toujours plus durable

En devenant distributeur des produits techniques DuPont™ Tyvek® alliant qualité et durabilité, EDILIANS étoffe ainsi sa gamme étanchéité à l’air avec :

3 écrans de sous-toiture respirants HPV (Hautement Perméable à la Vapeur d’eau) qui permettent une régulation optimale de l’humidité et minimisent ainsi le risque de condensation. Parmi eux, citons le Tyvek® Toiture 90 qui se compose d’une membrane fonctionnelle en polyéthylène Haute Densité renforcée par une couche de polypropylène. Avec ou sans bande adhésive intégrée pour une étanchéité au vent garantie, Il se pose directement tendu sur les chevrons avec un entraxe maximum de 90 cm, sur l’isolation ou un platelage. Bénéficiant de la marque de certification QB du CSTB (classé E1-Sd1-Tr3), il dispose d’une grande résistance mécanique à la traction ainsi qu’à la déchirure au clou.

4 pare-pluie HPV parmi lesquels le Tyvek® FireCurb avec retardateur de flammes (réaction au feu B-s1, d0). Auto-extinguible, il associe une couche en PEHD à un revêtement ignifuge. Intégrant toutes les caractéristiques bien connues du Tyvek® (imperméable au vent et à l’eau, souple, durable...), il se distingue par son poids très léger (65g/m2) qui facilite grandement sa pose en façade,

5 pare-vapeur dont l’Airguard A2 FR, système complet composé d’un stratifié en filet de fibre de verre avec feuille d’aluminium laquée et d’une bande adhésive. Ignifuge, l’ensemble est classé au feu A2-s1-d0 autorisant ainsi son installation dans tous types de bâtiments. Outre des performances exceptionnelles d’étanchéité à l’air et de participer à l’amélioration de l’isolation thermique, il offre une haute résistance à la vapeur d’eau en limitant la condensation interstitielle, ce qui le rend particulièrement adapté pour des applications où il y a un taux élevé d’humidité (piscines...).

Tous possèdent une résistance aux intempéries de 4 mois, testée en conditions réelles par un laboratoire indépendant accrédité* qui atteste que les solutions DuPont™ Tyvek® restent fonctionnelles bien plus longtemps et ce, quelles que soient les conditions météorologiques. Raison pour laquelle elles bénéficient de niveaux de garantie bien supérieurs à la décennale (15 ou 25 ans selon les produits).

Un véritable gage de sérénité pour les partenaires couvreurs d’EDILIANS et de longévité pour leurs clients quant à l’étanchéité absolue à l’eau de la toiture et des murs de leur bâtiment !

* SP Technical Research Institute of Sweden

Source Batiweb

20/05/2023

Tuile Béton : le choix de la modernité et de l'esthétisme

La tuile Béton Monier a plus d'un atout pour vous séduire : 

  • Résistance aux intempéries (pluie, neige, poussière, vent, UV et sels marins) et notamment au gel, avec une porosité inférieure à 5.
  • Résistance de la tenue des couleurs dans le temps.
  • Résistance accrue au développement des mousses et lichens.
  • Fabrication en France au sein de nos 3 sites de production (Aiguillon, Saint-Nabord, Verberie).
  • 90 % de la résistance du béton est atteinte au bout de 28 jours. La résistance des tuiles Béton augmente avec le temps offrant ainsi l’avantage d’une couverture solide et durable !

Matériaux (détail) :

  • 75 % de sable, d’eau et de pigments minéraux.

19/05/2023

Les tuiles vernissées de Loire-sur-Rhône

Nous saurons ce jour là l’origine et la symbolique de la tuile vernissée grâce aux commentaires éclairés de David Litaudon. Nous en verrons dans le village de Loire-sur-Rhône plusieurs exemples de ces toitures de maisons superbement décorées.

Nous visiterons, soit seulement les abords de la tuilerie Blache spécialisée dans ce type de construction-décoration depuis le XVIIIe siècle et qui restaure actuellement de nombreux monuments historiques, tels que les hospices de Beaune, les abbayes de Brou, la Bénisson-Dieu, etc... Soit, peut-être aussi, si le chef de l’entreprise et son travail le permettent, voir aussi les compagnons à l’œuvre !. Rendez-vous place Aristide-Briand à Terrenoire (Saint-Etienne) à 14 h, co-voiturage possible. Ou 15 h devant les Tuileries de la Blache.

QUAND, OÙ ?

le 08/06/2023 à 14h00, à 15h00

Tuileries de la Blache, 45 Chemin de la Planche, Loire-sur-Rhône

ORGANISATEUR

Groupe Archéologique Forez-Jarez

04.77.47.23.14

TARIFS

Plein tarif : 3.00 €

Source Le Progrès

18/05/2023

Réforme des retraites : Grève nationale mardi 06 juin 2023

Toujours unis, nombreux et déterminés pour le retrait et pour le progrès social

2,3 millions de jeunes, de salarié.es et de retraité.e.s ont défilé partout en France, faisant de ce 1er mai 2023 un des plus importants de notre histoire sociale. Une centaine de syndicalistes des 5 continents ont rejoint notre manifestation parisienne en soutien à la mobilisation française. 

Cette 13e journée unitaire contre la réforme des retraites démontre la détermination des travailleurs et travailleuses à faire échec à cette réforme des retraites. Depuis plus de 3 mois, des records sont battus tant par le nombre de manifestant.e.s que par le nombre de grévistes dans le public comme dans le privé.

Malgré cela l’exécutif a enchaîné les passages en force : refus de recevoir les syndicats, utilisation du 49-3, promulgation immédiate malgré la censure partielle du conseil constitutionnel… La décision du Président de la République de maintenir sa réforme malgré l’opposition quasi unanime de la population crée une défiance profonde. L’intersyndicale dénonce, une nouvelle fois, solennellement, ces décisions autoritaires qui ajoutent à la crise sociale une crise démocratique. L’intersyndicale a toujours refusé de céder à ces provocations et s’est attachée à maintenir une mobilisation pacifique, festive et populaire malgré des incidents parfois graves que nous déplorons.

Dans l’attente de la décision sur le RIP, l’intersyndicale se félicite de la proposition de loi d’abrogation de la réforme des retraites qui sera à l’ordre du jour le 8 juin prochain à l’Assemblée nationale. Cette proposition de loi permettra pour la première fois à la représentation nationale de se prononcer par un vote sur la réforme des retraites.

Nous appelons unitairement nos organisations à aller rencontrer les députés partout pour les appeler à voter cette proposition de loi. Dans ce cadre, l’intersyndicale appelle à multiplier les initiatives avec notamment une nouvelle journée d’action commune, de grèves et de manifestions le 6 juin prochain permettant à l’ensemble des salariés de se faire entendre des parlementaires.

Depuis 6 mois, les organisations syndicales de salariés font de nombreuses propositions, notamment en matière de financement, pour renforcer notre système de retraite par répartition et le rendre plus juste.

Le gouvernement a annoncé l’ouverture d’un cycle de concertations sans que l’objet ni le cadre ne soient précisément fixés. Les organisations syndicales de salarié.e.s rappelleront leur refus de la réforme des retraites.

Elles travailleront à des propositions intersyndicales communes mettant à contribution les employeurs, pour que les préoccupations des salarié.e.s soient enfin prises en compte, en matière de salaires, de conditions de travail, de santé au travail, de démocratie sociale, d’égalité F/H et d’environnement notamment. La défiance est profonde et le dialogue ne pourra être rétabli que si le gouvernement prouve sa volonté de prendre enfin en compte les propositions des organisations syndicales.

Source SNUIPP

17/05/2023

Participation de Terreal à une Fresque du Climat

Récemment, les membres du Comité de Direction du Groupe Terreal ont participé à une Fresque du Climat 

L'objectif ? Comprendre les défis des enjeux liés aux dérèglements climatiques.

Fondé sur les travaux scientifiques du Groupement d’experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (#GIEC), l’atelier ludique et collaboratif a permis aux participants de :

✔️ mieux appréhender les causes et les conséquences en cascade de la crise climatique

✔️ saisir toute la complexité du sujet

✔️ échanger sur les actions possibles aussi bien au niveau du Groupe qu’à une échelle individuelle

Source Terreal

16/05/2023

Wienerberger: De nouveaux coloris pour le format Eco-Brick

Wienerberger poursuit sa stratégie de décarbonation de ses solutions de façade en faisant évoluer sa gamme de briques éco responsables Terca Eco-brick® Enrichie de nouveaux coloris et effets matières, la gamme se compose aujourd'hui de plus de 250 références pour répondre aux différentes attentes esthétiques et écologiques.

Logements Collectifs à Ixelles, Belgique Collection Agora gris argenté

Une nouvelle collection fait également son apparition dans la gamme Eco Brick® : Amfora avec un nuancier qui arbore principalement des teintes caractéristiques de beige et de blanc incarnant une sensibilité sobre et chaleureuse. Enfin, Archipolis complète sa gamme avec une palette de couleurs chaudes et claires pour des façades épurées.

Wienerberger s’engage dans une trajectoire de transformation et d’évolution de son offre, pour transformer, à terme, les formats traditionnels en format Eco-brick ® Des chantiers des Jeux Olympiques 2024 ont déjà fait confiance à Eco-brick® pour ses constructions. 

L’ensemble de la gamme Eco-brick® Terca bénéficie d’une FDES permettant de justifier un projet en RE 2020. Conçue avec -30% de matière comparée à une brique de parement traditionnelle, sa fabrication n’émet que 37,1 kg de CO2 eq/UF.

Source Wienerberger

15/05/2023

Allemagne: la tuilerie Jacobi arrête son four pour le transformer énergétiquement

Dans le four vide et froid : la technologie d'économie d'énergie est installée chez Jacobi Tonwerke GmbH à Bilshausen.

Éteindre un grand four qui cuit chaque jour des dizaines de milliers de tuiles est une entreprise délicate. A Bilshausen, l'entreprise Jacobi-Tonwerke a décidé de le faire quand même.

Le four mesure 130 mètres de long et les tuiles sont normalement cuites ici 24 heures sur 24, sept jours sur sept. Mais maintenant, le tunnel est vide. Là où autrement 1000 degrés Celsius prévalent, vous pouvez vous promener et regarder des briques en argile réfractaire sans hésitation. Dans l'usine Jacobi Walther Dachziegel de Bilshausen, certains des fours sont en cours de conversion pour les rendre plus économes en énergie.

Source GöttingerTageBlatt par Christiane Boehm