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26/12/2012

La maison de 2020 bâtie en Lauragais par Terreal

Terréal va bâtir aux Vallons-du-Griffoul deux maisons témoins d'habitat social positif. Son PDG a signé une convention, le 14 Décembre, avec la ville, Habitat audois et le lycée Andréossy.
Le bonheur, c'est simple comme un coup de fil… Voici un slogan que pourrait faire sien Patrick Maugard. Le maire a rappelé, hier, ce fameux appel d'Hervé Gastinel, PDG de Terréal, lui proposant de bâtir, ici, sur sacommune, une ou deux maisons témoins à énergie positive. C'était il y a un an, les études sont terminées, une convention passée hier, le permis de construire déposé et le chantier sur le point de démarrer aux Vallons-du-Griffoul, nouvel éco-quartier. L'élu chaurien a été «facilitateur», un lien entre divers partenaires : Habitat audois, Région, Département, lycée Andréossy… D'autres les ont rejoints : Ademe, Effinergie, constructeur, architectes, bureaux d'étude… tous enthousiasmés par ce projet innovant et plus encore, avant-gardiste même, puisque ces pavillons vont être aux normes qui seront en vigueur à l'horizon 2020.Habitat audois, toujours précurseur en matière d'économie d'énergie, ne pouvait qu'adhérer. Il l'a fait par la signature de son président Robert Alric pour ce projet d'habitat social «étonnant». Pendant deux ans, ces deux pavillons seront l'objet de toutes les attentions.
Fabricant de matériaux en terre cuite, Terréal acteur du solaire comme du photovoltaïque a mis tout son savoir-faire dans de nouveaux matériaux depuis les tuiles plates intégrant le photovoltaïque à la brique monolithe isolée de 2,80 m de haut… terre cuite et terre crue au rôle clé dans la régulation thermique, hydrique… Tout est innovation et pour la plupart des matériaux «étrennés» non encore commercialisés. Les architectes auront eu à composer avec. Les esquisses sont prometteuses en terme de confort.
«Et parce qu'un habitat social positif n'est rien sans une maîtrise de la consommation d'énergie, les habitants des pavillons sont accompagnés, sensibilisés et formés durant deux ans», explique un responsable de Terréal.
«Il faut sortir de la crise par le haut, être capable de porter de nouveaux projets», relève Hervé Gastinel. «Cette innovation doit être partagée. L'accès des jeunes au savoir est essentiel, nous sommes fiers d'avoir l'opportunité de le faire avec le lycée Andréossy mais nous avons aussi le devoir d'accompagner l'homme de l'art. C'est là une vraie remise en question de toutes les pratiques du savoir-faire pour les artisans». Terréal en chiffres
Le groupe Terréal, c'est un chiffre d'affaires de 400 millions d'euros ; c'est 2 700 salariés à travers le monde, dont 1 600 en France et 500 en Lauragais. Terréal possède 25 sites industriels en France, Italie, Espagne, Malaisie et Indonésie. Le centre de recherche et de développement est à Castelnaudary.
Source La Dépêche

25/12/2012

La tuile mécanique en bois Blaswood

La tuile bois Blaswood à recouvrement latéral, fabriquée dans le Centre de la France, est protégée par un Brevet Européen n° FR 2096224. Un choix responsable, qui allie tradition et modernité ainsi que esthétisme, confort de vie et économie d'énergie.
Les bonnes raisons de choisir la tuile bois Mécanique Blaswood: 1 - C'est revenir à des bases originelles et traditionnelles de la couverture : esthétisme, durabilité. , C'est bénéficier également d'un confort phonique, thermique et réaliser des économies d'énergies. ,
2 - C'est contribuer à la protection de notre planète : gestion durable des forêts, réduire les gaz à effet de serre, préserver la biodiversité et les ressources naturelles. De ce fait, c'est adhérer au Grenelle de l'Environnement.
3 - C'est valoriser un produit FRANCAIS, de conception française, produit de manière semi artisanale dans le Centre de la France.
4 - La tuile Blaswood est unique par son concept breveté permettant une simplicité, une facilité de pose élémentaire, par son emboîtement latéral.
C'est faire le choix d'essences de bois d'une durabilité naturelle de Classe 3, qui permet à la tuile BLASWOOD d'être utilisée tel quelle ou bien traitée selon les zones d'expositions (fongicide, insecticide, ...).
Les 10 avantages de la tuile bois Mécanique BLASWOOD : • Ecologique • Esthétique • Durable • Grande facilité de pose • Economique en de temps de pose (évite une superposition de plusieurs éléments) • Une bonne tenue au feu • Isolante thermiquement et phoniquement • Légèreté • Une bonne tenue aux intempéries (pluie, grêle, vent, neige, ...) • Adaptable de par sa nature à toutes nos régions
Fiche Produit : Essence : DOUGLAS - CHENE – MELEZE – PIN SILVESTRE Nous sélectionnons nos bois résineux purgés d'aubier. Dimensions : 330mm x 150mm x 22mm Poids : env. 20kg / m²
Mode de calcul pour les surfaces : 32 tuiles le m² prêt à poser avec un pureau du 22.5cm pour une pente de 35° et plus 40 tuiles au m² pour une pente en dessous de 35° Pose obligatoire d'un écran de sous toiture.
Conditionnement : Palette de 800 tuiles, soit 25 m² de surface.
Domaines d'utilisations et exemples d'applications : Toutes types de couvertures : maison d'habitation, bâtiment historique, abris, maison bois, chalet, appentis, garage, grange, maison ancienne.
Source Batiactu

24/12/2012

3e édition des Terroirs de TERREAL Le Prix Technique décerné à une entreprise de Seine Maritime (76)

TERREAL, le spécialiste de l’enveloppe globale du bâtiment a organisé pour la troisième année consécutive le concours « Les Terroirs de TERREAL ». Cinq chantiers de rénovation illustrant la richesse des savoir-faire locaux mis au service de la préservation du patrimoine architectural français ont été récompensés jeudi 8 novembre 2012 à Paris. Gérald Morganti, dirigeant de l’entreprise Morganti, a été honoré pour l’aspect technique de son chantier réalisé à Etretat.
Une nouvelle fois, TERREAL, leader sur le marché des tuiles de patrimoine, réaffirme son engagement dans la sauvegarde du patrimoine et la valorisation de l’expertise des professionnels de la couverture.
Le Prix Technique attribué à l’entreprise Morganti située en Seine Maritime (76)
L’entreprise Morganti, dirigée par M. Gérald Morganti, a reçu le Prix Technique pour la rénovation de la toiture et de la façade de l’Hôtel-Restaurant le « Manoir de la Salamandre » situé au cœur d’Etretat en Seine Maritime (76).
Ce célèbre bâtiment médiéval normand datant du 14e siècle, fut construit initialement à Lisieux. Entièrement démonté par l’architecte fécampois Emile Mauge, il fut reconstruit en 1912 à Etretat pour devenirla Rôtisserie Marquise de Sévigné.
Transformée en Hôtel-Restaurant en 1990, cette demeure atypique a été restaurée par l’entreprise Morganti dans le respect de son histoire, avec pour objectif de conserver la richesse des coloris d’origine. Pour la réalisation de ce travail d’orfèvre, l’entreprise a utilisé un habile panachage de formats et de coloris composé de tuiles Pommard en coloris Sablé Bourgogne et de tuiles Rustique en coloris Vieilli Cendré.
Les Terroirs 2012
Plusieurs dizaines de dossiers de grande qualité ont été examinés cette année par un jury composé de professionnels couvreurs et de spécialistes dela couverture TERREAL. De nombreux dossiers ont été nominés, parmi lesquels cinq d’entre eux se sont vus remettre un prix.
Attribués selon des critères de sélection portant sur la technicité, l’esthétique, le rendu global et le « côté historique » du chantier, ces prix honorifiques s’inscrivent dans une volonté de valoriser les travaux de rénovation effectués dans le cadre de chantiers patrimoniaux.
Source Wellcom

21/12/2012

Algérie: hausse des prix des matériaux de construction

Ne pouvant espérer bénéficier, dans l’immédiat, d’un logement social, de nombreux habitants de Ain El Hammam optent pour des constructions individuelles. Cependant, ce n’est guère chose aisée. Construire sa propre maison devient de plus en plus problématique, particulièrement en zone rurale où tous les matériaux doivent être acheminés à partir d’autres régions. En plus de l’indisponibilité du terrain, les auto constructeurs doivent faire face aux prix prohibitifs des matériaux de construction gonflés par le prix du transport.
Le ciment et l’acier dont les prix ne cessent de grimper ne sont plus les seuls matériaux de construction qui tiennent le haut du pavé. En effet, longtemps mis en marge des hausses des prix, les produits rouges viennent eux aussi de connaître des hausses démesurées et apporter leur lot de complications.Ainsi, de seize dinars seulement, la brique est montée à vingt trois, voire vingt quatre dinars pour le premier choix, en quelques mois seulement.
Cette augmentation de plus de quarante pour cent est venue contrecarrer les desseins des éventuels bénéficiaires de l’aide de l’Etat à l’habitat rural. La faitière fabriquée dans une briqueterie sise à Boudouaou et réputée de bonne qualité, est rarement disponible chez les distributeurs qui accusent l’usine de ne pas les approvisionner en quantité voulue. «Elle est vendue concomitamment avec la tuile», nous rapporte un revendeur qui rappelle à l’occasion que le prix de la tuile oscille, suivant son origine, entre 55 et 80 dinars l’unité ( 0,54€/u à 0.78 €u). Le petit constructeur n’ose pas penser au produit d’importation qui atteint des prix astronomiques (130 DA dinars la tuile soit 1.27€/u). Quant au prix du ciment, en baisse ces derniers jours, il est encore loin de la limite admise.
A 1150 dinars le quintal, il demeure très loin des bourses moyennes qui doivent payer le sable lavé de rivière à 24000 dinars sans compter le bois de charpente dont le prix du madrier ne descend pas de 480 DA le mètre linéaire. De quoi décourager les plus aisés…. Sans l’aide conséquente de l’Etat pour la construction de logements ou tout autre formule, les familles démunies sont condamnées à continuer à s’entasser à plusieurs dans des habitations insalubres et parfois menaçant ruine. Même les 700000 dinars d’aide de l’Etat à l’habitat rural n’encouragent plus les citoyens à tenter l’aventure de la construction dans une région montagneuse où le seul terrassement de l’assiette et les murs de soutènement reviennent à près de cent millions de centimes.
A noter aussi qu’il est exigé des bénéficiaires de l’habitat rural, un toit en tuiles, crépir et peindre l’extérieur de leur maison, avant la libération de la troisième tranche de l’aide que l’Etat leur a allouée. Des conditions que les concernés trouvent très dures. «Même si je dois économiser la moitié de ma paie, je ne pourrais pas faire face aux honoraires du maçon», estime un fonctionnaire. En attendant la réalisation des logements sociaux, lancés à Ath Bouyoucef, les mal logés ne peuvent que prendre leur mal en patience et espérer être parmi les heureux bénéficiaires.
Source El Watan par Nacer Benzekri

20/12/2012

CERIC Automation: La tempête judiciaire s’éloigne pour le président de Legris Industries

Enquête Pendant plusieurs mois, l'industriel rennais Pierre-Yves Legris fut sous le coup d'une mise en examen et d'un contrôle judiciaire. Au coeur du dossier, en passe de se refermer: des mouvements financiers autour d'une ancienne filiale, Ceric Automation.

Ce sont plus de deux ans de galère qui sont en passe de s'achever pour le patron du groupe industriel rennais Legris Industries (sociétés Savoye, Clextral et Keller). Selon nos informations, Pierre-Yves Legris, président du conseil de surveillance de l'entreprise familiale et figure emblématique de l'économie bretonne, est sur le point d'obtenir un non-lieu dans une affaire qui lui empoisonne la vie depuis mars2010. Un printemps noir pour celui que le magazine Challenges classe (avec Yvon Jacob président d'honneur du groupe) parmi les 500 plus grandes fortunes professionnelles françaises. Celle année-là, le patron de Legris Industries est en effet auditionné par les gendarmes de la section de recherche de Dijon (Côte-d'Or). Que lui reprochent-ils? Des mouvements financiers suspects au sein de la filiale Ceric Automation (devenue par la suite Keyria). Une entreprise acquise par le groupe Legris Industries fin 2006 à Nolay (21) et spécialisée dans la construction d'usines clés-en-mains de produits de construction (briques). Un rachat qui se transformera en fiasco industriel.

Abus de biens sociaux, dividendes fictifs...
Courant 2008, l'entreprise voit en effet son chiffre d'affaires s'effondrer de 50% en quelques mois. Selon Legris Industries, c'est la crise des subprimes qui aura eu raison de cette activité. Pour d'autres observateurs, ce sont les mauvais choix stratégiques opérés par le groupe rennais qui expliqueraient cette déconfiture. Quoi qu'il en soit, les conséquences sont brutales. En 2009, Ceric est placée en redressement judiciaire. Et un an plus tard, c'est la liquidation. À la clé: 220 emplois supprimés. Une situation économique qui, selon les enquêteurs, ne colle pas vraiment avec les mouvements financiers opérés par le groupe les mois précédents sa liquidation. Des suspicions jugées à l'époque suffisamment graves pour que le juge d'instruction mette en examen Pierre-Yves Legris pour les délits de complicité d'abus de biens sociaux, de distribution de dividendes fictifs, de banqueroute par détournement d'actifs ainsi que de recels d'abus de biens sociaux. Une batterie d'accusations redoutées par tous les chefs d'entreprise. Dans la foulée, Pierre-Yves Legris est également placé sous contrôle judiciaire avec les obligations de verser une caution de 400.000 € (payable en huit versements) et de ne pas quitter l'Union européenne et la Suisse (où il vit aujourd'hui). Bref, un vrai cauchemar pour le dirigeant qui s'engage alors dans une bataille judiciaire de plus de deux années. Un combat partagé avec Charles-Antoine de Barbuat Duplessis. Cet ancien patron de la division Savoye de Legris Industries (il a quitté depuis le groupe rennais pour diriger la société Texelis à Limoges) a en effet hérité de la direction de Ceric Automation au moment de son rachat. À ce titre, il a également été mis en examen quelques mois plus tôt.

Trois accusations récusées point par point
Niant toute infraction devant les gendarmes, Pierre-Yves Legris se rapproche du puissant cabinet d'avocats parisien Linklaters pour organiser sa défense. Et surtout expliquer pourquoi, selon lui, les enquêteurs font fausse route, tentant de démonter point par point les graves accusations dont il fait l'objet. Premier point, les dividendes. Juin2008, Ceric Automation en verse un montant de 3M€ à sa maison mère alors que l'entreprise commence à enregistrer des pertes. Pour les enquêteurs, le droit des affaires l'interdit. Pour Legris, c'est une erreur d'analyse juridique. «Lorsque vous avez des réserves (ce qui était le cas pour Ceric, ndlr), vous pouvez distribuer des dividendes. Même si le résultat est négatif», explique une source proche du groupe rennais. Deuxième point d'accusation: 2M€ de factures émises en trois ans par la maison-mère à ses filiales. Des mouvements qui, aux yeux du juge d'instruction, entretiennent la suspicion de mouvements délictueux. Rien pourtant d'hors-la-loi pour une pratique courante dans les grands groupes si l'on en croit les spécialistes juridiques. Une pratique appelée "Management fees". Derrière cet anglicisme, une méthode de mutualisation de fonctions supports au profit des filiales (communication, RH, juridique,etc.), et qui permet à un groupe de facturer à celles-ci des prestations de conseil. «Non seulement c'est légitime, mais c'est fiscalement obligatoire, indique un spécialiste du droit. Si vous ne facturez pas, vous avez un redressement fiscal.» En trois ans, ce sont 2M€ de facturation qui auront été émis. Enfin, dernier point présumé litigieux, le prêt d'argent entre filiales du groupe, qui laisserait entrevoir une activité bancaire illicite. Pour le groupe, il s'agit tout simplement d'un pool de trésorerie. «C'est complètement autorisé à condition que cela reste interne au groupe, indique un proche de Pierre-Yves Legris sous couvert d'anonymat. C'est tout simplement la trésorerie du groupe qui est mutualisé. Cela vous permet de bénéficier de taux privilégiés.»

Charges insuffisantes
Un ensemble d'arguments qui semble avoir convaincu les juges. En juin dernier, la mise en examen de Pierre-Yves Legris a été levée. Et selon nos informations, le procureur de la République du tribunal de Dijon a par ailleurs transmis début novembre un réquisitoire de non-lieu au juge d'instruction pour "charges insuffisantes". Vraisemblablement, ce dernier devrait rendre ces jours-ci une ordonnance de non-lieu. Pour Pierre-Yves Legris comme pour Charles-Antoine de Barbuat. Après autant de mois de procédures, «il faut savoir rester raisonnable», indique une source proche du Parquet de Dijon. Épilogue donc heureux, mais faible compensation pour Pierre-Yves Legris (qui n'a pas souhaité répondre à nos questions). Il a vécu pendant plusieurs mois avec un «sentiment d'injustice, et tout ce que ça peut comporter de rumeurs et de ragots», nous raconte un proche.

Legris Industries(Rennes) Trois divisions: Savoye (systèmes automatisés), Clextral (extrusion et lignes de productions pour l'agroalimentaire), et Keller (solutions pour usines de matériaux de construction) Président du conseil de surveillance: Pierre-Yves Legris Président du directoire: Erwan Taton 1.360 salariés CA 2011: 208M€
Source Le Journal des Entreprises

Ceric Technologie relève le défi de faire disparaître la terre sèche en sortie mouleuse

« La révision de la mouleuse a sans doute été le challenge le plus passionnant à relever » déclare le Directeur des Opérations Industrielles de CERIC Technologies, Thierry PETRA. Même si nos mouleuses avaient fait la preuve de leur fiabilité et de leur capacité à traiter des typologies d’argile très variées, nos clients souhaitaient un accès plus facile aux grilles dans le groupe d’étirage, une chambre à vide plus généreusement dimensionnée, des capacités machines plus importantes et “l’atteinte de l’optimum par la disparition du sec “. Sur les groupes d’étirage PELERIN®, l’argile, poussée par le malaxeur, entre en force dans la mouleuse, à travers des grilles puis elle est coupée en copeaux directement dans la chambre à vide.
La typologie machine propre à la marque PELERIN® est simple, fiable et peu génératrice de sec . Elle a donc été conservée mais des améliorations notables comme l’allongement de la chambre à vide, la modification de la géométrie des grilles et l’élimination des zones d’ombre, l’augmentation de la l’ouverture d’accès aux grilles ou la conception d’un fût d’hélice de mouleuse intégralement cylindrique ont été apportées.
Le malaxeur 12-25 n’a pas évolué quant à ses dimensions mais un focus a été fait sur l’amélioration du mouillage-malaxage et la rapidité du transfert du produit. L’augmentation des diamètres des hélices de sortie associée au développement des nouveaux porte-pales monobloc (sans boulons) et à l’utilisation d’hélices d’alimentation ont permis d’accroître fortement le rendement du malaxeur tout en simplifiant les opérations de nettoyage et de remplacement de ces outillages. Les modifications apportées ont ainsi permis d’obtenir un gain mesuré significatif (10%) sur la puissance électrique absorbée. Point essentiel quand les usines cherchent à réduire leurs coûts.
Source Ceric Technologies

19/12/2012

CERIC Technologies participe au voyage présidentiel en Algérie

CERIC Technologies a été sélectionné parmi une trentaine de sociétés composant la délégation des chefs d’entreprise accompagnant le Président de la République en Algérie ces 19 et 20 décembre 2012, ce qui est représentatif du lien économique de longue date entre CERIC Technologies et ce pays.
A ce titre, CERIC Technologies participera au forum économique franco-algérien avec les ministres français et algériens (à noter la présence de Mr. Abdelmadjid TEBBOUNE, Ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme).
Jean-Jacques WAGNER , Directeur Général de CERIC Technologies a déclaré : « Le domaine de la construction est un des secteurs les plus dynamiques en Algérie, et un secteur où les acteurs privés ont montré leur capacité à entreprendre, à investir et à créer des emplois.
CERIC Technologies, en tant que partenaire historique et leader en Algérie dans le domaine des matériaux de construction en terre cuite, se tient à la disposition des autorités algériennes, et des entrepreneurs privés algériens qui nous font confiance depuis plus de 40 ans, pour stimuler une évolution des normes constructives vers des matériaux répondant mieux aux nouveaux standards écologiques (isolation), structurels (sismique), sécurité (pare-feu dans le collectif public), et économiques (rapidité de pose). »
Source Ceric Technologies

La liste complète de la délégation de François Hollande à Alger :
Ministres :
M. Laurent FABIUS, Ministre des affaires étrangères
M. Manuel VALLS, Ministre de l’intérieur
Mme Nicole BRICQ, Ministre du commerce extérieur
M. Arnaud MONTEBOURG, Ministre du redressement productif
M. Jean-Yves LE DRIAN, Ministre de la défense
M. Stéphane LE FOLL, Ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt
Mme Yamina BENGUIGUI, Ministre déléguée auprès du ministre des affaires étrangères, chargée de la francophonie
M. Kader ARIF, Ministre délégué auprès du ministre de la défense, chargé des anciens combattants
Mme Hélène CONWAY-MOURET, Ministre déléguée aux Français de l’étranger
Parlementaires et élus locaux : 
M. Jean-Pierre RAFFARIN, Ancien Premier ministre, Sénateur de la Vienne, Vice-président du Sénat, chargé d’une mission sur les investissements en Algérie
Mme Elisabeth GUIGOU, Ancienne ministre, Députée de Seine-Saint-Denis, Présidente de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale
M. Michel VAUZELLE, Ancien ministre, Député des Bouches-du-Rhône, Vice-président de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale, chargé d’une mission sur la Méditerranée
M. Daniel VAILLANT, Ancien ministre, Député de Paris
M. Patrick MENNUCCI, Député des Bouches-du-Rhône, Président du groupe d’amitié France-Algérie de l’Assemblée nationale
M. Pouria AMIRSHAHI, Député représentant les Français établis hors de France
M. Razzi HAMMADI, Député de la Seine-Saint-Denis
Mme Bariza KHIARI, Sénatrice de Paris, Vice-présidente du Sénat
M. Jean-Pierre CHEVENEMENT, Ancien ministre, Sénateur du Territoire de Belfort, Président de l’Association France-Algérie
M. Claude DOMEIZEL, Sénateur des Alpes-de-Haute-Provence, Président du Groupe d’amitié France-Algérie du Sénat
Mme Hélène MANDROUX, Maire de Montpellier, ville jumelée avec Tlemcen
Milieu culturel :
M. Anouar BENMALEK, Ecrivain
M. Djamel BENSALAH, Réalisateur
DJUR-DJURA, Chanteuse
M. Kad MERAD, Comédien
M. Bernard MURAT, Metteur en scène
M. Benjamin STORA, Universitaire, historien
Mme Zahia ZIOUANI, Chef d’orchestre
Monde associatif :
M. Georges MORIN, Président du réseau français de coopération décentralisée avec l’Algérie, au sein des Cités Unies France
M. Jean-Louis VIELAJUS, Délégué général du Comité français pour la solidarité internationale Chefs d’entreprises
Energie :
M. Philippe BARRIL, Vice-président exécutif de Technip
M. Jean-Louis CHAUSSADE, Directeur général exécutif de Suez Environnement
M. Ricardo CORDOBA, Président Directeur Général de GE Electric
M. Yves-Louis DARRICARRERE, Membre du comité exécutif de Total, Président de Total Upstream
M. Jean-Marie DAUGER, Directeur général adjoint de GDF-Suez, Président du Conseil de chefs d’entreprise France-Algérie
M. Jacques GERAULT, Directeur des Affaires publiques d’Areva
M. Michel SABATIER, Directeur de Midisun
M. Robert VINCENT, Président directeur général de Vincent Industrie
Transports :
M. Habib FEKIH, Président d’Airbus Moyen-Orient Afrique du Nord, Président d’Airbus Corporate Jets
M. Patrick GRUAU, Président Directeur Général de GRUAU
M. Jean-Pierre BERTRAND, Directeur général délégué de Colas Rail
M. Philippe DELLEUR, Président directeur général d’Alstom International
M. Jean-Christophe KUGLER, Directeur de la Région Euromed de Renault
M. Meziane IDJEROUIDENE, Aigle Azur
M. Pierre MONGIN, Président directeur général de la RATP
M. Jacques SAADÉ, Président directeur général de CMA-CGM
M. Reynald SEZNEC, Président directeur général de Thalès International
M. Jean SOUCHAL, Président du directoire de Pomagalski
Bâtiments et Travaux Publics :
M. René CAMART , Président du directoire de La pierre de France
M. Christian COMBES, Directeur du développement grand international, Eiffage Travaux Publics
M. Laurent FAYAT, Président Directeur général de Razel
Mme Ouarda KARRAÏ, Directrice développement chez Bouygues Construction
M. Bruno LAFONT, Président directeur général de Lafarge
Mme Agnès LENOIR, Président directeur général d’Actiplast
M. Olivier-Marie RACINE, Président directeur général de Bouygues Bâtiment International
Mme Isabelle SCHLUMBERGER, Directrice générale commerce et développement, J.C. Decaux
M. Christian TERRASSOUX, Président directeur général de Pitch Promotion
M. Jean-Jacques WAGNER, Directeur général de Ceric Technologies
Santé :
M. Jean-Marc CHALOT, Président directeur général de Peters Surgical
M. Arnaud GOBET, Président d’Innothera
M. Antoine ORTOLI, Senior vice-president, Opérations pharmaceutiques intercontinentales, Sanofi Aventis
M. Frédéric VAILLANT, Président directeur général de Medasys
Agro-alimentaire : -
M. Christian COUILLEAU, Groupe Even
M. Marc GILLAUX, SWING
M. Bertrand PIGNOLET, Directeur général de Tecnoma
M. Armel REMINIAC, Groupe Emeraude SFPI
M. Benoît RIGAL, Gérant de France Exportea
M. Emmanuel VALLENTIN-DULAC, Directeur général de SH Biaugeaud
Technologie de l’Information et de la Communication :
M. Jean-François BEUZE, Président directeur général de Sifaris
M. Nicolas DALLERY, Président de Thomson Broadcast
Mme Nathalie MARTHE-BISMUTH, Directrice générale d’IGN France-International
M. Stéphane RICHARD, Président directeur général de France Telecom Orange

MEDEF International : -
M. Thierry COURTAIGNE, Vice-président, directeur général du Medef International

Wienerberger annonce la mise en place d'une nouvelle organisation




Directoire resserré à deux membres pour Wienerberger:
Les contrats de Heimo Scheuch et Willy Van Riet comme membres du Directoires sont prolongés de cinq ans.Johann Windisch va quitter  le Directoire de Wienerberger  et assumer la responsabilité de la Division Briques et Tuiles en Europe.

Wienerberger AG a annoncé le 13 Décembre  la réorganisation de sa structure organisationnelle. Cet ajustement reflète la nouvelle structure de la société  qui fait suite à la reprise de Pipelife et permet par cette organisation resserrée de gagner en efficacité.  L’acquisition en Mai 2012 de Pipelife marque la transformation du groupe, qui  de leader mondial de la production de briques devient un acteur de solutions avancées pour la  construction lui permettant de profiter d’un large éventail de possibilité de croissance.

La structure organisationnelle a été ajusté pour tenir compte de cette évolution :
Les zones présentant des  dynamiques de marché et des facteurs de croissance analogues ont été regroupées en trois divisions:
-         Briques et  tuiles Europe,
-         Conduits et pavés
-         Amérique du Nord  Europe.

Cette structure en 3 Divisions  a également été ancrée dans l'organisation de Wienerberger et, dans la même étape, le Directoire a été ramené de trois à deux membres.
Johann Windisch quitte le directoire de Wienerberger AG, à sa propre demande et prendra la responsabilité opérationnelle de la division briques et tuiles en Europe. Il sera accompagné par Christof Domenig (ancien Directeur exécutif Europe de l'Ouest) en tant que Directeur des Opérations et Directeur général adjoint et par Gerhard Hanke (ancien responsable du contrôle corporate) en tant que CFO. La division briques et tuiles Europe sera placée sous une direction unifiée avec une équipe expérimentée, qui devrait conduire à une meilleure utilisation des ressources disponibles et à l'optimisation des processus.

Les contrats avec les Heimo Scheuch et Willy Van Riet prolongés de cinq ans.
Le Conseil de Surveillance a publié déjà toutes les autorisations nécessaires et aussi prolongé les contrats de CEO et CFO à Heimo Scheuch  et Willy Van Riet pour les cinq prochaines années. 
Heimo Scheuch et Willy Van Riet, en tant que membres du Directoire assureront la responsabilité des trois Divisions ainsi que celle du groupe Wienerberger.


Gestion unifiée pour la Division Briques et Tuiles Europe permet d’optimiser les processus et de mieux gérer les nouvelles opportunités de croissance
Lorsqu'on l'interroge sur la nouvelle structure, Heimo Scheuch répond : «Tout d'abord, je tiens à remercier Johann Windisch pour sa coopération consturctive et positive au sein du Directoire. La Division Briques et Tuiles Europe  rassemble certainement les plus forts enjeux pour Wienerberger  à l'heure actuelle et il est donc très important de la doter d’une direction expérimentée. Je suis heureux que, avec Johann Windisch, Gerhard Hanke et Christof Domenig, une équipe solide et expérimentée, prennent  la direction opérationnelle de cette Division.
La justification de ce changement d’organisation  est de créer une structure de gestion unifiée pour les différents groupes de produits et les régions qui nous permettront d'optimiser les processus et d’encore mieux profiter des opportunités de croissance. "
Wienerberger possède des positions fortes en briques, tuiles, pavés en béton et canalisations
Wienerberger est le premier producteur mondial de briques (Porotherm, Terca) et le leader du marché des tuiles en terre cuite (Koramic, Tondach) en Europe et en  pavés de béton (Semmelrock) dans le Centre-Est Europe. En ce qui concerne les systèmes de conduites (Steinzeug Keramo pour les canalisations terre cuite et  Pipelife pour les canalisation en plastique), la société est l'un des principaux fournisseurs en Europe.
En 2011, le Groupe Wienerberger a généré un chiffre d'affaire de  1 Milliard 915 Millions d’Euros et un EBITDA de 240 M € avec 226 usines.
Source Friedlnews

Tuilerie Barney à Cherves-Chatelars( 16) : une tuile de 1929 retrouve son créateur âgé de 100 ans

Camille Barnay avait 17 ans. C'est bien connu, on n'est jamais très sérieux à cet âge. Alors, « pour rigoler » et se divertir de son quotidien de tuilier, il avait pour habitude de graver les objets qu'il fabriquait de son nom. Autres temps, autres amusements…
De sa belle écriture, il inscrivait « Camille Barnay, Etamenat, Cherves-Chatelars », suivi de l'année du « forfait ». En 1929, il avait donc 17 ans et, parmi les 600 à 700 tuiles qu'il fabriquait chaque jour dans l'entreprise familiale, il prenait parfois le temps de laisser une trace.
Il y a quelques semaines, Guy Massuyau, viticulteur à la retraite, remaniait la toiture de sa maison, à Criteuil-la-Magdeleine (canton de Segonzac). Certaines d'entre elles sont encore en bon état, d'autres sont à remplacer. Sur une, il a remarqué une inscription. Après avoir gratté la mousse, il a découvert une « jolie écriture » : « Camille Barnay, Etamenat, Cherves-Chatelars, Chte, 1929 ».
Touché par ce signe de l'histoire, il se demande qui est ce Camille Bernay. « Sans trop croire qu'il était encore en vie, je me suis saisi de l'annuaire. Quand j'ai vu qu'il y avait un Camille Bernay [il s'arrête]… ça m'a fait quelque chose, relate-t-il, encore ému. Alors j'ai appelé. »
Au bout du fil, une femme, Marie-Louise Bernay. L'épouse de Camille Bernay depuis soixante-seize ans. Oui, oui, Camille est bien son mari. Il n'y a pas de doute, c'est bien lui qui a gravé cette tuile en 1929 alors qu'il travaillait avec son père, Martial, dans la tuilerie familiale. Oui, il est toujours de ce monde. D'ailleurs, il fêtera ses 101 ans en janvier.
La tuilerie est encore là, elle aussi. Derrière sa fenêtre, Camille, assis sur son fauteuil à roulettes offert pour ses 100 ans, contemple toujours l'usine en briques rouges située juste de l'autre côté de sa rue. Au mitan des années 1980, elle a été rachetée par une entreprise de Confolens qui a surtout été intéressée par les terres. Les fours n'ont jamais été rallumés.
Guy avait envie de rencontrer le créateur de cette tuile préservée par le poids des ans. Camille, lui, avait envie de revoir cette tuile. Par l'intermédiaire de « Sud Ouest », les deux hommes se sont rencontrés, et Guy a donné la tuile à Camille. Ému, le centenaire l'a chaleureusement remercié après avoir glissé ses doigts dans les rainures, là où ils étaient passés il y a quatre-vingt-trois ans. « C'était de la bonne camelote, la couleur n'a pas changé. On va la mettre dans mon cercueil », a-t-il plaisanté. En la voyant, les souvenirs sont remontés. « À l'époque, il n'y avait pas d'électricité, c'était un âne qui faisait tourner la turbine. La pâte sortait et on façonnait les tuiles avec un moule en fer ou sur la cuisse. Après, elles séchaient à l'air libre. Elles n'étaient pas fabriquées sous vide comme maintenant… », raconte le centenaire alerte.
L'objet historique rejoindra deux autres tuiles retrouvées et données par d'autres bricoleurs. L'une est également datée de 1929 et l'autre d'après-guerre, retrouvée dans l'île de Ré et signée de la main de Martial, « Bernay père et fils ».
Source Sud Ouest

18/12/2012

IMERYS : la cession de son activité structure à Bouyer Leroux bien accueillie par les milieux financiers

Les investisseurs ont bien accueilli jeudi l'offre ferme d'acquisition qu'Imerys a reçu pour son activité Imerys Structure de la part du groupe Bouyer Leroux. Le département qui intéresse le spécialiste de la terre cuite regroupe les activités de production de briques de murs et de cloisons d'Imerys ainsi que de conduits de cheminées.
Le groupe de spécialités minérales pour l'industrie examine actuellement l'offre qui lui a été remise pour une valeur d'entreprise proche d'une année de chiffre d'affaires d'Imerys Structure, soit 90 millions d'euros.
Imerys ne semble pas réticent à cette offre, le groupe a précisé qu'après consultation des instances représentatives du personnel ainsi que l'obtention des autorisations administratives requises, le projet pourrait aboutir dans le courant du premier semestre de l'année 2013.
Pour CM-CIC qui a renouvelé sa recommandation Accumuler avec un objectif de cours de 50 euros sur Imerys, tout actif qui ne parvient pas à générer une marge « cash » au moins égale à celle du groupe est impitoyablement externalisé.
L'analyste observe que la stratégie du groupe est clairement de préserver et de maximiser le cash flow.
Pour le broker, l'activité Briques, avait un problème de profitabilité qui plaçait Imerys devant un dilemme : soit, muscler ce métier, ce qui aurait impliqué d'investir une centaine de millions d'euros, soit céder cette activité.
L'occasion a fait le larron : l'approche de Bouyer-Leroux a amené la direction d'Imerys à opter pour la seconde solution.

Source Zonebourse

Entraînement serré pour les sapeurs sauveteurs à l'ancienne tuilerie Monier de Limoux

Ils sont sur toutes les grandes opérations de sauvetage ici en France et dans le monde. Ces soldats un peu particuliers de l'armée de terre appartiennent à l'unité d'instruction et d'intervention de la sécurité civile, ils étaient présents à Fukushima, pendant le séisme de 2010, en Haïti, après le tsunami Banda Aceh en Indonésie, ils sont de tous les cataclysmes pour sauver des vies dans des conditions extrêmes. Pour être opérationnel il faut s'entraîner, les sapeurs sauveteurs de Brignoles ,une centaine, ont choisi l'Aude et plus précisément Limoux, Lézignan et Sigean pour simuler: «Un tremblement de terre et le sauvetage de victimes ensevelies dans les décombres par des chiens et des équipes médicales sur place, un théâtre d'opération dans le cadre de la nouvelle réglementation européenne, qui devrait faciliter la coordination et l'organisation lorsque nous sommes en mission. À Limoux nous avons travaillé conjointement avec une équipe espagnole de 40 hommes» explique le tout jeune lieutenant François Pichot Duclos. Les sapeurs de Brignoles dans le Gard ont découvert l'Aude dans le cadre de la prévention des incendies à Lézignanen été.
Source La Dépêche

17/12/2012

Wienerberger/Rector : une alliance briques/béton pour relancer l’isolation intérieure


L’isolation thermique par l’intérieur n’a pas dit son dernier mot. Wienerberger France et Rector Lesage l’ont prouvé, le 6 décembre devant plus de 100 professionnels alsaciens réunis au casino de Ribeauvillé (Haut-Rhin).
« Grâce au travail conjoint de leurs équipes de recherche et développement, Rector Lesage et Wienerberger France ont finalisé une offre systémique qui conjugue la structure verticale et sa jonction horizontale ». Marc De Saint-Roman, directeur général adjoint de Rector Lesage, résume en ces termes la démarche technique et commerciale conjointe des deux industriels du gros œuvre, tous deux basés en Alsace : d’un côté, le spécialiste mulhousien de la préfabrication en béton armé à travers ses thermoprédalles ; de l’autre, Wieneberger France, basé à Achenheim (ouest de Strasbourg) pour ses briques de 20. Le système s’adresse prioritairement au logement collectif.

Francis Ligier, P-DG de Wienerberger France (à gauche), discute avec Marc de Saint-Roman, directeur général adjoint de Rector Lesage, et James Armindo, entrepreneur de gros œuvre 
Rupteurs intégrés
« Les performances des briques de 20 se sont multipliées par deux au cours des dix dernières années », argumente Denis Ruhlmann, attaché de prescription pour l’Est de la France de la filiale française du groupe autrichien, numéro 1 mondial de la terre cuite. Face à la forte croissance des logements collectifs à basse consommation associant le béton banché et l’isolation thermique par l’extérieur, Rector Lesage a réagi : « Pour atteindre le coefficient psi de 0,6 en rupture de pont thermique, le béton ne suffit pas. L’association avec la brique apporte une solution qui répond également aux exigences des réglementations parasismique et acoustique », se réjouit Maurice Ramstein, directeur marketing du groupe familial mulhousien. Le bureau d’études Pouget a confirmé les performances du système associant les deux produits, ouvrant ainsi la voie à l’homologation, en 2011, par le Centre scientifique et technique du Bâtiment (CSTB).
L’innovation répond à la tendance observée par Francis Lagier, P-DG de Wienerberger France : « Depuis quatre ans, l’économie revient au centre du débat sur la performance énergétique du bâtiment ». Ce constat pousse les industriels à chercher des solutions fiables et conformes aux habitudes des entreprises de gros œuvre. Représentant l’Union nationale des des techniciens et économistes de la construction à la table ronde animée par Le Moniteur le 6 décembre à Ribeauvillé, François Freyburger, d’Immobilière Services (Mulhouse), le confirme : « L’ITI va revenir ». Ingénieur thermicien chez EDA (Belfort), Laurent Mouge, qui a participé à la conception des moteurs de calcul de la réglementation thermique 2012, partage ce pronostic.
Sufaces optimisées
« Dans le quartier des Poteries à Strasbourg, nous prévoyons de passer en ITI un ensemble d’une soixantaine de logements répartis dans deux à trois immeubles programmés pour 2013 », annonce Philippe Woessner, directeur construction chez Promogim.
Les promoteurs se montrent d’autant plus intéressés que le système associant brique et béton optimise la surface habitable des logements.
Source LE MONITEUR.FR par  Laurent Miguet (Bureau de Strasbourg du Moniteur)

3e édition des Terroirs de TERREAL Le Prix Historique décerné à une entreprise des Yvelines

TERREAL, le spécialiste de l’enveloppe globale du bâtiment a organisé pour la troisième année consécutive le concours « Les Terroirs de TERREAL ». Cinq chantiers de rénovation illustrant la richesse des savoir-faire locaux mis au service de la préservation du patrimoine architectural français ont été récompensés jeudi 8 novembre 2012 à Paris. Olivier Pourrit, dirigeant de l’entreprise Histoire de Toit, a été honoré pour la dimension historique de son chantier réalisé à Gommecourt.
Une nouvelle fois, TERREAL, leader sur le marché des tuiles de patrimoine, réaffirme son engagement dans la sauvegarde du patrimoine et la valorisation de l’expertise des professionnels de la couverture.
Le Prix Historique attribué à l’entreprise Histoire de Toit située dans les Yvelines (78)
L’entreprise Histoire de Toit, dirigée par M. Olivier Pourrit, a reçu le Prix Historique pour la réalisation de la rénovation de la couverture de l’Eglise de Gommecourt dans les Yvelines (78).
En effet, la charpente et la toiture de cette église du 16e siècle, classée monument historique, étaient en très mauvais état.
Pour la toiture, un panachage de tuiles, de formats et coloris différents, a été mis en œuvre. On y retrouve un savant mélange composé de tuiles Eminence coloris Auteuil et Terre de Sienne, de tuiles Prieuré couleur Chaume et de tuiles Pommard Sablé Bourgogne et Sablé Champagne. Des finitions en cuivre complètent harmonieusement ce travail.
Les Terroirs 2012
Plusieurs dizaines de dossiers de grande qualité ont été examinés cette année par un jury composé de professionnels couvreurs et de spécialistes de la couverture TERREAL. De nombreux dossiers ont été nominés, parmi lesquels cinq d’entre eux se sont vus remettre un prix.
Attribués selon des critères de sélection portant sur la technicité, l’esthétique, le rendu global et le « côté historique » du chantier, ces prix honorifiques s’inscrivent dans une volonté de valoriser les travaux de rénovation effectués dans le cadre de chantiers patrimoniaux.
Source Wellcom

16/12/2012

TERREAL: Bientôt deux maisons "productrices d'énergie"

Initiatrice d'un projet dit "Habitat social positif" (HSP), l'entreprise Terreal qui fabrique des matériaux de construction en terre cuite, a signé hier la convention l'unissant avec ses quatorze partenaires, et en tout premier lieu avec la ville et Habitat Audois, qui traite le logement social. Concrètement, du projet HSP sortiront de terre sur la ZAC des Vallons du Griffoul, début 2013, une maison T3 de 72 m² et une maison T4 de 82 m². Ces bâtiments, conçus sous le label Bépos (bâtiment à énergie positive), ont pour objectif de produire autant, voire plus d'énergie qu'ils n'en consomment. L'entreprise Terreal a donc fortement investi dans la recherche afin de concevoir ces deux habitations modèles. Leur système photovoltaïque sous forme de panneaux installés sur la toiture, doit par exemple permettre "une autosuffisance pour le chauffage, l'éclairage et la production d'eau chaude sanitaire, avec une rentabilisation au bout de sept ans d'utilisation". Outre la réduction des émissions de gaz à effet de serre, les logements veulent "s'intégrer dans le paysage urbain local". Pour le chauffage, en plus de l'énergie solaire passive, qui résulte d'un fin calcul d'implantation du bâtiment et du dessin de ses ouvertures, un poêle à bois a été installé dans le séjour, à proximité d'une cloison en terre crue. L'énergie thermique est ainsi "stockée" durant l'hiver et contribue par ailleurs à réguler l'humidité de la maison. Le surinvestissement de départ de ces deux habitations Bépos se chiffrerait à "moins de 10 % d'une construction traditionnelle", sachant que la production photovoltaïque représenterait "15 % de surcoût". Mais ce type de construction ne peut atteindre ses objectifs attendus, sans que les locataires ne soient "les acteurs de la performance, à travers leur mode de consommation responsable". Concrètement, les habitants bénéficieront d'un accompagnement par l'entreprise Terreal à long terme, sur la meilleure façon d'habiter ces maisons de demain. En matière de construction, demain c'est dans huit ans : selon la loi du Grenelle de l'environnement signée en août 2009, tous les permis de construire d'habitations déposés fin 2020, devront avoir "une consommation d'énergie primaire inférieure à la quantité d'énergie renouvelable produite." "Ce projet nous a séduits, explique Robert Alric, le président d'Habitat audois. Mais il ne faudra pas en rester là. Dans notre politique du logement social, nous devrons reconduire cette opération sur notre territoire, puis sur tout le territoire national. Voilà ce qu'il faut espérer". Le maire Patrick Maugard espère d'avantage : "Commencé il y a un an suite à un coup de fil d'Hervé, (NDLR : Hervé Pérignon, le directeur du site de Terreal à Castelnaudary), ce partenariat exemplaire sera une vitrine magnifique, que nous allons exporter dans le monde entier".
Source Le Midi Libre

Une œuvre monumentale à la briqueterie Bouisset à Albine

16 tonnes de terre, 200 mètres carrés au sol, plus de 1 000 pièces… Depuis plus de trois semaines, l'artiste plasticienne Dominique Ghesquière travaille dans les locaux de la briqueterie Bouisset à Albine, à la réalisation d'une œuvre monumentale. À savoir, un sol de plaques en terre cuite, reprenant l'idée d'un sol craquelé comme l'on peut en apercevoir au fond de certains lacs lorsqu'ils sont vidés. En effet, à partir de janvier, cet œuvre a vocation de recouvrir entièrement le sol de la salle principale d'un centre d'art situé sur une île au milieu d'un lac artificiel à Vassivières, près de Limoges.
«Un véritable challenge»
La rencontre entre cette artiste plasticienne originaire de Paris et l'entreprise Bouisset s'est faite par l'intermédiaire d'un employé de la société artiste lui aussi. «C'est un véritable challenge un produit aussi important. Réaliser des performances permet l'émergence de la créativité des entreprises, de mettre en œuvre des nouvelles techniques» explique Alain Bouisset, gérant de cette entreprise familiale existant depuis 1876, et qui, aujourd'hui est spécialisée dans des produits spécifiques haut de gamme (elle vient récemment de réaliser des tuiles romaines pour la rénovation du Palais des arts de Marseille). «C'est une technique que nous avons inventée avec Alain Bouisset et toute son équipe» explique l'artiste venu avec toute une équipe, qui découvre à l'occasion de ces travaux, la région. Un chantier tournant a été mis en place. Une grande plaque de terre teintée d'oxyde de manganèse pour la couleur, sèche progressivement sous une grande bâche. Elle est poussée et remplacée progressivement par une nouvelle plaque de terre moins sèche. La plaque finit par se craqueler de manière naturelle. Il s'agit alors de récupérer soigneusement ces «morceaux» de 5 cm d'épaisseur en les numérotant avant de les emmener au four industriel pour les cuire très attentivement. Par la suite, les 1 000 pièces stockées et classées partiront vers pour Vassivières en semi-remorque ou ce gigantesque «puzzle» en terre cuite sera recomposé.
Source La Dépêche

15/12/2012

Keller, Rieter, Novoceric et Morando pour la première fois au salon SIB de CASABLANCA

Du 21 au 25 novembre, les entreprises de la division KELLER se sont présentées pour la première fois sur le salon SIB à Casablanca. Cette participation au salon de la  construction phare du Maroc représente un plein succès pour les managers des services marketing et relations publiques.
«Même si notre stand n’a pas connu la même affluence qu’à la CERAMITEC, nous n’avons pas chômé cinq jours durant et nous avons répondu aux demandes de nombreux intéressés. Compte tenu du fait que ce salon regroupait des entreprises issues des branches de la construction les plus diverses, c’était un plein succès», comme le résume M. Brunk tout en ajoutant: «Il y a eu des discussions et des demandes de projet concrètes que nous devons maintenant traiter avec notre représentant Zaim Abdelkebir.»
Son collègue Renzo Ronchetti de MORANDO à Asti partage lui aussi cet avis que participer à ce salon en valait la peine. «Grâce à notre nouvelle représentation CENTEC, nous avons bien plus ouvert la porte du marché marocain. Nous avons entretenu nos anciens contacts et en avons lié de nouveaux, je pense donc que participer à ce salon en valait vraiment la peine pour les entreprises KELLER.»
Zaim Abdelkebir, représentant de longue date chez CENTEC à Casablanca pour KELLER, s’est également montré très satisfait: «Nous avons fait un premier pas ensemble, il s’agit à présent d’approfondir les contacts de la SIB 2012. Je me réjouis dès à présent d’une installation moderne produite par KELLER dans les années à venir qui contribuera à la modernisation de l’industrie marocaine des matériaux de construction. Le Royaume du Maroc est un pays moderne nord-africain pour qui des installations de production aussi efficaces que respectueuses de l’environnement et économes en énergie deviennent de plus en plus le point de mire.»
Source Keller 

14/12/2012

Terreal ferme son usine de Cabezón ( Espagne)


Terreal Espagne, connue à Cabezon de la Sal comme «La Tejera de las  Navas »,  ferme ses portes le 31 Décembre 2012. Ses 39 employés spécialisés dans la fabrication de briques de parement en terre cuite,  viendront grossir les rangs des chômeurs. Seulement dix resteront jusqu'à Juin 2013 pour finaliser les projets en cours.
L'entreprise, qui s’appelait auparavant Cerámica de Cabezón avait employé jusqu’à  60 personnes. Sa part de marché atteignait  11% en briques de parement qui étaient utilisées pour les façades d'Espagne durant le boom de la construction entre 2004 et 2006. La création de Cerámica de Cabezón  remonte à 1946. Dès sa création , la société se  consacre au développement de produits de construction en terre cuite avec des méthodes et technologies traditionnelles qu’elle n’a cessé de faire évoluer au fil des années pour intégrer les derniers progrès technologiques. La société a augmenté sa productivité dans un engagement continu d’innovation. Ainsi en 1991 Cerámica de Cabezón   a complètement transformé ses lignes de production en intégrant les dernières avancées de la technologie industrielle et notamment la robotique. Ce cycle prend fin à présent.

La société a proposé aux employés la possibilité de s'installer en France et de travailler pour un essai de trois mois à un salaire semblable à celui pratiqué jusqu’à présent.
Revuelta Enrique , l'un des salariés touché par la fermeture après  22 ans d’ancienneté,  a déclaré avec déception  « On nous a dit que tout était arrêté et qu’il n'y avait pas de porte de sortie. Nous étions là depuis de nombreuses années ».

Miguel Angel Alvarez est un des plus anciens dans l'entreprise. En mai de l'année prochaine il atteindra 31 années de travail à l’usine. «Depuis 2008 il nous  parlent de suspension de contrat de travail ou de licenciements.  Après plusieurs réunions, ils ont proposé des postes en France pour certains ».  Michel-Ange a refusé. Et il montre sa colère parce que «le gouvernement, comme le gouvernement de Cantabrie et la ville de Cabezon n’ont  pas été impliqué dans les négociations,  ni nous ont soutenu moralement et économiquement, comme cela s'est produit dans d'autres entreprises  d'autres communes." Il se montre cependant optimiste: «Ils vont peut-être revenir en 2013 pour réembaucher ».

La Tejera de las  Navas  est une  victime supplémentaire du secteur de la construction en Cantabrie. Les constructeurs Cantabres ont  déjà annoncé il ya quelques jours, aux autorités régionales qu’ avant la fin de l'année, près de 65% des entreprises fermeraient  ce qui provoquera de licenciement massif de 40 à 50% de la main-d'œuvre dans le secteur.
Cela signifie que des milliers de personnes seront  à la rue du jour au lendemain et des centaines de sociétés brisées. Ces personnes viendront s’ajouter aux 5912  licenciés suite à la fermeture de 1344 les entreprises au cours des quatre dernières années de crise.
Source Eldiarimontanes.es

Construction en Europe : un 9ème mois de baisse d’activité

Les derniers chiffres publiés par Eurostat révèlent que septembre aura été le neuvième mois consécutif de baisse de l’activité dans le secteur de la construction.
L’organisme statistique de la Commission européenne souligne une chute de 2,6 % de l’activité dans la zone Euro et de 5,8 % au niveau communautaire, au regard des résultats enregistrés en septembre 2011. C’est le secteur du bâtiment qui connaît le repli le plus important : - 3,2 % dans la zone Euro et - 6,5 % sur l’ensemble des Etats membres. D'un point de vue national, les plus fortes baisses sont à déplorer au Portugal, en Italie, en Pologne, en Slovaquie et au Royaume-Uni. Les croissances les plus notables sont, quant à elle, à mettre au crédit de la Suède (+ 4,5 %) et de l’Allemagne (+ 4 %).
Source France BTP

13/12/2012

La Séguinière. Bouyer-Leroux veut acquérir Imerys Structure

Le groupe Bouyer-Leroux (La Séguinière) et le groupe Imerys (Loire-Atlantique) ont entamé des négociations en vue de l’acquisition de l’activité Imerys Structure en France. Bouyer-Leroux, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 90 millions d’euros et qui emploie 370 collaborateurs, veut, selon un communiqué, prendre « une nouvelle ampleur nationale grâce à la complémentarité géographique des deux dispositifs industriels », et « développer une nouvelle activité de fabrication de produits de grands formats à partir du site de production de briques » actuellement exploité par Imerys Structure et sur lequel Bouyer-Leroux a prévu d’investir au 2e semestre 2013.
Imerys Structure compte 400 salariés et a réalisé un chiffre d’affaires d’environ 95 millions d’euros en 2011. Avec sept usines, il est essentiellement présent dans le Sud de la France. Ce projet permettra à Bouyer-Leroux de devenir un des leaders de la brique de mur et de la brique de cloison en France, et de proposer à ses clients une gamme de produits et services plus larges sur l’ensemble du territoire national. Le groupe s’est engagé à conserver l’ensemble des effectifs, les deux activités étant complémentaires.
Source Ouest France

Le français SAINT-GOBAIN acquiert l'entreprise serbe de matériaux de façade KARBON


Le groupe français Saint-Gobain, l'un des leaders mondiaux de la production et distribution des matériaux de construction, a annoncé mercredi 14 Novembre avoir acquis l'entreprise serbe Karbon, pour un montant qui n'a pas été dévoilé.
L'acquisition de la compagnie privée Karbon située à Topola (centre), dont le chiffre d'affaires en 2011 était de 7 millions d'euros et qui emploie actuellement 84 personnes, permettra à Saint-Gobain de renforcer sa présence en Europe de l'est, a déclaré à la presse le directeur du groupe pour la Serbie, Milan Lukic.
Les matériaux pour façades produits dans l'usine de Topola seront destinés aux marchés serbe, hongrois, roumain, bulgare mais aussi à ceux des pays de l'ex-Yougoslavie, selon la même source.
Saint-Gobain, l'un des leaders mondiaux dans la production et distribution des matériaux de construction, est présent dans 64 pays et son chiffre d'affaires en 2011 a été de 42,1 milliards d'euros.
Le groupe est présent en Serbie depuis 2007 lorsqu'il a pris le contrôle d'une usine de matériaux de construction à Apatin (nord).
Source Fusacq

12/12/2012

IMERYS : Réception d'une offre ferme pour l'acquisition d'Imerys Structure par Bouyer Leroux


Imerys a reçu une offre ferme d'acquisition de la part du groupe BOUYER LEROUX pour son activité Imerys Structure
Présent sur le marché français des matériaux de construction en terre cuite (briques de murs et de cloisons, conduits de cheminée), Imerys Structure contribue, depuis plusieurs décennies, à l'essor de ce mode constructif au travers d'une politique dynamique de développement industriel et commercial. Ses innovations améliorent les performances thermiques des constructions et répondent aux enjeux des Bâtiments Basse Consommation. Avec son dispositif industriel performant, composé de 7 usines essentiellement localisées dans le Sud de la France, Imerys Structure emploie 400 salariés et a réalisé un chiffre d'affaires d'environ 95 millions d'euros en 2011.
Société familiale créée en 1955, BOUYER LEROUX s'est développée au travers d'investissements internes et d'opérations de croissance externe pour devenir un acteur industriel reconnu pour la qualité et l'originalité de son offre de solutions destinées à la construction, la rénovation et l'amélioration de bâtiments éco- performants. L'entreprise, dont le capital est détenu par ses salariés depuis 1980, emploie aujourd'hui près de 370 collaborateurs et a réalisé un chiffre d'affaires de 90 millions d'euros au cours de l'exercice clos le 30 septembre 2012. Principalement implanté dans le Nord-Ouest de la France, BOUYER LEROUX a bâti de solides positions dans les produits de structure en terre cuite, un métier qui représente désormais près de75 % de son activité.
Le rapprochement envisagé permettrait de créer un leader des matériaux de structure en terre cuite en France, la complémentarité géographique des deux entités assurant un maillage industriel et commercial performant sur le plan national. Dans un contexte concurrentiel accru, l'intégration des deux activités, dotées d'une forte culture de satisfaction du client et de qualité des produits associée à une intégration minière et technologique, accroîtrait le potentiel de croissance, d'innovation et la compétitivité du nouvel ensemble. Imerys examine actuellement l'offre qui lui a été remise pour une valeur d'entreprise proche d'une année de chiffre d'affaires. Le projet sera notamment soumis à la consultation des instances représentatives du personnel ainsi qu'à l'obtention des autorisations administratives requises. Il pourrait aboutir dans le courant du premier semestre de l'année 2013.
Imerys Structure est l'un des deux départements d'Imerys TC, un leader français des matériaux de construction en terre cuite. Imerys Toiture (tuiles) et Imerys Structure (briques de murs et de cloisons, conduits de cheminée) apportent des solutions concrètes pour répondre aux enjeux environnementaux de demain et agissent pour un habitat toujours plus performant, économe, confortable et donc plus durable. Imerys TC fait partie de la branche Matériaux & Monolithiques du groupe Imerys.
Leader mondial des spécialités minérales pour l'industrie, Imerys valorise une gamme unique de minéraux pour apporter des fonctionnalités (résistance thermique et mécanique, conductivité, pouvoir couvrant, effet barrière, etc.), essentielles aux produits et procédés de production de ses clients. Composants minéraux, additifs fonctionnels, aides aux procédés ou produits finis, les solutions d'Imerys contribuent à la qualité d'un très grand nombre d'applications dans les biens de consommation, l'équipement industriel ou la construction. Conjuguant expertise, créativité et une écoute attentive de leurs clients, les équipes internationales du Groupe identifient en permanence de nouvelles applications et mettent au point des solutions à forte valeur ajoutée dans le respect d'une démarche déterminée de développement responsable. Ces atouts permettent à Imerys de se développer selon un modèle économique solide et profitable.
Source Zonebourse

Wienerberger (note BB) met fin à sa notation externe par Standard & Poors


Après une analyse approfondie, Wienerberger AG a décidé de mettre fin à sa notation d'entreprise par Standard & Poors («S & P»). La dernière note à long terme émis par S & P au début de Septembre a confirmé la cote de BB Wienerberger AG avec une perspective stable. La relation avec la société d’analyse financière Moody (qui note Wienerberger Ba2, avec perspective stable) reste maintenue. Les facteurs décisifs pour cette étape sont les considérations économiques et l'importance décroissante des notes pour les titres émis par la société.

Aucun effet négatif attendu sur le financement du Groupe

Willy Van Riet, directeur financier de Wienerberger AG, n'anticipe pas de changement dans la stratégie de financement du Groupe avec la  fin de la note S & P: «Notre stratégie de financement a mis l'accent depuis plusieurs années sur l’émission d’obligations régionales de petite taille et sur les prêts bancaires inférieurs à € 250 millions. Dans ce segment, les notations externes ne jouent pas un rôle majeur dans l'établissement des conditions ou sur le succès de l'émission. En fait, seulement huit des 62 émetteurs d'obligations en Autriche sont notés. Ces entreprises ont levé des fonds avec succès, sur des volumes importants et à de bonnes conditions, même sans notation. Si Wienerberger décide à l'avenir de placer plus d’obligations sur les marchés internationaux, les investisseurs peuvent toujours compter sur une notation par une agence réputée externe. Je n’attends donc pas d'effets négatifs sur l'accès de Wienerberger auxmarché des capitaux ou sur les  coûts de financement à l'avenir. "

Wienerberger a  des positions fortes en briques, tuiles, pavés en béton et canalisations

Wienerberger est le premier producteur mondial de briques (Porotherm, Terca) et le leader du marché des tuiles en terre cuite (Koramic, TONDACH) en Europe et en pavés de béton (Semmelrock) dans le centre-est de l'Europe. Dans les systèmes de conduites (Steinzeug Keramo-tubes et tuyaux en céramique Pipelife en plastique), Wienerberger est l'un des principaux fournisseurs en Europe. En 2011, le Groupe Wienerberger a généré des revenus de € 1.915 millions d'euros et l'EBITDA opérationnel de 240 M € avec 226 plantes.

Imerys acquiert les activités kaolin du britannique Goonvean

Le groupe de minéraux industriels Imerys a annoncé lundi 05 Novembre lors de la publication de ses résultats du troisième trimestre avoir signé un accord pour l'acquisition des activités kaolin de la société Goonvean, située en Cornouailles (Grande-Bretagne).
Aucun montant n'a été communiqué pour la transaction. "La nouvelle activité a réalisé un chiffre d'affaires annuel de l'ordre de 18 millions de livres sterling (22 millions d'euros) au cours du dernier exercice clos", précise Imerys dans son communiqué.
"En accédant à des réserves de grande qualité, le groupe renforce son potentiel de croissance dans des produits de spécialités essentiellement destinés aux marchés des minéraux de performance et des céramiques", commente le groupe, qui estime que "cette opération pérennise (s)es actifs dans la région.
Le kaolin est une argile blanche, utilisée par les papetiers pour donner au papier couché son aspect lisse et brillant.
Le groupe annonce également avoir "élargi son offre de minéraux en acquérant auprès du groupe Vale un gisement de bauxite réfractaire situé dans l'Etat de Pará" au Brésil.
"Ce minéral est essentiel à certaines applications réfractaires et abrasives", explique le groupe.
Imerys a publié lundi 05 Novembre un bénéfice net part du groupe en hausse de 4% à 239,8 millions d'euros sur les neuf premiers mois de l'année et a confirmé ses objectifs de rentabilité pour l'année en cours.
Source L'Expansion

11/12/2012

Jean-Jacques Wagner - nouveau directeur général de CERIC Technologies


Le nouveau Directeur Général de  CERIC Technologies ,  Jean-Jacques Wagner, a occupé plusieurs postes préalables au sein du Groupe Ceric.
De 2000 à 2003 il a travaillé comme directeur du développement chez Ceric Inc à Denver, puis en tant que Directeur Général de Keller-HCW en Allemagne (2003-2007) et enfin à la tête des filiales allemandes de Keyria ( Keller , Novoceric et Rieter)  de 2007 à 2008, durant les années de forte expansion internationale du groupe.

A la fin de l'année 2008, Jean-Jacques Wagner a quitté la société pour établir une nouvelle entreprise en Espagne, qui met  l'accent sur ​​les produits de décoration innovants et respectueux de l'environnement.
Jean Jacques Wagner a agi comme consultant et en tant que Président de son Conseil de Surveillance de la société CERIC TECHNOLOGIES qui a été créé en 2010 avec le soutien du Fonds d'investissement Pléiade Investissements.

En 1975, Jean-Jacques Wagner a obtenu un diplôme en génie mécanique de l'Ecole Centrale et en 1984 et une maîtrise en administration des affaires de l'INSEAD (1984). Avant de rejoindre CERIC, il a occupé plusieurs postes à la tête de succursales étrangères de la société française Alstom au Moyen-Orient, et en tant que président de la division d'ingénierie de fabrication de neige de culture de l'entreprise York aux Etats-Unis.

Jean-Jacques Wagner est un membre fondateur et ancien président de l'ECTS (European Ceramics Technology Association).

Source Ziegelindustrie International

BigMat veut doubler ses points de vente en 5 ans

L’enseigne de négoces de matériaux indépendants lance un projet stratégique à l’horizon 2017 qui vise notamment à doubler le nombre de points de vente… Ambitieux !
Ce plan quinquennal s’articule autours d’axes majeurs : une approche innovante des points de vente, une activité et une offre produit mieux définies en collaboration avec les partenaires industriels, adossées à une expertise techniques et conseil renforcés.
A terme, l’enseigne souhaite donner une nouvelle impulsion au marché du négoce de matériaux et doubler le nombre de points de vente d’ici 2017, soit 600 au total.
Joël Armary, Président du Directoire de BigMat France indique : « BigMat est une enseigne forte et saine, il est important de lui conférer une dimension qui correspond d’une part, à l’engagement de ses adhérents, mais aussi de répondre à une demande très ciblée des clients qu’ils soient professionnels ou particuliers.
Notre objectif, ambitieux et réaliste, doit nous conduire à devenir l’enseigne préférée des professionnels et le modèle d’une nouvelle génération de réseau d’indépendants dans l’univers du bâtiment et du négoce de matériaux. »
Un nouveau concept de points de ventes
La priorité sera donnée en 2013 à un nouveau concept de points de vente reposant sur l’innovation produit, l’expertise technique et normative et le développement durable, couvrant toutes les spécialités des projets de construction ou de rénovation : gros-oeuvre, second-oeuvre, menuiserie/bois/charpente, chauffage, carrelage, sanitaire, équipement industriel et environnement extérieur.
Concernant la stratégie de référencement, l’enseigne s’attachera à développer le meilleur rapport/qualité prix, à intégrer davantage de produits innovants toujours dans le respect des normes techniques et environnementales en vigueur.
Enfin, l’enseigne a pour objectif d’intensifier son maillage régional, reposant sur la croissance interne des adhérents et externe.
A cet effet, BigMat réorganise sa carte des régions autour de sept zones géographiques : Ile de France/Centre, Est, Centre Est, Sud Est, Centre Ouest, Sud Ouest, Nord/ Normandie.
Le négoce, premier canal de distribution
Ce plan stratégique s’est appuyé sur deux constats. Le premier fut posé fin 2011, après avoir mené une étude interne approfondie auprès des 110 adhérents du groupement : une volonté affirmée de développer le réseau en adéquation avec les attentes des clients.
Le second, repose sur une étude marché BigMat-IPSOS réalisée auprès de 800 entreprises et 2000 ménages en avril 2012.
L’étude dresse un panorama de la clientèle du marché de la distribution des matériaux de construction, ou de rénovation (toutes enseignes et toutes catégories confondues) : perception, attitudes, comportements, affinités et nouvelles attentes.
Plus de 80 % des entreprises interrogées affirment que leurs clients (artisans ou particuliers) sont de plus en plus demandeurs de conseils techniques, une majorité est à la recherche de produits innovants ou liés au développement durable.
Globalement, les négoces constituent le premier canal de distribution pour toutes les catégories, sauf deux : l’électricité et la plomberie. Cependant, ils totalisent une pénétration respective de 33% et 36%. Elle est ultra-dominante pour le Gros-oeuvre, l’Isolation, la Couverture, la Plâtrerie et le Bois/Panneau.
Les GSB n’atteignent 25% de fréquentation que sur les catégories Finition et Plomberie, restant très loin derrière les négoces. Les industriels n’atteignent 20% que sur l’Outillage. La catégorie Carrelage très disputée entre les distributeurs spécialisés et les négoces (42% versus 58%) et la pénétration des coopératives d’artisans est la plus significative pour le Carrelage, Plomberie et TP.
En savoir plus
Créée en 1981, BigMat est aujourd’hui la première enseigne européenne de négociants de matériaux indépendants. BigMat compte en France 109 adhérents et 336 points de vente, pour un chiffre d’affaires de 1,2 milliard d’euros (2011).
L'enseigne est présente en Belgique, Espagne, Italie et République Tchèque, avec 820 points de vente en Europe, pour un chiffre d'affaires cumulé de 2,4 milliard d'euros.
Source : batirama.com