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29/05/2017

La palette attitude, Koramic renforce l'engagement Wienerberger

Après avoir ouvert la voie du secteur dès 2012 dans la consignation des palettes avec la gamme Porotherm, Wienerberger étend la consignation depuis le 2 mai 2017, sur l’ensemble de l’Hexagone, aux palettes des tuiles et accessoires Koramic. Une démarche écoresponsable poussée en faveur du respect de l’environnement que Wienerberger souhaite partager avec les professionnels distributeurs et poseurs sous la maxime : “Pour la planète adoptons la palette attitude”.

Palettes renforcées, environnement préservé, économie circulaire, le triptyque Wienerberger gagnant

En France, alors qu’une palette consignée peut effectuer jusqu’à 10 rotations en conservant toutes ses performances, 60 millions de palettes sont perdues par an, soit l’équivalent de 6.000 m3 de bois détruits par jour ouvrable*.

Éco-responsable depuis l’origine, Wienerberger privilégie la réutilisation des palettes et renforce encore son accompagnement auprès des entreprises dans leur gestion de déchets. En effet, Wienerberger confirme son ancrage historique dans le développement durable en déployant la consignation des palettes pour tous les produits et accessoires terre cuite de sa marque Toiture Koramic.

Accompagnement du réseau de distribution et des artisans

Dans un souci d’accompagnement, depuis plus de cinq mois, Koramic informe et sensibilise ses partenaires distributeurs. Une communication sur mesure a été déployée avec les partenaires de la marque, complétée par une information et des rencontres régulières sur le terrain.

Afin de relayer l’information auprès des artisans, Koramic met également à la disposition des négociants un pack d’information composé d’une documentation détaillée et d’affiches.

Le retour des palettes peut être organisé soit par le distributeur lui-même soit par Koramic, un formulaire de retour et de contact est alors disponible en un simple clic, via le formulaire PDF téléchargeable sur le site Internet de Wienerberger : www.paletteconsignewienerberger.fr

Les équipes commerciales, le service client et logistique sont aussi présents en back office pour répondre à toutes les questions et faciliter la mise en place de la consignation.

Des étiquettes sur les housses aident à distinguer ces nouvelles palettes ainsi que la flamme Wienerberger apposée sur les quatre côtés. Ces palettes à quatre entrées facilitent également la manutention sur chantier.

Autres informations d’importance mises en avant dans ce dispositif, les préconisations de l’Ademe sur les déchets bois et emballages non souillés.

Optimisation des palettes

Enfin, le développement de cette démarche a aussi été l’occasion pour Koramic de renforcer ses palettes : plus résistantes, elles garantissent de meilleurs gerbages et houssages, une manutention facilitée, une protection optimale des tuiles et bien entendu, une identification aisée (marquage intégré sur les quatre côtés). De quoi finir de convaincre tous les acteurs de la filière à adopter la “palette attitude”.

Source N Schilling

Wienerberger cautiously optimistic on residential construction in UK

Austrian brickmaker Wienerberger said its expects a slightly positive development of residential construction in Britain to continue in the second half of the year.

"From today's perspective we anticipate that residential construction in Britain will be slightly above the previous year's level (in the second half of the year)," the group said in its first-quarter earnings report published on Wednesday.

Rising demand in Britain is currently supported by government aid programs for new housing construction, the group said.

Britain is Wienerberger's largest single market, contributing around 10 percent of annual group sales. Last year, revenue in the country fell 5.1 percent, strongly influenced by the fall of the pound after Britain voted to leave the European Union.

Source Reuters

28/05/2017

Souffrance entre terre et feu… fortune et construction en Egypte

De la terre égyptienne malaxée par des mains sculptées par la souffrance d’un soleil torride et un feu brûlant, poussée vers les fours afin qu’elle devienne une brique rouge destinée à la construction des châteaux des riches et des logements des plus modestes.

Et si cette terre voit le jour, les modestes experts sauront en tirer leurs ressources. Dans un village de Fayoum (Centre de l'Egypte°, sur un lot de terrain de 1000 m², 50 ouvriers dont l’âge varie entre 18 et 50 ans outre quelques enfants de moins de 15 ans, œuvrent avec ardeur dans ce métier primaire qui constitue un des principaux fondements pour la construction des bâtiments. Des millions de ces briques d’argile rouge réputées en Egypte sont superposées les unes sur les autres reflétant leur image originale et crue.

L’ouvrier Ahmed Ala'a (18 an) en saisit une partie, avec rapidité et dextérité, qu’il place sur une charrette rudimentaire tirée par des chevaux et des ânes, et qu’il se propose de transporter vers d’autres destinations.

Cinq enfants, dont l’âge ne dépasse guère 15 ans, mûris par la chaleur du soleil, se tiennent aux cotés du jeune Ahmed, tout en sueur, et guident les chevaux et les ânes qui tirent ces rudimentaires charrettes dénommées « Caros » en Egypte remplies soit de briques non cuites et destinées aux fours, soit de briques récemment fabriquées mais devant sécher à l‘air libre.

Ahmed Hussein, directeur et propriétaire de cette usine rudimentaire, déclare qu’il a loué ce lot de terrain qu’il a transformé en usine de fabrication de ces briques, depuis 2002, et y fait travailler plus de 50 ouvriers : Chacun de ces ouvriers perçoit 10 livres (soit un demi dollar américain) pour 1000 briques fabriquées ou transportées, parvenant ainsi à gagner près de 100 livres (soit 5 dollars environ) quotidiennement.

Dans son entretien avec Anadolu, Hussein précise qu’ils utilisent de l’argile de terre et du sable dans la fabrication de ces briques rouges. Cette argile est acquise à Koumérchim à l’entrée de la préfecture d’El Fayoum (Centre) au prix de 25 livres (1.5 dollar) le mètre cube.

Selon le propriétaire de l’usine, la fabrication de ces tuiles se fait en 5 étapes : au départ, mélanger argile et sable, puis placer ce mélange dans d’énormes caisses en utilisant des machines spéciales, le transporter dans une autre machine destinée à son polissage et au ponçage des grands morceaux. Par la suite, ce mélange est placé dans une meule (il s’agit de deux blocs de pierre sphériques tournant à sens contraire) afin de malaxer ce mélange parfaitement. A la troisième étape, il s’agit de créer les moules de ces briques dans une forme longitudinale et harmonieuse.

Pendant la quatrième étape, il s’agit de transporter ces briques sur ces charrettes rudimentaires, tout en les agençant convenablement, en respectant les espaces entre elles afin de laisser pénétrer l’air et faire sécher le résidu d’eau et plaçant dessus une couverture d’écorce de riz destinée à protéger ces briques du soleil.

Cette étape dure 40 jours en hiver et 20 seulement en été selon Hussein. Enfin, à la cinquième et dernière étape, ces briques sont cuites dans les fours à mazout pendant 36 heures et mises à la vente. A ce sujet, Hussein insiste pour dire que ce commerce a été affecté depuis la révolution du 25 janvier 2011, et devenu peu rentable à la suite de l’augmentation du prix du mazout passé de 500 livres (27 dollars) la tonne à 2300 livres égyptiennes (127 dollars).

Une autre souffrance vient de s’adjoindre : il s’agit des revendications salariales des ouvriers qui font valoir qu'à la suite de l’augmentation des prix des produits alimentaires, « la quotidienne » ne suffit plus à payer nourriture, boisson et soins médicaux, faisant allusion aux 50 dollars perçus quotidiennement.

A la fin du mois de novembre dernier, Mohamed Ameur, président du Syndicat des fours au sein de la chambre de fabrication du matériel de construction des bâtiments et immeubles, relevant de l’union égyptienne des industries, déclarait que 2000 entreprises de fabrication de briques exercent en Egypte.

Source TRT

27/05/2017

PARAY-LE-MONIAL: Plus d’un siècle d’industrie de la céramique en 47 minutes



L’entreprise Cérabati, devenue l’usine Paray Céramiques, a fermé en 2006, générant 70 licenciements. Un traumatisme encore aujourd’hui pour la ville.  


« On est allé voir des universitaires pour faire du cinéma de recherche. » Dominique Dendraël, conservatrice du musée du Hiéron, avait à cœur de laisser une trace de plus d’un siècle d’industrie de la céramique à Paray.

Le choc de la fermeture

En 2009, Nadine Michau, cinéaste et anthropologue à Tours, avait recueilli 30 témoignages et 50 heures de tournages. « La fermeture en 2006 de Paray Céramiques a été un choc. Des savoir-faire sont morts. Derrière le déclin de l’industrie, il y a toute l’histoire sociale de la condition ouvrière », explique la réalisatrice, dont le film, au budget de 13 500 €, a été financé par la réserve parlementaire d’Édith Gueugneau, le pays Charolais-Brionnais, la ville de Paray, le Département et l’association du musée Paul-Charnoz.

Source Le Journal de Saône et Loire

26/05/2017

André Viola s'invite chez Terreal de Saint Papoul

André Viola président du conseil départemental, mais surtout candidat aux prochaines élections législatives ne néglige aucun secteur économique de la région.

Lors de sa venue sur le canton Nord de Castelnaudary, et accompagné des conseillers départementaux Patrick Maugard et Éliane Brunel, et en présence du maire de la commune Serge Ourliac, André Viola a tenu à rencontrer l'équipe de la carrière Terreal de Saint Papoul. Cette rencontre au cœur de la carrière et notamment dans le laboratoire de l'entreprise fut très enrichissante. Cela lui a permis de mieux appréhender les enjeux auxquels doit faire face le groupe Terreal, l'un des plus importants employeurs du Lauragais, notamment en termes de démarches environnementales, tant au niveau des matériaux développés, que du mode d'exploitation et de remise en état de la carrière, ou enfin, de la réglementation relative à l'industrie de la terre cuite, si précieuse et pourvoyeuse d'emplois sur notre territoire. Ces échanges très fructueux d'un homme du terrain vont permettre à André Viola de maîtriser encore davantage l'avenir de cette industrie dans cette perspective de la campagne des élections législatives toutes proches.

Source La Dépêche du Midi

Menacés par l'instauration des quotas, les Espagnols augmentent leurs exportations de céramique vers l'Algérie

L'industrie céramique espagnole a augmenté de 49,6% ses exportations vers l'Algérie, rapporte le journal espagnol el Mundo dans son édition du jeudi 27 avril.

Cette accélération des exportations s'explique, selon le journal, par la "nécessité" d'esquiver les quotas d'importations qui vont être appliqués par le gouvernement algérien. Ce dernier, précise el Mundo, n'a pas encore fixé le montant maximum autorisé à l'importation.

Selon le journal espagnol, l'Algérie constitue le plus grand marché du continent africain, la destination essentielle pour la céramique espagnole. L'annonce d'une nouvelle liste de produits soumis aux quotas par ministère du Commerce algérien datant du 1er avril dernier a été la plus mauvaise nouvelle de l'année pour les industriels de la céramique espagnole.

Ces derniers ont été catastrophés par la classification de la céramique espagnole parmi les 21 produits soumis aux quotas.

Ainsi, précise le journal espagnol, le made in spain en céramique, a doublé ses exportations vers l'Algérie en un mois. Les données sur le commerce extérieur espagnol pour les mois de janvier et février 2017 attestent que la valeur des exportations de céramique vers le marché algérien a connu une croissance de 49,6 %.
Le chiffre, affirme-t-on, est particulièrement important si l'on considère que le marché algérien a terminé l' année 2016 sur une note négative pour les espagnols qui n'ont pas réussi à redresser la barre.

Les exportations de céramique espagnoles vers l'Algérie se sont élevées à 123,4 millions d'euros sur l'ensemble de l'année écoulée, ce qui représente une baisse de 5,2% sur l'année d'avant, selon les données de l'Association espagnole des fabricants de carreaux pavage céramique (Ascer).

Cette tendance, souligne-t-on de même source, a radicalement changé en ce début 2017. Au mois de janvier, le secteur de la céramique espagnole a réussi à exporter des produits d'une valeur totale de 10.132 millions d'euros, ce qui représente une hausse de de 29,5% et place ainsi le marché algérien comme le cinquième plus important pour ce secteur industriel espagnol.

Un mois plus tard et avec la crainte d'une adoption rapide des mesures protectionnistes annoncées par le gouvernement algérien, le secteur de la céramique espagnole a exporté pour près de 15 millions d' euros en février, ce qui représente une augmentation des exportations vers l' Algérie avoisinant les 67,3% sur un an.

A ce jour, note encore El Mundo, l'Algérie est devenu le quatrième plus grand marché du secteur de la céramique espagnole avec des livraisons atteignant un total de près de 25 millions d'euros et une croissance de 50% par rapport à toute l'année écoulée, selon les statistiques du ministère espagnol du Commerce.

Aussi les décisions attendues du gouvernement algérien se révèlent décisives pour le futur de ce secteur espagnol.

Source HuffPost Algérie  par May Sammane

24/05/2017

Risques associés aux nanoparticules de dioxyde de titane (TiO₂)

Des présomptions de risques très fortes pour le dioxyde de titane (même non nano)

Même non nano, le TiO2 inhalé est possiblement cancérigène
Les données scientifiques analysées par l’ANSES en 2016 montrent que le dioxyde de titane peut entraîner des tumeurs malignes chez le rat après une exposition par inhalation, ce qui a conduit l'agence à considérer le dioxyde de titane comme cancérogène avéré chez l’animal. Chez l’Homme, le caractère cancérogène reste débattu du fait de limites méthodologiques des études épidémiologiques disponibles.
En mai 2016, l'ANSES a donc proposé à l'agence européenne des produits chimiques (ECHA) de classer le dioxyde de titane comme cancérogène 1B par inhalation1, déclenchant l'ire des fédérations et entreprises concernées, qui ont envoyé plus de 500 commentaires en réponse à la consultation de l'ECHA sur le sujet (en mai-juin 2016)2.
Le processus d’instruction de la proposition de classification a suivi depuis les étapes prévues par le règlement CLP. Un avis final devrait ainsi être rendu par le Comité d’évaluation des risques (RAC) de l'ECHA à la fin du premier semestre 2017. Sur la base de cet avis, la Commission européenne décidera de l’inclusion ou non de la classification proposée par l’Anses pour le TiO2 dans le règlement CLP3. Cette proposition de classification, si elle est adoptée, conduira à des obligations d’information des travailleurs, mais aussi de recherche de substitution de la substance, qui bénéficierait également à une meilleure protection de la population générale.

En 2006 le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) avait classé le dioxyde de titane (TiO₂) comme cancérigène possible pour l'homme (classe 2 B)4 - et ce, toutes tailles confondues : l'échelle nanométrique est donc concernée mais pas plus ni moins que le TiO2 non nanométrique.
Les études qui ont été considérées pour cette classification portaient sur le TiO₂ sous forme de poudre avec la présomption de risques par inhalation qui concernent d'abord les travailleurs potentiellement exposés.

A l'échelle nano, les risques pourraient être encore plus grands

Depuis plusieurs années, les publications scientifiques sur les risques sanitaires et environnementaux associés aux nanoparticules de dioxyde de titane s'accumulent5.
En mai 2014, l’Agence française de sécurité sanitaire (ANSES) avait donc préconisé un classement des nanoparticules de dioxyde de titane (et autres) comme substances dangereuses afin que soient mises en place des mesures de restriction d’usage voire d’interdiction de l'utilisation de certaines applications grand public6.
Cette préconisation a été reprise dans l’action n°72 du 3ème plan national Santé Environnement (PNSE 3) (2015-2019) fin 2014 et dans l’action 1.13 du Plan Santé au travail (PST 3) (2016-2019).
Nous ignorons à ce stade quelles déclinaison la DGT a donné, ou non, à cette action. Des demandes ont-elles été déposées ou sont-elles en préparation ?

Les travailleurs particulièrement exposés (notamment dans le secteur de la chimie, du bâtiment, des cosmétiques ou de l'alimentaire) devraient faire l'objet d'une sensibilisation et d'une surveillance ciblée*.
Des efforts commencent à être faits en ce sens : en 2014, les données recueillies dans le cadre de la déclaration obligatoire relatives aux nanoparticules de dioxyde de titane ont été communiquées à l'Institut national de veille sanitaire (InVS) dans le cadre du projet Epinano pour le suivi de cohortes de travailleurs exposés aux nanomatériaux. Mais le dispositif connaît des difficultés de mise en oeuvre.

Dans les peintures : Un projet de recherche européen intitulé NanoHouse mené entre 2010 et 2013 avait observé le cycle de vie de nanoparticules de dioxyde de titane contenues dans les peintures et revêtements utilisés en intérieur et à l’extérieur des habitations. Les travaux ont évalué le taux de relargage des nanoparticules de 1 à 2% seulement - et sous forme d'agglomérats18. Mais d'autres études sont beaucoup moins rassurantes : une étude de l'INERIS et de l'université de Compiègne publiée début 2015 a montré qu'un nanorevêtement de dioxyde de titane existant dans le commerce, une fois appliqué sur une façade de bâtiment, peut se détériorer sous l'effet du soleil et de la pluie ; ce faisant, il entraîne le relargage de particules de titane dans l'air en quelques mois - et qui plus est, sous forme de particules libres (plus dangereuses que lorsqu'elles sont agglomérées entre elles ou avec des résidus d'autres matériaux)19, il convient donc dans ces conditions de minimiser le recours aux nanorevêtements.


Source Veillenanos par MD et l'équipe Avicenn

23/05/2017

Ceramic Network 7 et 8 juin, 6e édition à Limoges

7 et 8 juin, 6e édition à Limoges L'entreprise limougeaude Ceradrop, filiale du groupe MGI, fera partie des 50 exposants de Ceramic Network 2017.

C'est le Pôle Européen de la Céramique qui organise cette convention d'affaires sur les technologies céramiques, événement majeur de l'année pour les acteurs du domaine.

L’évènement offre aux professionnels un programme complet : rendez-vous d’affaires programmés, conférences plénières et visites d’entreprise sont organisés durant les deux jours.

50 exposants seront présents

Ces rencontres d’affaires mettent en relation des entreprises à la recherche de solutions industrielles innovantes et issues de secteurs tels que l’aéronautique, spatial, l’automobile, le bâtiment, les arts de la table, le médical, la cosmétique… et des offreurs de technologies spécialisés en céramique technique et en revêtements de surface.

L’objectif est de favoriser les transferts de technologies et de créer un courant d’affaires et de coopération technologique.

La conférence d’ouverture de l’édition 2017 aura lieu le 7 juin 2017 à 11h30 Salle Hermès Ester Technopole.

Une convention de partenariat interclustering

A l’occasion de cet évènement, le Pôle Européen de la Céramique officialisera une convention de partenariat interclustering avec Aerospace Valley, pôle de compétitivité dédié à l’aéronautique, aux systèmes embarqués et au spatial. Ce partenariat fait suite aux échanges entre les deux pôles notamment concernant les solutions apportées par les céramiques pour le domaine de l’aéronautique.

Source Le Populaire

22/05/2017

UK: Family owned brick company sees growing demand from SMEs

Small and medium sized housebuilders across the UK are concerned that clay brick shortages could significantly delay construction projects, as we move through the year.

Lagan Brick, based in Kingscourt Co. Cavan, has seen a sharp upturn in demand for its range of clay bricks.

Currently the company produces a wide range of facing bricks using one of its two tunnel kilns located on-site. Should the upturn in demand experienced continue, the company is well placed to increase its manufacturing capacity by bringing back into production the second tunnel kiln.

The brick making industry in the UK and Ireland has gone through considerable change in the last decade with several brick factories closing during the downturn and not re-opening. Industry experts believe that brick- making capacity between the UK and Ireland is now no more than 2bn bricks per annum. This figure would represent a reduction of 30% of pre-recession manufacturing capacity.

Much of the increase in brick demand experienced by Lagan in recent months has come from small independent, regional housebuilders across the UK.

Commenting on the situation, Mark Morris, commercial director for Lagan Products, said: “We are delighted with the levels of demand for our bricks, and while we are currently reaching full capacity with one tunnel kiln in production, there is the potential that we are going to announce the opening of the second tunnel kiln in the near future.

“It is the small independent housebuilder that is most in need of support and our product range and service package suits these customers well, especially with Lagan Products’ credentials as an independent building materials producer. There is a natural synergy and deep understanding of each other’s needs.”

The need for increased brick supply is being driven by the housing shortage and the government’s target of building one million new homes by 2020, the equivalent of 200,000 homes per year. This level of construction has not been achieved in a decade.

Commenting on the impact of the shortage, Jude Lagan, managing director of Lagan Products, added: “Smaller scale developers and independent businesses striving for growth in a challenging market are often the most affected by any shortfall in supply. Large multinational suppliers are challenged to sell high volumes of product and therefore service only national stockists. The majority of our customer base tends to reflect the Lagan Group business in that we are an independent and family-owned company. Our strategy is to support these small to medium sized customers to ensure supply continues to flow to meet the resurgent demand for our products.”

Source BMN

21/05/2017

PAYS RUFFÉCOIS: DYNAMIQUE 16 EXPLORE LE TISSU INDUSTRIEL DU NORD-CHARENTE


Le club des entreprises du Nord-Charente, Dynamique 16 invite régulièrement ses adhérents à des visites chez des collègues. Un rendez-vous était fixé dernièrement à la tuilerie Lambert au Mas de Saint Adjutory.

«On a choisi de visiter cette entreprise parce que c'est la dernière tuilerie artisanale de la région et parce que cette entreprise continue à progresser» explique Jean-Luc Tessier, président du club et assureur à Mansle. «La tuile, il assure connaitre !»

La visite s'est terminée avec Philippe Lascoux, désormais retraité. L'entreprise est maintenant gérée par sa fille Marie-Bernadette Baluteau, et son petit-fils Aurélien Baluteau.

Emmanuelle Laroche, chargée de la communication de la tuilerie Lambert et des relations clients Grand-Ouest, a présenté l'entreprise. «Depuis 1880, dit-elle, créée par Henri Lambert venu d'Auvergne. C'est toujours la même famille et nous en sommes à la sixième génération .»

Les carrières d'argile sont situées à un kilomètre et appartiennent à la famille. «Il y en a encore pour deux générations, c'est une argile excellente pour faire des tuiles. Elle se présente sous quatre couleurs selon la profondeur d'extraction,. On en extrait 10 000 tonnes par an au mois de juin. On la mélange puis elle passe 6 semaines en pourrissement afin de neutraliser la chaux. Elle fournit des tuiles rouges».

La propreté de l'atelier a épaté les chefs d'entreprise en visite. Un transbordeur automatique alimente le four à feu continu. L'argile a été d'abord malaxée puis formée grâce à une filière. Les tuiles sont parfois peintes, puis séchées et cuites - 38 heures de cuisson à presque 1.000°. Les visiteurs ne s'attendaient pas à découvrir à la sortie du four six robots qui saisissent les tuiles et les empilent avec une étonnante précision. Peu d'ouvriers, mais chacun gère son poste tant à l’approvisionnement qu'à la mise en palette des tuiles terminées. Il ne faut que quatre jours de l'entrée de l'argile à la sortie de la tuile finie.

Les clients peuvent être fournis plus vite grâce à l’automatisation qui garantit moins de perte. «Il n'a fallu que trois semaines pour installer cette ligne de six robots il y a deux ans» indique Emmanuelle Laroche pendant que la chaine débite sa série de tuiles.

Source La Charente Libre

20/05/2017

Wienerberger launches new long-format bricks

In response to the growing trend for architects and designers exploring a wider variety of brick sizes, Wienerberger, the UK’s leading provider of building material solutions, has announced the launch of seven new long format bricks to its Roman range.

The introduction of these seven new bricks is in direct response to the rising popularity of longer, thinner brick formats. Each of the new bricks are 400x100x40mm offering a very long, slender design option and they all have a desirable waterstruck texture that adds distinctiveness and character to builds.

Wienerberger’s Roman range now includes ten products with size options up to 510mm long available. The wide range of colours available open up ample aesthetic possibilities.

The Roman Range is ideal for design projects looking to make a statement. Whether it be for a whole facade or to help give a distinguished feature to specific areas of a building, the new bricks provide a versatile and striking brick solution that can benefit many types of architectural projects.

As well as the enhanced Roman range, Wienerberger offers its Megaline range which also provides longer, thinner formats but with a very different look to the Roman range. The Megaline range is manufactured using an extrusion process that gives the bricks a very precise shape. Available in 288x88x48mm format in five colours, the range offers architects and designers a clean, crisp, contemporary aesthetic design option for their projects.

Source Specification on line

19/05/2017

De nouvelles utilisations pour la tuile terre cuite

Pour la troisième édition du concours La tuileterrecuite Architendance, les fabricants de tuile terre cuite de la FFTB (Fédération française des tuiles et briques) ont lancé un challenge de taille aux architectures : « mettre en avant la tuile de façon inattendue et originale en couverture ou façade ». Au final, sur les 81 dossiers envoyés, 7 ont été désignés lauréats par un jury de spécialistes. Tour d’horizon des projets les plus innovants et ambitieux.

« Les projets récompensés cette année ont un trait commun : ce qui a séduit l’ensemble du jury, c’est l’affirmation d’un geste architectural fort, engagé et qui soit en même temps un gage d’intégration dans un site et donc histoire », indiquait Dominique Tessier, président du jury, à l’occasion de la cérémonie de remise de prix du concours La tuileterrecuite Architendance.

« Cette édition 2016 illustre l’engagement des architectes français à réinventer les usages de la tuile et à tirer partie de toutes les possibilités offertes par la toiture en pente. Les lauréats ont su réinventer cette forme pour tirer partie de tous ses avantages », renchérissait Pierre Jonnard, Président de la FFTB.

Au total, 7 architectes ont été récompensés leurs visions respectives autour du lien : entre paysage et sensibilité d’un lieu, entre présent et passé, ou encore entre les individus. « La terre cuite n’a pas fini de créer des lieux porteurs du bien vivre chez soi et du mieux vivre ensemble », commente Pierre Jonnard.

Des maisons individuelles originales…

Dans la catégorie maison individuelle, c’est Jaouen Pitois, architecte au sein du Laboratoire architectures et paysage, qui a obtenu le premier prix ainsi que le prix des étudiants pour sa « maison dans la pente ». Saluée pour son intégration parfaite à la topographie montagnarde, elle dispose d’une toiture à double pente en tuile anthracite.

En seconde position, SML (Clémence Eliard et Marc Sirvin) et Laurent Malraux se sont également illustrés en proposant une extension pixellisée de tuiles émaillées pour une maison individuelle à Viroflay (78). « Pour cette nouvelle partie de la maison, nous avons imaginé cette peau, comme une réinterprétation de la toiture traditionnelle », indiquent les architectes. Sur ce projet, rien n’a été laissé au hasard : le dessin formé par les tuiles a même été longuement préparé afin que les ouvertures s’y intègrent harmonieusement.

 …aux logements collectifs…

Pour les logements collectifs, c’est Augustin Faucheur qui est parvenu à se distinguer de ses concurrents en proposant la création de 20 logements intermédiaires H&E dans le Val d’Oise. « Notre volonté était de créer un ensemble contemporain facile à vivre qui s’intègre parfaitement dans cette zone pavillonnaire peu dense et assez végétale », explique le lauréat. Dans ce sens, l’architecte a utilisé des briques claires pour habiller les façades des bâtiments et des tuiles plates de teinte sombre pour souligner leur modernité.

L’Agence Taillandier architectes associés a, de son côté, remporté le deuxième prix grâce à ses Villas Florentine (Haute-Garonne), qui combinent maisons individuelles et appartements. « Le tissu urbain environnant est constitué de maisons individuelles ayant une toiture tuile traditionnelle à deux pentes. Le programme Villas Florentine réinterprète cette volumétrie pour l’inscrire dans un projet plus contemporain », raconte l’architecte Pierre-Louis Taillandier.

 …en passant par le tertiaire

Pour la troisième catégorie, « tertiaire », l’Agence architecture Philippe Prost a su retenir l’attention du jury en proposant de créer un Centre d’interprétation de l’habitat et du paysage minier dans le Pas-de-Calais. « Conserver l’histoire d’un lieu, c’est aussi savoir le transformer : ainsi, afin de s’intégrer à la cité, ce bâtiment neuf s’inspire et réinterprète la typologie de ces bâtiments du quotidien. Les murs de refend se retrouvent sous la forme de failles vitrées continues du sol au plafond et la tuile vernissée a été choisir comme matériau pour rappeler la brique omniprésente localement, tout en se différenciant par la couleur et les reflets de l’émail », explique Philippe Prost, architecte.

Son confrère, Patrick Mauger, a quant à lui reçu le deuxième prix pour l’extension et la restructuration des locaux de recherche de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour (64). Ainsi, le bâtiment se dote de façades constituées par des bandeaux horizontaux recouverts de quelques 25 000 tuiles entrecoupées de perforations. « Ce projet offre aux usagers un lieu de vie qui prolonge l’immersion dans la nature tout en apportant des solutions en terme de développement durable grâce au choix de matériaux bio-sourcés et éco-responsables », détaille l’architecte.

Enfin, BQ+A été récompensé du Grand prix spécial du jury pour sa maison de santé à Vézelay (Yonne). Un programme de grande qualité que Pierre Jonnard n’a pas hésité à qualifier de « leçon d’architecture ».

Source Cyberarchi  par Clément Guillaume 

18/05/2017

Charente : 3ème jour de grève chez Terreal à Roumazières-Loubert

A Roumazières-Loubert en Charente, des salariés du site Terreal, le leader français de la fabrication de tuiles, sont en grève depuis la semaine dernière. Ils réclament une augmentation générale des salaires notamment pour compenser des périodes récurrentes de chômage technique.


Terreal possède 15 usines en France, celle de Roumazières en Charente est la plus importante du groupe qui emploie près de 400 personnes en Charente. Les syndicats agissent actuellement dans le cadre des négociations salariales annuelles mais leurs revendications restent insatisaites. Ils souhaitent des augmentations générales, et non individuelles, pour tous les salariés.

"On refuse les mesures individuelles car pour nous, on considère qu'elles ne sont pas distribuées équitablement." affirme Laurent Delias, délégué CGT deTerreal.

Au troisième jour de grève, une vingtaine de salariés est présente à l'entrée du site pour filtrer le passage des camions mais l'usine n'est pas bloquée.

Source France 3 par Christine Hinckel

Construire en terre cuite permet de gagner des m² grâce au bonus de COS

La FFTB a interrogé le cabinet Pouget Consultants sur la pertinence de la brique terre cuite au regard des dispositions réglementaires relatives aux critères du label E+C- permettant aux bâtiments exemplaires de bénéficier d'’un bonus de COS jusqu’à 30%.

Les résultats obtenus font apparaître que quels que soient l’énergie utilisée ou le type de bâtiment, la maçonnerie en briques terre cuite permet d’atteindre les critères du bonus de constructibilité :
jusqu’à 30% de surfaces en plus autorisées par rapport aux documents d’urbanisme;
et un gain supplémentaire de surface habitable (au minimum 3% de plus) grâce à la performance thermique de la brique terre cuite en comparaison avec une solution en maçonnerie courante.
Bonus de COS : c'est oui avec la brique !

Aussi bien en maison individuelle qu’en logement collectif, la brique terre cuite permet de remplir les critères de l’excellence énergétique et environnementale (voir tableau). « Sur un immeuble à usage collectif de 2000 m2 SHAB soit 34 logements comme dans la configuration de l’étude, la brique terre cuite permet de gagner 60 m2 supplémentaires, en plus du bonus de COS. C’est l’équivalent d’un 3 pièces en plus créé grâce à la performance thermique intrinsèque de la brique terre cuite » souligne Isabelle Dorgeret, Secrétaire Générale de la FFTB.
L’étude a été réalisée en janvier 2017 sur 8 zones climatiques, avec des briques de 20 cm à R=1 m2.K/W (alors qu’il existe sur le marché des briques à plus haute résistance thermique). « Dans la mesure où les futures exigences réglementaires s’inspireront de l’observatoire du label « E+C-», ces résultats sont de bon augure pour la maçonnerie en briques terre cuite ! » ajoute-t-elle avant de rappeler que plus de 1 logement sur 3 a été construit en briques terre cuite en France en 2015 (chiffres BatiEtudes). « Ces résultats renforcent encore les atouts de notre produit et donnent une nouvelle raison de choisir la brique terre cuite pour construire tout type de logements » conclut Isabelle Dorgeret.

Source Batiinfo

17/05/2017

TERREAL part sur les routes de France pour rencontrer et présenter sa gamme rénovation aux artisans couvreurs

TERREAL, le spécialiste des matériaux de construction en terre cuite, lance son premier roadshow ! Depuis le 2 mai et jusqu’au 30 juin prochain, un « camion showroom » TERREAL s’installera dans 32 villes du grand Nord et du centre de la France. Les professionnels de la couverture pourront ainsi rencontrer les experts TERREAL et découvrir les solutions de l’entreprise pour la rénovation des toitures autour de démonstrations produits, d’activités ludiques et d’échanges.

Pendant deux mois complets, le camion itinérant TERREAL sillonnera la France et s’installera chez les négoces partenaires des régions Normandie, Centre, Île-de-France et Bourgogne. A chaque étape, de 9h à 15h30, les artisans locaux découvriront ou redécouvriront la gamme rénovation de TERREAL, ses nouveaux produits et coloris.


Pour cela, des démonstrations produits via des vidéos et maquettes seront organisées toute la journée. Les professionnels pourront par ailleurs tester leur connaissance sur les tuiles TERREAL grâce à un quizz interactif et participer à un jeu d’adresse avec de nombreux cadeaux à gagner. Les experts TERREAL seront disponibles durant l’intégralité de l’opération pour échanger et répondre à toutes les questions des couvreurs.

Lors de ces rencontres privilégiées, les couvreurs iront à la découverte des nouveaux produits TERREAL dédiés à la rénovation :

Giverny PV Panaché d’automne

Le coloris Panaché d’automne a été spécialement créé pour la tuile Giverny PV. Il évoque le charme sobre des vieilles couvertures de tuiles plates. Sa composition discrète de gris, jaune et noir est faite d’éléments de coloration inaltérables. Cette tuile est compatible avec le coloris des tuiles plates Panaché d’automne et Vieilli Touraine pour finir les lucarnes.

Giverny PV est la seule petite tuile d’aspect plat à proposer des faibles pentes. Son étanchéité a été approuvé par Avis Technique. Elle est la seule véritable tuile petit moule à pureau variable (5 cm). Facile et ultra rapide à mettre en œuvre, elle est autant adapté aux nouvelles constructions qu’en rénovation.

TERREAL NRJ +


Ce système de sarking permet une isolation thermique pour les toitures inclinées. Il est caractérisé par la pose de panneaux isolants rigides au-dessus des chevrons ou des voliges. Le sarking assure une isolation sans pont thermique et protège la charpente des écarts de température (jour-nuit, été-hiver).

Rives universelles ornementées
TERREAL a développé une nouvelle gamme de rives à l’esthétique authentique et compatibles avec toutes les tuiles du marché. Elle permet une étanchéité optimale avec une place de recouvrement sur la tuile de 7.5 cm et une hauteur utile de rabat de 23.5 cm. Elle allie à la perfection la tradition des années 1900 et la performance de la modernité.

Et deux nouvelles tuiles plates :

Port-Royal


Une tuile plate à faible coût, authentique et esthétique. Avec son pureau brouillé et ses teintes subtilement, vieillies, la Port-Royal vient donner une identité unique à vos projets. Elle se décline en deux teintes : Longchamp et Sablé Bourgogne.

Eminence Bleu Irisé 

Cette tuile convient aussi bien aux toitures contemporaines qu’aux restaurations de belles demeures.

Produite en Île-de-France avec des argiles de la région, sa géométrie très régulière garantit des finitions parfaites.  Ses tenons encastrés facilitent sa pose et permettent un conditionnement stabilisé.

Source Wellcom

16/05/2017

bio'bric vient à la rencontre de ses clients dans toute la France

Les équipes bio’bric viennent cette année encore à la rencontre de leurs clients grâce à de nombreux « rendez-vous » organisés aux niveaux national, régional et local. L’objectif de ces rencontres est de présenter les dernières innovations de la marque.

Ce plan d’actions bien rythmé, qui a commencé en janvier et qui s’achèvera cet été, s’inscrit dans la continuité de l’opération « L’Esprit d’Equipe bio’bric » initiée l’année dernière. A travers ces moments de convivialité,  la marque ambitionne de toucher 3 300 clients. Toute l’équipe commerciale bio’bric, soit 60 personnes, est mobilisée pour faire de ces événements des succès.

12 rencontres autour d'évènements sportifs majeurs
70 clients privilégiés ont ainsi été invités à participer, ou le seront prochainement, à des événements sportifs aussi divers que forts en émotion : 3 matchs du championnat du monde  de handball à Nantes, un match de foot  Barcelone/Séville, les 2 demi-finales du Top 14  à Marseille, la finale du Top 14 au Stade de  France, le 3ème tour du tournoi de Roland  Garros, les 24h du Mans Auto et 3 sorties  en mer avec Jean le Cam sur son bateau  « Finistère Mer vent ».

9 carrefours de l'innovation organisés dans toute la France
Après Lille, Toulouse et Metz, six autres rencontres sont programmées à Rennes, Bordeaux, Marseille, Nantes, Montpellier et Lyon d’ici mi-juillet.

Ces Carrefours se déroulent en soirée dans des lieux prestigieux tels que le Centre Pompidou à Metz ou le stade des Lumières à Lyon.

Au programme, présentation des dernières  innovations (fix’bric en maison individuelle et la  bgv’costo th+ en collectif) appuyée par l’intervention de bureaux d’études thermiques locaux. Puis, la soirée se termine par un cocktail dinatoire.
Ces Carrefours permettent à bio’bric de passer des messages forts tout en créant des liens durables entre la marque et ses clients.

74 rendez vous de l'innovation organisés dans toute la France avec des négoces partenaires
Ces rendez-vous, qui ont lieu au sein même des agences, regroupent en  moyenne une trentaine de clients,  maçons et constructeurs locaux. Sur  certaines animations, le chiffre de 40  personnes a même été dépassé, signe  que le partenariat industriel-artisan- négoce fonctionne bien.
Ces rendez-vous sont l’occasion de  présenter les innovations à travers des  démonstrations, notamment fix’bric.
Cette nouvelle colle prête à l’emploi est destinée au  montage des produits de la
gamme bgv20 pour la réalisation de maisons individuelles jusque  R+1+combles.
Les Rendez-vous de l’Innovation se terminent autour d’un buffet, moment de  convivialité apprécié des clients et propice aux échanges.
Encore une année forte pour bio’bric qui souhaite maintenir un lien durable avec ses clients professionnels.
La marque phare du groupe Bouyer Leroux, bio’bric, est leader national sur les marchés des briques de mur, briques de cloisons et conduits de fumée en terre cuite.

Source Cécile Roux 

15/05/2017

Les ventes de maisons individuelles s’envolent, LCA-FFB aux anges

Les Constructeurs et aménageurs de la Fédération française du bâtiment (LCA-FFB) ont le sourire et le font savoir ! Après l’année particulièrement dynamique qu’a été 2016 sur le marché des maisons individuelles, la tendance se poursuit au premier trimestre 2017. Une bonne nouvelle qui doit beaucoup au contexte en place et notamment aux dispositifs d’aides accessibles aux ménages. Le point sur les chiffres.

Il semblerait décidément que le premier trimestre 2017 ait réussi à l’ensemble des acteurs du BTP. Entre les artisans, qui enregistrent une croissance d’activité de +1,5%, les matériaux (+2,4% pour les granulats, +5,1% pour le BPE en glissement annuel) et la construction elle-même (+15,5% de mises en chantier, notamment), tous les voyants sont au vert !

Une tendance confirmée ce 3 mai par LCA-FFB (les Constructeurs et aménageurs de la Fédération française du bâtiment), qui souligne également l’augmentation des ventes de maisons individuelles. En effet, l’indicateur Markemétron enregistre une croissance de 15,8% entre janvier et mars 2017 (par rapport au premier trimestre 2016).
Une conjoncture favorable mais…

« À fin mars 2017, le taux de croissance annuel affiche +19,5% soit 139 500 maisons vendues. Pour rappel, les ventes brutes de maisons individuelles en secteur diffus ont gagné 19,5% en 2016 (133 600 unités) et 13,7% en 2015, après quatre années de recul », détaille l’organisme.

Ce nouveau rebond ne doit cependant rien au hasard. En effet, si la Coface s’attend à une hausse des taux d’intérêt dans les mois à venir, les particuliers peuvent toujours bénéficier de nombreuses aides pour accéder à la propriété (et notamment du prêt à taux zéro) et de taux de TVA avantageux. Sans compter que la maison individuelle reste le logement préféré des Français, d’après Century 21 France.

Si l’optimisme est de mise pour le reste de l’année, une certaine appréhension subsiste du fait de l’élection présidentielle, dont l’échéance approche à grands pas. « Cette conjoncture immobilière favorable envoie à elle-seule le message que doivent retenir le futur hôte de l’Élysée et les futurs parlementaires : garder les dispositifs qui fonctionnent et porter toute l’attention sur les trop nombreux blocages, qui affectent les délais de production et renchérissent les coûts », prévient Patrick Vandromme, président de LCA-FFB.

Source Batiweb par Fabien Carré

Matériaux de construction : enfin le printemps !

Le premier trimestre 2017 s’inscrit sur une tendance très encourageante, de l’ordre de + 2,4 % sur un an pour les granulats et de + 5,1 % pour le béton prêt à l’emploi, annonce l’Unicem dans sa lettre mensuelle de conjoncture.

« Après deux premiers mois de l’année perturbés par les effets des intempéries hivernales, le mois de mars semble enfin dessiner la tendance conjoncturelle de fond pour ce début 2017 », se réjouit l’Unicem dans sa lettre mensuelle de conjoncture.

Ainsi, bien qu’en recul de 7,2 % par rapport au rebond de + 16,5 % de février, l’activité des granulats en mars s’inscrit à la hausse sur un an : + 4,7 % par rapport à mars 2016 (données cvs-cjo).

Au premier trimestre 2017, la production de granulats est ainsi en hausse de 2,4 % sur un an.

Du côté du béton prêt à l’emploi, le mouvement de reprise est encore plus net : la production enregistre une progression de + 11,2 % par rapport à mars de l’an dernier. L’activité du BPE s’est sensiblement raffermie entre le dernier trimestre de 2016 et le premier trimestre de 2017 (+ 1,8 %) et affiche désormais une hausse de + 5,1 % au regard du premier trimestre de 2016.

L’Unicem estime, selon des données provisoires, que le marché pourrait ressortir sur une tendance proche de + 2 % sur un an au cours du premier trimestre 2017. Il profite en effet de l’embellie dans le secteur de la construction : le solde d’opinions des entrepreneurs sur l’activité prévue se redresse ainsi sensiblement et les carnets de commandes semblent se regarnir, aussi bien dans le segment du gros oeuvre que celui du second oeuvre. Et les dernières données de la construction pour le premier trimestre 2017 confirment leur optimisme (progression des demandes d’autorisations pour les surfaces de locaux  de + 2,2 % sur un an, de +15,9 % sur un an pour les permis de construire des logements).

Dans le sillage des autres indicateurs de la construction, le climat des affaires semble également s’éclaircir sensiblement dans les travaux publics au premier trimestre 2017. Les perspectives d’activité retrouvent un solde inédit depuis avril 2007. Le gonflement récent des carnets de commandes relève désormais autant de la clientèle publique que privée.

Source  LE MONITEUR.FR

14/05/2017

Monier tombe dans l’escarcelle de Standard Industries et se rapproche de Siplast-Icopal

Le groupe allemand Braas Monier Building Groupe vient d’être racheté par la société américaine Standard Industries. Braas Monier est dans le trio de tête des fabricants de tuiles et de composants de toiture. Standard Industries va regrouper les activités de Braas Monier et d’ICOPAL, spécialiste des solutions pour toits plats, connu en France à travers sa marque Siplast. Cette opération devrait faire du nouveau groupe BMI un des plus grands fournisseurs industriels européens de solutions pour la toiture plate ou en pente.

L’opération de rachat du groupe Braas Monier par Standard Industries couvait depuis septembre 2016 et avait connu un coup d’accélérateur en décembre dernier. Elle est maintenant définitivement conclue depuis le 3 mai 2017. Elle permet à ce groupe, très implanté aux USA sur le marché de la toiture plate, entre autres, de se développer de façon significative en Europe.

La société déclare que « … Le nouveau nom pour les activités européennes de Standard Industries sera « Groupe BMI ». Le nouveau logo s’inspire aussi bien de l’héritage d’Icopal que de celui de Braas Monier, symbolisant leur futur désormais commun – les rendant ainsi plus forts ensemble. Les marques existantes d’Icopal et de Braas Monier resteront un élément essentiel de leurs activités réunies. Le siège du groupe se situera à Londres. » 


En France, la société Monier est l’héritière d’une longue tradition de tuiliers. L’histoire de ses trente dernières années est riche en rebondissements. Elle est d’abord connue pour être le dernier fabricant français des fameuses tuiles Redland, marque de tuiles en béton aujourd’hui disparue et remplacée par la gamme Mineral. Les tuiles Redland ont accompagné la croissance du marché de la maison individuelle en France, dans les années 60 et 70.

Accessoirement, grâce à la part de marché très importante qu’elles avaient conquise sur le marché de la M.I. à cette époque, les tuiles Redland ont contribué à la profonde restructuration du marché français de la tuile terre cuite. De plusieurs centaines de tuileries à la fin des années soixante, le marché tourne aujourd’hui à peine plus d’une cinquantaine de tuileries terre cuite et trois tuileries béton. Cette restructuration violente a accouché de tuileries modernes, bâties autour de nouveaux process de fabrication. Citons par exemple les supports individuels en H, des fours plus efficients, une très forte automatisation des chaînes de fabrication, une meilleure maîtrise des mélanges d’argiles etc.

Ces procédés ont permis d’améliorer considérablement la planéité des tuiles terre cuite et leur ont permis d’accéder au Graal des 10 tuiles au m2, clef d’accès au marché du neuf. La société Monier est en France l’héritière de cette histoire et la seule à conserver une double fabrication tuile terre cuite et tuile béton, dite Mineral.

Le rachat de Braas Monier par Standard Industries, le rapprochement avec Icopal-Siplast semble avoir un vrai sens industriel et devrait donner à Monier un second souffle, lui permettant de continuer à tenir sa place parmi les leaders de la tuile et des composants de toiture. Précisons que la marque Schiedel, fabricant de conduits de fumée métal et céramique est incluse dans le périmètre des activités concernées.

Georg Harrasser, P.D.G. de Braas Monier et futur président du groupe B.M.I conclut « Le Groupe BMI sera le fabricant leader européen de notre industrie, offrant à ses clients des solutions innovantes pour les toits en pente ainsi que pour les toits-terrasses. Nous disposons d’un large portefeuille de produits et de marques reconnus et appréciés qui seront développés grâce à des investissements réalisés par Standard Industries … Nos équipes sont vitales pour notre réussite. Nous croyons que ce sont les hommes et les femmes qui font la différence et c’est pourquoi nous voulons à la vois fidéliser et recruter les meilleurs. » À bon entendeur, salut !

Source Batiweb par Régis Bourdot 

BRIEF-Standard Industries launches squeeze-out at Braas Monier


* Says decided to exercise squeeze-out right at Braas Monier

* Says will acquire 687,331 Braas Monier shares not tendered in takeover offer

* Says squeeze-out price for Braas Monier 25.27 euros per share

* Says expects Braas Monier to be delisted shortlySource text: here Further company coverage

Source Reuters

13/05/2017

La CGT appelle Macron à renoncer à légiférer par ordonnance

La CGT a appelé "solennellement" Emmanuel Macron à renoncer à "imposer de nouveaux reculs sociaux" par ordonnance, à l'issue d'une réunion de sa direction. La CGT "appelle solennellement Emmanuel Macron à renoncer à imposer de nouveaux reculs sociaux par ordonnance ou 49-3", alors que le futur président prévoit de réformer le code du travail par ordonnances. Elle souligne que M. Macron "a été élu par défaut par une grande partie de ses électeurs". "Nombre d'entre eux ont combattu une loi portant son nom, une majorité s'est mobilisée pendant des mois contre la loi travail, largement inspirée et soutenue par Emmanuel Macron", ajoute la CGT.

Pour elle, "considérer qu'il s'agirait là uniquement d'un vote d'adhésion et un blanc-seing à son programme, comme il l'a fait, jusqu'aux derniers instants de sa campagne, aux risques de renforcer le FN, serait irresponsable", insiste le syndicat. Estimant que "les leçons du 21 avril 2002 n'ont pas été retenues", avec la montée du Front national depuis cette date, la CGT invite le futur gouvernement et les parlementaires à être "conscients de la lourde responsabilité de leurs actes et des politiques qu'ils mettront en œuvre" car "ne pas stopper celles qui ont conduit à une telle situation nous condamnerait à la revivre". Dans ce contexte, elle invite les salariés à se syndiquer "plus nombreux" et à se "mobiliser pour leurs revendications".

Source La Provence

Imerys Toiture lance la tuile photovoltaïque en céramique

C'est en quelque sorte la tuile anti-tuile. Pour éviter des problèmes d'étanchéité et de garantie à la pose de panneaux photovoltaïques sur la maison, Imerys Toiture a mis au point une tuile céramique, couverte de cellules photovoltaïques, dédiée au marché résidentiel individuel.
Au lieu de modifier la charpente pour installer une centrale électrique, la tuile Alpha Solaire s'intègre directement dans la toiture, idéalement lors de la construction, mais aussi en rénovation. « Elle se branche très facilement, c'est à la portée de n'importe quel couvreur », assure Olivier Lafore, directeur marketing. Elle se pose comme une tuile en terre cuite, par emboîtement.

Petite et maniable

Il faut prévoir environ 5 m2 pour une installation domestique, avec un surcoût par rapport à un panneau classique, «  mais moins de complications et de frais de pose », affirme-t-il. Il faut compter environ 2.800 euros pour un lot de 11 tuiles couvrant 2 m2, fourniture et pose comprises.
Imerys Toiture s'est mis au solaire dès 2002 avec un premier produit encastrable dans le toit, constitué de bandeaux d'un demi-mètre carré. Baptisé « Evolu'Kit », il connaît un regain commercial depuis 2012 à la faveur de la nouvelle réglementation sur l'autoproduction.

Mais la tuile Alpha Solaire, encore plus simple à installer car petite et maniable, donne un meilleur rendu esthétique avec ses plaques de 0,2 m2 attachées par deux, pour une puissance de 26 watts crête, et calquées sur les dimensions de la tuile Imerys Alpha 10. C'est la limite de cette innovation, disponible dans ce seul format. S'il est répandu en Rhône-Alpes et dans le Jura, « il existe en France pas moins de 70 modèles de tuiles selon l'architecture régionale », explique-t-il. Imerys compte décliner Alpha Solaire pour couvrir d'autres territoires.

Source  Les Echos par Léa Delpont


12/05/2017

TERREAL ROUMAZIÈRES-LOUBERT: LE MOUVEMENT DE GRÈVE A DÉBUTÉ CE JEUDI MATIN À LA TUILERIE TERREAL

Suite au préavis de mardi dernier et à l'appel des syndicats FO, CGT et CFDT, un piquet de grève s'est installé ce jeudi matin dès 8h à l'entrée de l'usine.

Les ouvriers déterminés et n'ayant pas obtenu satisfaction suite aux revendications des syndicats sur les NAO (négociations annuelles obligatoires) et sur l'ensemble des conditions de travail à l'usine de Roumazières ont filtré l'entrée des camions, des livreurs et des voitures particulières sans toutefois faire un blocage total.
"Nous allons faire des roulements pour que les salariés ne soient pas trop impactés au niveau de la fiche de paye ,par le mouvement qui pourrait s'éterniser dans le temps" soulignait sur place Bernard Gire responsable FO, en attente des reprises des négociations avec la direction.
Un huissier est venu constater le blocage de l'usine. Il n'y a pas de débordement mis à part l'énervement de quelques livreurs pas très contents d'être retardés dans leurs tournées de livraisons.

Source La Charente Libre

Le Terreal Tour sillonnera 32 villes dans la moitié Nord de la France

Pour faire connaître ses produits aux distributeurs et aux professionnels de la couverture, Terreal a imaginé un camion show-room.


Du 2 mai au 30 juin, Terreal prend la route. Le fabricant de tuiles entend faire connaître l’étendue de son offre aux distributeurs et aux couvreurs.

Le coloris Panaché d’automne de sa tuile Giverny PV, le système de sarking Terreal NRJ +, les rives universelles ornementées ainsi que les tuiles plates Port-Royal et Eminence bleu irisé… autant d’innovations que les pros découvriront dans le show-room embarqué dans le camion Terreal.

Installé chez les négoces partenaires de la marque en Normandie, en région Centre, en Ile-de-France et en Bourgogne, il s’arrêtera chaque jour dans une ville différente, de 9h à 15h30.

Vidéos et maquettes aideront les pros à s’approprier l’offre Terreal. Des experts répondront aux questions, et de nombreux cadeaux seront distribués. Un moment fort pour la marque.

Source Le Moniteur par Pierre Pichère



11/05/2017

Terreal : mouvement de grève à Lasbordes et Saint-Martin

Ils avaient demandé, lors des négociations annuelles obligatoires, une augmentation de 1 % de leurs salaires et 50 cts sur les tickets restaurant et ou paniers de journée qui leur ont été refusée. Les salariés de Terreal ont donc décidé d'un débrayage, à l'appel de l'intersyndicale Force ouvrière, CFDT et CGT laquelle refuse les explications mises en avant par la direction générale pour justifier sa position de ne pas leur accorder cette revalorisation salariale.
Les syndicats ont également fait connaître leur opposition totale à l'ouverture de négociations salariales individuelles ; toute augmentation devra être générale. En conséquence, un préavis de grève illimitée a été déposé, dès ce mardi, sur le site de Colomiers, suivi dès hier par les sites de Lasbordes et Saint-Martin-Lalande. Aujourd'hui, Roumazières, en Charente, devrait suivre le mouvement. Pour les syndicats «le coût d'un tel envoi aurait permis une avancée significative. La colère et l'incompréhension montent». Et d'appeler «tous les salariés à venir en dehors de leur temps de travail faire barrage à de tels agissements et de consacrer un peu de leur temps privé sans perte d'argent», exhorte l'intersyndicale qui estime que «seul un vrai élan de contestation fera bouger les choses».

Côté direction

Du côté de la direction lauragaise, Patrick Leblanc tient à apporter les précisions suivantes : «Les négociations syndicales ont eu lieu au siège social à Suresnes avec les quatre syndicats, FO, CGT, CFTC et CFDT, à l'issue desquelles des accords ont été signés, qui en fait vont au-delà des 1 % puisqu'il a été décidé d'augmenter les salaires de 0,85 % globalement, plus 0,25 % individuellement au mérite, soit pour les salariés concernés 1,10 % d'augmentation. La direction rappelle également les nombreuses avancées récemment mises en place telles que : 160 €/an pour la compensation du temps d'habillage, pas d'augmentation de la cotisation mutuelle depuis deux ans, un intéressement pour tous les salariés».

Source La Dépêche du Midi par G. K. avec G.B.


Bouyer Leroux veut convertir Rhône-Alpes à la brique

Roland Besnard et Pierre-Alexandre Cheminel Roland Besnard, président de Bouyer Leroux avec le nouveau directeur marketing et commercial, Pierre-Alexandre Cheminel. 

L’un des leaders nationaux des éléments de construction en terre cuite, Bouyer Leroux Terre Cuite, affirme ses ambitions en Rhône-Alpes. Il s’appuie sur les ex-sites ligériens d'Imerys Structure, repris en 2013 : Mably et Saint-Marcellin-en-Forez.

La société coopérative Bouyer Leroux Terre Cuite, dont le siège social est situé à La Séguinière dans le Maine-et-Loire, a réuni les 20 et 21 avril derniers ses équipes commerciales de la marque Bio’bric à Lyon, un territoire considéré comme « une zone grise » où le béton est le matériau le plus utilisé en construction.

Depuis les salons de l’hôtel Marriott, Roland Besnard, son président, l’a clairement dit : « On veut rougir cette région Rhône-Alpes sur la maison individuelle et le collectif. » Premier fabricant français en parts de marché sur les briques avec plus de 50 % des volumes, Bouyer Leroux veut mettre à niveau le marché régional. Pour cela, le groupe peut s’appuyer sur « son principal atout local », le site de Mably dans la Loire

Deux projets développés à Saint-Marcellin-en-Forez

Cette usine a bénéficié en 2016 d’investissements pour développer sa réserve d’argile et améliorer la productivité de son four. Unité moderne, elle bénéficie d’un atout important en termes de coût de fonctionnement avec un équipement alimenté par le gaz et le bio gaz.

A Saint-Marcellin-en-Forez, la Scop a également investi (150.000 euros), dans deux dossiers : une brique d’argile crue qui devrait être expérimentée avec un architecte des Bouches-du-Rhône et surtout « un système constructif » qui dépassera le cadre régional et national. Adapté pour réduire les délais de construction et « répondre au manque de qualification du personnel de chantier », le produit est en cours de validation avec un major du BTP sur un site pilote en Ile-de-France.

Source Brefeco par Vincent Riberolles

10/05/2017

Terreal: la grogne syndicale gagne la Charente limousine

La tuilerie de Roumazières emploie un peu plus de 400 personnes, qui attendent l’issue des réunions avec la direction.

Après Lamirande d’Exideuil, Terreal à Roumazières s’apprête à faire face à un mouvement d’humeur des syndicats. En cause, les revalorisations salariales.

A l’appel des syndicats CGT, FO et CFDT, un préavis de grève a été lancé hier mardi par les responsables syndicaux, au sein de l’entreprise tuilière Terreal de Roumazières-Loubert. Un préavis qui pourrait déboucher sur une grève surprise illimitée, expliquent les deux responsables CGT et FO, Laurent Délias et Bernard Gire. Hier, les responsables négociaient avec la direction parisienne et des réunions internes ont eu lieu toute la journée.

L’appel a été lancé dans l’ensemble des quatorze usines du groupe Terreal. Certaines d’entre elles, notamment dans le Sud, sont déjà bloquées par les salariés. À Roumazières-Loubert, les salariés de Terreal qui travaillent sur les grosses unités sortent d’un mois de chômage technique. Ils ont repris le travail hier.

La cause, des revendications salariales, suite aux négociations annuelles obligatoires (NAO) qui ne satisfont pas l’ensemble des salariés du groupe. "On nous a proposé une augmentation annuelle de 0,80% pour tous les salariés et de 0,30% individuellement", précisent les responsables syndicaux. Avant d’ajouter: "C’est là-dessus que nous ne sommes pas d’accord. Nous refusons ces propositions même si après la réouverture des négociations, la semaine dernière, elles ont été retoquées à 0,85% et 0,20%, ce qui fait une augmentation totale de 1,05%. Cette répartition des pourcentages ne nous satisfait pas."

"Distribution à la tête du client"

Les représentants syndicaux souhaitent une revalorisation globale de 1%, avec des pourcentages confondus même si c’est moins que ce que propose la direction. "Nous pensons que c’est plus juste pour les salariés", glissent-ils. "Avec ce que nous propose la direction, le piège de la revalorisation individuelle va faire que l’argent ne sera pas redistribué forcément en fonction du mérite. Et nous craignons que la direction fasse du rattrapage salarial...", ajoutent-ils. Cette sorte de prime individuelle au mérite est faite pour récompenser les compétences. "Une distribution à la tête du client", dénoncent les syndicats.

Pour l’heure, chacun est dans l’expectative. Il n’y a pas de mouvement visible. "Et s’il devait y avoir un débrayage, il n’affecterait pas la sortie et la rentrée des camions dans l’usine. Nous devons tout d’abord informer l’ensemble des ouvriers sur les négociations", explique Laurent Délias.

Source La Charente Libre par Par Marie-Françoise CORMIER

La brique terre cuite face aux labels et réglementations

Devenu aujourd’hui le grand référentiel du bâtiment en France, le label E+C-, lancé le 17 novembre par Emmanuelle Cosse, vise à établir de nouveaux standards environnementaux pour les bâtiments neufs. La FFTB est allée demander à Pouget Consultants en janvier 2017 comment les maçonneries en terre cuite sauront tenir ces standards. Et voici les résultats de l’enquête…

Face aux standards environnementaux de plus en plus nombreux et exigeants, il est normal de voir tout le monde, professionnels comme particuliers, s’inquiéter des inévitables changements à venir. Faudra-t-il changer leurs méthodes de travail ? Les matériaux utilisés ? Rénover (parfois au prix fort) leur petit nid douillet ?

La brique en terre cuite, exploitée depuis des siècles, est aujourd’hui encore utilisée dans la construction (plus d’un tiers des logements neufs construits en 2015 étaient en briques de terre cuite). Mais est-elle pertinente, face à de nouveaux labels comme E+C- ? C’est la question que se posait la FFTB (Fédération Française des Tuiles et Briques).

Les résultats de l’enquête démontrent que la terre cuite permet un gain minimum de +3% de surface habitable, grâce à sa performance thermique. Et au mieux, une construction répondant aux standards E+C-, peut bénéficier d’un bonus de COS (Coefficient d’Occupation des Sols) allant jusqu’à +30% ! Oui, la brique en terre cuite est compatible avec les critères de l’excellence énergétique et environnementale et ce, quelque soit l’usage et l’énergie du bâtiment.

Pour aboutir à ces résultats, l’étude a été effectuée en janvier 2017 dans 8 zones climatiques différentes, avec des briques de 20 cm à R=1m2.K/W, ce qui est loin d’être le score de résistance thermique le plus élevé du marché.

L’étude a également fait en sorte de multiplier au maximum les variables : immeubles collectifs, logements individuels, utilisation de chauffage au gaz ou électrique, des isolants effectués pour tester l’efficacité de la brique en terre cuite. Qu’elle soit capable d’atteindre sans difficulté les critères du bonus de constructibilité est de bon augure pour la maçonnerie en terre cuite.

Source Batiweb

09/05/2017

Pesaro, trovato accordo per la Pica

PESARO Una fiamma che segna un nuovo inizio. Dopo oltre un mese di stop oggi sarà riacceso il primo forno alla Pica. Mesi di travaglio, fino al raggiungimento dell’accordo: l’affitto di ramo d’azienda alla Terreal, multinazionale francese, con l’obbligo irrevocabile d’acquisto. Lavoratori salvi, ma ancora nodi da sciogliere.

Un percorso iniziato con l’apertura della mobilità e il doloroso licenziamento di 85 dipendenti. A fine 2016 era stato presentata in Tribunale un’operazione di ricomposizione del debito secondo l’articolo 182 della legge fallimentare. Un atto propedeutico alla fusione con l'azienda di laterizi San Marco. Ma a fine febbraio la doccia fredda: invece di partire col progetto, si è presentato un problema con le banche. Gli istituti di credito non hanno accettato la ristrutturazione e il progetto è stato bloccato.

Qui il gruppo Terreal, che è già titolare della compagine San Marco, ha preso in mano la situazione. La multinazionale conta 22 stabilimenti nel mondo. Oggi, con un fatturato di 350 milioni di euro e circa 2.400 dipendenti nel mondo, Terreal è un gruppo chiave nella creazione di soluzioni innovative per l’edilizia.

Il  gruppo ha portato avanti la trattativa di affitto di ramo d’azienda. E' stato quindi firmato l’accordo per sei mesi più tre, dopodichè ci sarà un’offerta irrevocabile d’acquisto. Si passerà tramite un’asta, ma si conta sull’offerta Terreal. Il futuro dei 73 lavoratori è nel gruppo francese. Non ci saranno licenziamenti e i posti di lavoro sono stati salvaguardati. Anche i 3 dipendenti del deposito di Roma passeranno alla multinazionale, salvo 3 lavoratori di un altro deposito.

Source Corriereadiatico