Terreal Espagne, connue à Cabezon de la Sal comme «La Tejera de las Navas », ferme ses portes le 31 Décembre 2012. Ses 39 employés spécialisés
dans la fabrication de briques de parement en terre cuite, viendront grossir les rangs des chômeurs.
Seulement dix resteront jusqu'à Juin 2013 pour finaliser les projets en cours.
L'entreprise, qui s’appelait auparavant Cerámica de Cabezón avait employé jusqu’à 60 personnes. Sa part de marché atteignait 11% en briques de parement qui étaient utilisées pour les façades d'Espagne durant le boom de la construction entre 2004 et 2006. La création de Cerámica de Cabezón remonte à 1946. Dès sa création , la société se consacre au développement de produits de construction en terre cuite avec des méthodes et technologies traditionnelles qu’elle n’a cessé de faire évoluer au fil des années pour intégrer les derniers progrès technologiques. La société a augmenté sa productivité dans un engagement continu d’innovation. Ainsi en 1991 Cerámica de Cabezón a complètement transformé ses lignes de production en intégrant les dernières avancées de la technologie industrielle et notamment la robotique. Ce cycle prend fin à présent.
L'entreprise, qui s’appelait auparavant Cerámica de Cabezón avait employé jusqu’à 60 personnes. Sa part de marché atteignait 11% en briques de parement qui étaient utilisées pour les façades d'Espagne durant le boom de la construction entre 2004 et 2006. La création de Cerámica de Cabezón remonte à 1946. Dès sa création , la société se consacre au développement de produits de construction en terre cuite avec des méthodes et technologies traditionnelles qu’elle n’a cessé de faire évoluer au fil des années pour intégrer les derniers progrès technologiques. La société a augmenté sa productivité dans un engagement continu d’innovation. Ainsi en 1991 Cerámica de Cabezón a complètement transformé ses lignes de production en intégrant les dernières avancées de la technologie industrielle et notamment la robotique. Ce cycle prend fin à présent.
La société a proposé aux employés la possibilité de s'installer en France et de travailler pour un essai de trois mois à un salaire semblable à celui pratiqué jusqu’à présent.
Revuelta Enrique , l'un des salariés touché par la fermeture
après 22 ans d’ancienneté, a déclaré avec déception « On nous a dit que tout était arrêté
et qu’il n'y avait pas de porte de sortie. Nous étions là depuis de nombreuses
années ».
Miguel Angel Alvarez est un des plus anciens dans
l'entreprise. En mai de l'année prochaine il atteindra 31 années de travail à
l’usine. «Depuis 2008 il nous parlent
de suspension de contrat de travail ou de licenciements. Après plusieurs réunions, ils ont proposé
des postes en France pour certains ».
Michel-Ange a refusé. Et il montre sa colère parce que «le gouvernement,
comme le gouvernement de Cantabrie et la ville de Cabezon n’ont pas été impliqué dans les négociations, ni nous ont soutenu moralement et
économiquement, comme cela s'est produit dans d'autres entreprises d'autres communes." Il se montre
cependant optimiste: «Ils vont peut-être revenir en 2013 pour
réembaucher ».
La Tejera de las
Navas est une victime
supplémentaire du secteur de la construction en Cantabrie. Les constructeurs
Cantabres ont déjà annoncé il ya
quelques jours, aux autorités régionales qu’ avant la fin de l'année, près
de 65% des entreprises fermeraient ce
qui provoquera de licenciement massif de 40 à 50% de la main-d'œuvre dans le
secteur.
Cela signifie que des milliers de personnes seront à la rue du jour au lendemain et des centaines de sociétés brisées. Ces personnes viendront s’ajouter aux 5912 licenciés suite à la fermeture de 1344 les entreprises au cours des quatre dernières années de crise.
Source Eldiarimontanes.es
Cela signifie que des milliers de personnes seront à la rue du jour au lendemain et des centaines de sociétés brisées. Ces personnes viendront s’ajouter aux 5912 licenciés suite à la fermeture de 1344 les entreprises au cours des quatre dernières années de crise.
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