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14/05/2019

Portugal: Les tuiles solaires photovoltaïques sont l'avenir de l'énergie solaire

Les panneaux solaires photovoltaïques en forme de tuile, souvent appelés bardeaux solaires, sont l’avenir.
Ce type de panneaux solaires est considéré comme une alternative esthétique aux panneaux solaires traditionnels car nous n’avons plus de structure montée sur le toit de la maison et nous avons une structure intégrée aux tuiles du toit.
Si vous n'aimez pas les panneaux solaires et que vous souhaitez bénéficier d'économies sur vos factures d'électricité, voici la solution que vous recherchez! Il existe déjà plusieurs types de panneaux solaires sur le marché des énergies renouvelables. Bardeaux solaires
Investir dans des panneaux solaires est considéré comme un investissement durable, générant des avantages pour l'environnement et permettant de réaliser des économies de facture énergétique. Mais il y a beaucoup de gens qui n'aiment pas voir les panneaux solaires installés sur les toits, et ne rendent donc pas cet investissement durable!
La solution est venue des fabricants de panneaux solaires qui ont rencontré ce point négatif. Ils ont donc créé les tuiles solaires, qui sont des panneaux solaires en forme de tuile! Ce type de panneau solaire est possible d'intégrer dans le toit existant, et assure le maintien de l'esthétique du logement!


Type de bardeaux solaires

Il existe 2 types de bardeaux solaires sur le marché des énergies renouvelables. Ce sont des modèles différents, avec des caractéristiques différentes, mais qui intègrent les deux sur le toit existant!

La première variante des tuiles solaires est un panneau solaire de la taille de 4 tuiles.
Ce panneau solaire est placé sous les bardeaux solaires existants. Ils correspondent à la forme des tuiles de toit de sorte qu'ils forment un ensemble lisse avec le reste du toit.
Il présente un inconvénient unique: en raison du chevauchement des panneaux supérieurs, il existe une petite bande de store dans laquelle la production d’énergie ne sera pas maximisée. En dehors de cela, ils sont une excellente alternative aux panneaux solaires traditionnels! Panneau solaire intégré dans la dalle solaire
L'autre variante est la tuile solaire avec le panneau solaire intégré.
C'est un type de panneau solaire plus compact, avec un format identique à celui des dalles traditionnelles de la maison. Avec ces bardeaux solaires avec panneau solaire intégré, vous pouvez à peine faire la différence dans le toit.
Ceux-ci s'intègrent facilement au toit, en particulier dans les nouvelles constructions. Les premiers bardeaux solaires sont sortis de la même couleur que les panneaux solaires, c'est-à-dire des teintes sombres. Par conséquent, ils ne "s'intègrent" idéalement que sur des toits sombres.
Mais il y a des projets et on a commencé à lancer des bardeaux solaires dans d'autres teintes (notamment la teinte brune traditionnelle des tuiles). Avantages de l'utilisation de bardeaux solaires
Le grand avantage de choisir un bardeau solaire est son aspect esthétique. Comme il "fusionne" avec les autres tuiles présentes sur le toit, pas d'effet inesthétique (surtout si le toit est de la couleur des tuiles).
Les bardeaux solaires étant plus petits et plus légers, il n’est pas nécessaire de modifier la construction du toit.
Ils peuvent être connectés directement à des onduleurs normaux, tels que des panneaux solaires.
Ils ont une durée de vie de 20 à 30 ans.
Inconvénients des bardeaux solaires
En raison de leur taille réduite, davantage de bardeaux solaires sont utilisés pour couvrir la même surface d’un panneau solaire. Ainsi, il est nécessaire de recourir à des matériaux plus contraignants.
Chaque tuile solaire a besoin de son connecteur à l’onduleur; ce qui rend l'investissement plus élevé.
Le coût d'achat d'une tuile solaire est presque le double de celui d'un panneau solaire. Étant donné que ce coût n’est dépassé que par le fait que si nous devons remplacer les tuiles sur le toit, nous pouvons le faire pour ce type de tuiles et disposer d’un toit respectueux de l’environnement.

Source PortalEnergia

Vienne Autriche: Une nouvelle brique isolante pourrait remplacer le polystyrène

Des chercheurs allemands et le leader mondial du marché basé à Vienne ont développé une nouvelle brique qui pourrait révolutionner l'isolation dans le secteur de la construction et remplacer la mousse de polystyrène à l'avenir. Le produit est déjà breveté.

Une nouvelle brique pourrait révolutionner l'isolation thermique dans le secteur de la construction et remplacer à l'avenir le polystyrène en tant que matériau isolant: le matériau de construction a été présenté aux côtés de nombreuses autres nouveautés au salon Innovation Day de Berlin. Cet événement a eu lieu pour la première fois pour la première fois avec un pays hôte, cette fois en Autriche.


Nouveau développement d'entreprises allemandes et autrichiennes

La dalle remplie de mousse minérale est représentative de la journée de l'innovation: elle a été développée par des entreprises allemandes et autrichiennes. Au total, 300 petites et moyennes entreprises et instituts de recherche allemands et autrichiens ont participé à l'événement et présenté 200 innovations. Ce qu'ils ont tous en commun, c'est qu'ils ont été financés par le Programme central d'innovation pour les PME (ZIM) du ministère allemand des Affaires économiques. Pour cette année, le volume de financement s’élève à un peu moins de 550 millions d’euros.

La mousse isolante alternative pour la brique innovante a été développée à l'Institut de recherche appliquée sur les bâtiments de Weimar (IAB). En collaboration avec deux sociétés d'ingénierie mécanique et le fabricant de briques autrichien Wienerberger, les recherches ont porté sur l'ingénierie des matériaux et des procédés. En attendant, le produit est breveté.

Brique en mousse minérale "très facile à recycler"


La nouvelle mousse minérale, qui est injectée dans les cavités de briques à l'aide d'une buse, présente, selon IAB, une meilleure isolation thermique que la laine minérale ou une perlite appelée mousse isolante déjà sur le marché. "C'est écologique, car il est très facile de recycler", a déclaré Barbara Leydolph, directrice de la recherche à l'IAB, à APA.


Source Industriemagazin

13/05/2019

Brique : du produit rustique au technologique

Si elle fait pratiquement jeu égal avec le béton et le parpaing en termes de volume, la brique s’est trouvée dans l’obligation d’améliorer sans cesse le produit, sa pose, sa production.
Produit millénaire, la brique a traverseé le dernier demi-siècle en s’imposant sur un marché de la construction très âpre, tant au plan technique qu’économique. Au cours de cette période, le béton, banché ou en parpaings, se sont fortement développés ; le bois s’impose progressivement à la faveur des mesures environnementales.
Industriels et prescripteurs ont sérieusement bataillé pour adapter la terre cuite aux ouvrages et maintenir leur savoir-faire. Fin des années 60, la brique la plus couramment exploitée est le module de 30 cm de long, 15 d’épaisseur et de 19 de haut. Face à elle, la brique pleine, parfois dite brique du Nord, utilisée depuis des siècles et posée dans les appareillages sophistiqués (à la française, en panneresses, en boutisses…) n’a plus cours. Trop de matière, trop de main d’oeuvre, trop de délai, trop cher…
En paroi simple ou double
Alvéolée, légère, la brique exploite les ressources locales, s’adapte à la rigueur des climats des différentes régions et se pose en paroi simple ou double. Et déjà, les fournisseurs proposent des versions plus performantes, de 20 cm d’épaisseur et de 25 cm de hauteur. Rythme de construction et demande de confort thermique obligent.
Avant même les premiers soubresauts causés par la crise pétrolière de 1973, des constructeurs de maisons individuelles ont aussi compris l’intérêt d’utiliser ces éléments de construction en couches plus isolantes : une paroi de brique porteuse de 25 cm d’épaisseur, une lame d’air ou un isolant (à l’époque, le choix de 5 cm de polystyrène soulignait un luxe effarant) et une contre-cloison intérieure. Avec l’application de la première réglementation thermique de 1974, ce principe s’est généralisé.
1970 à 1980 : Le monomur, l’innovation marquante
La brique monomur avant l’évènement de la RT 2012 connaît un développement fulgurant
L’industrie briquetière entame une évolution, première d’une longue série, avec l’ISO 40, un premier Monomur qui se déclinera avec différents formats.
Issue de l’inventivité des industriels de l’Est de la France, destinée à produire des murs de 40 cm d’épaisseur après enduit, ce premier « monomur » affichait une résistance thermique de près de 3 m² K/W. Surtout, ses fabricants tenaient des promesses qui allaient progressivement s’imposer au cours des décennies suivantes : isolation thermique et phonique, maîtrise de l’hygrométrie, inertie thermique, confort d’été… et rapidité de pose. Les bases sont posées.
Jusqu’au début des années 80, ce matériau de construction n’est distribué qu’en Alsace et Moselle. Et déjà, de nouvelles variantes sont déclinées. Exemple, le Biomur, un brique de gabarit identique et dont les alvéoles sont remplies de polystyrène, de laine de roche… Résistance thermique et isolation répartie n’en sont qu’améliorées.
Cet engouement invitait à la créativité. Au cours de ces années 70, des briquetiers développent notamment les premiers éléments de piliers à chainage vertical, chainon manquant pour produire des enveloppes de bâtiments collectifs entièrement en terre cuite et répondant aux règles de chaînage d’angle établies dans le DTU 20.1.
De cette époque, date aussi la mise au point de la brique toute hauteur d’étage, un module de 2,6 m ou 2,8 m de hauteur, de 20 cm d’e?paisseur et de 33 cm de largeur. À l’évidence, les industriels ciblent de collectif. Le produit est toujours dans les catalogues.
Fin des années 80 : l’industrie de la brique se structure
maçonnerie roulée : le collage remplacement le scellement des briques avec le traditionnel mortier
Au milieu des années 70, l’industrie de la brique est elle-même confrontée à la nécessité d’évolution. Et réalise des investissements dans ses outils de production.
Les usines généralement de petites tailles, d’envergure locale et dotées de fours de technologie ancienne (des fours Hoffmann à charbon, véritable re?volution dans cette industrie au 19e siècle, mais obsolète) commencent aussi à ressentir les effets d’un défaut de performance. Pour beaucoup, l’impératif de modernisation des tunnels de cuisson avec des équipements au gaz ou à l’électricité sera fatal. Au fil des ans, les petites briqueteries disparaissent, et seules les régions de l’est et du grand sud-ouest de la France ressortiront des années 80-90 avec des pôles industriels reconfigurées.
Les nouveaux fours mesurent jusqu’à 190 m de long, sont thermiquement isolés et consomment concrètement moins d’énergie. Sur ces nouvelles bases, l’industrie de la brique met une bonne dizaine d’années à se relever.
L’avènement de la maçonnerie par collage
Fin des années 80 et début des années 90, elle revient en force avec les innovations portées par le concept « monomur ». Qui peut le plus peut le moins : cette solution haut de gamme autorise d’ailleurs des déclinaisons mieux adaptées aux constructions à coûts plus bas avec l’emploi d’isolant par l’intèrieur.
En termes marketing, l’offre apparaît aussi plus complète. Après une longue maturation technique, le mate?riau figure comme l’élément d’un puzzle technique qui comprend de nombreux accessoires (planelles, chaînages, piliers monolithes de hauteur d’étage, coffres de volets…) et de composants.
Parmi ces derniers figure l’un des plus marquants : le scellement en lieu et place de la maçonnerie avec le traditionnel mortier. Cette évolution est cohérente avec l’atout d’isolation revendiqué par le matériau terre cuite. La maçonnerie par « collage » complète ce principe en réduisant les ponts thermiques. En outre, elle améliore la résistance mécanique de la liaison ; elle est pratiquement 5 à 6 fois supérieure à celle d’un mortier épais.
Expérimentations BBC en 2000
Surtout, la brique améliore la vie de chantier. Les blocs sont relativement légers – selon leur épaisseur, les briques de 50 cm pèsent de 12 à 18 kg –, leur dimension optimisée augmente les rendements de mise en oeuvre et sa pose se veut plus simple.
Ce nouveau matériau rencontre le succès aussi en raison du fait qu’il pallie le manque de personnel qualifié. Autant d’arguments qui ont été portés par les expe?rimentations BBC (bâtiment basse consommation) à partir du début des anne?es 2000, et qui se sont concrétisés à travers la RT 2012.
Un matériau à durée de vie longue qui défend sa position

Si l’industrie de la brique savoure ses efforts techniques, la partie ne semble cependant pas encore gagnée. En témoigne l’action que même depuis des mois la Fédération française des tuiles et briques (FFTB) pour faire entendre sa voix dans le débat sur la future réglementation thermique.
Dans cette bataille, l’association d’industriels e?labore ainsi une réflexion pour recadrer la de?marche d’amélioration de la réglementation future, « Energie positive, bas carbone » (E+C-). Cette dernière appliquée à la lettre aurait pour effet d’implanter massivement le bois en construction.
Dans son livre blanc intitulé « Construction de logement, pour un nouveau pacte social français », une partie est consacrée à démontrer qu’un « bâtiment durable est un bâtiment qui dure ». L’analyse du cycle de vie d’un bâtiment est vivement remise en cause : en particulier, la période d’évaluation « devrait être adaptée à chaque type d’ouvrage », et non être limitée à 50 ans.
Un livre blanc
Plus loin, le propos est insistant : « la durée de vie décrit une période durant laquelle [un bâtiment ou un composant] pourraient être utilisés, c’est-à-dire une durée pendant laquelle ils sont matériellement aptes à remplir une fonction. »
Ce livre blanc s’emploie à démontrer que les outils mis en place (déclaration de performances, fiche de déclaration environnementale et sanitaire) ne permettent pas d’indiquer la durée de vie estimée du produit, ni même une garantie de conservation des performances : ils servent « à calculer le nombre de remplacement du produit pendant la durée de vie de l’ouvrage où il est incorporé. »
Brique énergivore ?

Parmi les propositions figure la promotion de « l’obsolescence évitée », afin de contourner le risque d’obsolescence programmée encouru par l’usage de certains produits et accroitre ainsi la dure?e de vie des ba?timents. La critique vis-a?-vis de la brique porte aussi sur la consommation d’énergie pour la cuisson.
Les briquetiers ont compris, dès les années 2000, que ce sujet devenait stratégique. En 2007, une usine Imerys, à Mably (Loire), a reçu le biogaz de la décharge municipale pour alimenter ses fours ; depuis 2015, dans son usine de Chagny (Saône-et-Loire), Terreal couvre un tiers de ses besoins avec du biogaz. Cette solution devrait progressivement se développer sur de nombreux sites.
Plus largement, cette industrie revendique son ancrage local, sa capacité à s’intégrer dans une économie circulaire, les déchets pouvant être réutilisés sous différentes formes… La brique vient du fond des âges et veut jouer son rôle face aux défis posés par les bâtiments performants.
Les tendances Briques à suivre
Éléments monolithes
En compléments des briques, Terreal complète son catalogue d’une gamme complète d’éléments constructifs monolithes indispensables à la réalisation de construction dans le même matériau en terre cuite. L’offre comprend des linteaux, des coffres de volets roulants, des poteaux d’angle et des piliers, des planelles de rive, ainsi que des pièces esthétiques tels que des appuis de fenêtre ou des chaperons de murets.
Brique haute isolation
Evolution ultime du monomur, la brique Climamur de Wienerberger est un élément en épaisseur de 37,5 cm à deux alvéoles chargées en laine de roche. Sa résistance thermique atteint R = 5,35 m².K/W et le niveau de déperdition thermique des parois finies peut être abaissé à Up = 0,18 W(m².K). Son montage s’effectue avec un liant permettant de limiter le pont thermique ψ = 0,12 W/(m.K). Le système répond à la future réglementation thermique, RE 2020.
Isolante et étanche à l’air D’une épaisseur de 42,5 cm, les briques Mur'Max de Bio'Bric sont formées d’un sandwich : une brique alvéolée rectifiée à quatre chambres de part et d’autre, et un panneau de polystyrène de 12 cm au centre. L’ensemble se met en oeuvre par collage et forme une paroi d’une résistance thermique R = 7,15 m².K/W et répond à une exigence incendie REI 60. Leur montage assure l’étanchéité à l’air de l’enveloppe. Ce concept comprend aussi toutes les pièces accessoires : linteaux, poteaux, tableaux, demi-tableau…
Briques traditionnelles
Briqueteries du Nord propose une gamme complète de briques pleine, briques et blocs perforés. Disponibles aux gabarits classiques de 65 mm d’épaisseur, de 220 mm de longueur et en largeurs de 100, 105 ou 220 mm, elles sont déclinées dans de très nombreuses finitions pour répondre aux besoins de rénovation ou de construction neuve.
Source : batirama.com / Bernard Reinteau

Semplastics dévoile le prototype de tuile de couverture en charbon des Appalaches

Ils ont d'abord créé une tuile à base de charbon, appelée X-TILES, fabriquée à partir de charbon des Appalaches.
Semplastics collabore maintenant avec son partenaire CART (Centre de recherche appliquée et de technologie), basé en Virginie-Occidentale, pour produire un prototype grandeur nature de leurs toits révolutionnaires.
Fait avec une subvention de phase 1 de recherche sur l'innovation des petites entreprises (SBIR) du ministère de l'Énergie, X-TILES  sont des tuiles écologiques ignifugées qui dépassent les normes de l'industrie et surpassent les limites des tuiles en terre cuite. Cette invention révolutionnaire séquestre le carbone du charbon dans la structure de la tuile en terre cuite. Ainsi, ces X-Tiles  peuvent générer une nouvelle façon respectueuse de l'environnement pour utiliser le charbon.
Les premières X-TILES à grande échelle
Le prototype sera fabriqué d'ici le 30 juin 2019 dans le cadre d'une collaboration entre CART et Semplastics.
Ce composant innovant à grande échelle fournira des informations précieuses sur le traitement nécessaires à la fabrication à grande échelle.
"C'est un moment excitant pour Semplastics. " a déclaré le fondateur et président, Bill Easter. «Produire une X-TILES» Un prototype de cette échelle nous permettra d’apporter les modifications nécessaires à notre formulation avant de commencer àdévelopper la phase 2.
Nos X-TILES  sont maintenant un peu plus près du marché.
Semplastics espère obtenir une subvention SBIR de la phase 2 du ministère de l'Énergie pour poursuivre ses progrès sur X-TILES.
La phase 2 permettrait à Semplastics de produire ses tuiles de couverture en plus grandes quantités, à moindre coût.
À propos de X-MAT®, la division des matériaux avancés de Semplastics
X-MAT®, la division Matériaux avancés de Semplastics, lancée en 2013. X-MAT® a mis au point un matériau révolutionnaire de haute performance qui combine certaines des meilleures propriétés des métaux (conductivité électrique), des plastiques techniques (légers) et de la céramique Température). X-MAT® a eu plusieurs partenariats, notamment avec la NASA, Space Florida et le Department of Energy. Le matériau révolutionnaire de X-MAT® a diverses applications actuelles, notamment les tuiles coupe-feu, les miroirs spatiaux légers, les électrodes de batterie et les céramiques imprimées en 3D. Avec X-MAT®, les possibilités sont infinies. La technologie X-MAT® peut être conçue sur mesure pour répondre à de nombreuses spécifications et offre des applications illimitées sur le marché. Pour en savoir plus sur les capacités X-MAT® et les projets futurs, visitez leur site Web à l'adresse https://www.x-materials.com ou appelez le (407) 353-6885.

Source Virtual Strategy

12/05/2019

Ibstock plc (IBST) émettra un dividende de 6.50 GBX le 7 juin

Ibstock plc (LON: IBST) a annoncé un dividende le mardi 5 mars, a annoncé le rapport de Upcoming.Co.Uk. Les actionnaires inscrits le jeudi 9 mai recevront un dividende de 6,50 GBX (0,08 $) par action le vendredi 7 juin. Cela représente un rendement de 2,53%. La date ex-dividende est le jeudi 9 mai. L'annonce officielle est accessible à ce lien.
Les actions d’IBST ont ouvert à 259,40 GBX (3,39 USD) vendredi. La société a un ratio de dette sur capitaux propres de 18,85, un ratio actuel de 1,60 et un ratio rapide de 0,87. La capitalisation boursière de l'action est de 1,06 milliard de dollars et le ratio cours / bénéfice de 13,80. Ibstock a un minimum de 52 semaines de 190,70 GBX (2,49 $) et un maximum de 52 semaines de 305,80 GBX (4,00 $). Recevez des alertes Ibstock:
Ibstock (LON: IBST) a publié ses résultats trimestriels le mardi 5 mars. La société a publié un BPA de 18,80 GBX (0,25 USD) pour le trimestre, dépassant ainsi les estimations consensuelles de 18,60 GBX (0,24 USD) sur GBX 0,20 (0,00 USD). En tant que groupe, les analystes de la recherche prévoient qu'Ibstock publiera un bénéfice par action de 2162,00001555035 pour l'exercice en cours.
Plusieurs analystes ont récemment publié des rapports sur la société. Peel Hunt a réitéré une note "d'achat" sur les actions d'Ibstock dans un rapport de recherche jeudi 17 janvier. Numis Securities a ramené Ibstock à une valeur «hold» et a fixé un prix cible à 270 GBX (3,53 USD) pour la société. dans un rapport de recherche du mercredi 3 avril. Le groupe UBS a réitéré la notation «neutre» et fixé un objectif de cours des actions d'Ibstock à 270 GBX (3,53 USD) dans un rapport de recherche publié mercredi 6 mars. JPMorgan Chase & Co. a abaissé son prix cible sur Ibstock de 315 GBX (4,12 USD) à 295 GBX (3,85 USD) et a attribué à la société une «surpondération» dans un rapport de recherche le vendredi 18 janvier. Enfin, Berenberg Bank a augmenté son cours cible sur Ibstock de 290 GBX (3,79 USD) à 310 GBX (4,05 USD) et a attribué à cette action une note «d'achat» dans un rapport de recherche du mercredi 13 mars. Trois analystes de la recherche sur les actions ont attribué une cote de conservation au titre et trois ont attribué une note d’achat au titre. La société a actuellement une cote consensuelle de «Acheter» et un objectif de prix moyen de GBX 289,83 (3,79 $).
Ibstock Profil de l'entreprise
Ibstock plc fabrique et vend une gamme de produits en terre cuite et en béton au Royaume-Uni et aux États-Unis. Ses principaux produits comprennent des briques en terre cuite, des composants en brique, des tuiles en béton, des substituts de la maçonnerie en pierre, des clôtures en béton, du béton précontraint et des produits de rails en béton.
Source FinanceDaily par David Becker

11/05/2019

Les matériaux se reprennent en ce début 2019 (tuiles +1,9, briques +2,7)

Le début 2019 marque un rebond au sein du secteur des matériaux qui voit ses volumes de granulats et de BPE progresser de 2% à 3% sur les trois premiers mois de l’année.
Les résultats du mois de mars confirment la reprise observée en février dans le secteur des matériaux. Les livraisons de granulats ont progressé de 1,2% par rapport à février et de + 9,6% par rapport au mois de mars 2018. Sur le premier trimestre, l’activité gagne donc +2,9% au regard des trois mois précédents et +7,6% sur un an. Sur les 12 derniers mois, les granulats sont en hausse de 3,4%.
Côté BPE, les volumes sont en léger recul (-1,2%) après un mois de février dynamique mais sont en nette croissance de 7,7% par rapport à mars 2018. Les trois premiers mois de l’année s’affichent ainsi en hausse (+2,1%) par rapport au 4e trimestre de 2018 et de +12,9% au regard de la même période il y a un an. En cumul sur les 12 derniers mois, la production ressort à +6,8%.

Source Le Moniteur

10/05/2019

Rairies Montrieux, un savoir-faire au service des monuments historiques

Rairies Montrieux est une entreprise française spécialisée depuis 7 générations, dans la terre cuite pour l’intérieur et l’extérieur des bâtiments anciens pour les professionnels et les particuliers, labellisée E.P.V. Entreprises du Patrimoine Vivant. Situé dans le Val de Loire, les savoir-faire, les expertises, acquises et transmises depuis des générations, permettent d’intervenir dans des projets de rénovation des monuments historiques (l’Eglise des Grands Augustins, le musée des Arts décoratifs, le château de Versailles….
Le processus de fabrication artisanal consiste a transformé l’argile en carreaux en terre cuite utilisés pour les façades, sols ou extérieurs. Les briques en terre cuite sont résistantes au feu, poreuses, résistantes au gel, et stables. La terre cuite étant un matériau 100% naturel, toute la fabrication de ce produit entre dans un processus respectueux de l’environnement. En effet, Rairies Montrieux s’engage à protéger les ressources, à recycler les eaux utilisées et à réduire l’utilisation d’énergie fossile.

Source Batijournal

09/05/2019

Brique BTC, Brique de terre compressée

La brique de terre compressée est dérivée de l'adobe, l'un des tout premiers matériaux de construction utilisés par l'Homme. Elle se fabrique à partir d'argile tamisée, comprimée encore humide dans une presse mécanique. Une fois démoulée, on la met à sécher naturellement sous abri.
Matériau 100 % naturel disponible en quantité sur les cinq continents, la terre crue présente un excellent bilan énergétique. Elle est extraite localement, ses coûts d'exploitation et les trajets de livraison sont réduits au strict minimum. La matière première, l'argile de construction, se situe sous la terre arable ou végétale. Pour l'atteindre, il faut d'abord décaper le sol.
Brique de terre, un matériau écologique aux multiples possibilités
Après broyage et passage au tamis, l'argile est additionnée de chaux, de ciment, de fibres végétales... afin de modifier certaines caractéristiques physiques des blocs manufacturés. On peut ainsi augmenter leur masse volumique, renforcer leur stabilité mécanique, leur résistance, leur capacité d'accumuler la chaleur, etc. Cette latitude ouvre à la brique BTC un vaste champ d'applications en gros œuvre (montage de soubassement, de murs porteurs) et en second œuvre (cloisonnement, remplissage d'ossature bois ...).
Les presses s’équipent de moules interchangeables, qui permettent de donner à la brique BTC différentes formes et dimensions.
Le saviez-vous ?
La mise en œuvre de la terre crue fait l’objet de règles professionnelles accréditées, depuis juillet 2012, par la Commission C2P de l’Agence Qualité Construction (AQC). Plus de 80 professionnels venus de toute la France ont participé à leur élaboration. Ils ont reçu le soutien de plusieurs organismes, parmi lesquels la Fédération française du Bâtiment (FFB), la Fédération nationale des Scop BTP, l’École nationale des Travaux Publics de l’État (ENTPE) et le Réseau Écobâtir.
La brique de terre crue s'emploie couramment dans la rénovation de maisons anciennes et dans l'auto-construction. Les murs peuvent se monter en boutisse, en panneresse simple ou double, en soldat... comme des briques pleines en terre cuite. Le mortier de pose, souvent un mélange d'argile et de chaux, sert également à la réalisation des joints (au pochoir ou à la truelle langue de chat). L'enduisage des surfaces intérieures et extérieures est préconisé, pour les protéger.
La terre crue n’est pas à proprement parler isolante. Mais ses propriétés régulatrices d’humidité et de température contribuent de façon significative au confort thermique d’une construction.
Source Futura Sciences par Michel Berkowicz

08/05/2019

Clima Comfort Réno, tuiles Minéral, Fontenelle et Belmont… Toutes les innovations de Monier

Monier, spécialiste en toiture, fait peau neuve

, avec un logo désormais épuré, symbolisant une “identité visuelle plus simple et plus impactante”. Mais surtout, la marque lance une nouvelle gamme de toitures, en créant des “systèmes intégrant tuiles, accessoires et composants de toitures”. Le but : répondre aux attentes de manière ciblée, faire du sur-mesure. Monier se positionne plus que jamais sur des “systèmes de toitures qui s’adaptent à chaque type de toiture, de besoin, de budget ou de région”.
La collection “Canal” de tuiles à destination des habitations du Sud de la France a été particulièrement étoffée
: Canal Midi patinée façon “toit de récup” ou simplement cuivre, pour donner un cachet ancien aux toitures neuves, ou encore Canal Médoc patinée authentique et Canal Midi “Brune” spécialement pour les toitures corses.
L'entreprise se positionne à la fois sur le marché de la rénovation et du neuf
, avec des innovations spécifiques pour chaque cas. Le système Rénovation “haute durabilité”, par exemple, combine deux technologies nouvelles de la marque : les petites tuiles plates en terre cuite Fontenelle, et l'écran de sous-toiture HPV Spirtech BBC 200
. Ce dernier est classé HPV (hautement perméable à la vapeur d'eau) ; avec sa double bande adhésive, il permet une jonction parfaite entre les lès, ce qui rend la toiture imperméable à l'air et étanche au vent. L’écran de sous-toiture protège directement contre les infiltrations d'eau et de neige et protège l'isolant pour une efficacité durable.
Un autre système de rénovation, nommé “Haute performance énergétique”
, allie la tuile à côte grand format Belmont, et le Clima Confort Réno, produit 2 en 1 intégrant un isolant et un système de sous-toiture respirant et étanche.
Pour les toitures neuves, Monier développe une nouvelle génération de tuile “Minéral”
, qualifiées d'“avant-gardistes”. Composées de matière issues de la nature (sable, argile, calcaire, eau et pigments), leur séchage n'est pas réalisé en four mais progressivement, en étuve. Elles sont totalement recyclables. La tuile Innotech, qui fait partie de la génération Minéral, donne un résultat particulièrement moderne et esthétique. Elle offre une large palette de teintes, dont l’éclat est durablement conservé grâce aux revêtements Novo et Slurry Evolution 2.

Source Nostrodomus

Tuiles Béton fabriquées en France

Loin de l’idée d’un matériau froid et uniquement utilitaire, le béton revient sur le devant de la scène architecturale.

Seul fabricant de tuiles Béton en France, Monier possède trois usines dédiées à cette production sur le territoire national.

Longtemps méconnue, la tuile Béton se fait aujourd’hui remarquer grâce à des standards élevés en termes de résistance (340 deca newton pour la tuile Béton Plein Ciel), de facilité de pose et de faible empreinte environnementale.

Les tuiles béton ont un très bon rapport qualité/prix.

Teintées dans la masse, elles bénéficient de deux types de finitions possibles : pour les teintes nuancées, un revêtement minéral et une couche de vernis ; pour les teintes unies, deux couches de peinture.

Ces finitions garantissent une belle tenue des couleurs et une résistance accrue aux lichens et aux mousses.

Source Batijournal

07/05/2019

Façades changeantes - Vous avez dit fa(ça)des ?

Les façades offrent un champ d'innovation artistique et technique d'autant plus essentiel que la problématique du confort d'été est au cœur des enjeux constructifs. Tour d'horizon en France et ailleurs.
Flamboyant
La peau colorée de cette nouvelle résidence étudiante, conçue par l’agence Tangram Architectes pour le promoteur Bouygues Immobilier, située en bordure d’autoroute, ne laisse pas indifférent. Cet ancien bâtiment tertiaire, qui appartenait à la CPAM de Marseille, a été habillé d’une vêture d’écailles métalliques bicolores. L’édifice d’origine, construit en classiques poteaux-poutres béton, était fortement climatisé du fait de sa grande façade ouest vitrée et très exposée en été au soleil de l’après-midi. Pour la reconvertir en résidence étudiante, il fallait protéger la façade, mais le recours à la climatisation n’était plus possible. Les menuiseries ont été changées en une double-fenêtre, soit deux doubles vitrages, et sans entrées d’air qui auraient pu laisser passer le bruit de l’autoroute. La ventilation est double flux. Le programme de 260  logements étudiants a été livré en septembre  2018 et va être complété par 60  chambres d’hôtels.
Double lecture
Deux raisons essentielles ont motivé la peau d’écailles. La première est la protection solaire avec un apport solaire réduit d’environ moitié par la présence des écailles. La deuxième est visuelle. Pour l’automobiliste se déplaçant sur l’autoroute, la façade change en fonction du point de vue. « Au départ, nous avions envisagé de créer une anamorphose d’images, mais cela semblait dangereux pour les conducteurs sur l’autoroute. Aussi, nous nous sommes contentés d’un changement de couleurs. En entrant dans la ville, les teintes sont celles du soleil couchant dans les rouges et orangés, avec quelques paillettes d’or. Et en sortant, elles sont celles du soleil levant avec des jaunes clairs et d’autres plus foncés », décrit l’architecte Emmanuel Dujardin, de l’agence Tangram. La vêture est constituée de plus de 5 000 écailles thermolaquées avec des orientations différentes et six couleurs changeantes. Les travaux de découpe des panneaux et leur pose ont été confiés à la société Evangelista. Ces écailles sont fixées à de grandes barres thermolaquées de teinte gris foncé qui sont préfabriquées, assemblées et fixées par de petits cavaliers sur la façade. La vêture d’écailles se retourne un peu en pignon nord avec un travail soigné sur la forme au passage de l’angle. Sur les côtés, certaines écailles isolées sont fixées de manière ponctuelle, avec délicatesse.
Une conception sur mesure

« La Ville de Marseille nous a soutenus dans notre démarche ainsi que le promoteur, car la résidence est perçue comme un repère, un signal fort dans un quartier qui se paupérise. Pour la conception, nous avons projeté sur une forme modélisée en 3D, des images des volutes de gaz et de fluides dans un sens et, dans l’autre sens, une image de vague. La modélisation 3D a permis de simuler le résultat et de définir chacune des écailles, par exemple, avec 30° d’orientation, rouge d’un côté et jaune de l’autre », poursuit Emmanuel Dujardin. Pour cette phase de recherche assez longue et complexe, l’agence a développé un outil paramétrique propriétaire de projection sur la forme 3D, qui pourra être réemployé sur d’autres projets. L’image est projetée sur les écailles modélisées en 3D et le logiciel génère automatiquement un tableau avec les bonnes valeurs et angles pour chaque écaille numérotée. Un prototype de 4 m par 4 m de la vêture a été réalisé en bicolore fin 2017 et a été posé en façade le long de l’autoroute. Le principe a été ainsi été validé, mais avec une gamme colorimétrique plus complexe comprenant six couleurs au lieu de deux envisagées. À noter qu’à l’origine, les architectes voulaient donner une mobilité aux écailles mais le risque était de ne maîtriser ni les efforts dus au vent ni le bruit généré. L’autoroute voisine de la résidence est en effet un couloir très venté emprunté par le mistral. Aussi était-il plus sécurisant de réaliser des écailles plus petites et, surtout, fixes.
Orientalisant
Il existe quelques projets très spectaculaires comportant des façades dynamiques, comme les tours Al-Bahr à Abu Dhabi. D’une hauteur de 145 mètres, les deux bâtiments ont été réalisés par les architectes de l’agence anglaise AHR associée à Arup Ingénierie et accueillent le nouveau siège social du conseil d’investissement d’Abu Dhabi. Leur design est basé sur un concept de forme florale et de moucharabiehs motorisés. Cet écran de protection solaire en maillage de bois est utilisé traditionnellement pour forcer la ventilation naturelle, protéger du soleil et de l’éblouissement et préserver son intimité. L’ouverture motorisée des moucharabiehs protecteurs de ces tours modernes permet, en fonction du mouvement du soleil, de doser l’apport solaire qui peut être réduit de moitié. De plus, la diffusion de la lumière naturelle à l’intérieur de la tour est améliorée par réflexion sur les profilés et la vue imprenable sur le paysage environnant est conservée. Autre avantage, les vitrages ne sont pas traités avec une couche de protection solaire, ils sont donc davantage transparents et les besoins en éclairage artificiel s’en trouvent réduits. Cette très belle réalisation concilie la bio-inspiration, les principes de l’architecture traditionnelle et l’innovation technologique.
Mouvant

La composition des 1 600 m² de façades des bureaux de la Mutualité sociale agricole (MSA) de Chauray (79), livrés par l’agence Rocheteau-Saillard en 2017, offre des modes de lecture différents selon la position du spectateur. Les brise-soleil Autant XL de Terreal en terre cuite émaillée sur un fond de façade orange créent en effet un mouvement cinétique. Les baguettes ont été posées à la verticale avec un léger écartement de 7 cm, qui laisse à découvert le bardage en alu orangé. Le fabricant Terreal est intervenu pour développer des baguettes pouvant aller jusqu’à 141 cm de longueur, dans huit teintes et avec une fixation sur ossature métallique et non pas sur un mur béton comme de coutume.
Opalescent
Situé dans le port de la capitale islandaise, le Reykjavik Concert Hall, avec le centre de conférences Harpa, a été livré en 2011 par l’architecte Henning Larsen. Sa façade principale ouverte sur le ciel et l’océan tout proche est constituée de plus d’un millier d’éléments vitrés pentagonaux et hexagonaux. Fournis par Schött, les vitrages alternent du dichroïque (Narima) avec du verre très clair et traité antiréflexion (Amiran). À la nuit tombée, les blocs vitrés sont éclairés en plusieurs couleurs par des Leds pilotées individuellement.
Ondoyant
L’agence australienne d’architecture Urban Art Projects (UAP) a travaillé avec l’artiste Ned Kahn pour créer la façade artistique du parking du terminal domestique de l’aéroport de Brisbane. Cette façade cinétique de 5 000  m2 se déploie sur huit étages. Son rideau formé de 117 000  panneaux d’aluminium suspendus s’anime en vagues sous l’effet du vent. Il est embelli par le tracé d’une ligne inspiré du sillage créé à la surface de l’eau par une navette fluviale de la ville de Brisbane. Le design est aussi fonctionnel : le rideau apporte de l’ombrage et une ventilation naturelle. À l’intérieur du parking, les rayons du soleil passant au travers de la façade dessinent des motifs mouvants de lumière et d’ombres sur les murs et sols.
Scintillant

La nouvelle façade du parking de l’hôpital d’Eskenazi, à Indianapolis, a été réalisée en 2014 par l’architecte Rob Ley. Afin d’éviter les problèmes de maintenance et de durabilité de pièces mobiles, le principe est celui d’une façade statique composée de 7 000 panneaux métalliques faisant brise-soleil avec différentes orientations – ce qui donne différentes intensités –, combiné à une articulation des couleurs : côté est, du jaune doré et, côté ouest, un bleu profond. Le système est dynamique pour l’observateur (piéton, vélo ou véhicule motorisé) en fonction de son point de vue et de sa vitesse de déplacement sur le site. Ce camouflage de 75  m de long pour 18,5 m de hauteur a été fabriqué à partir de dix-huit sortes de pièces différentes en dimensions et orientations.
Luminescent
Le nouveau musée d’art Sogn & Fjordane de Førde a été conçu par l’agence danoise CF Møller Architects sur le principe d’un glacier qui se fracture en gros morceaux de glace. Les joints de façade, rendus lumineux par des lignes de Leds, symbolisent les fissures dans la glace la nuit. Le bâtiment a été conçu comme un imposant cube angulaire de quatre étages organisé autour d’un patio triangulaire. Les façades ventilées ont pour bardage du StoVentec Glass : de grands panneaux de verre émaillé collés sur une plaque en mortier de granulats de verre expansé avec liant époxy.
Source Les cahiers techniques du bâtiment par François Ploye

06/05/2019

Terres de Haute Charente: chaude matinée pour les tuiliers de Terreal à Roumazières

9h dimanche matin à TERREAL, la plus importante tuilerie du groupe située à la sortie de Roumazières sur la RN 141, un feu important s’est déclaré à l’entrée du four UD62, l'unité qui...
Source La Charente Libre

Tuile en terre cuite teintée dans la masse

La tuile universelle en terre cuite E 58 SL d’Erlus est désormais disponible en version teintée dans la masse.

Les bords de coupe ou les inévitables dégradations sur le chantier n’ont plus besoin d’être retravaillés, car la teinte dans la masse les rendent invisibles à l’œil nu.

Sa forme galbée, basée sur le standard Erlus E 58 SL, la rend particulièrement robuste et résistante à la casse comme toutes les tuiles de la gamme.

Grâce à son pureau variable de trois millimètres et son important jeu d’emboitement latéral, elle s’avère facile à poser.

Source Batijournal

05/05/2019

Marly : Depuis 1904, la briqueterie Chimot n’a jamais cessé de fonctionner

Entrer dans la briqueterie Chimot, c’est faire un bond de 100 ans en arrière. Malgré les rumeurs, l’usine tourne à plein régime. Rencontre avec les patrons, Pierre et Joëlle Goethals.
Rue de Romainville, un panneau indique « Briqueterie Chimot ». Une allée pavée mène à l’usine. Ce jour-là, la pluie rend le sol boueux et la carte postale encore plus désuète.

Des briques rouges, celles du Nord, sont éparpillées ça et là.
Des salariés poussent ou tirent des wagons.
La poussière a tapissé les lieux d’une couleur ocre.
Le four de l’usine, matérialisé par une grande cheminée, nous projette au siècle dernier. Bienvenue en 1904, à la création de la briqueterie par la famille Chimot.

En 115 ans, peu de choses ont changé. Les outils se sont quelque peu modernisés. Mais l’atmosphère est demeurée intacte.
Ce n’est pas pour rien que la briqueterie Chimot est classée « EPV », entreprise du patrimoine vivant. Dans un petit bâtiment annexe, on aperçoit Joëlle Goethals.
La briqueterie a forgé son caractère.

Joëlle est celle qui a toujours le dernier mot. « Je suis arrivée à la briqueterie à 24 ans, en 1985. Nous avons tout mis dans cette entreprise.
Il y avait des enjeux et il a fallu se faire respecter. »
Son mari, Pierre, est arrivé quatre ans plus tard. « On a eu l’opportunité de reprendre cette affaire lorsque la famille Chimot a décidé d’arrêter« , explique le sexagénaire.
La brique a toujours la côte pour recouvrir les façades des Hauts-de-France
A l’époque, Joëlle et Pierre ont hérité d’une situation moribonde mais aussi d’un « gros coup de chance » : le concurrent direct, situé près du cimetière – la briqueterie Joly – s’est arrêté.
« C’était la guerre entre les deux. A coups de fusils ! »
Aujourd’hui, la briqueterie Chimot n’a plus de concurrents directs qui travaillent sur le même mode artisanal dans la région.
Et la brique a toujours la côte pour recouvrir les façades des Hauts-de-France.
Les clients – environ 200 – sont exclusivement des négociants de matériaux.
Malgré les nombreuses rumeurs de fermeture dont a été victime la briqueterie Chimot durant son existence, l’usine centenaire restera bel et bien sur le site et continuera de produire des briques.

L’extension annoncée du golf de Valenciennes n’y changera rien. « Encore une rumeur... », déplore Pierre. A 62 ans, le chef d’entreprise se voit bien partir en retraite avec Joëlle, 58 ans. « On a tout fait ensemble, alors j’aimerais bien partir avec elle. » Après l’ère Goethals, la briqueterie n’aura pas dit son dernier mot puisqu’un futur repreneur s’est d’ores et déjà positionné pour permettre à la briqueterie d’écrire une nouvelle page de sa très longue histoire…
Source L'Observateur par Pauline Bayart

04/05/2019

La briqueterie de Monsempron : Tellus Ceram en plein boom

La briqueterie de Monsempron-Libos est repartie vers la croissance et a triplé son effectif en trois ans en même temps que sa production.
Une entreprise industrielle qui a triplé son nombre de salariés depuis 2015 et sa production en ouvrant deux nouvelles lignes de cuisson, ça existe dans le Fumélois ? Eh bien oui, et en plus c'est un des leaders mondiaux de la brique réfractaire qui vient encore de signer un gros contrat à l'export au Canada ! La briqueterie de Monsempron-Libos, Tellus Ceram, fait partie du patrimoine industriel du Fumélois. Elle fut créée en 1910 sous le nom de Société de Produits Réfractaires de Fumel et Libos.
350 salariés en 1972
En 1955, la petite entreprise s'est bien développée et fait place à une grande usine qui appartient désormais à Pont-à-Mousson. En 1972, l'usine de 1910 est détruite pour créer une unité plus moderne qui accueille 350 salariés. Lafarge Réfractaire en prend le contrôle en 1981. Ces années-là sont un moment charnière dans le monde du réfractaire avec un changement stratégique de taille. L'entreprise cesse de produire des éléments qui se renouvellent au plus près du feu pour se lancer dans le produit isolant. Mais ce dernier nécessite une fabrication plus longue et moins de personnel !
De surcroît, le marché devient de plus en plus concurrentiel à l'aube du nouveau siècle avec l'arrivée des pays de l'Est et un peu plus tard de la Chine. La briqueterie supporte mal cette période et changera à neuf reprises de propriétaire jusqu'en 2003. Plusieurs personnes tentent de la reconstruire en partant de presque rien. En 2007, quatorze salariés se lancent, mais ils commettent l'erreur de vouloir faire de la production de masse plutôt que de la qualité. En 2010, Mesmain Berragnes, qui faisait partie de la tentative de 2007, reprend les rênes de la société qui devient Tellus Ceram.
Monter en gamme
Un plan social fait chuter les effectifs en 2013 mais paraît inévitable au nouveau patron : «On n'avait pas le choix, il fallait changer complètement notre fusil d'épaule. Cela a été douloureux mais c'était au prix de la survie de l'entreprise». Sa stratégie est simple, monter en gamme pour aller chercher de la marge : «On ne pouvait pas lutter sur les prix, donc on a misé sur notre expertise des produits les plus techniques». Le redémarrage est difficile car il faut aller chercher de nouveaux clients et les salariés doivent adhérer au projet en plein plan social. Peu à peu, la stratégie fonctionne, et l'activité redémarre. En 2017, la confiance est revenue et le savoir-faire de la société de Monsempron est reconnu à nouveau. Les produits qu'elle fabrique sont achetés par les plus grandes entreprises du secteur comme Saint-Gobain, Péchiney ou Areva, et partent à l'export dans le monde entier. En 2017, un deuxième four est ouvert qui double la capacité de production puis un troisième en 2018 qui permet à nouveau d'augmenter de 60 % la capacité de production.
«On a 50 salariés et on continue à en chercher…»
«On a aujourd'hui presque 50 salariés et on continue à chercher du monde. Nous assurons la formation en interne en CDD puis nous embauchons en CDI», indique M. Berragnes. L'entreprise est repartie sur de bons rails et vient de racheter les bâtiments de l'entreprise Frugier à Bourlens pour augmenter sa capacité de stockage. «Nous avons également décidé de confier à la carrière de Saint-Front le concassage de nos chutes qui sont ensuite vendues sous forme de poudre pour le BTP pour réaliser des bétons» précise M. Berragnes.
L'achat d'une semi-remorque et la formation d'un chauffeur sont également dans les tuyaux. Comme quoi, on peut encore développer des activités industrielles dans le Fumélois !

Source La Dépêche du Midi

03/05/2019

Alexis Bohn, directeur général d’Onduline France Benelux

Après neuf ans passés chez Wienerberger, Alexis Bohn rejoint Onduline en février 2019, en qualité de directeur général pour la France Benelux.
Parcours professionnel d'Alexis Bohn
Directeur des ventes pour Weser (produits en pierre reconstituée) de 2004 à 2006, Alexis Bohn est directeur régional des ventes pour KP1(systèmes constructifs préfabriqués en béton) de 2006 à 2009.
Il rejoint Wienerberger France en juillet 2009 en qualité de directeur national des ventes, puis devient directeur commercial et marketing briques de structure (2016), puis directeur commercial et marketing en avril 2018.
Alexis Bohn prend la direction générale pour la France et le Benelux d'Onduline en février 2019.
Formation d'Alexis Bohn
Alexis Bohn est titulaire d'un diplôme d'études supérieures européennes de management.

Source Le Moniteur

02/05/2019

Des pavés en terre cuite authentiques et écologiques: une terrasse pour connaisseurs

Pour l’aménagement d’une allée ou terrasse, mieux vaut opter pour un matériau drainant. Cela permet à l’eau de s’infiltrer localement dans le sol, et vous luttez par conséquent aussi contre les inondations comme les sécheresses. Les nouveaux pavés en terre cuite drainants de Wienerberger offrent en plus tout le charme que l’on est en droit d’attendre d’un tel matériau. Le jardin plus vert obtenu ainsi est un bel atout gratuit en plus.
Est-il encore vraiment possible d’améliorer les pavés en terre cuite classiques ? Absolument ! Wienerberger lance ce printemps les très élégants pavés Passaqua, un pavé en terre cuite étiré et drainant. Le pavé présente des écarteurs intégrés, ou « cuits dans pavé ». Cela permet d’avoir par défaut un écart de 6 millimètres pour « laisser passer » l’eau de pluie.
MOINDRE RISQUE D’INONDATIONS
Avec Passaqua, environ 10 pour cent de la surface de votre allée, terrasse ou sol de jardin ne sont pas recouverts, ce qui permet à l’eau de pluie de facilement pénétrer dans le sous-sol. Ce nouveau pavé est un allié parfait contre les inondations et pénuries d’eau causées par les revêtements toujours plus présents sur nos sols. Les experts s’accordent d’ailleurs pour dire que nous avons besoin de ce type de solutions pour limiter à long terme le risque d’inondations.
PLUS VERT
Les pavés Passaqua allient le charme de la terre cuite et l’efficacité d’une solution d’avenir durable qui répond facilement aux exigences régionales et urbanistiques en matière de gestion des eaux. Les pavés en terre cuite drainants limitent bien sûr le risque d’inondations, mais ils aident aussi à maintenir le niveau des nappes phréatiques, pour que les jardins restent verts plus longtemps, même pendant les périodes sèches.
BEAU ET PRATIQUE
Les pavés en terre cuite Passaqua sont proposés en quatre couleurs : Doris (brun), Lotis (gris), Eros (noir) et Magma (rouge). À l’instar des pavés en terre cuite standard de Wienerberger, Passaqua s’embellit avec les années. En outre, les pavés Passaqua ne s’envasent pas aussi vite et deviennent nettement moins verts que les pavés en béton poreux. Ils n’aident donc pas uniquement contre le risque d’inondations, ils réduisent aussi le risque de formation d’algues, mousses et mauvaises herbes dans les joints, vous permettant ainsi de profiter toute l’année de votre terrasse. Rendez-vous sur www.wienerberger.be/fr pour découvrir d’autres solutions de revêtement durables.
Testé et approuvé
Il y a quelques années, un précurseur du pavé Passaqua avait été intégré dans le « Quartier Durable » de Waregem, un des projets d’urbanisation les plus durables de notre pays. Wienerberger avait alors obtenu la très renommée certification BREAAM.

Source Le Soir

01/05/2019

Italie- Pesaro, les Français de Terreal ferment la Pica après seulement un an.

Ils l'achètent d'abord, puis tout à coup, juste un an après l'avoir acheté - en janvier 2018, ils le ferment, reprenant leurs promesses de "continuité de la production".

Les Français de la multinationale Terreal ont décidé de mettre fin à l'activité de la pica de Pesaro, renvoyant chez eux les 60 employés de la société de production de briques historique.

Une douche froide pour les travailleurs et le territoire, mais aussi pour les institutions locales qui avaient pensé que l'entrée de capitaux étrangers pourrait "sauver" l'entreprise.

Aujourd'hui, le maire de la ville, Matteo Ricci, s'est rendu au piquet de grève organisé par les employés devant le siège de l'entreprise pour promettre la bataille. "Nous allons nous battre avec les travailleurs afin de sauver une marque historique et tous les lieux actuels", a déclaré Ricci, qui est en campagne électorale pour obtenir le deuxième mandat administratif du parti démocrate.
"C'est une fermeture inacceptable, et pour cela nous avons déjà écrit à la région des Marches et au ministère d'activer une table de confrontation nationale".
Y aura-t-il encore du temps? Ou, comme cela est arrivé dans d'innombrables cas de délocalisation dans la région des Marches ces dernières années, est-il trop tard?

Source Chronachemarcheit

Casa Terracota, l’incroyable maison de 500 m² en terre cuite

Octavio Mendoza, un architecte colombien a réalisé l
a maison de ses rêves ! Façonnée en terre cuite et séchée au soleil, le résultat est époustouflant !
Nous savons tous ce qu’est une maison troglodyte, la plupart du temps, ces maisons sont construites dans la roche, utilisant le milieu naturel comme base de construction. Un architecte colombien, Octavio Mendoza a décidé de réaliser son rêve en construisant sa propre maison troglodyte, à la différence près que la sienne est en terre cuite.
Une demeure de 500 m² construite de ses propres mains et séchée au soleil de Colombie. C’est sans aucun doute une œuvre d’art mais peut-être aussi un nouveau moyen de construire des maisons à bas coût dans les régions à très fort taux d’ensoleillement. Découvrez en image la maison TERRACOTA, située à Leyva au nord-est de Bogota, la capitale.
Cette maison Terracota est devenue l’attraction de la ville de Leyva, les habitants l’ont surnommée la Maison Pierrafeu. La totalité de la maison est faite de terre cuite et n’a nécessité aucun ajout d’autre matériau. L’argile ainsi modelée est devenue de la terre cuite une fois séchée au soleil de Colombie.
Octavio Mendoza a fait de cette maison une construction toute en rondeurs qui s’intègre parfaitement aux rondeurs des collines environnantes, elle peut paraître un peu spartiate mais elle dispose de tout le confort. Elle est notamment chauffée par des panneaux solaires qui lui assurent une totale autonomie en électricité et en eau chaude.
Elle est décorée de mosaïques qui lui donnent une touche de gaieté. L’artiste (ou architecte) a pu donner libre cours à son imagination débordante et créer la maison de ses rêves ! L’histoire ne nous dit pas comment cette maison résiste aux averses de pluie mais avouons qu’elle est juste magnifique ! Cependant les pots en terre cuite résistent bien aux intempéries donc on se dit que c’est une vraie bonne idée que d’utiliser l’argile pour des constructions pérennes : économique, écologique et vraiment jolie !

Source Neozone

30/04/2019

Mur double en brique en zone sismique

Le procédé de mur double en brique de terre cuite est un procédé d’habillage de façade historiquement utilisé indifféremment en zones sismiques et non sismiques.

Des évolutions récentes de la jurisprudence liées à l’application de l’Eurocode 8 pour les éléments non structuraux (ENS) ont conduit le marché à exclure le mur double en zones sismiques.
En effet, l’absence de justification et de référentiel ne permettait pas de justifier la stabilité du mur double en situation sismique. Wienerberger et Fixinox ont associé leur savoir-faire afin de proposer une solution exclusive garantissant le bon comportement du mur double, y compris en situation sismique.

Cette innovation vient de recevoir une appréciation technique expérimentale (ATEx) de cas A délivrée par le CSTB. L’ATEx de cas A vise également les solutions techniques de conformité à l’instruction technique feu façade (IT 249). Une reconnaissance qui réouvre aux architectes le champ des possibles pour valoriser l’esthétique de la brique apparente TERCA en zones sismiques.

Source Batijournal

Construire des murs préfabriqués en briques


En septembre dernier déjà, KELLER avait reçu une commande de Redbloc-Elemente GmbH située à Plattling, dans la Basse-Bavière, pour une usine entièrement automatique destinée à la fabrication d’éléments muraux préfabriqués à partir de briques ordinaires remplies.

Redbloc-Elemente est une filiale de Penzkofer Bau GmbH, entreprise de construction basée à Regen (Basse-Bavière), spécialisée dans la planification et la construction de bâtiments solides et modernes.

"Aujourd'hui, il est courant que des briques soient livrées sur le chantier pour construire des murs avec elles", explique le directeur général de Redbloc-Elemente, Alexander Penzkofer. Cependant, les briques sont livrées à notre usine où nous disposons des moyens idéaux pour préfabriquer des éléments de mur spécifiques au client avec toutes leurs ouvertures pour fenêtres et portes ainsi que des gaines de service pour l'électricité, l'eau et les eaux usées. Des maisons solides peuvent être construites avec ces éléments en un rien de temps - c'est pour une bonne raison que les experts disent qu'une maison solide préfabriquée est une nouvelle tendance pour l'avenir. “

La nouvelle usine KELLER remplace une ancienne usine située dans l'usine Redbloc-Elemente de Plattling. La capacité prévue est de 50 m² par heure, soit 400 m² par poste. Le point de départ est le transfert des briques livrées et le point final est l'élément de mur produit individuellement. Outre l'installation complète de la machine et le système de contrôle PLC, KELLER fournit également un système informatique ultramoderne pour la conversion des données CAO fournies par les architectes en données PLC pour la production.

Le directeur général de Keller, commente: «La première étape consiste à déterminer le nombre de briques requises par mur, en définissant leur agencement et leur traitement individuel. Les briques des murs sont ensuite posées de manière entièrement automatique. Ils ont une taille uniforme et un adhésif est utilisé à la place du mortier. Les machines forment un panneau composite et, si nécessaire, coupent les briques automatiquement pour les dimensionner. Une scie à fil spéciale est utilisée pour former les murs de pignon. Dieter Börgeling est particulièrement fier de la station de forage et de fraisage qui positionne les puits de service: «Cette station est un développement entièrement nouveau de nos ingénieurs créatifs de Laggenbeck.»https://youtu.be/fGvhKIHIVa0

Pour le directeur des ventes Dipl. Ing. Ulrich Hagemann, la nouvelle usine de l'usine Redbloc-Elemente, est un autre excellent exemple des activités de diversification croissante de la société riche en traditions basée à Laggenbeck. «Notre vaste savoir-faire en automatisation et en robotique nous a incités à prendre une nouvelle direction. Depuis quelques années, nous développons des solutions intelligentes pour d'autres applications industrielles en dehors de l'industrie de l'argile lourde. Et comme chacun le sait, il n’ya pas beaucoup de chemin à parcourir entre briques et murs et c’est pourquoi notre usine construira des éléments de mur Redbloc en 2017. ""


Source KELLER

29/04/2019

La terre cuite se révèle au travers d’un « serious game »

En mars dernier, à l’occasion de la Semaine de l’industrie, les fabricants de matériaux de construction en terre cuite ont lancé « Simulaterre, l’aventure de la terre cuite », un serious game développé avec le soutien de l’OPCA3+ et de l’Éducation nationale. Destinée aux 13-18 ans, l’initiative vise « à montrer les atouts de la filière ». Pour ce premier opus, trois métiers sont à découvrir : conducteur d’installation, technicien de maintenance et ingénieur process.
La Fédération française des tuiles et briques (FFTB) a annoncé le lancement d’un serious game pour faire découvrir les métiers de l’industrie de la terre cuite aux jeunes âgés de 13 à 18 ans. « Notre objectif est de montrer les atouts de la filière. Nos process sont hautement automatisés et robotisés et les métiers tout comme les usines sont modernes. Les métiers sont polyvalents et hautement techniques », explique Isabelle Dorgeret, directrice générale de la FFTB.
Développé avec le soutien de l’OPCA3+ et de l’Éducation nationale, « Simulaterre, L’aventure de la terre cuite » propose, via un parcours ludique, d’en savoir plus sur les métiers de conducteur d’installation, de technicien de maintenance et d’ingénieur process. Le joueur ou la joueuse est tout d’abord accueilli(e) dans une usine par un jeune collègue. Il choisit ensuite un métier, découvre les différentes étapes du process et les grands enjeux du métier en circulant dans les installations.
Il doit enfin relever des défis qui se présentent sous forme de jeux de mémoire, de logique et est même amené à « piloter » un drone dans une usine et autour de la Cité internationale à Lyon, « ouvrage emblématique de la terre cuite ».
Des métiers concrets qui ont du sens
« Nous sommes persuadés que nos métiers sont aussi porteurs de sens pour un jeune et pour ses parents : les matériaux de construction en terre cuite sont utilisés pour construire des logements, des écoles, des bâtiments publics. C’est le travail de l’argile, un matériau naturel, noble, attachant. En regardant autour de soi, chaque salarié de la filière terre cuite voit concrètement à quoi aboutit son travail et peut en être fier », affirme Isabelle Dorgeret.
Dans un communiqué, la FFTB revient aussi sur la formation continue des salariés évoluant dans la filière terre cuite. La branche a notamment développé 4 CQP (certificat de qualification professionnelle) : chef d’équipe, conducteur d’installation, préparateur de terre et technicien de maintenance. « Ces CQP ont concerné depuis leur création en 2006 plus de 200 salariés formés en alternance sur 1 an avec l’équivalent de 30 à 40 jours de formation. C'est le gage pour nos nouveaux embauchés d'avoir la possibilité d’évoluer au sein de leur entreprise », rappelle Mme Dorgeret. Elle poursuit : « Comme d’autres filières industrielles et dans les métiers du bâtiment que nous connaissons bien, couvreurs et maçons par exemple, les difficultés pour recruter sont réelles. Nous avons actuellement de nombreux postes à pourvoir dans nos usines ».
Pour séduire un maximum de candidats, le serious game sera mis à disposition des jeunes par la profession, les Centres d’Information et d’Orientation (CIO) et via des plateformes dédiées à l’orientation et à la formation.
Pour découvrir cette initiative, connectez-vous à http://www.fftb.org/aventureterrecuite/ 

Source Batiweb

28/04/2019

Partenariat stratégique de COSMEC et SACMI dans la terre cuite

Cosmec, une société basée à Vérone, en Italie et comptant plus de 45 ans d'expérience dans le secteur de l'argile lourde, a récemment entrepris une réorganisation radicale qui lui a permis d'élargir sa gamme de produits et de s'affirmer comme l'un des principaux fournisseurs d'installations complètes clé en main. 

Par le biais d’un rachat par la direction, la société mère Sacmi a confié la gestion de Cosmec à une équipe de professionnels du secteur très expérimentés qui ont assumé des rôles opérationnels actifs au sein de la société.

La collaboration technique et commerciale permanente entre les deux sociétés jouera un rôle de plus en plus stratégique dans un marché concurrentiel, dans lequel Cosmec restera le point central de l’ensemble du secteur de la terre cuite, spécialisée notamment dans la conception de systèmes automatisés, de fours et des séchoirs avec le soutien de Sacmi. 

"Grâce à cet important partenariat commercial, Sacmi a confié ses activités terre cuite à Cosmec, qui possède les compétences, l'expertise et le professionnalisme nécessaires pour proposer des solutions complètes au secteur de la brique et de la tuile", a déclaré le directeur général de Cosmec, Giovanni Rorer. 

«Cosmec maintiendra son expertise dans le secteur de la terre cuite et, après avoir obtenu d'excellents résultats opérationnels, offre désormais ses services à ses clients en tant que partenaire compétent et fiable», a ajouté Ernesto Barbieri, président du conseil d'administration. 

«En ce qui concerne la croissance externe, nous envisageons un accord de fusion et d’acquisition visant à augmenter le nombre de clients internationaux desservis et à élargir davantage notre expertise technique.» 

Source CeramicWordWeb

27/04/2019

Les briques de parement conquièrent le monde du design d'intérieur

San Marco Terreal a récemment lancé Habitat, la nouvelle ligne de parement terre cuite destinée au monde de la vente au détail et de la conception de meubles.
Fidèle à la nouvelle tendance consistant à utiliser la brique pour des applications alternatives telles que la décoration d'intérieur, SanMarco Terreal présente sa nouvelle ligne de revêtements d'intérieur Habitat avec des textures et des couleurs innovantes à l'exposition Klimahouse19.
Matériau traditionnel doté d'une capacité d'innovation exceptionnelle, l'argile convient parfaitement aux modes de vie modernes tout en préservant son identité. Les tailles et les couleurs innovantes donnent du dynamisme aux briques de parement et permettent une grande liberté d'installation pour les professionnels et les amateurs de bricolage.
Habitat a suscité un vif intérêt de la part des consommateurs et des professionnels de la sous-traitance, toujours très attentifs au développement des matériaux traditionnels, offrant ainsi un avantage exclusif et un prestige exceptionnel aux intérieurs.
Davide Desiderio, responsable Corporate Image & Communication chez Terreal Italia, nous a donné plus de détails sur le concept de design, les avantages fonctionnels et les utilisations potentielles en design d'intérieur.


Source CeramicWordWeb

Allemagne: Séminaire des tuiliers et briquetiers à l'Université des sciences appliquées Westerwald à Höhr-Grenzhausen

Tous les deux ou trois ans, l’association fédérale du secteur allemand des tuiles et briques est invitée à un séminaire sur la brique et le carrelage dans le Westerwald.

Dans les installations du campus Westerwald de l'Université des sciences appliquées de Höhr-Grenzhausen, les bases de la céramique sont transmises à environ 1 000 personnes. 30 participants dans un séminaire de deux semaines.

Les participants sont principalement des directeurs d'usine ou de production de briqueteries qui n'ont pas principalement acquis les bases de la céramique dans leur apprentissage ou qui souhaitent actualiser ces connaissances.

Les participants à ce séminaire de mars 2019 venaient de Wienerberger, Röben, ERLUS, Creaton, Freital-Eder, Olfry, Feldhaus, Zeller-Alzenau, entre autres, qui sont des clients bien connus de KELLER.

Le séminaire a lieu pendant les heures sans cours de l’Université des sciences appliquées. Les conférenciers du séminaire sont principalement les professeurs de l'Université des sciences appliquées.

Près de deux jours du programme d’enseignement sont réservés aux représentants de l’industrie des fournisseurs d'équipements pour la terre cuite dans le but de fournir des informations actuelles et intéressantes sur l’industrie de la brique. Par exemple, des sociétés telles que Refratechnik - anciennement Burton, Hellmich, Grothe, Rehart, Händle et KELLER saisissent cette opportunité depuis de nombreuses années.

KELLER a tenu deux présentations: “Recherches et possibilités du laboratoire de céramique KELLER” de Jörg Bendik et “Défis de l'industrie de la brique” de Markus Jüchter.
Source Keller