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29/10/2017

Schlagmann Poroton commissions fourth perlite filling system

On the occasion of this year‘s summer festival, Schlagmann Poroton unveiled its fourth perlite filling line for highly insulative Poroton blocks at the main plant in Zeilarn, Bavaria.

Made necessary by high demand for perlite-insulated Poroton blocks, the new system costs roughly € 4.5 mill. European Deputy Manfred Weber, who pushed the official start button together with Managing Director Johannes Edmüller and other political guests of honour, was quite impressed by the fully automated production process operating almost exclusively via robotic stations.

Exactly 16 years ago, in 2001, the first of what are now four systems for filling perlite insulation material into Poroton blocks went into operation – a real milestone at the time, not only for the company, but for the entire branch, as well. Two hundred and forty pallets, i.e., enough clay blocks to build three detached houses, pass through the energy-optimized system every day. In comparison with line 3, dating from 2006, line 4 consumes only half as much energy for drying the perlite-filled blocks.

Indeed, over the course of the past few years, Schlagmann‘s modernization efforts and new system installations have significantly reduced overall energy consumption and scaled back the company‘s “carbon footprint“ (in terms of product-specific CO2 emissions). The company‘s ambitious goal - carbon-neutral production - is both expensive and arduous. Right now, the plans made for achieving that ambitious goal are still being polished, as Edmüller revealed in an interview together with Manfred Weber.

Schlagmann Poroton GmbH & Co. KG www.schlagmann.de

Source Ziegelindustrie International

28/10/2017

CERITHERM : FABRICANT DE FOURS INDUSTRIELS

Ceritherm, fabricant de fours industriels, propose aux entreprises de tout secteur d’activité des fours tunnel et des fours cellule, autrement appelés fours batch, destinés à la cuisson ou aux traitements thermiques de leurs produits. L’équipement thermique souhaité pourra fonctionner au gaz ou à l’électricité avec une température de cuisson adaptée à vos besoins : de 100°C à 1800°C.

Pour compléter cette offre, Ceritherm propose également un ensemble d’équipements innovants (large gamme de brûleurs, solution de wagons à encombrement réduit) et de services (maintenance préventive, curative, fumisterie industrielle, retrait de matériaux classés)…

Avec une expérience de plus de 20 ans dans la conception, fabrication, installation et mise en route d’équipements thermiques industriels ou de laboratoire – séchoirs, étuves et fours industriels - Ceritherm est le partenaire idéal pour vous accompagner dans la réalisation de vos projets.

Source Ceritherm

27/10/2017

13 émes Trophées Aléonard (2017)

C’est le 19 octobre à l’Hôtel de Bourgtheroulde à Rouen que s’est tenue la cérémonie officielle des Trophées Aléonard en présence de nombreuses entreprises de couverture et d’architectes du patrimoine. Ce concours de la tuilerie Aléonard, Entreprise du Patrimoine Vivant, met chaque année à l’honneur, le savoir-faire et la créativité des artisans couvreurs au travers de 5 catégories : « Monuments Historiques », « Premier Chantier »,« Construction Neuve », « Rénovation » et « International ».

Fidèle à sa tradition d’excellence, cette nouvelle édition des Trophées Aléonard attire toujours autant de candidatures, 49 dossiers de grande qualité ont à nouveau été déposés cette année. Le Jury a été particulièrement impressionné par la diversité et la richesse de ces réalisations, représentant l’expertise des
maîtres-artisans couvreurs dont le savoir-faire d’exception contribue à la valorisation et la préservation du patrimoine architectural français.

Restauration de monuments classés, réhabilitation d’ancien corps de ferme en logement collectif, construction neuve en maisons individuelles, l’édition 2017 des Trophées Aléonard souligne l’éventail des possibilités offerte par la gammeAléonard.

1| Lauréat Rénovation : Entreprise COSSÉ
2| Lauréat Monument Historique : Entreprise BATTAIS
3| Lauréat Premier chantier : Entreprise HEBERT
4| Lauréat Construction Neuve : Entreprise PÈTRE
5| Lauréat International : Entreprise MAEKELBERG


Membre du Jury 2017


  • > Bruno Decaris, Architecte en Chef des Monuments Historiques
  • > Guillaume Moine, Architecte du Patrimoine
  • > José Faucheux, Entreprise José Faucheux
  • > Jean-Yves Nicolas, Entreprise Le toit Gâtinais
  • > Frédérique Imbs, Rédactrice en chef d’Atrium
  • > Frédéric Didier, Directeur Général Adjoint de Wienerberger France
  • > Laurent Peloux, Directeur Régional Centre Est - Koramic/Aléonard
  • > Christophe Brochet, Chef de produit Tuiles - Koramic/Aléonard
  • > Gilles Wuthrich, Co-fondateur - Trophées Aléonard
  • > Sylvain Ponchon, ResponsableMarketing Tuiles - Koramic/Aléonard, 

TROPHÉE ALÉONARD MONUMENT HISTORIQUE

Le lauréat dans cette catégorie est l’entreprise BATTAIS d’Olivet (45) associée à Bruno Decaris, Architecte en Chef des Monuments Historiques pour la couverture de l’église de Thury (89).

La qualité, l’harmonie et l’homogénéité du mélange de 5 couleurs de tuiles associées à 2 formats différents a véritablement conquis le jury.
La maîtrise technique nécessaire à la bonne réalisation de ce projet de 720 m² est impressionnante : arêtiers fermés et tranchés sur noquets de plomb, rives à noquets de cuivre, faîtage à crête de chaux, épis de faîtage...
Seule une étroite collaboration entre l’architecte des Monuments Historiques et le couvreur, combinée à un savoir-faire exceptionnel des équipes, pouvait permettre une telle qualité de mise en œuvre pour ce projet d’exception.
Tuiles : Monuments Historiques 17 x 27 et 17 x 28 Ocre Rose, Orange Clair, Rouge naturel, Rouge d’Automne, Rouge de Mars.




TROPHÉE ALÉONARD RÉNOVATION
C’est l’excellence du travail de l’entreprise COSSÉ PÈRE ET FILS, particulièrement remarquable sur cette maison individuelle située à Le Meux (60), qui a été saluée par le jury.

Faîtage scellé avec crête et embarrures, raccord de type noue fermée en arrondi entre la lucarne et la toiture, arêtiers au filet de mortier sur les lucarnes parfaitement rectilignes, chaque détail de ce chantier de 480 m² a été particulièrement soigné.
On peut remarquer l’élégance de l’association des tuiles « Pontigny » et « Patrimoine » Vert de Lichen, Noir de vigne et vieilli naturel en 3 formats différents








TROPHÉE ALÉONARD PREMIER CHANTIER 
La couverture du Golf du Vaudreuil a été le premier chantier en tuile Aléonard de l’entreprise Daniel HEBERT, de Louvier (27). Le résultat a fortement impressionné les membres du jury.

Composée de tuiles « Patrimoine » et « Pontigny » Rouge de Mars, Ocré lichen, Vert de Lichen et Rouge Flammé, la qualité du panachage régulier de cette toiture de 850 m² est d’autant plus remarquable que plusieurs rampants et points singuliers venait en compliquer la mise en œuvre : plusieurs lucarnes capucines, des faitières et arêtiers scellés au mortier bâtard, des pentes biaises, les traitements par bande solin, …


Source Wienerberger

Bricks, le film de Quentin Ravelli

« Des carrières d’argile abandonnées aux crédits immobiliers impayés, les briques espagnoles incarnent le triomphe puis la faillite économique d’un pays. Usines qui ferment la moitié de l’année, ville-fantôme curieusement habitée, guerre populaire contre les expropriations orchestrées par les banques : suivre le parcours d’une marchandise – les briques – donne un visage à la crise et dessine les stratégies individuelles ou collectives qui permettent de la surmonter. »

Né en 1982, Quentin Ravelli est sociologue, chargé de recherches au CNRS, écrivain. En croisant sociologie du travail, économie politique et ethnographie, il suit le parcours de marchandises « à risque » pour mieux comprendre les contradictions de la crise économique et leurs conséquences sociales. Il est aussi romancier et a publié deux romans chez Gallimard (Retrait de Marché, 2011 et Gibier, 2013). « Bricks », son premier film, a notamment fait l’objet d’une résidence à la Casa de Velázquez à Madrid. Dans la continuité de ce travail, Quentin Ravelli a publié en août 2017 une étude aux éditions Amsterdam intitulée Les briques rouges. Dettes, logement et luttes sociales en Espagne.

Sortie depuis le 18 Octobre 2017
Source Cité des Arts

26/10/2017

Cerinnov : Nomination de Rémi Noguéra en qualité de Directeur général délégué de Cerinnov Group

Le conseil d'administration de Cerinnov Group (code ISIN : FR0013178712 - mnémo : ALPCV), réuni vendredi sous la présidence de Arnaud Hory, a approuvé la nomination de Rémi Noguéra au poste de Directeur général délégué de Cerinnov Group.

Agé de 40 ans, Rémi Noguéra détient un doctorat en science des procédés céramiques doublé d'une formation à HEC. En 2006, il fonde la société Ceradrop, pépite technologique issue du CNRS, qui devient rapidement le spécialiste français des équipements jet d'encre pour l'électronique imprimée et l'impression de composants 3D en céramique. En 2013 il décide de vendre son entreprise à la société MGI Digital Technology, qu'il accompagnera pendant quatre ans comme membre du Conseil d'Administration puis Directeur Général Adjoint tout en restant Directeur Général et mandataire social de Ceradrop. La même année, il succède à Arnaud Hory en tant que Président du Pôle Européen de la Céramique basé à Limoges.

Rémi Noguéra aura pour mission d'accélérer le développement de Cerinnov Group dans un environnement de marché extrêmement porteur pour la société et dans lequel de nombreuses opportunités restent à saisir. Pour mener à bien cette mission, il entend pousser plus avant les forces de l'entreprise : international, diversification sectorielle, augmentation des tailles de projets, innovation constante menée par les équipes de R&D.

A l'occasion de cette nomination, Arnaud Hory, Président-directeur général de Cerinnov Group, a déclaré : « Je suis très heureux que Rémi me rejoigne à la direction du groupe. Sa grande expérience au sein d'une ETI cotée à forte dimension internationale, ses qualités humaines et son goût de l'entrepreneuriat sont autant d'atouts qui seront essentiels au Groupe dans la réalisation de ses fortes ambitions de développement. »

Rémi Noguéra, Directeur général délégué de Cerinnov Group ajoute : « Le chemin parcouru par l'entreprise ces dernières années est immense. Positionné au cœur des enjeux de l'industrie 4.0, Cerinnov Group bénéficie aujourd'hui d'une reconnaissance des acteurs majeurs de l'industrie mondiale de la céramique et du verre. Mais de nombreux enjeux restent encore à relever pour poursuivre cette dynamique et accompagner la transformation du groupe pour continuer de bénéficier du marché porteur sur lequel il évolue. Je suis ravi d'avoir l'opportunité de contribuer à cette aventure entrepreneuriale aux côtés d'Arnaud et de son équipe. »

A propos de Cerinnov Group

Créé en 1998, Cerinnov conçoit, fabrique et commercialise pour l'industrie de la céramique et du verre des équipements innovants dans trois domaines : robotique & numérisation avancée, traitement thermique de la matière, et procédés laser & décoration. Cerinnov est au cœur de la

« 4 révolution industrielle » en proposant en France et à l'international des équipements de pointe permettant à ses clients industriels de se réinventer pour entrer dans l'ère de « l'usine du futur ». Plus d'information sur http://www.cerinnov.com/fr.

Source Zonebourse

25/10/2017

AUSTRALIA: Spanish imports win out as WA brickmaker Brickworks cuts factories and staff

Domestic freight costs killed plans by Brickworks to ship surplus stock to the east coast, with builders saying Spanish imports are cheaper.

WA homes are now being built with imported Spanish roofing tiles following savage local cutbacks by Australia’s biggest brick and tile maker that have cost nearly 130 jobs.
Brickworks today announced doubled annual profit of $186.2 million for the year to July 31 despite a sharp decline in earnings in WA in the face of a downturn in home building.
With WA building approvals down 40 per cent over the past two years, the group has closed or mothballed six plants in the State’s south-west as part of a painful restructuring undertaken to meet the plunging demand for building products.
Its Austral Bricks business closed its factory at Malaga and mothballed its Armadale plant, consolidating production at its two remaining plants at Cardup and Bellevue.
Also, Auswest Timbers sawmills at Deanmill and Pemberton were closed, along with a processing centre in Manjimup, while Bristile Roofing has mothballed its Caversham plan.
The latter closure in April means that Bristile is drawing on inventories and imported Spanish terracotta tiles to meet local demand from WA builders.
While there was potential for WA’s surplus tiles and bricks to be shipped east to feed the housing boom in NSW and Victoria, it was never viable.
That’s because, according to Brickworks, expensive domestic freight rates means it costs twice as much to ship bricks and tiles from Perth to Sydney as it does to import them from Spain.

The company said today that the cutbacks resulted in the loss of 126 WA jobs across the building products division in 2016-17 and $16 million of one-off costs for stock writedowns and the redundancies.
“However, we now enter 2018 in a much improved position, with a lower cost base and operating capacity in line with the expected demand, but with the flexibility to adapt to any change in conditions,” chief executive Lindsay Partridge said.
Mr Partridge said the “extremely challenging” conditions in WA reduced building products’ earnings before interest and tax by $12 million to $65 million in 2016-17 on record revenue of $763 million.
“Margins were particularly hard hit, due to the impact of lower pricing and higher unit manufacturing costs,” he said.
Brickworks directors declared a final fully franked dividend of 34¢ a share.
The stock was 20¢ lower at $13.78 as at 11.30am.

Source The West Australian by Sean Smith

Un mai 68 50 ans après est-il possible ?

Les syndicats se sont retrouvés hier soir pour tenter d'organiser une action commune, en novembre, afin de peser sur le gouvernement. Un grand mouvement social contre les reformes à venir pourrait il naître en France ?

Après avoir été reçus tour à tour par la ministre du Travail Muriel Pénicaud au sujet des réformes à venir, les syndicats se sont retrouvés hier soir pour tenter d'organiser une action commune, en novembre, afin de peser sur les prochaines réformes du gouvernement et une nouvelle fois, sans grande surprise, ils ne sont pas parvenus à s'entendre.

Si tous les syndicats émettent des craintes sur les prochaines réformes , c'est surtout les ordonnances sur la loi travail qui aujourd'hui les empêchent de faire front commun. La CFDT reste sur la ligne et continue d'affirmer que "tout n'est pas noir" dans la loi travail. Un diagnostic qui est loin d'être partagé , même par le syndicat des cadres qui estimait hier soir qu' un tel message n’était pas "envisageable". "Quand aujourd'hui on discute et que certains voient des aspects positifs des ordonnances et veulent le mettre dans le texte commun, c'est clair que pour nous c'est inacceptable et nos militants ne le comprendraient pas", déclarait a la sortie de la réunion le secrétaire national de la CFE-CGC.

Bien sûr la CGT qui a manifesté à trois reprises pour réclamer le retrait des ordonnances peut encore moins s'y associer et FO qui avait pourtant refusé de descendre dans la rue , se voit aujourd'hui poussée par sa base pour qu'elle se joigne aux actions communes.

Une nouvelle journée d'action en Novembre

Les syndicats CGT, FO et Solidaires ainsi que l'Unef , la Fidl et l'unel se sont mis d'accord pour une journée de grève le 16 novembre. Il s'agit de manifester contre la "politique libérale" menée par le gouvernement.

La CFDT, la CFTC, la Fage, et l'Unsa ont pour leur part signé un texte commun de mise en garde du gouvernement sur les réformes a venir doivent rééquilibrer les souplesses accordées aux entreprises par les ordonnances par des modalités nouvelles de sécurisation des parcours professionnels", ont-elles écrit.

La CFE-CGC et la FSU n'ont ni signé le texte, ni rejoint les syndicats appelant à la grève.

Emmanuel Macron doit il craindre un grand mouvement social ?

Et bien dans le dernier rapport de la très sérieuse Association Entreprise & Personnel, qui regroupe une centaine de DRH et de dirigeants d'entreprises, un grand mouvement social , comme mai 68 , 50 ans après n'est pas à exclure. Le risque n'est pas à prendre en tous cas à la légère.

Dans sa note de conjoncture sociale annuelle, l'association Entreprise & Personnel souligne la profonde mutation du système social en cours. Les auteurs imaginent deux scénarios alternatifs pour 2018: l'un où la grogne sociale se tait devant les premiers résultats économiques concrets; l'autre, à l'inverse, où l’absence de créations d'emplois tangibles, combinée à d'autres déceptions, conduisent à une convergence des mécontentements.

Ce scénario peut être considéré comme plausible sous l'angle économique car, de fait, la reprise pourrait être pauvre en emplois, eu égard aux réserves de productivité qui existent dans beaucoup d'entreprises.

En outre, du moins dans un premier temps, les facilités de licenciement offertes par les ordonnances pourraient conduire à une vague de licenciements. Les gains de pouvoir d'achat seraient alors effacés par « un fort sentiment d'iniquité, à l'époque des super profits des entreprises"

Et, cerise sur le gâteau, si se concrétise une réforme introduisant la perception d'une sélection à l'entrée de l'université pour 2018, alors cela mettrait le feu aux poudres et entraînerait une convergence des luttes, en mai 2018, « 50 ans après... » conclut Entreprise & Personnel.

Source France Culture

24/10/2017

IMERYS Toiture – BEAUVOISE GRAPHITE, L’INTEMPORALITÉ DE L’ARDOISE NATURELLE disponible en novembre 2017

De plus en plus utilisée aussi bien en toiture que pour habiller les façades d’un bardage, l’esthétique de l’ardoise naturelle séduit incontestablement. En tant que spécialiste de solutions pour toits et façades, IMERYS Toiture agrandit sa gamme petit moule pour proposer une tuile terre cuite reprenant l’aspect esthétique de l’ardoise naturelle.

Produite sur le site de Saint Germer de Fly, la nouvelle tuile terre cuite BEAUVOISE GRAPHITE d’IMERYS Toiture reprend le format et l’aspect de l’ardoise naturelle tout en conservant les lignes épurées et le nez droit de la tuile Beauvoise Huguenot dont le moule a servi à sa conception. Son profil légèrement plus fin, son coloris Ardoisé et la destructuration de sa surface qui reprend les épaufrures des ardoises naturelles, permettent de réaliser, en neuf comme en rénovation, des couvertures imitant à la perfection l’ardoise naturelle à un coût au m2 bien plus avantageux.
Fabriquée à base d’argiles de Beauvais, BEAUVOISE GRAPHITE est une tuile à double emboîtement qui possède une très bonne résistance mécanique et au gel, autorisant également son application en bardage.

Caractéristiques techniques

  • Longueur hors tout : 322 mm
  • Largeur hors tout : 235 mm
  • Poids unitaire : 1,9 kg
  • Poids au m2 : de 38,4 à 39,3 kg selon recouvrement
  • Nombre de tuiles au m2 : de 20,2 à 20,7 selon recouvrement
  • Type de pose : joints croisés
  • Marquage NF


Source Le Blog du Bâtiment

23/10/2017

Pays de Bray : Bouyer-Leroux abandonne son projet de carrières d’argile

Le numéro un français de la brique en terre cuite, Bouyer-Leroux, a annoncé ce jeudi 19 octobre l’abandon de son projet de carrières d’argile et de briqueterie en pays de Bray.

L’industriel a pourtant déjà investi 100 000 € pour quelque 350 sondages souterrains, 220 000 € en études en tout genre, et pas moins de 1, 1 M€ pour des acquisitions foncières sur 115 ha, soit en propre, soit par le biais de préfinancements à la Safer.

« Le besoin de faire n’apparaît plus comme évident », justifie Roland Besnard, le Pdg de l’entreprise dont le siège social est dans le Maine-et-Loire. Habituée à évoluer dans un marché erratique, celui de la construction, Bouyer-Leroux estime aujourd’hui que les besoins en maisons individuelles dans les prochaines décennies ne justifient pas d’investir 35 à 40 M€ dans ce projet.

Source Paris Normandie

22/10/2017

Optimization of clay roofing tiles to improve the energy efficiency of buildings

On 22 June, in Nice, within the framework of the Annual Congress of Tiles and Bricks Europe (TBE), the Mid-Term Conference of Life Herotile was held, during which the partners of this project presented the progress of the project to the members of TBE and other stakeholders.

Project goal

Life Herotile (High Energy savings in building cooling by ROof TILEs shape optimization toward a better above sheathing ventilation - LIFE14 CCA/IT/000939) is a European research project co-financed by the European Commission with 1.5 mill. euros that started in August 2015 and will last until 2018.

Goal of the project is to facilitate the development and implementation of energy savings approaches, mainly in the Mediterranean Region, thus contributing to climate change mitigation with technologies and systems suitable for being replicated, transferred and mainstreamed.

In climates with high temperatures, reducing the cooling consumption and increasing the standards of indoor comfort are topics of great importance. The roof plays a key role in controlling the indoor thermal comfort, due to its size in comparison with the other components of a building envelope and the direct exposure to solar radiation. The arrangement of the covering elements on a battens and counter-battens system allows the creation of a ventilation layer under the tiles in the tiled pitched roof. This so-called Above Sheathing Ventilation (ASV) helps to dissipate the excess heat during the summer, reducing the heat transfer between tiles and roof structure below, thereby also reducing the cooling energy requirement. In ventilated roofs, air flow within the ASV depends on the air entering and leaving at the eaves and the ridge, according to external wind conditions. Therefore, the benefits of ASV could be enhanced by increasing the roof air permeability by means of novel tile shapes. That is the main idea of the Life Herotile European project.

Great interest in the project

The mid-term conference was introduced by Renaud Batier, Director General at Cerame -Unie. Then, Mario Cunial, Industrie Cotto Possagno; Christian Pohl, Monier, along with Fernando Cuogo, Terreal Italia Srl – all representatives of the three industrial partners – presented the current project status.

In the second part of the conference there was a discussion with the representatives of two organizations that could benefit from the best practices developed by Life Herotile: Promotoit Europe, an association with the mission to promote the advantages of the pitched roofs, represented by the President Pierre Jonnard, also the President of the Fédération Française des Tuiles et Briques (FFTB), and Housing Europe, the European Federation of Public, Cooperative and Social Housing, represented by Marco Corradi, who also intervened in the conference as one of the partners, with ACER Reggio Emilia, the company that manages social housing in Reggio Emilia. Isabelle Dorgeret, FFTB Director General, also participated in the discussion with a presentation on the main benefits of pitched roofs.

Around 40 people attended the conference showing great interest in the innovative tiles developed by the project that enable improvement of the energy efficiency of buildings thanks to the enhanced above sheathing ventilation.

More information on the project is available at: www.lifeherotile.eu

Source Ziegelindustrie International

21/10/2017

ETC FRANCE (Expertises et Technologies Céramique France )

Forte de nombreuses réalisations à travers le monde et d’une équipe technique et commerciale expérimentée issue du plus grand groupe français dans le domaine, Expertises et Technologies Céramique France (ETC France) est un acteur majeur dans la conception, la réalisation, la mise en route et le suivi de briqueteries et tuileries clés en main.

L’ensemble des collaborateurs de la société et ses partenaires s’appuie sur des valeurs tournées autour de fabrications fiables et de qualités reconnus par ses clients historiques mais aussi récents.

Avec ses équipements fabriqués exclusivement en France et à partir d’au moins 90% de pièces issues de l’Union Européenne, ETC France assure à ses clients une durée de vie de ses lignes de production bien au-delà de la moyenne, généralement de plusieurs dizaines d’années, sans rénovation majeure.

L’innovation continue est également au cœur de ses priorités quotidiennes afin de proposer une large offre d’équipements à la pointe des techniques de process et des solutions sur-mesure encadrées par un service après-vente efficace et essentiel.

Source ETC

20/10/2017

This is why thousands of bricks have gone on-display in Hull

This Game brings the Elf Fantasy World to Life in Fouras (Elvenar - Free Online Game)'We were nothing three years ago, now we're one of France's top companies' - Umanis CEO (Channelnomics)
This striking new exhibition will is celebrating the intended legacy from Hull’s City of Culture year.

Thousands of uniquely-designed bricks have gone on display at C4DI. Over the last five months, every child under the age of five has been given the opportunity to get involved in a huge project aimed at firing up their creativity by stamping their own style on a clay brick.

The project, called The Sixteen Thousand, documenting Hull’s current children aged five and under, has featured 151 of the city’s nursery schools, early years settings and children’s centres.

It forms part of Hull UK City of Culture 2017’s efforts to ensure every child in Hull has the opportunity to participate in creative activities and to build a cultural legacy – as announced last week.

The bricks are being displayed in a unique style on specially-built shelves that will be fitted in the windows of the largely glass walled space, so they will be visible from both the inside and out, and they will be lit up so that they can be seen at night.

Source Hulldailymail.com

19/10/2017

CREATON AG (CRN3) Is Yet to See Trading Action

Shares of CREATON AG (FRA:CRN3) closed at 28.56 by end of September. CREATON AG currently has a total float of 2.18 million shares and on average sees shares exchange hands each day. The stock now has a 52-week low of 28.4 and high of 41.17.

German Stock Exchange: Driving European Economic Growth
The German Stock Exchange is one of the most powerful stock exchanges in the world, with Germany being the largest economy in Europe and the third largest economy in the world. The third place brings their market’s companies like CREATON AG more audience. It has a huge influence in the overall European commerce and global trade.
...

Given this, investing in DAX 30 equities just makes sense. It is a guarantee that investors will benefit from the rich German economy. It also guarantee for CREATON AG and others to catch more attention.

More notable recent CREATON AG (FRA:CRN3) news were published by: Reuters.com which released: “CREATON to combine sales of roofing products under CREATON brand within German companies of ETEX Group” on November 30, 2016, also Reuters.com with their article: “Creaton: withdrawal of squeeze-out request by Etex Holding GmbH” published on November 14, 2016, Reuters.com published: “Creaton: last trading day in open market of Munich Stock Exchange on March 31, 2017” on July 26, 2016. More interesting news about CREATON AG (FRA:CRN3) were released by: Reuters.com and their article: “Creaton applies for delisting from open market in Munich Stock Exchange” published on July 18, 2016 as well as Reuters.com‘s news article titled: “CREATON AG issues FY 2016 outlook” with publication date: April 11, 2016.

CREATON AG is a Germany-based manufacturer of pressed clay roof tiles for the construction industry. The company has market cap of 79.86 million EUR. The Company’s product portfolio includes interlocking tiles, retro-style pantiles, flat tiles, interlock pantiles, concave interlocking pantiles, flexibel tiles, special-shape tiles, plaine tiles, roof accessories and decoration, as well as floor and facade tiles. It has a 9.86 P/E ratio. The geographical focus is on Germany and neighbouring countries.

Source Kgazette par  Kurt Siggers

18/10/2017

Une reprise s'affirme en 2017 pour le béton et les granulats

Après avoir observé une "accélération sensible" de l'activité au premier semestre 2017, sur le segment du béton prêt à l'emploi, l'Unicem signale que les volumes de granulats s'inscrivent en progression de + 3,7 % sur un an tandis que les livraisons de BPE augmentent de + 6,5 %.

En ce début de rentrée 2017, le mouvement de redémarrage de l'activité des matériaux semble bien enclenché malgré la pause estivale, affirme l'Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (Unicem) dans sa dernière note de conjoncture.

Une production de granulats en progression de 3 % par rapport à la même période de 2016

 "Sur les trois mois d'été (juin-juillet-août), la production de granulats s'est stabilisée au regard des trois mois précédents (- 0,1 %) mais elle demeure en progression de + 3 % par rapport à la même période de 2016 (données cvs-cjo)", détaille l'Unicem dans la même étude.

De janvier à août, l'activité granulats s'est ainsi raffermie de + 3,7 % sur un an alors que du côté du BPE, la production a également stagné par rapport au trimestre mars-avril-mai (+ 0,1 %). "Toutefois, elle a aussi continué d'augmenter sur un an, de + 6,5 %, soit un rythme deux fois plus rapide que celui des granulats", précise la note. En cumul sur les huit premiers mois de l'année, les livraisons de BPE affichent une hausse de + 6,5 %, indique-t-elle.

D'après l'Unicem, ce "décalage" semble faire écho à une conjoncture bien plus porteuse dans le secteur du bâtiment que dans celui des travaux publics au cours du premier semestre 2017. "Mais les perspectives d'activité dans le segment des ouvrages routiers et publics sont mieux orientées pour le second semestre", estime l'Unicem.

Des perspectives à la hausse 2017

Enfin, la croissance attendue de la production de granulats a été revue à + 2 %, le rythme de progression du second semestre 2017 ne permettant pas de 'combler' ce retard. Quant au BPE, les perspectives sont maintenues à + 4,5 % en volume pour l'année 2017 (données brutes), conclut l'Unicem.

L'Unicem mobilisée autour de la question du Grand Paris circulaire

Participant à la table ronde du "Grand Paris circulaire" sur le BTP et l'aménagement, organisée le 5 octobre 2017, Nicolas Vuillier, président de l'Unicem, s'est félicité que "le chantier du grand Paris constitue un formidable terrain d'expérimentation pour le développement de l'économie circulaire dans la construction."

Il a par ailleurs profité de cette tribune pour attester que "les entreprises du secteur des industries extractives et de matériaux de construction avait entendu l'appel de la maire de Paris, Anne Hidalgo, à s'engager en faveur du Grand Paris circulaire."

Cet "appel" s'inscrit dans la logique d'engagement volontaire des acteurs industriels de l'Unicem, qui avait été formalisé au printemps 2016 par la signature d'un Green Deal pour la croissance verte relatif à la valorisation et au recyclage des déchets inertes du BTP.

Source Batiactu 

17/10/2017

MONIER - STYLEA : UNE NOUVELLE TUILE AUDACIEUSE ET CRÉATIVE

Avec Stylea®, Monier lance sa première offre de tuile petit moule plat en béton : découvrez une tuile contemporaine idéale pour vos projets de construction neuve.

Année après année, Monier a enrichi sa gamme de tuiles béton pour proposer au marché français des produits compétitifs, endurants et répondant à des exigences de développement durable.

Aujourd’hui, Monier vous invite à découvrir STYLEA®, sa nouvelle tuile au profil plat, idéale pour la construction neuve.

STYLEA® est une tuile petit format (17 tuiles au m2) avec un aspect 20 au m2 : son nez fin, son excellente planéité, son alignement parfait et son emboîtement invisible confèrent à la toiture un aspect design et élégant.

Contemporaine, STYLEA® offre une palette de 3 teintes foncées : noir, gris et brun.

Pour faciliter son installation, STYLEA® est équipée de repères de positionnement et de trous de perçage. La tuile est légère, sa manipulation est simplifiée. Pour une toiture harmonieuse, STYLEA® bénéficie également d’une large gamme d’accessoires (faîtage, arêtiers, abergements, etc.).

Source Monier

16/10/2017

Confort, durabilité, Isolation, qualité de l’air, gain de surface : c’est oui avec la brique !

Si en France, en 2015 près d’un logement sur trois et une maison sur 2 est construite en brique, c’est que la brique terre cuite Monomur « 2 en 1 » porteuse et isolante et la brique à isolation rapportée ont démontré leurs qualités et performances technico-économiques. Avec les briques terre cuite, les murs sont faits pour durer, l’air intérieur est sain, le confort thermique garanti et en plus…vous gagnez des m2 !


Construire pour durer
Utilisées depuis plus de 5000 ans, les solutions terre cuite ont une composition minérale qui assure les constructions d’une longévité et d’une pérennité exceptionnelles. Leurs performances qu’elles relèvent du confort, de la santé et de la sécurité sont constantes dans le temps.

Construire pour économiser l’énergie
Grâce aux qualités naturelles du matériau terre cuite et au travail réalisé par les fabricants sur la géométrie des  briques et des accessoires, les produits terre cuite sont des champions de l’isolation. En 20 ans, la brique a multiplié sa résistance thermique par 3, devenant la solution naturelle pour répondre aux exigences de la RT 2012. Les évolutions des RT à venir confortent le choix de la terre cuite.

Construire pour climatiser naturellement
L’inertie est la capacité d’un matériau à capter la chaleur (apports solaires gratuits) et la restituer avec un déphasage de plusieurs heures. L’inertie permet de réguler la température comme un barrage hydraulique régule le débit d’eau quel que soit le niveau des précipitations.
Ainsi avec la terre cuite, lors des fortes chaleurs, il n’y a pas de montées excessives de température à l’intérieur des bâtiments. Pendant la saison de chauffe, la terre cuite restitue durant la nuit la chaleur emmagasinée pendant la journée.

Construire sans courant d’air
La RT 2012 impose, pour les maisons individuelles, une perméabilité à l’air inférieure à 0,6 m3/h/m2. De nombreuses mesures montrent les excellentes performances des solutions terre cuite. L’étanchéité à l’air des maisons réalisées en Monomur ou en brique de 20 est égale en moyenne à 0,4 m3/h/m2.

Vivre sans COV, ni moisissure
La constitution exclusivement minérale des solutions terre cuite fait qu’elles n’émettent pas de Composés Organiques Volatils et qu’elles sont classées A+. Les solutions terre cuite sont parfaitement saines. La première Fiche de Données Environnementales et Sanitaires (la fameuse FDES) publiée pour un produit de construction était d’ailleurs pour brique Monomur terre cuite dès 2000.

CONSTRUIRE pour protéger
Les solutions terre cuite protègent des aléas de toute nature : incendie, séismes, bruit…
Elles permettent la réalisation de tous types de constructions, logements individuels et collectifs, bâtiments non résidentiels
Les solutions terre cuite offrent une excellente réaction au feu, elles sont incombustibles par nature. Les briques de terre cuite sont  ininflammables et incombustibles. Elles sont classées A1 sans essai (Euroclasse) ou M0, c’est la meilleure classe de réaction au feu possible. Elles permettent aussi d’assurer le confort acoustique.

Construire et pousser les murs : double bonus !
Grâce à sa performance thermique intrinsèque, la brique terre cuite, en comparaison avec une solution en maçonnerie courante, permet de réaliser un gain de 3 % au minimum de surface habitable. La brique terre cuite, si elle ne dispense pas de poser une isolation intérieure, permet d’en réduire l’emprise.
Une étude réalisée par Pouget Consultant pour la FFTB (Fédération Française des Tuiles et Briques) démontre que sur un immeuble à usage collectif de 2000 m2 SHAB, soit 34 logements, réalisé avec des briques de 20 cm à R=1 m2.K/W, la brique terre cuite permet de gagner 60 m2 supplémentaires, en plus d’un éventuel bonus de constructibilité accessible aux bâtiments exemplaires. Ce bonus peut aller jusqu’à 30% de surface constructible autorisable par rapport aux documents d’urbanisme.

Des arguments de poids de bon augure pour relever le défi E+C- .

Source Cyber Archi

15/10/2017

Wienerberger inspires children with 16,000 bricks donation

Wienerberger, the UK’s leading provider of building material solutions, has donated 16,000 clay bricks to Hull’s 151 nursery schools as part of an exciting project to get children involved in Hull UK City of Culture 2017.

The children have sculpted a Wienerberger brick as part of the project which will then be dried and fired to create an art installation for the city centre later this year.

Children across Hull aged 0 – 5 have sculpted their clay bricks as part of an Early Years project for the City of Culture 2017 called ‘The Sixteen Thousand’, with this representing the 16,000 0-5 year olds in the city. Now sculpted, the bricks will be dried and fired at Wienerberger’s roof tile factory in Broomfleet and will be used for a final installation which will be situated in Hull city centre and displayed between Monday 2nd October – Sunday 5th November.

Ian Read, Head of Learning and Participation at Hull UK City of Culture 2017, commented: “We are delighted that Wienerberger has been part of this project, helping us facilitate a fantastic opportunity to inspire the youngest people in the city. It has allowed the children’s imaginations to run wild, be involved in a piece of culture for Hull and hopefully has inspired a lifetime’s love of arts."

Ian Martinson, master clay carver at Wienerberger added: “Clay is the oldest artistic material and has been used for centuries to create both practical and aesthetic pieces. It has been a pleasure encouraging the children to work with these materials in this way from such an early age, allowing them to express themselves to celebrate the City of Culture in Hull. We can’t wait to see the final art installation.”

Source Specificationonline

14/10/2017

Budapest: Terrán developing solar roof tile

Roof tile maker Terrán Tetőcserép Gyártó is developing a tile with an integrated solar panel together with the Budapest University of Technology and Economics (BME), Managing Director Attila Gódi said at a press conference on Tuesday.

Attila Gódi explaining the benefits of Terránʼs Futuron solar roof tiles.

Terrán could put the tiles on the market as soon as next year, Gódi said. He declined to put a price on the new product, although it already has a name, Futuron.

According to the companyʼs website, the final goal of the development is "to create an aesthetic, environment-friendly energy-generating roof system without compromise."

Gódi said 200-300 of the tiles could supply all of a typical householdʼs electricity needs. Terran has two plants in Hungary, two in Slovakia and one in Romania. It turned out 50 million tiles last year, national news agency MTI reports.

Source Budapest Business Journal

13/10/2017

Solar Roof Tile Production At Tesla’s Buffalo “Gigafactory” Now Up & Running

Solar roof tile production at Tesla’s production plant (“Gigafactory 2”) in Buffalo, New York, has now begun — as of the end of August — according to the company’s Chief Technical Officer (CTO), JB Straubel.

Apparently, there are some several hundred employees now getting things up and running at the 1.2 million-square-foot facility in the Northeast — which was obtained from SolarCity’s acquisition of solar startup Silevo in 2014. SolarCity, of course, was purchased by Tesla in 2016.

Up to this point, Tesla’s new solar roof tiles have only been produced on a small scale in Fremont, California — for development reasons.

Straubel commented on the state of things: “By the end of this year we will have the ramp-up of solar roof modules started in a substantial way. This is an interim milestone that we’re pretty proud of.”

“This factory, and the opportunity to build solar modules and cells in the US, was part of why this project made sense,” he continued.

The Washington Post provides more: “Tesla’s partner, Panasonic Corp., will make the photovoltaic cells, which look similar to computer chips. Tesla workers will combine the cells into modules that fit into the roof tiles. The tiles will eventually be made in Buffalo as well, along with more traditional solar panels. Panasonic is also working with Tesla at its Gigafactory battery plant in Nevada.

“Straubel says Tesla eventually hopes to reach 2 gigawatts of cell production annually at the Buffalo plant. That’s higher than its initial target of 1 gigawatt by 2019. Straubel said Tesla has been working on making the factory more efficient.”

Notably, during the interview, Straubel was reportedly hesitant to say how many orders have been taken to date for Tesla’s solar roofs … though the comment was made that demand was strong. Also, the current order log wouldn’t be fulfilled until the end of 2018.

Source CleanTecnica

12/10/2017

Italian brick and tile industry repositioning itself

At the general meeting of Andil, the Italian brick association, on 7 July in Rome, the focus was on earthquake protection and reconstruction with clay bricks in Central Italy.

Innovative products for earthquake zones

During the event, innovative systems developed in the scope of the European research project INSYSME were presented for masonry. These special engineering solutions were designed to increase the safety of the buildings in earthquake-risk regions as well as to demonstrate improved performance regarding a healthy indoor climate, thermal insulation, sound protection, damp protection, fire safety and durability. In the subsequent discussion, experts, key players in the development of the plan for the reconstruction of Central Italy as well as representatives from the construction sector took part. Before the conference, the general meeting of the Italian industrial association Federazione Confindustria Ceramica e Laterizi was held. Highlights included an interview with the Paraguayan architect Solano Benitez, winner of the Golden Lion of the Venice Biennale and world famous for his use of clay bricks in creative, innovative architecture that is affordable for everyone.

Difficult years for Italian brickmakers

At the Andil annual general meeting, the existing Board with President Di Carlantonio and the board members Atila, Briziarelli, Cunial, Cuogo and Danesi were unanimously confirmed in office for another two years. The balance of the Brick Association showed a shortfall as in the previous year.

This year’s  general meeting took place against the background of the planned merger of the Andil Brick Association with the ceramic association Confindustria Ceramica. Goal of the merger is to gain a better presence in political activities. Andil currently has 68 members.

Since 1985, the Italian Brick Association has systematically recorded the production figures. A crisis like the one the sector has experienced since 2007 has never been known before. »3 shows the development of the production levels in past years and an outlook up to 2020. The very low increases expected for production are influenced by the continued politically instability and generally dissatisfying economic situation and particularly that of the property sector in Italy. The prices for brick products attainable on the market are still not high enough to obtain a positive overall result. In most cases, the EBITDAs are not negative.

Since 2007, 120 companies have been closed. At present, the average calculated capacity utilization of the 111 plants in operation is 35 %. No uniform market development can be observed. Encouragingly, 44 plants that are members in the Association have reported an improved capacity utilization compared to the previous year. At the same time, however, 21 plants reported a lower capacity utilization, in some cases of over 20 %.

The hoped-for improvement in the market situation has not materialized. In view of the rather poor economic outlook for Italy for the forthcoming years, the market will stabilize at the current low level.

Source Ziegelindustrie International par Dr. Fritz Moedinger, Giovanni D’Anna

11/10/2017

ALFI TECHNOLOGIES: 40 ans d’innovation dans la terre cuite

ALFI Technologies investit de façon continue en R&D et s’appuie sur des compétences en ingénieries multi-marchés adaptées à différents types de matériaux. La société s’enrichit de cette culture unique et d’une forte dimension internationale pour proposer des solutions clés en main à ses clients sur le marché de la terre cuite, plus précisément dans les fonctions connexes ou complémentaires au cœur du process (transitique produits, manutention de séchoir, équipements spécialisés…). ALFI Technologies s’est positionnée en tant que partenaire des plus grands intégrateurs ou directement en tant qu’intégrateur.


1Coupeurs
ALFI Technologies intègre plusieurs types de coupeurs permettant de traiter une large gamme de produits : briques, tuiles filées, blocs ou pavés. Le coupeur grande capacité présenté par ALFI Technologies...

2Chargeurs
Chargeurs haute cadence Les chargeurs ALFI Technologies permettent l’alimentation à haute cadence du séchoir, quelle que soit la largeur et la structure des balancelles. Ils sont conçus pour préserver la qualité...

3Séchoirs rapides ANJOU®
Séchoirs rapides ANJOU® ALFI Fimec, créateur du séchoir ANJOU®, séchoir rapide à balancelles, développe de nouvelles technologies pour des séchoirs plus compacts, plus rapides, moins consommateurs d’énergie. Ces séchoirs, équipés...

Séchoir AnjouALFI Technologies met à votre service plus de 40 années d’expérience et d’innovation et s’appuie sur 200 références de séchoirs ANJOU®, véritable référence du séchage rapide et 300 lignes de manutention construites dans le monde (tuiles et briques).

  • Automatisation
  • Augmentation de capacité
  • Fiabilité et robustesse dans le temps

Séchoir ANJOU est une marque déposée par ALFI Technologies

4Déchargeurs
Déchargeurs de séchoir Les déchargeurs de séchoirs assurent aussi une fonction de pré-empilage. ALFI Technologies a développé deux catégories de déchargeurs. Des déchargeurs classiques : ils permettent d’évacuer les produits...

5Empileurs
Empileurs haute performance Les empileurs ALFI Technologies chargent les wagons en empilant les produits directement dessus. Ils proposent deux types de chargement : sur la longueur du wagon, configuration classique sur la...


6Equipements de wagons transbordeurs: roues et graisseurs
Roues de wagons Les roues fabriquées par ALFI Technologies (200, 240, 300 et 400 mm) sont forgées en acier avec une profondeur de trempe de la bande roulement et des joues...

7Transitique wagons
Transitique de wagons transbordeurs et équipements au sol Les éléments de manutentions wagons, pour four ou séchoir, assurent un fonctionnement optimal de votre installation. ALFI Technologies développe des transbordeurs qui s’adaptent à...

8Dépileurs, palettiseurs et paquetiseurs
Dépileurs, palettiseurs et paquettiseurs ALFI Technologies révolutionne les opérations de dépilage avec une solution polyvalente qui permet de déposer les paquets de briques directement sur un camion ou sur une...

9Nettoyeurs de wagon
Nettoyeurs de wagon Les nettoyeurs dépoussiéreurs ALFI Technologies assurent les fonctions de dépoussiérage et d’évacuation des poussières et débris (casseaux) sur  le dessus du wagon et sous les fausses soles

Source ALFI TECHNOLOGIES

MAYOTTE | Certification de la BTC : une réunion clé le 12 octobre

Le travail mené depuis 10 ans par l'association Art Terre Mayotte pour la certification de la brique de terre compressée (BTC), élément majeur du patrimoine de Mayotte, pourrait aboutir le mois prochain. En cas de réponse positive, les entrepreneurs locaux pourraient, selon les estimations, produire entre 200 et 300 logements en BTC par an.
La brique de terre compressée (BTC), élément majeur du patrimoine mahorais, sera-t-elle bientôt enfin reconnue à sa juste valeur ? Sera-elle à ce titre bientôt certifiée par le centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB)? Le travail mené en ce sens depuis 10 ans par l'association Art Terre Mayotte pourrait bientôt aboutir. Vincent Liétar, membre de l'association, indique qu'une "réunion clé" est prévue le 12 octobre prochain avec le centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB). En cas de réponse positive, les entrepreneurs locaux pourraient, selon les estimations, produire entre 200 et 300 logements en BTC par an.

Art Terre Mayotte a été créée en 2007 par une trentaine de personnes - ingénieurs, architectes, maîtres d'ouvrage et artisans – dans le but d'obtenir la certification de la BTC, qui associerait la norme (En 2001, une première norme expérimentale (norme XP-P901) a été obtenue afin de définir le processus de fabrication) et la mise en œuvre du produit.

En 2013, le préfet accorde à Art Terre Mayotte une subvention de 63 000 euros pour financer le projet. L'association entame alors le processus de certification en partenariat avec le centre international de la construction en terre (CRAterre) de Grenoble, qui apporte une expertise technique.

En avril 2017, l'association a transmis officiellement au CSTB en avril 2017 un document d'une centaine de pages, destiné à devenir la norme de référence.

En parallèle, la BTC devait encore passer un test de résistance au feu. "Le test a été positif, donc la réglementation sera, si elle est validée, prise en compte pour les ERP (établissements recevant du public)", note Vincent Liétar.

Par ailleurs, un travail est réalisé avec la Fédération française des tuiles et briques (FFTB) pour la révision de la norme produit BTC.

En outre, des échanges sont en cours avec la Direction de l'environnement, de l'aménagement et du logement (Deal) pour intégrer les contraintes et qualités de la BTC dans la RTAA DOM (réglementation thermique acoustique et aération des Dom).

L'âge d'or de la brique
Quasiment abandonnée  à Mayotte depuis le début des années 2000 au profit du parpaing et du béton, la BTC cumule pourtant tous les avantages économiques, écologiques et esthétiques sur ces deux matériaux de construction. L'histoire de la brique de terre est liée à la Société immobilière de Mayotte (SIM). Elle commence avec le programme de développement de l'habitat social au tout début des années 1980. Pour cela la SIM recherche un matériau local et pérenne (à l’époque le sable de mer était encore très utilisé dans la construction). « A Mayotte la terre devient alors une opportunité. Sur la planète, une très grande partie des constructions sont en terre », souligne Vincent Liétar. C’est l’âge d’or de la brique en terre. En 1981, Mayotte compte 17 briqueteries. « Nous avons formé des gens, nous avons construit une dizaine de milliers de logements. Regardez la préfecture, la place Mariage… c’était l’époque où l’on utilisait énormément de briques », détaille l'ex-directeur de projets à la Sim. Au milieu des années 90, ce sont plus de deux millions de briques par an qui sont produites localement. Mais à la fin des années 90, les choses se corsent du point de vue réglementaire. Il faut obtenir une certification, « normaliser » la brique de terre afin que les assureurs suivent. "A cette époque, nous avons levé le pied sur les constructions en BTC", confirme Ahmed Ali Mondroha, actuel directeur de la SIM. "Nous avions en effet beaucoup de problèmes pour trouver un assureur."

Le travail de certification est entamé en 1998 mais s’essouffle au cours des années 2000. Le sujet n’est plus prioritaire pour la Sim qui rencontre des problèmes financiers. En 2007, l’association Art-Terre Mayotte est donc fondée avec l’objectif de prendre le relais.

Au delà de la mise en valeur du patrimoine historique mahorais, la certification de la brique de terre compressée pourrait donc avoir un impact bien au-delà de l'île au lagon. La BTC pourrait alors être utilisée partout dans le monde, y compris dans de nombreux pays d’Afrique où la terre est une matière utilisée traditionnellement dans la construction.

Source MayotteHebdo par Olivier Loyens

10/10/2017

Le Préfet dit non à la carrière de Précigné

Un projet de carrière d'argile et de Sable était en cours à Précigné depuis 2016. Le Préfet vient de le retoquer. Une victoire pour l'association défense de la forêt de Malpaire.

Le Préfet a donné raison à Hubert Guillais et à l’association de défense de la forêt de Malpaire (©Les Nouvelles de Sablé)
L’avis a été rendu public ce vendredi 22 septembre. Le Préfet de la Sarthe, Nicolas Quillet a émis un avis négatif au projet de carrière en forêt de Malpaire à Précigné.

Un oui lors de l’enquête publique
L’enquête publique concernant la création d’une carrière de sable et d’argile à Précigné, près de Sablé-sur-Sarthe, par la société SAS Malpaire, avait démarré au printemps 2016. Stupéfaction pour les habitants qui découvraient l’existence de ce projet. L’association de défense de la forêt de Malpaire voit alors le jour, soutenue par les associations de défense de l’environnement : Sarthe Nature environnement et la Ligue de protection des oiseaux.
Alors que le commissaire enquêteur émettait un avis favorable, la mobilisation contre le projet ne faiblissait pas.

Hubert Guillais, président de l’association met en avant la mise en péril d’espèces menacées et des zones humides et le non respect de la trame verte. « C’est une directive européenne qui s’impose à tous les maires. On ne peut pas couper une forêt millénaire qui s’étend sur 40 km au nord et autant au sud, des portes d’Angers jusqu’à Parcé ». Des arguments qu’il va défendre auprès de la Préfète d’alors, Corinne Orzechowski.

Dans un premier temps, elle refuse l’autorisation de déboisement. 
Lui succède à la tête de la Préfecture Nicolas Quillet. Depuis, la décision de l’autorisation ou non de la carrière se faisait attendre. Il a rendu un avis négatif ce vendredi 22 septembre 2017.
Une victoire pour l’association défense de la forêt de Malpaire. Hubert Guilais y voit « la preuve qu’en 2017, après la COP 21 et les accords de Paris, il n’est plus possible de détruire une forêt pour l’industrialiser ».

Source Actu.fr

Pierre-André de Chalendar prédit « une activité plus soutenue dans les deux prochaines années » dans le BTP

Dans une interview publiée vendredi 29 septembre dans Les Echos, le PDG de Saint-Gobain pointe tout de même les niveaux d’activité « relativement bas » du bâtiment malgré l’amélioration de la conjoncture.

Le PDG du groupe de matériaux de construction Saint-Gobain, Pierre-André de Chalendar, estime que « la reprise française » dans le bâtiment « laisse présager une activité plus soutenue dans les deux prochaines années ».

« La conjoncture française s’améliore, mais nous sommes encore dans le bâtiment à des niveaux d’activité relativement bas », a relativisé M. de Chalendar,

« La reprise française amorcée l’an dernier dans le gros oeuvre grâce aux logements neufs se traduit très nettement depuis quelques mois dans le second oeuvre, et laisse présager une activité plus soutenue dans les deux prochaines années », explique le PDG de Saint-Gobain.

Il ajoute qu’il y aussi « des frémissements depuis trois mois dans la rénovation », et constate « que l’emploi dans le bâtiment commence à repartir ».

Mais M. de Chalendar souligne que « le volume d’activité de Saint-Gobain reste de 20% inférieur en France à son activité au pic de 2007 » en considérant « neuf et rénovation confondus ». « Alors que nous avons retrouvé ou dépassé le niveau d’avant-crise dans plusieurs pays d’Europe », ajoute-t-il.

Interrogé sur la réforme du marché du travail, le patron de Saint-Gobain juge que le contenu des ordonnances est « bien adapté » et « devrait améliorer fortement l’incitation à embaucher ».

Sur la situation de la France, il pointe « un point très noir (…) le déficit du commerce extérieur » qui « montre que nous avons encore une problématique de compétitivité ».

« Il faut encore alléger les charges qui pèsent sur le travail », affirme-t-il, en jugeant que « le curseur a été mis un peu trop sur les bas salaires ».

Source Le Moniteur

09/10/2017

En Suisse, la première usine qui capture le CO2 pour en faire de l'engrais

L’usine de l’entreprise helvète Climeworks va capturer le CO2 présent dans l’air pour le stocker dans le sol et le revendre aux serres agricoles voisines.

Trois conteneurs empilés les uns sur les autres, contenant chacun six filtres de l'entreprise Climeworks, le tout sur une hauteur de 12 mètres... Bien que ce monstre de métal tranche avec le cadre champêtre de la petite commune de Hinwell, cette usine ne risque pas de nuire à son environnement... et pourrait même participer à bâtir un futur meilleur.

Comment ? En capturant le CO2 émis par les activités humaines, responsables du réchauffement climatique. Le tout, grâce à une technologie dite de "capture de l’air directe" (direct air capture), qui absorbe le dioxyde de carbone présent dans l’atmosphère. Ouverte le 31 mai par l’entreprise suisse Climeworks, spécialisée dans les énergies renouvelables, cette usine est la première du genre.

Éponges à carbone
Jusqu'à présent, les technologies à émissions négatives, c’est-à-dire destinées à capturer les gaz à effet de serre, étaient positionnées aux sources d’émission directes, comme par exemple les cheminées des centrales à charbon.
 
Le procédé de "capture de l’air directe" change la donne : les filtres des collecteurs d’air de l’usine agissent tels des éponges et prennent au piège le dioxyde de carbone déjà présent dans l'atmosphère. Plus besoin de poster le dispositif à la source d’émission pour que celui-ci soit efficace.
 
Avec cette usine d’un nouveau genre, Climeworks espère non seulement réduire la teneur de gaz carbonique de l’atmosphère, mais également en faire une activité rentable. Ses filtres brevetés sont réutilisables : il suffit de les chauffer à 100°C pour les remettre à neuf, par exemple en utilisant la chaleur d'un incinérateur de déchets.

Une partie du gaz est ensuite stockée sous terre. L'autre est revendue à des industriels ainsi qu'aux serres agricoles voisines, sous forme d'engrais, ce qui permettra "d’augmenter la croissance des laitues et autres légumes de 20 % " assure un communiqué de l'entreprise.

Un problème se pose cependant : puisque que le dispositif de Climeworks n'est pas installé directement à la source d’émission de la pollution, il doit pouvoir traiter des concentrations de CO2 très faibles (dans des concentrations inférieures à 0,04 % de l'air), ce qui rend la technologie plus difficile à mettre en œuvre et a priori plus chère que le captage à la source.

Une mise au vert utile mais coûteuse

De plus, les volumes traités sont minimes par rapport à l'ampleur du péril climatique. L'usine de Climeworks doit capturer 900 tonnes de CO2 par an, soit l’équivalent de 200 voitures.

L'entreprise précise néanmoins que son procédé est 1 000 fois plus efficace que la photosynthèse des végétaux, qui elle aussi contribue à capter le C02. Et donc plus économe en termes d'empreinte au sol : chaque filtre pourrait capturer 50 tonnes de CO2 par an contre seulement 50 kg pour un arbre.

L’entreprise suisse ambitionne de capturer 1 % des émissions mondiales de CO2 d'ici 2025. Un défi de taille qui exigerait l'ouverture de 750 000 usines du même type selon Jan Wurzbacher, cofondateur de Climeworks.  Quand on sait que l’usine de Hinwil a coûté près de deux millions d'euros, cela représente un investissement colossal.

Pas de quoi décourager Jan Wurzbacher : "Si nous voulons respecter les accords de Paris, nous avons besoin non seulement de commencer à développer ces technologies mais aussi de les améliorer et les mettre en œuvre à une plus grande échelle. Pour en arriver là, nous devons réduire nos coûts en recherche de un quart à un tiers et avoir une base clientèle beaucoup plus large " déclarait-il, cité par Vice, lors d’une conférence à l’université ETH de Zurich.

La question est : si cette technologie devient un jour rentable, ne risque-t-elle pas de devenir une excuse pour continuer à polluer ?

Source WE Demain par Laurent Levrey 

Bouyer Leroux crée un poste de Directeur Energies

Afin de relever les défis environnementaux à l’horizon 2025 et d’améliorer son bilan carbone, Bouyer Leroux Terre Cuite vient de renforcer son organisation en créant le poste de Directeur Énergies et annonce le recrutement d’Emmanuel Allorent.

Agé de 41 ans, Emmanuel Allorent est Ingénieur diplômé de l’Ecole des Mines de Nantes, spécialisé en Génie des Systèmes Energétiques.
Il a débuté sa carrière chez Onyx Loire Bretagne où il a successivement occupé des fonctions de directions d’unités industrielles pendant 7 ans.
Il a ensuite intégré le Groupe Véolia en tant que Directeur des Activités de traitement et de valorisation de la Région des Pays de la Loire avant d’en être nommé Directeur d’Agence Régionale en 2012.

Fort de son expertise et de sa longue expérience du secteur de la valorisation énergétique, il a pour mission l’évaluation, la définition et la mise en œuvre de la stratégie énergétique de Bouyer Leroux Terre Cuite et du groupe Bouyer Leroux en collaboration avec la Direction du Développement, les Directions Industrielles et les Directions Générales.
De par sa fonction de Directeur Energies de Bouyer leroux Terre Cuite, Emmanuel Allorent est hiérarchiquement rattaché à Jérôme Gautron, Directeur du Développement de Bouyer Leroux Terre Cuite. «

Cette nouvelle compétence experte en énergies va permettre d’accompagner Bouyer Leroux Terre Cuite et le groupe Bouyer Leroux dans sa stratégie énergétique avec la mise en œuvre de projets tels que la création de centrales photovoltaïques, la production en cogénération d’électricité et de chaleur, le développement de biocombustibles ainsi que l’évaluation et la mise en œuvre de technologies nouvelles » explique Roland Besnard, Président Directeur Général du Groupe Bouyer Leroux.

Le Groupe Bouyer Leroux, N°1 français des matériaux de construction en terre cuite (briques de murs et de cloisons, conduits de cheminée, tuiles et faîtières), est organisé autour de 4 pôles*. Il emploie 900 collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires d’environ 185 millions d’euros. * La fabrication de matériaux de construction en terre cuite (Société Bouyer Leroux et Bouyer Leroux Structure ; 9 usines), la fabrication de fermetures et coffres de volets roulants pour l‘habitat (Société SPPF), la fabrication de produits béton (Société Robert THEBAULT ; 3 usines), la valorisation des déchets et la production de biogaz (Bouyer Leroux Environnement)

Source Cécile Roux Relations Presse

LES BRIQUES ROUGES de Quentin Ravelli

En Espagne, la brique (ladrillo) est bien davantage qu’un matériau de construction. Elle est l’un des rouages essentiel du capitalisme. Elle est au coeur de la crise de suraccumulation que connait le pays depuis le début des années 2000. Située dans la région de la Sagra en Castille, l’enquête au long cours de Quentin Ravelli, issue d’un documentaire cinématographique, parvient à reconstituer la biographie d’une marchandise ordinaire sur laquelle repose un système entier de domination économique et politique.

« Pour Angel, la cinquantaine, le choc est ce jour-là violent : il court, nerveux et angoissé, de l’extrudeuse à la “guillotine”, du “piano” au poste de contrôle. Habitué à la tuile, il a dû se reconvertir à la brique en une matinée. Il tremble, il sue, il s’énerve pour un rien. Derrière lui, un enchevêtrement de tapis roulants grincent et crient en acheminant la terre des carrières, tandis que la grosse caisse du mélangeur d’argile, surnommé le “moulin”, pousse des râles graves qui résonnent sous les tôles à chaque passage de la meule. Devant lui, l’extrudeuse ronronne. Sous pression, elle pousse sans fin un gros ruban d’argile chaud et fumant – une brique infinie, un churro géant. »

ISBN 9782354801588
12 EUROS
192 PAGES
PARU LE 21 AOÛT 2017

Quentin Ravelli
Né en 1982, Quentin Ravelli est chercheur au CNRS. ­Auteur de La Stratégie de la bactérie (Le Seuil, 2015) et de deux romans, il a réalisé le film documentaire Bricks.

Source Editions Amsterdam

08/10/2017

Un four à tuiles rénové à Noirterre

Le patrimoine, ce n'est pas seulement des églises ou des châteaux mais aussi des industries. » Dominique Lenne, conseillère municipale, chargée des affaires culturelles, du patrimoine et des archives, a ainsi rendu hommage aux 500 heures de travail qui ont été nécessaires à la restauration de l'ancien four et du séchoir à tuiles sur l'emplacement de l'ancien atelier qui a appartenu à Isidore Bourreau, chaulier et maire de la commune de 1919 à 1941.

Les bénévoles : Hélène Brosseau, Thomas Bernier, Christian Blais, Gildas Boué, David Courjault, Joël Denis, Claude et Domnique Fuseau, Davide Landreau, Claude Mimeau, Gilbert Moreau et son petit-fils Rémi, Jean Paul Motard et Hervé Roger sont les grands artisans de cette restauration qui a été décidée en 2013 par la municipalité et son maire-délégué Jean-François Moreau.
Aux côtés des bénévoles, les agents du centre technique municipal ont grandement œuvré à la restauration du four depuis 2015. Dimanche, lors de l'inauguration du lieu qui pourrait accueillir à l'avenir des tables de pique-nique, chacun des bénévoles s'est vu remettre un exemplaire de la dernière revue Histoire et patrimoine du Bressuirais dont l'un des articles rédigé par Dominique Lenne est justement consacré aux huit tuileries et briqueteries que comptait la commune-déléguée de Noirterre entre le XVIIe et le XXe siècle. La dernière ayant fermé ses portes en 1992.

Source La Nouvelle République