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09/03/2015

TERREAL met de la couleur à la Défense en habillant de terre cuite la Résidence Ancre

TERREAL, spécialiste de la façade rapportée en terre cuite, démontre une nouvelle fois ses compétences à travers la rénovation des façades de la Résidence Ancre située à Courbevoie.
Grâce à la luminosité de la terre cuite de son bardage Zéphir®, les 90 logements sociaux de cet immeuble offrent désormais une note colorée à la fameuse Place des Saisons, en marge du quartier de la Défense.
Un îlot en terre cuite ultra isolante au milieu d’un océan de verre bleuté 

Dans le cadre de la rénovation de la Résidence Ancre à Courbevoie, le bailleur social a émis le souhait de mettre en œuvre une isolation par l’extérieur. Pour répondre à cette demande, l’architecte en charge du projet de réhabilitation recherchait un produit de qualité pouvant à la fois protéger et assurer une pérennité optimale aux façades de l’immeuble, principalement celles exposées à la pollution.

Son choix s’est ainsi porté sur le Zéphir® de TERREAL, un système économique de bardage rapporté en terre cuite (dimension 30 x 60 cm) posé sur une isolation thermique de 15 cm en laine de roche.
Soulignant simplement l’allège du premier étage des façades piétonnières — le reste étant traité en ITE sous un enduit très clair — le bardage recouvre l’intégralité des deux façades côté rue, soit celles les plus exposées aux impuretés de la ville.

La richesse des couleurs de la terre cuite exposée au grand jour 

La pose horizontale du bardage Zéphir® de TERREAL décuple l’architecture du bâtiment est et crée une illusion longitudinale. Couplé à un dégradé de quatre nuances de terre cuite (rouge, rouge-orangé, violine et champagne) et à de légères touches de brillance suscitées par les bardeaux émaillés blancs, l’effet d’optique apporte une harmonie de teintes chaudes et cuivrées en rupture totale avec l’environnement froid des tours de la Défense.

Alexandre Levandowsky, architecte en charge du projet de la rénovation de la Résidence Ancre, souligne : « Nous avons pu convaincre le maître d’ouvrage de faire ce choix plus onéreux à l’investissement initial, avec l’argument qu’il s’avérera plus avantageux en coût global du fait de son incomparable pérennité.
Cette intervention se démarque de ce qui a été fait pour la rénovation d’autres ensembles de logements sociaux du secteur. »

Fiche d’identité réalisation

  • Programme : Rénovation de la Résidence Ancre à Courbevoie  
  • Maître d’ouvrage : OPH Courbevoie Habitat 
  • Maîtrise d’œuvre : Atelier Levandowsky, Architectes.  
  • Date de livraison : 2014 
  • Entreprise Générale : GCEB – Saint-Germain-lès-Corbeil 
  • Matériaux TERREAL mis en œuvre : 3 100 m² de bardage Zéphir® rouge, rouge orangé, violine, champagne et émaillé blanc // photos : ©Olivier Brunet – Terreal

Source Wellcom

08/03/2015

Russie: CERIC rencontre les producteurs au salon CERAMATECH 2015

La 16ème édition du salon des matériaux de construction OCM a eu lieu à Moscou du 27 au 30 janvier 2015. Pour la deuxième année consécutive, CERAMATECH est l’espace dédié aux équipementiers des produits de constructions en Terre Cuite.
De nombreux fournisseurs, membres de l’ECTS ( European Ceramic Technology Suppliers), dont CERIC  y étaient présents.
OCM est désormais un rendez-vous incontournable pour les producteurs de Biélorussie, d’Ukraine ou de Russie.
Certains des clients de CERIC y exposaient leurs produits, à l’instar de l’usine de Byakovo, mise en route en 1995 et dont la production a été récemment augmentée de 35 % (https://www.youtube.com/watch?v=BdoB33ebfw0).
Ces producteurs sont venus  rencontrer CERIC  pour échanger sur de nouveaux projets ou des améliorations de leurs procédés, de leur consommation ou de la qualité de leurs produits. L’étendue des services et des métiers de CERIC est propre à répondre à tous leurs besoins d’évolution.
CERIC propose des solutions rentables comme :

  • des systèmes d’automatisation des manutentions,
  • des régulations des procédés,
  • ou l’utilisation de biomasse dans les process séchage et cuisson.

Ce dernier point a d’ailleurs fait l’objet d’une présentation lors du symposium organisé le 28 janvier par l’ECTS et l'Association russe des fabricants de matériaux de mur en céramique (APKSM).

Source CERIC Facebook

LE BONHEUR AU TRAVAIL

Dans le marasme ambiant qui paralyse le monde du travail, certains chefs d'entreprise ont innové pour le bien-être de leurs salariés. Une démarche qui remet l'homme au centre de la production.
Qui, aujourd'hui, peut se vanter d'être heureux sur son lieu de travail ? Certainement pas les 31% de salariés "activement désengagés" – ceux qui ont une vision négative de leur entreprise et peuvent aller jusqu'à lutter contre les intérêts de cette dernière. Inspiré de l'armée, le modèle d'organisation du travail visant à contrôler l'ensemble des salariés en leur attribuant des tâches limitées a peu changé depuis la fin du XIXe siècle. Aujourd'hui, employeurs comme employés doivent s'accommoder d'un système archaïque qui ne correspond plus à personne : ni efficace, ni rentable. Toutefois, au milieu de l'apathie générale causée par ce dérèglement, certains refusent la fatalité et travaillent à l'entreprise du futur.
Métro, boulot, bingo
Que peuvent avoir en commun le ministère de la Sécurité sociale belge, le géant indien HCL et Chronoflex à Nantes, leader en France du dépannage de flexibles hydrauliques ? Toutes sont des entreprises "libérées". Leur principe : la suppression de toute hiérarchie intermédiaire doublée d'une autonomie totale des salariés à propos des décisions prises pour améliorer leur productivité. Par ailleurs, leurs leaders sont choisis par les salariés. Et cela marche : la croissance de ces sociétés est relancée de manière assez spectaculaire ; les bonus, augmentations et dividendes ne tardent pas à tomber. Martin Meissonnier filme les femmes et les hommes qui, malgré le pessimisme général, ont su sortir du cadre établi pour inventer de nouvelles formes d'organisation du travail. Une bouffée d'air frais bienvenue.

Source ARTE

07/03/2015

Le Qatar investit 12,5 milliards de dollars pour le logement

Afin de se tenir prêt à accueillir la Coupe du monde 2022 de football, et pour faire face à l’accroissement de sa population, le Qatar annonce un investissement de 12,5 milliards de dollars sur 7 ans consacré à la création de nouveaux logements.

Pour mémoire, le Qatar a déjà établi un plan de financement de 200 milliards de dollars pour construire les infrastructures nécessaires à l'accueil du Mondial. Un quart de cette enveloppe (45 milliards) a été dédié à la seule ville de Lusail qui doit accueillir 450 000 personnes ainsi que le stade choisi pour débuter et clôturer la compétition. A noter que « seuls » 3 milliards de dollars ont été dédiés à la construction des enceintes sportives.

Source Construction Cayola

06/03/2015

La construction-éco, un futur label en Tunisie

La Tunisie devrait connaître une autre transition, dans le secteur immobilier. Le passage à l’éco-construction a été le thème débattu lors d’une table ronde organisée le 4 février, au siège de la Confédération des entreprises citoyennes de Tunisie (CONNECT). C’est dans le cadre des 7èmes journées de l’éco-construction que cet événement s’est déroulé. Mais cette transition de la construction classique vers une construction écologique semble être un chemin semé d’embuches.
La communication
«L’éco-construction peine à s’imposer en Tunisie. Ce n’est pas un luxe, ce type de construction doit être un mode de vie», nous a affirmé Faouzi Ayadi, manager d’Invest Consulting et organisateur des 7èmes journées de l’éco-construction. Avant de poursuivre : «Pour promouvoir l’éco-construction, il faut, par le biais de la communication, changer les mentalités, créer une nouvelle dynamique économique et proposer de nouvelles représentations architecturales».
L’éco-construction est un mode de développement durable qui permet de diminuer les consommations d’énergie. L’éco-construction est également appelée “habitat écologique“ ou “construction bioclimatique“. Différents éléments contribuent à sa réalisation. Il s’agit notamment du recours à des matières premières et des matériaux spécifiques, de l’orientation même de la maison, d’une isolation performante et de l’utilisation d’énergies renouvelables.
Si certains ne souhaitent pas construire «éco» parce que les coûts sont onéreux, d’autres ne s’aventurent même pas à construire selon un modèle sur lequel ils n’ont pas assez d’informations. Selon Fahmi Chaabane, il s’agit plus clairement d’un manque de communication sur ce type de construction. «L’absence d’un cadre institutionnel pour sensibiliser les citoyens à l’importance de la construction-éco, le problème des taxes, le manque de main-d’œuvre, la lourdeur administrative et le manque de communication sur les spécificités des régions découragent les citoyens et les promoteurs immobiliers», a énuméré le président de la Chambre syndicale nationale des promotions immobilières en Tunisie, au sein de l’UTICA.
Du point de vue historique, le sud tunisien, notamment Jerba et Nefta, est plus écologique que le nord, estime Faouzi Ayadi.
La communication est indispensable pour coordonner les projets d’immobilier écologique. A travers la communication média et non média, la création de comités ou d’organisations et le partage d’expertise avec des acteurs internationaux, la culture de construire écologique pourrait être admise par les citoyens. «La recherche scientifique est un élément important dans ce processus. Elle permettra d’avoir une idée sur la cartographie de la construction-éco en Tunisie, mais pour l’instant, elle servira les promoteurs immobiliers soucier de découvrir les conditions de sa réalisation selon une base de donnée géologique», a précisé Mohammed Seif Allah Snoussi, chef de la section des affaires générales et techniques à la direction centrale technique, au sein de l’Office national des mines.
La création d’une commission ou d’un observatoire réunissant tous les acteurs, dont les architectes, les ingénieurs, l’UTICA et les promoteurs immobiliers, pourrait également combler à ce vide communicationnel et permettre au citoyen l’accès à l’information.
«Nous devons adopter pour une approche participative et passer à l’action. Notre voisin le Maroc a dépassé le stade de la théorie et a entrepris des actions dans le domaine de l’éco-construction», préconise, pour sa part, Hajer Kacem Ben Amor, secrétaire générale adjointe de l’Ordre des architectes.
Droit ou devoir
Construire «éco» ne relève pas du «chic». Les conditions climatiques dans lesquelles vit l’être humain aujourd’hui n’encouragent plus à adopter le modèle classique et pourraient même transformer la culture écologique en un devoir incontournable.
Pour introduire les citoyens à une culture écologique, le Maroc a lancé le label «Mosquée verte», en 2014, pour inciter ces lieux de culte à réduire leur consommation d’électricité. D’autres pays favorisent également la construction écologique en utilisant de la brique de terre crue, du chanvre, du bois et de la paille. Tandis qu’en Allemagne, la doctrine de construire éco est apparue dès 1969.
«En Tunisie nous ne manquons pas de ressources, la brique à plâtre pourra par exemple être facilement introduite dans le marché tunisien. Sauf que la crise de confiance empêche le citoyen de penser à construire éco, car il n’y est pas habitué», nous a expliqué M. Ayadi. Les crises ne sont pas souvent les causes de l’abstention. La crise pétrolière et l'apparition du syndrome du bâtiment malade ont été, en effet, à l’origine de la construction de ce modèle économique, dans le monde, basé sur l’écologique. «Tant qu’il n’y a pas une économie de l’éco-construction, on ne pourra pas convaincre le consommateur», a ajouté Mohsen Fradi, promoteur immobilier.
L’éco-construction, qui respecte la nature, en matière de conception ou de produit, mais également de la gestion de l’immeuble demeure un phénomène récent en Tunisie. Cela n’empêche pas que le citoyen peine aussi à construire selon le modèle classique, car selon Ayadi, l’immobilier a également connu une hausse assez remarquable des prix avec un rythme de vente modeste.
«Il y a des obstacles psychologique, pour le consommateur désirant construire-éco, puisque c’est un champ en friche. Les citoyens ne sont pas habitués à utiliser des procédés écologiques, mais tellement la qualité de vie est meilleure, dès que l’expérience aboutit, les gens changeront certainement d’avis», espère Faouzi Ayadi.
Deux sœurs avaient construit, récemment, deux maisons limitrophes (classique et écologique) à Bizerte, actuellement en cours de finition. La différence est notamment constatée au niveau du prix et de la qualité des produits et par conséquent de vie. Une autre initiative a été également prise dans ce sens. Un quartier écologique a été conçu et réalisé dans la zone de La Soukra (Tunis), s’étalant sur environ 30 hectares. Ce projet 100% tunisien et 100% écologique sera présenté lors des prochaines journées, qui auront lieu le mardi 10 février.
Avant de devenir un devoir pour le monde entier, la construction écologique est d’abord, pour le Tunisien, un droit constitutionnel comme le souligne Faouzi Ayadi, car tout citoyen a le droit à un environnement sain et équilibré et à un climat sécurisé, comme le stipule l’article 45 de la Constitution. La communication sur ce type de construction s’avère aujourd’hui, plus que nécessaire.
Source Web Manager par Chaïmae Bouazzaoui

ALGERIE- Introduction de la formule "auto-construction" dans le nouveau programme quinquennal

Le ministre de l'Habitat, de l'urbanisme et de la ville, Abdelmadjid Tebboune, a annoncé mardi à Alger, l'introduction dans le nouveau programme quinquennal du secteur 2015-2019, d'une nouvelle formule de logement: l'auto-construction, à travers le lotissement de terrains.
Lors d'une réunion avec les directeurs de l'urbanisme, de l'ingénierie et de la construction, M. Tebboune a précisé que "cette nouvelle formule offre au citoyen l'opportunité de réaliser lui-même son propre logement après acquisition d'une parcelle de terrain et d'une aide financière de l'Etat, à condition de respecter le plan d'urbanisme".
Le lotissement de terrains touchera dans une première étape les wilayas du sud et des Hauts plateaux puis les wilayas du nord dans une seconde étape.
Selon les chiffres du ministère de l'Habitat, 1.098 sites, concernés par le parcellement des terres, ont été localisés, jusqu'à début février, dans 425 communes des Hauts plateaux et du sud.
La superficie globale de ces sites est de 6.699 hectares, permettant la distribution de 295.394 lots de terrains, indique des chiffres du ministère.
La réception des dossiers relatifs au lotissement de terrains a débuté il y a quelques mois dans certaines wilayas. Le nombre des dossiers déposés jusqu'au début de l'année en cours a atteint 146.756 dossiers dont 11.891 ont été traités.
Le ministère aspire à augmenter le nombre de parcelles de terrain destinées à l'auto-construction à près 400.000 à fin 2015, contre 295.000 parcelles actuellement.
M. Tebboune a appelé les Directeurs de l'urbanisme dans chaque wilaya à intensifier leurs efforts pour déterminer les terrains concernés par cette formule, estimant qu'il s'agissait là de "l'une des priorités du secteur en matière d'urbanisme".
Il a, en outre, préconisé d'accorder un intérêt particulier à l'aspect architectural lors de l'opération de lotissement de terrains de manière à s'assurer que les terrains morcelés peuvent accueillir des cités intégrées où les autorités publiques n'auront pas de difficultés à intervenir pour y construire les structures nécessaires (écoles, centres de santé, espaces publics, marchés, mosquées et autres).
"Nous ne voulons pas reproduire les bidonvilles et l'habitat précaire, mais plutôt construire des cités qui seront le cœur battant des villes futures, avec l'aide de l'Etat et des citoyens", a ajouté le ministre.

Source Radioalgérie

05/03/2015

Saint-Gobain annonce ses résultats

Saint-Gobain annonce un chiffre d’affaires de l’ordre de 41 054 millions d’euros en 2014 en baisse de 1,7 % par rapport à 2013 (41 761 millions d’euros). Toutefois, le CA 2014 progresse de 2,2 % à données comparables.

« L’année 2014 a confirmé l’amélioration des résultats du groupe malgré un contexte macroéconomique difficile en France et incertain en Allemagne, a commenté Pierre-André de Chalendar, PDG de Saint-Gobain. Les autres zones géographiques ont enregistré un bon niveau de croissance. Nous avons partout poursuivi nos efforts d’adaptation des coûts. »
Il poursuit : « Cette année le groupe a engagé une évolution importante de son portefeuille d’activités. Le projet d’acquisition du contrôle de Sika et le lancement d’un processus concurrentiel de mise en vente de Verallia marquent l’accélération de la mise en œuvre de la stratégie énoncée en novembre 2013. »

Source Construction Cayola

04/03/2015

17 maisons positives à 1200 euros le m2 !

Non, le Bepos n'est pas hors de prix ! Le promoteur-constructeur Elgéa débute en avril le chantier de 17 maisons groupées en Seine-et-Marne pour 1200 € HT/m².

Le marché de la maison individuelle repartira-t-il en 2015 ?
Comme le dit Tomislav Paunovic, Directeur Technique d'Elgéa, « Notre entreprise est née en 2009 seulement. Dès le départ, pour réussir, l'idée est de faire mieux que les autres. Nos premières opérations sous la RT2005 étaient systématiquement labellisées BBC Effinergie. Avec l'entrée en vigueur de la RT2012, nous ne pouvions pas en rester là.
Nous avons tout de suite décidé de tenter de construire toutes nos maisons en Bepos Effinergie 2013. Ce n'est pas simple, car nous visons les primo-accédants, qui subissent, comme chaque le sait, les contraintes financières importantes. Début 2013, ce challenge que nous sommes imposé à nous-mêmes était clairement formulé : nous devons construire des maisons Bepos destinées aux primo-accédants pour moins de 1500 €/m².
Ce qui, au demeurant, est parfaitement logique. Pour acquérir leur première maison, nos clients vont s'endetter pour 20, 25 ou 30 ans. Comment accepter que leur bien si difficilement acquis soit dévalorisé par l'avènement d'une nouvelle réglementation thermique plus exigeante, 3 ou 4 seulement après sa livraison ? Avec le Bepos, ils sont sûrs qu'on ne pourra pas faire mieux et que le label Bepos Effinergie protège la valeur de leur bien. »
17 maisons groupés
« Avec cette première opération de 17 maisons Bepos Effinergie à Vert-Saint-Denis (77), poursuit Tomislav Paunovic, nous atteignons nos objectifs et encore mieux que le pensions possible. Les maisons seront labellisées pour un prix de vente variant de 224 000 € pour une maison de 4 pièces de 76 m² à 290 000 € pour une maison de 5 pièces de 195 m² avec 300 m² de terrain.
En termes de coût de construction, une maison de 4 pièces (75 m²) revient à 91 000 € HT, soit 1 200 € HT/m² de surface habitable, sans compter le foncier, ni la voirie, ni l'aménagement des parcelles. L'équipe dirigeante d'Elgéa a déjà une bonne expérience de l'immobilier à son actif. Dans le cas des deux associés, Eric Lecoq est ancien de Bouygues Immobilier, tandis que Joseph Gigliotti a passé près de 20 ans en Entreprise Générale.
De mon côté, j'ai passé 30 ans chez Bouygues Immobilier. Nous sommes particulièrement fiers de pouvoir construire en Bepos à des prix aussi optimisés. En plus, nous n'y parvenons pas en écrasant les entreprises. Au contraire, nous avons tout de suite engagé un long travail collaboratif avec Pouget Consultants, le BE thermique pour cette opération, et les entreprises que nous avions choisies.
La décision de construire en Bepos Effinergie 2013 a été prise avec Pouget Consultants. Dès le départ, nous avons expliqué aux entreprises que nous voulions atteindre ce but : du BEPOS pour les primo-accédants à moins de 1500 € HT/m² de coût de construction. Et nous leur avons demandé comment nous pouvions l'atteindre, sans qu'aucun des participants à ce chantier ne soit lésé. Aucune entreprise ne doit perdre d'argent dans cette affaire. »
Tout vient de la conception
Selon Myriam Dardard, responsable du Pôle Conseil Construction chez Pouget Consultants, « atteindre le label Bepos Effinergie 2013 n'est pas une mince affaire. Ce label demande premièrement une grande performance de l'enveloppe et exige Cmax-20% par rapport au Cmax RT2012. Deuxièmement, il demande une perméabilité à l'air de 0,4 sous une dépression de 4 Pa au lieu de 0,6 m3/(h.m²) pour la RT2012 ».
Elgéa et Pouget Consultants ont décidé de conserver des techniques de construction classiques, que les entreprises connaissent depuis longtemps et maîtrisent bien. Résultat, le choix s'est porté sur briques monomur, une isolation par l'intérieur, des combles perdus et des toitures mono-orientées. Mais, ce gros œuvre classique a été soigneusement optimisé pour réduire les temps sur chantier et diminuer les coûts.
Pour ces 17 maisons, seulement 4 dimensions de châssis de fenêtres et de porte-fenêtres ont été retenues, de manière à réduire les coûts et à simplifier la pose. L'escalier préfabriqué en béton est identique dans toutes les maisons à étage. Les dimensions des maisons sont conçues « à trumeau » : en fonction des tailles des briques, pour limiter les recoupes sur chantiers, supprimer des pertes de temps et réduire le volume de déchets à collecter et à évacuer.
Les toitures sont conçues à calepinage des tuiles, toujours pour réduire découpes et déchets. Les murs portent une isolation par l'intérieur de 16 cm de laine de verre (Up = 0,16 W/m².K). Les combles perdus portent une isolation de 40 cm de laine de verre (Up = 0,08 W/m².K), puis une toiture à pan unique avec une pente de 14,5°.
Les planchers sont isolés grâce à des hourdis isolants en PSE sous chape, puis par 8 cm de polyuréthane sous la chape. Les fenêtres sont PVC double vitrage, leur Uw = 1,3 W/m².K. La ventilation est assurée par une très classique VMC simple flux Hygro B, classe A.
Des besoins de chauffage très réduits
Avec cette conception de bâti optimisée, les besoins de chauffage deviennent extrêmement faibles. Pour une maison de 86,12 m², par exemple, les déperditions de chaleur par -7°C à l'extérieur n'atteignent que 3 523 W. En ajoutant une surpuissance pour le redémarrage par temps froid, la puissance de chauffage installée dépasse à peine 4 kW.
Le chauffage et la production d'ECS sont pris en charge par une chaudière gaz murale mixte instantanée, à condensation ThemaPlus Condens F30 de Saunier Duval (24,5 kW avec un rendement sur PCI de 109,2% à charge partielle). Des radiateurs panneau-acier très classique, avec robinets à têtes thermostatiques et thermostat programmable centralisé, diffusent la chaleur dans les maisons. Tout cela n'a vraiment rien d'exceptionnel et c'est ce qui a permis des coûts de construction très tirés.
EDF ENR se charge du photovoltaïque
Pour produire l'électricité nécessaire pour rendre ces maisons BEPOS, Elgéa a conclu un partenariat avec EDF ENR qui installe des panneaux photovoltaïques Photowatt de 250 Wc, assure leur mise en service, ainsi que le raccordement au réseau ErDF et les démarches administratives pour obtenir des contrats de rachat de l'électricité Photovoltaïque.
EDF ENR garantit la productivité des panneaux photovoltaïques durant 25 ans. Ses onduleurs Powerone (PVI = 4,6) sont garantis 20 ans, pièces et main d'œuvre. 33,6 m² de panneaux sont posés sur les maisons T5, soit 5,250 kWc. Le chantier commence en Avril 2015 et devrait durer 18 mois. Le prochain challenge d'Elgéa consiste à réduire les coûts du BEPOS en logements collectifs.
Source : batirama.com par  Pascal Poggi

Qu'est ce qui constitue un acte de concurrence déloyale ?

Afin de pouvoir attaquer un commerçant sur le fondement de l'acte de concurrence déloyale dans un litige et ,de ce fait, obtenir une sanction, il faut avoir à l'esprit que cette notion ne se situe pas dans le domaine répressif. Traditionnellement, l'action est exercée sur le fondement de la responsabilité délictuelle régie par l'article 1382 et 1383 du code civil.

La mise en jeu de cette article suppose alors une triple condition cumulative : d'une part l'existence d'une faute
puis la survenance d'un préjudice
et enfin l'existence d'un lien de causalité entre la faute et le préjudice.
La faute
Elle est définie comme une pratique contraire à une loi, un règlement ou encore à des usages et n'a pas a revêtir de caractère intentionnel.

Celle-ci peut être de trois formes : il peut s'agir du dénigrement, de la confusion ou encore de la désorganisation.
Le dénigrement : C'est le fait de jeter le discrédit sur la personne, le produit, le service d'un concurrent.
Par exemple le slogan : " Nous avons l'ambition de vous offrir le premier vrai magazine français de karaté " a été jugé constitutif de dénigrement car il fait subsister un doute sur le caractère français des magazines concurrents.
La confusion : créer dans l'esprit du public une confusion avec l'entreprise concurrente de telle sorte que la clientèle se trompe et soit attirée.
Remarque : l'intention de nuire n'est pas obligatoire , une simple négligence suffit comme par exemple avoir une vitrine de magasin ressemblant à celle d'un concurrent voisin.
Par exemple, la confusion a été retenue dans le cadre du contentieux opposant les entreprises de vente par correspondance " La redoute " et " Les 3 suisses " à propos de leur publicité relative aux délais de livraison.(les 48 heures chrono de la redoute et les 24 heures des 3 suisses)
La désorganisation : il s'agira soit d'une désorganisation interne de l‘entreprise concurrente (révélation
de secret, espionnage, détournement de fichier…), soit d'une désorganisation de l'activité ou des méthodes commerciales du concurrent. Par exemple, la suppression de panneaux publicitaires du concurrent, le détournement de commande etc…
En exemple, nous citerons le contentieux qui a opposé les deux chaînes de télévision TF1 et Antenne 2 dans lequel un animateur vedette avait été débauché d'Antenne 2 pour aller présenter une émission similaire et à la même heure sur la chaîne concurrente. Cette affaire fut une des plus importantes dans ce domaine atteignant des sommes d'indemnisation de l'ordre de 50 millions de francs.
Le préjudice :
Il se caractérise par une perte de clientèle qui elle même se traduit par la baisse du chiffre d'affaire de la " victime " et ceci dans un courant d'affaire identique.
Les tribunaux affirment qu'il importe peu que cette perte de clientèle ait profité ou non à l'auteur de l'acte délictueux.
De manière générale, et c'est un courant qui s'est généralisé, les tribunaux ont actuellement tendance à faciliter la preuve du préjudice allant même jusqu'à induire automatiquement un préjudice en présence d'une faute sans que la victime ait à le prouver.
Le lien de causalité :
Comme pour la preuve du préjudice, la jurisprudence a allégé le mécanisme. Il n'est donc plus nécessaire de prouver le lien de causalité, celui-ci est supposé exister du moment qu'il y a une faute.
Remarque :
Il faut noter aussi l'existence d'une autre notion introduite postérieurement dans la doctrine française : le PARASITISME.
Le parasitisme se définit comme " le fait pour un tiers de vivre en parasite dans le sillage d'un autre en profitant des efforts qu'il a réalisés et de la réputation de son nom et de ses produits ".(Mr Y. Saint-Gal)
En exemple nous pourrons citer un contentieux qui fit date : l'interdiction du nom " Champagne " pour un parfum car ce dernier profitait des investissements effectués par les producteurs de champagne dans le but de s'approprier la notoriété liée à cette boisson.
Quelles sont les sanctions punissant les actes de concurrence déloyale ?
Tout d'abord, les juridictions compétentes sont, selon le cas, le tribunal de commerce, le Conseil des Prud'hommes ou les tribunaux civils .
La sanction sera la suivante : dommages-intérêts , publication de la sanction et enfin une cessation de l'activité frauduleuse.
Il est souvent reproché à cette procédure d'être trop lente est donc de perdre en efficacité.
Dans ce cas la victime aura la possibilité d'agir en référé comme le prévoient les article 809 (quand l'action est portée devant le Tribunal de Grande Instance) et 873 (quand l'action est portée devant le Tribunal de Commerce) du nouveau code de procédure civile. Cette procédure possède l'avantage d'être beaucoup plus rapide que la précédente ce qui est non négligeable dans ce genre de litige.

Source Juripole pratique

03/03/2015

Foulayronnes (47) - L'AFPA visite l'entreprise Monier, expert de la toiture

L'ensemble des participants des formations maintenance industrielle, accompagnés du formateur de l'AFPA (Association pour la formation professionnelle des adultes) de Foulayronnes, ont visité l'entreprise Monier, située à Aiguillon (47). Expert de la toiture, Monier France propose une offre large de solutions de toitures pour répondre à tous les besoins des clients sur les marchés du neuf et de la rénovation.
L'entreprise Monier d'Aiguillon, tuilerie «Minéral», d'un effectif de quarante-quatre personnes et produisant plus de treize millions de tuiles par an, a organisé la visite de leur ligne principale de production. Le groupe a été accueilli par Daniel Coutinho, directeur du site, pour une présentation générale de l'entreprise ainsi que les consignes de sécurité à respecter.
Le responsable maintenance, Joseph Falchetto, a ensuite conduit la visite, pour présenter la fabrication des tuiles «Minéral» en partant de la préparation des matières premières, l'extrusion des tuiles, le revêtement de surface, le séchage jusqu'à la palettisation robotisée.
Les visiteurs ont également visualisé lors du parcours les nombreuses armoires électriques et leurs automates ainsi que l'atelier de maintenance.
«Cette visite très instructive et représentative des environnements industriels est un geste très important. Il participe à l'accompagnement technique des nouveaux venus dans le métier de la maintenance industrielle», conclut le formateur de l'AFPA Jean-Paul Matamoros.

Source La Dépêche

Il a été construit plus de logements que l'on croyait

Tous les mois, le SOeS, service statistique du ministère en charge du logement, publie les chiffres de la construction de logements neufs : le nombre de logements autorisés et le nombre de logements mis en chantier. Ces données constituent de véritables indicateurs de l'activité du bâtiment.
Jusqu'à présent, les chiffres communiqués étaient recensés auprès des services chargés d'instruire les demandes de permis de construire. Ils étaient donc publiés avec un certain délai et soumis à divers aléas de collecte. Désormais, les chiffres communiqués sont calculés à l'aide d'un modèle statistique pour donner une information en temps réel et des résultats plus fidèles à la réalité du terrain. Appliqués aux données disponibles depuis janvier 2000, les nouveaux indicateurs sont rétroactifs. Ils permettent donc d'ajuster les chiffres antérieurs à 2015 et de suivre leurs tendances.
Autorisations de construire : des tendances identiques décelées plus tôt
La nouvelle courbe des autorisations reste proche de sa version antérieure. Les tendances observées sont similaires mais décrites plus tôt. La crise de 2009 apparaît plus marquée ; en revanche, le rebond de 2012 est de moindre ampleur. En 2014, le nombre d'autorisations reste identique.
Mises en chantier : des chiffres revus à la hausse à partir de 2007
Les niveaux sont revus à la hausse à partir de 2007. En 2014, 356 000 logements ont été mis en chantier, soit une majoration de 58 000 logements par rapport aux résultats de la précédente méthode. La reprise des mises en chantier après la crise de 2008-2009 est plus rapide. Le point haut est atteint mi-2011 au lieu de début 2012 et la baisse entre 2011 et fin 2013 est moins prononcée. En revanche, la baisse du nombre de mises en chantier entre 2013 et 2014 est à peine plus marquée (de -10,3 % à -11,3 %).
Même si ces chiffres sont meilleurs qu'espéré, la baisse des mises en chantier suit la même pente avec les deux méthodes de calcul. Elle montre bien la régression de la construction depuis 2012.

Source Batijournal

02/03/2015

Imerys a rénové la toiture de la Cense Abbatiale de Mons-en-Pevèle

Dans le cadre d'un projet de mécénat, Imerys toiture a participé à la rénovation de la toiture de la Cense Abbatiale de Mons-en-Pevèle, près de Lille, datant du XIVe siècle.

Imerys Toiture s'engage, via sa fondation "Terre, Nature et Solidarité" à préserver des lieux de mémoire et des monuments liés au patrimoine.
Dans ce cadre, le spécialiste des tuiles en terre cuite a participé à la restauration de la Cense Abbatiale de Mons-en-Pevèle, près de Lille datant du XIVe siècle. Pour cette opération, 125 m2 de tuiles Monopole N°1 ont été utilisées et deux semaines de chantier ont été nécessaires. "À travers ce chantier, Imerys Toiture souhaite sauvegarder le patrimoine culturel régional de cette commune de 2.000 habitants tout en mobilisant et en fédérant les acteurs régionaux autour d’un même projet. Les tuiles Monopole N°1 utilisées pour la rénovation de la toiture sont issues de l’usine locale de Wardrecques qui emploie plus de 40 personnes... ", précise Imerys.
Depuis cet automne, le bâtiment abbatial revit abritant également un musée communal appelé "La salle des batailles" retraçant la bataille du 18 août 1944 où soldats français et flamands se sont affrontés en ce lieu.

Source Batiactu

Imerys: se tasse après ses comptes annuels.

Imerys a terminé son exercice 2014 sur un résultat net part du groupe en hausse de 12,2% à 271,6 millions d'euros (4,15 euros par action). A données courantes, la hausse est ramenée à 4%. Soulignant le retour de la croissance organique des ventes après une contraction de 1,3% en 2013, la direction se montre relativement optimiste quant à l'exercice 2015.
Le dividende proposé à la prochaine AG sera relevé de 3,1% à 1,65 euro.
Sur la période, les ventes courantes se sont tassées de 0,3% à 3,7 milliards d'euros. A périmètre et changes constants, une hausse de 3,2% est cependant constatée. Elle était de 4,4% au premier semestre.
Le résultat opérationnel courant a augmenté de 3,7% à 494,6 millions d'euros, soit une marge de 13,4% en hausse de 0,5 point de pourcentage.
PDG du groupe, Gilles Michel a estimé qu''Imerys a retrouvé une croissance organique positive en 2014, amélioré sa rentabilité dans toutes ses branches d'activité, et atteint son objectif de progression du résultat courant net.
En guise de perspectives, Gilles Michel a déclaré : 'nous poursuivrons avec confiance notre développement en 2015, en adaptant, avec réactivité, notre dispositif industriel à la demande et en saisissant les opportunités offertes par l'évolution de l'environnement mondial. En intégrant prochainement S&B, dont les résultats 2014 ont été solides, Imerys affirme sa volonté de continuer à renforcer son potentiel de croissance'.
'En 2015, le groupe s'attachera à rester très réactif et saura adapter son dispositif industriel, sa structure de coûts et son offre de produits sur les marchés qui évolueraient défavorablement, mais aussi pour saisir les opportunités que pourraient présenter les variations des devises et la baisse des prix de certains facteurs de production. La dynamique des projets d'innovation et des nouveaux développements d'Imerys va se poursuivre, alors que la contribution des proppants sera moindre', indique la direction.
Chez Aurel BGC, on estime ces résultats en ligne avec les attentes et 'solides', en ajoutant : 'certes, le groupe aura à faire face à la baisse du marché des proppants en 2015, mais le CA généré par cette activité est inférieur à 3% du consolidé'. En dépit des incertitudes macroéconomiques, les analystes soulignent aussi la 'confiance du management dans l'avenir'.
'Le marché pourrait donc de nouveau s'intéresser à la valeur, alors que le titre Imerys a vécu une traversée du désert en 2014 (-3,5%) après un épisode de re-rating en 2013 (+31%)', pronostiquent encore les spécialistes, tout en se montrant prudents à court terme, notamment pour des raisons de valorisation. Leur conseil de 'conserver' la valeur et la cible de 60 euros sont donc confirmés à ce stade.

Source L'Express votre argent

01/03/2015

CERIC, 50 ans d’expérience et de savoir-faire au service des industriels de la terre cuite et des céramiques techniques.

Créé en 1960 par Michel Rasse et Jean Mérienne, ingénieurs spécialisés issus du Centre Technique des Tuiles et Briques, CERIC (Centre d’Etudes et de Réalisations Industrielles et Commerciales) a été fondé pour la réalisation d’équipements et le développement de technologies dans le domaine des matériaux de construction en terre cuite, et pour la conception de nouvelles unités de production. CERIC a été, et est toujours un acteur essentiel dans l’évolution de cette profession en développant et en maîtrisant chacune des technologies nécessaires à ce métier :

  • Le traitement des matières premières et la mise en forme des produits,
  • La thermique industrielle: séchoirs, fours, brûleurs,
  • Les manutentions automatiques et la robotique,
  • Les mesures, les automatismes et l’informatique industrielle pour la supervision des usines.

CERIC a d’abord entamé ses activités en France, en démontrant sa capacité à maîtriser et adapter les technologies modernes, afin d’apporter des solutions nouvelles. Dans le cadre des partenariats avérés, les innovations apportées par CERIC ont permis à ses clients d’acquérir des positions prépondérantes sur leurs marchés.
CERIC a ensuite exporté sa technologie et ses innovations en Europe, en Australie puis aux USA, et au fur et à mesure de son évolution, des bureaux techniques et commerciaux ont été créés en Espagne, en Italie, en Afrique du Nord, en Russie et en Ukraine.
En Mars 2010, CERIC prend le nom de CERIC Technologies et se reconcentre sur son coeur de métier : la transformation de l’argile.

Source CERIC TECHNOLOGIES

Les mises en chantier en baisse de novembre à janvier

Les mises en chantier de logements neufs ont reculé de 9,4% de novembre à janvier sur un an, annonce le ministère du Logement, qui a entièrement révisé sa méthode de calcul.

Dans le même temps, le nombre de permis de construire accordés pour des logements neufs a chuté de 7,5% à 85.600 par rapport à la même période de l'année précédente.
Par type de constructions, sur la période, les mises en chantier de logements ordinaires sont ressorties en baisse de 8% à 78.800 unités, selon l'estimation du ministère. Celles des logements en résidence (pour seniors, étudiants, de tourisme) ont mieux résisté, avec un léger recul de 1,7% à 6.800 unités.
Sur 12 mois, à fin janvier, le recul est de 8,2% pour les permis de construire, qui s'élèvent à 374.500, indique le ministère. Et sur la même période, les mises en chantier ont cédé 11,6% pour s'élever à 352.900, selon une nouvelle méthode statistique.
Nouveaux indicateurs mensuels
Le ministère du Logement a dévoilé de nouveaux indicateurs mensuels, qu'il estime plus fiables, pour évaluer les logements mis en chantier. Sa nouvelle méthodologie, appliquée désormais, conduit à comptabiliser plusieurs dizaines de milliers de logements supplémentaires par an, ces dernières années.
Jusque-là, les données publiées par le service de l'observation et des statistiques (SOeS) du ministère se basaient sur les déclarations d'ouverture de chantier, saisies administrativement.
Or ces chiffres pâtissaient de "trous de collecte", car un certain nombre de demandeurs de permis de construire omettaient de les transmettre, a affirmé le ministère.
Modèle statistique fiable
Désormais, le nombre de logements mis en chantier est calculé à l'aide d'un modèle statistique "fiable", censé délivrer "une information en temps réel de la conjoncture" et fournir des "résultats plus fidèles à la réalité du terrain".
Les données collectées sont ainsi complétées par des enquêtes annuelles et croisées avec d'autres paramètres (stock de logements invendus des promoteurs, taux d'intérêt, moral des ménages...), a précisé le ministère.
Source : batirama.com / AFP

28/02/2015

«Atouterre» : la terre crue mise à l'honneur

Briquetiers, architectes, maçons, décorateurs… Une cinquantaine de professionnels de la terre crue se sont réunis, le 26 janvier dernier, à Montels, pour la rencontre bimestrielle du collectif «Atouterre». Fondée en mai 2013, cette association a pour objectif de promouvoir la terre crue, élément naturel et local, en tant que matériau de construction et de rénovation. Sympathisants et adhérents ont profité de cette invitation à la ferme d'Icart, rendue possible grâce à l'hospitalité du Parc naturel régional, pour échanger autour de la terre crue et de ses utilisations.

Parmi les acteurs présents, on relève notamment Laurelyne Meunier, responsable du conseil d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement d'Ariège. Elle a souligné l'utilité des fiches «systèmes constructifs traditionnels en Midi Pyrénées», prônant l'utilisation de la terre cuite dans les nouvelles constructions. La réunion a aussi été marquée par l'intervention de Paul Garrigues, de l'association Maison paysanne de France, et celle de Jean-Paul Gleizes (ECORCE, association ariégeoise d'écoconstruction). Ils ont présenté l'habitat vernaculaire ariégeois et détaillé la réglementation autour des carrières d'argile.
Et la science fut
Enfin, Jean-Pol Fortune, minéralogiste, et Jean-Emmanuel Aubert, ingénieur au laboratoire matériaux et durabilité des constructions à l'INSA de Toulouse, ont présenté les différents types d'argile et leurs applications dans le secteur du bâtiment. «Grâce à leurs explications, nous avons compris les mécanismes de dégradation de l'argile et les différentes sortes qui en résultent» explique Michèle Bailly, décoratrice en Ariège et Haute-Garonne.
«Atouterre» a également été mandaté par la direction de l'habitat au ministère de l'Écologie pour travailler sur «le guide des bonnes pratiques de la construction en briques de terre crue». Un travail dont l'aboutissement est prévu dans trois ans.
Source La Dépêche du Midi

27/02/2015

Deauville- Les 500 000 tuiles du toit de l'hôtel Normandy seront bientôt toutes changées

Le groupe Barrière poursuit son important programme de rénovation de ses hôtels. Le Normandy entre dans une nouvelle phase de travaux.

Cela n’a échappé à personne, le décor du centre de Deauville a changé d’aspect ces temps derniers. Bien emballée sous des bâches en trompe l’oiel l’aile côté Printemps de l’hôtel de Normandy se refait une beauté.
C’est parti pour cinq mois mois de travaux. Après un premier mois consacré au montage des échafaudages et à la pose des bâches de protection, pendant trois mois, l’aile sera sans dessus-dessous pour être refaite au-dessus et en-dessous. Le dernier mois sera consacré au démontage de la structure.
Le chantier vient donc d’entamer une nouvelle phase qui vise à rénover 6 000 m² de toiture de l’hôtel. La surface sera entièrement rénovée pendant encore deux ans et demi. Le coût du total des travaux s’élève à 9 millions d’euros. Pendant qu’en altitude les couvreurs procèdent au changement des 500 000 tuiles faites sur mesure par les tuileries de Bavent, au-dessous les chambres sont elles aussi en pleine transformation.
Lorsque nous effectuons des travaux sur la toiture, nous en profitons pour installer la climatisation dans les chambres et procéder à plusieurs améliorations » note Julien Michelot, directeur adjoint de l’hôtel.
Autrefois en bois les fenêtres sont désormais en PVC avec double vitrage.
Les tentures murales et les moquettes sont déposées et remplacées par des neuves, des corniches sont ajoutées aux plafonds pour y intégrer des spots et faire passer les câblages complète Julien Michelot.
Une dizaine d’entreprises s’affaire ainsi, pour que l’hôtel de légende conserve son authenticité tout en offrant le confort moderne. Au total, 40 des 290 chambres que compte l’hôtel seront transformées.
Source le Pays d'Auge par Sophie Quesnel

26/02/2015

La briqueterie Capelle à l'honneur

«Il y a déjà 3 ou 4 ans que Christine mon épouse avait envoyé un courrier à l'émission de Laurent Boyer pour lui présenter la Briqueterie. Nous n'avons pas eu de nouvelles jusqu'en décembre dernier.» Bernard Capelle, chef d'entreprise de la briqueterie du même nom à Grépiac vient de participer à la célèbre émission diffusée sur France 3 à 11 heures et retransmise dans la nuit «Midi en France». «La production nous a alors dem
andé si on voulait participer à la prochaine émission qui serait tournée à Toulouse.
Nous avons dû nous organiser et contacter pour les besoins du reportage des amis, des visiteurs et également le club d'entreprises Aléva. ça a été fait au pied levé mais tous sont venus avec plaisir à la briqueterie. Là, Alain Busca de Miremont, le technicien de fabrication, a expliqué au public, comme lui et ses employeurs le font régulièrement, la fabrication des briques et briquettes», raconte Bernard. «Nous avons été ensuite conviés avec mon frère Jean-Pierre, mes enfants Jérôme et Céline et Céline 2, ma belle-fille, sur le tournage. C'était très convivial, Nathalie, la chroniqueuse a été efficace, tout se déroulait de manière fort sympathique. J'ai aidé à installer le stand car j'avais apporté plusieurs exemplaires de notre production pour le décorer.»
Elle a été fort bien mise en scène, filmée et mise en valeur lors de la diffusion du reportage qui retraçait le savoir-faire centenaire de la briqueterie. «C'était le jour où les Chevaliers du Fiel étaient sur le plateau et nous avons passé un moment formidable» rapporte encore Bernard.
Bien que l'entreprise soit bien implantée dans la région toulousaine et un peu plus loin, elle a reçu, suite au reportage plusieurs appels pour des devis. Un plus qui fait plaisir aux Capelle avec surtout la joie de raconter leur passion et leur métier au plus grand nombre. Cette nouvelle expérience a mis la famille à l'honneur, une fois encore parce que ce savoir-faire qui se transmet de générations en générations, c'est une histoire familiale mais c'est aussi un peu de la vie et du patrimoine local.
Une nouvelle visite
Le 23 mars, la famille Capelle recevra dans ses murs le collectif «Terre crue». Il regroupe maçons, architectes, utilisateurs, négociants, fabricants. Tous ces professionnels qui utilisent la terre visiteront la briqueterie.
Source La Dépêche du Midi

25/02/2015

TERREAL nomme Yvan Fernon au poste de Directeur de l’Exploitation

Après la nomination d’Adeline Léger en tant que Directrice de la Communication et de la Stratégie Digitale, le Groupe TERREAL renforce son équipe managériale pour soutenir son ambition de croissance avec l’arrivée d’Yvan Fernon en qualité de Directeur de l’Exploitation.

Ingénieur de l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées (Paris), Yvan Fernon, 57 ans, débute sa carrière professionnelle en 1981, dans la société ESSO SAF, Raffinerie de Fos-sur-Mer, comme Ingénieur Etudes Techniques avant de prendre la fonction de Responsable Service Energie et Responsable Service Expéditions.
Il intègre International Paper, société spécialisée en pâte à papier, papier et packaging, en 1987 et y occupe successivement les postes de Directeur de Production, Directeur Technique et Directeur des Papeteries du Souche.
Il rejoint le groupe MONIER (ex Lafarge Roofing) en 2002 en tant que Directeur Opérations Usines Béton chez Lafarge Couverture, puis Directeur Industriel Terre cuite Lafarge Couverture, Directeur Industriel Monier Benelux et Directeur Industriel Monier SAS.
En juillet 2014, il est nommé Directeur de l’Exploitation du Groupe TERREAL en charge de toutes les usines de TERREAL France.
Il manage une équipe de six Directeurs de pôle.

Ses missions principales consistent à :

  • accroître la compétitivité des 14 usines terre cuite en France en s’appuyant sur une démarche d’excellence opérationnelle et en développant les compétences des collaborateurs, 
  • améliorer la culture sécurité afin de réduire le taux de fréquence des accidents, 
  • industrialiser les nouveaux produits pour l’enveloppe du bâtiment et assurer un niveau de qualité irréprochable, 
  • améliorer l’efficacité énergétique et la réduction de l’impact de TERREAL sur l’environnement.

24/02/2015

Adeline Léger rejoint le Groupe TERREAL en qualité de Directrice de la Communication et de la Stratégie Digitale

Pour accompagner le développement de son projet stratégique « TERREAL 2020 », le Groupe TERREAL réorganise son équipe de communication avec l’arrivée d’Adeline Léger au poste de Directrice de la Communication.
Cette création de poste a pour vocation de garantir une cohérence dans la communication de l’entreprise et de relancer une dynamique forte autour des trois axes prioritaires dans la vision future du Groupe à savoir : une approche globale de l’enveloppe du bâtiment responsable et durable, le développement de la marque employeur ainsi que l’excellence opérationnelle de TERREAL.
Diplômée d’un DEUG en Science de la Matière à l’Université de Paris XI, d’une Maîtrise en Sciences Chimiques ainsi que d’un AESS de Chimie à l’Université Libre de Bruxelles et d’un Achieving Outstanding Performance à l’INSEAD de Fontainebleau, Adeline Léger, 35 ans, travaille dans le secteur de la communication et du marketing depuis plus de 8 ans. Elle débute sa carrière professionnelle en 2005 au sein de l’Agence MarquetisOne comme Chef de Projets puis Directrice de Clientèle en charge des budgets industrie et bâtiment et en 2008, elle devient associée du Groupe. En 2011, elle devient Directrice de l’entité Networks Technology, Business Unit « web & nouvelles technologies », du Groupe Marquetis.
En juin 2014, elle rejoint le Groupe TERREAL en qualité de Directrice de la Communication et de la Stratégie Digitale sous la direction d’Hervé Gastinel, Président.
Ses missions consistent d’une part à définir la stratégie de marque de TERREAL, reflet du projet d’entreprise TERREAL 2020 et à augmenter la notoriété, la visibilité et l’attractivité de l’entreprise.
D’autre part, elle devra digitaliser la relation client et diffuser la culture digitale chez TERREAL, tout en développant l’identité web du Groupe et renforcer la présence de l’entreprise sur les réseaux sociaux.

 « L’expertise d’Adeline Léger en communication dans le secteur de l’industrie et du bâtiment représente une véritable valeur ajoutée pour TERREAL. Sa venue nous apporte un souffle nouveau qui renforce notre engagement en faveur de la construction positive, à l’appui du projet Terreal 2020. » affirme Hervé Gastinel, Président du Groupe TERREAL.
Source Wellcompresse

23/02/2015

La maison de paille, grande écologique

Le laboratoire d’énergie solaire et de physique du bâtiment de l’EPFL, à Lausanne, s’est intéressé au bilan énergétique d’une maison en paille, prenant en compte les matériaux employés, mais également sa déconstruction. Il en ressort, selon les premiers résultats, un impact quasi nul sur l’environnement. De quoi faire de cette solution de construction la plus écologique de toutes.
Le décryptage de la construction en paille
Passée ces dernières années de l’auto-construction à des réalisations davantage industrialisées, la paille a en effet pris la place des briques et blocs béton pour construire des murs porteurs tout aussi résistants. Les techniques se sont également développées avec l’emploi de solutions spécifiques pour créer ce matériau de construction dans une forme adaptée. C’est l’ensemble de ces éléments qu’a étudié l’École Polytechnique de Lausanne. Celle-ci s’est intéressée aux performances de la maison en bottes de paille pour en connaître l’impact réel, en prenant pour référence le bâtiment public ECO-46, construit récemment à Lausanne.
Tous les éléments ont été pris en compte, de la plantation aux données envisagées de déconstruction, comprenant aussi les techniques et équipements employés pour la réalisation des bottes de paille destinées à la construction. Il en ressort que si celles-ci étaient, lors de la destruction, recyclées pour être utilisées en tant que combustible pour un équipement de chauffage, le bâtiment présenterait sur tout son cycle de vie un impact quasi nul sur l’environnement. Une performance unique.
Un bâtiment toujours plus écologique
Le bâtiment étudié bénéficie ainsi d’un bilan énergétique très positif, aidé aussi par les autres matériaux utilisés. Les 260 bottes de paille ont été recouvertes d’un enduit terreux. Les ouvertures bénéficient d’un triple vitrage et une ventilation double flux a été mise en place, relayée par une ventilation naturelle lors des nuits estivales. Elle est aussi équipée de panneaux photovoltaïques et d’un toit végétalisé. Sa consommation électrique est, dans son fonctionnement courant, inférieure à 10 kWh/m²/an.
Cette étude met plus généralement en avant la performance écologique de ces réalisations, également très résistantes. Avec un compressage de l’ordre de 250 kg/m3, c’est-à-dire bénéficiant d’une résistance équivalente au bois, la paille est aussi durable. La plus vieille maison construite de la sorte a d’ailleurs 112 ans et la plus haute d’Europe, située en France, compte 8 étages.

Source ETI construction

22/02/2015

Partenariat CERIC Technologies et TECAUMA : la qualité de service avant tout !

Fortes d’une longue expérience commune au service des industriels de la terre cuite, les sociétés CERIC Technologies et TECAUMA agissent en partenariat pour garantir la meilleure qualité de service à leurs clients.
Cette collaboration s’illustre particulièrement bien sur les projets de briqueteries clefs en main telles quelles sont régulièrement installées par CERIC Technologies notamment au Maghreb.
Située a 100 km au sud-est d’Annaba (Algérie),la briqueterie de Taghaste à ZoukHaras dispose d’une ligne capable de produire 160 000 tonnes/an de briques creuses 8 trous (10x20x30 cm) et des briques 12 trous (15x20x30 cm), soit 490 t/j. Une ligne clé-en-main montée dans un délai de 14 mois.
Cette briqueterie a été équipée, en 2013, d’un séchoir rapide bien adapté aux procédés de séchage et d’un four CASING garantissant une qualité de cuisson parfaite.
Cette unité dispose également d’une nouvelle génération de paquettiseur TECAUMA permettant de réaliser des paquets carrés cerclés horizontalement et verticalement avec des trous au centre pour le passage des fourches de chariot élévateur. La dimension de ces paquets permet d’optimiser les chargements sur les camions.

Source CERIC

21/02/2015

INDE- Prendre en compte l'énergie "intrinsèque" des matériaux de construction

Une étude a récemment été menée par l'Institut Indien de Science de Bangalore (IISc) pour évaluer l'énergie consommée lors de la production de différents matériaux de construction (ce que les chercheurs de l'institut appellent "l'énergie intrinsèque"), afin de réduire les coûts énergétiques dans le domaine du bâtiment [1].
Lors des bilans énergétiques de bâtiments indiens, expliquent les chercheurs, l'énergie opérationnelle (éclairage, climatisation) est très souvent la seule à être prise en compte. Pourtant, l'énergie intrinsèque des matériaux utilisés a un impact majeur sur ces bilans : en effet, en Inde, plus de deux milliards de tonnes de matériaux de construction sont utilisés chaque année, et les dépenses d'énergie pour leur fabrication correspondent à environ 20-25% de la demande totale d'énergie du pays. Cette lacune, supposent-ils, s'explique par un manque de connaissances concernant la production des matériaux de construction dans le pays [2].
Pour mener leurs travaux, des données industrielles concernant divers matériaux de construction de base ont été utilisées, parmi lesquels le ciment, l'acier, le verre, les granulats grossiers, l'aluminium, les briques et tuiles en terre cuite, les blocs de béton et de latérite, les carreaux de céramique, le granit poli ou encore les dalles de marbre.
Les résultats montrent que, parmi tous les matériaux de construction utilisés en Inde, l'aluminium et les briques en terre cuite sont les plus énergivores. L'aluminium, en particulier, se révèle plus énergivore (avec 141,55 MJ/kg) que l'acier (32,24 MJ/kg), le verre (7,88 MJ/kg) et le ciment (2,38-3,72 MJ/kg). "Les normes en termes de construction énergétique devraient prendre en compte l'énergie globale des bâtiments, en étudiant à la fois l'énergie opérationnelle, l'énergie intrinsèque et l'importance relative de l'une par rapport à l'autre" explique K. I. Praseesa, co-auteur de l'étude.
Source Bulletins Electroniques

20/02/2015

VM Matériaux en repli sur 2014

L'activité du groupe VM Matériaux a été fortement impactée par le contexte du marché de la construction tout au long de 2014. Le chiffre d'affaires enregistre un repli de près de -7 % sur l'ensemble de l'année.

Le quatrième et dernier trimestre de 2014 a confirmé la tendance qui s'était esquissée tout au long de l'année pour VM Matériaux : le marché de la construction neuve, fortement dégradé, a impacté l'activité. Au cours des trois derniers mois de l'an passé, l'activité "Négoce" a reculé de -5,6 %, en relation avec le faible niveau d'activité du gros-œuvre et du second-œuvre, tandis que l'activité "Béton" a enregistré une baisse de -9,7 % à cause d'une réduction des volumes de béton prêt à l'emploi. "Le béton industriel présente une meilleure résistance notamment grâce à ses produits d'aménagement extérieur", précise le groupe vendéen dans un communiqué. L'activité de "Menuiserie industrielle", pour sa part, affiche un retrait de -5,3 % : "Malgré un premier semestre favorable, notamment sur ses activités de fermeture et son réseau Solabaie, (elle) présente une dégradation depuis le troisième trimestre, en raison des incertitudes relatives aux mesures d'incitations gouvernementales annoncées pour les travaux de rénovation".
Confiant malgré la baisse continue des résultats
Pour l'exercice 2014 dans son intégralité, le chiffre d'affaires de VM Matériaux s'établit donc à 590,9 M€ (-5,5 %). "L'ensemble des activités liées à la construction de logements a, de nouveau, subi l'absence de reprise des mises en chantier", annonce le groupe. "L'effet de la saisonnalité, habituelle au second semestre, assorti à une baisse d'activité plus forte durant cette période auront des effets sur la rentabilité". Malgré ces résultats en net repli, VM Matériaux annonce rester confiant dans sa capacité d'adaptation. Il souhaite poursuivre ses efforts "afin de renforcer sa présence commerciale auprès de ses clients et leur proposer des actions adaptées aux évolutions de marché".
Le groupe familial, plus que centenaire, est présent principalement dans l'ouest de la France mais également dans cinq départements d'Outre-Mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, Réunion et Saint-Martin), en Chine et au Canada. En tout, il emploie 2.700 personnes dans 103 points de vente de négoce de matériaux ainsi que dans treize usines de fabrication de menuiseries extérieures (dont trois au Canada spécialisées dans le PVC), quatre de structures bois (charpentes et ossatures), 25 centrales de béton prêt à l'emploi et cinq usines de produits béton. En 2013, son chiffre d'affaires avait atteint les 634,5 M€ pour un résultat net de 12,2 M€.

Source Batiactu

Un chiffre d'affaires progression pour Samse en 2014

Le Groupe Samse, négociant indépendant de matériaux de construction pour le bâtiment et l'aménagement de l'habitat, enregistre un chiffre d'affaires de 2,7% en 2014 à environ 1,2 milliard d'euros.

En 2014, le chiffre d'affaires du groupe Samse s'établit à environ 1,2 milliard d'euros, soit une hausse de 2,7% par rapport à 2013.
Dans le détail, le chiffre d'affaires de l'activité Négoce atteint 963,4 millions d'euros enregistrant une augmentation de 0,8%. De son côté, le chiffre d'affaires de l'activité Bricolage s'élève à 232,3 millions d'euros, en augmentation de 11,5% (-3,8% à périmètre comparable). "Cette hausse s'explique par l'ouverture d'un nouveau magasin Entrepôt Du Bricolage à Aubenas (07) en février 2014, et la prise de contrôle du sous-groupe DEDB (5 magasins créés en partenariat avec Mr Bricolage) en mars 2014, antérieurement comptabilisé selon la méthode de la mise en équivalence", explique un communiqué du groupe.
Quid des perspectives ? La conjoncture actuelle incite le groupe à se montrer prudent concernant son niveau de chiffre d'affaires attendu sur l'exercice à venir.

Source Batiactu

19/02/2015

EN DIRECT DU LABO SOLUMIX : DES ESSAIS MULTI-MATÉRIAUX !

Depuis son installation sur le site de Limoges la ligne pilote est exploitée de manière intensive. De nombreux tests sont menés dans le cadre d’études conduites pour évaluer les effets de l’introduction de divers matériaux mixés à SOLUMIX (matériau bi-phase) et pour accélérer le process de production, en accélérant notamment le temps d’autoclavage.
Plusieurs types de matériaux ont été testés pour étudier leur impact sur la résistance thermique de SOLUMIX.
D’origine végétale (foin, chanvre, rafle de maïs, copeaux de bois…) ou encore chimique (agents porogènes ou billes de PSE par exemple) ces matériaux renforcent la résistance thermique de SOLUMIX sans dégrader, pour la plupart, ses propriétés physiques grâce à ses qualités cohésives. Des essais ont d’ailleurs été menés pour vérifier la bonne adhésion du SOLUMIX avec différents métaux, des produits en béton, en terre cuite, du verre.
Les essais continuent, n’hésitez pas à contacter SOLUMIX  pour avoir des informations.

Source SOLUMIX

Les constructeurs de maisons individuelles prévoient une reprise timide en 2015

Le marché des maisons individuelles pourrait connaître le début d’une légère reprise en 2015, selon les prévisions de l'Union des Maisons Françaises. Cette reprise ne serait toutefois envisageable que par le maintien des aides publiques à l'accession comme le PTZ ou l'APL. En revanche, les ouvertures de chantier continueront d'afficher une baisse et devrait peser encore cette année sur la trésorerie des entreprises.
2014 restera une année noire pour les constructeurs en termes de production de maisons individuelles. Au cours des douze derniers mois par rapport aux douze mois précédents, les ventes de maisons individuelles ont enregistré une baisse de 4 %. Ainsi, seulement 99 000 maisons en secteur diffus en données brutes soit 91 000 ventes nettes après annulations (rétractations, refus de prêts ou de permis de construire …) ont été commercialisées contre 102 600 maisons en données brutes en 2013.
Cependant, selon l'UMF, la chute de la commercialisation devrait prendre fin eu égard à la stabilisation du marché observée sur les derniers mois de l'année 2014. « Depuis le dernier trimestre 2014 et le début 2015, les contacts commerciaux sont meilleurs, explique l'Union des Maisons Françaises, et laissent anticiper à minima une stabilisation des chiffres de vente, voire une reprise qui doit se confirmer ».

Priorité à l'accession
Cette reprise « timide » se ferait « sous condition d’une volonté clairement affichée des pouvoirs publics en faveur de l’accession à la propriété et de ses instruments de prédilection que sont le PTZ et l’APL ».
L'UMF demande en effet le maintien du PTZ à enveloppe constante, avec le maintien du différé d'amortissement et des quotités selon le zonage actuel. Mais elle souhaite aussi maintenir l’APL accession qui permet la solvabilité des accédants modestes. « La suppression de l’APL accession est une économie budgétaire minimale pour un effet dévastateur maximal, affirme l'UMF. Elle entraînerait une remise en cause de 15 à 20 000 opérations ».
L'Union des Maisons Françaises demandent également au gouvernement de réaffirmer « son engagement en faveur de l'accession à la propriété », clé du succès et priorité n°1 pour une relance de la construction selon Matignon, afin de « débloquer le parcours résidentiel ».

Allègement des normes
Afin de favoriser la reprise du marché, elle demande l'accélération du processus d’allègement des normes et des obligations réglementaires qui pèsent négativement sur les opérations. « La machine administrative est trop lourde, le temps de délivrance des permis de construire doit baisser », précise-t-elle dans son bilan.

Sur 10 ans le total des mises en chantier en secteurs diffus et groupé est passé de 199 500 à 126 800, en accusant une baisse de 36,4 %. Il a retrouvé quasiment le niveau de 1993. « Les pouvoirs publics doivent vis-à-vis des professionnels faire le choix d’une société de confiance en rupture avec une défiance paralysante, conclut l'UMF. La profession de constructeur qui a prouvé de longue date sa capacité et sa vitesse d’adaptation peut-être le vecteur de cette reprise si l’Etat consent à libérer les énergies »

Source Batiweb

Déchets de chantier : le négoce ne veut pas récupérer la collecte dès 2017

La Fédération du négoce de bois et des matériaux de construction (FNBM) a décidé de marquer son opposition a un article du projet de loi relatif à la « Transition énergétique pour la croissance verte » qui prévoit la collecte des déchets par le négoce dés 2017. Elle mettra tout en œuvre pour ne pas se voir imposer de nouvelles contraintes et a envoyé une lettre à Ségolène Royal.
L’article 21 Quater du projet de loi relatif à la « Transition énergétique pour la croissance verte » introduit une obligation, à la charge exclusive des distributeurs de matériaux, produits et équipements de construction, de s’organiser pour reprendre sur leurs sites de distribution ou à proximité de ceux-ci, les déchets issus des mêmes types de matériaux.
La FNBM tient à marquer son opposition absolue à cet article du projet de loi sur la transition énergétique. Dans un communiqué, la fédaration estime que cette mesure « élaborée à la hâte et sans aucune concertation préalable, engendrerait des obligations considérables pour les négoces de matériaux de construction et de bois ».
Le coût de cette nouvelle charge, le foncier disponible qu’elle induit et la formation de personnel exclusivement dédié à cette activité, ont conduit le Comité directeur de la FNBM à rappeler que la collecte et le traitement des déchets ne relèvent pas du cœur de métier du négoce.
Le Président de la FNBM, Géraud Spire, a sollicité l’intervention de Madame la Ministre, Ségolène Royal, en mettant l’accent sur l’inapplicabilité d’une telle mesure, de surcroît dans des délais aussi courts.
« Au moment où le négoce est très fortement impacté par la crise dans le secteur du BTP, il n’est pas concevable de transférer une charge supplémentaire sur une profession qui se bat au quotidien pour préserver l’emploi et l’investissement » précise la FNMB.

Source Batiweb

18/02/2015

Les appuis de fenêtre se rénovent en toute simplicité

TERREAL commercialise depuis janvier 2015 une nouvelle solution de rénovation des seuils de portes et appuis de fenêtres. De grande dimension, ce matériau de recouvrement en terre cuite est également léger pour une pose simplifiée. L’occasion de modifier l’apparence de la façade, en lien avec la sa rénovation choisie.
La finition des seuils et appuis de fenêtre lors de travaux de rénovation
Si la réfection des façades, de plus en plus en lien avec un changement de style architectural, est une opération fréquemment mise en avant, il est moins souvent évoqué la question des rénovations des appuis de fenêtres et des portes. Ces éléments sont pourtant directement liés aux travaux engagés. Pour en simplifier les opérations, TERREAL vient de lancer un produit spécifique : l’appui Réno.
Dédié aux travaux de rénovation de seuils et bords de fenêtres, celui-ci est réalisé en terre cuite. Cette matière 100 % naturelle offre à la fois la durabilité et la simplicité d’entretien.
Disponible en trois teintes comprenant le gris anthracite, le ton pierre et le rouge-orangé, l’appui Réno propose des styles uniques venant donner une touche de modernité ou, à l’inverse, renforçant le style traditionnel de la construction.
Une surface en grande largeur pour simplifier la pose
S’apparentant à un grand carrelage à rebord, l’appui Réno de TERREAL vient épouser parfaitement l’appui de fenêtre ou de porte existant grâce à son angle de nez de 98°. Il est disponible en deux dimensions – 98 cm et 148 cm – permettant de répondre aux largeurs d’ouvertures les plus courantes. Son poids de 13 kg/ml est également étudié pour faciliter les opérations de pose. Sa mise en œuvre se réalise d’ailleurs par encollage. Chaque élément se découpe simplement dans le sens de la largeur pour s’accoler aux murs. Le nez peut aussi se recouper, en suivant les rainures intégrées. Ainsi, avec l’appui Réno, TERREAL offre une solution simple pour rénover les bords de portes et fenêtres maçonnés.

Source ETI Construction

Catalogne : les exportations de ciment en hausse de 82,1% !

Selon les chiffres de Ciment Català, la fédération représentative de l'industrie du ciment en Catalogne en Espagne, la consommation de ciment dans cette région a atteint 1,31 million de tonnes en 2014.

Bien que cela représente une baisse de -10,7% par rapport à 2013, cette contraction est la plus faible jamais enregistrée au cours des 7 dernières années. La quantité de ciment produite par les entreprises spécialisées se chiffre à 2,24 millions de tonnes en 2013 soit une hausse de +14,3%.
En parallèle, le volume des exportations de ciment explose en 2014 avec une progression fulgurante de +82,1% soit près de 2,85 millions de tonnes.

Source Construction Cayola