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29/12/2011

Coup de projecteur, Portrait: Hervé Gastinel, Président de TERREAL

Diplômé de l’ESSEC, de l’Ecole Nationale d’Administration, lauréat de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris, Hervé Gastinel a également obtenu un Master 203 marchés financiers, marchés des matières premières et gestion du risque (Paris IX, Dauphine).

Il débute sa carrière en 1993 à l’Inspection des Finances où il exerce différentes missions d’audit et de contrôle. En 1996, il est détaché à la Commission des Opérations de Bourse (COB, devenue AMF) auprès du service des opérations et de l’information financière. En 1997, il rejoint le Cabinet du Président du Sénat en qualité de Conseiller technique en charge des affaires économiques et financières et des nouvelles technologies.

En 1998, il intègre le Groupe Saint-Gobain au poste de Directeur du Plan et de la stratégie et secrétaire du Comité exécutif. En septembre 2000, Hervé Gastinel est nommé Directeur Général de Saint-Gobain Terreal, puis Président Directeur Général en 2002. Il en est aujourd’hui le Président depuis la cession par Saint-Gobain de Terreal en 2003.

Hervé Gastinel est l’auteur, en collaboration avec Eric Bernard, de l’ouvrage « Les marchés boursiers dans le monde » (Editions Montchrestien). Il a enseigné à l’université de Paris II, à l’ENA et à l’ESSEC. Il a également été Maître de Conférence à Sciences Po.

Il a par ailleurs été Président de la FFTB (Fédération Française des Tuiles et Briques) de juin 2005 à juin 2008, après avoir assuré au préalable la présidence de la commission tuiles de la fédération et la présidence du GIE Brique de France. Il est également membre du Comité Exécutif de TBE (Fédération Européenne des Tuiles et Briques). Il a été nommé en octobre dernier Président de l’association Promotoit qui fédère les principaux industriels de la toiture en France.

Afin de s’évader de la sphère professionnelle, Hervé Gastinel apprécie particulièrement d’écouter et de jouer de la musique classique. Il est violoncelliste et pianiste à ses heures. Né à Guérande, Hervé Gastinel a également un profond attachement à la mer et à la voile qui se manifeste par sa participation à des régates ou à des croisières en famille. TERREAL a par ailleurs sponsorisé Guillaume Le Brec, marin de l’écurie de Jean-Pierre Dick, pour la mini transat La Rochelle – Bahia.

Présentation de TERREAL

Fabricant de matériaux de construction en terre cuite, TERREAL propose des systèmes constructifs dans trois grands domaines d’expertise : la toiture (tuiles, cheminées et conduits de fumée, panneaux solaires, composants métalliques d’étanchéité), la structure (murs porteurs en briques) et la façade (bardages, vêtures et briques de parement en terre cuite).
Spécialiste de l’enveloppe du bâtiment, TERREAL répond aux exigences du développement durable.
Le groupe TERREAL réalise 400 millions d’euros de chiffre d’affaires et compte 2.700 salariés dans le monde dont 1.900 en France. TERREAL possède 25 sites industriels en France, Italie, Espagne, USA, Malaisie et Indonésie.

Sa vision du marché

« La situation actuelle est incontestablement difficile : il y a une rupture des grands équilibres économiques et financiers à l’échelle de l’Europe, si ce n’est du Monde. Or cela n’est pas sans conséquences sur notre activité. Comme tous les métiers du bâtiment, nous dépendons très largement du financement de l’économie. Dans ces conditions, la nervosité des marchés, la tension croissante sur le crédit bancaire et l’absence totale de visibilité sont de vrais problèmes pour piloter une entreprise » explique Hervé Gastinel.

« Il faut donc à la fois se préparer au pire comme au meilleur, en continuant notre travail sur les innovations et nos investissements de progrès, que ce soit dans le domaine industriel, marketing ou social. L’un des grands enjeux du bâtiment est d’être capable de répondre aux défis environnementaux puisque notre secteur représente 20 à 25 % des émissions de CO2. Cela crée une exigence sur toute la filière car l’Habitat est l’un des domaines les plus propices à la réduction de la consommation d’énergie. Nous visons d’ailleurs le bâtiment à énergie positive, c’est-à-dire produisant plus d’énergie qu’il n’en consomme. C’est pour cela que TERREAL utilise l’expression de construction positive. Ce mot d’ordre me paraît plus essentiel que jamais : un état d’esprit positif dans un contexte global négatif !»
Source Wellcom

28/12/2011

MCC2I dans le giron de Poujoulat-Beirens

Beirens, la branche cheminée industrielle du groupe Poujoulat, a annoncé avoir pris une participation majoritaire dans la société MCC2I, située à Pont-Audemer (Eure) et spécialisée dans l’expertise et la maintenance de cheminées béton, briques ou métalliques.
Le groupe Poujoulat croît : Beirens, sa filiale spécialisée dans les cheminées industrielles, a pris une participation majoritaire dans la société normande MCC2I. Celle-ci est orientée vers l’expertise d’ouvrages existants (contrôles externes et internes, thermographie infrarouge, mesure d’épaisseur) et dans la maintenance et la mise en conformité de cheminées. Ainsi, la PME mène des missions de réparation des fûts porteurs, de traitement des bétons, de chaudronnerie, de renfort en sous-œuvre, de briquetage interne, de tubage métallique ou de réparations et modifications des accessoires (passerelles, échelles, couronnements, paratonnerres, haubanage, instruments de mesure, etc.). Elle constitue de ce fait un complément idéal aux activités de Beirens, tournées essentiellement vers la conception, la fabrication et l’installation des cheminées industrielles.

Les marchés visés vont du logement collectif à l’industrie, en passant par le tertiaire et la production d’énergie. MCC2I connaît précisément ce secteur, tout comme le secteur pétrochimique, le chauffage urbain, les usines d’incinération, les verreries, les papeteries ou l’agroalimentaire (sucreries). Beirens, par cette acquisition, renforce sa position de leader français et européen de son marché. La filiale de Poujoulat affiche un chiffre d’affaires de 23 millions d’euros pour un effectif de 200 personnes. Elle est implantée à Buzançais (Indre) depuis 2007, dans un bâtiment moderne qui regroupe unité de production et plateforme logistique.
Source Batiactu

27/12/2011

Qualité de l’air : Terre Cuite® est LA solution contre les moisissures

Nous passons plus de 80 % de notre temps dans des espaces fermés. Avec ce chiffre, la qualité de l’air intérieur est devenue un enjeu majeur. Mais les Composés Organiques Volatils (COV), contribuent à la dégradation de cet air intérieur.

C’est pourquoi, à compter du 1er janvier 2012, l’étiquetage de certains produits de construction et de décoration sera obligatoire et informera le consommateur sur le degré d’émission de COV des matériaux. A noter que cette étiquette est une avancée décisive dans la lutte contre les pollutions de l’air intérieur.


Terre Cuite a donc décider d’aller plus loin, et annonce que la constitution exclusivement minérale (l’argile) des solutions Terre Cuite® fait qu’elles n’émettent pas de Composés Organiques Volatils et qu’elles sont classées A+.

Les moisissures sont présentes dans 40% de nos logements et jouent aussi un rôle majeur dans l’accroissement de diverses pathologies chroniques et autres allergies respiratoires. Pour se développer elles ont besoin d’humidité et de matières nutritives. Les solutions Terre Cuite® garantissent de vivre sans moisissure car leur caractère isolant, leur inertie et leur traitement des ponts thermiques permettent d’éviter les zones froides et le phénomène de condensation. Même en cas d’humidité accidentelle (infiltrations, fuites d’eau) l’absence de matière nutritive empêche les moisissures de se développer.

Sans C.O.V. et sans moisissure, les solutions Terre Cuite® s’imposent plus que jamais comme LES solutions performantes dans la préservation de la qualité de l’air intérieur, peut on lire dans un communiqué de presse.

A noter que cette étiquette non obligatoire est une initiative des professionnels de la filière Terre Cuite et indique clairement le non développement possible des moisissures.
Source Actu-Environnement par Jean-Charles BATENBAUM

26/12/2011

Un système solaire hybride thermique à air et photovoltaïque pour un rendement optimal

Un système solaire hybride thermique à air et photovoltaïque pour transformer un pavillon années 80 en maison quasi-positive

La généralisation imminente des bâtiments basse consommation conduit les entreprises à rechercher des équipements techniques aux performances inégalées, notamment avec des systèmes solaires thermiques de dernière génération. Exemple en Vendée où un installateur avec un système hybride, thermique à air et photovoltaïque, transforme un pavillon des années 80 en maison quasi-positive.
Source Le Moniteur

25/12/2011

Les Toits de Paris ou l'art des couvreurs

S'il faut à Monet un coucher de soleil pour inventer l'impressionnisme, les toits de Paris durcissent l'impression, géométrisent la nature, la dé-structurent, et elle devient sous les pinceaux de Cézanne, de Picasso, de Braque et de Léger le cubisme. Sur le chemin de l'abstraction, Nicolas de Staël dissimule encore quelques figurations de la réalité : des routes et des toits. De ce paysage supra-urbain, il ne sera bientôt plus question que de lumière sur du noir introuvable, Pierre Soulages zingue et soude la fin des représentations.

Du temps de Lutèce, c'était des tuiles romaines, et puis il y a eu le chaume et le bois, au Moyen Age. A la Renaissance, les tuiles plates étaient fabriquées au bord de la Seine, aux tuileries pour ne pas les nommer, l'ardoise était extraite des carrières d'Angers, et c'est à partir de là que les toits de Paris ont commencé de former ce relief plein d'obliques, de penchants, de verticalités, grises, gris bleu, selon ce que le ciel décide.

De cette longue conversation avec les nuages, de ces cinq siècles d'épousailles tumultueuses sous le contrat de la lumière, les toits de Paris retiennent les ombres, multiplient les traits, les taches, distribuent des petits carrés de vasistas, les rehauts rouges des cheminées de brique, et tout à coup, au flash d'une fenêtre qui s'ouvre, on se rend compte qu'il fait beau. Rien de tout ça n'est naturel puisque c'est l'oeuvre de la main de l'homme ; il s'agit pourtant bien d'un paysage : "On est à la montagne", disent les couvreurs. Les peintres, eux, sont au travail, et pas seulement ceux qui vivent "sous les toits", dans leur mansarde, grelottant de misère, un pot de chambre sous la fuite d'eau, prisonniers d'une lucarne qui leur offre ces vagues immobiles de zinc, de plomb, de schiste et du cuivre verdi en guise d'écume.

Ce que la peinture française doit aux chiens-assis, aux gouttières, aux balcons, aux coupoles, c'est incalculable, et c'est pourtant ce que le livre du photographe Gilles Mermet calcule.

L'idée était d'abord de rendre justice au métier de couvreur. Qui ne souffre pourtant d'aucune injustice, ne fait même pas partie des métiers oubliés. Simplement, les funambules des faîtières ne dansent pas avec les stars de la télé. La belle affaire. C'est une profession en pleine santé, qui ne souffre d'aucune mauvaise réputation et dont l'avenir est assuré. Certes, il y a Beaubourg et l'Opéra Bastille, il y a la mode des terrasses et le Grand Paris qui s'approche, Jean Nouvel et Roland Castro en Charybde et Scylla de l'intra-muros, mais ce n'est pas demain la veille que leurs tours vont remplacer l'hôtel Lambert, les pavillons de la place des Vosges, et les kilomètres carrés de zinc qui couvrent nos immeubles haussmanniens. Resteront éternellement les longs pans et croupes rondes de Notre-Dame, la flèche de la Sainte-Chapelle et le dôme nervuré du Palais du Luxembourg. Tous les cinquante ans, il faut presque tout changer.

Je suis allé, avec ma caméra, rencontrer une équipe sur le chantier de la rue Monsieur. Maître ouvrier, compagnon et apprenti parlent des grands espaces, du silence et de la solitude car, ce qui les gêne le plus, c'est de tomber sur un client à l'ouverture d'une lucarne, au coin d'un balcon, derrière un oeil-de-boeuf. Ils décrapouillent, dégorgent, placent les solins de plâtre et les lambrequins en bordure du toit, et préfèrent n'avoir affaire à personne. Les vents et marées ne sont pas une souffrance, ni même une " pénibilité ".

Quand ils voient arriver les averses, les brillances après la pluie, et le soleil qui se couche là-dessus, ils ne peuvent pas s'empêcher de sortir leur portable et de prendre une photo. Ils me les montrent, je comprends que le beau livre de Mermet est tout à la fois celui qu'ils auraient aimé faire, celui qu'ils imitent, et dont ils sont fiers.

A lire
"Les Toits de Paris ou l'art des couvreurs", texte et photographies de Gilles Mermet, éditions de La Martinière, 180 p., 35 €.
Source Le Monde

24/12/2011

Serastone : L'alchimie de la pierre

Serastone est une société créée en 2010 après plus de 15 années de recherche sur ce matériau innovant, à faible empreinte écologique. L’entreprise possède le brevet mondial du procédé qui continue d’être régulièrement enrichi par un programme de Recherche et Développement ambitieux. Notre unité de production est située en Espagne, en Andalousie.

Serastone est créateur et fabriquant de tous ses produits. Dans ses usines espagnoles sont reproduits les modèles crées par ses designers, ou en collaboration avec ses clients.

Une équipe créative à l’écoute des tendances et réactive, un procédé de fabrication adaptable, voici les deux principaux secrets de Serastone pour mieux vous servir et varier les aspects et textures de nos carreaux à l’infini.

Suivant la ligne actuelle de décoration, Serastone pénètre sur le marché avec une vaste gamme de couleurs, qui, combinées entre elles, donnent un rendu des plus attractifs. Elles permettent de créer des environnements jeunes ou classiques et de transformer n'importe quel endroit en un espace attractif.
Maison & Objet


Maison & OBJET est un salon dédié à un public professionnel qui se tient deux fois par an à Paris Nord Villepinte.
Il s'agit non seulement du salon international de la décoration, du cadeau et des arts de la table mais aussi d'un salon aux multiples facettes offrant des solutions pour l'architecture d'intérieur (Maison & Objet Projets) et traquant l'innovation, créant des lieux de rencontre reflétant les dernières tendances dans le domaine du design.
Source Serastone

23/12/2011

Prosidif spécialiste de la distribution de matériaux réfractaires et isolants haute température

Installée en Ile de France dans la Seine et Marne (77), à proximité de Paris, la société Prosidif est spécialisée dans la distribution de matériaux réfractaires et isolants haute température. Dès que l'isolation de votre process, chambre froide, étuve, chaudière, poêle, cheminée, four de traitement thermique, de re-cuisson, de cuisson ou de fusion est primordiale, Prosidif met à votre disposition une gamme de matériaux isolants et réfractaires adaptée à votre besoin. Notre bureau technique est là pour répondre à vos interrogations et trouver la solution optimale en fonction de vos impératifs techniques, énergétiques et environnementaux.

Disposant d'un stock important, Prosidif peut répondre à vos demandes, quel qu'en soit le volume, dans les meilleurs délais, grâce à une logistique souple et adaptée aux besoins de ses clients.

Prosidif est aussi spécialisée dans la fabrication de pièces spéciales, usinées dans toute une gamme e matériaux isolants haute température, fibre bio et céramique, board, silicate de calcium, vermiculite compressée, diélectrique haute densité, briques isolantes légères, etc.
Source Prosidif

22/12/2011

Deuxième édition des “Lumières de l’innovation”

Forte du succès de la première édition et de ses 80 candidatures, la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb) lance la deuxième édition du concours “Les Lumières de l’innovation”, entièrement dédié aux artisans du bâtiment. L’objectif : rallumer les projecteurs sur ceux qui osent l’innovation pour réinventer les pratiques, les produits et les services du secteur. Deux catégories sont ouvertes : la catégorie “Démarches”, qui récompense les artisans ayant mis en place une démarche innovante dans leur entreprise ou avec d’autres sociétés. Et la catégorie “Produits et services destinés aux entreprises”, qui s’adresse aux artisans, à tous les concepteurs et fabricants de solutions innovantes à destination des entreprises artisanales du bâtiment. Les vainqueurs, qui seront mis à l’honneur lors des Journées Professionnelles de la construction en novembre 2012, remporteront soit 5 000 € pour la meilleure “démarche”, soit une promotion auprès du réseau des entreprises Capeb pour le meilleur“ produit ou service”.
Source Portail Beton

21/12/2011

Bouyer-Leroux va investir 35 millions d'euros en Normandie

Numéro 3 français de la fabrication de briques en terre cuite (700.000 tonnes de briques pour murs, cloisons et tuiles), Bouyer-Leroux, basée à La Séguinière (Maine-et-Loire), vient d'acquérir les hectares de terrains devant accueillir une usine à Forges-les-Eaux (Seine-Maritime), à l'horizon 2015. La capacité de production atteindra 150.000 tonnes au minimum. La Scop (90M€ de CA; 350 salariés) déboursera 35M€ pour un projet devant créer 70 emplois sur place.
Source Le Journal des Entreprises

20/12/2011

CERIC Technologies participera au salon BATIMATEC 2012



Le prochain salon BATIMATEC se tiendra du 6 au 10 Mai 2012 au Palais des Expositions d'Alger.

CERIC TECHNOLOGIES se fera un plaisir de vous accueillir sur son stand.

Source CERIC TECHNOLOGIES

19/12/2011

La Séguinière : le groupe Bouyer-Leroux lauréat du prix Image entreprise


Roland Besnard, le PDG de Bouyer-Leroux, est le neuvième en partant de la gauche.

Installé à La Séguinière, le groupe de briqueterie Bouyer-Leroux vient de se voir décerner le prix Image entreprise, avec deux autres sociétés des Pays de Loire.

Créé en 1981, Bouyer-Leroux fabrique des briques, des tuiles et des matériaux de construction en terre cuite. Il compte 250 salariés.

Le prix Image entreprise distingue des entreprises pour leur croissance économique, leur innovation, leur santé financière, leur développement à l’international et les retombées en termes d’image pour la région.
Source Ouest France

18/12/2011

FIMEC Technologies: Une tradition d'innovation et de services

La société FIMEC (Fabrication Industrielle de Machines pour les Entreprises de Céramique) a été créée en 1973 par un ingénieur mécanicien au service de l'industrie de la terre cuite.

Proposer l'équipement adapté au besoin de l’industrie est son crédo et très vite la société réalise le 1er séchoir rapide de marque Anjou®. Il rencontre rapidement un grand succès : FIMEC Technologies signe une des plus grandes réussites sur le marché des équipements pour l'industrie de la terre cuite.
Simplicité, robustesse, efficacité sont les caractéristiques de ce séchoir unique sur son marché.

Copié maintes fois mais jamais égalé, plus de 200 installations témoignent de la qualité du séchoir Anjou® de FIMEC. En partenariat avec CERIC, des améliorations et des innovations y sont apportées régulièrement : FIMEC Technologies a récemment développé le séchoir Anjou® "à pas rapproché" pour des installations plus compactes et au meilleur rendement énergétique.

De l’industrie de la terre cuite, FIMEC Technologies apporte ses facultés d'innovation à d’autres secteurs des matériaux de construction : pour accompagner le besoin de production dans l'industrie de la laine minérale, par exemple, la société a développé et breveté un empileur haute cadence "à rideaux", unique par les performances atteintes. L'ingénierie FIMEC Technologies est devenu incontournable sur ce marché.

L’expertise dans plusieurs secteurs de FIMEC Technologies lui permet de faire de la « fertilisation croisée » au bénéfice de ses clients et d’être apporteur d’idées nouvelles. C'est ainsi que dans les années 1990, FIMEC développe les premiers trieurs à peigne dont la technologie soutient le fort développement du secteur de la messagerie et de la logistique.

Fort de ce savoir-faire, FIMEC Technologies poursuit une politique ambitieuse d’innovation en partenariat avec ses clients des secteurs des matériaux de construction et du tri/messagerie.
® ANJOU est une marque déposée par FIMEC Technologies
Source FIMEC Technologies

17/12/2011

La terre cuite détrône le béton dans la construction en France

A épaisseur égale, la terre cuite est quatre fois plus isolante que le béton.

Le temps est loin des murs de terre cuite en briques pleines, qui pouvaient résister aux agressions du climat. Après le choc pétrolier, l'isolation intérieure des bâtiments s'imposa, la brique disparut de la construction des façades, ce fut l'avènement du béton. La terre cuite se retrouva confinée aux murs porteurs intérieurs, à la décoration et aux tuiles des toitures. Pourtant, depuis dix ans, elle prend sa revanche. Après il est vrai une grande avancée technique, la brique « monomur », dont la pose demande une simple colle en guise de mortier et qui n'a plus besoin d'être maçonnée à la truelle.

Comme le bois, la terre cuite bénéficie du retour en vogue des matériaux naturels. A épaisseur égale, la terre cuite est quatre fois plus isolante que le béton. Elle est incombustible. Et à l'heure où l'on se préoccupe beaucoup de la qualité de l'air ambiant, la terre cuite a aussi le mérite d'être plus saine, elle ne dégage ni fibre ni particule ; imputrescible, elle ne craint pas l'humidité.

Il y a cinq ans, la terre cuite occupait un quart du marché de la maison individuelle, qui constitue les deux tiers des constructions de logement en France. Aujourd'hui, sa part est de 50%, et même de 70% dans la construction des bâtiments basse consommation (BBC), qui vont devenir la norme en 2013. Dans le même temps, l'usage du béton a reculé de 20%. Lorsque l'on devra tenir compte du bilan carbone de la fabrication des matériaux de terre cuite, à partir de 2010, ils seront aussi plus performants.

Surfant sur la vague, le numéro un mondial de la terre cuite, l'Autrichien Wienerberger, vient de créer une nouvelle usine automatisée dans le nord-ouest de la France, près d'une carrière d'argile de l'Anjou. Le Français Imerys développe aussi la terre cuite parmi ses multiples autres matériaux. Il lance en entre autres des tuiles thermiques et photovoltaïques. Terreal promeut de son côté les bardages en terre cuite, pour les revêtements extérieurs et intérieurs, après avoir bénéficié des innovations de l'architecte du centre Pompidou, Renzo Piano. L'entreprise française a des carrières et des usines majoritairement dans le sud de la France mais aussi une unité en Malaisie. Elle exporte son savoir-faire jusqu'en Australie, en Chine et en Corée.
Source RFI par Claire Fages/Sophie Lenaerts / Cédric Simon

16/12/2011

Energaïa 2011 : un visitorat averti qui en vaut deux

La 5e édition du salon Energaïa vient de fermer ses portes à Montpellier. Rassemblant 400 exposants pendant trois jours, ce rendez-vous est devenu un passage obligé pour de nombreux acteurs de la filière des énergies renouvelables (solaire photovoltaïque, thermique, éolien, etc.).Visite guidée.

Le salon international Energaïa, des énergies renouvelables et des applications bâtiment est un salon encore jeune, qui vient de fêter sa 5e édition. Rassemblant plus de 400 exposants, il s’impose cependant de plus en plus comme un lieu d’échanges privilégié en France, pour tous les acteurs des énergies renouvelables et de la construction durable. L’international n’a pas été oublié, avec près de 20 nationalités parmi les exposants, provenant en priorité du pourtour méditerranéen : Espagne, Italie, Israël, Grèce, Liban, mais également de nations européennes (Allemagne, Autriche, Suisse) ou plus lointaines (Tchad, Taiwan). A noter, une forte représentation de la Chine, particulièrement liée au secteur du photovoltaïque.

En tout, près de 30.000 visiteurs, dont 700 lycéens, ont arpenté les 5 halls et 40.000 m² d’exposition sur les trois jours. Tous ont pu assister à des conférences et tables rondes aux thématiques variées : « Quels soutiens et dispositifs financiers pour les projets ENR du pourtour méditerranéen ? », « Eco-construction RT 2012/2020, comment les professionnels intègrent-ils ces nouvelles normes ? », « Les régions relèvent le défi de l’efficacité énergétique dans le bâtiment », etc. Tous les exposants rencontrés louent d’ailleurs la qualité du visitorat : « S’il n’est certes pas pléthorique en nombre, le public d’Energaïa est en revanche très exigeant techniquement », soutient Yves Hamel, manager France de Canadian Solar. « Les visiteurs se présentent le plus souvent avec des questions pertinentes, ce ne sont pas des néophytes », déclare Nicolas Cohen-Solal, directeur général de Terreal Solaire. Même constat du côté d’Yves Roussel, ingénieur commercial pour le Centre Technique des Industries Aérauliques et Thermiques (Cetiat) : « Nous sommes présents ici pour la première fois. C’est l’occasion de rencontrer de nombreux autres professionnels du secteur en quelques jours ».

« Le lobby nucléaire fait de l’ombre au solaire »
Concernant le moral des industriels des énergies renouvelables – en particulier du secteur photovoltaïque – tous affichent une attitude attentiste par rapport aux possibles évolutions d’orientation gouvernementales. « Le moratoire a impacté tout le secteur », explique Gregory Spanoudakis, président de Canadian Solar. « Nous avons besoin d’un gouvernement peut-être plus compréhensif, plus ouvert aux énergies renouvelables », insiste le dirigeant. « Le lobby nucléaire fait de l’ombre au photovoltaïque, causant des fermetures d’usines et des pertes d’emploi. Aucune prévision n’est possible pour le moment », renchérit Yves Hamel. « La baisse des tarifs a poussé les sociétés à chercher des panneaux moins chers, au détriment de la qualité. Il fallait certes assainir le marché, car une bulle spéculative s’était créée en 2010. Mais peut-être fallait-il le faire de façon moins brutale ».

Le dirigeant de la filiale française de Canadian Solar poursuit : « Le marché du photovoltaïque résidentiel ne redémarrera qu’après la remise en disponibilité des flux financiers, pour l’instant bloqués. Le marché agricole, lui, restera lié aux tarifs d’achat mais sera le plus actif. Pour les installations de plus de 100 kW, soumises à appel d’offre enfin, les procédures seront lentes et compliquées. L’activité reprendra, mais seulement après les étapes de soumission et d’examen des dossiers (février-juin 2012). C’est-à-dire qu’il ne faut pas espérer les premières ventes avant la rentrée 2012 et les premières installations avant 2013 ».

« Pourtant nous sommes convaincus qu’il existe de l’avenir pour le photovoltaïque en France. Le paysage industriel va certes changer mais nous restons confiants. Au niveau européen, le marché devrait continuer à croître avec une baisse des prix. Mais seules certaines sociétés compétitives, ayant la capacité de produire et de proposer des services, survivront », conclut Gregory Spanoudakis, prêt à relever le défi.
Source Batiactu

15/12/2011

Immobilier : il faut sauver la primo-accession

Tout se passe comme si on voulait enrayer le marché immobilier résidentiel, et - ce qui est bien pire - contrarier les projets de logement des ménages français. Les professionnels du secteur, comme les Français en général, ont matière à être déboussolés : les dernières décisions, qu'elles soient budgétaires ou juridiques, reviennent tout simplement sur des années d'élan politique inverse.

Sans faire ici un historique complet, on peut dire que les discours publics et les actes politiques des trente dernières années ont concouru à faire de l'investissement Immobilier une priorité, avec des hauts et des bas certes, mais un cap constant. Je ne sais d'ailleurs si le slogan de 2007 "La France de propriétaires", correspondait vraiment à une accélération de l'histoire, ou si le marketing politique était seulement plus brillant qu'avant... D’ailleurs, ce message visait également l’investissement locatif car, évidemment, chacun n’a pas forcément vocation à être un propriétaire occupant.

Et voilà que tous les gestes du gouvernement et du parlement inversent la vapeur ! Oh bien sûr, les décideurs de l'exécutif et du législatif jurent la main sur le coeur qu'il n'en est rien, que nous faisons une mauvaise lecture des mesures prises. Soyons sérieux : il n'y a pas d'amour, il n'y a que des preuves d'amour, et le logement et ses acteurs, professionnels et particuliers, ne reçoivent que des preuves de désamour, et elles sont de tous ordres. On n'avait jamais vu ça. L’immobilier représente prés de 22% de notre économie, sa chaine complète allant du fabriquant de tuiles, de briques ou de béton jusqu’aux acteurs de la gestion et de l’entretien… L’Etat, alors qu’il profite de ces ressources, TVA et surtout emploi, raisonne dans une logique de dépenses, aides et niches fiscales entre autres.

Le président de la Fédération des promoteurs est allé jusqu'à dire qu'il n'y avait plus de politique du logement : on peut comprendre son appréciation, toutes les mesures envisagées ayant pour conséquences de bloquer les marchés de l’ancien et du foncier privé.

Ses plans d'austérité ont choisi la cible privilégiée de l'immobilier, entre toutes celles qui étaient dans le viseur, mais bien d’autres mesures non budgétaires ont également été décidées à l'encontre du logement. Jugeons plutôt : alourdissement insupportable de la taxation des plusvalues, suppression programmée des aides à l'investissement locatif tous azimuts, suppression des aides à l'accession dans l'ancien, mais aussi renoncement à inverser la fiscalité sur les cessions de terrain pour favoriser les détentions courtes et les cessions, renoncement à réformer l'urbanisme pour encourager la densité, modification du régime sécurisant les mandats des agents immobiliers et des administrateurs de bien, allègement des contraintes administratives pesant sur les succursales et refus d'accroître les exigences de formation. La liste est loin d’être exhaustive. Elle atteste que rien ne va plus.

Voudrait-on que les Français se détournent de l'immobilier, rendu inaccessible par l'asthénie des aides publiques, avec une sécurité des transactions qu'on cherche à compromettre, qu'on ne s'y prendrait pas mieux. Pour moi, il faut d'urgence sauver le maillon essentiel de cette chaîne grippée, la primo-accession. J'attends des candidats aux élections prochaines qu'ils réalisent que le pays ne sera pas heureux, que ses finances seront détériorées, ses emplois fragilisés, si ce qui constitue l'essentiel du marché, la première acquisition immobilière, ne fait pas l'objet d'une attention politique particulière.

C'est la clé parce que le parc social et le parc privé sont insuffisants et qu'il faut favoriser la sortie par le haut de ses occupants dès qu'ils peuvent acquérir. Aussi parce que le mécanisme de la plus-value facilite les achats suivants, tandis que le premier, plus difficile, conditionne la suite du parcours résidentiel.

De quoi le marché a-t-il besoin ? D'un facilitateur d'endettement, tel que le PTZ, d'un montant revisité de 15 à 45 000 euros, ciblé sur les populations intermédiaires de primo-accédants, dont les revenus sont entre 1,5 et 3 SMIC. Une telle mesure permettrait de répondre en priorité à la demande de logements neufs en zone tendue, évitant ainsi une flambée des prix.

Avec cependant une part significative dans l’ancien sous conditions : l'exigence de travaux de rénovation, énergétique bien sur, me semble opportune, pour que l'investissement final soit valorisé et que son coût de fonctionnement soit abaissé.

Je pense également qu'il faut un dispositif d'une extrême simplicité, par exemple sans zonage pour l’ancien : l'Etat n'a pas à guider vers l'achat en collectif ni vers le diffus, et la liberté de choix des ménages doit pouvoir s'exercer à partir d'autres considérations que l'ampleur de l'aide !

Cette mesure est d'autant plus nécessaire que, si la hausse des prix s’infléchit enfin, les banques sont en train et pour longtemps d'adopter une politique de distribution des crédits acquéreurs beaucoup plus restrictive. Elles exigent désormais des apports personnels majorés, et à l'heure où la solidarité financière familiale est compromise par la dégradation des retraites, bien des accédants sont empêchés de présenter les fonds propres demandés. Couplé à une hausse des taux déjà significative, ce phénomène compromet la primo-accession.

Jamais la distance entre les discours politiques et la réalité des actes n'a été aussi importante, sur un sujet tout à fait factuel où le mensonge ou la trahison ne sont pas admis : il en va du destin logement de la population. Puissent les gouvernants actuels et les suivants le comprendre au plus vite.
Source Le Cercle Les Echos par Raymond Le Roy Liberge

14/12/2011

Quelles sont les perspectives de marché pour les industriels européens de matériaux de construction ?

Celles-ci se situent essentiellement dans les pays émergents, a-t-on appris lors d'une conférence organisée sur ce sujet le 17 novembre par Intermat, le salon international de la construction et des matériaux du BTP, dont la prochaine édition aura lieu à Paris Nord Villepinte du 16 au 21 avril 2012.
"Il y a une contagion mondiale, tous les pays sont touchés par la crise", explique l'économiste Jean-Joseph Boillot. En 2011, poursuit-il, la croissance mondiale s'élevait à 3,5 %. Pour 2012, elle est
attendue à 4,5 %, mais selon lui, nous sommes plus près d'une croissance inférieure à 3 %. Les perspectives sont toutefois différentes selon les pays. Dans les pays développés, la croissance 2011 était de 1,4 % contre environ 6 % dans les pays émergents. Et pour 2012, elle sera inférieure à 1 % alors que dans les pays émergents elle se situera entre 4,5 et 5 %. Un écart de 5 points persiste,
souligne M. Boillot. 90 à 95 % de la croissance mondiale provient des pays émergents, insiste-t-il.
Dans cette conjoncture en berne, l’Asie a bénéficié, au contraire des économies occidentales, d’une activité soutenue. Depuis 1980, le PIB asiatique s’est multiplié par 12, rappelle Jean-Joseph Boillot, et par 2,4 en France. Si la croissance demeure soutenue, notamment pour l'Inde et la Chine, d'autres obstacles subsistent. Ainsi, le marché indien, où 12 villes prévoient de s'équiper de systèmes de transport, présente un environnement difficile avec des barrières tarifaires. Quant à son voisin, la Chine, elle augmente très nettement son protectionnisme pour protéger ses entreprises et capter les technologies étrangères.
Pour Michel Démarre, président de l'association European International Contractors, qui regroupe les industriels européens de la construction, il devient difficile de pénétrer les marchés chinois et indiens pour des raisons de réglementation et d’éthique. Toutefois, il ne faut pas exclure définitivement la Chine, car la situation peut évoluer. Reste alors le continent africain, affecté ces dernières décennies par de nombreux éléments d’instabilité politique. Par ailleurs, prévient-il, l’Afrique privilégie énormément les constructeurs chinois, laissant moins de place aux constructeurs européens.
Lire la suite sur Le MOCI

13/12/2011

Extensions de construction: formalités simplifiées en janvier 2012

Le décret du 5 décembre 2011 simplifie les formalités à accomplir pour certaines extensions de constructions existantes.

A compter du 1er janvier 2012, les travaux d’extension de constructions existantes seront soumis à simple déclaration préalable lorsque:
* dans les zones urbaines des communes couvertes par un PLU ou un document d’urbanisme en tenant lieu, la surface hors œuvre brute (SHOB) maximale des extensions est inférieure à 40 m²
* Lorsque la SHOB des travaux est inférieure à 20 m² dans les autres zones.

Toutefois, entre 20 et 40 m², un permis de construire sera exigé lorsque les extensions auront pour effet de porter la surface totale de la construction au-delà du seuil fixé pour le recours obligatoire à un architecte (170 m²).

Enfin, les travaux de modification du volume d’une construction existante entraînant le percement d’un mur extérieur ne seront plus soumis à permis de construire et ce, quelle que soit la surface créée. Une simple déclaration préalable suffira.

Ces dispositions sont applicables aux demandes d’autorisation déposées à compter du 1er janvier 2012. Les demandes d’autorisation d’urbanisme déposées avant cette date seront instruites sur le fondement des dispositions d’urbanisme antérieures.
Décret du 5.12.11 : JO du 7.12.11 / code de l’urbanisme : R.421-14 et R.421-17
Source : batirama.com

12/12/2011

Pollution de l’air et moisissures : la filière terre cuite prend les devants

Les professionnels de la filière terre cuite et notamment les fabricants de brique de structure ont fait le choix d’aller au-delà de la nouvelle réglementation imposant un étiquetage informant sur le degré d’émissions de composés organiques volatils (ou COV) des matériaux.

A compter du 1er janvier 2012, l’étiquetage de certains produits de construction et de décoration sera obligatoire et informera le consommateur sur le niveau d’émission de COV. Une évolution qui ne déplaît pas à la filière terre cuite dont les solutions garantissent l’absence de ce type d’éléments. Par ailleurs, elle a décidé d'aller plus loin que l'obligation légale en étiquetant ses produits de façon à souligner qu’ils ne génèrent aucune moisissure.
Source France BTP

11/12/2011

Cuisson des produits de terre cuite by CERIC TECHNOLOGIES

La renommée de CERIC Technologies s’est faite au travers de ses innovations. La cuisson fait partie de ces domaines privilégiés où l’expertise de CERIC Technologies apporte un réel savoir faire à la profession.


Economies d’énergie

L’importance du facteur énergétique est au cœur des préoccupations et des développements actuels réalisés par CERIC Technologies.

Les fours proposés par CERIC Technologies offrent les meilleures caractéristiques en termes d’isolation et de rendement thermique pour des consommations énergétiques réduites.

Grâce à des développements récents sur des combustibles alternatifs et par l’introduction d’équipements limitant l’apport d’énergie, CERIC Technologies propose toute une gamme de solutions de cuisson à faibles consommations énergétiques.


Fours tunnels

CERIC Technologies a développé 2 types de fours tunnels pour répondre aux différentes conditions de cuisson des produits de terre cuite :

* Le four Casing : C'est le four tunnel le plus répandu dont les caractéristiques principales sont modularité, rapidité de construction et étanchéité optimale pour meilleur contrôle de la cuisson.
* Le four Portique : C'est la solution appropriée pour des cuissons à haute température ou en présence de matières premières spécifiques.

Avec plus de 400 fours tunnels installés à travers le monde, CERIC Technologies a acquis une réputation de performance, de fiabilité et de qualité grâce au four Casing.


Wagons de four

Depuis plusieurs années CERIC Technologies réalise la conception des wagons de four en partenariat avec les meilleurs fournisseurs de réfractaires.

Une attention particulière est portée sur la diminution de l’inertie thermique des wagons par l’utilisation de matériaux écologiques et innovants (fibres bio soluble), ainsi que sur la longévité des matériaux utilisés.

CERIC Technologies a également développé sa propre technologie de wagons utilisant différentes couches en bétons isolants, ce qui constituent la solution la plus économique en termes d’investissement et d’entretien.


Les équipements - Le process

La définition du process de cuisson est un élément essentiel pour la conduite d’un four et la qualité des produits.

CERIC Technologies attache beaucoup d'importance au design des équipements des fours qui conditionnent souvent la performance globale de l’installation et la réduction des consommations énergétiques.

CERIC Technologies préconise également l’utilisation de nouvelles énergies (gaz pauvre, biogaz, sciure de bois…), et propose des solutions alternatives adaptées à chaque projet.

Avec l’utilisation d’équipements innovants du type brassages haute température (technologie protégée par un brevet), des équipements de chauffe à haut rendement (tuyères à impulsions gaz, brûleurs Jet…), ainsi que des dispositifs de recyclage des fumées au travers des produits, CERIC Technologies apporte des réponses concrètes pour réduire les consommations des fours.


La cuisson des produits de terre cuite est l’opération essentielle qui permet la stabilisation des produits et révèle les qualités céramiques (résistance mécanique, résistance au gel…).
Source CERIC Technologies

10/12/2011

Terreal annonce l’arrivée de sa nouvelle tuile

La tuile Latitude 12 respecte le patrimoine architectural du Grand Ouest Atlantique tout en proposant des fonctionnalités techniques répondant aux attentes de performance de mise en oeuvre des professionnels.

Conçues pour les toitures de l’Ouest, tant en neuf qu’en rénovation, la tuile Latitude 12 se dessine avec la courbe et l’épaisseur propres aux tuiles traditionnelles des territoires atlantiques. Son ressaut vif restitue le rythme des tuiles canal de l’Atlantique et son nez tranché rappelle l’identité des vieilles tuiles en terre cuite.

De la Vendée jusque dans les Landes, en passant par la Gironde, le Pays- Basque et le Béarn, la Latitude 12 offre une palette de 5 coloris pour faire revivre les tons traditionnels et incontournables de la façade Atlantique et préserver ainsi le caractère de l’architecture locale.

La Latitude 12 se caractérise par un excellent rapport légèreté/résistance. Cette tuile est parfaitement dimensionnée et bénéficie des dernières avancées technologiques et des savoir-faire de Terreal. Les finitions techniques lui confèrent des performances inégalées sur tous les types de charpentes ainsi qu’une étanchéité des toitures, même à faible pente.

La Latitude 12 bénéficie d’un jeu latéral de 2 cm et d’un jeu longitudinal de 2 cm limitant les découpes et facilitant la pose, notamment en cas de faux équerrages. Elle dispose d’une gamme d’accessoires simplifiée pour une finition facile et 100% terre cuite. Sa palettisation à 180 tuiles permet de travailler sur les chantiers de rénovation les plus difficiles d’accès.

Les caractéristiques techniques de la Latitude 12 :
  • Dimensions hors tout : 45,8 x 30 cm
  • Pureau longitudinal : 37 – 39 cm = 2 cm de jeu
  • Pureau latéral : 20 – 22 cm = 2 cm de jeu
  • Poids unitaire : 3,9 kg
  • Nombre de tuiles par m² : 12 (11,7 – 13,5)
  • Poids par m² : 46,8 kg/m² à 12 tuiles au m²
  • Liteau : 2,63 ml/m²
  • Nombre de m² par palette : 14 m²
  • Lieu de production : Roumazières-Loubert
Source Batiweb

09/12/2011

Building against the trend – architecture with clay bricks and roofing tiles

Under this banner, we, that is “Zi Brick and Tile Industry International” and our sister publication “DBZ Deutsche BauZeitschrift”, are joining forces to organize an Architecture Forum for the first time. For one whole day, everything will revolve around clay bricks and roofing tiles and their wide range of application.

On 7 December 2011 renowned architects and leading representatives of the industry will present their most interesting projects and innovations. Our partners, Creaton AG, CRH Clay Solutions GmbH, Gebrüder Schierstaedt Industriebeteiligungen KG, Deutsche Poroton GmbH and Röben Tonbaustoffe GmbH, want to work with us to convince architects of the great worth of clay bricks and roofing tiles.

The headline topics include sustained and resource-conserving construction, thermal insulation and energy-saving, feel-good climate and healthy housing, realization of architects’ ideas, prefabricated brick elements in line with customer requirements and photovoltaic solutions for the roof of the future.

We as trade journals want to use this forum to inspire architects to build with clay bricks, and to function as a common mouthpiece for the industry. Architects and other designers will be able to get first-hand, key information on clay bricks and roofing tiles as building materials, their wide range of potential uses and for their daily work in building design and realization. The event will cover the full circle from thermally insulating backing bricks through creative and economic facade design to energy-saving roofing. Remarkable brick building projects will be profiled to encourage architects to venture new things with this building material.

We are delighted that we have succeeded in setting up a common platform for clay bricks and roofing tiles. You can find the full programme and summaries of the presentations at www.zi-online.info/Fachforum.

Naturally, we shall follow up the event with a dedicated report.
Source Brick and Tile Industry International par Anett Fischer

08/12/2011

TVA : adoption du nouveau taux à 7%

C’est fait. L’Assemblée nationale a adopté mercredi 30 Novembre un relèvement du taux réduit de TVA de 5,5% à 7%, notamment pour les travaux de rénovation.

Une des mesures fortes du récent plan de rigueur a été votée ce mercredi à l’Assemblée. Le très controversé taux de TVA à 5.5% sera bel et bien relevé à 7% dans la rénovation.

En vain. Et pourtant, les principaux acteurs de la construction n’ont pas ménagé leurs efforts pour maintenir le taux réduit sur les travaux de rénovation. Ce « coup de massue aura pour conséquence une perte d'un milliard de chiffre d'affaire et la disparition directe et indirecte de 10.000 emplois, », selon Patrick Liébus (Capeb). Mardi dernier, Didier Ridoret (FFB) estimait à 35.000 le nombre d’emplois perdus l’an prochain.
Source Batiactu

07/12/2011

Chine : l'industrie des matériaux de construction serait en hausse de plus de 10% pendant la période 2011-2015

La valeur ajoutée de l'industrie chinoise des matériaux de construction devrait augmenter de plus de 10% en glissement annuel pendant les cinq prochaines années.

Le 12ème Plan quinquennal (2011-2015) de l'industrie, publié sur le site Internet du ministère de l'Industrie et des Technologies de l'information, indique que la demande en ciment et en verre plat s'élèvera de 3,3% et 2,6% sur un an pour atteindre respectivement 2,2 milliards et 37,5 millions de tonnes métriques au cours de cette période.

Dans le même temps, la demande en céramique architecturale et en céramique sanitaire va augmenter respectivement de 4% et 3,3% en glissement annuel à 9,5 milliards de m2 et 200 millions de pièces en 2015, annonce le document.

Le plan établit également des objectifs stricts pour la réduction des émissions en demandant aux producteurs des matériaux de construction de réduire leur consommation d'énergie annuelle et les émissions de dioxyde de carbone par unité de valeur ajoutée de l'industrie de 18 à 20% pendant cette période.

Les émissions des polluants principaux par les producteurs, dont l'oxyde d'azote et le dioxyde de soufre, seront également soumises à l'obligation de baisser de 8 à 10% en 2015.

La Chine a produit 1,88 milliard de tonnes métriques de ciment, 33 millions de tonnes métriques de verre plat, 7,8 milliards de m2 de céramique architecturale et 170 millions de pièces de céramiques sanitaires en 2010. Les revenus des ventes de l'industrie chinoise des matériaux de construction ont totalisé 2 700 milliards de yuans (425,2 milliards de dollars) en 2010.
Source CRI online

06/12/2011

La baisse d'activité frôlera les 2% en 2012, selon la FFB

Alors que la production neuve augmenterait de « seulement » 1,0 % en volume en 2011 (contre 7,8 % sans recalage), l'activité bâtiment, enregistre une hausse de 1,2 % en volume, contre 4,1 % sans recalage.

Recalage : pour ses prévisions 2011, la FFB a procédé à un recalage de la production bâtiment.. L'exercice de recalage, approfondi cette année, a donc consisté à mettre en cohérence les résultats avec d'autres indicateurs conjoncturels du secteur (indice de production industrielle du bâtiment, emploi, consommation de ciment, etc.) et a conduit l'organisation professionnelle à augmenter de près de 10 % les mises en chantier publiées par le MEDDTL en 2010, soit environ 30.000 logements commencés et 2 millions de m² de surfaces de bâtiments non-résidentiels mises en chantier. La FFB a considéré que l'exercice de recalage s'imposait aussi pour 2011. Cependant, l'année n'étant pas terminée, l'exercice est à l'évidence imparfait et pourra être éventuellement revu au cours de l'année 2012 si le test de cohérence n'est pas entièrement validé.

Alors que la production neuve augmenterait de « seulement » 1,0 % en volume en 2011 (contre 7,8 % sans recalage), l'activité bâtiment, enregistre une hausse de 1,2 % en volume, contre 4,1 % sans recalage. Recalage : pour ses prévisions 2011, la FFB a procédé à un recalage de la production bâtiment.. L'exercice de recalage, approfondi cette année, a donc consisté à mettre en cohérence les résultats avec d'autres indicateurs conjoncturels du secteur (indice de production industrielle du bâtiment, emploi, consommation de ciment, etc.) et a conduit l'organisation professionnelle à augmenter de près de 10 % les mises en chantier publiées par le MEDDTL en 2010, soit environ 30.000 logements commencés et 2 millions de m² de surfaces de bâtiments non-résidentiels mises en chantier. La FFB a considéré que l'exercice de recalage s'imposait aussi pour 2011. Cependant, l'année n'étant pas terminée, l'exercice est à l'évidence imparfait et pourra être éventuellement revu au cours de l'année 2012 si le test de cohérence n'est pas entièrement validé.

Comme chaque trimestre, la Fédération française du bâtiment (FFB) a présenté le 29 novembre ses prévisions d'activité pour le secteur. En cette période de grande incertitude, mais compte tenu des mesures de rigueur annoncées par le gouvernement, elle table sur un retournement de la conjoncture, à savoir une baisse de 1,9% de l'activité l'an prochain.

Didier Ridoret, président de la Fédération française du bâtiment (FFB), est catégorique : «la crise des dettes publiques en zone euro et les politiques de réajustement budgétaire ont fracassé le mouvement de reprise économique qui a porté, et porte encore pour quelques mois, l'embellie quantitative de nos marchés». Certes, et c'est tout le paradoxe du secteur de la construction dont l'inertie fait qu'il enregistre les retournements de cycle toujours avec retard, l'année 2011 s'achèvera sur une note positive en termes d'activité. Il suffit pour cela de regarder les chiffres d'autorisations de construire et de mises en chantier que vient de publier le ministère : plus de 510 000 logements autorisés sur douze mois cumulés à fin octobre, soit +13,8 % par rapport à un an plus tôt, et 396 000 mises en chantier, soit +18,5 % sur un an. Pour cette année, donc, la FFB anticipe donc une croissance globale du secteur de 1,2%, y compris dans l'amélioration-entretien (+1,3% contre +1% dans le neuf à prix constants).
Le retour du « stop and go »

Ce sera tout autre chose pour 2012. « Le bâtiment va entrer dans un profil baissier », s'inquiète la fédération qui prévoit un recul d'activité de 1,9% en volume l'an prochain (-2,2% pour le neuf et -1,7% pour la rénovation). Les mises en chantier tomberaient ainsi respectivement à 359 000 logements l'an prochain contre 391 000 cette année et à 21,8 millions de m² dans le non résidentiel contre 23,8 cette année.
«Les derniers indicateurs d'opinion et prévisions macroéconomiques traduisent une forte dégradation qui pèsera de plus en plus lourdement sur notre activité mais aussi, et surtout, sur nos prix». La trésorerie des entreprises a déjà beaucoup souffert. La fédération cherche d'ailleurs à convaincre le Parlement pour réduire les délais de paiement client à 30 jours à compter de la date de la facture et desserrer ainsi un peu l'étau imposé par la loi LME.
Mais avec un recul de l'activité, des prix dégradés et des augmentations de tarifs des fournisseurs annoncées pour janvier («Des hausses que nous serons incapables de répercuter dans nos prix»), la FFB juge les conséquences sur l'emploi inéluctables. « Les chefs d'entreprises se sont efforcés de préserver l'emploi depuis 2008. Aujourd'hui, ils ont intégré l'idée que leur outil de production était surdimensionné par rapport à la demande », prévient M. Ridoret qui évalue à 35 000 le nombre de postes qui seront perdus l'an prochain, intérim compris.

« La brutale remise en cause de notre environnement institutionnel va amplifier la récession et donc le recul de l'emploi », selon lui. Après l'annonce de la hausse de la TVA, de la suppression du PTZ+ dans l'ancien et du dispositif Scellier de soutien à l'investissement locatif, le président de la fédération juge que la coupe est pleine ! « C'est un signe grave qu'un gouvernement, non seulement renonce à toute action contra-cyclique, mais encore choisisse d'accompagner le recul ! », s'emporte-t-il. Ce sera sans doute aussi le sens du message qui sera délivré le 5 décembre par quelques grandes fédérations du secteur (promoteurs, entreprises du bâtiment, aménageurs-lotisseurs, constructeurs de maisons individuelles) lors d'une conférence de presse commune.
Source LE MONITEUR.FR par Laurence Francqueville et Frédérique Vergne

05/12/2011

Saint-Martin-Lalande Des salariés de l'entreprise TERREAL sensibilisés à la sécurité routière

Près de 350 salariés des sites de production Terreal de Saint-Martin-Lalande, Labastide-d'Anjou, Castelnaudary et Saint-Papoul ont suivi une séance d'information et de sensibilisation à la sécurité routière.

Ces séances de deux heures, animées par les intervenants départementaux de la sécurité routière, ont permis d'aborder des sujets tels que les distances de freinage, l'influence de l'alcool sur la conduite, l'importance du port de la ceinture de sécurité, la révision du code de la route…

Le simulateur de conduite auto, le véhicule reproducteur de choc frontal ou les lunettes reproduisant une consommation d'alcool sont autant d'outils pédagogiques qui démontrent l'importance d'avoir un comportement responsable sur la route.

Il faut rappeler que les accidents de la route sont la première cause de mortalité. En 2010, dans la région Languedoc-Roussillon, sur 20 accidents mortels, 15 étaient des accidents de la route, entre le domicile et le lieu de travail. Au niveau national en 2009, ces accidents représentaient 356 tués et 6 millions de journées d'arrêt de travail. Dans l'Aude en 2010, ce ne sont pas moins de 355 accidents corporels (dont un mortel) qui ont eu lieu sur des trajets domicile travail ou en mission. C'est pourquoi, dès début 2010, la préfecture proposait aux entreprises de plus de 50 salariés la mise en place d'actions de sensibilisation gratuites. À l'issue de celle menée à Terreal, près de 900 personnes d'une dizaine d'entreprises ont bénéficié de ce dispositif. Au vu d'un retour très positif, la préfecture sollicitera tout prochainement les entreprises de 20 à 50 salariés afin d'y organiser des animations similaires.
Source Midi Libre

04/12/2011

CERIC Technologies , expert mondial des solutions et services destinés à la production des matériaux de construction en terre cuite

Dans le cadre de son développement, CERIC Technologies s'appuie sur son réseau international, pour favoriser la proximité et la réactivité avec ses clients à chaque étape d'un projet, et en termes d'assistance technique, de service après vente et de pièces de rechange : "Nous parlons tous le même langage et la même langue."

CERIC Technologies s'appuie sur une longue tradition d'innovation et de maîtrise technologique qui lui permet de tester, au travers des projets de recherche, des process et des produits innovants.

Ces projets dont le but est de promouvoir de nouvelles solutions constructives, contribuant au développement durable et à la préservation de l'environnement, sont menés en partenariat avec des clients, des universités et des grandes écoles.

Avec la volonté de s'engager pour l'innovation et l'amélioration continue du rendement des équipements et des procédés, CERIC Technologies travaille sur :

* La diminution des consommations d'énergie,
* L'optimisation des capacités de production des équipements proposées,
* La réduction et la simplification des opérations de maintenance,
* L'amélioration des interfaces homme-machine.

Par ses solutions personnalisées toujours élaborées en partenariat avec ses clients, par la qualité et la modernité de ses équipements, par ses innovations sécurisées, par son expertise, par sa disposition à assurer des services et un suivi constant et performant, CERIC Technologies s'adapte aux évolutions industrielles, aux évolutions normatives et réglementaires, aux évolutions de son époque pour assurer à ses clients le succès et la pérennité de leurs activités "car l'engagement total de CERIC Technologies pour ses clients, est leur garantie d'être performants dans le temps".
Source Ceric Technologies

Les déchets de Saint-Germain-sur-Moine enfouis chez Bouyer-Leroux

La commission déchets de la communauté de communes a visité, la semaine dernière, le centre de transfert de déchets du syndicat mixte Valor3E à Saint-Germain. Il est composé de quatre trémies et d'un pont-bascule permettant de peser les camions et de facturer aux communautés de communes utilisatrices la tonne de déchets traités.

Le site est dimensionné pour 40 000 tonnes de déchets ménagers résiduels. Sur ces 40 000 tonnes, 10 000 sont dirigées vers Bourgneuf-en-Mauges pour un tri mécano-biologique, 11 000 tonnes vont au biopôle d'Angers où une partie est méthanisée, 11 000 tonnes sont incinérées à Nantes et enfin, 8 000 tonnes sont enfouies chez Bouyer-Leroux. Les fonds mouvants du centre de transfert peuvent accueillir jusqu'à 24 tonnes d'ordures, qui restent moins de 24 heures sur le site.

Un accès avec cartes à puce ?

Une réflexion est en cours pour une régulation de l'accès aux déchetteries par un système de cartes à puces. Pour enrichir le dossier, une enquête va être réalisée sur l'ensemble des 5 sites (50 usagers seront interrogés sur les éco-points et 100 par déchetterie). Le questionnaire traitera de quatre thèmes : les heures d'ouvertures, les gardiens, l'organisation et une enquête pour mieux connaître les usagers.

La commission décidera avec ces nouveaux éléments de l'opportunité d'équiper, dans un premier temps, les trois déchetteries du contrôle d'accès avec carte, mais sans aucune limitation. Les gardiens devront enregistrer les dépôts des professionnels. En ce qui concerne les dépôts sauvages d'ordures ménagères, la gendarmerie sera systématiquement appelée pour qu'elle constate et verbalise les contrevenants le cas échéant. Des affiches pour lutter contre ce phénomène sont en cours d'élaboration.

Le tonnage en baisse

Les habitants du territoire sont plutôt de bons élèves en ce qui concerne le tri. Cela entraîne une baisse du tonnage des ordures ménagères résiduelles à collecter non négligeable : 19,6 % de moyenne sur les neuf premiers mois de 2011 par rapport à la même période de 2010. Évidemment, les tonnages de collectes sélectives augmentent parallèlement : au 30 septembre 2011, on comptait 25,88 % de corps creux en plus (boîtes de conserves, briques de lait, plastiques...) ; 9,15 % de corps plats en plus (papiers et cartonnettes) et 3,60 % de verre en plus par rapport à la même période en 2010.

19 containers (17 achats d'occasion et deux redéploiements) sont venus renforcer les points d'apports volontaires sur le territoire. Les bacs à cylindre sont vidés une fois par semaine ou une fois tous les 15 jours en fonction de leur vitesse de remplissage.
Source Ouest-France

03/12/2011

Angoulême: Les techniques à l'ancienne de l'éco-habitat séduisent le public

Mieux construire ou mieux rénover sa maison, en respectant son environnement, ce pourrait être la définition l'éco-habitat. C'est en tout cas celle que donne le projet Arquade (Architecture de qualité pour demain) du syndicat de pays entre Touvre et Charente présidé par Martine Pinville. La mise en oeuvre pour la partie habitat est du domaine de Maisons paysannes de France, association qui a quarante années de présence sur le terrain.

Pour sensibiliser les particuliers, élus et professionnels, deux manifestations viennent d'être organisées. Une conférence-débat ce vendredi à Mornac sur le thème «Techniques et matériaux pour restaurer» et samedi à Balzac des ateliers de démonstration de savoir-faire. Les techniques proposées ont fortement intéressé le public venu nombreux et qui a été très attentif aux conseils. Plusieurs amateurs sont venus calepins à la main pour ne rien perdre des instructions. Selon les spécialistes, la chaux, matériau un peu abandonné, le moellon et la terre reviennent d'actualité : le badigeon, les chapes et peintures à la chaux, la taille de pierre, les carreaux de terre cuite, le mortier et les enduits à la chaux et au chanvre ont fait l'objet de démonstrations, tout comme les briques de terre cuite chanvrée, le torchis allégé à la paille, le crépi intérieur en terre argileuse et des décors en stuc.

L'association Maison Paysannes de France peut conseiller toutes les personnes qui ont un projet avec ces matériaux. Contact: Maisons paysannes de Charente, Benjamin Delhal, la ferme des Bouchauds à Saint-Cybardeaux (05.45.69.13.04) ou renseignements sur leur site internet (maisons-paysannes@org/).
Source La Charente Libre

02/12/2011

L’argile, un matériau remis au goût du jour

Matériau utilisé depuis des millénaires, l’argile, sous toutes ses formes, est peu à peu remise au goût du jour dans le monde de la construction et du bâtiment. Disposant de nombreuses qualités tout en étant un matériau naturel, l’argile représente en effet une bonne alternative pour les professionnels qui souhaitent construire en respectant les nouvelles règles du Grenelle de l’environnement.

L’argile, matériau utilisé depuis des millénaires

L’argile est certainement l’un des matériaux les plus utilisés par les hommes, que ce soit pour la poterie, l’habitation ou encore la conservation des aliments. Depuis le néolithique, tous les types d’argile existants ont ainsi été employés dans le domaine de l’artisanat, comme en témoignent les nombreux restes trouvés sur les sites archéologiques, à commencer par les briques, tuiles ou encore pavements.

Aujourd’hui, le milieu moderne du bâtiment redécouvre peu à peu les nombreuses vertus de ce matériau naturel (pour en savoir plus, consultez notre publication sur la construction en matériaux naturels) qui se révèle être parfait pour la construction.

Les nombreux atouts de l’argile

L’argile existe dans différents types. C’est la grande variabilité chimique, constituée par des feuillets microscopiques de quelques atomes d’épaisseur, qui fait la plus ou moins bonne qualité de ce matériau naturel.

Dans le secteur du bâtiment, l’argile est réputée pour sa malléabilité, sa résistance aux très hautes températures et pour son excellente imperméabilité. Autrefois principalement utilisée pour l’artisanat dans sa forme de terre cuite, l’argile possède désormais de très grandes applications industrielles ou dans le bâtiment, notamment pour les pots d’échappement, les boucliers thermiques des fusées, ou en tant qu’isolant phonique.
Source ETI

01/12/2011

Terreal lance sa tuile Latitude 12,

Terreal, spécialiste des tuiles du Sud, annonce l’arrivée de son nouveau produit : la Latitude 12.

Elle respecte le patrimoine architectural du Grand Ouest Atlantique, en proposant des fonctionnalités techniques répondant aux attentes de performances modernes. Conçues pour les toitures neuves ou en rénovation, la Latitude 12 possède un ressaut vif qui restitue le rythme des tuiles canal, et son nez tranché rappelle l’identité des vieilles tuiles en terre cuite. La Latitude 12 existe en cinq coloris du plus clair au plus foncé : veilli Languedoc, ton mêlé Atlantique, vieilli Castel, rouge naturel et Pays d’Oc.

La tuile de Terreal propose un bon rapport légèreté/résistance. Elle bénéficie d’un jeu latéral et d’un jeu longitudinal de 2 centimètres, limitant les découpes et facilitant la pose, notamment en cas de faux équerrages. Une gamme d’accessoire simplifiée permet une finition facile. La palettisation à 180 tuiles permet de travailler sur les chantiers de rénovation les plus difficiles d’accès.
Source Batiactu